Officiel FIFM

L'actrice américaine Sigourney W

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NE JETEZ PAS CE JOURNAL SUR LA VOIE PUBLIQUE : OFFREZ LE À VOTRE VOISIN !

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Compétition: Projection de Empty Nest et Zero Bridge

“Empty Nest, c’est le genre d’histoire où les personnages

dégagent des sentiments profonds Réaction de Bouchra Ijörk, réalisatrice marocaine, sur

le film de Daniel Burman (photo ci-contre) . p/10

zoom p/05

Profession, Producteur de cinéma pleins-feux p/08

L’épopée “grand-écran” des Super Héros à-chaud p/12

Antonio Banderas dans la peau de Dalià venir p/13

Les 10 blockbusters les plus attendus en 2009

DR■

dégagent des sentiments profonds Tariq Tapa, réalisateur ■

de Zero Bridge. /DR

N. Nejjar:“Le FIFM, une vitrine pour nos œuvres” p/04

Pour cette édition, le FIFM rend hommage entre autres à l'actrice américaine Sigourney • Weaver. Retour sur le parcours de cette grande dame du cinéma mondial.

Interview de Sigourney Weaver p/10

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L'Officiel du FIFM est édité par

www.aufaitmaroc.comQuotidien d'informations générales

LE JOURNAL OFFICIEL DU FESTIVAL INTERNATIONAL DU FILM DE MARRAKECH • Edition du dimanche 16 novembre 2008 • n°2

02 F I F Mdimanche 16 novembre 2008

Avis aux personnes qui flâne-raient sur l’avenue Moham-med VI sous les palmiers en direction des montagnes en-neigées, faites bien attention. Festivaliers, ce dimanche ne sera pas de tout repos. Certes, le début de journée sera plutôt calme. Nous aide-rons une vieille dame polo-naise, Aniela, à récupérer sa superbe villa en bois qu’un locataire indésirable occupe depuis des années ( Time to die de Dorota Kedzierzawska, en compétition). En milieu de journée, le rythme va s’accélérer. Petit saut dans le temps, et retour en 1944, à Copenhague où les vaillants danois Flame & Citron résis-tent encore et toujours à l’en-vahisseur nazi ( Flame & Ci-tron de Ole Christian Madsen, en compétition). Ensemble, nous devrons tor-dre le coup à quelques aliens qui vont envahir en début de

soirée la place Jamaâ El Fna, sauver la belle Sigourney Weaver de ces féroces créatu-res afin de la ramener à temps pour l’hommage qui va lui être rendu au Palais des Congrès, où la foule impatiente acclame les stars marocaines et inter-nationales. Festivaliers, vous vous sou-viendrez de ce dimanche mar-rakchi comme celui qui a été consacré à cette magnifique ac-trice généreuse, humble, enga-gée pour l’environnement mais également mordue de science-fiction (La trilogie des Alien , Galaxy Quest , Ghostbusters , Le village , Avatar ). La ville ocre se pare de son plus beau costume pour donner au fes-tival un décor enchanteur. Le soleil, spot light naturel, joue les directeurs photos pour mettre en valeur la féérie du lieu. Et quoi de plus magique que de croiser son acteur pré-féré ou son réalisateur fétiche au détour d’un tapis rouge ? On se croirait presque dans un film…

La rédaction ■

EditoLe suspense a enfin été levé

hier à Marrakech lors de la conférence organisée par le

groupe Aksal, promoteur du projet “Morocco Mall”, en présence de Mme. Salwa Idrissi Akhannouch, Présidente et fondatrice du dits groupe et de M. Philippe Houzé, PDG du groupe Galeries Lafayette.

Ce sera bel et bien l'enseigne fran-çaise de renommée internationale les Galeries Lafayette, déjà im-plantée au Maroc dans les années 1920, qui investira le gigantesque complexe marchand “Morocco Mall” qui ouvrira ses portes en 2010 à Casablanca.

L'accord conclut et signé hier en-tre les deux groupes s'est ainsi opéré sous la forme d'une franchi-se exclusive sur le territoire maro-cain, ce qui témoigne, comme l'a souligné Mme. Akhannouch “de la confiance mutuelle qui scelle ce partenariat”.

Ce seront donc pas moins de 13.000 m2 disposés sur trois ni-veaux qui permettront à l'enseigne de mettre en vente ses différentes

gammes répertoriée autour de la mode, de l'accessoire, du parfum/beauté, de la maison ainsi que de la restauration et épicerie fine.

Une enseigne “symbole de l'élé-gance à la française”, comme l'a souligné M. Paul Delaoutre, Direc-teur du groupe lafayette, qui incar-nera ici le métissage des cultures.

La prestigieuse enseigne devrait générer de nombreux emplois par-mi les quelque 500 postes qu'en-gendrera au total le “Morocco Mall”.

Casablanca: Les Galeries Lafayette s'implanteront au futur Morocco Mall

Baris, le doyen des conteurs de Jamaà El Fna, lors de la cérémonie d'ouverture du FIFM, vendredi 15 novembre. ► /C.HPHOTO

L'OFFICIEL RC : 157283 ; Patente : 36390935;IF : 1104850Directeur général / Rédacteur en chef: Brahim Sedrati Directeur de publication : Reda SedratiPlanifi cation : Wafae M’rabetJournalistes: Imad Bentayeb, Marion Despouys, Gypsy Allard, Ahmed El Mekkaoui, Bassirou Bâ, Muriel Tancrez, Kisito Ndour, Cyrille KouznetzoffPhoto-journalistes :M.C.H, Mounim Souibi, Yassine OualiDéveloppement informatique et Infographie : Ouali yassine, Soufi ane Raja, Mounim Souibi, Responsables commerciaux : Sophie Echeverria, Issam KamalZakia Aalla, Mathieu BihanAdministration:Imane Rajraji, Taoufi k BenayadResponsable distribution : Abdelhakim SaidiContacts: Tél: 022 39 92 55 / 77 / 87Fax: 022 39 93 78E-mail : [email protected] : www.aufaitmaroc.comSite B2B: action.aufaitmaroc.com

tradition

M.T ■

Mme. Salwa Idrissi Akhannouch, ,Présidente et fondatrice du groupe Aksal et M. Philippe Houzé, PDG du groupe Galeries Lafayette, hier au moment de la signature de l'accord. /M.T

FESTIVALINTERNATIONALDU FILM DEMARRAKECH

Palais des congrès - Salle des Ministres 11h00 : Time to Die

15h00 : Flame & Citron

18h00 : Left

20h30 : Hommage à Sigourney Weaver, The Girl in the Park

Palais des congrès- Salles des Ambassadeurs 10h00 : The Duellists (les duellistes)

12h00 : Excalibur

14h00 : Imaginary Heroes

17h00 : A Room with a View (Chambre avec vue)

20h00 : The Draughtsman’s Contract (Meurtre dans un jardin anglais)

Cinéma Le Colisée 11h00 : Secrets and Lies (secrets et mensonges)

14h00 : Death and the Maiden (La jeune fi lle et la mort)

16h00 : the Madness of King George (La folie du Roi George)

18h00 : Time to Die

20h00 : Flame & Citron

22h30 : Pour elle

Cinéma Mabrouka 17h00 : Rain Man

20h00 : Al Massir (Le destin) (2h15) - vostf

22h30 : Hadduta Misrija (La mémoire) (2h) - vostf

Cinéma Mégarama 17h00 : Al Ard (la terre)

20h00 : Bab El Hadid (gare centrale)

22h30 : Al Osfour (le moineau)

22h30: Al Massir (Le destin)

Place Jamaâ el Fna 18h30 : Nuit “Alien”, en présence de Sigourney Weaver

Alien (Alien, le huitième passager)

Alien (Aliens le retour)

Alien: resurrection (Alien, la résurrection)

03F I F Mdimanche 16 novembre 2008

edito> Programme du jour



l'interviewFESTIVALINTERNATIONALDU FILM DEMARRAKECH

Q: INTERVIEW. Vous avez participé à plusieurs éditions du FIFM. Quelle appréciation faites-vous de son évolution? L'appréciation que je peux faire aujourd'hui est incontes-tablement la programmation, qui est la force vive du festival. A chaque édition le spectre des

cinématographies du monde est de plus en plus large.Il donne à voir, non pas le convenu mais plutôt les bruis-sements d'ici et d'ailleurs. Et j'aime avec force et conviction, l'idée qu'une telle porte ouver-te soit le pendant d'un festival

d'envergure au Maroc. Il ac-compagne quelque chose qui est en marche et insuffle un élan. Donc je salue.

A votre avis, quels sont les Q: différents points à améliorer dans le FIFM qui, quoi que l'on puisse dire, reste un évènement très jeune?

Je pense que le festival amorce une vitesse de croisière. Néan-moins, il n'est pas exempt, compte tenu de son jeune âge de quelques heurts. Ce n'est à mon sens, pas structurel, mais quelques réajustements au ni-veau de l'organisation seraient les bienvenus.

Quel est selon vous, l'apport Q: le plus important du FIFM aux cinéastes marocains?

Il a le mérite d'offrir une vi-trine à nos œuvres. Certains se plaignent que les relais soit faibles, mais en toute franchi-se, nous ne pourrons aspirer aux exigences internationales que lorsque nous cesserons de nous complaire dans l'assista-nat. Le chemin est certaine-ment long et fastidieux mais la preuve en est que, quelques uns de nos cinéastes ont fait de prestigieux festivals à travers le monde. Alors que nous man-que-t-il? grandir peut-être, mais cela ne se fera pas sans remise en question.

Quels sont les projets Q: sur lesquels vous travaillez actuellement ?

J'ai quelques chantiers en écriture, ainsi qu'un long-mé-trage qui me tient très à cœur et dont le montage financier est en cours: “L'amante du Rif” , puis un film triptyque que nous avons réalisé à trois avec Mohamed Mouftakir et Hicham Lasri, “Terminus des anges” dont la thématique est le Sida et le rapport de notre société face à une maladie qui porte le sceau de l'opprobre. Il s'agit d'un travail collectif qui tente de percer à jour nos intolérances et nos incompré-hensions. Voilà pour l'essentiel, sinon entre deux voyages, je m'en-ferme dans les salles obscures, ce que d'ailleurs je me réjouis de faire à Marrakech.

Imad Bentayeb ■

NARJISS NEJJAR

“Le FIFM a le mérite d'offrir une vitrine à nos œuvres”

Elle a arpenté le tapis rouge de Cannes et quelques unes de ses œuvres ont été sélectionnées et primées dans plusieurs festivals. Narjiss Nejjar, cinéaste

de talent, livre dans cette interview son de talent, livre dans cette interview son de talent, livre dans cette interview son appréciation de l’évolution du FIFM et dévoile appréciation de l’évolution du FIFM et dévoile une partie de ses prochains projets. une partie de ses prochains projets.

La réalisatrice marocaine, Narjiss Nejjar, samedi 15 novembre à ,marrakech. /C.H

BIO & FILMO

Née à Tanger, Narjiss Nejjar est plus qu’une réalisatrice, elle est auteur et productrice.

Après ses premières études à Ra-bat elle part en France pour des études de réalisation.

En 1994, Narjiss Nejjar réalise un premier documentaire: Exigence de la Dignité, avant de tourner Khaddouj en 1996. Elle enchaîne par la suite avec plusieurs moyens métrages. On citera Le septième ciel en 2001, Le Miroir du Fou en 2001 et La Parabole en 2002.

En 2003, Narjiss Nejjar réalise son premier long métrage: Les Yeux Secs. Une œuvre qui la fera connaître sur la scène nationale

et internationale. Sélectionné à la Quinzaine des Réalisateurs-Can-nes 2003, le film reçoit également le Grand Prix du Jury au 4ème Festi-val International du Film de Rabat.

Les yeux secs ( Cry no more ), rem-portera aussi le Prix de la Première œuvre, Prix d'Interprétation fé-minine (Fatima Harrandi) et Prix de costumes au Festival National du Film Marocain en 2003. Il sera sélectionné cette même année au FIFF de Namur et au 3ème Festival International du film de Marrakech. En 2006, Narjiss Nejjar réalise Wake up Morocco qui a été sélectionné en compétition offi-cielle de la 6ème édition du FIFM. “Badis” Lalla Hobbi L’ombre du chroniqueur Canal Plus Horizon .

Je pense que le festival amorce une vitesse de croisière. Néanmoins, il n'est pas exempt, compte

tenu de son jeune âge de quelques heurts. Ce n'est à mon sens, pas structurel, mais quelques

réajustements au niveau de l'organisation seraient les bienvenus.

LE COUP DE COEUR DE L'OFFICIEL Avec Siham Assif, Khalid Benchegra, Raouia...Genre : DrameDurée : 2h. Année de production : 2003Titre original : Al ouyoune al jaffaDistribué par : Pierre Grise Distribution

SynopsisUne terre berbère enser-rée par un étau de monta-gnes... Un village de fem-mes qui offrent leur corps, où seuls les hommes qui paient peuvent entrer. Un village que les vieilles ont déserté pour aller se réfu-gier derrière l'imposante barrière de neige.Hala est la chef rebelle et revêche de cette commu-nauté. Elle impose sa loi et dicte les règles. Sa mère, raflée il y a 25 ans et oubliée dans une prison, revient accompagnée d'un homme, un jeune chauf-feur de bus, orphelin et amuseur du dimanche. Tout s'ébranle alors, comme une lente agonie avant l'appel

L'affiche du film "Les yeux secs". , /DR

FILM. "Wake up Morocco" est le dernier film de Narjis Nejjar. Le film raconte l’histoire d'un vieux footballeur (feu Hassan Skali) vivant sur un îlot au large de Casablanca et qui partage ses jours avec sa pe-tite-fille et rêve de cette finale qu'il aurait pu gagner s'il n'avait pas passé la nuit avec une femme. Devenue vieille et habitant le même îlot, cette dernière continue de rêver de lui. Pour rappel "Wake up Morocco" était en lice pour l'un des prix de la 6ème édition du Festi-val international du film de Marrakech.

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/DR


zoomFESTIVALINTERNATIONALDU FILM DEMARRAKECH

LE PREMIER PRODUCTEUR

Le premier produc-teur, Charles Pathé (1863–1957), fils de

charcutier, a commencé en exploitant un kinétoscope de contrefaçon pour lequel il n’avait aucune licence. Il ème fonde en 1896 la firme Pathé Frères. Dans ces pre-miers temps du cinéma, le métier de producteur ne faisait qu’un avec celui de fabricant, distributeur et exploitant. Il est aussi l'in-venteur du premier maga-zine d'actualités cinémato-graphiques.

Profession, Producteur de cinéma

Pas de film sans producteur ! Plus qu’un simple gestionnaire, le producteur est également impliqué dans toutes les phases logistiques et artistiques de la chaîne de

fabrication d’un film. Petit rappel sur ce métier indispensable.

Art Linson, ce producteur prolifique connaît les rouages ,de l'industrie cinématographique hollywoodienne comme personne, pour les avoir vécues, subies, et peut être même orchestrés. /DR

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PRODUCTION. La produc-tion enveloppe toutes les phases de la fabrication d'une œuvre cinémato-graphique, depuis l'ins-tant où le projet est es-quissé jusqu'au moment où commence sa distri-bution. Si le producteur n'a pas toujours l'initiative du film, il lui appartient du moins d'en faire un projet réalisable. Il pré-voit et assure d'abord le financement et devient moralement et juridi-quement responsable de sa mise en œuvre et de

son achèvement. Il sou-tient le développement du scénario, qu'il a choisi ou commandité et qui re-quiert son approbation avant que la réalisation ne commence. Puis il contrôle, inspire ou arrê-te le choix des comédiens et des collaborateurs ar-tistiques et techniques : décorateur, costumier, directeur de la photo. Son autorité s'applique également au choix des lieux de tournage en ex-térieur. Le producteur finance ou coordonne les financements du film et contrôle les dépenses par rapport au budget. Le producteur ne met nor-malement pas de fonds propres: il gère l'argent de tierces personnes. Par contre, il, ou sa société, est le responsable en cas de pertes financiè-

res, devant les banques et autres organismes lui ayant prêté l'argent de-mandé.

Producteur exécutif et délégué Le mot producteur désigne des fonctions très diffé-rentes selon les pays mais aussi selon la catégorie de producteur. Un produc-teur travaille rarement seul, sauf sur des produc-tions modestes en termes de budget. Schématique-ment, on peut opposer le producteur américain au producteur européen. Le premier travaille pour un studio (ou major de cinéma), c’est-à-dire une grande entreprise de pro-duction s'appuyant sur les banques et autres or-ganismes financiers. Le second travaille pour une petite structure et compte bien souvent sur les aides

d'organismes divers. Le producteur exécutif est engagé dans le cadre d’un film particulier. Il est chargé de constituer l’équipe et d’engager les assistants, il est un sala-rié du studio, il ne met pas de fonds propres dans le projet. Il est le lien entre le studio et le film.Le producteur délégué est le responsable juridique et financier du film, notam-ment vis-à-vis des autres

investisseurs, il reçoit l’argent, le redistribue et s’engage à finir les films et à suivre leur carrière. Il peut intervenir sur l’esprit du projet et son aspect ar-tistique, sur le scénario et le casting par exemple. Le producteur associé quant à lui intervient en fin de tournage, lorsque des fonds sont nécessaires pour finir le film et que tout a été dépensé.

M.D ■

SARIM FASSI-FIH

Président de la chambre des producteurs marocains, Sarim Fassi-Fihri est l’un des producteurs exécutifs les plus importants du royaume. Il est également président

de l’Association des métiers de la production audiovisuelle et du cinéma, administrateur de la Fondation du FIFM, ad-ministrateur du CCM et propriétaire des studios Cinedina à Casablanca. Producteur exécutif de Astérix et Obélix : mis-sion Cléopâtre d’Alain Chabat (2000), Iznogoud de Batrick Braoudé (2005) et OSS 117, Le Caire Nid d’Espions de Michel Hazanavicius (2006) il est le producteur pour le long-métra-ge Les Anges de Satan d’Ahmed Boulane.


compet'FESTIVALINTERNATIONALDU FILM DEMARRAKECH

A CHAUD

BIO & FILMO

BIO & FILMO

Réactions à la sortie du film Zero Bridge , du réalisateur Tariq Tapa.

Réactions à chaud à la sortie du film Empty Nest du réalisateur Daniel Burman.

FORMATION. Les élèves de l'Ecole Supérieure des Arts Visuels de Marrakech (ESAV) bénéficieront pendant la durée du festival de master-class qui seront animés par des réalisateurs prestigieux. Ces artistes, dont le Britanique Hugh Hudson et l'Espagnol Agusti Villaronga, livreront à cette occasion aux élèves leurs visions sur le cinéma. Au programme figure également une rencontre qui sera modérée jeudi prochain par Mohamed Bakrim (dans le cadre de l'hommage rendu à Youssef Chahine).

FILMS. Empty Nest relate l'his-toire d'un couple d'âge mûr qui se retrouve seul pour la pre-mière fois depuis des années après que leur dernier enfant ait décidé de quitter le foyer familial. Pendant que le mari se plonge dans la solitude et se projette dans un monde imaginaire, son épouse se lance frénéti-quement dans une multitude d'activités et reprend ses étu-des de sociologie qu'elle avait interrompues pour des raisons domestiques.

“ Empty Nest , c’est le genre d’histoire où les personnages

dégagent des sentiments profonds. J’ai été interpelée par la sensibilité et l’humanité des

acteurs.” Bouchra Ijörk, réalisatrice

La réalisatrice Bouchra Ijork à la sortie de la salle commente, “C’était vraiment très bien filmé, et la musique, du jazz,

était excellente. D’ailleurs je voudrais insister sur la bande sonore du film.

"Le réalisateur a très bien su installer une atmosphère

calme au milieu d’ambiances bruyantes, où s’entremêlent

conversations et bruits de table.”

Bouchra Ijörk

Zero Bridge , quant à lui, ra-conte l’histoire de Dilawar, un jeune garçon effronté qui vit au côté d’un oncle très strict en lisière de la ville de Srinagar, dans la région du Kashmir en Inde. Sa situation actuelle ne lui convient pas et il voudrait quitter son oncle pour rejoin-dre en secret sa mère adop-tive à Delhi. Afin d’arriver à ses fins, il cherche à obtenir de l’argent supplémentaire en volant dans les marchés de la ville.

aufait ■

COMPÉTITION

Projection de “Empty Nest” et “Zero Bridge”

Parmi les 15 films en compétition, déjà deux films ont été projetés hier à Marrakech. Empty Nest du réalisateur argentin Daniel Burman et Zero Bridge

du réalisateur américain Tariq Tapa.

Une scène de Zero Bridge. , /DR

Une scène de Empty Nest. , /DR

Tarik Taba est né à New York. Il est diplômé en lettre anglaise de l'université Rice à Houston

au texas. En 2004, il rejoins le pro-gramme du California Institute of

the Arts, dans lequel il réalise quel-ques courts métrages, dont Custo-dy en 2005, qui recevra différents prix. En 2006 il reçoit une bourse du US Fullbright Scholarship au

Kashmir, en Inde où il passe sa thè-se. C'est d'ailleurs à cet endroit ou il réalise Zero Bridge .

Né à Buenos Aires en 1973, Da-niel Burman est l'un des ci-néastes les plus prometteurs

de la Nouvelle vague argentine contemporaine. Après avoir suivi une formation de producteur et de juriste, Burman tourne en 1995 un court-métrage, Ninos envueltos. Deux ans après, il signe son pre-

mier long métrage Un Crisantemo estalla en cincoesquinas , qui exa-mine la thématique de la vengean-ce au festival de Berlin. En 2000, il tourne En attendant le Messie . Après la comédie Toutes les hôtes-ses de l'air vont au paradis (2002), Burman signe Le Fils d'Elias , cette comédie imprégnée de mélancolie

remporte le Grand Prix du Jury à Berlin et vaut à son acteur , Daniel Hendler, le Prix d'interprétation masculine. En 2006, Burman pour-suit son étude des rapports filiaux avec Les Lois de la famille , égale-ment présenté à la Berlinale. Les enfants sont partis est sa dernière réalisation (2008).

“J’ai trouvé que le film était un peu bavard au début, mais j’ai compris après que cela servait l’histoire! Le personnage du père est vraiment très intéressant, cet homme qui approche la soixantaine et tente de s’évader de son quo-tidien qui l’étouffe…” Aymeric, 25 ans.

“On empêche les garçons de vivre, on empêche les filles de vivre, c’est très triste, ils ne peuvent pas se rencontrer. Tariq Tapa nous montre une société très dure, où il n’y a pas d’espoir. En somme, la situation ter-rible de ces jeunes gens au Cachemire est celle de beaucoup de per-sonnes partout dans le monde”. Fadela, 55 ans

“Malgré les difficultés que rencontre les per-sonnages, ce qui reste magnifique c’est l’amitié qui les lie” Vincent, 28 ans.

“Un beau film avec un super rebondissement à la fin, j’adore! Même s’il y a des longueurs, il y a quand même un bon jeu d’acteurs ” Tariq 30 ans.


pleins feux

SURHOMMES. L’histoire nous enseigne que l'humanité a tou-jours eu besoin de sauveurs, de surhommes et de demi-dieux. Au cinéma, les premiers sau-veurs du monde étaient des héros courageux et doués, mais

sans aucun pouvoir surhu-main (Tarzan, Zorro…). La notion du surhomme

ou du super héros a été introduite au cinéma

grâce aux “comics”, ces bandes dessi-nées américaines au succès fulgurant

créées lors d’une grande période

d'instabilité au États-Unis en-tre la Grande

Dépression de 1929 et

la deuxiè-m e

guerre mon-

dia-le.

Ces super-héros ont été

inventés pour répondre à l'inquiétude populaire en protégeant l'Amérique grâce à leurs pouvoirs su-

rhumains.Depuis quelques années, Hol-lywood semble avoir trouvé un inépuisable filon : les “comics”. Plus un été ne se passe sans qu’un blockbuster bodybuildé en collant ne vienne remplir les salles. Grâce aux succès de X-men en 2000 et de Spi-der-Man en 2002, c’est une horde de nouveaux super-héros qui déboule en quête d’une place en haut de l’affiche.Malgré certaines critiques qui avaient déjà provoqué une sé-paration entre les salles obs-cures et nos chers super-héros dans les années 90 (on se sou-vient de la lente dégringolade des Superman dont le premier opus avait pourtant atteint des sommets), la tendance aujourd’hui ne semble en re-vanche pas s’essouffler, au re-gard des projets à venir.

Du papier au grand-écran C'est en 1941, à peine trois ans après sa naissance dans les premières bandes dessinées, que Superman apparaît pour la première fois au cinéma dans une série de 17 dessins animés en Technicolor des studios Fleischer projetés en première partie des longs mé-trages pour le compte de Para-mount.Dès 1941, à peine trois ans après les premières appari-tions de Superman en bande dessiné, les frères Fleischer, créateurs de Betty Boop (1929) et adaptateurs de Popeye en dessins animés (1933), jettent leur dévolu sur ce super-héros en adaptant le personnage de

Siegel et Shuster. Ils pro-duiront, ainsi 17 dessins animés en Technicolor projetés en première par-

tie des longs métrages pour le compte de Paramount. L'effet de mode se confirmera ainsi pendant plus de 30 ans, en particulier à la télévision avec des séries comme Bat-man, Wonder woman, Cap-tain America, Spider-Man ou

Hulk . Batman est le premier

à connaître la gloire et l’im-mense privilège de se voir sur grand écran dans un “Movie Serial” de 15 épisodes (sorte de série télévisée pour le cinéma) entre 1943 et 1949.Pourtant c’est Superman de Richard Donner (sorti en 1978) qui est véritablement considé-

ré comme le premier long-mé-trage de super-héros. Ce film, marque le premier vrai succès d’un super-héros au box-office mondial : 300 millions de dol-lars de recette pour un budget de 55 millions. Néanmoins, les producteurs de cinéma restent frileux et préfèrent passer le

relais à la télé-vision. En 1989, le réalisateur Tim Burton, remet les super-hé-ros au goût du jour sur grand écran. Avec ses deux films Bat-

man et Batman, le Défi , il relance la machine avec une vision sombre et fantasque du per-sonnage incarné

par Michael Keaton. Ses “mé-chants” resteront mythiques, du Joker (Jack Nicholson) à Catwoman (Michelle Pfeiffer) en passant par le Pingouin (Danny de Vito).En 2001, Brian Singer prend le relais, après une baisse de régime notable dans le cinéma

L’épopée “grand-écran” des Super HérosSuper Héros

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La notion du surhomme ou du super héros a été introduite au cinéma grâce aux “comics”, ces bandes dessinées américaines au succès

fulgurant créées lors d’une grande période d'instabilité au États-Unis entre la Grande Dépression et la deuxième guerre mondiale. Ces super-héros font aujourd’hui la pluie et le beau temps de l’industrie cinématographique mondiale.

Ces super-héros ont été inventés pour répondre à l'inquiétude populaire en protégeant

l'Amérique grâce à leurs pouvoirs surhumains.


SORTIE. Watchmen (les guardiens), sortira le 6 mars 2009. Cette adapta-tion du comic de Alan Moore et Dave Gibbons est réalisé par Zake Snider. Le film qui met en scène entre autre Patrick Wilson, Malin Akerman et Jeffrey Dean Morgan, raconte une aventure complexe et mystérieuse. Les gardiens, se passe dans une Amérique alternative de 1985 où les super-héros masqués font partie de la vie quotidienne et où l'Horloge de l'Apocalypse - symbole de la tension entre les Etats-Unis et l'Union Soviétique - indique en permanence minuit moins cinq...

pleins feux

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des super-héros. Avec le film X-men , Brian Singer livre une approche plus adulte et abou-tie du sujet. Devant le succès critique et financier du film (près de 300 millions de dol-lars dans le monde), c’est alors une course contre la montre qui s’engage pour tous les stu-dios américains. Ils n’ont plus qu’un seul mot d’ordre : il faut redonner du “super-héros” au public! Tous les vieux dossiers sont ressortis. Mais cette fois-ci, la leçon est retenue : s’éloigner au maximum de la version infanti l isante de Batman et Robin et suivre la voie proposée par Singer, une subtile alter-nance de scènes d’actions im-pressionnantes à grand renfort d’effets spéciaux et de moments d’émotion qui développent soi-gneusement la personnalité des différents personnages.Spider-Man est le suivant en 2002 avec Sam Raimi aux commandes, lequel applique la recette à la lettre. Pour le rôle principal, il va jusqu’à prendre un acteur (Toby Maguire) doué mais inconnu du grand public et très éloigné du monde des films d’actions. Il sait jouer la comédie et apporte une réelle consistance au personnage de Peter Parker. Le film est un succès mondial impression-

nant (821 millions de dollars de recettes), les critiques et le public ovationnent.

La déferlante des super héros L’excitation chez les produc-teurs est à son comble. Si bien qu’entre 2003 et 2006, pas moins de 13 adaptations de “comics” vont voir le jour sur grand écran, parmi lesquels : Daredevil , X-men 2 et Hulk . C’est X-men 2 de Brian Singer qui s’en sort le mieux avec 400 millions de dollars de recette. Suivront par la suite, The Punisher , Catwoman , Spider-

Man 2 et Hel-lboy . Mis à part The Punisher et l’intéres-sant Hellboy de Guillermo Del Toro qui n’étaient pas destinés à une grande distri-bution, Catwo-man , repart avec l’une des plus grandes

gifles financières et artistiques de ces dernières années: il est le seul film à ne pas réaliser de bénéfice depuis le début de la fièvre des super-héros, avec 82 millions de dollars de recette contre 85 investis. Quant à Spider-Man 2 dans lequel le Dr Octopus est intro-duit, il rafle une nouvelle fois la mise en se plaçant juste en dessous de son prédécesseur avec 750 millions de dollars de recettes.L’année 2005 sera une année

chargée avec quatre adapta-tions qui avaient toutes leurs cibles prédéfies. Elektra, Les 4 Fantastiques , Sin City , et Batman Begins .En 2006 seuls deux films de super-héros voient le jour: X-Men : L’affrontement final et Superman Returns , deux gros-ses productions qui ont généré respectivement 440 et 350 mil-lions de dollars. Des résultats finalement moins juteux que précédemment, mais qui ne semblent en rien compromet-tre l’élan des projets qui res-taient à venir.En effet, la sortie de Spider-Man3 en est la preuve évidente.

Sorti dans 108 pays, dès la première semaine, le film avait déjà engrangé 382 millions de dollars de recettes. Il s’agit du plus gros démarrage de l’his-toire. Pourtant l’homme araignée s’est vu vite ravir la vedette avec le phéno-ménal come-back de l’homme chauve-souris. Un mois après sa sortie aux Etats-Unis, le 18 juillet 2008, le deuxième volet de Batman de Christopher No-lan entre dans la légende. L’effet enclenché par les der-niers Spider Man et Batman a été de nature à éclipser d’autres superproductions tels

Iron Man ou encore le deuxième volet de

Hulk .Mais ce n’est que partie remi-se, le cinéma des super-héros a encore un bien bel avenir de-vant lui!

“The Dark Knight, Le Chevalier Noir” s’est installé en un mois

au deuxième rang des meilleures recettes aux

Etats-Unis de toute l’histoire du cinéma. Le dernier Batman

a généré plus de 471 million de dollars en seulement 18 jours.

Imad Bentayeb ■

BATMAN-CITY. Le réalisateur anglais Christopher Nolan est poursuivi en justice par la ville de Batman en Turquie (sud-est du pays). “Les royalties du nom “Batman” nous appartiennent... Il n'existe qu'un seul Batman dans le monde. Les producteurs américains ont utilisé le nom de notre ville sans nous en informer” a déclaré Hüseyin Kalkan à l'agence Dogan news agency. C’est en tant que réalisateur des deux volets des aventures Batman: Batman Begins et The dark Knight, tous deux grands succès pla-nétaires, que Christopher Nolan est poursuivi.


hommage

INTERVIEW.

C’est votre première fois au Q: le Festival International du Film de Marrakech. Vos premières impressions ?

Tout ce que je peux dire c'est que ce Festival est tout sim-plement extraordinaire. Il est, je crois le plus “sincère” de tous ceux auxquels j’ai assisté. Car, c’est un festival pour le cinéma et non pas pour le commerce. Sinon, j’ai été éblouie par la prestation du conteur qui était sur scène lors de la cérémonie d’ouverture. Et puis sincère-ment je regrette le fait que je ne connaisse pas le cinéma marocain mais je vais rapide-ment m’y mettre. Le Festival de Marrakech est un Festival

unique et je crois que le sup-port du Prince Moulay Rachid est très important. J’ai eu le plaisir de le rencontrer et suis fascinée par sa large culture cinématographique.

Sigourney Weaver. Pouvez-vous Q: nous donner une idée de votre prochain fi lm Avatar qui sort en 2009 ?

C’est un film fantastique, très ambitieux et romantique. Mon rôle dans Avatar est celui d’une botaniste qui sera le mentor du personnage incarné par Wor-thington. Ce dernier avec qui j’ai des aventures parallèles.

Sinon je ne suis pas autorisée à en dire plus (rires).

Vous avez joué le rôle principal Q: dans Gorilles dans la brûme sorti en 1989. Ce fi lm, comme Avatar avait aussi une portée écologique. Etes-vous une engagée écolo dans la vraie vie ?

Je fais partie de la fondation “Natural resources defense council” qui est la plus grande organisation pour la défense de la nature aux Etats-Unis. Aujourd’hui, nous souffrons des séquelles de l’administra-tion Bush qui a changé énor-mément de règles en matière de pollution de l’air et de l’eau. Mais nous avons un grand es-poir, voire même la certitude, qu’avec le nouveau Président Barack Obama nous allons pouvoir réinstaurer l’ensem-ble des procédures anti-pol-

lution, surtout dans la ville de New York. Par ailleurs, je suis convaincue du fait que le président Obama est un hom-me d’engagement. Notre pays souffre de problèmes en matiè-re de santé publique et d’édu-cation mais aussi nous devons nous engager pour trouver d’autres alternatives pour les ressources d’énergie. Et sur ce point, je reste globalement très optimiste.

Vous avez changé de prénom Q: quand vous étiez enfant. Et ce prénom : Sigourney est celui sous lequel vous êtes le plus connue. Pouvez-vous nous raconter comment cela s’est produit?

(rires) C’est fou! J’avais onze ans quand l’idée de changer mon vrai prénom qui était Su-san m’est venue. J’ai changé de prénom parce que je trouvais

que mon prénom était trop court, surtout si on le diminue par exemple en Sue ! J’ai donc emprunté mon prénom d’un personnage du roman Gats-by le magnifique de F. Scott Fitzgerald, roman situé dans ces années folles où les dames commencent à porter des pan-talons et des coupes de garçon-ne à la Louise Brooks.

Aujourd’hui vous permettriez à Q: votre fi lle de changer son prénom ? Je crois qu’elle porte un pré-nom qu’elle aime.

Elle n’est pas tentée, votre fi lle, Q: de poursuivre la même carrière que vous ?

Absolument pas. Elle a 18 ans maintenant et elle poursuit des études en philosophie.

Propos recueillis par Marion Despouys et ■Imad Bentayeb

SIGOURNEY WEAVER

“ Le Festival de Marrakech est un festival sincère ! ”

Elle est de ces femmes qui ne peuvent lle est de ces femmes qui ne peuvent laisser personne indifférent. Sigourney laisser personne indifférent. Sigourney Weaver donne d’emblée cette Weaver donne d’emblée cette conviction qu’on n’a pas en face de conviction qu’on n’a pas en face de soi qu’une star du cinéma mondial. soi qu’une star du cinéma mondial.

Sa spontanéité, sa culture et son engament Sa spontanéité, sa culture et son engament pour la sauvegarde de la planète font d’elle pour la sauvegarde de la planète font d’elle une grande exception dans le monde du show-une grande exception dans le monde du show-business.

“Le Festival de Marrakech est un Festival unique et je crois que le support du Prince Moulay

Rachid est très important. J’ai eu le plaisir de le rencontrer et suis fascinée par sa large culture

cinématographique.”

REALISATEURS. La saga de science-fiction Alien est composée de quatre volets tous interprétés par Sigourney Weaver mais réalisés par des ci-néastes différents : Ridley Scott pour Alien, le huitième passager (1979), James Cameron pour Aliens le retour (1986), David Fincher pour Alien 3 (1992) et Jean-Pierre Jeunet pour Alien, la résurrection (1997).


Sigourney Weaver, samedi 15 novembre à Marrakec. , /PHOTO I.B.T


hommage

PARCOURS . Actrice mais aussi coproductrice Sigourney Wea-ver est née à New York le 8 octobre 1949. Elle est la fille d'un dirigeant de la chaîne de télévision NBC et d'une ac-trice britannique. C'est tout naturellement qu'elle intègre la “Yale School of Drama” de New York à la fin de ses étu-des secondaires.

Un début aux côtés des grands Elle débute sa carrière par des rôles à la télévision et au théâtre. En 1977, elle inter-prète son premier rôle pour le cinéma sous la direction de Woody Allen, dans la comédie A nnie Hall .En 1979 Ridley Scott fait d’el-le Ellen Ripley dans Alien, le huitième passager , premier personnage féminin ayant le rôle principal d’un film de science-fiction et d’action. Le film explose le box-office et, avec une nomination à l’oscar de la meilleur actrice, propulse une Sigourney Weaver, seule actrice à Hollywood à porter un film d'action sur ses épau-les, au rang de star.

Le succès du film est tel qu'en 1986 une suite, Aliens le re-tour , est tournée par James Cameron, puis un troisième volet, Alien: la résurrection, est réalisé en 1997 par Jean-Pierre Jeunet. Depuis cet été, le bruit court dans la presse que Ridley Scott pourrait re-passer derrière la caméra pour filmer un quatrième épisode de la série des “Alien” !Dans les années 80, Sigour-ney Weaver multiplie les rô-les dans des films aux genres les plus différents les uns des autres. Elle est Jill Bryant dans le drame de guerre L'an-née de tous les dangers (1982), Dana Barrett dans la comédie SOS Fantômes (1984 et 1989), la scientifique déterminée Dian Fossey de Gorilles dans la brume (1988).

La femme battanteSa filmographie des années 90 est caractérisée par ses rôles de femme en quête de vengeance dans La jeune fille et la mort (1994) de Roman Polanski, de psychiatre paranoïaque dans Copy Cat (1996), ou encore de sorcière dans Blanche-Neige, le plus horrible des contes (1997).Au début des années 2000, elle se tourne vers la comé-die : Qualaxy Quest , Company man, Beautés empoisonnées, Séduction en mode mineur et La morsure du lézard .En 2003, elle revient au genre qui a fait son succès, le fantas-tique, en intégrant Le village, film fantastique de M. Night Shyamalan.L'année dernière, cette grande dame était à l'affiche de Snow Cake dans une très belle et subtile interprétation d'une femme autiste. Dans un tout autre registre, elle a prêté sa

voix à l'horrible belle-mère dans le film d'animation Cen-drillon et le prince (pas trop) charmant .Cette année, nous avons pu voir la star dans différents longs métrages. Elle est la journaliste d' Angles d'attaque de Pete Travis.A noter également sa partici-pation dans le dernier film de Michel Gondry Soyez sympas, rembobinez .Du personnage de femme bat-

tante qui semble marquer sa carrière, elle avoue que cette image est très éloignée d'elle même:

“Pour moi, Ripley (son personnage de la série Alien, ndlr), représente tout ce que

je ne suis pas. Elle n'a peur de presque rien.”

Sigourney Weaver sur le site even.fr

La rédaction ■

SIGOURNEY WEAVER

Une grande dame du cinéma

Sigourney Weaver est une habituée des cérémonies et autres tapis rouges : trois nominations aux Oscars, membre du jury du Festival de Cannes en 1998, elle a également reçu deux

golden globes en 1989 pour "Gorilles dans la golden globes en 1989 pour "Gorilles dans la golden globes en 1989 pour "Gorilles dans la brume" et "Working Girl". brume" et "Working Girl".

L’actrice américaine, Sigourney Weaver, lors de la cérémonie d'ouverture ,du FIFM, vendredi 15 novembre. /C.H

L'année dernière, cette grande dame était à l'affiche de Snow Cake dans une très belle et

subtile interprétation d'une femme autiste. Cette année, nous avons pu voir la star dans différents longs métrages. Elle est la journaliste d' Angles

d'attaque de Pete Travis.


Aliens le retour James Cameron 1986 ●2179, après avoir dérivée durant toutes ces années, le lieutenant Ellen Ripley (Si-gourney Weaver) est enfin rapatriée à la station spatiale. Elle raconte sa lutte contre une entité extra-terrestre mais personne ne croit son récit car la planète d'où provient cette créature a été colonisée et les gens y vivent en toute.

Alien, le huitième passagerRidley Scott (1979) ●En 2122, le Nostromo, un vaisseau spacial transpor-tant sept personnes reçoit un étrange message venant d'une planète inconnue. L'équipage décide d'explorer cette mys-térieuse planète. Là, une créa-ture extra-terrestre agresse un membre de l'équipage qui est ramené à bord du vaisseau inanimé.

Alien, la résurrectionJean- Pierre Jeunet (1997) ●Deux cents ans après la mort du lieutenant Ellen Ripley, une équipe de généticiens la clo-nent dans le but de récupé-rer l'alien qui est en elle car il s'agit d'une reine. Désireux d'étudier cette espèce les scientifiques cherchent des "cobayes humains" pour hé-berger des embryons aliens.

LES FILMS À L'HOMMAGE »

PROJECTIONS. Ce soir, à partir de 18h30 c'est la nuit des "Alien", place Jamaâ El Fna! Trois des plus grands succès de Sigourney Weaver vont être projetés sur grand écran en plein air et en version française. Frissons garantis avec "Alien, le huitième passager", "Aliens le retour" et "Alien, la résurrection". La belle et grande interprète de la vaillante Ellen Ripley sera présente pour présenter et regarder avec les marrakchis cette série incontournable de sa filmographie, et du cinéma en général.


peopleFESTIVALINTERNATIONALDU FILM DEMARRAKECH

Asaad Bouab, le beau ,gosse qui monte. /C.H

Barry Levinson se protège du soleil Marrakchi. , /C.HFaical Laraichi (g), toujours à l'écoute. , /C.H

L'Officiel du Festival fait des émules. , /C.H

La membre du jury ,Mariama Barry. /C.H

L'insatiable artiste Mohamed Afifi ,sourit à cet instant de répit. /C.H

Sortie du jury, hier midi, ,après une projection. /C.H

Noureddine Lakhmari, Bouchra ,Ijoerk et Faouzi Bensaidi : trois artistes qui on le vent en poupe. /C.H

Joaquim de Almeida et Barry Levinson attablés dans ,le jardin du somptueux ryad Crystal. /C.H

Asmaa Khamlichi, ,toujours somptueuse. /C.H

Caterina Murino ou le charme ,italien dans sa splendeur. /C.H

Sigourney Weaver, ,majestueuse dans son caftan noir et or. /C.H

ENTRACTE. Lors du festival on ne se limite pas juste à regarder les films. En dehors des salles obscures, les personnalités se permettent des moments de détente. Reportage photo.


à venirLes 10 blockbusters les plus attendus en 2009

CHE: L'ARGENTIN » (1ÈRE PARTIE), CHE: GUERILLA (2ÈME PARTIE)

THE TAKING OF PELHAM ONE »TWO THREE

L'ÂGE DE GLACE 3 »

TERMINATOR SALVATION » PRINCE OF PERSIA: THE »SANDS OF TIME

PUBLIC ENEMIES »

VALKYRIE »

DUPLICITY »

THE WOLFMAN »

AVATAR »

Date de sortie : Janvier 2009Réalisateur : Steven SoderberghAvec : Benicio Del Toro, Demian Bichir, Santiago Cabrera

Date de sortie : 26 Août 2009Réalisateur : par Tony ScottAvec: Denzel Washington, John Travolta, Luis Guzman

Date de sortie : 26 Août 2009Réalisateur : Tony ScottAvec: Denzel Washington, John Travolta, Luis Guzman

Date de sortie : 03 Juin 2009Réalisateur : McGAvec :Christian Bale, Sam Worthington, Bryce Dallas Howard

Date de sortie : 17 Juin 2009Réalisateur : Mike NewellAvec: Jake Gyllenhaal, Gemma Arterton, Alfred Molina

Date de sortie : 24 Juin 2009Réalisateur: Michael MannAvec: Johnny Depp, Christian Bale, Marion Cotillard

Date de sortie : 25 Février 2009 Réalisateur : Bryan SingerAvec: Tom Cruise, Carice Van Houten, Bill Nighy

Date de sortie : 25 Mars 2009Réalisateur : Tony GilroyAvec : Julia Roberts, Clive Owen, Billy Bob Thornton

Date de sortie : 08 Avril 2009Réalisateur : Joe JohnstonAvec: Benicio Del Toro, Anthony Hopkins, Emily Blunt

Date de sortie : 16 Décembre 2009Réalisateur : James CameronAvec: Sam Worthington, Zoe Saldana, Sigourney Weaver


Un engagement permanentpour la promotion du 7ème art

Saviez-vous que "blockbuster" signifie "exploser le quartier"? Autrement dit, "casser la baraque", ou encore "frapper un grand coup". En bref, réaliser un film à succès, mais plus précisément, à gros budget. Voici un panorama des pellicules qui occuperont les écrans durant l'année 2009.


ADAPTATION. Jack Black est engagé par 20th Century Fox pour interpréter le rôle princi-pal de l'adaptation du roman satirique de Jonathan Swift, Les Voyages de Gulliver, ré-vèle le quotidien professionnel Variety. Le long métrage sera réalisé par Rob Letterman à partir du scénario écrit par Joe Stillman (Shrek) et Nicho-las Stoller (réalisateur de Sans Sarah, rien ne va !).Les Voyages de Gulliver, le cé-lèbre roman de Jonathan Swift paru en 1721, suivent Lemuel Gulliver, un grand voyageur racontant ses péripéties au lecteur. Son voyage le plus cé-lèbre est celui qui l'emmènera à la rencontre des Lilliputiens, des petits hommes évolués mais extrêmement belliqueux. L'île de Lilliput est en réalité une satire cinglante de l'Angle-terre de l'époque de l'auteur.Le tournage des Voyages de Gulliver doit débuter en mars prochain. Le roman de Jona-than Swift a déjà fait l'objet de nombreuses adaptations ciné-matographiques et télévisées. La première pour le grand écran, réalisée par Georges Méliès a été projetée en 1902.

Dernièrement, la télévision a profité d'un téléfilm en quatre parties adapté du roman, dif-fusé en 1996.Jack Black est actuellement au cinéma dans Tonnerre sous les Tropiques de et avec Ben Stiller.


à chaud

SURRÉALISTE . Antonio Bande-ras est bien placé pour prêter ses traits au peintre surréalis-te Salvador Dali dans un long métrage biographique, rappor-te le quotidien hollywoodien Variety. L'acteur et réalisa-teur espagnol révélé par Pedro Almodovar est en négociations avancées pour tourner dans cette production que dirigera le Britannique Simon West (Lara Croft : Tomb Raider).Intitulé Dali, le long métrage s'intéressera à l'arrivée en Amérique de Salvador Dali et à sa relation avec sa muse Gala. Le film comportera aussi des séquences musicales ainsi que des ajouts en images de synthèse afin de retranscrire l'univers surréaliste du pein-tre espagnol.

Antonio Banderas devrait com-mencer le tournage du film au premier semestre prochain en-tre l'Espagne et l'Angleterre.Dali de Simon West concur-rence deux autres projets cinématographiques sur le peintre. Andrew Niccol (Lord of War) travaille sur Dali & I : the Surreal Story où Al Pacino interprétera un Salvador Dali vieillissant.L'exubérant artiste sera aussi à l'honneur dans Little Ashes de Paul Morrison: la sortie de ce film sur les jeunes années de Dali, avec Robert Pattinson (Twilight) dans le rôle princi-pal, est prévue l'an prochain.

La rédaction ■

Antonio Banderas dans la peau de Dali

Antonio Banderas pourrait incarner Dali sur grand écran. , /DR

Jack Black interprètera ,Gulliver dans l'adaptation cinématographique du célèbre roman de Jonathan Swift. /DR

Jack Black sera“Gulliver” au cinéma

ZOOM

Salvador DaliArtiste-peintre surréaliste, sculp-teur et scénariste espagnol cata-lan, (1904-1989), Salvador Dali aura toute sa vie défrayé la chro-nique par ses positions provoca-trices et sa production artistique extravagante. Cet iconoclaste va mener une brillante carrière ar-tistique, marquant profondément le XXème siècle par sa griffe cin-glante, originale et débordante de folie.

Salvador Dali ou l'extravagance ,comme règle de vie./ DR

TOURNAGE. La romancière et dramaturge française Yasmi-na Reza débutera le tournage de son premier long métrage à partir de février prochain, rap-porte le quotidien profession-nel Variety.Pour son premier film de fic-tion, Yasmina Reza a choisi d'adapter librement son œuvre Une pièce espagnole. Jouée à partir de janvier 2004, elle suivait cinq comédiens qui ré-pétaient une comédie sur une réunion de famille. Le projet ne reprendrait que la pièce au cœur de cette intrigue, selon Variety.Les acteurs Carmen Maura (Volver), Bouli Lanners (Eldo-rado) et Emmanuelle Seigner (Le Scaphandre et le Papillon) ont donné leur accord pour te-nir les rôles principaux du film. Il s'intéressera à une veuve es-pagnole qui décide de présen-ter son nouveau compagnon à ses filles actrices élevées en France.Carmen Maura incarnera la matriarche tandis qu'Emma-nuelle Seigner campera une de ses filles, Nuria. Le Belge Bou-li Lanners prêtera ses traits à l'un des maris des deux filles.

SBS Films produira le long métrage pour UGC.Lauréate de deux “Molière” pour Conversations après un enterrement et Art, Yasmina Reza a développé une œuvre hétéroclite. Elle a fait sensa-tion l'an dernier après avoir suivi Nicolas Sarkozy dans sa campagne électorale, avec la publication de son livre-en-quête “autoportrait déguisé” du président français intitulé

L'Aube le soir ou la nuit.Elle est également l'auteur de Art, une des pièces les plus jouées dans le monde dans les années 1990. Sean Connery avait tenter à l'époque d'en ac-quérir les droits pour un film avec Michael Caine, mais Yas-mina Reza refusa, craignant qu'avec le succès potentiel du film, la pièce finisse par “ne plus exister”.

La rédaction ■

Yasmina Reza prépare son premier long métrage

Yasmina Reza se lance dans la réalisation. , /DR

La rédaction ■


NO-COMMENT. EuroNews, la chaîne d'information Européenne, a diffusé, au cours de ce week-end, 20 “No Comment” des extraits d'images du festival diffusées sans commentaires, et mises à disposition en direct par l'organi-sation du Festival International du Film de Marrakech. Rappelons que Euro-News est aujourd'hui diffusé dans 130 pays et rassemble plus de 3 millions de téléspectateurs par jour.

Ecrivez nous à > [email protected] • www.aufaitmaroc.com

pratique mots-fl échés du jour

sudokuLe jeu Sudoku est un puzzle de 9x9 cases composée de neuf sous-grilles 3x3, certaines déjà remplies. Le but du jeu est de remplir les cases vides, en mettant un chiffre par case, de sorte que chaque colonne, ligne et région contiennent une fois seulement chaque chiffre de 1 à 9.

horoscope

master ringsBUT: Il s’agit de compléter la grille en respectant les trois conditions suivantes:• Dans chaque anneau (un des cercles concentriques) doivent fi gurer tous les chiffres de 1 à 8 sans répétition.• Dans chaque diamètre doivent fi gurer tous les chiffres de 1 à 8 sans répétition.• Les sommateurs (cercles oranges) contiennent la somme des 4 chiffres fi gurant dans les rayons correspondant. (Niveau facile)

• Dans chaque diamètre doivent fi gurer tous les chiffres

• Les sommateurs (cercles oranges) contiennent

blaguonsMIGNON. Un homme demande à sa femme :- Qu’est ce que tu préfères chez moi chérie ? Mes muscles virils ou mon intelligence ?- Ton sens de l’humour, mon amour!

Plaquedentaire

Eau... quilave

Revivre

Grille-pin

Humées

Un doigt Mots ensignes Correction Plus

fraîche

Air uséA cause

de ça

Troiscartes

Scorsonère

Louche

Pignes

Robuste

Mis àl'ombre

Grisondame

Monnaiejaune

Hirondellede mer

Nond'enfant

Fusionnés

Poteaux

Être deconte

Dénudé

Simule

Graffitipeint

Duréeindéfinie

Lutteavide

Transpire

Démonstratif

Niche,tour

Sur terreUn étalon

Ousélénium

Moi, bibiMystère A le dos

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Éculés Entraction

Salir

Serpentaire S Sauteuses

Elle ou lui O Ilot

Étalon O Plaisanteries R Mélanger

Guide demonture R Pic chez

nous G Pastendre

T E R N I R Entraîner

C'estainsi ! A M E N E R

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Rupture C A Couper F Pas nôtre

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Niveau moyen

Bélier Un déplacement, lié à vos

activités professionnelles, ou à vos fi nances, sera fructueux. Cependant, vous risquerez de

rencontrer quelques obstacles. Ne vous laissez pas décourager, tout au contraire, cela devrait “rebooster” votre esprit de détermination .

Taureau Vous avez beaucoup trop

d’engagements et vous ne pourrez pas tous les

affronter au même moment. Cherchez une aide auprès d’une personne effi cace, qui pourrait vous soulager. Attention, à ne pas vous laisser rattraper par la fatigue. Pensez à prendre une pause, ce week-end.

Gémeaux Votre situation fi nancière

est “sous pression”. Un dilemme vous pèse sur la conscience. Vous devriez vous accorder du temps

pour vous pencher, encore plus sérieusement sur la question. Vous trouverez, alors, les solutions à vos inquiétudes.

Cancer Une question professionnelle,

mise en attente, devra être réglée, aujourd’hui. Vous devriez prendre des initiatives dans cette affaire, sinon, vous

risqueriez de vous “faire doubler” par d’autres. Alors foncez, sinon, vous pourriez regretter de ne pas l’avoir fait à temps.

Lion Les choses s’améliorent sur

le plan fi nancier, c’est une “période bénéfi que”. Recherchez donc des

“plans” qui peuvent vous permettre de gagner de l’argent, puisque la chance vous sourit. Toutefois, il sera indispensable de tout bien planifi er par avance et de ne pas vous laisser surprendre par des frais occasionnels et inattendus .

Vierge Quel plaisir de pouvoir

“dépenser” sans compter. Cela dit, gardez un oeil sur votre budget, pour ne pas avoir de mauvaises

surprises par la suite. Votre générosité est l’une de vos qualités premières, alors pensez à gâter vos proches mais évitez, quand même, les excès toujours possibles .

Balance Des retrouvailles, dans le

cadre de vos activités, risquent de “réveiller” de vieux souvenirs et des sentiments que vous

pensiez avoir oubliés. Prenez le bon coté des choses !Vous avez évolué et grandi, les choses peuvent être différentes, aujourd’hui.

Scorpion Les temps changent et

vous êtes dans une phase de “transition”. Des discussions vous

mèneront à une meilleure “compréhension” avec votre entourage. Alors, réglez une question relative à votre passé et adoptez une différente approche pour votre avenir.

Sagittaire Quelques obligations

personnelles vous préoccupent. Le quotidien vous pèse, mais vous saurez faire face aux événements.

Votre sens des responsabilités et votre conscience vous aideront à garder la “tête sur les épaules” .

Capricorne

Vivacité et bonne humeur, les planètes vous donnent des “ailes” et rien ne vous

semble impossible. Cela dit, prenez du recul et ne partez pas “nez au vent”. Vous aurez de nouvelles rencontres professionnelles “intéressantes” .

Verseau Vous vous découvrez des

“dons” dans le domaine de la communication et vous saurez présenter vos idées, clairement. Vous aurez “l’art”

et la “manière” d’exposer vos pensées. Belle persuasion ! Vos compétences en seront reconnues .

Poissons Avec les planètes qui vous

accompagnent, vous n’aurez rien à redouter. Au contraire, c’est le moment

de foncer, d’entreprendre, voire de changer de vie, si tel est votre désir. Les perspectives seront heureuses .

dimanche 16 novembre 2008 15

Votre soirée télé

16:52 Championnat du monde fi a wtcc 2008: macao; 17:54 Moto gp; 18:24 Un dos tres : la sanction; 19:09 Ajyal; 20:00 Rbib; 20:31 Festival international du fi lm de marrakech; 20:45 Le journal; 21:16 Bulletin météo; 21:26 Superman returns; 00:00 Al akhbar; 00:26 Bulletin météo; 00:30 Festival international du fi lm de marrakech; 00:42 Al majalla arriyadiya; 01:25 Les 4400 : disparus (1ère partie);

master dominosBUT: Il s’agit de compléter la grille à l’aide des pièces manquantes se trouvant au dessus de la grille, en respectant les deux conditionssuivantes:• Dans chaque ligne doivent fi gurer tous les chiffres de 0 à 6 sans répétition.• Dans chaque colonne doivent fi gurer tous les chiffres de 0 à 6 sans répétition.N.B: Chaque pièce de domino n’existe qu’une et une seule fois dansla grille. NIVEAU 3 (FACILE)

master ringsBUT: Il s’agit de compléter la grille en respectant les trois conditions suivantes:• Dans chaque anneau (un des cercles • Dans chaque ligne doivent fi gurer tous les chiffres de 0 à 6 sans

Solutions du 15/11/2008

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Officiel FIFM