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PARI SPORTIF, tout ce qu’il faut savoir SUPPLÉMENT À LA DERNIÈRE HEURE - LES SPORTS DU 30 OCTOBRE2013

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DH Pari Sportif

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PARI SPORTIF,tout ce qu’il faut savoir

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30 Octobre 2013 I 2PARI SPORTIF

“Nous avons aussides comptes à rendre”

LaCommissiondes Jeuxdehasardproposeun colloque avectous les acteurs du secteurdu jeu ces 30 et 31 octobre

Président de la Commission desJeux de Hasard, Etienne Mariquenous a reçu en compagnie de sonexpert Marc Callu, à la veille ducolloque que la CJH organise cesmercredi et jeudi au Palais d’Eg-

mont avec tous les acteurs du jeu en Belgique,alors que depuis bientôt deux ans, les licen-ces permettant l’organisation de jeux en li-gne ont été distribuées.

“Nous constatons que depuis l’instauration de

cette légalisation des sites, entre 70 et 80 %des joueurs ont choisi la voie de la légalité”,entame Etienne Marique. “Cela signifiequand même qu’une petite trentaine depour cent prennent encore le risque dejouer sur des sites illégaux, basés àMalte, Gibraltar ou plus loin encore, avecle danger de voir leur gain à jamais perdu.”

Ce colloque sur les jeux se veut un étatdes lieux de la situation belge, remise dans lecontexte européen. “Nous avons des comptes à

rendre à l’ensemble du secteur. Et nous avonsaussi le devoir d’interpeller les pouvoirs exécutifet législatif à ce sujet.”

Car, si la Belgique s’est dotée d’undes systèmes de contrôle les pluspointus en la matière, étant lapremière à légiférer sur la ca-nalisation du jeu, force est deconstater que depuis, le gou-vernement ne semble plusconsidérer la fraude par le jeu

sur la Toile comme une prio-rité.Marc Callu, à ce propos, ne mâche

pas ses mots : “C’est bien simple, notre ministrede la Justice ne fait rien pour la Commission desJeux de Hasard. Nous n’avons plus les budgetspour traquer les fraudeurs sur le Net. Nous avonsconservé des moyens pour faire fonctionner cequi était déjà en place, pas pour développer nosactivités de contrôle des joueurs. Pourtant, c’estindispensable. Nous savons que des mineurssont inscrits sur les sites mais nous ne pouvonsles traquer.”

Etienne Marique précise ainsi : “Nous avons

“Nousn’avons plusles budgetspour traquerles fraudeurssur le Net”

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3 I 30 Octobre 2013PARI SPORTIF

“Besoin d’une analyseindépendante”Plusieurs points posent actuellementproblèmevu l’absencedes

arrêtés royauxd’exécution

Tant que les arrêtés royaux ne sont passignés, on reste dans le flou artistique.”

Le président Marique et l’expertCallu n’y vont pas par quatre che-mins. “En matière de bonus ou de pu-blicité proposés par les opérateurs de

jeux, nous ne pouvons délivrer que des avis noncontraignants. Heureusement, à l’image de Bet-first.be, nombre d’entre eux nous consultent pourvoir ce qui est faisable et légal et ce qui ne l’estpas. Mais si nous pouvions fonctionner dans uncadre légal, avec les moyens dégagés pour cela, laCJH serait plus efficace.”

D’autant que depuis 2010, de nouveaux mo-des de jeu sont apparus. “Sur Facebook, parexemple”, souligne Etienne Marique. “Nousavons vu des gens perdre jusqu’à 12.000 € très viteà des social gaming. Mais sur Fb, ce sont les plusjeunes qui sont aussi visés, selon la Stepping StoneTheory, la théorie de l’escalade; si on les habituetôt à leur faire jouer un centime, ils joueront grosplus tard. Il s’agit par exemple du jeu du petit la-pin. Si tu veux le nourrir, il te faudra acheter lanourriture virtuelle à x euros.”

Mais les responsables du réseau social nesont pas opposés à la régulation. “Ils sont venusnous trouver à la CJH en nous expliquant ‘c’est àvous de nous dire quel jeu est légal et lequel nel’est pas et est à interdire’mais pour cela, il fautaussi les autorisations gouvernementales pourque nous puissions agir.”Marc Callu reconnaît pour sa part qu’une ana-

lyse indépendante et scientifique devrait sepencher sur les jeux les moins addictifs, etdonc les plus adéquats, sur Internet. “Il s’agitobjectiver ce qui est nécessaire. Il faut bien com-prendre qu’on est actuellement à un carrefour et ilreste à y poser un panneau directionnel.”

“Je n’ai pas assez de recul pour réaliser une telleétude”, réagit Etienne Marique. “On attend aussique l’Europe prenne enfin des mesures en matièrede jeux online. Ce qu’on a mis en place en Belgiquepermet qu’en même d’assurer un meilleur contrôleet un plus grand confort de jeu aux joueurs. Lejoueur qui porte plainte sait qu’on peut intervenirplus rapidement, puisque les serveurs et opéra-teurs sont situés en Belgique et connus de nos ser-vices.”

J. B.

“Ce qui est acquis depuis très longtemps,c’est que l’homme joue, c’est dans sa nature.Il s’agit donc de lui donner la possibilité dejouer. Mais selon des règles et canaux biendéfinis. La difficulté, pour la Commission desjeux de Hasard, c’est de prendre les tricheurset joueurs illégaux sur le fait. Ainsi, en réel,des policiers accompagnés de membres de laCommission des Jeux de Hasard ont saisirécemment à Schaerbeek 12.000 € sur tabledans une arrière-salle de café où des joueurspratiquaient le barbout, un jeu de désressemblant au crabs.”JEU ET CRIMINALITÉ font hélas bonménage et sur le Net, il n’en va pasautrement, souvent.“Le résultat brut des jeux sur le Net est de100 millions d’euros. Le jeu sur internet adonc rapporté 12 millions d’euros l’an dernier,à l’avantage des régions.”“Par contre”, soulignent Marc Callu etEtienne Marique, “une épée de Damoclèspèse : la taxation des joueurs sur Internet.On sait déjà que si les gros joueurscontinuent à jouer à l’étranger, sur des sitesillégaux, c’est parce qu’ils ont peur des taxes.Or, les gains, dans le réel, ne sont pas taxés;pourquoi donc envisager une telle taxationsur le online ? On risque juste de voir desjoueurs qui jouaient en confiance sur lessites légaux se rabattre sur les illégaux, lesétrangers. Avec le risque de retomber sur descriminels.”

J. B.

“Les effets perversd’une éventuelle taxationsur les joueurs”

le cas d’une personne qui change de login tousles jours; il en ouvre donc 365 par an ! Et nous nesommes pas en mesure de croiser ces donnéesavec le Registre national, de réaliser l’historiquedu joueur ni d’obtenir son âge. D’un point de vuebudgétaire, on a sauvé ce qui existait ainsi queles moyens à son entretien.”

En Belgique, le jeu sur internet (casinos, pa-ris, salles de jeux online) représente environ25 % de l’ensemble. “Même ces chiffres-là de-vraient être vérifiés et affinés. Disons qu’en 2010-2011, environ 300.000 personnes jouaient sur dessites, par définition illégaux. On a constaté unehausse du nombre de joueurs depuis la légalisa-tion mais on estime que si 450.000 jouent surdes sites légaux, établis en Belgique et en ordrede licence + (le + pour le fait qu’il s’agit du Net),il en reste environ 100.000 qui prennent le risquede jouer sur des sites illégaux.”

Néanmoins, la Belgique est plutôt enpointe en matière d’interdiction de jeu. “Ilfaut savoir qu’il y a environ 200.000 EPIS (ex-clude persons informatics system) chez nous :40.000 en raison de leur profession (policiers,magistrats, etc.), 20.000 interdictions sponta-nées, 40.000 suite à des décisions judiciaires et100.000 faisant l’objet d’un règlement de dettescollectif. À ce titre, on a observé en juillet unehausse des plaintes car un millier de personnesont signalé qu’elles avaient payé toutes leursdettes et avaient donc le droit de jouer.”

Mais si les personnes interdites de jeux necessent d’augmenter, leur proportion dimi-nue par rapport au nombre de joueurs ins-crits sur les sites légaux, en plus forte crois-sance.

Jean Bernard

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30 Octobre 2013 I 4PARI SPORTIF

BetFIRSTséduit lelecteur de laDH fan de foot

Vouspouvezparier sur 30 sports différents,dont le tennis et le basket

Dans le monde des parissportifs, betFIRST cultiveune belle spécificité : c’esten effet l’un des rares opé-rateurs online de réfé-rence à être 100 % belge. Et

pour cause : la société Sagevas SA, qui pro-pose les paris sportifs sous le label bet-FIRST, est une filiale du groupe de presseIPM, éditeur de la DH !

LE PARIEUR TYPE est justement le lecteur dela DH, qui peut d’ailleurs retrouver quel-ques ficelles dans les colonnes de son quo-tidien préféré. “Notre public cible est le lec-teur de la DH, fan de foot, qui aime de tempsen temps miser 5 ou 10 euros sur un match”explique Lionel Lammens, Directeur Busi-ness Development.

“Le parieur aime le côté ludiqueet social de la chose. Parier, cen’est pas simplement atten-dre que des numéros tom-bent”. Il peut en discuteravec ses copains, et nemanquera pas d’en par-ler autour de lui lorsqu’ilaura fait le bon choix.

Et comme la probabilitéde gagner est assez impor-tante…

“Nous redistribuons en moyenneentre 80 et 90 % des mises”, souligne LionelLammens, rappelant que la proportion estbien plus faible pour les produits de la Lo-terie Nationale (de l’ordre de 50 %).

“Les paris sportifs sont parmi les jeux dehasard qui sont les moins addictifs. Si vousjouez le mardi pour un match qui a lieu le sa-medi, vous attendrez d’abord le résultat de cematch avant de rejouer”.

Comment se comportent les parieurs ?“Le parieur qui joue via le site internet prendgénéralement le temps de comparer. Une ses-sion peut d’ailleurs facilement durer entre 10et 15 minutes”, explique Lionel Lammens.

Le parieur peut également se rendredans une librairie ou une agence spéciali-sée proposant les paris de betFIRST. D’ici lafin de l’année, plus de 200 points de vente

devraient être partenaires de la société deparis du groupe IPM.

“Notre stratégie est d’avoir cette double ap-proche, alors que la plupart de nos concur-rents n’offrent généralement qu’un seul canalpour effectuer un pari”, relève-t-il encore.

LE FOOT se taille la part du lion. Il repré-sente plus de deux-tiers de l’ensemble desparis. Le foot belge, bien entendu, maisaussi les compétions internationales – lesparis sur les Diables Rouges ont été trèsélevés- et les championnats nationaux, An-gleterre en tête. Sans doute parce qu’il y ade nombreux joueurs belges outre-Man-che. Le Real, Barcelone, le Bayern Munich,le PSG suscitent aussi beaucoup d’intérêt.

Le joueur privilégie le pari simple (1-X-2),mais aime aussi miser sur des situa-

tions de match (qui mènera auscore à la mi-temps, par exem-ple), voire à parier “en LIVE”en fonction de l’évolutiondu match (possible via pc,smartphone et tablette).

LA PALETTE DE PARIS pro-posés est très large : c’est10.000 paris différents par

semaine, et pas uniquementdans le foot. Le tennis, mais

aussi le basket – belge et améri-cain- attirent pas mal de paris. De mêmeque le… hockey sur glace.

Surtout, le parieur ne doit pas craindrede se faire rouler dans la farine : si lesmatchs truqués ne relèvent pas forcémentdu phantasme, betFIRST n’a rien détectéde délictueux en plus de deux annéesd’existence : “Il existe une cellule de contrôlequi suit tous les mouvements de paris. Nousn’avons pas détecté jusqu’à présent le moin-dre soupçon de match truqué. En général lestricheurs ne jouent pas sur les sites des opéra-teurs régulés européens, très contrôlés, maisplutôt sur des sites basés en Asie”.

Autant d’atouts qui doivent permettre àbetFIRST de tripler son chiffre d’affairessur l’année 2013 !

P.D.-D.

betFIRSTest l’un des raresopérateurs onlinede référenceà être

100 % belge !

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5 I 30 Octobre 2013PARI SPORTIF

“Bienmerenseigner surles équipes”Benoît Peeters est notre confrère spécialisé dans les paris. Nous lui avons demandé quelques conseils pour parier en toute connaissance de cause. S’il n’a malheureusement pas la recette pour gagner à tous les coups, il a celles pour éviter les catastrophes.

Pour Benoît Peeters, qui distille ses conseils dans la DH etest aussi un joueur en ligne, “l’astuce principale consiste àbien me renseigner sur les équipes en présence et a réaliserune petite étude statistique : quel a été leur parcours les der-nières semaines, y a-t-il des blessés, des suspendus, quellessont les performances à domicile, à l’extérieur, encaissent-el-les beaucoup de buts, marquent-elles comme à l’entraîne-ment… Ensuite, il s’agit de trouver le juste milieu entre per-formance d’une équipe et sa cote affichée sur le site; l’intérêtétant de trouver la cote la plus intéressante pour une équipela plus performante possible”.

Quitte à faire l’impasse et ne pas parier si la combinai-son semble trop peu intéressante ou trop risquée. “Autreconseil, il vaut mieux privilégier les combinaisons (paris surau moins deux matches) que les paris sur une seule rencon-tre; ce dernier étant beaucoup plus addictif. On y dépensebeaucoup plus car on va plus facilement jouer 100 € s’il y aune cote à 1,5. Si on loupe son coup, on va vouloir se refaire, etcela enclenche un mécanisme infernal. Avec une combinai-son, on misera petit – quelques euros à peine – mais le gainéventuel est plus important. La perte, elle, sera plus supporta-ble. En plus, la combinaison peut porter sur des matches quiont lieu à quelques jours d’intervalle, donc pas d’envie de re-jouer immédiatement.”

Gros joueur à un moment donné, Benoît Peeters aaussi tenu à se faire interdire de jeu. “Cela a duré six mois.Cela m’a permis de réfléchir à ma façon de jouer et désor-mais, je ne prendrais plus les risques que je prenais à l’épo-que. Je pense que j’étais interdit de jeu juste sur le site de pa-ris en ligne en question.”

Etienne Marique, président de la Commission des Jeuxde Hasard, dément : “Un joueur qui décide spontanémentde se faire exclure, l’est non seulement sur le site Internet où iljouait mais également pour tous les sites ainsi que les casi-nos et salles de jeux réels, et ce pour toute la durée de l’inter-diction.”

“Enfin”, conclut Benoît Peeters, “je dois avouer que monbilan général est négatif mais en ne jouant désormais quequelques euros à la fois, je n’ai pas l’envie, à tout bout dechamp, de me refaire. Cela reste un amusement, pas une dro-gue.”

Jean Bernard

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30 Octobre 2013 I 6PARI SPORTIF

Pourquoi joueravec le feu ?

Privilégiez les sites légaux, souspeinede vous exposeràdes amendes

Il fut un temps où le monde des parissportifs en ligne était une véritable jun-gle.

Et pour cause : n’importe qui pouvaitdu jour au lendemain investir le ter-rain et proposer aux Belges de parier

sur des événements sportifs via des sites héber-gés dans des contrées exotiques, au-delà detout contrôle. Il n’était pas rare qu’un joueursoit pigeonné, sans réelle possibilité de récupé-rer ses gains.

LE LÉGISLATEUR et la Commission des Jeux dehasard ont depuis lors remis de l’ordre danscet univers, en s’appuyant sur la loi du 1er fé-vrier 2010, entrée en vigueur le 1er janvier 2011.

Il n’est donc plus question de faire tout etn’importe quoi !

Désormais, les paris sportifs en ligne sontclairement réglementés et dûment encadrés :miser sur le résultat d’un match de votreéquipe favorite se fait en toute transparence etsans crainte d’être arnaqué, pour autant quevous optiez pour les sites légaux répertoriéspar la Commission des Jeux de hasard (CJH),

dont le site BetFIRST. be, qui fut même le pre-mier en Belgique à obtenir le feu vert de la CJHen décembre 2011.

La CJH veille au grain et soutient toutd’abord une approche responsable des jeux dehasard et des paris sportifs : pour pou-voir jouer en ligne, il faut toutd’abord s’inscrire.

Et ne peut s’inscrire qui veut : ilfaut par exemple avoir 18 anspour être autorisé à effectuer desparis sportifs sur un site internet.Et pas moyen de tricher sur sonâge : c’est via votre numéro de regis-tre national que l’inscription sera validée.

L’AUTRE GROS AVANTAGE, c’est que toutes les in-formations concernant les paris sportifs effec-tués sur les sites légaux sont stockées sur unserveur basé en Belgique, et non à Malte, à Gi-braltar, ou au-delà des océans.

En cas de contestation ou de gros problème,la justice belge peut accéder aux données stoc-kées sur ce serveur.

Bref, : lorsqu’il joue en ligne, il est suivi du

coin de l’œil par les serveurs de la Commissionqui limite les pertes horaires maximums (va-riables en fonction des jeux de hasard).

Il y a donc toutes les raisons du monde deprivilégier les sites de paris sportifs légaux(seuls habilités d’ailleurs à afficher la mention“Site de paris en ligne autorisé sous l’égide dela Commission des Jeux de Hasard belge”).

Les sites illégaux sont quant à eux sur uneliste noire : il y a en a actuellement une septan-taine, mis à l’index car ils proposent des jeuxde hasard ou des paris sportifs sans avoir ob-tenu la licence indispensable. Leur liste com-plète se trouve sur le site de la Commission(www.gamingcommission.be).

Dites-vous, pour faire simple, que cela sentl’oignon si l’adresse du site se termine par.com (les sites légaux ont tous une adresse seterminant par. be).

Surtout, aller jouer ou parier sur un site illé-gal n’est pas sans danger, au-delà de la

crainte de tomber sur un site quine respecte pas les règles. Certes,dès qu’un site se retrouve sur laliste noire, une demande deblocage est transmise par laCommission auprès des opéra-

teurs. Cela peut prendre un peude temps.

Toujours est-il que jouer ou pariersur un site illégal – peu importe qu’il se trouvedéjà ou non sur la liste noire – n’est pas sansdanger, dans tous les sens du terme. Il est en ef-fet interdit à quiconque de participer à un jeude hasard illégal. La loi est d’ailleurs claire à cesujet : les joueurs peuvent être soumis à uneamende pouvant varier de 26 euros à 25.000euros. Franchement, pourquoi jouer avec lefeu ?

P.D.-D.

Lejoueur estextrêmement

protégé, y compriscontrelui-même

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7 I 30 Octobre 2013PARI SPORTIF

Quelques clics pour s’inscrireDevenirmembrede la

communauté BetFIRST estsimple commebonjour

Vous pensez sans doute, commemoi, que se lancer sur les parissportifs en ligne est long et compli-qué.

L’expérience montre que quel-ques clics permettent de se lancer

dans la grande aventure.Pour s’inscrire sur le site BetFIRST. be par

exemple, il suffit de cliquer sur l’icône… s’ins-crire. Là, vous devez vous identifier – vous avezbesoin de votre numéro de registre national, quipermettra au système de s’assurer que vous avezbien 18 ans ou plus- et, surtout, trouver un pseu-donyme.

CELA A ÉTÉ LE PLUS DUR : n’étant pas vraiment lepremier à m’inscrire, j’ai donc dû faire preuved’imagination après quelques refus. Poipoine,c’est moi !

Ensuite, pour jouer, il faut quand même quel-ques thunes sur le compte. C’est l’étape suivante.Il y a plusieurs possibilités. J’ai opté pour l’ali-mentation du compte joueur via Bancontact/Mister Cash.

Là encore, c’est tout simple : vous choisissez lemontant que vous souhaitez transférer (de 10 à1.000 euros) et introduisez votre numéro decarte bancaire (n’oubliez pas, commemoi, d’ins-crire le petit chiffre solitaire esseulé tout àdroite).

Vous êtes alors transféré vers le site sécuriséde votre banque : il faut donc avoir, aussi, le digi-pass sous la main. La transaction est quasimentinstantanée : quelques instants plus tard, les10 euros arrivaient à bon compte.

Vous voilà donc fin prêt pour effectuer votrepremier pari. Là encore, le site va vous prendrepar la main pour vous aider à faire vos premierspas grâce à l’icône “Comment placer votre 1er

pari”. Utile.

VOUS IREZ SANS DOUTE surfer un peu partout à ladécouverte des différentes possibilités de paris :plus vous combinez de pronostics, plus le gainpotentiel peut être élevé. Le guide du parieurvous explique tout cela en long et en large.

Moi, j’ai commencé petit en misant 2 malheu-reux euros sur un match de 2ème division an-glaise : Yeovil-Brighton&Hove Albion, déçuqu’une victoire de mon club favori ne me rap-porte que le double de la mise mais heureux deconstater que les Seagulls sont favoris malgré undébut de saison catastrophique. Malm’en a pris :j’ai pas gagné. Si Brighton gagne cette fois con-tre Watford, je vais multiplier ma mise par 2,5 !Chouette !

Dès que le pari est enregistré, vous recevez unsms ou un mail de confirmation. Il ne reste plusqu’à croiser les doigts.

Sans doute serez-vous plus tenté par un parisur votre équipe belge favorite ou sur un clubanglais abritant les Kompany, Fellaini, Lukaku,Benteke et autre Mignolet. Les grosses surprisespeuvent rapporter gros : de 11 à 12 fois la mise, ceweek-end-là, si Hazard et Chelsea devaient per-dre contre Cardiff de ce… diable de Bellamy.

Cela me donne déjà envie d’être infidèle auxSeagulls !

P.D.-D.

Vous pouvez également parier via des bornes ou des pc BetFIRST installées dans les librairies,notamment, après avoir acheté justement la DH.Vous retrouvez sur la borne toutes les fonctionnalités que vous pouvez découvrir sur le site in-ternet.Pour la mise, rien de plus simple : vous pouvez miser à partir de 1 euro le pari (fort judicieuse-ment, l’appareil accepte les pièces de 1 euro).Vous pouvez également glisser des billets dans l’appareil.Après avoir effectué votre pari, vous recevrez un ticket qui vaudra preuve.

P.D.-D.

Vous pouvez aussi parier en librairie

Vice-Président du conseil d’administration : Patrice le Hodey. Administrateur délégué et éditeur responsable : François le Hodey. Directeur général : Denis Pierrard. Rédacteur en chef : Ralph Vankrinkelveldt.Rédaction : Rue des Francs, 79 - 1040 Bruxelles. Crédit photos : Belga - Reporters - PhotoNews.

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*Offre réservée aux nouveaux joueurs. Tous les détails surwww.betfirst.be/promotions/paris-gratuits

JOUER COMPORTE DES RISQUES:endettement, isolement, dépendanceFaites-vous aider par SOS JEUX au 0800/35.777 (appel gratuit 24H24, 7J7) ou bien sur www.cliniquedujeu.be

Autorisé par laCommission de Jeux de Hasard Belge

JeuResponsable

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