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DICTIONNAIRE

HISTORIQUE

DE LA MEDECINE

ANCIENNE ET MODERN E

pAR DEZEIMERIS

mcrnun—n ñnncm, maman tcn nn DE LA henn é DE n—tnzmunnn mn s , xan ax; LA socn îrñ MEDICALE D

EMULAHON DE LA

n ûxx VILLE, ET DE LA socxfirñ DE MEDECINE nx ow n .

TOME I I I . PART IE .

° A PARIS ,

CHE Z BÉ CHET JEUNE , LIBRA IRE ,

vn c: nn L‘ECOLE- DE-MÉDEC IN L; N

°l.;

A. BRUXELLES ,

A U nñpôr GÉNÉRAL DE LA m u mu: MÉDlCLLE rnmçn sx.

4856.

DICTIONNAIRE

HISTORIQUE

D E LA MÉDEC INE

ANCIENNE ET MODERNE.

HAGENBUT HAYNPOL ouHANBUT,plus connu sous le nommal latinisé de COENARIUS Janus l

un des principaux res

taurateurs des lettres et d e lamédecine grecques, naquit à Zwickauen

'

1500 . L’

éducation de son premier âge fut peu soignée celle

qu’

ilreçut dans les écoles peu fructueuse ;mais b ientôt une ardeur

incroyab le pour l’

étude s’

empara du jeune Hagenbut. A d ix-huitan s il se ren d it à Leipzig , Où deux années de travail sous tmmaltrehab ile le mirent en état d e d even ir inattre à son tour. Il donna

des leç ons publiques de grammaire grecque , il expliquales poètes

et les orateurs grecs et attira autour de lui un grand concours

d’

auditeurs. A vingt—nu ans il fut nomméprofesseur de philosophie

à Wittemberg. Pour obéir à ses pamns il se donna quelque tempsà l

étude iii:la théologie mais ill‘abandonnu b ientôtpour celle de

lamédecine. A vingt— trois ans il étaitlicencié en cette.science . Selon

Zeumer (Vit. profess. ienens. il auraitpris le grade de docteur

dans l’

université de Pavie ; circonstance dontBaldü ger ne ditrien

non plus que d ivers autres biographes.Dégoûté d e la vaine garmäté des médecins arabes et de l

’insup

portable proüxité des commentateurs Comerias résoiut de puiser“l. 1

BAG

une connaissance approfondi e d e lamédecine dm:les tom es grec

ques. Ou n’

aurait pu trouver alors dans toute l’

Allemagne un seul

exemplaire grec d es œuvres d’Hippocrnæ, et des versions latin es ,

il n’

existait que celles desAphofimæs etdesprognostics. Quelquesmauvaises traductions d ’

un petitnombre de traités de Gafien étaient;tout ce qu

on possédait de cet auteur ; Comarins résolut de courir

lemandepourœmettro larecherche de cesprécieux trésors del’

tiqui ié. Il parcourut la Livon ie , le Holstein , le Mecklenboœ g ; il

voyagea en Belgique en Angleterre , en France, en Suisse , et il se

préparait à passer en Italie lorsqu’

iltrouva à Bâle, chez le célèbreimprimeur Froben un exemplaire de Péditibn grecque d

’Hippocrate publiée par les Aldea et les œuvres de plusieurs autres méd ecius grecs.

«0

La seule traduction latin e qu i existât alors des œuvres d’Hippo

crate était celle d e Ca1v0 , publiée a Rome en 1535, et elle n‘

avait

po int franchi les Alpes. Les sollicitations et les encouragemens d’

E

rasme d éterminèrentComariuS à en entreprendre une nouvelle. Elle

lui coûts quinze armées de travail, mais il se créapar ce grand et

d ifficile ouvrage un titre de gloire solide .

Revenu dans sa patrie Cornarius eut d‘

abord le physicat deq hauscn ,puis il futmédecin pensionné de la ville de Francfortsur

—le—Mciu. En 1542, le Landgrave Philippe l'

appela a Marbourg

pour y occuper la chaire deméd ecine. Il fut:recteur magnifique del’

académie l’

année suivante, etildemeuraàMarbourg Jusqu’

en 1546,

qu’

il rentra à Zvñckau , sa ville natale. Appelé à Iéna , en 1557 ,

comme professeur , il fut bientôt nommé doyen de la faculté. Uneattaque d

apoplexie mit fin à ses jours le 16 mars 1558.

Cor‘

narius acomposé quelques ouvrages ,mais c’

est sur les servi

ces qu_

il a rendus à son siècle et à lapostérité par la traduction de

la plupart desmédecins grecs que reposent ses titres à la gloire et

à notre reconnaissance.

1529, 1 53Q, ill—4 . q d Jah. Herm

g erme 1 551, ia— 8.

Med icina , siremedîcus, ü ber anus.

Bordea apud Mùhaëhm Ma nia!

S( ellam, 1556, in-8. Apud 0porücrmt,

in—8 . Ama‘

unt omä ona M :

Hr‘ppœmds epistolas iuterpæ laü u

est et“edidù. Coloniæ 1544 , ia

-8 .

Hÿ1pocrates rive doctor wenn

cratz‘

a azrat camopen‘

busHippoemtr

'

s se ven ir, et ed itü Basä eæ,

an d on…, 1643 ,‘

un—ici . Da i

M G

avec d istinction futmembre de l'académie des curieux de la un.

ture ,médecin de trois électeurs de Saxe , etmourut d’

ap0plexie ,non en 1694 comme le dit Jœcher,mais le 1 7 février 1691 ,c0mmeon l

apprend dans son éloge par Samuel Lodel; inséré dans lesEphémérides des Curieux de la nature.

D issertatio,præside f ac. Thomasio,de Cammis. Leipzig, 166 1, it!—4 .

D ist. præs. Jo. Thead Schenck, demacie pueromm ea:fascino. Ie

'

nn

166 7 . in— 4 .

Martini Kalandi patris'

secreta

spag irica sive plerommque medicamentomm ruland inommgenuine: descriptiones cum scholas edita. Iéna

1 6 76, iu-1

Tractatusphy sico-medicus de Catechu rive terra j aponica in amIgussic d icta . Iénn, 16 79, in—8.

Œ nosbatolog ia. léna 168 1 ia—8 ,19 1 fig.

HAGUENOT (Hatem), doyen de l’

université de Montpellier etde

la société royale des sciences d e lamême ville , était né le 26 janvier 1687 . Il eut dans ses études des succès précoces , et il n

avait

pas encore atteint l’

âge de vingt ans quand il fut admis à la société

royale , comme élève; il en étaitmembre en 1 7 1 1 . Une chaire futcréée en 1 7 15a faculté de méd ecine pour Jcan —HenriHuguenot,le père , il la céda bientôtà son fils, qui l

occupa pendant un d emisiècle avec distinction . Parvenu a quatre

—vingts ans, ilcessa de vo ir

desmalades et q uitta l’

université en conservant le titre de profes

scur doyen-vétéran . Il fut nommé l’un des synd ics perpétuel: de

l’Hôtel Dieu Saint— Eloi . Ilfit don à cethôpital d e sa bibliothèque,qu i était assez considérable , afin que les élèves enmédecine y trouvassenttous lesmoyens d

instruction réunis. Haguenotmourut âgéde plus de quatre

— vingt-huitans , le 1 1 décembre 1 7 75.

Mémoire sur lemouvement des in Mémoire sur l’hy drophoôœ. Dans

ta tin: dans la passion iliaque. Dans les Mémoires de la 8011. royale des Sc.les Hémoirc: de l‘Acad . royald des de Montpellier.

Sciences , pour l‘

année 1 7 1 3, p. 351 . Mémoimconcernant un m ec”:

vivant. p ilier, 1734, ü -8.— M …tpar

1690 , ia-8.

Observationum et bistoriammmed ica—

practicamm rariorwn cen turiæ

tre: q ttibus anne-z a analecta qua-dam

ad historia: nonn ullas illusü andas .

Francfort et Leipzig , 1698 ia-8 .

Hzgendorn a fourni en outre , au

recueil de l’

A cadémie des curieux dela ndturs , un grand nombre d ‘observations qui toutes sont indiquées

dans la B ibliothèque de Mang at et

dont plusieurs sont reproduites dans

cette utile compilation .

(Kœtnæ .— Mauget.— Jæcben )

HAH 5

les frictions môrcuriellea que l‘on en; par M . docteur en mèd . de l‘A

treméle avec l‘usage desb ains .

Mémoire sur le danger des inhumtioas dans les églises . Montpellier,1 7 48, in-4 . Ce mémoire avait déjàété imprimé dans les Séancespubliquesd e la Soc. roy ale des Sc. de Montpel

lier. Ilse retrouve dan s un recueil in

titulé:Mélanges curieux et intéressamd e d ivers obj ets relatifs à la phy sique,à la médecine et à l‘histoire naturelle,

cadémie des Sc. de Montpellier, etc.

Avignon . 1 7 7 1, in -1 2 .

Tmctatus de morbis eætemis capitis. Avignon , 1 7 50, ia- 1 a.

Olia phy siolog ica, de circulati0ne

de pulsu a rteriammetde mala musculomm. A vignon , 1 7 53, ia 4 .

(Desgenettes , Éloges d es académiciens de Montpellier, etc.)

HAHN S1msuonn père d e Jean Godefroy , praticien etmèdecin pensionné a Schweidnitz, en Silésie , était né dans cette v ille le

23 novembre 1664 , avait fait ses étud esmédicales a Le ipzig et à

Leyde , et reçu le b onnet d octoral en 1 689. Il fut quelque temps

premier méd ecin du prince royal d e P ologne Jacques Sob iesky

etmourut le 6 octobre 1 742 . S igismond Hahn s’

est d istingué entre

les partisans les plus déclarés de l'

emplo i méd ical d e l’

eau froid e

l’

intérieur et l'

extérieur.

D ispatatio de v isu, pra s. D . Rivino.

Leipzig, 1686 , in-4 .

D issertatio inauguralis de melancholiâ hypocho:tdfi arä . Leyde, 16 89,

wœrmta alt ka i:Baden and Trinken .

Leyde, 1 7 3 8, in «‘ 4.

Heller attribue à Sigismon d Hahnl’

ouvrage suivant , qui est de Jean Si

gismond , son second fils

P eterswœlder Unten icht mon Kraf t und Wii :

8d 1weidn itz, 1 7 3 2 . kung desf risehen Wassers . Breslnu

Schid ia q rænosi.. avecnn 0puscule 1

845, in 8 .

de J .—G . Hahn. ( Adelung . Comment. de mb. in

P srehrolusia v eterum renovata med . gest.)j am recoeta oder wieder auj ge

in 4 .

G aundbmnnen .

BAHN (Jcan—Godefroy de), fils duprécédent, naquit à Schweidn itz, en Silésie, le 18 janvier 1694. Ilmontrad e bonneheure d ’heureuses d ispositions . Après d e bonnes étud es faites dans le gymnase desa ville natale il se rend it en 1 7 14 à Leipzig , où il eut l

avantage

d‘

être admis dans lamaison du célèbre Jo . Bi1mkard Mencken , etd

y lier connaissance avecMascov , Kapp, Richter, Triller et autressavans , dont elle étaitle rendez— vous. En 17 15 il soutint sous la

présidence de Schadær une première thèse , et il en présida uneseconde l

année suivante ; dont il était l’

auteur, et qui fut soutenue

par son frère , pour obtenir le grade demaître en philosophie . Il

H0ratio de mutuo matheseos et che

mise aui io. Utrecht, 1 768, in-8 .

Oratio de med ico speculatoæ.

Leyda, 17 75, ln-4 .

0ratio de usu wenenomminmedi

cina. Utrecht, 1 7 73 , ia-IÇ. E ditio nova . Leipzig, 1 7 75, in

-8 .

( Meusel, Lexihon . Marx d ie

Lehre v an den Giften .)

HAIGHTON (‘

J01111 chirurgien d istingué de Londres docteur

en médecine etmembre de la société* desmédecms , vivait à la findu dernier siècle et au commencement de celui— ci. Il a écrit un

certain nombre d e mémoires , qui sont peu étendus ,mais intéressans et pour lesquels ilmérite d

être connu

Thehistory of two cases of thefractured Olecranon withsomeâ emarÆs.In Medicalcommen tariea 1 785,LIX,

p. 382 .

A n A ttempt to ascertain thepowersconcerned in the act of w miÿ ng . Me

soph. transact. 1 7fi ,p. 190, etinMe

d ical facts and 0bs., tome VII, p. 155.

An experimentalinquiry concern inganimal impægn“ion. In Philosoph.trpnsact. 1 797 , p. 1 59.

A case of tic douloureux or pain

moirs ofmed . 800. of London 1 7 89 f ul aff ection of the f ace successf icl{rtome II,p. 250 . Two experimentson the mechanism of ;vomiting sup

plementaly to a paper lateb* read be

fare this society . Ibid . , p. 5 tu.— Selon

Haighton , le vomisœment ne saurai t

avoir lieu , n i par les seules contrae

tions de l‘estomac, n i par celles d es

parois de la cavité abdominale ilfaut

que les n ues et les autres concourent

ensemble pourle produ ire.case of orig inal deafness with

the &ppearance on dirsecticm Mem.

ofmed . Soc. 0i Londou , tome Ill,1 792 .

treated by a d ivision of the afl'

ecæd

nerve. In Med icalrecords and reseat

cheb selected fromthe papers ofaprivate medical association .

Londres

7981 P‘ 9°

A n inquiry concerning the true andspurious Cæsañ an operation, in whichtheir d istinction are insisted o n prin

cipa ily witha”

view to f orme a moreaccurate estimate of success to wichare annexed some observations on thecause of the great dang er. la Medical

records and researobes selected fromthe papers of a private medical asso

Experiments made on the la:y u clarion . Londres, 1 798 p. 2 42 .

geal and rectÎmnt branches,

of theeightpair of nerve: witha view to

La b ibliothèque de la Société médico—chirurgicale de Londres conserve

determine the ejf ectt of the d ivision of un manuscritde Haightog s intitulé

those nerves on the 'voice. Mom. of Lectures}ouphy siology and natural

ed . Society of London, tome 111 philowphr. in-8.somla date de 1 796p. 42 2 . (Reuss das gelehrte England .

Case hj dmphobia, In‘

London k oh. Watt. A Catalogue°

0f the Iicd. Journal, tome VI,p. 36 1. 6rary qf the med . and chir. Soc. «yA n expa ünentd l

‘ürgciy concerning London .)the reproduction of nerve:. In Philo

10

Rapport ( suivi de soixante—trois ob Mémoires de la Soc. royale—

demédesa vations et deux Supplémens ) sur les cine, 17 86 .

effets d'

un remède proposé (par Pra Rapport sur l'

état actuel du cours

dior) pour le traitement de la goutte, de la rivière de Biévu . Mémoire defait à la Faculté demédecine de Paris, laSociété royale de médecine , 1 7 89.

duministre de l‘

intérieur. Paris, 18 10,ia-8.

Observations surlesphénomènes etles v ariations gap présente l

'

urine

considérée dans l‘état de santé. Mém.

de la 80e . royale demédecine 1 7 79.

Détail: des expériencesfaites pourdéterminer les propriét et les eff etsde la racine de dentelaire dans le trai

tement de la gale. Hétu. de la Société

royale de médecine, 1 7 79.Observations sur d eux ouvertures

de cadavres qui ont présenté desphénomènes td s—d ifi œns de ceux que

semblait annoncer la malad ie, Mém.

de la Soc. royale de médecine. 1 780

1 7 8 1 .

Mémoire sur les effets du camphredonne‘ ù haute dou , et sur la pro

priété qu’

a ce médicament l i tre lecorrectif de opi1m. Mémoires de laSociété royale de médecine , 1 78a1 7 83.

Observations sur les parties W la

tiles et odomntes desmédicamens tirésde? substances p e‘gétales et an imales.Extrait d

'

un mémoire de Lorry . Mé

moires de la Société royale de médecine, tome II et tome V.

Réflexion sur la fi rmsecondaire

et sur l‘

anflm dans la petite—whole,

Mémoires de la Someté royale de médecine, 1 7 84-85.

Réflexions sur le traitement de lamanie atmbilaire comparé à celui

de plusieurs autres maladies chroniques, et sur les avantages de laméthode évacuante dans ces maladies.

carte de la Bièvre.Mémaiœ sù 11 807

piété royale demédecine, 1 7 89.

Procès-«verbal de la 'visite fa ite l4long des deux rives de la Seine de

puis le Ponb Neuf j usqu‘à la Râpée et

la Gam, le 14 février 1 790. Hémoires de la Soc. royale de médecine,1 790 .

Observation d'

une atrophie iä opathique simple c

’est—à -d ire qui n

'

a été

précédée par aucune malad ie primitive ou antérieure , et n

a été accompagnée d

aucun accident et d’

aucun

gymptpmc étranger. Mémoires de l'

In.

stitut (Académie des Sciences), t. I1 798.

Rapport sur l‘

examen de la mé

p4 r l’

im alafion de la m ine. Mé

moires de ”Institut, tome V, 1804.

Histoire de plusieurs v accinations

pratiquées Lucques dans les moisde j uin et j uillet 1 806 . Mémoires del‘

Institut, tom. “II, 1807 .

Exposition des faits recueillis j us

qu'

à présent concernant les effihdela v accination et examen d es o bj ections qu

on etfaites en dÿfflmnsmaps,et que quelq uesperson a [ont w enn

«m cette pratique (avecM ollat

Paray) . Méta. de l’

Institut t.XII

1 8 16 .

Extrait du rapport fait à .la classe

des « sciences phrsiques et mathémtiques de l

Institut national au nom

de la commission chargée de v érifier

l’

çÛicaefléde la gélatine animale dansle traitement desfilm intem i

1a HALdernes, et l

un d esméd ecins les plus savms qui aient vécu en aucun

temps , était de Berne, où ilnaquitle 16 octobre 1 708 . Ilmontra dèsson enfance des taleus etun amour du travailqui n e sontpas de cetâge . Aussitôt q u

il sut écrire ilrangea par ord re alphabétique touslesmots qu

ilapprenait et dont on lui donnaitl’

explication . 11com

posa ainsi une espèce de vocabulaire chaldaique,hébraïque et grec,auquel il a souvent eu recours dans un âge plus avancé. A d ixans

il composa d es vers latins et allemands qui étonnèren tsesmaîtres; ilse vengeaain si d e la dureté de son précepteur en peignantdans une

satire latine tout le ridicule de son pédanfi sme. A douze ans ilavait

extrait du d ictionnaire de Moreri , et surtout d e '

celui de Bayle

l’histoire deshommes les plus célèbres dans les sciences. On lui avait

donné une leçon à traduire en latin ; il la r‘

apporta tradu ite en

même temps en grecavec la plus grande pureté.

Son père, qui tenait tout son b ien de sa place, mourut peu'

d e

temps après, et le laissa, à l’

âge d e treize ans , presque san s for

tune.

Jusq u’

à l’

âge de qu inze an s ,Heller se livra ent1erement à la littérature et à la poésie . Il éprouva à Bienne un malheur imprévule feu ayant pris à lamaison dans laquelle il demeurait il n

eut

que le temps de se sauver avecce qu’

ilavait d eplus précieux,c’

est

à— d ire avec sespoésies. Relisant quelque temps après les vers qu'

il

avaitainsi dérobés aux flammes, et surtout plusieurs satires genre

pour lequel il avait le goût le plus vif et le talent le plus décidé , il

se détermina à les y livrer d e nouveau , et il fut assez courageux

pour faire ce sacrifice à la bonté de son cœur.

Un secret penchant le détermina. à étud ier laméd ecine . Ilpartit

dans ce d essein pour Tub ingue en 17 23 . Elie Camerarius et Gecr

ges Duvernois y enseignaient alors avec célébrité, ce fut d’

euxqu’

il

reçut les premières leçons d‘

anatomie et demédecine .

En 17 24 Georges—DanielGoschwitz professeur dans la faculté

deHalle‘

en Saxe avait cru découvrir un conduit salivaire derrière

la langue . Duvernois se joign it à son d isciple pour démontrer que

ce prétendu conduitn’

existaitn i dans l’homme n i dans les quadru

pèdes.

Entralné dans une partie de plaisiroù lui et ses camarades s’

eni

vrèrent il résolut d e ne plus boire de vin , et il s’

en priva pour

toujours.La grande célébrité dont jouissait alors l

université deLeyde yconduisitHaller en 17 252

HAL 18

Pendant queBoerhaavaenseignait lamédecine et la botanique

Albums, toutjeune encore, démontraitdéjàl‘

anatomie; ils donnèrentàHeller desmarques particulières de bienveillance. Mais ce qui lui

inspira surtout le goût de l’

anatomie etlapassion du travail ce fut

le superbe cabinet de Ruysch, où aumilieu de tantd‘organ espréparés d

uneman ière surprenante, il aperçut un vieillard nonagénaire

d essécbé par les ans , mais toujours laborieux etactif. Animépar desi beauxmodèles,Haller travailla avec tant d

3rdeur que sa santé

en fut dérangée.Un voyage fait dans la Basse—Allemagne avecdeux

d e ses compatriotes le rétablit etpeu de temps après son retour à

Leyde , le grade de docteur lui fut conféré al’

age de dix-huit ans.Ilchoisit pour sa thèse le sujet qu

’ilavait déjà d iscuté Tubingue

conjointement avecDuvernois. Ilfit voirdans desplanches très—exactes la veine qui avait été prise pour un conduit excréteur.

Après avoir été reçu docteur, Heller quitta la Hollande pourvoyager en Angleterre . Ily vitHans—Sloane Douglas et Cheœ lden.

Tandis que son esprit s‘

éclairait dans le commerce de ces grands

hommes ses études de médecine se pcrfcctiormaîent dans la visite

assidue deshôpitauxavecdesmédecins expérimentés etpar lapra

tique de lachirurgie qu’

il se rendit familière . En quittant l’

Angle

terre ilvint en France où les Geoffroy les Jussien s’

aü aebèrœ t

lui dès qu’ils l

eurentconnu . Le Brun fixa son attention par ses le

çons et ses opérations chirurgicales.Winslow surtout qui fut son

maitre , fut toujours un de ses amis les plus chers et le modèle

qu’

ilproposait le plus souvent à ses disciples :la passion naturelle

deHaller pour la vérité lui faisait d istinguer cc—

savant entre tous

les autres parce que celu i-ci se déclara toujours l

ennemi des systemes etparce qu

il se bornait à peindre fidèlementdans ses écritsce qu

il avait observé avec perspicacité dans seshab iles d issections.

Heller auä ‘ît voulu prolonger son séjour à Paris mais il se vitobligé en quelque sorte de s

en échapper. Ils’occupait lad issectionavecunprosecteur nomméLagarde lorsqu

un particulier, voisin de

son appartement eut la témérité de faire une ouverture aumur deséparation . IlpoursuivitHelleren justice et le contraignit de rester

caché long— temps.Haller s‘

exprime de lamanière suivante :Banc

d iscendi Opportunitatemmaligna curiositas apérarü turbavit qui

efl'

ossopariete quid ageremspeculatus means nomen ad viros

publiræ securitati præf ecto: detulit ut graverpæna1,f ortê m‘

.

1A HALremes effagtrertz, intendummt

‘hifait , etdeserendamdavera. Ri

blioth. anat. t. 2, p. 196 .

Avant de retourner à Berne son projet était d‘aller en Italie ; la

faiblesse de sa santé l'ayant empêché de faire èe voyage , ilpartit

pour la Suisse , où il passe quelque temps auprès du célèbre Jean

Bemouflii, professeur demathématiques à Bâle. Il s’

y livra entière

ment à ce nouveau genre d’

étud e et ne quittaBey 10uilli que quand

ilput réd iger lui—même les lecons de son illustremaître.

De retour à Berne en 1 729 B allet se livra a l'

exercice de lamédecine avec toute l

activité qui lui était naturelle, et avec le succès

qui l'

accompagnaitpartout.On refusa àHaller laplacé demédecin d

unhôpital qu’

il acllici

tait en 173 4. Une injustice de ce genre n’

a rien qui doive étonner,mais on sera sans doute plus surpris d

apprendre que les admin istrateurs qui l

avaient commise, eurentlecourage d e la réparerpeude temps ap

rès , en lui donnant cettemême place qu’ilremplitavec

distinction'en 17 3 6 .

Ses talens pour l'

anatomie étaient tropmarqués, pour que larépublique de Berne ne fût pas tentée de lesmettre àprofit. Elle fitconstru ire, en 1734, un amphithéâtre pour les démonstrations d

a

natomie dont il futnommé professeur.

Ce futà peu‘

près à cette époque qu’il publia son recueil d’

odes

et d’épltres en vers allemands . On y trouve les traits qui le caracté

tisèrent toujours une grande sensibilité, de la noblesse ,de l’

éléva

tion etde laphilosophie. On peut d ire queHaller est le premier q uiait faitmarcher d ’

un pas égal les taleus du poète avec ceux de l’

a

natomiste .

A des taleus aussi décidés pour la poésie Haller joigmit desconnaissances très— étendues dans la b ibliographie etdans l

'histoire.

Il eut occasion de les développer en 1 735. Ayant ét mmé alorschef de la b ibliothèque publique de Berne , il dressa un catalogue

raisonné d e tous les livres que cette collection renferme , et ilran

gea suivantun nouvel ordre,plus de 5000médailles anciennes, dontilfit une table chronologique .

En 17 36, la régence deHanovre lui offritune chaire d’

anatomie,de botanique et de chirurgie à Gottingu e. La promesse qu

on lui

fit d e fournirà toutes les dépenses nécessaires pour l’

exécution des

grands projets qu’

il avait formés l‘

engagea à accepter les trois

places.

Hellercommentaitetexpliquaittous les ans à sesélèves les insti

:s nat:

afi jonr 111 1747‘

ses P‘

rim‘

rt: l1‘

n‘

eæ phy siolog‘iæ ouvrage où tout

est exacte:concis, etdontl’

apparition annonça aumondemédicalQue deserisais laphysiologie seraitune science positive.

u n ans après, pa s…: grand e,Æ m‘

ortelk physiologie déHat!Œ ,

-Œ vmge km nu — dessus' de tous led éldges qu‘

au p‘mfi ‘Mit

faire ; et il l’égard duquel on péüt

dire qr}te jamais; 1111 aucun temps;c‘

l d ima aucune science ou ne vit paraitreun ( râl16 quimm.—amas

d‘ânemanière aussi complète la somme de toii: les faits ofi servés ,de toutes les notions acquises, qui fit!

“aùs$ i conipiëtè

‘mentdégagéet d ont l

‘auteur aussi & u&it que Savant se

fit titl *êœ oir et“fù t eirétat , comme Haller de‘ rapporter cliàquë

m m; chaque remarque utile à son‘

véritflbl‘

è auteur} E‘ é?aitnir

phenomene remarquable de von l‘1mteü f rester libre deuma

'

semü iœ «é«.ms 111 systèmes i1nagiflés poæiæ‘

expliquer 1es‘

mystères de la vit!haleine . ll seu—n na‘!vefimrt l‘es Pâit8 et‘ il les

décrittous sans aucunepréd ilection parceque sa q iñ tè stflft‘mas:

ils fonfi tous partie intégrante?d e'

la'

science'qu'il tfä itë. étä ît cb fl £

vaincu que lei hypothèses serventm‘ô in

s ä éclairerl‘esprit (f1f à flat.

propre età—égaret

i la'

raison, que là vérité et lespréjugésles aecnéditcnt qu

‘elles fontredouter l

expéfl efiœ qui est‘lëur tdm

beau, et qu’

il arrive à ceuxqui ontlemaib eüt de le5‘

ptéfä el‘ â

'

l‘ob

servation d e la nature ,ce qu

‘épioü væ1t tant d

‘hofi‘

fifleä tp:è les ro

mans dégoûtent de ‘l'histoire.

01111reprochémumd«wô_

& pmd ign£ l”

érfidïtïob sanssapfiyn'

d ï

logic, confine dans ses cœü‘

mmtnires sin‘ Boerhaave . Ce réproefie

prouvemoihstmd€fi ü ’rëeldansces Ouvrages,qu

unegranddlëgèm&cher ee0x qui l

’omfait:Comb ienHall‘etÿù"Œ t— ii paè

‘ab‘réÿé àou

vail sa‘

maretranché d e ses…ugæ; !es utiles eltam lqu

‘on y

trouve !Huis comb ien ne‘

lui doit— ‘

où pas de reconnaissaü de pour

m irprésenté ce tableau rapide des anciennes‘

déeofi vcfl'

es’

äü r chak

qué.rhatiètæ, pour avoir faithonn eur à chacun d es sç_rv ices qui i!

avait rendus , pou‘1‘ avo ir conduit si…od émeùt aux sources de

la science ceux qui.veulent en profiter. Il“n

est point un“eompfl a

teur dans génie qui entasse tout' ce qu

iltrefl e sons”

d iscernementles ouvrages deHaller seraient impafl ä iæ sains son érudition . S

’il va

puiser à toutes les sources ers’i lrapporte de toutes parts les faits

déjà 1113 et le.. rq n es‘

111131 faite s iln’

en est pas moins richeen idées qui lui apM fl éfi î , les répand dans ses ouvrages avec

M ignlité , et‘

11n’

y parmis—as économe que—deEme‘wates ces sempmpic5ùHeller;«fui ontagrandi lascience

HAL sg”

vii son dŒ Sfi1é; ilt‘a—utm asq uerd

unemastère particu 4

lierë , êä usè de l’inflticficé qu’elles ont eue sur laméd ecine tout

entière , au déconvefl és ét ses vues sur l’

iù ltä bŒtê , surcette force

inconnue, cachée dans l"o1gahisatidn d es animaux, entièrement d istitlt:té de l’élasticité et de toute autre fotce commune aux corpsinerganiq

‘ues, et dont quelques espritsmo in s réservés que lui ontvoulu faire l

un ique principe de toute vie . Haller eut à» ce sujet,avecWhytt; Lémure, Lorry, Leest et d

‘autres, une d iscussion dont

l’m urd e lavérité étaitlemotif de part et d

‘autre, et où l

'

on trouve

d ’

ai lleurs cës égards et cette retenue q ue tous leshommei et surtoù‘tl

es savant se doivent réciproquement.

Mais il c'sttemps de reprendre la vie de Haller. En latsænt de

unepourunmomentses travauxlittéraires,nousnecessero‘

nspoint

de trouver pour lui d es titres d e gloire dans ce qui nous reste 1

d ire .

La régence d'Hanovre voulut faire usage de l

’hab ileté , et tirerparti du génie de fi filler, se servir de la con

fiunoe d ont on Phenotaît urs éta

bfissetñefl s utiles . Ohfondapar ses conseils un Beau théatre d ’une

tètnié. Œ Œ bllt un jard in botanique, et on bâtit dans le voisinageun e maison à Haller pour lui en faciliter la direction . L

université

dut à fi het «à ses soins l’

éü b lîssem fl:d’

une école‘

où de jeun es416s s

’èxü cjaient faire des d essin s…q …et b otan iques

avec laprécisi on et l’

exactitude que ce genre exige ; lacreation

1fi cä bfiœt de préparations anatomiques; celle d‘un M ége de

dont il fut nommé d irecteur , et cèlle .d‘

une école p‘

è 1ir

tés u èkæ miaæs . !:nfin c’est Haller qu‘on doit —la a mas de ta

sdeifi é royale d es sciences de G1fitingùe, qui futSous Sa présidence,et qui est réfl ée d épuù

une des académies les plus célèhœ de

E n…. Une création de Halle—r, qui n’

est pas indigne de figurer

à côted e esfles qui viennent d‘etre —ind iquées , ce fut lapublics…

d u journalme.—1…d e Èoü ingoe , que son active collaboration

m intint long— taupe au premier rang des recueils du men é genre .

Nous'

ne parlerons pas des titres et d istinctionshonorifiques quivinrent de toutes partschercher le pmfæsm de G otfingæ ni de:

tentatives 1…e1 que‘

firentplusieurs souverains p‘

bur l’appeleret

le fixer dam…états.

Halleravait passé d ix— sept ans dans l'université dent ilfi n it ‘la

glieifie , N ü p‘l‘iùa

nt avecun zèle qui ne œ d èrñentîtyamms, les pénubles fonctions de plusæurs prù… sréunis.Les gmndrouvran

HAL

qu‘

il avait entrepris lui faisaient souhaiter de pouvoir d isposer pluslibrement de son temps. L

état de sasanté le sollicitait encore de

rentrer dans sa patrie .L’humid ité dese nvirons deGottinguclui était

nuisible . Il se trouvaitpresque privé d e l’

usage d’

unemain . Il crai

gnait lui-même de voir d iminuer son ardeurpour le

»travail. Il ohtin t aomois de mars 1 753 d e la régence d

’Hanovre, l’

agrémentd

aller en Suisse où il se fixa pour toujours.

Ce n‘

estpas ici le lieu de présenter Haller redevenu citoyen de

la république qu i lu i avait d onné la naissance occupant successi

vement les places les plus importan tes du gouvernement avec le

zèle desmeilleurs patriotes , avec les lumières et l’hab ileté de celui

qui n’

aurait jamais été qu’

administrateur ouhomme d ’

état. Les ou

vrages qu’

ilpublia sur l’

économie politique prouvent qu’

ilen avait

fait une étude profonde, etqu’

il y avaitporté lamême ,jŒ tesse d’

prit et lamême profon deur qui caractérisent toutes ses autres prod uctions .

Haller reprit b ientôt la suite de‘

ses occupations littéraires“

, etde

puis lors il étonna le mond e par l‘ mbre et l’immensité des ouvrages qu

’ilpublia. Il suffira d

en vo ir l’

ind ication dans la b iblio

graphie qui suivra cet article, pour partager l’

étonnemefl :de ses

coutanporfi ns.

Mais parmi ces ouvrages il en est cinq dont nous ne pouvons

nous d ü penserde _parler ici , car on ne connaît que biŒ 1 —impaü aitement, quand on les ignore, le prod igieux savoir de l

’homme quiles

,

composa Ces ouvrages sont les commentaires de Baker sur le

M e thodus studi i@1ed £ci d e Boerhaave, et,ses B ibü otfiêq qes,d etan ique , d

anatomie , de chirurgie et demédecine pratique . Faire le

recensement de tout ce qui a jamais été écrit sur les sciencesméd iacales , classer tous ces ouvrages par ordrerhronologiqne, ind iquerà 1

égard d e chacun d’

eux ce q u’

il renferme d ’origi nal, et qui ne se

trouve pas dans les ouvrages antérieurs, porter.un jugement sur sonmérite, telle est l

effrayante tâche queHaNer osa s’

imposer, et dansl’

accompü ssement de laquelle on peut ,d ire qu

i l a s urpasse, non

seulement tout ce qui s’

était fait avan t lui en histoire et en bib lio

graphieméd icale mais tout ce que possédaient alors dans lemêmegenre les sciences dont la littérature était le mieux cultivée.La vieillesse fit sentir de bonne heure ses incommod ités. à un

homme usé par tant de travaux il essaya plusieursmalad ies graves , et tomba dans un épuisement quimit fin à ses jours le 111 dé

cembre 177 7 il étaitâgé de soixante—n euf ans.

HALP our suffire à tant d

ouvrages, la vie deHaller avait dûêtre trèsoccupée . La lecture des livres n ouveaux qui lui étaient envoyés d e

toutes parts était le seul délassement qu’

ihse permi t. Il couchaitdans sa b ibliothèq ue , et q uelq uefois il passaitplusieurs mo is sans

en sortir il y prenait toujours ses repas , et lorsque sa famille s’

yrendait pour les partager avec lui ilréun issait tout ce q u

il avaitd e

plus.cher aumonde . L

anecd octe suivante, donnera une idée de son

ard eurpour le travail. Peu de temps après son retour d e Gottingu‘

e

à Bern e, en montant l

escalier d e l’Hôtel— d e— Ville ,

il tomba et se

casse le bras droit. Le traitement en fut confié à un chirurg ien hab ile . Haller l’oublia b ien tôt pour ne s

occuper que d’

y suppléer;et dès le lend emain son chirurgien le trouva au milieu de ses li

vres, écrivant facilemen t avec lamain gauche . Son amour excessif

pour l’

étude avait influé nou » seulement surs on caractère ,mais encore sur tout ce qui l

env ironnait; samaison était d evenue le sanc

tuaire d es sciences touty était consacré à leur culte . Des élèves as

semblés en gran d nombre sous sesyeux dan s sab ibliothèq ue et dansson amphithéâtre ,ses enfans , sa femme elle-même, qu i avait apprisà dessiner et à peindre afin d e se rendre utile , ses amis et ses concitoyens se faisaient un d evo ir de contribuer a ses travaux Cette

impulsion s’

était commun iq uée de proche en proche; lui seulrecueillait tout suffisait a tout , animait tou t.Haller était membre d e vingt

- trois académies ; c’

est— à«dü e que

toutes les socie1e‘

tés savantes de l’

Europe avait tenu àhonneur de lecompter parmi leurs membres.Voici la liste des ouvrages deHaller

D issertaä o experimata et dubia de

dactu saliuali Cwebmiziano. Leyde ,

1 7 2 7 , in-4 et dans les D isput. anal.

selegç , vol. I , et dans les 0per.amt.

minor,, tom. 1.

F ermob Schweitzerü cfier Gedichle.Bern e , 1 7 32 ,

in -8 (anonyme ) ; édaugmqat. rbid, 1 7 34; ibid. , 1 7 4 3;Got

tin guc , 1 748, in-8 1 75 1 , ,in—8 ;

ib1'

d ., 1 7 49 , 1 75 1 1 753 11758 ,

ia—8 ; édition plus complète ,_Qat

finew 1 768 . i‘

m—8 ; onzi ème elder

eièf °é‘lîtioa soignée. sans 1‘

flPteacvBerne , 1 7 7 7 iu—8; réimpressions

Dantzick 1 7 43 ia—8; Zurich,3750 iri-8 ; 1 758, 1 762 , 1 765 , in 8 ;Vienne 1 76 5 , in

—8 ; Berne ou Ulm,

1 7 7 2 ia— 8 ; en allemand et en fran

çais , Zurich, 1 750 ia—8 en fran çais,

parV . T. Tachamer,Go ttinguc, 1-7 50;

ia Zurich, 1 750 ,ia Leyde ,

752 , ia-1a; Zurich in

corrigée et augmen tée , Berne , 17 60.in — 12 ; Paris ,

.

760 in —8 B:

ome ,

7 7 5 in—8 . Plusieurs d es pièces

contenues dans ce ont .été

réimpr11nee _

s.séparément, .et.H&M…en d iverses langues.

H4Ll et“ , ( a: «en er

_

zicÀœ{e Wa isçnbnas betrei æqq

1 155 1“ 4751 Zurich. 1758 111—1;

.

et fi n:. leswlîkùu te«tækfi &chrfi ça

du pouê« k emw . I‘

m— ta.

et in Open minor., tome II.

d es os. Lausanne , 1 758 , ia— 12 , et in

Open minor…tome I I..Ç :çperiences sur les parties sensi

ôlçs et imtaôles . XV parties. A Leafam ,

1 759. i.M æ.N oyammplantarnq1 du cripü ones

ad societatem rpg 1am G,ottingensemmi«æ . 1 gôo , in -4 .

4 d ennnçerationem stirpiumheb e

ticatnm emend_

anonei et g uetaria.

Berne , 1760; Pars Il : Ç nrn ÿ iscek

Ianeis societatisprivata;eg cnsa.Turin,

1 760 ; Pars III : Bâle ,1 76 1 ia—4 ,

etdans les A ct.Hein z. a. V,° Pars. IV

Berne in— 8,et dans les Act.

lle/9.1. 9 n, p…. 63,

Pars VI :Miri. 1 765, ia-4 . Unenou

vellq édition des preæière, secondeetqeetf îèmç partiesramàliâlg sa1 765, in —8.

E çymeratio stirpium 3114 ! in Helnetia ran ore

_

s pron n iuÿ . Lausanne! 26Q îQ’ 80A d versus illustris A n t

_

on ii de ”nen

@fiïcultates Jpalogia . lb id , 1 761, in

8 ; Berne , 1 7 6 1 ,in 8 ; Lausanne ,

97

dans les $ I,eine tratsche $ chrifl en.

Expériences sur l’

évapora tion de

l’

eau salée . dans les Mémo i1eq delAcadémie des sciences de Paris. Enallemand , sous ce titre :

_Kurzer A us

zug und B eschreibung der Salzwerkeim Amte A elen . Berne 1 76 5, ia— 8 ;et dans lç Klein . teutsch. Schrif te_n .

TI1. a.En franç .:Description des salines'

du gouvernement d’

A ig le; tradnitepardeLease àYverdumNouvelle éd ition ,sous ce titre :pes Hen n °von Haller

ü ber Schweizerischemlzwerlce

,11111Autzôaren allgeme inen

Anwenaung en 4 11[d10 g esamrn te Salzwerkskuçzde dure/1rgesehen berech

d 1nit*vieÏen Z11sætz€n keraas

°von KarlChnä tianLanq orf .

Leipzig und . Francf01t 1 789 iu-8.

Historia stirpinm ind ig enammHe!y etiag tamns ( Il cum iconunç volu

n,1ine . Berne , 1 768 in—fol. ; ouvrage

entièrement neuf.'Npmenclator exhistoria plantamntind ig cnammHelvetue excerptus. Ibid .

,

1 765 ,1n—8.

Principutn artis med icæ collectio.

Lausanne,

1 76 8- 1 7 7 4 , 1 1 vol. la 8.

Kleine tençsche Schrif ten . Berne ,1 121 17 12 ,

3 parties , ln-8 .

B&lioti;eca Qotan ica . qua scripta adrem herb

_

ad am facie1itia a retma

1(utns recensentnr , tomus I . Temparaan te Toq ra b rtiüm Zurich

,1 77 1 .

Toma: Il, a Tourmf ortio 4 11

1 36 2 . En allemand , parH. K.Hirsel. tempora . lb id . a u in -4 .

Zurich 1 76 1 , ia— 8 . Usong cine morg enlændische Cc

Operaminora emendata nacta et sch1clzte . Berne, 1 7 7 1 , 1n

renovat_a  na toniiqa adparles corpo.

ris immanimtgles an imales natural“ .

d‘ou} . I, Lausann e,1 766 ;T. Ill, etRelptipi1 des

A Boo 1264 in 4. En allemand

‘ "

7 ‘ s 111-8 ; Berne , 1 7 72 . ia—8 ;

Berne 1 7 7 5 , in 8 ; Berne , 1 7 7 7 ,

in -8 ; rcnnprime à Franc[011-sur—le

Mein , 1 7 12—8. En français :Lan

sanne , 1 7za , in— 8 ;q is, 13 7a, in

— 8 .

En anglais (parJosephde Plan ta)

H 3 1

M êfl â‘

e 1æ1»1,1:111111)tkÿu‘

ôlo“

trs «1111n » ,tu: 11

gù , M s IJ M odo… ray onne «au }111 M e1 d1plb 1 734 .

aù‘maä l âkæüomm lù , pdt Vat En fi rm Hal/v 1‘ugafimk

u ne de M e” . k f n q ä t inùehw Huee h Jafire

1140» 10 lol h—8. 1 945611 17 76 1 rmmü ’W fl

Hallgra{oui-ni a…hea_

neound’

ai geben widmi1 «vend u dam-n AH1; _n d

ticles a liée par de Îm

ä£ ü aus d er Gesc 1c£e und Litte

J J J JJ

Ë ëlice et unemu itu d extræta der fledæin begfezlèt 41011 D. Ï .

Ü. Usær i su‘r

Blind , Bèrùè , 1 789 ,fi er hnd Jter

la., 1 991 ; 111a8:Eùu a‘

1 pafl .

'

Œ n :m .W «

qwäao—u w wm nmäÆ .e m

—l .Ü"

aô1na21: f:œr 11111;B&M; 1781:

a» . ame.»‘

une 1111 111311! vet.mM rsä . eä sd1 æNflwnue; I 7M 8 8‘ 1 740 ; Wal—9 f?”

.avi—r W …gm Vol: i l} . Ep‘ mb , d m . 7tom‘

FT“i £‘l‘ a !âfl t°

1760 ibi% 1w6,W a s;publiapar1D eux parties .

.æm111 doi:“

Toum M y3…fl M poü it’

Le:flux. Gy m A b o-dm Hul… a , a‘

1hr

pb pfl n’

y»m ler “ dm…na‘ wd amep‘m ad!

M sbü ü . «%m W pnfi M M M»)W W W UW N F »

HAM … (Gm a—Eaaam) naquit à 161111,le dwdéebmlære1697 , de Georg es

—M t… 13… dehælæ'

ü ufirgñ es

et d e bhys imœ , et d e .80phie—w he8pñ fl iü . finir phfihü dm æ

lesp ai n s… d e lag… .…iub e1 A . Sr. Bam furent

m ü ahe‘ chas ses Dèsmïphhjeu…ameer,Ham………véæù aü em ioù pèb rhpéflflfi læ« Il ä happü à £œü

HALgwbmd ühM um,mel on!

qu…d ümde mèch4Üm 1710 43!

u m M m:. Awd un: Mc acta:

n ibw an'

nd iæ tur. Iam 1 7 48 , in—4 .

Sa d wlcn z‘

boæ au Horrt: Hofi athEaü cr in Ga t£$ægm wogm einer in

da ga tfing ü chæ gvkkfimZaùungvn

b fi nÆù /wa Ram d amd u Hamk a

Ta m im bem . lens 1 7 48

în-4.

D i s. exponens un ius pulsadonis

prada—

q“, guaUmu dod o. Inn ,

" 4 89h“De afi ahmä ‘m. Ienp, 1 749, ia

—4.

De og io . Iena, 1 749, in—42

D e,

emen‘

corumagend imodo et usa .

Im“. 1 7499 ia—4 .

Do Pùrgantîôu:. lena 1 749, ia—Ææ.De exantbefltaä ôm sÿ edz

'

atbn de

purpura . Iena, 1 749 in—4 .

Prog . I-I de aêf e cdrp0rfbn: in

dmc. Iena 1 7 49— 1 750, in-Æ.Di x. de dalan in gamm. leu:

1 750, it:

Dcmig ü us . lena 1 7 50, km,.De rÿgidî taæfibmrum; Im , 1 750 ,

De nutritîom. Ieha 1 756, in— 4 .

Prog . I -IV, de percer» maktadñn i; cum. fena, 1 750— 1 751, ill-4

D ix . d e siti . Iena 1 751 in — 4 .

De scirrho. Iena 1 75 1 ñu— 4 .

De naturaf ebris. Iena, 1 7 51 , ia—4 .

De scorbuto f rig id o . Iena, 1 75 1 ,

i t:—4 .

m i, q u modo ago.d i rem«ä 0mmW M :» a lçfacimtz

um. Iena,

" 51, ill-6.

Dc amùmibœ . lena 1 751 , in-4 .

Do M mbimæm «a…b oa,1 75 1, i

a-4 .

Da«tomb caw it in M om. lu i

1 7 5 1 ia— à .

guamprætä rfi ataræh‘

bzæ. lent

Di“. de dpapkær‘

a. m 176 9 ,

De atdæia. !ena inoc.

ad d iseerædæ et pmpoæa tdavan 8wieærz‘

co‘mmä zmrio irtp rhd d

ou Aphorismos, de cognoæahdù

ma ticù «(q u amœmœ; p n pmcup rfl l

l“û lou , 1 751 , in

Din , “fichu: pq fltab gîam..d ivPMM . IO“ , 1521 ill

Da frigo" srmp£c…. lem17 52 , in.—4 .

D e ulcerampatholog ia . Iena 1 752 ,

Do obstrdctionc. Ieña 1 7 53 ia—4 .

D c:ujfocatione. Ï ena 1 753 ih

De trerùofc. feta, 1 7 54 , ia—4 .

De gdnàrænd . Îè‘

fi ä 1754, 11134 .

D i n. :istens observation : qua—«lun:

dliIÜd . l'

u n 1754 , in—[r

De ênfl' nMd doæufl: tM rùu un

1 754, tri —'

A.

Da e rt‘s in car

'

pon‘

kama»aMæmd :

1 74 7 , 111

Observatio de singulan‘

imped i

man to mpi mdæzù a wù wa b

my lo a gwa‘

a hy oida‘

ma:w lomm.

In Act. Acad . Natur. Curiœ . vol. III,

p. 285.

Vorrede zu G. W Wedel's Tenta‘

mon botanieum. Iena, 1 747 , ia — 4.

ùmles &hnfœn der t ca Ge

:c efiafl au Icna.

Après le mort de flmhæger les

ouvrages furent publiée d’e

n , 1757 , ia—8 ;W ., 1 769, ia—8

Bamba—gel avait comme…lui

cet abrégé de ou grande physiologie.

La mort l‘ayant arreté apr'hqu‘

ilont

finit le septième chapitre c l fut

de continuer l‘

ouvrage. Le

Gr….W go, 1 76 7—70, ia— 8 4 vol.

(Comment. de rebut in med.

M er.)

man u chirurgien irlandais né en 1728

mort à Limerick en 1807 a écrit d eux ouvrages assez estimés surl’histoire de son pays qu

iln’estpas de notre sujet d

ind iquer ici . Il

est connu desmédecins comme auteur des ouvrages suivaus

A M ise on the fl amme or parution. Loudu n, 1 765 ia—8.

Dublin , 1 750 , 1 753 ,

in-8. L‘

auteur expose, lapre

û oc les opinions des Grecs et des

Arabes, et celles des modem» ,surla

Elle apour siège le criatai

liu et ne diffère pas du ghucome. Lea t:u etc n

est autre

que la capsule devenue vide par la d

w fpfion d_e q ietfl liu. L‘hummr

se reproduit en fort peu de

taupe. Critique de Hilmer etde TayIer,et de la méthode opératoire de

Acomykæm r£æoumgu neM J

splaacelus witha newmethod of aut

O'Hullon n ne tente point la réunion

immédiate après l‘amputatî01: il ne

cherche à réunir qu‘au bout dehuit

A tn ati:e on dc_

Ûîærent di sorder: of

HAMILTON (Anu man ), docteur enmedecine membre de la

société royale d'

Ed imhourg , professeur d’

ucconcbememà l’univer

sité de lamême ville , et membre du collège royal des med ecins ,mourut à Blandfield , près d

Ed imbourg , au mo is de juin 1802 .

Reçu docteur en médecine depuis «1 737 il exerçait son artavec

d istinction depuis plus de 35 ans quand il commença à écri re.

… !ni—n ü ne n‘en vit pa l.

et ce int Fu cilur çü

MM m«kuä mon“: d idi:

ac simaldopm:tanä a theories Hamk rgcn

'

pmccm,profanes est Era.

God . Bald ig æ . lm,1 76 1, iu—8 .

Semioä æbc Vorkmngcæ über I a

doÂ* Lem on:medicinü ehe Walmnd c

drea, 1 793 ia—8 , et dans les Tran

saction: of the noo irishacademytome IV. Lesprincipes de 0112110

ran surles ind ications du trépan sont

justes etappuyés sur une longue expé

ricuce personnelle de l‘auteur.

(Haller. — Bea .— Koh.Watt — Us

teri .)

HAM. 37

Hamilton futun desmeilleurs auteurs anglais sur l’

obst non

que ses ouvrages se fassent remarquer par rien de neuf ou de

propre à l’

auteur mais parce qu’

ils sont écrits dans un bon esprit

et que lesparadoxesn’

y abondentpas, comme dans quelques autresouvrages anglais de la même époque . Hamilton était partisan du

forceps;mais il n’

admettaitpoint l’

usage de—

çet instrument, quandla tête était au détroit supérieur.

D ist. de mrbi: on iumipsumseb

nis oñ nnJù . Ed imbourg 1 787 .

Projet d’une nouvelleméthode pour

rétablirle cours des règles des femmeslorsqu

’elles sont supprimées. Jam e l

de médecine, tome II ,p. 2 3 2. Cette

fi t} . Londres, 1 7 75, ill-8, 293 pp.

A tree tite of midwfi v œmpmhend ing the management qf

'

fimaIecompla int: and treatment of Childrenin early i nfg zcr. Ed imbourg 1 7 80

in—8 ibid ., 1 78 1, ia—8.

Outline: of the theory en d practice

of miM fi ry . Edimbourg, 1 784. ia—8.

A set of enatomicel table: withexplorations , and e bridgment of fice

practice of midwÿ'w , W. Smellie, a new ed ition, W ed and re

Edimb0urg, 1 786, in-8 .

Tree tü c on d e management of j e

sey s on the practice of miM fi v .

Ed imbourg, 1 792, ia-8.

practical on its n duofion .

Medicalcommenü ries, 1 7g 1 t. I “ ,

p. 3 15.

(Heure de : geM fl e

Osü nder.— HohWatt.)

HAMILTON (Dawn), écuyer,médecin de lareine d’

Angleterre,membre de la Société royale de Londres a vécu à la fin du 17

siècle et au commencementdu 11est auteur d’

un

dont voici le titre

duple: , priorlep…mh‘s , citer defoi n a lien . Acca

ll t. 1 7 10, ln—8 ;Ulm, 1 7 12 ,

petit ouvrage

in—8.— M le premier traité,l‘auteurexpose: Quels sont les devoirs du

Ikk s de l’

art, et avec quel soin en

n ele enmplainb , end qf ehiIdren inu rb iÿ

'

ancy.Edimbourg, 1 792— 1 797,in— 8 ; 51À edü . mü ed M enla g ed ,

by D . James Hamilton . 1805 , ia—8 .

6 t't ed it enlee withItints fl r tfie

treatment of the principal 4infante and children. 1 809, inc—8 .

Tradu it de l‘

anglais par P . T . D., shrevu par le citoyen J. M., medecin.

Paris, 1 798, in—8 .

— ù vrsgs fait à

l'

usage , non des médecins mais dugen s dumonde et des sages-femmes. Il

y a néanmoins quelques observations

intéressantes.

Letter to D ' WilfiemOsborne on

38

doit lb M alin 3° oe

«:il faut observa pour ordonner le.

m èdes à propos . Ce dernier article

comprend trois règles : la premièreest de ne se fier ni à la saveurma l

dear des médicamens pour juger dela

vertu qu'ils peuvent avoir, mais de

s’en rapporter uniquement à l

usage et

à l’expérience ; la deuxième, d e choisirlee remèdes les plus g imples , et en treles plus simples , ceux qui sont le

plus appropriés à la nature de le m1ladle ; le troisième , de ne combinerdans les compositions mdd icameu

q ue desmhstenees qui s‘

asso

cb nt b ien , et non des agens qui te

M ens l‘

un l‘

autre. Ca di…HAMILTON (Romer), né à Edimbourg en 17 2 1, y fit ses études

médicales , et fut reçu docteur en 1 788. Attaché au servicemafitime il voyagea sur d ivers bâtmens et fut quelque tempsmédecinde l

'hôpitalmilitaire de Port—Mabon . En 17 48 , il s’

établit aLynne,dans le comté de Norfolk, où il restafixé jusqu

à samort, qui arriva le 9 novembre 1793.

Thought: on a td bähing fund apd better m änne in that dsj or sichsold ier} and their wiws. Lon pertinent. Wh«rein are Werepersed

dm, ia-8. media ! J necdotes and wbigatA dumpdon qfthe inflnw e with equal(y inuœttü g to even:

its d istùzcâon and method of m e. Pm itioner. Londres, 1 788, 2 vol.

Londres, 17 82, in—8. ill— 8 deuxième éd ition : 1 795. 2 vol,Remarhs on themeans of obviating

the fatal rfl'

ects of the bite cf a mad PracticalHints on Opium, consideDog , or other rahid An imals with red as a P oison. Ipswich, 1 79 1 , ia

—8.

Observations on the method of cure Observations on somf ulous qfeewhen Hydr0phoôia occ

'

urs ,

and the tion: Withmmerhr on schirms,can

opiniom relative to the worming of cer, ahelrachiti3. Londres, 1 791, in—8

Dogs refi tted wmo—bad ”…plu . Rala fi r rem…persons meant.lspwicb , 1 7 85, in—8 . An enlarg ed edi ly dmwned . Le…, 1 795, ist

-8.

tion. Londres, 1 798, 2 vol. in —8. Observations on themarshren1iæent

fl e dati“ cf aW a s—l‘… fi ver mm petï i« kÙ le regard to

« n eü en l withO…iomou lui: its ep‘

pe… end m ns muy na

M eabfisesb ea,-ç æd fl ïm rsb tun e , w a M M A.

see , on les! j 6nee0 « si ete

vstionsparticulières demaladies .

Il y deu; choses ‘

a d istinguer

dans le Traité de lafièvre milia irela théorie qui est fortmauvaise et la

partie pratique qui est d‘

un bon ob

servateur. 81fivsnt E n fi n,le flä te

milîsire vient d ‘

une shoslt£ ad ds

sursbondsnte portée par le sang à la

circonférence du corps où elle pro

duit les vésicules. D…observa

tions détaillées td mt l‘ouvrage

et n‘en ront p“ le partie ls n ains

utile.

( ü… M ac.— I…des & re nr.)

HÀMd t and its taxis nettrred c rions to ihe mem

W i!“ also on them m er truel Discharge°. Mat. comment.,or ayu den of 4æen Swie 1786 , tome I I,p. 33 7 .

Ammrhable case of nostalgi e, af .

Iondœ s, 180 1 , iu-8 . Ouvrage pos f eeting native of Wales aud ocean

thume :Withmemoir: of the; M tbOr’

s ring in Brita in . Med .

tome I I,p. 343 .

Le tters on the came and trea tmen t Remarks on the influen za that apof the gout, in whichsome d igressive peared f

in spring 1 7 82 . In Memoire 0!

remarks on o thermed ical subjects are med . 100. of London . 1 789. tome ÎÏintespersed . Lynn , 1 806, in -8 ou p.

Account of a Distemper, by theAccount of 11 suppression of brid e commn people in E ngland amig arÿ

by a tne à fit the bhd called the Mamps. Trmssct. of H.

der throughthe anna. In Plfi_

losopb . soc. Ed imb . , 1 790 , tome II, p. 59 .

M an et. 1 776 , p. 5 78 . Abfi dg ., case of a d isea sed testicle succes

«fine XIV , p. 1 1 8 . fully treated . In London med . jouvn .

,

Case of o‘

btfinææ cpilepsn sucen t tome W p. 172 .

fi lÿ Med“ by profi tse bieeä ngx Several instances of the g bod ef…œlm….fi efi. 1780 ,VH fi:cts of Opium în mortifications. Lon

p. 336 . don med . journal, tome V, pp. 75 et

J ecount of e mœe:fi :ll method of 190,

d ÎN ÙJGÈ mer caseofhy dwphofi a. Loud .med:easy and optant. Med . comment.

, jam—n ., tome

‘Vlï,p. 1 .

tome II , p. 19 1 Case of c'

vonhs d ischd *gèd through

0010of angiM pectoris,M which e n opening in the newel. Londonmed .

ii W J appear that the Jiœe sa it journ .,tom‘3 Vll,p. t i

“modale:hen ‘ù'

tæy . Med . ama n t. , (RenBs de s gelehrte Eng iùhd .

tome II , p. 307. t ab .Watt.)Histo»? of a case inwhichen epis

HAMIL‘

I‘

ON (Wumm) .médecin distingué s mourut à & aBÇ

œ u f s—Bu y , leW tü bto 1808 , Agé d e 36 ans , selon lbohertWi tt , ou d e AM , selorv $ mul. Ces d eux b iographe s seeerteimbfi:cntç earHelmi lton fut reçu docteur enmédecine à Ed imbourg en 17 79, et il

ne pouvait guère avoir alors mo ins d e v ingtans.Hamilton estauted‘r d

une bonnem0n0grapb ie sur la d igitale

pourprée.

D iss. de sanguine humano . Edit:»

Obscrmti0ns en 1116 pn pe re l‘ietv

utü t‘

lÿ oü uü 1‘

nü tn ü œ of the d ig itaIispurpuree , or af bxglove in drop

J £k ‘M COW Mrhege, scarlet fever measles etc

including a ehetrhof the ” M ü n

W f this pin” , and 4 8 .ofthe opin ions of those authors whhmwritten upon it during the last Ihirtyp ars. Illustrated b

_r cases. Londres

3 80 75 “l'as ““i f“fi°-ç 180

HAE.

HANDEL Gw aer— Tanoman-Cneurœn ) né en 1769, fit sesétudesméd icales à l’université de Marbourg y fut reçu docteur enméd ecine et en chirurgie l

an 1 79 1 devint bientôtaprèsprofesseurextraord inaire dans la même un iversité

, servit ensuite dans les

troupes françaises, en qualité demédecinmilitaireàl’

armée d uRhin,“

etmourut à Id stein le 9 février 180 1 . Ila publié un certain n ombred

0puscules qui n’

ont pas une grande valeur et que nous aurions

passés sous silence si on ne les avait ind iqués ailleurs sans dire lecas qu

on en doit faire.

D ias . de indole sigais d iag nortie is,

ussisque f ebris ardentis, monumen

pm sohmn iter capessendo in u& aque

medicine doctoris grade . Marbourg ,

1 79 1 , in pp. La Gazette de

Salzbourg donne une idée pen favo

rable de cette D issertation.

Specimen pharmaeopæœ militarüFrancc—Gallicæ conscfiptumet typit

mandatuma cire D . G . Th. Ch.Hand.l. Strasbourg vxde 1. liberté

54 PP'

Das Wùscnsmrtheste momumltenMatlen oder Wiesbade f ur d ie sichd essen bedienenden K e r

” ste aujge

setzt und zmn Druche be_/æMert mon

B ürgerDr. Q. Th. Ch.Handel.Mayen

ce , l‘

an VII de la république fran

çaise , in-8, 52 pp.

Ueber die j e‘

tzige P ochenepidemieund d ie ausgeu ichnete Wirhung

fort-eur—lc-Mein , 1 800 in—8 40 pp.

Ueber d ie gegenwærtig ,unter dem

Rindwiche, grassirendcKlauenseuche,de sdamü gm hnä chwrbundeneMaul

w0he und d ie hin und wiederhenschenù Leagenfæule Francfort-sur

lo-Mein , 180 1 ia—8, 3 2

P!"

An neymrmthf ü r unbemifl eIæ

HŒ DER (Jean—James } , observateur distingué , naquit à Bâle

Bürger—Famü ie.Hadamar, 1801 ia—8

1 30 pp.

Pharmacopaa laconica in commusumprœprimis san itati qui prospi

ciunt militam reipablicæ emeriærmnFranco—Gallia elaborate a ein D .

G. Th. Handel. Hadamar , 1801 in

8 , 44 pp. L‘

auteur dédie au pre

mier consnl Bonaparte son œuvre ,

qu'

ild it être le fru it d’une longue r6

fleæion et d’

une expérience N ite‘n ‘s.

Leichte und sichere BeiIungsart desbæsartigen Trippers. Hadamr, 1 80 1,i i i pp.

— L‘

enteuradopte l'

0pinimtde Todo sur la différence absolue de

la gonerrbée etdes affections sypb ili

tiques . Il recommande d ’

une manièretoute particulière le vob de gen ièvre.

K mntniss und Car dcr v enerü chenChanhers.Hsdamar , 180 1 in —8 , 36

pp. Hacker n’a point connu cet

opuscule de Bande! quoiqu'

on en

trouve un extrait dans un journaldont

il s’

est souvent servi la Gazette de

D is Wü isemheitdes Phosphore: inder Epilepsie in Hufelaud ‘s journalder pracfi sohen Hcflknude 1 799

a. 3 .

Hsndel a inséré en outre quelques

articles dans d ivers journaux.

Med chir. Zeitung . Meuse].

1

11111 45

HARD! (ha s), rhéd 1Bamaople, dans te Bamkim, s’

est

faitconnaitre par dés’rèttherches sur la

coliq ue de plomb , etpar

d es vues sur .

’lorigine et la nature de la goutte . Suivant Hardy la

colique du Devon shire n’

est autre que la colique d e . plomb . Elle

estcausée par lamauvaisehab itude qu’

on a de se servir pourcon. .

server le cidre et‘

le transporter d e vases d e terre vern issés dans

lesquels on l’

agite et'

le‘

laisse séjourner plus ou moins de tem ,

ce qui . nepeut se faire sans que cette boisson se charg e ,d

une cer

taine quantité d e plomb fourni par le vern is du vase. Cette quantité

estmême assez con sidérable pour qu’

on puisse en constater lapré

sencepar des expériences chimiques et c

est ce qu’

a fait l’

auteur

dans des essais sOtü entrépétés .

Il ne fautpoint que le sujet de l’

ouvrage d e JamesHardy le fasseconfondre avec un a1itreHardy ,méd ecin de Rouen , professeur de

chimie dans cette v ille,et membre correspondant de laSociété

royale de médecine, qui a aussi écrit et vers la même époqueen sur les s0phistications du eidrë et lesmoyens de les

reconnaître L’

ouvrage de .fames‘Hazdy a pour titre

-4Æ æ…… of .whaths H… 111 ü -h‘

olby’

t…en tte

«humai ne:du «clic of Peüqu lf ‘M9 M ° ‘ 7 30 r

“M1DÊVQÜ‘ÂPÏ 1; “W J, Œ d

Omñmcfi u mmdcd tamcfrm‘

n thetrue cames of the guy t. Londres1 778, it!

—8.

. …ANT (N) conseillermédecin ordinaire d e Stan islas, rat

d e P ologne , agrégé ord inaire du collège royal de Nancy , profes

seur de chimie,méd ecin de l'hôpital d e St. — Stanislas, sous—directeur

de académie des semences , arts et -bellæè lettræ de Nanny , morten

17 7 7 auteur d es aptitud es suivans :

de Bagard,,premü rméd_£cin séance publique de .l’

4œflfihie debdurmde Polar” , etcNancy. 1713 ocienw de 111 -a fi n. ville. et…,

19—75 ; inA8 80 pp. —l a l

‘ü lllpfl v

Mémoire ,—mr 161 James qficts .du monce Mühoite dans la q1mtü mad lwnâ avec le 4504 ild a partie de l

‘ouvrage intitulé Éfaôk

.m«cures e1 des observationsfisi1e.gà Na z m t d es…de.gym le mice; la dans une ( M ob — Hey . )

HARPER (Annnxvv) médecin anglo— amérieain, du fort Nassau,à la?:aü dm . de la garnison anglaue

a 1’

fle de Bæhama

, a faitprobab lementses études médicales en Europe , etñ aitaaaÏa donte aLendru ù l‘epoque où -furmtpub liés dans cette ville

les deux op… qui l'

ont fait connaître. La vie de l‘

auteur est

restée ignorée depuis et nous n’

avons d’

autre motif de le supposermort que l

espace de temps qui s’

est écoulé depuis_ces publications.

A treatise on the real came and d icel essqy ,

conta iningm and facure of insanity in whichthe nature miliar instructions f or the attainmentand d istinction of this disease are f ully of healthhappiness and longcviÿ u

a phined and the treatment esta Londres , 1789 , in-8.

blished on newprinciples. Londres ( Med . chir. Z eitung . Huielahd1 7 89 ia—8 69 P!

The Πm onv ofHealthor a :ne

HARRIS Gsuru a) , auteur d’

un ouvrage B ug— temps célèbre

sur lesmalad ies des enfans , naquit‘

a Glocester vers l’

an 1651 . Il

fut reçu bachelier enméd ecine le 10 octobre 1670. Ayant embrasséla religion catholique en 1 673 il fut obligé de quitter l

université.

Il passa en France vint à Douay , puis à Paris. Avant d e rentrer

dans sapatrie, ilprit le bonnet doctoral dans une faculté de France.

Il se fixa ’a Londres où il eut bientôt une clientelle considérable.

L’ordre ayant été signifié, en 1678, aux catholiques romains de sor

tir de cette ville,Harris eutà choisir entre sa fortune et sa relig ion ;il préféra lapremière et repasse au protestantisme . Il fut alors plus

recherché que jamais. Il fut nommémédecin du roi Guillaume Ill,m1imonta sur le trône en 1688 , et fut reçu dans le collége royalde

médecine, dont on le nommacenseur en 1689. L‘

époque de samortest incertaine . Ses ouvrages ne répondentpas par leurmérite à lavogue de leur auteur et à la réputation dont ils ont long temps10111.

A f aremü to pqvay . Loui sa , q « m ä cu Londres , 1 705 ,

16 79 , i11—4 . ia—8 16 enüve ,1696 , 1 699 , ia-6 ;

Amsterdam, 1 7 15 , ia—8,Rotterdam,

dl“ . 1 7ao , ñu—8 ; Amsterdam, 1 7 36 , ia

PM C“M anti—smpü iæ or a 8 . En français , parJ Devaux:Paris

aunties on ehy niæ i and gab niea1n 1 730, ia—8 , 1 7 38, 1 754 , ia—1 9 .

med ias. Londres , 1683 in 4 . ibr‘

d . ,

16 83 , ia-8 ; 16 81, ia —8. descfiptio…iationi: … et.

Londres, 1 7: 1, in-8 .

dm ,1689 , ia—8. De mer“:

HÀR l,5

hali tæ in amphithentro eoü egi1‘meJi ris avait traduit du français le Traité

«namLonJinensim a GnaltheroHar desmaladiesm‘nêriennes deBle'

gny,

Londres, 1 7 1 5 , ia—8. et le Cours de chimie, de N . Lema y .

The great and w…l Work (Kestner. Haller.— lü oy .)

q d . d n s t 7a7 in—L — Hsr

HABSU ( Jscquas 1111 né‘

a Genève en 1 730 ,maitre en chirurgie , docænr en méded ne , mcmbre du Conseil dea deux cents en

1764 correspondant de la Société royale de médecine de Parismort en 1784 , s

est fait connaître par ses recherches et ses ehservations sur les vertusmédicales de l’aimant.Les seuls écrits qu

’ilait

mis au jour sontrelatifs à ce sujet. En voici les titres

Let” es (huit ) surles q0'

et:mêrlici Recue il des efl ets salutaire:Je l‘

ai .

eau: de l‘

aimant. Danale?ournal en 1nant dans lesmaladies. 1 781 iu—8 .

q cloy&lique 1 7 7 7 -1 7 79. Lettres ( Senebier Hist. lie. de Genève.

sur lemême sujet. Dans la Gan t“ de Bu ch. )“M J. 1780.

HARTENKEIL (Jaan— Jscq n1s) le fondateur du plus ancien et

d’un des meilleurs journaux de médecine qui existent la Gazette

ele Salzbourg , naquit à Mayence le 28 janvier 176 1. Il fit seshumen ites à l’école des j ésuites de cette ville . Il suivit quelque tempsle cours d

anatomie de Ittner puis il se rend it à l‘université de

m ourg célébre alors par son professeur Sieb old par son

hôpital Julius , par son amphithéâtre anatomique , etc. Il y passa

deux années, gagnant d’abord l

estimc etb ientôt toute l’affection deses maîtres Siebold , Brunn ingbauœn , Hesselbach, etc. Il quitta

Wurzb0urg en 178 1 pour venir à Strasbourg , d’

après les conseils

de Siebold , et muni de lettres de ce chirurgien célèbre pour

Lob stein, Spielmann ,Ostertag et Pfeffinger. Ilpartit de Strasbourgen 17 82 dans l

'

intention d’

aller à Vienne. Siebold le retint àWurz

bourg et le recommande à l‘évêque de Salzbourg q ui lui avait demandé un sujet jeune et distingué dont ilpti t faire son chirurgienen lui laissa it la liberté de faire auparavant un voyage scientifique

en France et en Angleterre . Après deux années de séjour à Wars

b0urg,Hartenkeü prit le grade de docteur en et soutint à

cette occasion une thèse remarquable sur le calcul de la vessie.

Muni de bonnes recommändations Hmæ lœil partit pour ve

nir en France au printemps de 1 785. Il futneçu dans lamaison deBa n k et profits avec tout le zèle possible des moyens d

instruc

46 amtion que lui offrait lacapitale de France, pendantdax—septmoü qn

ü

y séjourna. Au mois d e 3u1llet 1 7 86, l’

évêque de Salzbourg qui était

aux eauxde Spa , étant tombémalade, envoya une estafetœ Has»tenkefl pour l

appeler auprès d e lui . Il y demeurapendant toute lasaison d es bains . Le lord Cameelford d ont il—fit ren aissance chezl’

évêque lui donna des lettres pour J Hunter, pour Pott et pourd

autres—hommes célèbres il en eut d e Dæau1t, de Sabatier , de

Loui s , etc”

. Ilpartit pourLondres où ilfut ttrls ainsi en mme»imméd iate avec Banks Hunter, Simmons et toutce qu

‘ily avait

d‘hommes distingués enoh«imrgîe et enmédecine .

Harten‘

keilrevinten Allemagne aumois de juin 1787, ilpassaquelq ue temps à Mayence près de son vieux père , et se rend it-au moisd

août d e la même année à Salzbourg , où ilentra en fonctions de

chirurgien de l’évêque , avec le titre de

conseiller aulique. Il fut

chargé en même temps de faire des cours pour les chirurgiens etpour les sages femmes. Ilcommenca d ès—lors àpréparer la publication du journal dont il avait d epuis long— temps conçu le projetet le

plan . Ce fut en 1 790 que commença cette publication , et c’

est un

b eau titre de glpire pour Hartmkeil de l’

avoir soutenu pepdant

d ix—huit an s au premier rang de ,lous les recueils périod iq deJ

l’

é

poque , d’

en avoir fait le plus riche répertoire qui existe, et le plus

judicieux de la littératuremédicale de tous les pays , durant cette

période d e temps.Hu tenke il eut encore le mérite de faire toutce qui était en son pouvoirpour organ iser l

enseignement etd’

exer

cice de lamédecine militaire et civile dans l’

évêché d e Salzbourg .

Cethomme d istingué mourut lo 77 juin 1808 , 11’

ayant pas encore

achevé la quarante—huitième année de son. âge. .

Ou peut lire des

détails intéressanasur son caractèred une noticeque son succes:

seur Jcan—Nepomucène Ehrhartà mis en tête du volume de lazelge de Salä ourg avec lequelcommence sa rédaction .

Disc. pmu . Ca p. Siebold , de

mesi<:æ urimflæ calcule.Wursbourg ,

1 7 85, ia-4, 150 pp., pL Très

bonnemonographie.Bem. S ieg r. A lôîm

‘ historia fumeu

lommhominü . Camfîgar. PIII . Editio

allant riad: aueta. M clbrt et Leip

sj g (Baniberg); 1 784, ia avec au

Uaber Laudoa’

s KronÆIœj s N d

Tod ein md ic£n£scfte Fqbdq Tea:

scblaqd (Salzbourg), 1792, ia-8.

Un terrichtf ü r d ie Hebammen desErzstrf tsSalzburg ; neue ( mit desHermVerfassers Efi auôniss) merænalerteAttsgabemon prof:Flcker

‘s Unærfi cfit

fi r ds‘

d Hd mmeu: Salzbourg, 1 797

1 790—93, ill—8, 16 vd Herw gupk ;m Harta Æeü , 1 79‘ 56 vob

Ergamæg säamäs.x798 799

in-8, 1 1 vol. Universalrepu b

M TMANN (Ju n) , le premier professeur qui ait occupéchain publique d e chimie dans une université d

Europe , naquit

Amb erg capitale du Hu t—M athat Créé maître en phä œ ophieMarbourg en 159 1 et bientôt après nommé professeur d e mathématiques dans lamême université il fut élevé au grade de docteur

en médecine l’an 1606 . Ce fut quelques années plus tard qu’

il fut

chargé de l’

enseign ementpublic de la chimie science à peine con»

nue d e nomà cette époque , et q u’

il commença à faire sortir du

cbaœ de l’

alchünie . Pmismduparœ eü n eépnré, Ba l… fitd es

appli… utiles. de la chimie à lamédecine . Ses ouvrages eurent

un e grande célébrité. Dans les dernières ann ées d e sa vie il fut ar

ehü tmde la cour de Cassel; samortarriva le 7 décembre 163 1 .

Praxis cñf miatr'îca ,‘ Joanne M i

chaao et Georg ia Ew rhardo Ant. fl .

eJ îta Lipsiæ ,apud Gottofr. Gros

sium 1633 , in -4 . Francqfùrti apud

Cap. Rotetium. 1 634 in -8. Haie ed i

tion i aÿ œ tus est propter affinitatemmateria tractatus novàs de ok i: rva

f ils cfiimicè d est:lIa tis. Genevæ, apud

Petrnm Œ oüet , 1 64 7 în -8 . Ha ieed ifimi aaÿ

'

ecti sunt pmpter materia:

W ita'

œmtres & actatus novi I,d e

ole iswarii: chj mice destillæ is; Il Ba

silica antimon ii Hamed P oppi Thal5m‘

; III,Mami Cornacchin imorkadas,quâ cames corporis afl

ectio

ne: abhumori6us copia fuel quaü tate

peccan tibus chymwè et gnlenicè cu

rantur. Apud SamuelChoü et 1649,in— 8 ; apnd eumdem,

.rô59 , in-8 ; et

poston apud Leonard Choü et et so

cium ia—8 1682 ; Lugduni ,Batav09

rum apnd Jacobmn Vooru , 1 66 3

ia— 1a. Quæ ed itio recog nûa et pra:

omnibus hactenùs ed itionjbus emeuda ta est. Francorfuti , apud Johann .

Am.. Cholin 16 7 1 ill— 4 ; Noribergæ,

apud Wolffgsng Maurit. E_ndteræu et

Johann . Andr. Endteri hæredes16 7 7 in — I,. Inde/“so Labom et pari

chy m1atrz‘

æ eæpe.

n‘

entzâ ab mrmmeris istis mend is et falsatione çypog m

phicâ rm nd icata necnon oæ asione

67

cä mW eZ eü nq .U sb— r

t:7

22in-8. Univc nW "W

Jakrgængm , 119% 9 sa»

800 , and sa deu w1‘

sr

Lu ck : ete . [M ., 180 1 , in—8.

8œmmer«hi! apublie avecH

Îfl

A ag.…sehd os A u “:ä 3e TaM ks . l is l es…» m

msùrk und su‘

t Reg ister

m Auflags. [M on k -fl an ,ia—8 a vol.—

cd. l e…— Mau d .)

theorie and camcoran» sigais d iag .

m ticis cansis etpregnosticis pra

eipm mque totias corporis partiamanatomicâ descriptions illustratoralgue

tata a lolma.Ha kia Card tlacio. Gui

code:» M ü ncio authm , accessit so

diacasmedia nsire libeüw de cancar

dantiä medicarmn cumzod iaeo

cælu ti seaM ira domibus solisetlama earwnqaemirætiôus infl aentia

liôusmultifariù ,præcipaè tammquadruplici&us fa.aa quatuor trigonos

oen‘

am ignm , “mamet agneau ,

totiü mque pracipuas M iam con

plexiom n imimmsanguiæ aræ, cholen

cam melancholicam etphlegmadem la que leg itima sùnpü ciamcol

lectio efficaæ præparatio specificamixtio, atqne oppætuna administraa°

o ostend iœr tampro mdicm ä rü as

ae w getabü ibmpambiü 6us quèmip

Dz‘

atn‘

be de ummed icomia ‘

ocœmii. e. D isq ui:üo quomodo et qualia

corpore &m ao min ute ej asq ue ma

neate integn‘

tate.medicamnta inmummediu m transfer-ri que unt. A ntehacin Academia Marpurgensi d ictata

arme v ero evalgata à Zacharia Breadelio. Erfurt ap. Job. Reifienberge

mm,1635 iu-foL

D isputationes clu*mico—medicæ, sub

ej as præsid io ab al:quot medecimecand idatis et stud iosis publicæ cen

suræ expositæ, Harpurg i. Apud PaulumEgenolphum, 16 1 1 in -4 . Scena

da deind€‘

ed itio aliquot d isputation i

bas auctior. Erfurt, 16 14 ,ia— 4 . Oui

qu‘

oç ue acæ ssit philomphus , seu na

tttræ consulte:medicus.

Philosophes

ticpmfl sss‘

onis suse ab authore/actusetproductus. IV. Kai . Aprilis, 1609.A cceu ilpmg mmma pn6ü cumadphilowphiæ et verre med iciuæ itud iosos

,

criptionibas et u n remedb rumclaymicomm ava it.

Opera omnia med ico chymica . la

pmsa partira v erb j am ez authori:

in urmmw lumm congesta atqmpluribhs aucta à Conrado John nie.

Frsuc0furti ad Mœuum, apud vidomSeylerisnam, 1664 in —fol.

— Wi egleb Geschiclue der Chemie .)

Apud PaninmEgmolpbum, 1609ia— 8. Tractatus phrsico—med iæ s de

opio ia Iacemed ito:_

à Jah. Georg iaPelsfic]äro. Wittebergœ apud haredes Clem. Bergeri typis Johan . B ob

neri, 16 35, ia-8 ibid .

,1658 , in—8.

Epistolæ maria media s . Exstant

cumciuâ mä cô JohannisHOrm gt‘

.

Noribergæ apud SintM magœnm1625 in-4 .

ia Bas ih‘oam 0mllii , et Bmini {r

m irzian : dùpatatiære: c:md icæ quil—as accmit philosophas ,sire natura consulte :med ion: in itio

pn fessionis cly rhiatrieæ ab ipso pro

positm tractatus de opio miscellama medica—chymica et introduc

tio ia a:,italemphü osoph

am conti

i l. M

m ä m….

W M am. zum waou… 115. De bnp… etm.

pi da. 00sefi d fi0 164. N “IleObservat1o 86 . Ex epæ hy dropieo.

themate —pam&.fmœü . ooæmxa E:! pol.

J m 5 01 6 . 06mæn‘

z 103 . De

ana tome puen‘

phthidœ'

“M d !

Observatio 1 89 . Exhistofi â 0WObservat1o 206 . De molâ . tôntv gemeümm. M i”hlfl . 3 11110

—…væ i0 20 7 . De 11… f aæri 1 702 .Mense Mart. in P russia…Obs… 190 . BG sælfl 0 M el

Obeervcd o 208 . De natatd dep

Qæemwæîo 191. Est M 0fi ü i

Hu m ,per1nulÂebfi ä mom »:vi tre 00110 in ligament‘

ü rî e‘0'

âlü d

“f û t.

Observatio 209. Testi: gemeü tflfl’fi Obsewaü o 19â ; De JW

6111 huifid fl à mfœ—»ülw

A nno 7 et 0henætie 38. De Observatio 193 . D e sed…A n no 9 et 10 Obsermtîo 102 . En (Jœcb er.

— Manget— …J

HARVEY (GÉD ÉON fm t médecin anglais , mc[uit dû e la

pi otîme de Surrey . Après Woir étud ié la méd ecine M ât'

a

Paris , ilprit dans une faculté deFrance le b onnet de d û…Mù‘

fi l

d e ce titre, ilse fitagregœ au collège deLaHaye;mai. 1‘muufi .

la patrie le rappela en Ah‘glétä‘

re où ilfut nommémêÿecifi ô‘

i“di‘

fi nite de Charles Il occupa le même poste sous GuillaumeHI .

Il fut en_

outre médecin d e la Tour d e Londres,et jou it d’une

grand e vogue . Harvey mourut vers 1 700 . Comme écrivain il_

s’est

fait connaître par les traits satiriques, les mœ aæœ m d…q u’

il

lança con tre les méd ecins:de son temps. Dans un o uvrage intitulé

cond oué des M édecins , il lea'm en ait d…, selon

q u’

ils sontpartisan s du fer,08 laitd’âñeâæ,d fl t ñt fl ä ;des eatm

mütérâleÿ lié lasai gna d ti d es purgatifs . Il désigne €è$ 512885 parles noms de Iè

ñ elz, as £nd n‘

d, j esù1

lz‘

cd lè Qu inqui na portail enAngleterre le nom d e pondre des 1esu_

ites aquariq , lan‘

ian a et

s ter00rarù:. Les ouvrages de GédéonHarvey,montrent,œm e tant

d’

autres, qu’

il est plus facile d e critiquer lam…m…a q ue

d’

en faire de bonne.

N ew pfi nciplrs If pk1losopby . l.ou A d iscourse d e Plag e; 1.

dres, 166 3, ia —4 . dmc, 1665, ia—4 ; 16 7 3, in-8.

HADU0rbus anfl iew or the against their pad ents . With d is

0} ednsnü ption containing the na course on tbej esuites Bar} . Londr«

tune sig ns subj ects n nosti6s 16 83-86, ia-8 .

fl !ü mlioä âmi methôJ of curing Tite art of curmg tbe most Jasïge

d reampfiM s , œugü and spittîng i ôus Wounds , by the first in tention .

{ RM , le ” Jul is added some brief LOü dtü s, 1685, i 11-1

discourses on melancboiy , mad ness TI1e_fienehPoî , withet! il! kindt,

“ d ittm tid n , od asioned b] ion ; eue“. s igns ; the running of them

_

Louk« , 1666, 16 7 2, 1693, 111—8. rein s Jehatü ers , baba gleets and

The great Venus unmasbed or the ir cures. Appanä v qf obsfl afions

pafi ci discovery of tbe Francb d i nevery et d iscoyered by any . Londres ,sease and wimlent running of the 1 6 85, ia-8 .

fi iiü i 019115 “fi fi“M lad.t of Of tbe Shia” Pax , ànd maiig nan t« rfi ; I…. “MM , 1886 , iii—8 } flw r; witñ tfie amñ æmt methods à]il“. 1672, ih—0. toHug them and a on theHuit Vente i n… ; or pen. M dte1, 1 6 85, il o8.

f eet d iu oves;r of the FrenchPaz Art a mn€i mori—os expa J

eomprisin the opin ions Of most an itemde v an itatibm, dolis , etmembe”

iêùt‘

an rh'oJerä phy sieians withciitmeaÜcomm. A ccedant his pa reidæauthd f s]ü dgfilfl tt, été. LOfldtä p

'

uè3upposiia , etpbænomtna , quibustwo; JDM , £685; ine t. w w ». reæmiommç.æ dogmata «ts

fl M btü , tutti, phtkis‘i,‘

ltfl itrttd té tipo

M in ag

1615 in=8 pla te . esta temm:» 11 end .—œ ,» ü »

ang lais :Londres , 16 7 4 , ill

new treatise of tbe scorbuticpod : tar d iq ue w risimiliom tmduntnrâ 86 6 0" d iIÊN ÙG of 160 many po: Londœ g , 3 694 in. 1a AmterdamJ ÏÎÔHJ Of âhefetîèP03 and an “F 1695, ia

-1 2 ;o1698, 1n-8. En anglais

fendu d cà1u umai g'ow. tn nä reo. Londres 1689 , -1, an ., 1 693

tOi i ; iv 8. 111— i . En lulu , à i éc des hôtes deM au! as a new 811451 Pat‘it; 1130, i ii —ii , parties.

etw y of 1116 sein-Ü:Landau , 1675 , M afia en malt Pee east

il ‘8 M t, 1685,i.—8.

‘ 67 8

-ä , s

Ci ti1s ñ éÂico-cbimrgicus or a

”tôt! fiiethofä bü ê:à se‘

of a ñobi‘ an

M e d . u .a1m, 1678, 111—8.m ebM tl ëf fl :fi iä ans:tleæœ

mm…un:,paeù , am:plsu

HARVEY ( Gmu auna naqu it à Folkstone dans le comté d eK ent, en 1578. Après avoir fait ses étudesmédicales dans sa patrie,il voyagea pour son…c‘tMn en France , en Allemagne , en Ita

PcMeular dis i bnrse bn epinni dio

çod ium and otherheepiægmed id aet.

Lond res, 1696 , 111—8 .

.Ûiseourse ohtbe 'van ities af philosoj bf i mc! pèrsic

. Londres , 1699

1700et 1702, ln-8

(fiÔlk Wath M r. — fi ü ifi .)

56

lie et il se fixa à Padoue où la célébrité de Fabrizio d'

Aquapen

d‘

ente attirait alors beaucoup d’

étrangers. Après avoir étudié sous

ce grand maître , il prit le bonnet de d octeur à vingt—

quatre an s ,

le 25 avril 1602 . Il revint dans son pays et s’

établit à Londres. En

1604 il entra dan s le collège de médecine et fut nommémédecind e l

’hôpital Saint Barthélemy .

Nommé régent en 16 13 ce fut dans le cours de ses leçons qu’

il

exposa pour la première fois sa doctrine d e la circulation du‘

sang .

Sonmérite commença alors à se faire connaitre etle roi le nommaun de sesmédecins en 1623 .

Sa d octrine d e la circulation qu’

il avait laisséemûrir quelquesannées, fut enfin livrée à lapresse en 1828 .Malgré le rang queHarvey tenai tdans son état, etl

accueilfavorable que ses confrères firent

à son système, les préjugés con tre tout inn ovateur étaient alors si

forts que dans une lettre de cette époque qui s’

est conservée, il se

plain t à un ami de ce q ue sa pratique a considérab lement d iminuédepuis la publication d e son ouvrage. Iliatd édommagé d e cettehumiliation par l

estime et la faveurd e Charles L’mtérét que le roi

prit à sestravaux fut très-utile a ses recherches sur la génération il

fitmettre à sa d isposition un grand nombre d e b iches pleines pourlesd isséquer. Il lui donna un e autre marque de sa b ienveillance en le

nommantpouraccompagner le ducd e Lennox dans ses voyages. La

guerre civ ile éclata.Harvey, attachéaCharles I°”

par devoir etpar

affection , le suivit d i ns ses voyages , et futnommé en 1645, par le

roi , garde du collège deMorton . Samaison de Londres fut,_pillée.

Ce qu’

il en regretta le plus , c’

est la perte d e ses papiers qui cou

tenaient beaucoupd'

observations anatomiques principalement surla génération des insectes. Harvey ne posséda pas 10ng

-

ten1ps la

présidence du collège de Morton ; Oxford se rendit au parlementHarvey revint à Londres , et il vécut d

'

unemanière très— retirée tantôt dans la capitale , tantôt a Lamb eth, ou dans lamaison de sesfrères à Richemont , en 1651 . Ce fut dans cette retraite que son

ami Georges Ent vint lui arracher ex?quelque sorte son ouvrage

sur la génération , qu’

il n’

aurait jama1s publié. Aumois de décrubre de cette année le collège d esméd ecins éleva en sonhonn eurune statue dans la salle d

exercice aveccette inscription :

Gulz‘

elmo HmveioVivomonumentt

s sa111 immortaä

58 Hquefois le passage dans les artères . Ce syst

’u ne , énoncé dans les

œuvreshippocratiques , fut principalement soutenu par Érasistratc.Galien approcha i e premier d e la véritable doctrine , en démontrant

que les artères contenaient toujours du sang dans l’

an i1nal vivant;

que le ventricule gauche du cœur en contenait aussi , etmême quela contraction des artères chassait le sang dans les vemes Iln

’ignora

pas q ue le sang versépar les gros trOncS vein eux dans les cavi

tés droites du cœur, passait (en partie ) du ventricule droit dans la

veine artere pulmonaire , et dans les division s de ce vaisseau dans:les poumons mais il s arrêtu la. il acl—mettai t que le sangtrouvait dans le ventricule gauche y était vénu d irectemen t du ven

tricula dro it, en

passant a travers les parasites de la clo ison qui

les sépa1e . L‘

Opin ion de Galien ont une autorité inviolablependmfi

q uatorze siècles . Vesale confirma l’asserti0n. d e Galien que les 1114

tères con tiennent toujours du sang. Il prouva ,par deseapérienw

sur les artères que le cours du sang faitdans ces vaisseaux, du

cœur vers les extrémités ; que ce mouvement est rapid e et violent,et que q uand le Cœur se contracte , les artères se remplissent. Ilôbserva que , dans une artère coupée , lemouÿement du sang ces

sait au-dessous de la sect et qu’

on pouvait l’

y rétablit en méttant un tube a la place du morceau de vaisseau qu

on avait coupé

il d it aussi que si l’

on fait une ligature à une veine , la partie ll

plus proche du cœur s‘affä isse ; et cependant, cont1ad icte irement

à tous ces faits , ilsuppose avec les anciens que le sang se ment ducœur dans tout le corps au trave1s d es vein es .

Quelque temps aupa1‘avant, Servet, dans un ouvrage théologique,

avait n ié le passage du sang du ventricule droit dans le ventricule

gauche ; il avait reconnu que , du premier de ces ventricules le sangpasse dans l

artère pulmonaire et va se d istribuer dans le poumon ,non pour le nourrir ,mais pour y être élaboré etpurifié par un es»

prit qu’

ilreçoit de l’

aai1 respiré, et par l’

exhalaîsou d ’

une matière

fuligineuse qu’

il expire . Il avait souten u enfin , et c’

est ici surtout

qu

il avait dépasséGalien ilavait soutenu que le sang passe des ar

tè res pulmonaires dans les veines de même nom, et de là dans le.

cœur gauche . Cettepartie importante du vrai système n'

était cepen

dant pomt fondée sur l’expérlencc, c’était seulement pour Servet

unehypothèse 1ngénœuse qu’

ilImeiltété di fficile de so uten ir,puis

qu’il ignorait la force du cœur pour pousser le

_

,sang et l’

action de

sesvalvulespourd irigérlexercice decette force.En RealdoGo

lomb o décriv1tplus cxàctementlepassagedusangducôtédro itaucôté

60 BAR.

Aumérite éminent du tend l‘

ouvrage deHarvey surlacirculation jo int le mérite de la forme . L

auteur éclaire d ’

abord la route

en écartant les erreurs de l’antiquité; ildécrit ensuite lemouvement

du cœur dans un an imalv ivant , ilmontre sa structuremusculaire ,les contractions alternatives des ventricules et des oreillettes

,l’

ef

fet qu’

elles doiventavoir d e chasser le sang avec force dansles artères déterminé dans cette direction par le mécan isme des valvules. Enfin il établit tout le système de la circulation . Il termine ce

traité par des ob servations originales sur la d ifl’érence d e structure

du cœur dans d ifférens an imaux, et à différentes périodes de la vie .

Nous n‘

ind iquerons point ici les nombreux adversaires que sus

cita àHarvey lapublication de sa découvà te,n i les défienseurs qu’

il

trouva. Nous renverron s pour cela à un mémo°

n e inséré dans lei

A ctaphib sopbommd’Henmann , et dont nous donnerons le titre

'

a

la fin de cet article .

L‘ouvrage de Harvey sur la génération,renferme, à côté d

‘hypothèses etde raisonnemensmétaphysiques qu

’on n

auraitpas attendus

de l’

1nventeur d e la circulation , une foule d’

observations exactes

et curieuses de physiologie et des £aîts int… sur l‘

avorte

ment les accouebemens laborieux et sur d iversesmalad ies de l’

Exercitatz‘

o anatomica de mmcordù et :angm

nis în an imalibunFrancfort , 16 2 8, in—4 ; Loyde, 15391

ia—4 .— Eæeæ üationu duæ anatomicæde circulationb sä agm

nù ad Job. Rio

IammfiL Rotterdam, 16 49, ia-1 a.

Oum rej utæ icm‘

bus Æ Parùae i et

P rimem ü . hy de , 1639 Padoue ,164 3 , kms ; 1646 , ia—4; Lyon ,

1647 ia—4. Avec 8piàel ; Amsterdam, 1645 , ia—fpl avec une préface

d e Sylvia: Delehoo Rotterdam1648 in

:1a. Cumdupüci indice

aècem‘

t d is:. de corde doct. lac. de

Bad (præfl Rotterdam, 1654 ;ia— 1a ; 1660 , 16 7 1 i i i —1 2 ; Genève

,

16 85 ñu-foL; Glam vv, 1951, ia—1m

EM E. S.Alü no.Leyde, 1 7 3 7,in-4,

et dans diverses collections. J‘

rad. en und Pam el la act.

anglai s Londres , 1653, in—8. philos. 1 7 19, 10° fi er. — Balla d

Exerc1‘

taàbm de generations ani

malium quibmacceduntgaædamdepartu de membmm

: achum fi ôu

uteri et de conception . Londres

1 651, in—4 ; Amsterdam, 1651, ia— 1 2 ;

166 1 , ia— 12; Padoue , 1666 , ih-ra ;L1

'

Haye, 1680, in— 1 Trad .m1mghb1653 ia—8.

Thomas PM , who d ied “ the age q1511 y ear: and 9 matin . Philcaop.

treneecù , 1669. A bridg .

, tome I ,p. 3 19.

Open:emma. wllsg.mod .md in. édito 1 766 , ia

—4 .

(Pope_Blm t,£ çmmauthor, ete.

— Aikiu B iogrt'

mc1noin , ete.

HASHARWOÔD ( sn Bustea né à Newmarket, fit ses classes à l

u

niversité de Cambridge.Après un apprentissage de quelques annéeschez un apothicaire , il aobeva ses études médicales à Londres. Il

passa b ientôt auxI ndes orientales , où la guérison d’

une blessure

grave qu’

avait reçue un prince du pays lui acquit de la fortune etde la vogue. L

étatde sa santél‘

ayant forcé de revenir en Angleterre,il fut admis dans la société des antiquaires etdans la société royale

de Londres En 1785, il fut nommé professeur d’

anatomie d e l’université de Cambridge. Ce n

est qu’

en 1790’

il reçut le grade

de docteur en médecine dix ans plus tard ilfut choisi pour professer laméd ecine domestique au collège Downing il fut fait

chevalier en 1806 et ilmourut le 10 novembre 1814.

synopsis of a couru qf kea res and plyæiolog . Famic I ., ivitb 15

ma a ony and phy siology . Londres , pla ts. Londres, .1 796, ia—4 .

1 787 î1’ 8. (BGBŒ r ROB. Watt.)Amum qf œ ny am£iæ mm

l—IÀSENEST Ju n—Gronou né àWindsbeim le mai 1688,

y commença ses étudesmédicales etfut les continuer à Altdorf oùil reçut le doctorat en 1710. Deux ans après il fut nommé médecinpensionné d e sa ville natale et en 1 7 17 médecin du prince deHohenlohe—Scbflling ; en 1 7 23 il se rend it à Erlang en qualité de

médecinpensionné de la ville et du canton de Brandenburg-Bay

math; il quitta ce poste en 17 26 pour revenir à Windsheim, et

laissa Windsheimpour Neustadt en 17 30. Cinq ans plus tard ilre

çut le titre de conseiller.

etmédecin du Marg mve d’

An spacb ; il y

joignit celui demédecin pensionné d’

Ampachen 1636 et celui de

conseiller aulique en Basenestmourutle 22 octobre 17 7 1.

Oratio -de oculi humani fi zôn‘

eà‘

qwd masi: windrhenü eM u: w ie

dixit. 1 708, ia—4.

Dm. pmu. Hqfi'

m m, speeimenduquisiti0m

s M em c æ

A horf , 1 7 10 , in—4.

D isr.,pmu. Prenons, superHippo

emtis aphorismum 50,:ectioui:

Altorf, 1 7 10, in-4.

D in . de imerfi gù«. Ahorf 1 7 10

111—1.

Z tçflnehtderer die mit Gliede_

rge

bmcheu undmehremKramlheüm ge

plagt sind , ,de s ist , zwar matte:aber dock in Herrlièi1en Proôen als

ein gnadengeæhen&o Gotta: bcfundene Mark-Buæhmkeimer Wild bad .

Nuremberg , 1 729 in—4. lili: einer

Verrerie v om superint. Sp0md nen

aufgrkg t. Ibid . 1 768, in— 4 .

Der medioini ælze Richter oder

62 HAnmä ci «M ai uma 1 786 H:auf

Première partie : M ach 1755

ñu—4 ; deuxième partie , 1 756 tro i

meme partie 1 757 quatrième partie , 1 7 59. Haller s

exprime ainsisur ce recueil: Rei gestæ historiacollegü medici jud icium, auctorls epi Wœhsmuthnü sis,seVerior in un iversum.» Weehs — Mensel)

HASENHOERL Jrsu—Gsonct s d ont Van 8wleten changealbnomen celu i deLagusio quand ii alla en Toscane , n aquit à Vienn e

le premierme i 1 7ag . Il .fit ses études dans l’université de sa ville

natale et y fut reçu docteur en 1 7 56 . Il devintméd ecin de l’hôpitale spagnolde Vienne , puis conseiller et médecin du grand d uc deToscane ,

Léopold , plus tard proto—médecin de laToscane L‘em

percur Franç ois II en'fit son méd ecin en 1 792 ; il le nomme en

1 795 conseiller d e la cour impériale etroyale 11 Vienne. Hasenhoerlmourut le 20 décembre 1796. Ila pei1 écrit mm&63 onyx

n‘es

fruit d e l‘

observation ,offrentde l

intérêt.

Din . deaôortu, ej usque observations . Histori a med ia: trim mor&omm,

Vi enne, 1 756, i a -4. qui arme 1 760 fr;quentiu îtnè bç nj

sit e f ebr‘

i:peœahialù , ç uæ aB anne £aüiiiam otre…fm finü nte 1 757 cd m m 1759 m i aou . 7 £em , xfi æ, in —8.

nhæhM …)HAVEBB ( Cmmu au… anglais , use—bre d e la…

royale d e Lcndres,_qui vécut dan s la seconde moitié du xv 11°siècleetau commencement du s

est fait ce… pardes recherchès snrla structure d es os , q ui onteu lœ gæen pæde la cfl éhtä émais qmcontiennent plus d

‘hypotheses que d’

obse… li es»

wrage où sont“posées cesrecherches estd ivisée-cinq d iscours, q uia vaient été lus successivement à la société royale.Lepremierü aitedela stucture d e l

os et du périoste ily a des ob servation s exactes

sur cette membrane fibreuse et les vaisseaux qui s‘

y di stri buent; le

d euxième est rempli par deshypothèses singulières sur l’

accroisse

ment et la nutrition , le troisième estrelatif a lamoelle ,alamemb ancetaux M M 6 $ ; le quatrième traite des glandu

V

n uthau port. le f… t

Continet binmifi: flhl' ph“! «mtioma ü eüW …r 0?iod i0içcollegio med ion lan adam—üsufl

'

ulü , in quim pi ttîÿ an

temseveritat_q mi; ta ahivia tamgu

comulenda.

(Heller.letÏmLwala.

HAY 63

eynovhlct, auxquelles le nofn deHavers a_ étélong— tempsattaché ; lecinquième des cart1

lages, notamment de ceux des côtes, àl’

occœion

desquels ilparle dumécan isme de ces os dans la respiration. L’

ou

vrage de Havers contient des remarques‘

sur d iversesmaladies d esos et

,de leurs dépendances , il,: pour titre

W ah…v w «bn »

ration: of the bone: and ahpb”:hdu…M d e of

the mroä an ad W u :M a

dbæumq{ ä ow ü u«. in—8, 111…1691, 30—81 ü i& . un e.

ia En latin Ulm Fr… »

1 a , in — 8 ;Amsterü m, 1 7 3 1 , in—83lË l k, 17 34 , ia-8.

W GOM Heedü g aHkq d« got, a »Haller. M .Watt.)

HAYM RTH decreaæen médecine,membre de la societéroyal. de Lond res, d e la Société des sciences,et de la société royaledeméd ecine d ‘Ed imb0urg de l

académiemexicaine des arts etde;sciences praticien à Chester et ensuite à Bath, fut un médecin d eréputationdans ledernier tiers du siècle passé, etau commencementde celui-ci.

_

Ilécrivait encore en M us ignorom l’

ép _

e de

samort.Hayamthavaittenu note da ta plaç ant d es obaeä îo«ns

qu’

il avaitau nm iun de accueillir dans salongue pratique, et leur

s‘

élevaità C’est d

aprèscesmatériauxprécieux qu’

il

«mhit publier l‘histoire ciinièpæe d‘

un certain nombre demalad ies;il l

a fait pour la goutteet le rhœ atisme et demanière à faire reque ce travail d

‘un hab ile praticien n’

aitpas étépousséplusloin .

Experiment: on the t:c s or

Ear-Wan , in order la°

diæmr thebest method of di:salving 11, W“.causing Deaf

ness. M°.Ü and in

quiries , tome IV, p. 198, 1 7 70.

4 me of ang ine: pa ton°

s w ithl it attempt to investigate the cause ofthe bj Jü u fl i0ü and a hîn tW … u; the of

1694 . Abd dg ., HI, p. 6 18 .

amat—n f… ” of'

tfirfood.b n Nü los…tm u et. 1699. ABfi dg.

17 , p. too.

Haven lut l‘éditeur de l'on—a ge

fi rent AnaW of M ie: of man“ wen n

,fi dmll. Spaelær and

Rem……u n,mot,ia—b l.

ofM ana in London , t. lfi ,p.

B ill of mortality j or ChM 1 77 3 .I n tânn fl . , l v7

°

4,

P 6 9.

B illof mortality for Chester j b r they ear 1373. Philou. w aa dt, 1 795

85 .PB illofmofl aÏi{rforÛ 1esterf or the

p ar 17 73, Philos, transact.,p. 69

in cases that were supposed hy droaplains. Med ical observations and ia

quiries tome VI p. 58.

Am rmtof the irfi uenza as it ap

peered at Chester in 17 75. Med . 0175.

and inquir., tome VI, p. 389.

Aponnt of a newly inwnted ma

fluids withfi red air.Hom, of the littmry and philosophies! society of

Manchester, tome I, p. 4 1 .

Observations on titepopulation and

dr‘

n ä u s of Chester in the_rm 17 7 4 .

In Philoumm ., 1 7 78,p. 1 3 1.

A n inquiry how topreventthe smaüpo.: andpmeedings of a society for

promoting general inoeulation at

stated periods, andpr‘eventing the na

tural small pod: i _n Πa ter. Chester ,1 785, ia

—8 .

Mode of preventing the du adfaü

consequences of the bite of et modDog . American museum year 1 789

eng.,p. 1 1 1 .

Œ n j or the bü e oj a na°

td dog .

A sketchof a plan to exteminfl e

the casual smallpoæ_f mmg reat Bri

tain and introduce general inocula

deneeon the natuæ ofw iob_

mconta

g im , and on the best mœmof pre

wri ting the smallpor: andpromotmginow ld tion at Geneva . Londres

1 793, ia—8, vol.

'

Ou the imag ination as a cause

Letter, addn sscd to the Rigitt Rev.D .

Gardens , on the education of thepoor. 1 81 s , ia-8.

HAZON b oom —Ama r l’historien de la faculté '

demédecinede Paris,mquit dans cette capitale le juin 1708 11 se d estina

d’

abord à l’

état ecclésiastique ; ilfit une année de théologie dans lesanc

. rmes écoles de Sainte-Barbe.Mais lacrainte d e n‘

être'

pas di

tractors and epidemicd œ nmlu‘

om.

Londres, 1 799, 1 800, ia—8 .

Description of a glory . Mom. of thelitterary and philosoph. soc. of Man

chester, tome III, p. 463 .

f erorfromthe wenerealpoison .

Med . end physic. Jourm, tome III,p. 198 1 800.

Letter to D'

Peæi«al on the prevention of _

irfectious f era s,and an

of Philadelphia On theprevention oftñe american pesülenæ . 8 11111, 1 801 ,

A clinical history of d:smèŸpart rst., being a clinicalhistory ofthe acute rheumatism ad . A clinical

hü {ory of fice nodositr of tite j oints.lo ndres , 1805 , 1 8 13 , in—8 , part.

( Je: ouvrages sont le fmit de prèsd ‘un demi siècle de l‘expérience d

un

bon observateur qui pour se rendre

raison des résultatsde sa pratique , et

en tirerprofit , tien t un journal exact

de tout ce qu‘il observe. On trouve un

extrait dumémoire surle rhumatisme

Rheumati:m fmrn gout and Rire…tisrn scrofirla nodosity white satelling ,

and other powtfi d l d irector ofthej oints and muscles. Med . transa t.

by the college of phy siciens in Lon

dou , tome IV, p. agt, 18 13 .

(Km .— Bah.Watt )

66

même remède . Haller a inséré la thèsedeHasan dan s le tome IV de ses D isp.

chirurg .

Qua nt. med icæ resp. P . J'

Marisot

Deslandes an d iæta omn ibus neces

san‘

a,rung ismero Lutetiæ Parisiomm

incoli:? AÆ» Pæ°l8 , 1 755 , in-4 . Insé

rée dans le Recueilpériod ique d’

0bs.

de méd . tome Ill p 165 et tradui te

en français , mémcv olume . p. 2 4 3 .

Observa tion sur une affection ilia

que d ont une f emme a été attaquée

pendant sa g rossesse , etqui a résisté

à tous les remèdes ord ina ires Recueil

périod. tome IV, p. 1 10 .

Observa tion sur une pierre trouvée

après la mort dans la v essie d’

un

homme qui avait pris le remèdesavouncux ® ing t an s auparavant.

Tome IV, p. 363 .

Observation surun ulcèrechancrouxguéri au se in d

'

unhommeparun charlatau avec lesf uneste: suites de cette

g uérison . Tome V, p. 464 .

Observation sur un hoqræt périod ique. Tome V, p. 39 .

Observation sur une rupture du

co ur. Tome IX p. 516 .

Observation sur une hy dmpisir ducerveau . Tome XII , p. 45 1.

Observation sur un serN rnent ou

bredrssure d e la. mâchoire à la suite

d’

an traitement “aérien . Tome XIV,

p. l 45.

Observation sur une inoontr‘

nenee

d‘

urine , la suite d’

une couche , et

d'

un laitrépan du surla we; srd .T. XV,

p. 145.

Observation singulière sur une tu

meur cau inomateuse traitemen t de

cette tumeur par la aiguë; suite et

conj ecture relat i ve à ce

.

traitement.

Tome XVII , p. 53 3 .

Observation sur les bons ej Ï èts du

HAZquinquina dans unepetitm érolegay

g réncuse . Tome XX p. 3 43 .

Elog e historique de l'

Un iversité de

Paris . Paris,int. Ce discours fut

prononcé avec appareille 1 1 octobre

1 7 70 . L’

année suivante , la Faculté

permit l‘

impression . Ily eutdeux éd i

tions de cet ouvrage :le première parrut en latin et en français ia— 4 de

90 pp. ; l'autre , en français ñu—4 de

6 7 pp. CetEloge ayant été dénoncé

comme entaché de jansén isme , le conse il d

état d u ro i rendit l'

arrêt su i

vant,le 1 8 août 1 7 7 1 Le ro i s

’étant

fait rend re compte d‘

un imprimé distribué dans les d ilïérens collèges de

l'

Un i versité , ayant pour titre E log e

historique d e l’

Un iversité d e Paris ,

prononcé le 1 1 octobre 1770 ,dans

les écoles de méd ecine , par un doc

tear de cette Faculté À l‘

occasion

d’un acte d e Vesperle ; 811 Majesté

ayan t reconnu que l’auteur l

’ind i s

crétion de louer, par ptéférenre et

sans réserve , des personnes qui ont

donné dans des écarts que l’Un iversi

té elle-même ne saurait approuver; dene citer, en parlant de la Faculté de

théolog ie , comme ayan t été recommandahles par le zèld, les lum1eres etune d octrine irréprochable , que desdocteurs qui on tmérité la censure de

cette Faculté ou qu i on t été exclus

de son sein à cause d e leur Opposition

constante aux décisions de l’

Eglise ;

que ce d iscoursren ferme d

ailleurs plu

sieurs traits faux déplacés d ictés par

l‘

esprit de parti, injurieux lamémo i

d’hommes illustres et notamment à

celle d’un des augustes prédécesseurs

de SaMajesté, laqui ses vertus ontmé

rité le surnom glorieux d e Père du

P euple et voulant préven ir les im

pressions funestes que le débit d‘

un

BER 6 7

pareilouvragepourraitproduire ouï prononcé aux écoles de médeci nele rapport; le roi étant en son conseil le 16 octobre 1 7 70. Paris 1 7 7 7

a ordonné et ordonne que l‘imprime in —4 .

ayant pour titre E logehistorique d e N otice deshommes lesplus célèbresI’

Un iversité de P aris latin et fran ç ais , d e la Faculté d e médecine en Un i

“ eè des remarques . etc. fiers et de versite'

de Paris , d epu is 1 1 10 j usqu'

ert

meurers supprimé. Fait très—expresses 1 7 50 ( inclusivement extraite en

inb ib ition s et défen ses à tous impti plus grandepartie ) du manuscrit demeurs libraires et autres de rmmprî feu M. Thomas-Bernard Bertrand ,iner ou faire ré imprimer ledit E loge! commun iquépar son fi ls ; rédi gée par

ou Discours comme aussi de vendre , j acques—AlbertHazon , etc. ouvrage

déb iter, ou au trement d istribuer les que le rédacteur a partagé en trois

exemplaires qu i en restent à peine temps ou époques ; savo ir depui s le,

de 50 liv. d'

amende,et telle autre milieu du 1 2 0 S ICClC jusqu

‘au milieu

peine qu’il appartiendra. Et sera du depu i s le milieu du 1 5° jus

'

le présent arrêt , lu , affiché et pu qu‘

à la fi n et depu is le oommen

blié partout où b esoin sérs . Fait cemen t du t 7° jusqu

aumilieu du

au conseil d’

état , etc. » Hazon fû tsus ” ce un Discours ou Tableau de la‘

pendn de ses fonctions de docteur ré Faculté à la tête de chaque épo

gent , jusqu‘au moment où de Mal“ . que etc. etc. ; pour serv ir de suite

herbes entra au min istère. et d e complémen t à l‘Histoire abrégée

Elogehistorique de la Faculté de de la Faculté ( sous le titre d'

E lôg e

médecü e d e P aris. Discours pour les historique etc. Paris 1 7 78 ih—à .

lauriers académiques ; traduitdulatin , Andry . Heron. )

Hü ENSTREIT (Enursr — BBursmu-Tuñormrm), né à Leipzig le1 0 février 1 7 58,fi t ses études dans l

un iversité de cette ville, et y prit

le grade d e d octeur en médecine . Nommé professeur extraordinaired

anatomie et de chirurgie en 1 785, il fut assesseur de la faculté d e

médecine) en 1 7 89. Plusieurs sociétés savantes s’

associèrentHeb enstreit: la société économique de Le ipzig , en 1782 , la société

d’

agriculture de Paris , ne 17 87 , la société royale d es sciences de

Gottinguc en 1 788 . Il était d epuis quelques années médecin pensionné de la ville de Leipzig quand ilmourut le xs décembre 1803.

Dicsertat10 Je w; etatione hiemuli . D issertatio cum: san itatis publia:Le ipzig, 1 7 7 7 , ia

—A. «pad waterss æ empla . Leipzig, 1 783

D iss. de corporumauimaliumf a ia-4 .

bried , an imaliumf acultatzbus aœ omo P rog mmma de aqua naturâ acreà‘

,

da ta . Leipzig, 1 7 7 8, in-4 . secund tzm recentiorum chemicorumCuræ sanitatis apud weteres exem experimenta . Leipzig, 1 7 85, ia —4 .

pla. Leipzig 1 7 79 , 1‘

u-4 . Lebrsætze der medicinischen Poli

BER 69

déja la réputation de botaniste habile‘

et il passait pour être

profondément instruit dans toutes les branches d es sciences na

tutelles . Ilfut choisi par Frédéric—Auguste II, roi de Pologne, pour

faire , avec un certain nombre de naturalistes de son choix, un

voyage scientifique en Afrique . Mun i de recommandation s d es roisd e France et d

Angleterre , ilpartit le 23 octobre 17 3 1, avec Christ.Aug . Ebersbach, Christ. Gottl. Ludwig, Zach. Gottl. Schulze, J H.

Buechner et Christ. Schub ert. Après avoir traversé une partie del’

Allemagne , d e la Suisse et de la France ils arrivèrent à Marseille

le 1 7 décembre . Unepartie de l’

Egypte ayan t déjà été explorée parTournefort, ils devaient se d iriger vers le côté septen trional d e

l’

Afrique ou la Barbarie se d iriger veréles déserts, puis parcourirlacôte occidentale jusqu

au cap d e Bonn e- Espérance . Ilsmirent en

mer le 24 janvier 1 7 32 sur un vaisseau faisan t voile pour Alger

et après une traversée d angereuse, ilsmirent le pied sur le sol afri

cain le 26 février. Leurs exfl orations et leurs voyages oommencèrent aussitôt;

'

et cette expéd ition promettait d’heureux résultats

aux sciences naturelles ; mais lamort du roi qui l’

avait ordonnée

interrompit au bout de moins de deux an s,un voyage qui en de

vait durer trois . Hebenstreit fut d e retour à Dresd e au mois d ’

oc

tobre 1 733 . De Dresde il se rend it à Leipzig , où il fut chargéaussitôt de l’enseignement d e la physiologie. Il entra en exercice le

2 2 novembre de lamême année , par un d iscours sur les an tiquités

romaines qu’

il avait trouvées en Afrique . En 1 73 7 il eut la chaired‘

anatomie et de chirurgie , en 17 46 , celle d e pathologie , et dem:ans après , celle de thérapeutique vacante par la mort de Platner.

Il fut en même temps doyen de la faculté demédecine etpoÿ atred e la ville .

Hebenstreitmourut le 5 décembre 1757 . Il avait été nommémembre de l’Académie d es Curieux de la nature avant son départ

pour l’

Afrique; à son retour, il fut élumembre de l’

Académie royaled es sciences de Marseille .

Hebenstreit est un d es médecins qui aient eu la connai ssance la

plus profonde de la médecine grecque et romaine ; il en a 1aissé

dans ses Antiquités de la thérapeutique un monument solide. Il

tient un rang distingué parmi les poètes latins modernes. S’

il y a

une grande exagération à comparer son poème de Homine arme et

œgmto à celui de Lucrèce cet ouvrage prouve dumoins qu’

il avait

une prod igieuse facilité à versifier ; car il en a composé une partie

en jouant aux échecs , et en se laissant assez peu distraire de son

7 6 HEBd es malades. Ce fut à son instigation que les membres du collège

royal d esmédecins se d éterminèrent à publier desmémoires,parmilesquels on en trouve plusieurs d

’Heberd en . Il fut nommé en 1 7 78correspon dant de la société royale d emédecine de Paris. Il convient

d e parler d’

un ehab itude qu’il s

imposaau début d e sapratique etàlaquelle il se conforma toute sa vie car il serait à désirer qu

elle fût

plu s répan d ue qu’

elle n’est; lamédecin e y gagnerait infin iment. Il te

nait un journalexactde tous les cas qui se présentaientdans saprati

que, avec tous les détails ou renseignemens qu’

il recuei llaitprès des

malades, et le précis de ses observations ; puis, faisant chaquemoisl’

examen d e ses cahiers , il en recueillait tout ce qu’

ily trouvait de

propre à éclairer la nature de quelque malad ie à établir les pro

priétés d e quelque méd icamen t etmettait ces extraits dan s un b onord re . C

est d e ce vaste etprécieux recueil qu’

il tira, à l’

âge de 7 2

ans , les commen ta ires qu’il n ous a laissés sur l

’histoire et le traitement des malad ies et dans la composition desquels ils

est interd itd e rien d ire qu i ne fût dans ses recueils , aimantmieux laisser iacomplète et inachevée l’histoire d es malad ies sur lesquelles il avait

d es matériaux originaux à exploiter que d e tirer d es livres ce qui

lui manquait pour la compléter, ou d e s’

en rapporter à ses souve

n irs ce qu’

il n’

a fait que dans un très—

petit nombre de cas , pour

lesq uels il était sûr de samémo ire .

Tous ces d étails sur . sa vie c’

est de lui —même qu’on les tient. Il

remit ses commenta ires à un de ses fils qui était médecin , pour

être pub liés après sa mort. En 180 1 Heb erd en , âgé de plus d e

q uatre— vingt d ix ans cessa d e v ivre . Sa mort fut celle d ’

un sage .

J ntitheriuca ; au essay on M itrida

tiumand Theriaca . Londres 1 745

i n-8.

Of a v ery large human calculm.

In philos . T ran sact. 1 750 , Abridg. ,

tom X , p. 1 03 .

Of a ston e maided without helpf romthe Bladder of a Woman a tBu

Philos. Tramact. 1 7 50 Abrigd t. X

p. 2 19.

Of the d iff erent quantities of RainWhichappear to fall at 111/f eront

heights , over the same spotof g round .

Philos. Transact. 1769, Abrigd . t. X ,

r 659.

Of the infl uence of cold on theHea lthof the mhabitants of London.

Philos. Transact. 17 96 , A brigd . ,

tom. XVIII.

Remarks on the Pump Ware: ofLondon and on the methods of pro

curing the purest Water. Med . Trau

sact. published by college .oi physieiaus of Loudou . 1 768 t.

Observations upon the ascarides.

Med . Transact. publ. by college , ete .

t. I , p. 45.

Observation on theN igthBlindness .

Med . Transact. , by the coll. tom. 1 ,

rss—°c

Observations on the chicken P ax.

Med . Transact.publ. by the coll. 1. I ,p. 4 2 7 .

A n the epidemicalcold in June a nd

July 1 76 7 . M ed . Transact. pub l. by

the '

coll. I , p. 4 7 3 .

Observations on the hetic f ever.

Med . Transact.publ. by the coll. 1 7 7 2 .

t. II.

Remaü s on the pulse. Med . Tran

sact. publ. by the college cie. t II

p. 1 8.

Some account qf'

a d isorder of theBreast. Med . Transact. publ. by thecoll. t. II , p. 59 .

Observations on the deseases of theLiver. M ed . Transact. publ. by thecoll. t. II , p. 1 23 .

Observations on the nettle fl ash.Med . Trans . publ. by

'

the coll. 1. II ,.p. 1 7 3 .

A n account of the noxious 0fl'ëcts

of some f ung i. Med Transact. publ.

hy the coll. 1. II , p. 2 1 7 .

BECKER (Accusra-Fa1änñmc), un d es écrivains lesplus fécond sd e l

Allemagn emédicale modern e né à Kitten en Saxe , le 1"

juillet 1 7 63 étudia lamédecine laHalle et fut reçu docteur en 1 787 .

Trois ans après , il fut nommé professeur ord inaire d e médecin el’

université d’

Erfurt. En 1 799 leprince deHohenzollern S igmaringenl

’honore du titre d econ seiller. En 1805, ilfutappeléàBerlin poury occuper une chaire au collègemed ico— chirurg ical; il futen mêmetemps nommé conseiller du roi d e Prusse . Ilmourut le 1 1 octobre

182 1 .

Les nombreux ouvrages de B ecker se partagent en trois classes

ouvrages sur l’histoire de lamédecine ; ou n

y trouve pas une éru

d ition bien profonde mais ils offrent d e l’

intérêt et sont écrits avec

jugement; ouvrages périod iques on y remarque des vues mieuxarrêtées etun plan mieux suivi que dans la plupart des journaux ;enfin ouvrages sur lamédecin e pratique, ils ne sontpas d

unhommesupérieur qu i fait avancer la science , mais d

un écrivain lab orieux

et instruit, qui l’

exposé telle qu’

il la trouve, avecnetteté etprécision .

Voici les titres de ces ouvrages

Letter concern ing ang ina pectorzs

witha case and d issection . ed .

Tran sact.publ. by the coll. 1 7 85, III.

The method of preparing the Ginseng roo t in China. Med . Trans. publ.

by the coll. t. III , p. 34 .

Observations on the Measles . Med .

Tran sact. publ. by the college etc.

t. III p. 3 89.

A ccount of the influenza , as it ap

peared in 1 7 7 5. In Med ical ob serva

tion s and inqu iries , t.'

VI , p. 349 .

Commentaru de morbommhistan'

d

et curatione . Londres , 1 802 ia— 8 .

Redudi curavit S . Th. Sœmmerring .

Francf011—sur—le-Mein 1 804 ia-8 .

1 802 , ia-8 Il'

ren ferme la plupart

d es ariicles indiqués auparavant.

Heberden . Maty .

Watt. )

76

scrophulosum unumeumdemq ue morbum.sse , evincere conatur. Halle1 7 8 7 in-8 , 45 pp.

Theoretisch-praktische Abhandlungaber den Tripper ein Versuchzu Vere inig ung der Mey nungen der Aenzte

ü ber d iese Krankheit. Leipzig , 1 7 87

in —8

Auswahldermed icinischen J ufl ætze und Beobaehtung en aus den N ü rn

berg i:chert g elehrten Unterhandlung en aus demlat. ü bers. und mit Z usætzen wen nehrt. Erster Band , Wel

cher d ie Jahre 1 7 3 1 -1 7 34 enthælt.Helle

, 1 787, in-8 ; 2ter Band , 1 7 88,

in 8 .

Therapiageneralis oderHandbuchder allg emoinen Heilhunde . Berlin

1 7 89 iu-8 , Gotha et Erfurt , 1 805 ,

1 8 1 2 , 18 16 , ia-8.

A rchiv. f ür d ie”

allg emeine Heilhands . 1ster. Band . Berlin 1 790, in

8 . M it. I Kup_fl 2ter. Band , 1 792 , iu—8 .

HECDiss. qua morbum q philliticum et

Handbuchder aü gemeinen chirurg ischer:Heilkund e,fur angehend e A erzte

und Wundærzte. Erfurt 1 79 1 ia-8;trad. en français , par Roché. Paris ,1 804 iu— 8.

Bertrag zur K enntn iss der Kranhheiten der Gelehrten . Erfurt 1 79 1

in —8.

Grundriss derphy siolog ia patholog ica , oder Lehre v on dem Bau der

Mischung und den Verrichtung mdesmenschlichen K oerpers und seiner

Theile inwiedematurlichen Zustande ,1 ster Theile.Halle , 1 791 ia—8 ; 2 1er

Theil 1 799, ia— 8.

Journal der Erfindungen , Theorien und Wiedersprü che in derNaturund Armemissenschafl n

°1-44 . Go

tha, 1 792-1 809, ia-8, 1 1 vol.N euestes

j ournal. Gotha , 18 10 1 81 2 , ia—8,

2 vol.

Nachtrag zu d en Erfurtergel. Z eitung VII , St. 1 79 1 zu demA rchive

D eutliche A nwe isung , d ie v eneris f ür d ie allgemeine HeiÙiunde 2 ter

chen Kranhheiten g enaue zu erkennenund richtig zu behan d eln . Z ur Em

pf ehlung einerZwcchmæssig mK urart,

und zur Verbannung einergroben E tn

pirie , fi ir ang ehende Aerzte , Wan

dærste und unerfahrne in der A rs

ney wissenschaf t. Erfurt, 1 79 1 ; ibid . ,

1 802 , in—8 ibid ., 1 8 1 5

, in-8 ; trad .

en français par Jourdan , _avec des

notes par Alyon , Paris , 18 1 1,in-1 2 .

Usherd ieWerrichtung derKlein stenSchlagadern und e in ig er aus einemGes e derf einsten Gefæsse bestehend en Eingeweide, d er schild —und Brust

Band , und zu allen Zeitungen, Journalen , B ibliotheken und so weiter, die

hrn .Weiehard vmed ioin ischeFragmente und E rinnerung m( Frankf.und das Nachtrag zu den

FragmentennachVerdiensten recens

'

iret habenund nochrecensiren werden . E in Bey

trag zur K enntn iss der Kranhheitend er Gelehrten durcheinen merhwürd igen Fall erlæutert. Erfurt 1 791

iu—8.

Tabellen ü ber die Geschichte derMedicin . Erfurt 1 791 ia—8 .

D . d e eæanthematemiliari etpemdrü se, des Milzes , der N eben-N ieren phigo. Erfixrt 1 79 1 ia-4 .

und der Nachgeburt. Erfurt 1 790 ,

ia-8 .

Progr. med icine omnis a vi fata tabulis expo:itn. Erfurt , 1790 ia-4.

Allgemeine Geschichte der Naä u*

und Au neyhunde . 1ster Theü . Leip

zig ‘ 793 ill

Magminfilrdiepfl hologü che Ana

HECQmie und Phy siol0gie. Altona 1 796,

Neue: Archiv f ü r d ie allgemcincHeiIhunde . Erfurt 1 793 ia-8 .

E twas ü berd ieBehandlung derfl lutflüsse nachder Browniæhen Lehrein Hufeland ’

s Jonrnal derprackt.Hailkunde B . St. 1 ,Nr. 2

7 on der Schwierigkeit d ie Dasen

ein igerwirü amen Arznermittelg enauzu bestimmen . lbid . St. 2 Nr. 3

Usherang ina polyposa und asthmaacutumperiod icumHillari in B eziehung aqf d ie Wichmann-nnd Lentin ischen A ufl ætze ü ber d iesen Gegtn

stand . Ib id .

,St. 3 , N r. 1

D ie Pochen sind au:gerotteü 2 . A b

theilungen . Erfurt , 1 802 , in—8.

Kunst die Kranheiten derMenschenzuheilen nachden neuesten Verbes

semng en in d er Arznw issenschafl1 ster, und 2ter Thei]. Erfurt , 1804

in—8. 2ter werbesserte Awgabe. Er

furt, 1 805 , ia-8 ; ibid 1 809 , in—8 ;

iÔÜ. , 18 1 3— 1 8 1 4 , in-8 , 4 vol.

Über d ie gengenvværtige Ven”

:celt

n isse d er ausübenden Heilhunde zu

ihrer Theorie. Erfurt, 1 805 , ia—8.

Therapia g eneralü , oderHandbuchd er allgemeinen Heilhunde. Erfurt

1 805— 1 8 10 in —8 .

-D ie Kunst unsere Kinder zu gesun

den Staatsbù‘

rg ern zu erz iehen und

ihre g ewæhnlichen Kmnhher‘ten zu

heilen . Erfurt 1 805 , in -8.

K urzer A bris: der Patholog ie und

Semiotik; zur Gmndlage sciner Vor

lesurzg en beymcolleg iomed ico-chirurg ico zu Berlin entworfi n . Berlin

806,in — 8.

Med icinisch praktisches Taschenbachfi

'

u Feldærzte nnd * Wundærzte

teutscherArmeen. Erfurt, 1 806, ia— 8 ;

7 7

ibid . . 18 14 111— 8 ; trad . en francais

parB . Brossier et M . F. Rampont. l‘aris et Strasbourg , 1808 ia— 8.

Anleitrmg zumzwcchmæssrgen ge.

brauche der einfachen und zusammengesetzten ArzneymitIel welehein derpharmac0pæa castren si Borus

sica en thalten s ind ; eine q lage zu

d emmed icin ish-prahtischen Taschenbuchef ur Feldærzte und W

undærzte

teutscher A rmeen . Erfurt 1806

Wodrsrohrei/t d ie Chirurgie demGrade ihrer g rg enwærtig en P oll/«ornmenheit entgegen r

’ Berlin , 1806 , i i i-8.

( Avec C. Knappe K ritische Jahrbucher der Stantsarzneyhü ndefi ir da:neunzehnte Jahrhundert. 1sten Ban

des 1ster‘ und 2ter Theil. Erfurt, 1 806 .

2ten Band es 1ster The il. Erfurt

1 808 , ifl ° 8e

Welche: istdaswahre Zwechmed icin isoh-ohirurg ischer Lehran staltenWelche art des Unterrichtshann ihr:befærdem Eine Rode , am1 3ten Sa]ttung:tage d er hœn ig l. med icinisehchirtrrg z

œhen P epiniere zu Berlin am2ten A ugust. 1 807 g ehalten . 1 807 ,in-8 .

Kumar A bris: dor Therapie sur

Grundlag e se inerVorlesungcn bey demK onig l. Celleg iomed ico -chirwg ieo zu

Berlin entworf emErfurt 1 807 in 8 .

Ueber d ie N ervenfi eber, welche in

B erlin im Jahre 1 807 herrschtennebstBemerhung en aber d ie re it2end e

stœrhende und schwæchende K armarhode eine E inladung sschrifl zu sri

n

én Vorlesnng en im Win ter 1 807 bir

1 808 . Eriurt, 1 80 7 , in

K urzer A bris: d er Chirurgia med ica zumGebrauchscin er Vork çurrgmbey d emhærrigl. Collag io med ico-chirwg ico in Berlin . Erfurt 1808 , in—8

78HE

D ie Heilhunst auf ihnen Wegen

zur Gewisshe it , oder d ie_

Theorie ,Sy steme un d Heilmethode mon Hippocrates bis auf unsere Z eiten . Berlin

1 808 , ia— 8 ; Erfurt, 1 8 15 , ia—8 . He

rausg eg eben v ou Bernhard i . Eriu1‘tetGotha , 1 8 19 ia— 8 .

— C’

est l’

in tro

duction de son Traité de Médecine

pratiq ue .

A briss der P athologie und Semic

tih, d er Therapie und der Chirurg iamed im, zum Gebrauchseiner Varie

sung en . D re; A btheiluug en . Erfurt

1 808 in — 8 .

Ueber d ie Natur und Heilart d erFaulfieber, n ebst B emerhungen aber

eiu ig e merschiedeuheiten E intheü ung en und K urmcthoden d er Fieber

ü berhac t. ate Emlad imgsschrÿ't. Vo

ran ein Bq trag zur Bcan twortung der

Frage se ll in B erlin ein e Un iversitæt

sey n ? Erfurt , 1 809 ,ia-8 .

D ie Geschichte des saucrstgflè s ,als He ilmittd geg en das weiterischeUebel. In demjournal der Erfinduugen u . 8 . 11 . St. 34. Nr. 1

Ueber d ie g rosse Versehiedenheitder wenerischen KrartlrheitsflFarmend urcheinen merkwü rd ig en Fall d er

ein e ganz neue Farmdurs/d it , erlau

tert,nebst Bemerhuug en aber d te ‘Na

tut;und B ehandlttng d cr meuerischen

Uebel ueberha upt. InHufeland’

s Jour

nal derpraet. Arzneykunde , B . 26

St. 4 ( 1P rog rammon d en Eutzundungen im

B a is e ,besond ers mon d er A ng ina po

lyposa und demA sthma aoutum. Ber

lin , 1 809 in-8 .

Gedanhen uber d ie N atur und Ur

sachen d es iVe *

°

chselzapfs, zur Berichtig uug d er Theoricmon d emZ usammeuhaugc zwischen d en ôrtliclzen und

allg eime inen Kranhheitm ihren Me

tastasen und Krisen. Eifi d ungschnft.E rfurt , 1 8 10 , ia-8 .

Manuel d e médecine pratiq ue militaire . Breslau 1 808 in—8.

Von den Kranhheiten mit den

Scharlachauschlag . Leipzig 1 8 18

in-8 .

l’ om Wirhung en und Erfolg e der

Heilmitæl. Le ipzig 18 10,in -8.

Annalen der g esummten M ed iein

als Wiss€nschaf t und K unst,zurBeur

thcilung ihrer neuesten Efi nd ungen ,

theore‘ert Systeme und Heiimethod en .

Berlin 18 10 ia— 8.

P rahtischeArmq mitteü ehmÆd ü rt,8 14 ia— 8 .

Leæicon med icamtheoretica—p actä

cummale oder allg emd nes Warter

bachd erg esummten thw retischen und

praktischen Heilhundg fi ir Aerzte

Wundærzte and Geschæfl smænmrnus

allen 8tænden denen eine Br1aute

rang wunscbensfi erthsey n hunn . en

thaltend eineplanmæssige môglichstwollstænd:g e D arstellung unserer

K enntn isse inJ ei* A natomie , Phy siolog ie , med icin ischen Lan der—und 7 61herhunde

,Patholog ie semiotihHet!

mittellehre , D iætetih‘, ulIg emeinen und

specscl[en Therapie , Chirurg ie E nt

bin dungshun st, polizeilichgerichllichen Med icin un Thierarzneïhunde inihremganzeng egenwærtigæzUmf ange .

Vienne , 1 8 1 7 Gotha, 1 82 2 ,3 tom

en 6 vol. in 8. La continuation de

ce d ictionnaire , entreprise par II. A .

Erhard , en 1 82 5 a c'

te 1nterrompue

en 1 830 après la publication de la

première partie du tome V .

Vollstaeud ig esHandbuchdcr kriegsarznerhunde . Gotha 1 8 16 , i ll—8 .

( Meusel. Med . chir. Zeitung .

Journal der E rfi ndungen . )

HEC 79

BECQUET (Futu ra ), médecin renommé de son temps pour sa

science , pour sa piété , et en même tempspour son ardeur dans la

d ispute , était né à Abb eville le 1 1 février 166 1 . I lv int à Paris àl’

âge d e 1 7 an s, etfitson cours d e philosophie au collège d esGressins .

Un goût prononcé pour l’

état ecclésiastiq ue le fitpencher d'

abord

pour la théolog ie dont ilpritd es leçon s en Sorbonne et à Navarre ;mais les conse ils d

un oncle ,médecin d istin gué, le décid èren t enfin

pour lamédecine. Il en commença l’

étud e à Paris en 1682 ; il alla

prend re ses d egrés à Rheims au mois d e juillet 1684 , et le 6 août

suivan t, il se fit agréger au collège d es médecin s d’

Abbeville . Il

u_

n rests pas long— temps dans sa ville natale , où il ne trouvait pas

les ressources que réclamait son goûtprononcépour l’

étud e . Il re

v int à Paris. Dès qu’

il voulut se livrer a la pratique ,la Faculté

, qui

veillait avecune attention jalouse à ne laisser personn e . empiéter surles d ro its et privilèges d e ses memb res , le lu i fi t in terd ire ; pour se

soustraire à ces tracasseries , il se fit agréger à la chambre royale ;

mais cette chambre qui subsistait so°

ü s l’

appui d e Daqu in , premiermédecin du ro i , fut ébranlée elle-même et croula b ien tôt. Hecquetétait sur lepoint d e se décider àretourneraAbbev ille, lorsqu

ilintap

pelé en 1688, a prendœ laplace d emédecin des religieuses du PortRoyal

- des-Champs que lamort deHamon venait d e laisser vacan te .

Les jeûnes et les macération s auxquels il se livra dérangère1it grav ement sa santé. Ses amis le pressaien t d e reven ir à Paris; lamortd e la supérieure qui l

avait appelé à Port-Royal arrivée le 26 110

v embre 1693 , l’

y détermina.Hecq uet résolut d e prendre ses d egrésÔla faculté de Paris. Il se mit d onc sur les bancs à l’âge de plus d e33 ans , au mois d

octobre 1694 sortit d e licence le 3 septembre1 696 et reçut le b on net d e docteur le 15 janv ier1 697 . D epu is lors,la Faculté l

’hon ora comme un de ses membres les-plus chers il fut

élevé,malgré lu i, au décanat , en 1 7 1 2 . La réputation d

’Hecqnetcomme praticien s

étend itrapid ement , il était appelé de toutes partsen consultation s , les grand s recherchaient ses con seils avec empressement ;mais c

est surtout aux ind igen s q u 1l aimait à mon trer son

zèle , en leur prod iguant ses soins et sa b ourse . Au commencementd e 1 7 2 7 , B ecq uet, d evenu très

— infirme, se retira chez les religieuses

carmélites du faubou1g St.J acques , d ont il était le méd ecin depu is3 2 ans. Il y passa le reste d e ses jours dans les au stérités d e la pé

n itence et y mourut le 1 1 avril 1 7 3 7 . Rollin lu i fit une b elle épitaphe .

Becquetfut un écrivain très— fécond , Ses ouvrages prouvent qu 11

80 HEC

avait du savoir et qu‘iln

étaitpas dépourvu de quelques vues pra

tiques d’

une certaine portée ;mais ils sont tous d’uneprolixü é rebu

tantc tous entachés de l’esprit d’hypothèse le moins réservé, tous

remplis de ce qu’

il y avait de plus inutile et d e plus faux dans la

doctrine d es intro —mathématiciens sur la tritumtion sur l’

atténua

tion d es flu ides par le jeumécan ique des solides , sur la nécessité

d‘

évacuer et d‘humecær pour entreten ir ou rétablir la liberté d es

ressorts dans l’

économie , etc. En vertu d e ses doctrines , il y avait

peu d e malades dans l’

affection desquels B ecquet ne trouvât la

double ind ication d e les vider d e sang et de les remplir d’

eau ; et.

l’on prétend que c

est lui que Lesage fait figurer si plaisammentdans son Gil- Blas sous le nomdu docteur Sangrado .

A nfm tiones àf ermenti:.Thèse du26 janvier 1695.

An chronicorummorborummedicina in alimen to. Thèse du 1 3 octobre

1695 .

An morbi sero‘

sâ coü uvie. Thèsedu 12 jan vier 1696 .

A n remed iorum cufl a suppeü ex .

Thèse du 6 février 1698 .

P réface falü e du recueil des ou

vrag es de Bag!ivi imprimés is Ly onen 1 704 .

A n impedilæ transpiration i san

gnis missio . Thèse du 7 février 1 704 .

Explication phy siqu e et mécanique

des eff ets d e Ia so ig née et de la bois

son dans la cure d es malad ies , avec

une réponse aux mauva ises plaisanteries que lej ournaliste de Paris (M.An

dry) a faites sur cette explica tion d e lasoig née. On trouve au ssi dans cet ou

vrage la Thèse sur la sa ignée , traduite

par B ecquet , et la Thèse sur la boisson 1 707 in-12 à Chambéry (ouplutôt en France).

D e l‘

indécemcauxhommesd ’accoucher («f emmes , et d e l

oblig ation aux

femmes de nourrir leurs enj ans ; pour

montrerpar des raisonsphy siques demorale et de médecine , que les mèresn'

exposeraient ni leur v ie n i celle de

leurs enfans en sepassant ord inaire

ment d ’

aœouchears et de nourrices.

Trévoux , 1 708 in— 1 2 .

Trails! des d ispenses du Car€me,dans lequel on découvre la faussetéd es préceptes qu

on apporte pour les

obtenir, en f a isantwoirpar la mécanique du corps les rapports naturels

des alimensmaigres avec la nature de

l‘homme etpar l

’histoire,par l

ana

lyse , et par l’

observation , leur con

venance avec la santé. Ce traité pa

rut en 1 708 fut réimprimé en 1 709;

ensui te en 1 7 15. 2 vol. in-1 2 ; avec

des corrections et add itions entre

autres deux D issertations l‘

une sur

lesmacréuses l‘

autre surle tabac, etc.

en 1 74 1 , 2 vol. in -12 .

De la d igestion des alimen i , pourmontrer qu

elle ne sef ait pas par lemoy en d

'

un levain , mais par celui dela trituration ou du b} om ent, con tre

l'

article 1 3 des Mémoires de Trévoux,j an vier, 1 7 1 0. Paris , 1 7 10 in-ta.

Ce son t des remarques sur laD issertation d e Vieussens , le père , doc

82

A n quo: Morbbs non fau t d tb ur

piw f ermm sanat chymi cut ig n is .

Thè\6 du 8 mai 1 7 3 2 .

Le bngaurlag e d e la médecine dans

la manière de tra iter la ,pe,tiæ—v äroü

et lesplusg ran d e:malad tes par l

émitigue, la. sat

g név au pied , lehennbsmineral. avec un traité de lame illeuœ

man ière d e tra !” les p0l1i6 5-'U6 1oies

par des remedes et des observa tions

tirés de l’

usag e . À Ut1echt ( Rouen )en 1 7 3 2 , in 12 .

Ile br1‘

g a 11daä e de lamédecin e, etc.

‘deux1erhepd rt1e oi1 , dprès avo irpm1t

vé ce brig andag e par les effets , l’

on

d onne brplari de°Mëmoim acadé

°ü 1ia pour ra… lamédecine à— sés règles et la contenir dant ses ib ir

:

avec une lettre apok yä ique touchantle bn

gandag e de la {116d 116 , etc.

Utrecht. Rouen an.— 12

{Le brigandagede la médecine he

'

fl…” i ’ ou la so ignée du pied , le tar

.

tre‘ ç

'

1nétgque et le hermès minéral d isGipliré s

, Troisième partis Utœcbt

Le briegandage d e la chirurg ie , ou

la médec1ne opprimc‘e par le_

dage de la chiñ :rga ie, En 1 7 38 , in-1 2 .

Après fa m01t de lautour A vec le‘

brig and‘age de la pharmêzcze , etc. , et

la lettre déj a imprimée . Sur ce q i1e

.Pa io, 1 73 3 , 2 vo ld æ fl .

—Le natura lismeV«.epgvulænm, de

«convulsions , ddrnontrü për13phy dÿ-‘ué,par l

’histoire naturelle, etpar

nemeus de cette œuvre, et démontrantl’

impossibilité du d ivin qu‘

on lu i a ti ri

bue dan s une lettre sur les secours

meurtriers. 1 7 33 dmx‘

ièfln più

tie . Le mélange dans les wnmü ionsœ rf ondu par le naturalisme . 1 7 3 3

'

troisneme partie , Solenn —e ( Rouen) .

La cause des convulsions finie , et

l'

œuvre des convulsions tomôe‘b.

Utrecht (Rouen) , ia—12 . Réponse à la

Lettre à un cory‘a senr, touchant Io d e

voir desmédecins et des chirurg iens ausuj et desmiracles et des convuls ions.

,Utt‘echt ( Rouen ) , 1 7 33 . in 12

,

Lettre surla con vulsionnaire cn ex£ax ,‘

on la v aporeuse en ri ve. 1 736 ,

i ll- 1 2 . La Suceuse .mmhi…ùæ,

ou la P {ï lb miraculeuse. 1 7 36 ,

ill-1 2. Reponse la L‘ ilfi d'

un doc

teur en médecine de la f acultésur l

'

écrit précédent. 1 7 66 ia-ra.

Le naturalisme des quatre req uetes.

1 736 i11— 1 2 . Réponse des. médacins au d efi que leur f ont les convals ionnaires , dans la j ustific des

requêtes etc. ,,ia—1 2.

Lamédecine naturelle q ue dans la

patholog ie e nvauœ,dans l

usage des

calmans etdes d ifférentes saignées des

weiucs et_ des artères etc. Paris

2 vol. ini 1 7 3 7. Après la mort

de l‘au teur, Il y a à la fi n du deuxiè

me volume le livre d’Hippoçeate,

D_

e Fla tibus , traduit en français , par

M . Vergne , médecin 8 Poissy , mort

en 1 7 40 ou 1 74 1.

Laméd ecine, lachirurgie et lapharrancie despauvres parj euM .Hœ qug t

.

Paris , 1740, 3 vol. in 1 2 , avec

la Vie de l'

auteur, parM. de Saint

Marc. M . l‘a bbé Forant eu soin de

la première éd ition de cet ouvrage

BEI 85‘

des inscriptions et boites lettres. Il”

est» auteur des ouvrages sui

vans

De w kmd ine litu atommpoema. Description en

Leyde ,1 749 , in—8 .

Saty md e maribas Pan‘

siomm et

Frisiæ. Leyde et Groniugue 1 750

ia— 4 .

D e officio med icipoema , d ed icatumcard inali Ang elo Maria:Quirini. Gro

ingue 1 752 in —8 .

Maru Curulli Gi on ingensis sa{yra.

1 7 58 111— 8. Pseudonyme. )[ter Venetum. Venise , 1 760,it!—8

de 3 3 pp. en vers.

Gerard i Heerkans d enemem no

taôiIirmi libri duo. Grœ ingué , 1 765

G…e , 1 7 70 , ia—8.

A rmi rastiei j anuan'

m. Groù gue,

1 76 7 9 ia-8 .

Etapedod es swe phy sicamm cpi

gmmmatam, libr. V. Grouinguc

17 83 in-8.

A ves j risü æ. Rotterdam 1 7 8 7

HEISTER (Launmwr), anatomistehab ile, savantmédecin, et l’

un

d es plus célèbres chirurg iens d u dern ier siècle , naquit à Francfortsur- le—Mein ,

le 18 septembre 1683. Quoique sesparens, qui tenaient

auberge , fussent étrangers aux sciences ils surent apprécier les

heureuses dispositions quemontra leur enfant dès ses jeunesarinées,et ils donnèrent tous,

leurs soins à son éducation . Après avo ir fait

d’

excellenteshumanités , appris les langues vivantes lamusique ,

le dessin ,lapeinture ,Heister alla étud ier laméd ecine à Giessen en

1 702 . Ily fut le di sciple particulier de Georges—Christophe Moeller

'

;

q ui le prit en amitié. Ce professeur ayant été appelé l’

année Su ivante

à Goshr,He ister l’

y su ivit etd emeura quatre ans chez lui,l’

accom

pagnant dans ses v isites , dan s ses voyages aux eaux thermales d es

env i ron s , l’

aidant dans sa pratique ,et se rendant a Giessen toutes

les fois qu’

on d evait y faire d es démon strations anatomiques surlo .cadAvre. Il s

occupait beaucoup enmeme temps de l’étude d e la

ia—8. d e 298 pp

vers de dix oiseaux.

Icones. Utrecht 1 7 8 7 in-8 .

Des exemplaires portent la date de Fa .

ris , 1 7 88 ;mais l’

éd ition est lamêmeles titres seuls furent changés par lelibraire d

'Utrecb r

, qui craignan t que

le style satyrique de l’

auteur ne lui

sumitât des tracaseeries de la part de

personnages puissans chercha à d énnerle change surle lieu de lapublication du livre.

.

D e waletud ine literatorum libri I II .

Gronmgue 1 790, in .8. Saxius n e

peut pas d ire si c'

estun ouvrage n ou

veau,ou seulement une éd ition nou

velle de“

celui que B eerken s avai tpu

blié sous le même titre , en 1 7â9 .

ltdh‘c0ram libri msi . Gaming1 792 , in -8.

Saxu 0a0m sticon literarium,

pars {’ II I . Barb ier, D iction . des

A nonymes.)

96 HEq enzimnler sd b“?mit leichterMühe und wmige Kosten præpariretwerden hœnnen. Le ipzig 1 702 , ia

1 2 ; Le ipzig, 1 7 20, in- 1 2 .

Curiæ:er und wohler/uhrner, v or

mahls englischer , e1zo aber (culscherHams-artzt. Francfort et Leipzig1 709, ia

-4 .

Chirurgie in nuce. Mnihnaen1 709, in 8 .

Praxis medica oder richtige Anweicung , wie ein angehenderpractieukmed icina durchgœttlichen Berstandcitb , talb feliciter und j ucund ä ohnetheuere Recepte auchgrossen K osten

d ie Krankheiten derer menschlicherLeiber curiren qolche auch und

ihre Symptomata erkenn en, und d ie

Ursachen woher sie en tspringen

au.gfinden mœge. Leipzig , 1 7 10

Thesaur us pharmaccalicas oder

Apoteher—Schaæ. Leipzig, 1 7 10, ia—8.

Neu eingerichtetes Lexicon pharmaeœ ticum oder Apoteher—Lexicon.

Francfort et Leipzig, 1 7 10, ia-8 .

N eu eingerichtetes_

Lexicon anatom1'

ce chirurg icum. Leipzig , 1 7 15 ia-8.

Curiæses Reise und Hauss—Ap0theehen . Francfort et Leipzig, 1 7 1 1 ,

i n — 8 ; Francfort et Leipzig , 17 12

in —8 .

Exotica curiosa oder kuertzlïehe“

und nuetzliche Beschreibung derer’

auslænd ischen D ing e welehe aus

‘d'

emdreyfachen Naturreiche, inf rem

d en La ndem g cf undm werden .

Francfort et Le ipzig, 1 7 1 1 , in— 8.

Casa: et observation“ med icinale:anatomicœ , chirurg icæ ,

etc. , rariores,

selectæ et cun‘

osæ oder curiosæ und

nuetzliche Amnerhung ert mon aller

hand raren und auserlesenen med iciwschen anatomischen ch

_rmischen Francfort et Leipzig 1 7 15 in-8.

gen ramteinen Reg ister. Francfort et

Leipzig, 1 7 1 1 , ia— 8 .

N eu eing erichtetes Lexicon medicachmicum

,oder chymisches Lexicon .

Francfort et Leipzig, 1 7 1 1 , ia-8 .

Allzeit fertiger und v ermehrærHauts—Vemaher. Francfort et Leip

zig, 1 7 1 2 in-8; Francfort et Leipzig1 7 19 , ia-8 . Publié sous le nom de

Vot ommenes teuü eh—und Iutei

n itchesphy sihalü ch-undmedicin ùchesLexicon .Hanovre, 1 7 1 3, ia-4 .

Neu entdeckte Heimlichheiten de:

Frauenzimmen . Francfort etLeipzig ,

1 7 1 4 , in-8 ; Francfort et Leipzig

1 7 1 5 in —8 ; Francfort et Leipzig ,

1 7 19 , ia— 8 Francfort et Le ipzig1 7 25 in — 8 .

Chirurgü ches Leæîeon . Francfort

et Leipzig , 1 7 15, in-8. 80111 le nomde Gaspard Schrœd er.Dreyfachfl al: Thuering isch

Meismu chen und N ierder:æchsùcherteutsch-und late inischer ApoteherTaz . Francfort et Leipzig , 1 7 1 4

Da: bey j etzigen zeiten neu einge

richtetcs P est Apotcchgen. Francfortet Leipzig, 1 7 14 , in — 8.

Grund und Lehrsætze{ der ganzen

_

edlen Med icin . Leipzig, 1 7 15, in-8.

A urerlesene: tantrohmed icinü che:Recept

—buch. Francfort ef Leipzig

1 7 15, in — 8.

N osce te ipsu1n fuel anuæwü umwivum oder Kurzg efaxsæs dock

richtig gestellte:anatomü ches Werh.Francfort et Leipzig , 1 7 15 ia

Francfort etLeipzig , , 1 7 20, in—fol.

Med icu1 clinicas oder dor W0h1

98 miltrouva qu

iln’

avaitmeuMé son esprit—

que demots et n’

avait ap

pris que l’

art de disputer avec adresse et acharnement. Il refusa letitre qu

on voulait lui donner. Cumnil solid i,n il veri seirem ti

tulummagistri ‘artiumrecusuv i , nolens utmecumm0rionemprofesSore5agerent,magistmmseptemartiumdeclararent,qui n0ndumessomd iscipulus . Voulantdésormais 5

appliquer àlarecherche dela, vërité et à l

'

étude de la vraie science il quitta les écoles. On lui

offritun riche canon icat. Il le refusa; car , dit— il d eterrebatmea s,. Bamardu5 , quad peccatapopuli comedeœm. Incertain de la

carrière qu’

ildevaitsuivre , ilhuplora le seigneur Jésus de lui faireconnaître celle dans laquelle ilpourraitlemieuxle serv ir . Il ajouteaussitôt, sans dire si ce fut pour obéir l

’inspiration q u il avait de

man dée, quu

’il alla entendre dan s l

école que les Jésuites venaient

d‘

établir à Louvain malgré le r —

,oi malgré les magistrats , malgré

l’

un iversité, et contre la défense e1presse du pape ,les leçons du

fameux Martin d elR io sur lamagie . Promesse , d it— il, solos sti

pulos inan es rapsodiaque pauperrima collegi , judicio prive . Il

s’

appliqua à la lecture d es stoïciens , de Sénèque et d’

Epictète . Il

admin les épreuves et les austérités du régime, pythagorique , et il

fut tenté de se faire eapncin ; ear, dit— il paucismutatis videbam1. cupmoinumesse stoîcnmchristianum»;maisun songe ou une v isionsurvenue fort à propos lui montra quod stoïcismusme

,înanemet

tumidambullam, , intèrabyssum inferni, etmortis imminentis no

eessitatem detineret. Il y renonça. Il aurait incliné à étud ier ledroit;mais les institutions d eshommes sont si fragiles et leurs cpi

nions si intéressées ! Il lut Dioscbfi de et il trouva que la multiinde idea livres q u

on avait faite d epuis cet. auteur sur la mêmematièren’

avait pas agrand i d‘

une lign e le champ d es c0nnaissancesqu

ilypossédeü sur les vertus mêdicimlæ deaplantes. Entrainé versles

.

sciences naturelles ctmédicflœ , il lut Fuchs et Fermi , où il

,vit, dia— il, de…dans un tableauraccourci, la médecine tout en«ère. Cg coup—d

œil fut peu favorable à notre science , et l’

in pœ 1

,äon qu’

ilien reçut est peu flaü euae : si1brisi mecum. Enfin il lut

iQS œuvres fi’

B ippoæ ate , assez pour reten ir par cœur les spherififi “ il lut .ôwæ fo is tout Galien , tout Avicenne , et peut—être

SËXÆOŒ G auteurs grecs , arabes ou modernes , ann otan t avec soinfaisant des at traits , .et classant ses recueils ; mais hélas en relisant

son travail, iln’

eutpas lieud e s’

applaud ü surson courag e . «Tandemcollectamsupellenü iem retegons , cogn0vi meamega tatem,pigu1_itque me insumti lab oris at1} ue annorum. 11 Ilavait appris à d is

99enter sur toutes sortes demaladies , et il était incapable de guérirou la gale , ou un mal de dents. Sub iitmihi tuminmente

'

m, quad

ars medendi inventum esset 1mp05turâ plennin. B éiléchissaxitalors aux désastres que devait entrainer l

exercice d‘

unartauss1mcertain ,

aussi trompeur il s’

écria, dan s l’

amertume d e son cœur

11 B0nè Deus ! quouslp1e cris m0rtalihus sucéen sus? Qui hactenusn e unamveritatem,

medendo tuis scholis reclusisti ?An tibi plaœ t‘holocaustumMoloch. Vi s tib i w tas pauperum,

viduaruin et pu

pillorum sub miserrimâ morb orum incurahiliurhtorturâ , et

d esperatione conseorari ?Quomodo ergo n on cessas tof familiasperdure , per medentiumincertitudinem et ignoran tiam? Se 1e

tant alors la face contre terre, il supplie le Trés—Haut de lui départirles lumières nécessaires pour exercer avec profit pour ses semblables l

ard ente charité d ont il est an imé pour eux. Il eut alors un e

vision qu i lui fi t comprend re que lu i , que l’

objet de sa prière, que

le mon d e entier n’

était rien aux yeux de celu i qu’

il invoquait;mais il y reconnut en même temps l

’ordre qu i lui était enjo i nt de

deven ir médecin . Il y travailla avec topic l’

ardeur d’

un enthousi

_este et la constance d

’un fanatique. Péi‘ triginta solid os anuos ,

d it— ii , sub sequen tesque or.d ine noctes lah0rav i, mois impensis ,

ac vitæ d etrimehtis, ut vegetähiliumetmineraliumnaturas , atque

preprietatumc0gn ition es aä piscerer : interimnon sine oratione

lectione, scrutin i0 rerum, errorumme ommtrutinâ, et experientiisd iurnalîbus conscriptis vixi .

»

Vers l’

ap 1600, et après avoir été reçu docteur en médecine au

Louvain en 1599 s‘

i l faut en cro ireplusieurs b iographes , VanB elmont partit en compagn ie d e b eaucoupd

amis pour aller voya

ger dan s les Alpes , la Suisse et la Savoye . Il était de retour en

1602 . Les recherches et les Opération s chimiques l’

occuperen talors

tout entier. Il voyagea encore en Espagne , en France il était àLondres en 1604 d

où il revintdan s l’hiver d e 1605. il fit un riche

mariage à Wilyprde , près de Bruxelles Ce futalors surtout qu’

il

s’

en fonçaplus que jamais dans les recherches alch1m1ques et qu 11

devint ph1losophe par le f eu , plu losophus per 1‘

g nem comme 11

se plaisait a être nommé. Avec les remèdes merve ille ux qu’

il composait, il guérisœ it chaque année

,c’

est lui qu i n ous le d it, d es

my riades d emalad es,d ontl’

état avaitmis en d efautles res sources d elamédecine ord inaire . VanHelmon tmourutle 30 décomhre 1 644, en

pLeine connaissance. Il avaitannoncé dan s une le ttre écrite la v eille a

un de ses amis à Paris, qu’

iln’

avaitplus que 24heures vin 6 ; etpeu

100 HEL

d mstanâavant d’expirer, iltransmettait à son fils ses dernières vo

lontés relativement à la publication de ses ouvrages; circonstances

q ui démentent l’

assertion d e Guy Patin , que Van Hehnont serait

mort dans un état de phrénésie pour n’

avoir pas voulu se laisser

saigner. Un exposé , même abrégé des idées de Van B elmont d emanderaitbeaucoupplus de place que n

en comporte cet article, j eme born erai donc à ind iquer quelques principes généraux qui caractérisent samani ère de mmet de raisonner en médecine .

J’

ai déjà d it, mais il faut lerépéter, parce que c’

est là— dessus que

se fond e le titre de gloire le .plus solide de Van Belmont, que nul

n’

avaitplus contribué que lui a la chute du galén isme dégénéré desécoles de son temps. Tant qu

’il se tient au rôle d e critique , Van

B elmontmontre une sagacité, une justesse d’

esprit, un e force de rai

son vraun ent admirables. Bacon n’apasmieuxdévoilé la stérilité d e

laméthode syllogistique ou aristotélique dans l’

étud e d es sciences, et

toute la physique hypothétique sur laquelle reposait laphysiologied

alors croule sous ses attaques comme sous celles des plus puissans

promoteurs de laphysique expérimentale. Mais quand ilveut éd ifier

à son tour , la scène change. D’

après la tournure d’

esprit qu’

on lui

connaît par les passages que nous lui avons empruntés pour écriresa v ie on devine que ce 11

est pas aux ob servations recueillies par

les sens qu’

il d emandera les secrets d e l’organ isme sain ou malade.C

estdans le sein de la d ivinité où il se plonge par une sorte d’

ex

tase , qu’

i lvachercher la lumière dont il veut éclairer lamédecine .

Sa folie estde tout spiritualiser, etde voir des êtres intelligcns par

tout où ilvoit coord ination de phénomènes vers'

unefin . Et commeil voit cette coordination non — seulement où elle existe ,mais mêmeoù elle n

existe pas, il a semé les êtres intelligens et agissans avec

une inc'

oncevable profusion .

Tous les corps de la natdre { d it— il renfermant en eux—mêmesun principe particulier, aura, qu i , existant dans la semence b ienavan t la

fécondation , préside à l’

arrangement, à laQomb inaison des

premiers élémens de l’

embryon d irige la formation du nouvelêtre,

et ensuite demeure en lui jusqu’

à la fin de la vie… L’

archée résulted e la réun ion de l

’aura v italis , qui est lamatière d e la génération,

avec l'

image seminale , imago seminalis qui sert de noy au à cette

matière , et qui la féconde . La semence que nous voyons n’

est que

l’

enveloppe d e l’

archée .

L’

archée n’

est point l'

ame in telligente , au sens de l’

auteur, cc

pendant il lui donne l‘

intelligence et même au plus haut degré :

omm r.xs mi ams.

1 . De lithiasi.2 . D ef ebribus.

3 . SchoIammhmnoristurumpan iva d eœptio ae ignorantia .

4 . Tumuluspestis.Jpolog ia ad versus doctrines awita

pra tenda tes. Lugalun i apud D e

0M to 16 55, ifl ' 8o

mm et rerumFramofi :rti , 1659.

Eætat etiam cum ej usdem authorisaperiôus omnibus unà editis. Franca

fi trti ap’

. Jakaw n JustamEl_7 tîtf0

pilum, 1 682,in —4 .

Fundamenta med icine reu nsj actasub unumeonceptum et intuitumbreriter contmcta de camis acpfi ncipm

HELVETIUS. (Ann an),fils du grand partisan de l’alchimi e Jean

FrédéricHelvétius et lui —même )10mme à secrets naqu it vers l’

an

166 1 probablement à LaHaye et certainement en Hollande. Dès

qu’

il eut achevé ses premières études il se ren d it à Leyd e où il

suivit les cours demédecine. A l’

âge de vingt an s, ilprit le parti de

voyager , et se rendit à Paris , sans aucun d essein d e s’

y établir.

Mai s les succès qui su ivirent ses essais de pratiqu e , lui atfi rèrent la

confianceet la protection du célèbre Colbert. Le dauphin fils d e

Louis XIV ,ayant été attaqué d e la dysenterie , Daquin , premier

méd ecin du roi fit appelerHelvétius en consultation . On en1ploya

le remède don t ilfaisait un secret, et qu i avait déjà quelque vogue ;il eut le succès le plus complet. Le père Lachaise ayan t ob tenu

d’Helvétim qu

ilfit connaître ses remèdes au père Beize qui allait

en mission , sous la promesse du secret les effets de ces remèdeset surtout ceuxde l

ipécacmnbaparurent si surprenans, que le con

fessent du roi se crut obligé d e lui en parler. Grace à un si puissant

appui auprès dumonarque Helvétius vend it au prix d emille louisd

or le secret qui con sistait à employer contre la dysenterie un ré

mède déjà connu, l'

ipécacuanha. Helvétius fut depuis revêtu d estitres d

écuyer, de conseiller d e sa 8 . M . T . C . demédecin in spec

teur général deshôpitaux de la Flandre française , et du duc

rum ohlivione sepultis hactenusqueinter Christiart0s ignatis ultimis v ero

his nostris d iebas Deo v eritatis sing u

lari suâ’

gratiâ ac mortales ægros miserieord iä

’ miraculi instar, noviter

unàque cumtatin:phy sica medicinaque htteusque incognita initä s‘, pm

gressa ae f ine manif enatù orbiçue

Christiano apefl is ac evu!g atïs. Ulma ,

apud Georg .WühellnumKühn , 1680 ,mar2 .

(Lindenius renovatus.— Rimorund

Sibcr, Leben und Lehrmeinungühberühmter Physiker, etc. Buisson

sur Van Belmont, B ibl.med . Bou

zet, Notice biogr. surVan B elmontRevueméd . Littré du sy stème deVan B elmont Journal hebdomdaim.)

106 HEL

prit naissance , et ce fut là aussi qu’il pritce goûtpourles titresho

n orifiques et cettehab itude d‘

intrigne,qui ne le quitta qu’

à la mort.Depuis long

— temps ilméd itait le projet d e se rendre chef de lamédecine en France . Ilusa d

intrigue pour y parven ir;mais la Euculté vit sesprojets etles déjoua.Helvétiusmourutle 17 juillet 1 755,à l

âge de 70 ans. Voici les titres d e ses ouvrages

I dée générale de l‘économie ani

male ,et observation sur la petite

-mé

mle . Paris , 1 7 2 2 in — 8 .

Besse en fit une critique très-amère

dan s la Lettre à M au teur du non

Veau livre surl’

Econamie an imale, etc.

Paris , 1 7 2 3 , in— 1 2 .

Helvétius répond it à cette critique

par l’

ouvrage suivan t:Lettre à

a ti sujet de la Lettre critique de

M . Besse contre l’

I dée générale de

l’

économie an imale , et Observation

sur la petiw 1 7 2 5 in-8.

Cette réponse donna lieu à un ou

vrage de Besse intitulé:Réplique aux

Lettres d e M . Helvétius , au suj et de

la critique de son livre d e l’

Economie

animale et Observa tions sur la petite

me‘role parM. Besse docteur—rég ent

de laf aculté de méd ecine d e Paris et

premier médecin du roi de la maison

de Sa in t Louis et d e celle de Saint

Cy r, tom. Amsterdam 1 726 .— Hel

vétins q ui était courtisan et qui par

con séquent aimait les coups d‘autori

té v int à bout d‘empêcherlapublica

tion de la seconde partie .

Eclaireissement concernant la man ière d ont l

air ag it sur le sang dans

les poumons ; pour servir de réponse

aux objections contenues dan s un e

Lettre de M . M ichelotti M . de Fon

tenelle ; par M . Helvétius , premiermédecin de la rein e conseiller—mède

cin ardinaire du roi , docteur—régent

d e la faculté de Médecine de Paris

médecin inspecteur des hôpitauxmi

litaires , de l‘

Académie royale des

Sciences . Paris , Barak 1 7 28 , iu—4

A la fi n d e cet Eclaircissempnt setrouve la lettre suivante :De structurd

g landulæ epistola, Cl. d dr.Helvetius,regime galliamœ A rehiatri reg i

christian isnmo comiliis ej usquemed ici perpetuo ordinam Doctorit

medici Parisiensis reglæ scien tiarmfiA cademia: soon , regiorumq ue noso

comiorumCastrensium, praf ecti generaiis ad clarist . wlvumj aeobumBe

n ig numWinslotv dactorsmmed icantP arrszertsem, anatomes chirurg ieet scholammprof es:of eflt, reg iæ scien

tiarumd ead . sac.,d e linguarutn Gef

manica , Belg ica et Suecica reg ions

interpretem. Les Eclaircissemens s‘

ur

Zalman iére dont l’

a ir opère sur le sang

furentapprouvésparWimlov etM . de

Mairan ; et le Tra itésurla structure desglandes par Bincahme et Mfl act.L

’Histoire d’

une opération césa

rienne fai te avec succèspar Mict

Mémoires de l‘Académie des Sci en ces ,1 7 3 1 .

Ilpublia encore

Méthod el

dannée par M.Helvétiusconseiller d

état ete. etc. suivant

laquelle lespersonnes charitable: d oivent conduire lespauvresmalades de lacampagne attaqués de fièvre:intermittentes. 1 746 in -8. Ce trai té est sui

vi de méù où s pour guérir les fi èvres

continues simples , les fièvres inflammatoires du cerveau, les fièvres malignes , les [lèvres inflammatoires dufoie etdes intestins , ll dy3enterie , la

HELleuœphlêgmasie et les pâles couleurs.

P rincipia phy tioo—med ica ln tit‘o

nummed icinœ gmticm conscripta

Joanne Cland io—A dr.Helvetius reg i à ,

sanctioriôus consiliis Reg ime A rchiatro nosocomiorum reg iorum militan

ampræ/eoto , doct0re medico Paricusi reg ia s0ientiammA cademiaet reg ii nan cieanommmed icaramcôl

legu honoris socio . Parisiis , apud v i

duam P ierres , 1 7 52 , 2 vol. ih—8 .

Dans cet ouvrage , approuvé parLor

ry Helvétius propose ses idées avec

plus d e modestie que de coutume .

Lettre de M . Helvetius, conseiller

etӎtat, etc., 21 MM . les doy erts et sy !!

d ies des f acult de médecine et des

collég es des médecins du roy aume deFrance, au suj et d esf ormulesdemédecme [b itespour leshôpitauxmilita ires.111-4 de 3 2 pages , avec une approba

tion'

des commis.'

ræ nommés par lafaculté

, et le décret fait à ce sujet.Ces deuxdernières pièces en latin et en

français .

Observation sur le poumon de

l’homme . Mémoires de l’Académie desSciences , 1 7 1 8 .

Observations sur l’

inégalité d es

HENDY (Jan us),d octeur euméd eeine d e la facultéd’

Ed imhourg ,où il fut reçu en 1 7 74 , méd ecin général d e la milice et l

un des

médecin s du d ispensaire général de la Barbade . Ayant fait ses

étud es dans la Grande— Bretagne , à une époque où l’

on s’

y occupait

avec ardeur des recherches sur le système lymphatique , il dutsan s doute à cette circonstance le goût qu

ilprit pour ce sujet, etc’est à cela qu

on doit attribuer la d irection d e ses travaux, qui s’

y

rapportent entierement. On peutmême remarquer que cette pré

d ilection décidée pour le systèmelymphatiq ü e, d ontnous venonsd eparler, paraît n

être pas san s quelque influence sur lamamere de

d écrire lamaladie dont l’auteur s’

est occupé. Si l’

on compare ses

107

v aifl eauæ sanguins , et sur le changement q ui arrive au sang en passant

par lepoumon . Mémoires de l’Académie des Sciences 1 7 18 .

Sur la d ig‘

8fl i07l. Mémoires de l’Académi e des Sciences , 1 7 19 . Dans ce

Mémoire , Helvétius s‘

élève contre

l’opinion de ceux qui veulen t expli

qtœr'

la d igestion par la simple trita1àtiorî des alimns . Il attribue l

'

esto

macdeuxbandes ligamenteuses ou teud în euses , qu

il compare à celles du

colon ; elles occupent toute la lou

gueur du corps de l‘estomac. Il assure

que les fibres du fond de l‘

estomac dé

criven t plu siems cercles autour d’

un

po int qui parait comme le centre d e

cette partie .lla décritquelq ues bandes

musculeusœ en forme d ’

écbarpe sur

lè’

cau‘d ia, qui se d i vi sent en patte d

oie

Vers le fond de l'estomac.

Observa tion pour prouve) la quan

tité de salive qui peut s’échapper pen

dan t la mastication. Mémoires de

l’

Académie , 1 7 2 0 .

Sur la structure interne des intestins

grêles . Mémoires d e l’

Académie des

Sciences , 1 7 2 1 .

( Paquot, Andry . )

108 BEN

d escriptions avec celles d’

autres ob servateurs , on voit queHendyen tracant le tableaude la malad ie d es Barbades , a fait ressortiravec un soin particulier tout ce qu i peut contribuer à faire consi

dérer lamalad ie comme une affection du système lymphatique.

Tentamea phy siologieum de scene ted in the lymphatic sy stem. Londres

tione gland ulari. Ed imbourg , 1 7 7 4 1 7 84 , in -8 ; trad . en franc. , par Jos.

în-8 La table du Thesaurus dû s. L —J.-Er.-Ant. Allard et inséré dans

E dit:. de Smelli e sembleraitattribuer les Mém. d e la Soc. méd . d‘émulation

à Ready une autre dissertation de la de Paris tom. IV.

même année , soutenue par Th. Sar J'

. Rollo publia des remarques criden et intitulée D e atmospheræ tiques sur cet ouvrage

naturä et efl îtctibus quibusdam mais Rmarhs on the disease lately des

il se peut que ce soit un e simple faute. cribed by D' Hendy under the appel

typographique. lation of the g landular d isease ofA n E ssay on glandular secretion Barbadoes. Londres , 1 785 ia-8 .

conta in ing an experimen tal inqu iry Ready réplique

into the preven tion of pas an d a cri l’ ind ication of the opin ions and

ticalexamination in to an opin ion Of M. facts contained in a hea tise on theJohn Hunter‘s that the blood is alive. g land ular d isease cf Barbad oes. LonLond res , 1 7 7 5, in —8 . dres , 1 7 89 , ia

— 8 i d . , 1 790, in-8 .

Treatise on the glandular d isease ( Reuss. Rob . att. Journ .

cv’the Barbadoes proving itto be sea de me

'

d .

HENKEL (Josenm—Fmänûnrc), etnon pasJeau-Frédéric, commele nomme l’auteur d e la B iog raphieméd icale d

aprèsMeusel l’

un

d es chirurg iens etdes accoucheurslesplus d istingués d e l’

Allemagne,au d ern ier siècle naquit le 4 mars 1 7 12 àHolland , petite ville de

la Prusse . Il commença l’

étude de la chirurgie d’

abord sous son

père , puis sous Marggraff, de Kœn igsberg ; il vint la continuer en

su ite à Berlin . Nommé chirurgien d e compagn ie , dans un régiment

d’

infanterie qu i était en garn ison à Berlin ,ilpassa peu d e temps

après d e ce poste dans le régiment des gard es du corps d u ro i , àPostdam. Plus tard ilvoyagea en Hollande et en France ,

aux frais

d u roi , pour se perfectionner dans'

la chirurg ie et la médecineAprès deux ans passés à Paris , Henkel fut nommé chirurgien en

chef du régiment des gardes. Ce régimentayant été licencié en 1

Henkel passa aveclemême titre dans celu i d es gendarmes d e Berlin . En 17 45 il futprendre à Francfort

— sur— I’

Oder le grade de doc

teur en médecine. A son retour il fut chargé de l’

enseignement pu

BEN

wa chse der Oef_‘

fnung derLufl rohre, bliebenen operationen. Berlin, 1 7 75

und demKre6s an der Brust. Berlin , in —8. All) . M it Kupfern .

1 7 7 4 . 7tes Stü ck v on der Offl‘î A bban

fllung amn d e uFussgeburten ,nung d er Brust der Oefi

'

mmg d es worinnen eine Hebamme grosse Ge

cmFinger, und dcme imæfl sgei d eüm in—8.

Augenfied«. Berlin, 1 7 75. 8tes und ( BoerhæmNt id ttfl t. r

leætes Stÿrà w a allen nochubrt‘

gge Lexilmn . Oxiander. )

HENNING (Ju n Gnoaeu— Fn1änfimc) , né à K oswig , dans le

pays d e Zerbst, le 6 février 1 763 , était en 182 1 conseiller aulique

etmédecin praticien à Bernbourg . Nous n e trouvons point la date

d e samort;mais il ne figure pas dans ledictionnaire desmédecinsv ivans d e Callisen . Il est auteur d es ouvrages suivants

Beobachtnngen aber den Werthund_d ie W

ù °hsaatheit e iniger A rzneymi tt .

Stendal, 1 789 ,ia-8 1 18 pp.

— Ohservation s intéressan tes sur l

action et

les propriétés de d ivers méd icamen s.filed icinische Fragmen te , aus mei

nerE rf ahrung g ezog en. Zerbst,Î1 799iu-8 .

I deen aber d ie ErbhraMheiten .

Zerb st, 1 800,ñu-8.

Bq træge zurpralctischen 4 rzner

HENRY (Tuomss ,apot_hjcairé à

hM . Godm, 1. 1802 3 1. R , 1804 ,

Über d ie ha nhb‘

ehe Lam . Zen

b st 1 8 10,ia-8.

Kleine med iein iæhe A bhandhmgen

d er Efi /u‘uæg . Stœ dal 1 8 1 2 , ia — 8 .

ldæ n ü ber Id iosy nhraxvie , A ntipatfiie urtd krænfl iehe Rei:barfieü » Stendal, 18 1 2 , in o

8 .

( Ustori ,Repee

Manchester , memb re de lasociété royale d e Londres d e la société d es médecins d e lamêmev ille ,œ rœ spouüantd e la .sociétéphilosophique américaine de Philadelphié , secrétaire d e la société littéraire et philosophique deManchester , e st plus connu comme chimiste que œ mme médecin ,

nous croyons néanmo ins demir ind iquer ses om ges.

Experime}zts and observations bn a reply tohis examination of M. Heuthe proportion, calcina tion and med ical uses a] mag nesia alba ; also on

Quick Lime , abmrben !s weg ä ablc

inf usion prepared withLime and

Sweating offixed air. Londres, 1 7 73 ,

in-8 .

A Letter to D'

Glass contain ing

rf s Strictures. Lon dres i .n-8

A nt account of a method of preserving Water at sea fromputrefaction

,and of restorzng to water its origi

-

nalpleasanmess undpun‘

g ,

by a cheapand eas

_yprocess on inwregnating W4

ter ia larg e quantities withfixed air

1 16 RER

la conformation de l’émail d es dents , et sur celle des gencives

(avec 3 des éclaircissemens sur l’ossification 1 758 sur les

malad ies d es os , avec 7 planches sur l‘

o rgan isation , jus

qu’

alors inconnue , d’

une quantité considérable de productions

an imales principalement d es coquilles des animaux avec 3 pl.

( 1 Plus tard il s’

occupa du phénomène étrange de la repro

duction de la tête des limaçons et démontre la réalité de cette

inerveille , en présentant à l’

académie un_

limaç on dont la téte qui

avait été coupée était conservée dans l'

alcool et auquel il en était

revenu une seconde garnie de tous ses organ es. Cette expérience fut

suivie d e la dern ière qu’

ait pub liée Hérissant savoir de celle de

trois crapauds qu’

il enferma vivans en présence de l'

académie dessciences , dans trois b oîtes , lesquelles furent sur le champ enve

10ppées d'

un bloc de plâtre assez épais , et gardés dans l‘

apparte

ment méme de l’académie des sciences. Ces boites ne furent ouvertes

q u’

au bout de 18 mois , et d eux des an imaux furent trouvés vivans .

Hérissant mourut , âgé de près de 59 ans , le 21 août 17 7 1 .

Pour faire connaître tous ses écrits , nous n’

avons à ajouter aux

mémoires qui viennent d’

être ind iqués que les thèses suivantes

E rgo ab in:pulsu sanguinis in artc J a v ero in cmpycmate necessaria,n

ampulmonakmres;;iratio :pontanm. lice:rarô pro:pu a pæm ntcsü Pa

Paris, 1 74 1, in—4 . ris 1 76 2 in—4.

E rgo seamdinæ fæmi pulmonuæ (M a rta. Each. Qu…)pra

-“ant officie . Paris, 1 743 in—4 .

HERISSANT (Loun —Aurou x—Pnoæ na) naquit à Paris le 27

juillet 1 7 45 de Jcan —ThomasHériË ant, imprimeur du cab in et du

roi . Il fit ses études au collège de Beauvais , et obtint, en rhétorique le grand prix des collèges de la capitale. Il conserva

,en

embrassan t la barrière de laméd ecin e , son goût pour la littérature .

D isciple de Thomas , il affectionnait particulièrement l'éloge aca

démique , et il s’

exerça plus d’

une fo is en ce genre . L’

académied

Amiens ayan t proposé pour sujet d e prix l‘

éloge d e Ducange ,Hérisssantmérita les honneurs d e l‘accessit. Ilavai t composé dansle même temps l

éloge de Duretpourun concours de la faculté d e

médecine ;mais, quoique son d iscours fût achevé en temps couvenable il ne le remit pas. Son ouvrage le plus remarquab le en ce

genre est l’

éloge de Gauthier d’

Andernach couronné par la faculté

de médecine , et qu i a un mérite réel. Admis au baccalauréatau

HER 1 19

fortement les esprits etfitpubliertoutes sortes d‘exagératiompour

rendre od ieux des hommes qu’

on regardait comme coupables

d’

une horrible pmfanation . Les écrits d’Hér0phile étant perdus

depuis long-temps il nous est impossible d e juger d e l’

étendue d e

ses connaissances en anatomie et son mérite en ce genre , ne nous

est connu que par les éloges qu'il a reçus de Galien , qui ne les

prod iguaitpas . On sait seulement qu’il étud ia le système nerveux

avec beaucoupplus de soin qu’

on n'

avait fait, et les d énominationsdonnées parlui à un grand nombre de parties qu i les conserventencore, prouvent qu

’il avait beaucoup vu en anatomie. Il parait

avoir eu connaissance des vaisseaux chylifères et cet échan tillonsuffit pour donner une idée de sa perspicacité et de son industrie .

Le caractère leplus saillant d e lapathologie d ’Hérophile autant

qu‘

elle nous estconnue , c’est d e placer la source principale d es

maladies dans les humeurs . Cemédecin s’attacha beaucoup plus

qu’

on n’

avaitfait à l’étude de l

état des artères etcréa une doctrine

dupouls, dont le principal défaut fut d‘étre, dès sa naissance, trop

subtile et troprecherchée . Herophile fut artisan d es vertus

spéciales de chaque méd icament, et, sel parmi les plantesmêmes qu

on foule chaque jour aux pieds , à peine y en a—t-il qui

nesoientpourvues de quelque vertuparticulière et précieuse .

Hérophile eut d e nombreux sectateurs et fit école .Mais les écrits

de ses d isciples se sontperdus comme les sien s .

on peut voir dans la Bibliotheoa græ cä d e Fabricius éd ition

d eHarles, un article d’

Ackermann surHérophü e, où se trouve re

cueilli tout ce qu’

on sait de lui et d e ses ouvrages.

HERY (Tmenar un) chirurgien -barbier, étudia à Paris où il

étaitné sous JacquesHoullier et Antoine Saillard médecin s de laFaculté de Paris;car à cette époque les chirurg iens-barb ie“ étaientobligés par leurs statuts , à faire quatre années de chirurg ie dansla faculté, avantde gagner maitrise . Il suivit l

‘armée d

'

Italie en

153 7 . Il visita Rome ainsi que l’atteste la mention q u’

il fait de

l’Hôpital des Incurables ou de Saint—Jacques, dans lequel étaient

alors en grand nombre les affections sÿphilitiq ues. On ne sait

point‘

a quelle époque il revint en France . Mais ce fut long -tempsavant 1 552 autant qu

on en peut j uger par le livre qui il écrivit

Sur la syphilis. On rapporte qu’

étant un jour allé il Saint—Den is , il

aä genouilla devant la statue de Charles VIII ; mais un mo ine luiayantd itqu

il se trompait et que ce n’

étaitpas l’image d

un sain t;

taisez—vous mon père, répondit-il; je sais b ien ce que je fais, ilest

HESd ie e xpenmental Berlin

1 787 , in-8 .

A n d ieHerausgeber des bebræ ischen

impfi mg und deren Verghichung mit_derhuman en . Berlin, 1 80 1, in-8.

Here a inséré un assez gçgpd UQŒ °

Sammlung aber d ie Frühe Beerd ig ungder Jaden . Berlin

,1 7 87, ia

— 8 ibid .,

1 788, in—8 .

A n den D . Domeier aber d ieBrutal

bre d’

articles dans d ivers journanç .

(Med . chir. Z eitung . Der R°

graph. Hamberger etMeusel.)

HESSELBACH FrançoxsG aspsnn) matomiste et chirurgiend istingué, dont le nomfigure honorablement dans l

'histoire de lachirurgie d es hern ies naqu it à Hammelhourg ,

dans le d uché deFuld e

,le 2 7 janvier 1 7 59. Après avoir fait ses études primaires

dans sa v ille n‘

atale et saphilomphie à Fulde ; il se rendit àWurz

b ourg pour étud ier la méd ecin e . Il d evint le d isciple particulier,

puis l’

aide et l’

ami de Siebold . Il s‘

appliqua avec une véritable

passion à l‘étude d e l’

anatomie . L’

école de Wurzb ourgn’avait

po int alors d e prosecteur, et Siebold , professeur d’

anatomie, étaitchargé lui même d es d issection s . Hesselbachle remplaça gratuitement dans ces fonctions pend ant sixannées, puis il d evin t prosectenr titulaire en 1 7 89, aux appointemen s d e 300 florins, et d e 350en 1 797 . A son entrée , le muséumanatomique était fort pauvre etn e renfermait guère que desp1eces sèches, consistant la plupart end es osmalad es ; grace au zèle d

’Hesselb æh, ce muséumpossédait,en 18 16, 1232 pièces d ont plusieurs fort remarquables et toutesdans un bel état.

Le 14 mai 1807 , la Faculté demédecine de Wurzbourg conféra

à Hesselbachle titre de d octeur,il fut nommé d eux ans après ,

membre correspondant de la Société physico —méd icale d ’

Erlângen,et, le 29 avril 18 14, membre d e l

académie d es curieux d ehn a

ture . 11était d epuis quelque temps professeur d’

opérations chirurgicales et il remplissait les fonctions de chirurgien en chef del‘hôpitalJulius , quand ilmourut, le 24 juillet 18 16 .

Verbesseruog des Weic_lmann ischen

Messers. la d . Salzb. med . chir. Z e i

tung , 1 795, t. I, p. 1 1 3 , 1 pl.

Vollstænd ige A nlei£ung zur 7 er

gü ederung skunde des mensohleehenKœrpe_

rs . Arn stad t et Rudolstadt

1 805- 1 808 , 1 tomes en 3 parties.

Anatomisch—cbi mrg zsche A bhandlang über dmUr{pry ng der Leisten

bruche . Wufzbourg , 1 806 ,in

Anatomie soignée d e la région ia

gu inale de l’abdomen ,

et premier éta

blissemen t de la d istinction des ber

o ies ingn inales en extern es,e t en ia

ternes .

Neueste anatomisch-

patbolomscbçUntersuchung ü ber den Urs rang und

das Fo”:chreitm der £istrn —wxd

B

& henÆelbfi ieh. Wurzbourg 18 1a

ia -4, 1 5 pl. Latine v en irRoland

ibid 18 14, ia-4 . Cet ouvrage par

tage avec ceux de Scarpa et d‘

Astle

Cooper l‘honneur des progrès qu

faii3 dans ces dern iers temps la

chirurgie deshern ie: progrès fondés

pfl noipalemen t sur une anatomie plusexacte des parties où se font les herniee et une description plus soi

HEUERMANN (GBO }16 !Lphysb logiste etchirurgien d istinguémort dans la force de l’âge , en 1 768, avait été successivement pro

secteur à l’

Université de Copenhague méd ecin d es cad ets de la

marine danoise , en 17 54 médecin de l’armée danoise dans le

Holstein , en 1 7611, enfin professeur extraord inaire demédecine ,à l

'

université de Copenhague.

D iss. d e linguä' humanr‘i pra s. .B. gen und neuen Instrumente . Copenha

J . Bucbwald . Copenhague, 1 7 4g , in —4 . gcc, 1 7 54 -57 , in-8, 3 vol. Ouvrage

Phy siologie welche e ine deutliche b ien fait, où l'

auteur a répandu un

Ba chn ibnng d en rv omehmsterWdr grand nombre d ’

observation s in téres

lungen und Verriehtungen sa tu tentes .Haller ind ique les principales.

«(d u Leben e ines Menschen e1fordert Vermischte Bemer£ungen und Un…m, in eicb cuthah. mit Kupf. gersucbui1gen der A ùsü bend en Ara

Copenhague et Le ipzig 1 75 1—55 nq wissenscbafl . Copenhague et Leip

ia — 8 4 vol. Ouvrage classique en zig, in -8 fig Recueil

temps ; 09 un extrait d'

observations pratiques plus ou

dan s les Commentaires de Leipzig . moins in téressantes , la plupart chi bhd fl dlü fl5£ fi 0013 de?! Vomehm mrgjca]es,

sien cb imrg ischen Operation—em am (Adelung . Meusel Lexikon .

mmschlichen Kærper, nebst A bzeich Haller Tag ebuch. Comment. dennng d erhierzu erj order fic/zen nœthi rebus in med . gestis.)

HEURNIUS (JEAN), l’

un des restaurateurs d e la médecine hippocrafique au 16° siècle

,naquit à Utrecht le 25 janv ier 1 543 . Il

montra si peu de d ispositions dans ses premières étud es , qu’

ilsavait

à peine lire à l’

âge de onze ans , et qu’

à 15 il n’

avait pu encore

apprendre les règles de la grammaire . Mais à cet âge , l’

amour dutravail se développa en lui ; il y passait les jours et les nu its , et il

réparti si bien le temps perdu qu’

il devint un deshommes les plussavans d e son époque . A d ix-huit ans , on l

envoya à Louvain ,où

ilétud ia deux ans lamédecine . Il vint ensuite à Paris, et assista avec

EU 13 3

guée de l’état des parties bermces.

Beschreibung und Abbildnng eines

Instruments zur sichern Entdæ ânng{md & ü lM g e iner bey d em Druck

schnitte entstandenen gefæhrbcbet:Blutung . Wurzbourg , 18 15 , in -4 ,

1 pl.

(Med . d ir. Z eitung . Allg . med .

A nnalen. Da: gelekfi e D eut

:cbland )

4 HEU

beaucoup d'

exactitude aux leç ons d e Duret. Il s’

exerça en mêmetemps à la pratique d e la lithotômie sous Colot. A 1 4 an s ilpassa

en Italie, et fitun séjour d e ], années à Padoue .

‘ll voulait y prendre

le titre de docteur,mai s ayantcouru risque de la v ie, de lapart d’

un

aubergiste ivre , il prit le parti d e quitter Padoue . Il se rend it à

Pavie,et ce fut là qu

il fut élevé au doctorat en 157 1 . Il y de

meura d eux ans en qualité d e médecin de Nicolas Perrenot deGranvclle, etun professeur d e l

Université,charmé d e ses talens,vouh1t 'l

y fixér en lui donnant lamain d e safille et lui cédant sa chaire ;mais lesmenaces des Italiens , jalouxde voir un étranger faire chezeux un établissement si avantageux, et l

'

opinion qu’

avait Heurn iusd e leur caractère , l

ob ligèrent en q uelque sorte à s'

échapper et à

rentrer dans sa patrie après un e absence d e 1 2 années. Il s’

établit à

Utrecht , où il exerça la médecine avec beaucoup de réputation .

Quelque temps après il fut fait conseiller d e la ville. Mais son goût

pour la vie tranquille et stud ieuse lui fit regarder cet honneurcomme une chose fort onéreuse et, à force de sollicitations , il se

fit décharger, quoique avecpeine , d’

un emploi qui était l’

objet d el’

amb ition de tant d ’

autres. En 158 1 lorsq ue l’

un iversité d e Leyde

fut fondée Heurnius y fut appelé pour remplir la chaire de mèdecine . C

est dans ce poste qu’

ilpassa les vingt dern ieresan nées d e sa

vie, considéré comme une des gloires d e cette école . Il est le premier

qui ait fait à Leyde des démonstrations anatomiques sur le cadavre

humain . Ileut l’honneur d ‘

être six fo isrecteur de l’

Un iversité.Heurn iusmourut le 1 1 août 160 1, âgé de 58 ans. Pendant les 3 d erbièresannées de sa vie il souffrxt beaucoup de lapierre ; à l

ouverture‘

d e

son corps , on trouva sept calculs dans la vessie , qui pesaient en

semble quatorze drachmes.

Opera omn iu , tam ad theoriamguamadpmxin med icamspectantia

ab Ottone c mio F ., in duos tomes

distributa ac ed ito . Lugdun i Batavo

run: apnd Raphelengx‘

am. 1608, in-4 .

Lagdnn i apnd Jah. Ant. Huguetan,etMarc. A nt. Ravaud . 1 658 in -fol.

Voici les ouvrages que contient ce

recueil

Institution s med icina .

P raxi smedicina g encralis.P romis med icine: particfl arû in

qua sunt de morbi: capitis liber;

D e morbis oculomm, anrium, nasi,dentium et cris fiber

Demorbis pectoris, fiber;De j ebribus , fiberD epeste, liber

De morbis v entria fiber;De morbismnliemm, liber

Responsum ad supmmam enriamHollandiæ nuIlnmesse aqua: innata

tioncmIamiarwn indicium;

126

0110 Heumid s Lagdun i Data ap.

enmdem,1607 , in —4 .

De f ebribus liber Lagd . Eater.

apud eamdcm, 1 598 ia-4 .

De peste , fiber Lngd . Bate n. apnd

camd em, 1 600 , in—4 .

In Hippocrntis coi dehominis nü

turä'

libros ducs ; co… tnn‘

us.

Edid it post mortem auctori:, g'

as

filins Otto c mius. Lugti . Balai».

apud enmd em, 1609, in

In Hippocratis coi de wietds rationeinmorbis acutis ltbrnmprimumet .re

cundum commentarius. E did it OttoHeumius . Lugd . Batav. apud Rapheling ium, 1 609, ia-4 .

In Hipp œmtit coi de r iad: mtione in morbis acutis “ram 1er

tiametquartnm, commentarius.Edidi tOtto Heumius Lug d . Baton , 1605,

Ilippocratis coi apborismi gra ce et

latin e brevi enarm1icne,_fldâqrœ ia

terpretation: ita illustraïi î ut ab cmnibas f acilè intellig iposä nt. Cumhistoms , observationibu3 cauti0n ibus

et remed iis selectis . Lug dun i Batavo

ram apud Rapheling t‘

nm, 1609, ia—4 .

Lugd . Bazar. eæ cfficind piantinü n‘

Rapbeling i i 1609 apud Job. Lo

Ma ire,

16 2 3, in— 12 . Lugd . Batna ,

npud eumdem, 163 3, iti-12 .Haga cc

mitis , apud Adriana»: Ulacq ,166 4,

ia— 1 2 . Iena et Leipzig 16 7 7 , i n—4 .

HÉV

Ncte , obiervationu et…Û’

a te

creta ad Johann is Fornelli

ciné univertd einsd«n Fernd it‘

et

qu idam in illd ed iü one , qu camJohannis et Otton is Heamicm

HÉVIN (Paununr), l’

un des membres les plus d istingués del’

Acad émie royale de chirurgie, était d e Paris, où ilavaitvu le jourle 15 janvier 17 15. Après des études classiques dont samamered

'

écri re proùve la solid ité il se décida par, goût, à emb rasser lamême carrière que son père qui était chirurgien . Il fut successive

ment élève chirurgi en gagnantmaîtrise et enfin chirurgien—majord e l

’hôpital d e la Charité.Hév iu occupa assez long— temps et avec

la plus grande d istinction lachaire de thérapeutique aux écoles

Æppocratù coi W ine”, et

,

prôgnœ tiæ rmfi libri t'es campampkrastica versione:et bn vibns ccmmentariis Lugd . Batar. cx ojfici11üplantiniand , «pad Ba

pheling ium, 1597, inst.

Cet ouvrage contient: ” fi mdum.

— De med ioo. Lez . De am.

-D eweteri med icind . n nos£icc

ramliberprimus, secundarDc eleg antin. Pr0 cepticræ1. De

carnibus, siveprincipü r. -Depü ga

illnstrata pmd lit uitmj ecti 1656 ,in—4 . (Mangot.)CcmmcntañminHippocratt

:librumde med icamanti: pargdn tibas. Extat

in editwne operamej usdemHippocrdtis

, quamad meritemE rotiani distribu

tamediditA nntius Foesins. Geneve

1657 , in—fol. (Mengst.)On attribue mais probablement

tort, 5 J. Em u deuxouvrages d‘

as

trolOgie et de chimie qui ne valentpasla pein e d

’être indiqués.

(Nicé10n. Chauffepié. Margot.

Paquet.)

HEW 127

de chirurgie. Il ne brille pasmo ins à l‘

Académie royale de chirurgie où il fut secrétaire pour la correspondance et dont il eut

l’honneur d

être nommé vice-d irecteur en 1 788. Il mourut le3 décembre 1789. Les Académies des sciences de Stockholmet de

Lyon ,et d iverses autres sociétés savantes l’

avaient compté au

nombre de leursmembres.

Les ouvrages de Kévin portent le cachet d ’

un esprit fort solide

et fort éclairé. Ils sont riches en observations particulières et dé

gagés de toute superfluité théorique ; aussi conserveront-ils longtemps laplus grande partie d e l

intérêtq u’ils eurentdans leur nou

veanté. En voici les titres

Précis d‘

observations sur les corps un mémo ire manuscrit de Kévin

étrangers amle'

s etun i té: dans l’

œ sous le même titre , et contenant les

tophag e e t dans la trachée artère , mêmes faits ,moins ceux de séparationavec des remarques sur les moy en: d

uneportion d’intestin rendueparles

qu'

on a emplqrés ou qu’

on peut ena selles et suivie de guérison ouvrage

play erpour les retirer. Dans les Mei dont les conclusions sont opposées

moin s de l'

Académie royale de Chi sur les points fondamentaux, celles

rurgie tom. I . dumémoire publié.

Recherches historiques et critiques Cours depatholog ie etde thérapeusur la néphrctcmie ou taille du rein. tique chirurg icales de M. S imonAcad . roy . de Chir. revu ,

mit en ordre et augmenté. PaRecherches historiques sur la gus ris, 1 7 ia-8 ; nouvelle éd i tion (sous

trotcmie où l’

ouverture du bas—ven le nomde Kévin) :Paris, 1 7 84, in. 8,

tre dans cas du «volmhu ou de 17 93, in—8, 2 vol.

?M sm cption d’

un intestin . Acad. (Mon iteur de

mù ù Œ mÿ e.— Je p æü c

ÈEWSON (Wmnu n ) , anatomiste fort d istingué , né le 14 mai1 739, à Hexum, dans le Northumberland , reçut ses prem1eresleçons de son père , qui était chirurgien . Il eut un second

maître à Neucastlo , après q uoi il visita Londres Edimbourg et

Paris . Revenu dans la capitale d e l’

Angleterre , il fut choisi parles deux Hunter pour d iriger les d issections dans leurs amphithü tres , et chargé des répétitions d e leurs leçons . Il fit b ientôt,pour son propre compte,

'

des cours d’

anatomie qui furent fort suivis. La société royale l

admit en 17 7 2 au n ombre de ses membres.

En d isséquæ t un cadavre dont la pu,tréfaction était fort avancée

Hevvson se blesse à lamain avec la scie dont il se servait pour ou

vrir le crâne . Cette blessure fut suivie d’

accideœ auxquels Hamon

succomba à la fleur d e l’âge, le mai 1 774 .

HIP 139

Sil’

art de guériravait toujoursmarchédans cette voie si sûre etsi naturelle d e quelles découvertes ne se serait—ii pas enrichi ?Mais elle est tmp longue au gré de l

imagination impatiente dela plupartdeshom es ; on s

est élu-cé loin d ‘

elle , dans la région

des hypothèses , et il a fatia ,u d iverses époques , toute l‘

autorité

de quelques génies du premier ordre pour y req les es—œ

pt its.

Les premiers pas que lamédecine voulut hw der sur le de'

ms ine des .autres sciences , auront de fi chunses conséquences en

menseèrent de la dénaturer complètement. Qùe d irai-je de ces

premières tentatives étiblogiques, empruntées à la théologie qui,rapportent à la colère des Dia s le développement d es maladiesne laissaien t vo ir d

autresmoyens de salut que les offrandes dont î

on omnbhit lesministres du culte religieux? Faut- ii parler d es

miracles du Dieu de laméd ecine , d‘

Esculape et de l’empire que

ses dœœ ndans consorvètent si long— temps sur les esprits grace à

l"

rame et à la superstition du peuple.Ministres d’

une d ivinité

ç’

i1s avaient créée , ils feront bientôt les senls d ispensatenmde lavie et de la santé. Leurs priv ilèges et leurpuissance briséretrt toute

rivalité , étonfl'

èrent toute émulation etla Grèce n’

eutplus d’autres

médecins qu'

eux. Ils trsnanettaient à leurs enfans les connais

sances méd icales et surtout l’

art des jongler!“ qu'

ils avaient lié

rhé de leurs prédécesseurs dans le temple sans en dévoiler le

secret à aucun étranger. Cette famille des Aselépiades formaitdonc,comme les prêtres d

Egypte , une casteparticulière qui semit”

en possession exclusive et sans partage de la pratique de lamédoä neÏ, et du culte mystérieux de son fondateur. Quand l

exten

sion n pülé de ou unite et lamultiplication des temples d'

Eœulspe

ne perm…plus à ses descendu s d’

en desservir tous la autels

cette famille privilégiée admit dans son sein et fitparticiper à ses

droits des d isciples donton éprouvsitpar avance la d iscrétion et

la fidélité et qui n’étaient initiés qu

‘après avoir juré par tous les

Dieu de ne pasprofanerlesmystères et de ne les dévoiler qu’auxenfans de leursmaitres ou l ca r qui s

engagersimtpu lemême

Fondée sur un principe absurde le dépefldanœ d esmalad iesd e la volonté des Dieux, lamédecine des Aselépiades

ne consistait

qu‘ici —del ou despratiques isdgniflmæ aux

quelleu«luplus… pouvsttœute b buvsrm ap

parenee de merveilleux et qui n‘

a d’

autre titre à étre qualifiée

140 HIP

du nomdemédecine qu’un usage emprunté auxGrecs etl

’habitudequ

'

on a gratuitement prise de lui prod iguerce nom.

Sous des apparences b îen plus séduisantes la philôsephie fitpour un temps presque autant de mal à lamédecine. A la vérité

elle devait fournir elle-même un jour lesmoyens de combattre leserreurs dontelle avaitété la source . En d éveloppant toutes les fa

cultés de l‘

esprit et découvrant les lois de laméthode, elle d evaittravailler d e laman ière la plus efficace au progrès de notre art ;

mais ses premiers effets furent d'

y mettre des entraves parce q ue

ses prétentions étaient hors d e toute proportion avec ses moyensAprès avoir expliqué l

orig ine et la nature de l’

univers c‘

était peu

de chose pour les philosophes que d‘

expliquerle probléme de l’

exis

tence humaine , dans l’

état de santé et dans celui de malad ie. La

médecine , et la physiologie qui prit alors naissance formèrentdonc une sorte d

appeud ice à leurs systèmes à la condition tou

tefois d‘

accepter les lois reçues de la physique générale en dépit

de ce que l’ob servation pourraity montrer de contradictoire avec

les phénomènes de la vie , ou plutôt sans s’

occuper le moins dumonde dcl'observation. A insi d isparut , au milieu d es nuages d

une

métaphysiq ue prétentieuse l’

artmod este d ’étud ier et d e guérir les

malad ies . Ce fut donc, quoi qu’

en d isent leshistoriens une révo

lation funeste que celle qui fitpasserlamédecine auxmains des philosophes. On peut prendre une idée de l

esprit qu’

ils portèrent

dans cette science et du jargon inintelligible dans lequel ils la développaient, en lisant dans la collection même des écrits prétendusd

‘Hippocrate le traité des vents et celui d es cha irs ou de:prin

cipes . Cette médecine n’

a plus rien de médical que le nom. Du

reste ily aurait quelque injustice i confondre tous les philosophesdans unemême réprobation , amettre sur lamême ligne les philos0phes de l

école ion iq ue ou les éléatiques physiciens qui dumoinsne cherchèrent pas le secret du mondehors du monde lui—méme ,et les philosopha idéaü stes tels

\

que Pythagore Xén0phanes, Me

lissus et Zénon d‘

Elée , dont les rêveries furent dans l‘

antiquité et

ont été dans tous les temps lamine d es sciences naturelles.On voit donc quel contre

— senshistorique ont commis ceux quiont imaginé q u

’Hippocrate ne sépara lamédecine d e laphilo—’

o

phie , ainsi que le d it Celse que parce que l’un ion de ces deux

sciences pendant un siècle ena les avait agmud ies l‘

une et

l’

autre au point qu'

un seulhomme n'enpouvaitplus embrasser l‘é.

tendue.

_xi a l fl ’

frant dans le cadre le plus étroitpossible tous les traits propresà caractériser lesmalad ies sans en omettre aucun qui fût essentielpour arréternette—eut leur physionomie. Hippœ rate n

'auraitpas

lieu de s’applaudir de pareils éloges , s

'il pouvait les entendre.

Letter ses œuvres sur les qualitésqu’

elles n’

ontpas, c’

est donner lieu

d e penser qu’on apprécie fort peu celles dont elles brillent. Tant

s‘

en faut que les observation s d es épidémies soient des observationscomplètes qu

à pe ine pourrait- on déterminer lamaladie d’un sujet

sur vingt de ceux dont il y estparlé. Et qu’on n

‘imagine point que

cela tient à ce qu’Hippocrate n

avait que des connaissances tropvagues et trop superficielles sur les malad ies pour en d istinguer de

particulières et les spécifier.

il décrit ailleurs, avec une exactitude

remarquable, la plupart des affections aiguës , et il a porté le d iagnostic de plusieurs malad ies qui se ressemblent b eaucoup à undegré de perfection qu

on admire et qu’

on a peine à comprendrede la part d

’un médecin qui n

ouvrait pas de cadavres. Sans nul

doute , un grand nombre des malades dont il est parlé dans les

épidémies furentatteints de ces affections qu’fl ippœmte connaissait

lemieux. Ehb ien !cesmalad ies ne sont po intmentionnées et dans

le nombre des symptômes qu’

on a jugé nécessaire de relater, on

ne voit point figurer ceux qui les caractérisent lemieux, pourHippocrate lui

-méme. C’

est que dans cet ouvrage le but d’Hippocrate

n’était point quoi qu

'on en ait d it, de décrire lesmalad ies . Ilavait

un b ot tout spécial celui d‘

envisager les maladies en général

sous le point de vue duprognostic. Tout ce qu

il en veut faire con

naitre , c‘

est la loi des crises qui en coupent lamarche ou qui les

terminent. Faisant abstraction de tout ce qui ne se rapporte pas

d irectement à cet objet, il note avec un soin minutieux tous les

phénomènes qui se passent dans les excrétions d es malades , qui

peuvent annoncer ou qui constituent quelque crise ; il remarqueavec une exactitude scrupuleuse en quel jour ces phénomènes se

passent, il n’emet l’ind ication d‘aucun des signes qu

il donne ail

leurs commcayantun rapport quelconque avec les crises. Mais tout

le reste, il le néglige. Les symptômes particuliers d‘une pneumonie

d’

une pleurésie , d'

une angine etc. lui importent peu dans toutes

ces malad ies, qui sont également des malad ies aiguës et fébriles,

les crises s‘annoncent et se passent de lamêmemanière; tout autre

aspect de cesmaladies ne sauraitarréter ses regards en cet endroit

Voilà si je neme trompe, en quel sens doiventêtreprises leshistaires demaladies consignées parHippocrate dans ses épidémies.

-81? :63

Mais non. je neme trompepoint car c‘

est lui —même qui expliqueainsi sapensée au chapitre du premier livre de cet ouvrage , età lafin du livre duprognostic, où il d it en propres termes: Ce serait

sans fondement qu'

on me reprocherait de n’

avoir désigné dansce traité aucunemalad ie enparticulier;les signes communs qu

elle.

présentent toutes suffisent pour faire reconnaitre les époques anx

quelles elles se terminent et que j’

ai ind iquées.

En voilà assersurd es remarques auxquelles j’

ai cru devoirdonner

quelques développemm parce qu'elles m’

ontparu propres àmontrer sous leur vrai paint de vue les principaux ouvrages d

’Hippocrut: et samanière de philosopher. Elles étaient nécessaires d

ail

leurs pour réfuter l’

opinion de ceux qu i réduisent toute la médecine d

’Hippncrate à la science du prognostic tout son art à une

contemplation de la mort , comme d isait Asclépiade. Lamédecined

‘Hippocrate n‘

offre ce caractère que dans les ouvrages où il lui a

plu d e le lui donner; elle offre ailleurs un caractère plus large c

plus varié.

Notre auteur une fois connu sous ce rapport il resterait à ind i

querles résultats qd il a obtenus de saméthode d ’

étud ier, c

'

est

à-d ire les notions scientifiques et techn iques qu‘

il a possédées; ou

en d'

autres termes , à faire un e xposé de ce qu’

il sut en médecine ;c’est l

objet d’

un ouvrage étendu, de lapublication d uquelje m’

oc

cupe . Le plari de ce Dictionnaire n’

admettant pas de longues d issertations , je me bornerai à quelques considérations générales sur

chacune des branches de la scienceméd icalehippocratique après

quoi je placerai un résumé d e cette science faitpar l’auteurmême

,

à savoir ses aph0n‘

3mcr, non pas dans l’

ordre ou plutôt le d ésordre où l

on les connaît,mais classés systématiquement.

J natomie . On a mille raisons d e penser qu’

avant l'

époque du

règne d‘

Alexandre nuln’

avaitpu d isséquer descadavreshumains. Le

respectd es Grecspour les dépouillesmortelles de l’homme et la sé

vérité d e leurs lois qui faisaientune obligation d’

ensevelir les corps,

même des barbares, ymettaientun obstacle insuramntable .Le témoi

gnage de Galien en faveur des connaissances anatomiques d’Hip

poerata est d e nulle valeur, puisqu’

il est con treditpar les témoi

guages d es propres ouvrages du médecin d e Cos.

Il connaissait les os autant que peut fournit la moyens de lesconnaître , l

occasion qu‘

on a d’

en trouver quelquefo is d’

isolés;Mais on invoquerait vainement, pour prouver qu

ileut un sque

Hl? 4 47

latine et&ançfi se ainsi clau de de cet ouvrage d’Hippocrate. Pour

ne pas le reproduire ici , et pour fournir de nouveauxmatériaux àceux qui vendent prendre une c0unaisssnce étendue de la science

d umédecin de Ce s , je vais substituer aux apheriamaaun recueil

des fragmens de ses écrits qui m’

ontparu le plus propres‘

a donner

une idée b ien nette d e saméd ecine pratique . Ili

u fallu se restrein

d re dans ce triage pour ne pas donner à l’article Hippoæfl r une

étend ue d émesutée . Je crois néanmoins y avoir renfermece qu‘

il yavait de plus essentielà faire conn aitre. Voici ces fragments —amu

ges par ordre alphabétique , pour la commod ité d es recherches.

( J’

emfloie la traduction de Gardeil à d éfaut d’

un emeilleure. )ARC—INES .

L’

esquinancie a lieu , quand ,dans l

’hiver ou dans le printemps,une florion abondante d

'humeurs épaisses se jette sur les veines

jugulairæ , q ui à cause de leur grosseur, ont une attraction si lav iscosité et la fro ideur de ces humeurs‘ les y font arréter le

souffle et le sang des environs s’

arrêtentaussi à cause des ohstacles que le froid leur oppose, Le malade, en conséquence

êomhe dans ,la suffocation ; la langue devientpesantc ; elle prend

une couleur violette , elle s’

arrond it. Sa pointe satelève , , à cause

du gonflemcut des veines sublinguales‘ celles qui vont i ls luette, età ce qu

on nomme les piliers qui sont d e chaque côté se gonflent

aussi. Les vein‘

es q ui commun iquent avec la langue , qui devientsèche , se gorgent et la raréfient; elles s

imbibent comme une

épong e c’

est ce qui la fait venir ronde , d e plats qu’

elle était ce

qui la rend liv ide , lui enlevant sa bonne couleur et qui lui fait

perdre sa souplesse en larendant ûpre et dure amoins qu’

on ne

saigne promptement au bras etauxtaniam et qu’

on ne purge au

moyen des remèdes fondans tenus dans la bouche. On prescrirpaussi des, gargarismæ chauds;

on raseru la tête pour y appliquer

des cérats ; on en mettra aussi autour du con , en enveloppera ses

parties avec de la laine ou avec d es éponges imb ibées ; on feradesfumigation8humides ; ou donnerade l

’hydromelet de l’eau chaud e ;la tisane crémée pour nourriture,, quand la crise aura tourné en

b ien . Dans l‘

été,, en dans l

automne la flmniouétantchaude et nitranse à cause du piquant et de Pardon de la saison ilse fait desenaoriatioæs et d es ulcèæt ; là oir le souffle { accumule et l

or

tbopnée se joint à l'

eminamie . Les parties qu’

on voit dans la

bnüvhs ne sontpas aussi mfléæt la:M W de la nuque acca

1 i“ 11

d onnent des rides sous l’occiput comme dans le ici…; la voix

est grêle la respiration est petite l’

inspiration fréquente et labo

rieuse , Il se fait des ulcères dans la tracbée le poumon se remplit,

etne peut recevoir l'

air. Cette esquinancie est plus terrible et plus

mortelle à raison de l’

ardeur et de_l’

âcreté desmatières dans cutesaison àmoins qu

elles ne se portentd‘

elles—mêmes vers les partiesextérieures du cou. (Du régime dans les malad ies a ig uës.)

_Les esqu inancies sont funestes ; elles emportentlemalade promp

tement toutes les fois qu‘

elles ne produisent aucun changementsensible dans le gosier ni au cou q u

'

elles oceasionnent l’

orthopnée,et jettent dan s un état violent; la mort arrive le premier , le second le tro isième ou le quatrième jour quan d la plupart de ces

signes se trouvent joints ensemble . S’

il y a tumeur et rongeur

au gosier , le danger est grand ,mais il estplus éloigné , surtout

si la rongeur est forte. Lorsque le gosier et le cou deviennent rou

ges , leterme est encore plus long . C’

est dans ce cas qu’ilen échappe

quelques—uns , principalement si la rongeur de la poitrine se joint_

à celle du cou , et que l’

érysipèle ne rentre point. (n uofi cc. 69.

Ceux chez lesquels l’

esquinaneie d isparaitet se jette sur les pou

mons , périssent la plupart en sept jours. S’

ils passent ce terme la

suppuration s’

à ablit. (Aphorisme 10, section v.)La rongeur et la tuméfad ion qui semanifestent l’extérieur du

cou ,dans l

angine , sont d’

un bon augure. (Aphorisme 37 sec

tion vx

[ Dans l’

esqfi nancü la tumeur et la.rougeur qui surviennent à la

poitrine, sont un bon signe ; car alors lamalad ie seporte eu—debors.

(Aphorisme section vu .)Si en même temps qu

ily a de la li èvre il survient tout— i -coupde lasuff0cation sans qu

ilparaisse de tumeur dans la gorge , lecas estmortel. (Aphorisme SI,, section rv.)Lorsque dans une fièvre le cou vient ’a se tournertoutd

un coup,

et que le malade a b ien de la peine à avaler , sans qu’

ilparaisse eu

cune tumeur , le cas estmortel. (Aphorisme 34, section W .)La base de la langue et la cavité de l

an ière— bcuçbe s’

enflsmment. On ne peutavaler n i la salive n i rien autre. Si on s

eiïomde bo ire en rend le liquide par le .nez. Dans cet état l

on aura

unemixtion faite avec lamenthe varie , l‘

aacbe , l’

origm, le nitro

les grenades rouges le tout pilé ensemble et inco‘

rporé avec le

miel, pour en oindre la base de inhngue è l’

endrohoù eue a t

enflée. On fait deplus bouillir des figues dans l’

eau en y ajoutant

les glaires avec précaution. le ven tre estserré au mot un suppo

d toire ou b ien on donne d es lavemeds. On emploie latisane crûmeg pour nourriture l

eau pour boisson . Quand il se tait und

tumeur extérieure que la poitrine se tuméfie dans le haut avecrongeur et inflammation il y a beaucoup d

’espoir de guérison.

Alou , dès que l‘i tflammation se porte

rau— debbr‘

s b 1t y applique

des Hôtes tre—pces dans l’

eau fraiche. On fait des gargafi smu et

des lotion de bouche avecde l’eau tiède . On pourraguérirpar ed

1

(

n

g0æ . La maladie est en général n u tella; peu en ü ehappaînt;ai“des… s . Liv. 11 .

APOPLEXIL

Des mauxde tête sans fièvre avec des bond aunmm vertige

ténèbreux ,embarras dans la langue et des crampes auxmains,

sont des»menaces d’

ap0plsxie, d’

épilepsie ou de léthatgis . (Conques.L. 11. C. t. 1

Dans lesmalad ies atrabilaires , lesmétastases sont danger— a“;ear c

'

est de là que v iennent ord inairement l’apopleaie , la couval

aio'

a laman ie et la cécité. (Aphorisme 56 , section V I . )Les apopleaiea surviennen t principalement depuis de

rentemajusqu’

à soixante . Aphorisme 57 section vt.)Cour qui sont naturellemen t fort gras sontplus àujd aauxmon.

“bites que eaux qu i matmaigres . (Aphatismc section

. Loraque la lan’

eu barrasse tOut— à— eoup, et que quelq u!pa»

lia du…soptralyse , celaprovient de t’att

abile. (Lphasiunfl m,section vs1 .

Cena a qui ilarrive , aumilieu d '

une bonne santé , d'

ü n prit

tout—à — noup d’

un violent mal a la tête , de perdre en“ma tmp.lapan ic et le M itac!“ et d

avo i1 larespiration sta tor… pb

aiment dans l'espace de sept jeurs à moins que La fièvre ne .se

déchu . Mpbmimo 5 1 , section au)S i i vre perd laparole tout d

un cow», il en

à amine que la fièvre ain-vienne ou qu

ilnem um la

Il est impossible de guérir une forte ap plefi o , et d iffitfl ù d’

.

guànr faubh(Afl oriw e i s , section a

Quand on perd subite… la parole , e’

Upt le pu…dan la veines ç 1

'

afait lemai soit que I’

atfl d tat arrive au s… à un hom—a qui œ…M , n ü ç fl îü vü næaù

Ü P 15r

quelque cam apparente . Il faut dans ce cas, saigner dubras droit 8 la veine interne et tirer plus oumo in s de san. sui

vant le tau pérantent et l’

âge dumalade. Les symptômes qui semontran t ordinairement dans l’état dont je parle , sont la face

ronge , les yeux fixes un craquement d e d ents , d es baflemmd

afl ères , de la bave , le froid aux extrémités. Ce sont autant designes du souffle interet

—p“dans les veines , etc. ( Du rég ime dans

lesmaladies aig uës , 3 1 .

Une douleur de tète s’

empare subitement d ’

un hom e

santé ilpa d la parole stir—leæhamp,il I ot1flc; sa bouche

art han te . Si on l’

appelle , ou . si en le remue , il eu t , .il un

comprend tien et il rend beaucoup d’

urine sans e sentira Il

meurt dan sept jours , si la fièvre n’

arrive. Quand.

elle Vien t,

il recouvre ord inairement la santé. Cette malad ie est plus comd une dan s la v ieillesse que dans la… à. Lorsq u

elleprend , on

doit faire beaucoup d e lotions d’

eau chaud e , famœ ter , verser deFbydromeldans la bouche . Si on échappe au danger on ne ,præ

a

dm de nourriture que ce qui est indisVemble pour suffira au,

besoin ; l'

on usera de quelque atthia et_au haut de quelques

°

p ttfl on purgera par bas. Si on ne pu

Si avec ces secours lemalad e vamin : , c’

est bon signe, Sinon ,

il ne reste qu’

une espérance savoir . d’

omtriraü sinciput eb après

avo ir laissé couler le sang abond amment rapprocha les bords de‘

,

penser etmettre un bandage. Si on n’

ouvre ,. lamorË

M ine ( ou … le a8°ou le 90

°ja” . {Traité des mala

h s I o )

tmrsæmOA…ætan tumor tm… »n

n u… …fl fi icW .mm e— sum… œsu . au. e. )UntonmeM it!cemanmæderfl gb ä et‘. ryW ia au

M tame. Ilguérit. LN .m.)Dans lès cancersmortes, l

‘atneifiær€M dæü t’é ‘

e'sfl èÜ?fi‘

ÿ lÔ_faire.

‘f’ôut tràitû fl€ü tbât! la rÜdrt si l't

_

thM fi èü setdbt’fl .“

méfie ,aviepeutse…etYong-W M(M saatt“. vn

csrsanuzs.

t

156 un

u Lepc… , après 11’

ûtre rempli de pü uiœ, entra en supp“.

talion a ilest dévoré. Lesmalades ne peuvent éclupper qu’

avœ

peine ; et le médecin , s’

il est intelligent ethabile , cor naissant la

_du mal, doit en comb iner le traitement d ‘

après cette cause.

(Traité dés glandes ; pass ive. )Quand le catarrhe se porte à lamoelle de l

épinc, il en résulte

hphflsisie dorsale , ou la phthisic aveugle Si la fluxion coule len

“ ent, elle prod uit la sciatique et les rhumatismes. A; rês qu’

elléa o ué de couler, l

’humeur, venant insensiblement, est repousséepar parties les plus fortes , qui l

obligent se réfugier aux ar

i efl ationsæLa sciatique et les rhumatismes s’

œ gendrenl.aussi à la

C ite des lorsque ce qui les pr… ayant perdu son

m a is caractère ilm n s—te q uelcpe chose qui n’

est pasmis de.M rs; l

‘humeur ne pouvant ni sortir n i être contenue dans l’

inté

i ieur, fai t d es cnflurœ sous lapeau, ou bien, si elle quitte la flanc,fl e°se tn nsporte vers les articulations ,“ cèdent _

et elle 1 ex

cite tantôt la sciatique tantôt les rhumàñ smæ.

Quand la fluxion œ je tte sur le nez., qui 8 …plis d’ha

ép in es , ilfaut les atténuer soitpar les i9 ü uns , soi tpar d‘

un

remä da , et ne point la déto… m‘

lleurs; si vou le: détour

au , elles se porteront quelque autre part où elles former…une

malad ie plus grave .Lp

rsque le… e se jette surles oreilles,il y prudni d‘

abordde vives douleurs , et il s

y fait sentir avec violence. Le malpers…jhtp

’i ce qu

ilse soit établi“:écoulea Lado uleur ä u nu dès

u … p ü t. œ… dea M m rü d ehü amœ n un

W ifi. 0lb æù ‘

û£Oü fû… de manières , l’

on… les

M n nempmdu n u hon efietzâ ïœ ma du— é q d û“hit s—fi er le a d , on e…æ iü… Œ sw l

æ m

I’

ll“ se sera n e is. , et q u’

“ “ n es—le: u p s—a.

M _w e fi iœ :“… à -g el

155

aussi avant qu’

ilserapossible. On feraprendre par le nezq uelque

remède attractif afin de détourner vers cette partie l’humeur qui.

a.portait aux oreilles , et l’

empêcher d e reven ir dans la tête.

Quand le catarrhe se porte auxyeux , ils s’

enflammmt: ils dea nent enflés .

Il faut y reméd ier d ’

abord par des applications,

humides ou sèches. S’

ils sont enflammés , n’

y mettez rien } mais appliquez un cautè1‘e actif dans les parties inférieures ou b ien dé

tournés l’humeur par quelque purgatif, vous gardant b ien de faire

vomir. 1

Quand on sentcomme despetitsgraviers qui roulentdansl€s yeux,.il faut faire des lin imens qu i—provoquent abondamment les larmeshuecter et relâcher tout le corps afin d e relâcher aussi les yeux.

et de procurerun larmoiement copieux qu i d issolve et emporte les

petites concret…Si‘

le catarrhe ne se porte sur les yeux que peu àpeu , y excitant des démangeaisons , on fera des linimens avec d esd oucü saæ , propres à dessécher et à faire couler environ deux

caces d’hm eurs dans vingt qu atreheures L

on en users chaquetro is jours. On doit attirer l

’humeur par des remèd es doux, pour

la détourner des ye ux et les dessécher. Les errhine , qui purgent laŒte attirent ‘les humeurs d e partout quand ils sont forts ; maisñ hsont faibles et deux, ils l

attirent d es yeux seulement et des

parties voisimmQuand la fili ation est dans les chairs etle tissu cellulaire qui se

trouve en tre les os et les chairs—des yeux on le connait en ce que l'

é—1

m kment d e l‘humeur v ient d e ces parties , qui la laissent w inter

par…pression . Il s’

y fait des ulcères , on a d es maux de tête , lesyen : la moientsouvent, sans que les paupières s

ulcèrent . L’

on n’

ysont pe int alors de démangeaisons la vue , au lieu d e se troubler,est plus percanæ; l

’humeur , ne Venanlpoint du cerveau n’

œtpd int

salée , elle est m quü use . Voici quel est le traitement convenable011 pungera la tête avec des orthias dont . on d iminm a lam…deshumeurs en donnant des alimen s et des remèd es qui làebent leventre . Afin de dessécha un ”a tout le corps , et d e détourner les

humeurs , ew j0ink œent avec les remèdes pris par le nd le unl

de tête ne se d issipe pas , il faut faire à la tête d es incisions

vorsd es ; il les fa itprofondes , qui aillent l’os,afin que le t e

jusqu‘

à l'os. Tel est le dont un peut dt “d èl ;

s‘

il ne m on pû » , si par cesmoyens l‘… ne pas ;

si la vis ion æne ù nshn b n éæt , les…… eü ù flen plus étincelans, et l

on fin itp park a—“

ln une .

156 HIP

Lorsque le œ tarrbe se jette sur la poitri ne , et qu‘

il y a de la

b ile , on le connait en ce qu’on ressent des douleurs d epui s le flanc

jusqu’

à la clav icule du même côté. Ily a de la fièvre la langue est

d’

un blanc verdâtre à sa base , l‘

on rend des cmohdts vi squeux. Le

danger d e cette malad ie est au septième ou au neuvième your. Si

les deux côtés sont affectés , il en est d e même que lorsqu‘

un seul

côté estmalad e. C‘

est tantôt une péripneumon ie tantôt une pleu

resie. Ces malad ies se forment parce que le catarrhe s‘

écoule de la

tête par les bronches et les artères ; le poumon dont la substance

est lâche et sèche attire à lui toute l’humid ité qu

'

ilpeut. S i elle se

porte à tout le poumon il augmente de vfl ume de chaque côté et

cela forme la péripneumonie ; si , au contraire , elle ne se porte

que d’

un côté c’

est une pleurésie .

La péripneumon ie est b eaucoup plus dangereuse ; les dou

leurs en sont plus fortes au flanc et à lapoitrine . Lalangue abeau

coup de cette couleur pâle , verte. Le gosier souffre a raison de la

fluxion . Le travail est extrême , et l’

oppression est à son dernier

point , le septième on le hu itième jour. Si la fièvre ne d ésempare

po int le hu itième , lemalademeurt de faib lesseou d’

oppretsion , ou

d e l’

une et d e l‘

autre . Si la fièvre après s‘

être calmée pendantdeux jours , à la suite d u n euvième , reprend encore , on meurtordinairement ou bien il s

’étab lit une suppuration intérieure si la

fièvre nereprend que le d ouzième jour , la suppuration se°fem si

lemalade arrive jusqu'au quatorzième , sans fièvre il est sauvé.

Tous ceux en qui la suppurafi on s’

établit à la suite d‘

une péri

pneumon ie ou d‘une pleurésie, n e périssmtpoint:il y en a qui ré

cbappent. La suppuration arrive quand la pituite se porte aumêmelieu où se porte aussi la flexion de labile. Or les fluxiom de bile

seule sont ooulantes, etse proèurent ordinairement des 13snes qui lesterminen t. Lorsque la b ite est peu coulante , la suppuration s

‘éta

blit , et la flexion n e d iscontinue point. La suppuration se fait

parce que l’

on crache moins qu iln’

arrive d ‘humeurs au poumon.

Ce qui y v ient et qui y _

séjourne se convertit en pus . Le pus res

tant dans le poumon et dans la poitrine , y fait des… etde la

pourriture .

Quand l’

alcère estétabli le poumon se fond ; on le rend avecla

en chata La toux par ses secousses attire encore plus d‘humeur:

_

de la tète. Les petits ulcères formés dans le poumon s‘

ouvrent de

toutes parts , cause de son mon… ; en sorte que , quand la

mème ne plus des poumons

eortmëqmcenx 'qal…t dans—b poumon. L‘on peut tenir cela

pour certain 1 l‘

égard de ceux que le malade n‘

expeetore point

aussi t q u’

à l’égard de ceux qu’il rend . Ceuxqu

il ne rend pas

font que la respiration est brûlante , et qu’on entend un gron ille

ment dans le gosier. Le hoquet et la fièvre d iminuent , tand is quele craehat reste encore arrêté dans la poitrine . Le ventre se lâchequand le malade s

affaiblit. Lorsqu'

on a_

ces signes dans une péri

pneumonie ou une pleurésie , elles sontpleines d e danger.

On soignera la pleurésie de laman ière qui su it : Ne cherchezpoint à arrêter la fièvre avant le septième jour ; ordonnea pour

«boisson , ou de l‘

oxymel, ou de l’

oxycrat. Il faut en donner eo°

pieusement, afin, d e faciliter le crachement en bumeetunt. On fait

prendre des remèdes chauds propres à calmer la douleur et à favofi ser l

expectorati0n . Le quatrième jour, l’

on met au bain ; le cin

quième et le sixième on fait des onctions lehuitième, on redonnele bain , afin d

exciter la sueur àmoins que la fièvre ne soit prête àfinir. Le cinqu ième et le sixième on use d e plus d es expect0ratts

les plus actifs jusqu‘

au huitième jour , quand la malad ie va b ien.

Si la fièvre ne fin it pas le septième jour , _

elle d oit se terminer au

neuvième , àmoins qu’il ne surv ienne quelque autre signe fâcheux.

Lorsque la fièvre a quitté , on ord onn e d es crèmes , d'abord très

claires. Si le cours de ventre survient et si le corps est vigoureux,comme celui d’un jeune

‘homme on supprime laboisson . On d onne

des crèmes de froment quand la fièvre d isparait. Lapéripneumuniese traite de même . Dans le cas d e l

empyème , on purge la tête avecdes errhins qu i ne sontpas forts afin d e d étourner insensiblementle'

catarrhe vers le n ez , et l’

on donne d es alimens pr0pœ s à lâcher le“

ventre . Quand la malad ie est avancée,et que les humeurs com

'mencent à se détourner, on emploie d es expectorans tant en ati"

inens qu’

en remèdes ; qu i fondent et qui excite” la toux ; pour

faire expectorer ,les alimens doivent être un peu salés et gras il

faut choisir du vin qui ait du corps sans craindre d’

exciter la

touxouelle est utile . On traite les phthisiques d emême ,à la réserve

qu’

on ne donne pas autant d’

alimens à la fois , n i d’

épiceries et

qu’

on les fait user d e v in trempé, afin de n e pas échauffer le corps(qui est faible) par une tr0p grande q uantité d

alimen s , etpar du

Vmpur, capables chacun d’

augmenter la chaleur qu i excite l‘

af

fluence deshumeurs .

Lorsque le catarrhe se jette sur le ventre , à travers l’œsophage ,

il se fait des collection s d‘humeurs dans le bas , quelquefoismême

?64 HIP

point de douleur, ont l’

esprit dérangé. (Aphorisme 6, section

Si latristesse et la crainte durent long-temps , c

'

est nué marque

que l’

on est malade demélancolie. (Aphorisme 23 , section vx.)Leshém‘

orrhoïdes qui survienn ent auxmélancoliques , et à ceuxqui sont travaillés de maux d e reins leur sont bonnes et utiles.

(Aphorisme 1 1 , section vx.

Les délires accompagnés de rire annoncentmoins de dangersqueles délires sérieux (Aphorisme 53, section vx.)La dysenterie , l

’hydr0pisie , ou l’

aliénation mentale , succédantà laman ie , sont favorables . (Aphorisme 5 section vn . )Dans lesmalad iesmélancol1ques au prmtemps ou en automne

les dépôts d‘humeurs sont suspects , ils menacent d

apoplexie de

convulsion s , d eman ie ou de cécité. (Aphorisme 56, section v i .

Les varices ou les «hémorrhŒ dœ qui surviennent auxmélancoliques les délivrent de la folie . (Aphorisme ar, section vs.)

nu m“ ram es.

Le frisson et le délire , à la suite des excès de b o isson, sont fd

cheux. (Aphor. 7 , sect. vn .)DY SE

NTEKIB .

Dansle ténesme , on rend par les selles du sang et desmucosités ; l

on ressent de v ives douleurs au ventre , surtout lors des ci

forts pour aller. Il fauthumecter adoucir et lubréfier tant dans

les intestins q ue les matières contenues ; prendre des bains maisnon à la tête. Cettemaladie comm e beaucoup d

alimena. Lesbols

alimentaires , en parcourant les intestins empêchent qu’il ne s

yfasse autan t d e fro issemens des intestins l’un avec l

autre , ce qui

est à redouter quan d ils sont v ides et déchirés intérieu1emcænt au

point de laisser couler le sang . Le ténesme provient des mêmesc‘

aus'

es que la dysenterie. Il est moins v iolent, quoique de coud e

durée , et il ne d onne pas lamort. Des aff ection s . )Les douleurs d

entrailles qui pre n ent avec fièvre ,. et avecdes

déjections de plusieurs sortes , avec inflammatiofi au foie ou à l‘hy

pocondre , qu i donnent du dégoût pour la nourriture et beaucoupde so if sont toujours dangereuses. Celui qui a le plus grand nombre d e ces maux,estb ientôtmort ; celui qui en a lemoins, laisse leplus d

espérance . C’

est vers l’

âge de cinq ans qu’

on est principale

ment exposé à périr. Viennent en suite les enfäns plus âgés jus

qu’

à l’

âge de d ix ans. Les douleurs d‘

entraflles utiles n e produisent

pomces symptômes. Avec des déjections sangu ifiolentés èlles

164 HIP

L’

épilepsie ç qui se manifeste avant l’âge de puberté se guérit

quelquefois mais si elle persévère jusqu’

à vingt—cinq ans , elle ne

fin it q u’

à lamort. (Aphorisme 7 section v .)Quant à ceux qui sont affligés de l

épilepsie , il est b ien d ifficile

d e les guérir, si le mal est d e l’

enfance et qu’

il se soit fortifié avec

l‘âge ; plus d ifficile encore , quand il v ient dans Page fait, commedans ceux qui y tombent depuis l

âge d e vingt—cinq ans jusqu

à

q uarante-cinq ans ou au-delà ; puis viennent comme plus difliciles

encore à guérir ceux qui n’

ontaucuns signes avant-coureurs dans

la partie par où lemal commence . Mais ceux qui le sentent venir

ou par la téte ou par les côtés , ou par lesmains ou par lespied s , guérissent avecmoins de peine. Ily a encore ici des d iffé

rences:si lemalcommence à la téte, c’

estle plus d ifficile . V1enten

suite celu i qui commenqe par le côté : quand c’estpar lesmains ou

par les pieds il est très— susceptible d e guérison . Le médecin doitl’

entreprendre par lesmêmesmoyens qu’

il voitréussir vis— à -vis des

j eunes g ens vigoureux etlaborieux,à moins que l

espritne soit un

peu aliéné , ou qu’ils n

aient quelque chose d ’

apoplectiq u'

e ; car la

b ile noire se portant à la tête , est ici très-mauvai se. Si elle se porte

en bas dans quelque organe que ce soit , c'

est bon .Leshémorrhag ies par le bas sont surtout ici très

—utiles. Quant a ceux qui ne de

v ienn ent épileptiques que dans la v ieillesse,ilsmeurentpour l

or

dma1re ou b ien ils guérissent n aturellement dans peu de temps.

Lesmédecins ne leur sont d’

aucune utilité. (P ü d icti0m, liv . 11

a1 .

rnm ons nx rorruntx.

Dans les douleurs de côtés d e poitrine et des autres parties il

faut considérer les d ifférences q u’

elles présentent, car c’

est du en

ractère de la douleur qu’

on déduit la connai ssance du mal. (Aphorisme 9, section v 1.

La pleurésie qui ne se guérit pas par une expectoration dans

l’

espace de quatorze jou‘

rs , se termine par l’

empyème. (Aphor. 8,

section v .

Les crachats , dans toute affection du poumon et de la poitrine,

doiven t être rendus promptemen t et facilement d’

unune couleur

jaune , b ien égale ; car, si la couleur jaune ou roussâtre a lieu

long temps après le commencement de la douleur , avec beaucoupd e toux en crachant, et q ue la couleur ne soit pas b ien mêlée ,c’est très—mauvais ;les crachats jaunes, qui ne sontpasbien unis, sont

pleins de dangers; les blancsépais et ronds, ne procurent aucun

166 HIPd i tes ailleurs ce sontautantd emauvais signes qu

ilfautbignaître ;car si quelqu

un de cesmauvais signes se jointauxcrachatsb ilieux et purulens le malade mourra avant le quatorzièmg

leneuvième ou le onzième. Il faut donc, en ces conjoncturœ , peggt

der cette espèce de crachats comme funestes, et annoncer la IDMavan t le quatorzième jour. C

est de lacomparaison d es bons et dumauvais sign es , qu

on doit déduire le prognostic. Telle estla véfi .

table man ière d e pénétrer dans l’

aven ir. Prag nœ tic 6 .

Il y a certains dépôts qui ne percent communément que levingtième jour , quelquefois le trentième , d

autres fois le quaran

tièmc il y en a qui s‘

étendentmême jusqu'

au soixanheme .

On peut juger et croire que la suppuration s’

est établie lepremierjourauquel, la fièvre a commencé ou que les premiers frissons ontparu lors surtout que le malade se plaint de ressentir un poids

au lieud’

une douleur aiguë , dans la partie où est lemal car Ç'

ce qu i arrive dans le cas d es suppurations l’

on d oit s‘

attendre que

l’

abcès percera auxjours que j’

ai d it à compterdu commencementde la maladie .

Pour connaître si la suppuration est dans un côté seulement, ilfaut faire tourner le malad e sur l

un et lautre côté , et informers’

ilne souffre que sur un seul , s’

11ressenthab ituellement plus d echaleurà un côté qu

à l’

autre . Lorsqu'

il sera couché surle côté sain,il lui semblera avoir comme un po ids qui le presse par

-dessus;

dans ce ess , ily a suppuration au côté dont le poids se fait sentir.

C’

estun signe général pour reconnaître les _empyiqms , q ue ,le

fièvre ne cessé point; qu’

elle estmodérée durant le jour, forte danslanuit ; q u

il s’

y joint des sueurs de la toux des picotemms àtrachée , sans expectoration remarquable. Les yeux deviennentereùx, les joues rouges les ongles des mains crochus ; les do igtssont chauds , surtout à lextrémité; les pieds s

,enflent l’

appétit se

perd ; il survient des phlyctènes sur tout le corps. Toutes les fois

qu’ily a un empyème ancien , ces s ignes se montrent , et onpeut y

cro ire sanshésiter. Mais les empyèmes récens s’

annoncentpar les

signes que nous avons d itparaître au commencement des suppurations en y ajoutant une plus grande d ifficulté de respirer.

On d istingue si les abcès se perceront vite ou tard par les signessalvam:Si dans le commencement il y a douleur violente,oppœsion et toux sans crachats , il faut s

attendre que l’

abcès s‘

ouvrirale vingtième jour oumèn e plus tôt;si la doule1ir estmodérée et;toutle reste pareilleme

nt il s’

ouvrira plus tard. Mais avant la rupture

HIP 16 7

de l’

abcès , il arrive nécessairement une augmentation de douleurd‘uppression et d e crachats .

Après la rupture d e l’

abcès , ceux qui échappent sont ceux dontla fièvre finit lemême j our , dont appétit se rétablit promptementet dont la soif cesse.

Les déjection s du ventre sortent en petitequantité b ien liées , on

crache sans peine et sans beaucoup de toux un pus blanc b ien

cuit, d e couleur égale pointmêlé de pituite . Quand les chosessont ainsi , on est b ientôt guéri ; si les choses sont au trement ,

la

guérison est d’

autant moins éloignée que la d ifférence dans les

signes estmoins grande.

Il y aura mort si la fièvre ne s’

arréte point, ou , si après s’être

arrêtée , elle revient avec plus de chaleur , s’

il y a du dégout , d e la

soif , si le ventre est lâche,les d éjections liqu id es; si les crachats

sont du pus vert, plomb é mêlé d e pituite , écumeux; ceux en qui

tous ces signes se rencontrentmeurent. Mais d e ceux qui ne les

ontpas tous , partie meurent partie vivent long—temps. Il faut en

chercher le prognostic, non seulement dans ces signes , mais aussidans tous les autres . Toutes les fois que, dans lesmalad ies d es poumons , la mat1emse transporte autour des oreilles

, qu’il s

y fait

un dépôt , ou aux extrémités inférieures , c'

est guérison , et la sup

puration en est salutaire .

Vo ici ce qui est à ob server à ce sujet . Quand la fièvre persiste ,

que la douleur ne s’

apaise pas , qu’il n

y a po in t une expectorationconvenable

, et que les d éjections ne sont n i b ilieuses , n i b ien mélées , n i crues ; que l

’urine n

est n i ab ondante ,n i s1irchargée d e

séd iment , et que les autres sign es sont de uérison , on peut croire,dan s ce cas , qu

il se fera un transport d e iamatière . L’

abcès se faitaux extrémités inférieures lorsque leshypochondres ont été dou

loureux, aux parties supérieures lorsque leshypochondres ont

été souples et libres d e douleurs , et que l’

oppression après avoir

persisté pendant quelque temps , a fini sans cause man ifeste .

Les dépôts aux jambes , dans les péripœ umon ies v iolentes et

dangereuses sont toujours bons. Les plus salutaires son t ceux qui

arrivent dans le temps d’

un changement des crachats . Si la tumeuret la douleur parai ssent lorsque le crachat, au lieu d

étre jaune

devient purulent, et qu’

il s’

expectore facilemen t, le malade guérira

positivement, et le dépôt finira dans peu , san s douleur ; mais s’

il

n’

expectore pas d e crachats louables , et si l’

urine ne dépose pas

1111 bon séd iment,il est à craindre q ue le dépôt fait aux jamb es ne

168 HIP

rende le malade bo iteux et qu’

i l° ne donne beaucoupd’

embarras.

Si ces sortes d’

abcès d isparaissent, et q ue lamatière ren tre sans

q u’il se fasse d

expectoration et la fièvre persistant cela est ter

rible il y a grand danger de‘

délire et d e mort.Les suppurations internes provenant des péripneumouies sont

funestes , principalement dans la v ieillesse ; les autres empyèmesdan s la jeunesse . (P rognostic 38Dans la pleurésie et dans la péripneumouie , on observem d

bord si la fièvre est forte, si la douleur est d’

un côté seulement, oud e tous les deux ; si la respiration est élevée très— laborieuse ; si la

toux est fréquente , si les crachats sont jaunes ou livides s’

ils sont

petits écumeux teints d e petits filets de sang et s‘

ily a quelque

autre signe important la conduite à sui vre tient à ces d iverses cir

constances. Quand la douleur estaux parties supérieures s‘

éten

dant jusqn’

aux clavicules auxmamelles aux épaules il faut sai

gner au bras (à la basilique) du même côté que celui où se trouve

la douleur; laisser couler le sang en quantité avec confiance , sni

vant la saison de l’

année , le tempérament l’

âge la couleur du

malade ; si la douleur est violente on saigne jusqu’

à défaillance

on donne ensuite des lavemens. Quand la douleur est au— d essous

du d iaphragme et qu’

elle est forte purgez et entre les, purga

tions ne d onnez point de remèd e. Faites prendre de l’

oxymelaprès la purgation . On ne purge que le quatrième jour. Pendan t

les trois premiers , on donne des lavemens. Ou_

se tien t sur ses

gardes jusqu'

au septième , jusqu’

à ce que la fièvre ait quitté. Lors

que lemalad e serahors d e danger, l’

on se conduira comme il suit.L

on donnera d‘

abord de la tisane crémée en petite quantité mèl

ée avec du miel; ou la donne plus épaisse et en plus grande

q uantité ,mêlée même deux fois le jour , àmesure que le maladevamieux que la respiration estplus aisée que ladouleurse d issipe

enüèremcnt. Dans le ca°

s contraire on en donnemoins plus claire,et une seule fois par jour choisissant toujours le temps où le malade est le mieux. On examinerales urines. On ne doitpoint, danscette malad ie donner la purée ceux q i1i guérissen t, jusqu

à ce

que les urin es‘

et les crachats montrent des signes de caution.

Si les purgations ont pro duit d’

abondan tee évacuations , il faut

la donner claire et en moindre quantité. Le malade n e pou;rait

si les vaisseaux étaient tenus dans une en tière vacuité, n1 dor

mir, ui suffire à la coction n i supporter tout le travail de la

crise ; il pourra plus facilement s’

il est pourri , surmonter ce

1 7e HIP

qui ont leur orifice au poumon , ou si les bronches trop tendues

se déchirent , de mamere qu’il se verse du sang de l

un dansl’

autre

comme il arrive quand elles sont tiraillées et rompues pour avoirpris une grand e fatigue , pour avo ir trop couru

,ou à raison de

quelque chute,ou aà la su ite d e coups recus d

efforts , de vomi ssemens , ou d

une v iolen te fièvre , voilà ce qui arrive :L’

on a d’a

b ord une toux sèche q uelque temps après , on rend des crachatssalés sanguinolens , quelquefois du sang pur. Si le malne va pas

plus lo in , c’

est bon . Dansle cas contraire , b ientôt on crache plusd e sang certain es fo is le gosier se remplit d e sang sans

'

qu’

on

s e’

n d oute,et on en 1end fréquemment d e petits grumeaux

qui on t unemauvaise odeur. Il semble qu’

on ait comme d u d uvet

qui fait un embarras dan s le gosier. Les frissons etla lièvre seman ifestent. Ils sont plus forts dan s le commencement de la m‘alad ie ; ensuite ils s

adoncisscnt et ils reviennent par temps. Onsent quelquefois d es douleurs au haut du devant de lapo itrine,au dos aux côtés . Quand le crachemen t de sang d iscon

tinne , on rend b eaucoup d e salive épaisse . Tels sont les symptômes jusqu

au quatorz1eme jour. En su ite ,si la malad ie n e s

‘arrête

poin t la toux arrache d e la trachée d es espèces de petites peaux

qu’

on rend avec les crachats semb lables aux pellicules d es phlyctèn es. La douleur se fixe au haut d u d evant d e la poitrine ou

au dos ou aux côtes. Les hypochondres sont sensibles quand on

les touche comme si on y avait une plaie . Dans cet état il faut

mainten ir l1ntérieur d u corps en un grand repos ; s’il prenaitde la

fatigue la toux en dev iendraitplus forte ,les frissons et la fièvre

augmen teraien t. L’

éternuement surtout e st fort douloureux. On

souffre aussi , quand on se retourne dans le lit. La nourriture doit

etre ici la même que dans les suppurations internes ; il fautmangerpeu . L

on use d e poissons , tels'

q ue l‘

ange le pagre le grand emisole blanc, et autres pareils préparés à la grenade à r°ÜBN S

d e la chair d e poulet rôtie sans sel ou de chèvre bouillie . On boit

d e bon v in vieux qui soit àp1‘0; il faut faire des promenades mo

d érées , dans les temps où la fièvre donna du‘

répit. Quand elle est

continue , on prend des crèmes d ’

orge ou de millet. Si on mangedes alimena solid es , c

est en petite q uantité ,o u les obois1t mêmequi soient laxatifs. Dans le cas où vous croirez devoir purger , em

ployez le grain d e gu ide ou le tithymale et d onnez après la pur

gatina env iron une livre de erême .de farine d’

orge grasse . Il

faut ten ir le malad e b ien nourri ,pour empêcher le corps de s’

ex

1 7 3 HIPon a fait infuser des racines qui s

emploient contreles déchirurescomme la racine de centaurée ou de serpentaire , qu

on râcle sur le

vin pour le charger de la poudre . On fait sucer du t11ssilage impré

gné demiel et d e poudre de v ipérine . Quand le malade ne peut

manger les choses cuites au lait, ou lui fait boiré abondammeut dulait de vache coupé avec un tiers d

’hydromel. On parv ient par ce

moyen à la guérison ;mais cette malad ie est d ifficile à traiter. Elle

demande b eaucoup d e soins. Après que le maladeest guéri s’

il

ne s’

observe pas beaucoup lui-même il retombe dans le même

état, et la plupart alors en périssent. Quand l’

on guérit, ceci suf

fira ;mais si on n e guérit point , malgré l’

usage du lait et de la

b onne nourriture on se détermine à appliquer le feu à lapoitrineou

_au dos. Si l

on rencontre lemal il y a espoir de guérison . (Des

qfl'

ectiom in lemer.)Quand il se fait des déchirures dans le poitrine on a une

.

toux

vive avec des crachats sanguinolens , d e temps en temps . Gommunément la fièvre s’y joint précédée d e fro id . On sentmie forte d ouleur au d os et il semble q u

on ait une pierre sur lapoitÏ ine. On ysent con tinuellement une pointe, comme si l

on étaitpiquépar une

aiguille…Il faut aussitôt donner b eaucoup d e lait et appliquer le

feu tant au dos qu’

à la poitrine. On recouvre ainsi la santé en’

peu d e temps. Du reste le malad e d oit gard er le plus grandrepos . S

ils’

ag ite s’

il va à cheval ou en voiture s’

ilporte des far

deaux sur les épaules il se met en danger de rechuter et s’

il re

chute i i risqu e d’

y périr ; le second mal serait pire que le premier. Lorsqu

'

on n’

applique pas le‘

feu le traitement se fait au

moyen d es alimens et d es boissons tels qu’

ils s’

emploient dans lecas d e suppuration interne . Il se réduit à gard er le repo s . et à

prendre une b onne nourriture choisie . En observant ce régimeavec soin on pourra jouir bientôt d e la santé. Cettemalad ie est

très -sérieuse. (Des afi ctionr internes .)Un crachement de sang écumeux avec douleur à l

’hypocondre ,

d roit annonce que le sang vient du foie ; ce cas est le plus sou

ventmortel. Coaques L1v . 11 . chap.

Ceux—

qui vomissent du sang écumeux et qui ne sententpoint de

mal nu— dessous du d iaphragme le vomissent du poumon . Si la

veine est grosse ils en rend ent b eaucoup et ils sont en danger

mais ceux q ui en rendent moins courent moins de risques. (Coa

quer. L u. 11. Chap.

Vomit‘ le sang avoir une grosse fièvre soufi’rir des douleurs

17 5

hoquet là convulsion et le délire sont des signes mortelsl’

iléus . (AphOI‘. 10 . Sect. vu .

Dans lapassion iliaque , le ventre est dur et l’

on ne rei1d rien .

On a des douleurs dans le bas—ventre avecfièvre ou soif. On vomit

quelquefois de la b ile avec un‘

grand travail. Il faut ici b eaucouphumecter, tant l

extérieur qu e l‘

intérieur prendre des bains

d‘

eau Chaude; user de boissons propres à lâcher le ventre et à faireêôuler les urines ; admin istrer des lavemens s

ils peuvent entrer.

Quan d on ne peut les introduire , on adapte un tuyau et l’

anus, et

fan y introduit de l‘

air au mOyehd’

une petite outre remplie déŸënt Après avoir ainsi d ilaté l

intestin , on été le petit tuyau , et

l’on donne aussitôt le lavement. S’ ilpassé ,

’et que lemalad e s ille da

ventre , il est sauvé. Quand les laveiuens ne peuvent pénétrer on

nŸéufi communément le septième jour. Cet état a lieu lorsqu’un

à'maé d ’

exc‘

rémœ s dans les boyaux est d esséché par la chaleur et

que lapituite s’

y réunit. Lesmatières dut—aies font énfler le ventre .

On prend les remèdes qui se d onnenten boisson parlabouche ,maisoh‘ les vomit, et on ne peutrecevoirdes lavemens . Cettemalad ie estaiguë , et très— dangereuse

(D es qfl’

ections .

La femme q ui demeurait chez T isamène fut attaquée d’

une pas

sion iliaque avec d es douleurs insuppormbles:elle v0mismi t conthnellement elle ne pouvait garder la b oisson , elle avait d es don

leurs aux hypocond rœ et'

dans l‘

es parties inférieures d u ventre ;

elle ressentait des tranchées cbntinuelles elle était san s so if elle

se plaignait d’

une chaleur brûlan te les extrémités étaient perpétuellement froid es elle étaittogumentée d

‘anxiétés et d e veilles

lesurines étaient en petite quan tité et ténues les d éjections étaienteines ténues etmod iques ; elle ne recevait aucun soulagementd es remèdes qu

on lui faisait; elle mourut. (Epidéfl ztb3 llv . 111

Obs.

La passion iliaque alieu quand lehaut du ventre est échauffé ,

et que le bas ventre est refroid i , d e sorte qu’

il n e peut donner

passage n i à la n ourriture n i au souffle ; le ventre se constipe . On

vomit quelquefois d’

abord des glaires , pu is de la b ile , enfin des

matières fécales : on est fort altéré. On sent d es douleurs, surtout

aux hypocondres tout le ventre souffre , il s’

enfle . Lehoquetv ient. Il y a d e la fièvre. C

est une malad ie de sept jours. On la

soigne en vidantpromptement le ventre supérieur. Pour cet effet ,on sèigne de latête et du bras . On rafraichit la région épigastriq

ue

près du ciü dia en plaçant le malade assis au—devarît d’

un vase

178 H

Après le crachement de sang le crachement d e pus est fâchetut:après le crachement de pus vienn ent la phthisic et la d iarrhée . Dès

q ue les crachats se suppriment les sujets meurent (Aphor. 15,sect. vn ; upbar. 16, sect. vn .)Ceux qu i , avant l

âge depub erté, d ev iennent bossus , étan t tour

mentéspar la d ifficulté de respirer ou par la toux succomb entd e bonneheure . (Aphor. sect. vx.)

rERrss'

sémmanus.

La consomption dorsale vient de lamoelle épinière ; elle est fréquente chez les nouveau-mariés et chez les libertins. Iln

y a point

de fièvre , l’

appétit se conserve , mais le corps tomb e en conmmption . Si vous interrogez les malades , ils répondent qu

ils sententcomme des fourmis qui descendent de la téte le long de l

épine. En

urinant ou allan t à la selle , ils ren dent beaucoup de semence liquide. S

’ils voient des femmes ils n

engendren tpoint; ils perd ent

la semence dans le lit qu’

ils aient des songes lascifs ou non ; ils la

perdent à cheval, en marchant d e toute manière.' Pour le d ireb rièvement ils tombent dans d es d ifficultés de respiration ,, dans

un grand état de faiblesse , avec des pes‘

anteurs de téte et un b ourd onn emen t'

aux oreilles . Si dans cet état, ils sont atteints d’

une'

forte fièvre ils meurent lipyrique5. Lors donc que vous serez ap:

pelé dans le commencement il faud ra d’

abord après _

avoir fumi

gé tout le corps , donner un émétique puis purgerle cerveau avec

d es errhins ensuite les entrailles par bas. Il est avantageux que ce

soit au prin temps. Vous ferez prendre le petit-lait ou le lait d

'

à

nesse pu is celui de vachépendant quarante jours. Durant tout le

temps q u’

on usera de lait on prendra le soir des crèmes avec la farine d

épautre ;poin t d’

alimens solides. Après que le lait sera fin i

onpassera in sen siblement auxalimens'

qui ont d e la consi stance ,

qu i so ien t doux etpropres à b ien nourrir, Il faut 3’

interd ire pen

dantun an tout excès de vin ,le commerce avecles femmes , et les

exercices à la réserve de la promenade , en se préservant du froid

et du solei l. On prendra les bains tièdes . (Tra ité d esmaladies ,

liv .

A Thaso s . Satyras , qu’

on surnommait le Renard —Faucon ,fut

pris d e gonorrhée a l’

âge de v ingt— neuf ans. Il perdait la semence

pendant le sommeil et souvent dans le Jour. Il tomba en consomp;tion etmourut à trente ans. (Epidémics liv . vr, sect.

HIP

ri rsrtos.

Ceuxqui sontpris du tétanos meurent en général dan s les quatre premiers jours , ceux qu i passentce terme , guérissent. Aphorisme 6, section v

La fièvre qui survient à celui qui a des convulsions ou le tétanos,le délivre de samalad ie . (Aphorisme 57 , section rv .)Dans un tétanos san s ulcères (non traumatique) survenu chez unhomme jeune et robuste , aumilieu d e l

été, il arrive q uelquefois

que d‘

abondan tesaffusion s d’

eau froide,

appellentla chaleur, et quela chaleur amène lasolution de la maladie. Aphorisme a; sec

tion V .)

d u ( Malad ies d e la

Dans lesmaux de têtes appliquez les ventouses auxparties supé

rieures affectées. S’

il survient des d ouleurs à l’

ischium,ou aux gc

nom:, ou une grande oppression ,h

importe lequel, lesmaux de têteéèssent. (Des crises .

Quand on a d esmaux d e tête , il est bon de la laver avec beau

coupd’

eau chaud e et de prendre quelque errhiù pour pousser au

dehors la pitu ite etles glaires . On s’

en tiendra lasi l’

on est soulagé ;

mais si on ne l’

est pas , il faudra purger la tête de la pituite n e

prendre que de la nourriture liqu ide et de l’

eau pour boisson ;

s’

absten ir de vin jusqu’à ce que les d ouleurs soientpassées. On se

trouve b ien aussi de faire saigner le n ez , ou de tirer du sang d e la'

veine du front. Quand les douleurs continü'

entpendant long-tenips,

qu’

elles sont v iolen tes , qu’

on n’

en est poi nt délivré en purgeant la

tête , il faut , ou b ien ouvrir les veines autour de la tête , ou les'

brûler : c’

est le seul espoir qu i re ste,pour obtenir la guérison. (Desaffectzom, tom. 111

, p. Bag .)Celu i qui souffre d

un grand mal ala tête ,en est délivré quand

il lu i sort du pus de l’

eau ou du sang par le nez , ou par la bon

che,

ou par les oreilles. ( Aphorisme 10, section vx) .

'

La douleur lapluspostérieure a la tête se guérit par l’ouverture

d e la veine qui passe droit sur le front. (Aphorisuœ68, section v .)Echecrate ,

l’

aveugle , eut d es d ouleurs d e tête qui se faisaient

sentir particulièrement sur le d errière de la téte là où elle se joint

avec le cou , et.au sommet. Dans le cours de lamaladie les dou

leurs se portaient aussi à l’

oreille gauche , sans. abandonner le milieu d e la tête. Il découlait continuellement des mucosités un peu

âcres et brûlan tes. Le malade .vait une légère chaleur. Il était dé

180 HIP

goûté. Durantle jour, ilse trouvaitmieux ; l’

état de souffrance venait dans la nuit. L

abcès de l’

oreille s’

étant percé , et le pus étant

sorti , il se trouva soulagé. Le dépôt creva dans l‘hiver. Serait— il

constamment vrai que dans toutes les suppurations internes , etdanscelles qu i se font aux yeux, les douleurs augmentent quand la nu it

A Phérès une feinme '

se plaignait demaux de tête depuis longtemps . Personne n

‘avaitpulaguérir n i purgerlatéte . Elle se tl‘0tl

vait bien quand ses règles could iefl t librement. Lomqu’elle sentait

à 11 tête des douleurs plin fortes, elle en était'

souhgée par despessaires aromatiques qu

'elle plaçait à l

‘orifice d e l

’utérus

, et qui

purgeaient un peu lamatrice. Elle dev intgrosseetelle guérit. [Epi

Lesmanne: sujettes des max: du carreau ont d’

abord desétonrd issemem; elles urinent fréquemment , elles éprouvent les

mêmes symptômes que ceux quinntdes stranguries. Cela dure pen

dantneuf°

jours, et s’

il sort par le nez ou‘

par les oreilles de l’

eau ou

de lam1‘

1ç q sité, elles sont délivrées de leur mal la strangurie

uit. On rend_

une grande quantité d’

urine blanche sans d ouleur

durant vingt jours; après que le mal de tête apassé on a encore

des'

éblouissemens . (De la d iète sombre , à la fin .)

Jug'

vmndsm Ed it o” M Otti , W l« & :q 4'É80p0. Ve

u eo les l abla d'Éupa et d autres nice, iœ8. . Editions latines

ouvrages . Bfl e, 1518 ia-4 ; Vert. Amin Brend a: in collect. Sym1 533 , in—8 ; par les satin: d

Albsno phar. Cha npier , ia-8 , sans date n i

Torino avec le P rognostic et letraité lieu d'1mprm ion . Lyon , 1 506 , in—8

De aa‘mrl ltumà nä . Bâle, 1536 , ia—8 ; ancienne version avec d

entres trai tés

avec le*8erb ier onv

'n ge indiqué Ba V

_

eni se , 1507, in—8. VeraNic. Pemtto

riz, 1 548, in-4. Editions greeqneæln Paris, «1514 . ñu Bfl e, 1538. Avec

1111» avec‘les ttd tér d e Galien De

interpr. Th. Linaeggn. Büh, 1538, in8 avec les traitéshrppocçatiques Dearte, De an tiguâ

medicü 1_

â, Demed iça Inœrpret. JJ . de Gorris

,etc. Paris,

1344. in-4 ; ave°

c d’autres trai tés qui

indiqués à l’

trü c‘lu du Prague:

e.

1Paris , 1557 , it:—ra un e

d ‘u ne: un ité éd . J . 0pæpæm,

M efort, 1 587, ia—1a ; Veu .d eNi0.

ligne.. 16 8 8, in— 8. Ed . rev. parh…‘ i3 Ly…r 3583 1 i“?8p Vers

Jeans Cœmrius avec d‘autres traités

d’introduction à lamédecine. Bâle

1543, ia—4 . Edit. P . Blondel. Pu is

1575, ia— 4 avec les aphorismes. Ru

doht:‘

dt 16 72 ia—4 trad . en vers

lutins par San . de81eMarthe , parmila poésies de cet auteur; en vers 111

the , par C. F. Close. M s‘

rbϾ ,

196 R

miques ; sui vies des quarante—dmhistoires rapporü « par est ancien

médecin , et des eo…cnü ires de Gao

lien aurmhisfi rœ, etc. Paris, 178 7 ,

ill° 19 .

.4pbon‘

cmi .Edi tionsgrecques:Quarum artipmq e lib… vpn: sit…

pra]. anteHipp. aphun‘

rm. in it. per

€um ñ‘

umhabita 801M m

gp…ap. Je . 8x efi um; ln-8, sansd“. ht æpæ0M «ramene! rpÿpœta ,

eu. Ed . M alais , à la suite de

tiau latine de quelques traitù indi

qna'

a plushaut. Lyon , 154 3 , in:—ra ,

1 565 , in«1 2 ; apbor. mroga .par lind

Beam . I…n 1 536 , iu 8°.

Lyon, 1546 Francfort, 1 545,

in— ta. Editions grecques—latin s ;

Pari s , 1552 , 1555 , ia-16 , avec le

progmstiu les . pm"hétip æ etc

Pas—ie 1 557 ia—1 2 avec le serment:Stud iaJe . Opsopæ i. Freest

ort 1 53 7 ,

i n . ; 2 exrecent. Paul.Offrd Rome,1606 , ia—12 ; Genève , 1606 . ia-1 2 ,

avec le pognon” les pœ rrltétiquœ

le opaques , vers . de J‘

.Heure ,avec des u… rœ . Loyde

1607 , ia— 1 2 ; les mêmes sé…fl lt

Leyde , 16 38 , inc“ ; lens 1690 ,

ia — 12 ; Ps1is , 16 1 3 ; ex n œ gn iù ne

'

Vorstù‘

. Leyde , 1628 , ili— 3 2 ; eveu la

loi , in— 16 , sans date ; sa: inœrpm.

Forsii et G. Plantii. Leyda , 16 33

int—5 2 ; rx interpret. Poesii cm m’

e

tltodo que aphorùmi in certamord i

nqm d t'

gysti exhibmtur, E m.

Scht}fi4h Leyde , 16 3 3 , iu-16 ; cam

d iam materiamm. Leyde 16 38

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1708 itt— 12 ; lac. M ia. lens ,17 29, iu—1 a

;in Zwingeñ opuso.Ht) p.

apberist. Bâle 1 758 itt—8° Glam,

1 748 , iu-1a 1 769 , iu—‘

1 2 ; camÛd silocis pur4 l1. M Luc l'of fice/Zloeis .

pare il. en Bamb ou. et & vieü n. camemouton et nat. prop . Paris 1 759ill— 16 ; Bt

'

pp. aphort‘

smii

ntl fidemvet. w nü tntamm ea:ü gs ti latine

w si ab T . Lefebvre de VillebmmlGamtantin0p. profi at. Paris 1 7 79ia-1 2 et ia—l°;Hipp. dpbor. et P ra

net. lib. recent. not. que cdd . E Fr.

Mur. Eosquillou. Paria, 1 7 84 , ini-12 ;

lastruli stazi. et car. Janss. ab Al

melomn quibur“

acceu il Luc. Yen

baaj . ind. lamplet. loc.parall. exfi oerô

Juan ve comment. eta. ed . cnr. AmCar. Larry . Paris 1 7 86 , ira— 16 .

Edit.latines:dans

1 483, ia 1 185, 15 00, ete . Lyon ,

1505, ia 15 15,in 15 19; ia

15 27 , in Hippoemti1 senten tia ;

commen t. Galan i in catdom Law .

Lmtrentiano interpmæ. Florence

1 494 , ù1—f01. ; aph. lat. cd .Tbeud . Ul:

sonia. Nurenberg i i i sans date

(vers 1 antiq nathumb et nm

Theod . Gaza t‘u collect. ont. Bastiat

l nfin i . Ven ise , 1 493 , int—1 2 ; V)

.

n ise 150 7 , im8‘«mn R

_

husis libri:etplurt

mit aim.Venise, 1497 int—fol.

cx mers. Tbeod . Gau . Lynn 1505,

in-8' cumintap. cntz‘

quâ etN ic. Leri

nieuw werdm .Ferrara, 1 509, lu—M ;

rir. Sa première éducation fut très—soignée , et il donna de très

bonneheure , par son goûtpour les lettres , la philosophie et lesmathémfl iquæ des marques de sa capacité. A quinze ans , ilper

dit, dans l’

esespace de trois jours , son père , sa mù e et sa sœnr

s ince. Il continua ses études au college , jusqu’

en 1678. A cette

époqœ ,il se rendit lens , pour y étud ier hmédecine sons lc

celeb e Georges-Wolfgang Wedel. Au bout d

un an, il était déj£ enétat e donner à ses camarades des leçons instructives sur la chimie. Son goûtpour cette science le conduisit, en 1680, à l

Un iver

sité d‘

Erfurt, où la célébrité du chimiste Gaspard Cramer attiraitalors beaucoup de monde. Il revint l

année suivante 1 léna sub ir

ses examens etprendre le titre d e docteur. Peu d e mois après il

ob tint l’

autorisation de faire des cours et ses succès furent assez

brillans pour inspirer de la jalousie auxprofesseurs qu’

il éclipsait

par ses taleus. Sa santé ébranlée par ses travaux, et les sollicita

tions de Joach1m—MartmUnversaert , son parent, conse iller de l’

ê

lecteur de Brandebourg etchancellier de la principauté daMin den,le déterminèrent à se rendre dans cette ville Iln

y venait que pour

peu d e temps lapratique méd icale dans laq uelle il se trouva en

gagé, les succès qu’

il y obtint, la réputation qu’il s

'

y fit l’

y retinrent

plusieurs aunées‘

. Appelé en 1687 à Halberstadt pour y être médecin pensionné du canton, il s

y rend it au priutemps de l’

année

suivante. Quand le roi de Prusse conçut .le projet de fonder à,

Halleune Un iversité il consulta Frédéric Hoffmann sur le choix qu

il

d evait faire des professeurs les plus propres à l’illustrer et à y np

peler des élèves.Hoffmann y fut désigné pour premier professeurde médecine et de physique Ce fut a sa sollicitation que l

autre

chaire d e médecine fut d onnée a Georg es-Ernest Stahl, autrefoisson condisciple et son ami à Iéna, et, depuis, son rival. Ce sont ces

d euxhommes qui élevèrent si haut la gloire'

d e l’

Un iversité d e

Halle . C’

est à eux également qu’

1ppartient l’honneur d 'avoir fondé

les deuxdoctrinesméd icales les plus importantes du dern ier siècle,les doctrines auxquelles il faut remonterpour trouver l

orig ine de

celles de notre époque . Hoffmann en particulier s’élevu à la répu

tation da plus grand praticien deson siècle il futcomblé successi

vement d e tous leshonneurs dus a son mérite , il fut comte du palais, conseiller intime et premiermédecin du roi de Prusse , Doyende l

‘Un iversité deHalle , membre de l’

Académie des curieux de la

lis scriptum brevis et M a ta rfi

ezpen‘…d ü B alle

3 696.

Fundamenta Med icina: ea:princi

più mü anieis et practicis in’

usttm

phil:atmrnmsuccincteplép‘

dsitä .Halle,°

ia—8. 3 11. met.Helle , 1703 ,

phalomm amig o Bonpourn1‘

chel d icæ.

Hella 16 95.

Prog ramme: de modomerçi-um bai l

samanrhcorpora . Halle, 1695.

P rogram a‘

de anima d e corporis

eom…i0. Halle , 1695.

D e corpon bus rilornmq 1œ principiisResp. S.Hasz‘

ti.Halle,1 695.

De cœpommmathrfi sq iÏe causts

Resp. J . N . Rüper. Hi1lle .éorporpnt

M iom'

bhs ea!g ran

tate ortis Resp. J. H. Hag en.Halle16fi .

De prnd fl lti medicamentor‘

um ap

plieatione in tempore,Respi Huszri .Halle, 1695.

Hd allurg ia morbfi ra Res} . J .

Simens.Halle , 1695.

Malignitatis natura et origo in marbis acn tis Resp. J . F. du Faf .Halle

D‘

e s0n1nambldd tiene RÈsp. J . C.

Holstcter. Halle, 16 95

j b ssilium innoxia. Halle ,P rogm

‘mma de'

meèhan‘

ièd“

f äh‘

ïi

doctriæâ Hippacran°

cä .Halle;1696 .

Fragmmmà dé’ht‘eme te

pida‘

Πil

1696 5

Febris quartanæ aimRap. Alz

scher‘u

Halle 1696 .

0. pad .M—mhua.

0. Gæhehe.Halle ; 16fi .

8alis v olatiIis genesis , asus et abu

sus in med ieln'd,Iiap

. Ô’

. f . Ê efrie’r.

Halle 1 696 .

D efl tularumnové, tut} ,ac,ppmpend iossi sanctione, _

Resp. J .N Ræper.

Halle, 1697.

1 a a a A

Resp. I .H‘. Grdez .Halle, 1697 5

D e sy nouiâ ej asqm:oriÿ iræ,Re1p2Hillerus.Halle, 1 69 7 .

De hæmofih'ag iar‘nmM ars afi

g ine algue euratwne’

ei f rü âpiü ”(O‘

chymicorum perversâ expä :d iofl î

Resp._

H. Bæhma. Halle , r6ÿ 72remedio dal‘oh‘

s (la ci ‘J’

ino et simpä cis3îlrzo ä }pä Râ:ÿ .

Halle, 169 7 .

D e ined ia mag“

n0

d iæ£eü cas etprolonganda

v ita. Ê æfle, inf—8.

0'3 ,5

Petr: P otæ n op_

esa o_

r_

n_ægÆ çtlfl

et chymiea cum‘

am:otaä yn iêug .

et

d itamen tis acceu il nova daggÿga dyfi bri6us ea:.principus mechanica

s so

1Ï0natura ex effei:tn remediomm.

°

Resp.

C.F. Gosûr.Halle, 1 7 32 .

D e acido ô1itriolo v ino1‘o . Resp. C.

I ojfinann.Halle, 1 7 32 .

De senectute ip111 morbo . Resp. J .

Hutter.Helle, 1 7 3 2 .

De nnioersæ med icine princi

pio in structure corporis humani mechuica reperiundo .Resp. C. Grose .

Balle,1 7 82 .

De vera mali epikptü i canssa .

Resp. C. G. B ü ttner.Helle, 1 7 32 .

Casus de pnrpum sϡ

rôutica pm:

gnesso &emorrhoidnm fluæn nimio .

Resp. C. J . Cothmius.Halle, 1 7 3 2 .

De tnssi convulsion . Resp. J .

Ritu fi.Hd lc, 1 7 32.

De vomita Resp. M . P . Rü ter.

Helle,1 7 3 2 .

De 4 601111. Resp. D . M indner.Helle,1 7 3 3 .

De singultu . Resp. R.H. Gottfried.Helle, 1 73 3 .

De gravitate aeris ej ni qne°

elastici

b te in m obinam corporis ltuman i.Resp. C. C. Hotfinannn‘. Helle, 1 7 3 3 .

De neoessan°

o sanis medico . Resp.

H. J . F… » n.Halle, 1 7 3 3 .

De morbi 11y sterici 21cm ind ole

sede orig ine etcure . Rap. F.Hof/Zmann .Helle, 1 73 3 .

Hello, 1 733 .

De spasmis g itlæ infl rion s et de

nausea . Resp. J . C. Zweigel. Halle1 7 3 3.

De inotuumconvulsioommv era se

de et indole. Resp. J . F. Boch.Halle,1 7 33 .

D . Tmll4 s de uso camphora præmissu.

Breslau,1 7 34 .

Consultationes et respansa med icinalia . fl elle, 1 7 34, ln 2 vol. Am.1æd.m, 1 7 35 ,

i2 —8, 3°

vol.

Francfort, 1 7 34, 1 7 35, it:—4 , 2 vol.

Medicus po'

litiw s s . regulæ pru

dentiæ secnndumqua:medicus j uvenisse d irigere debet. Loyde, 1 7 38, ia—4Halle, 1 7 46 , ia-8. Trad. en im1içaîu

per J . J. Brakier Paris,1 751 .

AbñandInn‘

g mon den w mehm:tenKinderbranfihei æn mit des Verfassers Leben 2101:J. E . Schulze. Fraud

iort, 1 74 1, ih-8 .

D iætetica oder Unterriofit wie ei1°

1

Menseli . sein Lebenmnserviren &œnne .

Ie'

112,1 74 3, in—8 .

t andlung p on der Jung/‘em

D iæt.Wi ttenberé, 1 742 .

Fridefl ci Hofl‘manni consiliar. re

gis Bot—ass. etc.

°

etc. apero omnia

phy s1cœmed1ca Jenna revisa , corre

°

c

ta eta1æta,in ses?tômos 1ü

°

stributa.

Quibus continentnr d ecù i næ solidis

princifi is phy sico-M chànicis et ana

tomicie atque etiamobsmationibus

clinico-prùctieis supef struc°

tæ methodofacili ac demonstrativa d ed q i:tæetper experientiarit 57 annomm

°

sta

biIitæ . Cam v ita auctoriä etc. Ge

nève, 1 740, in-fol , 6 vol ibid ., 1 7 48,

ia-foL, 6 vol. Sapphmentmn in dnas

portes d istributumquibns con tinenturopera varia q ua: in magna op

°

emni

co”ccti0ne de1idemntar. (Ed . E A .

M ., 1 751, îu—f0l. Sap

plement°

um secundum in tres portes

d istributmn . Genève, 1 753, ia-f0L

(8chtü m— Adelung)

228 ROM

HOME(81: chim g ieudhtingné,etl’undeematomistsslesplus laborieux d e la Grande

— Bretagne, était fils d’

un

.

chirurgiend

’Éd imhou°

rg . Il était né vers 1 763 . Il fit sa première apparition

dans le monde littéraire en gagnant le prixfondé par G . Fordyœ

et J . Hunter, par un Mémoire sur les pmpriétés ou‘

les caractères

d u pus . i l fut d‘

abord médoc…militaire . Associé e nsu ite ‘aux tra

°

vaux de son beau — frère l’

illustre! J . Hunter, il s‘éleva rapid ementà des places importantes . Il comptaparmi ses titres ceux d e pre

mier chirurgien du ro i , etmédecin extraord inaire depuis 1830 ;

professeurhonoraire ddcollège des chirurg iens , et plus tard préaident premier chirurgien d e l

’hôpitalSaint-Ge0rge et d e l’hôtel

d es Invalides d e Chelsea,membre du Lycéeméd icalet de la com'

mission d ‘

examens près le collège d e chirurg ie et l‘

Ecole vétéri

n uire ;memb re de la Société royale de Londres et d’

un grand nom.

bre d‘

autres .

°

En 18 13 Everard Home avait été créé b aro°

net par

le prince régent, depu i s George IV. Il estmort le 3 1°

août 1832 ,

dans l‘hôtel d es Invalid es d e Chelsea ,

où il avait son domicilecomme chimrgie

n . Ses œ gherches d‘

anatomie fine et de physiologie humaine et comparée, se font plus remarquer par leurmultitude que par leur riwarcuse précision . Ses ouvrages de chirurgieren ferment un grand nombre d ‘

ob servations mais ne se d istin

guent pas par la sévérité de la compotition . Les plus remarquablesd e ces ouvrages sont ceux sur le rétrécissement d e l’urèt

°

re et de

l‘

œsophage , sur les malad ies de la prostate et ses leçons d‘

ana

tomie comparée .

'

A di:sertation on the proprieties of pe1f orming thehig i1 operation j or1hepas, whichga ined the prizemedalg t

°

stone . Londres 182 1 1 822 in 8. 3

«en by the Ly ceumLon d ineme for 11111y ear 1 788 ,and wa: ordered to beprin —Pmcä calobservations on tred flnent

tod [01 the 11111 of the Society . Londres, of ulcers on the leg s considered as a17 88, in

-4. branchof military surg ery . Londres,P ractical observations on the treat 1 797 , ñu—8, 295 ppment of stricture in the 11rethra . Lon Lectures on comparative anatomyti res 1 795 in-8 ; éd it. 2 enlarged , in whichare cx) lained the p mconta in ing also observations on tient in theHunterian collection . Lou.

shi e1ures in the œsophagm. Londres , dms, vol. 2, 18 14 ; vol. 3, 4 , 1 822.1 797 , 180 3 in 8, 2 vol. 3° éd it. in 4 .

Lond res 1805 ,ia-8. N ew edit. 10 Oôsmmtion: au cancer connected

whichare added gou(y attack: of the 19 115 I nstan ce of 1i1e disease; . Londres,nrc1bm and ‘

otherpart: cu1ed brmi. 1805 , ia-8.

num cold u‘

ci and anewmethod of Practicalohen atim on 111…

112

uçlaù‘

äm to 11M ar. rièd inen the subj ect cf a child witha

doublehead . Philos.. transact., 1 7991

4 0 account qf the dissection of aWM hflOdiæ day . to whichare pmM same observations 011 hermaphrod iæs ingeneral. Phtlos . transact.

t» “Ki ll , p. 155. A bridg ., tomeXYIH.&une obsemazious on the structure

{ the teethof n inivœ ous quadru

pamæarä àü mty those —of the elephantand sus æthiopieus. P in/os. tmnsact.,

’Abnidg .

,L XVIII, p. 483 .

The Crooman lecture on the strucm and use:of themembrana tympa

ui hf the car read Novemb. 7 . 1 799.

lhilcs. tmnsabt. 1 800 ,tom. LXL, P.

l“. p. Ï —2 1 . A bfi dg .,taXVI"

p. 56 6 .

fi rme ad ditional reuu nk , on thea] hcaring

°

in cases when: the

kmy ed Phi/os. tmamet t .LI L, png”

159—60 . A bridg . , rol. XVIII,p. 6 30 .

Some observations on the head ofthe Œ 1ithoä yn chus paradoxus; rendJul? 3 , 5800 . Philos . transaœ 1800,

lhart. 18, p. 4 32 vol.

XVIII, p. 7 46 .

The °

crovnian lecture on the irritaI .ä 1y of nerve: read november 20

\1 806 . Philou. t

ransact . , 180 1 P . Il

art. 1 , p. 1-2 2 , pl. 1 . A bridg . 1 80 1,

1. 1Tn dm'

t en fihnçais dans Corvi“rt, Leroux et Buyer, Journal de

fl ùhchte , 1809, août, p. 1 16

Observations o n the Structure , and

ù“e g rowth, of the g rind ingg ethof the wild boar ami animalincog nitmn ;read May 7 , 180 1 Phil0s .

mw a . P . I I , art. 1 4 , p. 3 19-3 2

pl.

Philos . Transact. 18102 ) P . 1 , art 2 1

p, 1 -1 1 . Abridg , 1 802 , p. 6 7 .

A description of the anatomy

deM nb. 17 1801 . Philou Tra in.

1802, art. 4 , p. 6 7—84 , pl;

D escription of the Ünatomy ofi t&”

@muhorhru h111 11”mx read June 3,

180 2 . Philœ. Transact. P . II, 11111

p. 34 8 PL 10 2 13 .

Observa tions on the structure of d etongn e illustrated by cases i nwi nd

a portion of that oqgan has;bee n re:

moved by lig ature rea d . Febt'1 3

1803 . Philo s. f r0nsact. 1 80 3 un. 71

p. 205- 131

Rernarhs q f the stw eturcq l‘the mü

fices found in certain poisànm smfrs sataa ted betw een the mstmlamithe on , and the d etori

,dtion ‘

of bn'

ÿconnected withthe Q‘

e met within1111:snakes . Phil03. trans. “

1804 ; P. I ;

art. 6 , p.,13— 76 .

D_

esofipti«w of thÔ s iruct°

nrÊ of tflb

parts of the Cai ro de C‘pellb ,ur h0&

hed sacheof the East Ind ics,whichpt »

f ormthe expansion lÿ°

the shi): of thene .chPhib s. Transa t; I I ,

11111 t‘!

p. 3 4 6 52 .

A n account of a small 1064 8] thehuman prostate gland , Whichhù t not

before been mt.» mn.:of antes

trü sts ; read Febr. 2 0 1806 . Ph1Üt.Transact. Pi 8 , p. g g] .

204 , pl.

Observations on the —shalt of be“

Warm,f ound 011 tlt6‘c1ü st qf 8M aW ;

pew ing ittobeïèn3°

v 13 a specier«y Y'e

redo; withan aqooud tof -the

232

uamact., 18 1 2, P . 1, art. 3 ,p.—83

891 P"

Observation intented to show thatthe progressive motion of snahes in

partirperformed by means of the ribs;j eb. 2 7 , 18 1 2 . Phd os. transact. , 18 1 2 ,

art. 9, p. 16 3-68, pl.

On the difl'

e1ent str ucture and si

tuations of the solvent glands in thethg estive org e ns of birds, according

to the nature of the irf ood and parti

cularmodes of lile j un . 1 8 t22Phtlos.transact., 18 1 2 , P . Il, art. 20,p. 394

—Î 1 pl

A description of the solvent g lands

and g izzards of the A rd ea a rgala , theCamarms emu and the long -leg g edCawwwy , from N ew—SouthWales

decemb. 1 7 , 18 12 . Ph1los. tra1m.ct.

1 8 1 3. P . I, 1111. 9 p. 7 7-8 1 , pl.

Experimen t: to ascertain the coa

gula°

nng power of the secretion of the°

gastric g lands . Commun icated by thesocie [or promoting the hnowledgeof an imal chemistry ; j an . 2 1

Philos. transact., art. 1 2, p. 96-100.

On the 111—hs of the Narwhalej ebr. 18 , Philos. transact.

,art.

18, p. 1 26-30, pl

011 the j b rthati0n of fat in the intestines of ltving animals march1 8

1 81 3 . Philos . transact., 1 8 1 3 , P . Il

art._

2 1,p. 146 -58.

Additions_to an account of the ana.

t0my of the Squalusmaximus contai

ned in a formerpaper withobservations on the structure of the brhnchia iartery fun . 24, 18 1 3 . Philos. transact. , art. 2 7 , p. 22 7

-4 1, pl.

Observa tions on the fi1nctionr ofthe bra in may 26 . Philos. transact

1 8 14, P. Il art. 1 3, p. 409-86 . Trad .

en frança’ad ans C0 °V î121 1 Leroux et

Boyer, Journal d e Médecine, tomeXXI II, 18 15, mars, p. 2479 7 2.

HOMSome account of the [mil

of an animal mon nearly allied to

f ohet than any of the other classes ofanimals j un, 23 , 18 14 . Philos. transact. , art. 2 8, p. 57 1—

7 7 , pl.

On the infl uence of the nervet uponthe actmn a] the arter1es ; j un » 3o1 8 14 . Phdos. transact., art.

p. 583 86 .

30.

On the structure of the organs o]respiration in annue ls wichappear tohold an intermediate place betweenthose of the class pisces and the class21ermes and in two g1mera of the lastmen tioned class Jun 1 1 8 15. Philos.Transact. 18 15,P . 16 ,p. 256

6 4 , pl.

On the m3de of generation of theLaMpra7 a nd e ine . Jun . 15 18 15.

Philos. Transact. art. 1 7 ,p. 265—69.p1.

Some accoun t of thefi et of thosean imals wha..e progressive motion can

be carried on in opposition to g ra

vigy . Febr. 2 2 1 8 16 .Ph1los. Transact.18 16 P . I , 111. 9 , p. 1 49

-55, pl.

Experiment: and observations to\_

prove that the beneficial eff ects ofmany med icmes are produced tmughthe med iumof the circulating blood

more partccula1ly that of the Colchicumautumntzle upon the gout. Communicated by the soeieÿ for improvingan imal chemistry . March2 1 1 8 16 .

Phü os . Transact. 18 16 , P. Il, art. 12,

p. 257-6 1.

A n append ix on the eff ects of themlchwum autumnaie on g out ; read

apr. 2 5 1 8 16 . Philos. Transact.m.

1 3, p. 1162 -64 .

On thêf ormation of fat in the 111

testme of the Tadpole had on the use

of the re/hin the formation of the embrro in the egg . Read may 2 3 1 8 16 .

Philos. Transact. crt. 20 , p. 30 1-10.

Some further account of the fu sil

Z’he _Czàaniankc{urç. 91mthe 1‘nten

nal structure the humain brain ,

when exan uned in the microscope ,as compared withthat pf fi sheç , tusçcts and worms. Nog ein_h20 1823

1,p. 1— 10, pl.

facts respectuvg thediscovered the exa

mutation of spectmeus brought to .Èn

g land by the diff erent ship lately re

turng!f romthepolar

£çradrested ço 1irDan .M11ch’

1824

{ kilos. 1mm‘

act. P H. au . 1 p. 2 351»

I‘!4 n account of the orguns of g me

ra tiou of the &lca iç an P roteus cal/ed

by th_

e na tive} 4 xolotl. Jun . 1 7 1 828.

Philos. transact. P . Îl, ait. 2 2 ,p. 4 19,

23 , pl.

!Vze €rbonian le…@n d emis15M J «hp: 111 18e No

gçm‘

b:18, 1824.,P_

hi(os transact. 1825,,P.

—89 pl.

Obsewatiqns on the chang es theovurhof thef rov imdergoct dming theforma tion of the ta tpolc. N0ve1nb . 2 5,

( 828.

gtt.,3. 81 86, pl.

011 the 1 3fl11enœ of nerves and gy n

f iions_ producing animalheat. P resen tedhf the soc.f or the improvement“J aime!Chemïs(rx.Mç tqh1 . 182 5.

€lülç{, transact. I’. 1 2 , p. 255

Mia oscopicai observations qu thegalerials qf du610111, M d a{ t_lge ova

animals , to show the ami.,gy W ;

fi l“; .be

_twœn them, 11114 4 4 : the ‘a

_1iç tj f ar promoti_1_1g animal chemistty .

,‘g ç . 12 , 1825 fimd at the fiqr. çoc.

Jui} . 3. 1825. Philos. tmusact. au . 19,

p. 638VÂ9 . pl.

04 the m utation of the fl uid

blood w mëw l 111:

Account of M. ( O!“m :

(had of perf orming the opera ii“…the cure a] ,

the pôplitml 1111m in

7, p. 39 1, 1101. 8 , p. 126,Sony observations ou the loose gar

tiiag es found in j oints and most gammonlr mot within the j oints té;hace , in Transact of . a toc. [or theimprov.. q{ med . and chir. Knowledge

y . 10

1 793, p. 129.

Some observations on 11lars. Tra n.

soc. etc. 11. 3 30 .

Cases and observation} 011«mmZated hern ia . Trans. of soc. ete . “l

'

.

2 1800, p 99.

A u accoun t of an eg t_motd£hùty ttt)n our found in one of d e aæä larynerves . Trans. of sd e etc. p. 1 52 .

Account of a person who 111111 sh'acthroughthe lua and s11N l>èd 3\

y eah withân accoun t of the‘

ape.

r,ence of the thorax oû d iese

Tran; qf sac. etc. p, 169.

Erpc:imeuts and ob serva tions 99the g rowthof boues . Trans . a] soc. etc.

p. 2 7 7 .

A case of pœg naagr, in whichtheW umhad became du:a1:d u nd 111111entirely fi lled up withsmall ly dætids . Ttaus. q{s,oc. etc. 11. 3110.

bladder «have the,pub is, au t

;hç 1,1 c1yœ, illustrated Qy cases. fl qm.

et106 etc p

T1110 cases of s1w umt;on . aj thebrain in consequence of ew ( ual in

f“Û" Withpèservatians . Trans. of Î.qç .

vol 3, 181 2 , p. 94.

Gasei and observatiw1s wh1ch:hewthat inflammation is zomet es commun ieated from the dura mater to

the pericmnium. Tram. qf soc. etc.a“

.

1 22-57 .

Cal e of iufl m atiw and 1wd l&q

BOf

hme d es Füllens auf d ie Mü chabton268-7 4 . detung der E seliun hat aus Hunœr'3Extrait des observations anatomi nachlass. art. 16 p. 129

—80.

ques sur l‘écb idne ( Bulletin philoma

tiq ue) dansLametherie journaldePl1yaiqu

e , t. 14 ,2n, 1 1 p 2 32-34

8nr une nouvelle théorie de la fémndatwn. Joum. de phy s. t. 42

1 8 1 7 .p 7 3-7 4 .

Sur un phénomène de la v ision

J nnal. de chim. et de phy siq . t. 1

1 8 16 avril p, 4 43-44 .

Ueber d ic_

W1‘

rhnng eines J nfalbv on Lähmung auf d ie Fähigheit derJ ug eu nahe Gegenstande zu sehen.

i 1 Hechel Deutsch.A rchiv.fu‘

rPhy aiol.p. 1 25.

b'

eherc‘

en E influss d en d ie Wegna

Lettre à M. le pro fesseur Riche;u nd ; extrait dans le nauv . Joum. de

m_

ed . t. 3 18 18 octobre , p. 182-84 .

Ueber ein enmerhwüM ig.rn Gallen:tein , C en on und Julius Magd a.

de’

r

ausi. Hcilh. t. I , 182 1 janvier et févriet

,art. 8 , p. 1 30 —83 .

Recherches sur la d isposition or

gan ique en vertu de laquelle 1’

0pÈro

l‘alougement et la contraction de la

libre musculaire ; extrait dans Journ .

des n r. des se.med . deux ième série,t. 1 1 830 , p. 97

-99, fig.

(Rena — Rob.Wath Callisen.)

HOIN Jnsn-Jscq uxs— Loms ) chirurgi en gradué à D ij on , chirurgien externe d u grand h0pital , membre d e l

‘Acad émie de la

même ville associé de l’

Académie royale de chirurg ie n é à D ijon ,

le 10 avril 1 7 22 mort vers 1 7 7 2 . Il est surtout connu pour ses

excellentes recherches sur leshern iesdu vagin et du périnée, pour

ses observations surlacataracte rayonnée et la cataracte sœ ondaiæ ,

etpour ses remarques sur l‘

opération de la taille chez les femmes.

_

D iscours surl'

utilitédespassionspar

rapport à la santé avec un éloge hislorigne d e M. P etit , médecin et l

art

cataracte , dans le ”m rc de

décembre 1 76 4

Me'

moir'

e sur la v italité des enfans.d e conserver la santé red uit un seul Londres et Paris , 1 765, in—8 .

Pr1ncipe . Paris , 1 7 52 , ia-8 .

Lettres concernant quelques obser

vations sur d iverses espèces de ca ta

ractes , dans le Mercure de France ,

1 7 59 août. Sur la cataracte rad iée

Seconde lettre à M. Da viel, sur la

cata acte radiée la conve.riæ'

du

cha_

ton du cry stalä ü après l'

extmc

tion de celui ci et une ca taracte fl në

Crée. Mercure d e France , 1 760 mars.

Nouvelle d escription d e l'herma

phmd ite B rauart , 1 76 1 in

Essa i historique sur les ‘diflémntesopinions , concernant la nature de la

E ssa i sur de.hernies rares et peu

connues, etc. intére‘

dans la nouvelle

méthode de trauer les hern ies dd Leôlanc.

Mémaire dans leqœ l on examinbsi un curé estmort de mauvais tra inmens et surtout d

'une mutilation au.

‘c

parties naturelles. Dijon t 7 7 r, i11-4 .

Les mémoires de l‘académie royale

d e chirurg ie et ceux d e l‘

académie de

D 1j00 renferment un assez grand

nombre d ‘articles de Bain non: in

d iquerons les auivans

Sur une espèce de cataracte m

[fi n es diMrantee , mhe‘…‘

elles

ne propagent par infection et qui n e

nouvelle ou‘

qui tdi soitpartl‘

cifitiæ.

mmæk…ææueber d ie Naâi>mettent pas à l

'

abri d‘

une nouvelle und Behaudlæ:ng der v ersoñ iedênûcontagi on. Ou litavecplaisirl

'histo it‘éannexée à ce li vre , d

'

une lièvre mn

queuae qui régna épidémirjuèmtæut àStuttga1ttet dans les en v irons.

Beobachtungm und Unterstækutt

,en urôer d ie P ockenhd nâlæit. Stuttp et , 1 799, iu—8 . Philippen

o Hopiengærtner publia une

description d e la peti te vérole tnail

fl rten der Gel:irnwassersucht. —Stutt\

gart 18 01 , in — 8.

E in ige—Beûtcrfinngen Dä er là èqi

siers traité e'

lémeutaire als ein es‘

de3ersten Bü cher ü ber dai anti —pnlogä .

lisenen Sy stem in Gren JournalJe‘

i*

Pfiy sM, 1 7 92 .

Bey traàe zur anatamiscnenchic/tte ein iger Kmukheiten ,

tn É'{f“gae , d it Spengel, qui ravages Stutt nude,p rt : ild iscute fort au lon g plusieurs 1 795 _

a

poin t: de la théorie de ed ite affection,

sans émettre cependant aucune idée

BORNE ( D r. docteur en médecine,

médecin d e l’hopital royal etmilitaire de Metz putsmedeemdes

d ivers remèdes antisyphilitiques prônés par des chaflatans, commeles pastilles de Kayser et le sirop de Bellet. DeHome s'

imposa engëore une tâche non mo in s honorable q

'

û’

ut de quand ilentreprit dgict i c journal d e médecine militaire, et de mettre à. profit ppt} ;

l‘avant.

Examen d es principales méthodesd

‘admin istrer le uiercure pour la g ué.

rison des malad ies v ênériæmes . Paris,l7 7o, i ii-8 . Nouvelle éd ition sous

ce titre Exposition rmsanue'

e des d ifférentes mamervs d

'

admin istrer le

mercure danslesmalad ies i ténériermœ ,

précéd ée d e l'

examenParis 1 7 7 4 i ll-8. Ou\ü

°

3 ge estiméest…-able. On attribue a d e Home

,

là‘

d issertation suivante , publiée sous

d’

un ami , pour prendre la

rogrè‘

s de l‘

art, une foule d’

observations qu i se perdaieutaupy

4, u . Bam. c.ui vécut de…

Bah. was.M si en » .

cèdent,relatifsu siropde Reflet:Dis

sertation sur la nature de l’

espritn itre d ulcifie

'

relativmeut à la d_

t&tflçlution du mercure, pour see de sugplémm

al’

e.rameu despriudpd fl me'

v

!_fi0dcs d'

admmifl rer le mercure Mles maladies v énéü ennes , imprimé.chez Dtdot en 17 79. et, la Rs;nms

çu.z reflexions d'

un anonyme contrecet ouvrage , insérée dans la.nouvelle

at.2

vul1ibilitJ;présentéà l‘

académieroyaledes sciences de Bordeaux.

HOUdans les parties d estituéa de misseauæ propres à les recevoir? Autre

Mémoire II Exposé des expén'

en ment, quelle et; la nature de laf orce

ces de M. Tandon célèbre anato

miste , sur les parties sensibles du

qui l'

introduit dans les parties, telles

que l'

épiderme , les poils , les cornes

corps animal suivi de Réflexions sur“etc.,pour servir à leur nutrition ,f orœ

l'

incertitude de leurs résultats ; la le

15 décembre 1 755 , dans une des

séances de la Sociétéroyale des scien

ces de Montpellier.

Mémoire III R{fatation du système110M le Cet, secrétaire perpétuel de

l’académie de Rouen sur quelqu

es

parties insensibles de l'homme et des

animaux. Présenté à 1’

uœ démie royale

des sciences de Dijon .

Mémoire 1V . Existence du fl uide

nerveux et son irfi uenœ dans l’

œuvre

d e la d igestion . Adressé à M. Roussel

d e Vsuzesmes , docteur régent de la

faculté de Pu is.

Mémoire V'

: Exùtenœ , cause et

effets du mouvement alternatif du

cerveau et de la dure—mère , analog ueà celui de la respiration. Présenté à

l‘

académie royale des sciences de

Paris.

Mémoire VI :Théorie de l’épilepsie.Mémoire VII : Contenant d es ob

m ations pratiq ues sur l'

imensibilit£

de qud quos parties la couvuIsibiüté

et l'

irritabil1‘

té.

Mémoire VIII Sur cette question

quel est le mouvement des humeursau-delà des maisseau3 9 c

'

est—à -d ire

qui para1t avoir d e l‘

analog ie avec

péd ale deSt—PéÈersbourg .

Mémoire IX:Observations historiques sur quelques écarts ou j ean: d enature pour servir à l

‘histoire natu

relle de fhan1me.Mémoire X: Glande découvefi c

dans l‘

oreille interne.

Bondag e symétrique — ou corset‘

bern ier. Journal de Méd ecine chir.

pharm. etc. 1 758, ti VIII.

Letac l'

auteur du Journal. Jour.

de Méd . chir. phar. etc.

1 7 58 VI II .

Observation surun efi èvre continu:

périod ique , produite par une f ausse

pléthore . Journalméd . chir. pl1ar. ,etc. 1 76 7 , t. XXVI.

Mémoire sur un ictère particulier,

occasionnépar la suppression du fluxhémorroïdal. Jour.méd . chir.phar.etc.

1 765, t. XX_III.

Histoire d es fièvm cÆare cs-pu

trid es qui ont régné a‘

A u:èm , de

puis l’

annec 1 756 j usqu‘en 1 759.

Journalmed , ch1r. phar. fi c. 1 766,t. XXIV.

HOULLŒ R ( Jacques ) était d’Étampes, dans laBauee ; il vint à

Paris , y fit ses étudesméd icales, et y recut le bonnet d e d octeur le

7 novembre 1536. En 1538,ilaccepta la place de pro fesseur à la

Faculté qui lui fut offerte d e laman ière la plus propre à rendrehommage à ses talens d istingués. Ce futle doyen qui le supplie d

ac

cepter ce titrehonorable . En 1546 ,il fut nommé d oyen de la Fa

culté demédecin e. A la seconde aimée de son décanat , le royaumeétant déÏà fatiguépar de longues guerres , alarmé de nouveau par

9411

Girtanner fait l«'

éloge decette dis.

sertation .

Observations on themethod of cu

ring" thehy drocele , by means of a se

ton. Lon dres, 1 783, in-8.

— Howard ,fidèle aux doctrines de son maîtreregard e la

'

méthode du traitement par

le séton comme fort supérieure à celle

par le caustique. Ayant eu l'avantage

de suivre Pott pendant nombre d’an

nées dans les hôpitaux et dans la

pratique de la ville .,la quantité de

malades qu‘il a vus lui procuré la

facilité d'

observer les progrès de la

guérison , selon les différens d egrés

(l‘

inflammation ,et l

ont convaincu

que , pour opérer une cure prompteetheureuse l

inflammation doit êtrede peu d e durée et très—modérée. Il

estmême persuadé qu ’

enaugmentantou en diminuan t le nombre“des brins

HUB

portionùé à laplus oumoins grandeirri tab ili té dumalade.P ractical observations on the natu

ralhistory and cure of themenereald1seasc. Londres, 1 785, tom. 1 et Il;1 794 , tom. Ill, ibid . , 1 797 1

ia—8, 3 vol. A ”

Supplement topractical obæçvatiä u on the naturalhistory and care of lues v enema. Lou

. dres, 1 801, in-8 ; 1806, ia—8, 2 vol.

Howard donnait son ouvrage en

17 8 7 comme le ”

résultat d 'une expé

rience d e vingt années. i l regard a la

gonorrhée et la syphilis comme deuxmaladies tout—é fait d istinctes,

dont la première ne sauraitjamais dégénéreren la seconde .

of the Middlesexhospital f or the re

lief of persons aff ected withcancerwithnotes and observations. Lon dres,

d uséton , on peuttd lement enménager! 1 792 , in -8 .

l'

cfl'

et qu‘

il excite nou—seulement teldegré d

'

inflammation qu‘on désire

mais qu’ilestencoreparfaitementpro

P rad 1cal observations on cancer.

Londres, 18 1 1 , ia— 8. Ouvrage pos

theme .

HUBEB. (Jaan— J1cq uss ) , anatomistehab ile, etl’un des disciplesles plus d istingués d e Hallèr, naquit à Bâle , le 1 1 septembre 1 707 .

Il commen çases études dans sa v ille natale .puis il les continua à

Bern e , sous Haller , et à Strabourg . Il fut reçu docteur en mèdeciné à Bâle, en 1 7 33, et, l

année suivante membre d u collège des

médecin s d e cette v ille . En 1 735 il fit un voyage à Paris il fut

nommé lamême année premiermédecin du d uc d e Bad e B omlach.Qua

'

ndHaller sefut fixé dans l’Un iversité de Gottinguc, il fitnommerHub er son prosecteur, etplus tard professeur extraord inaire

d’

anatomie après que celui— ci eut fait un voyage b otan iqmi en

Suisse , dontHallermit à profit les résultats dans sonhistoire d espla

_

næs d e ce pays. En Huber fut nommé professeur d’

ana

tomie et de chirurgie au Gymnase de Cassel, et , en premiermédecin du grand duc d e Hesse . Ilmourut dans ces emplois le

'6

juillet 1 7 7 8. Il étaitmembre d e la société royale de Londres et de

l‘

Académie des curieux' de la nature.

246 1

Nov. Act.'

Aead . Natur.

tom. Ill, p. 53 3.

Epistola ad Cromwell M01fimen 1md . d . Citss. 3 1 j an. 1 7 4 7 d e cada

vere aperto, in qua non ex3titit 'vesiea

f èllea et d e “emo g ibboso in Philosophical transact., vol. XLVI, n

°

4 92 , p. 92 .

Observa tion es anatomicæ ad mus

culorum historiamfacien tes in A ctisHelvet. phy s. anatom. bot. med .,

vol.

I II, p. 249, fig. Observationes ali

q uot (XII) de areas aortæ ramis , de

Curios.,

HUL 11

ma aria deque v iciaishis quibusdamartertts aliis. ibid .

, vol. VIII, p, 6 8

1 00 .

Zwey Brie/e v. Huber au Haller1 7 32 11. 1 7 34 ; in Epistohs ad Hallerumscriptis latin . Berne, 1 7 7 3 in -8

vol I p. 1 24 .

Vom* Aderlassen dans la Ca:æl

P olie . Gelehrten u, . Commercial—Z e itung 1 7 51 St. 12 1 . Versuchang estellt zwischen der Sprache derJl[ensehen und deren der Thiere.Ibid ., St. 5 1 u. 52 .

'

arterid th_y t

‘oide

°

quintd s . supernu (Adelung. Meusel, Lexihon.)

HULME (NATANI EL médecin érud it, et praticien”

renommépour le traitement d es malad ies des femmes et d es enfeus

, né à

Holme -Torp, dans le Yorkshire, le 7 juin 1 732 , était leplus jeuned e onze en fans . Son frère, JosephHulme , médecin d istingué deHalifax, lu i d onna les premiers principes d e lamédecin e. Il suivit

en sui te les leçon s d e l’hôpital de Guy , à Londres, et fut employé,

en 1 7 55 , comme médecin de vaisseau . D ix ans après , il prit àÉd imbourg le grade d e docteur. Il s

établit alors à Lon dres où il

acquit, par la pratique et par la pub lication'

d’

ouvrages remafi

quables , une grande réputation . En il fut nommé médecinord inaire de la ma1son d ’

accouch€mens , place qu’il occupa jus

q u’

en 1 794, qu’

il d onna sa démission . Ilmit à profit le champd

ob servations que lui ouv rait cet établissement et on lui d ut l’

un

d es premiers et d es meilleurs ouvrages sur la fièvre puerp_érale. Il

fut choisi pour être médecin du d ispensaire établi à Londres en1 7 70 , agrégé au collège royal d es méd ecinsd e Londres en

Sa réputation s’

étend it sur le con tinent 101%q u’

il gag—a une 1116

daille d’

or d e la Société royale d e médecine , pour son Mémoiresur l

endurcisœment d u tissu cellulaire des nouveau- nés. La c iété

royale de Lond res l’

admit dans son sein en 1 794 et celle d es au

tiquaires de la même v ille,l’

année suivante . En 1807 le 2 1 fé

vrier, Hulme fit une chu te d ’

une hauteur considérable. Il n’

en

éprouva n i d ouleurs vives, n i accidens notables ;mais ilmourut le28 mars suivant.

proposalf orpreventing the seurvy in sed and confirmed by experience. Lon

the Britishnavy . Londres, 1 76 8, ia-8. .dres, 1 7 72 in-8 1 41 p. Descri

A saf e and easy remedy pr0pqu d ption soignée de 11 malad ie. Ulme ré;

f or the relief of the stone and g ravel fate l’

opin ion de ceux qui font oua

scurgy gout etc an d f or“

the des sister sa nature en une métastase dutraction of worms in the human body lait:elle consiste çssentiellement se

illustrated by cases together with 1011 lui , en une inflammation des inan extemporaneouf method «y im testing et de l

épîploon ,

pregnating water and other liquid: Mémoire 'sur Pendurs issement du

withfixed air by simple mixture tissu cellulaire d es nouveau-a dans

only without the assistance of any les Mémoires de la Société ray . dc"

appara tus or complicated machine. Méd . , 1 7 87-88, tom. IX, p.’

1 10 .

Londres, 1 7 7 8, ia— 4 . Experiments and observations on

0ratio d e re med ian cog nosoendet the light whichis spon tanebut{; nuit

etpromovenda cui accessit rv ia tata ted , withsome deg ree of permanencesctj ucunda calculnm

\solvend i in v esica f rom various bodies. Philosophical

urin arz‘

a inhærentem, abhi storia cal transactions, 1 800, p. 16 1 et 1 801

culasi homin is confirmata . ln -4 . p. 403 .

A treatise on the puerpemlfever A ccount of a brichbrought from,

wherein the Nature and cause of the site of ancient Babylon. Archeol.that d isease sa fatal to lring in Soc.

|X17 , p. 55,

Women are represen ted in a new (Med . chir. Z eitung.point of view, illustra ted by d issections Rob .Watt.)and a rationalmethod of durepropo

HUNCZOWSK I (J célébréchirurgien ,'tmquit à Crech,

l

près de Prossn itz , dan s laMoravi e , le 15 mai 1 7 52 . Il fit seshumanités et sa philosophie à O lmutz , puis il commença ses études

chirurg icales sous son père , qui était barb ier— chirprgien . En 1 77 1 ,il se ren d it à Vienne ; pauvre il y trouva d euxprotectrices dans

la princesse Taroca et la comtesse Burghausen . La“

prem1ere luifourn it, d

après le conseil de Bramb illa lesmoyens d’

aller se for

mer aux leç ons d e Moscati , à Milan . 11y passa deux années au

bout d esquelles la mort de la princesse l’

obligea à reven ir à

Vienne. Il suivit , dans l’

école chirurgien—

pratique de l’hôpit os

pagnol les lecon s‘

d e Stcidele et en su ite celles d e Bramb illa. A la

recdmmandat1on d e ce dern ier , l’

empereur JosephIl fourn it àHunczovvski les moyens de voyager. Il vint d

abord à Paris , où il

passa d eux années. Il trouva dan s Lôu is , à qui il avait été recommandé non seulement un maitre mais un ami . Il passa ensuite àLondres

, où il séjourna treize mois. Il visita les principauxhôpiætaux d e lamarine

, et revint en France en 1 780. Il s’

arrête plus ou

moms de temps à Rouen , Brest Lorient, La Rochelle Roche

3 48 HUNfort, Bordeaux Toulouse Montpellier Marseille Toulon et

Lyon . Il revit l’Italie et rentra à Vienne où il fut nommé pmfœ

seur dans l‘

école méd ico—chirurgicale instituée par Bramb illadans l

‘hôpitalmilitaire . Il y enseigna l’

anatomie et la physiologie ,lapathologie générale et la thérapeutique les élémens d e chirurg ie les opérations et la clinique chirurgicales.

—Après l’

ngrandisse

ment de cette école en 1784 l’

enseignement dont ilresta chargécomprit les opérations d e chirurgie , l

art d es accouchemens la

sémantique légale et la police méd icale En 1791 il accompagnaLéopold dans un voyage en Italie , et fut nommé ‘

à son retour pre

mier chirurgien d e l'empereur.Hunczowski fit

_

servirlafaveur dontiljouit à la cour à l

établissement d ‘institutions utiles pour l’

art. Il

mourut le avril 1798. Le professeur J. A . Schmidtprononça sonéloge , dans lequel il est dépeint comme un homme accompli sousles rapports de l

esprit et du cœur. On trouve un abrégé de cet

éloge dans la Gazette med . chir. de Salzbourg et dans la Ga

zette méd icale nationale d‘

Allemagne où nous avons puisé la

notice qu’

on vient de lire.

Hunœ owski a publié les ouvrages suivans

E'

e un3 der chirurgisehen Feldchimrguu mit AnmerhungenwLehrsætze des Hippohrates v on Bern sehen . Vienne, 790 , ia

—8.

hard Gmga . Ans de»: Italienischen Il”

public avec Schmidt :B ibü othehü bersetzt. Vienne, 7 7 7 in

-8 . der neua tenmed ü in iseh—chimrg isclæn

Med ieü iseh-chirmgü d e Beobaeh Litteratur. aten Bandes x-4æs

acaena auf seinen Reisen durchEn Stitch. Vienne, x'

790-1 79x 3ten

gland und Frankreichbesonders ü ber Bandes rstes Stück. ; 79 ia—8.

d ie Spitaler. Vienne, 783, in—8. B ibä othehf ür 0Estreichische Feld

Anweisung zu chirurg ischen Ope

rationen zu seinen Vorlemng mbes Abhandlung ü ber den Nutzer: des

titut. Vienne , 1 785. ate «serbes

certe und mermehfi e A ifi age. Vienne,

1 78 7 . 3te v ermehrte AuflagmVienne, 3 794, in

—8.

Ueber die neuere Geschichte derChir urg ie in den K K Stanton eine

Rede. Vienne, 1 787 , itt—4 .

Reg iments—ehùurgen aus demEnglischen fi er ü bersetzt und worzüglichafin: Gehmucho d er 8steneiehisscheu

A bsuds der grünen Wd Inusæhaalcnbey Gesehwün n, etdans Abhandlun

Ahad . B . I .

Il avait été dans le temps un Collaborateur du Wiener Red u itung et

plus tard il avait travailléhl’

A üg em.

(N ed . chir. Zeitung . Med . Na

tional—Zoiæ:g . MOM .)

…fl… G un n-Fsùflua), médecin fort 6mdit,

250

Q tnutritive lime. Hunær‘s Georg i for a seriesaf f ears on the same land.

On carrotf orthe use of the d istiller.Hunter’s

_

Georgical essay s. Vol. 5, p.

26 1 .

John Evely n Silva on d iscourse of

fan s: trees and the propagation oftimber, withnotes. 1 7 76, in —4 . Edit. 2

vol. 1 . 2 , 1 786 .

J . E velyn terra, aphilosophicaldiscourse of cart,withnotes, 1 7 7 8 in-8.

Ed it. 2 , 1 787 , in—4 .

On theBur ton Waters, 1 7 76 , ia-4.

Observations on the nature and meM «J cure of the phtlsis pulmonalis ,or,consumption of the lungs, by the

late WilliamWhite withthe orig in

mgr-m dhd d esign of the Ydrhlunaetc asfl um. 1 792 ln—8.

Outline: q]ag riculture, 1 795,i aA new method of raising wheut

1 796, ia—4 . Edit. 2, 1797, 111

Au illustration of the analog .bet

ween amgetable and animalparturition . 1 78 7 , in—8.

Generalwiew of a plan cy'universal

and equal taxation. 1 797, in—8.

Reflexions on the state of an egg inincubation. Young? annule of agri

culture,etc. Vol. 3 , p. 3 8 1 .

On,Brognid rt

s lve,?getable powder.

Young’

s annals agriculture etc. Vol.

7, p. 3 1 a.

On the noun‘

shmen1 of ®egetables.The commercial and agriculturema

gazin for the y ear 1 803 april, p.

26 3 .

On a richand cheap compost etc.The commercial and agriculture magazin j or 1803 april, p. 2 8 1 .

( Reuss. Bob .Watt.)

HUNTER J0111: d octeur en médecine de l’Un iversité d'Édimbourg ,:

membre d e la société royale de Londres ,médecin d es ar

mées servit assez king-temps à la Jamaïque , et est un d es mède

cins anglais à qu i nous avons l’

obligation d e connaître lesmaladiesde cette île et des pays chaud s en général.

D ispu;atio Inauguralis guardam,

de hominumv arifl atibus ,et comm

eausas exponens. Edimbourg , 1 7 75,

in—8.

Observations on the d iseases of thearmi in Jamaica ,

and on the best

means of preserving the HealthofEuropeans in hot climates. London

1 788 , 1 796, ia—8.

Account of the succt:sful treatmentof a supposed case of hy drocephalusinternus. Med . abs . and . ing .VI 52

1 7 84 .

Some experimentsmade upon Rum,

in order to ascerta in the cause of thecolicfrequent among the sold iers in

Jamaica ,in 1 781 , and 1 7 82 . Med .

Trans. 111, 2 27 , 1 785.

Some observations on the heat ofWell: and springs in the Island of I amarco , and on the temperature of theearthbelow the surf ace , la d i ercut

climates . Philos. Trans. 3 7 7 , 1 7 88 .

A n accoun t qf a cas-eq

“un common

d isease in the omen tumand of a double kidney on on e side the body and

non e on the other. Ib. 250.

Observations on the d isease com

monly called the fall orhospitalf ever‘.Ib. 3 45.

Observations and heads of Inquiryon can in e Madness ; draw from thecases and materials collected by thesociety re specting that d isease. Trans .

Med . and chir. 1 , 1 793.

(Rem . Rob . Watt.)

HUN 251—

q

HUNTER (Joan), l’un des plus grands chirurgiens du dernier

saecle , était frère de William. Né le 14 jui llet 1728 , il était le

membre le plus jeune de sa nombreuse famille . Il n‘

avait que dix

ans quand ileutle malheur de perdre son père. Son éducation se

resse'

ntit b ien gravement de cette perte. On l’envoya à l

'

école ily

perd it son temps ne se trouva avoir aucune disposition pour l’

ê

tude des langues , et végéta ainsi sans rien faire jusqu'à l

âge de

vingt ans. Ennuyé alors d e son oisiveté et entendantparler d e la

réputation que s’étaitacquise à Londres son frère le D

' Wü llenHunter , il lui écrivit pour lu i d emander de l

'

occupation dans son

amphithéâtre à défaut d e quoi il lui faisait part de l’intention

qu’

il avait de se faire soldat. Williaml‘invite à ven ir auprès de lui.Dès les premiers essais qu

il fit, ilmontra par son adresse dans la

d issection , qu’

on devaitattendre d e lui un'

d es anatomistes les plushabiles. Williaml’in struisit dans son art le fit recevoir à l

’univer

sité d’

Oxford, le plaça successivement dans plusieurs hôpitaux

pour étud ier la chirurgie-

pratique sous les plus grands maîtres , etl’

associa enfin à tous ses travaux , soit pour le remplacer dans ses

leçons lorsque des occupation s imprévuee l’

empêchaimt de les dohner lui—même soi t pour d iriger ses élèves dans les d issections ,soitpour achever et compléter des belles suites de préparations

anatomiques qui donnaient tant de réputation à ses'

cours . J0hhHunter étud ia ainsi l

anatomie avec son frère pendant d ix ans avec

une ardeur et une persévérance presque sans exemple. Il ne tarda

pas à lui être infinimentutile . Ilcontribua à ses découvertes sur les

vaisseaux lymphatiques et sur l’

utérus .

Bientôt il en fit seulde fortimportantes , et ce fut alors q ue , pour se perfectionner dans la

physiolog ie'

il commenç a à se livrer à l’étude de l’anatomie comparée non dansla vue de faire d es d issections isolées d

animauxparticuliers ,mais pour approfondir laman ière dont s

exécutent les

plushportaü es fonctions d e la v ie,par la comparaiœ rt’dès or

ganes infin iment variés qui en son t les instrumens dans les différentes classes d

'

animaux, et arriver par— là à la connaissance d e

principes généraux sur leur jeu et leur usage dans l‘homme. Cottë

étude eut pour lui tant d'

attraits , que dès— lors elle d evint , et a

toujours été son occupation fa”

vorite. Il s’

y livra avec passion et

commença cette admirable collection au perfectionnement d e la

quelle il con sacra des travaux infinis‘

et des sommes immenseg. Revenons à l

’histoire d e savie . Les travaux de tout genre aq uels ilse livra chez son frère lui ayant‘

occasioné une malad ie inflammat

252 HUNtoire dont les suites donnèrent des craintes pour sapoitrine, on

lui conseille de voyager dans un pays chaud cela le détermina àaccepter une place d e chirurgien dans Ilpartit en cette

qualité au printemps ,

de 176 1 pour l’

a“taque de Belle- Isle , où ilséjourna pendant quelque temps , etpassa de là en Portugal. De

retour à Londres en 1763 , il enseigna l’anatômie et la chirurgie ,

et se livra avec «ardeur à l’

exercice d e cet art , dans lequel il reçut

successivement tous les honneurs d ont cette carrière est susceptible . En 17 67 il fut reçu membre de la Société royale de Loud res . Il fonda a lamême époque un e société particulière pour l

a

vancement de l‘art de guérir. En 1768 , il fut agrégé au corps des

chirurg iens de Londres, etéluchirurgien de l’hôpital Saint—George .

En 1 7 76, il futnommé chirurgien extraordinaire du roi . En 178 1 ,ilfut agrégé à la Société royale d es sciences et belles— lettres de

Gottemhourg ; en 1783 , à la Société royale de médecine et à l’

A g

cadémie royale de chirurgie de Paris ; en 1786 il fut élu chirurgien‘

général de l’

armée ; en 1 790, chirurgien général et inspecteur deshôpitaux , etc.

En 1783 ,Hunter sentit le‘

s premières atteintes d’une angine de

poitrine . La fréquence des accès alla toujours en augmentant ; il

mourut sub itement le 16 octobre 1793.

Personne , d it Odier , n’

amieux été jugé que Hunter par le cê-Àlèbre Lavater. Cethomme pense par lui—même d it— il en voyant

son portrait. 11Hunter 11 bien justifié ce jugement:il n’

a traité eu— f

cun sujet de physiologie de médecine ou de chirurgie dans

lequel il n’

aitmis d e l'originalité. En le lisant, on est entraînémal,

g ré soi à se méfier des opin ions qu’

on avait jusqu’

alors conçues .

On se sent, pour ainsi d ire , tran sporté dans un monde nouveau

donton n’

avait pas d’idée

,et c

est surtout en donnant a penser

qu’ila rendu de grands serv ices à l

art qu’

il exerçait Mais il est à

regretter que sa prem1ere éducation ait été si peu soignée. C’

est

principalemcnt a cette circonstance qu’

on doit attribuer l’

incon sc

tion , la négligence et l’

obscurité de son style. Dans tous ses ou

vrages, et particulièrement dans son traité : Sur le sang et l'

in

flwnmation , on voit qu’

il ignorait— jusqu

aux premiers principesdes langues , de la grammaire et de l

art d'

écrire °

,

qu unemultituded e grandes et belles idées y sont étouffées dans un chaos ind igested e con ç eptious disparates , de phrases incomplètes d e tournures

connu es et demots nouveaux, ou. entendus dans un sens très d iffêtentdeleuracception ordinaire ; que d

autres y sontprésentées

254

of the same species. Philos. Trans.

Observations on the structure and

econom_y of whales. Philos . Trans.

306 . 1 7 87 .

Supplementarr letter on the idenfi

tt d“d umsi“ Of "sa Dog.Wolf.

and Jachal. Philos. Trans. 562, 1 7 89.

Observations‘

on bæs. Philos. Trans.Abridg. XVII , 155, 1 792 .

Observations on thef ossil bonespresen ted to the royal society , b_yhis seronshighness the Margrave of A nspachetc. Philos. Trans. 440, 1 794 .

His opin ion of the nature of puen

peralf ever. Med . com. III 3 22 , 1 7 7 5.

Observations on the irg‘1amma ‘

tion

of the internal coat: of the wcins.Trans.med . and chir. 1 793.

An account of the dùsectü n qf a

HUNTER (Wa n na), agrégé au collège royal desmédecins deLondres médeci n extraord inaire d e la reine d

Angleterre médecin consultant de l

’hôpitald es femmes en couches, professeur d

a

natomie d e l’Académie royale des arts ,membre de la Société

royale de Londres èt de celle des antiquaires , présid ent de la So

ciété de médecine de Londres , associé étranger de l‘

Académieroyale des sciénces et de la Société royale de médecine de Parisnaq uitle 23 mai . 1 7 18 à K ilbridk , dans le comté d e Lanark. Son

père , possesseur d‘une terre de médi ocre importance avait dix:

enfan s , auxquels il donna l’

éducation la plus soignée . GuillaumeHunter était un d es plus jeunes il futmis à quatorze ans au col

lége d e Glascow , où il passa cin q années. Son père le destinait à

l’

état ecclésiastique , celui d e tous les états qui promettait lçs suc

cès les plus prompts et les plus assurés,mais l’esprit libre et indé

pendan t deHunter s’

accommodait peu du joug d e la foi et d esobscurités de la théologie . Un heureuxhasard l’ayant amené aHa.

n ikon , près d e Gallen qui pratiquait alors dans cetteville celui .

ci le détermin e pour l’

étud e d e la médecin e , et le reçut chez lui ,où ilpassa trois années En 1 7 40 ,

il se rend it a Ed imbourg , où il

s’

attachaparticuherement auxleçons du célèbre Monro. Il vint à

man who d ied of the suppression ofa riaeprbduced by a collection çf by datids between the neck ofi fie blad der

and reotnm, withobserva tions ou the

med . and chir. 34.Observation:on intersusœption ” itñ

an appendix by M. Home. Ib. 103 ,

1793 .A case of para{ysis of the muscles

«y deglutition cured by an artificialmode of convçy ing Foodsandmedicineinto the stomach. Ib. 18 a.

Experiment: and observations on

theg rowthof bancs. lb. II, 2 7 7 , 1 800.

(Odier N otice biographique sur 1.

Hunter( Bi bl. britann.) Rem .

Rob .Watt. )

'

sJ HUN

Londres l’

année suivante , et trouva en Douglas ,—

'

anatomiste etaccoucheur d istingué , un protecteur etun guide , mais dont lamortle prive bientôt. Hunter ne tarda pas à se faire connaitre d

une

man ière avantageuse par d es travaux anatomiques «

que la Société

royale de Londres accueillit avec faveur. Samuel Sharp le choisit

,en 1 7 46 pour son successeur, en lui cédan t son amphithéâtre.

Hunter fit avec le plus grand éclat ses premiers cours d'

anatomie.Après avoir été agrégé au collège des chirurgiens de L

ondres,en

1 747 ilfitunvoyage enHollande et en France. L’

année suivante

il fut reçu un des chirurg iens de l’hôpital de M idd lesex, et, en

1 7 49, un de ceux de l'hôpital d es femmes en couches. Richard

Mann ingham et le docteur San dys accoucheurs très-répandus,cessèrent vers cette époque de pratiquer leur art. L

illustre Smellie plaisaitpeu dans lemonde à cause de l

austéritéde sesmœurs dde lamdesse de sesmanières.Hunter se trouva occuper le premierrang dans la branche laplus lucrati ve de l

artde guérir. En rqño , fl

voulutprendre le titre d e d octeur en méd ecine. Ca fut à l’

Un iver

sité de Glascow ,où Cullen était alors professeur, queHunter alla

prendre'

ce titre. De retour'

à Londres , il succéda au d octeur

Bayard dans la place d‘

un d es méd ecins d e l’hôpital des femmesen couches, où il avait rempli pendant plusieurs années les fonc

tion s d e chirurgien . Ce fut vers cette époque que la Société de

médecine d e Londresle reçutparmi sesmembres Hmter_enricb it

lesmémoires de cette société d e travaux fort imporæns ou d’

ob

servations neuves. Nous cit0rous celles sur l’

anévrisme variqumla rétroversion de l

utérus , l’

anasarque l"emphysème laherniedans la tunique vaginale , etc. La célébrité dont Hunter joui ssaitlui ayantprocuré rapidement une grand e fortune , il la fit servir àformer un établissement scientifique , d

'

une importance supérieure

à ce qu’on peut attendre d

un particulier. Ilachetaun vaste terrain,

où il éleva à grands frais unmonument qu’

il consacra à l'

anatomi eet à l

’histoire naturelle. Il rassemlfla de‘

toutes, parts on fit prepa

rer les pièces nécessaires pour former un superbe cab inet; un bel

amphithéâtre , construit dans le même éd ifice , d ut servir au le

çon s d ont il ressemblait ainsi tous les objets autour d e lui . Il rés olut qu

'

après samort ce ‘

cab in et resterait pendant trente ans à

Londres,d

où il serait tran sporté à l’Université de Glascow. Le

temps_

et l’

activité deHunter ne se consumaientpoint tout entiersdans l

enseignement, ilpublia plusieurs ouvrages un recueil de

mémoires sur divers sujets dont la plupart offrentune grande im

RUN

rent constitutions of the blood ; withdissertations on putrid pestilrn tial

sported j e ç ers. on the sma llpuæ and

on prnpùeumànœs. Londres , 1 7 39

1 750, 1757 , 1764, i n-8 . 5th. ed it.

1 767 . 1 769, ln—8.

Dinm«:ün on the maligna : ul:

eerhus sera that. Londres , 1 750 ,

ia “2574 iuI8o

Mcnicol and chemical observationson antimonr. Lond. 1 756, 111—8Partiam genrtaiium in midierc,

strnatum præter naturalis. Philos.Trans. Abr. VI , 671 1 72 3 .

A large omentum; sah‘ra of an

unusual colour. Ib. VII , 19 , 1 7 24.

Account of the anomalous ep:dem_ic

aflpot , whichbegana t Ply‘m'

outhA ugust 17 24 and continued to June

1 72 5 . lb. 100 , 17 25.

Account 0] an aumrà'

Boreaiü . lb.

Case of stone in the urethra ; case

of s'

pina bifida . Ib. 385 1 7 30 .

Of remarhab_

le d iseases of the co

lon . lb. 5 18 , 1 7 32.

Of an extraordinarrhernia ingainalis. Ib. VIlI , 1 7À0 .

0] au extraord inaqy wenerealcase.

lb. 480 , 1 74 1 .

Case «y a «com , one of whenun ter:was grown tsp

° beatfl ifiri sta_

o

Iactrtcs , and a re:na rha ble calcul”:

taken f roma bcy . lb. 1 744.

0] 41 chld born witha tumeuraed fthe. aæù: withrudiments ÿ au mbr

_yo. in it. Ib. 5 1 11 , 1 7 48.

On the Northern lights. lb. X.

1 750 .

0] a body withhad la1nma vanlt

about 80 y ears , without being muchchanged . Ib. ana.

Med icaland chemicd l observationsen A nt1mony . Ib. 554.

mouth. Ib . 560.

Of a man who twa”m d Halallead . Ib. 6 76 , 8 755.

On the extraord inæj heat of tb

weather in July 17 57 , and its ejfeets.Philos. Trans. Abr. XI

,204, 1 758.

On two remarhac cases in surg ery

lb . Abr. XI, 62 3, 1 76 9 .

On cmphy sem tous cases, from in

ternal cames. Med . abs. and . ing. III,

Opera phy sico—mcds‘

ca edenæ geo.

Chr. Reich“. Leipz îck, 1 7 6 4 , vol.,

ill-8 . Editio nova , mlumine œrtio ohservationumde aero aucta. Leipzig

Of pob°pi taken eut of theheart of 17 7 3, ia—8, vol.

sex ue l sailors j ust arrived from theWest India Ib. 580.

(Rob . Watt.)

…ERT DEŒ NNES, pre—ier chirurgien du…ducdechirurgien—mejor de la cavalerie française et

ofi ici« da_

santé supérieur des armées , etmembre du desanté près le ministre de laguerre est plus connu par les titre!

prétentieux et par l’emphaœ du style de ses ouvrages quepar l

int

portance ou l‘

originalité de leurcontenu.

!'raü lde l

'hy dœ eälc:can radicale du gouvernement. Daria, 1797 ,Mol .

de u ne maladie etm ‘

uœenr pla n ris de la ehùarp‘

e en [mea

sieurs autres qui atta’n nt les partick ce phénomène: du règne an im“J e la a £rntwn de l

'homme . Paris , g uéris par des opéraæ’

ent anan ü s,

1 785, in 8 . Nous éd it. Paris, 1 79 1 sur la fin du d ir—huitü M silele.4

ia—8 . La méthode de traitement Publié par ordre du gouv

qn’

1mbert Dclcnnes prescrit pour Paris . an VII , ils-4,pl et lal’bydrocèle est l

’incision combinée avec portraitde l‘

auteur.

Nouvelles considJratiæ s surle tau

Opération de «monts faite le 117 têre actuel. Avignon et Paris Cta

fmcü dor an à Charles de Lacroix ia—8.

etc. Ouvrage publié par ordre

INGRAM (Dana), chirurgien et accouchtmr dumilieu du du »

n ier siècle . pratiqua d‘abord à Read ing , dans le Bersbire , ensuite

à la Barbad e , où il séjourna long—temps e t enfin à Londres. Il

écrivit sur la goutte qu’il faitconsister dans un épaiœisœmeü de

lamatière oléagineusé fournie par les glan des d‘Havers et contre,

laquelle ilrecommande l‘exercice , les bains , et les eautêres , appii

qués particulièrement sur les gastrocnémiens . Ilpublia des abstr

vations d iverses de chirurgie parmi lesquelles on remarque cd i“relatives à d iverses espèces d

‘hydrocä e. Il a traduit en anglais

l‘Abrigé d‘anatomie, deVerd ier.

Essay s on the came and seat d‘

y oung a rguant , bat alcofi r that.d e g out. London , 1 763 ia—8 . mrion of suchas are fa ther ado“ .

Practical cases and observations in ccd . Londres, 175t, ita—8.

sut withramer£s highly proper d uhisteric«:laccountof themoral

” su b—for d“ improvement of all flan cs that have a…ia the

1 60 ING

world since they ear withan ain; the loss of muscular action in theinquiry into the present prevailing lower limbs to whi chis pre/i n d an

opinion that theplagne 1: a eai1tag ious ersar painting out the progressive

d isternper capable of being transpor symptoms and eff ects, a nd the reasonsted inmarchand isefl ora one contty to why the gout was not heretofiweanother; account of its ressembla nce gularlr treated and cured . Londres ,

to the y ellow f ever etc. Londres 1 76 7 , in-8.

1 758, in—8. A n inquiry into the orig in aud actnre

The goutez tmord1natr cases in the qf magnesia alba and the propertieshead stomachand extremities with qf epsomwaters d emonstrating thatphy sical and chirurg icalremarhs and M agnesia made withthose waters e.:abservatrons on the v ariant stages d

'

ecad s all others. Londres, 1 7 68 , in-8the disorder, the rheurnatisrn the d i The blaw;or,an inquiry into Clanhe

'

t

state commonly called sauna, the na d eathetc. Londres 1 769, in-8 .

tune and j armattan of externalan in A strict and impartialinquiry in to" mal chalhstones and oonsidem the cause qf the d eathqf the late Wiltians proving the gout the immed eate liam‘

Smwen esg . etc. to whichisparent of Iannd ice , dmpsy , and add ed an acm n t a]accidentalpuistone. Withan accurate account of sans to whichfamilies are exposed ;JM J . d iff erence betwen obstruction: il! withtheir antidotes. Londres , 17 7 7,

the ahidney s or ureters , and the paro.rysms in the back and loins accasia (Heller. — R0b.Watt.)

INGRASSIA (Jesu-Pu1u rrz), anatomiste etmédecin célèbre du

seizième siècle , naqu it à Rachalbuto près d e Palerme . Il fit ses

études à Padoue et y reçut le bonnet d octoral en 1537 . La répu

tation d e science qu’

il eut b ientôt acquise le fitappeler à Naples

pour y occuper les chaires de médecine théorique et pratique e t

d’

anatomie. L’

éclat de son enseignement fit alfluer de toutes parts‘

un immense concours d’

élèves. Ils élevèrent une”

statue à leur

maître , avec une inscription qui le proclamait le restaurateur de lavraie médecine et d e l

anatomie. Vers 1560 , l’

amour deson payslui fitquitter la ville où il avait acquis tant de gloire pour retour

ner à Palerme . En 1563 , Philippe II , roi d’

Espagne , le n omma

protomédecin d e la Sicile et d es iles adjacentes . Ingrassia s’

ac

q uitta avec beaucoupde zèle et d e talent d es fonctions attribuées a

cette place ; il fit les réformes les plus utiles à l’

organ isation de la

méd ecine dans ces contrées. Lapeste s’

étant déclarée à Palerme“

en

1575, lngrassia , chargé de la d irection des secours et des régle

mens san itaires , rend it les services les plus signalés, et d onna des

preuves simultipliées de sonhab ileté dans l’

art de guérir, que la

voixpublique lui conférale nomd’Hippocrate sicilien . Le sénat de

164 ISl‘

.

ca, etc. interpræatia cum ind icibus Kranbbeiæn und Zufællc. Erlaug1 784 ia-8.

qua naviter inventa aut nano . n otius D iss. de g inglrmo. Erlang, 1 7 85,

cognita sunt add id itet ilttfl j €6ü . VDI.

1. A . M . Leipzig, 1 7 7 7 . Vol. 2.

N — 2. lb. 1 7 7 7 .

Farben —Donat, odererleiclcterteAa

j ang sgn‘

inde der lateinisclæn e,

sumGebrauclzfiirK indermomf ünftenbis zumacbten Jahr. Erlang , 1 7 78

Ven ue/t einiger‘

praktischenAnmefiRangen ü ber die Muskeln zurErlaü

rungw rschiedenerv erborgenerKranbbeiten und Z ufa lle. Erlang , 1 7 78 , gnosis.

Ed aug, 1 787 , in—4 .

D iss. g ie tin is animalis camange

Erhng, 1 7 78 iu—4 .

D is . de ling ua squafid4 . Erlang,

1 7 79 ia—4 .

Reduction: entamalag iq aes, par feuM. Bœsel traduit de l

'allemand . Nu

remberg 1 7 79, fol.

D iss. de cuatis prædùponentibw .

b lpng, 1 780, in 4 . nasali . Resp.

Ferme/1 einigerprahiscl1en J umenbungen über dieKnœ ben, zurBrla ute

rang versebü dcner Kraq eiæn und

Z tJælle, Erlang, 1 7 82 , in 8 .

resp. A ug .—Job. Christoph. c elin .

Ethug, 1 7811 in-4 .

Versacheinigerpraktischen Anmerbungen ü berd ie E iw ià sur .En

læutemng wcrschiedener "verborg enen

ISENFLAMM Haua1—Fafinä nm né à Erlaug , le no juin 1 7 7 1 ,

fit ses émdes‘à l’Université de cette v ille et y fut reçu docteur en

médecine l’an 1791 . En 1795 , on le nomma professeur extraord inaire demédecine et prosccæur d u thébtre anatomique , l

année

suivante. En 1803 , il futappelé à occuper à l‘

Université de Dorpnt

les chaires d ‘

anatomie et de physiologie , etdemédecine légale. En

D iss.de similisadinewùcemm. Resp.

Jah. Christoph. Le d . Car, Sohual. Emlaug , 1785, iu-4 .

D iss. de extremitatum analog ie .

Resp. Jah. P et.Falgw rolles. Erlaug1 7 85, in—4.

D iss. de eoncrementù polypœü .

resp. Frid. A d . Triec . Eriang1 78 7 , ia-4.

Jah. Matt/ue Vetter. Erlaug , 1 787 ,

ia—4 .

GratulatiaHem. Fred . D elia,pra:

sid is acad . natur. curias. munnsnomine cultorum. Erlang , 1 789 ,

ia—4 .

Diss. de d eglutitionis mechan ismo .

Resp. Christi . Frid . Wente. Erlang, ‘

1 790 , iu-4 .

D iss. de phthisi .

1 790.

D iss. de nisu resp. Willi . Henr.Ludov. Rama . & lang

, 1 790.

Diss. de w uani q[fectu. Ethng1 790 .

D issertationes ed ita a D . Jah.Christ. Fred . Isenflamm. (filid) t. 1

Erlang. 1 739, in—4 .

(llamberger. Meusel L a iÆan.)

JACKSON (Ronan ), médecin de Stockton , dans le comté deDurham, fut long

— temps employé dans les armées d‘

Angleterre , ets'est placé, par ses ouvrages au premier rang des médecins de

cette nation qui nous ont lemieux fait connaitre lesmalad ies anxquelles les Eurofi ens sont sujets dans lespays chauds. Il est encoredu nombre de ceux q ui ont le mieux étud ié l

action des allusionsfroides dans le traitement des maladies fébriles.

A tn atise on thefm rs of Jamaicawithsome observations on the inter

mittent fevers of America ; and an

appene r conta ining some hints on

the means of preserving the healthofsold iers in hot climates . Londres

1 79 1 in-8 .

The outli ne a} thehistory and cure

of lovers epidemic and contag ious

more especially of sails , ships , andhospirals , etc. , td the y ellowf ever.W

ithobservations on military d isci

pline und economy ,and a scheme of

med ical arrang ement [or amies.Ed imbourg, 17 98 , in 4 .

Remar£s onthe constitution of themed ical departement

qf the bristisharmy :witha detail a] hospital management and an appeud iæ, attempting to exp

'

ain the action of causes

in producing f ever, and the operation

of remedres in elfecting a cure . Lou

dres, 180 3, iu-8.

A letter to the ed itor of the Ed imbtt 'ghReview. Londres 1804 , ia-8.

A sy stematicmiew of the d iscipline,formation and economy of an army .

1804 , iu—4.

A sy steme of arrangement and discipline forthemedical departeInent ofarmies . Londres , 1805, in-8.

A n exposition of the practice odf using cold water on the surface ofthe body f or the cure of _]ever: to

whichare added remarks on the tff eets of cold drik and of gestationin then open air, in certain cond i

tions of disease . Edimbourg 1 808

Letter to M. K eate, surgeon—generai

of the army . Londres, 1 808, ins-8.

Letter to the '

eommissionn ers aj militnry inqu iry ,

expla ining the true con.

stitntron of medical staff the bestformof med icaleconomy /orhospitalswitha refutation of errors and misrepresentations contained in a letter

Dr. Bancroft, A rmy physicien . Lon

dres , 1 808, in—8 .

Second letter to the wmmùsiannnenof military inquiry ; conta in ing a re

futation of some statement:made b; Il.K eate . Londres , 1808, it!-8 .

Letter to sir David Dundas

mander in o chief of the fi rces.

Londres, t809, ia—8.

JAC 067Sketchof the history and cure of Observations on the connection of

fi briIe d isease, more particularly as thenew and {allmoon withthe inertithe

_y appearmthe west Indres among s ion and " lapse of f evers . In Londonthe sold iers of the braichamy . 8 7 . med .hum. t. VIII.

Shetchof the history and care of On the supposed influence of thecontag ious fevers. Londres 8sg moon inf evers. la Londonmed . learn.

in —8 . t. VI lI .

Observations on the treatment of (Km s . Bob .Watt.)gun

-shot wounds. In London med .

learn . t. a , p. 363 .

JACKSON (Szouxn—Hmar ), docteur en médecine de l’Université d

Éd imbourg , médecin du dispensaire général de Weshnln $Steret de l

infirmerie de Saint—Georges, Lond res ,membre de laSociete royale d

’Éd imbb urg .

Diss. de phy siologica etpatholog ica bear and delivery , the confi nement«ydentiumemptionmÉdimbourg,

7 7 8, Child —Bed ; and some comtitntionnldiia 8. seases includ ing d irections to midwiA treatise on sympathy , in two ves and nurses ; withobserva tions on

parts Of wnpathy in general Il. the ma nag ement of nav-born iq{ants.…fi lo sympathy . Londres , 1 7 8 3 , Londres, 1 798, in-8.

Observations on the epidemia di

N mto—

pnthoÏog ia or, practical sense ëhichlatel; prevailed at Oi

observationsfromsome new thont s on braItar intend ed to illnstu to thethe influence at the perspirable fl uid nature of contagü nsf ever: ing enu

‘d

the production of animalheat, and part I Londres, ñu-8 .

” marks on the late theories of senrvy A sing eIar njfection of t«piæ tien,

withthe particular method of recom withappearances on d issection . Med .

mend ing the oahbani as a new ma comment. t. V! 208 , 1918.

rine an tu corbntic and as a probable The case of a patient ouh“. slo

antiseptic in some otherputrescen t d i mach on d i ssection was f ound to

sorders. Londres, 1 792 , ñu-8. contain two piste! ballets. la med.fi ctions to women respecting the comment. t. IV .

state oq naw , theprogress of la ( Rena . Rob.Watt.)

JACOBS (Jesn - Ë sattsan), professeur et assesseur du collège demédecine de Gand , chirurg ien juré et pensionnaire de lamêmeville associé au collège desmédecins de Bruxelles , etc.

Tenchu : politico —med icus de dis Jacobs. Nouv. e'

d it. traduit du lulu

“samia in genere. Rotterdam 1 78 corrigé et refondu totalement par188 Traité d e la dyn en l

auteur. Bruxelles et Paris, “co,

“rie en gdnlral contenant une nw ill—8. 0M l‘h‘° À PW

N M curative , in…par sion de la dyu enterle qui rbgmpsn

1 7 1

enen und Z uu æfl fl pæt£ tæ J r:

::q oder mlt1‘

se‘e materiamed ia M n , 1797-1800 , ia—8,

vol. Vern and v erbe“. An} . 180 7

ia-8, vol. 3'Aasgn, 18 14 . 4 durch

p s. ne l wermehr. w a D . J .H. Er

hanl, 18 18

I q tmg m Befi ehtig«ng «ier Urtheile über Jas Bm snù ehe Sy stem‘von einen pmhtisehen J rzte . lêna

1 799, iu—8 .

Ueber Jen Keichhusæn ein 8 9%

m & mgn phie desæü en. Ru

JAN

«nl l rkhrn ÿ n “M it“. Arn

uadu t Budd 180 3,M Nom

1 808, ia-8 . 3° A uflage, 1 8 19, ia-8 .

Beoôaehtung en üherd ie ehronisehenKranhheiten ete. Erfurt, 18 1 ia—8 .

KIin iü det chmnü chen KranÆheiten.

Erhard . Erfurt 18 1 7-182 1

6 vol.

John inséré en outre un a“

grand uomln e d‘

articles dans les ionnanx de 8ü rk, de M ega , d fl nfi

dol-mit, 1805, ia-8.

Neue: .ÿ ste1n der K inderkranhheiten nachBrownischen Gmnd sætzen

(Elv a l— Mmœl.)

JAMES (Romer),médecin anglais, fort célèbre , non pouravoirécrit un vaste d ictionnaire deméd ecine pratique fort supérieur à

toutes les compilations analogues qu i l‘

avaient précédé mais pouravo ir déb ité , a titre d

anti fébrile dont il se réservait le secret

une poudre antimon iale , d ont l‘

exacte composition n’

est pas en

core b ien connue. James était né à K inversæn , dans le comté d eStratford , en 1703 . Licencié en médecine à l‘Université d ‘

Oxford

ilpratiqua successivement son art'

a Kefiield Licb tfield Birmin

gbamet Londres. Le 25 juin 1 7 55 , il se fit recevoir docteur en

médecine à Cambridge. Ilmourut le 23 mars 17 76 .

Method . of pm enting and cnring

th! Madness caused by the ô1te qfneed dog . Londres , 1 7 35 , 1 74 1

1 760, i1> 8 .

A med icinal dictionary includ ing

pkn ic. , surgery , anatomy chenv stry ,M any , ete Lond res . 3 vol.

fol. Traduit en français, parDide

ro t, Bidou: et Toussaint, et revu par

Basson . Paris , 1 716—48 , ia-iol. 6

vol.

Treatise on tobacco ten coff eeand chocolate. Lond res 1 745.

dog s withmen —my . Phi los. Trou .

1 7 36 , Abridg . T. VIII .

4 short. matin of the d isorders ofchildren .Londres, 17 80, ia — 8.

“»o W“ )

ved Bœ rhaaw and fl offm . Lon

dres, 1 7 46, 2 vol. ia— 8.

011 the presag es of [:le and deu ]:

in d iseases. Londres, 1 746 , ia—8.

A dissertation upon/‘

u n : a d

v indùation tj thefi wrpoud er. 1 7 78,iu—8. Post/1.

276 J

Réflexions surle triste sortdesper

qui sous . une apparence de

morton tété enterrées v ivantes oupré

cis d’

un mémoire sur les causes de

la mort subite et violente , dans lequelon prouve que ceux qui en sont v icti

mes peuvent [tre rappelés la v ie.

Pn is, 1 7 72 , i tt—8.

L'

anü —mfl idque ou moy en de

t ruir0'la M ai sonspen ieienses et

mortellesdesf osses l aisances,l’

od eur

inf ecte des égouts celle deshôpitauxd es prisons des vaisseaux de guerre,

etc. Imprimépar ordre du gouverne

ment. Paris, 1 78 1 et 1 7 83 , ia—8 .

Détails de ce qui i'

e:t passé dans

les expériences faites par M. Jan in ,

les 18 eb u3 mars , en présence des

m_n le des reim s et de la société

roy ale demédecine (eo… l'

anti

meph1'

tism) . Paris, 1 78 3 , in—8.

D issertations et lettres sur leMp“ti1me et l‘anti—mcphitüme adressées À

M . Cadet. Paris, 1 7 84, ia-8.

Réponse à i l. O'Rm , sur le ura

gnt‘tisme animal. Genève et Lyon ,

1 7 84 in-4.

La“ritémise en évidence. Paris et

Lyon 1 785, in—1

Nous ne citerons pas en détail les

pièces nombreuses ,mais oubliées , de

la polémique soutenue par Janin contre Guérin Hsllé.(J.

—P. Pointe , Eloge de Jean Janin .

Qumrd.)

JANKE (Jou rs né Bautzen le 16 novembre1 724 fit ses études à Gorlitz et à Leipzig fut nommé prosecteurdans la dernière d e ces Universités en 1750, bachelier en médecinelamêmeannée ilfutdocteur etmaîtrerégenten 1751 LorsqueGü nzfut appelé de Leipzig à Dresde , en 1753 pour y être médecin d u

grand— duc aube fut désignépour être son substitut dans

la chaired'

anatomie. A lamort du titulaire il fut nomméprofesseur extraord inaire ; il fut professeur ord inaire en 1762 , etmourut le au

janvier d e l’

année suivante.

Cornmentatio de forcipeet fôrfice,j erramentis B ing io, Hafn imsi chirurg o, inventis eorumquc usu in porta

d ifliciIi. Le ipzig, 1 750, in-4, avec fig.

D ia l et De ossi6us mandiba

lammpuemrumseptcnnium.Leipzig

1 75 1, ia—4 .

tmn icas exhibent. Leipzig, 1 753, ia-4.

Prolmio I , qua obscrvationa qua

damanatomica de cavcra1s quibus

dam, que: ossihm capitis humanieon£inentnr ; prop. sect. anatom. ca

dai«er.mirilù præmiss . Leipsig, 1 753,ia-l,.

Jah. Jac. Briihier‘s Abhanfl ungv on dcr Ungawüh«æit d er I mm i

chen desTodes, und den:Missbrauch,

Einhalsamimng en v orgebet ; aus demFranz . ü bersetzt und mit A nmerhung et! und Zmattzse tvermehrt heraus«

g egebm.Leipzig etCopenhague, 1 754ia—4 .

hamani angustiam ù primis cuta

neas, ostendenä . Leipzig, 1 762 , ia

D iss. de fimmin ibus cale—aria! eurumqne 11m. Leipzig, 1 762, in

— 4 .

Ü“… M alm Mental. )

aux

liberté en 16 19 mais iln‘en jouitpas long—temps. Quand laBohêmefut subjugtléô , Jmtnius tombé entre lesmàin s d es Autrichiens ,iut décapité en 161 1 . Quoique les ouvrages d eme médecin reu

forment peu de choses originales ils ne sont pas sansmérite ; ilssont écrits avec clarté concision et jugement.

J ueæmiæ , Pragæ, «uno M . D. C.

e t se solen ni£er admin istratæ historia . Acceu il:ej usdemde ossiôus (meta

lus. W ittemberg 160 1 in-8 .

lu tinsfloues cü mrg icæ, quih:s univsn a manumedend i ratio —

osændü æ

Wittmherg , '

1601 ia-Ü.

Z om :amWittemberg , 1 593 .

A dvenm pcstcm consih‘um Caind e mùhridatio eriaca

disputationo.His anncxi Jam‘

Ma skæi

Dumstantis de aceto sc1‘

lä no atque

oIoê med icamends wakmd ini tuen

Ja , v ita! pmrogandæ singularibas‘

humm: duo.N ec non Nicolat‘

Casti£

HOOIIw utilissimmdemed icamenti: le»

n ientiôus , et purgunfibas. Giessen

1614, in-1

2HMEIQ TIKRN, seu novamcognos

eendi monbosmethodnm, ad armb«e0l€upivaeeianæ norman: ab Æmiüo0ampolongo , professore Palavino ex

pre:mmguamprimumreste d iscehtium

JOEL (Fnsuçors), né le 1‘

septembre 1508 à Scamar,dans la

basseHongrie , fit ses études dan s les Un iversités d’

Olmutz et deVienne ,

et à Neustadt sous la d irection particulière d’

un mèdecin En 1538 , il se rend it aLeipzig ,puis àWittemberg et à Berlin .

Il était fixé dans cette ville quand le prince Albert l’

appelerà Gua

trowpour être plmmaoien de sa 00111 En 1549. Joelalla se fixer à

Greifswald pour y exercer Par1 de guérir. Nommé , au bout dequ…u n médecin ponsiohné de — lâ ville, «i l alla prendâe

la li

cence Élu professeur—de

‘médeni6e à°

Greîfavvald en

medentiumamipai ümrit. Wittenbcrg, 160 1, ia

—8 .

Andn æVerd i! anatomie-am”:G&brielz

s FalIopii observationumexamonin public…» red uæit.Hannover, 609et 16 10, ia-8.

D e sang uine mana secta ,_d imi:so

j ud e‘

cium. P ragne 16 18 ln — 4. Franc

fort , 16 18 ñu-t N otis ad v era artis

med icæ prine ipiæ'

accommodatumJacob. Pancratio £ runona. Nuremb erg , 1068 ln-12 .

D e gerzercttionis etmit_

æh_

amd ad

pcri0d is tractatus duo. CumGaleottiMarti! d ehoiniæe , in -8

Historien relatio de mstico bohemocultri tmmci.Bomb. apad Froômiam16 28 , in -8 .

'Hdmô. apud froôen ium,

'

î n —8 . E z tat etiamcumDuncanLidä eIii artemed ica, et ej usdemtrac

tamde aureo doute paeri siIesii, contraHorstiwn .Hambourg , 1655 in-8 .

(Stollo. Joecher. Lindenius

renovatus. Haller.)

J 188

Ë i/d nnJ‘

s der mm., 11.

?a zeiehni a«ier Pa to M J code 1 797 , 36 1 —6 5.

in Eæfimen, H. 10, sot-ao,H. Scheintode in John Am y wü n n

ra, 3 . 3 99—301 . echf tl. Anfl ætscn. 1m8 , art. 18.

Die fig.-{ier Tapiü3, ci d. 793, Bertmge sur Liucw nrge.æM n

3‘ 7°q .

lXackriufi:W der Zaki dor. Cnr Mayer nndllems. Sanaa”. phy sical.Aufi a tn TM 5, S . 4 15.

Jahre 1 796 , and mon einer neuen mi (Med . chir. Z eitung .

nm lischen Trinfiqnclle daselbst in Callisen.)

JOHNSON (koen r-Wa ntca) disciple deWilliamHunter, etmédecin Breptfurd ,. fitconnaitre les principes de son maître sur

toutes lesparties de l’

art des accouchemens Il considère l‘accouchementpar la face comme ne s

éloiguantpe int de l’

accouchementnaturél ; dans tous les cas d

'

étroitesse du bassin hors celui où ily a

grossesse extra-utérine , ilpréfère lemorcd lement du fœtus l'

opé

ration césarienne . Ilfaitconnaître un fœ:oeps de son invention , 1

giné surtout dans le butde s’

accommuôera1’

axe d u bassin . Une 11.

ne. 313 bellesplanches représenten t le bassin , la situation de l‘utérus

dansl’

étatde, { rom s et de a cuité, l‘

embryon à d ivers âges son

forceps , son brin — tête , 5911 tirb—tête , son pessaire , le catheter la

Pü œ à M ypes , oto., etc. Une partie considérable de l‘

ouvrage est… à .“ malad iesd es°femmes , et contientun certain nombre… :Œ ns particulières.

‘neiv g ate“ of I idmfœy in

{carparts f ounded Onma ihi oü«VMŒü :Q… t " Y‘9 1in-4 deuxième éditiofi o“

fiemW ëmu ofl.…ü. I ü 14b' «a i…to the M J

” l‘m e .to be

observed in order 10pmrae M iri

3W QNo‘u .Iu QHNË ÔN(Annn pnu ) médecingle_

Londres.né en 17 16,mort en u gg,,a écritpl,usielm0uuaSÇ $ sur100mon.…M mlmw { donner aux asphyxiés et aux

sick women in ChiÆ-Jed ete. Lou

cires, 1 793, ia-tû

,

Pour compléter la bibliograpde cet article . fM T—ifl ü l

'

ouvrage

«fi vant quoiqu‘

il soit étranger3Pub

jet de ce d ictionnaire.

Some remari e€pn rel13 iamopinim

and their efl“ects submitted 10 the eensideration of themost Iw ned 0114 nu

partial qfevery d mcminafion.

Éondrea, 1 798, ia—8.

(O:ü ndan Rouen Bob.Watt,}

186 JOH‘

A short amant of society “ Ans Rä of fi fl n… u l death, or

sterdam instituted in they ear 1 787 svn… im… . londres, 1 793,

for the recovery of drown«i persona ia-8 .

Londres, —1 7 7 3, in—8 . 011 theproduction and application

A collection of authentic cases of my raôolans, and their use its a

proving the pmeticabiü g of reccee :nM iæte {or .l leppo M . la trans

act. oÂthe soc. institut. at London [orsejfocation stifling , W ing the encouragement of arts, manufacecision and other accidents. Londres , turcs and comm e, ton . I II , 180a

1 7 7 3, in-8 .

JOHNSTONE (Jan us),i

né àA mand , en Ecosse , fit ses études

méd icales à Ed imbourg et y fut reçu docteur en 1 750. Ilpratiqua

l‘art d e guérir à fi nderl er , puis àWorcester , où ilmourut le1 8 avril 1801 .

D issertatio med i a‘

de u rü factitii On the use of the ganglions of theimpcfi o in corpore humano. Edim nerves. Philos. trans. ohridg .

\fl l

,u n,

bourg, 1 7 50, in 8. 1 764,

ul historical d issertation concer

n ing the M ÏÎW M 1y imperfæt brain to whichis snôj oi°f 756 i ned a supplement to the «sa; on thelignant diseases prevaü ing since the n e of phil“ . m ‘ a ,

1 752. inKü à mü sw —Lofi m. a&ridg ., 1111, 111—1, 1 7 70.

1 758, ia—8 .

Essay on the use of the gnngbons ofthe nerve-t. Schœmbmy. 7 7 i°°ao

appb‘

cetâont of camtics.Md .m_lL

A treatise on the 1nalignant« gino , “85.orpatrie! and ulcerous tore throat to

whichare added game nmaü s on8

the ang ine:ttad zcalis . Londres, 1 7 79,M I' “3' 1 7

i“°8 e

Some account of the Welton water

b”

11.h 11 hf eu» et ary 1111 t oug ts on t e

011 P‘ or‘on

g lands . Londres, 178 7 , ln—8 .

Med ical essay e and observations

withd isquisitions relating to the ner ‘7 9° ” 89°

vous sy stem 6; James JohnstonM. D . and an essa

_ron‘mineæ lpoi 0] 17 78. Meta.mod ., 11. 83 3

sons by John Johnstone , I . D . 1011

drm. 1 795, in-8. A catc of calcule through

1110

hommes qui se sont les plus d istingués en France dans l‘étude et

l‘exercice de l’

art du dentiste né àYaris le 28 novembre 1 7 34eStmort dans lamême ville , le 7 janvi er 18 16 . Jourdain ne s

'

était

point renfermé exclusivement dans l’

étude de l’

art qu’

il‘

professait;

il avait —

cultivé avec soin toutes les parties de lamü suine et il n’

ée

taitpas dépourvu d’

érud ition.

Nouveaux élémens d odontalg ü . Pa

me, 1 756, ia— 1a.

Traité des dépôts dans le sinus

maxilla ire , desf ractures et des cariesde l

'

une et de l‘

autremâchoire ; suivi

de réflexions et d'

observations sur

toutes les opérations de l'

art du den

tiste. Paris, 1 760, iu-12 .

E ssa i sur la formation des dentscomparée avec celle des os suivi de

plusieurs expériences tant sur les os

que sur les parties qui entrent dans

leur constitution . Paris, 1 766, ia— 1a.

Le médecin des dames , ou l’

art de

les conserveren santé. Paris, 1 7 7 1 , in

1 2 . (AvecGoulin .)Le médecin deshommes depuis la

puberté j usqu’

à l‘

eætré‘me v ieillesse.

Paris, 1 7 7 11, in

- 1 s . (Avec Goulin.)Ces deux ouvrages sont anonymes .

Préceptes de santé ou introduction

au d ictionnaire de santé contenant

lesmoyens de corrig er les ”vices de son

tempérament, et de le f ortifierpar leseul secours du régime et de l

exercice,

ou l'

art de conserver sa santé et de

présœnir les maladies . Paris 1 7 7 2

Traité des maladies et des 0pe‘m

tions réellement chirurgicales de la

bouche et d es parties qu i _r

pondent suivi de notes, d’

obsermtionsintéressantes , tant anciennes que 1110

derna . Paris, 1 7 7 8, 0 vol. in 8.

Jourdain a coope'

rélong—tempshla

rédaction du journaldemédecine ila

fourni quelques articles à l'

Année ä t

téra1‘

re de Fréron ; enfin i l n’

apoint

été étranger à l’Histoire de l‘an tenne,

de Portal.

JUGLER ( Ju n-Hama d e Lunébourg reçu docteur enméd ecine

a Butzow, le 11,mai médecin pensionné d e sa ville natale depuis 1809. Il naquità Lnnébourg ,

10 2 1 septembre 1 758 ,après y avoir fait seshumanités ,

il étud ia successivement la med ecine à Leipzick ,

à Gottinguc et a Berlin . Il pratiqua l’

art d e

guérir d’

abord à Boisembourg dans le Mecklembourg puis à

Wittengeu , où il fut nommé médecin pensionn é du canton en

1 788, à Gifl'home , où il eût le même titre dans lamême année

Luchow, en lamême qualité, en 1795 et enfin à Lunébourg . C’

est

par erreurque Callison a donné place à Jugler dans son diction

naire d esmédecins vivans ; il estmort d epuis 18 14 .

Üibliotheæ ” fit…æM M «runs dÿ'

feœnlü e ä u .

pn‘

mum.Hambourg, 1 788, ita—8. 1 7 84.-ia-8.

J

thulmieæ primum, recensens auctoæ s,

q ui usque ad Q. Sereni Snmmon ieiætatem in med icina oculari nagnomclaw ers altemmde coIlj rtss emerumW n tsque comm dfi Erentm. Leipziget Da mn , 1 7 85, ia —8.

Repu tariam ü ber das gesummteHedieinalw«w in den Braunsehwfl ‘

g

lst es nothwsndi; und ist asmcglie& hide TheiIe derHeiüm t d ie

Mediein und Chirurg ie sowold in

ihrer Erlernung als A usübung wieder au merein ig en Welcñes

die Unaelzen ihrer Tn nnung , und

weIeÂes sind die Iü aluameiæund Wñrd igwcg d er übrigen dre izeltn8 ewerbungs:ehfiften mon der Chur

Lunebü rg isehen Churlandm gesura fi îrsd . A d d . nutslialœr Wissemcüafmelt und Herausgegeben . Hanovre ten. Erin“, 1 799, in

—8.

1 790 , ia-8 . cr e sxpursuç «ip:r{nsç ; Hippœmfl'

:

Kleine J uf sætse medieinùehen ln Je v isu liôeü us. Inmemoriampan—is

lmlu . Stendal, 1 795, in— 8 . Jah. I rid . Jagler, «pan tin et emen

W1e tænnen billige P reise derJpo M as edids‘

t notisque et aliorum es

theler Waaren besondæ s der zûbe sais illustraoü .Helmatad t 1 792 , ia-8 .

reiteien A reaeien erhaIten , und ge Repefl ofi umf ür dasNeuesfe usder

sichert werd en Mémoire couronne Stantsarzneyw in cnæhafi und innempar la Société des sciences de 6 01 pmetü eb n Heilfiunde , 180 1 , et ann.

tingue . Stendal, 1 795, ia—8 .

Not/1igerNecktrag zu der Concur

re_

n -Sel1rif t wie &œnnen billige Pœ ise ouvrages Bang hello Craib

der Jpothe£erWaaren , besonders der bank et inséré de nombreux ar

zu6ereiteten Arzncien erhalten und ticles dans le Magasin de Hanovreg esichertwerden?Hanovre,1 7g8,in—8, et dans d

‘autres journaux.

JUNCKER (Joan n) , l‘

un des d isciples lesplus d istigués deStahl, et le meilleur interprète de ses doctrines, naquit à Laudorf

près de G iessen , le 25 octobre 16 79. Il fit ses études à Giessen , à

Marbourg et 31Halle . Il fut maitre de théologie dans le collège

royal d e cette d ern ière ville , en 1 70 1 et 1 702 , et de nouveau en

1 707 . Après avoir pratiqué pendant près d ix ans la médecine end ivers lieux il rev int àHalle, où il fut nommémédecin du collège

royal en 1 7 16 , et professeur ord inaire de médecine à l'un iversité,

en 1729 . Il eut plus tard le titre de conseiller à la cour de Prusse,Junckermourutle 2 5 octobre 1 759. Ilfut le principalpropagateur

d e la doctrine de Stahl et ses ouvrages, écrits avec beaucoup de

méthode et de clarté furent beaucoup plus lus que ceux de son

maitre.

Jugler a traduit en allemand d ivers

i6id ., 1 73 1, ia—8 ia-8

ibil ., 1 738, in—8 i6id., 1 740, ia-8

i6i& , 17 4 3 , in—8 ibid., 17 46 , in-8

W ., 1747 , ill—8 ; W…1 7 7 1, ia—8 .

D ieHalü sehegfiœ bü eüe Grammart.Halle

,1 706, ia-8 ; ih

d ., 1 7 1 1 . i11—8 ;

ibid . , 1 7 16 , ia— 8 ; i5i& , 1 7 20, in—8 ;

ibid ., “il 1 727, 111—8

295'

la :Dingue n itso\…ehts Bcs p 1heficr. Francfort , 1 7 16 , ia .-8.

chrcibnng der umlten welrù rnehmtæ Wohl nntcrr1ch1cter Medicus. NaWisbadischen Be der.Francfort, 1 707 , remb rrg 1 7 25 in 8.

in 12 .Mangot. KestnerLexikom

Coupeud iô se Reis-Feld -nnd Hausa Haller. )

JUNKER (Jou11'n Cau sru n-Wu na u ) , né à Halle , le 30 juin176 1 fit ses études dans l

un iversité de cette ville , et y fut reçu

docteur en médecine en 17 83 . Après avoir fait q uelq ue temps d escours particuliers Junker fut nommé professeur extraord inaire de

médecine , en 1788 et pro fesseur; ord inaire , en 1 792 . D’

après la

Gazette d e Salzbourg ,il paraitrttit avoir été pro fesseur d e mède

eine i1 Petersbourg , en 1 790 et 279 1 cependant il ne figure po in t

8 ce titre dans l’histo ire d e laméd ed ne en Rus > ie , d e W . M . de

Richter. Junkermourut à Halle ,le 2 7 décembre d

une atta

q ue d'

apoplcxie don t il fut frappé à son retour d'

un voyag e à

Marb0urg .

Diss . i nang . de cansis œg ritud inuœ

thcra; cutia s n squt snperstw endoa gri

tud e/zum srs1cmmc. Halle ,1 7 8 3 ñu-4.

Gmmkä tsc d er VolÆa 12.1:r1hnnd—t ,I W bot/nement c u tznng des mundlichcn Vortrages

O

seinen H:rren Z 11

hôrcrn'

entvvor/cn. Halle 1 7 8 7 ia-8 .

Versucheiner a”g emeü cn Heu/hundc,ana Geb1auchakademisther Vorlesung en . N ebst 'vorlæ1fig en Bc1ner

hnugen the its nber e i1. 1ge Mine! d 1e

Armeyhnnst zu v erve/Mommnen und

demN nrzcn'vorhnndcner med icinù

cher K enn tni :se in d er wirhl1cht nWelt

,e n bct!

_

ribctt ; theils aber d ie

E 1nri chtnng sart therapeutischer À11wej sung en . 1ster Theil welcher d iesew tlæ1fig en Brmerhun a en en thælt.B ulle 1 7 88 21er Thrif,wd ehermond iesemVersuche du: erste und g ros

tentheils auch,d ie

°

zweite Abtheilnngcuthah.Halle , 1 79 1 in-8.

Conspectus rerum q næ in patholog ia med 1

cinaiipertractan tur, [audntissimulhnj us doctrine auctoribns usqut

probatissnn is ,‘

in usum auditornm.

Halle , 1 789 ; Il,Halle 1 790, in— 8.

Diss . qua hemicran iam sie d icton:

21e1am nova examin i subj ecit. Halle ,1 79 1 , in

-4.

E 1was nber d ie Wcinberg fi ranhcitdes westw bencn Dorhrors Bahrdt und

æ/1nlzcher nochleben d crKrauhen; denN 1ehtä 1zten zur fi euudschnftlwhettWarnnng . Halle 1 7 92 in-8 .

Gememuü t igeVor—chlæge und Na

eh1 ich1en neber das‘

beste Verbàhendcr a hen in Ruchsicht d er Pochenhmnhhe i]; erster Versuchfi ir d 1cmit:l«m Stænde nc61 1 e1nemA nhnngef ür A rrelc. Nulle 1 7 92 . 2 tcr Ver'

s111hfi ir )4crz e . Ibid . 1 795. 3œr

Ven u e/zfl ir 1116fl 1

'

ch“alle A erzte,d ie

d er Tm!schen Sp’

1d chcæ kun d ig suul.

zur Samm!nug :hw r

Gntachten h1erüber. Halle 1 796 ,

°

in58.

A rchiv des A erztc

'

ui1d Seelsorg er

win'

er d ie Pochcnnoth1stcs stü ck. Le ipz ig 1 796 . ate : und 31es Stü ctl‘. Lei.

pzîg 1 797 ia-8 .

(Commen t. de rebns in med . g e stis.

Med . chir. Zeitung . Meusel.Lexicon .)

a96 JUN

JÜR1NE (Loms),médecin d istingué de Genève, naquit dans qetteville en 1 751 Ily fit ses études littéraires s

y livra à la culture,de

l‘histoire naturelle dans laquelle il eut pour guides Charles Bonnet Sanen te Sennebier Deluc et y prit le grade d emaître enchirurgie. Après avoir prati qué quelque temps à ce titre ilvint

perfecfi ofiner ses études à Paris. De retour dans sa patrie ilpar

tagea son temps entre une pratique étendue des recherches d 'histoire naturelle cl:de physiologie expérimentale et les travaux du

cab inet. Ilmourut en 1819 , ayant la réputation du plushab ilemédecin d ’

une ville qui a tonjours_

compté dans son sein plusieurs

médecinshabiles.Mémoire sur l

afia itment artifi eid .

Genève, 1807 , ia-4 .

Hourd lométhode de d u rerle: I:]

mü optêres et le: diptères. Tome premier (et unique) Genève et Paris,

1 807 , ia—4 , ornéde 14 planches colo

ri6ee représentant près de 500 figure..

Mémoire sur l'

ang ino de poitrine ,

qui a remporté leprix au concours ou

vert sur ce :afetpar la société de nul

deeine de Pari: le 13 octobre 1809

et qui fiat «(jugé le février 18 13 .

Genève et Paris, 1 8 15, ia— 8 . C'

« 1

encore aujourd‘hui la meilleure mo

nogn phie que nous ayon1 sur ce su.

jet. Jurine succombe lui—même à lamaladie dont ilavait ai bien fait l‘histoire.

Mémoire eur le croup, qui parta

gé le prix extraord inaire de douze

mille francs f ondé par le g ouvernement impérial. Genève, 18 10, ia—8 .

Bt‘

d oiu :de:m od e:qui se trouu n:

ana:m in us de Genève .Genève,18:o,

ia—4, avec planches coloriéu .

Jurine afoun i un a u : grand nombre demémoire:à d ivan recueils .

Ohem tions de M. Jurine sur l‘air

“mmpbe‘rique en sortie de: pou

mons. Dans le Journal de: mine:tom. III, 1 796 .

n) ü xüm sur la néceuüé d‘une non

veIle nomenclatmu en géologie, etl’

ex

po“!de «:e qn'

ü pmpou . Journalde:

mince, !om. XII , 1806 .

Mémoire sur l‘argulefoIiaafe (arguIu:foliaecm) avec une planche. Dana

les A nnales dumuseumd ‘histoire naturelle

, tom. VII, 1806 .

avec une planche. Dans le: Mémoire:de l’Académie de Turin , tom. XXIII,

18 18.

Observations sur les aile: de: Ipa

ménoptèn s , avec six pl. Dane les

blem. de l'

Acad. de

te'

: de l'

œ il du thon (member thymE nnœi ) et d

autre: pois ons avec

une pl. Dans les Me'

m. d ephy sique et

d‘hist. naturelle de Geneve , tom.

1 82 1 .

Note eurle: dent: et la mastiœ tion

de:poisson: appelé: eypn‘

ns. Dans les

Me'

m. de physique et d‘hist. naturelle

de Genève , tom. 1,

Note mr la donne à long con (f areiola 6neic) , nvec une pl., 10111. Il

pu m1cro partie, 182 3.

Histoire abrégée de:poisson: du lac

Leman, extraite de:manuscrit: defi !

298 m°

dëœmhre 1 752, p. “l é— Beaucoup de la France. Pari! 1 757, ia-12.

de fièvœs intermittentes qui avaient E ssai sur la gangrène interne. Pa

résisté au quinqu îna ,ontcédé i l

'

u f in, 1 76 3, ia— 12 . Attribué à Javea

sage d es eaux de Bourbonne. fils , médecin à Chaumont , par laMémoire sur les eauæ minérales France littéraire . La dissertation i ni

dans lequel, après un examen som vante est probablemen t aussi de luimaire , chronolog ique et critique de D e thermis Borôon iensiôus 11aces eaux on s

‘attache à prouver Campano: specimen medieo—

practi

contre l’

opin ion opposée , que leurs cumrive de legitimo circa illor trac

” rtns ne réstc'ent pas dans leur mo tampmeu‘

aa prelegomena . ChanlatiL Paris, 1 7 57 . in— 1 2 , 65 pp. , et mont, 1 77 4 , in—4 .

dans le Mercure de France fevrier Il y a plusieurs articles de Ju et

mars 1 7 57 . dans le Joarnaldemédecine.R{fleæions sur les causes d e l

in (La a ce li ttéra ire.

templrie du l'

a ir rêgnant sur le climat Catalogue ra isonné etc.)

JUVILLE , experthern iaire , reçu au collège royal d e chirurgied e Paris , s

est fait un nomhonorab le dan s sa profession : ill’

exer

çait d epuis quarante années , lorsqu’

ilmit au jour son principalouvrage en 1786 . mais il avait présenté les banda-ges d e son iavention à l

'

académie des Sciences en 1 7 7 3 et cette académie enavaitporté le jugement le plus favorable .

Lettre à sur les bandag e: servir de reservoir un anus m am”

pôur conten ir les l1emle: inguinales. nature au pli de l aine . Journal de

Journal d eMéd ecine , 1 7 75 , t. I l.lll, Médecine , 17 7 7 , t. 4 7, p. 6 5.

p. 1 7 2 . Deuxième lau re. Ibid .p. 46 3 . Tra ité de: bandage: hemiaimTroistente lea:e . Ibtd . p. 545 . Qua dans lequelon trouve indép æhæ…M ême lettre . Ibid . t. XLIV, p. 149. des bandage: ord inaires des machinDe €cription d

'

un pessacæ de gamme nes propres ä reméd ier an.: chute: deélastique a vec quelq ues observa tions la matrice et du rectum à serv ir de

far la fi rmo qu'

il do it avotr et sur ses récipien t dans les cas d'

anus artifiW . Journal de Médecine 1 783 t. eiri d

incontinence d’

u°i ne , etc ete .

LX , p. 285. Paris , 1 7 86 , ia—8, avec 14 punchDescription d

'

une machine pour

KAAU— BOERHAAVE Aansn sm) , fils d e Jacques Keen ,medecin d e LaHaye . naqu it dans cette v ille le 5 janvier 17 15. Son

éducation fut so ignée par ses oncles Jacques etHermann Baer

haave , et ce fut sous ce dern ier , qu’

il fi t ses étudesméd icales à

Leyde . En 1736 aumilieu d ’

une nu it, ilperd it tout— à— coupcom

plétemen t l’

ouie et ne la recouvra jamais . Il n'

en poursuiv it pas

mo ins la carrière q u’

il avait emb rassée ,et fut reçu docteur en

1 7 38. Boerhaavtzen mourant, voulut q ue son nompassat à ses neveux Ab rahametHermann K aau , et q u

ils l’

unissen t à celui de leur

famille . Abrahamse fixa à LaHaye pour y pratiq uer l’

art'de gué

rir. L’

acad émie d es Sciences d e Petersbourg l’

admit au nombre desesmembres en 1 7 44 . Deux an s plus tard , ilfut appelé dans la ca

pitale de Russie par son frère Hermann premier méd ecin de

l‘

empereur (car c’

estHermann q ui avait ce titre,et non Abraham

comme on le d it dan s la Biographie méd icale ). Il cut d ab ord un

emplo i dans l‘hôpital d e l

Amirauté , et \‘Ve itbrecht étant mortpeu d e temps après, AbrahamK aau Boerhaave le remplaça dans lachaire d’anatomie et d e physio log ie . Son in fi rmité ne l

empêchnpas d

avo ir un e pratique fort étendue mais il était obligé d’

avo ir

un truchemen t, et c’

est le docteur Mau‘

t q ui 1‘cmphssait cet office

près d e lu i. Ilmourut le 11, ju illet 1 7 58 , e t non en 1 7 53, commele d it

,Sprengel, qui a pris la date d e la mort d

‘Hermann Kaau

Boerhaave , pour celle de la mort d e son frère. Ab rahamKaau

publié plusieurs ouvrages d ont un entre autres sur la force vi

tale et les sympathies a eu beaucoup de célébrité.

Oratio cle gamins alchemistarum Impetutn f aciens dictumHt} !pæ M flLoyde , 17 3 7 , ia— 4 1 743 , i i i -4. per corpus con sentifl zs phi lologice et

D isserta tio inauguralù de squirrñ0. phy siolog ü e illustmtum observati0n i«

Loyde 1 7 38, ia-4 . bus et eapen

ment:s passimj irmatufl l.P erspiratio dlcld Hippocratts pe_r Leyd e , 1 7 45 ia-8. Nature de la

univers…oorpus nnatœm‘

ce illuctratæ force vitale substanç e in terméd iaireLeyde 1 738 ia—8. Ibid. 1 745, in—8 . entrel

esprit et lamati ere ;dü tincü ôn

Aprb d‘

excellentes études , faites dans les Univæù & de Luné.

bourg Hambourg , Dantzig . Thorn , Cracovie et Km igsb ng il

fit un voyage en Uanemarck et en Suède . On lui fit vainement d es

offres avantageuse: pour le reten ir à Upsal il aima mieux voya

ger , et il accepta la pl

ace d e secrétaire d e l’

ambassade q ue le roi

d e S uède envoyait en Perse , en passant par la Russie , et qu i partit

de Stockholmle en mars 1683 . Fs bricius l‘

ambassadeur ayant

accompli sa mission à la fin de 1685 Kaempfer se mit au service

de la compagn ie holland aise en Orient, en q ualité de chirurg ien .

En 1690 ,il fit partie d e l

'

ambassade en voyée au Japon . i l re v int

à Batavia en 1693 d’

où ilpartit pour laHollande . Il arriva à

Amsterdamau mo is d‘

octob re d e la même année . Ce n’

est q u'

alo rs

qu'

il songea à prendre le grade d e docteur en méd ecine . il se re n

d it à Leyde et il y fut gradué au mois d ‘

avril 1694 . Kaempfer

s’

étant retiré alors dans sa patrie , le comte de la Lippe en fi t son

médecin . Il mourut le 5 novembre 1 7 16, âgé de 65 an s. Il avait

publié lui-même ses Zmœmld læ exoticæ mais ses nombreuses

occupationspe lui avaien t pas permis de mettre tous ses recu eils

en état d e paraitre,Le chevalier bloane acq uit à grand s frais d e ses

héritiers sesmanuscrits et ses d essins . Schw ebzer en fit une version

anglaise et c'

est sur cette version qu’

a été faite la traduction fran

çaised e Desn1e iscaux d e l

’hist01re du Japon . D‘

autres publications

ont eu lieu depu is mais lamme féconde des manuscrits du savant

voyageur n‘

estpoint encoreépuisée .

D in er£alio med ico-inaugmalù :is Scheuchzer. Londres , 1 7 2 7 ia-fol.

un: decadomoé:u oationume.rouca Vol. Trad . en francais par Desmai

ram. Ley de , 1694 in-4 .seaux, LaHay e , 1 7 29 in —Fol. 2 vol.,

Amæn itatum exoticammpolitico fig . Ibid . 1 7 3 1 , ia- 1 2 , 3 voi ._

— Chr.

phy sico-mrd icarmn/amicuü V.Qmôur W Dobm, a pnb11c une éd ition d e

cœutinen lur am:iæ :elationes , absar l’original allemand, Lemgo, 1 7 7 7-78 ,

«ariane: e t d escription s rmum Persi i ll-4 , 2 vol.

«n um etfi lærion s Asia: in uùa atté:i Icones selecta plantamm qua: în

tiene in perrgrinatiombu:per mu

vi*r Iapom'

a codeg it et delînea vît Eng eä .

mm01 ien lemcol.'ectæ. Leù:gd , 1 7 1 2 , Kœmp]ef a :archegpü in marco Bri

ia-6.

tann ico a::ervatis . cd . j ar. Banks .

The history of Japan _

and Siam Londres , 1 79 1 ia-foL, 59 planches.written in highDam/1 by Eng elôert (B ibliOt/æ. ang laise . Niceron .)

b empfar, and eng lish John Gaspar

K ALŒ NBBUNNER docteurçeu méd ecine , protes

seurparticulier

'

près d e l’Üniversfié ‘do…,mä lee in Il. la da

KAL

chesse de Leucbtenberg mort à Rome le 28 décembre 1838 . ce

jeune médecin , déjà ,bonorablement connu par ses recherches mi

croscopiq ues sur l’

i nflammation , avait été reçu docteur enmédecine à Wurzbourg en 1826 . Iln

avaitque trente ans quand lamortl‘a enlevé.

perimentorumci rca «atum :anguiæi:

4 m m in ivfi nmmatione . Augu s

læ, 1826 , ia-8, 39 pp.

eirmatom sanguin i:

et mm :: in inflamm ü'

onc. 011111

9 wi fi. lùkogn 18251 Îü ' 4o

PP

Recherclces expérimentales sur l’

in

flammation . Dans le {icfport. gen . d‘

a

nal. et,dephy siol. pathol. de Bresche£,

1 82 7 , t. IV, p. Il.

Beobaclætungen aber çIen Heilmæg sprocess an Wuadçn . mit 1 K. inHeu

Callisen .)

KAL‘I‘

SCHMIDT (K 1nn — Fmanatcn ) , l’

un desmédecins renommês d u d ern ier siècle ,

naq uit à Breslau le 2 1 mai 1 706 . Il fit ses

études littéraires d ans le gymnase Sainte—Elisabethd e sa ville na

tale. Eu 1 7 26 il se rend it à Iéna , où il étud ia d eux ans le d roit

avant de se livrer à lamédecin e. Ilfut promu au doctorat en 1 7 32,

et il se livra à l’

enseignement de la médecine légale , d e l‘

anatomieet d e la chirurgie . En 17 36 le duc de Saxe

—E isenachle nommaconseiller. etmédecin aulique et l

année suivante le duc de Saxe

We imar le choisit pour conseiller et premier méd ecin . En 17 38

Kaltschmid t fut nommé professeur extraord inaire de chirurgie àIéna, Durant les années

17 42 et il fit un voyage'

à Peters

b ourg, par la Prusse , la Côur1ande etla Livon ie et rev in t par Eu

b eck et la Basse -Saxe . En 1 745 il fut nommé professeur ord inaire;et après lamort d

’Hamberger , en 17 55 il eut le premier rangdans la Faculté de médecine et la place de médecin pens ionné ducanton . K

_altæhmid tmourut le 6 novembre 1769 , ayant fait sou

ten irsous sa présid ence un g rand nombre de d is sertations , la plu:

part intéressantes et donné lui —mème beaucoup d’

opuscules aw

W ‘

ringer ü Ze i£:chriftf ürorganiæhcPh;sih. 1 82 7 , t. 1.

Rechercher expérimentales sur la

circulation du sang , pour f aire sm°

D

celles de Dollinget‘

, d ans le Joann.

d es P rog . des méd . t. i l , p. 3 9,

18 28 .

2 11.1a derWohhhœ£igü iæpj bæin der Kgl Hanpl und Resida xrtaü

München ; am Amtùchen Berichtendargesteflt. A ôrheü . 1. D ie Wohùhufigheitsan:£nlæñ Çvelche untermag istra tischer Verval:ung r£ehen . Muniofi,

830 , ita— 4 .

(Med . chir. Z eitung .

308 KAN

d‘Ei1enacb. De 1727 à ,

1730 il étudia dans les Universités d’

Iéna

et de B elle. Vers la fin de cette dernière année , il revint à Gotha ;mais ilne fit guère qu

y passer , et ilalla se fixer à K iel pour s’

ylivrer à l

exercice de l‘

art de guérir. Ileut b ientôt de la réputationcomme praticien . En 17 33 il obtint la licence, de l

Un iversité d e

Kiel , et l’

autorisation d’

enseigner. En 1736 , il fut nommé professeur extraord inaire et docteur enmédecine , et en 1740 membred e l

’Académie des Curieux de la nature. En 1743 il devintpro

fesseur ord inaire. Kanaeg iesær mourut le 26 août 1792 l’

âge

d e quatre v ingts ans. Il était depuis 1786 conseiller—d‘

etat du roi

de Danemarck. Ses œuvres consistent en des d issertations soute

nues sous sa présid ence , des programmes académiques , des obserrations insérées dans les actes de l

Académie des Curieux de lanature , et en un traité demédecine légale. En voici les titres:

piente cammunas pnfi ord . auspi

caretar. K iel, 1 743, in-4.Or. de moderneramstadiis altitm

bas non altion‘

bas. Kiel, 1 743, ia-4 .

D isp. de sadonferamabasa. Kiel

‘J 441 ill-4.

Or. de probabili menti: cam'

corpa

re anime. Kiel, 1 744 , in— 4.

D isp. de ad “ringenü am e ia

d iaphoretiea. Kiel, 1 744, ia—4 .

pm in adeanti clin ico j ttætd probe

attenda d is . Kiel, 1 7 33 , i n-4.

n u de spina dorsalis pre ter

i”“e

B ier. de caasû mrborame.: in

flora rider-am pandastibas. Kiel,

1 7 32 9 ‘M e

[â ne eatarrhalimaligna, anna 1 7 33,

menu Aprili Çhü oniamHolsatgmm

absidente. Kiel, 1 7 33, ia—4.

si. Kiel, 1 745, in—4.

nammü flexu pra !ection ibas sais

phy sicb g icis præmissam. Kiel 1 734,

0ratio depiæate med ion imprimism rsaria cam munas pro/en orismed io. eahuord . aaspicnretar. Kiel

1 7 36, ia—4 .

n r. de felieiam pharmacommiafi liei tape usa pra lectioniba:pa

biicis pramissami Kiel, 1 736 , in—4.

Voü stænd igz B eschreibung der

Èalü schen Medieamenæ. Kiel, 17 3 7,

Progr. de spasmo e:e colore etfri

gone , altero obama immediate «:d

more, a d pm . d1‘

sp. Kiel, 1 74 5,

in—4.

1 745, in—8.

D isp. de spirita ardente ej asçue0pemnd i modo . K iel, 1 747 , ia—4.

lande et meriä s plau d nguleribas.

Kiel, 1 74 7 , in

te. Kiel, 1 748, ia—4 .

Diss. de pacam tosi. Kiel , 1 748 ,

111—1.

articles saivane

Nol. _V1:061. de calcule , inprincipio

œsophagi concrete. salis tandem di

g itis extmeto . 063. de ealcalis felle is ea: (core dextn

‘ hypoehondri iprad aclis sauateque vlc

—ere o :tid isj el

lea: et mer:mw li . Obs. de herniis

menti carnosi uteri orificium exter

num elaudenti1 , menstruique sangui

nis tramitam etmatrimmialemeen

g resmm imped ientis sublatio. De

la: m o 1 7 40 in Holsa tia epidçmice grassanæ: p. 36 . -Inmxiacareinomati: palpebræ adnad eæ

tirpatio , p. 40. Cd calus per bien

nium in methra hærens, sectione f elicirermêlatus p. 4 1. — Bmuneiaü 0

super ams &regmati infl ic&am et

prægreuam insig nem eraua [mmram :p0næjamcoahseentcflt, p. ‘a.

De morbo quodm concub in :

epidemice per'

Holsatiam gratsante

p. 108. De cestra ex iapidicina

tumore abdominis insigni , copiosa fijdatid um ex utero exclusion , sanato.

Angina rxpm essuumcartilag in is

seutiformis d ima:ione aborta reposi

tion‘

e d igitis f aeta f eH0iter curata.

Noranda guædam de f rigoris anni

1740 efi'

æm. Vol. VII Qb:er

prope præd ium N oer nuperrin æ ejj ossa p. 1 2 3 Ç mgularis ej]eetwet notabiIe ez terrore damnum p.

1 24. .Vol. VIII : Obs. de admin7 .

(Haller — Mau d .

U NOLD (JEAN ), l’

un d es épidémiog mpbes les plus d istinguésdu dernier siècle , né à Breslau le 15 “d écembre 1679 se ren dit à

Halle, en 1 70 1, pour y achever Ses études méd icales . Il fut d isciple

de Slabl , et c est sous la présidence d e cet homme célèbre qu’

il

soutint sa thèse inaug urale en 1 704. Aussitôt reçu il alla se livrer

à lapratique de l’

art dans sa v ille natale. Ce fut lui qui fonda , avec

l’

aide de quelques amis , un écrit périod ique fort estimé,qu’

il

continua sans interruption jusqu’

à samort. En 1 7 19, il fut nommémembre d e l’Académie d es Curieux de la nature, à laquelle iltransmit de nomb reuses ob servations. Kanoid mourut le 15 novembre17 29 laissant manuscrit un cuv1age considérable sur lamalad ie

pestilentielle qui régna de 170 1 à 17 16 , ouvrage qui , malheureusement , n

a pas vu le Jour. Kanold avait pub lié les suivans

Dr:pu14 110 de abortu etfœ£nmortno de:Horneviehes in Seàlesien.…un,

( sous la présidence de G . E. Stabl). 17 1 3, ia— 4 .

Helle , 1 704 in — 4 . Kurze Jahrbis£on°

e v on d er Sa c“Brief e e in iger Medicorum der d es Hen iviehes v en 1 70 1 . bis 1 7 1 7 .

P est in Preuu en Pollen,Sckk sien. Bautzen 1 7a0 in-8 : 1 72 1 ia—8 .

Breslan 1 7 1 1 ia— ç . Mit Anmer» EinigerMarriä an isehmMed ieommkangen . Halle 1 7 13 in—Æ. infi anzosùcher Sprache! ausgefi fl ig ü

Hü toriseheNaclmeht v on der Pest unJ ins Tem be M m Send

1ehreibenvon derP est inMarsilien'

und

mit ein igen rfi cæ1‘

onibu: sonderlich21011 demWahren Ursprung der Pestik n: aus und in Orient. Leipzig

1 7 2 1 ia-4 .

Unœu uelumg des TannenM aris

ehea G aundbmnnens .

$ ammlung 11011 Natur und med icinirchen wie auchnicea gekærig en

Kunst und Literatur Ge1ehùhtenmon1 7 17 bis 1 7 2 7 mon Kanald und

K undmann besorgt ia-4 38 vol.

Supplemenlbænde. Bndissin 1 726 Ro…und .— Haller. )

KAPP (Gnome-Cu Ér11x—Fxñmäarc), né à K ircbleuss le fé

vrier 1780 fit ses étudesmédicales à Eriang , et y futreçu docteurle 19mars 180 1 . Il se fixa alors à Bayreuth etpartagea son tempsentre une pratique active et les travaux de cab inet. Les ouvrages

qu’

ilpublia annoncèrent un homme jud icieux et instruit. Il pro

mettait une topographie de Bayreuth, pour laquelle il avait rassemblé une grande quantité de matériaux , quand il succombaautyphus qu

il avaitpris en soignant les soldats autrichiens et russesqui en étaient affectés en g1and nombre à Bayreuth. Sa mort eutlieu le 16 février 1806 . V0ici les titres des ouvrages qu

avait déjà

pub liés ce jeunemédecin .

Ueber e inig e Wiä ungen der Le

fiensluf t auf den 1fiierü chen Kærper.Erlang , 1 799, in

—8.

Ueber d ie Schwçflbæuœ imalig e

meinen d eren W1rhmg .æ rt und Aa

mndung bey Krankheiten. Bayreuth,1800 , ln-8 .

D isputn£. inaugur. de marie phosphorico. Erls ng 180 1.

D ermensehlicheKœrpermon sein erEn tste imng an bis in:A lter; ein Lexe

hel1/ür alle S:ænde des ref/‘

emA l

ten . B of,1803 , in—8, 208 pp.

Ueber das schwarz_e Magnifi eum

oder das w llfiommene Braunstein Me

tailoay d aisHeiImitæl 1 803, in-8.

Srstanatische DarstcHung derdurel1die neumChemie ia' der He:ü undebmirlæn 7 erændemngen und Ver

81 1

1 7 29, in-4 4 vol. Continuépendant

quatre années , par Büchner, sous le

Etre de M scellanca phy sico-med i04rfurt 1 72 7

-3 3. Universal Reg ister .

E1fufi 1 7 38 .

Museog raphia oder J nleinmng zumrechten B eg ri/f und niaelieher A nkg :mg d er Museorumoder Rari1æzen

kammern 11011 C. F . Jene£el Kaufmann in Hamburg w rmelurt 111111

Kanold . Leipzig et Breslau, 1 72 7 ,fil:— 6

(Jœd 1er.

ba serungen.nd s1einen Aü ange ü ber

das Brannd einmœaü und d essen Oxyd e als innerlicne und i1usserlie6e Bril

mittel in d er e eifiamt.Hof, 1805,ia—8 32 7 pp.

Ezzæhlung eines (‘

esteli fscl1merzens,bey welchemd 1e Durchschneidung de;Nen ensf ruchd os war. in H::felnnd

Journ . d er pra1lt B ei“T .KK , p 65.

B e <chreibung des Bay reuthù e '1enStad t!azw zùes. In Kreuzens Armen

freund . Le même recue1l contient

quelques autres articles Kapp.

Dans l‘

Oberdeutseh. A ”gem. Lie.

Z e it. , on trouve des poésies latin es et

allemandes de Kapp, et des analysescritiques d

ouvrages nouveaux.

(Rotermund . Med . chir. Ze1lung .)

3 12 M B

KÀUHLEN (Fxmz—Wmnuh), né Heinmerclem dans l’

etit deCologne le 27 janvier 1750, fut reçu docteur en médecine à Bonnen 37 74, et devint professeurord inaire de pathologie de mèdecine pratique et de policemédicale de cette un iversité. Le princeévêque de Cologne le nomma son conseiller. Kanhlen mourut en1 793 . Ses productions qui ne consistent qu

en des opuscules aca

démiques n’

ont rien de b ien notable etméritent à peine d’

être

D iss. inaug . Examen fonds mine Übhandlnng über die Rul1r. Bonnrelis mer

-ii M dorfiensù prop Bon i 787, in-8.nam. Duisb0nrg , 1 7 71 , ia—4 . Diss. de febrem mli. BonnProgr. van den Hindernissen / d ü 1 790 , lu-4.

dor Vem ü lommnung der A rw yp D iss . de f ebre aminm riu. Bonn

b brsam£eit imWege stef:en. Bon , 1 791 Resp. Ebbinü qysen .

1 7 88 ia—4 . (htermund. Ueteri .)

KAU‘

SCH J0umu-Josu n),homme qui s’

est fait un nomdistin

gué dans la critique médicale et dans l’

exercice et la littérature de

la médecine publique était né à Lœwenb erg le 16 novembre1 75 1. Reçu d octeur en médecine àHalle en 17 7 3 il voyagea pen

dant deux années au bout desquelles il futmédecin du prince ,d e

Hazfeld Trachenberg . Ilobtint successivement les titres de médecin ca

_

ntonnai d e Militsch en Silésie d’

associé du collègeméd icalet san itaire d e Glogau en 1 792, de conseiller près le gouvernementde la Silésie à Liegnitz , etc. Il fut décoré de l

’ordre de la Croix

de—Fer , et en 1823 , .à l’

occasion du jub ilé demi—séculaire de sondoctorat ilfutcréé chevalier de l’ordre de l’Aigle-Bouge. Kanscbmourut le 10 mars 1825. Kauscha écrit un grand nombre d ’

ou

m gîs sur des sujets très-Ÿariés. Son E sprit et critique des jour

naux allemands en 18 vol., et ses Memombilîen , en 3 vol. , que

je connais , sont d‘

un homme très instruit et d’

un jugement sûr.

On n’

estime pasmoins ses autres ouvrages.

Diss. inaugut de remed iommin n de über Versebiedme Taga da die

bmoribmnostris non solubiIiumefiï ses Gemeiues w rmebf1 und dureb

eaeia . Halle , 1 7 7 3 in -4 . neue Evfabrungen bestæfige1. Bru b u,CollinsHeilbrafl e de:Wolferley in 1 7 7 7, in

—8.

ten aus demLate1‘

n . semerWalem b und die Rau dna 11.Hasfi ld . Breelan,über bü z ig. und Iangwiefigæ 1 780 , in—8.

i l !»

ger begü nslig etwird.

E :f ahrungen ü ber denLungenbrandoder Milzbra

'

nd de s Ilindviehes ; inl Repertoriunt fi ir dcc g erichtlich€und œ//entliche A rzne

_rgel. B . 2 . 81. 2 .

3 . 269-30 3 ( 1 79 1)Ueber Ludwig Ferdinaa schæne

That,in den schlesis. Prov1‘nziaiblæt

tem. 1 793 St. 9 .

Rausch'ens Schicbsale nebst mann ichfahigen Abschwafimg en und ei

nerc inge . Leipzig , 1 797 , in-8.

andere Geis11iehheü mehr oder weni wmah‘ge _

P olgn. Bra ke 1796 . iu

/

-

2.D ie Heilçuellen au Buchowine 11r

A erate und N ichtærztc nachdesHa iApothehersLaol1mund chemischer Untersuchung derselben gewü rd 1

gt. Bres

lau et Leipzig , 1802 iu-8.

Ueber den Milzbrand des Rindvie

hes ; eine A bhandluug , welcher mond erhœn ig lichen Ahademie derWissemchaftan au Berlin d er P reis monfiinnjzig Ducaten suerhanut werden ist.

Berlin 1 805 in -8.

Fragmenæsarzncyhund eJahrg. 1806. Januar.

E in neues charahterisischesZeichen

Ge ist und K ritihdermed iciniæhenund chirurg ischen Z eitschriflen Teatslands f ü r J erzte und Wundænrte.

Le ipzig Breslau , 1 798— 1 808 in -8 , der Rindviehpest in Huj eland

's und

18 vol. Himly’

s Journal derpraht.HeilhmdeHed iciniche und ct iscbe Erfa 1 809. Mars n . 4.

hrungen; in Briefen an Girtahrær, Eu Memorabilien derHe ilhunde Stanl

j eloud Leder, Quarin , Richter. u . sm neiwin enschaf t und Thierhe ilw. nebst. den eingegang enen A ntwor hunst, Zullihm; in-8 1

ten . Le ipzig , 1 798 in-8 . 3 vol.

8 :{fc an den E insiedler Grand au Ueber d ie neuen Theorien d es K ri

demRiesengebürge , ü ber seine Lande: minalreehts und der gerichtliche'

Me

‘verweisung und gp:hammRe isen nach d icin Vorschlægen zurVerbesserungLe ipzig , Iéna, Weimar , Erfi1rt , Go be

_r der Disciplcnen. Zullümu 1 818

tha , Gottinguc, Halle Postdam—und i n-8 .

Berlin . Berlin 1 799, ill—8 . Kaoscha en outre coopéré à l'

En

& nd schreibæ an Herm Hofmb mlope‘

d ie d‘Erschet Gruber, et il a

Hufi land i n tenu au] Veranlassung fourn i un grand nombre d ‘

articles

seiner d‘

t Bemerkungen ü ber das d’analyses critiques à l

A Imanachd eN errenfieber und seine Complicatio Grmær et b d ivers journaux.

nen . Altembourg, 1 799, in-8. (Bustund Casper, Kritisches ReperErste Fortse1zung seiner Nachrich torium etc. Med . chir. Z eitung .

ten ü ber SchIesien, Bœhmen und das Alig .mêd . Annalen . Meusel.)

KEATE (Tacn ss), chirurgien général des arméês britann iqueset chirurgien extraordinaire du roi d

Angleterre , est connupour

avoir recommandé, comme un moyen dont l’

expérience lui avait

montré l‘efficacité contre l’hydrocèle l

application top1que d’

une

solution de selammoniaque dans parties égales de vinaigre et d’

al

cool. Keate recommande aussi b eaucoup l’

emploi des topiques

froi ds sur lesherniea étranglées .

til!g that d isease . To which subj oi

ned :ing ular case of hernia ma icæurinan

a complieata withb} dmcele ,and two cases of hemia incarcerata.

Londres , 1 7 88 , ia-8 60 pp.

Ohewàtwm on theflflhreport B ibliothe£ . Rob .

the commim'

onners of military inquiry , and more particularly on these

KECK (Ju n-Ennnmn), né à Koswig dans le duché d‘Aubaltle 56 mars 1753 reçu docteur en médecine à Wittemb erg

en

1 783 futmédecin pensionné de sa v ille natale. Ilmourut le 12 fé

vrier 18 12 .

Dies. inauguralî: taper tutti quas

Jm an imadeeu iune:continens. Wittcpber

'

g 1 7 83 , ia-8.

Die Hausmutter an Krankenôette ;eine g emeiunutz ige Schrifi f ü r alle

& ænde . Pendant zur Gemershau:i&cher:Ham—matter. Berlin} 1 7 84, in-8.

A bhandlungen und Bed aehtungmau: derpractisehm und grrichtlichenJ rzney wirsemchafi . T . I . Leipzig1 78 7 1. Il

,ib id

, 1 7 89, in— 8.

Ven ue/1 e iner K lassification der

Voü sarzney fiund in Nold e’

s A rchivj ür d ie Voib arzneyfiunde . T . I .

Napht Wurmbrande Reiten in

J brssi nien , 30 Jahre nachden Dorti(Elwert. Med . chir.Z eitung )

KEILL (hun ), frère du célèbre mathématicien et méd ecinJohn ‘

Kcill, naqu it en Écosse le 27 mars 16 73 . Il fit ses études à

Éd imbourg et à Leyde. Il voyagea sur le continent,, revint à 01

ford et à Cambridge , et prit dans la dern ière d e ces Un iversités ,le grade de docteur en médecine. En mob ,

il s’

établit à Northampton où il eut b ientôt une pratique fortétendue . Il succomba

,en 17 19 , aux progrès d

'

un cancer dans la bouche. Keill s’e"

força d’

appliquer les mathématiques , et particulièrement le calcul

des fluxi_

ons de Newton à lamédecine . Ilpasse pour un des chefsde l

école iatromathématique.

316

parts of it whichrelate to the sægeon

general. Londres, 1808,

Observations on the proced ings un!report cf the med ical board appoin

t8d to examine the state of the depotin the isle of Wight. Londres 1 809,

ia-8 .

g en Aufl lærung . Leipzig 1 79, in—8

Anonyme.

Bertræge zur B erichtig ang d er

gang baren Meynung en über d ie sage

nante Lose'rd ierre oder d ie [lindvieh

pest. Leipzig-1 802 , in -8.

D er ”’ahrscheinlichste Weg ,

(lie

Rindw iehpest auszurotten. Emnon ac

cessit zu d en v on d er d ass . Ka is erl.

œhon . Gesellschaft in P etersburg und

der chan . Gesellschafl in Le ipzig g e

kw aten P reisschrÿ'

ten . Leipzig, 1 803 ,

in-8.

K eck a fourn i d ivers articles au

Journal de Huj eland et aux A rchives

KEM

serratia de nnæu‘

bashemiplætieihand sibili hæm0p9*

si quan: massularumèrescentibus. tom. IV p. 4 4 7 . De eamearum ad pulmonü substantiañsictero particulari unguium. Ibid . , p. pmu ime accedentium g

'

oetze comi4 49. Verbera dy senteriæ med icina .

/

Ibid p. 450. Suis wariolas comitantis importun issimæ eæen1plumra

rius. Ibtd p. 4 51 . Sudor particu

la r. in nucha et dorso mariolasexeipiens . Ibid ., p. 452 . Tussis em

_piastra tacamahaacæ 11ert1ci imposito,provocata . Ibid ., p. 4 53 . Depectprishy drope seetione cadaveris conf rmata, tom. V

, p. 1 . D e ineomprês

tabatur. Ibid ., p. 283 De emore

coag ulato lumbrici cruenti figuranteaueté referente mietione excreto.

Ibid .

, p. 286 . I nfans præg rund ilabiry leparino deformatus obesas

nascitur. Ibid ., p. 2 88. Gonw rhæaressuscitata utpote remed 1umad tes

ticuli tumoremgonorrhææ suceeden

tempræ »entaneum. Ibid ., 2 89.

(Rotermun tL Meusel.)

KEMME (Jam-Cuafi1mn), né àHalle le 10 septembre 1738 fut

reçu d octeur en médecine à l’Un iversité d e cette v ille en 1760 ydevint professeur ord inaire de médecine en 1 7 66 , éphore d e l

ê

cole royale gratuite , et en 1 791 inspecteur de l’

Institut clinique

et des accouchemens. Ilmourut vers la fin du siècle, demier. Les

seuls écrits qu’

on lui doive sont pour la plupart , des opuscules

académiques soutenus sous sa présidence. Ils ont peu d‘étendue

mais la plupart se d istinguent par la solidité des doctrines et par

l’

érud ition .

D iss. d e genesi scirrhorum simpli

cium. Halle , 1 760, ia-4 .

D e ortu hæmorrhag iamm ictero

symptomatice accedentium. Halle ,1 760 ,

in —4 .

D as. d e inn ocenti infectione menerca . Halle , 1 768 ia-â.

D iss. d e êximia rhabarbari wirtutemed ica in worbis quibusdam chranicis. Halle , 1 7 7 1 in-4 .

E inleitung in d ieMediria ü berhaupt.Halle 1 7 7 1 ia—4 .

D iss. de . totius morbi temporibus.Halle 1 7 7 1 ia-4 .

D iss. d e leula tardammpassionumcuratio:æe interna impetumee plerum

que præj ërendâ Halle , 1 7 7 3 in — 4 .

D iss . de wasorumparaly si. Halle1 7 7 3 ia—4 .

Diss. observationes quasdammedieoAnaiècta Je ieæm. Halle, 1780

l

practicas sistens . B alle 1 7 7 3 ia—r

Von derHeiterheit des 8 eistes beye in igen Sterbend en . Halle

, 1 7 7 4

ia— 8.

Beurtheilung e ines Bewei æs v or dieimmateria iitæt d er Sa le aus derHed icia . Halle 1 7 76 , in -4 .

D iss. tentamen phy siolog ieum, que

evincitar glandulas cong lobati g ene

ris organa esse lfmpham«confieientia .

Halle , 1 7 7 7 , ln—4 .

D iss. demi vitali in quandamcel.med ici de eademmateria prælectionem.

Halle 1 7 7 7 , ia— 4 .

Zweif el und Erinnerungen wider

d ie Lehre der J erzte v on der E rnes

rung derf esten Thej le. Huile 7 8

Dû'

s‘

. de diversä tolieampicionummand i methode . Halle , 1780} in—4 .

Diss. de notione gangmna et spheseli . Helle 1 78 1 in-4.

D iss. de f ebribns nervosis et intsu

Halle , 1 786 , in—8. Daring . Meusel.)Diss. de hj dæph0bü ejuq ue spe

KENNEDY (Pwana), chirurgien anglais qui visita la Flandre

Paris , Florence , Rome Bologne , Venise et Padoue , revint à

Loyde , à Utrecht à Amsterdam et se fixaà Londres en 1 7 10 . Il

est auteur d’

un traité assez médiocre de l’œil et d ’

un opuscule sur

l’emploi extérieur des méd icamens d estinés à agir intérieurement,dans lequel ily a quelques vues intéressantes .

O'

phthalmog mphia (en auglais). An essoron externalremod ias.LonLondres

,1 7 13 in-8 . A suppk dres, 1 7 15. in-8.

ment to Kennedy’

s ophthalmogmphia (Kounar. Haller. R…md.)or treatise of the ey e. Londres 1 739in—8 .

K ENTISŒ I (R1cn i an), docteur en médecine à Bridlington ,

dans le Yorkshire ,mort le 3 avril 1792 à l’

âge de soixante-deux

ans , est auteur des ouvrages su ivans

Experiments and observations on a_

History el a case of un iversallaten tnew species of bark Londres, 1 7 85, eaneer. In Duncan med icalcommen .

i.o 8. œries etc., dec. I I, vol. 1.

E au; on sea bathing and the in Observations on the eff ects of theternal use of seu water. Londres g uillotine, as an instrument of death.1 786, ia

—8 . In New London med .j ournal, tom. Il

0rati0n on the method J studying p. 43 1.

natumlhino . Londres, 1 787 , in—8. Renan. kotermund.Advice to gouty persons. Londres Watt.)

1 789, in—8.

KERCKRING (Tatouons), deHambourg ou selon d'autres ,

d’Amsterdam issu d

’une famille patricienne de Lubeck étud ia le

latin avecSpiuosachez unhab ile médecin connupar son athéisme ,Franc. van Ende . En l

absence du maître,sa fille , personne pru

fondément instruite le remplaçait dans ses leçons. Les d eux élèves

n’étaient pas encore assez philosofl œs pour ne s’

occuper que de

science auprès d’

elle ; la jalousie se mit entre eux. Ils quittèrent la

3 19

eiflco Meluamaj ali et P:oscambeo.Bulle , 1 783 , in-8 , 36 pp. fig.

Komme avait fuit sur lui—même l’

ê

preuve ds l’

eŒcacité de ce spécifiquçcontre lamorsure du chien eurags’.

smKopfe, und die Durchboîsrang def 0E steffl icfi. SMaæs.1830.—Éleinëfi ,

M M s Vienne, 1830, ill—4 , X fltp£ ’f0ñ lfl fi . MW ÛO‘o EfŒh.

KESSLER (Amu rn—Enw a n), né Iéaaen 1781, y fut reçudocteur enmédecine en 1805 et se livra à l

enseignementparticulier de lamedecine . La Gazette d e Salzbourg , annonçant samaltsous la date du 1

“avril 1806 le regrette comme un jeunehomme

de grande espérance. Meusel en 18 10 le d isait mort sans fixer

depuis qtlelle date . Lindauer en 1834 dit que Kesslermourut le3 1 mars 1806 . Cependant , en faisant l

extrait du dernier ouvragede K essler, ind iqué ci

—dessous , lequel fut publié en 1807 et ne

porte rien sur son titre qui montre qu’

il soitposthume en en fai

ssut l’

ex1rfi t, la Gazette de Salzbourg ne parle point de l‘

auteur

œmme mort. N’

y a-t—ii 11 qu

un oubli ou bien y aurait—ii une errear de date

Dia . inaag . :isteü s ’uegek ôü ü n1ù der Him-tt &:Àædeflafim lim!et animalùatis d ifferentiammutuam 1805

,in-8.

que relationem. Iéna, 1 805, in Ueber die innere Formder Med i

Ueberd ieNaturdersinne; ein Frag cin. Iéna et Leipzig, 1 807 , in-8.

ment sur Phy sik des d ni1nalischen Or Grundzügs zu einem Sy stem d er

genismas. Iéna et Leipzig , r8o5, in — 8. Phy siolOgie des Org anisme s. léna et'

Priÿnng de: Gall'

schen Sy stems Leipzig, ia—8.

KESTNER (Cnui rmn — Gumnw nr) , l’

un d es plus laborieuxbi

bliographes du dern ier siècle , était né le 18 juin 1694 à K indd

bruch dans la Thminge , où son père , N icolas était médecin

pen sionné. Il commença ses études àWeissefifels et alla les conti

nuer‘

a Iéna, où il s’

appliqua d’

abord à la théologie étude q ue la

délicatesse de sa santé l’

engagea bientôt à laisser pour celle d e la

médecine . Ilpassa ensuite à Leipzig où il séjourna deux années

puis àHalle où ilprit les degrés de d octeur en philosophie et enméd ecine. Après sa réception ,

il revint à Iéna. Comme il n’

avait

aucun goût pour la pratique , il s’

appliqua'

s l’étude de l

‘histoiredes sciences et de lamédecine en particulier. Le professeur Stolle

mit à profit son goût et son érud ition , illui emprunta d e nombreuxarticles pour ses d iverseshistoires littéraires et il lui confia le so in

d e composer plus de la moitié de celle de la méd ecine. Kestner

mourut le 13 mai 1747 . Ses ouvrageshistoriques et bibliogra

xsî*

phiques n’

ont rien de remarquable i‘

n’

ais ilsaunôhceiilunb0miii3fortlaborieux.

D iss. inang . de præj udicatis qù i Kurz‘

er fi eghÏ }'

der hiltorie Ë er5usdam in physiolog in opi

n i0nibus. med id aiæhm Gelahrheit üb‘

eifiaufi:Balle, 1 7 19, in-4 . Halle

,1 7 4 4, ia—8 ; ibid .

,1748. L‘

Med:czn 1sches g elehrten hxiÏ on titre seul est nouveau. Kestner en

darin d ie Leben d er berühmtesten mourant laissa manuscrite une tri

A erlzte sammt deren Schnfzen son duction latine augmentée de ciel ou:

derbaresten Entdeckungm und merk vrage, qui n'

a pas vu le jour.würdigsten Streiü gkiæiten aus dem Bibliotheca med ion optitnoruntper

besten Scribt inmœglichsterK ü rze sing ulas med icinæ partes auctorwü

nachalphabetischerOrdnung ôeschrie deIectu circumscrzpta in duos tombiben worden . Iéna, 1 740, in

-4 , 940 d istributa . Iéna, 1 7 46 , in —8.

pp. (Joechér. Rotermund .)

KETELAER (Vmcntt1), médecin hollandais au d ix— sêptlêthésiècle souvent cité comme auteur d

un opuscule sur les aphtesoù l

on reconnaîtun observateur qui vit dans un pays où cettemallad ie est fréquente et qui a eu des occasions mulliphees de lavoitsous toutes ses formes et dans toutes ses variétés .

De aphthis nostrati6us amigo de 1 7 15 ibid ., 1 7 49, id —8.'Cettê der

Sprosv . M iddelbourg , 1 669 in — 8 ; b ière éd ition a été sb ignéb pi lLeyde , 1 6 7 2 , in -8 Amsterdam Schmidt.

KEY ou KAYE (Jnan ) en latin Caius,helléni3te etobservateurd istingué du seizième siècle , naquit à Norwich, dans le comté deNorfolck en 1510 . Il commença ses études méd icales a Cambridge , fut les continuer à Padoue et prit, dans la dernière de

ces Un iversités , le grade de d octeur en Selon d’

autres , ilavait déjà ce titre avant d e quitter l

Angleterre pour passer en Ita

lie . A son retour il fut nommémédecin du roi et d e la reine . En

1559 il fut élu doyen du collège d’

Edmond de-Gouv ille 8 Gad

Bridge , poste dont il se dénlit au bout de treizeans,pourse fixe:à Londres , où ilmourut eh1573 . Il étaitpoète de lacour en fliéihetemps que médecin . Ses œuvres poétiques n

ontpoint vit le jour.

Demed en ’

d i methodo ea: CIar. C d Cl. Galenipergaiü eni libri a‘

liq uot

leni et Jo. Bapt. Mon tan i ,meronensis, græci partira Itactenus non‘

42isi

principummed icaram, senten tia ,liôri partira a mendis quiôus scaleô

an‘

i iii

duo. Bâle, 1n— 8 ; Louvain,1556, humerÏsad 'betusttsstmos cod ”

ces repark

in 8 ; Bâle, 1558, in— 8. gatiet suæ_

inægrüati ra tituti,aüùoüt

321,

tion ibusque illustrati . Bâle,t544 , in — 4 .

Galeni liber de sanitate tacada.

Bâle, 1549, in- 1 2 .

D e cpi:emera bn'

tann ica liber. Lon

dres 155 1 , in— 1 2; ed .Hecke1:Berlin,1 83 3 , ia-8 .

Opera al:°

q uot et v ers iones v idali

cet d e mendendi melbod a ltbri duo.

D e ephemera britann ica . Galenus d e

lib/ is su is et librorumardme llbl‘i duo .

D e ratione 'v ictusHippocmtis in mor

KI

Galeni libri de 0ssibus, de ptisana

etc. Bâle, 1557 , ia-8 .

De can ibus britannicis liber anus .

De rariorum animalmm et stirpiumhistoria liber anus. De libris pmpri ülibcr anus. Londres 1570 , i n — 1 2 .

De pronunciatione g tæt‘æ et lati

næ ling amcumscriptione nova. Lon

dres, 1 574 , in

D e antiqmtnæ academiæ canta

brig iensis libri d uo. Londres, 1558

bis acutis. D e placitis Hippocratis et

P latonis . Louvain, 1 556, ia—8 .

in -8 Londres, 1 57 4 , in Ano

nymc.

(Joecher. Rotermund .)

KILIAN (Connan —Josspn ) , né à Wurzbourg pratiqua succes

suremen t l’art de guérir à Bamberg , à Wurzhourg à Leipzig et

d e nouveau à Bamberg . En 18 10 il alla s’

établir à Saint-Péters

b ourg ,où il est mort. K ilian fut un d es médec ins partisans de la

P b 11010p/1i6 d e la nature dont les ouvrages n’

ont pas l’

importance que pourrait leur faire supposer le ton emphatique sur leq uel

ils sont généralemen t écrits . K ilian a d onn é q uelques ouvrages

d’

un genre fort d ifféren t, sur l’hyg1ene, d estinés aux gens du mond e ,

autant au plus q u’

auxméd ecins.

A nleitung zurE rkaltung und Ver

besserung d er Ge sundheit in Leipzig

flirt d ie Bewohner , N achbarn und

Freunde d ieser Stadt nebst einer be

s0nd em A nwe imng zur P_fleg e d er

Gesundheit fü r Mü tter Ammen und

K inder in den ersten Jahren ihre:Lebens. Leipzig, 1 800, ln —8 .

D er Haus-und Reize-Arzt. od er

Ratbgeber f ür N ichrærzte in d en

wichn°

gsten gd ærlæùslen und scluzell

tæd tlcc7œn Krauklæeiæn nebst emerknrzen Da rstellung d er n euesten

Theorie t iger al/gmeinen HeilÆamleLeipzig, 18 00 , in

-8 .

Gemns der Gemndhe it und d esLebens. EmTasclsenbuchf ur A erzte und

]Vicbtœrzte,auf das Jahr 180 1.Leipzig,1 801.

Entwur/eines Systems d ergesummten M ed icin zum Behuf : seine Vorlesungen und zumGebrauche fü rpraeticirende Jerzte . Iéna, 1 802 , ln-8 , 2 v .

D iff erertz d or echt‘

en und nnechtenE rren ng s Theorie in steter Bez ie

hung auf d ie Schnle der‘ N eu-B l‘owrunner. Iéna, 1803 , ia-8 .

K linischesHandbuchzumGebrauchbey d en wiehtr‘g sten gef ahrwolIstenund Schnell tædtlichen [i ran/sheitanf ur ang ehend e A erate . Bamberg et

VV

urzbourg, 1 804 , in —8 deuxième“

éd ition , ibzd 1 809 1 in 8 .

Ueber d ie in nere Organ isation de f

Hezlhunst. A ls E inleitung in meineZeitschriftfü r d ie g esammte Med icin .

Bamberg etWnrnbonrg , 1 804 , ia-8 .

Die Diæmihderweiblichen Schœn

328

Beantwommg einigerAnmerkungcnM iche sichimFrankenlzausischen I’lælligmzôlatt 4 1 . oct. 1 765, 6e

fimiet die E11ü eckang Zahmvd 1 durchKunstliehe Mag ne“.

saheilm beta]fend. Bmw . Mew . 1 7 65 , p. 1 505

1520.

E inige Anmerfiung mdie K inder$ lattem lettre/fond . lb nnov . Mages .

1 766 p. 14 7 3.

A nmerlangmü ber der N ü tzen und

Ge6rauchder Belladonna. Hmnov.

Mapa . 1 769, p.

'

525.

KLAŒNIG (Gorm u n) né Breslnu en 1676 , fit ses étud es

méd icales à Leip'

zig v isita les Universités de Hollande d‘

Angle

terre et de France fut reçu docteur en médecine à Leyda rev int

se fixer dans sa ville natale , et y pratiq ue avec beaucoup de répu

tation . Il futméd ecin de l'électeur de Pfaltz , et b ientôt après d e lacour et d e la personne de l

'

empereur. K laun ig coopéra à l'

s to

n'

a morôorumvmtislaviensùcm et il fourn it des observation s au

recueil de l’

Académie des Curieux d e la nature , dont il étaitmembre. Il publia l

ouvrage suivant dans lequel on trouve un ass ez

bon nombre de faits intéressam.

No:oæminmehan°

tatis siveh1‘sto n itati sacro obser ætæ . Breslau 1 7 18

a in noroœmio Sanctissimœ Trim‘

ia-4 .

( Kestner. Jœcher. )

KLEIN (Cun nu -Cnn firrnn), né à Stuttgard le 28 iam;ier 1 7 7 2 ,

fut reçu docteur en médecine , en 1 793 dans l’

Un iversité'

d e sa

v ille natale , et s’

y fixa. Il d evintmédecin de la cour de Wurtem

herg chirurgien du grand -duc premier chirurgien penäîonné dela v ille et du territo ire de Stuttgard doyen d es chirurgiens exa

minateur , chirurg ien en chef de la maison d es orphelin s . Après

avoir été chargé ,en 18 1& et 18 15 ,

d e l’

inspection d eshôpitauxrusses , établis dans le cercle de Stuttgard ,

il fut décoré de l’

ordre

1mpérialrrusse de Saint-Vlad imir. Klein estmortle 9 février 1825.

Diss. inaug . si:æns monstromm Gallerie Griechiæl1er wezôlicher

quommdumdescfiptionem. Stuttgard Schœnheü en in 171rm rcitzendesæn AI

‘ 793 1 în‘ 4 müd en ,

‘ in an ( iÆen Geschmak einfæn

Ch1‘r«q ü ehe Bmeü unn Stutt big nad erhaôen (du brut relief) g ean

‘n a, ‘ 80 ! i“' 80

E twas über d ie P ockenepidemie zu

Gottingcn 1 7 7 7 und ü ber di e Dracula

!ion d er Pocken . HenneV. M ega .

1 7 78,p. 209.

J nfrage , weg en d er Trauma der

Blindg ebohrm . 7 57 .

Von d er Km]:de; Magnet: wià :r

Zalmwch. 1 765.

ommed ieinisoften Gebraucä d e:

Magne“ im5ten Jahr/tendu“. { 7 6 6 .

Rotermund.)

l

à l’

UniversitédeWitten berg, enfin professeur à l’

UniversitédeBalle.

Il donna sa démission d e cette dern ière place et se retira à Vienneavec une pension . Kletten estmort le 22 octobre 1827 .

musgegebeu u. a». RM etLei

ebqflliehes Worærbueh, worina night paig , 1 798 ia— 8 .

nur d ie m M aude gnhôf ïgu

Zerg& à xungsfiumt Wundau ncy ransg egeben von D. Gang . Er“hundu, Aporhd u bunfl ,M eide£mæ, K Ietten tete: 81ü çk. k o…et Lei

rñs . ia:—8. a“ re» amBOÂW k 1ÆiPû 8 ,

a g ursprunglühy ieehis D e constitutione morbornn alu“cherWr

s‘

M rfl ssliehau: einander ga lu n a seuW mü pmprü , m a

setz undholla nd ische ,franzä sische, amo m@ o—pracä cæ W…englische und andere Benennunge bey 1 806 , in—4 .

gefügt, w mit ü berdies nochdie wols Program a de prmrsa in a bus

W M Ausguôe un d mit der 1 807 , in,—4 .

nachalphabetischer Ordnwzg cinge

m“cht_en Geschichte der berühmte:tenJ erzte nebst der Anzeige der worzu

glichsten Schuf ten derselben und wie

len andern Zusæçeen mermehrt.TroisVolumes , Vienne , 1 7 88 , in—8.

Wienermed iein i:cheMonatsschnfi .

Vienne 1 7 89 ,ia-8 , 4 vol.

Ver.çu_

cheiner Geschichte de:Verschô‘nerurg stri ebes imweiblichen Ge:chleehte nebst einer A nweisung ,

d ie

& hænheit ohne Schminhe zu erha:h«mGotha; 1792 , in-8 , en deux parties .

0ratio de ingen io medici. GreifeWald , 1 797 ,_ 1n

-4

Kritische Ideen ü ber d en swmt rando aqua: frig ida usu externe in

1næssigsten l'ortrag der ausubendcn d iversismorbis curandis. Wittemherg,Heiihunde mit Ruehsiehtauf d ie 1 8 1 2 ia— 8.

dk…«u «immo«kw wed ameZ‘Α Eiü kü ung in seine me Meusel. Lhdener.)

debiù‘

tantiumdenominatiom Wittenabe

_

rg 180 7 , ia—4 .

Program a de hæmorrhag1a na

rimn in worbis acuti: critica “sale

tari . P ro lus . I—IlI.Wittembprg, 18091 8 1q ia—4.

P rogramme: de comtituäone morborum nervous. Commentatione; I»

7 11. Wi ttemberg , 1 8 10— 18 14 in— 4 .

D e maria malignitatis ratione in

febre scar1atinosa obserr. iü usü . Lei

pzig , 1 8 1 1 ia—8 . Comment. Ho” .

Ibid . 1 8 1 3.

3 36 K

D ias. de Iactis d iteussione. Erfurt

3 7491 {N °

D in . de opäma œsium in scek to

afi ificiose j ung endomm ratione. Er.

fun , 1 7 40, în-4 .

Dm. de laboriôus pharmaco-ciymieis. Erfurt, 1 7 49, it:

—4.

Diss. circa usum v enæ 1ectiætis

inpuerperis . Erfurt, 1 750. ia— 4 .

D ist. de errore loci. Erfurt, 1 750

in

P rogr. en cres Ioci ad pra-ccd .

D isp etc. Érfurt, 1 750, ill—4.

Diss . de salabritaæ. Erfurt , 1 75 1,

ia

D iss. de gutta serena . Erfurt, 1 7 51 ,

ia -4 .

D iss. de sectione menu: meda‘

anæ

nonnunquam pericuiosa. Erfurt

1 752, ia-4 .

D iss. d e capite con ij Bn ni f œ tus

partantf acilitante . Erfurt, 1 75 ia-4 .

Das. demorborumrecid ivis . Erinrt,

1 752 , ia-6.

Php ü aiü ck Untersuchung des

P ila t mle i1en d ie Natur. durchFæuln iss im 1 753 . au] e inigen

Wiesenhervorgebraeht. Erfurt, 1 7 53,

P rogn d e uti iietj ucänd0 inmateriamedica oonne:u . Erfurt, 1 753, in—4 .

D iss. de nitro . Erfurt,1 753, ia—4.

, D iss. de insania . Erfurt , 1 7 53

ia-4.

D iss. decompressione.13111111, 1 7 54,i ll

D iss. piIommmu. Erfurt, 1 754,

iu-4 .

D iss. de incommodo et pericq

min ute. Erfurt, 1 756 , 111—4 .

D iss . d e ehgantioris seau: condi

tioni6us. Erfurt , 1 7 58 ia—4.

D iss. depede‘

culù inguinah‘

6as, insec

tis et averæn iôushominimolestis . Erfurt,1 7 59, in-4 avec trois plancha . Cette

thèse est l'

oum gc d ti répondan t.

Christophe Guillaume Emanuel R eichard .

D iss. de lochiorum retentiorte. En

furt 1 762 in-4 .

Diss. de reguio antimou nmed icinali. E1furt

,1 762 in-4 .

Observatio delue v enerea postsali

rationemno va incrementa capiente in

actis acad . natur. curios. vol. V .

D e proiap:u uteri mensium excctio

rwmùnped ientc , apto tamen inst a

mento itemm reposito ibid . De

morôis q u iôusdam anni versari o tem

}:ore recurrcntiôus ibid S ing alan‘

a

quædam de ictero n ig ro notata phanamena cum sectionc ana tomie—aibid . vol VI II .

WohIg emey nle Vor:ci&lægær, wie d ieObserva tiones aerometicæ Àîinf tig ñ iu,v ermittelst einer genau

en Ueôere ins

timmung derer gewœhnlichen Iustramentorumzu allg emcinemNutzer: zu

bringen ; in den . Mùceü aneisphys icomedico-

_marhematicis Bü chnen ‘

1 7 2 7 .

Quartal 1 . p. 9 . Von einer sehrbequemcn und nü tzlichen A rt

, d ie

Kræutcr abzudmcllcn und nachihrer Gestalt abg ebildet w rzustciled

I bid . 1 7 30 . Quart. 3 ,p. 7 79 .

( Bœrner. Baldinger.

ment. de rebus in mod . gestis .

acad . nat. cnrios . Mœhœn .)

KNIPS MACOPPE né à Padoue en 1662 fi t ses

études dans cette v ille et à Ven ise . Il serv it à la suite du gén éral

Famèse en Balmatie et en Espagne. Après lamort d e ce général

ilalla en Hollande et vint à Paris etàMontpellier, d’

où ilretourna

338

KNOBB (.LUDwG-Wæwm de). docteur semédecin .en l…!

les_

b iograpË es ne donnent aucun rense ignement ami,; quiavo ir été fixé à Leipgng et qui a dû vivre logg-temp; , çar dia.

tance de la publication de son_

pi emier ouvrage à celle du dern ierembrasse plus d

un demi-siècle àmoins toutefoisque Rotermund(ce

.qmseraitfortpossible) n’

ait confondu en un seul deuxd u même nom.

.

Le premier _alors l’

auteur des quatre ou cinqpremiers oui rages indiqués dans _

laj liste smvaute:

Das na rbige nosce te , zur Erhal auteurs dans la table alphabétiqueMag du M m} anaæe durcheine de son ouvrage , et l oæmmnd ,

se

doppeltJ‘ Pa… Leipzig 1 7 1

Basil?” Fakntîfttu n ü üivn.æ. Leip3 ig , I 7

'

IÔ; ä ' se

.Ksmèhæ% —æ & .ä e a.nr w

jgtao . ing.&hwæqg ,gfllæde wuenäç,äp,

godenfirapkèeit,wie soi_cke ,a e

m,al: a usserltclz 1n allen 1hren crop:

tam” une la date du livre,montre

àu‘ilne l’apas vu lai

—même .

k ene Jeua ncnhr, m

mittelsi‘ ein» mit den Sol. 8efiwfi lVerw, A stral, G. Sç l_zes. Leipnjg ,1 7l9,

i1i-8. Ibid . 1 7 47 , ia -8.

Der M‘

ed icm fi r q ertziflsmæ .

“W:; fœ8=

g…hJéæ'

Zufa llen ne sie/1erund ge l'

53cialis ohne

.

eim} est £an des ]VIercuri i

oder Qrte‘tÆsiiü r , èu curitæà . Ee1pzig'

Pt“W G'W Ü Fiacfilqpl17 1 7 , iu

-3: u Πum '

db ebaü atü i'

D ie uber den Sci:ædlichen Mercu

n’

asn.und«fid £mfiea npi irebd M

w ., d ds W in tier

E ]…W æe M ung ,Mè

& . F q fl rM phü “ fltfl tallen iÎereit

M il u a srü va â pü g; 17 83 ,

b £… ü sapoühÆî flenæn }…1mô —m œ e l‘

auteur de cet

m u g. Encre ““non pas KuoeÈ,‘

np°

w il» :o upæd t 1ü s & re dîfl'

èrèu‘

t:

Girtaanaaq ne . ü a ingfi e poin t”

der:

0

am&r,auwn D{umer. SMÆ" A'ÆMÇObstæumihangefullte Magas in . u . s.

w. Leipzig ,1 755 , ih—8 .

)“

ademécrtm med 1cum M n…cine kurzgefasste Methode aller&M æHœitcn und wie soiche' sa cen

ren

:mmmt den à zu gebærigen Pamela,’ver A ngen g eiegt wird: l

‘humburget

Lelfiii g, 1 7 57, ln-8 .

M amaeopæà compendîÿta.Namub6urg , 176 5 ir

…K.NOLLUM “…«&tuaunÿ , naquit irHalbm tü tk 28

afi t 1 706 1 étaitmM eä n,

‘ lni ‘dbrma les“p1€mihænotions d

‘une…—

et d e botaniquegi n il alla 1 l‘

Un iversité

d’léna et,

e1i î‘

7 lf6 à celle de Halle , où ilse fit recevoir docteuren médeéinèlD visita ensuiteBerlin et revint sefixer dan

__s sa v ille

natale , ouil se livra à la pratique sous les auspices de son père…En 1749 ilfut nommémédecin…qnué d

O…igfi mig .o

1751 pour se conformer aux dern ières volontés de son père q ui

venait de mourir ilrevint àHalberstadt. Il y obtintbeaucoupde

succès dans la pratique de son art mais ilne jouit pas long —tempsdes avantages de saposition , car ilmourut le 24 février 1757 .

Diss. inaug . (Præs. A . 5 Bü chnfl o)demed icamerttrs traumaticis eorumgue

{çg itimo usa. Halle 1 746 ia—4.

A ôhandhmg {von der Verd ickung

des Gcôluts in der Lange. Halle ,1 746 in 4 .

_

Histoñ scfie, theorische und praktis

çhe Betrd ctung'

d fl es tlurzlichv erg efallenen NachtæandeIn& Hfl beu ædt,1 7 4 7 , iu —æ.Quedü ubourg, 1 7 53 ,iu-4 .

d u q lmfin, 11114 da sn:WirkungenM apa .Halberfl arb , 17 48,W ehrezbcn wond en Schaden des

_bgfl c ndz

gm Wassertrinkem. Werni

gerode 1 750 ia—4 .

Sendschrezôen v on den S‘

cñædfichen_fl

’ ifl igmg ep des ü êcrm‘

æssiÊen lîr;and

weintrinkens. Wern igero e 1750

Gedanken fuen der Lago der Krauâçn ,

in einemÇ cndschreiben .

Dza Wirhrng en d er Luf t in/dem

ritenschiiciæn Kœrper uberhaupt; aus”

Bom.

,Gm“nden crlæutert.

Quodlin ourg ,°

1 7 52 , ia—4.

KDBË R (Tomy), né à Gorlitz se rend it à l‘

Université d’Helm

stadt en 1590 y futproclamépoète lauréat en 1595 et reçu doc

t_e_ar en médecine service l’

année suivante dans

,les troupes impériales ,

suivit le corps d'

armée d e l ‘

archiduc

[d'

Autriche dans l a guerres de"la Hongrie cbntre‘

les Turcs ,«et

âipt ce .poste pendant sept années:Ilrentra alors dans lavie civile,,et futmédecin pensionné dela Basse

—Hongrie.

'

KÔb er mourut en,1625.

De lac” et tiüus,q uiém.irÿ'

afl e n@ édie, qui . valut à l‘auteur le laurier

tas sustantaatur. Gorlita 1593. poétique.

Disp. inang . med . d, in

Scndschreiben mon den WirÆupgen des 0ajfi etñ nlæns. Quedlinbourg,752 , ia-À, en français.Quedünbouçg,

1 752 , in

A bbandlungæn aus—der Arznq wis

send mf t. Quedlinbourg , 1 7 53 in-4 .

Gedanâen ü ber ein rg e Materim aus

der A rzn eW r‘

siæ sc/zaf t.'

Quedlinbourg , 17 53 ia-8 .

Fortsetzung derGedanken ü ber ei

n ige Ma tcn‘

en aus der Armq wü su .

sckafi . Quedliubourg 1 756 in«ù.

Wermiscnte Anmerfiungen aus der

An ucy g d ahrhe it. u tes und 23 8

Sn‘

1ck.Halberstadt , 1 7 57 , in— 8 . le

même ouvrage sous le titre suivat

Seths und zwanzig medicini5cke Arts

ar6eitung £ fl , ill Wwhen d iG SÎCI{GÏ SÏ G

A rt der Xur wersehierd encr“Krank

haiteu und da6q sichereignend£r Z 11fælle nebst Gebrauchder A rznei

mittel sorgfæ2‘tig bascb‘ïbhfl i vird .

HaIberstadt , 1765.

( Bœrner.

mund.)

340 KOE

morbosa œ nstitutione et solutione tadt 1658, in—4. C‘

est l‘

ouvrage le

continui. Helmstadt , 1595, in-4 . plus important deK0bcr.

Historica descnptio rerum circa Descriptio Buda . Leipzig 1606

Budammetropolin regni Hung ariæ ia—8.

mense octobri an. 1598gestarum. Leip Kober a encore publié quelques

tig , 1599 ia—8. opuscules en vers sur des sujets étran

Observationummed icammcastn n 5 médecine ,

siuns decad es tres. Francfort 1606 (Wesxpremi , need .hangar. et tran

in in 8.Recus. cum sylv. 6iogmphia. t. I.)ind . et prof .henr. Hei6omii. Hebus

KOCH(Gumaru n—Msarm), né à Breslau en 1 752 obtint à

l’

Université de Leipzig un e place d e professeur extraord inaire de

médecine à laq uelle iljoign it b ientôt celles de professeur‘

a l’Ins

titut clin ique de médecin à l’hôpital Saint-Jacques , et au collège

d es femmes . Il passaitpour un médecin auvent etpour un praticien

hab ile . Ilmourutle 1 2 février 1803 . Son principal ouvrage est l’

a

bregequ‘

il a fait d es dix—huit premiers volumes du recueil de mémoires choisis à l

usage d es méd ecins praticiens volumes qu’

ila

réduits en six en y ajoutant quelques notes .

Disp. anotomico—plvsica de bursis

tend inum mucosis . Leipzig , 1 7 89

D isp. 1°

@ ug . de worbis bursarum“nd im mucosarum. Leipzig, 1 790,

ia—4. Ces deux thèses qu i sont

fort bonn es on t été réimprimées dans

J P. Frank Delect. opuse.Rotermuud.)

KOEHLER (Juan—Van nrm—Hu ur), né à Weimar en 1 764 se

lonMeusel etRotermund en 17 7 4 suivant le d ictionnaire de chirurgie de Bust accompagna son maitre Loder dans un voyage

scientifique en France, enAngleterre et enHollande, d evint chirur

gien de la cour du prince de Saxe —Weimar fut nommé sous-ia

specteurd e l‘hôpitalethospice d

acgouchemens d’

léna , etprofesseur

particulier. Ilmourutle 26 avril 1 796 âgé de 23 ans suivant le d ic

tionnaire de Bust, ou de 33 selon Meusel et Rotermund ce qui est

plus probable . Koehler appartenan t à une famille sans fortune ,

avait été placé en apprentissage chez un barb ier. Loder ayant en

occasion d e le connaî tre apprécie son mérite , en fit son aide d’

a

natomie favorisa ses études , et pourvue à son avancement.

Programm de/e6reurticata . Le ip

zig 1 792 .

Sammlung easterIesener A bhandlungen sunt Gebradchf ür prai ria

_

che A ezrte in einem A nsa g e gw

bracht. Leipzig , 1 79 1— 1800 , in.—8 6

vol.

(Meusel.

K

t mdœ i zte. Ratisboune, 1 vol. ner Schn_

'

flen be£refimd. nati-bonne ,i 11-8 . 8 7 85 i ll-8

Mathematik [ner J erste . léna Med iciniæ Ia-pmhiu ‘he Jahrgænga1 792 in—8 . en ter t rgang 1 7 7 4 . Ratisbonne

E inkùnng in die Naturg esefiiefite 1 801 ia—8 1 8 1 pp.

uehrhanpt und in d ie Kmu£er&und e G{flpflanzen au] Stein n6gedmckt ,besonden , net Linueü efien Hamm, nebstBe:ehre ibungvn zwn GebmncbOrdm gen und Unterabä eü nngen fit! J ersta Apotheker Wundæm:

zumstufem isen Untern'

cht bouw i: Sœ borg er auf d emLande , Privat”

cher Zægiing e. Nuremberg 1 793 zieher und Schuü ehrer. Retisbonue etin—8. Ratisboun e , 1 803, ia—8. 8tadtsmb0l‘ 1805, ia-4.

Na:wg eæhicfitÊ fuer A erzte und A nimng sa D . Johann Jacob KohWunda rste besonders [ner :olehe Im E inleùung in d ie Naturgm11iehædie in Kleinen Smd æn und auf dem ueberlzaupt und in d ie Kræuteü unde

Lande wohnen . Nuremberg , 1 794 6a onders, nebæKapf ertafl b1und einerio —4. Erklæmng da selben . NurembergKurœgefasæ Naturgeæhid cæ nach 1 806 ia—8, feu illes et sa planches .

Koblu s a fourni des articles à le

bu g , 1 794 , in—8 . Gou tte d e Salzbourg .

(Med . Chir. Z eitung . Meu-el.)

KOHLRElF Gonza or —Ann ur né Lubeck le 2 11 octobre

1 769, fut appelé à Saint—Petersbourg poury professer l

’électricité

méd icale, près de l’hôpitalciv il, et laphysique dans l

école d e chirurgie. Il cessa d

occuper cette place en 1 795 et mourut à SaintPétersbonrg le 8 mai 1802 .

Von der Wahren Todesart d er Wamne eine Wirkung derZersetzungE f tran&enen und d en hieraus g efol d e: Elementarfeuers und Phlogi“ongerten sehichlichü en Mitteln f ür d e: serre. We imar, 7 87 , ill—8 .

gleiclaen Ung iücfl id u . Lubook, 1 7 7 8, t andlungm der Ba ch/[enkei:in 4 . und Emflan derLuf t sm b! der fœSefireiben an Weiekhcrd . Reval yen atmosphœrùcÀen als eü geseblm

1 786 i i i -8 . senen Smbenlnf t, auf Leben nnd Cc

J nimadven iones erù ieæ in d ieser sundheit derMenschen. Weiœenl‘

els et

tationem de coloris etj rigori:modifi Leipzig 1 796 , ia—8. Deuxüme Jd ie.

mi0n ibw ete . e schola med ieo chirur Weiu euîels 1800, ia 8 .

g ica nuper dwnlgaæm. Seint—Pétera K0blreif en outre publ1e de nom

bourg, 1 786 , in breux mémoires dans d ivers joum ux.

(Med . Clair. Z eitnng f Meusel.

Wa rme rvomrmchen und sollte d iese Ilotermund .)

KOLBANY (PAUL), né à Presb ourg en 1757 pratiq ua l’

art d e

g uérir dans cette ville , y devint le second médecin pensionné au

316

Vertheid îÿung à r Alc71ÿmie gegend ie & nwuerfe neuerer Scñrifl:k l£er

6 e:onders desHem: Wfi ebs. B uis

bourg, 1 7 89, in —8 .

N ocl1 ein Paar Wofi e ueber A leby

mie und M eg Ieb , oder erster Anhangder Vertl1e idig ung der A lch_7mïe gegen d ie E irmmerf e der neuesten Ge

g ner. Du ishourg 1 79 1 iu— 8.

Von Urin , als einemZeichen in

KranÆheiten und v an den K unstgrÿf en der Harnærzte , wenn sie daraar

d ie Kmnfiheiten sagem Duisboulg

1 7 93 in —8 .

mwadær. NàM ü 25 1Nuthen und ‘vbn ler

Bert—itung ”r

fl q ortñæMn vhppo.180 11 ia-8.

D ie q ]‘

ce n ine 8œü œmtæ .

Elbefl‘

eld , 1809. in-8 .

S&izze einer Zeit—ù ndme…:

efiicl1te der A fi neûlumt ’v6h171ñ ”1

Unprnnge au i l: km): fl nfanÿ? ü :

19 Jahr(mndefl s N r l erzœ und ”7cbtærzæ. Vous, 1809 , 111—l ; i

vdllfi .

Aosg. 18 19 , ih m leportrait del'

auteur.

(Md . Chin Zeitung .

KORTUM (Cuaa1m—Gaonons-Tnñonoar) , né à Dortmund , en

Westphalie le 29 mai 1 765 fut reçu docteurenmédecine à Gusfi ngue en 17 85. Après avoir pratiqué quelque temps DotttnhbÙ,il se fixa à Stollberg petite ville du duché de lullièrs, dohl il futnomméméd ecin pensi0nuéæn 1790 . Il avait obtenu, cri 1788, unè

mention honorable d e la Société royale de méd ecin e de Paris ,pour le traité sur les scrofu

les qu’

ilavait envoyé au concours ou

vert en 1786. Nous ignorons l’

époque de la mort de Kortum.

D issertatio de apoplexia nervosa .

Gottinguc , 1 7 85 i ii —8.

Commentarim de r ide :mfnlϙindeque penda

‘ntibus morbis secunda

"ü ‘ . Lem80 , to n r 1 7900

Medicinùchchirurg iæhe: Hand5uchder A ug mkrankkeiæu. Lemgot. I , 1 79 1; ll , 1 794 . in—8 .

Med scumch-pmhische B ibliothel.

1 7 89 ,1 79 1 iu-8, 3 vol. Faite en

commun avec J ChSchæffer.Beyn œge zumpraktu chen Arzney

wi:senschafl . Gottinguc , 1796, in—8 .

pas,simemendatumet auctum. Franc

l'

ort—z.ur—le-Mein, . 1 791, in-8 .

P ollstænd ige phy szlalisei«enische Æ ñandlung neber d ieMme

ñ

Mmemlquelü n nnd M a in Had“.und Bur“ehæ°

£ Doisboü rg , 1 798

l'

a-8 . Dortmund , 18 18 ia—8.

Ueberd ieumchædlichü ùd er,Kircb

hoefi:un d Begræbnisse in Stæd ten undD eer/fem. Osuabruch, 1 80 1 in-8.

Le Journald‘Hufcland contient

assez grand nombre d‘

articles de

K ortum.

(Med . Chir. Zeitung . Comment.

Kæmpf Enchin‘

d îon med icam de rebut‘

in me!. g e“. Aug . med .

A”fl…e M d s)

KOESTLIN Camu s—Hu et ) né le a3 avril 1 755 on , s‘

e10i

d’

autres en 1 754 à Blauhuiren ,ou ,

selon Meusel a Brecken

heim fit ses études à l’

Un iversité d e Tub ingue. Lors de l’

étabhs

348 RBL

sique dans celle de Copenhague depuis 1 753 conseiller de justicedepuis Ilmourut au mois de juillet 1 795. l‘artisan des prin

cipes de l’

école iatromathématique Kratzenstein a écrit tous ses

ouvrages dans une forme et avec un appareilmathématiqnes qui neleur donne pas plus de solid ité. On d istingue ceux relatifs à l

emplo ide

l’

électricité en méd ecine.

Théorie d e l‘élévation des vapeurset des ea bala isons démontrée…unmatiquement, qui a renmorté le prixauj ugement de l

Académie royale desbelles lettres , etc., «le Bord eaux. Bor

deaux, 1 7 65 iu—4 . En alleman dB elle, 1 745, ist—8 . Deuxième éditionBalle, 1 74 7 , in-8.

A bhanä ung mon demNutzen d er

Elmtricitæt in der J rzne_rsuissen

saha/t in einemSchn iben an D . G .

I'. F . . etc une! v d uu efl e Au

sg a6e .Halle, 1 7 4 5, in -8 , 9L

Ensuite sous ce titre:

Phrsü aliæbe I]riefe mon d emNut

zen der E lectricitæt in der J rzner

wi nemchafl . 3te Vermehrte J usgabe.

Halle, 1 7 46 , in—8 Halle, 1 7 7 2 , iu— 8 .

Theoria electricitatit, more g eometrico explicata . Halle, 1 746 , ia-8, fig .

Theoria j luæus d iabeä ci q‘

usque

explicata . Halle , 1 7 46 , in-4, fig .

Recus. inHaller Disp. mal.pmct.

J bbaùdlung mon den E itfiusse desMondes in d ie Witterung und in den

mensd tliebrnKa rper ein ProgrammHalle, 1 74 7 , ln

—8 .

AMandlung v on der Erzeug ung

der Wærmer inmenæhlicben Ka rper.

Halle, 1 7 48, ln-8, 1 pl.Vartheidigung desHerm ambefl

ger'

s gegen'

den Bu rn Kessd . e

1 7 5 ia—8 .

D e resolutione et impotentia mntusm eularis. 60penhague , in—8.

eumqae

mmatiwä z. C0

Historia restiætæ lg uela par elec

tfi sationem. Helle, 1 753, inVod esungen ü ber elieExperimentaL

Phy sik in einemAussug e . Cop‘

enhagmæ1 758, ia-8 ; ibid ., 1 7 70, ia-8 ; ibi«L.

1 7 78, ia—8 ; ibid ., 1 7 8 1 , in 8 ibid .,

1 7 83, in—8 ibid .,1 78 7 , iu—8.

Sy stem phy sica experünentalis .

Copenhague, 1 764, in—8.

D iss. d e ‘ttlcea uga ad morbos sanaudos appü cata . Copenhague,r7 6 5,ia-8 .

Theoria cursus oceani

penhegue, 1 766, ñu—8 .

Diss. de duplici febrium ind ole .

Copenhague, 1 7 69 , in -8 .

Amolitio fais inertie:etmis repuhiva: ‘vttigo inter pn

ndpia motas et

quietis corporum sed [also rela ta

rum. Copenhague, 1 7 70, in—8.

historia plantarambene merendi . Copenhague, 1 7 7 1 , ia—8.

Tentamen resolvend i problem ab

academia scientiarumPetropol. ad a

1 7 80publicbpmpositum. Petersbourg,

1 7 8 1 ia—8 .

D iss. tbeoria infla

penhague, 1 7 8 1 , ia—8 .

L'

art de navig uer dans l'

air. Co

penhague et Leipzig, 1 7 84 , in—8 .

Gemeinnü tzige Sammlungen sans

Nutzen und Vergnügvnfi iraü e Stande .

Quodlimbourg et Blanhenhomg1 7 87 9 i.

' 80 home s

ÜW 351novü simç recensait notasz

ue 4 ‘ÿ‘,Ë ÏÉ 1311 die }Yundm ny . Leipzig 1 786

Leipzig, 1783, iii—8. in-8.

ÈœVit'

et au meute la dern 1ere édi Enfin lÇ ranze amis des préface: ention «ik-mande ccef ouvrage . tête de d i vers ouvrages de Troja van

Job. Z achar. P latner’

s E ink ùnng Doeveren , B iancon i , etc.

(Meusel. Rotermund .)

Kl ÉBS (Enfi n œ ü uñæmu—Cnn œ âæé à Osterwick en 17 57 ,

fit ses études Heknatad t ‘

fut'

reçu docteur en 1 780 pratique

Burt dc'

gmirir à Qued limhou1g , flit premiermédecin de laprincesse Amélie d '

e Prusse abbesse de Quedi inb 0nrg, et enfin mèdecin penQionnë d e la ville et du canton de Blankenboprg . Ilmourutle

_1o ni\ai 93,

Diss. ina,ng. deapopiexia peripneq. f gn und Bla:tereiniz

npfen 16id ., B . 1a .

mon ian indù an{e .Helmstqtd 1 7 80 S . 3 . S. 2 57 . 2 83

Etwas aber d ie Mode in der Med i

cin in denHa_

lôerstæd t. Gemeinnü tz .

1 78 1 ia-8 . Blættern St. 36 . mon den

hey—

{mgzur4rzney iichen ( fn ac/zen def immer: einer

deng LabdÈQue inbog rg , 1 7 8 ‘ip

-8, werdmden Nervensçhwœ ene ; ibid .,i

Med iË in iscà( eoôaclqinna 1 11ç i1 St. 19 . u . 2 3 .2 E in worschlttg

Blind“ ÊtesHef t. Quedlinb z‘

11r Vermin_

d_

erung d es Holzmang el:un d Schonung des Shah: ibid .,

1792 . 20 .

A nleitung zumrichtigen Gebrauchd er n iermi£tel bey Pf erden ; imBraunschweig . Mag azin 1 79 1 . S: 49

neuen: lind 50 .

B ey trag zur Erkiæmng der Ges

penster oder Geù lerersede inung en

im Braunscñcv eig . Journal. 1 790,81.

3 . S . 3 19. 32 1 .

KRUECER. (1QùANE naturaliste d istingué, né àHallele i 5 juin 17 15 fit ses étudespr

emières dans lamaison des orphalins. Il suivit ensu ite les cours .d e l

Un iversité , et s‘

applique aux:

mienne; physiques ccmathématiq ues. Il futmaître en 1 7 37 . L'état

de samuté d emaad äht qu'

il fit divers voyages, ilparcourut la‘Si

l‘oie . Il se fit recevo ir d octeur en médecine en 17 42 à Halle . Il

5111professeur extraord inaire en cette science }’

année su ivante et

plus tard profeœeni ordinaire. En 1751‘

ilallà occuper à Helm

356 KRU

ï mueb wie alle'

Amn derFruchte unrem uer liegen ibid 8 . 9 81. 6

lange Jahre zu erhalæ11 ohne dass Von der sogmannten Hü tænÆatusie v on ihren Æigenschafi en en… in den Hall. A nze

'

g cn 1 74 8.

w fl ichren , ibid . B . 2 . 1 . 8 . 50. Kriiger fourni le fond de beau

11.fl‘: & breiben anHm. i Ï Kæs coup de thèses soutenues sous sa pré

m: °von einer v ers:einefi en Feuer sidence et publiées sous le nomdu'

am e , ibid ., B . 5. St. 4 .— Nacbricbt candi dats.

21011 einemSteine mlchcr sichin dem Haller. Bœmer.

Gaumen n u age: ibid ., 8 . 6 . 81. 4 de rebus in Med . g estis.

Beschreibung der Graf: su War muud . Meusel.)ba g,

wo v erseiu‘

cdene Labimamef 4 st

KRUENITZ (Jsan—Guonoz) l’

un des plus laborieux écrivains de

l’

Allemagne , naquit à Berlin le 28 mars 17 28 . Il fitses études méd icales à Gottinguc Halle et Francfort— sur— l

0der, et fut reçu doc

teur enmédecine dans ladern ière de ces Universités en 1 749 . Il s’

a

donna quelque temps à la pratique à Francfort , ilfit des leçons surl’

oostéologie ;mais b ientôt il laissa toutpour ne s’occuper que d e ses

travauxlittéraires . Il alla se fixer en 1769 à Berlin , où il trouvait

plus de facilité peur ses rechercbes et depuis lors quoique avec

une constitution faible etune santé cbancelante , il ne cessa de d on

ner quatorzeheures par jour au travail, aussiput— ilpublier, san s

même s'aider d u secours d’

un secrétaire et san s se reposer surper

sonne du soin de corriger ses épreuves un nombre immense d e volumes. Kn

mitz mourut le 20 d écembre 1 7 96 . Il étaitmemb re d elaplupart des sociétés écon omiques de l

Allemagne et de l‘

Acadé

mie des sciences deMayence.

Nous n’indiquerons pas ici une multitude de traductions qu 11 a

faites d’ouvrages littéraire: ou scientifiques, n i ceux de ses ouvrages

qui sont absolument étrangers à l’

objet dece d ictionnaire.

D iss. inang . de mfl rimonio multormn morborurn remedi o. Francfort

sur-l‘0der, 1 749, ia—4.

Character“ profimorum in reg ia

v iadrina. FmŒ rt—sur—l‘0derg 758,

Gemeinnü td icber Vom tb amserimner Aufia tze sur Bcfærderung derHamM ængswü semcbafl K ünste

l anufacæren und Fa6rü en wie

auchder Arsney geIabrheit und Na

tuflefirs, mitKupfern. Leipzig,1767.

68, ia-8, 3 vol.

Verzd cÆnùs der ?wmhmænSchri/æn mon der Rü dwùhæ cfie .

Leipzig, 1 76 7, in—8 .

Verteicimi u der Vomelmu tenSchriflen v on der K indeqmcb n und

de ) -en E inpjmpfi mg . Leipzig, 76 8

in—8

Catalogue 6iü iotùecæ SassmiIcü ana cumnad: littemrio—cñ £ieir. Ber

lin, 768 ia— 8

Veru ichniu «ier Pamela—sm8ehfi]æn v on der Eb fifi :üc t und

KYP

secundæ add itioni fundamentormsuorum medicine: subj nng i curavit,

Subj ung untur ejusdemtrmssnmtamed ica Quibus cmtinentur medicinæ

extat cumq‘

usdcm institutionibu:phy fun damnta .Amsterdam, 1654, in-4 .

sicis. Leyde, in -1 2.

4 ntlrmpolog ia corporis bumanicantontorumetanima:naturamet fuirtutes secundum circularem sang uin is

motuns explicans. Leyde, 16 47 in

1 2 ; Leyde, ,165o, in-6 ; Leyde, 1660,

in -4 .

d isputationibus brevü er compleæens

que ad institutioncs pertinent. Acce

dunt ej usdem d isputationes phy s icomedicæ misc ea atque politica

de orig ine etjure mag istratus dejurebelli et de fœderibus. Beyde, 1655

Institutionesmedica , adhypothesin ia—8 ; Leyde, 1 666, ia—8.

de circulari sanguinismeta composite .

rm ne LA rann ni as n an a nu roux rao1stùus .