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DICTIONNAIRE
HISTORIQUE
DE LA MEDECINE
ANCIENNE ET MODERN E
pAR DEZEIMERIS
mcrnun—n ñnncm, maman tcn nn DE LA henn é DE n—tnzmunnn mn s , xan ax; LA socn îrñ MEDICALE D
‘
EMULAHON DE LA
n ûxx VILLE, ET DE LA socxfirñ DE MEDECINE nx ow n .
TOME I I I . PART IE .
° A PARIS ,
CHE Z BÉ CHET JEUNE , LIBRA IRE ,
vn c: nn L‘ECOLE- DE-MÉDEC IN L; N
°l.;
A. BRUXELLES ,
A U nñpôr GÉNÉRAL DE LA m u mu: MÉDlCLLE rnmçn sx.
4856.
DICTIONNAIRE
HISTORIQUE
D E LA MÉDEC INE
ANCIENNE ET MODERNE.
HAGENBUT HAYNPOL ouHANBUT,plus connu sous le nommal latinisé de COENARIUS Janus l
’
un des principaux res
taurateurs des lettres et d e lamédecine grecques, naquit à Zwickauen
'
1500 . L’
éducation de son premier âge fut peu soignée celle
qu’
ilreçut dans les écoles peu fructueuse ;mais b ientôt une ardeur
incroyab le pour l’
étude s’
empara du jeune Hagenbut. A d ix-huitan s il se ren d it à Leipzig , Où deux années de travail sous tmmaltrehab ile le mirent en état d e d even ir inattre à son tour. Il donna
des leç ons publiques de grammaire grecque , il expliquales poètes
et les orateurs grecs et attira autour de lui un grand concours
d’
auditeurs. A vingt—nu ans il fut nomméprofesseur de philosophie
à Wittemberg. Pour obéir à ses pamns il se donna quelque tempsà l
’
étude iii:la théologie mais ill‘abandonnu b ientôtpour celle de
lamédecine. A vingt— trois ans il étaitlicencié en cette.science . Selon
Zeumer (Vit. profess. ienens. il auraitpris le grade de docteur
dans l’
université de Pavie ; circonstance dontBaldü ger ne ditrien
non plus que d ivers autres biographes.Dégoûté d e la vaine garmäté des médecins arabes et de l
’insup
portable proüxité des commentateurs Comerias résoiut de puiser“l. 1
BAG
une connaissance approfondi e d e lamédecine dm:les tom es grec
ques. Ou n’
aurait pu trouver alors dans toute l’
Allemagne un seul
exemplaire grec d es œuvres d’Hippocrnæ, et des versions latin es ,
il n’
existait que celles desAphofimæs etdesprognostics. Quelquesmauvaises traductions d ’
un petitnombre de traités de Gafien étaient;tout ce qu
’
on possédait de cet auteur ; Comarins résolut de courir
lemandepourœmettro larecherche de cesprécieux trésors del’
tiqui ié. Il parcourut la Livon ie , le Holstein , le Mecklenboœ g ; il
voyagea en Belgique en Angleterre , en France, en Suisse , et il se
préparait à passer en Italie lorsqu’
iltrouva à Bâle, chez le célèbreimprimeur Froben un exemplaire de Péditibn grecque d
’Hippocrate publiée par les Aldea et les œuvres de plusieurs autres méd ecius grecs.
«0
La seule traduction latin e qu i existât alors des œuvres d’Hippo
crate était celle d e Ca1v0 , publiée a Rome en 1535, et elle n‘
avait
po int franchi les Alpes. Les sollicitations et les encouragemens d’
E
rasme d éterminèrentComariuS à en entreprendre une nouvelle. Elle
lui coûts quinze armées de travail, mais il se créapar ce grand et
d ifficile ouvrage un titre de gloire solide .
Revenu dans sa patrie Cornarius eut d‘
abord le physicat deq hauscn ,puis il futmédecin pensionné de la ville de Francfortsur
—le—Mciu. En 1542, le Landgrave Philippe l'
appela a Marbourg
pour y occuper la chaire deméd ecine. Il fut:recteur magnifique del’
académie l’
année suivante, etildemeuraàMarbourg Jusqu’
en 1546,
qu’
il rentra à Zvñckau , sa ville natale. Appelé à Iéna , en 1557 ,
comme professeur , il fut bientôt nommé doyen de la faculté. Uneattaque d
’
apoplexie mit fin à ses jours le 16 mars 1558.
Cor‘
narius acomposé quelques ouvrages ,mais c’
est sur les servi
ces qu_
’
il a rendus à son siècle et à lapostérité par la traduction de
la plupart desmédecins grecs que reposent ses titres à la gloire et
à notre reconnaissance.
1529, 1 53Q, ill—4 . q d Jah. Herm
g erme 1 551, ia— 8.
Med icina , siremedîcus, ü ber anus.
Bordea apud Mùhaëhm Ma nia!
S( ellam, 1556, in-8. Apud 0porücrmt,
in—8 . Ama‘
unt omä ona M :
Hr‘ppœmds epistolas iuterpæ laü u
est et“edidù. Coloniæ 1544 , ia
-8 .
Hÿ1pocrates rive doctor wenn
cratz‘
a azrat camopen‘
busHippoemtr
'
s se ven ir, et ed itü Basä eæ,
an d on…, 1643 ,‘
un—ici . Da i
M G
avec d istinction futmembre de l'académie des curieux de la un.
ture ,médecin de trois électeurs de Saxe , etmourut d’
ap0plexie ,non en 1694 comme le dit Jœcher,mais le 1 7 février 1691 ,c0mmeon l
’
apprend dans son éloge par Samuel Lodel; inséré dans lesEphémérides des Curieux de la nature.
D issertatio,præside f ac. Thomasio,de Cammis. Leipzig, 166 1, it!—4 .
D ist. præs. Jo. Thead Schenck, demacie pueromm ea:fascino. Ie
'
nn
166 7 . in— 4 .
Martini Kalandi patris'
secreta
spag irica sive plerommque medicamentomm ruland inommgenuine: descriptiones cum scholas edita. Iéna
1 6 76, iu-1
Tractatusphy sico-medicus de Catechu rive terra j aponica in amIgussic d icta . Iénn, 16 79, in—8.
Œ nosbatolog ia. léna 168 1 ia—8 ,19 1 fig.
HAGUENOT (Hatem), doyen de l’
université de Montpellier etde
la société royale des sciences d e lamême ville , était né le 26 janvier 1687 . Il eut dans ses études des succès précoces , et il n
’
avait
pas encore atteint l’
âge de vingt ans quand il fut admis à la société
royale , comme élève; il en étaitmembre en 1 7 1 1 . Une chaire futcréée en 1 7 15a faculté de méd ecine pour Jcan —HenriHuguenot,le père , il la céda bientôtà son fils, qui l
’
occupa pendant un d emisiècle avec distinction . Parvenu a quatre
—vingts ans, ilcessa de vo ir
desmalades et q uitta l’
université en conservant le titre de profes
scur doyen-vétéran . Il fut nommé l’un des synd ics perpétuel: de
l’Hôtel Dieu Saint— Eloi . Ilfit don à cethôpital d e sa bibliothèque,qu i était assez considérable , afin que les élèves enmédecine y trouvassenttous lesmoyens d
’
instruction réunis. Haguenotmourut âgéde plus de quatre
— vingt-huitans , le 1 1 décembre 1 7 75.
Mémoire sur lemouvement des in Mémoire sur l’hy drophoôœ. Dans
ta tin: dans la passion iliaque. Dans les Mémoires de la 8011. royale des Sc.les Hémoirc: de l‘Acad . royald des de Montpellier.
Sciences , pour l‘
année 1 7 1 3, p. 351 . Mémoimconcernant un m ec”:
vivant. p ilier, 1734, ü -8.— M …tpar
1690 , ia-8.
Observationum et bistoriammmed ica—
practicamm rariorwn cen turiæ
tre: q ttibus anne-z a analecta qua-dam
ad historia: nonn ullas illusü andas .
Francfort et Leipzig , 1698 ia-8 .
Hzgendorn a fourni en outre , au
recueil de l’
A cadémie des curieux dela ndturs , un grand nombre d ‘observations qui toutes sont indiquées
dans la B ibliothèque de Mang at et
dont plusieurs sont reproduites dans
cette utile compilation .
(Kœtnæ .— Mauget.— Jæcben )
HAH 5
les frictions môrcuriellea que l‘on en; par M . docteur en mèd . de l‘A
treméle avec l‘usage desb ains .
Mémoire sur le danger des inhumtioas dans les églises . Montpellier,1 7 48, in-4 . Ce mémoire avait déjàété imprimé dans les Séancespubliquesd e la Soc. roy ale des Sc. de Montpel
lier. Ilse retrouve dan s un recueil in
titulé:Mélanges curieux et intéressamd e d ivers obj ets relatifs à la phy sique,à la médecine et à l‘histoire naturelle,
cadémie des Sc. de Montpellier, etc.
Avignon . 1 7 7 1, in -1 2 .
Tmctatus de morbis eætemis capitis. Avignon , 1 7 50, ia- 1 a.
Olia phy siolog ica, de circulati0ne
de pulsu a rteriammetde mala musculomm. A vignon , 1 7 53, ia 4 .
(Desgenettes , Éloges d es académiciens de Montpellier, etc.)
HAHN S1msuonn père d e Jean Godefroy , praticien etmèdecin pensionné a Schweidnitz, en Silésie , était né dans cette v ille le
23 novembre 1664 , avait fait ses étud esmédicales a Le ipzig et à
Leyde , et reçu le b onnet d octoral en 1 689. Il fut quelque temps
premier méd ecin du prince royal d e P ologne Jacques Sob iesky
etmourut le 6 octobre 1 742 . S igismond Hahn s’
est d istingué entre
les partisans les plus déclarés de l'
emplo i méd ical d e l’
eau froid e
l’
intérieur et l'
extérieur.
D ispatatio de v isu, pra s. D . Rivino.
Leipzig, 1686 , in-4 .
D issertatio inauguralis de melancholiâ hypocho:tdfi arä . Leyde, 16 89,
wœrmta alt ka i:Baden and Trinken .
Leyde, 1 7 3 8, in «‘ 4.
Heller attribue à Sigismon d Hahnl’
ouvrage suivant , qui est de Jean Si
gismond , son second fils
P eterswœlder Unten icht mon Kraf t und Wii :
8d 1weidn itz, 1 7 3 2 . kung desf risehen Wassers . Breslnu
Schid ia q rænosi.. avecnn 0puscule 1
845, in 8 .
de J .—G . Hahn. ( Adelung . Comment. de mb. in
P srehrolusia v eterum renovata med . gest.)j am recoeta oder wieder auj ge
in 4 .
G aundbmnnen .
BAHN (Jcan—Godefroy de), fils duprécédent, naquit à Schweidn itz, en Silésie, le 18 janvier 1694. Ilmontrad e bonneheure d ’heureuses d ispositions . Après d e bonnes étud es faites dans le gymnase desa ville natale il se rend it en 1 7 14 à Leipzig , où il eut l
’
avantage
d‘
être admis dans lamaison du célèbre Jo . Bi1mkard Mencken , etd
’
y lier connaissance avecMascov , Kapp, Richter, Triller et autressavans , dont elle étaitle rendez— vous. En 17 15 il soutint sous la
présidence de Schadær une première thèse , et il en présida uneseconde l
’
année suivante ; dont il était l’
auteur, et qui fut soutenue
par son frère , pour obtenir le grade demaître en philosophie . Il
H0ratio de mutuo matheseos et che
mise aui io. Utrecht, 1 768, in-8 .
Oratio de med ico speculatoæ.
Leyda, 17 75, ln-4 .
0ratio de usu wenenomminmedi
cina. Utrecht, 1 7 73 , ia-IÇ. E ditio nova . Leipzig, 1 7 75, in
-8 .
( Meusel, Lexihon . Marx d ie
Lehre v an den Giften .)
HAIGHTON (‘
J01111 chirurgien d istingué de Londres docteur
en médecine etmembre de la société* desmédecms , vivait à la findu dernier siècle et au commencement de celui— ci. Il a écrit un
certain nombre d e mémoires , qui sont peu étendus ,mais intéressans et pour lesquels ilmérite d
’
être connu
Thehistory of two cases of thefractured Olecranon withsomeâ emarÆs.In Medicalcommen tariea 1 785,LIX,
p. 382 .
A n A ttempt to ascertain thepowersconcerned in the act of w miÿ ng . Me
soph. transact. 1 7fi ,p. 190, etinMe
d ical facts and 0bs., tome VII, p. 155.
An experimentalinquiry concern inganimal impægn“ion. In Philosoph.trpnsact. 1 797 , p. 1 59.
A case of tic douloureux or pain
moirs ofmed . 800. of London 1 7 89 f ul aff ection of the f ace successf icl{rtome II,p. 250 . Two experimentson the mechanism of ;vomiting sup
plementaly to a paper lateb* read be
fare this society . Ibid . , p. 5 tu.— Selon
Haighton , le vomisœment ne saurai t
avoir lieu , n i par les seules contrae
tions de l‘estomac, n i par celles d es
parois de la cavité abdominale ilfaut
que les n ues et les autres concourent
ensemble pourle produ ire.case of orig inal deafness with
the &ppearance on dirsecticm Mem.
ofmed . Soc. 0i Londou , tome Ill,1 792 .
treated by a d ivision of the afl'
ecæd
nerve. In Med icalrecords and reseat
cheb selected fromthe papers ofaprivate medical association .
‘
Londres
7981 P‘ 9°
A n inquiry concerning the true andspurious Cæsañ an operation, in whichtheir d istinction are insisted o n prin
cipa ily witha”
view to f orme a moreaccurate estimate of success to wichare annexed some observations on thecause of the great dang er. la Medical
records and researobes selected fromthe papers of a private medical asso
Experiments made on the la:y u clarion . Londres, 1 798 p. 2 42 .
geal and rectÎmnt branches,
of theeightpair of nerve: witha view to
La b ibliothèque de la Société médico—chirurgicale de Londres conserve
determine the ejf ectt of the d ivision of un manuscritde Haightog s intitulé
those nerves on the 'voice. Mom. of Lectures}ouphy siology and natural
ed . Society of London, tome 111 philowphr. in-8.somla date de 1 796p. 42 2 . (Reuss das gelehrte England .
Case hj dmphobia, In‘
London k oh. Watt. A Catalogue°
0f the Iicd. Journal, tome VI,p. 36 1. 6rary qf the med . and chir. Soc. «yA n expa ünentd l
‘ürgciy concerning London .)the reproduction of nerve:. In Philo
10
Rapport ( suivi de soixante—trois ob Mémoires de la Soc. royale—
demédesa vations et deux Supplémens ) sur les cine, 17 86 .
effets d'
un remède proposé (par Pra Rapport sur l'
état actuel du cours
dior) pour le traitement de la goutte, de la rivière de Biévu . Mémoire defait à la Faculté demédecine de Paris, laSociété royale de médecine , 1 7 89.
duministre de l‘
intérieur. Paris, 18 10,ia-8.
Observations surlesphénomènes etles v ariations gap présente l
'
urine
considérée dans l‘état de santé. Mém.
de la 80e . royale demédecine 1 7 79.
Détail: des expériencesfaites pourdéterminer les propriét et les eff etsde la racine de dentelaire dans le trai
tement de la gale. Hétu. de la Société
royale de médecine, 1 7 79.Observations sur d eux ouvertures
de cadavres qui ont présenté desphénomènes td s—d ifi œns de ceux que
semblait annoncer la malad ie, Mém.
de la Soc. royale de médecine. 1 780
1 7 8 1 .
Mémoire sur les effets du camphredonne‘ ù haute dou , et sur la pro
priété qu’
a ce médicament l i tre lecorrectif de opi1m. Mémoires de laSociété royale de médecine , 1 78a1 7 83.
Observations sur les parties W la
tiles et odomntes desmédicamens tirésde? substances p e‘gétales et an imales.Extrait d
'
un mémoire de Lorry . Mé
moires de la Société royale de médecine, tome II et tome V.
Réflexion sur la fi rmsecondaire
et sur l‘
anflm dans la petite—whole,
Mémoires de la Someté royale de médecine, 1 7 84-85.
Réflexions sur le traitement de lamanie atmbilaire comparé à celui
de plusieurs autres maladies chroniques, et sur les avantages de laméthode évacuante dans ces maladies.
carte de la Bièvre.Mémaiœ sù 11 807
piété royale demédecine, 1 7 89.
Procès-«verbal de la 'visite fa ite l4long des deux rives de la Seine de
puis le Ponb Neuf j usqu‘à la Râpée et
la Gam, le 14 février 1 790. Hémoires de la Soc. royale de médecine,1 790 .
Observation d'
une atrophie iä opathique simple c
’est—à -d ire qui n
'
a été
précédée par aucune malad ie primitive ou antérieure , et n
’
a été accompagnée d
’
aucun accident et d’
aucun
gymptpmc étranger. Mémoires de l'
In.
stitut (Académie des Sciences), t. I1 798.
Rapport sur l‘
examen de la mé
p4 r l’
im alafion de la m ine. Mé
moires de ”Institut, tome V, 1804.
Histoire de plusieurs v accinations
pratiquées Lucques dans les moisde j uin et j uillet 1 806 . Mémoires del‘
Institut, tom. “II, 1807 .
Exposition des faits recueillis j us
qu'
à présent concernant les effihdela v accination et examen d es o bj ections qu
‘
on etfaites en dÿfflmnsmaps,et que quelq uesperson a [ont w enn
«m cette pratique (avecM ollat
Paray) . Méta. de l’
Institut t.XII
1 8 16 .
Extrait du rapport fait à .la classe
des « sciences phrsiques et mathémtiques de l
‘
Institut national au nom
de la commission chargée de v érifier
l’
çÛicaefléde la gélatine animale dansle traitement desfilm intem i
1a HALdernes, et l
’
un d esméd ecins les plus savms qui aient vécu en aucun
temps , était de Berne, où ilnaquitle 16 octobre 1 708 . Ilmontra dèsson enfance des taleus etun amour du travailqui n e sontpas de cetâge . Aussitôt q u
‘
il sut écrire ilrangea par ord re alphabétique touslesmots qu
’
ilapprenait et dont on lui donnaitl’
explication . 11com
posa ainsi une espèce de vocabulaire chaldaique,hébraïque et grec,auquel il a souvent eu recours dans un âge plus avancé. A d ixans
il composa d es vers latins et allemands qui étonnèren tsesmaîtres; ilse vengeaain si d e la dureté de son précepteur en peignantdans une
satire latine tout le ridicule de son pédanfi sme. A douze ans ilavait
extrait du d ictionnaire de Moreri , et surtout d e '
celui de Bayle
l’histoire deshommes les plus célèbres dans les sciences. On lui avait
donné une leçon à traduire en latin ; il la r‘
apporta tradu ite en
même temps en grecavec la plus grande pureté.
Son père, qui tenait tout son b ien de sa place, mourut peu'
d e
temps après, et le laissa, à l’
âge d e treize ans , presque san s for
tune.
Jusq u’
à l’
âge de qu inze an s ,Heller se livra ent1erement à la littérature et à la poésie . Il éprouva à Bienne un malheur imprévule feu ayant pris à lamaison dans laquelle il demeurait il n
‘
eut
que le temps de se sauver avecce qu’
ilavait d eplus précieux,c’
est
à— d ire avec sespoésies. Relisant quelque temps après les vers qu'
il
avaitainsi dérobés aux flammes, et surtout plusieurs satires genre
pour lequel il avait le goût le plus vif et le talent le plus décidé , il
se détermina à les y livrer d e nouveau , et il fut assez courageux
pour faire ce sacrifice à la bonté de son cœur.
Un secret penchant le détermina. à étud ier laméd ecine . Ilpartit
dans ce d essein pour Tub ingue en 17 23 . Elie Camerarius et Gecr
ges Duvernois y enseignaient alors avec célébrité, ce fut d’
euxqu’
il
reçut les premières leçons d‘
anatomie et demédecine .
En 17 24 Georges—DanielGoschwitz professeur dans la faculté
deHalle‘
en Saxe avait cru découvrir un conduit salivaire derrière
la langue . Duvernois se joign it à son d isciple pour démontrer que
ce prétendu conduitn’
existaitn i dans l’homme n i dans les quadru
pèdes.
Entralné dans une partie de plaisiroù lui et ses camarades s’
eni
vrèrent il résolut d e ne plus boire de vin , et il s’
en priva pour
toujours.La grande célébrité dont jouissait alors l
‘
université deLeyde yconduisitHaller en 17 252
HAL 18
Pendant queBoerhaavaenseignait lamédecine et la botanique
Albums, toutjeune encore, démontraitdéjàl‘
anatomie; ils donnèrentàHeller desmarques particulières de bienveillance. Mais ce qui lui
inspira surtout le goût de l’
anatomie etlapassion du travail ce fut
le superbe cabinet de Ruysch, où aumilieu de tantd‘organ espréparés d
’
uneman ière surprenante, il aperçut un vieillard nonagénaire
d essécbé par les ans , mais toujours laborieux etactif. Animépar desi beauxmodèles,Haller travailla avec tant d
’
3rdeur que sa santé
en fut dérangée.Un voyage fait dans la Basse—Allemagne avecdeux
d e ses compatriotes le rétablit etpeu de temps après son retour à
Leyde , le grade de docteur lui fut conféré al’
age de dix-huit ans.Ilchoisit pour sa thèse le sujet qu
’ilavait déjà d iscuté Tubingue
conjointement avecDuvernois. Ilfit voirdans desplanches très—exactes la veine qui avait été prise pour un conduit excréteur.
Après avoir été reçu docteur, Heller quitta la Hollande pourvoyager en Angleterre . Ily vitHans—Sloane Douglas et Cheœ lden.
Tandis que son esprit s‘
éclairait dans le commerce de ces grands
hommes ses études de médecine se pcrfcctiormaîent dans la visite
assidue deshôpitauxavecdesmédecins expérimentés etpar lapra
tique de lachirurgie qu’
il se rendit familière . En quittant l’
Angle
terre ilvint en France où les Geoffroy les Jussien s’
aü aebèrœ t
lui dès qu’ils l
’
eurentconnu . Le Brun fixa son attention par ses le
çons et ses opérations chirurgicales.Winslow surtout qui fut son
maitre , fut toujours un de ses amis les plus chers et le modèle
qu’
ilproposait le plus souvent à ses disciples :la passion naturelle
deHaller pour la vérité lui faisait d istinguer cc—
savant entre tous
les autres parce que celu i-ci se déclara toujours l
’
ennemi des systemes etparce qu
’
il se bornait à peindre fidèlementdans ses écritsce qu
’
il avait observé avec perspicacité dans seshab iles d issections.
Heller auä ‘ît voulu prolonger son séjour à Paris mais il se vitobligé en quelque sorte de s
’
en échapper. Ils’occupait lad issectionavecunprosecteur nomméLagarde lorsqu
’
un particulier, voisin de
son appartement eut la témérité de faire une ouverture aumur deséparation . IlpoursuivitHelleren justice et le contraignit de rester
caché long— temps.Haller s‘
exprime de lamanière suivante :Banc
d iscendi Opportunitatemmaligna curiositas apérarü turbavit qui
efl'
ossopariete quid ageremspeculatus means nomen ad viros
publiræ securitati præf ecto: detulit ut graverpæna1,f ortê m‘
.
1A HALremes effagtrertz, intendummt
‘hifait , etdeserendamdavera. Ri
blioth. anat. t. 2, p. 196 .
Avant de retourner à Berne son projet était d‘aller en Italie ; la
faiblesse de sa santé l'ayant empêché de faire èe voyage , ilpartit
pour la Suisse , où il passe quelque temps auprès du célèbre Jean
Bemouflii, professeur demathématiques à Bâle. Il s’
y livra entière
ment à ce nouveau genre d’
étud e et ne quittaBey 10uilli que quand
ilput réd iger lui—même les lecons de son illustremaître.
De retour à Berne en 1 729 B allet se livra a l'
exercice de lamédecine avec toute l
’
activité qui lui était naturelle, et avec le succès
qui l'
accompagnaitpartout.On refusa àHaller laplacé demédecin d
’
unhôpital qu’
il acllici
tait en 173 4. Une injustice de ce genre n’
a rien qui doive étonner,mais on sera sans doute plus surpris d
‘
apprendre que les admin istrateurs qui l
’
avaient commise, eurentlecourage d e la réparerpeude temps ap
rès , en lui donnant cettemême place qu’ilremplitavec
distinction'en 17 3 6 .
Ses talens pour l'
anatomie étaient tropmarqués, pour que larépublique de Berne ne fût pas tentée de lesmettre àprofit. Elle fitconstru ire, en 1734, un amphithéâtre pour les démonstrations d
‘
a
natomie dont il futnommé professeur.
Ce futà peu‘
près à cette époque qu’il publia son recueil d’
odes
et d’épltres en vers allemands . On y trouve les traits qui le caracté
tisèrent toujours une grande sensibilité, de la noblesse ,de l’
éléva
tion etde laphilosophie. On peut d ire queHaller est le premier q uiait faitmarcher d ’
un pas égal les taleus du poète avec ceux de l’
a
natomiste .
A des taleus aussi décidés pour la poésie Haller joigmit desconnaissances très— étendues dans la b ibliographie etdans l
'histoire.
Il eut occasion de les développer en 1 735. Ayant ét mmé alorschef de la b ibliothèque publique de Berne , il dressa un catalogue
raisonné d e tous les livres que cette collection renferme , et ilran
gea suivantun nouvel ordre,plus de 5000médailles anciennes, dontilfit une table chronologique .
En 17 36, la régence deHanovre lui offritune chaire d’
anatomie,de botanique et de chirurgie à Gottingu e. La promesse qu
’
on lui
fit d e fournirà toutes les dépenses nécessaires pour l’
exécution des
grands projets qu’
il avait formés l‘
engagea à accepter les trois
places.
Hellercommentaitetexpliquaittous les ans à sesélèves les insti
:s nat:
afi jonr 111 1747‘
ses P‘
rim‘
rt: l1‘
n‘
eæ phy siolog‘iæ ouvrage où tout
est exacte:concis, etdontl’
apparition annonça aumondemédicalQue deserisais laphysiologie seraitune science positive.
u n ans après, pa s…: grand e,Æ m‘
ortelk physiologie déHat!Œ ,
-Œ vmge km nu — dessus' de tous led éldges qu‘
au p‘mfi ‘Mit
faire ; et il l’égard duquel on péüt
‘
dire qr}te jamais; 1111 aucun temps;c‘
l d ima aucune science ou ne vit paraitreun ( râl16 quimm.—amas
d‘ânemanière aussi complète la somme de toii: les faits ofi servés ,de toutes les notions acquises, qui fit!
“aùs$ i conipiëtè
‘mentdégagéet d ont l
‘auteur aussi & u&it que Savant se
’
fit titl *êœ oir et“fù t eirétat , comme Haller de‘ rapporter cliàquë
m m; chaque remarque utile à son‘
véritflbl‘
è auteur} E‘ é?aitnir
phenomene remarquable de von l‘1mteü f rester libre deuma
'
semü iœ «é«.ms 111 systèmes i1nagiflés poæiæ‘
expliquer 1es‘
mystères de la vit!haleine . ll seu—n na‘!vefimrt l‘es Pâit8 et‘ il les
décrittous sans aucunepréd ilection parceque sa q iñ tè stflft‘mas:
ils fonfi tous partie intégrante?d e'
la'
science'qu'il tfä itë. étä ît cb fl £
vaincu que lei hypothèses serventm‘ô in
”
s ä éclairerl‘esprit (f1f à flat.
propre età—égaret
i la'
raison, que là vérité et lespréjugésles aecnéditcnt qu
‘elles fontredouter l
‘
expéfl efiœ qui est‘lëur tdm
beau, et qu’
il arrive à ceuxqui ontlemaib eüt de le5‘
ptéfä el‘ â
'
l‘ob
servation d e la nature ,ce qu
‘épioü væ1t tant d
‘hofi‘
fifleä tp:è les ro
mans dégoûtent de ‘l'histoire.
01111reprochémumd«wô_
& pmd ign£ l”
érfidïtïob sanssapfiyn'
d ï
logic, confine dans ses cœü‘
mmtnires sin‘ Boerhaave . Ce réproefie
prouvemoihstmd€fi ü ’rëeldansces Ouvrages,qu
‘
unegranddlëgèm&cher ee0x qui l
’omfait:Comb ienHall‘etÿù"Œ t— ii paè
‘ab‘réÿé àou
vail sa‘
maretranché d e ses…ugæ; !es utiles eltam lqu
‘on y
trouve !Huis comb ien ne‘
lui doit— ‘
où pas de reconnaissaü de pour
m irprésenté ce tableau rapide des anciennes‘
déeofi vcfl'
es’
äü r chak
qué.rhatiètæ, pour avoir faithonn eur à chacun d es sç_rv ices qui i!
avait rendus , pou‘1‘ avo ir conduit si…od émeùt aux sources de
la science ceux qui.veulent en profiter. Il“n
’
est point un“eompfl a
teur dans génie qui entasse tout' ce qu
’
iltrefl e sons”
d iscernementles ouvrages deHaller seraient impafl ä iæ sains son érudition . S
’il va
puiser à toutes les sources ers’i lrapporte de toutes parts les faits
déjà 1113 et le.. rq n es‘
111131 faite s iln’
en est pas moins richeen idées qui lui apM fl éfi î , les répand dans ses ouvrages avec
M ignlité , et‘
11n’
y parmis—as économe que—deEme‘wates ces sempmpic5ùHeller;«fui ontagrandi lascience
HAL sg”
vii son dŒ Sfi1é; ilt‘a—utm asq uerd
’
unemastère particu 4
lierë , êä usè de l’inflticficé qu’elles ont eue sur laméd ecine tout
entière , au déconvefl és ét ses vues sur l’
iù ltä bŒtê , surcette force
inconnue, cachée dans l"o1gahisatidn d es animaux, entièrement d istitlt:té de l’élasticité et de toute autre fotce commune aux corpsinerganiq
‘ues, et dont quelques espritsmo in s réservés que lui ontvoulu faire l
’
un ique principe de toute vie . Haller eut à» ce sujet,avecWhytt; Lémure, Lorry, Leest et d
‘autres, une d iscussion dont
l’m urd e lavérité étaitlemotif de part et d
‘autre, et où l
'
on trouve
d ’
ai lleurs cës égards et cette retenue q ue tous leshommei et surtoù‘tl
‘
es savant se doivent réciproquement.
Mais il c'sttemps de reprendre la vie de Haller. En latsænt de
unepourunmomentses travauxlittéraires,nousnecessero‘
nspoint
de trouver pour lui d es titres d e gloire dans ce qui nous reste 1
d ire .
La régence d'Hanovre voulut faire usage de l
’hab ileté , et tirerparti du génie de fi filler, se servir de la con
fiunoe d ont on Phenotaît urs éta
bfissetñefl s utiles . Ohfondapar ses conseils un Beau théatre d ’une
tètnié. Œ Œ bllt un jard in botanique, et on bâtit dans le voisinageun e maison à Haller pour lui en faciliter la direction . L
‘
université
dut à fi het «à ses soins l’
éü b lîssem fl:d’
une école‘
où de jeun es416s s
’èxü cjaient faire des d essin s…q …et b otan iques
avec laprécisi on et l’
exactitude que ce genre exige ; lacreation
1fi cä bfiœt de préparations anatomiques; celle d‘un M ége de
dont il fut nommé d irecteur , et cèlle .d‘
une école p‘
è 1ir
tés u èkæ miaæs . !:nfin c’est Haller qu‘on doit —la a mas de ta
sdeifi é royale d es sciences de G1fitingùe, qui futSous Sa présidence,et qui est réfl ée d épuù
‘
une des académies les plus célèhœ de
E n…. Une création de Halle—r, qui n’
est pas indigne de figurer
à côted e esfles qui viennent d‘etre —ind iquées , ce fut lapublics…
d u journalme.—1…d e Èoü ingoe , que son active collaboration
m intint long— taupe au premier rang des recueils du men é genre .
Nous'
ne parlerons pas des titres et d istinctionshonorifiques quivinrent de toutes partschercher le pmfæsm de G otfingæ ni de:
tentatives 1…e1 que‘
firentplusieurs souverains p‘
bur l’appeleret
le fixer dam…états.
Halleravait passé d ix— sept ans dans l'université dent ilfi n it ‘la
glieifie , N ü p‘l‘iùa
‘
nt avecun zèle qui ne œ d èrñentîtyamms, les pénubles fonctions de plusæurs prù… sréunis.Les gmndrouvran
HAL
qu‘
il avait entrepris lui faisaient souhaiter de pouvoir d isposer pluslibrement de son temps. L
’
état de sasanté le sollicitait encore de
rentrer dans sa patrie .L’humid ité dese nvirons deGottinguclui était
nuisible . Il se trouvaitpresque privé d e l’
usage d’
unemain . Il crai
gnait lui-même de voir d iminuer son ardeurpour le
»travail. Il ohtin t aomois de mars 1 753 d e la régence d
’Hanovre, l’
agrémentd
’
aller en Suisse où il se fixa pour toujours.
Ce n‘
estpas ici le lieu de présenter Haller redevenu citoyen de
la république qu i lu i avait d onné la naissance occupant successi
vement les places les plus importan tes du gouvernement avec le
zèle desmeilleurs patriotes , avec les lumières et l’hab ileté de celui
qui n’
aurait jamais été qu’
administrateur ouhomme d ’
état. Les ou
vrages qu’
ilpublia sur l’
économie politique prouvent qu’
ilen avait
fait une étude profonde, etqu’
il y avaitporté lamême ,jŒ tesse d’
prit et lamême profon deur qui caractérisent toutes ses autres prod uctions .
Haller reprit b ientôt la suite de‘
ses occupations littéraires“
, etde
puis lors il étonna le mond e par l‘ mbre et l’immensité des ouvrages qu
’ilpublia. Il suffira d
’
en vo ir l’
ind ication dans la b iblio
graphie qui suivra cet article, pour partager l’
étonnemefl :de ses
coutanporfi ns.
Mais parmi ces ouvrages il en est cinq dont nous ne pouvons
nous d ü penserde _parler ici , car on ne connaît que biŒ 1 —impaü aitement, quand on les ignore, le prod igieux savoir de l
’homme quiles
,
composa Ces ouvrages sont les commentaires de Baker sur le
M e thodus studi i@1ed £ci d e Boerhaave, et,ses B ibü otfiêq qes,d etan ique , d
’
anatomie , de chirurgie et demédecine pratique . Faire le
recensement de tout ce qui a jamais été écrit sur les sciencesméd iacales , classer tous ces ouvrages par ordrerhronologiqne, ind iquerà 1
’
égard d e chacun d’
eux ce q u’
il renferme d ’origi nal, et qui ne se
trouve pas dans les ouvrages antérieurs, porter.un jugement sur sonmérite, telle est l
’
effrayante tâche queHaNer osa s’
imposer, et dansl’
accompü ssement de laquelle on peut ,d ire qu
’
i l a s urpasse, non
seulement tout ce qui s’
était fait avan t lui en histoire et en bib lio
graphieméd icale mais tout ce que possédaient alors dans lemêmegenre les sciences dont la littérature était le mieux cultivée.La vieillesse fit sentir de bonne heure ses incommod ités. à un
homme usé par tant de travaux il essaya plusieursmalad ies graves , et tomba dans un épuisement quimit fin à ses jours le 111 dé
cembre 177 7 il étaitâgé de soixante—n euf ans.
HALP our suffire à tant d
’
ouvrages, la vie deHaller avait dûêtre trèsoccupée . La lecture des livres n ouveaux qui lui étaient envoyés d e
toutes parts était le seul délassement qu’
ihse permi t. Il couchaitdans sa b ibliothèq ue , et q uelq uefois il passaitplusieurs mo is sans
en sortir il y prenait toujours ses repas , et lorsque sa famille s’
yrendait pour les partager avec lui ilréun issait tout ce q u
’
il avaitd e
plus.cher aumonde . L
’
anecd octe suivante, donnera une idée de son
ard eurpour le travail. Peu de temps après son retour d e Gottingu‘
e
à Bern e, en montant l
‘
escalier d e l’Hôtel— d e— Ville ,
il tomba et se
casse le bras droit. Le traitement en fut confié à un chirurg ien hab ile . Haller l’oublia b ien tôt pour ne s
‘
occuper que d’
y suppléer;et dès le lend emain son chirurgien le trouva au milieu de ses li
vres, écrivant facilemen t avec lamain gauche . Son amour excessif
pour l’
étude avait influé nou » seulement surs on caractère ,mais encore sur tout ce qui l
’
env ironnait; samaison était d evenue le sanc
tuaire d es sciences touty était consacré à leur culte . Des élèves as
semblés en gran d nombre sous sesyeux dan s sab ibliothèq ue et dansson amphithéâtre ,ses enfans , sa femme elle-même, qu i avait apprisà dessiner et à peindre afin d e se rendre utile , ses amis et ses concitoyens se faisaient un d evo ir de contribuer a ses travaux Cette
impulsion s’
était commun iq uée de proche en proche; lui seulrecueillait tout suffisait a tout , animait tou t.Haller était membre d e vingt
- trois académies ; c’
est— à«dü e que
toutes les socie1e‘
tés savantes de l’
Europe avait tenu àhonneur de lecompter parmi leurs membres.Voici la liste des ouvrages deHaller
D issertaä o experimata et dubia de
dactu saliuali Cwebmiziano. Leyde ,
1 7 2 7 , in-4 et dans les D isput. anal.
selegç , vol. I , et dans les 0per.amt.
minor,, tom. 1.
F ermob Schweitzerü cfier Gedichle.Bern e , 1 7 32 ,
in -8 (anonyme ) ; édaugmqat. rbid, 1 7 34; ibid. , 1 7 4 3;Got
tin guc , 1 748, in-8 1 75 1 , ,in—8 ;
ib1'
d ., 1 7 49 , 1 75 1 1 753 11758 ,
ia—8 ; édition plus complète ,_Qat
finew 1 768 . i‘
m—8 ; onzi ème elder
eièf °é‘lîtioa soignée. sans 1‘
flPteacvBerne , 1 7 7 7 iu—8; réimpressions
Dantzick 1 7 43 ia—8; Zurich,3750 iri-8 ; 1 758, 1 762 , 1 765 , in 8 ;Vienne 1 76 5 , in
—8 ; Berne ou Ulm,
1 7 7 2 ia— 8 ; en allemand et en fran
çais , Zurich, 1 750 ia—8 en fran çais,
parV . T. Tachamer,Go ttinguc, 1-7 50;
ia Zurich, 1 750 ,ia Leyde ,
752 , ia-1a; Zurich in
corrigée et augmen tée , Berne , 17 60.in — 12 ; Paris ,
.
760 in —8 B:
ome ,
7 7 5 in—8 . Plusieurs d es pièces
contenues dans ce ont .été
réimpr11nee _
s.séparément, .et.H&M…en d iverses langues.
H4Ll et“ , ( a: «en er
_
zicÀœ{e Wa isçnbnas betrei æqq
1 155 1“ 4751 Zurich. 1758 111—1;
.
et fi n:. leswlîkùu te«tækfi &chrfi ça
du pouê« k emw . I‘
m— ta.
et in Open minor., tome II.
d es os. Lausanne , 1 758 , ia— 12 , et in
Open minor…tome I I..Ç :çperiences sur les parties sensi
ôlçs et imtaôles . XV parties. A Leafam ,
1 759. i.M æ.N oyammplantarnq1 du cripü ones
ad societatem rpg 1am G,ottingensemmi«æ . 1 gôo , in -4 .
4 d ennnçerationem stirpiumheb e
ticatnm emend_
anonei et g uetaria.
Berne , 1760; Pars Il : Ç nrn ÿ iscek
Ianeis societatisprivata;eg cnsa.Turin,
1 760 ; Pars III : Bâle ,1 76 1 ia—4 ,
etdans les A ct.Hein z. a. V,° Pars. IV
Berne in— 8,et dans les Act.
lle/9.1. 9 n, p…. 63,
Pars VI :Miri. 1 765, ia-4 . Unenou
vellq édition des preæière, secondeetqeetf îèmç partiesramàliâlg sa1 765, in —8.
E çymeratio stirpium 3114 ! in Helnetia ran ore
_
s pron n iuÿ . Lausanne! 26Q îQ’ 80A d versus illustris A n t
_
on ii de ”nen
@fiïcultates Jpalogia . lb id , 1 761, in
8 ; Berne , 1 7 6 1 ,in 8 ; Lausanne ,
97
dans les $ I,eine tratsche $ chrifl en.
Expériences sur l’
évapora tion de
l’
eau salée . dans les Mémo i1eq delAcadémie des sciences de Paris. Enallemand , sous ce titre :
_Kurzer A us
zug und B eschreibung der Salzwerkeim Amte A elen . Berne 1 76 5, ia— 8 ;et dans lç Klein . teutsch. Schrif te_n .
TI1. a.En franç .:Description des salines'
du gouvernement d’
A ig le; tradnitepardeLease àYverdumNouvelle éd ition ,sous ce titre :pes Hen n °von Haller
ü ber Schweizerischemlzwerlce
,11111Autzôaren allgeme inen
Anwenaung en 4 11[d10 g esamrn te Salzwerkskuçzde dure/1rgesehen berech
d 1nit*vieÏen Z11sætz€n keraas
°von KarlChnä tianLanq orf .
Leipzig und . Francf01t 1 789 iu-8.
Historia stirpinm ind ig enammHe!y etiag tamns ( Il cum iconunç volu
n,1ine . Berne , 1 768 in—fol. ; ouvrage
entièrement neuf.'Npmenclator exhistoria plantamntind ig cnammHelvetue excerptus. Ibid .
,
1 765 ,1n—8.
Principutn artis med icæ collectio.
Lausanne,
1 76 8- 1 7 7 4 , 1 1 vol. la 8.
Kleine tençsche Schrif ten . Berne ,1 121 17 12 ,
3 parties , ln-8 .
B&lioti;eca Qotan ica . qua scripta adrem herb
_
ad am facie1itia a retma
1(utns recensentnr , tomus I . Temparaan te Toq ra b rtiüm Zurich
,1 77 1 .
Toma: Il, a Tourmf ortio 4 11
1 36 2 . En allemand , parH. K.Hirsel. tempora . lb id . a u in -4 .
Zurich 1 76 1 , ia— 8 . Usong cine morg enlændische Cc
Operaminora emendata nacta et sch1clzte . Berne, 1 7 7 1 , 1n
renovat_a  na toniiqa adparles corpo.
ris immanimtgles an imales natural“ .
d‘ou} . I, Lausann e,1 766 ;T. Ill, etRelptipi1 des
A Boo 1264 in 4. En allemand
‘ "
7 ‘ s 111-8 ; Berne , 1 7 72 . ia—8 ;
Berne 1 7 7 5 , in 8 ; Berne , 1 7 7 7 ,
in -8 ; rcnnprime à Franc[011-sur—le
Mein , 1 7 12—8. En français :Lan
sanne , 1 7za , in— 8 ;q is, 13 7a, in
— 8 .
En anglais (parJosephde Plan ta)
H 3 1
M êfl â‘
e 1æ1»1,1:111111)tkÿu‘
ôlo“
trs «1111n » ,tu: 11
gù , M s IJ M odo… ray onne «au }111 M e1 d1plb 1 734 .
aù‘maä l âkæüomm lù , pdt Vat En fi rm Hal/v 1‘ugafimk
u ne de M e” . k f n q ä t inùehw Huee h Jafire
1140» 10 lol h—8. 1 945611 17 76 1 rmmü ’W fl
Hallgra{oui-ni a…hea_
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ai geben widmi1 «vend u dam-n AH1; _n d
ticles a liée par de Îm
ä£ ü aus d er Gesc 1c£e und Litte
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Ë ëlice et unemu itu d extræta der fledæin begfezlèt 41011 D. Ï .
Ü. Usær i su‘r
Blind , Bèrùè , 1 789 ,fi er hnd Jter
la., 1 991 ; 111a8:Eùu a‘
1 pafl .
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qwäao—u w wm nmäÆ .e m
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.avi—r W …gm Vol: i l} . Ep‘ mb , d m . 7tom‘
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1760 ibi% 1w6,W a s;publiapar1D eux parties .
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y»m ler “ dm…na‘ wd amep‘m ad!
M sbü ü . «%m W pnfi M M M»)W W W UW N F »
HAM … (Gm a—Eaaam) naquit à 161111,le dwdéebmlære1697 , de Georg es
—M t… 13… dehælæ'
ü ufirgñ es
et d e bhys imœ , et d e .80phie—w he8pñ fl iü . finir phfihü dm æ
lesp ai n s… d e lag… .…iub e1 A . Sr. Bam furent
m ü ahe‘ chas ses Dèsmïphhjeu…ameer,Ham………véæù aü em ioù pèb rhpéflflfi læ« Il ä happü à £œü
HALgwbmd ühM um,mel on!
qu…d ümde mèch4Üm 1710 43!
u m M m:. Awd un: Mc acta:
n ibw an'
nd iæ tur. Iam 1 7 48 , in—4 .
Sa d wlcn z‘
boæ au Horrt: Hofi athEaü cr in Ga t£$ægm wogm einer in
da ga tfing ü chæ gvkkfimZaùungvn
b fi nÆù /wa Ram d amd u Hamk a
Ta m im bem . lens 1 7 48
în-4.
D i s. exponens un ius pulsadonis
prada—
q“, guaUmu dod o. Inn ,
" 4 89h“De afi ahmä ‘m. Ienp, 1 749, ia
—4.
De og io . Iena, 1 749, in—42
D e,
emen‘
corumagend imodo et usa .
Im“. 1 7499 ia—4 .
Do Pùrgantîôu:. lena 1 749, ia—Ææ.De exantbefltaä ôm sÿ edz
'
atbn de
purpura . Iena, 1 749 in—4 .
Prog . I-I de aêf e cdrp0rfbn: in
dmc. Iena 1 7 49— 1 750, in-Æ.Di x. de dalan in gamm. leu:
1 750, it:
Dcmig ü us . lena 1 7 50, km,.De rÿgidî taæfibmrum; Im , 1 750 ,
De nutritîom. Ieha 1 756, in— 4 .
Prog . I -IV, de percer» maktadñn i; cum. fena, 1 750— 1 751, ill-4
D ix . d e siti . Iena 1 751 in — 4 .
De scirrho. Iena 1 75 1 ñu— 4 .
De naturaf ebris. Iena, 1 7 51 , ia—4 .
De scorbuto f rig id o . Iena, 1 75 1 ,
i t:—4 .
m i, q u modo ago.d i rem«ä 0mmW M :» a lçfacimtz
‘
um. Iena,
" 51, ill-6.
Dc amùmibœ . lena 1 751 , in-4 .
Do M mbimæm «a…b oa,1 75 1, i
‘
a-4 .
Da«tomb caw it in M om. lu i
1 7 5 1 ia— à .
guamprætä rfi ataræh‘
bzæ. lent
Di“. de dpapkær‘
a. m 176 9 ,
De atdæia. !ena inoc.
ad d iseerædæ et pmpoæa tdavan 8wieærz‘
co‘mmä zmrio irtp rhd d
ou Aphorismos, de cognoæahdù
ma ticù «(q u amœmœ; p n pmcup rfl l
‘
l“û lou , 1 751 , in
Din , “fichu: pq fltab gîam..d ivPMM . IO“ , 1521 ill
Da frigo" srmp£c…. lem17 52 , in.—4 .
D e ulcerampatholog ia . Iena 1 752 ,
Do obstrdctionc. Ieña 1 7 53 ia—4 .
D c:ujfocatione. Ï ena 1 753 ih
De trerùofc. feta, 1 7 54 , ia—4 .
De gdnàrænd . Îè‘
fi ä 1754, 11134 .
D i n. :istens observation : qua—«lun:
dliIÜd . l'
u n 1754 , in—[r
De ênfl' nMd doæufl: tM rùu un
1 754, tri —'
A.
Da e rt‘s in car
'
pon‘
kama»aMæmd :
1 74 7 , 111
Observatio de singulan‘
imped i
man to mpi mdæzù a wù wa b
my lo a gwa‘
a hy oida‘
ma:w lomm.
In Act. Acad . Natur. Curiœ . vol. III,
p. 285.
Vorrede zu G. W Wedel's Tenta‘
mon botanieum. Iena, 1 747 , ia — 4.
ùmles &hnfœn der t ca Ge
:c efiafl au Icna.
Après le mort de flmhæger les
ouvrages furent publiée d’e
n , 1757 , ia—8 ;W ., 1 769, ia—8
Bamba—gel avait comme…lui
cet abrégé de ou grande physiologie.
La mort l‘ayant arreté apr'hqu‘
ilont
finit le septième chapitre c l fut
de continuer l‘
ouvrage. Le
Gr….W go, 1 76 7—70, ia— 8 4 vol.
(Comment. de rebut in med.
M er.)
man u chirurgien irlandais né en 1728
mort à Limerick en 1807 a écrit d eux ouvrages assez estimés surl’histoire de son pays qu
‘
iln’estpas de notre sujet d
‘
ind iquer ici . Il
est connu desmédecins comme auteur des ouvrages suivaus
A M ise on the fl amme or parution. Loudu n, 1 765 ia—8.
Dublin , 1 750 , 1 753 ,
in-8. L‘
auteur expose, lapre
û oc les opinions des Grecs et des
Arabes, et celles des modem» ,surla
Elle apour siège le criatai
liu et ne diffère pas du ghucome. Lea t:u etc n
‘
est autre
que la capsule devenue vide par la d
w fpfion d_e q ietfl liu. L‘hummr
se reproduit en fort peu de
taupe. Critique de Hilmer etde TayIer,et de la méthode opératoire de
Acomykæm r£æoumgu neM J
splaacelus witha newmethod of aut
O'Hullon n ne tente point la réunion
immédiate après l‘amputatî01: il ne
cherche à réunir qu‘au bout dehuit
A tn ati:e on dc_
‘
Ûîærent di sorder: of
HAMILTON (Anu man ), docteur enmedecine membre de la
société royale d'
Ed imhourg , professeur d’
ucconcbememà l’univer
sité de lamême ville , et membre du collège royal des med ecins ,mourut à Blandfield , près d
’
Ed imbourg , au mo is de juin 1802 .
Reçu docteur en médecine depuis «1 737 il exerçait son artavec
d istinction depuis plus de 35 ans quand il commença à écri re.
… !ni—n ü ne n‘en vit pa l.
et ce int Fu cilur çü
MM m«kuä mon“: d idi:
ac simaldopm:tanä a theories Hamk rgcn
'
pmccm,profanes est Era.
God . Bald ig æ . lm,1 76 1, iu—8 .
Semioä æbc Vorkmngcæ über I a
doÂ* Lem on:medicinü ehe Walmnd c
drea, 1 793 ia—8 , et dans les Tran
saction: of the noo irishacademytome IV. Lesprincipes de 0112110
ran surles ind ications du trépan sont
justes etappuyés sur une longue expé
ricuce personnelle de l‘auteur.
(Haller. — Bea .— Koh.Watt — Us
teri .)
HAM. 37
Hamilton futun desmeilleurs auteurs anglais sur l’
obst non
que ses ouvrages se fassent remarquer par rien de neuf ou de
propre à l’
auteur mais parce qu’
ils sont écrits dans un bon esprit
et que lesparadoxesn’
y abondentpas, comme dans quelques autresouvrages anglais de la même époque . Hamilton était partisan du
forceps;mais il n’
admettaitpoint l’
usage de—
çet instrument, quandla tête était au détroit supérieur.
D ist. de mrbi: on iumipsumseb
nis oñ nnJù . Ed imbourg 1 787 .
Projet d’une nouvelleméthode pour
rétablirle cours des règles des femmeslorsqu
’elles sont supprimées. Jam e l
de médecine, tome II ,p. 2 3 2. Cette
fi t} . Londres, 1 7 75, ill-8, 293 pp.
A tree tite of midwfi v œmpmhend ing the management qf
'
fimaIecompla int: and treatment of Childrenin early i nfg zcr. Ed imbourg 1 7 80
in—8 ibid ., 1 78 1, ia—8.
Outline: of the theory en d practice
of miM fi ry . Edimbourg, 1 784. ia—8.
A set of enatomicel table: withexplorations , and e bridgment of fice
practice of midwÿ'w , W. Smellie, a new ed ition, W ed and re
Edimb0urg, 1 786, in-8 .
Tree tü c on d e management of j e
sey s on the practice of miM fi v .
Ed imbourg, 1 792, ia-8.
practical on its n duofion .
Medicalcommenü ries, 1 7g 1 t. I “ ,
p. 3 15.
(Heure de : geM fl e
Osü nder.— HohWatt.)
HAMILTON (Dawn), écuyer,médecin de lareine d’
Angleterre,membre de la Société royale de Londres a vécu à la fin du 17
‘
siècle et au commencementdu 11est auteur d’
un
dont voici le titre
duple: , priorlep…mh‘s , citer defoi n a lien . Acca
ll t. 1 7 10, ln—8 ;Ulm, 1 7 12 ,
petit ouvrage
in—8.— M le premier traité,l‘auteurexpose: Quels sont les devoirs du
Ikk s de l’
art, et avec quel soin en
n ele enmplainb , end qf ehiIdren inu rb iÿ
'
ancy.Edimbourg, 1 792— 1 797,in— 8 ; 51À edü . mü ed M enla g ed ,
by D . James Hamilton . 1805 , ia—8 .
6 t't ed it enlee withItints fl r tfie
treatment of the principal 4infante and children. 1 809, inc—8 .
Tradu it de l‘
anglais par P . T . D., shrevu par le citoyen J. M., medecin.
Paris, 1 798, in—8 .
— ù vrsgs fait à
l'
usage , non des médecins mais dugen s dumonde et des sages-femmes. Il
y a néanmoins quelques observations
intéressantes.
Letter to D ' WilfiemOsborne on
38
doit lb M alin 3° oe
«:il faut observa pour ordonner le.
m èdes à propos . Ce dernier article
comprend trois règles : la premièreest de ne se fier ni à la saveurma l
’
dear des médicamens pour juger dela
”
vertu qu'ils peuvent avoir, mais de
s’en rapporter uniquement à l
’
usage et
à l’expérience ; la deuxième, d e choisirlee remèdes les plus g imples , et en treles plus simples , ceux qui sont le
plus appropriés à la nature de le m1ladle ; le troisième , de ne combinerdans les compositions mdd icameu
q ue desmhstenees qui s‘
asso
cb nt b ien , et non des agens qui te
M ens l‘
un l‘
autre. Ca di…HAMILTON (Romer), né à Edimbourg en 17 2 1, y fit ses études
médicales , et fut reçu docteur en 1 788. Attaché au servicemafitime il voyagea sur d ivers bâtmens et fut quelque tempsmédecinde l
'hôpitalmilitaire de Port—Mabon . En 17 48 , il s’
établit aLynne,dans le comté de Norfolk, où il restafixé jusqu
’
à samort, qui arriva le 9 novembre 1793.
Thought: on a td bähing fund apd better m änne in that dsj or sichsold ier} and their wiws. Lon pertinent. Wh«rein are Werepersed
dm, ia-8. media ! J necdotes and wbigatA dumpdon qfthe inflnw e with equal(y inuœttü g to even:
its d istùzcâon and method of m e. Pm itioner. Londres, 1 788, 2 vol.
Londres, 17 82, in—8. ill— 8 deuxième éd ition : 1 795. 2 vol,Remarhs on themeans of obviating
the fatal rfl'
ects of the bite cf a mad PracticalHints on Opium, consideDog , or other rahid An imals with red as a P oison. Ipswich, 1 79 1 , ia
—8.
Observations on the method of cure Observations on somf ulous qfeewhen Hydr0phoôia occ
'
urs ,
‘
and the tion: Withmmerhr on schirms,can
opiniom relative to the worming of cer, ahelrachiti3. Londres, 1 791, in—8
Dogs refi tted wmo—bad ”…plu . Rala fi r rem…persons meant.lspwicb , 1 7 85, in—8 . An enlarg ed edi ly dmwned . Le…, 1 795, ist
-8.
tion. Londres, 1 798, 2 vol. in —8. Observations on themarshren1iæent
fl e dati“ cf aW a s—l‘… fi ver mm petï i« kÙ le regard to
« n eü en l withO…iomou lui: its ep‘
pe… end m ns muy na
M eabfisesb ea,-ç æd fl ïm rsb tun e , w a M M A.
see , on les! j 6nee0 « si ete
vstionsparticulières demaladies .
Il y deu; choses ‘
a d istinguer
dans le Traité de lafièvre milia irela théorie qui est fortmauvaise et la
partie pratique qui est d‘
un bon ob
servateur. 81fivsnt E n fi n,le flä te
milîsire vient d ‘
une shoslt£ ad ds
sursbondsnte portée par le sang à la
circonférence du corps où elle pro
duit les vésicules. D…observa
tions détaillées td mt l‘ouvrage
et n‘en ront p“ le partie ls n ains
utile.
( ü… M ac.— I…des & re nr.)
HÀMd t and its taxis nettrred c rions to ihe mem
W i!“ also on them m er truel Discharge°. Mat. comment.,or ayu den of 4æen Swie 1786 , tome I I,p. 33 7 .
Ammrhable case of nostalgi e, af .
Iondœ s, 180 1 , iu-8 . Ouvrage pos f eeting native of Wales aud ocean
thume :Withmemoir: of the; M tbOr’
s ring in Brita in . Med .
tome I I,p. 343 .
Le tters on the came and trea tmen t Remarks on the influen za that apof the gout, in whichsome d igressive peared f
in spring 1 7 82 . In Memoire 0!
remarks on o thermed ical subjects are med . 100. of London . 1 789. tome ÎÏintespersed . Lynn , 1 806, in -8 ou p.
Account of a Distemper, by theAccount of 11 suppression of brid e commn people in E ngland amig arÿ
by a tne à fit the bhd called the Mamps. Trmssct. of H.
der throughthe anna. In Plfi_
losopb . soc. Ed imb . , 1 790 , tome II, p. 59 .
M an et. 1 776 , p. 5 78 . Abfi dg ., case of a d isea sed testicle succes
«fine XIV , p. 1 1 8 . fully treated . In London med . jouvn .
,
Case of o‘
btfinææ cpilepsn sucen t tome W p. 172 .
fi lÿ Med“ by profi tse bieeä ngx Several instances of the g bod ef…œlm….fi efi. 1780 ,VH fi:cts of Opium în mortifications. Lon
p. 336 . don med . journal, tome V, pp. 75 et
J ecount of e mœe:fi :ll method of 190,
d ÎN ÙJGÈ mer caseofhy dwphofi a. Loud .med:easy and optant. Med . comment.
, jam—n ., tome
‘Vlï,p. 1 .
tome II , p. 19 1 Case of c'
vonhs d ischd *gèd through
0010of angiM pectoris,M which e n opening in the newel. Londonmed .
ii W J appear that the Jiœe sa it journ .,tom‘3 Vll,p. t i
“modale:hen ‘ù'
tæy . Med . ama n t. , (RenBs de s gelehrte Eng iùhd .
tome II , p. 307. t ab .Watt.)Histo»? of a case inwhichen epis
HAMIL‘
I‘
ON (Wumm) .médecin distingué s mourut à & aBÇ
œ u f s—Bu y , leW tü bto 1808 , Agé d e 36 ans , selon lbohertWi tt , ou d e AM , selorv $ mul. Ces d eux b iographe s seeerteimbfi:cntç earHelmi lton fut reçu docteur enmédecine à Ed imbourg en 17 79, et il
‘
ne pouvait guère avoir alors mo ins d e v ingtans.Hamilton estauted‘r d
‘
une bonnem0n0grapb ie sur la d igitale
pourprée.
D iss. de sanguine humano . Edit:»
Obscrmti0ns en 1116 pn pe re l‘ietv
utü t‘
lÿ oü uü 1‘
nü tn ü œ of the d ig itaIispurpuree , or af bxglove in drop
J £k ‘M COW Mrhege, scarlet fever measles etc
including a ehetrhof the ” M ü n
W f this pin” , and 4 8 .ofthe opin ions of those authors whhmwritten upon it during the last Ihirtyp ars. Illustrated b
_r cases. Londres
3 80 75 “l'as ““i f“fi°-ç 180
HAE.
HANDEL Gw aer— Tanoman-Cneurœn ) né en 1769, fit sesétudesméd icales à l’université de Marbourg y fut reçu docteur enméd ecine et en chirurgie l
’
an 1 79 1 devint bientôtaprèsprofesseurextraord inaire dans la même un iversité
, servit ensuite dans les
troupes françaises, en qualité demédecinmilitaireàl’
armée d uRhin,“
etmourut à Id stein le 9 février 180 1 . Ila publié un certain n ombred
’
0puscules qui n’
ont pas une grande valeur et que nous aurions
passés sous silence si on ne les avait ind iqués ailleurs sans dire lecas qu
’
on en doit faire.
D ias . de indole sigais d iag nortie is,
ussisque f ebris ardentis, monumen
pm sohmn iter capessendo in u& aque
medicine doctoris grade . Marbourg ,
1 79 1 , in pp. La Gazette de
Salzbourg donne une idée pen favo
rable de cette D issertation.
Specimen pharmaeopæœ militarüFrancc—Gallicæ conscfiptumet typit
mandatuma cire D . G . Th. Ch.Hand.l. Strasbourg vxde 1. liberté
54 PP'
Das Wùscnsmrtheste momumltenMatlen oder Wiesbade f ur d ie sichd essen bedienenden K e r
—
” ste aujge
setzt und zmn Druche be_/æMert mon
B ürgerDr. Q. Th. Ch.Handel.Mayen
ce , l‘
an VII de la république fran
çaise , in-8, 52 pp.
Ueber die j e‘
tzige P ochenepidemieund d ie ausgeu ichnete Wirhung
fort-eur—lc-Mein , 1 800 in—8 40 pp.
Ueber d ie gegenwærtig ,unter dem
Rindwiche, grassirendcKlauenseuche,de sdamü gm hnä chwrbundeneMaul
w0he und d ie hin und wiederhenschenù Leagenfæule Francfort-sur
lo-Mein , 180 1 ia—8, 3 2
P!"
An neymrmthf ü r unbemifl eIæ
HŒ DER (Jean—James } , observateur distingué , naquit à Bâle
Bürger—Famü ie.Hadamar, 1801 ia—8
1 30 pp.
Pharmacopaa laconica in commusumprœprimis san itati qui prospi
ciunt militam reipablicæ emeriærmnFranco—Gallia elaborate a ein D .
G. Th. Handel. Hadamar , 1801 in
8 , 44 pp. L‘
auteur dédie au pre
mier consnl Bonaparte son œuvre ,
qu'
ild it être le fru it d’une longue r6
fleæion et d’
une expérience N ite‘n ‘s.
Leichte und sichere BeiIungsart desbæsartigen Trippers. Hadamr, 1 80 1,i i i pp.
— L‘
enteuradopte l'
0pinimtde Todo sur la différence absolue de
la gonerrbée etdes affections sypb ili
tiques . Il recommande d ’
une manièretoute particulière le vob de gen ièvre.
K mntniss und Car dcr v enerü chenChanhers.Hsdamar , 180 1 in —8 , 36
pp. Hacker n’a point connu cet
opuscule de Bande! quoiqu'
on en
trouve un extrait dans un journaldont
il s’
est souvent servi la Gazette de
D is Wü isemheitdes Phosphore: inder Epilepsie in Hufelaud ‘s journalder pracfi sohen Hcflknude 1 799
a. 3 .
Hsndel a inséré en outre quelques
articles dans d ivers journaux.
Med chir. Zeitung . Meuse].
1
11111 45
HARD! (ha s), rhéd 1Bamaople, dans te Bamkim, s’
est
faitconnaitre par dés’rèttherches sur la
’
coliq ue de plomb , etpar
d es vues sur .
’lorigine et la nature de la goutte . Suivant Hardy la
colique du Devon shire n’
est autre que la colique d e . plomb . Elle
estcausée par lamauvaisehab itude qu’
on a de se servir pourcon. .
server le cidre et‘
le transporter d e vases d e terre vern issés dans
lesquels on l’
agite et'
le‘
laisse séjourner plus ou moins de tem ,
ce qui . nepeut se faire sans que cette boisson se charg e ,d
’
une cer
taine quantité d e plomb fourni par le vern is du vase. Cette quantité
estmême assez con sidérable pour qu’
on puisse en constater lapré
sencepar des expériences chimiques et c
’
est ce qu’
a fait l’
auteur
dans des essais sOtü entrépétés .
Il ne fautpoint que le sujet de l’
ouvrage d e JamesHardy le fasseconfondre avec un a1itreHardy ,méd ecin de Rouen , professeur de
chimie dans cette v ille,et membre correspondant de laSociété
royale de médecine, qui a aussi écrit et vers la même époqueen sur les s0phistications du eidrë et lesmoyens de les
reconnaître L’
ouvrage de .fames‘Hazdy a pour titre
-4Æ æ…… of .whaths H… 111 ü -h‘
olby’
t…en tte
«humai ne:du «clic of Peüqu lf ‘M9 M ° ‘ 7 30 r
“M1DÊVQÜ‘ÂPÏ 1; “W J, Œ d
Omñmcfi u mmdcd tamcfrm‘
n thetrue cames of the guy t. Londres1 778, it!
—8.
. …ANT (N) conseillermédecin ordinaire d e Stan islas, rat
d e P ologne , agrégé ord inaire du collège royal de Nancy , profes
seur de chimie,méd ecin de l'hôpital d e St. — Stanislas, sous—directeur
de académie des semences , arts et -bellæè lettræ de Nanny , morten
‘
17 7 7 auteur d es aptitud es suivans :
de Bagard,,premü rméd_£cin séance publique de .l’
4œflfihie debdurmde Polar” , etcNancy. 1713 ocienw de 111 -a fi n. ville. et…,
19—75 ; inA8 80 pp. —l a l
‘ü lllpfl v
Mémoire ,—mr 161 James qficts .du monce Mühoite dans la q1mtü mad lwnâ avec le 4504 ild a partie de l
‘ouvrage intitulé Éfaôk
‘
.m«cures e1 des observationsfisi1e.gà Na z m t d es…de.gym le mice; la dans une ( M ob — Hey . )
HARPER (Annnxvv) médecin anglo— amérieain, du fort Nassau,à la?:aü dm . de la garnison anglaue
‘
a 1’
fle de Bæhama
, a faitprobab lementses études médicales en Europe , etñ aitaaaÏa donte aLendru ù l‘epoque où -furmtpub liés dans cette ville
les deux op… qui l'
ont fait connaître. La vie de l‘
auteur est
restée ignorée depuis et nous n’
avons d’
autre motif de le supposermort que l
’
espace de temps qui s’
est écoulé depuis_ces publications.
A treatise on the real came and d icel essqy ,
’
conta iningm and facure of insanity in whichthe nature miliar instructions f or the attainmentand d istinction of this disease are f ully of healthhappiness and longcviÿ u
a phined and the treatment esta Londres , 1789 , in-8.
blished on newprinciples. Londres ( Med . chir. Z eitung . Huielahd1 7 89 ia—8 69 P!
The Œ m onv ofHealthor a :ne
HARRIS Gsuru a) , auteur d’
un ouvrage B ug— temps célèbre
sur lesmalad ies des enfans , naquit‘
a Glocester vers l’
an 1651 . Il
fut reçu bachelier enméd ecine le 10 octobre 1670. Ayant embrasséla religion catholique en 1 673 il fut obligé de quitter l
‘
université.
Il passa en France vint à Douay , puis à Paris. Avant d e rentrer
dans sapatrie, ilprit le bonnet doctoral dans une faculté de France.
Il se fixa ’a Londres où il eut bientôt une clientelle considérable.
L’ordre ayant été signifié, en 1678, aux catholiques romains de sor
tir de cette ville,Harris eutà choisir entre sa fortune et sa relig ion ;il préféra lapremière et repasse au protestantisme . Il fut alors plus
recherché que jamais. Il fut nommémédecin du roi Guillaume Ill,m1imonta sur le trône en 1688 , et fut reçu dans le collége royalde
médecine, dont on le nommacenseur en 1689. L‘
époque de samortest incertaine . Ses ouvrages ne répondentpas par leurmérite à lavogue de leur auteur et à la réputation dont ils ont long temps10111.
A f aremü to pqvay . Loui sa , q « m ä cu Londres , 1 705 ,
16 79 , i11—4 . ia—8 16 enüve ,1696 , 1 699 , ia-6 ;
Amsterdam, 1 7 15 , ia—8,Rotterdam,
dl“ . 1 7ao , ñu—8 ; Amsterdam, 1 7 36 , ia
PM C“M anti—smpü iæ or a 8 . En français , parJ Devaux:Paris
aunties on ehy niæ i and gab niea1n 1 730, ia—8 , 1 7 38, 1 754 , ia—1 9 .
med ias. Londres , 1683 in 4 . ibr‘
d . ,
16 83 , ia-8 ; 16 81, ia —8. descfiptio…iationi: … et.
Londres, 1 7: 1, in-8 .
dm ,1689 , ia—8. De mer“:
HÀR l,5
hali tæ in amphithentro eoü egi1‘meJi ris avait traduit du français le Traité
«namLonJinensim a GnaltheroHar desmaladiesm‘nêriennes deBle'
gny,
Londres, 1 7 1 5 , ia—8. et le Cours de chimie, de N . Lema y .
The great and w…l Work (Kestner. Haller.— lü oy .)
q d . d n s t 7a7 in—L — Hsr
HABSU ( Jscquas 1111 né‘
a Genève en 1 730 ,maitre en chirurgie , docænr en méded ne , mcmbre du Conseil dea deux cents en
1764 correspondant de la Société royale de médecine de Parismort en 1784 , s
’
est fait connaître par ses recherches et ses ehservations sur les vertusmédicales de l’aimant.Les seuls écrits qu
’ilait
mis au jour sontrelatifs à ce sujet. En voici les titres
Let” es (huit ) surles q0'
et:mêrlici Recue il des efl ets salutaire:Je l‘
ai .
eau: de l‘
aimant. Danale?ournal en 1nant dans lesmaladies. 1 781 iu—8 .
q cloy&lique 1 7 7 7 -1 7 79. Lettres ( Senebier Hist. lie. de Genève.
sur lemême sujet. Dans la Gan t“ de Bu ch. )“M J. 1780.
HARTENKEIL (Jaan— Jscq n1s) le fondateur du plus ancien et
d’un des meilleurs journaux de médecine qui existent la Gazette
ele Salzbourg , naquit à Mayence le 28 janvier 176 1. Il fit seshumen ites à l’école des j ésuites de cette ville . Il suivit quelque tempsle cours d
’
anatomie de Ittner puis il se rend it à l‘université de
m ourg célébre alors par son professeur Sieb old par son
hôpital Julius , par son amphithéâtre anatomique , etc. Il y passa
deux années, gagnant d’abord l
‘
estimc etb ientôt toute l’affection deses maîtres Siebold , Brunn ingbauœn , Hesselbach, etc. Il quitta
Wurzb0urg en 178 1 pour venir à Strasbourg , d’
après les conseils
de Siebold , et muni de lettres de ce chirurgien célèbre pour
Lob stein, Spielmann ,Ostertag et Pfeffinger. Ilpartit de Strasbourgen 17 82 dans l
'
intention d’
aller à Vienne. Siebold le retint àWurz
bourg et le recommande à l‘évêque de Salzbourg q ui lui avait demandé un sujet jeune et distingué dont ilpti t faire son chirurgienen lui laissa it la liberté de faire auparavant un voyage scientifique
en France et en Angleterre . Après deux années de séjour à Wars
b0urg,Hartenkeü prit le grade de docteur en et soutint à
cette occasion une thèse remarquable sur le calcul de la vessie.
Muni de bonnes recommändations Hmæ lœil partit pour ve
nir en France au printemps de 1 785. Il futneçu dans lamaison deBa n k et profits avec tout le zèle possible des moyens d
‘
instruc
46 amtion que lui offrait lacapitale de France, pendantdax—septmoü qn
’
ü
y séjourna. Au mois d e 3u1llet 1 7 86, l’
évêque de Salzbourg qui était
aux eauxde Spa , étant tombémalade, envoya une estafetœ Has»tenkefl pour l
’
appeler auprès d e lui . Il y demeurapendant toute lasaison d es bains . Le lord Cameelford d ont il—fit ren aissance chezl’
évêque lui donna des lettres pour J Hunter, pour Pott et pourd
’
autres—hommes célèbres il en eut d e Dæau1t, de Sabatier , de
Loui s , etc”
. Ilpartit pourLondres où ilfut ttrls ainsi en mme»imméd iate avec Banks Hunter, Simmons et toutce qu
‘ily avait
d‘hommes distingués enoh«imrgîe et enmédecine .
Harten‘
keilrevinten Allemagne aumois de juin 1787, ilpassaquelq ue temps à Mayence près de son vieux père , et se rend it-au moisd
’
août d e la même année à Salzbourg , où ilentra en fonctions de
chirurgien de l’évêque , avec le titre de
‘
conseiller aulique. Il fut
chargé en même temps de faire des cours pour les chirurgiens etpour les sages femmes. Ilcommenca d ès—lors àpréparer la publication du journal dont il avait d epuis long— temps conçu le projetet le
plan . Ce fut en 1 790 que commença cette publication , et c’
est un
b eau titre de glpire pour Hartmkeil de l’
avoir soutenu pepdant
d ix—huit an s au premier rang de ,lous les recueils périod iq deJ
l’
é
poque , d’
en avoir fait le plus riche répertoire qui existe, et le plus
judicieux de la littératuremédicale de tous les pays , durant cette
période d e temps.Hu tenke il eut encore le mérite de faire toutce qui était en son pouvoirpour organ iser l
‘
enseignement etd’
exer
cice de lamédecine militaire et civile dans l’
évêché d e Salzbourg .
Cethomme d istingué mourut lo 77 juin 1808 , 11’
ayant pas encore
achevé la quarante—huitième année de son. âge. .
Ou peut lire des
détails intéressanasur son caractèred une noticeque son succes:
seur Jcan—Nepomucène Ehrhartà mis en tête du volume de lazelge de Salä ourg avec lequelcommence sa rédaction .
Disc. pmu . Ca p. Siebold , de
mesi<:æ urimflæ calcule.Wursbourg ,
1 7 85, ia-4, 150 pp., pL Très
bonnemonographie.Bem. S ieg r. A lôîm
‘ historia fumeu
lommhominü . Camfîgar. PIII . Editio
allant riad: aueta. M clbrt et Leip
sj g (Baniberg); 1 784, ia avec au
Uaber Laudoa’
s KronÆIœj s N d
Tod ein md ic£n£scfte Fqbdq Tea:
scblaqd (Salzbourg), 1792, ia-8.
Un terrichtf ü r d ie Hebammen desErzstrf tsSalzburg ; neue ( mit desHermVerfassers Efi auôniss) merænalerteAttsgabemon prof:Flcker
‘s Unærfi cfit
fi r ds‘
d Hd mmeu: Salzbourg, 1 797
1 790—93, ill—8, 16 vd Herw gupk ;m Harta Æeü , 1 79‘ 56 vob
Ergamæg säamäs.x798 799
in-8, 1 1 vol. Universalrepu b
M TMANN (Ju n) , le premier professeur qui ait occupéchain publique d e chimie dans une université d
’
Europe , naquit
Amb erg capitale du Hu t—M athat Créé maître en phä œ ophieMarbourg en 159 1 et bientôt après nommé professeur d e mathématiques dans lamême université il fut élevé au grade de docteur
en médecine l’an 1606 . Ce fut quelques années plus tard qu’
il fut
chargé de l’
enseign ementpublic de la chimie science à peine con»
nue d e nomà cette époque , et q u’
il commença à faire sortir du
cbaœ de l’
alchünie . Pmismduparœ eü n eépnré, Ba l… fitd es
appli… utiles. de la chimie à lamédecine . Ses ouvrages eurent
un e grande célébrité. Dans les dernières ann ées d e sa vie il fut ar
ehü tmde la cour de Cassel; samortarriva le 7 décembre 163 1 .
Praxis cñf miatr'îca ,‘ Joanne M i
chaao et Georg ia Ew rhardo Ant. fl .
eJ îta Lipsiæ ,apud Gottofr. Gros
sium 1633 , in -4 . Francqfùrti apud
Cap. Rotetium. 1 634 in -8. Haie ed i
tion i aÿ œ tus est propter affinitatemmateria tractatus novàs de ok i: rva
f ils cfiimicè d est:lIa tis. Genevæ, apud
Petrnm Œ oüet , 1 64 7 în -8 . Ha ieed ifimi aaÿ
'
ecti sunt pmpter materia:
W ita'
œmtres & actatus novi I,d e
ole iswarii: chj mice destillæ is; Il Ba
silica antimon ii Hamed P oppi Thal5m‘
; III,Mami Cornacchin imorkadas,quâ cames corporis afl
‘
ectio
ne: abhumori6us copia fuel quaü tate
peccan tibus chymwè et gnlenicè cu
rantur. Apud SamuelChoü et 1649,in— 8 ; apnd eumdem,
.rô59 , in-8 ; et
poston apud Leonard Choü et et so
cium ia—8 1682 ; Lugduni ,Batav09
rum apnd Jacobmn Vooru , 1 66 3
ia— 1a. Quæ ed itio recog nûa et pra:
omnibus hactenùs ed itionjbus emeuda ta est. Francorfuti , apud Johann .
Am.. Cholin 16 7 1 ill— 4 ; Noribergæ,
apud Wolffgsng Maurit. E_ndteræu et
Johann . Andr. Endteri hæredes16 7 7 in — I,. Inde/“so Labom et pari
chy m1atrz‘
æ eæpe.
‘
n‘
entzâ ab mrmmeris istis mend is et falsatione çypog m
phicâ rm nd icata necnon oæ asione
67
cä mW eZ eü nq .U sb— r
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22in-8. Univc nW "W
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m Auflags. [M on k -fl an ,ia—8 a vol.—
cd. l e…— Mau d .)
theorie and camcoran» sigais d iag .
m ticis cansis etpregnosticis pra
eipm mque totias corporis partiamanatomicâ descriptions illustratoralgue
tata a lolma.Ha kia Card tlacio. Gui
code:» M ü ncio authm , accessit so
diacasmedia nsire libeüw de cancar
dantiä medicarmn cumzod iaeo
cælu ti seaM ira domibus solisetlama earwnqaemirætiôus infl aentia
liôusmultifariù ,præcipaè tammquadruplici&us fa.aa quatuor trigonos
oen‘
am ignm , “mamet agneau ,
totiü mque pracipuas M iam con
plexiom n imimmsanguiæ aræ, cholen
‘
cam melancholicam etphlegmadem la que leg itima sùnpü ciamcol
lectio efficaæ præparatio specificamixtio, atqne oppætuna administraa°
o ostend iœr tampro mdicm ä rü as
ae w getabü ibmpambiü 6us quèmip
Dz‘
atn‘
be de ummed icomia ‘
ocœmii. e. D isq ui:üo quomodo et qualia
corpore &m ao min ute ej asq ue ma
neate integn‘
tate.medicamnta inmummediu m transfer-ri que unt. A ntehacin Academia Marpurgensi d ictata
arme v ero evalgata à Zacharia Breadelio. Erfurt ap. Job. Reifienberge
mm,1635 iu-foL
D isputationes clu*mico—medicæ, sub
ej as præsid io ab al:quot medecimecand idatis et stud iosis publicæ cen
suræ expositæ, Harpurg i. Apud PaulumEgenolphum, 16 1 1 in -4 . Scena
da deind€‘
ed itio aliquot d isputation i
bas auctior. Erfurt, 16 14 ,ia— 4 . Oui
qu‘
oç ue acæ ssit philomphus , seu na
tttræ consulte:medicus.
Philosophes
ticpmfl sss‘
onis suse ab authore/actusetproductus. IV. Kai . Aprilis, 1609.A cceu ilpmg mmma pn6ü cumadphilowphiæ et verre med iciuæ itud iosos
,
criptionibas et u n remedb rumclaymicomm ava it.
Opera omnia med ico chymica . la
pmsa partira v erb j am ez authori:
in urmmw lumm congesta atqmpluribhs aucta à Conrado John nie.
Frsuc0furti ad Mœuum, apud vidomSeylerisnam, 1664 in —fol.
— Wi egleb Geschiclue der Chemie .)
Apud PaninmEgmolpbum, 1609ia— 8. Tractatus phrsico—med iæ s de
opio ia Iacemed ito:_
à Jah. Georg iaPelsfic]äro. Wittebergœ apud haredes Clem. Bergeri typis Johan . B ob
neri, 16 35, ia-8 ibid .
,1658 , in—8.
Epistolæ maria media s . Exstant
cumciuâ mä cô JohannisHOrm gt‘
.
Noribergæ apud SintM magœnm1625 in-4 .
ia Bas ih‘oam 0mllii , et Bmini {r
m irzian : dùpatatiære: c:md icæ quil—as accmit philosophas ,sire natura consulte :med ion: in itio
pn fessionis cly rhiatrieæ ab ipso pro
positm tractatus de opio miscellama medica—chymica et introduc
tio ia a:,italemphü osoph
‘
am conti
i l. M
m ä m….
W M am. zum waou… 115. De bnp… etm.
pi da. 00sefi d fi0 164. N “IleObservat1o 86 . Ex epæ hy dropieo.
themate —pam&.fmœü . ooæmxa E:! pol.
J m 5 01 6 . 06mæn‘
z 103 . De
ana tome puen‘
phthidœ'
“M d !
Observatio 1 89 . Exhistofi â 0WObservat1o 206 . De molâ . tôntv gemeümm. M i”hlfl . 3 11110
—…væ i0 20 7 . De 11… f aæri 1 702 .Mense Mart. in P russia…Obs… 190 . BG sælfl 0 M el
Obeervcd o 208 . De natatd dep
Qæemwæîo 191. Est M 0fi ü i
Hu m ,per1nulÂebfi ä mom »:vi tre 00110 in ligament‘
ü rî e‘0'
âlü d
“f û t.
Observatio 209. Testi: gemeü tflfl’fi Obsewaü o 19â ; De JW
6111 huifid fl à mfœ—»ülw
A nno 7 et 0henætie 38. De Observatio 193 . D e sed…A n no 9 et 10 Obsermtîo 102 . En (Jœcb er.
— Manget— …J
HARVEY (GÉD ÉON fm t médecin anglais , mc[uit dû e la
pi otîme de Surrey . Après Woir étud ié la méd ecine M ât'
a
Paris , ilprit dans une faculté deFrance le b onnet de d û…Mù‘
fi l
d e ce titre, ilse fitagregœ au collège deLaHaye;mai. 1‘muufi .
la patrie le rappela en Ah‘glétä‘
re où ilfut nommémêÿecifi ô‘
i“di‘
fi nite de Charles Il occupa le même poste sous GuillaumeHI .
Il fut en_
outre médecin d e la Tour d e Londres,et jou it d’une
grand e vogue . Harvey mourut vers 1 700 . Comme écrivain il_
s’est
fait connaître par les traits satiriques, les mœ aæœ m d…q u’
il
lança con tre les méd ecins:de son temps. Dans un o uvrage intitulé
cond oué des M édecins , il lea'm en ait d…, selon
q u’
ils sontpartisan s du fer,08 laitd’âñeâæ,d fl t ñt fl ä ;des eatm
mütérâleÿ lié lasai gna d ti d es purgatifs . Il désigne €è$ 512885 parles noms de Iè
‘
ñ elz, as £nd n‘
d, j esù1
‘
lz‘
cd lè Qu inqui na portail enAngleterre le nom d e pondre des 1esu_
ites aquariq , lan‘
ian a et
s ter00rarù:. Les ouvrages de GédéonHarvey,montrent,œm e tant
d’
autres, qu’
il est plus facile d e critiquer lam…m…a q ue
d’
en faire de bonne.
N ew pfi nciplrs If pk1losopby . l.ou A d iscourse d e Plag e; 1.
dres, 166 3, ia —4 . dmc, 1665, ia—4 ; 16 7 3, in-8.
HADU0rbus anfl iew or the against their pad ents . With d is
0} ednsnü ption containing the na course on tbej esuites Bar} . Londr«
tune sig ns subj ects n nosti6s 16 83-86, ia-8 .
fl !ü mlioä âmi methôJ of curing Tite art of curmg tbe most Jasïge
d reampfiM s , œugü and spittîng i ôus Wounds , by the first in tention .
{ RM , le ” Jul is added some brief LOü dtü s, 1685, i 11-1
discourses on melancboiy , mad ness TI1e_fienehPoî , withet! il! kindt,
“ d ittm tid n , od asioned b] ion ; eue“. s igns ; the running of them
_
Louk« , 1666, 16 7 2, 1693, 111—8. rein s Jehatü ers , baba gleets and
The great Venus unmasbed or the ir cures. Appanä v qf obsfl afions
pafi ci discovery of tbe Francb d i nevery et d iscoyered by any . Londres ,sease and wimlent running of the 1 6 85, ia-8 .
fi iiü i 019115 “fi fi“M lad.t of Of tbe Shia” Pax , ànd maiig nan t« rfi ; I…. “MM , 1886 , iii—8 } flw r; witñ tfie amñ æmt methods à]il“. 1672, ih—0. toHug them and a on theHuit Vente i n… ; or pen. M dte1, 1 6 85, il o8.
f eet d iu oves;r of the FrenchPaz Art a mn€i mori—os expa J
eomprisin the opin ions Of most an itemde v an itatibm, dolis , etmembe”
iêùt‘
an rh'oJerä phy sieians withciitmeaÜcomm. A ccedant his pa reidæauthd f s]ü dgfilfl tt, été. LOfldtä p
'
uè3upposiia , etpbænomtna , quibustwo; JDM , £685; ine t. w w ». reæmiommç.æ dogmata «ts
fl M btü , tutti, phtkis‘i,‘
ltfl itrttd té tipo
M in ag
1615 in=8 pla te . esta temm:» 11 end .—œ ,» ü »
ang lais :Londres , 16 7 4 , ill
new treatise of tbe scorbuticpod : tar d iq ue w risimiliom tmduntnrâ 86 6 0" d iIÊN ÙG of 160 many po: Londœ g , 3 694 in. 1a AmterdamJ ÏÎÔHJ Of âhefetîèP03 and an “F 1695, ia
-1 2 ;o1698, 1n-8. En anglais
fendu d cà1u umai g'ow. tn nä reo. Londres 1689 , -1, an ., 1 693
tOi i ; iv 8. 111— i . En lulu , à i éc des hôtes deM au! as a new 811451 Pat‘it; 1130, i ii —ii , parties.
etw y of 1116 sein-Ü:Landau , 1675 , M afia en malt Pee east
il ‘8 M t, 1685,i.—8.
‘ 67 8
-ä , s
Ci ti1s ñ éÂico-cbimrgicus or a
”tôt! fiiethofä bü ê:à se‘
of a ñobi‘ an
M e d . u .a1m, 1678, 111—8.m ebM tl ëf fl :fi iä ans:tleæœ
mm…un:,paeù , am:plsu
HARVEY ( Gmu auna naqu it à Folkstone dans le comté d eK ent, en 1578. Après avoir fait ses étudesmédicales dans sa patrie,il voyagea pour son…c‘tMn en France , en Allemagne , en Ita
PcMeular dis i bnrse bn epinni dio
çod ium and otherheepiægmed id aet.
Lond res, 1696 , 111—8 .
.Ûiseourse ohtbe 'van ities af philosoj bf i mc! pèrsic
‘
. Londres , 1699
1700et 1702, ln-8
(fiÔlk Wath M r. — fi ü ifi .)
56
lie et il se fixa à Padoue où la célébrité de Fabrizio d'
Aquapen
d‘
ente attirait alors beaucoup d’
étrangers. Après avoir étudié sous
ce grand maître , il prit le bonnet de d octeur à vingt—
quatre an s ,
le 25 avril 1602 . Il revint dans son pays et s’
établit à Londres. En
1604 il entra dan s le collège de médecine et fut nommémédecind e l
’hôpital Saint Barthélemy .
Nommé régent en 16 13 ce fut dans le cours de ses leçons qu’
il
exposa pour la première fois sa doctrine d e la circulation du‘
sang .
Sonmérite commença alors à se faire connaitre etle roi le nommaun de sesmédecins en 1623 .
Sa d octrine d e la circulation qu’
il avait laisséemûrir quelquesannées, fut enfin livrée à lapresse en 1828 .Malgré le rang queHarvey tenai tdans son état, etl
’
accueilfavorable que ses confrères firent
à son système, les préjugés con tre tout inn ovateur étaient alors si
forts que dans une lettre de cette époque qui s’
est conservée, il se
plain t à un ami de ce q ue sa pratique a considérab lement d iminuédepuis la publication d e son ouvrage. Iliatd édommagé d e cettehumiliation par l
’
estime et la faveurd e Charles L’mtérét que le roi
prit à sestravaux fut très-utile a ses recherches sur la génération il
fitmettre à sa d isposition un grand nombre d e b iches pleines pourlesd isséquer. Il lui donna un e autre marque de sa b ienveillance en le
nommantpouraccompagner le ducd e Lennox dans ses voyages. La
guerre civ ile éclata.Harvey, attachéaCharles I°”
par devoir etpar
affection , le suivit d i ns ses voyages , et futnommé en 1645, par le
roi , garde du collège deMorton . Samaison de Londres fut,_pillée.
Ce qu’
il en regretta le plus , c’
est la perte d e ses papiers qui cou
tenaient beaucoupd'
observations anatomiques principalement surla génération des insectes. Harvey ne posséda pas 10ng
-
‘
ten1ps la
présidence du collège de Morton ; Oxford se rendit au parlementHarvey revint à Londres , et il vécut d
'
unemanière très— retirée tantôt dans la capitale , tantôt a Lamb eth, ou dans lamaison de sesfrères à Richemont , en 1651 . Ce fut dans cette retraite que son
ami Georges Ent vint lui arracher ex?quelque sorte son ouvrage
sur la génération , qu’
il n’
aurait jama1s publié. Aumois de décrubre de cette année le collège d esméd ecins éleva en sonhonn eurune statue dans la salle d
’
exercice aveccette inscription :
Gulz‘
elmo HmveioVivomonumentt
‘
s sa111 immortaä
58 Hquefois le passage dans les artères . Ce syst
’u ne , énoncé dans les
œuvreshippocratiques , fut principalement soutenu par Érasistratc.Galien approcha i e premier d e la véritable doctrine , en démontrant
que les artères contenaient toujours du sang dans l’
an i1nal vivant;
que le ventricule gauche du cœur en contenait aussi , etmême quela contraction des artères chassait le sang dans les vemes Iln
’ignora
pas q ue le sang versépar les gros trOncS vein eux dans les cavi
tés droites du cœur, passait (en partie ) du ventricule droit dans la
veine artere pulmonaire , et dans les division s de ce vaisseau dans:les poumons mais il s arrêtu la. il acl—mettai t que le sangtrouvait dans le ventricule gauche y était vénu d irectemen t du ven
tricula dro it, en
passant a travers les parasites de la clo ison qui
les sépa1e . L‘
Opin ion de Galien ont une autorité inviolablependmfi
q uatorze siècles . Vesale confirma l’asserti0n. d e Galien que les 1114
tères con tiennent toujours du sang. Il prouva ,par deseapérienw
sur les artères que le cours du sang faitdans ces vaisseaux, du
cœur vers les extrémités ; que ce mouvement est rapid e et violent,et que q uand le Cœur se contracte , les artères se remplissent. Ilôbserva que , dans une artère coupée , lemouÿement du sang ces
sait au-dessous de la sect et qu’
on pouvait l’
y rétablit en méttant un tube a la place du morceau de vaisseau qu
’
on avait coupé
il d it aussi que si l’
on fait une ligature à une veine , la partie ll
plus proche du cœur s‘affä isse ; et cependant, cont1ad icte irement
à tous ces faits , ilsuppose avec les anciens que le sang se ment ducœur dans tout le corps au trave1s d es vein es .
Quelque temps aupa1‘avant, Servet, dans un ouvrage théologique,
avait n ié le passage du sang du ventricule droit dans le ventricule
gauche ; il avait reconnu que , du premier de ces ventricules le sangpasse dans l
’
artère pulmonaire et va se d istribuer dans le poumon ,non pour le nourrir ,mais pour y être élaboré etpurifié par un es»
prit qu’
ilreçoit de l’
aai1 respiré, et par l’
exhalaîsou d ’
une matière
fuligineuse qu’
il expire . Il avait souten u enfin , et c’
est ici surtout
qu
’
il avait dépasséGalien ilavait soutenu que le sang passe des ar
tè res pulmonaires dans les veines de même nom, et de là dans le.
cœur gauche . Cettepartie importante du vrai système n'
était cepen
dant pomt fondée sur l’expérlencc, c’était seulement pour Servet
unehypothèse 1ngénœuse qu’
ilImeiltété di fficile de so uten ir,puis
qu’il ignorait la force du cœur pour pousser le
_
,sang et l’
action de
sesvalvulespourd irigérlexercice decette force.En RealdoGo
lomb o décriv1tplus cxàctementlepassagedusangducôtédro itaucôté
60 BAR.
Aumérite éminent du tend l‘
ouvrage deHarvey surlacirculation jo int le mérite de la forme . L
’
auteur éclaire d ’
abord la route
en écartant les erreurs de l’antiquité; ildécrit ensuite lemouvement
du cœur dans un an imalv ivant , ilmontre sa structuremusculaire ,les contractions alternatives des ventricules et des oreillettes
,l’
ef
fet qu’
elles doiventavoir d e chasser le sang avec force dansles artères déterminé dans cette direction par le mécan isme des valvules. Enfin il établit tout le système de la circulation . Il termine ce
traité par des ob servations originales sur la d ifl’érence d e structure
du cœur dans d ifférens an imaux, et à différentes périodes de la vie .
Nous n‘
ind iquerons point ici les nombreux adversaires que sus
cita àHarvey lapublication de sa découvà te,n i les défienseurs qu’
il
trouva. Nous renverron s pour cela à un mémo°
n e inséré dans lei
A ctaphib sopbommd’Henmann , et dont nous donnerons le titre
'
a
la fin de cet article .
L‘ouvrage de Harvey sur la génération,renferme, à côté d
‘hypothèses etde raisonnemensmétaphysiques qu
’on n
’
auraitpas attendus
de l’
1nventeur d e la circulation , une foule d’
observations exactes
et curieuses de physiologie et des £aîts int… sur l‘
avorte
ment les accouebemens laborieux et sur d iversesmalad ies de l’
Exercitatz‘
o anatomica de mmcordù et :angm
‘
nis în an imalibunFrancfort , 16 2 8, in—4 ; Loyde, 15391
ia—4 .— Eæeæ üationu duæ anatomicæde circulationb sä agm
‘
nù ad Job. Rio
IammfiL Rotterdam, 16 49, ia-1 a.
Oum rej utæ icm‘
bus Æ Parùae i et
P rimem ü . hy de , 1639 Padoue ,164 3 , kms ; 1646 , ia—4; Lyon ,
1647 ia—4. Avec 8piàel ; Amsterdam, 1645 , ia—fpl avec une préface
d e Sylvia: Delehoo Rotterdam1648 in
:1a. Cumdupüci indice
aècem‘
t d is:. de corde doct. lac. de
Bad (præfl Rotterdam, 1654 ;ia— 1a ; 1660 , 16 7 1 i i i —1 2 ; Genève
‘
,
16 85 ñu-foL; Glam vv, 1951, ia—1m
EM E. S.Alü no.Leyde, 1 7 3 7,in-4,
et dans diverses collections. J‘
rad. en und Pam el la act.
anglai s Londres , 1653, in—8. philos. 1 7 19, 10° fi er. — Balla d
Exerc1‘
taàbm de generations ani
malium quibmacceduntgaædamdepartu de membmm
‘
: achum fi ôu
uteri et de conception . Londres
1 651, in—4 ; Amsterdam, 1651, ia— 1 2 ;
166 1 , ia— 12; Padoue , 1666 , ih-ra ;L1
'
Haye, 1680, in— 1 Trad .m1mghb1653 ia—8.
Thomas PM , who d ied “ the age q1511 y ear: and 9 matin . Philcaop.
treneecù , 1669. A bridg .
, tome I ,p. 3 19.
Open:emma. wllsg.mod .md in. édito 1 766 , ia
—4 .
(Pope_Blm t,£ çmmauthor, ete.
— Aikiu B iogrt'
mc1noin , ete.
HASHARWOÔD ( sn Bustea né à Newmarket, fit ses classes à l
’
u
niversité de Cambridge.Après un apprentissage de quelques annéeschez un apothicaire , il aobeva ses études médicales à Londres. Il
passa b ientôt auxI ndes orientales , où la guérison d’
une blessure
grave qu’
avait reçue un prince du pays lui acquit de la fortune etde la vogue. L
’
étatde sa santél‘
ayant forcé de revenir en Angleterre,il fut admis dans la société des antiquaires etdans la société royale
de Londres En 1785, il fut nommé professeur d’
anatomie d e l’université de Cambridge. Ce n
’
est qu’
en 1790’
il reçut le grade
de docteur en médecine dix ans plus tard ilfut choisi pour professer laméd ecine domestique au collège Downing il fut fait
chevalier en 1806 et ilmourut le 10 novembre 1814.
synopsis of a couru qf kea res and plyæiolog . Famic I ., ivitb 15
ma a ony and phy siology . Londres , pla ts. Londres, .1 796, ia—4 .
1 787 î1’ 8. (BGBŒ r ROB. Watt.)Amum qf œ ny am£iæ mm
l—IÀSENEST Ju n—Gronou né àWindsbeim le mai 1688,
y commença ses étudesmédicales etfut les continuer à Altdorf oùil reçut le doctorat en 1710. Deux ans après il fut nommé médecinpensionné d e sa ville natale et en 1 7 17 médecin du prince deHohenlohe—Scbflling ; en 1 7 23 il se rend it à Erlang en qualité de
médecinpensionné de la ville et du canton de Brandenburg-Bay
math; il quitta ce poste en 17 26 pour revenir à Windsheim, et
laissa Windsheimpour Neustadt en 17 30. Cinq ans plus tard ilre
çut le titre de conseiller.
etmédecin du Marg mve d’
An spacb ; il y
joignit celui demédecin pensionné d’
Ampachen 1636 et celui de
conseiller aulique en Basenestmourutle 22 octobre 17 7 1.
Oratio -de oculi humani fi zôn‘
eà‘
qwd masi: windrhenü eM u: w ie
dixit. 1 708, ia—4.
Dm. pmu. Hqfi'
m m, speeimenduquisiti0m
‘
s M em c æ
A horf , 1 7 10 , in—4.
D isr.,pmu. Prenons, superHippo
emtis aphorismum 50,:ectioui:
Altorf, 1 7 10, in-4.
D in . de imerfi gù«. Ahorf 1 7 10
111—1.
Z tçflnehtderer die mit Gliede_
rge
bmcheu undmehremKramlheüm ge
plagt sind , ,de s ist , zwar matte:aber dock in Herrlièi1en Proôen als
ein gnadengeæhen&o Gotta: bcfundene Mark-Buæhmkeimer Wild bad .
Nuremberg , 1 729 in—4. lili: einer
Verrerie v om superint. Sp0md nen
aufgrkg t. Ibid . 1 768, in— 4 .
Der medioini ælze Richter oder
62 HAnmä ci «M ai uma 1 786 H:auf
Première partie : M ach 1755
ñu—4 ; deuxième partie , 1 756 tro i
meme partie 1 757 quatrième partie , 1 7 59. Haller s
‘
exprime ainsisur ce recueil: Rei gestæ historiacollegü medici jud icium, auctorls epi Wœhsmuthnü sis,seVerior in un iversum.» Weehs — Mensel)
HASENHOERL Jrsu—Gsonct s d ont Van 8wleten changealbnomen celu i deLagusio quand ii alla en Toscane , n aquit à Vienn e
le premierme i 1 7ag . Il .fit ses études dans l’université de sa ville
natale et y fut reçu docteur en 1 7 56 . Il devintméd ecin de l’hôpitale spagnolde Vienne , puis conseiller et médecin du grand d uc deToscane ,
Léopold , plus tard proto—médecin de laToscane L‘em
percur Franç ois II en'fit son méd ecin en 1 792 ; il le nomme en
1 795 conseiller d e la cour impériale etroyale 11 Vienne. Hasenhoerlmourut le 20 décembre 1796. Ila pei1 écrit mm&63 onyx
—
n‘es
fruit d e l‘
observation ,offrentde l
’
intérêt.
Din . deaôortu, ej usque observations . Histori a med ia: trim mor&omm,
Vi enne, 1 756, i a -4. qui arme 1 760 fr;quentiu îtnè bç nj
sit e f ebr‘
i:peœahialù , ç uæ aB anne £aüiiiam otre…fm finü nte 1 757 cd m m 1759 m i aou . 7 £em , xfi æ, in —8.
nhæhM …)HAVEBB ( Cmmu au… anglais , use—bre d e la…
royale d e Lcndres,_qui vécut dan s la seconde moitié du xv 11°siècleetau commencement du s
‘
est fait ce… pardes recherchès snrla structure d es os , q ui onteu lœ gæen pæde la cfl éhtä émais qmcontiennent plus d
‘hypotheses que d’
obse… li es»
wrage où sont“posées cesrecherches estd ivisée-cinq d iscours, q uia vaient été lus successivement à la société royale.Lepremierü aitedela stucture d e l
’
os et du périoste ily a des ob servation s exactes
sur cette membrane fibreuse et les vaisseaux qui s‘
y di stri buent; le
d euxième est rempli par deshypothèses singulières sur l’
accroisse
ment et la nutrition , le troisième estrelatif a lamoelle ,alamemb ancetaux M M 6 $ ; le quatrième traite des glandu
V
n uthau port. le f… t
Continet binmifi: flhl' ph“! «mtioma ü eüW …r 0?iod i0içcollegio med ion lan adam—üsufl
'
ulü , in quim pi ttîÿ an
temseveritat_q mi; ta ahivia tamgu
comulenda.
(Heller.letÏmLwala.
HAY 63
eynovhlct, auxquelles le nofn deHavers a_ étélong— tempsattaché ; lecinquième des cart1
‘
lages, notamment de ceux des côtes, àl’
occœion
desquels ilparle dumécan isme de ces os dans la respiration. L’
ou
vrage de Havers contient des remarques‘
sur d iversesmaladies d esos et
,de leurs dépendances , il,: pour titre
W ah…v w «bn »
ration: of the bone: and ahpb”:hdu…M d e of
the mroä an ad W u :M a
dbæumq{ ä ow ü u«. in—8, 111…1691, 30—81 ü i& . un e.
ia En latin Ulm Fr… »
1 a , in — 8 ;Amsterü m, 1 7 3 1 , in—83lË l k, 17 34 , ia-8.
W GOM Heedü g aHkq d« got, a »Haller. M .Watt.)
HAYM RTH decreaæen médecine,membre de la societéroyal. de Lond res, d e la Société des sciences,et de la société royaledeméd ecine d ‘Ed imb0urg de l
‘
académiemexicaine des arts etde;sciences praticien à Chester et ensuite à Bath, fut un médecin d eréputationdans ledernier tiers du siècle passé, etau commencementde celui-ci.
_
Ilécrivait encore en M us ignorom l’
ép _
e de
samort.Hayamthavaittenu note da ta plaç ant d es obaeä îo«ns
qu’
il avaitau nm iun de accueillir dans salongue pratique, et leur
s‘
élevaità C’est d
’
aprèscesmatériauxprécieux qu’
il
«mhit publier l‘histoire ciinièpæe d‘
un certain nombre demalad ies;il l
’
a fait pour la goutteet le rhœ atisme et demanière à faire reque ce travail d
‘un hab ile praticien n’
aitpas étépousséplusloin .
Experiment: on the t:c s or
Ear-Wan , in order la°
diæmr thebest method of di:salving 11, W“.causing Deaf
‘
ness. M°.Ü and in
quiries , tome IV, p. 198, 1 7 70.
4 me of ang ine: pa ton°
s w ithl it attempt to investigate the cause ofthe bj Jü u fl i0ü and a hîn tW … u; the of
1694 . Abd dg ., HI, p. 6 18 .
amat—n f… ” of'
tfirfood.b n Nü los…tm u et. 1699. ABfi dg.
17 , p. too.
Haven lut l‘éditeur de l'on—a ge
fi rent AnaW of M ie: of man“ wen n
,fi dmll. Spaelær and
Rem……u n,mot,ia—b l.
ofM ana in London , t. lfi ,p.
B ill of mortality j or ChM 1 77 3 .I n tânn fl . , l v7
°
4,
P 6 9.
B illof mortality for Chester j b r they ear 1373. Philou. w aa dt, 1 795
85 .PB illofmofl aÏi{rforÛ 1esterf or the
p ar 17 73, Philos, transact.,p. 69
in cases that were supposed hy droaplains. Med ical observations and ia
quiries tome VI p. 58.
Am rmtof the irfi uenza as it ap
peered at Chester in 17 75. Med . 0175.
and inquir., tome VI, p. 389.
Aponnt of a newly inwnted ma
fluids withfi red air.Hom, of the littmry and philosophies! society of
Manchester, tome I, p. 4 1 .
Observations on titepopulation and
dr‘
n ä u s of Chester in the_rm 17 7 4 .
In Philoumm ., 1 7 78,p. 1 3 1.
A n inquiry how topreventthe smaüpo.: andpmeedings of a society for
promoting general inoeulation at
stated periods, andpr‘eventing the na
tural small pod: i _n Œ a ter. Chester ,1 785, ia
—8 .
Mode of preventing the du adfaü
consequences of the bite of et modDog . American museum year 1 789
eng.,p. 1 1 1 .
Œ n j or the bü e oj a na°
td dog .
A sketchof a plan to exteminfl e
the casual smallpoæ_f mmg reat Bri
tain and introduce general inocula
deneeon the natuæ ofw iob_
mconta
g im , and on the best mœmof pre
wri ting the smallpor: andpromotmginow ld tion at Geneva . Londres
1 793, ia—8, vol.
'
Ou the imag ination as a cause
Letter, addn sscd to the Rigitt Rev.D .
‘
Gardens , on the education of thepoor. 1 81 s , ia-8.
HAZON b oom —Ama r l’historien de la faculté '
demédecinede Paris,mquit dans cette capitale le juin 1708 11 se d estina
d’
abord à l’
état ecclésiastique ; ilfit une année de théologie dans lesanc
‘
. rmes écoles de Sainte-Barbe.Mais lacrainte d e n‘
être'
pas di
tractors and epidemicd œ nmlu‘
om.
Londres, 1 799, 1 800, ia—8 .
Description of a glory . Mom. of thelitterary and philosoph. soc. of Man
chester, tome III, p. 463 .
f erorfromthe wenerealpoison .
Med . end physic. Jourm, tome III,p. 198 1 800.
Letter to D'
Peæi«al on the prevention of _
irfectious f era s,and an
of Philadelphia On theprevention oftñe american pesülenæ . 8 11111, 1 801 ,
A clinical history of d:smèŸpart rst., being a clinicalhistory ofthe acute rheumatism ad . A clinical
hü {ory of fice nodositr of tite j oints.lo ndres , 1805 , 1 8 13 , in—8 , part.
( Je: ouvrages sont le fmit de prèsd ‘un demi siècle de l‘expérience d
’
un
bon observateur qui pour se rendre
raison des résultatsde sa pratique , et
en tirerprofit , tien t un journal exact
de tout ce qu‘il observe. On trouve un
extrait dumémoire surle rhumatisme
Rheumati:m fmrn gout and Rire…tisrn scrofirla nodosity white satelling ,
and other powtfi d l d irector ofthej oints and muscles. Med . transa t.
by the college of phy siciens in Lon
dou , tome IV, p. agt, 18 13 .
(Km .— Bah.Watt )
66
même remède . Haller a inséré la thèsedeHasan dan s le tome IV de ses D isp.
chirurg .
Qua nt. med icæ resp. P . J'
Marisot
Deslandes an d iæta omn ibus neces
san‘
a,rung ismero Lutetiæ Parisiomm
incoli:? AÆ» Pæ°l8 , 1 755 , in-4 . Insé
rée dans le Recueilpériod ique d’
0bs.
de méd . tome Ill p 165 et tradui te
en français , mémcv olume . p. 2 4 3 .
Observa tion sur une affection ilia
que d ont une f emme a été attaquée
pendant sa g rossesse , etqui a résisté
à tous les remèdes ord ina ires Recueil
périod. tome IV, p. 1 10 .
Observa tion sur une pierre trouvée
après la mort dans la v essie d’
un
homme qui avait pris le remèdesavouncux ® ing t an s auparavant.
Tome IV, p. 363 .
Observation surun ulcèrechancrouxguéri au se in d
'
unhommeparun charlatau avec lesf uneste: suites de cette
g uérison . Tome V, p. 464 .
Observation sur un hoqræt périod ique. Tome V, p. 39 .
Observation sur une rupture du
co ur. Tome IX p. 516 .
Observation sur une hy dmpisir ducerveau . Tome XII , p. 45 1.
Observation sur un serN rnent ou
bredrssure d e la. mâchoire à la suite
d’
an traitement “aérien . Tome XIV,
p. l 45.
Observation sur une inoontr‘
nenee
d‘
urine , la suite d’
une couche , et
d'
un laitrépan du surla we; srd .T. XV,
p. 145.
Observation singulière sur une tu
meur cau inomateuse traitemen t de
cette tumeur par la aiguë; suite et
conj ecture relat i ve à ce
.
traitement.
Tome XVII , p. 53 3 .
Observation sur les bons ej Ï èts du
HAZquinquina dans unepetitm érolegay
g réncuse . Tome XX p. 3 43 .
Elog e historique de l'
Un iversité de
Paris . Paris,int. Ce discours fut
prononcé avec appareille 1 1 octobre
1 7 70 . L’
année suivante , la Faculté
permit l‘
impression . Ily eutdeux éd i
tions de cet ouvrage :le première parrut en latin et en français ia— 4 de
90 pp. ; l'autre , en français ñu—4 de
6 7 pp. CetEloge ayant été dénoncé
comme entaché de jansén isme , le conse il d
’
état d u ro i rendit l'
arrêt su i
vant,le 1 8 août 1 7 7 1 Le ro i s
’étant
fait rend re compte d‘
un imprimé distribué dans les d ilïérens collèges de
l'
Un i versité , ayant pour titre E log e
historique d e l’
Un iversité d e Paris ,
prononcé le 1 1 octobre 1770 ,dans
les écoles de méd ecine , par un doc
tear de cette Faculté À l‘
occasion
d’un acte d e Vesperle ; 811 Majesté
ayan t reconnu que l’auteur l
’ind i s
crétion de louer, par ptéférenre et
sans réserve , des personnes qui ont
donné dans des écarts que l’Un iversi
té elle-même ne saurait approuver; dene citer, en parlant de la Faculté de
théolog ie , comme ayan t été recommandahles par le zèld, les lum1eres etune d octrine irréprochable , que desdocteurs qui on tmérité la censure de
cette Faculté ou qu i on t été exclus
de son sein à cause d e leur Opposition
constante aux décisions de l’
Eglise ;
que ce d iscoursren ferme d
‘
ailleurs plu
sieurs traits faux déplacés d ictés par
l‘
esprit de parti, injurieux lamémo i
d’hommes illustres et notamment à
celle d’un des augustes prédécesseurs
de SaMajesté, laqui ses vertus ontmé
rité le surnom glorieux d e Père du
P euple et voulant préven ir les im
pressions funestes que le débit d‘
un
BER 6 7
pareilouvragepourraitproduire ouï prononcé aux écoles de médeci nele rapport; le roi étant en son conseil le 16 octobre 1 7 70. Paris 1 7 7 7
a ordonné et ordonne que l‘imprime in —4 .
ayant pour titre E logehistorique d e N otice deshommes lesplus célèbresI’
Un iversité de P aris latin et fran ç ais , d e la Faculté d e médecine en Un i
“ eè des remarques . etc. fiers et de versite'
de Paris , d epu is 1 1 10 j usqu'
ert
meurers supprimé. Fait très—expresses 1 7 50 ( inclusivement extraite en
inb ib ition s et défen ses à tous impti plus grandepartie ) du manuscrit demeurs libraires et autres de rmmprî feu M. Thomas-Bernard Bertrand ,iner ou faire ré imprimer ledit E loge! commun iquépar son fi ls ; rédi gée par
ou Discours comme aussi de vendre , j acques—AlbertHazon , etc. ouvrage
déb iter, ou au trement d istribuer les que le rédacteur a partagé en trois
exemplaires qu i en restent à peine temps ou époques ; savo ir depui s le,
de 50 liv. d'
amende,et telle autre milieu du 1 2 0 S ICClC jusqu
‘au milieu
peine qu’il appartiendra. Et sera du depu i s le milieu du 1 5° jus
'
le présent arrêt , lu , affiché et pu qu‘
à la fi n et depu is le oommen
blié partout où b esoin sérs . Fait cemen t du t 7° jusqu
‘
aumilieu du
au conseil d’
état , etc. » Hazon fû tsus ” ce un Discours ou Tableau de la‘
pendn de ses fonctions de docteur ré Faculté à la tête de chaque épo
gent , jusqu‘au moment où de Mal“ . que etc. etc. ; pour serv ir de suite
herbes entra au min istère. et d e complémen t à l‘Histoire abrégée
Elogehistorique de la Faculté de de la Faculté ( sous le titre d'
E lôg e
médecü e d e P aris. Discours pour les historique etc. Paris 1 7 78 ih—à .
lauriers académiques ; traduitdulatin , Andry . Heron. )
Hü ENSTREIT (Enursr — BBursmu-Tuñormrm), né à Leipzig le1 0 février 1 7 58,fi t ses études dans l
’
un iversité de cette ville, et y prit
le grade d e d octeur en médecine . Nommé professeur extraordinaired
’
anatomie et de chirurgie en 1 785, il fut assesseur de la faculté d e
médecine) en 1 7 89. Plusieurs sociétés savantes s’
associèrentHeb enstreit: la société économique de Le ipzig , en 1782 , la société
d’
agriculture de Paris , ne 17 87 , la société royale d es sciences de
Gottinguc en 1 788 . Il était d epuis quelques années médecin pensionné de la ville de Leipzig quand ilmourut le xs décembre 1803.
Dicsertat10 Je w; etatione hiemuli . D issertatio cum: san itatis publia:Le ipzig, 1 7 7 7 , ia
—A. «pad waterss æ empla . Leipzig, 1 783
D iss. de corporumauimaliumf a ia-4 .
bried , an imaliumf acultatzbus aœ omo P rog mmma de aqua naturâ acreà‘
,
da ta . Leipzig, 1 7 7 8, in-4 . secund tzm recentiorum chemicorumCuræ sanitatis apud weteres exem experimenta . Leipzig, 1 7 85, ia —4 .
pla. Leipzig 1 7 79 , 1‘
u-4 . Lebrsætze der medicinischen Poli
BER 69
déja la réputation de botaniste habile‘
et il passait pour être
profondément instruit dans toutes les branches d es sciences na
tutelles . Ilfut choisi par Frédéric—Auguste II, roi de Pologne, pour
faire , avec un certain nombre de naturalistes de son choix, un
voyage scientifique en Afrique . Mun i de recommandation s d es roisd e France et d
’
Angleterre , ilpartit le 23 octobre 17 3 1, avec Christ.Aug . Ebersbach, Christ. Gottl. Ludwig, Zach. Gottl. Schulze, J H.
Buechner et Christ. Schub ert. Après avoir traversé une partie del’
Allemagne , d e la Suisse et de la France ils arrivèrent à Marseille
le 1 7 décembre . Unepartie de l’
Egypte ayan t déjà été explorée parTournefort, ils devaient se d iriger vers le côté septen trional d e
l’
Afrique ou la Barbarie se d iriger veréles déserts, puis parcourirlacôte occidentale jusqu
’
au cap d e Bonn e- Espérance . Ilsmirent en
mer le 24 janvier 1 7 32 sur un vaisseau faisan t voile pour Alger
et après une traversée d angereuse, ilsmirent le pied sur le sol afri
cain le 26 février. Leurs exfl orations et leurs voyages oommencèrent aussitôt;
'
et cette expéd ition promettait d’heureux résultats
aux sciences naturelles ; mais lamort du roi qui l’
avait ordonnée
interrompit au bout de moins de deux an s,un voyage qui en de
vait durer trois . Hebenstreit fut d e retour à Dresd e au mois d ’
oc
tobre 1 733 . De Dresde il se rend it à Leipzig , où il fut chargéaussitôt de l’enseignement d e la physiologie. Il entra en exercice le
2 2 novembre de lamême année , par un d iscours sur les an tiquités
romaines qu’
il avait trouvées en Afrique . En 1 73 7 il eut la chaired‘
anatomie et de chirurgie , en 17 46 , celle d e pathologie , et dem:ans après , celle de thérapeutique vacante par la mort de Platner.
Il fut en même temps doyen de la faculté demédecine etpoÿ atred e la ville .
Hebenstreitmourut le 5 décembre 1757 . Il avait été nommémembre de l’Académie d es Curieux de la nature avant son départ
pour l’
Afrique; à son retour, il fut élumembre de l’
Académie royaled es sciences de Marseille .
Hebenstreit est un d es médecins qui aient eu la connai ssance la
plus profonde de la médecine grecque et romaine ; il en a 1aissé
dans ses Antiquités de la thérapeutique un monument solide. Il
tient un rang distingué parmi les poètes latins modernes. S’
il y a
une grande exagération à comparer son poème de Homine arme et
œgmto à celui de Lucrèce cet ouvrage prouve dumoins qu’
il avait
une prod igieuse facilité à versifier ; car il en a composé une partie
en jouant aux échecs , et en se laissant assez peu distraire de son
7 6 HEBd es malades. Ce fut à son instigation que les membres du collège
royal d esmédecins se d éterminèrent à publier desmémoires,parmilesquels on en trouve plusieurs d
’Heberd en . Il fut nommé en 1 7 78correspon dant de la société royale d emédecine de Paris. Il convient
d e parler d’
un ehab itude qu’il s
‘
imposaau début d e sapratique etàlaquelle il se conforma toute sa vie car il serait à désirer qu
’
elle fût
plu s répan d ue qu’
elle n’est; lamédecin e y gagnerait infin iment. Il te
nait un journalexactde tous les cas qui se présentaientdans saprati
que, avec tous les détails ou renseignemens qu’
il recuei llaitprès des
malades, et le précis de ses observations ; puis, faisant chaquemoisl’
examen d e ses cahiers , il en recueillait tout ce qu’
ily trouvait de
propre à éclairer la nature de quelque malad ie à établir les pro
priétés d e quelque méd icamen t etmettait ces extraits dan s un b onord re . C
’
est d e ce vaste etprécieux recueil qu’
il tira, à l’
âge de 7 2
ans , les commen ta ires qu’il n ous a laissés sur l
’histoire et le traitement des malad ies et dans la composition desquels ils
’
est interd itd e rien d ire qu i ne fût dans ses recueils , aimantmieux laisser iacomplète et inachevée l’histoire d es malad ies sur lesquelles il avait
d es matériaux originaux à exploiter que d e tirer d es livres ce qui
lui manquait pour la compléter, ou d e s’
en rapporter à ses souve
n irs ce qu’
il n’
a fait que dans un très—
petit nombre de cas , pour
lesq uels il était sûr de samémo ire .
Tous ces d étails sur . sa vie c’
est de lui —même qu’on les tient. Il
remit ses commenta ires à un de ses fils qui était médecin , pour
être pub liés après sa mort. En 180 1 Heb erd en , âgé de plus d e
q uatre— vingt d ix ans cessa d e v ivre . Sa mort fut celle d ’
un sage .
J ntitheriuca ; au essay on M itrida
tiumand Theriaca . Londres 1 745
i n-8.
Of a v ery large human calculm.
In philos . T ran sact. 1 750 , Abridg. ,
tom X , p. 1 03 .
Of a ston e maided without helpf romthe Bladder of a Woman a tBu
Philos. Tramact. 1 7 50 Abrigd t. X
p. 2 19.
Of the d iff erent quantities of RainWhichappear to fall at 111/f eront
heights , over the same spotof g round .
Philos. Transact. 1769, Abrigd . t. X ,
r 659.
Of the infl uence of cold on theHea lthof the mhabitants of London.
Philos. Transact. 17 96 , A brigd . ,
tom. XVIII.
Remarks on the Pump Ware: ofLondon and on the methods of pro
curing the purest Water. Med . Trau
sact. published by college .oi physieiaus of Loudou . 1 768 t.
Observations upon the ascarides.
Med . Transact. publ. by college , ete .
t. I , p. 45.
Observation on theN igthBlindness .
Med . Transact. , by the coll. tom. 1 ,
rss—°c
Observations on the chicken P ax.
Med . Transact.publ. by the coll. 1. I ,p. 4 2 7 .
A n the epidemicalcold in June a nd
July 1 76 7 . M ed . Transact. pub l. by
the '
coll. I , p. 4 7 3 .
Observations on the hetic f ever.
Med . Transact.publ. by the coll. 1 7 7 2 .
t. II.
Remaü s on the pulse. Med . Tran
sact. publ. by the college cie. t II
p. 1 8.
Some account qf'
a d isorder of theBreast. Med . Transact. publ. by thecoll. t. II , p. 59 .
Observations on the deseases of theLiver. M ed . Transact. publ. by thecoll. t. II , p. 1 23 .
Observations on the nettle fl ash.Med . Trans . publ. by
'
the coll. 1. II ,.p. 1 7 3 .
A n account of the noxious 0fl'ëcts
of some f ung i. Med Transact. publ.
hy the coll. 1. II , p. 2 1 7 .
BECKER (Accusra-Fa1änñmc), un d es écrivains lesplus fécond sd e l
’
Allemagn emédicale modern e né à Kitten en Saxe , le 1"
juillet 1 7 63 étudia lamédecine laHalle et fut reçu docteur en 1 787 .
Trois ans après , il fut nommé professeur ord inaire d e médecin el’
université d’
Erfurt. En 1 799 leprince deHohenzollern S igmaringenl
’honore du titre d econ seiller. En 1805, ilfutappeléàBerlin poury occuper une chaire au collègemed ico— chirurg ical; il futen mêmetemps nommé conseiller du roi d e Prusse . Ilmourut le 1 1 octobre
182 1 .
Les nombreux ouvrages de B ecker se partagent en trois classes
ouvrages sur l’histoire de lamédecine ; ou n
’
y trouve pas une éru
d ition bien profonde mais ils offrent d e l’
intérêt et sont écrits avec
jugement; ouvrages périod iques on y remarque des vues mieuxarrêtées etun plan mieux suivi que dans la plupart des journaux ;enfin ouvrages sur lamédecin e pratique, ils ne sontpas d
’
unhommesupérieur qu i fait avancer la science , mais d
’
un écrivain lab orieux
et instruit, qui l’
exposé telle qu’
il la trouve, avecnetteté etprécision .
Voici les titres de ces ouvrages
Letter concern ing ang ina pectorzs
witha case and d issection . ed .
Tran sact.publ. by the coll. 1 7 85, III.
The method of preparing the Ginseng roo t in China. Med . Trans. publ.
by the coll. t. III , p. 34 .
Observations on the Measles . Med .
Tran sact. publ. by the college etc.
t. III p. 3 89.
A ccount of the influenza , as it ap
peared in 1 7 7 5. In Med ical ob serva
tion s and inqu iries , t.'
VI , p. 349 .
Commentaru de morbommhistan'
d
et curatione . Londres , 1 802 ia— 8 .
Redudi curavit S . Th. Sœmmerring .
Francf011—sur—le-Mein 1 804 ia-8 .
1 802 , ia-8 Il'
ren ferme la plupart
d es ariicles indiqués auparavant.
Heberden . Maty .
Watt. )
76
scrophulosum unumeumdemq ue morbum.sse , evincere conatur. Halle1 7 8 7 in-8 , 45 pp.
Theoretisch-praktische Abhandlungaber den Tripper ein Versuchzu Vere inig ung der Mey nungen der Aenzte
ü ber d iese Krankheit. Leipzig , 1 7 87
in —8
Auswahldermed icinischen J ufl ætze und Beobaehtung en aus den N ü rn
berg i:chert g elehrten Unterhandlung en aus demlat. ü bers. und mit Z usætzen wen nehrt. Erster Band , Wel
cher d ie Jahre 1 7 3 1 -1 7 34 enthælt.Helle
, 1 787, in-8 ; 2ter Band , 1 7 88,
in 8 .
Therapiageneralis oderHandbuchder allg emoinen Heilhunde . Berlin
1 7 89 iu-8 , Gotha et Erfurt , 1 805 ,
1 8 1 2 , 18 16 , ia-8.
A rchiv. f ür d ie”
allg emeine Heilhands . 1ster. Band . Berlin 1 790, in
8 . M it. I Kup_fl 2ter. Band , 1 792 , iu—8 .
HECDiss. qua morbum q philliticum et
Handbuchder aü gemeinen chirurg ischer:Heilkund e,fur angehend e A erzte
und Wundærzte. Erfurt 1 79 1 ia-8;trad. en français , par Roché. Paris ,1 804 iu— 8.
Bertrag zur K enntn iss der Kranhheiten der Gelehrten . Erfurt 1 79 1
in —8.
Grundriss derphy siolog ia patholog ica , oder Lehre v on dem Bau der
Mischung und den Verrichtung mdesmenschlichen K oerpers und seiner
Theile inwiedematurlichen Zustande ,1 ster Theile.Halle , 1 791 ia—8 ; 2 1er
Theil 1 799, ia— 8.
Journal der Erfindungen , Theorien und Wiedersprü che in derNaturund Armemissenschafl n
°1-44 . Go
tha, 1 792-1 809, ia-8, 1 1 vol.N euestes
j ournal. Gotha , 18 10 1 81 2 , ia—8,
2 vol.
Nachtrag zu d en Erfurtergel. Z eitung VII , St. 1 79 1 zu demA rchive
D eutliche A nwe isung , d ie v eneris f ür d ie allgemeine HeiÙiunde 2 ter
chen Kranhheiten g enaue zu erkennenund richtig zu behan d eln . Z ur Em
pf ehlung einerZwcchmæssig mK urart,
und zur Verbannung einergroben E tn
pirie , fi ir ang ehende Aerzte , Wan
dærste und unerfahrne in der A rs
ney wissenschaf t. Erfurt, 1 79 1 ; ibid . ,
1 802 , in—8 ibid ., 1 8 1 5
, in-8 ; trad .
en français par Jourdan , _avec des
notes par Alyon , Paris , 18 1 1,in-1 2 .
Usherd ieWerrichtung derKlein stenSchlagadern und e in ig er aus einemGes e derf einsten Gefæsse bestehend en Eingeweide, d er schild —und Brust
Band , und zu allen Zeitungen, Journalen , B ibliotheken und so weiter, die
hrn .Weiehard vmed ioin ischeFragmente und E rinnerung m( Frankf.und das Nachtrag zu den
’
FragmentennachVerdiensten recens
'
iret habenund nochrecensiren werden . E in Bey
trag zur K enntn iss der Kranhheitend er Gelehrten durcheinen merhwürd igen Fall erlæutert. Erfurt 1 791
iu—8.
Tabellen ü ber die Geschichte derMedicin . Erfurt 1 791 ia—8 .
D . d e eæanthematemiliari etpemdrü se, des Milzes , der N eben-N ieren phigo. Erfixrt 1 79 1 ia-4 .
und der Nachgeburt. Erfurt 1 790 ,
ia-8 .
Progr. med icine omnis a vi fata tabulis expo:itn. Erfurt , 1790 ia-4.
Allgemeine Geschichte der Naä u*
und Au neyhunde . 1ster Theü . Leip
zig ‘ 793 ill
Magminfilrdiepfl hologü che Ana
HECQmie und Phy siol0gie. Altona 1 796,
Neue: Archiv f ü r d ie allgemcincHeiIhunde . Erfurt 1 793 ia-8 .
E twas ü berd ieBehandlung derfl lutflüsse nachder Browniæhen Lehrein Hufeland ’
s Jonrnal derprackt.Hailkunde B . St. 1 ,Nr. 2
7 on der Schwierigkeit d ie Dasen
ein igerwirü amen Arznermittelg enauzu bestimmen . lbid . St. 2 Nr. 3
Usherang ina polyposa und asthmaacutumperiod icumHillari in B eziehung aqf d ie Wichmann-nnd Lentin ischen A ufl ætze ü ber d iesen Gegtn
stand . Ib id .
,St. 3 , N r. 1
D ie Pochen sind au:gerotteü 2 . A b
theilungen . Erfurt , 1 802 , in—8.
Kunst die Kranheiten derMenschenzuheilen nachden neuesten Verbes
semng en in d er Arznw issenschafl1 ster, und 2ter Thei]. Erfurt , 1804
in—8. 2ter werbesserte Awgabe. Er
furt, 1 805 , ia-8 ; ibid 1 809 , in—8 ;
iÔÜ. , 18 1 3— 1 8 1 4 , in-8 , 4 vol.
Über d ie gengenvværtige Ven”
:celt
n isse d er ausübenden Heilhunde zu
ihrer Theorie. Erfurt, 1 805 , ia—8.
Therapia g eneralü , oderHandbuchd er allgemeinen Heilhunde. Erfurt
1 805— 1 8 10 in —8 .
-D ie Kunst unsere Kinder zu gesun
den Staatsbù‘
rg ern zu erz iehen und
ihre g ewæhnlichen Kmnhher‘ten zu
heilen . Erfurt 1 805 , in -8.
K urzer A bris: der Patholog ie und
Semiotik; zur Gmndlage sciner Vor
lesurzg en beymcolleg iomed ico-chirurg ico zu Berlin entworfi n . Berlin
806,in — 8.
Med icinisch praktisches Taschenbachfi
'
u Feldærzte nnd * Wundærzte
teutscherArmeen. Erfurt, 1 806, ia— 8 ;
7 7
ibid . . 18 14 111— 8 ; trad . en francais
parB . Brossier et M . F. Rampont. l‘aris et Strasbourg , 1808 ia— 8.
Anleitrmg zumzwcchmæssrgen ge.
brauche der einfachen und zusammengesetzten ArzneymitIel welehein derpharmac0pæa castren si Borus
sica en thalten s ind ; eine q lage zu
d emmed icin ish-prahtischen Taschenbuchef ur Feldærzte und W
‘
undærzte
teutscher A rmeen . Erfurt 1806
Wodrsrohrei/t d ie Chirurgie demGrade ihrer g rg enwærtig en P oll/«ornmenheit entgegen r
’ Berlin , 1806 , i i i-8.
( Avec C. Knappe K ritische Jahrbucher der Stantsarzneyhü ndefi ir da:neunzehnte Jahrhundert. 1sten Ban
des 1ster‘ und 2ter Theil. Erfurt, 1 806 .
2ten Band es 1ster The il. Erfurt
1 808 , ifl ° 8e
Welche: istdaswahre Zwechmed icin isoh-ohirurg ischer Lehran staltenWelche art des Unterrichtshann ihr:befærdem Eine Rode , am1 3ten Sa]ttung:tage d er hœn ig l. med icinisehchirtrrg z
‘
œhen P epiniere zu Berlin am2ten A ugust. 1 807 g ehalten . 1 807 ,in-8 .
Kumar A bris: dor Therapie sur
Grundlag e se inerVorlesungcn bey demK onig l. Celleg iomed ico -chirwg ieo zu
Berlin entworf emErfurt 1 807 in 8 .
Ueber d ie N ervenfi eber, welche in
B erlin im Jahre 1 807 herrschtennebstBemerhung en aber d ie re it2end e
stœrhende und schwæchende K armarhode eine E inladung sschrifl zu sri
n
‘
én Vorlesnng en im Win ter 1 807 bir
1 808 . Eriurt, 1 80 7 , in
K urzer A bris: d er Chirurgia med ica zumGebrauchscin er Vork çurrgmbey d emhærrigl. Collag io med ico-chirwg ico in Berlin . Erfurt 1808 , in—8
78HE
D ie Heilhunst auf ihnen Wegen
zur Gewisshe it , oder d ie_
Theorie ,Sy steme un d Heilmethode mon Hippocrates bis auf unsere Z eiten . Berlin
1 808 , ia— 8 ; Erfurt, 1 8 15 , ia—8 . He
rausg eg eben v ou Bernhard i . Eriu1‘tetGotha , 1 8 19 ia— 8 .
— C’
est l’
in tro
duction de son Traité de Médecine
pratiq ue .
A briss der P athologie und Semic
tih, d er Therapie und der Chirurg iamed im, zum Gebrauchseiner Varie
sung en . D re; A btheiluug en . Erfurt
1 808 in — 8 .
Ueber d ie Natur und Heilart d erFaulfieber, n ebst B emerhungen aber
eiu ig e merschiedeuheiten E intheü ung en und K urmcthoden d er Fieber
ü berhac t. ate Emlad imgsschrÿ't. Vo
ran ein Bq trag zur Bcan twortung der
Frage se ll in B erlin ein e Un iversitæt
sey n ? Erfurt , 1 809 ,ia-8 .
D ie Geschichte des saucrstgflè s ,als He ilmittd geg en das weiterischeUebel. In demjournal der Erfinduugen u . 8 . 11 . St. 34. Nr. 1
Ueber d ie g rosse Versehiedenheitder wenerischen KrartlrheitsflFarmend urcheinen merkwü rd ig en Fall d er
ein e ganz neue Farmdurs/d it , erlau
tert,nebst Bemerhuug en aber d te ‘Na
tut;und B ehandlttng d cr meuerischen
Uebel ueberha upt. InHufeland’
s Jour
nal derpraet. Arzneykunde , B . 26
St. 4 ( 1P rog rammon d en Eutzundungen im
B a is e ,besond ers mon d er A ng ina po
lyposa und demA sthma aoutum. Ber
lin , 1 809 in-8 .
Gedanhen uber d ie N atur und Ur
sachen d es iVe *
°
chselzapfs, zur Berichtig uug d er Theoricmon d emZ usammeuhaugc zwischen d en ôrtliclzen und
allg eime inen Kranhheitm ihren Me
tastasen und Krisen. Eifi d ungschnft.E rfurt , 1 8 10 , ia-8 .
Manuel d e médecine pratiq ue militaire . Breslau 1 808 in—8.
Von den Kranhheiten mit den
Scharlachauschlag . Leipzig 1 8 18
in-8 .
l’ om Wirhung en und Erfolg e der
Heilmitæl. Le ipzig 18 10,in -8.
Annalen der g esummten M ed iein
als Wiss€nschaf t und K unst,zurBeur
thcilung ihrer neuesten Efi nd ungen ,
theore‘ert Systeme und Heiimethod en .
Berlin 18 10 ia— 8.
P rahtischeArmq mitteü ehmÆd ü rt,8 14 ia— 8 .
Leæicon med icamtheoretica—p actä
cummale oder allg emd nes Warter
bachd erg esummten thw retischen und
praktischen Heilhundg fi ir Aerzte
Wundærzte and Geschæfl smænmrnus
allen 8tænden denen eine Br1aute
rang wunscbensfi erthsey n hunn . en
thaltend eineplanmæssige môglichstwollstænd:g e D arstellung unserer
K enntn isse inJ ei* A natomie , Phy siolog ie , med icin ischen Lan der—und 7 61herhunde
,Patholog ie semiotihHet!
mittellehre , D iætetih‘, ulIg emeinen und
specscl[en Therapie , Chirurg ie E nt
bin dungshun st, polizeilichgerichllichen Med icin un Thierarzneïhunde inihremganzeng egenwærtigæzUmf ange .
Vienne , 1 8 1 7 Gotha, 1 82 2 ,3 tom
en 6 vol. in 8. La continuation de
ce d ictionnaire , entreprise par II. A .
Erhard , en 1 82 5 a c'
te 1nterrompue
en 1 830 après la publication de la
première partie du tome V .
Vollstaeud ig esHandbuchdcr kriegsarznerhunde . Gotha 1 8 16 , i ll—8 .
( Meusel. Med . chir. Zeitung .
Journal der E rfi ndungen . )
HEC 79
BECQUET (Futu ra ), médecin renommé de son temps pour sa
science , pour sa piété , et en même tempspour son ardeur dans la
d ispute , était né à Abb eville le 1 1 février 166 1 . I lv int à Paris àl’
âge d e 1 7 an s, etfitson cours d e philosophie au collège d esGressins .
Un goût prononcé pour l’
état ecclésiastiq ue le fitpencher d'
abord
pour la théolog ie dont ilpritd es leçon s en Sorbonne et à Navarre ;mais les conse ils d
’
un oncle ,médecin d istin gué, le décid èren t enfin
pour lamédecine. Il en commença l’
étud e à Paris en 1682 ; il alla
prend re ses d egrés à Rheims au mois d e juillet 1684 , et le 6 août
suivan t, il se fit agréger au collège d es médecin s d’
Abbeville . Il
u_
n rests pas long— temps dans sa ville natale , où il ne trouvait pas
les ressources que réclamait son goûtprononcépour l’
étud e . Il re
v int à Paris. Dès qu’
il voulut se livrer a la pratique ,la Faculté
, qui
veillait avecune attention jalouse à ne laisser personn e . empiéter surles d ro its et privilèges d e ses memb res , le lu i fi t in terd ire ; pour se
soustraire à ces tracasseries , il se fit agréger à la chambre royale ;
mais cette chambre qui subsistait so°
ü s l’
appui d e Daqu in , premiermédecin du ro i , fut ébranlée elle-même et croula b ien tôt. Hecquetétait sur lepoint d e se décider àretourneraAbbev ille, lorsqu
’
ilintap
pelé en 1688, a prendœ laplace d emédecin des religieuses du PortRoyal
- des-Champs que lamort deHamon venait d e laisser vacan te .
Les jeûnes et les macération s auxquels il se livra dérangère1it grav ement sa santé. Ses amis le pressaien t d e reven ir à Paris; lamortd e la supérieure qui l
’
avait appelé à Port-Royal arrivée le 26 110
v embre 1693 , l’
y détermina.Hecq uet résolut d e prendre ses d egrésÔla faculté de Paris. Il se mit d onc sur les bancs à l’âge de plus d e33 ans , au mois d
’
octobre 1694 sortit d e licence le 3 septembre1 696 et reçut le b on net d e docteur le 15 janv ier1 697 . D epu is lors,la Faculté l
’hon ora comme un de ses membres les-plus chers il fut
élevé,malgré lu i, au décanat , en 1 7 1 2 . La réputation d
’Hecqnetcomme praticien s
’
étend itrapid ement , il était appelé de toutes partsen consultation s , les grand s recherchaient ses con seils avec empressement ;mais c
’
est surtout aux ind igen s q u 1l aimait à mon trer son
zèle , en leur prod iguant ses soins et sa b ourse . Au commencementd e 1 7 2 7 , B ecq uet, d evenu très
— infirme, se retira chez les religieuses
carmélites du faubou1g St.J acques , d ont il était le méd ecin depu is3 2 ans. Il y passa le reste d e ses jours dans les au stérités d e la pé
n itence et y mourut le 1 1 avril 1 7 3 7 . Rollin lu i fit une b elle épitaphe .
Becquetfut un écrivain très— fécond , Ses ouvrages prouvent qu 11
80 HEC
avait du savoir et qu‘iln
‘
étaitpas dépourvu de quelques vues pra
tiques d’
une certaine portée ;mais ils sont tous d’uneprolixü é rebu
tantc tous entachés de l’esprit d’hypothèse le moins réservé, tous
remplis de ce qu’
il y avait de plus inutile et d e plus faux dans la
doctrine d es intro —mathématiciens sur la tritumtion sur l’
atténua
tion d es flu ides par le jeumécan ique des solides , sur la nécessité
d‘
évacuer et d‘humecær pour entreten ir ou rétablir la liberté d es
ressorts dans l’
économie , etc. En vertu d e ses doctrines , il y avait
peu d e malades dans l’
affection desquels B ecquet ne trouvât la
double ind ication d e les vider d e sang et de les remplir d’
eau ; et.
l’on prétend que c
’
est lui que Lesage fait figurer si plaisammentdans son Gil- Blas sous le nomdu docteur Sangrado .
A nfm tiones àf ermenti:.Thèse du26 janvier 1695.
An chronicorummorborummedicina in alimen to. Thèse du 1 3 octobre
1695 .
An morbi sero‘
sâ coü uvie. Thèsedu 12 jan vier 1696 .
A n remed iorum cufl a suppeü ex .
Thèse du 6 février 1698 .
P réface falü e du recueil des ou
vrag es de Bag!ivi imprimés is Ly onen 1 704 .
A n impedilæ transpiration i san
gnis missio . Thèse du 7 février 1 704 .
Explication phy siqu e et mécanique
des eff ets d e Ia so ig née et de la bois
son dans la cure d es malad ies , avec
une réponse aux mauva ises plaisanteries que lej ournaliste de Paris (M.An
dry) a faites sur cette explica tion d e lasoig née. On trouve au ssi dans cet ou
vrage la Thèse sur la sa ignée , traduite
par B ecquet , et la Thèse sur la boisson 1 707 in-12 à Chambéry (ouplutôt en France).
D e l‘
indécemcauxhommesd ’accoucher («f emmes , et d e l
‘
oblig ation aux
femmes de nourrir leurs enj ans ; pour
montrerpar des raisonsphy siques demorale et de médecine , que les mèresn'
exposeraient ni leur v ie n i celle de
leurs enfans en sepassant ord inaire
ment d ’
aœouchears et de nourrices.
Trévoux , 1 708 in— 1 2 .
Trails! des d ispenses du Car€me,dans lequel on découvre la faussetéd es préceptes qu
’
on apporte pour les
obtenir, en f a isantwoirpar la mécanique du corps les rapports naturels
des alimensmaigres avec la nature de
l‘homme etpar l
’histoire,par l
’
ana
lyse , et par l’
observation , leur con
venance avec la santé. Ce traité pa
rut en 1 708 fut réimprimé en 1 709;
ensui te en 1 7 15. 2 vol. in-1 2 ; avec
des corrections et add itions entre
autres deux D issertations l‘
une sur
lesmacréuses l‘
autre surle tabac, etc.
en 1 74 1 , 2 vol. in -12 .
De la d igestion des alimen i , pourmontrer qu
’
elle ne sef ait pas par lemoy en d
'
un levain , mais par celui dela trituration ou du b} om ent, con tre
l'
article 1 3 des Mémoires de Trévoux,j an vier, 1 7 1 0. Paris , 1 7 10 in-ta.
Ce son t des remarques sur laD issertation d e Vieussens , le père , doc
82
A n quo: Morbbs non fau t d tb ur
piw f ermm sanat chymi cut ig n is .
Thè\6 du 8 mai 1 7 3 2 .
Le bngaurlag e d e la médecine dans
la manière de tra iter la ,pe,tiæ—v äroü
et lesplusg ran d e:malad tes par l
’
émitigue, la. sat
‘
g név au pied , lehennbsmineral. avec un traité de lame illeuœ
man ière d e tra !” les p0l1i6 5-'U6 1oies
par des remedes et des observa tions
tirés de l’
usag e . À Ut1echt ( Rouen )en 1 7 3 2 , in 12 .
Ile br1‘
g a 11daä e de lamédecin e, etc.
‘deux1erhepd rt1e oi1 , dprès avo irpm1t
vé ce brig andag e par les effets , l’
on
d onne brplari de°Mëmoim acadé
°ü 1ia pour ra… lamédecine à— sés règles et la contenir dant ses ib ir
‘
:
avec une lettre apok yä ique touchantle bn
‘
gandag e de la {116d 116 , etc.
Utrecht. Rouen an.— 12
{Le brigandagede la médecine he
'
fl…” i ’ ou la so ignée du pied , le tar
.
tre‘ ç
'
1nétgque et le hermès minéral d isGipliré s
‘
, Troisième partis Utœcbt
Le briegandage d e la chirurg ie , ou
la médec1ne opprimc‘e par le_
‘
dage de la chiñ :rga ie, En 1 7 38 , in-1 2 .
Après fa m01t de lautour A vec le‘
brig and‘age de la pharmêzcze , etc. , et
la lettre déj a imprimée . Sur ce q i1e
.Pa io, 1 73 3 , 2 vo ld æ fl .
—Le natura lismeV«.epgvulænm, de
«convulsions , ddrnontrü për13phy dÿ-‘ué,par l
’histoire naturelle, etpar
nemeus de cette œuvre, et démontrantl’
impossibilité du d ivin qu‘
on lu i a ti ri
bue dan s une lettre sur les secours
meurtriers. 1 7 33 dmx‘
ièfln più
tie . Le mélange dans les wnmü ionsœ rf ondu par le naturalisme . 1 7 3 3
'
troisneme partie , Solenn —e ( Rouen) .
La cause des convulsions finie , et
l'
œuvre des convulsions tomôe‘b.
Utrecht (Rouen) , ia—12 . Réponse à la
Lettre à un cory‘a senr, touchant Io d e
voir desmédecins et des chirurg iens ausuj et desmiracles et des convuls ions.
,Utt‘echt ( Rouen ) , 1 7 33 . in 12
,
Lettre surla con vulsionnaire cn ex£ax ,‘
on la v aporeuse en ri ve. 1 736 ,
i ll- 1 2 . La Suceuse .mmhi…ùæ,
ou la P {ï lb miraculeuse. 1 7 36 ,
ill-1 2. Reponse la L‘ ilfi d'
un doc
teur en médecine de la f acultésur l
'
écrit précédent. 1 7 66 ia-ra.
Le naturalisme des quatre req uetes.
1 736 i11— 1 2 . Réponse des. médacins au d efi que leur f ont les convals ionnaires , dans la j ustific des
requêtes etc. ,,ia—1 2.
Lamédecine naturelle q ue dans la
patholog ie e nvauœ,dans l
’
usage des
calmans etdes d ifférentes saignées des
weiucs et_ des artères etc. Paris
2 vol. ini 1 7 3 7. Après la mort
de l‘au teur, Il y a à la fi n du deuxiè
me volume le livre d’Hippoçeate,
D_
e Fla tibus , traduit en français , par
M . Vergne , médecin 8 Poissy , mort
en 1 7 40 ou 1 74 1.
Laméd ecine, lachirurgie et lapharrancie despauvres parj euM .Hœ qug t
‘
.
Paris , 1740, 3 vol. in 1 2 , avec
la Vie de l'
auteur, parM. de Saint
Marc. M . l‘a bbé Forant eu soin de
la première éd ition de cet ouvrage
BEI 85‘
des inscriptions et boites lettres. Il”
est» auteur des ouvrages sui
vans
De w kmd ine litu atommpoema. Description en
Leyde ,1 749 , in—8 .
Saty md e maribas Pan‘
siomm et
Frisiæ. Leyde et Groniugue 1 750
ia— 4 .
D e officio med icipoema , d ed icatumcard inali Ang elo Maria:Quirini. Gro
ingue 1 752 in —8 .
Maru Curulli Gi on ingensis sa{yra.
1 7 58 111— 8. Pseudonyme. )[ter Venetum. Venise , 1 760,it!—8
de 3 3 pp. en vers.
Gerard i Heerkans d enemem no
taôiIirmi libri duo. Grœ ingué , 1 765
G…e , 1 7 70 , ia—8.
A rmi rastiei j anuan'
m. Groù gue,
1 76 7 9 ia-8 .
Etapedod es swe phy sicamm cpi
gmmmatam, libr. V. Grouinguc
17 83 in-8.
A ves j risü æ. Rotterdam 1 7 8 7
HEISTER (Launmwr), anatomistehab ile, savantmédecin, et l’
un
d es plus célèbres chirurg iens d u dern ier siècle , naquit à Francfortsur- le—Mein ,
le 18 septembre 1683. Quoique sesparens, qui tenaient
auberge , fussent étrangers aux sciences ils surent apprécier les
heureuses dispositions quemontra leur enfant dès ses jeunesarinées,et ils donnèrent tous,
leurs soins à son éducation . Après avo ir fait
d’
excellenteshumanités , appris les langues vivantes lamusique ,
le dessin ,lapeinture ,Heister alla étud ier laméd ecine à Giessen en
1 702 . Ily fut le di sciple particulier de Georges—Christophe Moeller
'
;
q ui le prit en amitié. Ce professeur ayant été appelé l’
année Su ivante
à Goshr,He ister l’
y su ivit etd emeura quatre ans chez lui,l’
accom
pagnant dans ses v isites , dan s ses voyages aux eaux thermales d es
env i ron s , l’
aidant dans sa pratique ,et se rendant a Giessen toutes
les fois qu’
on d evait y faire d es démon strations anatomiques surlo .cadAvre. Il s
’
occupait beaucoup enmeme temps de l’étude d e la
ia—8. d e 298 pp
vers de dix oiseaux.
Icones. Utrecht 1 7 8 7 in-8 .
Des exemplaires portent la date de Fa .
ris , 1 7 88 ;mais l’
éd ition est lamêmeles titres seuls furent changés par lelibraire d
'Utrecb r
, qui craignan t que
le style satyrique de l’
auteur ne lui
sumitât des tracaseeries de la part de
personnages puissans chercha à d énnerle change surle lieu de lapublication du livre.
.
D e waletud ine literatorum libri I II .
Gronmgue 1 790, in .8. Saxius n e
peut pas d ire si c'
estun ouvrage n ou
veau,ou seulement une éd ition nou
velle de“
celui que B eerken s avai tpu
blié sous le même titre , en 1 7â9 .
ltdh‘c0ram libri msi . Gaming1 792 , in -8.
Saxu 0a0m sticon literarium,
pars {’ II I . Barb ier, D iction . des
A nonymes.)
96 HEq enzimnler sd b“?mit leichterMühe und wmige Kosten præpariretwerden hœnnen. Le ipzig 1 702 , ia
1 2 ; Le ipzig, 1 7 20, in- 1 2 .
Curiæ:er und wohler/uhrner, v or
mahls englischer , e1zo aber (culscherHams-artzt. Francfort et Leipzig1 709, ia
-4 .
Chirurgie in nuce. Mnihnaen1 709, in 8 .
Praxis medica oder richtige Anweicung , wie ein angehenderpractieukmed icina durchgœttlichen Berstandcitb , talb feliciter und j ucund ä ohnetheuere Recepte auchgrossen K osten
d ie Krankheiten derer menschlicherLeiber curiren qolche auch und
ihre Symptomata erkenn en, und d ie
Ursachen woher sie en tspringen
au.gfinden mœge. Leipzig , 1 7 10
Thesaur us pharmaccalicas oder
Apoteher—Schaæ. Leipzig, 1 7 10, ia—8.
Neu eingerichtetes Lexicon pharmaeœ ticum oder Apoteher—Lexicon.
Francfort et Leipzig, 1 7 10, ia-8 .
N eu eingerichtetes_
Lexicon anatom1'
ce chirurg icum. Leipzig , 1 7 15 ia-8.
Curiæses Reise und Hauss—Ap0theehen . Francfort et Leipzig, 1 7 1 1 ,
i n — 8 ; Francfort et Leipzig , 17 12
in —8 .
Exotica curiosa oder kuertzlïehe“
und nuetzliche Beschreibung derer’
auslænd ischen D ing e welehe aus
‘d'
emdreyfachen Naturreiche, inf rem
d en La ndem g cf undm werden .
Francfort et Le ipzig, 1 7 1 1 , in— 8.
Casa: et observation“ med icinale:anatomicœ , chirurg icæ ,
etc. , rariores,
selectæ et cun‘
osæ oder curiosæ und
nuetzliche Amnerhung ert mon aller
hand raren und auserlesenen med iciwschen anatomischen ch
_rmischen Francfort et Leipzig 1 7 15 in-8.
gen ramteinen Reg ister. Francfort et
Leipzig, 1 7 1 1 , ia— 8 .
N eu eing erichtetes Lexicon medicachmicum
,oder chymisches Lexicon .
Francfort et Leipzig, 1 7 1 1 , ia-8 .
Allzeit fertiger und v ermehrærHauts—Vemaher. Francfort et Leip
zig, 1 7 1 2 in-8; Francfort et Leipzig1 7 19 , ia-8 . Publié sous le nom de
Vot ommenes teuü eh—und Iutei
n itchesphy sihalü ch-undmedicin ùchesLexicon .Hanovre, 1 7 1 3, ia-4 .
Neu entdeckte Heimlichheiten de:
Frauenzimmen . Francfort etLeipzig ,
1 7 1 4 , in-8 ; Francfort et Leipzig
1 7 1 5 in —8 ; Francfort et Leipzig ,
1 7 19 , ia— 8 Francfort et Le ipzig1 7 25 in — 8 .
Chirurgü ches Leæîeon . Francfort
et Leipzig , 1 7 15, in-8. 80111 le nomde Gaspard Schrœd er.Dreyfachfl al: Thuering isch
Meismu chen und N ierder:æchsùcherteutsch-und late inischer ApoteherTaz . Francfort et Leipzig , 1 7 1 4
Da: bey j etzigen zeiten neu einge
richtetcs P est Apotcchgen. Francfortet Leipzig, 1 7 14 , in — 8.
Grund und Lehrsætze{ der ganzen
_
edlen Med icin . Leipzig, 1 7 15, in-8.
A urerlesene: tantrohmed icinü che:Recept
—buch. Francfort ef Leipzig
1 7 15, in — 8.
N osce te ipsu1n fuel anuæwü umwivum oder Kurzg efaxsæs dock
richtig gestellte:anatomü ches Werh.Francfort et Leipzig , 1 7 15 ia
Francfort etLeipzig , , 1 7 20, in—fol.
Med icu1 clinicas oder dor W0h1
98 miltrouva qu
’
iln’
avaitmeuMé son esprit—
que demots et n’
avait ap
pris que l’
art de disputer avec adresse et acharnement. Il refusa letitre qu
’
on voulait lui donner. Cumnil solid i,n il veri seirem ti
tulummagistri ‘artiumrecusuv i , nolens utmecumm0rionemprofesSore5agerent,magistmmseptemartiumdeclararent,qui n0ndumessomd iscipulus . Voulantdésormais 5
’
appliquer àlarecherche dela, vërité et à l
'
étude de la vraie science il quitta les écoles. On lui
offritun riche canon icat. Il le refusa; car , dit— il d eterrebatmea s,. Bamardu5 , quad peccatapopuli comedeœm. Incertain de la
carrière qu’
ildevaitsuivre , ilhuplora le seigneur Jésus de lui faireconnaître celle dans laquelle ilpourraitlemieuxle serv ir . Il ajouteaussitôt, sans dire si ce fut pour obéir l
’inspiration q u il avait de
man dée, quu
’il alla entendre dan s l
’
école que les Jésuites venaient
d‘
établir à Louvain malgré le r —
,oi malgré les magistrats , malgré
l’
un iversité, et contre la défense e1presse du pape ,les leçons du
fameux Martin d elR io sur lamagie . Promesse , d it— il, solos sti
pulos inan es rapsodiaque pauperrima collegi , judicio prive . Il
s’
appliqua à la lecture d es stoïciens , de Sénèque et d’
Epictète . Il
admin les épreuves et les austérités du régime, pythagorique , et il
fut tenté de se faire eapncin ; ear, dit— il paucismutatis videbam1. cupmoinumesse stoîcnmchristianum»;maisun songe ou une v isionsurvenue fort à propos lui montra quod stoïcismusme
,înanemet
tumidambullam, , intèrabyssum inferni, etmortis imminentis no
eessitatem detineret. Il y renonça. Il aurait incliné à étud ier ledroit;mais les institutions d eshommes sont si fragiles et leurs cpi
nions si intéressées ! Il lut Dioscbfi de et il trouva que la multiinde idea livres q u
’
on avait faite d epuis cet. auteur sur la mêmematièren’
avait pas agrand i d‘
une lign e le champ d es c0nnaissancesqu
‘
ilypossédeü sur les vertus mêdicimlæ deaplantes. Entrainé versles
.
sciences naturelles ctmédicflœ , il lut Fuchs et Fermi , où il
,vit, dia— il, de…dans un tableauraccourci, la médecine tout en«ère. Cg coup—d
’
œil fut peu favorable à notre science , et l’
in pœ 1
,äon qu’
ilien reçut est peu flaü euae : si1brisi mecum. Enfin il lut
iQS œuvres fi’
B ippoæ ate , assez pour reten ir par cœur les spherififi “ il lut .ôwæ fo is tout Galien , tout Avicenne , et peut—être
SËXÆOŒ G auteurs grecs , arabes ou modernes , ann otan t avec soinfaisant des at traits , .et classant ses recueils ; mais hélas en relisant
son travail, iln’
eutpas lieud e s’
applaud ü surson courag e . «Tandemcollectamsupellenü iem retegons , cogn0vi meamega tatem,pigu1_itque me insumti lab oris at1} ue annorum. 11 Ilavait appris à d is
99enter sur toutes sortes demaladies , et il était incapable de guérirou la gale , ou un mal de dents. Sub iitmihi tuminmente
'
m, quad
ars medendi inventum esset 1mp05turâ plennin. B éiléchissaxitalors aux désastres que devait entrainer l
’
exercice d‘
unartauss1mcertain ,
aussi trompeur il s’
écria, dan s l’
amertume d e son cœur
11 B0nè Deus ! quouslp1e cris m0rtalihus sucéen sus? Qui hactenusn e unamveritatem,
medendo tuis scholis reclusisti ?An tibi plaœ t‘holocaustumMoloch. Vi s tib i w tas pauperum,
viduaruin et pu
pillorum sub miserrimâ morb orum incurahiliurhtorturâ , et
d esperatione conseorari ?Quomodo ergo n on cessas tof familiasperdure , per medentiumincertitudinem et ignoran tiam? Se 1e
tant alors la face contre terre, il supplie le Trés—Haut de lui départirles lumières nécessaires pour exercer avec profit pour ses semblables l
’
ard ente charité d ont il est an imé pour eux. Il eut alors un e
vision qu i lui fi t comprend re que lu i , que l’
objet de sa prière, que
le mon d e entier n’
était rien aux yeux de celu i qu’
il invoquait;mais il y reconnut en même temps l
’ordre qu i lui était enjo i nt de
deven ir médecin . Il y travailla avec topic l’
ardeur d’
un enthousi
_este et la constance d
’un fanatique. Péi‘ triginta solid os anuos ,
d it— ii , sub sequen tesque or.d ine noctes lah0rav i, mois impensis ,
ac vitæ d etrimehtis, ut vegetähiliumetmineraliumnaturas , atque
preprietatumc0gn ition es aä piscerer : interimnon sine oratione
lectione, scrutin i0 rerum, errorumme ommtrutinâ, et experientiisd iurnalîbus conscriptis vixi .
»
Vers l’
ap 1600, et après avoir été reçu docteur en médecine au
Louvain en 1599 s‘
i l faut en cro ireplusieurs b iographes , VanB elmont partit en compagn ie d e b eaucoupd
’
amis pour aller voya
ger dan s les Alpes , la Suisse et la Savoye . Il était de retour en
1602 . Les recherches et les Opération s chimiques l’
occuperen talors
tout entier. Il voyagea encore en Espagne , en France il était àLondres en 1604 d
’
où il revintdan s l’hiver d e 1605. il fit un riche
mariage à Wilyprde , près de Bruxelles Ce futalors surtout qu’
il
s’
en fonçaplus que jamais dans les recherches alch1m1ques et qu 11
devint ph1losophe par le f eu , plu losophus per 1‘
g nem comme 11
se plaisait a être nommé. Avec les remèdes merve ille ux qu’
il composait, il guérisœ it chaque année
,c’
est lui qu i n ous le d it, d es
my riades d emalad es,d ontl’
état avaitmis en d efautles res sources d elamédecine ord inaire . VanHelmon tmourutle 30 décomhre 1 644, en
pLeine connaissance. Il avaitannoncé dan s une le ttre écrite la v eille a
un de ses amis à Paris, qu’
iln’
avaitplus que 24heures vin 6 ; etpeu
100 HEL
d mstanâavant d’expirer, iltransmettait à son fils ses dernières vo
lontés relativement à la publication de ses ouvrages; circonstances
q ui démentent l’
assertion d e Guy Patin , que Van Hehnont serait
mort dans un état de phrénésie pour n’
avoir pas voulu se laisser
saigner. Un exposé , même abrégé des idées de Van B elmont d emanderaitbeaucoupplus de place que n
’
en comporte cet article, j eme born erai donc à ind iquer quelques principes généraux qui caractérisent samani ère de mmet de raisonner en médecine .
J’
ai déjà d it, mais il faut lerépéter, parce que c’
est là— dessus que
se fond e le titre de gloire le .plus solide de Van Belmont, que nul
n’
avaitplus contribué que lui a la chute du galén isme dégénéré desécoles de son temps. Tant qu
’il se tient au rôle d e critique , Van
B elmontmontre une sagacité, une justesse d’
esprit, un e force de rai
son vraun ent admirables. Bacon n’apasmieuxdévoilé la stérilité d e
laméthode syllogistique ou aristotélique dans l’
étud e d es sciences, et
toute la physique hypothétique sur laquelle reposait laphysiologied
‘
alors croule sous ses attaques comme sous celles des plus puissans
promoteurs de laphysique expérimentale. Mais quand ilveut éd ifier
à son tour , la scène change. D’
après la tournure d’
esprit qu’
on lui
connaît par les passages que nous lui avons empruntés pour écriresa v ie on devine que ce 11
’
est pas aux ob servations recueillies par
les sens qu’
il d emandera les secrets d e l’organ isme sain ou malade.C
’
estdans le sein de la d ivinité où il se plonge par une sorte d’
ex
tase , qu’
i lvachercher la lumière dont il veut éclairer lamédecine .
Sa folie estde tout spiritualiser, etde voir des êtres intelligcns par
tout où ilvoit coord ination de phénomènes vers'
unefin . Et commeil voit cette coordination non — seulement où elle existe ,mais mêmeoù elle n
’
existe pas, il a semé les êtres intelligens et agissans avec
une inc'
oncevable profusion .
Tous les corps de la natdre { d it— il renfermant en eux—mêmesun principe particulier, aura, qu i , existant dans la semence b ienavan t la
‘
fécondation , préside à l’
arrangement, à laQomb inaison des
premiers élémens de l’
embryon d irige la formation du nouvelêtre,
et ensuite demeure en lui jusqu’
à la fin de la vie… L’
archée résulted e la réun ion de l
’aura v italis , qui est lamatière d e la génération,
avec l'
image seminale , imago seminalis qui sert de noy au à cette
matière , et qui la féconde . La semence que nous voyons n’
est que
l’
enveloppe d e l’
archée .
L’
archée n’
est point l'
ame in telligente , au sens de l’
auteur, cc
pendant il lui donne l‘
intelligence et même au plus haut degré :
omm r.xs mi ams.
1 . De lithiasi.2 . D ef ebribus.
3 . SchoIammhmnoristurumpan iva d eœptio ae ignorantia .
4 . Tumuluspestis.Jpolog ia ad versus doctrines awita
pra tenda tes. Lugalun i apud D e
0M to 16 55, ifl ' 8o
mm et rerumFramofi :rti , 1659.
Eætat etiam cum ej usdem authorisaperiôus omnibus unà editis. Franca
fi trti ap’
. Jakaw n JustamEl_7 tîtf0
pilum, 1 682,in —4 .
Fundamenta med icine reu nsj actasub unumeonceptum et intuitumbreriter contmcta de camis acpfi ncipm
HELVETIUS. (Ann an),fils du grand partisan de l’alchimi e Jean
FrédéricHelvétius et lui —même )10mme à secrets naqu it vers l’
an
166 1 probablement à LaHaye et certainement en Hollande. Dès
qu’
il eut achevé ses premières études il se ren d it à Leyd e où il
suivit les cours demédecine. A l’
âge de vingt an s, ilprit le parti de
voyager , et se rendit à Paris , sans aucun d essein d e s’
y établir.
’
Mai s les succès qui su ivirent ses essais de pratiqu e , lui atfi rèrent la
confianceet la protection du célèbre Colbert. Le dauphin fils d e
Louis XIV ,ayant été attaqué d e la dysenterie , Daquin , premier
méd ecin du roi fit appelerHelvétius en consultation . On en1ploya
le remède don t ilfaisait un secret, et qu i avait déjà quelque vogue ;il eut le succès le plus complet. Le père Lachaise ayan t ob tenu
d’Helvétim qu
’
ilfit connaître ses remèdes au père Beize qui allait
en mission , sous la promesse du secret les effets de ces remèdeset surtout ceuxde l
’
ipécacmnbaparurent si surprenans, que le con
fessent du roi se crut obligé d e lui en parler. Grace à un si puissant
appui auprès dumonarque Helvétius vend it au prix d emille louisd
’
or le secret qui con sistait à employer contre la dysenterie un ré
mède déjà connu, l'
ipécacuanha. Helvétius fut depuis revêtu d estitres d
’
écuyer, de conseiller d e sa 8 . M . T . C . demédecin in spec
teur général deshôpitaux de la Flandre française , et du duc
rum ohlivione sepultis hactenusqueinter Christiart0s ignatis ultimis v ero
his nostris d iebas Deo v eritatis sing u
lari suâ’
gratiâ ac mortales ægros miserieord iä
’ miraculi instar, noviter
unàque cumtatin:phy sica medicinaque htteusque incognita initä s‘, pm
gressa ae f ine manif enatù orbiçue
Christiano apefl is ac evu!g atïs. Ulma ,
apud Georg .WühellnumKühn , 1680 ,mar2 .
(Lindenius renovatus.— Rimorund
Sibcr, Leben und Lehrmeinungühberühmter Physiker, etc. Buisson
sur Van Belmont, B ibl.med . Bou
zet, Notice biogr. surVan B elmontRevueméd . Littré du sy stème deVan B elmont Journal hebdomdaim.)
106 HEL
prit naissance , et ce fut là aussi qu’il pritce goûtpourles titresho
n orifiques et cettehab itude d‘
intrigne,qui ne le quitta qu’
à la mort.Depuis long
— temps ilméd itait le projet d e se rendre chef de lamédecine en France . Ilusa d
’
intrigue pour y parven ir;mais la Euculté vit sesprojets etles déjoua.Helvétiusmourutle 17 juillet 1 755,à l
’
âge de 70 ans. Voici les titres d e ses ouvrages
I dée générale de l‘économie ani
male ,et observation sur la petite
-mé
mle . Paris , 1 7 2 2 in — 8 .
Besse en fit une critique très-amère
dan s la Lettre à M au teur du non
Veau livre surl’
Econamie an imale, etc.
Paris , 1 7 2 3 , in— 1 2 .
Helvétius répond it à cette critique
par l’
ouvrage suivan t:Lettre à
a ti sujet de la Lettre critique de
M . Besse contre l’
I dée générale de
l’
économie an imale , et Observation
sur la petiw 1 7 2 5 in-8.
Cette réponse donna lieu à un ou
vrage de Besse intitulé:Réplique aux
Lettres d e M . Helvétius , au suj et de
la critique de son livre d e l’
Economie
animale et Observa tions sur la petite
me‘role parM. Besse docteur—rég ent
de laf aculté de méd ecine d e Paris et
premier médecin du roi de la maison
de Sa in t Louis et d e celle de Saint
Cy r, tom. Amsterdam 1 726 .— Hel
vétins q ui était courtisan et qui par
con séquent aimait les coups d‘autori
té v int à bout d‘empêcherlapublica
tion de la seconde partie .
Eclaireissement concernant la man ière d ont l
’
air ag it sur le sang dans
les poumons ; pour servir de réponse
aux objections contenues dan s un e
Lettre de M . M ichelotti M . de Fon
tenelle ; par M . Helvétius , premiermédecin de la rein e conseiller—mède
cin ardinaire du roi , docteur—régent
d e la faculté de Médecine de Paris
médecin inspecteur des hôpitauxmi
litaires , de l‘
Académie royale des
Sciences . Paris , Barak 1 7 28 , iu—4
A la fi n d e cet Eclaircissempnt setrouve la lettre suivante :De structurd
g landulæ epistola, Cl. d dr.Helvetius,regime galliamœ A rehiatri reg i
christian isnmo comiliis ej usquemed ici perpetuo ordinam Doctorit
medici Parisiensis reglæ scien tiarmfiA cademia: soon , regiorumq ue noso
comiorumCastrensium, praf ecti generaiis ad clarist . wlvumj aeobumBe
n ig numWinslotv dactorsmmed icantP arrszertsem, anatomes chirurg ieet scholammprof es:of eflt, reg iæ scien
tiarumd ead . sac.,d e linguarutn Gef
manica , Belg ica et Suecica reg ions
interpretem. Les Eclaircissemens s‘
ur
Zalman iére dont l’
a ir opère sur le sang
furentapprouvésparWimlov etM . de
Mairan ; et le Tra itésurla structure desglandes par Bincahme et Mfl act.L
’Histoire d’
une opération césa
rienne fai te avec succèspar Mict
Mémoires de l‘Académie des Sci en ces ,1 7 3 1 .
Ilpublia encore
Méthod el
dannée par M.Helvétiusconseiller d
’
état ete. etc. suivant
laquelle lespersonnes charitable: d oivent conduire lespauvresmalades de lacampagne attaqués de fièvre:intermittentes. 1 746 in -8. Ce trai té est sui
vi de méù où s pour guérir les fi èvres
continues simples , les fièvres inflammatoires du cerveau, les fièvres malignes , les [lèvres inflammatoires dufoie etdes intestins , ll dy3enterie , la
HELleuœphlêgmasie et les pâles couleurs.
P rincipia phy tioo—med ica ln tit‘o
nummed icinœ gmticm conscripta
Joanne Cland io—A dr.Helvetius reg i à ,
sanctioriôus consiliis Reg ime A rchiatro nosocomiorum reg iorum militan
‘
ampræ/eoto , doct0re medico Paricusi reg ia s0ientiammA cademiaet reg ii nan cieanommmed icaramcôl
legu honoris socio . Parisiis , apud v i
duam P ierres , 1 7 52 , 2 vol. ih—8 .
Dans cet ouvrage , approuvé parLor
ry Helvétius propose ses idées avec
plus d e modestie que de coutume .
Lettre de M . Helvetius, conseiller
etӎtat, etc., 21 MM . les doy erts et sy !!
d ies des f acult de médecine et des
collég es des médecins du roy aume deFrance, au suj et d esf ormulesdemédecme [b itespour leshôpitauxmilita ires.111-4 de 3 2 pages , avec une approba
tion'
des commis.'
ræ nommés par lafaculté
, et le décret fait à ce sujet.Ces deuxdernières pièces en latin et en
français .
Observation sur le poumon de
l’homme . Mémoires de l’Académie desSciences , 1 7 1 8 .
Observations sur l’
inégalité d es
HENDY (Jan us),d octeur euméd eeine d e la facultéd’
Ed imhourg ,où il fut reçu en 1 7 74 , méd ecin général d e la milice et l
’
un des
médecin s du d ispensaire général de la Barbade . Ayant fait ses
étud es dans la Grande— Bretagne , à une époque où l’
on s’
y occupait
avec ardeur des recherches sur le système lymphatique , il dutsan s doute à cette circonstance le goût qu
’
ilprit pour ce sujet, etc’est à cela qu
’
on doit attribuer la d irection d e ses travaux, qui s’
y
rapportent entierement. On peutmême remarquer que cette pré
d ilection décidée pour le systèmelymphatiq ü e, d ontnous venonsd eparler, paraît n
’
être pas san s quelque influence sur lamamere de
d écrire lamaladie dont l’auteur s’
est occupé. Si l’
on compare ses
107
v aifl eauæ sanguins , et sur le changement q ui arrive au sang en passant
par lepoumon . Mémoires de l’Académie des Sciences 1 7 18 .
Sur la d ig‘
8fl i07l. Mémoires de l’Académi e des Sciences , 1 7 19 . Dans ce
Mémoire , Helvétius s‘
élève contre
l’opinion de ceux qui veulen t expli
qtœr'
la d igestion par la simple trita1àtiorî des alimns . Il attribue l
'
esto
macdeuxbandes ligamenteuses ou teud în euses , qu
‘
il compare à celles du
colon ; elles occupent toute la lou
gueur du corps de l‘estomac. Il assure
que les fibres du fond de l‘
estomac dé
criven t plu siems cercles autour d’
un
po int qui parait comme le centre d e
cette partie .lla décritquelq ues bandes
musculeusœ en forme d ’
écbarpe sur
lè’
cau‘d ia, qui se d i vi sent en patte d
’
oie
Vers le fond de l'estomac.
Observa tion pour prouve) la quan
tité de salive qui peut s’échapper pen
dan t la mastication. Mémoires de
l’
Académie , 1 7 2 0 .
Sur la structure interne des intestins
grêles . Mémoires d e l’
Académie des
Sciences , 1 7 2 1 .
( Paquot, Andry . )
108 BEN
d escriptions avec celles d’
autres ob servateurs , on voit queHendyen tracant le tableaude la malad ie d es Barbades , a fait ressortiravec un soin particulier tout ce qu i peut contribuer à faire consi
dérer lamalad ie comme une affection du système lymphatique.
Tentamea phy siologieum de scene ted in the lymphatic sy stem. Londres
tione gland ulari. Ed imbourg , 1 7 7 4 1 7 84 , in -8 ; trad . en franc. , par Jos.
în-8 La table du Thesaurus dû s. L —J.-Er.-Ant. Allard et inséré dans
E dit:. de Smelli e sembleraitattribuer les Mém. d e la Soc. méd . d‘émulation
à Ready une autre dissertation de la de Paris tom. IV.
même année , soutenue par Th. Sar J'
. Rollo publia des remarques criden et intitulée D e atmospheræ tiques sur cet ouvrage
naturä et efl îtctibus quibusdam mais Rmarhs on the disease lately des
il se peut que ce soit un e simple faute. cribed by D' Hendy under the appel
typographique. lation of the g landular d isease ofA n E ssay on glandular secretion Barbadoes. Londres , 1 785 ia-8 .
conta in ing an experimen tal inqu iry Ready réplique
into the preven tion of pas an d a cri l’ ind ication of the opin ions and
ticalexamination in to an opin ion Of M. facts contained in a hea tise on theJohn Hunter‘s that the blood is alive. g land ular d isease cf Barbad oes. LonLond res , 1 7 7 5, in —8 . dres , 1 7 89 , ia
— 8 i d . , 1 790, in-8 .
Treatise on the glandular d isease ( Reuss. Rob . att. Journ .
cv’the Barbadoes proving itto be sea de me
'
d .
HENKEL (Josenm—Fmänûnrc), etnon pasJeau-Frédéric, commele nomme l’auteur d e la B iog raphieméd icale d
’
aprèsMeusel l’
un
d es chirurg iens etdes accoucheurslesplus d istingués d e l’
Allemagne,au d ern ier siècle naquit le 4 mars 1 7 12 àHolland , petite ville de
la Prusse . Il commença l’
étude de la chirurgie d’
abord sous son
père , puis sous Marggraff, de Kœn igsberg ; il vint la continuer en
su ite à Berlin . Nommé chirurgien d e compagn ie , dans un régiment
d’
infanterie qu i était en garn ison à Berlin ,ilpassa peu d e temps
après d e ce poste dans le régiment des gard es du corps d u ro i , àPostdam. Plus tard ilvoyagea en Hollande et en France ,
aux frais
d u roi , pour se perfectionner dans'
la chirurg ie et la médecineAprès deux ans passés à Paris , Henkel fut nommé chirurgien en
chef du régiment des gardes. Ce régimentayant été licencié en 1
Henkel passa aveclemême titre dans celu i d es gendarmes d e Berlin . En 17 45 il futprendre à Francfort
— sur— I’
Oder le grade de doc
teur en médecine. A son retour il fut chargé de l’
enseignement pu
BEN
wa chse der Oef_‘
fnung derLufl rohre, bliebenen operationen. Berlin, 1 7 75
und demKre6s an der Brust. Berlin , in —8. All) . M it Kupfern .
1 7 7 4 . 7tes Stü ck v on der Offl‘î A bban
‘
fllung amn d e uFussgeburten ,nung d er Brust der Oefi
'
mmg d es worinnen eine Hebamme grosse Ge
cmFinger, und dcme imæfl sgei d eüm in—8.
Augenfied«. Berlin, 1 7 75. 8tes und ( BoerhæmNt id ttfl t. r
leætes Stÿrà w a allen nochubrt‘
gge Lexilmn . Oxiander. )
HENNING (Ju n Gnoaeu— Fn1änfimc) , né à K oswig , dans le
pays d e Zerbst, le 6 février 1 763 , était en 182 1 conseiller aulique
etmédecin praticien à Bernbourg . Nous n e trouvons point la date
d e samort;mais il ne figure pas dans ledictionnaire desmédecinsv ivans d e Callisen . Il est auteur d es ouvrages suivants
Beobachtnngen aber den Werthund_d ie W
”
ù °hsaatheit e iniger A rzneymi tt .
Stendal, 1 789 ,ia-8 1 18 pp.
— Ohservation s intéressan tes sur l
‘
action et
les propriétés de d ivers méd icamen s.filed icinische Fragmen te , aus mei
nerE rf ahrung g ezog en. Zerbst,Î1 799iu-8 .
I deen aber d ie ErbhraMheiten .
Zerb st, 1 800,ñu-8.
Bq træge zurpralctischen 4 rzner
HENRY (Tuomss ,apot_hjcairé à
hM . Godm, 1. 1802 3 1. R , 1804 ,
Über d ie ha nhb‘
ehe Lam . Zen
b st 1 8 10,ia-8.
Kleine med iein iæhe A bhandhmgen
d er Efi /u‘uæg . Stœ dal 1 8 1 2 , ia — 8 .
ldæ n ü ber Id iosy nhraxvie , A ntipatfiie urtd krænfl iehe Rei:barfieü » Stendal, 18 1 2 , in o
‘
8 .
( Ustori ,Repee
Manchester , memb re de lasociété royale d e Londres d e la société d es médecins d e lamêmev ille ,œ rœ spouüantd e la .sociétéphilosophique américaine de Philadelphié , secrétaire d e la société littéraire et philosophique deManchester , e st plus connu comme chimiste que œ mme médecin ,
nous croyons néanmo ins demir ind iquer ses om ges.
Experime}zts and observations bn a reply tohis examination of M. Heuthe proportion, calcina tion and med ical uses a] mag nesia alba ; also on
Quick Lime , abmrben !s weg ä ablc
inf usion prepared withLime and
Sweating offixed air. Londres, 1 7 73 ,
in-8 .
A Letter to D'
Glass contain ing
rf s Strictures. Lon dres i .n-8
A nt account of a method of preserving Water at sea fromputrefaction
,and of restorzng to water its origi
-
nalpleasanmess undpun‘
g ,
’
by a cheapand eas
_yprocess on inwregnating W4
ter ia larg e quantities withfixed air
1 16 RER
la conformation de l’émail d es dents , et sur celle des gencives
(avec 3 des éclaircissemens sur l’ossification 1 758 sur les
malad ies d es os , avec 7 planches sur l‘
o rgan isation , jus
qu’
alors inconnue , d’
une quantité considérable de productions
an imales principalement d es coquilles des animaux avec 3 pl.
( 1 Plus tard il s’
occupa du phénomène étrange de la repro
duction de la tête des limaçons et démontre la réalité de cette
inerveille , en présentant à l’
académie un_
limaç on dont la téte qui
avait été coupée était conservée dans l'
alcool et auquel il en était
revenu une seconde garnie de tous ses organ es. Cette expérience fut
suivie d e la dern ière qu’
ait pub liée Hérissant savoir de celle de
trois crapauds qu’
il enferma vivans en présence de l'
académie dessciences , dans trois b oîtes , lesquelles furent sur le champ enve
10ppées d'
un bloc de plâtre assez épais , et gardés dans l‘
apparte
ment méme de l’académie des sciences. Ces boites ne furent ouvertes
q u’
au bout de 18 mois , et d eux des an imaux furent trouvés vivans .
Hérissant mourut , âgé de près de 59 ans , le 21 août 17 7 1 .
Pour faire connaître tous ses écrits , nous n’
avons à ajouter aux
mémoires qui viennent d’
être ind iqués que les thèses suivantes
E rgo ab in:pulsu sanguinis in artc J a v ero in cmpycmate necessaria,n
‘
ampulmonakmres;;iratio :pontanm. lice:rarô pro:pu a pæm ntcsü Pa
Paris, 1 74 1, in—4 . ris 1 76 2 in—4.
E rgo seamdinæ fæmi pulmonuæ (M a rta. Each. Qu…)pra
-“ant officie . Paris, 1 743 in—4 .
HERISSANT (Loun —Aurou x—Pnoæ na) naquit à Paris le 27
juillet 1 7 45 de Jcan —ThomasHériË ant, imprimeur du cab in et du
roi . Il fit ses études au collège de Beauvais , et obtint, en rhétorique le grand prix des collèges de la capitale. Il conserva
,en
embrassan t la barrière de laméd ecin e , son goût pour la littérature .
D isciple de Thomas , il affectionnait particulièrement l'éloge aca
démique , et il s’
exerça plus d’
une fo is en ce genre . L’
académied
’
Amiens ayan t proposé pour sujet d e prix l‘
éloge d e Ducange ,Hérisssantmérita les honneurs d e l‘accessit. Ilavai t composé dansle même temps l
’
éloge de Duretpourun concours de la faculté d e
médecine ;mais, quoique son d iscours fût achevé en temps couvenable il ne le remit pas. Son ouvrage le plus remarquab le en ce
genre est l’
éloge de Gauthier d’
Andernach couronné par la faculté
de médecine , et qu i a un mérite réel. Admis au baccalauréatau
HER 1 19
fortement les esprits etfitpubliertoutes sortes d‘exagératiompour
rendre od ieux des hommes qu’
on regardait comme coupables
d’
une horrible pmfanation . Les écrits d’Hér0phile étant perdus
depuis long-temps il nous est impossible d e juger d e l’
étendue d e
ses connaissances en anatomie et son mérite en ce genre , ne nous
est connu que par les éloges qu'il a reçus de Galien , qui ne les
prod iguaitpas . On sait seulement qu’il étud ia le système nerveux
avec beaucoupplus de soin qu’
on n'
avait fait, et les d énominationsdonnées parlui à un grand nombre de parties qu i les conserventencore, prouvent qu
’il avait beaucoup vu en anatomie. Il parait
avoir eu connaissance des vaisseaux chylifères et cet échan tillonsuffit pour donner une idée de sa perspicacité et de son industrie .
Le caractère leplus saillant d e lapathologie d ’Hérophile autant
qu‘
elle nous estconnue , c’est d e placer la source principale d es
maladies dans les humeurs . Cemédecin s’attacha beaucoup plus
qu’
on n’
avaitfait à l’étude de l
’
état des artères etcréa une doctrine
dupouls, dont le principal défaut fut d‘étre, dès sa naissance, trop
subtile et troprecherchée . Herophile fut artisan d es vertus
spéciales de chaque méd icament, et, sel parmi les plantesmêmes qu
’
on foule chaque jour aux pieds , à peine y en a—t-il qui
nesoientpourvues de quelque vertuparticulière et précieuse .
Hérophile eut d e nombreux sectateurs et fit école .Mais les écrits
de ses d isciples se sontperdus comme les sien s .
on peut voir dans la Bibliotheoa græ cä d e Fabricius éd ition
d eHarles, un article d’
Ackermann surHérophü e, où se trouve re
cueilli tout ce qu’
on sait de lui et d e ses ouvrages.
HERY (Tmenar un) chirurgien -barbier, étudia à Paris où il
étaitné sous JacquesHoullier et Antoine Saillard médecin s de laFaculté de Paris;car à cette époque les chirurg iens-barb ie“ étaientobligés par leurs statuts , à faire quatre années de chirurg ie dansla faculté, avantde gagner maitrise . Il suivit l
‘armée d
'
Italie en
153 7 . Il visita Rome ainsi que l’atteste la mention q u’
il fait de
l’Hôpital des Incurables ou de Saint—Jacques, dans lequel étaient
alors en grand nombre les affections sÿphilitiq ues. On ne sait
point‘
a quelle époque il revint en France . Mais ce fut long -tempsavant 1 552 autant qu
’
on en peut j uger par le livre qui il écrivit
Sur la syphilis. On rapporte qu’
étant un jour allé il Saint—Den is , il
aä genouilla devant la statue de Charles VIII ; mais un mo ine luiayantd itqu
’
il se trompait et que ce n’
étaitpas l’image d
’
un sain t;
taisez—vous mon père, répondit-il; je sais b ien ce que je fais, ilest
HESd ie e xpenmental Berlin
1 787 , in-8 .
A n d ieHerausgeber des bebræ ischen
impfi mg und deren Verghichung mit_derhuman en . Berlin, 1 80 1, in-8.
Here a inséré un assez gçgpd UQŒ °
Sammlung aber d ie Frühe Beerd ig ungder Jaden . Berlin
,1 7 87, ia
— 8 ibid .,
1 788, in—8 .
A n den D . Domeier aber d ieBrutal
bre d’
articles dans d ivers journanç .
(Med . chir. Z eitung . Der R°
graph. Hamberger etMeusel.)
HESSELBACH FrançoxsG aspsnn) matomiste et chirurgiend istingué, dont le nomfigure honorablement dans l
'histoire de lachirurgie d es hern ies naqu it à Hammelhourg ,
dans le d uché deFuld e
,le 2 7 janvier 1 7 59. Après avoir fait ses études primaires
dans sa v ille n‘
atale et saphilomphie à Fulde ; il se rendit àWurz
b ourg pour étud ier la méd ecin e . Il d evint le d isciple particulier,
puis l’
aide et l’
ami de Siebold . Il s‘
appliqua avec une véritable
passion à l‘étude d e l’
anatomie . L’
école de Wurzb ourgn’avait
po int alors d e prosecteur, et Siebold , professeur d’
anatomie, étaitchargé lui même d es d issection s . Hesselbachle remplaça gratuitement dans ces fonctions pend ant sixannées, puis il d evin t prosectenr titulaire en 1 7 89, aux appointemen s d e 300 florins, et d e 350en 1 797 . A son entrée , le muséumanatomique était fort pauvre etn e renfermait guère que desp1eces sèches, consistant la plupart end es osmalad es ; grace au zèle d
’Hesselb æh, ce muséumpossédait,en 18 16, 1232 pièces d ont plusieurs fort remarquables et toutesdans un bel état.
Le 14 mai 1807 , la Faculté demédecine de Wurzbourg conféra
à Hesselbachle titre de d octeur,il fut nommé d eux ans après ,
membre correspondant de la Société physico —méd icale d ’
Erlângen,et, le 29 avril 18 14, membre d e l
’
académie d es curieux d ehn a
ture . 11était d epuis quelque temps professeur d’
opérations chirurgicales et il remplissait les fonctions de chirurgien en chef del‘hôpitalJulius , quand ilmourut, le 24 juillet 18 16 .
Verbesseruog des Weic_lmann ischen
Messers. la d . Salzb. med . chir. Z e i
tung , 1 795, t. I, p. 1 1 3 , 1 pl.
Vollstænd ige A nlei£ung zur 7 er
gü ederung skunde des mensohleehenKœrpe_
rs . Arn stad t et Rudolstadt
1 805- 1 808 , 1 tomes en 3 parties.
Anatomisch—cbi mrg zsche A bhandlang über dmUr{pry ng der Leisten
bruche . Wufzbourg , 1 806 ,in
Anatomie soignée d e la région ia
gu inale de l’abdomen ,
et premier éta
blissemen t de la d istinction des ber
o ies ingn inales en extern es,e t en ia
ternes .
Neueste anatomisch-
patbolomscbçUntersuchung ü ber den Urs rang und
das Fo”:chreitm der £istrn —wxd
B
& henÆelbfi ieh. Wurzbourg 18 1a
ia -4, 1 5 pl. Latine v en irRoland
ibid 18 14, ia-4 . Cet ouvrage par
tage avec ceux de Scarpa et d‘
Astle
Cooper l‘honneur des progrès qu
faii3 dans ces dern iers temps la
chirurgie deshern ie: progrès fondés
pfl noipalemen t sur une anatomie plusexacte des parties où se font les herniee et une description plus soi
HEUERMANN (GBO }16 !Lphysb logiste etchirurgien d istinguémort dans la force de l’âge , en 1 768, avait été successivement pro
secteur à l’
Université de Copenhague méd ecin d es cad ets de la
marine danoise , en 17 54 médecin de l’armée danoise dans le
Holstein , en 1 7611, enfin professeur extraord inaire demédecine ,à l
'
université de Copenhague.
D iss. d e linguä' humanr‘i pra s. .B. gen und neuen Instrumente . Copenha
J . Bucbwald . Copenhague, 1 7 4g , in —4 . gcc, 1 7 54 -57 , in-8, 3 vol. Ouvrage
Phy siologie welche e ine deutliche b ien fait, où l'
auteur a répandu un
Ba chn ibnng d en rv omehmsterWdr grand nombre d ’
observation s in téres
lungen und Verriehtungen sa tu tentes .Haller ind ique les principales.
«(d u Leben e ines Menschen e1fordert Vermischte Bemer£ungen und Un…m, in eicb cuthah. mit Kupf. gersucbui1gen der A ùsü bend en Ara
Copenhague et Le ipzig 1 75 1—55 nq wissenscbafl . Copenhague et Leip
ia — 8 4 vol. Ouvrage classique en zig, in -8 fig Recueil
temps ; 09 un extrait d'
observations pratiques plus ou
dan s les Commentaires de Leipzig . moins in téressantes , la plupart chi bhd fl dlü fl5£ fi 0013 de?! Vomehm mrgjca]es,
sien cb imrg ischen Operation—em am (Adelung . Meusel Lexikon .
mmschlichen Kærper, nebst A bzeich Haller Tag ebuch. Comment. dennng d erhierzu erj order fic/zen nœthi rebus in med . gestis.)
HEURNIUS (JEAN), l’
un des restaurateurs d e la médecine hippocrafique au 16° siècle
,naquit à Utrecht le 25 janv ier 1 543 . Il
montra si peu de d ispositions dans ses premières étud es , qu’
ilsavait
à peine lire à l’
âge de onze ans , et qu’
à 15 il n’
avait pu encore
apprendre les règles de la grammaire . Mais à cet âge , l’
amour dutravail se développa en lui ; il y passait les jours et les nu its , et il
réparti si bien le temps perdu qu’
il devint un deshommes les plussavans d e son époque . A d ix-huit ans , on l
’
envoya à Louvain ,où
ilétud ia deux ans lamédecine . Il vint ensuite à Paris, et assista avec
EU 13 3
guée de l’état des parties bermces.
Beschreibung und Abbildnng eines
Instruments zur sichern Entdæ ânng{md & ü lM g e iner bey d em Druck
schnitte entstandenen gefæhrbcbet:Blutung . Wurzbourg , 18 15 , in -4 ,
1 pl.
(Med . d ir. Z eitung . Allg . med .
A nnalen. Da: gelekfi e D eut
:cbland )
4 HEU
beaucoup d'
exactitude aux leç ons d e Duret. Il s’
exerça en mêmetemps à la pratique d e la lithotômie sous Colot. A 1 4 an s ilpassa
en Italie, et fitun séjour d e ], années à Padoue .
‘ll voulait y prendre
le titre de docteur,mai s ayantcouru risque de la v ie, de lapart d’
un
aubergiste ivre , il prit le parti d e quitter Padoue . Il se rend it à
Pavie,et ce fut là qu
’
il fut élevé au doctorat en 157 1 . Il y de
meura d eux ans en qualité d e médecin de Nicolas Perrenot deGranvclle, etun professeur d e l
’
Université,charmé d e ses talens,vouh1t 'l
’
y fixér en lui donnant lamain d e safille et lui cédant sa chaire ;mais lesmenaces des Italiens , jalouxde voir un étranger faire chezeux un établissement si avantageux, et l
'
opinion qu’
avait Heurn iusd e leur caractère , l
’
ob ligèrent en q uelque sorte à s'
échapper et à
rentrer dans sa patrie après un e absence d e 1 2 années. Il s’
établit à
Utrecht , où il exerça la médecine avec beaucoup de réputation .
Quelque temps après il fut fait conseiller d e la ville. Mais son goût
pour la vie tranquille et stud ieuse lui fit regarder cet honneurcomme une chose fort onéreuse et, à force de sollicitations , il se
fit décharger, quoique avecpeine , d’
un emploi qui était l’
objet d el’
amb ition de tant d ’
autres. En 158 1 lorsq ue l’
un iversité d e Leyde
fut fondée Heurnius y fut appelé pour remplir la chaire de mèdecine . C
’
est dans ce poste qu’
ilpassa les vingt dern ieresan nées d e sa
vie, considéré comme une des gloires d e cette école . Il est le premier
qui ait fait à Leyde des démonstrations anatomiques sur le cadavre
humain . Ileut l’honneur d ‘
être six fo isrecteur de l’
Un iversité.Heurn iusmourut le 1 1 août 160 1, âgé de 58 ans. Pendant les 3 d erbièresannées de sa vie il souffrxt beaucoup de lapierre ; à l
’
ouverture‘
d e
son corps , on trouva sept calculs dans la vessie , qui pesaient en
semble quatorze drachmes.
Opera omn iu , tam ad theoriamguamadpmxin med icamspectantia
ab Ottone c mio F ., in duos tomes
distributa ac ed ito . Lugdun i Batavo
run: apnd Raphelengx‘
am. 1608, in-4 .
Lagdnn i apnd Jah. Ant. Huguetan,etMarc. A nt. Ravaud . 1 658 in -fol.
Voici les ouvrages que contient ce
recueil
Institution s med icina .
P raxi smedicina g encralis.P romis med icine: particfl arû in
qua sunt de morbi: capitis liber;
D e morbis oculomm, anrium, nasi,dentium et cris fiber
Demorbis pectoris, fiber;De j ebribus , fiberD epeste, liber
De morbis v entria fiber;De morbismnliemm, liber
Responsum ad supmmam enriamHollandiæ nuIlnmesse aqua: innata
tioncmIamiarwn indicium;
126
0110 Heumid s Lagdun i Data ap.
enmdem,1607 , in —4 .
De f ebribus liber Lagd . Eater.
apud eamdcm, 1 598 ia-4 .
De peste , fiber Lngd . Bate n. apnd
camd em, 1 600 , in—4 .
In Hippocrntis coi dehominis nü
turä'
libros ducs ; co… tnn‘
us.
Edid it post mortem auctori:, g'
as
filins Otto c mius. Lugti . Balai».
apud enmd em, 1609, in
In Hippocratis coi de wietds rationeinmorbis acutis ltbrnmprimumet .re
cundum commentarius. E did it OttoHeumius . Lugd . Batav. apud Rapheling ium, 1 609, ia-4 .
In Hipp œmtit coi de r iad: mtione in morbis acutis “ram 1er
tiametquartnm, commentarius.Edidi tOtto Heumius Lug d . Baton , 1605,
Ilippocratis coi apborismi gra ce et
latin e brevi enarm1icne,_fldâqrœ ia
terpretation: ita illustraïi î ut ab cmnibas f acilè intellig iposä nt. Cumhistoms , observationibu3 cauti0n ibus
et remed iis selectis . Lug dun i Batavo
ram apud Rapheling t‘
nm, 1609, ia—4 .
Lugd . Bazar. eæ cfficind piantinü n‘
Rapbeling i i 1609 apud Job. Lo
Ma ire,
16 2 3, in— 12 . Lugd . Batna ,
npud eumdem, 163 3, iti-12 .Haga cc
mitis , apud Adriana»: Ulacq ,166 4,
ia— 1 2 . Iena et Leipzig 16 7 7 , i n—4 .
HÉV
Ncte , obiervationu et…Û’
a te
creta ad Johann is Fornelli
ciné univertd einsd«n Fernd it‘
et
qu idam in illd ed iü one , qu camJohannis et Otton is Heamicm
HÉVIN (Paununr), l’
un des membres les plus d istingués del’
Acad émie royale de chirurgie, était d e Paris, où ilavaitvu le jourle 15 janvier 17 15. Après des études classiques dont samamered
'
écri re proùve la solid ité il se décida par, goût, à emb rasser lamême carrière que son père qui était chirurgien . Il fut successive
ment élève chirurgi en gagnantmaîtrise et enfin chirurgien—majord e l
’hôpital d e la Charité.Hév iu occupa assez long— temps et avec
la plus grande d istinction lachaire de thérapeutique aux écoles
Æppocratù coi W ine”, et
,
prôgnœ tiæ rmfi libri t'es campampkrastica versione:et bn vibns ccmmentariis Lugd . Batar. cx ojfici11üplantiniand , «pad Ba
pheling ium, 1597, inst.
Cet ouvrage contient: ” fi mdum.
— De med ioo. Lez . De am.
-D eweteri med icind . n nos£icc
ramliberprimus, secundarDc eleg antin. Pr0 cepticræ1. De
carnibus, siveprincipü r. -Depü ga
illnstrata pmd lit uitmj ecti 1656 ,in—4 . (Mangot.)CcmmcntañminHippocratt
‘
:librumde med icamanti: pargdn tibas. Extat
in editwne operamej usdemHippocrdtis
, quamad meritemE rotiani distribu
tamediditA nntius Foesins. Geneve
1657 , in—fol. (Mengst.)On attribue mais probablement
tort, 5 J. Em u deuxouvrages d‘
as
trolOgie et de chimie qui ne valentpasla pein e d
’être indiqués.
(Nicé10n. Chauffepié. Margot.
Paquet.)
HEW 127
de chirurgie. Il ne brille pasmo ins à l‘
Académie royale de chirurgie où il fut secrétaire pour la correspondance et dont il eut
l’honneur d
’
être nommé vice-d irecteur en 1 788. Il mourut le3 décembre 1789. Les Académies des sciences de Stockholmet de
Lyon ,et d iverses autres sociétés savantes l’
avaient compté au
nombre de leursmembres.
Les ouvrages de Kévin portent le cachet d ’
un esprit fort solide
et fort éclairé. Ils sont riches en observations particulières et dé
gagés de toute superfluité théorique ; aussi conserveront-ils longtemps laplus grande partie d e l
’
intérêtq u’ils eurentdans leur nou
veanté. En voici les titres
Précis d‘
observations sur les corps un mémo ire manuscrit de Kévin
étrangers amle'
s etun i té: dans l’
œ sous le même titre , et contenant les
tophag e e t dans la trachée artère , mêmes faits ,moins ceux de séparationavec des remarques sur les moy en: d
’
uneportion d’intestin rendueparles
qu'
on a emplqrés ou qu’
on peut ena selles et suivie de guérison ouvrage
play erpour les retirer. Dans les Mei dont les conclusions sont opposées
moin s de l'
Académie royale de Chi sur les points fondamentaux, celles
rurgie tom. I . dumémoire publié.
Recherches historiques et critiques Cours depatholog ie etde thérapeusur la néphrctcmie ou taille du rein. tique chirurg icales de M. S imonAcad . roy . de Chir. revu ,
mit en ordre et augmenté. PaRecherches historiques sur la gus ris, 1 7 ia-8 ; nouvelle éd i tion (sous
trotcmie où l’
ouverture du bas—ven le nomde Kévin) :Paris, 1 7 84, in. 8,
tre dans cas du «volmhu ou de 17 93, in—8, 2 vol.
?M sm cption d’
un intestin . Acad. (Mon iteur de
mù ù Œ mÿ e.— Je p æü c
ÈEWSON (Wmnu n ) , anatomiste fort d istingué , né le 14 mai1 739, à Hexum, dans le Northumberland , reçut ses prem1eresleçons de son père , qui était chirurgien . Il eut un second
maître à Neucastlo , après q uoi il visita Londres Edimbourg et
Paris . Revenu dans la capitale d e l’
Angleterre , il fut choisi parles deux Hunter pour d iriger les d issections dans leurs amphithü tres , et chargé des répétitions d e leurs leçons . Il fit b ientôt,pour son propre compte,
'
des cours d’
anatomie qui furent fort suivis. La société royale l
’
admit en 17 7 2 au n ombre de ses membres.
En d isséquæ t un cadavre dont la pu,tréfaction était fort avancée
Hevvson se blesse à lamain avec la scie dont il se servait pour ou
vrir le crâne . Cette blessure fut suivie d’
accideœ auxquels Hamon
succomba à la fleur d e l’âge, le mai 1 774 .
HIP 139
Sil’
art de guériravait toujoursmarchédans cette voie si sûre etsi naturelle d e quelles découvertes ne se serait—ii pas enrichi ?Mais elle est tmp longue au gré de l
‘
imagination impatiente dela plupartdeshom es ; on s
’
est élu-cé loin d ‘
elle , dans la région
des hypothèses , et il a fatia ,u d iverses époques , toute l‘
autorité
de quelques génies du premier ordre pour y req les es—œ
pt its.
Les premiers pas que lamédecine voulut hw der sur le de'
ms ine des .autres sciences , auront de fi chunses conséquences en
menseèrent de la dénaturer complètement. Qùe d irai-je de ces
premières tentatives étiblogiques, empruntées à la théologie qui,rapportent à la colère des Dia s le développement d es maladiesne laissaien t vo ir d
‘
autresmoyens de salut que les offrandes dont î
on omnbhit lesministres du culte religieux? Faut- ii parler d es
miracles du Dieu de laméd ecine , d‘
Esculape et de l’empire que
ses dœœ ndans consorvètent si long— temps sur les esprits grace à
l"
rame et à la superstition du peuple.Ministres d’
une d ivinité
ç’
i1s avaient créée , ils feront bientôt les senls d ispensatenmde lavie et de la santé. Leurs priv ilèges et leurpuissance briséretrt toute
rivalité , étonfl'
èrent toute émulation etla Grèce n’
eutplus d’autres
médecins qu'
eux. Ils trsnanettaient à leurs enfans les connais
sances méd icales et surtout l’
art des jongler!“ qu'
ils avaient lié
rhé de leurs prédécesseurs dans le temple sans en dévoiler le
secret à aucun étranger. Cette famille des Aselépiades formaitdonc,comme les prêtres d
’
Egypte , une casteparticulière qui semit”
en possession exclusive et sans partage de la pratique de lamédoä neÏ, et du culte mystérieux de son fondateur. Quand l
’
exten
sion n pülé de ou unite et lamultiplication des temples d'
Eœulspe
ne perm…plus à ses descendu s d’
en desservir tous la autels
cette famille privilégiée admit dans son sein et fitparticiper à ses
droits des d isciples donton éprouvsitpar avance la d iscrétion et
la fidélité et qui n’étaient initiés qu
‘après avoir juré par tous les
Dieu de ne pasprofanerlesmystères et de ne les dévoiler qu’auxenfans de leursmaitres ou l ca r qui s
‘
engagersimtpu lemême
Fondée sur un principe absurde le dépefldanœ d esmalad iesd e la volonté des Dieux, lamédecine des Aselépiades
‘
ne consistait
qu‘ici —del ou despratiques isdgniflmæ aux
quelleu«luplus… pouvsttœute b buvsrm ap
parenee de merveilleux et qui n‘
a d’
autre titre à étre qualifiée
140 HIP
du nomdemédecine qu’un usage emprunté auxGrecs etl
’habitudequ
'
on a gratuitement prise de lui prod iguerce nom.
Sous des apparences b îen plus séduisantes la philôsephie fitpour un temps presque autant de mal à lamédecine. A la vérité
elle devait fournir elle-même un jour lesmoyens de combattre leserreurs dontelle avaitété la source . En d éveloppant toutes les fa
cultés de l‘
esprit et découvrant les lois de laméthode, elle d evaittravailler d e laman ière la plus efficace au progrès de notre art ;
mais ses premiers effets furent d'
y mettre des entraves parce q ue
ses prétentions étaient hors d e toute proportion avec ses moyensAprès avoir expliqué l
’
orig ine et la nature de l’
univers c‘
était peu
de chose pour les philosophes que d‘
expliquerle probléme de l’
exis
tence humaine , dans l’
état de santé et dans celui de malad ie. La
médecine , et la physiologie qui prit alors naissance formèrentdonc une sorte d
‘
appeud ice à leurs systèmes à la condition tou
tefois d‘
accepter les lois reçues de la physique générale en dépit
de ce que l’ob servation pourraity montrer de contradictoire avec
les phénomènes de la vie , ou plutôt sans s’
occuper le moins dumonde dcl'observation. A insi d isparut , au milieu d es nuages d
‘
une
métaphysiq ue prétentieuse l’
artmod este d ’étud ier et d e guérir les
malad ies . Ce fut donc, quoi qu’
en d isent leshistoriens une révo
lation funeste que celle qui fitpasserlamédecine auxmains des philosophes. On peut prendre une idée de l
’
esprit qu’
ils portèrent
dans cette science et du jargon inintelligible dans lequel ils la développaient, en lisant dans la collection même des écrits prétendusd
‘Hippocrate le traité des vents et celui d es cha irs ou de:prin
cipes . Cette médecine n’
a plus rien de médical que le nom. Du
reste ily aurait quelque injustice i confondre tous les philosophesdans unemême réprobation , amettre sur lamême ligne les philos0phes de l
’
école ion iq ue ou les éléatiques physiciens qui dumoinsne cherchèrent pas le secret du mondehors du monde lui—méme ,et les philosopha idéaü stes tels
\
que Pythagore Xén0phanes, Me
lissus et Zénon d‘
Elée , dont les rêveries furent dans l‘
antiquité et
ont été dans tous les temps lamine d es sciences naturelles.On voit donc quel contre
— senshistorique ont commis ceux quiont imaginé q u
’Hippocrate ne sépara lamédecine d e laphilo—’
o
phie , ainsi que le d it Celse que parce que l’un ion de ces deux
sciences pendant un siècle ena les avait agmud ies l‘
une et
l’
autre au point qu'
un seulhomme n'enpouvaitplus embrasser l‘é.
tendue.
_xi a l fl ’
frant dans le cadre le plus étroitpossible tous les traits propresà caractériser lesmalad ies sans en omettre aucun qui fût essentielpour arréternette—eut leur physionomie. Hippœ rate n
'auraitpas
lieu de s’applaudir de pareils éloges , s
'il pouvait les entendre.
Letter ses œuvres sur les qualitésqu’
elles n’
ontpas, c’
est donner lieu
d e penser qu’on apprécie fort peu celles dont elles brillent. Tant
s‘
en faut que les observation s d es épidémies soient des observationscomplètes qu
’
à pe ine pourrait- on déterminer lamaladie d’un sujet
sur vingt de ceux dont il y estparlé. Et qu’on n
‘imagine point que
cela tient à ce qu’Hippocrate n
’
avait que des connaissances tropvagues et trop superficielles sur les malad ies pour en d istinguer de
particulières et les spécifier.
‘
il décrit ailleurs, avec une exactitude
remarquable, la plupart des affections aiguës , et il a porté le d iagnostic de plusieurs malad ies qui se ressemblent b eaucoup à undegré de perfection qu
’
on admire et qu’
on a peine à comprendrede la part d
’un médecin qui n
‘
ouvrait pas de cadavres. Sans nul
doute , un grand nombre des malades dont il est parlé dans les
épidémies furentatteints de ces affections qu’fl ippœmte connaissait
lemieux. Ehb ien !cesmalad ies ne sont po intmentionnées et dans
le nombre des symptômes qu’
on a jugé nécessaire de relater, on
ne voit point figurer ceux qui les caractérisent lemieux, pourHippocrate lui
-méme. C’
est que dans cet ouvrage le but d’Hippocrate
n’était point quoi qu
'on en ait d it, de décrire lesmalad ies . Ilavait
un b ot tout spécial celui d‘
envisager les maladies en général
sous le point de vue duprognostic. Tout ce qu
’
il en veut faire con
naitre , c‘
est la loi des crises qui en coupent lamarche ou qui les
terminent. Faisant abstraction de tout ce qui ne se rapporte pas
d irectement à cet objet, il note avec un soin minutieux tous les
phénomènes qui se passent dans les excrétions d es malades , qui
peuvent annoncer ou qui constituent quelque crise ; il remarqueavec une exactitude scrupuleuse en quel jour ces phénomènes se
passent, il n’emet l’ind ication d‘aucun des signes qu
’
il donne ail
leurs commcayantun rapport quelconque avec les crises. Mais tout
le reste, il le néglige. Les symptômes particuliers d‘une pneumonie
d’
une pleurésie , d'
une angine etc. lui importent peu dans toutes
ces malad ies, qui sont également des malad ies aiguës et fébriles,
les crises s‘annoncent et se passent de lamêmemanière; tout autre
aspect de cesmaladies ne sauraitarréter ses regards en cet endroit
Voilà si je neme trompe, en quel sens doiventêtreprises leshistaires demaladies consignées parHippocrate dans ses épidémies.
-81? :63
Mais non. je neme trompepoint car c‘
est lui —même qui expliqueainsi sapensée au chapitre du premier livre de cet ouvrage , età lafin du livre duprognostic, où il d it en propres termes: Ce serait
sans fondement qu'
on me reprocherait de n’
avoir désigné dansce traité aucunemalad ie enparticulier;les signes communs qu
‘
elle.
présentent toutes suffisent pour faire reconnaitre les époques anx
quelles elles se terminent et que j’
ai ind iquées.
En voilà assersurd es remarques auxquelles j’
ai cru devoirdonner
quelques développemm parce qu'elles m’
ontparu propres àmontrer sous leur vrai paint de vue les principaux ouvrages d
’Hippocrut: et samanière de philosopher. Elles étaient nécessaires d
‘
ail
leurs pour réfuter l’
opinion de ceux qu i réduisent toute la médecine d
’Hippncrate à la science du prognostic tout son art à une
contemplation de la mort , comme d isait Asclépiade. Lamédecined
‘Hippocrate n‘
offre ce caractère que dans les ouvrages où il lui a
plu d e le lui donner; elle offre ailleurs un caractère plus large c
plus varié.
Notre auteur une fois connu sous ce rapport il resterait à ind i
querles résultats qd il a obtenus de saméthode d ’
étud ier, c
'
est
à-d ire les notions scientifiques et techn iques qu‘
il a possédées; ou
en d'
autres termes , à faire un e xposé de ce qu’
il sut en médecine ;c’est l
’
objet d’
un ouvrage étendu, de lapublication d uquelje m’
oc
cupe . Le plari de ce Dictionnaire n’
admettant pas de longues d issertations , je me bornerai à quelques considérations générales sur
chacune des branches de la scienceméd icalehippocratique après
quoi je placerai un résumé d e cette science faitpar l’auteurmême
,
à savoir ses aph0n‘
3mcr, non pas dans l’
ordre ou plutôt le d ésordre où l
’
on les connaît,mais classés systématiquement.
J natomie . On a mille raisons d e penser qu’
avant l'
époque du
règne d‘
Alexandre nuln’
avaitpu d isséquer descadavreshumains. Le
respectd es Grecspour les dépouillesmortelles de l’homme et la sé
vérité d e leurs lois qui faisaientune obligation d’
ensevelir les corps,
même des barbares, ymettaientun obstacle insuramntable .Le témoi
gnage de Galien en faveur des connaissances anatomiques d’Hip
poerata est d e nulle valeur, puisqu’
il est con treditpar les témoi
guages d es propres ouvrages du médecin d e Cos.
Il connaissait les os autant que peut fournit la moyens de lesconnaître , l
’
occasion qu‘
on a d’
en trouver quelquefo is d’
isolés;Mais on invoquerait vainement, pour prouver qu
’
ileut un sque
Hl? 4 47
latine et&ançfi se ainsi clau de de cet ouvrage d’Hippocrate. Pour
ne pas le reproduire ici , et pour fournir de nouveauxmatériaux àceux qui vendent prendre une c0unaisssnce étendue de la science
d umédecin de Ce s , je vais substituer aux apheriamaaun recueil
des fragmens de ses écrits qui m’
ontparu le plus propres‘
a donner
une idée b ien nette d e saméd ecine pratique . Ili
u fallu se restrein
d re dans ce triage pour ne pas donner à l’article Hippoæfl r une
étend ue d émesutée . Je crois néanmoins y avoir renfermece qu‘
il yavait de plus essentielà faire conn aitre. Voici ces fragments —amu
ges par ordre alphabétique , pour la commod ité d es recherches.
( J’
emfloie la traduction de Gardeil à d éfaut d’
un emeilleure. )ARC—INES .
L’
esquinancie a lieu , quand ,dans l
’hiver ou dans le printemps,une florion abondante d
'humeurs épaisses se jette sur les veines
jugulairæ , q ui à cause de leur grosseur, ont une attraction si lav iscosité et la fro ideur de ces humeurs‘ les y font arréter le
souffle et le sang des environs s’
arrêtentaussi à cause des ohstacles que le froid leur oppose, Le malade, en conséquence
êomhe dans ,la suffocation ; la langue devientpesantc ; elle prend
une couleur violette , elle s’
arrond it. Sa pointe satelève , , à cause
du gonflemcut des veines sublinguales‘ celles qui vont i ls luette, età ce qu
’
on nomme les piliers qui sont d e chaque côté se gonflent
aussi. Les vein‘
es q ui commun iquent avec la langue , qui devientsèche , se gorgent et la raréfient; elles s
’
imbibent comme une
épong e c’
est ce qui la fait venir ronde , d e plats qu’
elle était ce
qui la rend liv ide , lui enlevant sa bonne couleur et qui lui fait
perdre sa souplesse en larendant ûpre et dure amoins qu’
on ne
saigne promptement au bras etauxtaniam et qu’
on ne purge au
moyen des remèdes fondans tenus dans la bouche. On prescrirpaussi des, gargarismæ chauds;
‘
on raseru la tête pour y appliquer
des cérats ; on en mettra aussi autour du con , en enveloppera ses
parties avec de la laine ou avec d es éponges imb ibées ; on feradesfumigation8humides ; ou donnerade l
’hydromelet de l’eau chaud e ;la tisane crémée pour nourriture,, quand la crise aura tourné en
b ien . Dans l‘
été,, en dans l
’
automne la flmniouétantchaude et nitranse à cause du piquant et de Pardon de la saison ilse fait desenaoriatioæs et d es ulcèæt ; là oir le souffle { accumule et l
’
or
tbopnée se joint à l'
eminamie . Les parties qu’
on voit dans la
bnüvhs ne sontpas aussi mfléæt la:M W de la nuque acca
1 i“ 11
d onnent des rides sous l’occiput comme dans le ici…; la voix
est grêle la respiration est petite l’
inspiration fréquente et labo
rieuse , Il se fait des ulcères dans la tracbée le poumon se remplit,
etne peut recevoir l'
air. Cette esquinancie est plus terrible et plus
mortelle à raison de l’
ardeur et de_l’
âcreté desmatières dans cutesaison àmoins qu
’
elles ne se portentd‘
elles—mêmes vers les partiesextérieures du cou. (Du régime dans les malad ies a ig uës.)
_Les esqu inancies sont funestes ; elles emportentlemalade promp
tement toutes les fois qu‘
elles ne produisent aucun changementsensible dans le gosier ni au cou q u
'
elles oceasionnent l’
orthopnée,et jettent dan s un état violent; la mort arrive le premier , le second le tro isième ou le quatrième jour quan d la plupart de ces
signes se trouvent joints ensemble . S’
il y a tumeur et rongeur
au gosier , le danger est grand ,mais il estplus éloigné , surtout
si la rongeur est forte. Lorsque le gosier et le cou deviennent rou
ges , leterme est encore plus long . C’
est dans ce cas qu’ilen échappe
quelques—uns , principalement si la rongeur de la poitrine se joint_
à celle du cou , et que l’
érysipèle ne rentre point. (n uofi cc. 69.
Ceux chez lesquels l’
esquinaneie d isparaitet se jette sur les pou
mons , périssent la plupart en sept jours. S’
ils passent ce terme la
suppuration s’
à ablit. (Aphorisme 10, section v.)La rongeur et la tuméfad ion qui semanifestent l’extérieur du
cou ,dans l
’
angine , sont d’
un bon augure. (Aphorisme 37 sec
tion vx
[ Dans l’
esqfi nancü la tumeur et la.rougeur qui surviennent à la
poitrine, sont un bon signe ; car alors lamalad ie seporte eu—debors.
(Aphorisme section vu .)Si en même temps qu
’
ily a de la li èvre il survient tout— i -coupde lasuff0cation sans qu
’
ilparaisse de tumeur dans la gorge , lecas estmortel. (Aphorisme SI,, section rv.)Lorsque dans une fièvre le cou vient ’a se tournertoutd
’
un coup,
et que le malade a b ien de la peine à avaler , sans qu’
ilparaisse eu
cune tumeur , le cas estmortel. (Aphorisme 34, section W .)La base de la langue et la cavité de l
’
an ière— bcuçbe s’
enflsmment. On ne peutavaler n i la salive n i rien autre. Si on s
’
eiïomde bo ire en rend le liquide par le .nez. Dans cet état l
’
on aura
unemixtion faite avec lamenthe varie , l‘
aacbe , l’
origm, le nitro
les grenades rouges le tout pilé ensemble et inco‘
rporé avec le
miel, pour en oindre la base de inhngue è l’
endrohoù eue a t
enflée. On fait deplus bouillir des figues dans l’
eau en y ajoutant
les glaires avec précaution. le ven tre estserré au mot un suppo
d toire ou b ien on donne d es lavemeds. On emploie latisane crûmeg pour nourriture l
’
eau pour boisson . Quand il se tait und
tumeur extérieure que la poitrine se tuméfie dans le haut avecrongeur et inflammation il y a beaucoup d
’espoir de guérison.
Alou , dès que l‘i tflammation se porte
rau— debbr‘
s b 1t y applique
des Hôtes tre—pces dans l’
eau fraiche. On fait des gargafi smu et
des lotion de bouche avecde l’eau tiède . On pourraguérirpar ed
1
(
n
g0æ . La maladie est en général n u tella; peu en ü ehappaînt;ai“des… s . Liv. 11 .
APOPLEXIL
Des mauxde tête sans fièvre avec des bond aunmm vertige
ténèbreux ,embarras dans la langue et des crampes auxmains,
sont des»menaces d’
ap0plsxie, d’
épilepsie ou de léthatgis . (Conques.L. 11. C. t. 1
Dans lesmalad ies atrabilaires , lesmétastases sont danger— a“;ear c
'
est de là que v iennent ord inairement l’apopleaie , la couval
aio'
a laman ie et la cécité. (Aphorisme 56 , section V I . )Les apopleaiea surviennen t principalement depuis de
rentemajusqu’
à soixante . Aphorisme 57 section vt.)Cour qui sont naturellemen t fort gras sontplus àujd aauxmon.
“bites que eaux qu i matmaigres . (Aphatismc section
. Loraque la lan’
eu barrasse tOut— à— eoup, et que quelq u!pa»
lia du…soptralyse , celaprovient de t’att
‘
abile. (Lphasiunfl m,section vs1 .
Cena a qui ilarrive , aumilieu d '
une bonne santé , d'
ü n prit
tout—à — noup d’
un violent mal a la tête , de perdre en“ma tmp.lapan ic et le M itac!“ et d
’
avo i1 larespiration sta tor… pb
aiment dans l'espace de sept jeurs à moins que La fièvre ne .se
déchu . Mpbmimo 5 1 , section au)S i i vre perd laparole tout d
’
un cow», il en
à amine que la fièvre ain-vienne ou qu
’
ilnem um la
Il est impossible de guérir une forte ap plefi o , et d iffitfl ù d’
.
guànr faubh(Afl oriw e i s , section a
Quand on perd subite… la parole , e’
Upt le pu…dan la veines ç 1
'
afait lemai soit que I’
atfl d tat arrive au s… à un hom—a qui œ…M , n ü ç fl îü vü næaù
Ü P 15r
quelque cam apparente . Il faut dans ce cas, saigner dubras droit 8 la veine interne et tirer plus oumo in s de san. sui
vant le tau pérantent et l’
âge dumalade. Les symptômes qui semontran t ordinairement dans l’état dont je parle , sont la face
ronge , les yeux fixes un craquement d e d ents , d es baflemmd
’
afl ères , de la bave , le froid aux extrémités. Ce sont autant designes du souffle interet
—p“dans les veines , etc. ( Du rég ime dans
lesmaladies aig uës , 3 1 .
Une douleur de tète s’
empare subitement d ’
un hom e
santé ilpa d la parole stir—leæhamp,il I ot1flc; sa bouche
art han te . Si on l’
appelle , ou . si en le remue , il eu t , .il un
comprend tien et il rend beaucoup d’
urine sans e sentira Il
meurt dan sept jours , si la fièvre n’
arrive. Quand.
elle Vien t,
il recouvre ord inairement la santé. Cette malad ie est plus comd une dan s la v ieillesse que dans la… à. Lorsq u
’
elleprend , on
doit faire beaucoup d e lotions d’
eau chaud e , famœ ter , verser deFbydromeldans la bouche . Si on échappe au danger on ne ,præ
a
dm de nourriture que ce qui est indisVemble pour suffira au,
besoin ; l'
on usera de quelque atthia et_au haut de quelques
°
p ttfl on purgera par bas. Si on ne pu
Si avec ces secours lemalad e vamin : , c’
est bon signe, Sinon ,
il ne reste qu’
une espérance savoir . d’
omtriraü sinciput eb après
avo ir laissé couler le sang abond amment rapprocha les bords de‘
,
penser etmettre un bandage. Si on n’
ouvre ,. lamorË
M ine ( ou … le a8°ou le 90
°ja” . {Traité des mala
h s I o )
tmrsæmOA…ætan tumor tm… »n
n u… …fl fi icW .mm e— sum… œsu . au. e. )UntonmeM it!cemanmæderfl gb ä et‘. ryW ia au
M tame. Ilguérit. LN .m.)Dans lès cancersmortes, l
‘atneifiær€M dæü t’é ‘
e'sfl èÜ?fi‘
ÿ lÔ_faire.
‘f’ôut tràitû fl€ü tbât! la rÜdrt si l't
_
thM fi èü setdbt’fl .“
méfie ,aviepeutse…etYong-W M(M saatt“. vn
csrsanuzs.
t
156 un
o°
u Lepc… , après 11’
ûtre rempli de pü uiœ, entra en supp“.
talion a ilest dévoré. Lesmalades ne peuvent éclupper qu’
avœ
peine ; et le médecin , s’
il est intelligent ethabile , cor naissant la
_du mal, doit en comb iner le traitement d ‘
après cette cause.
(Traité dés glandes ; pass ive. )Quand le catarrhe se porte à lamoelle de l
’
épinc, il en résulte
hphflsisie dorsale , ou la phthisic aveugle Si la fluxion coule len
“ ent, elle prod uit la sciatique et les rhumatismes. A; rês qu’
elléa o ué de couler, l
’humeur, venant insensiblement, est repousséepar parties les plus fortes , qui l
’
obligent se réfugier aux ar
i efl ationsæLa sciatique et les rhumatismes s’
œ gendrenl.aussi à la
C ite des lorsque ce qui les pr… ayant perdu son
m a is caractère ilm n s—te q uelcpe chose qui n’
est pasmis de.M rs; l
‘humeur ne pouvant ni sortir n i être contenue dans l’
inté
i ieur, fai t d es cnflurœ sous lapeau, ou bien, si elle quitte la flanc,fl e°se tn nsporte vers les articulations ,“ cèdent _
et elle 1 ex
cite tantôt la sciatique tantôt les rhumàñ smæ.
Quand la fluxion œ je tte sur le nez., qui 8 …plis d’ha
ép in es , ilfaut les atténuer soitpar les i9 ü uns , soi tpar d‘
un
remä da , et ne point la déto… m‘
lleurs; si vou le: détour
au , elles se porteront quelque autre part où elles former…une
malad ie plus grave .Lp
rsque le… e se jette surles oreilles,il y prudni d‘
abordde vives douleurs , et il s
’
y fait sentir avec violence. Le malpers…jhtp
’i ce qu
’
ilse soit établi“:écoulea Lado uleur ä u nu dès
u … p ü t. œ… dea M m rü d ehü amœ n un
W ifi. 0lb æù ‘
û£Oü fû… de manières , l’
on… les
M n nempmdu n u hon efietzâ ïœ ma du— é q d û“hit s—fi er le a d , on e…æ iü… Œ sw l
’
æ m
I’
ll“ se sera n e is. , et q u’
“ “ n es—le: u p s—a.
M _w e fi iœ :“… à -g el
155
aussi avant qu’
ilserapossible. On feraprendre par le nezq uelque
remède attractif afin de détourner vers cette partie l’humeur qui.
a.portait aux oreilles , et l’
empêcher d e reven ir dans la tête.
Quand le catarrhe se porte auxyeux , ils s’
enflammmt: ils dea nent enflés .
‘
Il faut y reméd ier d ’
abord par des applications,
humides ou sèches. S’
ils sont enflammés , n’
y mettez rien } mais appliquez un cautè1‘e actif dans les parties inférieures ou b ien dé
tournés l’humeur par quelque purgatif, vous gardant b ien de faire
vomir. 1
Quand on sentcomme despetitsgraviers qui roulentdansl€s yeux,.il faut faire des lin imens qu i—provoquent abondamment les larmeshuecter et relâcher tout le corps afin d e relâcher aussi les yeux.
et de procurerun larmoiement copieux qu i d issolve et emporte les
petites concret…Si‘
le catarrhe ne se porte sur les yeux que peu àpeu , y excitant des démangeaisons , on fera des linimens avec d esd oucü saæ , propres à dessécher et à faire couler environ deux
caces d’hm eurs dans vingt qu atreheures L
’
on en users chaquetro is jours. On doit attirer l
’humeur par des remèd es doux, pour
la détourner des ye ux et les dessécher. Les errhine , qui purgent laŒte attirent ‘les humeurs d e partout quand ils sont forts ; maisñ hsont faibles et deux, ils l
’
attirent d es yeux seulement et des
parties voisimmQuand la fili ation est dans les chairs etle tissu cellulaire qui se
trouve en tre les os et les chairs—des yeux on le connait en ce que l'
é—1
m kment d e l‘humeur v ient d e ces parties , qui la laissent w inter
par…pression . Il s’
y fait des ulcères , on a d es maux de tête , lesyen : la moientsouvent, sans que les paupières s
’
ulcèrent . L’
on n’
ysont pe int alors de démangeaisons la vue , au lieu d e se troubler,est plus percanæ; l
’humeur , ne Venanlpoint du cerveau n’
œtpd int
salée , elle est m quü use . Voici quel est le traitement convenable011 pungera la tête avec des orthias dont . on d iminm a lam…deshumeurs en donnant des alimen s et des remèd es qui làebent leventre . Afin de dessécha un ”a tout le corps , et d e détourner les
humeurs , ew j0ink œent avec les remèdes pris par le nd le unl
de tête ne se d issipe pas , il faut faire à la tête d es incisions
vorsd es ; il les fa itprofondes , qui aillent l’os,afin que le t e
jusqu‘
à l'os. Tel est le dont un peut dt “d èl ;
s‘
il ne m on pû » , si par cesmoyens l‘… ne pas ;
si la vis ion æne ù nshn b n éæt , les…… eü ù flen plus étincelans, et l
’
on fin itp park a—“
ln une .
156 HIP
Lorsque le œ tarrbe se jette sur la poitri ne , et qu‘
il y a de la
b ile , on le connait en ce qu’on ressent des douleurs d epui s le flanc
jusqu’
à la clav icule du même côté. Ily a de la fièvre la langue est
d’
un blanc verdâtre à sa base , l‘
on rend des cmohdts vi squeux. Le
danger d e cette malad ie est au septième ou au neuvième your. Si
les deux côtés sont affectés , il en est d e même que lorsqu‘
un seul
côté estmalad e. C‘
est tantôt une péripneumon ie tantôt une pleu
resie. Ces malad ies se forment parce que le catarrhe s‘
écoule de la
tête par les bronches et les artères ; le poumon dont la substance
est lâche et sèche attire à lui toute l’humid ité qu
'
ilpeut. S i elle se
porte à tout le poumon il augmente de vfl ume de chaque côté et
cela forme la péripneumonie ; si , au contraire , elle ne se porte
que d’
un côté c’
est une pleurésie .
La péripneumon ie est b eaucoup plus dangereuse ; les dou
leurs en sont plus fortes au flanc et à lapoitrine . Lalangue abeau
coup de cette couleur pâle , verte. Le gosier souffre a raison de la
fluxion . Le travail est extrême , et l’
oppression est à son dernier
point , le septième on le hu itième jour. Si la fièvre ne d ésempare
po int le hu itième , lemalademeurt de faib lesseou d’
oppretsion , ou
d e l’
une et d e l‘
autre . Si la fièvre après s‘
être calmée pendantdeux jours , à la suite d u n euvième , reprend encore , on meurtordinairement ou bien il s
’étab lit une suppuration intérieure si la
fièvre nereprend que le d ouzième jour , la suppuration se°fem si
lemalade arrive jusqu'au quatorzième , sans fièvre il est sauvé.
“
Tous ceux en qui la suppurafi on s’
établit à la suite d‘
une péri
pneumon ie ou d‘une pleurésie, n e périssmtpoint:il y en a qui ré
cbappent. La suppuration arrive quand la pituite se porte aumêmelieu où se porte aussi la flexion de labile. Or les fluxiom de bile
seule sont ooulantes, etse proèurent ordinairement des 13snes qui lesterminen t. Lorsque la b ite est peu coulante , la suppuration s
‘éta
blit , et la flexion n e d iscontinue point. La suppuration se fait
parce que l’
on crache moins qu iln’
arrive d ‘humeurs au poumon.
Ce qui y v ient et qui y _
séjourne se convertit en pus . Le pus res
tant dans le poumon et dans la poitrine , y fait des… etde la
pourriture .
Quand l’
alcère estétabli le poumon se fond ; on le rend avecla
en chata La toux par ses secousses attire encore plus d‘humeur:
_
de la tète. Les petits ulcères formés dans le poumon s‘
ouvrent de
toutes parts , cause de son mon… ; en sorte que , quand la
mème ne plus des poumons
eortmëqmcenx 'qal…t dans—b poumon. L‘on peut tenir cela
pour certain 1 l‘
égard de ceux que le malade n‘
expeetore point
aussi t q u’
à l’égard de ceux qu’il rend . Ceuxqu
’
il ne rend pas
font que la respiration est brûlante , et qu’on entend un gron ille
ment dans le gosier. Le hoquet et la fièvre d iminuent , tand is quele craehat reste encore arrêté dans la poitrine . Le ventre se lâchequand le malade s
‘
affaiblit. Lorsqu'
on a_
ces signes dans une péri
pneumonie ou une pleurésie , elles sontpleines d e danger.
‘
On soignera la pleurésie de laman ière qui su it : Ne cherchezpoint à arrêter la fièvre avant le septième jour ; ordonnea pour
«boisson , ou de l‘
oxymel, ou de l’
oxycrat. Il faut en donner eo°
pieusement, afin, d e faciliter le crachement en bumeetunt. On fait
prendre des remèdes chauds propres à calmer la douleur et à favofi ser l
‘
expectorati0n . Le quatrième jour, l’
on met au bain ; le cin
quième et le sixième on fait des onctions lehuitième, on redonnele bain , afin d
’
exciter la sueur àmoins que la fièvre ne soit prête àfinir. Le cinqu ième et le sixième on use d e plus d es expect0ratts
les plus actifs jusqu‘
au huitième jour , quand la malad ie va b ien.
Si la fièvre ne fin it pas le septième jour , _
elle d oit se terminer au
neuvième , àmoins qu’il ne surv ienne quelque autre signe fâcheux.
Lorsque la fièvre a quitté , on ord onn e d es crèmes , d'abord très
claires. Si le cours de ventre survient et si le corps est vigoureux,comme celui d’un jeune
‘homme on supprime laboisson . On d onne
des crèmes de froment quand la fièvre d isparait. Lapéripneumuniese traite de même . Dans le cas d e l
’
empyème , on purge la tête avecdes errhins qu i ne sontpas forts afin d e d étourner insensiblementle'
catarrhe vers le n ez , et l’
on donne d es alimens pr0pœ s à lâcher le“
ventre . Quand la malad ie est avancée,et que les humeurs com
'mencent à se détourner, on emploie d es expectorans tant en ati"
inens qu’
en remèdes ; qu i fondent et qui excite” la toux ; pour
faire expectorer ,les alimens doivent être un peu salés et gras il
faut choisir du vin qui ait du corps sans craindre d’
exciter la
touxouelle est utile . On traite les phthisiques d emême ,à la réserve
qu’
on ne donne pas autant d’
alimens à la fois , n i d’
épiceries et
qu’
on les fait user d e v in trempé, afin de n e pas échauffer le corps(qui est faible) par une tr0p grande q uantité d
‘
alimen s , etpar du
Vmpur, capables chacun d’
augmenter la chaleur qu i excite l‘
af
fluence deshumeurs .
Lorsque le catarrhe se jette sur le ventre , à travers l’œsophage ,
il se fait des collection s d‘humeurs dans le bas , quelquefoismême
?64 HIP
point de douleur, ont l’
esprit dérangé. (Aphorisme 6, section
Si latristesse et la crainte durent long-temps , c
'
est nué marque
que l’
on est malade demélancolie. (Aphorisme 23 , section vx.)Leshém‘
orrhoïdes qui survienn ent auxmélancoliques , et à ceuxqui sont travaillés de maux d e reins leur sont bonnes et utiles.
(Aphorisme 1 1 , section vx.
Les délires accompagnés de rire annoncentmoins de dangersqueles délires sérieux (Aphorisme 53, section vx.)La dysenterie , l
’hydr0pisie , ou l’
aliénation mentale , succédantà laman ie , sont favorables . (Aphorisme 5 section vn . )Dans lesmalad iesmélancol1ques au prmtemps ou en automne
les dépôts d‘humeurs sont suspects , ils menacent d
’
apoplexie de
convulsion s , d eman ie ou de cécité. (Aphorisme 56, section v i .
Les varices ou les «hémorrhŒ dœ qui surviennent auxmélancoliques les délivrent de la folie . (Aphorisme ar, section vs.)
nu m“ ram es.
Le frisson et le délire , à la suite des excès de b o isson, sont fd
cheux. (Aphor. 7 , sect. vn .)DY SE
‘
NTEKIB .
Dansle ténesme , on rend par les selles du sang et desmucosités ; l
‘
on ressent de v ives douleurs au ventre , surtout lors des ci
forts pour aller. Il fauthumecter adoucir et lubréfier tant dans
les intestins q ue les matières contenues ; prendre des bains maisnon à la tête. Cettemaladie comm e beaucoup d
’
alimena. Lesbols
alimentaires , en parcourant les intestins empêchent qu’il ne s
’
yfasse autan t d e fro issemens des intestins l’un avec l
’
autre , ce qui
est à redouter quan d ils sont v ides et déchirés intérieu1emcænt au
point de laisser couler le sang . Le ténesme provient des mêmesc‘
aus'
es que la dysenterie. Il est moins v iolent, quoique de coud e
durée , et il ne d onne pas lamort. Des aff ection s . )Les douleurs d
‘
entrailles qui pre n ent avec fièvre ,. et avecdes
déjections de plusieurs sortes , avec inflammatiofi au foie ou à l‘hy
pocondre , qu i donnent du dégoût pour la nourriture et beaucoupde so if sont toujours dangereuses. Celui qui a le plus grand nombre d e ces maux,estb ientôtmort ; celui qui en a lemoins, laisse leplus d
’
espérance . C’
est vers l’
âge de cinq ans qu’
on est principale
ment exposé à périr. Viennent en suite les enfäns plus âgés jus
qu’
à l’
âge de d ix ans. Les douleurs d‘
entraflles utiles n e produisent
pomces symptômes. Avec des déjections sangu ifiolentés èlles
164 HIP
L’
épilepsie ç qui se manifeste avant l’âge de puberté se guérit
quelquefois mais si elle persévère jusqu’
à vingt—cinq ans , elle ne
fin it q u’
à lamort. (Aphorisme 7 section v .)Quant à ceux qui sont affligés de l
‘
épilepsie , il est b ien d ifficile
d e les guérir, si le mal est d e l’
enfance et qu’
il se soit fortifié avec
l‘âge ; plus d ifficile encore , quand il v ient dans Page fait, commedans ceux qui y tombent depuis l
‘
âge d e vingt—cinq ans jusqu
’
à
q uarante-cinq ans ou au-delà ; puis viennent comme plus difliciles
encore à guérir ceux qui n’
ontaucuns signes avant-coureurs dans
la partie par où lemal commence . Mais ceux qui le sentent venir
ou par la téte ou par les côtés , ou par lesmains ou par lespied s , guérissent avecmoins de peine. Ily a encore ici des d iffé
rences:si lemalcommence à la téte, c’
estle plus d ifficile . V1enten
suite celu i qui commenqe par le côté : quand c’estpar lesmains ou
par les pieds il est très— susceptible d e guérison . Le médecin doitl’
entreprendre par lesmêmesmoyens qu’
il voitréussir vis— à -vis des
j eunes g ens vigoureux etlaborieux,à moins que l
‘
espritne soit un
peu aliéné , ou qu’ils n
’
aient quelque chose d ’
apoplectiq u'
e ; car la
b ile noire se portant à la tête , est ici très-mauvai se. Si elle se porte
en bas dans quelque organe que ce soit , c'
est bon .Leshémorrhag ies par le bas sont surtout ici très
—utiles. Quant a ceux qui ne de
v ienn ent épileptiques que dans la v ieillesse,ilsmeurentpour l
’
or
dma1re ou b ien ils guérissent n aturellement dans peu de temps.
Lesmédecins ne leur sont d’
aucune utilité. (P ü d icti0m, liv . 11
a1 .
rnm ons nx rorruntx.
Dans les douleurs de côtés d e poitrine et des autres parties il
faut considérer les d ifférences q u’
elles présentent, car c’
est du en
ractère de la douleur qu’
on déduit la connai ssance du mal. (Aphorisme 9, section v 1.
La pleurésie qui ne se guérit pas par une expectoration dans
l’
espace de quatorze jou‘
rs , se termine par l’
empyème. (Aphor. 8,
section v .
Les crachats , dans toute affection du poumon et de la poitrine,
doiven t être rendus promptemen t et facilement d’
unune couleur
jaune , b ien égale ; car, si la couleur jaune ou roussâtre a lieu
long temps après le commencement de la douleur , avec beaucoupd e toux en crachant, et q ue la couleur ne soit pas b ien mêlée ,c’est très—mauvais ;les crachats jaunes, qui ne sontpasbien unis, sont
pleins de dangers; les blancsépais et ronds, ne procurent aucun
166 HIPd i tes ailleurs ce sontautantd emauvais signes qu
’
ilfautbignaître ;car si quelqu
’
un de cesmauvais signes se jointauxcrachatsb ilieux et purulens le malade mourra avant le quatorzièmg
‘
leneuvième ou le onzième. Il faut donc, en ces conjoncturœ , peggt
der cette espèce de crachats comme funestes, et annoncer la IDMavan t le quatorzième jour. C
’
est de lacomparaison d es bons et dumauvais sign es , qu
’
on doit déduire le prognostic. Telle estla véfi .
table man ière d e pénétrer dans l’
aven ir. Prag nœ tic 6 .
Il y a certains dépôts qui ne percent communément que levingtième jour , quelquefois le trentième , d
‘
autres fois le quaran
tièmc il y en a qui s‘
étendentmême jusqu'
au soixanheme .
On peut juger et croire que la suppuration s’
est établie lepremierjourauquel, la fièvre a commencé ou que les premiers frissons ontparu lors surtout que le malade se plaint de ressentir un poids
au lieud’
une douleur aiguë , dans la partie où est lemal car Ç'
QŒ
ce qu i arrive dans le cas d es suppurations l’
on d oit s‘
attendre que
l’
abcès percera auxjours que j’
ai d it à compterdu commencementde la maladie .
Pour connaître si la suppuration est dans un côté seulement, ilfaut faire tourner le malad e sur l
’
un et lautre côté , et informers’
ilne souffre que sur un seul , s’
11ressenthab ituellement plus d echaleurà un côté qu
’
à l’
autre . Lorsqu'
il sera couché surle côté sain,il lui semblera avoir comme un po ids qui le presse par
-dessus;
dans ce ess , ily a suppuration au côté dont le poids se fait sentir.
C’
estun signe général pour reconnaître les _empyiqms , q ue ,le
fièvre ne cessé point; qu’
elle estmodérée durant le jour, forte danslanuit ; q u
’
il s’
y joint des sueurs de la toux des picotemms àtrachée , sans expectoration remarquable. Les yeux deviennentereùx, les joues rouges les ongles des mains crochus ; les do igtssont chauds , surtout à lextrémité; les pieds s
’
,enflent l’
appétit se
perd ; il survient des phlyctènes sur tout le corps. Toutes les fois
qu’ily a un empyème ancien , ces s ignes se montrent , et onpeut y
cro ire sanshésiter. Mais les empyèmes récens s’
annoncentpar les
signes que nous avons d itparaître au commencement des suppurations en y ajoutant une plus grande d ifficulté de respirer.
On d istingue si les abcès se perceront vite ou tard par les signessalvam:Si dans le commencement il y a douleur violente,oppœsion et toux sans crachats , il faut s
’
attendre que l’
abcès s‘
ouvrirale vingtième jour oumèn e plus tôt;si la doule1ir estmodérée et;toutle reste pareilleme
‘
nt il s’
ouvrira plus tard. Mais avant la rupture
HIP 16 7
de l’
abcès , il arrive nécessairement une augmentation de douleurd‘uppression et d e crachats .
Après la rupture d e l’
abcès , ceux qui échappent sont ceux dontla fièvre finit lemême j our , dont appétit se rétablit promptementet dont la soif cesse.
Les déjection s du ventre sortent en petitequantité b ien liées , on
crache sans peine et sans beaucoup de toux un pus blanc b ien
cuit, d e couleur égale pointmêlé de pituite . Quand les chosessont ainsi , on est b ientôt guéri ; si les choses sont au trement ,
la
guérison est d’
autant moins éloignée que la d ifférence dans les
signes estmoins grande.
Il y aura mort si la fièvre ne s’
arréte point, ou , si après s’être
arrêtée , elle revient avec plus de chaleur , s’
il y a du dégout , d e la
soif , si le ventre est lâche,les d éjections liqu id es; si les crachats
sont du pus vert, plomb é mêlé d e pituite , écumeux; ceux en qui
tous ces signes se rencontrentmeurent. Mais d e ceux qui ne les
ontpas tous , partie meurent partie vivent long—temps. Il faut en
chercher le prognostic, non seulement dans ces signes , mais aussidans tous les autres . Toutes les fois que, dans lesmalad ies d es poumons , la mat1emse transporte autour des oreilles
, qu’il s
’
y fait
un dépôt , ou aux extrémités inférieures , c'
est guérison , et la sup
puration en est salutaire .
Vo ici ce qui est à ob server à ce sujet . Quand la fièvre persiste ,
que la douleur ne s’
apaise pas , qu’il n
’
y a po in t une expectorationconvenable
, et que les d éjections ne sont n i b ilieuses , n i b ien mélées , n i crues ; que l
’urine n
’
est n i ab ondante ,n i s1irchargée d e
séd iment , et que les autres sign es sont de uérison , on peut croire,dan s ce cas , qu
’
il se fera un transport d e iamatière . L’
abcès se faitaux extrémités inférieures lorsque leshypochondres ont été dou
loureux, aux parties supérieures lorsque leshypochondres ont
été souples et libres d e douleurs , et que l’
oppression après avoir
persisté pendant quelque temps , a fini sans cause man ifeste .
Les dépôts aux jambes , dans les péripœ umon ies v iolentes et
dangereuses sont toujours bons. Les plus salutaires son t ceux qui
arrivent dans le temps d’
un changement des crachats . Si la tumeuret la douleur parai ssent lorsque le crachat, au lieu d
’
étre jaune
devient purulent, et qu’
il s’
expectore facilemen t, le malade guérira
positivement, et le dépôt finira dans peu , san s douleur ; mais s’
il
n’
expectore pas d e crachats louables , et si l’
urine ne dépose pas
1111 bon séd iment,il est à craindre q ue le dépôt fait aux jamb es ne
168 HIP
rende le malade bo iteux et qu’
i l° ne donne beaucoupd’
embarras.
Si ces sortes d’
abcès d isparaissent, et q ue lamatière ren tre sans
q u’il se fasse d
’
expectoration et la fièvre persistant cela est ter
rible il y a grand danger de‘
délire et d e mort.Les suppurations internes provenant des péripneumouies sont
funestes , principalement dans la v ieillesse ; les autres empyèmesdan s la jeunesse . (P rognostic 38Dans la pleurésie et dans la péripneumouie , on observem d
’
bord si la fièvre est forte, si la douleur est d’
un côté seulement, oud e tous les deux ; si la respiration est élevée très— laborieuse ; si la
toux est fréquente , si les crachats sont jaunes ou livides s’
ils sont
petits écumeux teints d e petits filets de sang et s‘
ily a quelque
autre signe important la conduite à sui vre tient à ces d iverses cir
constances. Quand la douleur estaux parties supérieures s‘
éten
dant jusqn’
aux clavicules auxmamelles aux épaules il faut sai
gner au bras (à la basilique) du même côté que celui où se trouve
la douleur; laisser couler le sang en quantité avec confiance , sni
vant la saison de l’
année , le tempérament l’
âge la couleur du
malade ; si la douleur est violente on saigne jusqu’
à défaillance
on donne ensuite des lavemens. Quand la douleur est au— d essous
du d iaphragme et qu’
elle est forte purgez et entre les, purga
tions ne d onnez point de remèd e. Faites prendre de l’
oxymelaprès la purgation . On ne purge que le quatrième jour. Pendan t
les trois premiers , on donne des lavemens. Ou_
se tien t sur ses
gardes jusqu'
au septième , jusqu’
à ce que la fièvre ait quitté. Lors
que lemalad e serahors d e danger, l’
on se conduira comme il suit.L
’
on donnera d‘
abord de la tisane crémée en petite quantité mèl
‘
ée avec du miel; ou la donne plus épaisse et en plus grande
q uantité ,mêlée même deux fois le jour , àmesure que le maladevamieux que la respiration estplus aisée que ladouleurse d issipe
enüèremcnt. Dans le ca°
s contraire on en donnemoins plus claire,et une seule fois par jour choisissant toujours le temps où le malade est le mieux. On examinerales urines. On ne doitpoint, danscette malad ie donner la purée ceux q i1i guérissen t, jusqu
’
à ce
que les urin es‘
et les crachats montrent des signes de caution.
Si les purgations ont pro duit d’
abondan tee évacuations , il faut
la donner claire et en moindre quantité. Le malade n e pou;rait
si les vaisseaux étaient tenus dans une en tière vacuité, n1 dor
mir, ui suffire à la coction n i supporter tout le travail de la
crise ; il pourra plus facilement s’
il est pourri , surmonter ce
1 7e HIP
qui ont leur orifice au poumon , ou si les bronches trop tendues
se déchirent , de mamere qu’il se verse du sang de l
’
un dansl’
autre
comme il arrive quand elles sont tiraillées et rompues pour avoirpris une grand e fatigue , pour avo ir trop couru
,ou à raison de
quelque chute,ou aà la su ite d e coups recus d
’
efforts , de vomi ssemens , ou d
’
une v iolen te fièvre , voilà ce qui arrive :L’
on a d’a
b ord une toux sèche q uelque temps après , on rend des crachatssalés sanguinolens , quelquefois du sang pur. Si le malne va pas
plus lo in , c’
est bon . Dansle cas contraire , b ientôt on crache plusd e sang certain es fo is le gosier se remplit d e sang sans
'
qu’
on
s e’
n d oute,et on en 1end fréquemment d e petits grumeaux
qui on t unemauvaise odeur. Il semble qu’
on ait comme d u d uvet
qui fait un embarras dan s le gosier. Les frissons etla lièvre seman ifestent. Ils sont plus forts dan s le commencement de la m‘alad ie ; ensuite ils s
’
adoncisscnt et ils reviennent par temps. Onsent quelquefois d es douleurs au haut du devant de lapo itrine,au dos aux côtés . Quand le crachemen t de sang d iscon
tinne , on rend b eaucoup d e salive épaisse . Tels sont les symptômes jusqu
’
au quatorz1eme jour. En su ite ,si la malad ie n e s
‘arrête
poin t la toux arrache d e la trachée d es espèces de petites peaux
qu’
on rend avec les crachats semb lables aux pellicules d es phlyctèn es. La douleur se fixe au haut d u d evant d e la poitrine ou
au dos ou aux côtes. Les hypochondres sont sensibles quand on
les touche comme si on y avait une plaie . Dans cet état il faut
mainten ir l1ntérieur d u corps en un grand repos ; s’il prenaitde la
fatigue la toux en dev iendraitplus forte ,les frissons et la fièvre
augmen teraien t. L’
éternuement surtout e st fort douloureux. On
souffre aussi , quand on se retourne dans le lit. La nourriture doit
etre ici la même que dans les suppurations internes ; il fautmangerpeu . L
‘
on use d e poissons , tels'
q ue l‘
ange le pagre le grand emisole blanc, et autres pareils préparés à la grenade à r°ÜBN S
d e la chair d e poulet rôtie sans sel ou de chèvre bouillie . On boit
d e bon v in vieux qui soit àp1‘0; il faut faire des promenades mo
d érées , dans les temps où la fièvre donna du‘
répit. Quand elle est
continue , on prend des crèmes d ’
orge ou de millet. Si on mangedes alimena solid es , c
’
est en petite q uantité ,o u les obois1t mêmequi soient laxatifs. Dans le cas où vous croirez devoir purger , em
ployez le grain d e gu ide ou le tithymale et d onnez après la pur
gatina env iron une livre de erême .de farine d’
orge grasse . Il
faut ten ir le malad e b ien nourri ,pour empêcher le corps de s’
ex
1 7 3 HIPon a fait infuser des racines qui s
’
emploient contreles déchirurescomme la racine de centaurée ou de serpentaire , qu
’
on râcle sur le
vin pour le charger de la poudre . On fait sucer du t11ssilage impré
gné demiel et d e poudre de v ipérine . Quand le malade ne peut
manger les choses cuites au lait, ou lui fait boiré abondammeut dulait de vache coupé avec un tiers d
’hydromel. On parv ient par ce
moyen à la guérison ;mais cette malad ie est d ifficile à traiter. Elle
demande b eaucoup d e soins. Après que le maladeest guéri s’
il
ne s’
observe pas beaucoup lui-même il retombe dans le même
état, et la plupart alors en périssent. Quand l’
on guérit, ceci suf
fira ;mais si on n e guérit point , malgré l’
usage du lait et de la
b onne nourriture on se détermine à appliquer le feu à lapoitrineou
_au dos. Si l
’
on rencontre lemal il y a espoir de guérison . (Des
qfl'
ectiom in lemer.)Quand il se fait des déchirures dans le poitrine on a une
.
toux
vive avec des crachats sanguinolens , d e temps en temps . Gommunément la fièvre s’y joint précédée d e fro id . On sentmie forte d ouleur au d os et il semble q u
’
on ait une pierre sur lapoitÏ ine. On ysent con tinuellement une pointe, comme si l
’
on étaitpiquépar une
aiguille…Il faut aussitôt donner b eaucoup d e lait et appliquer le
feu tant au dos qu’
à la poitrine. On recouvre ainsi la santé en’
peu d e temps. Du reste le malad e d oit gard er le plus grandrepos . S
’
ils’
ag ite s’
il va à cheval ou en voiture s’
ilporte des far
deaux sur les épaules il se met en danger de rechuter et s’
il re
chute i i risqu e d’
y périr ; le second mal serait pire que le premier. Lorsqu
'
on n’
applique pas le‘
feu le traitement se fait au
moyen d es alimens et d es boissons tels qu’
ils s’
emploient dans lecas d e suppuration interne . Il se réduit à gard er le repo s . et à
prendre une b onne nourriture choisie . En observant ce régimeavec soin on pourra jouir bientôt d e la santé. Cettemalad ie est
très -sérieuse. (Des afi ctionr internes .)Un crachement de sang écumeux avec douleur à l
’hypocondre ,
d roit annonce que le sang vient du foie ; ce cas est le plus sou
ventmortel. Coaques L1v . 11 . chap.
Ceux—
qui vomissent du sang écumeux et qui ne sententpoint de
mal nu— dessous du d iaphragme le vomissent du poumon . Si la
veine est grosse ils en rend ent b eaucoup et ils sont en danger
mais ceux q ui en rendent moins courent moins de risques. (Coa
quer. L u. 11. Chap.
‘
Vomit‘ le sang avoir une grosse fièvre soufi’rir des douleurs
17 5
hoquet là convulsion et le délire sont des signes mortelsl’
iléus . (AphOI‘. 10 . Sect. vu .
Dans lapassion iliaque , le ventre est dur et l’
on ne rei1d rien .
On a des douleurs dans le bas—ventre avecfièvre ou soif. On vomit
quelquefois de la b ile avec un‘
grand travail. Il faut ici b eaucouphumecter, tant l
’
extérieur qu e l‘
intérieur prendre des bains
d‘
eau Chaude; user de boissons propres à lâcher le ventre et à faireêôuler les urines ; admin istrer des lavemens s
’
ils peuvent entrer.
Quan d on ne peut les introduire , on adapte un tuyau et l’
anus, et
fan y introduit de l‘
air au mOyehd’
une petite outre remplie déŸënt Après avoir ainsi d ilaté l
’
intestin , on été le petit tuyau , et
l’on donne aussitôt le lavement. S’ ilpassé ,
’et que lemalad e s ille da
ventre , il est sauvé. Quand les laveiuens ne peuvent pénétrer on
nŸéufi communément le septième jour. Cet état a lieu lorsqu’un
à'maé d ’
exc‘
rémœ s dans les boyaux est d esséché par la chaleur et
que lapituite s’
y réunit. Lesmatières dut—aies font énfler le ventre .
On prend les remèdes qui se d onnenten boisson parlabouche ,maisoh‘ les vomit, et on ne peutrecevoirdes lavemens . Cettemalad ie estaiguë , et très— dangereuse
’
(D es qfl’
ections .
La femme q ui demeurait chez T isamène fut attaquée d’
une pas
sion iliaque avec d es douleurs insuppormbles:elle v0mismi t conthnellement elle ne pouvait garder la b oisson , elle avait d es don
leurs aux hypocond rœ et'
dans l‘
es parties inférieures d u ventre ;
elle ressentait des tranchées cbntinuelles elle était san s so if elle
se plaignait d’
une chaleur brûlan te les extrémités étaient perpétuellement froid es elle étaittogumentée d
‘anxiétés et d e veilles
lesurines étaient en petite quan tité et ténues les d éjections étaienteines ténues etmod iques ; elle ne recevait aucun soulagementd es remèdes qu
’
on lui faisait; elle mourut. (Epidéfl ztb3 llv . 111
Obs.
La passion iliaque alieu quand lehaut du ventre est échauffé ,
et que le bas ventre est refroid i , d e sorte qu’
il n e peut donner
passage n i à la n ourriture n i au souffle ; le ventre se constipe . On
vomit quelquefois d’
abord des glaires , pu is de la b ile , enfin des
matières fécales : on est fort altéré. On sent d es douleurs, surtout
aux hypocondres tout le ventre souffre , il s’
enfle . Lehoquetv ient. Il y a d e la fièvre. C
’
est une malad ie de sept jours. On la
soigne en vidantpromptement le ventre supérieur. Pour cet effet ,on sèigne de latête et du bras . On rafraichit la région épigastriq
ue
près du ciü dia en plaçant le malade assis au—devarît d’
un vase
178 H
Après le crachement de sang le crachement d e pus est fâchetut:après le crachement de pus vienn ent la phthisic et la d iarrhée . Dès
q ue les crachats se suppriment les sujets meurent (Aphor. 15,sect. vn ; upbar. 16, sect. vn .)Ceux qu i , avant l
’
âge depub erté, d ev iennent bossus , étan t tour
mentéspar la d ifficulté de respirer ou par la toux succomb entd e bonneheure . (Aphor. sect. vx.)
rERrss'
sémmanus.
La consomption dorsale vient de lamoelle épinière ; elle est fréquente chez les nouveau-mariés et chez les libertins. Iln
’
y a point
de fièvre , l’
appétit se conserve , mais le corps tomb e en conmmption . Si vous interrogez les malades , ils répondent qu
’
ils sententcomme des fourmis qui descendent de la téte le long de l
’
épine. En
urinant ou allan t à la selle , ils ren dent beaucoup de semence liquide. S
’ils voient des femmes ils n
’
engendren tpoint; ils perd ent
la semence dans le lit qu’
ils aient des songes lascifs ou non ; ils la
perdent à cheval, en marchant d e toute manière.' Pour le d ireb rièvement ils tombent dans d es d ifficultés de respiration ,, dans
un grand état de faiblesse , avec des pes‘
anteurs de téte et un b ourd onn emen t'
aux oreilles . Si dans cet état, ils sont atteints d’
une'
forte fièvre ils meurent lipyrique5. Lors donc que vous serez ap:
pelé dans le commencement il faud ra d’
abord après _
avoir fumi
gé tout le corps , donner un émétique puis purgerle cerveau avec
d es errhins ensuite les entrailles par bas. Il est avantageux que ce
soit au prin temps. Vous ferez prendre le petit-lait ou le lait d
'
à
nesse pu is celui de vachépendant quarante jours. Durant tout le
temps q u’
on usera de lait on prendra le soir des crèmes avec la farine d
’
épautre ;poin t d’
alimens solides. Après que le lait sera fin i
onpassera in sen siblement auxalimens'
qui ont d e la consi stance ,
qu i so ien t doux etpropres à b ien nourrir, Il faut 3’
interd ire pen
dantun an tout excès de vin ,le commerce avecles femmes , et les
exercices à la réserve de la promenade , en se préservant du froid
et du solei l. On prendra les bains tièdes . (Tra ité d esmaladies ,
liv .
A Thaso s . Satyras , qu’
on surnommait le Renard —Faucon ,fut
pris d e gonorrhée a l’
âge de v ingt— neuf ans. Il perdait la semence
pendant le sommeil et souvent dans le Jour. Il tomba en consomp;tion etmourut à trente ans. (Epidémics liv . vr, sect.
HIP
ri rsrtos.
Ceuxqui sontpris du tétanos meurent en général dan s les quatre premiers jours , ceux qu i passentce terme , guérissent. Aphorisme 6, section v
La fièvre qui survient à celui qui a des convulsions ou le tétanos,le délivre de samalad ie . (Aphorisme 57 , section rv .)Dans un tétanos san s ulcères (non traumatique) survenu chez unhomme jeune et robuste , aumilieu d e l
’
été, il arrive q uelquefois
que d‘
abondan tesaffusion s d’
eau froide,
appellentla chaleur, et quela chaleur amène lasolution de la maladie. Aphorisme a; sec
tion V .)
d u ( Malad ies d e la
Dans lesmaux de têtes appliquez les ventouses auxparties supé
rieures affectées. S’
il survient des d ouleurs à l’
ischium,ou aux gc
nom:, ou une grande oppression ,h
’
importe lequel, lesmaux de têteéèssent. (Des crises .
Quand on a d esmaux d e tête , il est bon de la laver avec beau
coupd’
eau chaud e et de prendre quelque errhiù pour pousser au
dehors la pitu ite etles glaires . On s’
en tiendra lasi l’
on est soulagé ;
mais si on ne l’
est pas , il faudra purger la tête de la pituite n e
prendre que de la nourriture liqu ide et de l’
eau pour boisson ;
s’
absten ir de vin jusqu’à ce que les d ouleurs soientpassées. On se
trouve b ien aussi de faire saigner le n ez , ou de tirer du sang d e la'
veine du front. Quand les douleurs continü'
entpendant long-tenips,
qu’
elles sont v iolen tes , qu’
on n’
en est poi nt délivré en purgeant la
tête , il faut , ou b ien ouvrir les veines autour de la tête , ou les'
brûler : c’
est le seul espoir qu i re ste,pour obtenir la guérison. (Desaffectzom, tom. 111
, p. Bag .)Celu i qui souffre d
’
un grand mal ala tête ,en est délivré quand
il lu i sort du pus de l’
eau ou du sang par le nez , ou par la bon
che,
‘
ou par les oreilles. ( Aphorisme 10, section vx) .
'
La douleur lapluspostérieure a la tête se guérit par l’ouverture
d e la veine qui passe droit sur le front. (Aphorisuœ68, section v .)Echecrate ,
l’
aveugle , eut d es d ouleurs d e tête qui se faisaient
sentir particulièrement sur le d errière de la téte là où elle se joint
avec le cou , et.au sommet. Dans le cours de lamaladie les dou
leurs se portaient aussi à l’
oreille gauche , sans. abandonner le milieu d e la tête. Il découlait continuellement des mucosités un peu
âcres et brûlan tes. Le malade .vait une légère chaleur. Il était dé
180 HIP
goûté. Durantle jour, ilse trouvaitmieux ; l’
état de souffrance venait dans la nuit. L
’
abcès de l’
oreille s’
étant percé , et le pus étant
sorti , il se trouva soulagé. Le dépôt creva dans l‘hiver. Serait— il
constamment vrai que dans toutes les suppurations internes , etdanscelles qu i se font aux yeux, les douleurs augmentent quand la nu it
A Phérès une feinme '
se plaignait demaux de tête depuis longtemps . Personne n
‘avaitpulaguérir n i purgerlatéte . Elle se tl‘0tl
vait bien quand ses règles could iefl t librement. Lomqu’elle sentait
à 11 tête des douleurs plin fortes, elle en était'
souhgée par despessaires aromatiques qu
'elle plaçait à l
‘orifice d e l
’utérus
, et qui
purgeaient un peu lamatrice. Elle dev intgrosseetelle guérit. [Epi
Lesmanne: sujettes des max: du carreau ont d’
abord desétonrd issemem; elles urinent fréquemment , elles éprouvent les
mêmes symptômes que ceux quinntdes stranguries. Cela dure pen
dantneuf°
jours, et s’
il sort par le nez ou‘
par les oreilles de l’
eau ou
de lam1‘
1ç q sité, elles sont délivrées de leur mal la strangurie
uit. On rend_
une grande quantité d’
urine blanche sans d ouleur
durant vingt jours; après que le mal de tête apassé on a encore
des'
éblouissemens . (De la d iète sombre , à la fin .)
Jug'
vmndsm Ed it o” M Otti , W l« & :q 4'É80p0. Ve
u eo les l abla d'Éupa et d autres nice, iœ8. . Editions latines
ouvrages . Bfl e, 1518 ia-4 ; Vert. Amin Brend a: in collect. Sym1 533 , in—8 ; par les satin: d
‘
Albsno phar. Cha npier , ia-8 , sans date n i
Torino avec le P rognostic et letraité lieu d'1mprm ion . Lyon , 1 506 , in—8
De aa‘mrl ltumà nä . Bâle, 1536 , ia—8 ; ancienne version avec d
’
entres trai tés
avec le*8erb ier onv
'n ge indiqué Ba V
_
eni se , 1507, in—8. VeraNic. Pemtto
riz, 1 548, in-4. Editions greeqneæln Paris, «1514 . ñu Bfl e, 1538. Avec
1111» avec‘les ttd tér d e Galien De
interpr. Th. Linaeggn. Büh, 1538, in8 avec les traitéshrppocçatiques Dearte, De an tiguâ
medicü 1_
â, Demed iça Inœrpret. JJ . de Gorris
,etc. Paris,
1344. in-4 ; ave°
c d’autres trai tés qui
indiqués à l’
trü c‘lu du Prague:
n°
e.
1Paris , 1557 , it:—ra un e
d ‘u ne: un ité éd . J . 0pæpæm,
M efort, 1 587, ia—1a ; Veu .d eNi0.
ligne.. 16 8 8, in— 8. Ed . rev. parh…‘ i3 Ly…r 3583 1 i“?8p Vers
Jeans Cœmrius avec d‘autres traités
d’introduction à lamédecine. Bâle
1543, ia—4 . Edit. P . Blondel. Pu is
1575, ia— 4 avec les aphorismes. Ru
doht:‘
dt 16 72 ia—4 trad . en vers
lutins par San . de81eMarthe , parmila poésies de cet auteur; en vers 111
the , par C. F. Close. M s‘
rbϾ ,
196 R
miques ; sui vies des quarante—dmhistoires rapporü « par est ancien
médecin , et des eo…cnü ires de Gao
lien aurmhisfi rœ, etc. Paris, 178 7 ,
ill° 19 .
.4pbon‘
cmi .Edi tionsgrecques:Quarum artipmq e lib… vpn: sit…
pra]. anteHipp. aphun‘
rm. in it. per
€um ñ‘
umhabita 801M m
gp…ap. Je . 8x efi um; ln-8, sansd“. ht æpæ0M «ramene! rpÿpœta ,
eu. Ed . M alais , à la suite de
tiau latine de quelques traitù indi
qna'
a plushaut. Lyon , 154 3 , in:—ra ,
1 565 , in«1 2 ; apbor. mroga .par lind
Beam . I…n 1 536 , iu 8°.
Lyon, 1546 Francfort, 1 545,
in— ta. Editions grecques—latin s ;
Pari s , 1552 , 1555 , ia-16 , avec le
progmstiu les . pm"hétip æ etc
Pas—ie 1 557 ia—1 2 avec le serment:Stud iaJe . Opsopæ i. Freest
‘
ort 1 53 7 ,
i n . ; 2 exrecent. Paul.Offrd Rome,1606 , ia—12 ; Genève , 1606 . ia-1 2 ,
avec le pognon” les pœ rrltétiquœ
le opaques , vers . de J‘
.Heure ,avec des u… rœ . Loyde
1607 , ia— 1 2 ; les mêmes sé…fl lt
Leyde , 16 38 , inc“ ; lens 1690 ,
ia — 12 ; Ps1is , 16 1 3 ; ex n œ gn iù ne
'
Vorstù‘
. Leyde , 1628 , ili— 3 2 ; eveu la
loi , in— 16 , sans date ; sa: inœrpm.
Forsii et G. Plantii. Leyda , 16 33
int—5 2 ; rx interpret. Poesii cm m’
e
tltodo que aphorùmi in certamord i
nqm d t'
gysti exhibmtur, E m.
Scht}fi4h Leyde , 16 3 3 , iu-16 ; cam
d iam materiamm. Leyde 16 38
ine—12 ;ed . abH. Poort. Utrecht, 1657 ,it: 2 ; interpret. lat. Zoe. parts”.
Lue. Veü oqfl « Leyde , 16 75 , int—16 ;
I
am mn“ fl ood . Jam. cb fl malovecn aum lœ i: parti”. Gold etc.
Amsterdam, 1 685 , in— 16 ; Leyde ,1 7 32 , ill-1 6 ; Strasbourg , 1 756 ,
ia-12 ; Leipsig , i tt— 1 2 ; cant
Larry . Paris , 1 759 , lit— 1 2 ; 1 782 ,
ia— 12 curantcMa t. Lister.Londres
1708 itt— 12 ; lac. M ia. lens ,17 29, iu—1 a
;in Zwingeñ opuso.Ht) p.
apberist. Bâle 1 758 itt—8° Glam,
1 748 , iu-1a 1 769 , iu—‘
1 2 ; camÛd silocis pur4 l1. M Luc l'of fice/Zloeis .
pare il. en Bamb ou. et & vieü n. camemouton et nat. prop . Paris 1 759ill— 16 ; Bt
'
pp. aphort‘
smii
ntl fidemvet. w nü tntamm ea:ü gs ti latine
w si ab T . Lefebvre de VillebmmlGamtantin0p. profi at. Paris 1 7 79ia-1 2 et ia—l°;Hipp. dpbor. et P ra
net. lib. recent. not. que cdd . E Fr.
Mur. Eosquillou. Paria, 1 7 84 , ini-12 ;
lastruli stazi. et car. Janss. ab Al
melomn quibur“
acceu il Luc. Yen
baaj . ind. lamplet. loc.parall. exfi oerô
Juan ve comment. eta. ed . cnr. AmCar. Larry . Paris 1 7 86 , ira— 16 .
Edit.latines:dans
1 483, ia 1 185, 15 00, ete . Lyon ,
1505, ia 15 15,in 15 19; ia
15 27 , in Hippoemti1 senten tia ;
commen t. Galan i in catdom Law .
Lmtrentiano interpmæ. Florence
1 494 , ù1—f01. ; aph. lat. cd .Tbeud . Ul:
sonia. Nurenberg i i i sans date
(vers 1 antiq nathumb et nm
Theod . Gaza t‘u collect. ont. Bastiat
‘
l nfin i . Ven ise , 1 493 , int—1 2 ; V)
.
n ise 150 7 , im8‘«mn R
_
husis libri:etplurt
‘
mit aim.Venise, 1497 int—fol.
cx mers. Tbeod . Gau . Lynn 1505,
in-8' cumintap. cntz‘
quâ etN ic. Leri
nieuw werdm .Ferrara, 1 509, lu—M ;
rir. Sa première éducation fut très—soignée , et il donna de très
bonneheure , par son goûtpour les lettres , la philosophie et lesmathémfl iquæ des marques de sa capacité. A quinze ans , ilper
dit, dans l’
esespace de trois jours , son père , sa mù e et sa sœnr
s ince. Il continua ses études au college , jusqu’
en 1678. A cette
époqœ ,il se rendit lens , pour y étud ier hmédecine sons lc
celeb e Georges-Wolfgang Wedel. Au bout d
’
un an, il était déj£ enétat e donner à ses camarades des leçons instructives sur la chimie. Son goûtpour cette science le conduisit, en 1680, à l
‘
Un iver
sité d‘
Erfurt, où la célébrité du chimiste Gaspard Cramer attiraitalors beaucoup de monde. Il revint l
‘
année suivante 1 léna sub ir
ses examens etprendre le titre d e docteur. Peu d e mois après il
ob tint l’
autorisation de faire des cours et ses succès furent assez
brillans pour inspirer de la jalousie auxprofesseurs qu’
il éclipsait
par ses taleus. Sa santé ébranlée par ses travaux, et les sollicita
tions de Joach1m—MartmUnversaert , son parent, conse iller de l’
ê
lecteur de Brandebourg etchancellier de la principauté daMin den,le déterminèrent à se rendre dans cette ville Iln
’
y venait que pour
peu d e temps lapratique méd icale dans laq uelle il se trouva en
gagé, les succès qu’
il y obtint, la réputation qu’il s
'
y fit l’
y retinrent
plusieurs aunées‘
. Appelé en 1687 à Halberstadt pour y être médecin pensionné du canton, il s
’
y rend it au priutemps de l’
année
suivante. Quand le roi de Prusse conçut .le projet de fonder à,
Halleune Un iversité il consulta Frédéric Hoffmann sur le choix qu
’
il
d evait faire des professeurs les plus propres à l’illustrer et à y np
peler des élèves.Hoffmann y fut désigné pour premier professeurde médecine et de physique Ce fut a sa sollicitation que l
’
autre
chaire d e médecine fut d onnée a Georg es-Ernest Stahl, autrefoisson condisciple et son ami à Iéna, et, depuis, son rival. Ce sont ces
d euxhommes qui élevèrent si haut la gloire'
d e l’
Un iversité d e
Halle . C’
est à eux également qu’
1ppartient l’honneur d 'avoir fondé
les deuxdoctrinesméd icales les plus importantes du dern ier siècle,les doctrines auxquelles il faut remonterpour trouver l
’
orig ine de
celles de notre époque . Hoffmann en particulier s’élevu à la répu
tation da plus grand praticien deson siècle il futcomblé successi
vement d e tous leshonneurs dus a son mérite , il fut comte du palais, conseiller intime et premiermédecin du roi de Prusse , Doyende l
‘Un iversité deHalle , membre de l’
Académie des curieux de la
lis scriptum brevis et M a ta rfi
ezpen‘…d ü B alle
3 696.
Fundamenta Med icina: ea:princi
più mü anieis et practicis in’
usttm
phil:atmrnmsuccincteplép‘
dsitä .Halle,°
ia—8. 3 11. met.Helle , 1703 ,
phalomm amig o Bonpourn1‘
chel d icæ.
Hella 16 95.
Prog ramme: de modomerçi-um bai l
samanrhcorpora . Halle, 1695.
P rogram a‘
de anima d e corporis
eom…i0. Halle , 1695.
D e corpon bus rilornmq 1œ principiisResp. S.Hasz‘
ti.Halle,1 695.
De cœpommmathrfi sq iÏe causts
Resp. J . N . Rüper. Hi1lle .éorporpnt
‘
M iom'
bhs ea!g ran
tate ortis Resp. J. H. Hag en.Halle16fi .
De prnd fl lti medicamentor‘
um ap
plieatione in tempore,Respi Huszri .Halle, 1695.
Hd allurg ia morbfi ra Res} . J .
Simens.Halle , 1695.
Malignitatis natura et origo in marbis acn tis Resp. J . F. du Faf .Halle
D‘
e s0n1nambldd tiene RÈsp. J . C.
Holstcter. Halle, 16 95
j b ssilium innoxia. Halle ,P rogm
‘mma de'
meèhan‘
ièd“
f äh‘
ïi
doctriæâ Hippacran°
cä .Halle;1696 .
Fragmmmà dé’ht‘eme te
‘
pida‘
Œ il
1696 5
Febris quartanæ aimRap. Alz
‘
scher‘u
Halle 1696 .
0. pad .M—mhua.
0. Gæhehe.Halle ; 16fi .
8alis v olatiIis genesis , asus et abu
sus in med ieln'd,Iiap
’
. Ô’
. f . Ê efrie’r.
Halle 1 696 .
D efl tularumnové, tut} ,ac,ppmpend iossi sanctione, _
Resp. J .N Ræper.
Halle, 1697.
1 a a a A
Resp. I .H‘. Grdez .Halle, 1697 5
‘
D e sy nouiâ ej asqm:oriÿ iræ,Re1p2Hillerus.Halle, 1 69 7 .
De hæmofih'ag iar‘nmM ars afi
g ine algue euratwne’
ei f rü âpiü ”(O‘
chymicorum perversâ expä :d iofl î
Resp._
H. Bæhma. Halle , r6ÿ 72remedio dal‘oh‘
s (la ci ‘J’
ino et simpä cis3îlrzo ä }pä Râ:ÿ .
Halle, 169 7 .
D e ined ia mag“
n0
d iæ£eü cas etprolonganda
v ita. Ê æfle, inf—8.
0'3 ,5
Petr: P otæ n op_
esa o_
r_
n_ægÆ çtlfl
et chymiea cum‘
am:otaä yn iêug .
et
d itamen tis acceu il nova daggÿga dyfi bri6us ea:.principus mechanica
‘
s so
1Ï0natura ex effei:tn remediomm.
°
Resp.
C.F. Gosûr.Halle, 1 7 32 .
D e acido ô1itriolo v ino1‘o . Resp. C.
I ojfinann.Halle, 1 7 32 .
De senectute ip111 morbo . Resp. J .
Hutter.Helle, 1 7 3 2 .
De nnioersæ med icine princi
pio in structure corporis humani mechuica reperiundo .Resp. C. Grose .
Balle,1 7 82 .
De vera mali epikptü i canssa .
Resp. C. G. B ü ttner.Helle, 1 7 32 .
Casus de pnrpum sϡ
rôutica pm:
gnesso &emorrhoidnm fluæn nimio .
Resp. C. J . Cothmius.Halle, 1 7 3 2 .
De tnssi convulsion . Resp. J .
Ritu fi.Hd lc, 1 7 32.
De vomita Resp. M . P . Rü ter.
Helle,1 7 3 2 .
De 4 601111. Resp. D . M indner.Helle,1 7 3 3 .
De singultu . Resp. R.H. Gottfried.Helle, 1 73 3 .
De gravitate aeris ej ni qne°
elastici
b te in m obinam corporis ltuman i.Resp. C. C. Hotfinannn‘. Helle, 1 7 3 3 .
De neoessan°
o sanis medico . Resp.
H. J . F… » n.Halle, 1 7 3 3 .
De morbi 11y sterici 21cm ind ole
sede orig ine etcure . Rap. F.Hof/Zmann .Helle, 1 73 3 .
Hello, 1 733 .
De spasmis g itlæ infl rion s et de
nausea . Resp. J . C. Zweigel. Halle1 7 3 3.
De inotuumconvulsioommv era se
de et indole. Resp. J . F. Boch.Halle,1 7 33 .
D . Tmll4 s de uso camphora præmissu.
Breslau,1 7 34 .
Consultationes et respansa med icinalia . fl elle, 1 7 34, ln 2 vol. Am.1æd.m, 1 7 35 ,
‘
i2 —8, 3°
vol.
Francfort, 1 7 34, 1 7 35, it:—4 , 2 vol.
Medicus po'
litiw s s . regulæ pru
dentiæ secnndumqua:medicus j uvenisse d irigere debet. Loyde, 1 7 38, ia—4Halle, 1 7 46 , ia-8. Trad. en im1içaîu
per J . J. Brakier Paris,1 751 .
AbñandInn‘
g mon den w mehm:tenKinderbranfihei æn mit des Verfassers Leben 2101:J. E . Schulze. Fraud
iort, 1 74 1, ih-8 .
D iætetica oder Unterriofit wie ei1°
1
Menseli . sein Lebenmnserviren &œnne .
Ie'
112,1 74 3, in—8 .
t andlung p on der Jung/‘em
D iæt.Wi ttenberé, 1 742 .
Fridefl ci Hofl‘manni consiliar. re
gis Bot—ass. etc.
°
etc. apero omnia
phy s1cœmed1ca Jenna revisa , corre
°
c
ta eta1æta,in ses?tômos 1ü
°
stributa.
Quibus continentnr d ecù i næ solidis
princifi is phy sico-M chànicis et ana
tomicie atque etiamobsmationibus
clinico-prùctieis supef struc°
tæ methodofacili ac demonstrativa d ed q i:tæetper experientiarit 57 annomm
°
sta
biIitæ . Cam v ita auctoriä etc. Ge
nève, 1 740, in-fol , 6 vol ibid ., 1 7 48,
ia-foL, 6 vol. Sapphmentmn in dnas
portes d istributumquibns con tinenturopera varia q ua: in magna op
°
emni
co”ccti0ne de1idemntar. (Ed . E A .
M ., 1 751, îu—f0l. Sap
plement°
um secundum in tres portes
d istributmn . Genève, 1 753, ia-f0L
(8chtü m— Adelung)
228 ROM
HOME(81: chim g ieudhtingné,etl’undeematomistsslesplus laborieux d e la Grande
— Bretagne, était fils d’
un
.
chirurgiend
’Éd imhou°
rg . Il était né vers 1 763 . Il fit sa première apparition
dans le monde littéraire en gagnant le prixfondé par G . Fordyœ
et J . Hunter, par un Mémoire sur les pmpriétés ou‘
les caractères
d u pus . i l fut d‘
abord médoc…militaire . Associé e nsu ite ‘aux tra
°
vaux de son beau — frère l’
illustre! J . Hunter, il s‘éleva rapid ementà des places importantes . Il comptaparmi ses titres ceux d e pre
mier chirurgien du ro i , etmédecin extraord inaire depuis 1830 ;
professeurhonoraire ddcollège des chirurg iens , et plus tard préaident premier chirurgien d e l
’hôpitalSaint-Ge0rge et d e l’hôtel
d es Invalides d e Chelsea,membre du Lycéeméd icalet de la com'
mission d ‘
examens près le collège d e chirurg ie et l‘
Ecole vétéri
n uire ;memb re de la Société royale de Londres et d’
un grand nom.
bre d‘
autres .
°
En 18 13 Everard Home avait été créé b aro°
net par
le prince régent, depu i s George IV. Il estmort le 3 1°
août 1832 ,
dans l‘hôtel d es Invalid es d e Chelsea ,
où il avait son domicilecomme chimrgie
‘
n . Ses œ gherches d‘
anatomie fine et de physiologie humaine et comparée, se font plus remarquer par leurmultitude que par leur riwarcuse précision . Ses ouvrages de chirurgieren ferment un grand nombre d ‘
ob servations mais ne se d istin
guent pas par la sévérité de la compotition . Les plus remarquablesd e ces ouvrages sont ceux sur le rétrécissement d e l’urèt
°
re et de
l‘
œsophage , sur les malad ies de la prostate et ses leçons d‘
ana
tomie comparée .
'
A di:sertation on the proprieties of pe1f orming thehig i1 operation j or1hepas, whichga ined the prizemedalg t
°
stone . Londres 182 1 1 822 in 8. 3
«en by the Ly ceumLon d ineme for 11111y ear 1 788 ,and wa: ordered to beprin —Pmcä calobservations on tred flnent
tod [01 the 11111 of the Society . Londres, of ulcers on the leg s considered as a17 88, in
-4. branchof military surg ery . Londres,P ractical observations on the treat 1 797 , ñu—8, 295 ppment of stricture in the 11rethra . Lon Lectures on comparative anatomyti res 1 795 in-8 ; éd it. 2 enlarged , in whichare cx) lained the p mconta in ing also observations on tient in theHunterian collection . Lou.
shi e1ures in the œsophagm. Londres , dms, vol. 2, 18 14 ; vol. 3, 4 , 1 822.1 797 , 180 3 in 8, 2 vol. 3° éd it. in 4 .
Lond res 1805 ,ia-8. N ew edit. 10 Oôsmmtion: au cancer connected
whichare added gou(y attack: of the 19 115 I nstan ce of 1i1e disease; . Londres,nrc1bm and ‘
otherpart: cu1ed brmi. 1805 , ia-8.
num cold u‘
ci and anewmethod of Practicalohen atim on 111…
112
uçlaù‘
äm to 11M ar. rièd inen the subj ect cf a child witha
doublehead . Philos.. transact., 1 7991
4 0 account qf the dissection of aWM hflOdiæ day . to whichare pmM same observations 011 hermaphrod iæs ingeneral. Phtlos . transact.
t» “Ki ll , p. 155. A bridg ., tomeXYIH.&une obsemazious on the structure
{ the teethof n inivœ ous quadru
pamæarä àü mty those —of the elephantand sus æthiopieus. P in/os. tmnsact.,
’Abnidg .
,L XVIII, p. 483 .
The Crooman lecture on the strucm and use:of themembrana tympa
ui hf the car read Novemb. 7 . 1 799.
lhilcs. tmnsabt. 1 800 ,tom. LXL, P.
l“. p. Ï —2 1 . A bfi dg .,taXVI"
p. 56 6 .
fi rme ad ditional reuu nk , on thea] hcaring
°
in cases when: the
kmy ed Phi/os. tmamet t .LI L, png”
159—60 . A bridg . , rol. XVIII,p. 6 30 .
Some observations on the head ofthe Œ 1ithoä yn chus paradoxus; rendJul? 3 , 5800 . Philos . transaœ 1800,
lhart. 18, p. 4 32 vol.
XVIII, p. 7 46 .
The °
crovnian lecture on the irritaI .ä 1y of nerve: read november 20
\1 806 . Philou. t
‘
ransact . , 180 1 P . Il
art. 1 , p. 1-2 2 , pl. 1 . A bridg . 1 80 1,
1. 1Tn dm'
t en fihnçais dans Corvi“rt, Leroux et Buyer, Journal de
fl ùhchte , 1809, août, p. 1 16
Observations o n the Structure , and
ù“e g rowth, of the g rind ingg ethof the wild boar ami animalincog nitmn ;read May 7 , 180 1 Phil0s .
mw a . P . I I , art. 1 4 , p. 3 19-3 2
pl.
Philos . Transact. 18102 ) P . 1 , art 2 1
p, 1 -1 1 . Abridg , 1 802 , p. 6 7 .
A description of the anatomy
deM nb. 17 1801 . Philou Tra in.
1802, art. 4 , p. 6 7—84 , pl;
D escription of the Ünatomy ofi t&”
@muhorhru h111 11”mx read June 3,
180 2 . Philœ. Transact. P . II, 11111
p. 34 8 PL 10 2 13 .
Observa tions on the structure of d etongn e illustrated by cases i nwi nd
a portion of that oqgan has;bee n re:
moved by lig ature rea d . Febt'1 3
1803 . Philo s. f r0nsact. 1 80 3 un. 71
p. 205- 131
Rernarhs q f the stw eturcq l‘the mü
fices found in certain poisànm smfrs sataa ted betw een the mstmlamithe on , and the d etori
,dtion ‘
of bn'
ÿconnected withthe Q‘
e met within1111:snakes . Phil03. trans. “
1804 ; P. I ;
art. 6 , p.,13— 76 .
D_
esofipti«w of thÔ s iruct°
nrÊ of tflb
parts of the Cai ro de C‘pellb ,ur h0&
hed sacheof the East Ind ics,whichpt »
f ormthe expansion lÿ°
the shi): of thene .chPhib s. Transa t; I I ,
‘
11111 t‘!
p. 3 4 6 52 .
A n account of a small 1064 8] thehuman prostate gland , Whichhù t not
before been mt.» mn.:of antes
trü sts ; read Febr. 2 0 1806 . Ph1Üt.Transact. Pi 8 , p. g g] .
204 , pl.
Observations on the —shalt of be“
Warm,f ound 011 tlt6‘c1ü st qf 8M aW ;
pew ing ittobeïèn3°
v 13 a specier«y Y'e
redo; withan aqooud tof -the
232
uamact., 18 1 2, P . 1, art. 3 ,p.—83
891 P"
Observation intented to show thatthe progressive motion of snahes in
partirperformed by means of the ribs;j eb. 2 7 , 18 1 2 . Phd os. transact. , 18 1 2 ,
art. 9, p. 16 3-68, pl.
On the difl'
e1ent str ucture and si
tuations of the solvent glands in thethg estive org e ns of birds, according
to the nature of the irf ood and parti
cularmodes of lile j un . 1 8 t22Phtlos.transact., 18 1 2 , P . Il, art. 20,p. 394
—Î 1 pl
A description of the solvent g lands
and g izzards of the A rd ea a rgala , theCamarms emu and the long -leg g edCawwwy , from N ew—SouthWales
decemb. 1 7 , 18 12 . Ph1los. tra1m.ct.
1 8 1 3. P . I, 1111. 9 p. 7 7-8 1 , pl.
Experimen t: to ascertain the coa
gula°
nng power of the secretion of the°
gastric g lands . Commun icated by thesocie [or promoting the hnowledgeof an imal chemistry ; j an . 2 1
Philos. transact., art. 1 2, p. 96-100.
On the 111—hs of the Narwhalej ebr. 18 , Philos. transact.
,art.
18, p. 1 26-30, pl
011 the j b rthati0n of fat in the intestines of ltving animals march1 8
1 81 3 . Philos . transact., 1 8 1 3 , P . Il
art._
2 1,p. 146 -58.
Additions_to an account of the ana.
t0my of the Squalusmaximus contai
ned in a formerpaper withobservations on the structure of the brhnchia iartery fun . 24, 18 1 3 . Philos. transact. , art. 2 7 , p. 22 7
-4 1, pl.
Observa tions on the fi1nctionr ofthe bra in may 26 . Philos. transact
1 8 14, P. Il art. 1 3, p. 409-86 . Trad .
en frança’ad ans C0 °V î121 1 Leroux et
Boyer, Journal d e Médecine, tomeXXI II, 18 15, mars, p. 2479 7 2.
HOMSome account of the [mil
of an animal mon nearly allied to
f ohet than any of the other classes ofanimals j un, 23 , 18 14 . Philos. transact. , art. 2 8, p. 57 1—
7 7 , pl.
On the infl uence of the nervet uponthe actmn a] the arter1es ; j un » 3o1 8 14 . Phdos. transact., art.
p. 583 86 .
30.
On the structure of the organs o]respiration in annue ls wichappear tohold an intermediate place betweenthose of the class pisces and the class21ermes and in two g1mera of the lastmen tioned class Jun 1 1 8 15. Philos.Transact. 18 15,P . 16 ,p. 256
6 4 , pl.
On the m3de of generation of theLaMpra7 a nd e ine . Jun . 15 18 15.
Philos. Transact. art. 1 7 ,p. 265—69.p1.
Some accoun t of thefi et of thosean imals wha..e progressive motion can
be carried on in opposition to g ra
vigy . Febr. 2 2 1 8 16 .Ph1los. Transact.18 16 P . I , 111. 9 , p. 1 49
-55, pl.
Experiment: and observations to\_
prove that the beneficial eff ects ofmany med icmes are produced tmughthe med iumof the circulating blood
more partccula1ly that of the Colchicumautumntzle upon the gout. Communicated by the soeieÿ for improvingan imal chemistry . March2 1 1 8 16 .
Phü os . Transact. 18 16 , P. Il, art. 12,
p. 257-6 1.
A n append ix on the eff ects of themlchwum autumnaie on g out ; read
apr. 2 5 1 8 16 . Philos. Transact.m.
1 3, p. 1162 -64 .
On thêf ormation of fat in the 111
testme of the Tadpole had on the use
of the re/hin the formation of the embrro in the egg . Read may 2 3 1 8 16 .
Philos. Transact. crt. 20 , p. 30 1-10.
Some further account of the fu sil
Z’he _Czàaniankc{urç. 91mthe 1‘nten
nal structure the humain brain ,
when exan uned in the microscope ,as compared withthat pf fi sheç , tusçcts and worms. Nog ein_h20 1823
1,p. 1— 10, pl.
facts respectuvg thediscovered the exa
mutation of spectmeus brought to .Èn
g land by the diff erent ship lately re
turng!f romthepolar
£çradrested ço 1irDan .M11ch’
1824
{ kilos. 1mm‘
act. P H. au . 1 p. 2 351»
I‘!4 n account of the orguns of g me
ra tiou of the &lca iç an P roteus cal/ed
by th_
e na tive} 4 xolotl. Jun . 1 7 1 828.
Philos. transact. P . Îl, ait. 2 2 ,p. 4 19,
23 , pl.
!Vze €rbonian le…@n d emis15M J «hp: 111 18e No
—
gçm‘
b:18, 1824.,P_
hi(os transact. 1825,,P.
—89 pl.
Obsewatiqns on the chang es theovurhof thef rov imdergoct dming theforma tion of the ta tpolc. N0ve1nb . 2 5,
( 828.
gtt.,3. 81 86, pl.
011 the 1 3fl11enœ of nerves and gy n
f iions_ producing animalheat. P resen tedhf the soc.f or the improvement“J aime!Chemïs(rx.Mç tqh1 . 182 5.
€lülç{, transact. I’. 1 2 , p. 255
Mia oscopicai observations qu thegalerials qf du610111, M d a{ t_lge ova
animals , to show the ami.,gy W ;
fi l“; .be
_twœn them, 11114 4 4 : the ‘a
_1iç tj f ar promoti_1_1g animal chemistty .
,‘g ç . 12 , 1825 fimd at the fiqr. çoc.
Jui} . 3. 1825. Philos. tmusact. au . 19,
p. 638VÂ9 . pl.
04 the m utation of the fl uid
blood w mëw l 111:
Account of M. ( O!“m :
(had of perf orming the opera ii“…the cure a] ,
the pôplitml 1111m in
7, p. 39 1, 1101. 8 , p. 126,Sony observations ou the loose gar
tiiag es found in j oints and most gammonlr mot within the j oints té;hace , in Transact of . a toc. [or theimprov.. q{ med . and chir. Knowledge
y . 10
1 793, p. 129.
Some observations on 11lars. Tra n.
soc. etc. 11. 3 30 .
Cases and observation} 011«mmZated hern ia . Trans. of soc. ete . “l
'
.
2 1800, p 99.
A u accoun t of an eg t_motd£hùty ttt)n our found in one of d e aæä larynerves . Trans. of sd e etc. p. 1 52 .
Account of a person who 111111 sh'acthroughthe lua and s11N l>èd 3\
y eah withân accoun t of the‘
ape.
r,ence of the thorax oû d iese
Tran; qf sac. etc. p, 169.
Erpc:imeuts and ob serva tions 99the g rowthof boues . Trans . a] soc. etc.
p. 2 7 7 .
A case of pœg naagr, in whichtheW umhad became du:a1:d u nd 111111entirely fi lled up withsmall ly dætids . Ttaus. q{s,oc. etc. 11. 3110.
bladder «have the,pub is, au t
;hç 1,1 c1yœ, illustrated Qy cases. fl qm.
et106 etc p
T1110 cases of s1w umt;on . aj thebrain in consequence of ew ( ual in
f“Û" Withpèservatians . Trans. of Î.qç .
vol 3, 181 2 , p. 94.
Gasei and observatiw1s wh1ch:hewthat inflammation is zomet es commun ieated from the dura mater to
the pericmnium. Tram. qf soc. etc.a“
.
1 22-57 .
Cal e of iufl m atiw and 1wd l&q
BOf
hme d es Füllens auf d ie Mü chabton268-7 4 . detung der E seliun hat aus Hunœr'3Extrait des observations anatomi nachlass. art. 16 p. 129
—80.
ques sur l‘écb idne ( Bulletin philoma
tiq ue) dansLametherie journaldePl1yaiqu
‘
e , t. 14 ,2n, 1 1 p 2 32-34
8nr une nouvelle théorie de la fémndatwn. Joum. de phy s. t. 42
1 8 1 7 .p 7 3-7 4 .
Sur un phénomène de la v ision
J nnal. de chim. et de phy siq . t. 1
1 8 16 avril p, 4 43-44 .
Ueber d ic_
W1‘
rhnng eines J nfalbv on Lähmung auf d ie Fähigheit derJ ug eu nahe Gegenstande zu sehen.
i 1 Hechel Deutsch.A rchiv.fu‘
rPhy aiol.p. 1 25.
b'
eherc‘
en E influss d en d ie Wegna
Lettre à M. le pro fesseur Riche;u nd ; extrait dans le nauv . Joum. de
m_
ed . t. 3 18 18 octobre , p. 182-84 .
Ueber ein enmerhwüM ig.rn Gallen:tein , C en on und Julius Magd a.
‘
de’
r
ausi. Hcilh. t. I , 182 1 janvier et févriet
,art. 8 , p. 1 30 —83 .
Recherches sur la d isposition or
gan ique en vertu de laquelle 1’
0pÈro
l‘alougement et la contraction de la
libre musculaire ; extrait dans Journ .
des n r. des se.med . deux ième série,t. 1 1 830 , p. 97
-99, fig.
(Rena — Rob.Wath Callisen.)
HOIN Jnsn-Jscq uxs— Loms ) chirurgi en gradué à D ij on , chirurgien externe d u grand h0pital , membre d e l
‘Acad émie de la
même ville associé de l’
Académie royale de chirurg ie n é à D ijon ,
le 10 avril 1 7 22 mort vers 1 7 7 2 . Il est surtout connu pour ses
excellentes recherches sur leshern iesdu vagin et du périnée, pour
ses observations surlacataracte rayonnée et la cataracte sœ ondaiæ ,
etpour ses remarques sur l‘
opération de la taille chez les femmes.
_
D iscours surl'
utilitédespassionspar
rapport à la santé avec un éloge hislorigne d e M. P etit , médecin et l
‘
art
cataracte , dans le ”m rc de
décembre 1 76 4
Me'
moir'
e sur la v italité des enfans.d e conserver la santé red uit un seul Londres et Paris , 1 765, in—8 .
Pr1ncipe . Paris , 1 7 52 , ia-8 .
Lettres concernant quelques obser
vations sur d iverses espèces de ca ta
ractes , dans le Mercure de France ,
1 7 59 août. Sur la cataracte rad iée
Seconde lettre à M. Da viel, sur la
cata acte radiée la conve.riæ'
du
cha_
ton du cry stalä ü après l'
extmc
tion de celui ci et une ca taracte fl në
Crée. Mercure d e France , 1 760 mars.
Nouvelle d escription d e l'herma
phmd ite B rauart , 1 76 1 in
Essa i historique sur les ‘diflémntesopinions , concernant la nature de la
E ssa i sur de.hernies rares et peu
connues, etc. intére‘
dans la nouvelle
méthode de trauer les hern ies dd Leôlanc.
Mémaire dans leqœ l on examinbsi un curé estmort de mauvais tra inmens et surtout d
'une mutilation au.
‘c
parties naturelles. Dijon t 7 7 r, i11-4 .
Les mémoires de l‘académie royale
d e chirurg ie et ceux d e l‘
académie de
D 1j00 renferment un assez grand
nombre d ‘articles de Bain non: in
d iquerons les auivans
Sur une espèce de cataracte m
[fi n es diMrantee , mhe‘…‘
elles
ne propagent par infection et qui n e
nouvelle ou‘
qui tdi soitpartl‘
cifitiæ.
mmæk…ææueber d ie Naâi>mettent pas à l
'
abri d‘
une nouvelle und Behaudlæ:ng der v ersoñ iedênûcontagi on. Ou litavecplaisirl
'histo it‘éannexée à ce li vre , d
'
une lièvre mn
queuae qui régna épidémirjuèmtæut àStuttga1ttet dans les en v irons.
Beobachtungm und Unterstækutt
,en urôer d ie P ockenhd nâlæit. Stuttp et , 1 799, iu—8 . Philippen
‘
o Hopiengærtner publia une
description d e la peti te vérole tnail
fl rten der Gel:irnwassersucht. —Stutt\
gart 18 01 , in — 8.
E in ige—Beûtcrfinngen Dä er là èqi
siers traité e'
lémeutaire als ein es‘
de3ersten Bü cher ü ber dai anti —pnlogä .
lisenen Sy stem in Gren JournalJe‘
i*
Pfiy sM, 1 7 92 .
Bey traàe zur anatamiscnenchic/tte ein iger Kmukheiten ,
‘
tn É'{f“gae , d it Spengel, qui ravages Stutt nude,p rt : ild iscute fort au lon g plusieurs 1 795 _
a
poin t: de la théorie de ed ite affection,
sans émettre cependant aucune idée
BORNE ( D r. docteur en médecine,
médecin d e l’hopital royal etmilitaire de Metz putsmedeemdes
d ivers remèdes antisyphilitiques prônés par des chaflatans, commeles pastilles de Kayser et le sirop de Bellet. DeHome s'
imposa engëore une tâche non mo in s honorable q
'
û’
ut de quand ilentreprit dgict i c journal d e médecine militaire, et de mettre à. profit ppt} ;
l‘avant.
Examen d es principales méthodesd
‘admin istrer le uiercure pour la g ué.
rison des malad ies v ênériæmes . Paris,l7 7o, i ii-8 . Nouvelle éd ition sous
ce titre Exposition rmsanue'
e des d ifférentes mamervs d
'
admin istrer le
mercure danslesmalad ies i ténériermœ ,
précéd ée d e l'
examenParis 1 7 7 4 i ll-8. Ou\ü
°
3 ge estiméest…-able. On attribue a d e Home
,
là‘
d issertation suivante , publiée sous
d’
un ami , pour prendre la
rogrè‘
s de l‘
art, une foule d’
observations qu i se perdaieutaupy
4, u . Bam. c.ui vécut de…
Bah. was.M si en » .
cèdent,relatifsu siropde Reflet:Dis
sertation sur la nature de l’
espritn itre d ulcifie
'
relativmeut à la d_
t&tflçlution du mercure, pour see de sugplémm
‘
al’
e.rameu despriudpd fl me'
v
!_fi0dcs d'
admmifl rer le mercure Mles maladies v énéü ennes , imprimé.chez Dtdot en 17 79. et, la Rs;nms
çu.z reflexions d'
un anonyme contrecet ouvrage , insérée dans la.nouvelle
at.2
vul1ibilitJ;présentéà l‘
académieroyaledes sciences de Bordeaux.
HOUdans les parties d estituéa de misseauæ propres à les recevoir? Autre
Mémoire II Exposé des expén'
en ment, quelle et; la nature de laf orce
ces de M. Tandon célèbre anato
miste , sur les parties sensibles du
qui l'
introduit dans les parties, telles
que l'
épiderme , les poils , les cornes
corps animal suivi de Réflexions sur“etc.,pour servir à leur nutrition ,f orœ
l'
incertitude de leurs résultats ; la le
15 décembre 1 755 , dans une des
séances de la Sociétéroyale des scien
ces de Montpellier.
Mémoire III R{fatation du système110M le Cet, secrétaire perpétuel de
l’académie de Rouen sur quelqu
es
parties insensibles de l'homme et des
animaux. Présenté à 1’
uœ démie royale
des sciences de Dijon .
Mémoire 1V . Existence du fl uide
nerveux et son irfi uenœ dans l’
œuvre
d e la d igestion . Adressé à M. Roussel
d e Vsuzesmes , docteur régent de la
faculté de Pu is.
Mémoire V'
: Exùtenœ , cause et
effets du mouvement alternatif du
cerveau et de la dure—mère , analog ueà celui de la respiration. Présenté à
l‘
académie royale des sciences de
Paris.
Mémoire VI :Théorie de l’épilepsie.Mémoire VII : Contenant d es ob
m ations pratiq ues sur l'
imensibilit£
de qud quos parties la couvuIsibiüté
et l'
irritabil1‘
té.
Mémoire VIII Sur cette question
quel est le mouvement des humeursau-delà des maisseau3 9 c
'
est—à -d ire
qui para1t avoir d e l‘
analog ie avec
péd ale deSt—PéÈersbourg .
Mémoire IX:Observations historiques sur quelques écarts ou j ean: d enature pour servir à l
‘histoire natu
relle de fhan1me.Mémoire X: Glande découvefi c
dans l‘
oreille interne.
Bondag e symétrique — ou corset‘
bern ier. Journal de Méd ecine chir.
pharm. etc. 1 758, ti VIII.
Letac l'
auteur du Journal. Jour.
de Méd . chir. phar. etc.
‘
1 7 58 VI II .
Observation surun efi èvre continu:
périod ique , produite par une f ausse
pléthore . Journalméd . chir. pl1ar. ,etc. 1 76 7 , t. XXVI.
Mémoire sur un ictère particulier,
occasionnépar la suppression du fluxhémorroïdal. Jour.méd . chir.phar.etc.
1 765, t. XX_III.
Histoire d es fièvm cÆare cs-pu
trid es qui ont régné a‘
A u:èm , de
puis l’
annec 1 756 j usqu‘en 1 759.
Journalmed , ch1r. phar. fi c. 1 766,t. XXIV.
HOULLŒ R ( Jacques ) était d’Étampes, dans laBauee ; il vint à
Paris , y fit ses étudesméd icales, et y recut le bonnet d e d octeur le
7 novembre 1536. En 1538,ilaccepta la place de pro fesseur à la
Faculté qui lui fut offerte d e laman ière la plus propre à rendrehommage à ses talens d istingués. Ce futle doyen qui le supplie d
’
ac
cepter ce titrehonorable . En 1546 ,il fut nommé d oyen de la Fa
culté demédecin e. A la seconde aimée de son décanat , le royaumeétant déÏà fatiguépar de longues guerres , alarmé de nouveau par
9411
Girtanner fait l«'
éloge decette dis.
sertation .
Observations on themethod of cu
ring" thehy drocele , by means of a se
ton. Lon dres, 1 783, in-8.
— Howard ,fidèle aux doctrines de son maîtreregard e la
'
méthode du traitement par
le séton comme fort supérieure à celle
par le caustique. Ayant eu l'avantage
de suivre Pott pendant nombre d’an
nées dans les hôpitaux et dans la
pratique de la ville .,la quantité de
malades qu‘il a vus lui procuré la
facilité d'
observer les progrès de la
guérison , selon les différens d egrés
(l‘
inflammation ,et l
’
ont convaincu
que , pour opérer une cure prompteetheureuse l
‘
inflammation doit êtrede peu d e durée et très—modérée. Il
estmême persuadé qu ’
enaugmentantou en diminuan t le nombre“des brins
HUB
portionùé à laplus oumoins grandeirri tab ili té dumalade.P ractical observations on the natu
ralhistory and cure of themenereald1seasc. Londres, 1 785, tom. 1 et Il;1 794 , tom. Ill, ibid . , 1 797 1
ia—8, 3 vol. A ”
Supplement topractical obæçvatiä u on the naturalhistory and care of lues v enema. Lou
. dres, 1 801, in-8 ; 1806, ia—8, 2 vol.
Howard donnait son ouvrage en
17 8 7 comme le ”
résultat d 'une expé
rience d e vingt années. i l regard a la
gonorrhée et la syphilis comme deuxmaladies tout—é fait d istinctes,
dont la première ne sauraitjamais dégénéreren la seconde .
of the Middlesexhospital f or the re
lief of persons aff ected withcancerwithnotes and observations. Lon dres,
d uséton , on peuttd lement enménager! 1 792 , in -8 .
l'
cfl'
et qu‘
il excite nou—seulement teldegré d
'
inflammation qu‘on désire
mais qu’ilestencoreparfaitementpro
P rad 1cal observations on cancer.
Londres, 18 1 1 , ia— 8. Ouvrage pos
theme .
HUBEB. (Jaan— J1cq uss ) , anatomistehab ile, etl’un des disciplesles plus d istingués d e Hallèr, naquit à Bâle , le 1 1 septembre 1 707 .
Il commen çases études dans sa v ille natale .puis il les continua à
Bern e , sous Haller , et à Strabourg . Il fut reçu docteur en mèdeciné à Bâle, en 1 7 33, et, l
’
année suivante membre d u collège des
médecin s d e cette v ille . En 1 735 il fit un voyage à Paris il fut
nommé lamême année premiermédecin du d uc d e Bad e B omlach.Qua
'
ndHaller sefut fixé dans l’Un iversité de Gottinguc, il fitnommerHub er son prosecteur, etplus tard professeur extraord inaire
d’
anatomie après que celui— ci eut fait un voyage b otan iqmi en
Suisse , dontHallermit à profit les résultats dans sonhistoire d espla
_
næs d e ce pays. En Huber fut nommé professeur d’
ana
tomie et de chirurgie au Gymnase de Cassel, et , en premiermédecin du grand duc d e Hesse . Ilmourut dans ces emplois le
'6
juillet 1 7 7 8. Il étaitmembre d e la société royale de Londres et de
l‘
Académie des curieux' de la nature.
246 1
Nov. Act.'
Aead . Natur.
tom. Ill, p. 53 3.
Epistola ad Cromwell M01fimen 1md . d . Citss. 3 1 j an. 1 7 4 7 d e cada
vere aperto, in qua non ex3titit 'vesiea
f èllea et d e “emo g ibboso in Philosophical transact., vol. XLVI, n
°
4 92 , p. 92 .
Observa tion es anatomicæ ad mus
culorum historiamfacien tes in A ctisHelvet. phy s. anatom. bot. med .,
vol.
I II, p. 249, fig. Observationes ali
q uot (XII) de areas aortæ ramis , de
Curios.,
HUL 11
ma aria deque v iciaishis quibusdamartertts aliis. ibid .
, vol. VIII, p, 6 8
1 00 .
Zwey Brie/e v. Huber au Haller1 7 32 11. 1 7 34 ; in Epistohs ad Hallerumscriptis latin . Berne, 1 7 7 3 in -8
vol I p. 1 24 .
Vom* Aderlassen dans la Ca:æl
P olie . Gelehrten u, . Commercial—Z e itung 1 7 51 St. 12 1 . Versuchang estellt zwischen der Sprache derJl[ensehen und deren der Thiere.Ibid ., St. 5 1 u. 52 .
'
arterid th_y t
‘oide
°
quintd s . supernu (Adelung. Meusel, Lexihon.)
HULME (NATANI EL médecin érud it, et praticien”
renommépour le traitement d es malad ies des femmes et d es enfeus
, né à
Holme -Torp, dans le Yorkshire, le 7 juin 1 732 , était leplus jeuned e onze en fans . Son frère, JosephHulme , médecin d istingué deHalifax, lu i d onna les premiers principes d e lamédecin e. Il suivit
en sui te les leçon s d e l’hôpital de Guy , à Londres, et fut employé,
en 1 7 55 , comme médecin de vaisseau . D ix ans après , il prit àÉd imbourg le grade d e docteur. Il s
’
établit alors à Lon dres où il
acquit, par la pratique et par la pub lication'
d’
ouvrages remafi
quables , une grande réputation . En il fut nommé médecinord inaire de la ma1son d ’
accouch€mens , place qu’il occupa jus
q u’
en 1 794, qu’
il d onna sa démission . Ilmit à profit le champd
’
ob servations que lui ouv rait cet établissement et on lui d ut l’
un
d es premiers et d es meilleurs ouvrages sur la fièvre puerp_érale. Il
fut choisi pour être médecin du d ispensaire établi à Londres en1 7 70 , agrégé au collège royal d es méd ecinsd e Londres en
Sa réputation s’
étend it sur le con tinent 101%q u’
il gag—a une 1116
daille d’
or d e la Société royale d e médecine , pour son Mémoiresur l
’
endurcisœment d u tissu cellulaire des nouveau- nés. La c iété
royale de Lond res l’
admit dans son sein en 1 794 et celle d es au
tiquaires de la même v ille,l’
année suivante . En 1807 le 2 1 fé
vrier, Hulme fit une chu te d ’
une hauteur considérable. Il n’
en
éprouva n i d ouleurs vives, n i accidens notables ;mais ilmourut le28 mars suivant.
proposalf orpreventing the seurvy in sed and confirmed by experience. Lon
the Britishnavy . Londres, 1 76 8, ia-8. .dres, 1 7 72 in-8 1 41 p. Descri
A saf e and easy remedy pr0pqu d ption soignée de 11 malad ie. Ulme ré;
f or the relief of the stone and g ravel fate l’
opin ion de ceux qui font oua
scurgy gout etc an d f or“
the des sister sa nature en une métastase dutraction of worms in the human body lait:elle consiste çssentiellement se
illustrated by cases together with 1011 lui , en une inflammation des inan extemporaneouf method «y im testing et de l
’
épîploon ,
pregnating water and other liquid: Mémoire 'sur Pendurs issement du
withfixed air by simple mixture tissu cellulaire d es nouveau-a dans
only without the assistance of any les Mémoires de la Société ray . dc"
appara tus or complicated machine. Méd . , 1 7 87-88, tom. IX, p.’
1 10 .
Londres, 1 7 7 8, ia— 4 . Experiments and observations on
0ratio d e re med ian cog nosoendet the light whichis spon tanebut{; nuit
etpromovenda cui accessit rv ia tata ted , withsome deg ree of permanencesctj ucunda calculnm
\solvend i in v esica f rom various bodies. Philosophical
urin arz‘
a inhærentem, abhi storia cal transactions, 1 800, p. 16 1 et 1 801
culasi homin is confirmata . ln -4 . p. 403 .
A treatise on the puerpemlfever A ccount of a brichbrought from,
wherein the Nature and cause of the site of ancient Babylon. Archeol.that d isease sa fatal to lring in Soc.
|X17 , p. 55,
Women are represen ted in a new (Med . chir. Z eitung.point of view, illustra ted by d issections Rob .Watt.)and a rationalmethod of durepropo
HUNCZOWSK I (J célébréchirurgien ,'tmquit à Crech,
l
près de Prossn itz , dan s laMoravi e , le 15 mai 1 7 52 . Il fit seshumanités et sa philosophie à O lmutz , puis il commença ses études
chirurg icales sous son père , qui était barb ier— chirprgien . En 1 77 1 ,il se ren d it à Vienne ; pauvre il y trouva d euxprotectrices dans
la princesse Taroca et la comtesse Burghausen . La“
prem1ere luifourn it, d
’
après le conseil de Bramb illa lesmoyens d’
aller se for
mer aux leç ons d e Moscati , à Milan . 11y passa deux années au
bout d esquelles la mort de la princesse l’
obligea à reven ir à
Vienne. Il suivit , dans l’
école chirurgien—
pratique de l’hôpit os
pagnol les lecon s‘
d e Stcidele et en su ite celles d e Bramb illa. A la
recdmmandat1on d e ce dern ier , l’
empereur JosephIl fourn it àHunczovvski les moyens de voyager. Il vint d
’
abord à Paris , où il
passa d eux années. Il trouva dan s Lôu is , à qui il avait été recommandé non seulement un maitre mais un ami . Il passa ensuite àLondres
, où il séjourna treize mois. Il visita les principauxhôpiætaux d e lamarine
, et revint en France en 1 780. Il s’
arrête plus ou
moms de temps à Rouen , Brest Lorient, La Rochelle Roche
3 48 HUNfort, Bordeaux Toulouse Montpellier Marseille Toulon et
Lyon . Il revit l’Italie et rentra à Vienne où il fut nommé pmfœ
seur dans l‘
école méd ico—chirurgicale instituée par Bramb illadans l
‘hôpitalmilitaire . Il y enseigna l’
anatomie et la physiologie ,lapathologie générale et la thérapeutique les élémens d e chirurg ie les opérations et la clinique chirurgicales.
—Après l’
ngrandisse
ment de cette école en 1784 l’
enseignement dont ilresta chargécomprit les opérations d e chirurgie , l
’
art d es accouchemens la
sémantique légale et la police méd icale En 1791 il accompagnaLéopold dans un voyage en Italie , et fut nommé ‘
à son retour pre
mier chirurgien d e l'empereur.Hunczowski fit
_
servirlafaveur dontiljouit à la cour à l
‘
établissement d ‘institutions utiles pour l’
art. Il
mourut le avril 1798. Le professeur J. A . Schmidtprononça sonéloge , dans lequel il est dépeint comme un homme accompli sousles rapports de l
’
esprit et du cœur. On trouve un abrégé de cet
éloge dans la Gazette med . chir. de Salzbourg et dans la Ga
zette méd icale nationale d‘
Allemagne où nous avons puisé la
notice qu’
on vient de lire.
Hunœ owski a publié les ouvrages suivans
E'
e un3 der chirurgisehen Feldchimrguu mit AnmerhungenwLehrsætze des Hippohrates v on Bern sehen . Vienne, 790 , ia
—8.
hard Gmga . Ans de»: Italienischen Il”
public avec Schmidt :B ibü othehü bersetzt. Vienne, 7 7 7 in
-8 . der neua tenmed ü in iseh—chimrg isclæn
Med ieü iseh-chirmgü d e Beobaeh Litteratur. aten Bandes x-4æs
acaena auf seinen Reisen durchEn Stitch. Vienne, x'
790-1 79x 3ten
gland und Frankreichbesonders ü ber Bandes rstes Stück. ; 79 ia—8.
d ie Spitaler. Vienne, 783, in—8. B ibä othehf ür 0Estreichische Feld
Anweisung zu chirurg ischen Ope
rationen zu seinen Vorlemng mbes Abhandlung ü ber den Nutzer: des
titut. Vienne , 1 785. ate «serbes
certe und mermehfi e A ifi age. Vienne,
1 78 7 . 3te v ermehrte AuflagmVienne, 3 794, in
—8.
Ueber die neuere Geschichte derChir urg ie in den K K Stanton eine
Rede. Vienne, 1 787 , itt—4 .
Reg iments—ehùurgen aus demEnglischen fi er ü bersetzt und worzüglichafin: Gehmucho d er 8steneiehisscheu
A bsuds der grünen Wd Inusæhaalcnbey Gesehwün n, etdans Abhandlun
Ahad . B . I .
Il avait été dans le temps un Collaborateur du Wiener Red u itung et
plus tard il avait travailléhl’
A üg em.
(N ed . chir. Zeitung . Med . Na
tional—Zoiæ:g . MOM .)
…fl… G un n-Fsùflua), médecin fort 6mdit,
250
Q tnutritive lime. Hunær‘s Georg i for a seriesaf f ears on the same land.
On carrotf orthe use of the d istiller.Hunter’s
_
Georgical essay s. Vol. 5, p.
26 1 .
John Evely n Silva on d iscourse of
fan s: trees and the propagation oftimber, withnotes. 1 7 76, in —4 . Edit. 2
vol. 1 . 2 , 1 786 .
J . E velyn terra, aphilosophicaldiscourse of cart,withnotes, 1 7 7 8 in-8.
Ed it. 2 , 1 787 , in—4 .
On theBur ton Waters, 1 7 76 , ia-4.
Observations on the nature and meM «J cure of the phtlsis pulmonalis ,or,consumption of the lungs, by the
late WilliamWhite withthe orig in
mgr-m dhd d esign of the Ydrhlunaetc asfl um. 1 792 ln—8.
Outline: q]ag riculture, 1 795,i aA new method of raising wheut
1 796, ia—4 . Edit. 2, 1797, 111
Au illustration of the analog .bet
ween amgetable and animalparturition . 1 78 7 , in—8.
Generalwiew of a plan cy'universal
and equal taxation. 1 797, in—8.
Reflexions on the state of an egg inincubation. Young? annule of agri
culture,etc. Vol. 3 , p. 3 8 1 .
On,Brognid rt
‘
s lve,?getable powder.
Young’
s annals agriculture etc. Vol.
7, p. 3 1 a.
On the noun‘
shmen1 of ®egetables.The commercial and agriculturema
gazin for the y ear 1 803 april, p.
26 3 .
On a richand cheap compost etc.The commercial and agriculture magazin j or 1803 april, p. 2 8 1 .
( Reuss. Bob .Watt.)
HUNTER J0111: d octeur en médecine de l’Un iversité d'Édimbourg ,:
membre d e la société royale de Londres ,médecin d es ar
mées servit assez king-temps à la Jamaïque , et est un d es mède
cins anglais à qu i nous avons l’
obligation d e connaître lesmaladiesde cette île et des pays chaud s en général.
D ispu;atio Inauguralis guardam,
de hominumv arifl atibus ,et comm
eausas exponens. Edimbourg , 1 7 75,
in—8.
Observations on the d iseases of thearmi in Jamaica ,
and on the best
means of preserving the HealthofEuropeans in hot climates. London
1 788 , 1 796, ia—8.
Account of the succt:sful treatmentof a supposed case of hy drocephalusinternus. Med . abs . and . ing .VI 52
1 7 84 .
Some experimentsmade upon Rum,
in order to ascerta in the cause of thecolicfrequent among the sold iers in
Jamaica ,in 1 781 , and 1 7 82 . Med .
Trans. 111, 2 27 , 1 785.
Some observations on the heat ofWell: and springs in the Island of I amarco , and on the temperature of theearthbelow the surf ace , la d i ercut
climates . Philos. Trans. 3 7 7 , 1 7 88 .
A n accoun t qf a cas-eq
“un common
d isease in the omen tumand of a double kidney on on e side the body and
non e on the other. Ib. 250.
Observations on the d isease com
monly called the fall orhospitalf ever‘.Ib. 3 45.
Observations and heads of Inquiryon can in e Madness ; draw from thecases and materials collected by thesociety re specting that d isease. Trans .
Med . and chir. 1 , 1 793.
(Rem . Rob . Watt.)
HUN 251—
q
HUNTER (Joan), l’un des plus grands chirurgiens du dernier
saecle , était frère de William. Né le 14 jui llet 1728 , il était le
membre le plus jeune de sa nombreuse famille . Il n‘
avait que dix
ans quand ileutle malheur de perdre son père. Son éducation se
resse'
ntit b ien gravement de cette perte. On l’envoya à l
'
école ily
perd it son temps ne se trouva avoir aucune disposition pour l’
ê
tude des langues , et végéta ainsi sans rien faire jusqu'à l
’
âge de
vingt ans. Ennuyé alors d e son oisiveté et entendantparler d e la
réputation que s’étaitacquise à Londres son frère le D
' Wü llenHunter , il lui écrivit pour lu i d emander de l
'
occupation dans son
amphithéâtre à défaut d e quoi il lui faisait part de l’intention
qu’
il avait de se faire soldat. Williaml‘invite à ven ir auprès de lui.Dès les premiers essais qu
’
il fit, ilmontra par son adresse dans la
d issection , qu’
on devaitattendre d e lui un'
d es anatomistes les plushabiles. Williaml’in struisit dans son art le fit recevoir à l
’univer
sité d’
Oxford, le plaça successivement dans plusieurs hôpitaux
pour étud ier la chirurgie-
pratique sous les plus grands maîtres , etl’
associa enfin à tous ses travaux , soit pour le remplacer dans ses
leçons lorsque des occupation s imprévuee l’
empêchaimt de les dohner lui—même soi t pour d iriger ses élèves dans les d issections ,soitpour achever et compléter des belles suites de préparations
anatomiques qui donnaient tant de réputation à ses'
cours . J0hhHunter étud ia ainsi l
’
anatomie avec son frère pendant d ix ans avec
une ardeur et une persévérance presque sans exemple. Il ne tarda
pas à lui être infinimentutile . Ilcontribua à ses découvertes sur les
vaisseaux lymphatiques et sur l’
utérus .
‘
Bientôt il en fit seulde fortimportantes , et ce fut alors q ue , pour se perfectionner dans la
physiolog ie'
il commenç a à se livrer à l’étude de l’anatomie comparée non dansla vue de faire d es d issections isolées d
’
animauxparticuliers ,mais pour approfondir laman ière dont s
’
exécutent les
plushportaü es fonctions d e la v ie,par la comparaiœ rt’dès or
ganes infin iment variés qui en son t les instrumens dans les différentes classes d
'
animaux, et arriver par— là à la connaissance d e
principes généraux sur leur jeu et leur usage dans l‘homme. Cottë
étude eut pour lui tant d'
attraits , que dès— lors elle d evint , et a
toujours été son occupation fa”
vorite. Il s’
y livra avec passion et
commença cette admirable collection au perfectionnement d e la
quelle il con sacra des travaux infinis‘
et des sommes immenseg. Revenons à l
’histoire d e savie . Les travaux de tout genre aq uels ilse livra chez son frère lui ayant‘
occasioné une malad ie inflammat
252 HUNtoire dont les suites donnèrent des craintes pour sapoitrine, on
lui conseille de voyager dans un pays chaud cela le détermina àaccepter une place d e chirurgien dans Ilpartit en cette
qualité au printemps ,
de 176 1 pour l’
a“taque de Belle- Isle , où ilséjourna pendant quelque temps , etpassa de là en Portugal. De
retour à Londres en 1763 , il enseigna l’anatômie et la chirurgie ,
et se livra avec «ardeur à l’
exercice d e cet art , dans lequel il reçut
successivement tous les honneurs d ont cette carrière est susceptible . En 17 67 il fut reçu membre de la Société royale de Loud res . Il fonda a lamême époque un e société particulière pour l
’
a
vancement de l‘art de guérir. En 1768 , il fut agrégé au corps des
chirurg iens de Londres, etéluchirurgien de l’hôpital Saint—George .
En 1 7 76, il futnommé chirurgien extraordinaire du roi . En 178 1 ,ilfut agrégé à la Société royale d es sciences et belles— lettres de
Gottemhourg ; en 1783 , à la Société royale de médecine et à l’
A g
cadémie royale de chirurgie de Paris ; en 1786 il fut élu chirurgien‘
général de l’
armée ; en 1 790, chirurgien général et inspecteur deshôpitaux , etc.
En 1783 ,Hunter sentit le‘
s premières atteintes d’une angine de
“
poitrine . La fréquence des accès alla toujours en augmentant ; il
mourut sub itement le 16 octobre 1793.
Personne , d it Odier , n’
amieux été jugé que Hunter par le cê-Àlèbre Lavater. Cethomme pense par lui—même d it— il en voyant
son portrait. 11Hunter 11 bien justifié ce jugement:il n’
a traité eu— f
cun sujet de physiologie de médecine ou de chirurgie dans
lequel il n’
aitmis d e l'originalité. En le lisant, on est entraînémal,
g ré soi à se méfier des opin ions qu’
on avait jusqu’
alors conçues .
On se sent, pour ainsi d ire , tran sporté dans un monde nouveau
donton n’
avait pas d’idée
,et c
’
est surtout en donnant a penser
qu’ila rendu de grands serv ices à l
’
art qu’
il exerçait Mais il est à
regretter que sa prem1ere éducation ait été si peu soignée. C’
est
principalemcnt a cette circonstance qu’
on doit attribuer l’
incon sc
tion , la négligence et l’
obscurité de son style. Dans tous ses ou
vrages, et particulièrement dans son traité : Sur le sang et l'
in
flwnmation , on voit qu’
il ignorait— jusqu
’
aux premiers principesdes langues , de la grammaire et de l
’
art d'
écrire °
,
’
qu unemultituded e grandes et belles idées y sont étouffées dans un chaos ind igested e con ç eptious disparates , de phrases incomplètes d e tournures
connu es et demots nouveaux, ou. entendus dans un sens très d iffêtentdeleuracception ordinaire ; que d
‘
autres y sontprésentées
254
of the same species. Philos. Trans.
Observations on the structure and
econom_y of whales. Philos . Trans.
306 . 1 7 87 .
Supplementarr letter on the idenfi
‘
tt d“d umsi“ Of "sa Dog.Wolf.
and Jachal. Philos. Trans. 562, 1 7 89.
Observations‘
on bæs. Philos. Trans.Abridg. XVII , 155, 1 792 .
Observations on thef ossil bonespresen ted to the royal society , b_yhis seronshighness the Margrave of A nspachetc. Philos. Trans. 440, 1 794 .
His opin ion of the nature of puen
peralf ever. Med . com. III 3 22 , 1 7 7 5.
Observations on the irg‘1amma ‘
tion
of the internal coat: of the wcins.Trans.med . and chir. 1 793.
An account of the dùsectü n qf a
HUNTER (Wa n na), agrégé au collège royal desmédecins deLondres médeci n extraord inaire d e la reine d
’
Angleterre médecin consultant de l
’hôpitald es femmes en couches, professeur d
’
a
natomie d e l’Académie royale des arts ,membre de la Société
royale de Londres èt de celle des antiquaires , présid ent de la So
ciété de médecine de Londres , associé étranger de l‘
Académieroyale des sciénces et de la Société royale de médecine de Parisnaq uitle 23 mai . 1 7 18 à K ilbridk , dans le comté d e Lanark. Son
père , possesseur d‘une terre de médi ocre importance avait dix:
enfan s , auxquels il donna l’
éducation la plus soignée . GuillaumeHunter était un d es plus jeunes il futmis à quatorze ans au col
lége d e Glascow , où il passa cin q années. Son père le destinait à
l’
état ecclésiastique , celui d e tous les états qui promettait lçs suc
cès les plus prompts et les plus assurés,mais l’esprit libre et indé
pendan t deHunter s’
accommodait peu du joug d e la foi et d esobscurités de la théologie . Un heureuxhasard l’ayant amené aHa.
n ikon , près d e Gallen qui pratiquait alors dans cetteville celui .
ci le détermin e pour l’
étud e d e la médecin e , et le reçut chez lui ,où ilpassa trois années En 1 7 40 ,
il se rend it a Ed imbourg , où il
s’
attachaparticuherement auxleçons du célèbre Monro. Il vint à
man who d ied of the suppression ofa riaeprbduced by a collection çf by datids between the neck ofi fie blad der
and reotnm, withobserva tions ou the
med . and chir. 34.Observation:on intersusœption ” itñ
an appendix by M. Home. Ib. 103 ,
1793 .A case of para{ysis of the muscles
«y deglutition cured by an artificialmode of convçy ing Foodsandmedicineinto the stomach. Ib. 18 a.
Experiment: and observations on
theg rowthof bancs. lb. II, 2 7 7 , 1 800.
(Odier N otice biographique sur 1.
Hunter( Bi bl. britann.) Rem .
Rob .Watt. )
'
sJ HUN
Londres l’
année suivante , et trouva en Douglas ,—
'
anatomiste etaccoucheur d istingué , un protecteur etun guide , mais dont lamortle prive bientôt. Hunter ne tarda pas à se faire connaitre d
’
une
man ière avantageuse par d es travaux anatomiques «
que la Société
royale de Londres accueillit avec faveur. Samuel Sharp le choisit
,en 1 7 46 pour son successeur, en lui cédan t son amphithéâtre.
Hunter fit avec le plus grand éclat ses premiers cours d'
anatomie.Après avoir été agrégé au collège des chirurgiens de L
‘
ondres,en
1 747 ilfitunvoyage enHollande et en France. L’
année suivante
il fut reçu un des chirurg iens de l’hôpital de M idd lesex, et, en
1 7 49, un de ceux de l'hôpital d es femmes en couches. Richard
Mann ingham et le docteur San dys accoucheurs très-répandus,cessèrent vers cette époque de pratiquer leur art. L
’
illustre Smellie plaisaitpeu dans lemonde à cause de l
’
austéritéde sesmœurs dde lamdesse de sesmanières.Hunter se trouva occuper le premierrang dans la branche laplus lucrati ve de l
’
artde guérir. En rqño , fl
voulutprendre le titre d e d octeur en méd ecine. Ca fut à l’
Un iver
sité de Glascow ,où Cullen était alors professeur, queHunter alla
prendre'
ce titre. De retour'
à Londres , il succéda au d octeur
Bayard dans la place d‘
un d es méd ecins d e l’hôpital des femmesen couches, où il avait rempli pendant plusieurs années les fonc
tion s d e chirurgien . Ce fut vers cette époque que la Société de
médecine d e Londresle reçutparmi sesmembres Hmter_enricb it
lesmémoires de cette société d e travaux fort imporæns ou d’
ob
servations neuves. Nous cit0rous celles sur l’
anévrisme variqumla rétroversion de l
’
utérus , l’
anasarque l"emphysème laherniedans la tunique vaginale , etc. La célébrité dont Hunter joui ssaitlui ayantprocuré rapidement une grand e fortune , il la fit servir àformer un établissement scientifique , d
'
une importance supérieure
à ce qu’on peut attendre d
’
un particulier. Ilachetaun vaste terrain,
où il éleva à grands frais unmonument qu’
il consacra à l'
anatomi eet à l
’histoire naturelle. Il rassemlfla de‘
toutes, parts on fit prepa
rer les pièces nécessaires pour former un superbe cab inet; un bel
amphithéâtre , construit dans le même éd ifice , d ut servir au le
çon s d ont il ressemblait ainsi tous les objets autour d e lui . Il rés olut qu
'
après samort ce ‘
cab in et resterait pendant trente ans à
Londres,d
’
où il serait tran sporté à l’Université de Glascow. Le
temps_
et l’
activité deHunter ne se consumaientpoint tout entiersdans l
’
enseignement, ilpublia plusieurs ouvrages un recueil de
mémoires sur divers sujets dont la plupart offrentune grande im
RUN
rent constitutions of the blood ; withdissertations on putrid pestilrn tial
sported j e ç ers. on the sma llpuæ and
on prnpùeumànœs. Londres , 1 7 39
1 750, 1757 , 1764, i n-8 . 5th. ed it.
1 767 . 1 769, ln—8.
Dinm«:ün on the maligna : ul:
eerhus sera that. Londres , 1 750 ,
ia “2574 iuI8o
Mcnicol and chemical observationson antimonr. Lond. 1 756, 111—8Partiam genrtaiium in midierc,
strnatum præter naturalis. Philos.Trans. Abr. VI , 671 1 72 3 .
A large omentum; sah‘ra of an
unusual colour. Ib. VII , 19 , 1 7 24.
Account of the anomalous ep:dem_ic
aflpot , whichbegana t Ply‘m'
outhA ugust 17 24 and continued to June
1 72 5 . lb. 100 , 17 25.
Account 0] an aumrà'
Boreaiü . lb.
Case of stone in the urethra ; case
of s'
pina bifida . Ib. 385 1 7 30 .
Of remarhab_
le d iseases of the co
lon . lb. 5 18 , 1 7 32.
Of an extraordinarrhernia ingainalis. Ib. VIlI , 1 7À0 .
0] au extraord inaqy wenerealcase.
lb. 480 , 1 74 1 .
Case «y a «com , one of whenun ter:was grown tsp
° beatfl ifiri sta_
o
Iactrtcs , and a re:na rha ble calcul”:
taken f roma bcy . lb. 1 744.
0] 41 chld born witha tumeuraed fthe. aæù: withrudiments ÿ au mbr
_yo. in it. Ib. 5 1 11 , 1 7 48.
On the Northern lights. lb. X.
1 750 .
0] a body withhad la1nma vanlt
about 80 y ears , without being muchchanged . Ib. ana.
Med icaland chemicd l observationsen A nt1mony . Ib. 554.
mouth. Ib . 560.
Of a man who twa”m d Halallead . Ib. 6 76 , 8 755.
On the extraord inæj heat of tb
weather in July 17 57 , and its ejfeets.Philos. Trans. Abr. XI
,204, 1 758.
On two remarhac cases in surg ery
lb . Abr. XI, 62 3, 1 76 9 .
On cmphy sem tous cases, from in
ternal cames. Med . abs. and . ing. III,
Opera phy sico—mcds‘
ca edenæ geo.
Chr. Reich“. Leipz îck, 1 7 6 4 , vol.,
ill-8 . Editio nova , mlumine œrtio ohservationumde aero aucta. Leipzig
Of pob°pi taken eut of theheart of 17 7 3, ia—8, vol.
sex ue l sailors j ust arrived from theWest India Ib. 580.
(Rob . Watt.)
…ERT DEŒ NNES, pre—ier chirurgien du…ducdechirurgien—mejor de la cavalerie française et
ofi ici« da_
santé supérieur des armées , etmembre du desanté près le ministre de laguerre est plus connu par les titre!
prétentieux et par l’emphaœ du style de ses ouvrages quepar l
‘
int
portance ou l‘
originalité de leurcontenu.
!'raü lde l
'hy dœ eälc:can radicale du gouvernement. Daria, 1797 ,Mol .
de u ne maladie etm ‘
uœenr pla n ris de la ehùarp‘
e en [mea
sieurs autres qui atta’n nt les partick ce phénomène: du règne an im“J e la a £rntwn de l
'homme . Paris , g uéris par des opéraæ’
ent anan ü s,
1 785, in 8 . Nous éd it. Paris, 1 79 1 sur la fin du d ir—huitü M silele.4
ia—8 . La méthode de traitement Publié par ordre du gouv
qn’
1mbert Dclcnnes prescrit pour Paris . an VII , ils-4,pl et lal’bydrocèle est l
’incision combinée avec portraitde l‘
auteur.
Nouvelles considJratiæ s surle tau
Opération de «monts faite le 117 têre actuel. Avignon et Paris Cta
fmcü dor an à Charles de Lacroix ia—8.
etc. Ouvrage publié par ordre
INGRAM (Dana), chirurgien et accouchtmr dumilieu du du »
n ier siècle . pratiqua d‘abord à Read ing , dans le Bersbire , ensuite
à la Barbad e , où il séjourna long—temps e t enfin à Londres. Il
écrivit sur la goutte qu’il faitconsister dans un épaiœisœmeü de
lamatière oléagineusé fournie par les glan des d‘Havers et contre,
laquelle ilrecommande l‘exercice , les bains , et les eautêres , appii
qués particulièrement sur les gastrocnémiens . Ilpublia des abstr
vations d iverses de chirurgie parmi lesquelles on remarque cd i“relatives à d iverses espèces d
‘hydrocä e. Il a traduit en anglais
l‘Abrigé d‘anatomie, deVerd ier.
Essay s on the came and seat d‘
y oung a rguant , bat alcofi r that.d e g out. London , 1 763 ia—8 . mrion of suchas are fa ther ado“ .
Practical cases and observations in ccd . Londres, 175t, ita—8.
sut withramer£s highly proper d uhisteric«:laccountof themoral
” su b—for d“ improvement of all flan cs that have a…ia the
1 60 ING
world since they ear withan ain; the loss of muscular action in theinquiry into the present prevailing lower limbs to whi chis pre/i n d an
opinion that theplagne 1: a eai1tag ious ersar painting out the progressive
d isternper capable of being transpor symptoms and eff ects, a nd the reasonsted inmarchand isefl ora one contty to why the gout was not heretofiweanother; account of its ressembla nce gularlr treated and cured . Londres ,
to the y ellow f ever etc. Londres 1 76 7 , in-8.
1 758, in—8. A n inquiry into the orig in aud actnre
The goutez tmord1natr cases in the qf magnesia alba and the propertieshead stomachand extremities with qf epsomwaters d emonstrating thatphy sical and chirurg icalremarhs and M agnesia made withthose waters e.:abservatrons on the v ariant stages d
'
ecad s all others. Londres, 1 7 68 , in-8the disorder, the rheurnatisrn the d i The blaw;or,an inquiry into Clanhe
'
t
state commonly called sauna, the na d eathetc. Londres 1 769, in-8 .
tune and j armattan of externalan in A strict and impartialinquiry in to" mal chalhstones and oonsidem the cause qf the d eathqf the late Wiltians proving the gout the immed eate liam‘
Smwen esg . etc. to whichisparent of Iannd ice , dmpsy , and add ed an acm n t a]accidentalpuistone. Withan accurate account of sans to whichfamilies are exposed ;JM J . d iff erence betwen obstruction: il! withtheir antidotes. Londres , 17 7 7,
the ahidney s or ureters , and the paro.rysms in the back and loins accasia (Heller. — R0b.Watt.)
INGRASSIA (Jesu-Pu1u rrz), anatomiste etmédecin célèbre du
seizième siècle , naqu it à Rachalbuto près d e Palerme . Il fit ses
études à Padoue et y reçut le bonnet d octoral en 1537 . La répu
tation d e science qu’
il eut b ientôt acquise le fitappeler à Naples
pour y occuper les chaires de médecine théorique et pratique e t
d’
anatomie. L’
éclat de son enseignement fit alfluer de toutes parts‘
un immense concours d’
élèves. Ils élevèrent une”
statue à leur
maître , avec une inscription qui le proclamait le restaurateur de lavraie médecine et d e l
‘
anatomie. Vers 1560 , l’
amour deson payslui fitquitter la ville où il avait acquis tant de gloire pour retour
ner à Palerme . En 1563 , Philippe II , roi d’
Espagne , le n omma
protomédecin d e la Sicile et d es iles adjacentes . Ingrassia s’
ac
q uitta avec beaucoupde zèle et d e talent d es fonctions attribuées a
cette place ; il fit les réformes les plus utiles à l’
organ isation de la
méd ecine dans ces contrées. Lapeste s’
étant déclarée à Palerme“
en
1575, lngrassia , chargé de la d irection des secours et des régle
mens san itaires , rend it les services les plus signalés, et d onna des
preuves simultipliées de sonhab ileté dans l’
art de guérir, que la
voixpublique lui conférale nomd’Hippocrate sicilien . Le sénat de
164 ISl‘
.
ca, etc. interpræatia cum ind icibus Kranbbeiæn und Zufællc. Erlaug1 784 ia-8.
qua naviter inventa aut nano . n otius D iss. de g inglrmo. Erlang, 1 7 85,
cognita sunt add id itet ilttfl j €6ü . VDI.
1. A . M . Leipzig, 1 7 7 7 . Vol. 2.
N — 2. lb. 1 7 7 7 .
Farben —Donat, odererleiclcterteAa
j ang sgn‘
inde der lateinisclæn e,
sumGebrauclzfiirK indermomf ünftenbis zumacbten Jahr. Erlang , 1 7 78
Ven ue/t einiger‘
praktischenAnmefiRangen ü ber die Muskeln zurErlaü
rungw rschiedenerv erborgenerKranbbeiten und Z ufa lle. Erlang , 1 7 78 , gnosis.
‘
Ed aug, 1 787 , in—4 .
D iss. g ie tin is animalis camange
Erhng, 1 7 78 iu—4 .
D is . de ling ua squafid4 . Erlang,
1 7 79 ia—4 .
Reduction: entamalag iq aes, par feuM. Bœsel traduit de l
'allemand . Nu
remberg 1 7 79, fol.
D iss. de cuatis prædùponentibw .
b lpng, 1 780, in 4 . nasali . Resp.
Ferme/1 einigerprahiscl1en J umenbungen über dieKnœ ben, zurBrla ute
rang versebü dcner Kraq eiæn und
Z tJælle, Erlang, 1 7 82 , in 8 .
resp. A ug .—Job. Christoph. c elin .
Ethug, 1 7811 in-4 .
Versacheinigerpraktischen Anmerbungen ü berd ie E iw ià sur .En
læutemng wcrschiedener "verborg enen
ISENFLAMM Haua1—Fafinä nm né à Erlaug , le no juin 1 7 7 1 ,
fit ses émdes‘à l’Université de cette v ille et y fut reçu docteur en
médecine l’an 1791 . En 1795 , on le nomma professeur extraord inaire demédecine et prosccæur d u thébtre anatomique , l
’
année
suivante. En 1803 , il futappelé à occuper à l‘
Université de Dorpnt
les chaires d ‘
anatomie et de physiologie , etdemédecine légale. En
D iss.de similisadinewùcemm. Resp.
Jah. Christoph. Le d . Car, Sohual. Emlaug , 1785, iu-4 .
D iss. de extremitatum analog ie .
Resp. Jah. P et.Falgw rolles. Erlaug1 7 85, in—4.
D iss. de eoncrementù polypœü .
resp. Frid. A d . Triec . Eriang1 78 7 , ia-4.
Jah. Matt/ue Vetter. Erlaug , 1 787 ,
ia—4 .
GratulatiaHem. Fred . D elia,pra:
sid is acad . natur. curias. munnsnomine cultorum. Erlang , 1 789 ,
ia—4 .
Diss. de d eglutitionis mechan ismo .
Resp. Christi . Frid . Wente. Erlang, ‘
1 790 , iu-4 .
D iss. de phthisi .
1 790.
D iss. de nisu resp. Willi . Henr.Ludov. Rama . & lang
‘
, 1 790.
Diss. de w uani q[fectu. Ethng1 790 .
D issertationes ed ita a D . Jah.Christ. Fred . Isenflamm. (filid) t. 1
Erlang. 1 739, in—4 .
(llamberger. Meusel L a iÆan.)
JACKSON (Ronan ), médecin de Stockton , dans le comté deDurham, fut long
— temps employé dans les armées d‘
Angleterre , ets'est placé, par ses ouvrages au premier rang des médecins de
cette nation qui nous ont lemieux fait connaitre lesmalad ies anxquelles les Eurofi ens sont sujets dans lespays chauds. Il est encoredu nombre de ceux q ui ont le mieux étud ié l
’
action des allusionsfroides dans le traitement des maladies fébriles.
A tn atise on thefm rs of Jamaicawithsome observations on the inter
mittent fevers of America ; and an
appene r conta ining some hints on
the means of preserving the healthofsold iers in hot climates . Londres
1 79 1 in-8 .
The outli ne a} thehistory and cure
of lovers epidemic and contag ious
more especially of sails , ships , andhospirals , etc. , td the y ellowf ever.W
‘
ithobservations on military d isci
pline und economy ,and a scheme of
med ical arrang ement [or amies.Ed imbourg, 17 98 , in 4 .
Remar£s onthe constitution of themed ical departement
‘
qf the bristisharmy :witha detail a] hospital management and an appeud iæ, attempting to exp
'
ain the action of causes
in producing f ever, and the operation
of remedres in elfecting a cure . Lou
dres, 180 3, iu-8.
A letter to the ed itor of the Ed imbtt 'ghReview. Londres 1804 , ia-8.
A sy stematicmiew of the d iscipline,formation and economy of an army .
1804 , iu—4.
A sy steme of arrangement and discipline forthemedical departeInent ofarmies . Londres , 1805, in-8.
A n exposition of the practice odf using cold water on the surface ofthe body f or the cure of _]ever: to
whichare added remarks on the tff eets of cold drik and of gestationin then open air, in certain cond i
tions of disease . Edimbourg 1 808
Letter to M. K eate, surgeon—generai
of the army . Londres, 1 808, ins-8.
Letter to the '
eommissionn ers aj militnry inqu iry ,
expla ining the true con.
stitntron of medical staff the bestformof med icaleconomy /orhospitalswitha refutation of errors and misrepresentations contained in a letter
Dr. Bancroft, A rmy physicien . Lon
dres , 1 808, in—8 .
Second letter to the wmmùsiannnenof military inquiry ; conta in ing a re
futation of some statement:made b; Il.K eate . Londres , 1808, it!-8 .
Letter to sir David Dundas
mander in o chief of the fi rces.
Londres, t809, ia—8.
JAC 067Sketchof the history and cure of Observations on the connection of
fi briIe d isease, more particularly as thenew and {allmoon withthe inertithe
_y appearmthe west Indres among s ion and " lapse of f evers . In Londonthe sold iers of the braichamy . 8 7 . med .hum. t. VIII.
Shetchof the history and care of On the supposed influence of thecontag ious fevers. Londres 8sg moon inf evers. la Londonmed . learn.
in —8 . t. VI lI .
Observations on the treatment of (Km s . Bob .Watt.)gun
-shot wounds. In London med .
learn . t. a , p. 363 .
JACKSON (Szouxn—Hmar ), docteur en médecine de l’Université d
‘
Éd imbourg , médecin du dispensaire général de Weshnln $Steret de l
’
infirmerie de Saint—Georges, Lond res ,membre de laSociete royale d
’Éd imbb urg .
Diss. de phy siologica etpatholog ica bear and delivery , the confi nement«ydentiumemptionmÉdimbourg,
‘
7 7 8, Child —Bed ; and some comtitntionnldiia 8. seases includ ing d irections to midwiA treatise on sympathy , in two ves and nurses ; withobserva tions on
parts Of wnpathy in general Il. the ma nag ement of nav-born iq{ants.…fi lo sympathy . Londres , 1 7 8 3 , Londres, 1 798, in-8.
Observations on the epidemia di
N mto—
pnthoÏog ia or, practical sense ëhichlatel; prevailed at Oi
observationsfromsome new thont s on braItar intend ed to illnstu to thethe influence at the perspirable fl uid nature of contagü nsf ever: ing enu
‘d
the production of animalheat, and part I Londres, ñu-8 .
” marks on the late theories of senrvy A sing eIar njfection of t«piæ tien,
withthe particular method of recom withappearances on d issection . Med .
mend ing the oahbani as a new ma comment. t. V! 208 , 1918.
rine an tu corbntic and as a probable The case of a patient ouh“. slo
antiseptic in some otherputrescen t d i mach on d i ssection was f ound to
sorders. Londres, 1 792 , ñu-8. contain two piste! ballets. la med.fi ctions to women respecting the comment. t. IV .
state oq naw , theprogress of la ( Rena . Rob.Watt.)
JACOBS (Jesn - Ë sattsan), professeur et assesseur du collège demédecine de Gand , chirurg ien juré et pensionnaire de lamêmeville associé au collège desmédecins de Bruxelles , etc.
Tenchu : politico —med icus de dis Jacobs. Nouv. e'
d it. traduit du lulu
“samia in genere. Rotterdam 1 78 corrigé et refondu totalement par188 Traité d e la dyn en l
‘
auteur. Bruxelles et Paris, “co,
“rie en gdnlral contenant une nw ill—8. 0M l‘h‘° À PW
N M curative , in…par sion de la dyu enterle qui rbgmpsn
1 7 1
enen und Z uu æfl fl pæt£ tæ J r:
::q oder mlt1‘
se‘e materiamed ia M n , 1797-1800 , ia—8,
vol. Vern and v erbe“. An} . 180 7
ia-8, vol. 3'Aasgn, 18 14 . 4 durch
p s. ne l wermehr. w a D . J .H. Er
hanl, 18 18
I q tmg m Befi ehtig«ng «ier Urtheile über Jas Bm snù ehe Sy stem‘von einen pmhtisehen J rzte . lêna
1 799, iu—8 .
Ueber Jen Keichhusæn ein 8 9%
m & mgn phie desæü en. Ru
JAN
«nl l rkhrn ÿ n “M it“. Arn
uadu t Budd 180 3,M Nom
1 808, ia-8 . 3° A uflage, 1 8 19, ia-8 .
Beoôaehtung en üherd ie ehronisehenKranhheiten ete. Erfurt, 18 1 ia—8 .
KIin iü det chmnü chen KranÆheiten.
Erhard . Erfurt 18 1 7-182 1
6 vol.
John inséré en outre un a“
grand uomln e d‘
articles dans les ionnanx de 8ü rk, de M ega , d fl nfi
dol-mit, 1805, ia-8.
Neue: .ÿ ste1n der K inderkranhheiten nachBrownischen Gmnd sætzen
(Elv a l— Mmœl.)
JAMES (Romer),médecin anglais, fort célèbre , non pouravoirécrit un vaste d ictionnaire deméd ecine pratique fort supérieur à
toutes les compilations analogues qu i l‘
avaient précédé mais pouravo ir déb ité , a titre d
‘
anti fébrile dont il se réservait le secret
une poudre antimon iale , d ont l‘
exacte composition n’
est pas en
core b ien connue. James était né à K inversæn , dans le comté d eStratford , en 1703 . Licencié en médecine à l‘Université d ‘
Oxford
ilpratiqua successivement son art'
a Kefiield Licb tfield Birmin
gbamet Londres. Le 25 juin 1 7 55 , il se fit recevoir docteur en
médecine à Cambridge. Ilmourut le 23 mars 17 76 .
Method . of pm enting and cnring
th! Madness caused by the ô1te qfneed dog . Londres , 1 7 35 , 1 74 1
1 760, i1> 8 .
A med icinal dictionary includ ing
pkn ic. , surgery , anatomy chenv stry ,M any , ete Lond res . 3 vol.
fol. Traduit en français, parDide
ro t, Bidou: et Toussaint, et revu par
Basson . Paris , 1 716—48 , ia-iol. 6
vol.
Treatise on tobacco ten coff eeand chocolate. Lond res 1 745.
dog s withmen —my . Phi los. Trou .
1 7 36 , Abridg . T. VIII .
4 short. matin of the d isorders ofchildren .Londres, 17 80, ia — 8.
“»o W“ )
ved Bœ rhaaw and fl offm . Lon
dres, 1 7 46, 2 vol. ia— 8.
011 the presag es of [:le and deu ]:
in d iseases. Londres, 1 746 , ia—8.
A dissertation upon/‘
u n : a d
v indùation tj thefi wrpoud er. 1 7 78,iu—8. Post/1.
276 J
Réflexions surle triste sortdesper
qui sous . une apparence de
morton tété enterrées v ivantes oupré
cis d’
un mémoire sur les causes de
la mort subite et violente , dans lequelon prouve que ceux qui en sont v icti
mes peuvent [tre rappelés la v ie.
Pn is, 1 7 72 , i tt—8.
L'
anü —mfl idque ou moy en de
t ruir0'la M ai sonspen ieienses et
mortellesdesf osses l aisances,l’
od eur
inf ecte des égouts celle deshôpitauxd es prisons des vaisseaux de guerre,
etc. Imprimépar ordre du gouverne
ment. Paris, 1 78 1 et 1 7 83 , ia—8 .
Détails de ce qui i'
e:t passé dans
les expériences faites par M. Jan in ,
les 18 eb u3 mars , en présence des
m_n le des reim s et de la société
roy ale demédecine (eo… l'
anti
meph1'
tism) . Paris, 1 78 3 , in—8.
D issertations et lettres sur leMp“ti1me et l‘anti—mcphitüme adressées À
M . Cadet. Paris, 1 7 84, ia-8.
Réponse à i l. O'Rm , sur le ura
gnt‘tisme animal. Genève et Lyon ,
1 7 84 in-4.
La“ritémise en évidence. Paris et
Lyon 1 785, in—1
Nous ne citerons pas en détail les
pièces nombreuses ,mais oubliées , de
la polémique soutenue par Janin contre Guérin Hsllé.(J.
—P. Pointe , Eloge de Jean Janin .
Qumrd.)
JANKE (Jou rs né Bautzen le 16 novembre1 724 fit ses études à Gorlitz et à Leipzig fut nommé prosecteurdans la dernière d e ces Universités en 1750, bachelier en médecinelamêmeannée ilfutdocteur etmaîtrerégenten 1751 LorsqueGü nzfut appelé de Leipzig à Dresde , en 1753 pour y être médecin d u
grand— duc aube fut désignépour être son substitut dans
la chaired'
anatomie. A lamort du titulaire il fut nomméprofesseur extraord inaire ; il fut professeur ord inaire en 1762 , etmourut le au
janvier d e l’
année suivante.
Cornmentatio de forcipeet fôrfice,j erramentis B ing io, Hafn imsi chirurg o, inventis eorumquc usu in porta
d ifliciIi. Le ipzig, 1 750, in-4, avec fig.
D ia l et De ossi6us mandiba
lammpuemrumseptcnnium.Leipzig
1 75 1, ia—4 .
tmn icas exhibent. Leipzig, 1 753, ia-4.
Prolmio I , qua obscrvationa qua
damanatomica de cavcra1s quibus
dam, que: ossihm capitis humanieon£inentnr ; prop. sect. anatom. ca
dai«er.mirilù præmiss . Leipsig, 1 753,ia-l,.
Jah. Jac. Briihier‘s Abhanfl ungv on dcr Ungawüh«æit d er I mm i
chen desTodes, und den:Missbrauch,
Einhalsamimng en v orgebet ; aus demFranz . ü bersetzt und mit A nmerhung et! und Zmattzse tvermehrt heraus«
g egebm.Leipzig etCopenhague, 1 754ia—4 .
hamani angustiam ù primis cuta
neas, ostendenä . Leipzig, 1 762 , ia
D iss. de fimmin ibus cale—aria! eurumqne 11m. Leipzig, 1 762, in
— 4 .
Ü“… M alm Mental. )
aux
liberté en 16 19 mais iln‘en jouitpas long—temps. Quand laBohêmefut subjugtléô , Jmtnius tombé entre lesmàin s d es Autrichiens ,iut décapité en 161 1 . Quoique les ouvrages d eme médecin reu
forment peu de choses originales ils ne sont pas sansmérite ; ilssont écrits avec clarté concision et jugement.
J ueæmiæ , Pragæ, «uno M . D. C.
e t se solen ni£er admin istratæ historia . Acceu il:ej usdemde ossiôus (meta
lus. W ittemberg 160 1 in-8 .
lu tinsfloues cü mrg icæ, quih:s univsn a manumedend i ratio —
osændü æ
Wittmherg , '
1601 ia-Ü.
Z om :amWittemberg , 1 593 .
A dvenm pcstcm consih‘um Caind e mùhridatio eriaca
disputationo.His anncxi Jam‘
Ma skæi
Dumstantis de aceto sc1‘
lä no atque
oIoê med icamends wakmd ini tuen
Ja , v ita! pmrogandæ singularibas‘
humm: duo.N ec non Nicolat‘
Casti£
HOOIIw utilissimmdemed icamenti: le»
n ientiôus , et purgunfibas. Giessen
1614, in-1
2HMEIQ TIKRN, seu novamcognos
eendi monbosmethodnm, ad armb«e0l€upivaeeianæ norman: ab Æmiüo0ampolongo , professore Palavino ex
pre:mmguamprimumreste d iscehtium
JOEL (Fnsuçors), né le 1‘
septembre 1508 à Scamar,dans la
basseHongrie , fit ses études dan s les Un iversités d’
Olmutz et deVienne ,
et à Neustadt sous la d irection particulière d’
un mèdecin En 1538 , il se rend it aLeipzig ,puis àWittemberg et à Berlin .
Il était fixé dans cette ville quand le prince Albert l’
appelerà Gua
trowpour être plmmaoien de sa 00111 En 1549. Joelalla se fixer à
Greifswald pour y exercer Par1 de guérir. Nommé , au bout dequ…u n médecin ponsiohné de — lâ ville, «i l alla prendâe
‘
la li
cence Élu professeur—de
‘médeni6e à°
Greîfavvald en
medentiumamipai ümrit. Wittenbcrg, 160 1, ia
—8 .
Andn æVerd i! anatomie-am”:G&brielz
‘
s FalIopii observationumexamonin public…» red uæit.Hannover, 609et 16 10, ia-8.
D e sang uine mana secta ,_d imi:so
j ud e‘
cium. P ragne 16 18 ln — 4. Franc
fort , 16 18 ñu-t N otis ad v era artis
med icæ prine ipiæ'
accommodatumJacob. Pancratio £ runona. Nuremb erg , 1068 ln-12 .
D e gerzercttionis etmit_
æh_
amd ad
pcri0d is tractatus duo. CumGaleottiMarti! d ehoiniæe , in -8
Historien relatio de mstico bohemocultri tmmci.Bomb. apad Froômiam16 28 , in -8 .
'Hdmô. apud froôen ium,
'
î n —8 . E z tat etiamcumDuncanLidä eIii artemed ica, et ej usdemtrac
tamde aureo doute paeri siIesii, contraHorstiwn .Hambourg , 1655 in-8 .
(Stollo. Joecher. Lindenius
renovatus. Haller.)
J 188
Ë i/d nnJ‘
s der mm., 11.
?a zeiehni a«ier Pa to M J code 1 797 , 36 1 —6 5.
in Eæfimen, H. 10, sot-ao,H. Scheintode in John Am y wü n n
ra, 3 . 3 99—301 . echf tl. Anfl ætscn. 1m8 , art. 18.
Die fig.-{ier Tapiü3, ci d. 793, Bertmge sur Liucw nrge.æM n
3‘ 7°q .
lXackriufi:W der Zaki dor. Cnr Mayer nndllems. Sanaa”. phy sical.Aufi a tn TM 5, S . 4 15.
Jahre 1 796 , and mon einer neuen mi (Med . chir. Z eitung .
nm lischen Trinfiqnclle daselbst in Callisen.)
JOHNSON (koen r-Wa ntca) disciple deWilliamHunter, etmédecin Breptfurd ,. fitconnaitre les principes de son maître sur
toutes lesparties de l’
art des accouchemens Il considère l‘accouchementpar la face comme ne s
’
éloiguantpe int de l’
accouchementnaturél ; dans tous les cas d
'
étroitesse du bassin hors celui où ily a
grossesse extra-utérine , ilpréfère lemorcd lement du fœtus l'
opé
ration césarienne . Ilfaitconnaître un fœ:oeps de son invention , 1
giné surtout dans le butde s’
accommuôera1’
axe d u bassin . Une 11.
ne. 313 bellesplanches représenten t le bassin , la situation de l‘utérus
dansl’
étatde, { rom s et de a cuité, l‘
embryon à d ivers âges son
forceps , son brin — tête , 5911 tirb—tête , son pessaire , le catheter la
Pü œ à M ypes , oto., etc. Une partie considérable de l‘
ouvrage est… à .“ malad iesd es°femmes , et contientun certain nombre… :Œ ns particulières.
‘neiv g ate“ of I idmfœy in
{carparts f ounded Onma ihi oü«VMŒü :Q… t " Y‘9 1in-4 deuxième éditiofi o“
fiemW ëmu ofl.…ü. I ü 14b' «a i…to the M J
” l‘m e .to be
observed in order 10pmrae M iri
3W QNo‘u .Iu QHNË ÔN(Annn pnu ) médecingle_
Londres.né en 17 16,mort en u gg,,a écritpl,usielm0uuaSÇ $ sur100mon.…M mlmw { donner aux asphyxiés et aux
sick women in ChiÆ-Jed ete. Lou
cires, 1 793, ia-tû
‘
,
Pour compléter la bibliograpde cet article . fM T—ifl ü l
'
ouvrage
«fi vant quoiqu‘
il soit étranger3Pub
jet de ce d ictionnaire.
Some remari e€pn rel13 iamopinim
and their efl“ects submitted 10 the eensideration of themost Iw ned 0114 nu
partial qfevery d mcminafion.
Éondrea, 1 798, ia—8.
(O:ü ndan Rouen Bob.Watt,}
186 JOH‘
A short amant of society “ Ans Rä of fi fl n… u l death, or
sterdam instituted in they ear 1 787 svn… im… . londres, 1 793,
for the recovery of drown«i persona ia-8 .
Londres, —1 7 7 3, in—8 . 011 theproduction and application
A collection of authentic cases of my raôolans, and their use its a
proving the pmeticabiü g of reccee :nM iæte {or .l leppo M . la trans
act. oÂthe soc. institut. at London [orsejfocation stifling , W ing the encouragement of arts, manufacecision and other accidents. Londres , turcs and comm e, ton . I II , 180a
1 7 7 3, in-8 .
JOHNSTONE (Jan us),i
né àA mand , en Ecosse , fit ses études
méd icales à Ed imbourg et y fut reçu docteur en 1 750. Ilpratiqua
l‘art d e guérir à fi nderl er , puis àWorcester , où ilmourut le1 8 avril 1801 .
D issertatio med i a‘
de u rü factitii On the use of the ganglions of theimpcfi o in corpore humano. Edim nerves. Philos. trans. ohridg .
\fl l
,u n,
bourg, 1 7 50, in 8. 1 764,
ul historical d issertation concer
n ing the M ÏÎW M 1y imperfæt brain to whichis snôj oi°f 756 i ned a supplement to the «sa; on thelignant diseases prevaü ing since the n e of phil“ . m ‘ a ,
1 752. inKü à mü sw —Lofi m. a&ridg ., 1111, 111—1, 1 7 70.
1 758, ia—8 .
Essay on the use of the gnngbons ofthe nerve-t. Schœmbmy. 7 7 i°°ao
appb‘
cetâont of camtics.Md .m_lL
A treatise on the 1nalignant« gino , “85.orpatrie! and ulcerous tore throat to
whichare added game nmaü s on8
the ang ine:ttad zcalis . Londres, 1 7 79,M I' “3' 1 7
i“°8 e
Some account of the Welton water
b”
11.h 11 hf eu» et ary 1111 t oug ts on t e
011 P‘ or‘on
g lands . Londres, 178 7 , ln—8 .
Med ical essay e and observations
withd isquisitions relating to the ner ‘7 9° ” 89°
vous sy stem 6; James JohnstonM. D . and an essa
_ron‘mineæ lpoi 0] 17 78. Meta.mod ., 11. 83 3
sons by John Johnstone , I . D . 1011
drm. 1 795, in-8. A catc of calcule through
1110
hommes qui se sont les plus d istingués en France dans l‘étude et
l‘exercice de l’
art du dentiste né àYaris le 28 novembre 1 7 34eStmort dans lamême ville , le 7 janvi er 18 16 . Jourdain ne s
'
était
point renfermé exclusivement dans l’
étude de l’
art qu’
il‘
professait;
il avait —
cultivé avec soin toutes les parties de lamü suine et il n’
ée
taitpas dépourvu d’
érud ition.
Nouveaux élémens d odontalg ü . Pa
me, 1 756, ia— 1a.
Traité des dépôts dans le sinus
maxilla ire , desf ractures et des cariesde l
'
une et de l‘
autremâchoire ; suivi
de réflexions et d'
observations sur
toutes les opérations de l'
art du den
tiste. Paris, 1 760, iu-12 .
E ssa i sur la formation des dentscomparée avec celle des os suivi de
plusieurs expériences tant sur les os
que sur les parties qui entrent dans
leur constitution . Paris, 1 766, ia— 1a.
Le médecin des dames , ou l’
art de
les conserveren santé. Paris, 1 7 7 1 , in
1 2 . (AvecGoulin .)Le médecin deshommes depuis la
puberté j usqu’
à l‘
eætré‘me v ieillesse.
Paris, 1 7 7 11, in
- 1 s . (Avec Goulin.)Ces deux ouvrages sont anonymes .
Préceptes de santé ou introduction
au d ictionnaire de santé contenant
lesmoyens de corrig er les ”vices de son
tempérament, et de le f ortifierpar leseul secours du régime et de l
’
exercice,
ou l'
art de conserver sa santé et de
présœnir les maladies . Paris 1 7 7 2
Traité des maladies et des 0pe‘m
tions réellement chirurgicales de la
bouche et d es parties qu i _r
pondent suivi de notes, d’
obsermtionsintéressantes , tant anciennes que 1110
derna . Paris, 1 7 7 8, 0 vol. in 8.
Jourdain a coope'
rélong—tempshla
rédaction du journaldemédecine ila
fourni quelques articles à l'
Année ä t
téra1‘
re de Fréron ; enfin i l n’
apoint
été étranger à l’Histoire de l‘an tenne,
de Portal.
JUGLER ( Ju n-Hama d e Lunébourg reçu docteur enméd ecine
‘
a Butzow, le 11,mai médecin pensionné d e sa ville natale depuis 1809. Il naquità Lnnébourg ,
‘
10 2 1 septembre 1 758 ,après y avoir fait seshumanités ,
il étud ia successivement la med ecine à Leipzick ,
à Gottinguc et a Berlin . Il pratiqua l’
art d e
guérir d’
abord à Boisembourg dans le Mecklembourg puis à
Wittengeu , où il fut nommé médecin pensionn é du canton en
1 788, à Gifl'home , où il eût le même titre dans lamême année
Luchow, en lamême qualité, en 1795 et enfin à Lunébourg . C’
est
par erreurque Callison a donné place à Jugler dans son diction
naire d esmédecins vivans ; il estmort d epuis 18 14 .
Üibliotheæ ” fit…æM M «runs dÿ'
feœnlü e ä u .
pn‘
mum.Hambourg, 1 788, ita—8. 1 7 84.-ia-8.
J
thulmieæ primum, recensens auctoæ s,
q ui usque ad Q. Sereni Snmmon ieiætatem in med icina oculari nagnomclaw ers altemmde coIlj rtss emerumW n tsque comm dfi Erentm. Leipziget Da mn , 1 7 85, ia —8.
Repu tariam ü ber das gesummteHedieinalw«w in den Braunsehwfl ‘
g
lst es nothwsndi; und ist asmcglie& hide TheiIe derHeiüm t d ie
Mediein und Chirurg ie sowold in
ihrer Erlernung als A usübung wieder au merein ig en Welcñes
die Unaelzen ihrer Tn nnung , und
weIeÂes sind die Iü aluameiæund Wñrd igwcg d er übrigen dre izeltn8 ewerbungs:ehfiften mon der Chur
Lunebü rg isehen Churlandm gesura fi îrsd . A d d . nutslialœr Wissemcüafmelt und Herausgegeben . Hanovre ten. Erin“, 1 799, in
—8.
1 790 , ia-8 . cr e sxpursuç «ip:r{nsç ; Hippœmfl'
:
Kleine J uf sætse medieinùehen ln Je v isu liôeü us. Inmemoriampan—is
lmlu . Stendal, 1 795, in— 8 . Jah. I rid . Jagler, «pan tin et emen
W1e tænnen billige P reise derJpo M as edids‘
t notisque et aliorum es
theler Waaren besondæ s der zûbe sais illustraoü .Helmatad t 1 792 , ia-8 .
reiteien A reaeien erhaIten , und ge Repefl ofi umf ür dasNeuesfe usder
sichert werd en Mémoire couronne Stantsarzneyw in cnæhafi und innempar la Société des sciences de 6 01 pmetü eb n Heilfiunde , 180 1 , et ann.
tingue . Stendal, 1 795, ia—8 .
Not/1igerNecktrag zu der Concur
re_
n -Sel1rif t wie &œnnen billige Pœ ise ouvrages Bang hello Craib
der Jpothe£erWaaren , besonders der bank et inséré de nombreux ar
zu6ereiteten Arzncien erhalten und ticles dans le Magasin de Hanovreg esichertwerden?Hanovre,1 7g8,in—8, et dans d
‘autres journaux.
JUNCKER (Joan n) , l‘
un des d isciples lesplus d istigués deStahl, et le meilleur interprète de ses doctrines, naquit à Laudorf
près de G iessen , le 25 octobre 16 79. Il fit ses études à Giessen , à
Marbourg et 31Halle . Il fut maitre de théologie dans le collège
royal d e cette d ern ière ville , en 1 70 1 et 1 702 , et de nouveau en
1 707 . Après avoir pratiqué pendant près d ix ans la médecine end ivers lieux il rev int àHalle, où il fut nommémédecin du collège
royal en 1 7 16 , et professeur ord inaire de médecine à l'un iversité,
en 1729 . Il eut plus tard le titre de conseiller à la cour de Prusse,Junckermourutle 2 5 octobre 1 759. Ilfut le principalpropagateur
d e la doctrine de Stahl et ses ouvrages, écrits avec beaucoup de
méthode et de clarté furent beaucoup plus lus que ceux de son
maitre.
Jugler a traduit en allemand d ivers
i6id ., 1 73 1, ia—8 ia-8
ibil ., 1 738, in—8 i6id., 1 740, ia-8
i6i& , 17 4 3 , in—8 ibid., 17 46 , in-8
W ., 1747 , ill—8 ; W…1 7 7 1, ia—8 .
D ieHalü sehegfiœ bü eüe Grammart.Halle
,1 706, ia-8 ; ih
‘
d ., 1 7 1 1 . i11—8 ;
ibid . , 1 7 16 , ia— 8 ; i5i& , 1 7 20, in—8 ;
ibid ., “il 1 727, 111—8
295'
la :Dingue n itso\…ehts Bcs p 1heficr. Francfort , 1 7 16 , ia .-8.
chrcibnng der umlten welrù rnehmtæ Wohl nntcrr1ch1cter Medicus. NaWisbadischen Be der.Francfort, 1 707 , remb rrg 1 7 25 in 8.
in 12 .Mangot. KestnerLexikom
Coupeud iô se Reis-Feld -nnd Hausa Haller. )
JUNKER (Jou11'n Cau sru n-Wu na u ) , né à Halle , le 30 juin176 1 fit ses études dans l
’
un iversité de cette ville , et y fut reçu
docteur en médecine en 17 83 . Après avoir fait q uelq ue temps d escours particuliers Junker fut nommé professeur extraord inaire de
médecine , en 1788 et pro fesseur; ord inaire , en 1 792 . D’
après la
Gazette d e Salzbourg ,il paraitrttit avoir été pro fesseur d e mède
eine i1 Petersbourg , en 1 790 et 279 1 cependant il ne figure po in t
8 ce titre dans l’histo ire d e laméd ed ne en Rus > ie , d e W . M . de
Richter. Junkermourut à Halle ,le 2 7 décembre d
’
une atta
q ue d'
apoplcxie don t il fut frappé à son retour d'
un voyag e à
Marb0urg .
Diss . i nang . de cansis œg ritud inuœ
thcra; cutia s n squt snperstw endoa gri
tud e/zum srs1cmmc. Halle ,1 7 8 3 ñu-4.
Gmmkä tsc d er VolÆa 12.1:r1hnnd—t ,I W bot/nement c u tznng des mundlichcn Vortrages
O
seinen H:rren Z 11
hôrcrn'
entvvor/cn. Halle 1 7 8 7 ia-8 .
Versucheiner a”g emeü cn Heu/hundc,ana Geb1auchakademisther Vorlesung en . N ebst 'vorlæ1fig en Bc1ner
hnugen the its nber e i1. 1ge Mine! d 1e
Armeyhnnst zu v erve/Mommnen und
demN nrzcn'vorhnndcner med icinù
cher K enn tni :se in d er wirhl1cht nWelt
,e n bct!
_
ribctt ; theils aber d ie
E 1nri chtnng sart therapeutischer À11wej sung en . 1ster Theil welcher d iesew tlæ1fig en Brmerhun a en en thælt.B ulle 1 7 88 21er Thrif,wd ehermond iesemVersuche du: erste und g ros
tentheils auch,d ie
°
zweite Abtheilnngcuthah.Halle , 1 79 1 in-8.
Conspectus rerum q næ in patholog ia med 1
‘
cinaiipertractan tur, [audntissimulhnj us doctrine auctoribns usqut
probatissnn is ,‘
in usum auditornm.
Halle , 1 789 ; Il,Halle 1 790, in— 8.
Diss . qua hemicran iam sie d icton:
21e1am nova examin i subj ecit. Halle ,1 79 1 , in
-4.
E 1was nber d ie Wcinberg fi ranhcitdes westw bencn Dorhrors Bahrdt und
æ/1nlzcher nochleben d crKrauhen; denN 1ehtä 1zten zur fi euudschnftlwhettWarnnng . Halle 1 7 92 in-8 .
Gememuü t igeVor—chlæge und Na
eh1 ich1en neber das‘
beste Verbàhendcr a hen in Ruchsicht d er Pochenhmnhhe i]; erster Versuchfi ir d 1cmit:l«m Stænde nc61 1 e1nemA nhnngef ür A rrelc. Nulle 1 7 92 . 2 tcr Ver'
s111hfi ir )4crz e . Ibid . 1 795. 3œr
Ven u e/zfl ir 1116fl 1
'
ch“alle A erzte,d ie
d er Tm!schen Sp’
1d chcæ kun d ig suul.
zur Samm!nug :hw r
‘
Gntachten h1erüber. Halle 1 796 ,
°
in58.
A rchiv des A erztc
'
ui1d Seelsorg er
win'
er d ie Pochcnnoth1stcs stü ck. Le ipz ig 1 796 . ate : und 31es Stü ctl‘. Lei.
pzîg 1 797 ia-8 .
(Commen t. de rebns in med . g e stis.
Med . chir. Zeitung . Meusel.Lexicon .)
a96 JUN
JÜR1NE (Loms),médecin d istingué de Genève, naquit dans qetteville en 1 751 Ily fit ses études littéraires s
’
y livra à la culture,de
l‘histoire naturelle dans laquelle il eut pour guides Charles Bonnet Sanen te Sennebier Deluc et y prit le grade d emaître enchirurgie. Après avoir prati qué quelque temps à ce titre ilvint
perfecfi ofiner ses études à Paris. De retour dans sa patrie ilpar
tagea son temps entre une pratique étendue des recherches d 'histoire naturelle cl:de physiologie expérimentale et les travaux du
cab inet. Ilmourut en 1819 , ayant la réputation du plushab ilemédecin d ’
une ville qui a tonjours_
compté dans son sein plusieurs
médecinshabiles.Mémoire sur l
’
afia itment artifi eid .
Genève, 1807 , ia-4 .
Hourd lométhode de d u rerle: I:]
mü optêres et le: diptères. Tome premier (et unique) Genève et Paris,
1 807 , ia—4 , ornéde 14 planches colo
ri6ee représentant près de 500 figure..
Mémoire sur l'
ang ino de poitrine ,
qui a remporté leprix au concours ou
vert sur ce :afetpar la société de nul
deeine de Pari: le 13 octobre 1809
et qui fiat «(jugé le février 18 13 .
Genève et Paris, 1 8 15, ia— 8 . C'
« 1
encore aujourd‘hui la meilleure mo
nogn phie que nous ayon1 sur ce su.
jet. Jurine succombe lui—même à lamaladie dont ilavait ai bien fait l‘histoire.
Mémoire eur le croup, qui parta
gé le prix extraord inaire de douze
mille francs f ondé par le g ouvernement impérial. Genève, 18 10, ia—8 .
Bt‘
d oiu :de:m od e:qui se trouu n:
ana:m in us de Genève .Genève,18:o,
ia—4, avec planches coloriéu .
Jurine afoun i un a u : grand nombre demémoire:à d ivan recueils .
Ohem tions de M. Jurine sur l‘air
“mmpbe‘rique en sortie de: pou
mons. Dans le Journal de: mine:tom. III, 1 796 .
n) ü xüm sur la néceuüé d‘une non
veIle nomenclatmu en géologie, etl’
ex
po“!de «:e qn'
ü pmpou . Journalde:
mince, !om. XII , 1806 .
Mémoire sur l‘argulefoIiaafe (arguIu:foliaecm) avec une planche. Dana
les A nnales dumuseumd ‘histoire naturelle
, tom. VII, 1806 .
avec une planche. Dans le: Mémoire:de l’Académie de Turin , tom. XXIII,
18 18.
Observations sur les aile: de: Ipa
ménoptèn s , avec six pl. Dane les
blem. de l'
Acad. de
te'
: de l'
œ il du thon (member thymE nnœi ) et d
‘
autre: pois ons avec
une pl. Dans les Me'
m. d ephy sique et
d‘hist. naturelle de Geneve , tom.
1 82 1 .
Note eurle: dent: et la mastiœ tion
de:poisson: appelé: eypn‘
ns. Dans les
Me'
m. de physique et d‘hist. naturelle
de Genève , tom. 1,
Note mr la donne à long con (f areiola 6neic) , nvec une pl., 10111. Il
pu m1cro partie, 182 3.
Histoire abrégée de:poisson: du lac
Leman, extraite de:manuscrit: defi !
298 m°
dëœmhre 1 752, p. “l é— Beaucoup de la France. Pari! 1 757, ia-12.
de fièvœs intermittentes qui avaient E ssai sur la gangrène interne. Pa
résisté au quinqu îna ,ontcédé i l
'
u f in, 1 76 3, ia— 12 . Attribué à Javea
sage d es eaux de Bourbonne. fils , médecin à Chaumont , par laMémoire sur les eauæ minérales France littéraire . La dissertation i ni
dans lequel, après un examen som vante est probablemen t aussi de luimaire , chronolog ique et critique de D e thermis Borôon iensiôus 11aces eaux on s
‘attache à prouver Campano: specimen medieo—
practi
contre l’
opin ion opposée , que leurs cumrive de legitimo circa illor trac
” rtns ne réstc'ent pas dans leur mo tampmeu‘
aa prelegomena . ChanlatiL Paris, 1 7 57 . in— 1 2 , 65 pp. , et mont, 1 77 4 , in—4 .
dans le Mercure de France fevrier Il y a plusieurs articles de Ju et
mars 1 7 57 . dans le Joarnaldemédecine.R{fleæions sur les causes d e l
‘
in (La a ce li ttéra ire.
templrie du l'
a ir rêgnant sur le climat Catalogue ra isonné etc.)
JUVILLE , experthern iaire , reçu au collège royal d e chirurgied e Paris , s
’
est fait un nomhonorab le dan s sa profession : ill’
exer
çait d epuis quarante années , lorsqu’
ilmit au jour son principalouvrage en 1786 . mais il avait présenté les banda-ges d e son iavention à l
'
académie des Sciences en 1 7 7 3 et cette académie enavaitporté le jugement le plus favorable .
Lettre à sur les bandag e: servir de reservoir un anus m am”
pôur conten ir les l1emle: inguinales. nature au pli de l aine . Journal de
Journal d eMéd ecine , 1 7 75 , t. I l.lll, Médecine , 17 7 7 , t. 4 7, p. 6 5.
p. 1 7 2 . Deuxième lau re. Ibid .p. 46 3 . Tra ité de: bandage: hemiaimTroistente lea:e . Ibtd . p. 545 . Qua dans lequelon trouve indép æhæ…M ême lettre . Ibid . t. XLIV, p. 149. des bandage: ord inaires des machinDe €cription d
'
un pessacæ de gamme nes propres ä reméd ier an.: chute: deélastique a vec quelq ues observa tions la matrice et du rectum à serv ir de
far la fi rmo qu'
il do it avotr et sur ses récipien t dans les cas d'
anus artifiW . Journal de Médecine 1 783 t. eiri d
‘
incontinence d’
u°i ne , etc ete .
LX , p. 285. Paris , 1 7 86 , ia—8, avec 14 punchDescription d
'
une machine pour
KAAU— BOERHAAVE Aansn sm) , fils d e Jacques Keen ,medecin d e LaHaye . naqu it dans cette v ille le 5 janvier 17 15. Son
éducation fut so ignée par ses oncles Jacques etHermann Baer
haave , et ce fut sous ce dern ier , qu’
il fi t ses étudesméd icales à
Leyde . En 1736 aumilieu d ’
une nu it, ilperd it tout— à— coupcom
plétemen t l’
ouie et ne la recouvra jamais . Il n'
en poursuiv it pas
mo ins la carrière q u’
il avait emb rassée ,et fut reçu docteur en
1 7 38. Boerhaavtzen mourant, voulut q ue son nompassat à ses neveux Ab rahametHermann K aau , et q u
’
ils l’
unissen t à celui de leur
famille . Abrahamse fixa à LaHaye pour y pratiq uer l’
art'de gué
rir. L’
acad émie d es Sciences d e Petersbourg l’
admit au nombre desesmembres en 1 7 44 . Deux an s plus tard , ilfut appelé dans la ca
pitale de Russie par son frère Hermann premier méd ecin de
l‘
empereur (car c’
estHermann q ui avait ce titre,et non Abraham
comme on le d it dan s la Biographie méd icale ). Il cut d ab ord un
emplo i dans l‘hôpital d e l
’
Amirauté , et \‘Ve itbrecht étant mortpeu d e temps après, AbrahamK aau Boerhaave le remplaça dans lachaire d’anatomie et d e physio log ie . Son in fi rmité ne l
’
empêchnpas d
’
avo ir un e pratique fort étendue mais il était obligé d’
avo ir
un truchemen t, et c’
est le docteur Mau‘
t q ui 1‘cmphssait cet office
près d e lu i. Ilmourut le 11, ju illet 1 7 58 , e t non en 1 7 53, commele d it
,Sprengel, qui a pris la date d e la mort d
‘Hermann Kaau
Boerhaave , pour celle de la mort d e son frère. Ab rahamKaau
publié plusieurs ouvrages d ont un entre autres sur la force vi
tale et les sympathies a eu beaucoup de célébrité.
Oratio cle gamins alchemistarum Impetutn f aciens dictumHt} !pæ M flLoyde , 17 3 7 , ia— 4 1 743 , i i i -4. per corpus con sentifl zs phi lologice et
D isserta tio inauguralù de squirrñ0. phy siolog ü e illustmtum observati0n i«
Loyde 1 7 38, ia-4 . bus et eapen
‘
ment:s passimj irmatufl l.P erspiratio dlcld Hippocratts pe_r Leyd e , 1 7 45 ia-8. Nature de la
univers…oorpus nnatœm‘
ce illuctratæ force vitale substanç e in terméd iaireLeyde 1 738 ia—8. Ibid. 1 745, in—8 . entrel
’
esprit et lamati ere ;dü tincü ôn
Aprb d‘
excellentes études , faites dans les Univæù & de Luné.
bourg Hambourg , Dantzig . Thorn , Cracovie et Km igsb ng il
fit un voyage en Uanemarck et en Suède . On lui fit vainement d es
offres avantageuse: pour le reten ir à Upsal il aima mieux voya
ger , et il accepta la pl
ace d e secrétaire d e l’
ambassade q ue le roi
d e S uède envoyait en Perse , en passant par la Russie , et qu i partit
de Stockholmle en mars 1683 . Fs bricius l‘
ambassadeur ayant
accompli sa mission à la fin de 1685 Kaempfer se mit au service
de la compagn ie holland aise en Orient, en q ualité de chirurg ien .
En 1690 ,il fit partie d e l
'
ambassade en voyée au Japon . i l re v int
à Batavia en 1693 d’
où ilpartit pour laHollande . Il arriva à
Amsterdamau mo is d‘
octob re d e la même année . Ce n’
est q u'
alo rs
qu'
il songea à prendre le grade d e docteur en méd ecine . il se re n
d it à Leyde et il y fut gradué au mois d ‘
avril 1694 . Kaempfer
s’
étant retiré alors dans sa patrie , le comte de la Lippe en fi t son
médecin . Il mourut le 5 novembre 1 7 16, âgé de 65 an s. Il avait
publié lui-même ses Zmœmld læ exoticæ mais ses nombreuses
occupationspe lui avaien t pas permis de mettre tous ses recu eils
en état d e paraitre,Le chevalier bloane acq uit à grand s frais d e ses
héritiers sesmanuscrits et ses d essins . Schw ebzer en fit une version
anglaise et c'
est sur cette version qu’
a été faite la traduction fran
çaised e Desn1e iscaux d e l
’hist01re du Japon . D‘
autres publications
ont eu lieu depu is mais lamme féconde des manuscrits du savant
voyageur n‘
estpoint encoreépuisée .
D in er£alio med ico-inaugmalù :is Scheuchzer. Londres , 1 7 2 7 ia-fol.
un: decadomoé:u oationume.rouca Vol. Trad . en francais par Desmai
ram. Ley de , 1694 in-4 .seaux, LaHay e , 1 7 29 in —Fol. 2 vol.,
Amæn itatum exoticammpolitico fig . Ibid . 1 7 3 1 , ia- 1 2 , 3 voi ._
— Chr.
phy sico-mrd icarmn/amicuü V.Qmôur W Dobm, a pnb11c une éd ition d e
cœutinen lur am:iæ :elationes , absar l’original allemand, Lemgo, 1 7 7 7-78 ,
«ariane: e t d escription s rmum Persi i ll-4 , 2 vol.
«n um etfi lærion s Asia: in uùa atté:i Icones selecta plantamm qua: în
tiene in perrgrinatiombu:per mu
‘
vi*r Iapom'
a codeg it et delînea vît Eng eä .
mm01 ien lemcol.'ectæ. Leù:gd , 1 7 1 2 , Kœmp]ef a :archegpü in marco Bri
ia-6.
tann ico a::ervatis . cd . j ar. Banks .
The history of Japan _
and Siam Londres , 1 79 1 ia-foL, 59 planches.written in highDam/1 by Eng elôert (B ibliOt/æ. ang laise . Niceron .)
b empfar, and eng lish John Gaspar
K ALŒ NBBUNNER docteurçeu méd ecine , protes
seurparticulier
'
près d e l’Üniversfié ‘do…,mä lee in Il. la da
KAL
chesse de Leucbtenberg mort à Rome le 28 décembre 1838 . ce
jeune médecin , déjà ,bonorablement connu par ses recherches mi
croscopiq ues sur l’
i nflammation , avait été reçu docteur enmédecine à Wurzbourg en 1826 . Iln
‘
avaitque trente ans quand lamortl‘a enlevé.
perimentorumci rca «atum :anguiæi:
4 m m in ivfi nmmatione . Augu s
læ, 1826 , ia-8, 39 pp.
eirmatom sanguin i:
et mm :: in inflamm ü'
onc. 011111
9 wi fi. lùkogn 18251 Îü ' 4o
PP
Recherclces expérimentales sur l’
in
flammation . Dans le {icfport. gen . d‘
a
nal. et,dephy siol. pathol. de Bresche£,
1 82 7 , t. IV, p. Il.
Beobaclætungen aber çIen Heilmæg sprocess an Wuadçn . mit 1 K. inHeu
Callisen .)
KAL‘I‘
SCHMIDT (K 1nn — Fmanatcn ) , l’
un desmédecins renommês d u d ern ier siècle ,
naq uit à Breslau le 2 1 mai 1 706 . Il fit ses
études littéraires d ans le gymnase Sainte—Elisabethd e sa ville na
tale. Eu 1 7 26 il se rend it à Iéna , où il étud ia d eux ans le d roit
avant de se livrer à lamédecin e. Ilfut promu au doctorat en 1 7 32,
et il se livra à l’
enseignement de la médecine légale , d e l‘
anatomieet d e la chirurgie . En 17 36 le duc de Saxe
—E isenachle nommaconseiller. etmédecin aulique et l
’
année suivante le duc de Saxe
We imar le choisit pour conseiller et premier méd ecin . En 17 38
Kaltschmid t fut nommé professeur extraord inaire de chirurgie àIéna, Durant les années
‘
17 42 et il fit un voyage'
à Peters
b ourg, par la Prusse , la Côur1ande etla Livon ie et rev in t par Eu
b eck et la Basse -Saxe . En 1 745 il fut nommé professeur ord inaire;et après lamort d
’Hamberger , en 17 55 il eut le premier rangdans la Faculté de médecine et la place de médecin pens ionné ducanton . K
_altæhmid tmourut le 6 novembre 1769 , ayant fait sou
ten irsous sa présid ence un g rand nombre de d is sertations , la plu:
part intéressantes et donné lui —mème beaucoup d’
opuscules aw
W ‘
ringer ü Ze i£:chriftf ürorganiæhcPh;sih. 1 82 7 , t. 1.
Rechercher expérimentales sur la
circulation du sang , pour f aire sm°
D
celles de Dollinget‘
, d ans le Joann.
d es P rog . des méd . t. i l , p. 3 9,
18 28 .
2 11.1a derWohhhœ£igü iæpj bæin der Kgl Hanpl und Resida xrtaü
München ; am Amtùchen Berichtendargesteflt. A ôrheü . 1. D ie Wohùhufigheitsan:£nlæñ Çvelche untermag istra tischer Verval:ung r£ehen . Muniofi,
830 , ita— 4 .
(Med . chir. Z eitung .
308 KAN
d‘Ei1enacb. De 1727 à ,
1730 il étudia dans les Universités d’
Iéna
et de B elle. Vers la fin de cette dernière année , il revint à Gotha ;mais ilne fit guère qu
’
y passer , et ilalla se fixer à K iel pour s’
ylivrer à l
’
exercice de l‘
art de guérir. Ileut b ientôt de la réputationcomme praticien . En 17 33 il obtint la licence, de l
’
Un iversité d e
Kiel , et l’
autorisation d’
enseigner. En 1736 , il fut nommé professeur extraord inaire et docteur enmédecine , et en 1740 membred e l
’Académie des Curieux de la nature. En 1743 il devintpro
fesseur ord inaire. Kanaeg iesær mourut le 26 août 1792 l’
âge
d e quatre v ingts ans. Il était depuis 1786 conseiller—d‘
etat du roi
de Danemarck. Ses œuvres consistent en des d issertations soute
nues sous sa présid ence , des programmes académiques , des obserrations insérées dans les actes de l
’
Académie des Curieux de lanature , et en un traité demédecine légale. En voici les titres:
piente cammunas pnfi ord . auspi
caretar. K iel, 1 743, in-4.Or. de moderneramstadiis altitm
‘
bas non altion‘
bas. Kiel, 1 743, ia-4 .
D isp. de sadonferamabasa. Kiel
‘J 441 ill-4.
Or. de probabili menti: cam'
corpa
re anime. Kiel, 1 744 , in— 4.
D isp. de ad “ringenü am e ia
d iaphoretiea. Kiel, 1 744, ia—4 .
pm in adeanti clin ico j ttætd probe
attenda d is . Kiel, 1 7 33 , i n-4.
n u de spina dorsalis pre ter
i”“e
B ier. de caasû mrborame.: in
flora rider-am pandastibas. Kiel,
1 7 32 9 ‘M e
[â ne eatarrhalimaligna, anna 1 7 33,
menu Aprili Çhü oniamHolsatgmm
absidente. Kiel, 1 7 33, ia—4.
si. Kiel, 1 745, in—4.
nammü flexu pra !ection ibas sais
phy sicb g icis præmissam. Kiel 1 734,
0ratio depiæate med ion imprimism rsaria cam munas pro/en orismed io. eahuord . aaspicnretar. Kiel
1 7 36, ia—4 .
n r. de felieiam pharmacommiafi liei tape usa pra lectioniba:pa
biicis pramissami Kiel, 1 736 , in—4.
Voü stænd igz B eschreibung der
Èalü schen Medieamenæ. Kiel, 17 3 7,
Progr. de spasmo e:e colore etfri
gone , altero obama immediate «:d
more, a d pm . d1‘
sp. Kiel, 1 74 5,
in—4.
1 745, in—8.
D isp. de spirita ardente ej asçue0pemnd i modo . K iel, 1 747 , ia—4.
lande et meriä s plau d nguleribas.
Kiel, 1 74 7 , in
te. Kiel, 1 748, ia—4 .
Diss. de pacam tosi. Kiel , 1 748 ,
111—1.
articles saivane
Nol. _V1:061. de calcule , inprincipio
œsophagi concrete. salis tandem di
g itis extmeto . 063. de ealcalis felle is ea: (core dextn
‘ hypoehondri iprad aclis sauateque vlc
—ere o :tid isj el
lea: et mer:mw li . Obs. de herniis
menti carnosi uteri orificium exter
num elaudenti1 , menstruique sangui
nis tramitam etmatrimmialemeen
g resmm imped ientis sublatio. De
la: m o 1 7 40 in Holsa tia epidçmice grassanæ: p. 36 . -Inmxiacareinomati: palpebræ adnad eæ
tirpatio , p. 40. Cd calus per bien
nium in methra hærens, sectione f elicirermêlatus p. 4 1. — Bmuneiaü 0
super ams ®mati infl ic&am et
prægreuam insig nem eraua [mmram :p0næjamcoahseentcflt, p. ‘a.
De morbo quodm concub in :
epidemice per'
Holsatiam gratsante
p. 108. De cestra ex iapidicina
tumore abdominis insigni , copiosa fijdatid um ex utero exclusion , sanato.
Angina rxpm essuumcartilag in is
seutiformis d ima:ione aborta reposi
tion‘
e d igitis f aeta f eH0iter curata.
Noranda guædam de f rigoris anni
1740 efi'
æm. Vol. VII Qb:er
prope præd ium N oer nuperrin æ ejj ossa p. 1 2 3 Ç mgularis ej]eetwet notabiIe ez terrore damnum p.
1 24. .Vol. VIII : Obs. de admin7 .
(Haller — Mau d .
U NOLD (JEAN ), l’
un d es épidémiog mpbes les plus d istinguésdu dernier siècle , né à Breslau le 15 “d écembre 1679 se ren dit à
Halle, en 1 70 1, pour y achever Ses études méd icales . Il fut d isciple
de Slabl , et c est sous la présidence d e cet homme célèbre qu’
il
soutint sa thèse inaug urale en 1 704. Aussitôt reçu il alla se livrer
à lapratique de l’
art dans sa v ille natale. Ce fut lui qui fonda , avec
l’
aide de quelques amis , un écrit périod ique fort estimé,qu’
il
continua sans interruption jusqu’
à samort. En 1 7 19, il fut nommémembre d e l’Académie d es Curieux de la nature, à laquelle iltransmit de nomb reuses ob servations. Kanoid mourut le 15 novembre17 29 laissant manuscrit un cuv1age considérable sur lamalad ie
pestilentielle qui régna de 170 1 à 17 16 , ouvrage qui , malheureusement , n
’
a pas vu le Jour. Kanold avait pub lié les suivans
Dr:pu14 110 de abortu etfœ£nmortno de:Horneviehes in Seàlesien.…un,
( sous la présidence de G . E. Stabl). 17 1 3, ia— 4 .
Helle , 1 704 in — 4 . Kurze Jahrbis£on°
e v on d er Sa c“Brief e e in iger Medicorum der d es Hen iviehes v en 1 70 1 . bis 1 7 1 7 .
P est in Preuu en Pollen,Sckk sien. Bautzen 1 7a0 in-8 : 1 72 1 ia—8 .
Breslan 1 7 1 1 ia— ç . Mit Anmer» EinigerMarriä an isehmMed ieommkangen . Halle 1 7 13 in—Æ. infi anzosùcher Sprache! ausgefi fl ig ü
Hü toriseheNaclmeht v on der Pest unJ ins Tem be M m Send
1ehreibenvon derP est inMarsilien'
und
mit ein igen rfi cæ1‘
onibu: sonderlich21011 demWahren Ursprung der Pestik n: aus und in Orient. Leipzig
1 7 2 1 ia-4 .
Unœu uelumg des TannenM aris
ehea G aundbmnnens .
$ ammlung 11011 Natur und med icinirchen wie auchnicea gekærig en
Kunst und Literatur Ge1ehùhtenmon1 7 17 bis 1 7 2 7 mon Kanald und
K undmann besorgt ia-4 38 vol.
Supplemenlbænde. Bndissin 1 726 Ro…und .— Haller. )
KAPP (Gnome-Cu Ér11x—Fxñmäarc), né à K ircbleuss le fé
vrier 1780 fit ses étudesmédicales à Eriang , et y futreçu docteurle 19mars 180 1 . Il se fixa alors à Bayreuth etpartagea son tempsentre une pratique active et les travaux de cab inet. Les ouvrages
qu’
ilpublia annoncèrent un homme jud icieux et instruit. Il pro
mettait une topographie de Bayreuth, pour laquelle il avait rassemblé une grande quantité de matériaux , quand il succombaautyphus qu
’
il avaitpris en soignant les soldats autrichiens et russesqui en étaient affectés en g1and nombre à Bayreuth. Sa mort eutlieu le 16 février 1806 . V0ici les titres des ouvrages qu
’
avait déjà
pub liés ce jeunemédecin .
Ueber e inig e Wiä ungen der Le
fiensluf t auf den 1fiierü chen Kærper.Erlang , 1 799, in
—8.
Ueber d ie Schwçflbæuœ imalig e
meinen d eren W1rhmg .æ rt und Aa
mndung bey Krankheiten. Bayreuth,1800 , ln-8 .
D isputn£. inaugur. de marie phosphorico. Erls ng 180 1.
D ermensehlicheKœrpermon sein erEn tste imng an bis in:A lter; ein Lexe
hel1/ür alle S:ænde des ref/‘
emA l
ten . B of,1803 , in—8, 208 pp.
Ueber das schwarz_e Magnifi eum
oder das w llfiommene Braunstein Me
tailoay d aisHeiImitæl 1 803, in-8.
Srstanatische DarstcHung derdurel1die neumChemie ia' der He:ü undebmirlæn 7 erændemngen und Ver
81 1
1 7 29, in-4 4 vol. Continuépendant
quatre années , par Büchner, sous le
Etre de M scellanca phy sico-med i04rfurt 1 72 7
-3 3. Universal Reg ister .
E1fufi 1 7 38 .
Museog raphia oder J nleinmng zumrechten B eg ri/f und niaelieher A nkg :mg d er Museorumoder Rari1æzen
kammern 11011 C. F . Jene£el Kaufmann in Hamburg w rmelurt 111111
Kanold . Leipzig et Breslau, 1 72 7 ,fil:— 6
(Jœd 1er.
ba serungen.nd s1einen Aü ange ü ber
das Brannd einmœaü und d essen Oxyd e als innerlicne und i1usserlie6e Bril
mittel in d er e eifiamt.Hof, 1805,ia—8 32 7 pp.
Ezzæhlung eines (‘
esteli fscl1merzens,bey welchemd 1e Durchschneidung de;Nen ensf ruchd os war. in H::felnnd
‘
Journ . d er pra1lt B ei“T .KK , p 65.
B e <chreibung des Bay reuthù e '1enStad t!azw zùes. In Kreuzens Armen
freund . Le même recue1l contient
quelques autres articles Kapp.
Dans l‘
Oberdeutseh. A ”gem. Lie.
Z e it. , on trouve des poésies latin es et
allemandes de Kapp, et des analysescritiques d
‘
ouvrages nouveaux.
(Rotermund . Med . chir. Ze1lung .)
3 12 M B
KÀUHLEN (Fxmz—Wmnuh), né Heinmerclem dans l’
etit deCologne le 27 janvier 1750, fut reçu docteur en médecine à Bonnen 37 74, et devint professeurord inaire de pathologie de mèdecine pratique et de policemédicale de cette un iversité. Le princeévêque de Cologne le nomma son conseiller. Kanhlen mourut en1 793 . Ses productions qui ne consistent qu
‘
en des opuscules aca
démiques n’
ont rien de b ien notable etméritent à peine d’
être
D iss. inaug . Examen fonds mine Übhandlnng über die Rul1r. Bonnrelis mer
-ii M dorfiensù prop Bon i 787, in-8.nam. Duisb0nrg , 1 7 71 , ia—4 . Diss. de febrem mli. BonnProgr. van den Hindernissen / d ü 1 790 , lu-4.
dor Vem ü lommnung der A rw yp D iss . de f ebre aminm riu. Bonn
b brsam£eit imWege stef:en. Bon , 1 791 Resp. Ebbinü qysen .
1 7 88 ia—4 . (htermund. Ueteri .)
KAU‘
SCH J0umu-Josu n),homme qui s’
est fait un nomdistin
gué dans la critique médicale et dans l’
exercice et la littérature de
la médecine publique était né à Lœwenb erg le 16 novembre1 75 1. Reçu d octeur en médecine àHalle en 17 7 3 il voyagea pen
dant deux années au bout desquelles il futmédecin du prince ,d e
Hazfeld Trachenberg . Ilobtint successivement les titres de médecin ca
_
ntonnai d e Militsch en Silésie d’
associé du collègeméd icalet san itaire d e Glogau en 1 792, de conseiller près le gouvernementde la Silésie à Liegnitz , etc. Il fut décoré de l
’ordre de la Croix
de—Fer , et en 1823 , .à l’
occasion du jub ilé demi—séculaire de sondoctorat ilfutcréé chevalier de l’ordre de l’Aigle-Bouge. Kanscbmourut le 10 mars 1825. Kauscha écrit un grand nombre d ’
ou
m gîs sur des sujets très-Ÿariés. Son E sprit et critique des jour
naux allemands en 18 vol., et ses Memombilîen , en 3 vol. , que
je connais , sont d‘
un homme très instruit et d’
un jugement sûr.
On n’
estime pasmoins ses autres ouvrages.
Diss. inaugut de remed iommin n de über Versebiedme Taga da die
bmoribmnostris non solubiIiumefiï ses Gemeiues w rmebf1 und dureb
eaeia . Halle , 1 7 7 3 in -4 . neue Evfabrungen bestæfige1. Bru b u,CollinsHeilbrafl e de:Wolferley in 1 7 7 7, in
—8.
ten aus demLate1‘
n . semerWalem b und die Rau dna 11.Hasfi ld . Breelan,über bü z ig. und Iangwiefigæ 1 780 , in—8.
i l !»
ger begü nslig etwird.
E :f ahrungen ü ber denLungenbrandoder Milzbra
'
nd de s Ilindviehes ; inl Repertoriunt fi ir dcc g erichtlich€und œ//entliche A rzne
_rgel. B . 2 . 81. 2 .
3 . 269-30 3 ( 1 79 1)Ueber Ludwig Ferdinaa schæne
That,in den schlesis. Prov1‘nziaiblæt
tem. 1 793 St. 9 .
Rausch'ens Schicbsale nebst mann ichfahigen Abschwafimg en und ei
nerc inge . Leipzig , 1 797 , in-8.
andere Geis11iehheü mehr oder weni wmah‘ge _
P olgn. Bra ke 1796 . iu
/
-
2.D ie Heilçuellen au Buchowine 11r
A erate und N ichtærztc nachdesHa iApothehersLaol1mund chemischer Untersuchung derselben gewü rd 1
‘
gt. Bres
lau et Leipzig , 1802 iu-8.
Ueber den Milzbrand des Rindvie
hes ; eine A bhandluug , welcher mond erhœn ig lichen Ahademie derWissemchaftan au Berlin d er P reis monfiinnjzig Ducaten suerhanut werden ist.
Berlin 1 805 in -8.
Fragmenæsarzncyhund eJahrg. 1806. Januar.
E in neues charahterisischesZeichen
Ge ist und K ritihdermed iciniæhenund chirurg ischen Z eitschriflen Teatslands f ü r J erzte und Wundænrte.
Le ipzig Breslau , 1 798— 1 808 in -8 , der Rindviehpest in Huj eland
's und
18 vol. Himly’
s Journal derpraht.HeilhmdeHed iciniche und ct iscbe Erfa 1 809. Mars n . 4.
hrungen; in Briefen an Girtahrær, Eu Memorabilien derHe ilhunde Stanl
j eloud Leder, Quarin , Richter. u . sm neiwin enschaf t und Thierhe ilw. nebst. den eingegang enen A ntwor hunst, Zullihm; in-8 1
ten . Le ipzig , 1 798 in-8 . 3 vol.
8 :{fc an den E insiedler Grand au Ueber d ie neuen Theorien d es K ri
demRiesengebürge , ü ber seine Lande: minalreehts und der gerichtliche'
Me
‘verweisung und gp:hammRe isen nach d icin Vorschlægen zurVerbesserungLe ipzig , Iéna, Weimar , Erfi1rt , Go be
_r der Disciplcnen. Zullümu 1 818
tha , Gottinguc, Halle Postdam—und i n-8 .
Berlin . Berlin 1 799, ill—8 . Kaoscha en outre coopéré à l'
En
& nd schreibæ an Herm Hofmb mlope‘
d ie d‘Erschet Gruber, et il a
Hufi land i n tenu au] Veranlassung fourn i un grand nombre d ‘
articles
seiner d‘
t Bemerkungen ü ber das d’analyses critiques à l
’
A Imanachd eN errenfieber und seine Complicatio Grmær et b d ivers journaux.
nen . Altembourg, 1 799, in-8. (Bustund Casper, Kritisches ReperErste Fortse1zung seiner Nachrich torium etc. Med . chir. Z eitung .
ten ü ber SchIesien, Bœhmen und das Alig .mêd . Annalen . Meusel.)
KEATE (Tacn ss), chirurgien général des arméês britann iqueset chirurgien extraordinaire du roi d
’
Angleterre , est connupour
avoir recommandé, comme un moyen dont l’
expérience lui avait
montré l‘efficacité contre l’hydrocèle l
’
application top1que d’
une
solution de selammoniaque dans parties égales de vinaigre et d’
al
cool. Keate recommande aussi b eaucoup l’
emploi des topiques
froi ds sur lesherniea étranglées .
til!g that d isease . To which subj oi
ned :ing ular case of hernia ma icæurinan
‘
a complieata withb} dmcele ,and two cases of hemia incarcerata.
Londres , 1 7 88 , ia-8 60 pp.
Ohewàtwm on theflflhreport B ibliothe£ . Rob .
the commim'
onners of military inquiry , and more particularly on these
KECK (Ju n-Ennnmn), né à Koswig dans le duché d‘Aubaltle 56 mars 1753 reçu docteur en médecine à Wittemb erg
‘
en
1 783 futmédecin pensionné de sa v ille natale. Ilmourut le 12 fé
vrier 18 12 .
Dies. inauguralî: taper tutti quas
Jm an imadeeu iune:continens. Wittcpber
'
g 1 7 83 , ia-8.
Die Hausmutter an Krankenôette ;eine g emeiunutz ige Schrifi f ü r alle
& ænde . Pendant zur Gemershau:i&cher:Ham—matter. Berlin} 1 7 84, in-8.
A bhandlungen und Bed aehtungmau: derpractisehm und grrichtlichenJ rzney wirsemchafi . T . I . Leipzig1 78 7 1. Il
,ib id
, 1 7 89, in— 8.
Ven ue/1 e iner K lassification der
Voü sarzney fiund in Nold e’
s A rchivj ür d ie Voib arzneyfiunde . T . I .
Napht Wurmbrande Reiten in
J brssi nien , 30 Jahre nachden Dorti(Elwert. Med . chir.Z eitung )
KEILL (hun ), frère du célèbre mathématicien et méd ecinJohn ‘
Kcill, naqu it en Écosse le 27 mars 16 73 . Il fit ses études à
Éd imbourg et à Leyde. Il voyagea sur le continent,, revint à 01
ford et à Cambridge , et prit dans la dern ière d e ces Un iversités ,le grade de docteur en médecine. En mob ,
il s’
établit à Northampton où il eut b ientôt une pratique fortétendue . Il succomba
,en 17 19 , aux progrès d
'
un cancer dans la bouche. Keill s’e"
força d’
appliquer les mathématiques , et particulièrement le calcul
des fluxi_
ons de Newton à lamédecine . Ilpasse pour un des chefsde l
’
école iatromathématique.
316
parts of it whichrelate to the sægeon
general. Londres, 1808,
Observations on the proced ings un!report cf the med ical board appoin
t8d to examine the state of the depotin the isle of Wight. Londres 1 809,
ia-8 .
g en Aufl lærung . Leipzig 1 79, in—8
Anonyme.
Bertræge zur B erichtig ang d er
gang baren Meynung en über d ie sage
nante Lose'rd ierre oder d ie [lindvieh
pest. Leipzig-1 802 , in -8.
D er ”’ahrscheinlichste Weg ,
(lie
Rindw iehpest auszurotten. Emnon ac
cessit zu d en v on d er d ass . Ka is erl.
œhon . Gesellschaft in P etersburg und
der chan . Gesellschafl in Le ipzig g e
kw aten P reisschrÿ'
ten . Leipzig, 1 803 ,
in-8.
K eck a fourn i d ivers articles au
Journal de Huj eland et aux A rchives
KEM
serratia de nnæu‘
bashemiplætieihand sibili hæm0p9*
si quan: massularumèrescentibus. tom. IV p. 4 4 7 . De eamearum ad pulmonü substantiañsictero particulari unguium. Ibid . , p. pmu ime accedentium g
'
oetze comi4 49. Verbera dy senteriæ med icina .
/
Ibid p. 450. Suis wariolas comitantis importun issimæ eæen1plumra
rius. Ibtd p. 4 51 . Sudor particu
la r. in nucha et dorso mariolasexeipiens . Ibid ., p. 452 . Tussis em
_piastra tacamahaacæ 11ert1ci imposito,provocata . Ibid ., p. 4 53 . Depectprishy drope seetione cadaveris conf rmata, tom. V
, p. 1 . D e ineomprês
tabatur. Ibid ., p. 283 De emore
coag ulato lumbrici cruenti figuranteaueté referente mietione excreto.
Ibid .
, p. 286 . I nfans præg rund ilabiry leparino deformatus obesas
nascitur. Ibid ., p. 2 88. Gonw rhæaressuscitata utpote remed 1umad tes
ticuli tumoremgonorrhææ suceeden
tempræ »entaneum. Ibid ., 2 89.
(Rotermun tL Meusel.)
KEMME (Jam-Cuafi1mn), né àHalle le 10 septembre 1738 fut
reçu d octeur en médecine à l’Un iversité d e cette v ille en 1760 ydevint professeur ord inaire de médecine en 1 7 66 , éphore d e l
’
ê
cole royale gratuite , et en 1 791 inspecteur de l’
Institut clinique
et des accouchemens. Ilmourut vers la fin du siècle, demier. Les
seuls écrits qu’
on lui doive sont pour la plupart , des opuscules
académiques soutenus sous sa présidence. Ils ont peu d‘étendue
mais la plupart se d istinguent par la solidité des doctrines et par
l’
érud ition .
D iss. d e genesi scirrhorum simpli
cium. Halle , 1 760, ia-4 .
D e ortu hæmorrhag iamm ictero
symptomatice accedentium. Halle ,1 760 ,
in —4 .
D as. d e inn ocenti infectione menerca . Halle , 1 768 ia-â.
D iss. d e êximia rhabarbari wirtutemed ica in worbis quibusdam chranicis. Halle , 1 7 7 1 in-4 .
E inleitung in d ieMediria ü berhaupt.Halle 1 7 7 1 ia—4 .
D iss. de . totius morbi temporibus.Halle 1 7 7 1 ia-4 .
D iss. d e leula tardammpassionumcuratio:æe interna impetumee plerum
que præj ërendâ Halle , 1 7 7 3 in — 4 .
D iss . de wasorumparaly si. Halle1 7 7 3 ia—4 .
Diss. observationes quasdammedieoAnaiècta Je ieæm. Halle, 1780
l
practicas sistens . B alle 1 7 7 3 ia—r
Von derHeiterheit des 8 eistes beye in igen Sterbend en . Halle
, 1 7 7 4
ia— 8.
Beurtheilung e ines Bewei æs v or dieimmateria iitæt d er Sa le aus derHed icia . Halle 1 7 76 , in -4 .
D iss. tentamen phy siolog ieum, que
evincitar glandulas cong lobati g ene
ris organa esse lfmpham«confieientia .
Halle , 1 7 7 7 , ln—4 .
D iss. demi vitali in quandamcel.med ici de eademmateria prælectionem.
Halle 1 7 7 7 , ia— 4 .
Zweif el und Erinnerungen wider
d ie Lehre der J erzte v on der E rnes
rung derf esten Thej le. Huile 7 8
Dû'
s‘
. de diversä tolieampicionummand i methode . Halle , 1780} in—4 .
Diss. de notione gangmna et spheseli . Helle 1 78 1 in-4.
D iss. de f ebribns nervosis et intsu
Halle , 1 786 , in—8. Daring . Meusel.)Diss. de hj dæph0bü ejuq ue spe
KENNEDY (Pwana), chirurgien anglais qui visita la Flandre
Paris , Florence , Rome Bologne , Venise et Padoue , revint à
Loyde , à Utrecht à Amsterdam et se fixaà Londres en 1 7 10 . Il
est auteur d’
un traité assez médiocre de l’œil et d ’
un opuscule sur
l’emploi extérieur des méd icamens d estinés à agir intérieurement,dans lequel ily a quelques vues intéressantes .
O'
phthalmog mphia (en auglais). An essoron externalremod ias.LonLondres
,1 7 13 in-8 . A suppk dres, 1 7 15. in-8.
ment to Kennedy’
s ophthalmogmphia (Kounar. Haller. R…md.)or treatise of the ey e. Londres 1 739in—8 .
K ENTISŒ I (R1cn i an), docteur en médecine à Bridlington ,
dans le Yorkshire ,mort le 3 avril 1792 à l’
âge de soixante-deux
ans , est auteur des ouvrages su ivans
Experiments and observations on a_
History el a case of un iversallaten tnew species of bark Londres, 1 7 85, eaneer. In Duncan med icalcommen .
i.o 8. œries etc., dec. I I, vol. 1.
E au; on sea bathing and the in Observations on the eff ects of theternal use of seu water. Londres g uillotine, as an instrument of death.1 786, ia
—8 . In New London med .j ournal, tom. Il
0rati0n on the method J studying p. 43 1.
natumlhino . Londres, 1 787 , in—8. Renan. kotermund.Advice to gouty persons. Londres Watt.)
1 789, in—8.
KERCKRING (Tatouons), deHambourg ou selon d'autres ,
d’Amsterdam issu d
’une famille patricienne de Lubeck étud ia le
latin avecSpiuosachez unhab ile médecin connupar son athéisme ,Franc. van Ende . En l
’
absence du maître,sa fille , personne pru
fondément instruite le remplaçait dans ses leçons. Les d eux élèves
n’étaient pas encore assez philosofl œs pour ne s’
occuper que de
science auprès d’
elle ; la jalousie se mit entre eux. Ils quittèrent la
3 19
eiflco Meluamaj ali et P:oscambeo.Bulle , 1 783 , in-8 , 36 pp. fig.
Komme avait fuit sur lui—même l’
ê
preuve ds l’
eŒcacité de ce spécifiquçcontre lamorsure du chien eurags’.
smKopfe, und die Durchboîsrang def 0E steffl icfi. SMaæs.1830.—Éleinëfi ,
M M s Vienne, 1830, ill—4 , X fltp£ ’f0ñ lfl fi . MW ÛO‘o EfŒh.
KESSLER (Amu rn—Enw a n), né Iéaaen 1781, y fut reçudocteur enmédecine en 1805 et se livra à l
’
enseignementparticulier de lamedecine . La Gazette d e Salzbourg , annonçant samaltsous la date du 1
“avril 1806 le regrette comme un jeunehomme
de grande espérance. Meusel en 18 10 le d isait mort sans fixer
depuis qtlelle date . Lindauer en 1834 dit que Kesslermourut le3 1 mars 1806 . Cependant , en faisant l
’
extrait du dernier ouvragede K essler, ind iqué ci
—dessous , lequel fut publié en 1807 et ne
porte rien sur son titre qui montre qu’
il soitposthume en en fai
ssut l’
ex1rfi t, la Gazette de Salzbourg ne parle point de l‘
auteur
œmme mort. N’
y a-t—ii 11 qu
’
un oubli ou bien y aurait—ii une errear de date
Dia . inaag . :isteü s ’uegek ôü ü n1ù der Him-tt &:Àædeflafim lim!et animalùatis d ifferentiammutuam 1805
,in-8.
que relationem. Iéna, 1 805, in Ueber die innere Formder Med i
Ueberd ieNaturdersinne; ein Frag cin. Iéna et Leipzig, 1 807 , in-8.
ment sur Phy sik des d ni1nalischen Or Grundzügs zu einem Sy stem d er
genismas. Iéna et Leipzig , r8o5, in — 8. Phy siolOgie des Org anisme s. léna et'
Priÿnng de: Gall'
schen Sy stems Leipzig, ia—8.
KESTNER (Cnui rmn — Gumnw nr) , l’
un d es plus laborieuxbi
bliographes du dern ier siècle , était né le 18 juin 1694 à K indd
bruch dans la Thminge , où son père , N icolas était médecin
pen sionné. Il commença ses études àWeissefifels et alla les conti
nuer‘
a Iéna, où il s’
appliqua d’
abord à la théologie étude q ue la
délicatesse de sa santé l’
engagea bientôt à laisser pour celle d e la
médecine . Ilpassa ensuite à Leipzig où il séjourna deux années
puis àHalle où ilprit les degrés de d octeur en philosophie et enméd ecine. Après sa réception ,
il revint à Iéna. Comme il n’
avait
aucun goût pour la pratique , il s’
appliqua'
s l’étude de l
‘histoiredes sciences et de lamédecine en particulier. Le professeur Stolle
mit à profit son goût et son érud ition , illui emprunta d e nombreuxarticles pour ses d iverseshistoires littéraires et il lui confia le so in
d e composer plus de la moitié de celle de la méd ecine. Kestner
mourut le 13 mai 1747 . Ses ouvrageshistoriques et bibliogra
xsî*
phiques n’
ont rien de remarquable i‘
n’
ais ilsaunôhceiilunb0miii3fortlaborieux.
D iss. inang . de præj udicatis qù i Kurz‘
er fi eghÏ }'
der hiltorie Ë er5usdam in physiolog in opi
‘
n i0nibus. med id aiæhm Gelahrheit üb‘
eifiaufi:Balle, 1 7 19, in-4 . Halle
,1 7 4 4, ia—8 ; ibid .
,1748. L‘
Med:czn 1sches g elehrten hxiÏ on titre seul est nouveau. Kestner en
darin d ie Leben d er berühmtesten mourant laissa manuscrite une tri
A erlzte sammt deren Schnfzen son duction latine augmentée de ciel ou:
derbaresten Entdeckungm und merk vrage, qui n'
a pas vu le jour.würdigsten Streiü gkiæiten aus dem Bibliotheca med ion optitnoruntper
besten Scribt inmœglichsterK ü rze sing ulas med icinæ partes auctorwü
nachalphabetischerOrdnung ôeschrie deIectu circumscrzpta in duos tombiben worden . Iéna, 1 740, in
-4 , 940 d istributa . Iéna, 1 7 46 , in —8.
pp. (Joechér. Rotermund .)
KETELAER (Vmcntt1), médecin hollandais au d ix— sêptlêthésiècle souvent cité comme auteur d
’
un opuscule sur les aphtesoù l
’
on reconnaîtun observateur qui vit dans un pays où cettemallad ie est fréquente et qui a eu des occasions mulliphees de lavoitsous toutes ses formes et dans toutes ses variétés .
De aphthis nostrati6us amigo de 1 7 15 ibid ., 1 7 49, id —8.'Cettê der
Sprosv . M iddelbourg , 1 669 in — 8 ; b ière éd ition a été sb ignéb pi lLeyde , 1 6 7 2 , in -8 Amsterdam Schmidt.
KEY ou KAYE (Jnan ) en latin Caius,helléni3te etobservateurd istingué du seizième siècle , naquit à Norwich, dans le comté deNorfolck en 1510 . Il commença ses études méd icales a Cambridge , fut les continuer à Padoue et prit, dans la dernière de
ces Un iversités , le grade de d octeur en Selon d’
autres , ilavait déjà ce titre avant d e quitter l
’
Angleterre pour passer en Ita
lie . A son retour il fut nommémédecin du roi et d e la reine . En
1559 il fut élu doyen du collège d’
Edmond de-Gouv ille 8 Gad
Bridge , poste dont il se dénlit au bout de treizeans,pourse fixe:à Londres , où ilmourut eh1573 . Il étaitpoète de lacour en fliéihetemps que médecin . Ses œuvres poétiques n
’
ontpoint vit le jour.
Demed en ’
d i methodo ea: CIar. C d Cl. Galenipergaiü eni libri a‘
liq uot
leni et Jo. Bapt. Mon tan i ,meronensis, græci partira Itactenus non‘
42isi
principummed icaram, senten tia ,liôri partira a mendis quiôus scaleô
‘
an‘
i iii
duo. Bâle, 1n— 8 ; Louvain,1556, humerÏsad 'betusttsstmos cod ”
ces repark
in 8 ; Bâle, 1558, in— 8. gatiet suæ_
inægrüati ra tituti,aüùoüt
321,
tion ibusque illustrati . Bâle,t544 , in — 4 .
Galeni liber de sanitate tacada.
Bâle, 1549, in- 1 2 .
D e cpi:emera bn'
tann ica liber. Lon
dres 155 1 , in— 1 2; ed .Hecke1:Berlin,1 83 3 , ia-8 .
Opera al:°
q uot et v ers iones v idali
cet d e mendendi melbod a ltbri duo.
D e ephemera britann ica . Galenus d e
lib/ is su is et librorumardme llbl‘i duo .
D e ratione 'v ictusHippocmtis in mor
KI
Galeni libri de 0ssibus, de ptisana
etc. Bâle, 1557 , ia-8 .
De can ibus britannicis liber anus .
De rariorum animalmm et stirpiumhistoria liber anus. De libris pmpri ülibcr anus. Londres 1570 , i n — 1 2 .
De pronunciatione g tæt‘æ et lati
næ ling amcumscriptione nova. Lon
dres, 1 574 , in
D e antiqmtnæ academiæ canta
brig iensis libri d uo. Londres, 1558
bis acutis. D e placitis Hippocratis et
P latonis . Louvain, 1 556, ia—8 .
in -8 Londres, 1 57 4 , in Ano
nymc.
(Joecher. Rotermund .)
KILIAN (Connan —Josspn ) , né à Wurzbourg pratiqua succes
suremen t l’art de guérir à Bamberg , à Wurzhourg à Leipzig et
d e nouveau à Bamberg . En 18 10 il alla s’
établir à Saint-Péters
b ourg ,où il est mort. K ilian fut un d es médec ins partisans de la
P b 11010p/1i6 d e la nature dont les ouvrages n’
ont pas l’
importance que pourrait leur faire supposer le ton emphatique sur leq uel
ils sont généralemen t écrits . K ilian a d onn é q uelques ouvrages
d’
un genre fort d ifféren t, sur l’hyg1ene, d estinés aux gens du mond e ,
autant au plus q u’
auxméd ecins.
A nleitung zurE rkaltung und Ver
besserung d er Ge sundheit in Leipzig
flirt d ie Bewohner , N achbarn und
Freunde d ieser Stadt nebst einer be
s0nd em A nwe imng zur P_fleg e d er
Gesundheit fü r Mü tter Ammen und
K inder in den ersten Jahren ihre:Lebens. Leipzig, 1 800, ln —8 .
D er Haus-und Reize-Arzt. od er
Ratbgeber f ür N ichrærzte in d en
wichn°
gsten gd ærlæùslen und scluzell
tæd tlcc7œn Krauklæeiæn nebst emerknrzen Da rstellung d er n euesten
Theorie t iger al/gmeinen HeilÆamleLeipzig, 18 00 , in
-8 .
Gemns der Gemndhe it und d esLebens. EmTasclsenbuchf ur A erzte und
]Vicbtœrzte,auf das Jahr 180 1.Leipzig,1 801.
Entwur/eines Systems d ergesummten M ed icin zum Behuf : seine Vorlesungen und zumGebrauche fü rpraeticirende Jerzte . Iéna, 1 802 , ln-8 , 2 v .
D iff erertz d or echt‘
en und nnechtenE rren ng s Theorie in steter Bez ie
hung auf d ie Schnle der‘ N eu-B l‘owrunner. Iéna, 1803 , ia-8 .
K linischesHandbuchzumGebrauchbey d en wiehtr‘g sten gef ahrwolIstenund Schnell tædtlichen [i ran/sheitanf ur ang ehend e A erate . Bamberg et
VV
urzbourg, 1 804 , in —8 deuxième“
éd ition , ibzd 1 809 1 in 8 .
Ueber d ie in nere Organ isation de f
Hezlhunst. A ls E inleitung in meineZeitschriftfü r d ie g esammte Med icin .
Bamberg etWnrnbonrg , 1 804 , ia-8 .
Die Diæmihderweiblichen Schœn
328
Beantwommg einigerAnmerkungcnM iche sichimFrankenlzausischen I’lælligmzôlatt 4 1 . oct. 1 765, 6e
fimiet die E11ü eckang Zahmvd 1 durchKunstliehe Mag ne“.
saheilm beta]fend. Bmw . Mew . 1 7 65 , p. 1 505
1520.
E inige Anmerfiung mdie K inder$ lattem lettre/fond . lb nnov . Mages .
1 766 p. 14 7 3.
A nmerlangmü ber der N ü tzen und
Ge6rauchder Belladonna. Hmnov.
Mapa . 1 769, p.
'
525.
KLAŒNIG (Gorm u n) né Breslnu en 1676 , fit ses étud es
méd icales à Leip'
zig v isita les Universités de Hollande d‘
Angle
terre et de France fut reçu docteur en médecine à Leyda rev int
se fixer dans sa ville natale , et y pratiq ue avec beaucoup de répu
tation . Il futméd ecin de l'électeur de Pfaltz , et b ientôt après d e lacour et d e la personne de l
'
empereur. K laun ig coopéra à l'
s to
n'
a morôorumvmtislaviensùcm et il fourn it des observation s au
recueil de l’
Académie des Curieux d e la nature , dont il étaitmembre. Il publia l
’
ouvrage suivant dans lequel on trouve un ass ez
bon nombre de faits intéressam.
No:oæminmehan°
tatis siveh1‘sto n itati sacro obser ætæ . Breslau 1 7 18
n°
a in noroœmio Sanctissimœ Trim‘
ia-4 .
( Kestner. Jœcher. )
KLEIN (Cun nu -Cnn firrnn), né à Stuttgard le 28 iam;ier 1 7 7 2 ,
fut reçu docteur en médecine , en 1 793 dans l’
Un iversité'
d e sa
v ille natale , et s’
y fixa. Il d evintmédecin de la cour de Wurtem
herg chirurgien du grand -duc premier chirurgien penäîonné dela v ille et du territo ire de Stuttgard doyen d es chirurgiens exa
minateur , chirurg ien en chef de la maison d es orphelin s . Après
avoir été chargé ,en 18 1& et 18 15 ,
d e l’
inspection d eshôpitauxrusses , établis dans le cercle de Stuttgard ,
il fut décoré de l’
ordre
1mpérialrrusse de Saint-Vlad imir. Klein estmortle 9 février 1825.
Diss. inaug . si:æns monstromm Gallerie Griechiæl1er wezôlicher
quommdumdescfiptionem. Stuttgard Schœnheü en in 171rm rcitzendesæn AI
‘ 793 1 în‘ 4 müd en ,
‘ in an ( iÆen Geschmak einfæn
Ch1‘r«q ü ehe Bmeü unn Stutt big nad erhaôen (du brut relief) g ean
‘n a, ‘ 80 ! i“' 80
E twas über d ie P ockenepidemie zu
Gottingcn 1 7 7 7 und ü ber di e Dracula
!ion d er Pocken . HenneV. M ega .
1 7 78,p. 209.
J nfrage , weg en d er Trauma der
Blindg ebohrm . 7 57 .
Von d er Km]:de; Magnet: wià :r
Zalmwch. 1 765.
ommed ieinisoften Gebraucä d e:
Magne“ im5ten Jahr/tendu“. { 7 6 6 .
Rotermund.)
l
à l’
UniversitédeWitten berg, enfin professeur à l’
UniversitédeBalle.
Il donna sa démission d e cette dern ière place et se retira à Vienneavec une pension . Kletten estmort le 22 octobre 1827 .
musgegebeu u. a». RM etLei
ebqflliehes Worærbueh, worina night paig , 1 798 ia— 8 .
nur d ie m M aude gnhôf ïgu
Zerg& à xungsfiumt Wundau ncy ransg egeben von D. Gang . Er“hundu, Aporhd u bunfl ,M eide£mæ, K Ietten tete: 81ü çk. k o…et Lei
rñs . ia:—8. a“ re» amBOÂW k 1ÆiPû 8 ,
a g ursprunglühy ieehis D e constitutione morbornn alu“cherWr
‘
s‘
M rfl ssliehau: einander ga lu n a seuW mü pmprü , m a
setz undholla nd ische ,franzä sische, amo m@ o—pracä cæ W…englische und andere Benennunge bey 1 806 , in—4 .
gefügt, w mit ü berdies nochdie wols Program a de prmrsa in a bus
W M Ausguôe un d mit der 1 807 , in,—4 .
nachalphabetischer Ordnwzg cinge
m“cht_en Geschichte der berühmte:tenJ erzte nebst der Anzeige der worzu
glichsten Schuf ten derselben und wie
len andern Zusæçeen mermehrt.TroisVolumes , Vienne , 1 7 88 , in—8.
Wienermed iein i:cheMonatsschnfi .
Vienne 1 7 89 ,ia-8 , 4 vol.
Ver.çu_
cheiner Geschichte de:Verschô‘nerurg stri ebes imweiblichen Ge:chleehte nebst einer A nweisung ,
d ie
& hænheit ohne Schminhe zu erha:h«mGotha; 1792 , in-8 , en deux parties .
0ratio de ingen io medici. GreifeWald , 1 797 ,_ 1n
-4
Kritische Ideen ü ber d en swmt rando aqua: frig ida usu externe in
1næssigsten l'ortrag der ausubendcn d iversismorbis curandis. Wittemherg,Heiihunde mit Ruehsiehtauf d ie 1 8 1 2 ia— 8.
dk…«u «immo«kw wed ameZ‘Α Eiü kü ung in seine me Meusel. Lhdener.)
debiù‘
tantiumdenominatiom Wittenabe
_
rg 180 7 , ia—4 .
Program a de hæmorrhag1a na
rimn in worbis acuti: critica “sale
tari . P ro lus . I—IlI.Wittembprg, 18091 8 1q ia—4.
P rogramme: de comtituäone morborum nervous. Commentatione; I»
7 11. Wi ttemberg , 1 8 10— 18 14 in— 4 .
D e maria malignitatis ratione in
febre scar1atinosa obserr. iü usü . Lei
pzig , 1 8 1 1 ia—8 . Comment. Ho” .
Ibid . 1 8 1 3.
3 36 K
D ias. de Iactis d iteussione. Erfurt
3 7491 {N °
D in . de opäma œsium in scek to
afi ificiose j ung endomm ratione. Er.
fun , 1 7 40, în-4 .
Dm. de laboriôus pharmaco-ciymieis. Erfurt, 1 7 49, it:
—4.
Diss. circa usum v enæ 1ectiætis
inpuerperis . Erfurt, 1 750. ia— 4 .
D ist. de errore loci. Erfurt, 1 750
in
P rogr. en cres Ioci ad pra-ccd .
D isp etc. Érfurt, 1 750, ill—4.
Diss . de salabritaæ. Erfurt , 1 75 1,
ia
D iss. de gutta serena . Erfurt, 1 7 51 ,
ia -4 .
D iss. de sectione menu: meda‘
anæ
nonnunquam pericuiosa. Erfurt
1 752, ia-4 .
D iss. d e capite con ij Bn ni f œ tus
partantf acilitante . Erfurt, 1 75 ia-4 .
Das. demorborumrecid ivis . Erinrt,
1 752 , ia-6.
Php ü aiü ck Untersuchung des
P ila t mle i1en d ie Natur. durchFæuln iss im 1 753 . au] e inigen
Wiesenhervorgebraeht. Erfurt, 1 7 53,
P rogn d e uti iietj ucänd0 inmateriamedica oonne:u . Erfurt, 1 753, in—4 .
D iss. de nitro . Erfurt,1 753, ia—4.
, D iss. de insania . Erfurt , 1 7 53
ia-4.
D iss. decompressione.13111111, 1 7 54,i ll
D iss. piIommmu. Erfurt, 1 754,
iu-4 .
D iss. de incommodo et pericq
min ute. Erfurt, 1 756 , 111—4 .
D iss . d e ehgantioris seau: condi
tioni6us. Erfurt , 1 7 58 ia—4.
D iss. depede‘
culù inguinah‘
6as, insec
tis et averæn iôushominimolestis . Erfurt,1 7 59, in-4 avec trois plancha . Cette
thèse est l'
oum gc d ti répondan t.
Christophe Guillaume Emanuel R eichard .
D iss. de lochiorum retentiorte. En
furt 1 762 in-4 .
Diss. de reguio antimou nmed icinali. E1furt
,1 762 in-4 .
Observatio delue v enerea postsali
rationemno va incrementa capiente in
actis acad . natur. curios. vol. V .
D e proiap:u uteri mensium excctio
rwmùnped ientc , apto tamen inst a
mento itemm reposito ibid . De
morôis q u iôusdam anni versari o tem
}:ore recurrcntiôus ibid S ing alan‘
a
quædam de ictero n ig ro notata phanamena cum sectionc ana tomie—aibid . vol VI II .
WohIg emey nle Vor:ci&lægær, wie d ieObserva tiones aerometicæ Àîinf tig ñ iu,v ermittelst einer genau
‘
en Ueôere ins
timmung derer gewœhnlichen Iustramentorumzu allg emcinemNutzer: zu
bringen ; in den . Mùceü aneisphys icomedico-
_marhematicis Bü chnen ‘
1 7 2 7 .
Quartal 1 . p. 9 . Von einer sehrbequemcn und nü tzlichen A rt
, d ie
Kræutcr abzudmcllcn und nachihrer Gestalt abg ebildet w rzustciled
I bid . 1 7 30 . Quart. 3 ,p. 7 79 .
( Bœrner. Baldinger.
ment. de rebus in mod . gestis .
acad . nat. cnrios . Mœhœn .)
KNIPS MACOPPE né à Padoue en 1662 fi t ses
études dans cette v ille et à Ven ise . Il serv it à la suite du gén éral
Famèse en Balmatie et en Espagne. Après lamort d e ce général
ilalla en Hollande et vint à Paris etàMontpellier, d’
où ilretourna
338
KNOBB (.LUDwG-Wæwm de). docteur semédecin .en l…!
les_
b iograpË es ne donnent aucun rense ignement ami,; quiavo ir été fixé à Leipgng et qui a dû vivre logg-temp; , çar dia.
tance de la publication de son_
‘
pi emier ouvrage à celle du dern ierembrasse plus d
’
un demi-siècle àmoins toutefoisque Rotermund(ce
.qmseraitfortpossible) n’
ait confondu en un seul deuxd u même nom.
.
Le premier _alors l’
auteur des quatre ou cinqpremiers oui rages indiqués dans _
laj liste smvaute:
Das na rbige nosce te , zur Erhal auteurs dans la table alphabétiqueMag du M m} anaæe durcheine de son ouvrage , et l oæmmnd ,
‘
se
doppeltJ‘ Pa… Leipzig 1 7 1
Basil?” Fakntîfttu n ü üivn.æ. Leip3 ig , I 7
'
IÔ; ä ' se
.Ksmèhæ% —æ & .ä e a.nr w
jgtao . ing.&hwæqg ,gfllæde wuenäç,äp,
godenfirapkèeit,wie soi_cke ,a e
m,al: a usserltclz 1n allen 1hren crop:
tam” une la date du livre,montre
àu‘ilne l’apas vu lai
—même .
k ene Jeua ncnhr, m
mittelsi‘ ein» mit den Sol. 8efiwfi lVerw, A stral, G. Sç l_zes. Leipnjg ,1 7l9,
‘
i1i-8. Ibid . 1 7 47 , ia -8.
Der M‘
ed icm fi r q ertziflsmæ .
“W:; fœ8=
g…hJéæ'
Zufa llen ne sie/1erund ge l'
53cialis ohne
.
eim} est £an des ]VIercuri i
oder Qrte‘tÆsiiü r , èu curitæà . Ee1pzig'
Pt“W G'W Ü Fiacfilqpl17 1 7 , iu
-3: u Œ um '
db ebaü atü i'
D ie uber den Sci:ædlichen Mercu
n’
asn.und«fid £mfiea npi irebd M
w ., d ds W in tier
E ]…W æe M ung ,Mè
& . F q fl rM phü “ fltfl tallen iÎereit
M il u a srü va â pü g; 17 83 ,
b £… ü sapoühÆî flenæn }…1mô —m œ e l‘
auteur de cet
m u g. Encre ““non pas KuoeÈ,‘
np°
w il» :o upæd t 1ü s & re dîfl'
èrèu‘
t:
Girtaanaaq ne . ü a ingfi e poin t”
der:
0
am&r,auwn D{umer. SMÆ" A'ÆMÇObstæumihangefullte Magas in . u . s.
w. Leipzig ,1 755 , ih—8 .
)“
ademécrtm med 1cum M n…cine kurzgefasste Methode aller&M æHœitcn und wie soiche' sa cen
‘
ren
:mmmt den à zu gebærigen Pamela,’ver A ngen g eiegt wird: l
‘humburget
‘
Lelfiii g, 1 7 57, ln-8 .
M amaeopæà compendîÿta.Namub6urg , 176 5 ir
…K.NOLLUM “…«&tuaunÿ , naquit irHalbm tü tk 28
afi t 1 706 1 étaitmM eä n,
‘ lni ‘dbrma les“p1€mihænotions d
‘une…—
et d e botaniquegi n il alla 1 l‘
Un iversité
d’léna et,
‘
e1i î‘
7 lf6 à celle de Halle , où ilse fit recevoir docteuren médeéinèlD visita ensuiteBerlin et revint sefixer dan
__s sa v ille
natale , ouil se livra à la pratique sous les auspices de son père…En 1749 ilfut nommémédecin…qnué d
’
O…igfi mig .o
1751 pour se conformer aux dern ières volontés de son père q ui
venait de mourir ilrevint àHalberstadt. Il y obtintbeaucoupde
succès dans la pratique de son art mais ilne jouit pas long —tempsdes avantages de saposition , car ilmourut le 24 février 1757 .
Diss. inaug . (Præs. A . 5 Bü chnfl o)demed icamerttrs traumaticis eorumgue
{çg itimo usa. Halle 1 746 ia—4.
A ôhandhmg {von der Verd ickung
des Gcôluts in der Lange. Halle ,1 746 in 4 .
_
Histoñ scfie, theorische und praktis
çhe Betrd ctung'
d fl es tlurzlichv erg efallenen NachtæandeIn& Hfl beu ædt,1 7 4 7 , iu —æ.Quedü ubourg, 1 7 53 ,iu-4 .
d u q lmfin, 11114 da sn:WirkungenM apa .Halberfl arb , 17 48,W ehrezbcn wond en Schaden des
_bgfl c ndz
‘
gm Wassertrinkem. Werni
gerode 1 750 ia—4 .
Sendschrezôen v on den S‘
cñædfichen_fl
’ ifl igmg ep des ü êcrm‘
æssiÊen lîr;and
weintrinkens. Wern igero e 1750
Gedanken fuen der Lago der Krauâçn ,
in einemÇ cndschreiben .
Dza Wirhrng en d er Luf t in/dem
ritenschiiciæn Kœrper uberhaupt; aus”
Bom.
,Gm“nden crlæutert.
Quodlin ourg ,°
1 7 52 , ia—4.
KDBË R (Tomy), né à Gorlitz se rend it à l‘
Université d’Helm
stadt en 1590 y futproclamépoète lauréat en 1595 et reçu doc
t_e_ar en médecine service l’
année suivante dans
,les troupes impériales ,
‘
suivit le corps d'
armée d e l ‘
archiduc
[d'
Autriche dans l a guerres de"la Hongrie cbntre‘
les Turcs ,«et
âipt ce .poste pendant sept années:Ilrentra alors dans lavie civile,,et futmédecin pensionné dela Basse
—Hongrie.
'
KÔb er mourut en,1625.
De lac” et tiüus,q uiém.irÿ'
afl e n@ édie, qui . valut à l‘auteur le laurier
tas sustantaatur. Gorlita 1593. poétique.
Disp. inang . med . d, in
Scndschreiben mon den WirÆupgen des 0ajfi etñ nlæns. Quedlinbourg,752 , ia-À, en français.Quedünbouçg,
1 752 , in
A bbandlungæn aus—der Arznq wis
send mf t. Quedlinbourg , 1 7 53 in-4 .
Gedanâen ü ber ein rg e Materim aus
der A rzn eW r‘
siæ sc/zaf t.'
Quedlinbourg , 17 53 ia-8 .
Fortsetzung derGedanken ü ber ei
n ige Ma tcn‘
en aus der Armq wü su .
sckafi . Quedliubourg 1 756 in«ù.
Wermiscnte Anmerfiungen aus der
An ucy g d ahrhe it. u tes und 23 8
Sn‘
1ck.Halberstadt , 1 7 57 , in— 8 . le
même ouvrage sous le titre suivat
Seths und zwanzig medicini5cke Arts
ar6eitung £ fl , ill Wwhen d iG SÎCI{GÏ SÏ G
A rt der Xur wersehierd encr“Krank
haiteu und da6q sichereignend£r Z 11fælle nebst Gebrauchder A rznei
mittel sorgfæ2‘tig bascb‘ïbhfl i vird .
HaIberstadt , 1765.
( Bœrner.
mund.)
340 KOE
morbosa œ nstitutione et solutione tadt 1658, in—4. C‘
est l‘
ouvrage le
continui. Helmstadt , 1595, in-4 . plus important deK0bcr.
Historica descnptio rerum circa Descriptio Buda . Leipzig 1606
Budammetropolin regni Hung ariæ ia—8.
mense octobri an. 1598gestarum. Leip Kober a encore publié quelques
tig , 1599 ia—8. opuscules en vers sur des sujets étran
Observationummed icammcastn n 5 médecine ,
siuns decad es tres. Francfort 1606 (Wesxpremi , need .hangar. et tran
in in 8.Recus. cum sylv. 6iogmphia. t. I.)ind . et prof .henr. Hei6omii. Hebus
KOCH(Gumaru n—Msarm), né à Breslau en 1 752 obtint à
l’
Université de Leipzig un e place d e professeur extraord inaire de
médecine à laq uelle iljoign it b ientôt celles de professeur‘
a l’Ins
titut clin ique de médecin à l’hôpital Saint-Jacques , et au collège
d es femmes . Il passaitpour un médecin auvent etpour un praticien
hab ile . Ilmourutle 1 2 février 1803 . Son principal ouvrage est l’
a
bregequ‘
il a fait d es dix—huit premiers volumes du recueil de mémoires choisis à l
’
usage d es méd ecins praticiens volumes qu’
ila
réduits en six en y ajoutant quelques notes .
Disp. anotomico—plvsica de bursis
tend inum mucosis . Leipzig , 1 7 89
D isp. 1°
@ ug . de worbis bursarum“nd im mucosarum. Leipzig, 1 790,
ia—4. Ces deux thèses qu i sont
fort bonn es on t été réimprimées dans
J P. Frank Delect. opuse.Rotermuud.)
KOEHLER (Juan—Van nrm—Hu ur), né à Weimar en 1 764 se
lonMeusel etRotermund en 17 7 4 suivant le d ictionnaire de chirurgie de Bust accompagna son maitre Loder dans un voyage
scientifique en France, enAngleterre et enHollande, d evint chirur
gien de la cour du prince de Saxe —Weimar fut nommé sous-ia
specteurd e l‘hôpitalethospice d
’
acgouchemens d’
léna , etprofesseur
particulier. Ilmourutle 26 avril 1 796 âgé de 23 ans suivant le d ic
tionnaire de Bust, ou de 33 selon Meusel et Rotermund ce qui est
plus probable . Koehler appartenan t à une famille sans fortune ,
avait été placé en apprentissage chez un barb ier. Loder ayant en
occasion d e le connaî tre apprécie son mérite , en fit son aide d’
a
natomie favorisa ses études , et pourvue à son avancement.
Programm de/e6reurticata . Le ip
zig 1 792 .
Sammlung easterIesener A bhandlungen sunt Gebradchf ür prai ria
_
che A ezrte in einem A nsa g e gw
bracht. Leipzig , 1 79 1— 1800 , in.—8 6
vol.
(Meusel.
K
t mdœ i zte. Ratisboune, 1 vol. ner Schn_
'
flen be£refimd. nati-bonne ,i 11-8 . 8 7 85 i ll-8
Mathematik [ner J erste . léna Med iciniæ Ia-pmhiu ‘he Jahrgænga1 792 in—8 . en ter t rgang 1 7 7 4 . Ratisbonne
E inkùnng in die Naturg esefiiefite 1 801 ia—8 1 8 1 pp.
uehrhanpt und in d ie Kmu£er&und e G{flpflanzen au] Stein n6gedmckt ,besonden , net Linueü efien Hamm, nebstBe:ehre ibungvn zwn GebmncbOrdm gen und Unterabä eü nngen fit! J ersta Apotheker Wundæm:
zumstufem isen Untern'
cht bouw i: Sœ borg er auf d emLande , Privat”
cher Zægiing e. Nuremberg 1 793 zieher und Schuü ehrer. Retisbonue etin—8. Ratisboun e , 1 803, ia—8. 8tadtsmb0l‘ 1805, ia-4.
Na:wg eæhicfitÊ fuer A erzte und A nimng sa D . Johann Jacob KohWunda rste besonders [ner :olehe Im E inleùung in d ie Naturgm11iehædie in Kleinen Smd æn und auf dem ueberlzaupt und in d ie Kræuteü unde
Lande wohnen . Nuremberg , 1 794 6a onders, nebæKapf ertafl b1und einerio —4. Erklæmng da selben . NurembergKurœgefasæ Naturgeæhid cæ nach 1 806 ia—8, feu illes et sa planches .
Koblu s a fourni des articles à le
bu g , 1 794 , in—8 . Gou tte d e Salzbourg .
(Med . Chir. Z eitung . Meu-el.)
KOHLRElF Gonza or —Ann ur né Lubeck le 2 11 octobre
1 769, fut appelé à Saint—Petersbourg poury professer l
’électricité
méd icale, près de l’hôpitalciv il, et laphysique dans l
‘
école d e chirurgie. Il cessa d
’
occuper cette place en 1 795 et mourut à SaintPétersbonrg le 8 mai 1802 .
Von der Wahren Todesart d er Wamne eine Wirkung derZersetzungE f tran&enen und d en hieraus g efol d e: Elementarfeuers und Phlogi“ongerten sehichlichü en Mitteln f ür d e: serre. We imar, 7 87 , ill—8 .
gleiclaen Ung iücfl id u . Lubook, 1 7 7 8, t andlungm der Ba ch/[enkei:in 4 . und Emflan derLuf t sm b! der fœSefireiben an Weiekhcrd . Reval yen atmosphœrùcÀen als eü geseblm
1 786 i i i -8 . senen Smbenlnf t, auf Leben nnd Cc
J nimadven iones erù ieæ in d ieser sundheit derMenschen. Weiœenl‘
els et
tationem de coloris etj rigori:modifi Leipzig 1 796 , ia—8. Deuxüme Jd ie.
mi0n ibw ete . e schola med ieo chirur Weiu euîels 1800, ia 8 .
g ica nuper dwnlgaæm. Seint—Pétera K0blreif en outre publ1e de nom
bourg, 1 786 , in breux mémoires dans d ivers joum ux.
(Med . Clair. Z eitnng f Meusel.
Wa rme rvomrmchen und sollte d iese Ilotermund .)
KOLBANY (PAUL), né à Presb ourg en 1757 pratiq ua l’
art d e
g uérir dans cette ville , y devint le second médecin pensionné au
316
Vertheid îÿung à r Alc71ÿmie gegend ie & nwuerfe neuerer Scñrifl:k l£er
6 e:onders desHem: Wfi ebs. B uis
bourg, 1 7 89, in —8 .
N ocl1 ein Paar Wofi e ueber A leby
mie und M eg Ieb , oder erster Anhangder Vertl1e idig ung der A lch_7mïe gegen d ie E irmmerf e der neuesten Ge
g ner. Du ishourg 1 79 1 iu— 8.
Von Urin , als einemZeichen in
KranÆheiten und v an den K unstgrÿf en der Harnærzte , wenn sie daraar
d ie Kmnfiheiten sagem Duisboulg
1 7 93 in —8 .
mwadær. NàM ü 25 1Nuthen und ‘vbn ler
“
Bert—itung ”r
fl q ortñæMn vhppo.180 11 ia-8.
D ie q ]‘
ce n ine 8œü œmtæ .
Elbefl‘
eld , 1809. in-8 .
S&izze einer Zeit—ù ndme…:
efiicl1te der A fi neûlumt ’v6h171ñ ”1
Unprnnge au i l: km): fl nfanÿ? ü :
19 Jahr(mndefl s N r l erzœ und ”7cbtærzæ. Vous, 1809 , 111—l ; i
‘
vdllfi .
Aosg. 18 19 , ih m leportrait del'
auteur.
(Md . Chin Zeitung .
KORTUM (Cuaa1m—Gaonons-Tnñonoar) , né à Dortmund , en
Westphalie le 29 mai 1 765 fut reçu docteurenmédecine à Gusfi ngue en 17 85. Après avoir pratiqué quelque temps DotttnhbÙ,il se fixa à Stollberg petite ville du duché de lullièrs, dohl il futnomméméd ecin pensi0nuéæn 1790 . Il avait obtenu, cri 1788, unè
mention honorable d e la Société royale de méd ecin e de Paris ,pour le traité sur les scrofu
les qu’
ilavait envoyé au concours ou
vert en 1786. Nous ignorons l’
époque de la mort de Kortum.
D issertatio de apoplexia nervosa .
Gottinguc , 1 7 85 i ii —8.
Commentarim de r ide :mfnlϙindeque penda
‘ntibus morbis secunda
"ü ‘ . Lem80 , to n r 1 7900
Medicinùchchirurg iæhe: Hand5uchder A ug mkrankkeiæu. Lemgot. I , 1 79 1; ll , 1 794 . in—8 .
Med scumch-pmhische B ibliothel.
1 7 89 ,1 79 1 iu-8, 3 vol. Faite en
commun avec J ChSchæffer.Beyn œge zumpraktu chen Arzney
wi:senschafl . Gottinguc , 1796, in—8 .
pas,simemendatumet auctum. Franc
l'
ort—z.ur—le-Mein, . 1 791, in-8 .
P ollstænd ige phy szlalisei«enische Æ ñandlung neber d ieMme
”
ñ
Mmemlquelü n nnd M a in Had“.und Bur“ehæ°
£ Doisboü rg , 1 798
l'
a-8 . Dortmund , 18 18 ia—8.
Ueberd ieumchædlichü ùd er,Kircb
hoefi:un d Begræbnisse in Stæd ten undD eer/fem. Osuabruch, 1 80 1 in-8.
Le Journald‘Hufcland contient
assez grand nombre d‘
articles de
K ortum.
(Med . Chir. Zeitung . Comment.
Kæmpf Enchin‘
d îon med icam de rebut‘
in me!. g e“. Aug . med .
A”fl…e M d s)
KOESTLIN Camu s—Hu et ) né le a3 avril 1 755 on , s‘
e10i
d’
autres en 1 754 à Blauhuiren ,ou ,
selon Meusel a Brecken
heim fit ses études à l’
Un iversité d e Tub ingue. Lors de l’
étabhs
348 RBL
sique dans celle de Copenhague depuis 1 753 conseiller de justicedepuis Ilmourut au mois de juillet 1 795. l‘artisan des prin
cipes de l’
école iatromathématique Kratzenstein a écrit tous ses
ouvrages dans une forme et avec un appareilmathématiqnes qui neleur donne pas plus de solid ité. On d istingue ceux relatifs à l
’
emplo ide
“
l’
électricité en méd ecine.
Théorie d e l‘élévation des vapeurset des ea bala isons démontrée…unmatiquement, qui a renmorté le prixauj ugement de l
‘
Académie royale desbelles lettres , etc., «le Bord eaux. Bor
deaux, 1 7 65 iu—4 . En alleman dB elle, 1 745, ist—8 . Deuxième éditionBalle, 1 74 7 , in-8.
A bhanä ung mon demNutzen d er
Elmtricitæt in der J rzne_rsuissen
saha/t in einemSchn iben an D . G .
I'. F . . etc une! v d uu efl e Au
sg a6e .Halle, 1 7 4 5, in -8 , 9L
Ensuite sous ce titre:
Phrsü aliæbe I]riefe mon d emNut
zen der E lectricitæt in der J rzner
wi nemchafl . 3te Vermehrte J usgabe.
Halle, 1 7 46 , in—8 Halle, 1 7 7 2 , iu— 8 .
Theoria electricitatit, more g eometrico explicata . Halle, 1 746 , ia-8, fig .
Theoria j luæus d iabeä ci q‘
usque
explicata . Halle , 1 7 46 , in-4, fig .
Recus. inHaller Disp. mal.pmct.
J bbaùdlung mon den E itfiusse desMondes in d ie Witterung und in den
mensd tliebrnKa rper ein ProgrammHalle, 1 74 7 , ln
—8 .
AMandlung v on der Erzeug ung
der Wærmer inmenæhlicben Ka rper.
Halle, 1 7 48, ln-8, 1 pl.Vartheidigung desHerm ambefl
ger'
s gegen'
den Bu rn Kessd . e
1 7 5 ia—8 .
D e resolutione et impotentia mntusm eularis. 60penhague , in—8.
eumqae
mmatiwä z. C0
Historia restiætæ lg uela par elec
tfi sationem. Helle, 1 753, inVod esungen ü ber elieExperimentaL
Phy sik in einemAussug e . Cop‘
enhagmæ1 758, ia-8 ; ibid ., 1 7 70, ia-8 ; ibi«L.
1 7 78, ia—8 ; ibid ., 1 7 8 1 , in 8 ibid .,
1 7 83, in—8 ibid .,1 78 7 , iu—8.
Sy stem phy sica experünentalis .
Copenhague, 1 764, in—8.
D iss. d e ‘ttlcea uga ad morbos sanaudos appü cata . Copenhague,r7 6 5,ia-8 .
Theoria cursus oceani
penhegue, 1 766, ñu—8 .
Diss. de duplici febrium ind ole .
Copenhague, 1 7 69 , in -8 .
Amolitio fais inertie:etmis repuhiva: ‘vttigo inter pn
‘
ndpia motas et
quietis corporum sed [also rela ta
rum. Copenhague, 1 7 70, in—8.
historia plantarambene merendi . Copenhague, 1 7 7 1 , ia—8.
Tentamen resolvend i problem ab
academia scientiarumPetropol. ad a
1 7 80publicbpmpositum. Petersbourg,
1 7 8 1 ia—8 .
D iss. tbeoria infla
penhague, 1 7 8 1 , ia—8 .
L'
art de navig uer dans l'
air. Co
penhague et Leipzig, 1 7 84 , in—8 .
Gemeinnü tzige Sammlungen sans
Nutzen und Vergnügvnfi iraü e Stande .
Quodlimbourg et Blanhenhomg1 7 87 9 i.
' 80 home s
ÜW 351novü simç recensait notasz
ue 4 ‘ÿ‘,Ë ÏÉ 1311 die }Yundm ny . Leipzig 1 786
Leipzig, 1783, iii—8. in-8.
ÈœVit'
et au meute la dern 1ere édi Enfin lÇ ranze amis des préface: ention «ik-mande ccef ouvrage . tête de d i vers ouvrages de Troja van
Job. Z achar. P latner’
s E ink ùnng Doeveren , B iancon i , etc.
(Meusel. Rotermund .)
Kl ÉBS (Enfi n œ ü uñæmu—Cnn œ âæé à Osterwick en 17 57 ,
fit ses études Heknatad t ‘
fut'
reçu docteur en 1 780 pratique
Burt dc'
gmirir à Qued limhou1g , flit premiermédecin de laprincesse Amélie d '
e Prusse abbesse de Quedi inb 0nrg, et enfin mèdecin penQionnë d e la ville et du canton de Blankenboprg . Ilmourutle
_1o ni\ai 93,
Diss. ina,ng. deapopiexia peripneq. f gn und Bla:tereiniz
npfen 16id ., B . 1a .
mon ian indù an{e .Helmstqtd 1 7 80 S . 3 . S. 2 57 . 2 83
Etwas aber d ie Mode in der Med i
cin in denHa_
lôerstæd t. Gemeinnü tz .
1 78 1 ia-8 . Blættern St. 36 . mon den
hey—
{mgzur4rzney iichen ( fn ac/zen def immer: einer
deng LabdÈQue inbog rg , 1 7 8 ‘ip
-8, werdmden Nervensçhwœ ene ; ibid .,i
Med iË in iscà( eoôaclqinna 1 11ç i1 St. 19 . u . 2 3 .2 E in worschlttg
Blind“ ÊtesHef t. Quedlinb z‘
11r Vermin_
d_
erung d es Holzmang el:un d Schonung des Shah: ibid .,
1792 . 20 .
A nleitung zumrichtigen Gebrauchd er n iermi£tel bey Pf erden ; imBraunschweig . Mag azin 1 79 1 . S: 49
neuen: lind 50 .
B ey trag zur Erkiæmng der Ges
penster oder Geù lerersede inung en
im Braunscñcv eig . Journal. 1 790,81.
3 . S . 3 19. 32 1 .
KRUECER. (1QùANE naturaliste d istingué, né àHallele i 5 juin 17 15 fit ses étudespr
emières dans lamaison des orphalins. Il suivit ensu ite les cours .d e l
’
Un iversité , et s‘
applique aux:
mienne; physiques ccmathématiq ues. Il futmaître en 1 7 37 . L'état
de samuté d emaad äht qu'
il fit divers voyages, ilparcourut la‘Si
l‘oie . Il se fit recevo ir d octeur en médecine en 17 42 à Halle . Il
5111professeur extraord inaire en cette science }’
année su ivante et
plus tard profeœeni ordinaire. En 1751‘
ilallà occuper à Helm
356 KRU
ï mueb wie alle'
Amn derFruchte unrem uer liegen ibid 8 . 9 81. 6
lange Jahre zu erhalæ11 ohne dass Von der sogmannten Hü tænÆatusie v on ihren Æigenschafi en en… in den Hall. A nze
'
g cn 1 74 8.
w fl ichren , ibid . B . 2 . 1 . 8 . 50. Kriiger fourni le fond de beau
11.fl‘: & breiben anHm. i Ï Kæs coup de thèses soutenues sous sa pré
m: °von einer v ers:einefi en Feuer sidence et publiées sous le nomdu'
am e , ibid ., B . 5. St. 4 .— Nacbricbt candi dats.
21011 einemSteine mlchcr sichin dem Haller. Bœmer.
Gaumen n u age: ibid ., 8 . 6 . 81. 4 de rebus in Med . g estis.
Beschreibung der Graf: su War muud . Meusel.)ba g,
wo v erseiu‘
cdene Labimamef 4 st
KRUENITZ (Jsan—Guonoz) l’
un des plus laborieux écrivains de
l’
Allemagne , naquit à Berlin le 28 mars 17 28 . Il fitses études méd icales à Gottinguc Halle et Francfort— sur— l
’
0der, et fut reçu doc
teur enmédecine dans ladern ière de ces Universités en 1 749 . Il s’
a
donna quelque temps à la pratique à Francfort , ilfit des leçons surl’
oostéologie ;mais b ientôt il laissa toutpour ne s’occuper que d e ses
travauxlittéraires . Il alla se fixer en 1769 à Berlin , où il trouvait
plus de facilité peur ses rechercbes et depuis lors quoique avec
une constitution faible etune santé cbancelante , il ne cessa de d on
ner quatorzeheures par jour au travail, aussiput— ilpublier, san s
même s'aider d u secours d’
un secrétaire et san s se reposer surper
sonne du soin de corriger ses épreuves un nombre immense d e volumes. Kn
”
mitz mourut le 20 d écembre 1 7 96 . Il étaitmemb re d elaplupart des sociétés écon omiques de l
’
Allemagne et de l‘
Acadé
mie des sciences deMayence.
Nous n’indiquerons pas ici une multitude de traductions qu 11 a
faites d’ouvrages littéraire: ou scientifiques, n i ceux de ses ouvrages
qui sont absolument étrangers à l’
objet dece d ictionnaire.
D iss. inang . de mfl rimonio multormn morborurn remedi o. Francfort
sur-l‘0der, 1 749, ia—4.
Character“ profimorum in reg ia
v iadrina. FmŒ rt—sur—l‘0derg 758,
Gemeinnü td icber Vom tb amserimner Aufia tze sur Bcfærderung derHamM ængswü semcbafl K ünste
l anufacæren und Fa6rü en wie
auchder Arsney geIabrheit und Na
tuflefirs, mitKupfern. Leipzig,1767.
68, ia-8, 3 vol.
Verzd cÆnùs der ?wmhmænSchri/æn mon der Rü dwùhæ cfie .
Leipzig, 1 76 7, in—8 .
Verteicimi u der Vomelmu tenSchriflen v on der K indeqmcb n und
de ) -en E inpjmpfi mg . Leipzig, 76 8
in—8
Catalogue 6iü iotùecæ SassmiIcü ana cumnad: littemrio—cñ £ieir. Ber
lin, 768 ia— 8
Veru ichniu «ier Pamela—sm8ehfi]æn v on der Eb fifi :üc t und
KYP
secundæ add itioni fundamentormsuorum medicine: subj nng i curavit,
Subj ung untur ejusdemtrmssnmtamed ica Quibus cmtinentur medicinæ
extat cumq‘
usdcm institutionibu:phy fun damnta .Amsterdam, 1654, in-4 .
sicis. Leyde, in -1 2.
4 ntlrmpolog ia corporis bumanicantontorumetanima:naturamet fuirtutes secundum circularem sang uin is
motuns explicans. Leyde, 16 47 in
1 2 ; Leyde, ,165o, in-6 ; Leyde, 1660,
in -4 .
d isputationibus brevü er compleæens
que ad institutioncs pertinent. Acce
dunt ej usdem d isputationes phy s icomedicæ misc ea atque politica
de orig ine etjure mag istratus dejurebelli et de fœderibus. Beyde, 1655
Institutionesmedica , adhypothesin ia—8 ; Leyde, 1 666, ia—8.
de circulari sanguinismeta composite .
rm ne LA rann ni as n an a nu roux rao1stùus .