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Ces dessins semblent être les mêmes... Pourtant, ils cachent 7 différences :à toi de les trouver !
Ces dessins semblent être les mêmes... Pourtant, ils cachent 7 différences :à toi de les trouver !
1:L’instituteur a rapetissé. 2 : Il y a un nouvel élève au deuxième rang. 3 : Au fond, un garçon dort sur sa table. 4:Un enfant du deuxième rang a vieilli : il porte une barbe et un chapeau. 5 : La petite fille de devant est pieds nus. 6:Le pied de sa table est cassé. 7 : La femme qui passe devant l’école porte une chaise.
Réponses :
Junior
Supplément au n° 96 • Septembre 2005———————————————————�
www.aide-et-action.org
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TES RENDEZ-VOUS DE L’ANNÉE !TES RENDEZ-VOUS DE L’ANNÉE !TES RENDEZ-VOUS DE L’ANNÉE !
II IIIAide et Action Junior / Septembre 2005
Si on te demandait de décrire l’école, de quoi parlerais-tu ?De la cour, de la leçon de mathématiques, du tableau noirou encore de la trentaine de garçons et filles qui, ensemble,forment une classe.
Mais toutes les écoles ne ressemblent pas à ce que tu connais !Nous t’emmenons découvrir celles qui accueillent les enfantstravailleurs en Inde, celles construites en paille en Haïti, celles qui s’ouvrent aux enfants handicapés au Cambodge ou encore celles qui contribuent à défendre l’environnement en Tanzanie.
Au fil des pages de ton magazine junior, pars à la découvertede ces écoles pas banales !
>> Rejoins la Campagne mondiale pour l’éducation !
Depuis six ans, partout dans le monde, des groupes d’adultes et d’enfants se mobilisent pour rappeler aux gouvernementsles engagements qu’ils ont pris pour que tous les enfants puissent aller à l’école. Toute l’année, ils préparent la semaine d’action
qui a lieu fin avril. En 2005, ce sont plus de 100 pays qui se sont mobilisés.Pour 2006, retrouve toutes les informations, dans les prochains numérosde ce magazine et sur notre site internet (www.aide-et-action.org),pour préparer toi aussi activement ce grand rendez-vous pour le droit à l’éducation !
>> Pars à la rencontre des enfants de Calcutta en Inde
Le 16 novembre, ne rate pas la sortie au cinéma d’un très beau documentaire : « Camera kids ».
Ce film te transporte en Inde, à Calcutta, pour rencontrerun groupe d’enfants inoubliables. Ils sont souriants, pleinsde vie, malicieux et drôles. Pourtant, leur vie n’est pasfacile : leurs mères sont contraintes de se prostituer et le quartier qu’ils habitent est pauvre est dangereux.En compagnie d’une photographe new-yorkaise, ZanaBriski, ces enfants vont découvrir l’art de la photographieet commencer à se construire un avenir meilleur.
Emmène tes parents au cinéma pour fêter la Journée des droits de l’enfant le 20 novembre. Une idée de sortie utile.
Du 12 au 20 novembre prochain aura lieu la 8e édition de la Semaine de la solidarité internationale.
Cette semaine est un événement pour beaucoup d’associations de solidaritéinternationale. C’est en effet l’occasion pour elles de faire connaître la cause qu’elles défendent et le travail qu’elles mènent à travers le monde.
Les mairies, les entreprises ou les écoles sont aussi impliquées. Par exemple, ta classe pourrait inviterune association à projeter un film et répondre aux questions des élèves.
Pour te renseigner: www.lasemaine.org
>> Bouge ta classe pour la Semaine de la solidarité internationale
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O Pour t’accompagnerdans cette aventure, nous avonsdemandéà DominiqueFages, illustrateuret inventeur« Des petites sorcières », de donner soncoup de crayonen illustrantquelques-unes deces découvertes !
>> En route pour des écoles pas banales !
Sommaire
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Tes rendez-vous de l’année ! . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p III
Découvre à quoi ressemble notre école ! . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p IV-V
Apprendre autrement. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p VI-VII
Catastrophe naturelle ou conflit : l’école s’adapte. . . . . . . . . . . . . . . . . p VIII-IX
Quand l’école s’ouvre aux différences. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p X-XI
Tous pour l’école et l’école pour tous ! . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p XII-XIII
Bougeons-nous ! . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p XIV-XV
Aide et Action Junior, supplément d’Aide et Action, magazine trimestriel, septembre 2005, publié par l’association Aide et Action. 53, bd de Charonne 75545 Paris Cedex. Tél : 01 55 25 70 00. Internet : www.aide-et-action.org. E-mail : [email protected] paritaire: 0708G 83 404. ISSN : 1761-1024. Dépôt légal : 4e trimestre 2005. Conception-réalisation: publishing 01 41 11 65 45.Imprimeur : Imaye, bd Henri Becquerel, 53000 Laval. Illustrations : Dominique Fages.
DÉCOUVRE À QUOI RES SEMBLE NOTRE ÉCOLE !DÉCOUVRE À QUOI RES SEMBLE NOTRE ÉCOLE !DÉCOUVRE À QUOI RES SEMBLE NOTRE ÉCOLE !
IV VAide et Action Junior / Septembre 2005
AssociationAmitiés tsiganes
et Inspectionacadémique de Meurthe
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En Haïti,une école en paille
est composée d’une seule salle
de classe.
En France,une école itinérante est installée dans
un camion pourles enfants des
gens du voyage.
Au Bénin,l’école sur pilotis
est seulement accessible en barque.
Au Cambodge,il existe des écoles
dans la rue.*«Autobus» en khmer.
Au Togo,des écoles ont
des murs de banco (mélange de pailleet de terre) et des
toits de tôle.
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APPRENDRE AUTREMENTAPPRENDRE AUTREMENTAPPRENDRE AUTREMENT
VI VIIAide et Action Junior / Septembre 2005
>> Comprendre et protéger l’environnement
En Tanzanie, la région de Mwanza connaîtde graves problèmes de déforestation.Petit à petit, le nombre d’arbres diminue.Pour lutter contre ce phénomène, certaines écoles ont leur pépinière.
James, de l’école primaire de Mkula, parlede leur plantation d’arbres avec fierté :
« Mon école est belle à regarder. Les arbresque nous avons plantés sont l’ornement de notre école. Nous en faisons toujours l’étude et passons notre récréation dans un environnement où nous respirons de l’air frais ». Grâce à ce projet, les élèves reçoivent descours sur l’environnement et les mettent enpratique directement. Grâce aux connaissancesacquises, ils peuvent influencer leurs aînés,leurs familles et la communauté pour protéger la nature.
>> Acquérir le sens des responsabilités
>> Découvrir un autre pays
Pour apprendre le sensdes responsabilités, la vieen communauté maisaussi le fonctionnementde la démocratie, des élèves du Rwandapeuvent s’impliquer dansle gouvernement scolairede leur école.
Les enfants français ont fait desdessins pour décorer des calendriersvendus au profit de leur parrainage« Classe solidaire ».
Comment découvrir un autre pays sans prendre l’avion ni ouvrir un livre de géographie ? Grâce à la correspondance !
Une classe de CE1 de la région parisienne a échangé par courrier pendant une année scolaire avec une classe de CM2 togolaise. « Quand on écrit à nos correspondants,
on leur explique ce qui se passe en France et eux nous parlent du Togo. Ils nous ont aussienvoyé un conte et des devinettes. »Les élèves ont découvert leurs différences maisaussi leurs points communs sans même se rendrecompte qu’ils améliorent aussi leur français !
Jean de Dieu, ministre des Sports : On m’appelle «sports» ! Au moment de la récréation,je fais tout pour que les ballons soient disponibles.J’entraîne également l’équipede football car c’est mon sport préféré.
Olive, ministre de l’Hygiène :
Mon ministère veille à la propretéde chaque enfant, des classes,
des lieux d’aisance et des alentoursde l’école. S’il y a des manquements,
je suis informé.
Étienne,ministre de la Santé :
Je dois chercher les députés de la Santé
au sein de chaque classepour connaître les noms
des enfants malades, les envoyer se faire soigner
ou alors les conduireauprès de l’infirmière.
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CATASTROPHE NATU RELLE OU CONFLIT : L’ÉCOLE S’ADAPTE L’ÉCOLE S’ADAPTE
CATASTROPHE NATU RELLE OU CONFLIT : L’ÉCOLE S’ADAPTE
VIII IXAide et Action Junior / Septembre 2005
>> Retrouver une vie d’enfant après le tsunami en Inde
>> Des jeunes parlent aux jeunes pour promouvoir la paix en Haïti
>> Le sport pour construire la paix après la guerre au Rwanda
Les populations touchées par le tsunamisont toutes d’accord : le retour à l’école
est une étape fondamentale pour reconstruirele pays. Grâce à l’école, les enfants surmontentleurs peurs, retrouvent leurs amis, apprennent,jouent… Les enseignants ont reçu une formationspéciale pour pouvoir s’occuper des enfantstraumatisés.
Au-delà de l’école, les enfants sont accueillisdans des abris temporaires. Dans ces centres, ils sont écoutés et rassurés. Ils y suivent aussi des cours de yoga, de soutien scolaire,pratiquent des activités sportives ou artistiques et reçoivent un repas. Ainsi, ils retrouvent petit à petit leur vie d’enfant.
Sais-tu ce que sont les Groupes de volontaires d’action civique?
Ce sont des groupes d’adolescents qui souhaitent promouvoir la paix dans leur pays. En effet, Haïti a connu une grave crise politique en 2003 et les tensions entre les gens sontencore fortes. Dès le mois de septembre,ces jeunes vont faire le tour des écolespour projeter des films, mettre en placedes ateliers et tenir des débats sur la paix et la citoyenneté avec les enfants.
En 1993 et 1994, de terribles conflits ethniques* ont secoué
le pays. Depuis, enseignants et parents d’élèves veulent queleurs enfants vivent dans un climatde paix et de bonne entente.
Grâce au sport, ils encouragentchez les enfants l’esprit d’équipeainsi que les valeurs de respect et de non-violence. Ils ont construitdes terrains de sport et organisentdes tournois de football ou de basketentre les écoles autour de la capitale, Kigali.
* Affrontements entre des groupes de populationsd’un même pays.
>> Apprendre à réagir face à une catastrophe naturelle au Japon
Le Japon est régulièrement touché par des tremblements de terre et des tsunamis; dès leur plus jeune âge, les enfants apprennent où sont les zones à risque ainsi que
les abris les plus proches de chez eux. Pourcela, ils dessinent des cartes. Ils participentaussi à des exercices de simulation (« kunren ») afin d’acquérir les bons réflexes pour se protéger.
Le 1er septembre, au Japon, c’est la Journéenationale de prévention et de lutte contreles séismes (« bôsai no hi ») : les sirènesretentissent et les gens se précipitent dans les abris. « Est-ce que nous avons ététrop lents ? » « Comment être plus rapide si un tsunami arrivait pour de vrai ? » Toutle monde débat et trouve des solutions.
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QUAND L’ÉCOLE S’OUV RE AUX DIFFÉRENCESQUAND L’ÉCOLE S’OUV RE AUX DIFFÉRENCESQUAND L’ÉCOLE S’OUV RE AUX DIFFÉRENCES
X XIAide et Action Junior / Septembre 2005
>> L’école pour les enfants des rues au CambodgeDe très nombreux enfants vivent dans les rues de la capitale du Cambodge, Phnom Penh. Pour survivre, ces enfants sont obligés de travailler ou de mendier… Certains sont même intégrés de force dans des réseaux de prostitution. Tous vivent dans des conditions très difficiles et n’ont pas accès à l’éducation.
Puisque les enfants ne peuvent allerjusqu’à l’école, des associations
installent l’école dans la rue: des animateursétalent une grande bâche au sol et sortentjeux, ardoises, livres… Les enfants viennentspontanément à eux. À partir de ce contact,certains pourront rejoindre une école spécialisée qui leur permettra de rattraperleur retard pour ensuite intégrer l’école publique.
En Inde, 60 millions d’enfants sont obligés de travailler : dans les champs,dans les usines, chez les particuliers pour les tâches ménagères… Ces activités empêchent les enfants d’aller à l’école publique.
>> L’école pour les enfants travailleurs en Inde
Des associations proposent des solutions : libérer les enfants
du travail ou, quand cela est impossible,adapter l’école aux conditions de vie des enfants. On trouve des Écoles communautaires de rattrapage qui sont ouvertes le soir, de 19 h à 21 h. Les enfants peuvent s’y rendre après
leur travail. Les professeurs adaptent le programme pour étudier les élémentsfondamentaux de la lecture, de l’écritureet des mathématiques. Grâce à cela, certains des enfants pourront plus tard rejoindre l’écolepublique sans avoir accumulé trop de retard.
>> L’école pour les enfants handicapés au Cambodge
Au Cambodge, aucune école publique n’estadaptée pour accueillir les enfants malvoyantsou malentendants. Des associations reçoiventces enfants dans des écoles spécialisées puis les intègrent à l’école publique.
Les plus petits suivent le programme classique et apprennent en parallèle la langue des signes
dans l’école spécialisée. Les plus grands se rendent par demi-journée à l’école publique avec les autresenfants. L’autre demi-journée, ils reviennent à l’école spécialisée pour approfondir les cours ou se les faire réexpliquer dans la langue des signes. Les enfants pratiquent des activités artistiques etmanuelles comme la danse ou la couture. Ces activitésleur permettent d’exprimer leur sensibilité. Par exemple,les enfants sourds dansent sur un parquet de bois qui leur transmet les vibrations de la musique.
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TOUS POUR L’ÉCOLE ET L’ÉCOLE POUR TOUS !TOUS POUR L’ÉCOLE ET L’ÉCOLE POUR TOUS !TOUS POUR L’ÉCOLE ET L’ÉCOLE POUR TOUS !
XII XIIIAide et Action Junior / Septembre 2005
>>Des communautés construisent leur école au Togo
Pas d’école dans leur village? Trop de kilomètres à parcourir pour les enfants? Les communautés prennent alors l’initiative de construire leur propre école !
Cette école peut être en banco (mélange de paille et de terre), coiffée de branchages ou en «dur» si le villagereçoit une subvention d’une association. Dans tous les cas, la communauté participe à sa construction, rassemble les matériaux, apporte l’eau pour faire le ciment…Pendant longtemps, elles ont été appelées «écoles clandestines».Aujourd’hui, elles sont reconnues par le gouvernement et portentle nom d’École d’initiative locale (EDIL). Les enseignants sontrecrutés parmi les jeunes du village qui ont eu la chance d’allerau collège. Ils sont souvent pris en charge par la communauté(nourris et logés) ou reçoivent un petit salaire. Ils n’ont pastoujours l’occasion de suivre une formation sur la pédagogie.
>> Des parents vont aussi à l’école en Haïti
Comment aider son enfant à progresser à l’école quand on ne sait pas soi-même lire et écrire? Comment être à l’aise dans les transactions quand on ne sait pas compter?
Conscients de ces handicaps, des parents qui n’ont pas pu aller à l’école décident de retourner apprendre les bases de la lecture, de l’écriture, des mathématiques.
Les cours ont souvent lieu après la classe, quandles enfants sont sortis. Les efforts déployés par ces parents sont grands. Car plus on est âgé, plus ces apprentissages sontdifficiles. En plus, ils doivent trouver le temps à consacrer à ces cours alors qu’ils doivent travailler, s’occuper des activités familiales, cultiver un champ ou un potager… Mais la récompense est là quand ils signent pour la première fois leur nom devant leurs enfants qui les regardent avec fierté.
>> Les bibliobus au Cambodge
Le Cambodge vient de tourner unepage très douloureuse de son histoire.Pendant près de trente ans, quand ils étaient au pouvoir, les Khmers rougesmenaient une politique de répressiontrès sévère qui a beaucoup affecté l’éducation. Aujourd’hui, peu d’adultessavent lire et la richesse de la culturedu pays a été peu à peu oubliée.
Pour que les enfants aillent à l’école et réussissentau mieux leurs études, il est important que
leurs parents et toute la communauté valorisenttout ce qui touche au savoir et à la culture. C’est pourquoi des associations soutiennent l’accès aux livres pour tous. Ainsi, elles ont misen place des bibliobus qui vont de village en villagepour rendre la lecture accessible au plus grandnombre. Des livres sont aussi édités en khmer, la langue la plus couramment parlée au Cambodge.
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L’entreprise Stabilo est l’organisatrice de ce Marathon de l’écriture.L’entreprise Stabilo est l’organisatrice de ce Marathon de l’écriture.
Si tu es intéressé, appelle Isabelle au 01 55 25 70 06
>> Détails de la fresque réalisée par les participants au marathon 2005
BOUGEONS-NOUS !BOUGEONS-NOUS !BOUGEONS-NOUS !
XIV XVAide et Action Junior / Septembre 2005
>> Comment participer ?
Il faut rédiger une lettre de motivation. Cette lettredoit être écrite par toute la classe et présenter les raisons pour lesquelles vous souhaitez participer au Marathon de l’écriture. Vous devrez apporter un grand soin à la présentationmais aussi être originaux et convaincants.
>> Est-ce que le Marathon de l’écritureva m’apprendre des choses ?
L’écriture de la lettre de motivation sera l’occasion de découvrir la situation de l’éducation dans le monde et de comprendrecomment on peut agir. Ton école pourra inviter l’équipe bénévole la plus proche de chez toi. Elle vous proposera par exemple la projection d’un film mais aussi de répondre à toutes vos questions.
>> Le Marathon de l’écriture>> Le Marathon de l’écriture
Lettre d’une école finaliste du premierMarathon de l’écriture.
>> Tu aimes écrire, dessiner et être original ?
Tu as l’esprit d’équipe ?
Tu penses que la solidarité pour favoriserl’éducation d’autres enfants dans le monde
est importante ?
Tu es en CE2, CM1 ou CM2 ?
Alors propose à ta classe de participer au Marathon de l’écriture !
Qu’est-ce que le Marathon de l’écriture ? Les élèves d’une même classe se relaient
pour écrire la plus longue et la plus belle lettre sur le thème du droit à l’éducation.Toutes les classes sélectionnées se sont
retrouvées au printemps 2005 pour la finaleau Futuroscope. Mais surtout, grâce
à ce concours, un projet éducatifest financé à l’autre
bout dumonde.
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