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8/10/2019 Simon Sylvie - Vaccins, Mensonges Et Propagande
1/128
CoJl)lfighted Material
SYLVIE SIMON
V CCINS
MENSONG
S
ET PROP G NDE
Les vrais
risques
des
vaccins
Les grands
secrets
es contradictions
des autorits
de sant
de lindustrie
pharmaceutique
THIERRY
CoJl)lfighted Material
~
C ~ R
EDITIONS
5m JESIMON
V CCINS,MENSONGES
r
PROP G NDE
es
I
nformations Indpendantes
t
claires
E
deux sicles d h 1 ~ t o 1 r e , ta vac:onabon a
connu
succs
el scandaiE's
Aujourd'hui tl toSt
UI4H
dtf1ctle
de savo1
si
les donMes :s.c'ent1bques sont
sufmantes pour crer sallS
cesse - t s a n ~ nsque
- de
n o w ~ , 1 u x
llil ins
conua1rement
aux med:ICamems, wwns sont desttns aux b1en-portants
pour
pr'o'en
r une hypothtoque milladte Il
semble
donc mportant que chacun
coona
lM nsques
de ces m a l a d ~ s a
ns1 que
cwx
Jndu1ts par les vacc1ns.
SaviQz-voos
qu.:
la populaiJon vawne contre la gr,pt>l
est pasStle
aliX {tilts
Uni$
oo 15 % en
1980
65 % aujoord'hw, sans qu' mcune dimmutiOO dE S dli J d(:j ptJb o plusieurs > S S ( ) sw
diffprem:s s c a n d a . ~ s a n ~ ~ ires (sang coot m n v ches
folks. amr
ante, hotmones
( i l Cf015S.)Il(e , 'JWM, NC.)
Rendez nous
vl .il
t:> su
www.tlilerrysouC(3r.com
8/10/2019 Simon Sylvie - Vaccins, Mensonges Et Propagande
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Conception graphique
et
rali
sation:
Catherine Julia Montfrin)
Illustration
s:
Jrme Chardin
Ph
oto :
C
Squared Studios
Dpt lgal : 3< rimes
tr
e
2 9
ISBN: 978-2-916878-43-0
Thierry Souccar ditions, 2 9, Vergze
www.
thierrysouccar.com
Tous droits rservs
Pour mon amie Anne qui m a toujours
donn
d excellents conseils
8/10/2019 Simon Sylvie - Vaccins, Mensonges Et Propagande
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Vous le savez
mieux
que moi
,
toute la mdecine officielle,
depuis la
variole, la tuberculose, jusqu' la plus vulgaire entrite, est la proie
de systmes
prconus
qui, pour se soutenir,
cherchen
t des faits et au
besoin, en
inventent,
ou en imaginent. Vous avez
beau faire,
ntre le
bon
sens, on vaccinera, on injectera,
{ .. } pour tuer
le microbe
et la
foule
inconsciente
approuvera gouvernementalement.
On a beau
crire pour
prouver
qu'on
se
trompe
et
que
l on trompe, rien
n'y fait :pauvre esprit
humain
Pr Antoine Bchamp
( son confrre le r Vindevogel)
8/10/2019 Simon Sylvie - Vaccins, Mensonges Et Propagande
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SOMM IRE
AVANT PROPOS
6
La longue histoire de la vaccination
Quand les virus animaux infectent les vaccins
Le
nouveau vaccin contre la grippe est arriv
Le
vaccin contre l hpatite B : le parfait exemple des
co
ntradictions des services de sant
Le
scandale de l hpatite B
lheure actuelle
Les
vaccins ami-papillomavirus
LeROR
L autisme rgressif, un effet secondaire du ROR
9
3
35
47
59
71
87
5
29
Les
victimes
du ROR
prsent
45
Les
vaccins hexavalents
55
Notre
systme immunitaire
65
Un
fabuleux march
85
Les gouvernements sont complices
9
7
umanitaire
et
bienfaisance
2
a
mdecine, nouvelle religion
2 9
POST FACE
239
BIBLIOGRAPHIE
245
7
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VACCINS,
MENSONGES ET
PROPAGANDE
j ai rencontr des milliers - j insiste
sur
le
mot
milliers alors
qu on prtend
qu il
y en aurait au maximum quelques centaines -
de gens blesss
par
les vaccins, certains clous vie sur des chaises
roulantes, qu on
refuse de reconnatre, et qui n ont qu un regret :
Si j avais su Aussi, je fais de
mon
mieux
pour
que les autres
sachent.
Pourtant, nombreux sont ceux
qui
sont avertis que les grands
mdias nous
mentent
et que nos dirigeants nous assnent des vri
ts qui ne sont en fait que des mensonges, mais peu de journa
listes
pratiquent
leur mtier avec discernement. Ils se contentent
de reprendre - sans les vrifier - les co
mmuniqu
s des agences de
presse
ou
de rpter ce qu ont publi leurs confrres. C est ainsi
que
non seulement les mensonges perdurent, mais qu ils grossissent et
se multiplient au fur
et
mesure qu ils sont repris. Des multitudes
de
mensonges rpts l envi sont devenus des
dogmes
qui
dclen
chent des crises d hystrie ds lors qu on ose les remettre en cause.
Pourtant, ces dogmes ne sont pas des vrits car, comme l enseignait
Gandhi, une erreur
ne
devient pas une vrit
quel que
soit le
nombre
de
fois
que
vous la rptez.
La
vrit reste la vrit,
mme
si
personne n en entend jamais parler . En outre, l information s est
peu peu transforme en marchandise dont la valeur varie en fonc
tion de
l offre
et
de la demande, pour en arriver
au
point
extrme de
la
dsinformation actuelle ou, ce
qui
est sans doute pire, la co
ntre
information.
Mais les mdias ne sont pas les seuls responsables
et
ne sont
que
les porte-parole d un ensemble
d institutions qui
contrlent
les opinions et les
comportements et
maintiennent les gens dans
l ignorance. Comme l explique
Noam
Chomsky, philosophe radical
de rputation internationale et professeur au MIT (Massachussecs
Instituee
ofTechnology):
Les mdias ne
reprsentent qu une toute petite
partie de la
vaste
machine de
propagande.
Il existe un systme d
endoctrine-
ment et de contrle beaucoup plus vaste, dont les mdias ne sont qu un rouage:
10
AVANT PROPOS
l cole
, l intelligentsia,
toute une
panoplie d institutions qui
cherchent
influencer et contrler les
opinions
et les comportements, et
dans une large
mesure maintenir/es gens
dans
l ignorance.
Comme le signalait Rabelais, l ignorance est la mre de tous
les maux
Or
celle
qui
concerne la vaccination est souvent cons
ternante.
11
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Du fait des vaccin tions les
individus sont
devenus
de vrit bles
rservoirs
virus et leurs dfenses
immun
i
t ires
sont
tellement moindr
i
es que
de
nouvelles ffect ions incurables et
gr v
issimes
apparaissent ch que jour.
DRL
OUIS
BON
DE
BROUWE
R
ous ET VOTRE
S NT
L LONGUE HISTOIRE
E L V CCIN TION
0
N
CDMPARE
SOUVENf
lA VACONATION
lA
:Ml1HRIDATJSATION
qui consiste administrer un poison
en
doses d abord
faibles puis progressivement croissantes afin d accou-
tumer
l organisme certains poisons. Ce principe, utilis depuis
l Antiquit,
a t immortalis
par
le roi
Mithridate qui,
selon la
lgende, avait ainsi acquis
l immunit
l gard de
substances toxi
ques. Au cours du temps, on a
pu
aussi observer que lorsqu on avait
contract une maladie infectieuse on en restait protg pour le reste
de la vie.
C est la variole, maladie
qui
a svi durant des sicles, que
l on doit l invention
du
vaccin. L origine de la variole semble trs
lointaine
puisque l on
a trouv des indices dans les vestiges de la
prhistoire et que, d aprs certaines cicatrices de pustules releves
sur sa momie, le pharaon Ramss v en serait mort en 1157 av. J. C.
C est au dbut du Ive sicle aprs Jsus-Christ que Ge Hong, mde
cin
et
alchimiste chinois, en fit la premire description,
puis
Aaron,
mdecin d Alexandrie, la
mentionna
au
v
sicle. Enfin, un mde
cin persan, Rhazs, fut le
premier
en donner un excellent expos
symptomatique au Ix sicle. Au xi sicle, les Chinois pratiquaient
la variolisation par voie nasale, ce qui consistait
immuniser
une
personne en la mettant
en
contact avec le contenu de la substance
qui
suppurait des vsicules d un malade. Ce fut un moine taoste
qui
apporta
en
Chine la technique d inoculation qui se diffusa progres-
13
8/10/2019 Simon Sylvie - Vaccins, Mensonges Et Propagande
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VACCINS,
MENSONGES
ET
PROPAGANDE
sivement dans tout le pays. Malgr un rsultat alatoire, le taux de
mortalit pouvant atteindre
1
ou
2
,
cette
pratique
s'est progres
sivement diffuse le
long
de la
Route de
la soie.
L
V RIOLE
G GNE L EUROPE
On considre que la variole fut introduite
en
Europe par les invasions
arabes,
la suite de l'pidmie
de
La Mecque
en
572,
puis
les Croiss
la rapportrent chacun dans leur pays. Au
x
sicle, la maladie
tait
connue dans toute l'Europe mridionale. cette poque, la variole
tait redoute, car un tiers de ceux
qui
la contractaient
en
mouraient,
et
ceux qui survivaient taient gnralement dfigurs.
En 1701, le mdecin grec Giacomo Pylarini ralisa la
pre-
mire inoculation
Constantinople et sa technique fut importe en
Occident au
dbut du
x
sicle
par
Lady Mary Wortley
Montagu,
la femme de l'ambassadeur d Angleterre en Turquie, qui l'avait
apprise du
docteur Emmanuel Timoni,
mdecin
de
l'ambassade
d'Angleterre
Istanbul. Diplm de l'universit de Padoue,
mem-
bre de la Royal Society de Londres depuis 1703, le docteur Timoni
publia en 1713
un trait sur l'inoculation.
partir
de cette
date
, les
publications sur ce sujet se multiplirent.
Il est coutumier
d attribuer
l'invention
de
la variolisation
Edward Jenner, un mdecin anglais, mais cette mthode fut intro-
duite en
France la Cour de Versailles, ds 1756, et exprimente
sur
les enfants du
duc
d'Orlans
par
un mdecin suisse, le
docteur
Thodore Tronchin. En
1760,
Daniel Bernoulli
dmontra
que,
malgr les risques, la gnralisation de cette pratique
permettrait
de
gagner
un
peu plus
de trois ans d'esprance de vie la naissance.
Elle suscita cependant l'hostilit
de
nombreux mdecins
et
la France
fut ainsi
l une
des dernires nations adopter la mthode,
en
1764.
Consulte
par
le Parlement, la Facult de mdecine de Paris rendit
un arrt le 8 juin 1763, par 52 voix contre 26, en faveur de l'ino-
14
L
LONGUE HISTOIRE
DE L V CCIN TION
culation.
La
variolisation devient l a premire technique mdicale de
masse,
non pour
empcher la
contagion
d '
une
maladie, mais
pour
la
rendre
moins
grave. Cependant,
en 1803,
le
gouvernement
britan-
nique
interdit
ce procd et encouragea la vaccination.
partir
de 1770 et au cours des annes suivantes, plusieurs
mdecins en Angleterre
et en
Allemagne
ont
expriment avec suc
cs la possibilit d 'utili ser la vaccine, une maladie de la vache trans
missible
l homme et
similaire
la variole,
pour
vacciner
l homme
contre la variole. En
1774,
au cours
d une
pidmie
de
variole,
un
agriculteur du Dorset, Benjamin Jesty, russit
induire une immu-
nit artificielle chez sa femme et ses deux enfants avec la vaccine car
il avait remarqu
que
ceux
qui
travaillaient dans les laiteries
de
la
rgion et avaient
eu
la cow-pox
,maladie qui
s'
attrape au
contact
de vaches contamines, ne contractaient jamais la variole.
De son ct,
en
177 5, sans tre averti du succs de Jesty, Edward
Jenner
commena ses recherches
sur la
variole
par
l'tude de la vaccine,
le plus souvent bnigne
pour
l homme mais
qui
ressemble
la variole.
En 1796, convaincu que cette maladie bnigne protgeai t ses porteurs
de la variole humaine,
Jenner
inocula,
par
scarification dans les deux
bras, du pus prlev
sur
la
main d une
femme
atteinte de
la vaccine,
James
Philipp,
un
enfant de 8 ans.
James
Philipp contracta la maladie
sous la forme d 'une unique pustule, de la fivre et
un
malaise gnral,
mais l'enfant gurit trs vite. Trois mois plus tard, pratiquant ainsi la
premire vaccination au monde, Edward Jenner inocula la vritable
variole
au mme
James Philipp.
Au grand
soulagement
du
mdecin,
la maladie n eut aucun effet sur l'enfant, ce
qui
prouvait que la vac
cine l'avait im munis contre la variole.
Jenner
appela
v
ru
s
le facteur
mystrieux
de
la vaccine, d 'aprs
un mot
latin
qui
signifie
poson Il
se rendit ensuite
Londres o il vaccina gratuitement des centaines
de sujets, poursuivi t ses recherches et les transmit
la Royal Society,
qui n'avait pas diffus le rapport initial. Aprs l'amlioration de la
mthode
et
d'autres travaux, il
publia
une
tud
e
sur
vingt-trois cas.
5
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VACCINS, MENSONGES ET
PROPAGANDE
On peut ainsi constater que la vrit ne correspond pas toujours
aux dires officiels sur l'efficacit et l'innocuit des vaccins et que
cette politique de mensonge et propagande, toujours l'honneur, a
dbut ds les premires vaccinations.
L B RRIRE
D ESPCE
En
outre,
le vaccin de Jenner a
permis
de franchir pour la
premire
fois la barrire d'espce
en introduisant directement
dans le corps
un
lment d une
autre
espce, c'est--dire des gnes provenant
d un
animal et qui plus est,
d un
animal malade. Ds cet ins
tant, l homme
a boulevers l'cosystme
en
facilitant le passage
de micro-organismes d une espce une autre. La barrire tant
franchie, commena alors l'animalisation de l homme ou,
comme
l explique Pierre Darmon dans son ouvrage
a
ongue traque de la
variole
la minotaurisation de l'espce humaine . Cet aspect de
la
vaccination n'est jamais
pris en
considration par les scienti
fiques alors qu il initie tout un ensemble de phnomnes contre
nature, dont nous ne mesurerons les consquences que dans plu
sieurs dizaines voire quelques centaines d'annes si nous persistons
dans
cette voie.
18
UN
CONST T INQUIT NT
Le 26 janvier 1909, le
ew ork ress
publiait
un
rapport du
Dr W.
B.
Clark qui affirmait
Le
cancer tait pratiquement
inconnu avant la vaccination contre la variole.
J ai
observ
200 cas de
cancer,
et je n en ai jamais vu un seul chez une
personne non vaccine. Un demi-sicle
plus
tard, le Dr Albert
Schweitzer (prix Nobel en 1952) aurait partag ce constat car
il avait remarqu que les premiers cancers
en
Afrique taient
apparus cinq
ans
aprs les premires campagnes
vaccinales.
L
LONGUE
HISTOIRE DE L V CCIN TION
L
FIN DE
L
V RIOLE
La variole a disparu de la plante, donc le vaccin n 'est plus
prati
qu, mais on ne cesse de rpter, comme un chur de perroquets,
que l'radication de la maladie est due la vaccination, ce qui est
totalement faux.
En
effet, en 1962, l'Organisation mondiale de la
sant (OMS) lanait l'chelle mondiale une dernire campagne
d radica
tion
,dont
les dbuts furent catastrophiques car des pi
dmies se dclarrent dans des populations vaccines 95 , notam
ment en Inde et au Brsil. Le 28 novembre 1972, le Dr Donald
A. Henderson, chef du Service d'radication de la variole l'OMS,
dclara
que
mme dans la population
vaccine 90
,
on
pouvait
assis
-
ter
des
flambes
pidmiques . Il constata qu'avec ce type d'approche,
on ne parvenait pas faire compltement chec la transmission.
L'OMS prconisa alors d'abandonner la vaccination de masse au pro
fit d une stratgie dite de surveillance-endiguement ,c est--dire
l'isolement des malades
et
leur traitement. En quelques annes, ces
deux pratiques d'hygine lmentaire ont
triomph
de la maladie
en
interrompant la chane des transmissions, l o la vaccination avait
ostensiblement chou. C'est ainsi qu en 1980, l'OMS proclama
l radication totale de la maladie
2
Le rappor t final de la Commission mondiale pour la Certification
de l'radica tion de la Variole spcifiait : L
es
campagnes d'radica
tion reposant entirement
ou
essentiellement sur la vaccination de
masse furent couronnes de succs dans quelques pays mais chou
rent
dans la plupart des cas.
Tout au long de sa carrire, le vaccin gnra des quantits d'effets
secondaires, alors que les pouvoirs publics ont toujours annonc qu'il
ne prsentait aucun danger et qu'il n'y avait jamais d'accident .
Or, lorsqu'un vent de panique a souill sur le monde au
dbut
de la
2 Affiches parisiennes et
d
partementales et LeMonde 21 dcembre 1977 .
19
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VACC
IN
S, MENSONGES
ET
PROPAGANDE
guerre contre
l Irak
avec la menace de
la
variole, les autorits sanitai res
de notre
pays
ont
refus d envisager
la
vaccination cause des graves
dangers qu elle reprsentait, et Bernard Kouchner a dclar
qu une
campagne de vaccination po
urrait
causer 350 dcs en France.
QUESTION
Comment se
fait-il
que le vaccin, qui ne prsentait publique
ment
aucun danger alors qu il tait obligatoire, soit devenu
trs dangereux et mme mortel prsent qu il n'est plus
utilis
?
Nous aurai t-
on
menti une certaine poque
?
P STEUR T L R GE
Pr
s
dun sicle aprs
la mise
au
point
du vaccin contre la variole,
Louis
Pasteur prit pour po
int de
dpart
l
es
travaux
de
J
en
n
er pour
t
ablir
le principe des vaccinations prventives,
qui
doivent
leur nom
la vaccine. P asteur restera pourtant officiellement le pre de la vac
cinati
on. Ds
l cole, nous apprenon s
que Pasteur a
sauv le petit
Joseph
Meister,
mordu
la
main par
un chien
enrag.
Les
menson-
ges concernant le vaccin contre
la
rage
sont une
redite des mensonges
concernant le vaccin contre la variole, et l exemple
par
exce
ll
ence des
mensonges de Pasteur,
qui
ont
t tellement
rpts et intr
oduits
dans
la
mmoire
collective
qu i
ls
sont
devenus des vrits inattaquables.
Rtablissons
un
pe
u l
es
choses. T
out
d abord, le vaccin antirabi
que ne fut pas cr
par
Pasteur, mais
par Henri
Toussaint, professeur
l cole vtrinaire de Toulouse,
dont
le
nom
a t oubli
par
l histoire.
e
vaccin cr
par
Pasteur, base
de
moelle dessche,
tait
trs dange
reux, au point
que
le collaborateur de Pasteur,
mile
Roux, avait refus
de s associer aux p remiers essais de
traitement intensif , et ce premier
vaccin fut d ailleurs b i
en
vite abandonn.
Henri
Toussaint a alors russi
attnuer
la virulence du virus
en
chauffant la prpara
tion et en
y ajou-
20
L
LONGUE HISTOIRE DE
L
V CCIN TION
tant
un antiseptique.
Quant
au chien
qui attaqua
le jeune Meister, il
n existait aucune certitude
qu il fut
enrag car il
mordit
d autres enfnts
du village
qui
ne manifestrent
pas
la maladie. De plus, le risque
pour
le
jeune Meister tait infime, car un animal rellement enrag - ce
qui
est
extrmement rare - ne transmet la maladie que dans 5 15 % des cas.
On
parle beaucoup
moins d douard
Rouyer
un
e malheureuse
victime de Pasteur
.
Cet
enfant
de
douze ans
fut mordu
le 8 octobre
1886
par
un
chien
inconnu.
Pasteur
l
ui
inocula son vaccin
par la
mthode intensive et le 26 octobre, l enfant mourut. Une enqute
judiciaire fut alors ouverte pour
dterminer
la cause de sa mort et con
fie au professeur Brouardel,
ami
de Pasteur. On inocula une
partie du
bulbe
cervical
de
l enfant des cerveaux de lapins
et,
quelques jours
plus tard, les lapins moururent de la rage. Mais Brouardel et Roux dis
simulrent la vrit
la
justice afin d
viter
le dshonneur et la rvla
tion
d un chec cuisant
pour
l orgueilleux Pasteur
qui
avait dclar au
Dr
Navarre :
Je n admets
pas qu
on discute
dsormais
mes
thories
et
ma mthode;
je ne souffrirai pas
qu on
vienne
cont
rler mes exp
riences. Officiellement, l enfant tait donc
mort d urmie
3
.
LA LOI DU SILENCE
Pasteur
et
ses deux complices firent taire ceux qui connaissaient
la
vrit. Brouardel
osa
mme affirmer qu il n y avait eu aucun
dcs
sur cinquante personnes traites par
les
inoculations
intensives, alors qu' cette poque, 40 trangers et 34 Franais
taient dj morts
cause
de Pasteur. Parmi
les
74 victimes, cer
taines taient mortes de
la
rage ordinaire, d'autres avaient t
atteintes d'une nouvelle affection : la rage des laboratoires .
lles prsentaient les symptmes de paraplgie rabiforme obser
vs chez les lapins servant la culture du virus pasteurien.
3. Philippe Decourc :
es vrits
Indsirables, Comment on falsifie l histoire: le
cas
Pasteur, La Vieille taupe, 1989.
21
8/10/2019 Simon Sylvie - Vaccins, Mensonges Et Propagande
12/128
VACCINS,
MENSONGES
ET
PROPAGANDE
Dans
une
lettre adresse
au
Dr Lutaud, rdacteur
en
chef. du
journal de
mdecine
de Paris le Pr Michel Peter, membre minent
de l A
cadmie
de
mdecine, a
violemment critiqu
les
mthodes
de Pasteur
et
l a accus de faire croire la frquence
de
la rage,
maladie rare, trs rare , pour des raisons
qu il
qualifiait de peu
scientifiques . Er, devant ses pairs
de
l Acadmie, le
Pr
Peter
a
reproch Pasteur d avoir provoqu des cas
de
rage paralytique er
mme convulsive, au
li
eu
de l avoir fait disparatre
compltement,
comme il l avait solennellement annonc. Il
concluait: Monsieur
Pasteur ne gurit pas la rage,
il
la donne son tour, l crivain
Lon Daudet (le fils d Alphonse) s leva contre ce
qu il
appela la
nouvelle Morricolie (en rfrence
son ouvrage
es
morticoles qui
critique
la mdecine de son temps)
et publia une
srie d articles
sur
le sujet. Il a ainsi racont
en dtailla
souffrance er l horrible
mort
de
six paysans russes mordus par
un loup et
vaccins par Pasreur
4
Mais l Histoire
n a
retenu que le succs
de
ce vaccin
dont
jamais personne
n a pourtant pu
prouver l efficacit,
tant donn
qu il tait pratiquement
impossible d apporter la preuve que les
chiens incrimins taient
atteints
de la rage.
En
outre, le nombre de
vaccins qui mouraient
tait trop
lev pour qu on souhaitt en
tenir
compte. Je n ajourerai pas ici la longue liste des autres mensonges
de
Pasteur, mais si le lecteur veut les dcouvrir, il
peut
se rfrer
l ouvrage d Eric Ancelet Pour en finir
avec Pasteur qui
rsume magis
tralement ce qui se cache derrire ce personnage, bien diffrent de
l image
d
p
inal
qui
le reprsente officiellement.
Pendant vingt
ans, Gerald Geison, professeur d histoire des
sciences et de la mdecine de l universit de Princeton, a
tudi
les notes de laboratoire de Pasteur, jusqu alors restes secrtes sur
l ordre de Pasteur
lui-m
me ,
et
a rvl dans une monographie des
discordances frappantes entre ces notes et les affirmations
publi
-
4. Souveni .s des milieux littrai .es politiques a .tistiques et mdicaux de 1880 1905.
Nouvelle Librairie
Nati
onale 19 15.
22
L
LONGUE
HISTOIRE
DE
L
V CCIN TION
ques de Pasteur. Il a
communiqu
le rsultat de ses recherches au
Congrs annuel
de
l American Association for
the Ad
van
cement of
Science
qui fut publi
le
14
fvrier
1993 par
le journal anglais
The
Observer.
son tour, la semaine suivante, le magazine
Scien
ednona
L imposture pasteurienne , mais
en
France, personne n
en
a
entendu
parler.
La
monographie
de
Geison
sur
Pasteur est consid
re comme un ouvrage scientifique exceptionnel qui perce le secret
qui
a
entour une
bonne
part du
travail de laboratoire
du
lgendaire
savant
5
.
Selon le
New England journal o Medicine
ce livre (qui
n a
jamais t traduit en franais) nous demande de rvaluer nos
hros
et
de prendre en
compte
les complexits de la science plutt
que
de nous
cramponner
notre confort
et
aux
mythes
hroques.
Il est v
idemment
bien triste
que l un
des plus grands hros
des Franais soit un imposteur, d
autant qu il
inaugura une certaine
forme de mensonge qui rgne actuellement sur l information scien
tifique er particulirement en ce qui concerne les vaccins .
L S
PREMIERS V CCINS T L S OBLIG TIONS
En 1898 fut
vot en Angleterre
The
Vaccination
Act qui
introduisait
une
clause de conscience permettant aux parents d obtenir
un
cer
tificat d exemption s ils pensaient que les vaccinations n taient ni
efficaces ni sans danger pour leur enfant. Mais pour cela les parents
devaient se prsenter devant deux magistrats avant que l enfant n ait
atteint
l ge de
quatre
mois
et
le processus tait si contraigna
nt
qu en
1906,
40
000 exemptions seulement furent obtenues
en An
gleterre
et
au pays de Galles. Aussi, une nouvelle loi,
The
V
acci
nation Act de 1907 ,
permit aux parents d viter les amendes en cas de non-vaccination
en
envoyant s
impl
e
ment
une lettre
au
Vaccination Officer du district,
dclarant qu ils pensaient que la vaccination serait prjudiciable leur
5 The p .i
vate
S
cien
ce
o Louis
P
as
t
eu .
d. Princeton Univers
it
y
Pr
ess, 1995 .
23
8/10/2019 Simon Sylvie - Vaccins, Mensonges Et Propagande
13/128
VACCINS, MENSONGES
ET
PROPAGANDE
enfant. l'inverse, aux tats-Unis, ds 1905, la Cour Suprme
du
Massachusetts annona
que
l'tat pourrait exiger la vaccination d'un
individu
pour
le bien de rous, quelques exceptions prs.
DES DBUTS
PEU ENCOUR GE NTS
En
France en
1923,
Gaston
Ramon, vtrinaire l'Institut
Pasteur cre
les
premires anatoxines contre le ttanos
t
la
diphtrie. Alors que 63 249 cas de diphtrie furent traits par
l'antitoxine,
plus
de 8 900 dcdrent, soit une proportion de
14 . Pendant la mme priode,
sur
11 716 autres
cas
non
traits par l'antitoxine, 703 moururent soit 6 .
En 1925, une pidmie de diphtrie s'est dclare dans l'arme
du Rhin. Le mdecin militaire Zoeller fit Mayence un premier
essai de contrle. Il vaccina 305 recrues par deux injections d'ana
tOxine
diphtrique
faites trois semaines d'intervalle, 700 autres
recrues non-vaccines servant de tmoins. P
endant
les trois semaines
sparant la premire injection de la seconde, cas de diphtrie se
dclarrent chez les 305 vaccins, mais 1 seul cas survint chez les
700 recrues
du
groupe tmoin. La conclusion tait formelle, la vac
cination avait provoqu 22 fois plus de cas chez les vaccins que chez
les non-vaccins. Les services sanitaires mentirent alors dlibr
ment en
prtendant
que
les recrues malades taient incompltem
ent
immunises et retirrent des cas de vaccins pour les
mettre
dans
le loc des non vaccins, ce qui permit d'affirmer que la vaccination
antidiphtrique avait fait la preuve de son efficacit. Aussi, le 6
dcembre 1927, l'Acadmie de Mdecine demandait aux pouvoirs
publics d 'imposer syst
ma
tiqu
ement
la vaccination des en
fa
nts .
A cette poque, les contestations venaient surtout du co rps
mdical et les dbats avaient lieu principalement l'Acadmie
de mdecine. Constatant les effets dsastreux des vaccinations, le
24
L LONGUE HISTOIRE DE L V CCIN TION
Dr Paul Chavanon fut le premier Franais dnoncer le scandale
des vaccinations obligatoires et demander la suppression de ces
empoisonnements imposs, suivi
par
les Pr Tissot et Delbet, les Dr
Neveu, Chvrefils, Grigoraki, Couzigou, Ferru, puis Kalmar et bien
d'autres. Petit petit, la population a pris le relais et de nombreuses
publications se sont fai t l'cho des cri
ti
ques scientifiques provenant
d'minents opposants. Mais ils ne
purent
empch
er
le vote
d une
loi instauran t l'obligat ion vaccinale contre la diphtrie et le ttanos,
en janvier 1938. Ce qui mena Ren Gillouin, crivain, journaliste
et critique littraire, demander au Conseil gnral de la Seine :
P
eut
-
on
imposer
par
la force
une
mthode qui a dj son acti f,
ou son passif, t
ant
d'checs clatants
?
6
.
Alarms par les multiples effets secondaires dramatiques obser
vs aprs la campagne de vaccination qui s'ensuivie, leur rour,
quelques dputs courageux, comme Philippe Henriot, dput
de Bordeaux, Marcel Boucher,
dput
des Vosges, et Ren Piard,
dput-maire de Troyes, osrent s'lever contre cette obligation.
Le 15 fvrier 1939 se
tint
une runion publique salle Wagram,
Paris, laquelle taient convi
s
le professeur Ramon, dcouvreur de
l'anatoxine diphtrique, et des
membr
es de
l institut
Pasteur. Ren
Piard voqua son inquitude en ces termes : ]e suis amen vous
dire devant cette tribune les angoisses
du
maire d une grande cit
qui s'esc trouve en prsence d une pidmie de diphtrie et qui,
s'en rfrant aux hommes de science, a fait vacciner
en
bloc 5 300
enfants. Devant l
es
rsultats, ma conscience, je ne vous le cache pas,
esc inquite et tourmente. Voici les faits :
Nous
avons
eu
Troyes une pidmie de diphtrie qui a
pris naissance dans une colonie scolaire. J ai runi le corps mdical
qui
s'est trouv divis. Alors j'ai demand le secours d'un dlgu
du ministre qui a prconis la vaccination. Or, il se produisit une
6.
ull
etin
muni
cipa
l officiel
20 dcembre 1938.
25
8/10/2019 Simon Sylvie - Vaccins, Mensonges Et Propagande
14/128
VACCINS
MENSONGES
ET
PROPAGANDE
chose terrible. a suite des piqres dana toxine Ramon, des enfants
jus
qu
ici sains furent contamins, il y eut des morts. Des mdecins
ont
prtendu que la vacc
in
ation pouvait tre l origine de certaines
diphtries qui ont volu vers la mort. Et c est bi
en
l qu est le
drame. [ ...
]Je
ne sais pas si , en temps d pidmie, on peut s arroger
le
droit
de risquer de
tuer
l individu
pour
sauver la
co
llectivit, mais
en priode normale, o pourrait-on trouver la justification de crer
par la vaccination des hypersensibilits l infection, selon le mot
du
docteur Anglade ?
Quant
moi , aprs la douloureuse exprience que
je viens de vous exposer je refuse de prendre une telle responsabilit.
J e voterai la Chambre contre les vaccinations obligataires.
Lors dune sance la Chambre le 7 dcembre 1939, Marcel
Boucher, dput des Vosges, vo
qua
son tour de nombreux parents
qui
avaient
perdu
un enfant des suit
es
de cette vaccination et
seraient obligs de
mettr
e en danger la vie des enfants qui leur res
taient en les faisant vacciner leur cour. Il s agit en la circonstance
d un
md icament sur lequel les mdecins
so
nt loin d tre daccord .
Pourquoi le lgislateur le dclare-t-il bon ? Pour quelle raison,
entre
les thses opposes, choisit- il celle qui aboutit faire, au mpris le
plus certain des liberts individuelles de rous les Franais, autant de
cobayes destins servir de sujets d expriences aux inventeurs de
vaccins ? Et ces e
xp
riences, o s arrteront-elles ? Aprs celui-l,
quel aut re vaccin, c est--d ire quel autre virus devra tre assimil ?
Et de vaccin en vaccin , de virus en virus, vers quelle inquitante
d
es
tin
e physiologique co
nduit
-on l espce
hum
ai
ne
?
Ces propos r
es
te
nt
toujours d actualit et il
es
t certain
que
le
dput Marcel Boucher, qui exhortait dj imiter les nombreux pays
qui s taient bien gard d imposer l obligation vacc inale, ne pouvait
alors imaginer la folie furieuse des futurs inventeurs de vaccins
Faisant
fi
de rous ces arguments, le
24
nove
mbr
e 1940, sur
avis conforme de l Acadmie de Mdecine, le
mar
chal Ptain trans
forma ce dcret en loi d tat. Les cas de diphtrie s levrent alors
26
L
LONGUE HISTOIRE DE
L
V CCIN TION
47 000 , alors qu en Norvge, pays qui refusa cette vaccination, les
cas se limitrent 50 seulement. Ces chiffres parlaient d eux
-m
mes,
mais
i l
n y a pire sourd que celui
qui
ne veut entendre.
UN
TRAITEMENT SANS INTRT
cette poque, le Dr Neveu, lve du
Pr
Delbet, rdigea
un
rapport
sur
les
gurisons qu il avait obtenues chez
des
per-
sonnes
atteintes de diphtrie avec le chlorure de magnsium
dont on connat l efficacit dans
les
tats infectieux.
e
Pr
Delbet voulu prsenter
ce
rapport
l acadmie de Mdecine,
mais il
se
heurta
une farouche opposition du
corps
mdical.
a
publication de
ma
communication du 20 juin
est
dfini-
tivement refuse.
e
Conseil de l Acadmie a trouv, aprs 6
mois
de rflexion, l argument suivant:
en
faisant connatre
un nouveau traitement de la diphtrie, on empcherait les
vaccinations
et
l intrt gnral
est
de
gnraliser
ces vacci-
nations7.
Que signifiait
l intrt gnral
aux yeux de cette auguste
Acadmie?
Il rsulte de ce rapport
que
l Acadmie de Mdecine a dcid
dlibrment d touffer un traitement qui aurait pu sauver des mil
liers de vies, mais qui aurait risqu de concurrencer les vaccins.
Et
le 5 janvier 1
950,
une
aut
re loi
rendit
obligatoire le BCG, mis au
point en
1928 par
Calmette et Gurin. Cela faisait longtemps
que
des parlementaires et des industriels des laboratoires cherchaient
l imposer mais certains hommes politiques avaient ragi. Ils taient
alors plus courageux qu ils ne le sont aujourd hui,
et
certainement
mi
eux informs.
7. Lettre adresse au Dr Neveu le 16 novembre 1944.
27
8/10/2019 Simon Sylvie - Vaccins, Mensonges Et Propagande
15/128
VACCINS, MENSONGES
ET
PROPAGANDE
Dans son ouvrage
La Mdecine
retrouve le Dr Jean Elmiger fusti
ge ce vaccin : Apprenez ici une vrit terrible : chaque fois que vous
entendez parler d'une affreuse
mort
d'enfant, terrass dans les premi
res semaines de sa vie par une mningite virale , vous tes en droit de
suspecter le BCG, mme si l'autopsie a confirm le diagnostic classi
que
d' encphalite virale foudroyante . ( ..
)Si
le mdecin responsable
d'une telle horreur est conscient
du
rapport de cause effet, il est
un
criminel clair,
et
un lche pour n'avoir pas parl. S'il ne saisit pas
le rapport, il est
un
dangereux imbcile prt la rcidive. Et plus
loin, dans le mme ouvrage, le Dr Elmiger explique ainsi cette nou
velle obligation vaccinale, qui devint, au cours des annes suivantes,
un modle qui fit cole:
Le
lancement
du
BCG est un modle de
gangstrisme conomique, une gigantesque
et
malhonnte opration
commerciale. Rien ne manque au scnario :
un
inventeur farfelu, des
expriences de laboratoire truques, un vernis pseudo scientifique, des
statistiques tronques, une publicit honte, l'appui achet des man
darins, et, suprme astuce, la gratuit du produit . financ par le con
tribuable Tout cela ne sort pas de l'ordinaire ; le public franais est
habitu aux scandales. Mais ce qui est propre au BCG, et
qui
atteint
les sommets du machiavlisme, c'est l'ultime manuvre, russie, de
coercition diabolique imagine par les promoteurs, le Conseil
de
la
Rpublique, et l'obligat ion vaccinale.
D'ailleurs, contrairement aux
craintes des services de sant,
lorsque ce vaccin n 'a plus t obligatoire
et
que l'incidence du vaccin
a fortement chut,
on
n'a
pu
dcler le moindre signe d'augmentation
des
cas
lie cette diminution. Au contraire, il s'est produit une nette
diminution des mningites tuberculeuses et
moins
de cas de tubercu
lose chez les enfants, mme dans les rgions les plus exposes.
En
1997, alors que le BCG tait encore obligatoire, Nicole
Gurin, du Centre internationale de l'Enfance et
du
Comit tech
nique des vaccinations, dclarait : Pendant longtemps nous avons
fait beaucoup- voire trop -
en
matire de vaccination BCG.
Peut-
28
L LONGUE HISTOIRE DE L V CCIN TION
tre parce
que
nous devons grer
un
pass : nous sommes le pays
o le vaccin a t dcouvert. Nous avons fait jusqu' trois quatre
vaccinations sans que la situation pidmiologique ne change fonda
mentalement. Il est aujourd'hui difficile de dir e ds demain on ne
fait plus rien . Certaines dcisions sont politiques et doivent aussi
tenir compte de l'histoire
de
la vaccination dans
un
pays
8
.
En
somme, bien que ce vaccin n ait pas chang la situation
pidmiologique, on a longtemps persist l'administrer car c'est
chez nous
qu il
a t dcouvert
et
que certaines dcisions sont
politiques
O est la science dans cette dcision
?
Sous l'impuls ion
du
Dr Arbeltier, mdecin-chef
de
l'hpital de
Coulommiers, dput de Seine-et-Marne et vice-prsident
de
l'As
semble Nationale s'est cre, en 1954, une nouvelle association
qui
prit le nom
de
Ligue nationale
pour
la libert des vaccinations
en
1964. a
lutte pour
la libert des vaccinations se trouvait ainsi
structure, ce
qui
lui
valu une reprsentativit.
LES INS S M ULTIPLIENT
L'inexhaustible liste de mise sur le march des vaccins se poursuivit
avec le vaccin Salk, contre la poliomylite (maladie virale infantile
entranant une paralysie), ainsi nomm d'aprs le biologiste qui l'a
mis au point
partir
du virus tu. La vaccination
dbuta
donc aux
tats-Unis
en
1954, provoquant
immdiatement
une pidmie
de cas de polio. L'tat
du
Vermont signala
une
augmentation de
266
% des cas, le Rhode Island de 454 %, et le Massachusetts de
642 %. Malgr ces recrudescences alarmantes, l'American Medical
Association prtendit que la maladie avait rgress de
40
50
%,
mensonge qui permettait
au Boston
erald de titrer le 18 Avril
1955 :
Les
compagnies pharmaceutiques attendent
un
immense
8. Le
s maladies
pr
vention vaccinale
dan
s les collectivits d'enfants e t d 'ado
lescents Lyon, le 2-1 2
-9
7.
29
8/10/2019 Simon Sylvie - Vaccins, Mensonges Et Propagande
16/128
VACCINS, MENSONGES ET PROPAGANDE
profit
du
vaccin Salk. Un porte-parole de Parke-Davis, laboratoire
qui
dtenait
50
des actions du vaccin, annonait que sa compa
gnie
retirerait
au
moins
dix
millions de dollars des ventes
au
cours
de
cette
premire anne.
Toujours en 1955, alors que la vaccination allait
bon
train aux
tats-Unis, les cas
de
polio ne cessaient d augmenter et l on com
menait savoir
que
les mdecins qui faisaient
partie du
personnel
des
Institutions de
sant vitaient de vacciner leurs propres enfants.
En
effet, aprs avoir tudi 1
200
singes, ils avaient conclu que
le vaccin tait la fois inefficace
et
dangereux. Le
Dr
Graham W.
Wilson, directeur des services du Britains Public Health Laboratory,
qui
connaissaient les essais du NIH
(National Institute
of
Health)
amricain, dclara alors : Je ne vois pas
comment un
vaccin pr
par selon la mthode Salk
peut
tre garanti sans danger .
Au
cours
d une session
de
l American Medical Association,
le
chirurgien Gnral
Scheele
admit que
le vaccin Salk
tait
difficile
fabriquer
et
qu aucun
lot ne
pouvait tre
garanti avant
d tre
administr
aux enfants
,mais
il
incita les
mdecins
poursuivre
les vaccinations. Et l on persista affirmer
au
public que le vac
cin tait
sans danger. Quant au
gouvernement, il annona
qu il
avait l intention
de
vacciner
57
millions
de
personnes avant le
mois
d aot 1955. En
1956,
il octroya 53,6
millions de dollars
pour aider les
tats
vacciner gratuitement les moins
de
20
ans, alors que le
Dr
Peterson, Directeur
de
la
Sant de
l Idaho,
signalait
que
la
maladie
ne
touchait
que
les
enfants
vaccins
dans
les
districts
o aucun cas ne
s tait
produit depuis
l automne
prcdent. Dans 90 des cas,
la
paralysie concernait le bras
dans lequel le vaccin avait t
inject.
Cette
anne-l, l American
Public Health Service
annona 168
cas
de
polio
et
6 dcs
parmi
les vaccins. Ds lors, on
appliqua la
censure aux rapports
d acci
dents causs par ce vaccin. Ce qui permit
au
Gouverneur Knight,
de
Californie, de
dbloquer en
195
7
trois
millions de
dollars
3
L LONGUE
HISTOIRE DE
L V CCIN TION
afin d assurer
la
vaccination
de tous les citoyens
de
moins de 40
ans
et
aux
journaux
d annoncer un
profit
de
plus
de 5
milliards
pour le
fabricant
du vaccin.
Au
mme moment, dans le journal
of the American Medical Association, les Dr Allan
Hinman
et Jeffrey
Capelan, annonaient que Sur les 3,3 millions d'enfants vaccins
annuellement aux tats-Unis (avec
ce
vaccin), 16 038 manifestrent
des crises aigus et des pleurs persistants - ce qui est considr par
la plupart des neurologistes comme l'indication
d une
irritation du
systme nerveux central - et 8 484
eurent
des convulsions et furent
en tat de choc dans les 48 heures suivant l'injection du vaccin.
En 1959, le National lnstitute of Health approuva le Quadrigen
qui comprenait les vaccins contre la coqueluche,
la
diphtrie, le
ttanos et la polio, mais il fut retir du march
en 1968
la
suite
de plaintes de parents contre les laboratoires Cutter Labs
et
Parke
Davis. C'est alors que le vaccin oral Sabin fut mis au point partir
du
virus vivant
attnu
du
poliovirus, prpar suivant
une
nouvelle
technique, et
d un
emploi plus facile. La campagne
d immunisation
avec ce vaccin commena
en
1961.
QU IMPORTE L S ACCIDENTS l FAUT VACCINER
Pendant
ce temps,
en
France, les premiers vaccins contre la coque
luche furent introduits et intgrs au calendrier vaccinal, alors
qu en
1958,
la
littrature
mdicale mondiale signalait dj 107
cas de srieuses ractions,
dont
31 avaient entran des dommages
irrparables du cerveau. En 1960, le British Medical journ l publia
une tude du chercheur sudois
Justus
Strom, qui prouvait que les
complications neurologiques
de
la coqueluche
taient
moindres que
celles
qui sont
induites
par
le vaccin.
Au cours des annes suivantes, des pidmies se
sont
dclares
dans des populations couverture vaccinale trs leve (entre 81
et 91
),
comme
en Afrique du Sud en 1988-89, et aux tats-Unis
31
8/10/2019 Simon Sylvie - Vaccins, Mensonges Et Propagande
17/128
VACCINS, MENSONGES ET PROPAGANDE
entre 1992 et 1993, o le nombre de cas de coqueluche a doubl,
ce
qui a amen les autorits s'interroger
sur l utilit
de ce vaccin
9
Nombreuses furent alors les revues mdicales qui mentionnaient
des flambes pidmiques dans les pays ayant une couverture vacci
nale de 96
,
entranant l'apparition de formes atypiques. Ainsi Le
Quotidien
du
mdecin
du
5 janvier 1994, et le British Medical journal
of Medicine
(n
19 de
1995) signalaient
que
des lves avaient t
contamins
par
des camarades vaccins.
A
peu
prs
la
mme
poque, on labora de nombreux vaccins
contre la rougeole dont le virus avait t isol en 1954. Ces premiers
vaccins eurent des rpercussions catastrophiques occasionnant de
graves effets secondaires : ractions fbriles, signes respiratoires trs
intenses et une closion de rougeoles atypiques
qui
firent rechercher
une autre souche vaccinale. Les enfants qui furent vaccins entre
1963 et 1967 dvelopprent l'AMS Atypical Measles Syndrome . Des
tudes
ont
suggr que la rponse de ces enfants au virus sauvage
tait altre et que la svrit et la persistance des symptmes vo
quaient une encphalopathie.
9. Strebel P,
Hu
ssey G , Metcalf C,
Smith
D, Hanslo D , Simpson]. : A n outbreak
of wh
oo
ping
cough
in a highly vaccinated urban commrmity.
]
Trop. Pediatr., 199 1
Mar;3 7(2):7 1-6.
3
8/10/2019 Simon Sylvie - Vaccins, Mensonges Et Propagande
18/128
urisseurs
ou
bandits
? Les observateurs
sont
souvent
bien
en
peine pour dcider lequel
de
ces deux termes
appliquer l industrie pharmaceutique internationale
PETER MARSH NEW SCIENTIST - 1989
QU ND L S VIRUS
NIM UX
INFECTENT
L S V CCINS
A
LORS QU ON MULTIPUAIT LES RECHERCHES SUR DE NOUVEAUX
vaccins,
on
a continu inoculer les vaccins anti-polio
infects des millions d enfants travers le monde
en garantissa
nt
leur innocuit. t de nos jours, il existe encore des
contamination s de vaccins accidentelles, aux cons
quen
ces des
plus
explosives. Mais
pour
bien comprendre
comment
c est possible, exa
minons tout d abord
comment es
t fabriqu un vaccin.
QUE CONTIENT UN V CCIN ?
Le principal ingrdient d
un
vaccin est
un
antigne viral
ou
bac
trien, soit tu, gnralement par le formol, soit vivant mais
att-
nu.
Les
vaccins bactriens peuvent tre ent iers, c est--dire qu ils
co
nt i
e
nn
e
nt
la bactrie
ent
ire,
ou
non et ils co
mport
e
nt
alors des
fragments antigniques extra
it
s de la bactrie.
Pour fabriquer l
es
vaccins viraux, il faut aussi des cultures de
cellul
es
(un virus ne peut vivre qu l intrieur d une cellule). Pour
ces
culture
s,
on utilise trs souvent des cellules animales : des reins de singe
pour le vaccin contre la polio, des ovaires d hamster pour le vaccin con
tre l hpatite B, du cerveau de lapin pour le vaccin contre la rage, des
embryons de poulet pour le vaccin contre l
es
oreillons, etc.
35
VACCINS, MENSONGES
ET
PROPAGANDE
QU ND LES VIRUS
NIM UX INFECTENT
LES
V CCINS
8/10/2019 Simon Sylvie - Vaccins, Mensonges Et Propagande
19/128
Pour
assurer
une production
industrielle des vaccins, il est
ncessaire d avoir des cellules en continu.
Pour
cela,
on
canc
rise les cellules d une souche vaccinale pour qu elles se repro
duisent
l infini.
L usage
de
ces lignes cellulaires
continues
pose
des problmes de puret. Le
rapport
747 de l OMS (Organisation
mondiale de la sant) mettait en
garde en
1986 contre l usage de
substrats
cellulaires
pour
la fabrication des vaccins, lesquels
peu
vent
tre
contamins
par
des virus inconnus
ou par de l ADN ou
par
des protines transformantes.
En outre,
les
cultures
cellulaires
ne
peuvent
crotre
que
si elles reoivent
de
la
nourriture,
gnra
lement
du
srum
de veau
qui contient
des facteurs de croissance
10
Contre
la
contamination
bactrienne des
cultures
cellulaires, fr
quente
dans les laboratoires,
il
est
galement
ncessaire
d utiliser
des
antibiotiques, comme
la nomycine, redoutable pour ceux
qui
y
sont
allergiques.
Pour
que les vaccins soient plus actifs,
on
ajoute
la
prpara
tion vaccinale
un
adjuvant
de l immunit,
susceptible d augme
nter
les rponses immunitaires
qui
sans lui risquent d tre inexistantes.
De
nos jours, c est essentiellement de l hydroxyde
d aluminium
qui
est utilis,
mme
si depuis plusieurs annes, l aluminium est incri
min
dans la maladie de Alzheimer. Enfin, la
plupart
des vaccins
contiennent galement des conservateurs, des stabilisateurs
et
des
excipients comme le phnoxythanol.
Certains vaccins, comme les vaccins
anti-HB ou
les vaccins
ami-papillomavirus, sont
produits
par
gnie gntique, c est--dire
qu au
lieu d utiliser le virus
ou
la bactrie,
on
va isoler certains seg
ments
de leurs chromosomes
et
les greffer
sur
d autres
pour
obtenir
des lments hybrides
qui
n existent pas dans la nature. Il ne s agit
pas de vaccins
synthtiques mais recombins, donc
d une
mani
pulation du vivant.
1O. ational Cancer
Ins
titute Monograph n29 de dcembre 1968 - p.63-70.
L VIRUS DU SING DANS L VACCIN ANTI POLIO
En 1960,
Bernice Eddy, chercheur salari
par
le gouvernement
amricain, dcouvrit
que
lorsqu elle inoculait des hamsters avec la
partie des reins
de
singe
sur
lesquels le vaccin polio Salk
tait
cul
tiv, ces cobayes
de
laboratoire dveloppai
ent
des sarcomes. Ses
suprieurs essayrent
de
taire cette dcouverte, mais Bernice Eddy
en
parla lors
d une
confrence
sur
le cancer. Elle fut
immdiatement
dmise
de
ses fonctions
et interdite
de laboratoire.
Cette anne-l, Benjamin Sweet et Maurice
Hilleman
isolrent
le virus incrimin, inconnu jusqu alors. Il fut appel SV40 car il
tait
le quarantime virus simien dcouvert dans ces conditions.
Des expriences
ont
dmontr
que
des cultures
de
tissus humains
se cancrisaient
au
contact
de
ce virus, responsable de cancers chez
certaines espces animales comme les rongeurs Rsistant au
formaldhyde utilis
pour
inactiver le vaccin, le SV
40
conta
mina
galement les vaccins
ina
ct ivs.
On
ignorait alors les rpercu
ss
ions
possibles sur la sant des personnes ayant reu un vaccin contamin,
mais le
Dr
Harvey Schein, du dpartement de bactriologie et d im
munologie
du
Centre Mdical de l Hpital
pour
Enfants de Boston,
laissait clairement entrevoir
l ampleur de
la catastrophe.
Malgr ces nouvelles
plutt
inquitantes qui se r
pandirent
rapidement parmi les c
her
cheurs, la commercialisation du vaccin
c
ultiv
sur
ces ce llules empoisonnes fut poursuivie.
En 1962,
le
vol
ume 48
des Rapports
de
l A
cadmie Nationale des Sciences des
tats-Unis
dmontrait que
les mtamorphoses cellulaires
induites
par
ce virus entranaient des anomalies dans la
leu
cmie mylode
c
hroniqu
e
et
dans le mongolisme chez
l homme,
ainsi
qu une
recru
descence des leucmies
de
tous types chez les enfants mongoliens.
11. Bergsagel DJ, Finego
ld
MJ, Bu el JS, Kupsky WJ, Gar
ce
a RL :DNA sequences
similar to those ofsimian virus 4 in ependymomas and choroidplexus tumors of
hildhood
N Engl J Med. 1992 Apr 9;326(15):988-93.
7
8/10/2019 Simon Sylvie - Vaccins, Mensonges Et Propagande
20/128
VACCI NS , MENSONGES ET PROPAGANDE
QU ND
L S
VIRUS
NIM UX INFECTENT
LES V CCINS
8/10/2019 Simon Sylvie - Vaccins, Mensonges Et Propagande
21/128
BIEN PL
US T RD
Le
virus SV40, inject
des
millions
de
personnes travers le
monde pendant plus de sept ans,
dont
trois alors qu on con-
naissait son danger, n avait en rien altr la foi
des
mdecins
en la probit et la comptence des laboratoires. Et ce n est que
des
dizaines d annes plus tard que
ses
effets nfastes ont t
rvls. Et on craint semblables rvlations pour d autres vac-
cins dans
les
annes venir
CONFIRM TION
DE L EFFET
C NCRIGNE DU
VIRUS
En 1994, Michaele Carbone
et
son quipe injectrent le virus SV40
des centaines de hamsters
qui
dcdrent rous d un msothliome au
cours des mois suivants
En 1996, une quipe mdicale du Baylor
Colle
ge
Houston a retrouv le virus SV
40
dans les tissus de patients
souffrant de tumeurs du cerveau et de msothliomes. En 1996, le Dr
Carbone publia une nouvelle tude rvlant la prsence de ces mmes
squences de SV40 dans un tiers des ostosarcomes et dans 40 %
d autres tumeurs des os.
Le
chercheur et son quipe prcisaient que
les
rumeurs analyses provenaient denfants
qui
ne devraient pas
avoir reu des vaccins contamins
par
le SV40. Cependant, la possibi
li t que ces enfants aient t infects
par
leurs mres qui avaient reu
ce vaccin ne peut pas tre exclue
18
, mais les experts de l OMS
refusrent denvisager la transmission verticale gntique des parents
l enfant.
son tour, le
Dr
Jane Burel, du Baylor College de mdecine
Houston , a dclar
que
le virus est aujourd hui prsent dans la
17. Carbone M. et al. :
Simian v
iru r
40 like DN A sequence r in human pleural
me ro
t
he
/ioma .
Oncogene, 9, p. 1781-1790, 1994.
18
. Carbone et al. :
SV 4 -li
ke se
q
ue
nce r in human bone tumors On
cogene, 13, p.
527-535 ; 1996.
40
population humaine et
se rpand
par
une voie inconnue . Dans
le journal du National Cancer Institu te elle prcisait
que
le virus
risque d tre transmis
aux
enfants de ceux qui ont
t
contamins
par
le vac
cin
.
Les
27
et
28 janvier
199
7,
dan
s le cadre
d une
confrence
intitule SV40, a possible
human
polyomavirus , Martini et ses
collaborateurs confirmrent les travaux de Carbone :
Un
taux lev
des noplasmes crbraux a t not dans les groupes de personnes
vaccines. Dans cette
tude
comme dans les autres, une prvalence
leve
de
SV
40
a t dtecte dans les tumeurs
du
cerveau
et
des os
qui affectent l
es
enfants
en
bas ge
19
.
En mai 1998, le Pr Franoise Galateau-Salle et son quipe
franaise
ont
galement
mis
en vidence la prsence d
AD N
SV40-
like dans des prlvements tumoraux, mais galement dans des
prlvements broncho-pulmonaires non-tumoraux et lont publi
dans le
journal
of
Patho/ogy
Le terme SV40-like sapplique
un
viru
s ayant une squence virale proche du SV40. Il pourrait alors
s agir, soi t du virus SV40 lui-mme, soit d
un
virus SV40 recom
bin, soit d un virus
humain
proche du SV40
qui
pourrait rsulter
d une mutation la suite d une infection par le virus SV40.
C est ainsi que l humanit a chapp - sauf quelques victimes
sans
doute plus nombreuses
qu
on ne le
pense-
l une des plus grandes
catastrophes mdicales de son histoire, et personne ne sest inquit, alors
qu on essaie chaque jour de nousaffo ler avec des bactries qui nous guet
tent
et
pourraient nous exterminer Malgr dnormes risques pourtant
prvisibles,
les
autorits scientifiques et politiques n ont
pas
hsit
auto
riser l utilisation
des
fragments du gnome dun virus animal dangereux
pour l homme, et tout le monde a fait en sorte de l oublier.
Dans l un de ses bulletins , l OMS s est flicite de la vigilance
de l opinion publique devant les risques ventuellement lis aux vac-
19. Huang H , et al. : Identificati
on
in human
bra
in tumors of DNA sequence r specifie
for SV 4 large T antigen Brain Pathology 9 janvier 1999.
41
VACCINS, MENSONGES
ET
PROPAGANDE
QU ND L S VIRUS NIM UX INFECTENT LES V CCINS
8/10/2019 Simon Sylvie - Vaccins, Mensonges Et Propagande
22/128
cinations et aux dmarches thrapeutiques. Il ny a gure que l OMS
et
quelques fanatiques qui ont constat la
vigilance de l opinion
publique
devant ces risques.
Comment
l opinion
publique
aurait
elle pu
juger
un risque
qu on lui
a volontairement cach, et qu elle
est totalement manipule
?
Et
comment peut-on oser continuer
utiliser le virus SV
40
dans les techniques
de
gnie gntique,
comme
pour
le vaccin
ami-hpatite
B de chez Pasteur-Mrieux
?
ES ML NGES EXPLOSIFS
Les contaminations des vaccins par des virus animaux ne sont pas
circonscrites aux annes 1960. Elles peuvent encore se produire
aujourd hui. Ainsi, en mars 2009, nous avons appris que la compa
gnie pharmaceutique Baxter International avait fabriqu un vaccin
exprimental qui a t accidentellement contamin par le virus
H5Nl
de
la
grippe
aviaire.
Cette
erreur
que
les autorits
de
sant
publique
ont
tout
de
mme
qualifie de grave , a eu lieu
au
laboratoire de recherche
de
Baxter International Orth-Donau
'
en
Autriche.
Ce mlange de virus de la
grippe
humaine H 3N2 et de virus de
la grippe aviaire H5N1 a t envoy l entreprise Avir Green Hills
Biotechnology, une firme autrichienne qui a expdi des portions
du
mlange des sous-traitants
en
Rpublique tchque,
en
Slovnie
et en Allemagne. C est le sous-traitant tchque
qui
s est aperu du
danger
lorsque des furets auxquels il avait inject le mlange so
nt
morts,
ce
qui ntait pas normal aprs une exposition au seul virus
H 3
N2.
Des
spcialistes
en
bioscurit se
sont montrs
fort proccups
par
ce mlang de virus qui
aurait
pu
mener
des consquences
dsastreuses
et
devrait
tre
interdit . Si
une
personne tait infec
te simultanment par les
deux
souches, elle pourrait servir d in
cubateur un virus
hybride
capable de se propager facilement d u n
42
humain un autre. Ce mlange de souches, appel rassortiment,
est
l une
des deux manires de crer un virus
pandmique.
C est
le Laboratoire national de microbiologie du Canada qui a con
firm la faute et alert l OMS. Son
porte-pa
role, le Dr
Roberta
Andraghetti,
a affirm que
l OMS
suivait de prs l enqute sur les
vnements ayant men cette bvue . Elle a prcis :
ce
stade
du
processus , nous pouvons affirmer
que
les risques
pour
la
sant
publique
et pour les professionnels
ayant t mis en contact
avec le virus
sont
un trs bas niveau . Nous connaissons bien ce
discours strotyp,
et
qui pourrait le croire 100 % tant donn
les antcdents
?
Lorsque Christopher Bona, porte-parole
de
Baxter, a confirm
l information, la panique s est empare de la
communaut
des
experts sanitaires qui demandrent
comment une
telle erreur
avait
pu
se produire. Comment un grand laboratoire a-t-il
pu
per
dre le contrle d un virus considr
comme
l une des plus grandes
menaces de pandmie
?
Et
comment
ce laboratoire
peut-il
avoir
introduit par accident les deux virus H5Nl et
H3N2,
dans le
matriel vaccinal
?
D autant que Baxter International a adhr au
BSL3 (Biosafety Level 3),
un
ensemble
de
protocoles destins
viter
la contamination par croisement viral.
Si un individu envoie un virus un quelconque destinataire,
comme cela s est produit avec l anthrax, il sera arrt comme terro
riste, alors que Baxter s en est tir en disant simplement dsol,
c est une erreur Comme l explique Mike Adams,
diteur
de
Natural News
: Le personnel des laboratoires est entran la
manipulation d agents pathognes et potentiellement mortels,
et
il
est supervis par des scientifiques comptents. { .. ] Suivant les rgles
du BSL3, il est impossible que le virus de la grippe aviaire ait
pu
co
ntaminer
les substances vaccinales expdies aux
quatre
coins du
monde. Pour lui, seules
deux
possibilits sont envisageables. Ou
bien Baxter
n a
pas suivi les rgles de la charte laquelle il a sous-
4
VACCINS, MENSONGES
ET
PROPAGANDE
8/10/2019 Simon Sylvie - Vaccins, Mensonges Et Propagande
23/128
crit, ou bien les virus de la
grippe
aviaire
ont
t intentionnellement
placs dans le matriel vaccinal dans l espoir qu il serait injects
des humains, afin de crer cette pandmie tant redoute. Les deux
hypothses sont
galement
effrayantes.
Je
cesserai ici d numrer la longue liste de nouveaux vaccins
qui
se sont succd pendant des dcennies et dont des quantits ont
t retires ensuite, car il faudrait plusieurs volumes
pour en
faire
l inventaire. Mais
il
est tonnant
de
constater le nombre de fois
o
l on a fait l apologie d un vaccin en affirmant
qu il
tait parfaitement
efficace, que le vaccin ne
pouvait contracter la maladie et que
ce
vaccin tait parfaitemen t bien tolr sans
aucun effet secondaire ,
pour annoncer ensuite
qu il
tait remplac
par un
vaccin plus per-
formant et moins
dangereux.
Comme le demandait Coluche,
Plus blanc que blanc, c est quoi
?
8/10/2019 Simon Sylvie - Vaccins, Mensonges Et Propagande
24/128
L introduction
volontaire
et
non
ncessaire
de virus
infectieux
dans un corps
humain
est un acte dment
qui
ne
peut tre dict que
par
une grande ignorance de
la
virologie
et des processus
d infection.
PR R DELONG
VIROLOGUE
ET
IMMUNOLOGISTE DE L UNIVER SIT
DE
TOLEDO
AUX TATS- UNIS
LE NOUVE U V CCIN
CONTRE
L
GRIPPE
EST
RRIV
C
AQUE ANNE, EN AUTOMNE, NOUS SOMMES HARCELS
par les spots publicitaires faisant la promotion
du
vac
cin ami-grippe, destin
prvenir une maladie qu ils
qualifient de
trs dangereuse et souvent mortelle , particulire
ment pour
les personnes ges. Malgr les promesses de notr e
gou-
vernement de rduire les dpenses de sant, les Caisses d Assurances
Maladie relancent sans relche les citoyens.
En
septembre
2008,
elles
sont
alles plus loin
que
de coutume
en
envoyant des courriers
9 millions de personnes, afin que les vaccins de l anne passe
noublient surtout pas de se faire revacciner, mais pour incite r gale
ment
ceux qui n avaient jamais voulu recevoir ce vaccin l accepter
enfin.
Acroire que le fameux trou de la Scurit Sociale n est pas
aussi profond qu on veut nous le faire croire.
C tait devenu une habitude depuis quelque temps, mais cette
anne 2008
la
Cnam
voulait particulirement
cib
ler la tranche des
65 69 ans,
dont
seuls 53 %
sont
vaccins, car
l objectif de sant
publique
[tait} d atteindre un taux de couverture de 75 % la fin
de 2009 .Cette offre n tait valable que jusqu au 31 janvier 2009,
afin de crer une bousculade base sur la crainte habituelle qu il
n y en
ait
pas
pour
tout le
monde
.
7
VACCINS,
MENSONGES
ET
PROPAGANDE
LE NOUVE U V CCIN
CONTRE L
GRIPPE
EST
RRIV
8/10/2019 Simon Sylvie - Vaccins, Mensonges Et Propagande
25/128
DES
ST TISTIQUES ERRONES
Les
pouvoirs publics essaient de nous faire croire qu il y aurait des
milliers de dcs imputables la
grippe
chaque anne, mais ces dcs
concernent la plupart du temps des personnes dj atteinte s d'autres
maladies ou
dont
l tat gnral est trs dlabr par l'ge
ou
par des
pathologies chroniques de plus
en
plus nombreuses.
Et
surtout,
on
veut nous convaincre
que
la vaccination rduit de 50 les risques
de mor talit chez les gens gs en hiver. Nombre d'tudes, cites
tout bout de champ, l'affirment.
Or
il s'agit l d une impossibilit
absolue car la mortalit
par
la grippe, qui atteint son point culmi
nant
en
janvier-fvrier, n'est responsable que de 5 de la mortalit
des gens gs en hiver.
Aussi, l'affirmation que le vaccin diminue de moiti et mme
plus les risques mortels est parfaitement ridicule. Une quipe
de chercheurs, celle
du Dr
Lone Simonsen, de l'universit George
Washington aux tats-Unis, a dcouvert ainsi que ces statistiques
ne peuvent tre correctes. Que le vaccin contre la grippe pargne
10 fois plus de morts que la maladie elle-mme n'en occasionne n'est
pas possible ,affirment-ils juste titre. Personne d'autre qu'eux ne
semble avoir analys cor rectement ces statistiques. On se rend ainsi
compte que chacun rpte des contre-vrits comme un perroquet,
sans jamais rflchir, et particuli rement nos services de sant.
P S
DE
RDUCTION
DE
L
MORT LIT
CHEZ
LES
PERSONNES
GES
Les gens gs sont la cible prfre des mdias qui semblent igno
rer toutes les tudes
qui
discrditent ce vaccin. Le journal mdical
The Lancet Infectious Diseases a confirm que des erreurs dans les
tudes ont conduit beaucoup exagrer ses bnfices , et qu il
n'existe pas assez d'vidence pour savoir quel point ce vaccin peut
parfois sauver des vies, ni mme s'il en sauve une seule. Ainsi,
au Royaume-Uni, le 25 Septembre 2007, le journal anglais
T h
u
ardian
titrait
: Le vaccin contre la
grippe
n'est sans doute pas
utile pour les patient s gs Et Sarah Boseley, journal iste mdicale
du journal, se rfrant
un
rapport paru dans le he Lancet Infectious
Diseases ajoutait: La
vaccination contre la grippe, qui cote au
gouvernement environ
150
millions de livres
par
an,
peut
ne pas
sauver une seule vie de gens gs, objets d'intensives campagnes
annuelles .
Le ministre de la Sant de ce pays qui n'a pas contest ces tu
des doit tre sourd et aveugle (mais il est loin d 'tre le seul) car il a
dclar : Le
but
de notre politique
en
ce qui concerne la
grippe
est
d'empcher ceux qui courent des risques de maladies graves ou un
danger de mort d attraper la grippe. Ainsi, pour le grand profit des
laboratoires, le vaccin continue d'tre inject.
Le
Dr
Simonsen a galement signal
que
l'augmentation mas
sive des vaccinations contre la grippe depuis 1980 n'a pas du tout
fait diminuer la mortalit chez les gens gs, au contraire. En effet,
ce sont les plus de 70 ans
en
mauvais tat de sant
qui
courent le
plus de risques. Or, les essais mens pour savoir si le vaccin est effi
cace consistent donner le vaccin ou un placebo un nombre gal de
personnes qui sont
en
gnral en bonne sant
et
ont moins de 70 ans.
Le
plus
important
de ces essais a t men en Hollande au dbut des
annes 1990 et a prouv que, chez les gens gs de plus de 70 ans,
l'efficacit du vaccin tait rduite de 23
.
Le Dr Simonsen explique
ce rsultat par le dclin de la rponse immunitaire d l'ge, une
autre tude ayant confirm que les personnes de plus de 65 ans ne
produisent plus
qu un
quart des anticorps de la grippe. Mfirmer que
le vaccin protge tous les gens gs
montre
donc que tout est
mensonge sur ce sujet. Ainsi, aux tats
-U
nis, la couverture vaccinale
contre la grippe est passe de 15 de la population en 1980 65
actuellement, sans aucune diminution des dcs dus cette maladie.
49
VACCINS,
MENSONGES
ET PROPAGANDE
LE
NOUVE U
V CCIN
CONTRE L GRIPPE EST
RRIV
8/10/2019 Simon Sylvie - Vaccins, Mensonges Et Propagande
26/128
Cette dcouverte est majeure et significative, mais on pense tout de
mme qu 'il faut mener des tudes complmentaires pour savoir si le
vaccin est efficace pour ces gens et, entre-t emps, la vaccination va se
poursuivre car mme
un
vaccin peu efficace est mei
ll
eur que pas
de
vaccin du tout part pour le profit des laboratoires, il est difficile
de savoir pourquoi.
LES POUVOIRS PUBLICS FRANAIS IGNORENT
LES
TRAVAUX
SCIENTIFIQUES
SUR E
VACCIN
Le problme est exactement le mme en France o l on
peut
ais
ment imaginer ce que dpense l'industrie pharmaceutique pour le
matraquage publicitaire. Tandis que les pouvoirs
pu b
lics prtendent
essayer par tous les moyens de rduire le dficit gigantesque de la
Scurit Sociale,
tout en
nous menaant de mort si nous ne sommes
pas vaccins, personne ne sem ble attach
er
la moindre
importa
nce
aux publications mdicales qui prouveraient pourtant que les dpen
ses pour ce vaccin sont parfaitement inutiles.
Dj, le 10 aot 1974,
The
Lancet publiait une tude ralise sur
50 000 employs des postes vaccins
cont
re la
grippe
qui
dmontra
it
que l'injection annuelle du vaccin n'avait pas entran une rduction
significative de la maladie.
50
PLU S D E
VA CCl
N
= PLU
S D E G R 1 E
Au Japon o la vaccination de masse contre la grippe pour
les
enfants des coles a t rendue obligatoire en 1976 program-
me
unique au monde qui devait supprimer toute pidmie de
grippe le pourcentage
des
personnes atteintes par la grippe
est
pass
de 5 pour 100 000 60 pour 100 000. es chiffres
montrent non seulement une absence totale d effet protecteur
de la vaccination mais plut t un effet aggravant.
Et
les travaux mens par l Institut national des Allergies
et
des
ma
ladies infectieuses sur les courbes de mortalit aux tats-Unis
de
1968
2001 ont conclu que la gnralisation des vaccinations
n'a pas diminu la mortalit dans tous les groupes d'ge, y compris
les gens gs, comme l a prcis Lone Simonsen dans les
Archi
ve
s o
Internai Medicine.
Alors que l'incidence vaccinale est passe de
20
en 1980
65
en 2001,
la
mo
rtalit est rest
e
la mme alors
qu on
esprait une baisse des dcs d au moins 40 .
En 1994, le BEH
Bulletin
pidmiolo
g
ique
hebdomadaire
a publi
un
e valuation
de
l'efficacit du vaccin antigrippal en 1995, parmi
les appels d une
unit mi
litaire base Montlhry.
Cette
tude a
conclu que bien que la couverture vaccinale ait t de 24 pour
un premier groupe et de 84 pour le second, aucune diffrence
significative d'incidence n a t observe entre les deux groupes.
Deux ans plus tard, le Dr Fabrice Carrat de l'Inserm nous prvenait
qu une expertise collective, pilote par l'Inserm, avait conclu l'ina
ni t de l argument conomique pour la promotion de la vaccination
des salaris contre la grippe. Les sept jours d'arrt de t ravail sup
poss inluctables lors d une grippe sont loin de reflter la ralit .
Il concluait que la perte de production n'excde pas quatre jours,
d autant qu 'un quart des malades ne s'arrten t pas du tout
20
.
Quant au Dr]. Anthony Morris, virologue et ancien chefdu con
tr
le des vaccins qui travaille avec les autorits de sant amricaines, la
Food
and Drug Administration (FDA), il est catgorique:
Il
n'existe
aucune preuve que le vaccin contre la grippe soit utile.
Ses
fabricants
savent bien
qu
'il ne sert rien, mais ils continuent nanmoins le
vendre.
Et
le 2 avril 1998, Panorama
du
mdecin remarquait son
tour :
e
vaccin est de toute vidence trs peu efficace . D'ailleurs,
trs
peu
de mdecins sont vaccins contre la grippe comme le remar
quait justement
Mdecine et
enfan e en novembre 1997 : Alors qu 'ils
20. P
anorama
du
mldecin,
13 fvri er 1996 - n 43 56.
5
VACCINS, MENSONGES ET PROPAGANDE
LE
NOUVE U
V CCIN
CONTRE
L
GRIPPE
EST
RRIV
8/10/2019 Simon Sylvie - Vaccins, Mensonges Et Propagande
27/128
sont d excellents avocats de la vaccination auprs de leurs patients, les
mdecins ne semblent pas, en revanche, tre convaincus de son ut ilit
pour eux-mmes. Comme on les comprend Ils sont bien placs
pour
savoir que ce vaccin est inutile.
Dernirement, s est
tenu
Rome un congrs international
appel Projet Cochrane , afin de faire le point
sur
la vaccination
contre la
grippe
depuis 37 ans. Dans le rapport
qui
regroupait 51
tudes sur 260 000 enfants, les chercheurs
ont
conclu qu il n existait
pas la moindre preuve
que
la vaccination des enfants entre 6 et 23
mois avait une quelconque efficacit. Et d aprs 25 tudes compre
nant
60
000 adultes, ils ont estim que la vaccination rduisait le
risque de
grippe d
peine 6
% pour
les personnes en bonne sant.
Quant aux gens gs, le groupe Cochrane a conclu qu aucune
tude
ne permettait de constater l efficacit
du
vaccin
2 1
.
Une autre tude, parue dans le journal mdical amricain
accine
du
5 avril 2006, a tent de dterminer si l incidence de la grippe
avait diminu dans l Ontario aprs une campagne d immunisation
gratuite pour 12 millions dindividus en 2000. Tous les cas de grippe
advenus entre 1990 et 2005 ont t valus et le Dr Dianne GroU de
l universit d Ottawa qui a men cette recherche a signal que lorsque
la campagne a commenc l incidence s levait
109
cas par
100 000
personnes. Or, aprs le
dbut
de la campagne, l incidence tait monte
164 cas. Ainsi, en dpit de cette intense vaccination, l influence de
la maladie n avait pas diminu, bien au contraire.
L S
CCID
NTS
SIGN
L
S
En France, il est difficile d valuer le cot des campagnes de vaccina
tion antigrippale, mais il reprsente aussi une fortune, d autant que
les effets indsirables ne sont pas ngligeables. Il serait donc indis-
21. The Cochrane Dacabase
of
Systemacic Reviews Vaccines for prevencing
influenza (1-2006)
5
pensable de connatre le cot des maladies engendres par le vaccin
afin de l ajouter au prix de la vaccination. Mais ceci est impossible car
bien des accidents ne sont jamais signals et dans les cas de dcs, on
tablit rarement le lien entre le dcs
et
le vaccin. Ainsi, au cours de
la semaine du 16 au 22 octobre 2006, quatre personnes, ges de 53
76 ans, sont dcdes
en
Isral. Toutes avaient t vaccines la mme
semaine contre la grippe avec le vaccin fabriqu
par
le laboratoire
Sanofi-Aventis.
Le
ministre de la Sant isralien a immdiatement
suspendu la vaccination, mais peine deux jours plus tard il annon
ait : On n a trouv aucun lien entre cette tragdie et la vaccination
anti-grippale .On peut ainsi juger du srieux de cette expertise-clair
pour dterminer les causes des dcs, dautant que si l on ne cherche
pas, il existe
peu
de chance de trouver.
Et
sans atten dre le rapport des
experts que le fabricant devait envoyer sur place, le Pr. Manfred Green
du CDC d Atlanta, a dclar, tout aussi rapidement, qu il n existait
aucun rapport entre ces quatre dcs et le vaccin.
En France, ds l annonce des dcs, Xavier Bertrand, alors
ministre de la Sant, a saisi l Agence franaise de scurit sanitaire
des
produits
de sant (Afssaps) afin d valuer trs rapidement la
situation. Aprs les deux jours considrs comme un dlai raisonna
ble pour
ce genre d expertise distance nous apprenions le
24
octobre
2006 que
:
Le
ministre de la Sant et de la Solidarit
maintient
la
campagne de vaccination ami-
grippe
en France , car cette runion
a permis de confirmer que
rien n indique que ces dcs soient lis
au vaccin et qu aucune situatio n similaire celle connue en Isral n a
t ce jour rapporte en France ni dans d au tres pays.
Lorsqu on analyse en dtail cette affaire pour expliquer ces dcs,
il existe de nombreuses affirmations qui devraient tre examines et
que personne n a encore releves. Premirement, les personnes dcdes
souffraient toutes de problmes chroniques, de maladies cardiaques
ou de diabte . Ce vaccin est en effet administr des sujets hauts
risques, cardiaques ou respiratoires, afin, prtendument, de les protger
53
VACCINS MENSONGES ET PROPAGANDE
LE NO UV E U
V CCIN
CONTRE
L
GRIPPE
EST
ARR IV
8/10/2019 Simon Sylvie - Vaccins, Mensonges Et Propagande
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cause de leur fragilit. Or, c est prsent l argument qui est avanc
pour expliquer ces dcs. Deuxime argument, ces personnes avaient
t vaccines l anne prcdente sans aucun problme
Les
autorits
n ont-elles jamais entendu parler de la goutte d eau qui fait dborder le
vase
? Le
Dr
C. White avait dj publi une mise en garde contre les
immunisations rptition et leurs possibles effets secondaires
22
Et,
dans e
Concours
mdical
du
12 octobre 1996, le