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QUELQUES MALADIES AVIAIRE
FREQUENTES EN COTE
D’IVOIRE
PATHOLOGIE RESPIRATOIRE
AmbianceExcès de
ventilation et
assèchement de
l’air
Diminution de
l’efficacité de l’appareil
muco-ciliaire
Renouvellement
insuffisant de l’air
Augmente le taux
d’ammoniac
Irritation de la trachée
Toxicité
Température trop
basse
stress
Poussière Augmente les risques de
contamination
Cils vibratiles
Muqueuse respiratoire
Sous-muqueuse
mucus
LES CAUSES
Virus : incidence +/- directe
Orthomyxovirus Influenza aviaire Toux importante / jetage
Troubles nerveux Prostration
Mortalité 10 à 100 %
Pétéchies sur cloaque et
proventricule
Trachéite
Congestion
Hémorragies
Herpes virus Laryngotrachéite Pondeuses
De sinus, conjonctivite à dyspnée
avec trachéite sanguinolente et
mortalité
LES CAUSES
Virus : facteurs primaires
Coronavirus Bronchite
infectieuse
App respi moyen
Chute de consommation d’eau
24 heures avant apparition de la
toux
Toux sèche avec cri, puis toux
grasse
Pneumovirus Syndrome
infectieux de la
grosse tête
App respi supérieur
Larmoiement
Gonflement des sinus
Toux grasse
Paramyxovirus Maladie de
Newcastle
App respi moyen et
profond
Faiblement pathogène
HP : +/- idem influenza
LES CAUSES
Mycoplasmes : facteurs aggravants
Mycoplasma
gallisepticum
Mycoplasmose à Mg Tous grasse
« tête de hibou »
Opacification des sacs
aériens
Mycoplasma synoviae Mycoplasmose à Ms Idem Mg mais moins
grave
+ syndrome
locomoteur
Parasites
Aspergillus fumigatus Aspergillose Dyspnée
Bâillements
LES CAUSES
Bactéries : facteurs de complication
E coli Colibacillose Souvent secondaire
Haemophilus Hemophilose = Coryza infectieux
Pasteurella multocida Pasteurellose = Choléra aviaire
Prostration
Toux grasse
Poumons de bois
Congestion du foie
Aérosacculite
Ornithobacterium
rhinotracheale
Ornithobactériose Toux grasse
Pneumonie avec œdème
pulmonaire entre côtes et
poumons
LES CAUSES
• Larmoiement
• Gonflement des sinus / paupières
• Sinusite
• Dyspnée
• Toux grasse
• Toux sèche
• Prostration / chute de consommation
LES SYMPTOMES
• Faire établir un
diagnostic
• Analyses laboratoire
(sérologie / PCR /
culture / histologie)
• Améliorer les conditions
d’ambiance (ventilation
/ chauffage)
• Traiter les germes de
sortie
• Renforcer les défenses
de l’organisme
• Autopsies ( en élevage /
au laboratoire)
COMMENT RÉAGIR LORS D’APPARITION
DE TROUBLES RESPIRATOIRES ?
• La pathologie respiratoire est une pathologie multifactorielle:
• Conditions d’ambiance
• Pression virale – vaccination
• BI
• Newcastle
• Pneumovirus
• Pression bactérienne– Hygiène
– Biosécurité
PREVENTION
LES MALADIES BACTERIENNES
• Maladie la plus fréquente des poulets
• Etiologie
– Escherichia coli, bactérie Gram-
– Sérotypes souvent identifiés comme pathogènes : O1, O2, O78
– Sensibles aux désinfectants usuels
• Epidémiologie
– Toujours une affection de « faiblesse »
– Infection par des colibacilles résidents (biofilm, poussières, eau,
fientes..)
– Réveil de colibacilles de « portage » (tube digestif)
– Suite d'une infection de démarrage qui traîne (« kyste » vitellin)
– Favorisée par des infections virales (BI, SIGT, Gumboro, anémie…),
mycoplasmiques, des troubles ambulatoires, de l'inconfort, des
traumatismes, des stress...
COLIBACILLOSES
• Symptômes
– Formes localisées :
• Omphalite et infection du sac vitellin Mortalité des poussins, forte
hétérogénéité
• LCI (« Cellulite ») lésions de la peau
• Salpingite et ovarite : colibacillose génitale chute de ponte
• soit descendant à partir des sacs aériens, soit ascendante
suite à du picage.
– Forme systémique aiguë :
• Colisepticémie (colibacillose respiratoire) : poulets de plus de 4
semaines, poulettes de 1 à 3 mois Apathie, anorexie, jetage,
râles, toux, mortalité importante.
– Formes chroniques
• Méningite troubles nerveux
• Enophtalmie larmoiement, conjonctivites
• Arthrite/ostéomyélite/ténosynovite « boiteries »
• Lésions
– Lésions inflammatoires fibrineuses du péricarde, des sacs
aériens, de la séreuse du foie, des articulations...
(polysérosites), du tissu conjonctif sous-cutané (cellulite ou LCI)
COLIBACILLOSES
• Lésions (pondeuses)ovarite
COLIBACILLOSES
COLIBACILLOSES
Lésions: Vitellus anormal : contenu verdâtre et grumeleux ou très fluide, nauséabond
ombilic humide
COLIBACILLOSES
• Diagnostic
– Bactériologie
– attention à la contamination
– fécale lors des prélèvements
– Antibiogramme
• Conduite à tenir
– Définir le trouble initiateur
– 1er « traitement » = traiter l’affection causale + tri sévère
– Observation de 48 h et traitement anti-infectieux éventuel en fonction
antibiogramme et Délai d’Attente.
MYCOPLASMOSES
• Maladie chronique insidieuse
• Étiologie
– Mycoplasme : petite bactérie sans paroi, ce qui la rend résistante à
plusieurs antibactériens
– Sensible à la plupart des désinfectants
– Mycoplasmes aviaires difficiles à cultiver, ne vivent que quelques jours
en dehors de l’hôte.
– Différentes souches de pathogénicité différente
• Mycoplasma gallisepticum
• Mycoplasma synoviae
• Impact économique
– Effet chronique le plus souvent : perte de poids, augmentation de l’indice de
consommation, chute de ponte, saisies à l’abattoir
– Complications bactériennes peuvent empirer les choses
• Épidémiologie
– Favorisé par :
• Infection virale respiratoire préalable : Newcastle, bronchite infectieuse,
laryngotracheite
• Facteurs environnementaux : stress, ammoniac élevé, poussière,
changement de température
• Parasitisme
• Vaccination
– Infections secondaires fréquentes
– L’agent survit peu de temps dans l’environnement oiseaux porteurs
nécessaires
– Transmission trans-ovarienne et horizontale par les jeunes infectés
– Contamination de l’environnement (eau, litière), oiseaux sauvages
• Symptômes
– Les symptômes s’installent et persistent souvent
longtemps
– Plus sévères chez les jeunes
– Toux, éternuements, râles
– Écoulement nasal et oculaire
– Tuméfaction des paupières, conjonctivite
– Diminution de l’appétit et de la ponte chez les poules
pondeuses
– Clinique + sévère avec Mg
– Arthrites et ampoules du bréchet avec Ms
MYCOPLASMOSES
• Lésions
– Cachexie
– inflammation catarrhale
– du nez, des sinus, de la trachée,
– des bronches
– Sacs aériens opacifiés, avec
– exsudat spumeux ou caséeux
MYCOPLASMOSES
• Lésions
– Complication par E.coli
péricardite et
périhépatite fibrineuses
– Association avec coronavirus
– caséum dans les sacs aériens
MYCOPLASMOSES
• Diagnostic
– historique de chronicité, perte de poids et chute de ponte
– Lésions histologiques
– Sérologie : ARL = méthode officielle
– PCR : de plus en plus utilisée
• Traitements :
– Antibiotiques : macrolides, cyclines
– Traitement des colibacilloses
– Traitement long et à répéter
• Prophylaxie :
– Prévention au niveau des reproducteurs : éradication
– Hygiène, désinfection, protection sanitaire
• Maladie bactérienne des poulets affectant le système respiratoire supérieur
• = Hémophilose (appellation impropre)
• Différencier maladie coryza infectieux et syndrome coryza dont les causes
sont très variées
• Étiologie
– Avibacterium (Haemophilus) paragallinarum, bâtonnet Gram-
– 3 sérotypes (A, B et C) et nombreuses souches différentes
– le développement de la maladie est très dépendant des conditions
environnementales
– Bactérie fragile qui survit peu longtemps hors de l’hôte
– Entrée par les voies respiratoires supérieures et adhésion aux
muqueuses
CORYZA INFECTIEUX
• Epidémiologie
– poulet
– les adultes sont plus sensibles
– les porteurs asymptomatiques sont les sources les plus
fréquentes d’infection
– Exsudats nasaux et sinusaux
– voie aérienne mais aussi eau de boisson, aliment, matériel
– Maladie aggravée par les facteurs environnementaux et par les
infections concomitantes
– Très rare en Europe, très fréquent dans les pays chauds
CORYZA INFECTIEUX
• Symptômes
– dure 7-14 jours en moyenne si non compliqué
– Morbidité élevée, mortalité faible
– l’écoulement nasal est le principal signe clinique
– Abattement, difficultés respiratoires (râles)
CORYZA INFECTIEUX
• Symptômes– Enflure de la tête, éternuements, conjonctivite, crête enflée
(surtout mâles)
– Parfois diarrhée
– Chute de ponte de 10-40%
CORYZA INFECTIEUX
• Lésions
– Rhinite aiguë, conjonctivite et sinusite cattharale infra orbitaire
– Pneumonies et aérosacculites rares (surinfections)
CORYZA INFECTIEUX
• Diagnostic– Suspicion d’après clinique
– Bactériologie : prélever de façon stérile dans les sinus. Culture facile mais spécifique : préciser la suspicion
– PCR possible
– Différentiel laboratoire indispensable
• Traitement– Antibiothérapie : cyclines, tmp/sulfa
– Guérison clinique Rechutes possibles
• Prévention– Mesures de biosécurité
– Elimination des malades
CORYZA INFECTIEUX
LES MALADIES VIRALES
• Cause– Coronavirus
– Selon les souches, l'agression concernera :• trachée = toux
• tube digestif = diarrhée
• appareil génital = chute de ponte, dégradation qualité des oeufs
• reins = déshydratation
– Plusieurs sérotypes décrits. La situation est évolutive : souches Massachusetts, puis apparition de nombreux variants puis récemment Italian 02 à tropisme respiratoire et QX, responsable des fausses pondeuses
– Conséquences: prise en compte dans les vaccins vivants et atténués
BRONCHITE INFECTIEUSE
• Epidémiologie– Productions touchées:
• poulet de chair standard ++,
• poule pondeuse ++,
• poulet de chair type label +/-, faisan et perdrix ?
– Sensibles à tout âge, mais plus sévère chez les jeunes
– Résistance : 20 semaines dans litière
– Sensible aux désinfectants.
– Transmission par voie respiratoire
– Jetage et fientes sont infectants
– Transmission directe horizontale
– Incidence des stress dans le déclenchement de la maladie
BRONCHITE INFECTIEUSE
• Clinique– Souvent fruste
– Forme respiratoire• Toux sifflante, râles trachéaux, écoulement nasal.
• Poulet
• Souvent guérison
• Souvent complication IIaire
– Forme rénale• Mortalité
• Fèces humides
– Forme génitale• Chute de ponte
• Baisse qualité des coquilles
• Fausses pondeuses
BRONCHITE INFECTIEUSE
• Lésions
– Trachéite muqueuse ou caséeuse
– Mousse dans les sacs aériens
– Reins cérébroïdes Oviducte kystique, voire atrophié
BRONCHITE INFECTIEUSE
• Diagnostic– Clinique (respiratoire : difficile ; digestif : à différencier d'un syndrome
litière grasse)
– Sérologique: intéressant• 2 séries de 10 à 20 PS à 15 j d'intervalle - Test Elisa
• Confirmation : titres en anticorps x par 1,5 à 2
– PCR
• Traitement– Pas de spécifique
– Confort des animaux : repailler, rallumer les radiants pour ventiler et assécher, réhydratants, vitamine C.
– Limiter les surinfectants secondaires
• Prévention– Sanitaire :
• Sur un site touché: nettoyage, décontamination, VS rigoureux sans oublier le sol et les abords
• Enfouir la litière
• Désinfectants tous efficaces si bien employés
• Ne pas conserver d'oiseaux du lot atteint!
BRONCHITE INFECTIEUSE
Prévention– Médicale : indispensable
• En pratique: 1 vaccination couvoir en nébulisation avec souche
Mass (ex: H120) et rappel >15 j avec souche Mass ou variant
• Le rappel élargit toujours le champ de protection
• Le protocole vaccinal est aussi important que le choix du vaccin :
Matériel ad hoc, état sanitaire du lot, conditions d'entretien
• Rappel = application au
nébulisateur (objectif = muqueuses
de l'œil et de l'appareil respiratoire
supérieur) de préférence à l'eau de
boisson
• Effets indésirables: réactions
post-vaccinales normales, sévères,
compliquées, infections roulantes
BRONCHITE INFECTIEUSE
• Etiologie– Paramyxovirus (ARN enveloppé)
– 3 types de paramyxovirus :• type 1 : agent de la maladie de Newcastle
• type 2 : provoque des problèmes respiratoires
• légers chez le poulet et surtout la dinde,
• type 3 : provoque des problèmes respiratoires
• et des chutes de pontes sur la dinde.
– Un virus qui appartient à cette famille =
– le pneumovirus du Syndrome GTI
– Très contagieux directement ou
– indirectement
– Résistance du virus à température,
– et désinfectant faible, mais :• 7-8 mois dans des fèces
• 2-3 mois sol poulailler.
MALADIE DE NEWCASTLE
• Espèces cibles :– poulets, poules,
– dindes,
– pigeons, oiseaux sauvages,
– Les canards peuvent être porteurs, mais les souches concernées sont en général peu pathogènes pour le poulet,
– Certains oiseaux d’ornement (perroquets) peuvent être porteurs sains pendant un an.
• Mode de transmission– Variable selon les souches (fèces ou aérosols).
• NB souches vélogènes (IPIC ≥ 0,7) déclaration
MALADIE DE NEWCASTLE
• Symptômes – Souches vélogènes :
• Jusqu’à 100% de mortalité chez des animaux
• de tous âges en 2 à 3 jours.
• Difficultés respiratoires, toux, conjonctivite
• Diarrhée importante verte,
• Troubles nerveux (tremblements, convultions)
• paralysie, torticolis
• la mortalité survient brutalement
• sans signe apparent.
– Souches mésogènes : surtout signes
– respiratoires sur les jeunes,
– chute de ponte sur les pondeuses,
– qqs signes nerveux
– Souches lentogènes : RAS
• Lésions– Mucus dans la trachée, aérosacculite
– Entérite, hémorragies sur le proventricule,
– pétéchies du cloaque
MALADIE DE NEWCASTLE
Torticolis
Torticolis, paralysies
Hémorragies en damier sur le proventricule
Hémorragies du proventricule et du gésier
Ovarites
Trachéite
Hémorragies intestinales et ulcération caecale
Œufs déformés, décolorés, plus petits, coquille
fines voire inexistantes
• Influenza aviaire
• Choléra aviaire
• Maladie de gumboro
• Encéphalomyélite aviaire
• Maladie de Marek
• Laryngotrachéite infectieuse
• Bronchite infectieuse
• SEUL LE LABO EST SOUVERAIN
DIAGNOSTIC DIFFERENTIEL
• Formes graves: rien à faire
• Formes respiratoires légères: prévenir la
sortie des mycoplasmes et autres
germes opportunistes
• Vaccination dans un foyer ???!!!
• Pas de traitement spécifique
TRAITEMENT
• MESURES CLASSIQUES DE BIOSECURITE
• Présence de palmipèdes, poulets du pays, pintades, oiseaux sauvages, etc.
• Présence d’autres espèces animales
• Réutilisations des alvéoles, retour des poulets invendus à la ferme, etc.
• Décontamination et vide sanitaire
• Protection de la ferme, normes d’élevage,
• Etc.
PROPHYLAXIE SANITAIRE
• VACCINATION PRECOCE ( 1 à 7 JOURS)
• Les anticorps maternels protègent les poussins les premiers jours de vie
• Mais la vaccination est possible et efficace à un jour
• Immunité locale des premières voies respiratoires et de la glande de Harder
• Protection très rapide: quelques heures par production d’interféron mais fugace (rappel nécessaire dans les 2 semaines)
• Par goutte dans l’œil ou nébulisation
• VACCINATION PRECOCE TRES IMPORTANTE !!!
PROPHYLAXIE MEDICALE
• UTILISATION PRECOCE DE VACCINS INACTIVES
• possible et efficace
• Protection solide et durable (10 semaines)
• Associée à une vaccination précoce par nébulisation ou goutte dans l’œil assure une protection rapide (quelques heures), solide et durable (10 semaines)
• LA VACCINATION PRECOCE PAR NEBULISATION OU GOUTTE DANS L’ŒIL ASSOCIEE A UNE INJECTION D’UN VACCIN INACTIVE EST UNE ARME INTERESSANTE DANS DES SITUATIONS A HAUT RISQUE DE CONTAMINATION !!!
PROPHYLAXIE MEDICALE
VIRULENCE VIRUS
VACCINAL
IPIC TROPISME
MESOGENE
(IPIC 1,0 à 1,5)
ROAKIN 1,45 RESPIRATOIRE
KOMAROV 1,41 RSPIRATOIRE
LENTOGENE
(IPIC 0,2 à 0,7
LA SOTA 0,44 RESPIRATOIRE
F 0,25 RESPIRATOIRE
VG/GA - ENTEROTROPE
HITCHNER B1 0,2 RESPIRATOIRE
APATHOGENE
(IPIC 0,0 à 0,2)
ULSTER 2C 0,04 à 0,23 ENTEROTROPE
PHYL LMV 42 0,16 ENTEROTROPE
SOUCHES VACCINALES
PROPHYLAXIE MEDICALE
• SOUCHES VACCINALES
• Les souches Komarov sont actuellement abandonnées puisque responsables de fortes réactions vaccinales
• Les souches lentogènes comme Hitchner B1 et LA SOTA sont largement utilisées partout dans le monde surtout pour leur immunogenicité
• Depuis une dizaine d’année, des souches apathogènes sont de plus en plus utilisées (VG/GA, PHYL LMV 42)
PROPHYLAXIE MEDICALE
REACTIONS VACCINALES ET LESIONS TRACHEALES
• Les souches lentogènes La Sota et Hitchner B1 procurent une bonne protection si utilisées correctement. Mais sont accusés d’être responsables de réactions vaccinales gênantes dues:
• à leur pouvoir pathogène résiduel (0,44 et 0,2)
• à leur tropisme respiratoire: se répliquent dans la trachée, le larynx et les bronches créant des lésions plus ou moins graves selon le statut sanitaire
• En cas d’âges multiples, le virus persiste et éprouve les jeunes poussins qui arrivent
PROPHYLAXIE MEDICALE
• PROGRAMMES DE VACCINATION
• Pas de programme standard. Chaque ferme devra être raisonnée en fonction :
• du type de production
• De l’historique du statut sanitaire de la ferme et de la zone où se trouve la ferme
• du niveau de biosécurité
• de la disponibilité des spécialités vaccinales
• de la législation en vigueur dans le pays ou la région concernée
• Etc.
PROPHYLAXIE MEDICALE
• ON RETIENDRA EN MATIERE DE VACCINATION
• Vacciner précocement avec une souche apathogène et neurotrope par
nébulisation ou goutte dans l’œil
• Ne jamais utiliser la souche la sota avant 3 semaines d’âge. Ne l’utiliser
qu’en rappel
• En zone à haut risque l’utilisation de vaccins inactivés précocement avec
un vaccin vivant
• En pondeuse, une vaccination dans l’eau de boisson toutes les 6 à 8
semaines
• LA METHODE ET LES CONDITIONS DE VACCINATION SONT AUSSI
IMPORTANTES QUE LA DATE ET LE TYPE DE VACCINS
PROPHYLAXIE MEDICALE