DOSSIER PÉDAGOGIQUE

CHANSONS SOUS LA PLUIE

23 & 24 janvier 2021

Dossier réalisé par Magali Bossi Contexte musical et instruments : Patrick Bielser Extraits musicaux et chanson : Matthieu Bielser

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TABLE DES MATIERES

1. Au fil de… l’eau Page 3 2. L’eau en musique Page 5 3. Notre histoire : Chansons sous la pluie Page 8 4. Instruments Page 9 5. Chanson à apprendre… Page 13 6. Et pour finir… Page 14

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1. AU FIL DE… L’EAU

Pour moi, l’eau est le plus fascinant des quatre éléments. Sais-tu comment les scientifiques l’appellent ? H2O. Pourquoi ? Parce qu’elle est fabriquée de parties très petites : deux atomes d’hydrogène (ce qui donne le [H]) et un atome d’oxygène (pour le [O]). Voilà pourquoi l’eau s’écrit aussi « H2O ». Elle est indispensable à la vie. Imagine un peu : les tous premiers êtres vivants sont nés dans l’eau ! L’eau a aussi un drôle de caractère : elle change d’humeur selon les saisons.

Au Printemps, elle tombe en petite pluie, aussi légère qu’une mésange. En Été, elle devient orage… ou vaste océan. En Automne, elle se transforme en brouillard. Et en Hiver ? C’est le gel, la glace… et la neige, bien sûr !

Si tu regardes autour de toi, l’eau est partout. Réfléchis bien, je suis sûre que tu trouveras des tas d’exemples ! Allez, je t’aide un peu. Tu peux la voir…

• dans les lacs : comme le Léman, avec son Jet d’eau et ses jolis ports ; • dans les fleuves : comme le Rhône, qui naît dans les montagnes et se jette dans

la Méditerranée ; • dans les rivières : comme l’Aire, qui traverse la commune de Bernex ; • dans les ruisseaux : qu’on appelle souvent les « nants », en Suisse.

Mais l’eau se trouve aussi dans ton propre corps. Eh oui ! Le corps humain se compose d’environ 60% d’eau. Tu le savais ? Aujourd’hui, à travers le monde, l’eau est malheureusement souvent polluée : on ne peut plus la boire, ni l’utiliser pour arroser les champs. À certains endroits, elle devient de plus en plus rare… et à d’autres, elle provoque des inondations violentes ! Pourtant, l’eau est précieuse : c’est pourquoi il faut en prendre soin.

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* Tu l’auras compris, l’eau est un élément très important. Si important que des compositeurs et des musiciens ont essayé depuis toujours de la représenter grâce à des sons et des notes. Comment ? Eh bien, en imitant les gouttes de la pluie, le fracas des vagues, le grondement de l’orage, le ruissellement des fleuves ou le « SPLASH » que tu peux faire en sautant dans une flaque ! Aujourd’hui, nous allons embarquer ensemble dans un grand voyage, pour découvrir ces musiques qui rendent hommage à l’eau sous toutes ses formes. Tu veux venir avec moi ? Alors n’oublie pas tes bottes, ton maillot de bain et ton parapluie : c’est parti !

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2. L’EAU EN MUSIQUE

Raconter l’eau en musique, c’est toute une affaire ! Il y a tellement d’œuvres et de compositeurs différents qu’il a fallu faire un choix. Aujourd’hui, tu entendras des musiques écrites dans tous les styles. Parmi elles, je suis sûre que tu en reconnaîtras certaines : Smoke on the water (citation) « La chanson de la pluie » (tirée de Bambi) « La Moldau » (composée par Bedřich Smetana) Chansons pour enfants sur le thème de l’eau… (airs traditionnels) Pirates des Caraïbes (composée par Hans Zimmer) « Sous l’océan » (extrait de La petite sirène) « Chantons sous la pluie » (de la comédie musicale du même nom) Mais avant que le concert ne commence, j’aimerais te présenter trois pièces que nous allons jouer…

A. « La Moldau » – Bedřich Smetana (1879)

De toutes les musiques classiques sur l’eau que je connais, « La Moldau » est ma préférée. Elle a été composée en 1879 par Bedřich Smetana. Smetana est un compositeur tchèque. Il est né dans une région appelée la Bohême, en 1824. Durant son enfance, il apprend à jouer du piano et du violon. À huit ans, il compose déjà ! Malheureusement, son père ne veut pas qu’il soit musicien. Qu’à cela ne tienne ! Smetana devient musicien, compositeur et chef d’orchestre. En 1866, il se lie d’amitié avec un autre grand compositeur tchèque : Antonín Dvořák (1841-1904), qui a notamment écrit La Symphonie du nouveau monde. En 1874, une grave maladie rend Smetana sourd : il ne peut plus diriger des orchestres et se consacre entièrement à la composition. Mais sa santé va de plus en plus mal et il meurt en 1884.

Une des œuvres les plus connues de Smetana s’appelle Má Vlast, ce qui signifie « Ma Patrie » ou « Mon Pays ». Elle comporte six parties et raconte l’histoire de la Bohême, la région où est né Smetana. C’est ce qu’on appelle un poème symphonique – c’est-à-dire une musique pour orchestre symphonique, qui s’inspire souvent de la littérature, de la philosophie ou de la peinture. C’est un type de musique très descriptif : on peut s’imaginer toutes sortes de choses en écoutant, juste en fermant les yeux. « La Moldau » s’appelle en tchèque « Vltava » : c’est le nom de la grande rivière qui traverse la Bohême et la ville de Prague. Smetana s’est inspiré de l’eau qui coule le long de la berge pour son morceau.

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Écoute bien ! Au début, tout est tranquille : les notes sont aussi rapides que le courant. On les joue le plus legato possible – c’est-à-dire le plus lié, le plus rapproché possible. Elles sont entrecoupées par des accords plus secs, comme le plongeon d’un canard ou le saut d’une grenouille dans l’eau. La rivière est encore toute petite, toute timide… elle s’envole dans les aigus, sous le ciel de la Bohème. Une deuxième voix s’ajoute à la première ; le courant devient plus tumultueux… et soudain, le thème arrive. Dans notre version, ce sont les clarinettes qui vont chanter la chanson de la rivière, très calme au-dessus de l’eau rapide. Écoute ! Tu l’entends ?

• À écouter : La Moldau et La Moldau… revisitée !

B. « La chanson de la pluie » – Bambi (1942)

La musique dont je vais te parler à présent est un de mes grands classiques d’enfance. Est-ce que tu la connais, toi aussi ?

En 1942, les studios Walt Disney Picture sortent leur sixième long-métrage d’animation : il s’agit de Bambi. Tu as peut-être déjà vu ce dessin animé, devenu un grand classique. Bambi s’inspire du roman de l’auteur autrichien Felix Salten (1868-1945). L’histoire de Bambi est touchante, parce qu’elle met en scène les mille et une facette de la vie sauvage, au fil des saisons. Le héros, Bambi, est un petit faon qui va

rencontrer tous les animaux de la forêt et s’émerveiller devant les métamorphoses de la nature. Accompagné de ses amis, il grandit et affronte des épreuves difficiles… Dans Bambi, l’eau a une place particulière : elle est porteuse de vie. Elle fait pousser les plantes, se transforme en neige… ou éteint le feu qui menace de tout brûler ! Le morceau que nous avons choisi s’intitule « La chanson de la pluie ». Il a été composé par Frank Churchill (1901-1942) et Edward H. Plumb (1907-1958).

Tout commence par quelques gouttes : c’est la clarinette qui les joue. La pluie d’avril, lente au début, accélère et tombe de plus en plus… avant que la mélodie principale commence. Les notes sont aussi légères que les gouttes : on dit que les musiciens jouent pizzicatto, ou « piqué ». Le thème se mélange à plusieurs voix, comme un canon : ce sont les différentes rafales de pluie que le vent emporte. Et puis, la pluie se calme, finit par s’en aller… et si tu fermes bien les yeux, tu verras Bambi au milieu de la forêt !

• À écouter : La chanson de la pluie

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C. « Chantons sous la pluie » – Chantons sous la pluie (1952)

La dernière musique dont j’aimerais te parler me donne toujours envie de chanter et de danser. C’est « Chantons sous la pluie », une chanson écrite en anglais sous le titre « Singin in the Rain ». C’est un des grands classiques de la comédie musicale américaine. Une comédie musicale, c’est comme une pièce de théâtre… mais où les acteurs, en plus de jouer un rôle, sont aussi des chanteurs et des danseurs qui évoluent sur

de la musique. Les histoires qu’on y raconte sont souvent des histoires d’amour : c’est par exemple le cas de West Side Story, qui déplace l’histoire de Roméo et Juliette à New York. Les comédies musicales ont vu le jour au début du 20e siècle. Rapidement, on les a adaptées pour le cinéma : elles sont devenues des films musicaux. « Chantons sous la pluie » est la chanson la plus connue du film qui porte le même nom. Sorti en 1952, Chantons sous la pluie (Singin’ in the Rain, en langue originale) est un film américain de Stanley Donen et Gene Kelly. L’histoire se passe dans le Hollywood des années 1920, au moment où le cinéma devient parlant. Imagine un peu ! Les acteurs doivent tout réapprendre car, jusqu’ici, ils n’avaient jamais eu besoin de dire par cœur un dialogue. Le personnage principal de l’histoire est Don Lockwood, un acteur de cinéma muet qui va monter un film parlant avec son ami Cosmo Brown (Donald O’Connor)… et qui tombe amoureux d’une actrice drôle et talentueuse, Kathy Selden (Debbie Reynolds). Gene Kelly, qui joue Don Lockwood, est une grande star américaine : c’est à la fois un acteur, un chanteur et un danseur, qui fait des claquettes comme personne ! C’est lui qui va chanter et danser la chanson mythique, « Chantons sous la pluie ». Au début, tout commence par une petite mélodie fredonnée, aussi légère que la pluie. Et puis, la chanson fait son entrée. Ici, je te propose la version anglaise ; mais le jour du concert, tu entendras les paroles en français. L’homme qui chante est heureux, amoureux et même l’eau qui tombe du ciel n’arrive pas à le mettre de mauvaise humeur ! Il danse, chante, ferme son parapluie… et tant pis s’il est tout mouillé ! La version du film est très drôle, car Gene Kelly danse avec son parapluie, tourne sur lui-même… et saute dans les flaques ! C’est un numéro de claquettes impressionnant, qui a été tournée entièrement dans un studio et pas sous une vraie pluie. La musique évoque les gouttes qui tombent, avec toujours la même petite mélodie légère qui revient. Enfin, la pluie se calme… et l’homme qui chante s’en va, avec son parapluie. Ça ne te donne pas envie de sauter dans les flaques ?

• À écouter : Singin’ in the Rain En bonus, une autre chanson tirée de la même comédie musicale

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3. NOTRE HISTOIRE : CHANSONS SOUS LA PLUIE

Tu l’auras compris, faire un spectacle qui parle de l’eau, c’est tout un défi ! Il y a tellement de musiques différentes qu’il faut trouver un fil rouge pour toutes les relier… Alors, nous avons décidé de créer pour toi une histoire inédite – une histoire que personne n’a jamais entendue ! Cette histoire s’appelle Chansons sous la pluie, et nous espérons qu’elle te fera chanter.

Cette histoire est celle d’un homme qui s’appelle LE TRICOTEUR DE NUAGES. Que fait-il dans la vie ? Eh bien, il tricote des animaux à partir de nuages. Savais-tu que ce sont les animaux les plus doux qui existent ? Mais un jour, catastrophe ! L’eau vient à manquer sur la planète du Tricoteur de Nuages… et il y a de moins en moins de nuages. Que faire ? C’est là que commence l’aventure… Sur scène, tu pourras voir…

LE TRICOTEUR DE NUAGES Philippe Berthoud LA MIME Deborah Penet LES MUSICIENS Matthieu Bielser (saxophone et clarinette) Magali Bossi (accordéon) Christopher Zimmerman (percussion) Patrick Bielser (trompette) Etienne Bertouille (cor) Deborah Penet (clarinette) Marc Scher (tuba)

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4. LES INSTRUMENTS Pour raconter l’histoire musicale de Chansons sous la pluie, nous allons avoir besoin de plusieurs choses… Tout d’abord, le chant. C’est lui qui va permettre au Tricoteur de Nuages de trouver la solution à tous ses problèmes. Nous espérons que tu chanteras avec nous : dans les morceaux que nous avons choisis, il y a plusieurs comptines qui parlent de l’eau et de la mer. Tu les connais sûrement, non ? Par exemple… Maman, les p’tits bateaux Il était un petit navire Et bien d’autres encore… Cette année encore, nous avons décidé de proposer un spectacle qui réunit plusieurs instruments enseignés dans notre école de musique. Tu pourras ainsi entendre…

La clarinette La clarinette est un instrument à vent, fait en bois de palissandre à anche simple.

L’anche est un morceau de roseau mis en vibration contre le bec qui produit le son. En haut de l’instrument se trouve le bec dans lequel le musicien souffle. De loin, on ne voit pas l’anche, qui est fixée au bec en bois avec une ligature. Avec ses doigts, le musicien bouche des trous et appuie sur des clés en métal que l’on voit le long du corps de l’instrument. Au bout de la clarinette se trouve le pavillon. La clarinette joue souvent un rôle de soliste à l’orchestre et s’unit aussi bien aux vents qu’aux cordes pour l’accompagnement et la musique de chambre. Sa famille comprend plusieurs instruments: la clarinette en do, la clarinette en sib, la clarinette en la, la

clarinette en mib, le cor de basset et la clarinette basse.

• À écouter : le Chat (Pierre et le Loup) ou Trois pièces pour clarinette Le saxophone soprano Il fonctionne selon le même principe que la clarinette. Il est par contre conique et en métal. C’est un instrument qu’on retrouve très souvent dans le jazz. Il existe plusieurs types de saxophones : - Sopranino (en mib) et soprano (en sib) : droit - Alto (en mib), tenor (en sib), baryton (en mib) et basse (en sib) sont recourbés. Pour notre concert, nous allons utiliser un saxophone soprano. Il joue dans les aigus.

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• À écouter : le saxophone soprano et Petite fleur

L’accordéon

Parfois appelé « piano à bretelles » ou piano du pauvre, l’accordéon est un instrument incroyablement polyvalent. Il peut tout jouer et se fondre dans tous les styles de musique : du classique au jazz, en passant par la musique de film, la chanson ou le folklore. À l’origine, on l’a inventé pour qu’il puisse jouer comme un orgue… mais être beaucoup plus facile à transporter ! C’est un instrument à lamelles vibrantes mises en vibration par l’air contenu dans un soufflet actionné par le bras gauche du musicien. Il peut être chromatique (on entend la même note, quand le musicien ouvre ou ferme le soufflet) ou diatonique (on

entend deux notes différentes, selon qu’on ouvre ou qu’on ferme). Il peut avoir des boutons ou un clavier piano.

• À écouter : Tocata et fugue en ré mineur (Bach) Oblivion (Piazzolla)

La trompette La trompette est un instrument de musique à vent de la famille des cuivres. Elle est principalement fabriquée dans un métal appelé le laiton. On la façonne dans un tube de 1,50 m de long, comme le cornet. Dans la première des vidéos que je te propose (le 3e mouvement du Concerto de Hummel), j’ai choisi de te montrer une musicienne qui joue de la trompette : regardons comme elle procède. La trompette a différentes parties : l’embouchure (dans laquelle la musicienne souffle), le tube (qui part depuis l’embouchure), les trois pistons (les espèces de petits boutons sur lesquels la musicienne appuie) et le pavillon (qui s’ouvre vers l’extérieur). C’est bon, tu as tout vu ? La trompette est un instrument très polyvalent : on peut l’entendre dans la musique classique… mais aussi dans le jazz. Savais-tu que la trompette est un instrument très ancien ? On en a même retrouvé dans le tombeau du pharaon Toutânkhamon !

• À écouter : Concerto, 3e mouvement (Hummel) et Improvisation blues

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Le cor Le cor d’harmonie (appelé French horn en anglais) est un instrument à vent de la famille des cuivres. Il est caractérisé par son embouchure, sa perce conique (qui lui confère un son doux et riche en harmoniques), son large pavillon et un ensemble de pistons ou cylindres qui permettent au musicien de modifier instantanément la longueur, et donc l’accord, de l’instrument.

Le musicien qui joue du cor s’appelle un corniste (si c’est un homme), ou une corniste (si c’est une femme). Il ne faut pas les confondre avec le cornettiste qui joue du cornet à piston… ou avec le choriste qui fait partie d’une chorale ! Grâce à la forme conique de son tube et de son embouchure, le cor a un son bien plus doux que les autres cuivres, qui produisent des sons plus brillants. Pour jouer, la corniste produit les notes par vibration des lèvres sur l’embouchure. Sa main gauche active trois ou quatre palettes pour changer la hauteur du son. La main droite est placée dans le pavillon pour soutenir l’instrument. Cette main permet également d’arrondir le son, d’en corriger la hauteur ou d’effectuer des sons bouchés. L’instrumentiste peut aussi utiliser une sourdine qui se place dans le pavillon pour obtenir un timbre plus sourd, mais pas forcément dans le but d’atténuer le son.

• À écouter : Concerto n°1 en D (Mozart) Le tuba Le tuba fait partie de la famille des cuivres, comme la trompette. Il peut avoir de nombreuses formes et est très souvent utilisé dans la musique militaire. Dans notre orchestre, c’est lui qui a la tessiture (c’est-à-dire la hauteur de note) la plus grave : il joue le rôle de la basse. Il existe quatre sortes de tubas :

• Le tuba baryton (en si bémol), également appelé « baryton » ;

• Le tuba ténor (en si bémol), qui se nomme aussi « euphonium » ;

• Le tuba basse (en fa) : c’est celui que l’on appelle simplement « tuba » ; • Le tuba contrebasse (en ut), aussi nommé « contretuba ».

À écouter : Concerto pour tuba en fa mineur (Ralph Vaughan Williams) La percussion

Cette année, nous avons décidé d’intégrer à notre orchestre différents instruments de percussion. La famille des percussions est très grande : il y a les tambours, les xylophones, les timbales, les triangles… et bien d’autres encore ! À l’École de Musique de Bernex, nous n’enseignons pas ces instruments, mais nous avons demandé à un de nos amis de venir jouer avec nous ! Tu pourras ainsi entendre :

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• La batterie, qui est composée de plusieurs instruments qu’on appelle des

« fûts » et des « cymbales ». Elle se joue avec des baguettes et des pédales. • Le tambour à vagues, qui imite le son des vagues, comme si tu étais au bord

de l’océan. • Le bâton de pluie, qui produit un son semblable à la pluie qui tombe…

À écouter : Duo batterie / piano Concerto pour batterie et petit orchestre

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5. CHANSON A APPRENDRE

© Editions Musicatypique 2020

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6. ET POUR FINIR… Alors, tu as envie de venir avec moi dans cette grande aventure au fil de l’eau ? Nous allons rencontrer ensemble le Tricoteur de Nuages et écouter des tas de musiques fantastiques… Je t’attends : n’oublie pas ton parapluie, tes bottes, ton maillot de bains… et ton masque de plongée !

À très vite ! Ce dossier a été réalisé à partir de l’imagination de Magali Bossi (et sur la base de sources internet), avec l’aide de Patrick Bielser (contexte musical et instruments) et Matthieu Bielser (extraits musicaux et chanson).