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CHAPITRE 12 MODES OPERATOIRES D’ESSAI Modes opératoires Titre de chapitre CHAPITRE 12.- MODES OPERATOIRES D’ESSAI Modes opératoires, procédures d’évaluation par analyse, essai , calcul ... Pvi 120ac00 25/01/2018 Vi-Prescription technique générale CklDcrPvi_VisPtgC01_00_t18a25_00.pdf DnnFprA02.01

CHAPITRE 12 MODES OPERATOIRES D’ESSAI - … · Relatif aux essais sur vitrages isolants Modes opératoires Essais sur vitrages ARTICLE 1. RELATIF AUX ESSAIS SUR VITRAGES ISOLANTS

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CHAPITRE 12

MODES OPERATOIRES D’ESSAI

Modes opératoiresTitre de chapitre

CHAPITRE 12.- MODES OPERATOIRES D’ESSAIModes opératoires, procédures d’évaluation par analyse, essai , calcul ...

Pvi 120ac0025/01/2018

Vi-Prescription technique générale

CklDcrPvi_VisPtgC01_00_t18a25_00.pdf DnnFprA02.01

Article 1. Relatif aux essais sur vitrages isolants

Modes opératoiresEssais sur vitrages

ARTICLE 1. RELATIF AUX ESSAIS SUR VITRAGES ISOLANTS

Pvi 121aa0006/07/2016

Vi-Prescription technique générale

CklDcrPvi_VisPtgC29_00_t16g06_00.pdf DnnFprA02.01

OBJETDétermination de la pénétration à l'aiguille d’un mastic plastique.

RÉFÉRENCES DOCUMENTAIRESNorme NF T66-004

APPAREILLAGE/ÉQUIPEMENTGobelet A- diamètre : 55 mm- profondeur : 35 mmAppareil de pénétration à aiguilleAiguille typeChronomètreThermomètre

ÉCHANTILLONNAGE500 g de mastic

CONDITIONS SPÉCIFIQUES- Faire fondre la prise d'essai,- la refroidir à une température déterminée,- mesurer, dans des conditions normalisées, au moyen d'un pénétromètre muni d'une aiguille type, laprofondeur à laquelle cette aiguille pénètre dans le produit à examiner.

EXPRESSION DES RÉSULTATSProfondeur, exprimée en dixièmes de millimètre, à laquelle une aiguille type, pénètre dans la prise d’essaidans des conditions normalisées de charge, température et temps.

VALEURS ET CRITÈRES D’ACCEPTATIONAucune valeur particulière n’est requise.

CONTENU DU RAPPORT D’ESSAILe rapport d'essais doit comporter les points suivants:- date de la fourniture de l’échantillon d’essai,- identification du produit,- date de l'essai,- les conditions d’essai ( type d’aiguille, masse de chargement, température de la prise d’essai, temps demesure)- expression des résultats.

Modes opératoiresEssais sur constituants

PÉNÉTRATIONEssai

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Pvi 121bu1111/10/2001

Vi-Prescription technique générale

CklDcrPvi_VisPtgC07_00_t01j11_00.pdf DnnFprA02.01

OBJETVérifier la compatibilité chimique entre les couches d’un verre et un mastic de scellement

RÉFÉRENCES DOCUMENTAIRESProcédure C.E.B.T.P.

APPAREILLAGE/ÉQUIPEMENT- Lampe OSRAM, Ultravitalux de 300 W- Récipient en verre- Sonde de température- Émissiomètre type AE/RD1

ÉCHANTILLONNAGE1 verre à couches de 300 x 150 mmDécouper le verre en deux pièces de 150 x 150 mm (1 échantillon est soumis à l’essai, l’autre est gardécomme témoin).

CONDITIONS SPÉCIFIQUESConservation des échantillons en atmosphère sèche.- Mettre dans le récipient en verre 30 g du mastic à tester près à l’emploi,- Couvrir le récipient avec le verre soumis aux essais, face couche tournée vers le mastic,- Exposer la face du verre opposée à la couche sous la lampe Ultravitalux mise à une distance telle que latempérature au sein du mastic soit de 60°C,- Mettre en exposition pendant 7 jours soit 168 h.

EXPRESSION DES RÉSULTATSPour les vitrages à couche peu émissive :- mesure de l'émissivité sur chaque échantillon (témoin et essai),Pour les vitrages de protection solaire :- mesure de la transmission globale et de la réflexion globale énergétiqueLes mesures sont effectuées à la température ambiante (20 °C + 2 °C).

VALEURS ET CRITÈRES D’ACCEPTATIONÉcart maximal entre les deux valeurs d’émissivité, ou de transmission et réflexion énergétique : 10% pour lesémissivités ≥ 0,10 et 0,01 pour les émissivités < 0,10.

CONTENU DU RAPPORT D’ESSAILe rapport d'essais doit comporter les points suivants:- date de la fourniture des éléments d'essai, mastics et verres testés,- identification du produit et de ses composants,- date de l'essai,- expression des résultats.

Modes opératoiresEssais sur constituants

COMPATIBILITÉ ENTRE COUCHE ET MASTICS DE SCELLEMENTEssai

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Pvi 121ms1108/07/2009

Vi-Prescription technique générale

CklDcrPvi_VisPtgC09_00_t09g08_02.pdf DnnFprA02.01

OBJETDétermination de l’adhérence d’un mastic de scellement sur un espaceur.

RÉFÉRENCES DOCUMENTAIRESEN 1279-6 annexe F (2002)

APPAREILLAGE/ÉQUIPEMENT- appareil de traction permettant d’appliquer une vitesse de sollicitation de (5,5 +/- 0,5) mm/min etl’enregistrement du diagramme effort/déformation- enceinte à climat constant chaud + humidité selon Pvi 121vi04

ÉCHANTILLONNAGEEprouvettes cale sur cale selon EN 1279-6 annexe F, paragraphe 3.2 :- 5 éprouvettes pour traction sans rupture à contrainte constante de 0,3 MPa, à l’état initial- 5 éprouvettes pour traction sans rupture à contrainte constante de 0,3 MPa, après vieillissement- 5 éprouvettes pour traction à rupture, à l’état initial- 5 éprouvettes pour traction à rupture, après vieillissement

CONDITIONS SPÉCIFIQUES

1) Conditionnement des éprouvettesLes éprouvettes doivent être conditionnées durant 28 jours à une température de 23°C +/-2°C et à unehumidité relative de 50% +/-5%.

2) Vieillissement14 jours à 55°C (-0°C ; +3°C) et 95%HR +/-5% selon Pvi 121vi04 puis 24h aux conditions normales delaboratoire.

3) Essai de traction sans rupture, à contrainte constante (sauf pour les thermofusibles)- les éprouvettes sont mises en tension sous une contrainte de 0,3 MPa pendant 10 minutes (à l’état initial etaprès vieillissement).- pendant les 10 minutes de mise en charge, aucune rupture n’est autorisée- enregistrer le mode de rupture si rupture il y a- enregistrer la déformation en % (par rapport à la dimension initiale du mastic) et calculer la moyenne des 5éprouvettes

4) Essai de traction à rupture- les éprouvettes sont soumises à un essai de traction à rupture à la vitesse de 5,5 mm/min (à l’état initial etaprès vieillissement).- enregistrer le mode de rupture (% cohésif/adhésif si mixte)- enregistrer la déformation à rupture en % (par rapport à la dimension initiale du mastic), ainsi que lacontrainte à rupture en MPa et calculer les moyennes des 5 éprouvettes

VALEURS ET CRITÈRES D’ACCEPTATION- aucune rupture n’est autorisée pour l’essai à contrainte constante- rupture 100% cohésive ou à film mince (assimilée à une rupture cohésive) pour l’essai de traction à rupture

CONTENU DU RAPPORT D’ESSAI- la référence à la norme d’essai- la dénomination, la couleur et le type (mono ou bi-composant) du mastic de scellement- la référence du lot de mastic de scellement ayant servi à réaliser les éprouvettes- la référence de l’espaceur- la méthode de conditionnement- la courbe force/déformation- la force à la rupture, la déformation à la rupture déterminés à partir des courbes force/déformation- le mode de rupture (adhésif ou cohésif ou film mince ou le pourcentage de chaque si rupture mixte)- toute modification par rapport aux conditions d’essai spécifiées dans la norme susceptible d'avoir agi sur lesrésultats

Modes opératoiresEssais sur constituants

ADHÉSIVITÉ-COHÉSIONEssai

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Pvi 121ms1208/07/2015

Vi-Prescription technique générale

CklDcrPvi_VisPtgC10_00_t15g08_01.pdf DnnFprA02.01

OBJETVérifier, en fabrication, la bonne adhérence du mastic de scellement sur les verres et sur l’intercalaire

RÉFÉRENCES DOCUMENTAIRESNF EN 1279-6

APPAREILLAGE/ÉQUIPEMENT

ÉCHANTILLONNAGE1 éprouvette de 25 cm de long environ et de 10 à 15 cm de large environ.

CONDITIONS SPÉCIFIQUESL’éprouvette d’essai est constituée de deux verres de 4 ou 5 mm d’épaisseur et de même dimension qui sontassemblés avec deux longueurs de 25 cm environ d’intercalaire pour lame d’air de 6 à 14 mm de manière àreproduire, sur les deux longs côtés de l’éprouvette, la géométrie du joint de scellement du système devitrage isolant.Les verres et intercalaires doivent présenter un état de surface et une propreté identique à celle obtenue surla ligne de fabrication. Ils sont préparés de manière identique à celles de la fabrication.Le joint est rempli de mastic de scellement et l’éprouvette est laissée à sécher à la température ambiante del’atelier pendant un temps indicatif de :- 12 à 18 h pour les mastics de scellement thermofusibles,- 24 à 72 h pour les mastics de scellement réticulables bicomposant,- 48 à 96 h pour les mastics réticulables monocomposant selon les mastics.Après le délai minimum défini par le fabricant, l’un des deux verres est coupé dans le sens transversal entrois parties.Une première partie est recoupée en son milieu, longitudinalement. Chaque morceau de verre subit unerotation de 180° environ autour de l’intercalaire de manière à éprouver l’adhérence du mastic de scellement àla fois sur le verre et sur l’intercalaire.Lorsque le résultat de l’essai n’est pas satisfaisant, l’essai est recommencé après un second puis,éventuellement, un troisième délai de séchage.

EXPRESSION DES RÉSULTATS- Il est noté pour chacun des joints de scellement la nature de la rupture du mastic sur le verre et surl’intercalaire, en distinguant entre rupture adhésive et rupture cohésive.

VALEURS ET CRITÈRES D’ACCEPTATIONLa rupture doit être cohésive à 90% minimum.

Nota 1 : une rupture est adhésive lorsque le décollement du mastic ne laisse aucune trace, même terne, surla surface avec laquelle il était en contact. Dans le cas contraire, la rupture est cohésive.Nota 2 : Dès que la rupture est cohésive à l’intérieur du délai maximal admis, l’essai est considéré commesatisfaisant et n’est pas poursuivi.

CONTENU DU RAPPORT D’ESSAILe rapport d'essai doit comporter les points suivants:- date de la fabrication de l’éprouvette d’essai,- identification du mastic de scellement et de l’intercalaire,- date des essais d’adhésivité,- expression des résultats.

Modes opératoiresEssais sur constituants

ADHÉSIVITÉ-COHÉSION - TEST PAPILLONEssai

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Pvi 121ms1308/07/2004

Vi-Prescription technique générale

CklDcrPvi_VisPtgC60_00_t04g08_00.pdf DnnFprA02.01

OBJETEssai de résistance au rayonnement UV du mastic de scellement au moyen de tube fluorescent ou d’unelampe à arc Xénon.

RÉFÉRENCES DOCUMENTAIRESPvi 121vi02EN 1279-4 §5.1

APPAREILLAGE/ÉQUIPEMENTPour les mastics de scellement non exposés à l’ensoleillement direct :- enceinte à Haute Humidité + UV (voir Pvi 121vi02)- les racks UV sont équipés de tubes fluorescents en lumière blanche (UVA longueur d’onde 340 nm -irradiance 0,74 W/m2 ±0,02 W/m2 - rayonnement 40±5 W/m2 - température 55±2 °C)

Pour les mastics de scellement VEC ou exposés à l’ensoleillement (”E”) : enceinte équipée d’une lampe à arcXénon avec filtre en borosilicate (irradiance 0,51 ±0,02 W/m2 à 340 nm - température de chambre à 35±3 °C -température au panneau noir (BST) à 50±3 °C - humidité relative à 65 ±10 % HR)

ÉCHANTILLONNAGERéaliser 21 éprouvettes en " H " conformément à la EN 1279-4 annexe A pour les mastics non exposés ou14 éprouvettes pour les mastics VEC ou E- section du mastic 12 x 12 mm, longueur 50 mm- support verre float clair : 12 x 75 mm et 6 mm d’épaisseur

CONDITIONS SPÉCIFIQUES

1) conditionnement préalableAprès confection, les éprouvettes sont maintenues au repos pendant une durée de 28 jours à 23 ±2°C et 50±5% d’humidité.

2) installation des éprouvettes avec mastic non exposés- Le rayonnement UV des tubes au niveau de leur enveloppe doit être de 40±5 W/m2

- Les 7 éprouvettes destinées à être exposées au rayonnement UV sont placées sur un même porteéchantillon de manière à ce que l’exposition du mastic se fasse derrière le verre et que ce dernier soit à 50mm du centre des tubes UV. Elles doivent être réparties sur la surface éclairée du porte-échantillon demanière à ce que leur longueur soit perpendiculaire au sens de la longueur des tubes UV et parallèle au pland’éclairage des tubes.

3) installation des éprouvettes avec mastic VEC ou ELes 7 éprouvettes destinées à être exposées au rayonnement UV sont placées sur un même porteéchantillon de manière à ce que l’exposition du mastic se fasse derrière le verre et que ce dernier soit à 25cm du centre de la lampe Xénon. Le porte échantillon tourne autour de la lampe.

4) essais- 7 éprouvettes sont exposées aux tubes fluorescents durant 504 ±4 heures et 7 autres durant 1008 ±5heures pour les mastics non exposés- 7 éprouvettes sont exposées à la lampe Xénon durant 4000 ±5 heures pour les mastics VEC ou E- Après exposition, les éprouvettes sont gardées 24 heures à 23 ±2°C et 50±5% d’humidité avant d’êtremises en traction

5) mesures- 7 éprouvettes, prises à l’état initial, sont soumises à un effort de traction (v= 5 ±0,25 mm/min) jusqu’àrupture selon les modalités de la EN 1279-4, § 5.1. Relever la courbe contrainte-allongement de chaqueéprouvette- Les 7 éprouvettes exposées 504h et les 7 éprouvettes exposées 1008 heures aux tubes fluorescents ou les7 éprouvettes exposées 4000 heures à la lampe Xénon sont soumises à un effort de traction (v= 5 ±0,25mm/min) jusqu’à rupture selon les modalités de la EN 1279-4, § 5.1. Relever la courbe contrainte -allongement de chaque éprouvette- Indiquer le type de rupture de chaque éprouvette (cohésive et/ou film mince et/ou adhésive) en précisant lapart relative de chaque type de rupture.

Modes opératoiresEssais sur constituants

RÉSISTANCE AU RAYONNEMENT UV (TUBE FLUORESCENT OU LAMPE ARC XÉNON) 1/2Essai

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Pvi 121ms2108/07/2015

Vi-Prescription technique générale

CklDcrPvi_VisPtgC12_00_t15g08_01.pdf DnnFprA02.01

EXPRESSION DES RÉSULTATS- Les courbes contrainte-allongement sont comparées à la droite "AB" dans les conditions prévues par la EN1279-4, § 5.1 et la valeur en contrainte la plus haute ainsi que la plus basse de chaque série de 7éprouvettes ne sont pas prises en considération pour ne garder que 5 valeurs intermédiaires.

- Calculer la moyenne des contraintes en Mpa à l’intersection de la droite "AB" et à rupture et l’écart-typeassocié à ces moyennes pour les 5 valeurs retenues,- Calculer la moyenne des allongements en % à l’intersection de la droite "AB" et à rupture et l’écart-typeassocié à ces moyennes pour les cinq valeurs retenues,

VALEURS ET CRITÈRES D’ACCEPTATION- la valeur moyenne en contrainte et en allongement des 5 éprouvettes à l’état initial constitue une valeur deréférence pour le mastic.- la moyenne en contrainte à l’intersection de la droite “AB” des 5 éprouvettes soumises à 1008 heures tubesfluorescents ou 4000 heures lampe Xénon ne doit pas s’écarter de plus de 20% de la moyenne en contrainteà l’intersection de la droite “AB” des 5 éprouvettes à l’état initial.- les ruptures de chacune des 5 éprouvettes, à l’initial et après insolation, doivent être toutes ≥60% cohésives(en surface) ; en cas de film mince, le jugement de la conformité est donné en fonction des valeurs decontraintes à la rupture- pour les mastics VI-VEC, les ruptures des éprouvettes, à l’initial et après insolation, doivent être toutes100% cohésives

CONTENU DU RAPPORT D’ESSAI- référence du mastic testé- description des conditions de prélèvement- description des conditions de fabrication des éprouvettes- courbes contrainte-allongement jusqu’à rupture de chaque éprouvette testée- nature de la rupture- valeur de la contrainte et de l’allongement à l’intersection avec la droite "AB" et à rupture pour chaqueéprouvette- valeur moyenne de la contrainte et de l’allongement à l’intersection de la droite "AB" des 5 éprouvettesretenues à l’état initial et après 504 et 1008 heures tubes fluorescents ou 4000 heures lampe Xénon et valeurde l’écart-type associé- valeur de référence pour le mastic testé- courbe d’enregistrement, durant tout le vieillissement, de la puissance du rayonnement UV, au niveau deséprouvettes- schéma de l’emplacement ou à défaut, distance des éprouvettes par rapport aux tubes fluorescents ou à lalampe Xénon

Modes opératoiresEssais sur constituants

RÉSISTANCE AU RAYONNEMENT UV (TUBE FLUORESCENT OU LAMPE ARC XÉNON) 2/2Essai

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Pvi 121ms2108/07/2015

Vi-Prescription technique générale

CklDcrPvi_VisPtgC12_00_t15g08_02.pdf DnnFprA02.01

OBJETContrôle des orifices d’échange

RÉFÉRENCES DOCUMENTAIRESProcédure CEBTP

APPAREILLAGE/ÉQUIPEMENT- récipient gradué en verre de 500 à 1000 ml avec robinet- tuyau souple- eau

ÉCHANTILLONNAGE3 échantillons de 300 mm dans chaque largeur d’espaceur soumis à l'essai

CONDITIONS SPÉCIFIQUESDispositif de l’essai :

(croquis)

L'essai se déroule de la façon suivante:- Monter l'échantillon selon le croquis ci-avant sur le dispositif d'écoulement d'eau en le bouchant à l'autreextrémité,- Emplir d’eau le récipient gradué en verre robinet,- Chronométrer le temps d'écoulement de 250 ml d'eau sur chacune des trois éprouvettes dans chaquelargeur d'espaceur soumis à l'essai.

EXPRESSION DES RÉSULTATSTemps nécessaire (en minutes et secondes) pour l’écoulement des 250 ml d’eau.

VALEURS ET CRITÈRES D’ACCEPTATIONAucune valeur particulière n’est requise.

CONTENU DU RAPPORT D’ESSAILe rapport d'essais doit comporter les points suivants:- date de la fourniture de l'élément d'essai ou de son prélèvement,- identification du produit et de ses composants,- date de l'essai,- expression des résultats

Modes opératoiresEssais sur constituants

CONTRÔLE DES PERFORATIONSEssai

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Pvi 121pm1111/10/2001

Vi-Prescription technique générale

CklDcrPvi_VisPtgC18_00_t01j11_00.pdf DnnFprA02.01

OBJET- Vérifier l’adhérence d’un revêtement laqué cuit au four , déposé sur un profilé en alliage d’aluminium

RÉFÉRENCES DOCUMENTAIRES- Norme ISO 2409 et document QUALICOAT (concernant les revêtements par thermolaquage deI'aluminium).

APPAREILLAGE/ÉQUIPEMENT- Outil coupant à simple ou multilame avec une arête de 30° pour incision manuelle- Pinceau à poils en soies- Ruban adhésif présentant une adhésivité comprise entre 6 N/cm et 7,5 N/cm lorsqu'elle est mesuréeconformément à la norme NF X41-022

ÉCHANTILLONNAGE- Dimensions des éprouvettes telles qu'elles permettent l'exécution de l'essai en trois endroits différents surchaque éprouvette

CONDITIONS SPÉCIFIQUES- L'essai doit être effectué à une température de 23 °C +/- 2 °C et à une humidité relative de 50(+/- 5)% HR.

- Appliquer sur l'outil coupant une pression uniforme et effectuer, dans le revêtement, 6 ou 11 incisionsparallèles et dans la même direction également espacées de 1 ou 2 mm

- Toutes les incisions doivent pénétrer jusqu'au subjectile sans toutefois couper celui-ci trop profondément

- Perpendiculairement à ces incisions parallèles, exécuter de la même façon et avec le même écart, le mêmenombre d'incisions parallèles pour former un quadrillage.

- Retourner l'éprouvette à l'aide de la brosse douce aider les carrés n'adhérant plus au subjectile à s'enséparer complètement.

- Appliquer progressivement un morceau de ruban adhésif sur chacune des zones quadrillées en frottantlégèrement avec le doigt de telle sorte outil n'y ait aucune bulle d’air entre le ruban et le feuil de laque.

- Appuyer ensuite plus fortement sur le ruban en exerçant une pression égale sur toute sa surface.

- Arracher alors le ruban d'un mouvement rapide et continu en ayant soin de procéder de façon identiquepour chaque éprouvette.

Modes opératoiresEssais sur constituants

ADHÉRENCE DU LAQUAGE 1/2Essai

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Pvi 121sc1111/10/2001

Vi-Prescription technique générale

CklDcrPvi_VisPtgC20_00_t01j11_01.pdf DnnFprA02.01

EXPRESSION DES RÉSULTATS- Examiner à l’œil nu la surface quadrillée du revêtement à essayer et la classer suivant le tableau decotation de la norme.

VALEURS ET CRITÈRES D’ACCEPTATIONL'échantillon doit se situer dans les trois premières catégories ci-avant, c'est-à-dire, classification en 0 ou 1ou 2.

COMPTE-RENDU D’ESSAILe rapport d'essai comporte les points suivants:- référence la présente norme d’essai,- type et identification du produit essayé,- les caractéristiques du subjectile (dimensions, nature, préparation ),- conditions de l'essai si elles différent de celles fixées par la norme,- type d'outil coupant utilisé et mode opératoire (manuel ou mécanique),- nombre d'incisions dans chaque direction et pas du quadrillage,- résultats de l'essai, les résultats de l'essai complémentaire d'adhérence.

Modes opératoiresEssais sur constituants

ADHÉRENCE DU LAQUAGE 2/2Essai

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Pvi 121sc1111/10/2001

Vi-Prescription technique générale

CklDcrPvi_VisPtgC20_00_t01j11_02.pdf DnnFprA02.01

OBJET- Vérifier la résistance aux solvants du laquage de profilés en alliage d’aluminium

RÉFÉRENCES DOCUMENTAIRES- Procédure QUALICOAT (concernant les revêtements par thermolaquage de l'aluminium)

APPAREILLAGE/ÉQUIPEMENT- tampon de ouate- solvant:- pour peinture liquide : MEG- pour peinture en poudre: Xylène

ÉCHANTILLONNAGE- Dimensions des éprouvettes telles qu'elles permettent l'exécution de l'essai.- Pour des croisillons de vitrages : 4 éprouvettes de 500 mm de longueur chaque.

CONDITIONS SPÉCIFIQUES- L'application s'effectue en imbibant un tampon de ouate à saturation avec le solvant et en le posant pendant30 secondes sur la pièce à examiner.

EXPRESSION DES RÉSULTATSL'appréciation du comportement du revêtement se fait selon la cotation ci-dessous:- 1. film très mat et nettement ramolli,- 2. film mat et rayable à l'ongle,- 3. Iégère perte de brillance,- 4. aucune perte de brillance - non rayable à l'ongle.

VALEURS ET CRITÈRES D’ACCEPTATION- Les niveaux 3 et 4 sont acceptés

COMPTE-RENDU D’ESSAILe rapport d'essais doit comporter les points suivants:- date de la fourniture de l'élément d'essai ou de prélèvement,- identification du produit et de ses composants,- date de l'essai,- expression des résultats.

Modes opératoiresEssais sur constituants

TENUE DE LA LAQUEEssai

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Pvi 121sc1211/10/2001

Vi-Prescription technique générale

CklDcrPvi_VisPtgC26_00_t01j11_00.pdf DnnFprA02.01

OBJETAptitude d’un profilé de rénovation et de son dispositif de fixation à tenir en place dans un châssis de fenêtre

RÉFÉRENCES DOCUMENTAIRES/

APPAREILLAGE/ÉQUIPEMENT- dispositif de pulsation d’air ou banc d’essai de fenêtre de capacité en pression de vent de 1 000 Pa- manomètre- capteur de déplacement

ÉCHANTILLONNAGEVantail de fenêtre de dimensions hors tout 700 x 1400 mm équipé de son vitrage avec profilé de rénovation.

Le centre de production procède à la mise en œuvre du procédé de rénovation avec les fixations préconiséesreproduisant exactement les conditions de pose conseillées.

CONDITIONS SPÉCIFIQUES- La maquette d’essai est équipée d’un caisson (ie. agglo de 19 mm) permettant son adaptation, selon le cas,sur le banc d'essai de fenêtre ou sur le dispositif de pulsation d’air, en position verticale, avec jointd'étanchéité au pourtour de la feuillure côté laboratoire.- mettre en place un capteur de déplacement en contact au centre du vitrage.

L'essai se déroule de la façon suivante:- mise à zéro du comparateur sous pression de 0 Pa pour permettre le démarrage de l'essai,- mise en pression du caisson à 1 000 Pa et stabilisation à 1 000 Pa,- mesure de la flèche du vitrage sous 1 000 Pa,- effectuer ensuite 10 000 cycles de pression de telle façon que la flèche du vitrage varie entre zéro et lavaleur mesurée sous pression stabilisée de 1 000 Pa,- fin de l’essai et examen visuel des fixations du profil de l’éprouvette sur le cadre de la maquette.

EXPRESSION DES RÉSULTATSNoter l’état du profilé de rénovation, de ses fixations, des étanchéités du vitrages.

VALEURS ET CRITÈRES D’ACCEPTATIONAprès 10 000 cycles de pression de 0 à 1 000 Pa aucun désordre ne doit être constaté.

CONTENU DU RAPPORT D’ESSAI- Identité du profilé de rénovation,- description de la mise en œuvre du vitrage et de sa fixation,- date de l'essai et responsable de l’essai,- expression des résultats.

Modes opératoiresEssais sur constituants

ESSAI DE FLEXIONS RÉPÉTÉES (10.000 CY)Essai

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Pvi 121sr0111/10/2001

Vi-Prescription technique générale

CklDcrPvi_VisPtgC22_00_t01j11_00.pdf DnnFprA02.01

OBJETVérifier l'étanchéité à l'eau des assemblages d'angles des profilés d'un vitrage de rénovation.

RÉFÉRENCES DOCUMENTAIRES/

APPAREILLAGE/ÉQUIPEMENT- caisson étanche- eau- buvard.

ÉCHANTILLONNAGE- 1 vitrage équipé de son profilé de rénovation

CONDITIONS SPÉCIFIQUES- Confectionner un caisson étanche permettant un remplissage d'eau de 50 mm sur le dessus de1'éprouvette mise à l’horizontal, les angles du caisson étant posés sur du buvard.

L'essai se déroule de la façon suivante:- I'éprouvette est disposée horizontalement sur un support approprié. Sur la périphérie du profiléd'adaptation, en face extérieure et au niveau de l'engagement en feuillure à verre, est adapté un caisson dontl'éprouvette constitue le fond.- le montage d'essai étant réalisé de façon à être lui-même étanche, il est disposé 50 mm d'eau au-dessusde la face externe du vitrage.- il est noté au bout de 30 minutes de mise en eau si des infiltrations côté face intérieure ne s'est produite, enexaminant les buvards posés sous les angles du caisson.

EXPRESSION DES RÉSULTATS-Indiquer si des infiltrations d’eau se sont produites et les localiser

VALEURS ET CRITÈRES D’ACCEPTATIONAucune infiltration d’eau

CONTENU DU RAPPORT D’ESSAI- Identité du profilé de rénovation,- Identité du centre de production du vitrage,- description du vitrage isolant et de ses composants (en particulier du mastic de scellement, du mastic decollage et de son primer éventuel, du mastic d’étanchéité),- date de l'essai et responsable de l’essai,- expression des résultats.

Modes opératoiresEssais sur constituants

ÉTANCHÉITÉ À L’EAU DES ASSEMBLAGES DE PROFILÉSEssai

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Pvi 121sr0211/10/2001

Vi-Prescription technique générale

CklDcrPvi_VisPtgC23_00_t01j11_00.pdf DnnFprA02.01

OBJETVérifier la bonne adhérence du mastic de collage sur le profilé de rénovation par essai de pelage

RÉFÉRENCES DOCUMENTAIRESCahier du CSTB n°3488 - V2, annexe 1, chapitre 2 (essais de pelage)

APPAREILLAGE/ÉQUIPEMENT- film anti-adhésif- couteau

ÉCHANTILLONNAGE3 morceaux de profilés de rénovation de 20 à 30cm de longueur, pour chaque largeur.

CONDITIONS SPÉCIFIQUES- Essuyer chaque morceau de profilé à l’aide d’un chiffon propre et sec- appliquer le primaire si nécessaire, en respectant les conditions de mise en oeuvre (mode d’application ettemps de séchage)- disposer à chaque extrémité de la plage destinée au collage, un film anti-adhérant d’une largeur de 25 mmenviron- appliquer le mastic de collage au fond du profilé en un cordon régulier et épais d’environ 5 mm- lisser le cordon avec une légère pression- laisser polymériser suivant les instructions du fabricant du mastic de collage- conditionner les 3 éprouvettes 14 jours en étuve (55°C - 95% HH)OU- immerger les 3 éprouvettes 14 jours dans l’eau à température ambiante- tester la première éprouvette- saisir le tronçon de cordon de mastic n’ayant pas adhéré sur le profilé et réaliser le pelage en appliquant uneffort à environ 180° par rapport au plan de collage, jusqu’à rupture du cordon (il peut être utile d’amorcer larupture à l’aide d’un couteau)- évaluer le mode de rupture-en cas de résultat non conforme, tester une deuxième éprouvette.La troisième éprouvette est gardée en réserve pour réaliser un essai avec l’inspecteur lors de l’audit de suivi.

EXPRESSION DES RÉSULTATSLe résultat doit être exprimé en % de rupture cohésive.Une rupture adhésive n’est pas permise.

VALEURS ET CRITÈRES D’ACCEPTATIONRupture au minimum 90% cohésive.

CONTENU DU RAPPORT D’ESSAI- Date de fabrication des éprouvettes- identification du mastic de collage et du profilé de rénovation- dates de début et fin de conditionnement- date de l’essai de pelage- expression des résultats

Modes opératoiresEssais sur constituants

ADHÉSIVITÉ-COHÉSION ENTRE PROFILÉ DE RÉNOVATION ET MASTIC DE COLLAGEEssai

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Pvi 121sr0306/07/2016

Vi-Prescription technique générale

CklDcrPvi_VisPtgC23_00_t16g06_00.pdf DnnFprA02.01

OBJETDétermination du taux de cendres

RÉFÉRENCES DOCUMENTAIRESNorme NF T 54-405

APPAREILLAGE/ÉQUIPEMENT- bec mecker ou équivalent- creusets de silice, porcelaine ou platine de 3 à 5 cm de diamètre et de même profondeur- four à moufle, à gaz ou électrique, permettant de régler la température à 1 000 °C + 30 °C- balance précise à + 0,5 mg- dessiccateur

ÉCHANTILLONNAGE1 longueur de profilé de 50 cm

CONDITIONS SPÉCIFIQUES- Effectuer dans l’échantillon 3 prises d'essai de 4,5 g +/- 0,5 g.Pour chaque prise d’essai :- porter un creuset à 1 000 °C +/- 30 °C pendant 15 mn puis le refroidir dans un dessiccateur,- le tarer à 0,5 mg près,- introduire la prise d’essai et peser le tout à 0,5 mg près,- en déduire la masse M de ce produit en gramme,- placer le creuset sur un trépied sous une hotte et effectuer la calcination au bec mecker en chauffantprogressivement le creuset à sa partie inférieure, au minimum pendant 15 mn sans inflammation niprojections jusqu'à cessation du dégagement de fumées noires et disparition du dépôt noir sur la paroiinterne du creuset,- le placer ensuite au four préalablement réglé sur 1 000 °C pendant 4 h,- Il est admis d’ouvrir le four périodiquement (toutes les 30 mn environ), pour permettre l'évacuation desfumées,- sortir le creuset du four et le placer dans la minute qui suit, dans un dessiccateur,- le laisser refroidir dans ce dessiccateur jusqu'à température ambiante,- peser dès sortie du dessiccateur à 0,5 g et en déduire la masse m de cendres en grammes à + 0,5 mg.

EXPRESSION DES RÉSULTATSPour chaque prise d’essai, calculer le taux de cendres dans les conditions de l'essai, par l'expression:Tc = (m/M) x 100 en %Tc est exprimé avec un chiffre après la virgule.

Calculer la moyenne arithmétique des résultats obtenus sur les 3 prises d’essais (exprimée avec un chiffreaprès la virgule).Tout échantillon dont la différence relative avec la moyenne est supérieure à 5 % n’est pas retenu et lesmesures sont reprises sur une nouvelle série de 3 prises d’essai.

Modes opératoiresEssais sur constituants

TAUX DE CENDRES DU PVC 1/2Essai

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Pvi 121sr1111/10/2001

Vi-Prescription technique générale

CklDcrPvi_VisPtgC24_00_t01j11_01.pdf DnnFprA02.01

VALEURS ET CRITÈRES D’ACCEPTATIONRespect de la valeur typique du formulateur

CONTENU DU RAPPORT D’ESSAILe rapport d'essais doit comporter les points suivants:- date de la fourniture ou de prélèvement de l'échantillon d’essai,- identification du produit,- date de l'essai,- expression des résultats (taux de cendres en %).

Modes opératoiresEssais sur constituants

TAUX DE CENDRES DU PVC 2/2Essai

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Pvi 121sr1111/10/2001

Vi-Prescription technique générale

CklDcrPvi_VisPtgC24_00_t01j11_02.pdf DnnFprA02.01

OBJETVérifier la bonne qualité de la matière du profilé en PVC

RÉFÉRENCES DOCUMENTAIRESDirective UEAtc pour l’agrément des produit en PVC utilisé dans la construction

APPAREILLAGE/ÉQUIPEMENT- récipient permettant l'immersion de profil de 200 mm,- acétone ou chlorure de méthylène.

ÉCHANTILLONNAGE3 éprouvettes ou trois échantillons de 200 mm de profilé

CONDITIONS SPÉCIFIQUES- Température d'essai 23 +/- 2 °C.- Préparer dans un récipient un bain d’acétone vierge et sèche (teneur en eau inférieure à 1 %), changéepour chaque immersion.- Si I'épaisseur du produit est inférieure ou égale à 2 mm, Immerger les 3 éprouvettes pendant deux heures,sinon l’immersion dure trois heures,- A titre indicatif, I'essai est éventuellement poursuivi durant 24 heures.

Pour rendre l'exécution de cet essai plus rapide, on peut employer du chlorure de méthylène au lieu del'acétone, le temps d'immersion étant réduit respectivement à 20 mn (épaisseur <= 2 mm) ou 30 mn(épaisseur > 2 mm)

EXPRESSION DES RÉSULTATS-A la fin de l’essai, on relève l'aspect du produit par observation visuelle

VALEURS ET CRITÈRES D’ACCEPTATIONAprès l’essai les profilés ne doivent présenter aucune trace de fissurations en surface

CONTENU DU RAPPORT D’ESSAILe rapport d'essais doit comporter les points suivants:- date de la fourniture ou du prélèvement de l’élément d’essai,- identification du produit,- date de l'essai,- expression des résultats

Modes opératoiresEssais sur constituants

FISSURATION À L’ACÉTONE DU PVCEssai

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Pvi 121sr1211/10/2001

Vi-Prescription technique générale

CklDcrPvi_VisPtgC25_00_t01j11_00.pdf DnnFprA02.01

OBJETVérifier la bonne qualité d’extrusion des profilés

RÉFÉRENCES DOCUMENTAIRESNF EN 479

APPAREILLAGE/ÉQUIPEMENT- appareil de mesure de longueur avec une précision de 0,25 mm- étuve sèche à 100°C

ÉCHANTILLONNAGE2 éprouvettes de longueur de profil de 220 +/- 10 mm

CONDITIONS SPÉCIFIQUES- Tracer à l'aide d’une pointe à tracer, sur chacune des faces du profilé, deux repères distants de 200 mm.- Conditionner les éprouvettes pendant au moins 2 h. à 23 °C + 2 °C avant chaque mesure de la longueurrepérée (avant et après passage à l'étuve).- Mesurer la distance Lo entre repères à 0,25 mm près (à 23 °C +/- 2 °C),- régler la température de l'étuve à 100 °C +/- 2 °C,- maintenir les éprouvettes pendant 1 h. dans l'étuve sur une plaque de verre talquée pour diminuer lesfrottements,- sortir les éprouvettes de l'étuve et, après complet refroidissement à 23 °C +/- 2 °C à l'air libre, effectuer,dans les mêmes conditions que précédemment, la mesure de la distance L entre les repères suivant les deuxgénératrices maximale et minimale définies par la courbure que prend pratiquement toujours l'éprouvetterecuite.

EXPRESSION DES RÉSULTATSCalculer la variation de longueur entre les repères de l'éprouvette en pourcentage à l'aide de la formulesuivante:

R = ∆L/Lo x 100dans laquelle:R = retrait après recuit à 100 °C en pourcentage,Lo = distance entre les repères avant essai,L = distance entre les repères après essai

VALEURS ET CRITÈRES D’ACCEPTATIONÉcart avec la cote initiale correspondant à un retrait maxi de 2,5%.

CONTENU DU RAPPORT D’ESSAILe rapport d'essais doit comporter les points suivants:- date de la fourniture de l'élément d'essai ou de son prélèvement,- identification du produit,- date de l'essai,- expression des résultats (en %)

Modes opératoiresEssais sur constituants

RETRAIT À CHAUD DU PVCEssai

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modificationde la norme

deréférence

Pvi 121sr1308/07/2004

Vi-Prescription technique générale

CklDcrPvi_VisPtgC62_00_t04g08_00.pdf DnnFprA02.01

OBJETVérifier l’aptitude d’un mastic de scellement thermofusible à s’opposer au déplacement des verres d’unvitrage isolant sous des efforts les sollicitant dans le plan du vitrage (effet de cisaillement)

RÉFÉRENCES DOCUMENTAIRESDirectives UEAtc sur les vitrages isolants

APPAREILLAGE/ÉQUIPEMENT- Dispositif d’application d’efforts selon le schéma de principe suivant :

(Dessin à mettre)

- masse de 10 daN- crochets, poulie renvoi d’angle- cordes- capteur-enregistreur de déplacement à 0,01 mm

ÉCHANTILLONNAGE1 vitrage isolant de 350 x 500 +/-5 mm par température d’essai (soit 4 vitrages).Tous les vitrages doivent être identiques et avoir été fabriqués au même moment.

CONDITIONS SPÉCIFIQUESL'essai se déroule de la façon suivante:- le vitrage est placé en position horizontale et est retenu par sa feuille de verre inférieure contre le taquet de4 mm de haut par son côté de 500 mm,- la charge de 10 kg est appliquée sur la feuille supérieure au moyen de cordes, d’une poulie et de deuxcrochets qui s’adaptent sur le bord opposé de la feuille du verre supérieur. Les crochets sont éloignés le pluspossible l'un de l'autre, afin de répartir la charge sur les deux côtés courts du vitrage,- le capteur de déplacement est placé contre le bord de la feuille du verre supérieur,- I’application de la charge n’est faite qu’après que le vitrage ait été conditionné pendant au moins 24 heuresà la température d'essai,- les déplacements du capteur sont enregistrés après 10 minutes, 24 heures et 7 jours.

Effectuer l’essai pour chacune des températures suivantes :- 20, 30, 40 et 50°C (-0/+ 2°C).

Modes opératoiresEssais sur constituants

MAINTIEN DES VERRES 1/2Essai

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Pvi 121tf1111/10/2001

Vi-Prescription technique générale

CklDcrPvi_VisPtgC14_00_t01j11_01.pdf DnnFprA02.01

EXPRESSION DES RÉSULTATSDonner pour chacun des vitrages et chacune des températures d’essai le déplacement d'un verre parrapport à l'autre en centièmes de mm.

VALEURS ET CRITÈRES D’ACCEPTATIONPas de critères définis

CONTENU DU RAPPORT D’ESSAILe rapport d'essais doit comporter les points suivants:- description du vitrage isolant et des constituants qui le compose (épaisseur des composants verriers,épaisseur de la lame d'air ou de gaz, nature et géométrie des intercalaires ou espaceurs, mode de réalisationdes angles, nature et hauteur des mastics en 1ère et 2ème barrière).- conditions de réalisation des échantillons- date de l'essai- expression des résultats.

Modes opératoiresEssais sur constituants

MAINTIEN DES VERRES 2/2Essai

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Pvi 121tf1111/10/2001

Vi-Prescription technique générale

CklDcrPvi_VisPtgC14_00_t01j11_02.pdf DnnFprA02.01

OBJETVérifier le comportement des profilés ou espaceurs intercalaires dans les vitrages isolants à mastic descellement thermofusible ou thermoplastique, ou à mastic de scellement sans adhérence sur ces profilés ouespaceurs (déplacement des profilés ou espaceurs)

RÉFÉRENCES DOCUMENTAIRESDirectives UEAtc

APPAREILLAGE/ÉQUIPEMENT- enceinte régulée en température de 20 à 60°C -0/+3°C- pompe à vide de mise en dépression de la lame d’air du vitrage isolant jusqu’à -2700 +/-10 Pa- manomètre à +/-5 Pa-thermomètre à +/- 1°C- réglet avec divisions de 0,5 mm

ÉCHANTILLONNAGE- 1 vitrage de 0,5 x 2,0 m- 1 vitrage de 1,0 x 1,0 m- 1 vitrage de 0,7 x 1,4 mde composition 4+12+4 mm.

CONDITIONS SPÉCIFIQUES- Le vitrage est placé verticalement dans l’enceinte d’essai et est tenu sans bridage.- L’espace entre les deux verres est relié à une pompe à vide par une prise étanche.

Le dispositif d’essai doit permettre :- de faire varier la température de l’air ambiant dans l’enceinte pour que la température de la lame

d’air varie cycliquement entre 20 et 60°C avec des phases alternées de montée et maintien à 60 -0/+3°C sur3 h et de redescente et maintien à 20 -0/+3°C sur 3 h,

- de faire varier la pression interne de la lame d’air par rapport à l’ambiance extérieure pour avoir-2700 +/-10 Pa effectif pendant 10,5 h et 0 +/- 10 Pa effectif pendant 1,5 h,

- de mener ces variations en phase sur une période de 12 h selon la représentation schématiquesuivante :

(Schéma à mettre)

Le cycle de base de 12 h est répété pendant 14 jours .

Modes opératoiresEssais sur constituants

DÉPLACEMENT DES INTERCALAIRES 1/2Essai

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Pvi 121tf1211/10/2001

Vi-Prescription technique générale

CklDcrPvi_VisPtgC15_00_t01j11_01.pdf DnnFprA02.01

EXPRESSION DES RÉSULTATS- Il est noté le moment à partir duquel un déplacement de profilé intercalaire ou d’espaceur est décelable àl’oeil et la localisation de ce déplacement ainsi que l’évolution de ce déplacement au cours des cycles,- l’amplitude maximale des déplacements et le moment où elle est atteinte,- le moment où se produit éventuellement la stabilisation d’un déplacement constaté,- les désordres apparents consécutifs à ces déplacements.

VALEURS ET CRITÈRES D’ACCEPTATION- Le déplacement maximal de l'intercalaire ou de l’espaceur est limité à 1 mm.

CONTENU DU RAPPORT D’ESSAILe rapport d'essais doit comporter les points suivants:- description du vitrage isolant et des constituants qui le compose (épaisseur des composants verriers,épaisseur de la lame d'air ou de gaz, nature et géométrie des intercalaires ou espaceurs, mode de réalisationdes angles, nature et hauteur des mastics en 1ère et 2ème barrière).- conditions de réalisation des échantillons- date de l'essai- expression des résultats.

Modes opératoiresEssais sur constituants

DÉPLACEMENT DES INTERCALAIRES 2/2Essai

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Pvi 121tf1211/10/2001

Vi-Prescription technique générale

CklDcrPvi_VisPtgC15_00_t01j11_02.pdf DnnFprA02.01

OBJETDéterminer la perméabilité relative à la vapeur d’eau d’un vitrage isolant dont l’un des verres est à coucheémargée

RÉFÉRENCES DOCUMENTAIRESEx-norme NF P 78-451 du 20/07/1986

APPAREILLAGE/ÉQUIPEMENT- enceinte à climat constant à haute humidité (HH)

ÉCHANTILLONNAGENombre : - vitrages à intercalaire tubulaire avec déshydratant : 6 dont 3 avec 2 verres clairs et 3 dont lesdeux verres sont à couches émargés ;

- vitrages à intercalaire organique : 3 vitrages dont les deux verres sont à couches émargés.Composition : vitrages de (350 x 500) mm +/- 10 mm, (4 à 6)+12+(4 à 6) mm, avec:

- pour les vitrages à intercalaire tubulaire avec déshydratant :- butyl sur deux petits côtés,- déshydratant soit sur un demi-périmètre en remplissage automatique, soit sur deux petits

côtés en remplissage manuel,- pour les vitrages à intercalaire organique, la constitution habituelle du vitrage.

CONDITIONS SPÉCIFIQUES- Vitrages à à intercalaire tubulaire avec déshydratant :

- soumettre les 6 vitrages à l’essai à climat constant selon la ptg 12.1.vi.0.5 pendant une durée de14 jours.- Vitrages à intercalaire organique :

- soumettre les 3 vitrages à l’essai à climat variable selon la ptg 12.1.vi.0.4 pendant une duréelimitée comprenant 14 j en climat variable suivi de 14 j en haute humidité.

EXPRESSION DES RÉSULTATS- Vitrages à intercalaire tubulaire avec déshydratant :

- Pour chacun des 6 vitrages, déterminer la teneur en eau du déshydratant,- Calculer le taux moyen de teneur en eau des 3 échantillons avec verres clairs,- Calculer le taux moyen de teneur en eau des 3 échantillons avec verres à couches,- calculer l’écart de taux entre la moyenne des 3 vitrages à couches et celle des trois vitrages sans

couches.- Vitrages à intercalaire organique :

- Déterminer le point de rosée de chacun des vitrages.

Modes opératoiresEssais sur constituants

PERMÉABILITÉ RELATIVE DU PLAN DE COLLAGE 1/2Essai

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Pvi 121vc0108/07/2004

Vi-Prescription technique générale

CklDcrPvi_VisPtgC28_00_t04g08_01.pdf DnnFprA02.01

VALEURS ET CRITÈRES D’ACCEPTATION- Vitrages à intercalaire tubulaire avec déshydratant :

- la teneur en eau initiale du vitrage doit être inférieure ou égale à 6% pour que l’essai puisse êtrepris en considération ;

- pour une teneur en eau finale inférieure à 1%, l’essai est réputé satisfaisant, sinon la reprise devapeur d’eau des verres à couches par rapport aux verres sans couche ne doit pas dépasser + 10% ;- Vitrages à intercalaire organique :

- la moyenne des points de rosée des échantillons doit être inférieure ou égale à -50°C et chaqueéchantillon ne doit pas s’écarter de +/- 5°C de la moyenne.

CONTENU DU RAPPORT D’ESSAILe rapport d'essais doit comporter les points suivants:- date de la fabrication de l'élément d’essai,- identification du produit et de ses composants,- date de l'essai,- expression des résultats.

Modes opératoiresEssais sur constituants

PERMÉABILITÉ RELATIVE DU PLAN DE COLLAGE 2/2Essai

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Pvi 121vc0108/07/2004

Vi-Prescription technique générale

CklDcrPvi_VisPtgC28_00_t04g08_02.pdf DnnFprA02.01

Les échantillons nécessaires aux essais correspondent à l’un des cas suivants, selon les indications quifigurent dans les Pvi 121vi02 à 10 qui prescrivent la réalisation des essais.

CONDITIONS DU PRÉLÈVEMENTLes vitrages sont prélevés sur chaîne, au cours de la visite, en présence de l’inspecteur, (sauf casparticulier).

Le nombre de côtés remplis de déshydratant doit refléter le mode opératoire de la plus grande partie de laproduction. Une éventuelle règle d’un remplissage 4 côtés en dessous d’une certaine dimension n’est pasapplicable.Si le centre de production ne fabrique jamais la composition prévue, il convient de prélever la composition laplus exigeante, c’est à dire celle qui se rapproche le plus de la composition de référence en termes d’effortdans les joints de scellement :Pour les centres qui n’utilisent jamais d’espaceur 16mm 4-15-4 350x470 mmPour les centres qui n’utilisent jamais de verre à couche 4mm 6-16-4 490x500 mm

NOMBRE, COMPOSITION, DIMENSIONS: DOUBLE VITRAGES

essai nombre mini. composition et ptg de vitrages répartition(*) (avec couche émargée dimensions

prélever en face 2 ou 3) (± 10 mm)-------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------56, 112, 168 ou 336 cycles avec UV (qualification) 121vi02série complète 14 6/4/2/2demi-série 8 3/2/2/1 4-16-4 350x500 mm

168 cycles sans UV (suivi) 121vi04série complète 14 6/4/2/2 4-16-4 350x500 mmdemi-série 8 3/2/2/1

14 ou 56 jours HH 121vi046 (14j) 3/2/0/1 4-16-4 350x500 mm1 (56j) 1/0/0/0

84 jours (85°C) sans UV (suivi) 121vi10demi-série 8 3/2/2/1 4-12-4 500x500 mm

(composants trempés ou à bords façonnés)

------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------Exception pour les vitrages de rénovation 6-10-4 350x500 mmException pour les vitrages extérieurs attachés (VEA) 8-15-6 750x750 mmException pour les vitrages à stores incorporés 4-27(ou 20)-4 500x600 mm

NOMBRE, COMPOSITION, DIMENSIONS: TRIPLE VITRAGES

nombre mini. composition(**)essai de vitrages à répartition(*) (avec couche émargée) dimensions

et ptg prélever (± 10 mm)-------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------56, 112, 168c ou 336 cycles avec UV (qualification) 121vi02demi-série 8 3/2/2/1 4-12-4-12-4 480x500 mm

ou 4-10-4-10-4 440x470 mm

TRI (suivi gaz) 121vi04 (possibilité de ne pas intégrer de verre à couche dans la composition)3 0/0/2/1 4-10-4-10-4 500x500 mm

ou 4-12-4-12-4 500x500 mm-------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

(*) Les quatre chiffres donnés indiquent successivement le nombre d’échantillons mis en essai, puis lenombre d’échantillons pris comme témoins puis le nombre d’échantillons pris pour les mesures de taux deremplissage gaz initial (TRI) et enfin le nombre d’échantillons gardés en réserve.NB: les mesures de taux de remplissage gaz résiduel (TRR) se font dans tous les cas sur 3 échantillons.

(**) Possibilité de placer le verre à couche en face 3 ou 4 pour contrôle avec un appareil non destructif avantexpédition des échantillons.

Modes opératoiresEssais sur vitrages

ÉCHANTILLONNAGENombre et dimensions des échantillons

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Pvi 121vi0120/01/2016

Vi-Prescription technique générale

CklDcrPvi_VisPtgC30_00_t16a20_02.pdf DnnFprA02.01

OBJETEssai de résistance à la pénétration de l’humidité après vieillissement climatique de 28 jours (56 cycles) ou56 jours (112 cycles) ou 84 jours (168 cycles) ou 112 jours (336 cycles), avec rayonnement UV.

RÉFÉRENCES DOCUMENTAIRESEx-norme NF P 78-451 du 20/07/1986

APPAREILLAGE/ÉQUIPEMENT1 enceinte haute humidité + 1 enceinte climat variable ou 1 seule enceinte combinant ces 2 caractéristiques.

Enceinte haute humidité :- température d’air : 56,5°C ± 1,5°C en tout point- humidité relative de l’air : 95% ± 5% en tout point- rayonnement UV (1)Les éprouvettes sont placées verticalement comme indiqué sur la figure 2, de telle façon que la distanceentre le centre des tubes UV et la face externe du vitrage exposé soit de 50 mm et que celui-ci soit parallèleà l’axe des tubes. Le bord des éprouvettes doit être totalement libre de se déformer et la distance entre lechant des vitrages doit être de l’ordre de 30 mm. Toutes les places disponibles dans l’enceinte doivent êtreoccupées.

Enceinte climat variable :- cycles de température entre -15°C ± 3°C et +56,5°C ± 1,5°C d’une durée de 6h comme décrit à la figure 1- maintien d’une humidité relative de 95% ± 5% pendant la période du cycle situé au-dessus de 5°C ± 3°C- brassage de l’air pour homogénéiser l’ambianceLes éprouvettes sont placées verticalement, leurs bords étant libres de se déformer. Un espace de 10 mm auminimum est réservé le long des bords des éprouvettes et un espace de 15 mm au minimum entre lesvitrages eux-mêmes.

(1) tubes à rayonnement UV placés en position horizontale et superposés verticalement sur un support detelle façon que l’entraxe entre les tubes soit de 50 mm (-0 ; +1). Ces tubes sont des tubes fluorescents enlumière noire non filtrée de puissance nominale de 38 à 40 W et dont la longueur d’onde se situe entre 320 et420 mm. Chaque tube doit être remplacé lorsque son intensité de rayonnement tombe en-dessous de 25W/m2 mesurée à l’aide d’une cellule sensible dans le rayonnement UV en contact direct avec le tube. Lesécrans de séparation sont constitués d’un matériau opaque de feuilles d’aluminium et sont disposés du côtéde la surface non exposée des vitrages (voir figures 2, 3 et 4).

ÉCHANTILLONNAGEVoir tableau d’échantillonnage (pvi 121vi01).Après confection, les éprouvettes sont stockées pendant le temps nécessaire à leur stabilisation qui estfonction des constituants du vitrage.

MODE OPERATOIRELe cycle unitaire en climat variable est le suivant (voir figure 1) :- passage de 20 °C à 55 °C en 45 min (pour le démarrage du premier cycle uniquement)- maintien à 55 °C pendant 2 h- passage de 55 °C à - 15 °C en 1h30- maintien à -15 °C pendant 1 h- passage de -15 °C à + 55 °C en 1h30

e-1) Cas des 28 jours (56 cycles) :- 14 jours en climat variable- 14 jours en haute humidité avec rayonnement UV

e-2) Cas des 56 jours (112 cycles) :- 14 jours en climat variable- 14 jours en haute humidité avec rayonnement UV- 14 jours en climat variable- 14 jours en haute humidité avec rayonnement UV

e-3) Cas des 84 jours (168 cycles) :- 14 jours en climat variable- 14 jours en haute humidité avec rayonnement UV- 14 jours en climat variable- 14 jours en haute humidité avec rayonnement UV- 14 jours en climat variable- 14 jours en haute humidité avec rayonnement UV

Modes opératoiresEssais sur vitrages

RÉSISTANCE À LA PÉNÉTRATION D’HUMIDITÉ APRÈS VIEILLISSEMENT CLIMATIQUE AVEC UV 1/2Essai

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Pvi 121vi0221/01/2014

Vi-Prescription technique générale

CklDcrPvi_VisPtgC31_00_t14a21_01.pdf DnnFprA02.01

e-4) Cas des 112 jours (336 cycles) :- 42 jours en climat variable- 14 jours en haute humidité avec rayonnement UV- 42 jours en climat variable- 14 jours en haute humidité avec rayonnement UV

Stocker à température ambiante les vitrages non destinés aux essais climatiques.Réduire au minimum les temps d'attente entre les phases d'essai selon la disponibilité des enceintes.En cas de casse accidentelle, et dans la mesure du possible, l'utilisation d'un vitrage de réserve impliqueque ce vitrage recommence un cycle complet.L’exposition aux UV se fait toujours sur la même face du vitrage.

ESSAIS- Mesure du point de rosée selon Pvi 122ms31, dans un délai de 3 à 7 jours après la fin du vieillissement.- Calcul de l’indice de pénétration d’humidité (indice I) selon Pvi 122cl41, 24h au minimum après la mesuredu point de rosée et dans un délai maximum de 10 jours après la fin du vieillissement.

EXPRESSION DES RÉSULTATS- Calculer l’indice moyen I des vitrages, l’écart type et, éventuellement, les incertitudes de mesure (sauf pourles vitrages avec espaceur dont le déshydratant est incorporé).- Relever les évolutions significatives, caractéristiques de l’état des vitrages, intervenues en cours d’essai(décollements, fluage butyl, etc.).

VALEURS ET CRITÈRES D’ACCEPTATIONSelon Pvi 012cr11

CONTENU DU RAPPORT D’ESSAI- Description du vitrage isolant et des constituants qui le composent (nature et épaisseur des composantsverriers, nature et épaisseur de la lame d'air ou de gaz, nature et référence des espaceurs et desaccessoires - équerres, éclisses -, mode de réalisation des angles, nature et localisation du déshydratant -1,2,3 ou 4 cotés, incorporés -, nature et référence des mastics en 1ère et 2ème barrière, nature et référencedu profilé d’adaptation éventuel et de tout autre particularité).Pour chaque vitrage, selon son cas :- la température du point de rosée avant et après essai- le teneur en eau initiale et finale du déshydratant- la valeur Tc du déshydratant, soit mesurée (teneur en eau initiale LOI + capacité d’adsorption d’humiditéAWAC) pour un nouveau déshydratant, soit prise comme valeur forfaitaire à 20%- l’indice de pénétration d’humidité- l’indice moyen de pénétration d’humidité, l’écart type et, éventuellement, les incertitudes de mesure

Modes opératoiresEssais sur vitrages

RÉSISTANCE À LA PÉNÉTRATION D’HUMIDITÉ APRÈS VIEILLISSEMENT CLIMATIQUE AVEC UV 2/2Essai

f-

g-

h-

i-

Pvi 121vi0221/01/2014

Vi-Prescription technique générale

CklDcrPvi_VisPtgC31_00_t14a21_02.pdf DnnFprA02.01

OBJETEssai de résistance à la pénétration de l’humidité après vieillissement climatique de 14 jours ou 84 jours (168cycles) sans rayonnement UV.

RÉFÉRENCES DOCUMENTAIRESEx-norme NF P 78-451 du 20/07/1986

APPAREILLAGE/ÉQUIPEMENT1 enceinte haute humidité + 1 enceinte climat variable ou 1 seule enceinte combinant ces 2 caractéristiques.

Enceinte haute humidité :- température d’air : 56,5°C ± 1,5°C en tout point- humidité relative de l’air : 95% ± 5% en tout pointLes éprouvettes sont placées verticalement. Le bord des éprouvettes doit être totalement libre de sedéformer et la distance entre le chant des vitrages doit être de l’ordre de 30 mm. Toutes les placesdisponibles dans l’enceinte doivent être occupées.

Enceinte climat variable :- cycles de température entre -15°C ± 3°C et +56,5°C ± 1,5°C d’une durée de 6h comme décrit à la figure 1- maintien d’une humidité relative de 95% ± 5% pendant la période du cycle situé au-dessus de 5°C ± 3°C- brassage de l’air pour homogénéiser l’ambianceLes éprouvettes sont placées verticalement, leurs bords étant libres de se déformer. Un espace de 10 mm auminimum est réservé le long des bords des éprouvettes et un espace de 15 mm au minimum entre lesvitrages eux-mêmes.

ÉCHANTILLONNAGEVoir tableau d’échantillonnage (pvi 121vi01).Après confection, les éprouvettes sont stockées pendant le temps nécessaire à leur stabilisation qui estfonction des constituants du vitrage.

MODE OPERATOIRELe cycle unitaire en climat variable est le suivant (voir figure 1) :- passage de 20 °C à 55 °C en 45 min (pour le démarrage du premier cycle uniquement)- maintien à 55 °C pendant 2 h- passage de 55 °C à - 15 °C en 1h30- maintien à -15 °C pendant 1 h- passage de -15 °C à + 55 °C en 1h30

e-1) Cas des 14 jours :14 jours en haute humidité sans rayonnement UV

e-2) Cas des 84 jours (168 cycles) :- 14 jours en climat variable- 14 jours en haute humidité sans rayonnement UV- 14 jours en climat variable- 14 jours en haute humidité sans rayonnement UV- 14 jours en climat variable- 14 jours en haute humidité sans rayonnement UV

Stocker à température ambiante les vitrages non destinés aux essais climatiques.Réduire au minimum les temps d'attente entre les phases d'essai selon la disponibilité des enceintes.En cas de casse accidentelle, et dans la mesure du possible, l'utilisation d'un vitrage de réserve impliqueque ce vitrage recommence un cycle complet.

Modes opératoiresEssais sur vitrages

RÉSISTANCE À LA PÉNÉTRATION D’HUMIDITÉ APRÈS VIEILLISSEMENT CLIMATIQUE SANS UV 1/2Essai

a-

b-

c-

d-

e-

Pvi 121vi0421/01/2014

Vi-Prescription technique générale

CklDcrPvi_VisPtgC33_00_t14a21_01.pdf DnnFprA02.01

ESSAIS- Mesure du point de rosée selon Pvi 122ms31, dans un délai de 3 à 7 jours après la fin du vieillissement.- Calcul de l’indice de pénétration d’humidité (indice I) selon Pvi 122cl41, 24h au minimum après la mesuredu point de rosée et dans un délai maximum de 10 jours après la fin du vieillissement.

EXPRESSION DES RÉSULTATS- Calculer l’indice moyen I des vitrages, l’écart type et, éventuellement, les incertitudes de mesure (sauf pourles vitrages avec espaceur dont le déshydratant est incorporé).- Relever les évolutions significatives, caractéristiques de l’état des vitrages, intervenues en cours d’essai(décollements, fluage butyl, etc.).

VALEURS ET CRITÈRES D’ACCEPTATIONSelon Pvi 012cr11

CONTENU DU RAPPORT D’ESSAI- Description du vitrage isolant et des constituants qui le composent (nature et épaisseur des composantsverriers, nature et épaisseur de la lame d'air ou de gaz, nature et référence des espaceurs et desaccessoires - équerres, éclisses -, mode de réalisation des angles, nature et localisation du déshydratant -1,2,3 ou 4 cotés, incorporés -, nature et référence des mastics en 1ère et 2ème barrière, nature et référencedu profilé d’adaptation éventuel et de tout autre particularité).Pour chaque vitrage, selon son cas :- la température du point de rosée avant et après essai- le teneur en eau initiale et finale du déshydratant- la valeur Tc du déshydratant, soit mesurée (teneur en eau initiale LOI + capacité d’adsorption d’humiditéAWAC) pour un nouveau déshydratant, soit prise comme valeur forfaitaire à 20%- l’indice de pénétration d’humidité- l’indice moyen de pénétration d’humidité, l’écart type et, éventuellement, les incertitudes de mesure

Modes opératoiresEssais sur vitrages

RÉSISTANCE À LA PÉNÉTRATION D’HUMIDITÉ APRÈS VIEILLISSEMENT CLIMATIQUE SANS UV 2/2Essai

f-

g-

h-

i-

Pvi 121vi0421/01/2014

Vi-Prescription technique générale

CklDcrPvi_VisPtgC33_00_t14a21_02.pdf DnnFprA02.01

OBJETDéterminer la perméabilité au gaz d’un vitrage isolant à l’état initial et après vieillissement climatique

RÉFÉRENCES DOCUMENTAIRESNorme EN 1279-3

APPAREILLAGE/ÉQUIPEMENT- enceinte pour vitrage- chromatographe à phase gazeuse- seringue à gaz- bac à eau distillée

ÉCHANTILLONNAGE6 vitrages de (502 x 352) mm +/-2 mmcomposition 4+12+4 mm ou d’espace au plus près de 12 mm

CONDITIONS SPÉCIFIQUES- Déterminer pour chaque vitrage, le volume de gaz en mesurant la surface de clair de jour et l’épaisseur del’espace interne (moyenne de la valeur au milieu de chaque côté),- Soumettre 4 vitrages à l’essai climatique selon la ptg 12.1.vi.0.8, limité à 28 cycles de climat variable suivide 672 +/- 2 h en climat constant,- Déterminer la fuite de gaz et la teneur en air résiduel et/ou la composition gazeuse résiduelle sur au moins2 vitrages, selon la méthodologie de la EN 1279-3.

EXPRESSION DES RÉSULTATSPour chacun des 2 vitrages, calculer le taux de fuite du gazet donner, en %, la composition du gaz

VALEURS ET CRITÈRES D’ACCEPTATIONAprès vieillissement climatique, le taux de fuite du gaz doit être, au plus, de 1,0 % en volume par an.

CONTENU DU RAPPORT D’ESSAILe rapport d'essais doit comporter les points suivants:- date de la fabrication de l'élément d’essai,- identification du produit et de ses composants,- date de l'essai,- expression des résultats.

Modes opératoiresEssais sur constituants

PERMÉABILITÉ AU GAZ (EN 1279-3)Essai

a.-

b.-

c.-

d.-

e.-

f.-

g.-

h.-

modif.modalité

essai

modif. réfnorme

modif.critère

Pvi 121vi0608/07/2004

Vi-Prescription technique générale

CklDcrPvi_VisPtgC35_00_t04g08_00.pdf DnnFprA02.01

OBJETDéterminer l'étanchéité au gaz d'un vitrage isolant en mesurant sa teneur en gaz à I'état initial et aprèsl'essai de vieillissement climatique

RÉFÉRENCES DOCUMENTAIRESProcédure CEBTP

APPAREILLAGE/ÉQUIPEMENT- chromatographe à gaz- seringue à gaz- appareil de mesure non destructif de la concentration en gaz

ÉCHANTILLONNAGEVoir Pvi 121vi01

CONDITIONS SPÉCIFIQUESConditionnement des échantillons à l’ambiance du laboratoire pendant le temps nécessaire pour atteindre aumoins 21 jours après fabrication.Pour les essais de qualification, le taux de remplissage gaz initial de tous les échantillons de la série estvérifié avec un appareil de mesure non destructif.La série est considérée comme recevable uniquement si le taux de remplissage gaz de tous les échantillonsest supérieur au taux nominal réduit de 5 points.Si la série n’est pas recevable, l’OMV contacte le centre qui pourra décider d’interrompre les essais ouchanger le taux nominal visé.

Les échantillons de la série sont ensuite séparés comme suit :- 2 échantillons pour la mesure des teneurs en air et en gaz à l'état initial (témoins),- 3 échantillons pour les essais de vieillissement climatique selon la ptg 121vi02, puis mesures des teneursen air et en gaz résiduel,- 1 échantillon en réserve.

EXPRESSION DES RÉSULTATSLes mesures faites portent sur la détermination de la teneur en air et/ou de la composition gazeuse del'espace isolant des vitrages témoins et de ceux soumis à essai de vieillissement climatique.Les valeurs sont exprimées en % du volume gazeux arrondie au plus près à 0,1.De ces mesures on détermine le taux de remplissage en gaz des vitrages à l'état initial et à l'état final.

VALEURS ET CRITÈRES D’ACCEPTATION- qualification à 85% : voir Pvi 012ct31- qualification à 90% : voir Pvi 012ct32- qualification à 95% : voir Pvi 012ct33

CONTENU DU RAPPORT D’ESSAILe rapport d'essai doit comporter les points suivants:- date de la fabrication des vitrages,- identification du produit et de ses composants,- date de l'essai,- expression des résultats (teneur en air en %, en gaz en % et composition gazeuse en %).

Modes opératoiresEssais sur constituants

ÉTANCHÉITÉ AU GAZPar mesure des taux de remplissage avant et après essai climatique

a.-

b.-

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d.-

e.-

f.-

g.-

h.-

Pvi 121vi0704/07/2012

Vi-Prescription technique générale

CklDcrPvi_VisPtgC36_00_t12g04_02.pdf DnnFprA02.01

OBJETEssai de résistance à la pénétration de l’humidité

RÉFÉRENCES DOCUMENTAIRESEN 1279-2

APPAREILLAGE/ÉQUIPEMENT- enceinte à climat variable chaud-froid-humidité (CFH)

ÉCHANTILLONNAGEPrélever 15 échantillons :- dimension 352 +/- 2 mm par 502 +/-2 mm,- lame d’air 12 mm ou le plus proche de 12 mm,- verres float clairs : 4 mm d’épaisseur- isolant : air ou gaz

CONDITIONS SPÉCIFIQUESSélection des échantillons :- déterminer le point de rosée des 15 échantillons prélevés puis les numéroter par ordre décroissant devaleur de point de rosée,- affectation des échantillons prélevés :

n° 7, 8, 9 et 10 : teneur en eau du déshydratant à l’initial,n° 4, 5, 6,11 et 12 : essai climatique avec mesure de la teneur en eau du

déshydratant à l’état final,n° 2, 3, 13 et 14 : vitrage en réserve en cas de remplacement de casse en cours

d’essai climatique,n° 1 et 15 : vitrage non retenu pour les essais (leur déshydratant peut être

utilisé pour la détermination de la capacité d’adsorption devapeur d’eau)

Appliquer la méthodologie de l’essai décrit dans la EN 1279-2, avec les conditions suivantes :a) organisation des cycles climatiques :

- le cycle unitaire en climat variable est le suivant:passage de 18 °C à 53,0 °C en 2 h 30 +/-1 mn (pour le démarrage du premier

cycle uniquement),maintien à 53,0 +/-1,0 °C pendant 1 h +/-1 mn,passage de 53 °C à - 18 °C en 5 h +/-1 mn,maintien à -18 +/-1,0 °C pendant 1 h +/-1 mn,passage de -18 °C à + 53 °C en 5 h +/-1 mn,humidité : >= 95% HR dans la partie chaude (> 20° C) des cyclesnb. de cycles : 56

- climat constant :température : 58°C +/-0,5°Chumidité : >= 95% HRdurée : 1176 +/- 4 h.

b) conditionnement préalable- Après confection, stocker les vitrages à température ambiante pendant le temps

nécessaire à leur stabilisation qui est fonction de leurs constituants,

Modes opératoiresEssais sur constituants

RÉSISTANCE À LA PÉNÉTRATION DE L’HUMIDITÉ (EN 1279-2) 1/2Essai

a.-

b.-

c.-

d.-

e.-

Pvi 121vi0808/07/2004

Vi-Prescription technique générale

CklDcrPvi_VisPtgC37_00_t04g08_01.pdf DnnFprA02.01

c) essais- démarrer les essais:- au plus tôt 15 jours après fabrication pour les vitrages à mastic de scellement

bicomposant ou thermoplastique- au plus tôt 3 semaines pour les vitrages à mastic de scellement monocomposant,- stocker à température ambiante les vitrages non destinés aux essais climatiques,- réduire au minimum les temps d'attente entre les phases d'essai selon la disponibilité

des enceintes,- en cas de casse accidentelle l'utilisation d'un vitrage de réserve implique que ce vitrage

recommence un cycle complet (en aucun cas il n'est incorporé dans la phase d'essai suivant le moment de l'incident),

- après essai climatique laisser les échantillons 15 jours dans les conditions normalisées de laboratoired) pour les vitrages avec déshydratant : mesure de la teneur en eau finale du déshydratant (appliquer la EN1279) ou, pour les vitrages sans déshydratant : mesure du point de rosée final.

EXPRESSION DES RÉSULTATSa) pour les vitrages avec déshydratant :

- calculer la moyenne de la teneur en eau initiale et son écart-type,- si besoin, calculer la moyenne de la capacité d’adsorption du déshydratant,- calculer l’indice I de pénétration de chaque vitrage,- calculer l’indice moyen I des vitrages sur au moins 5 échantillons ainsi que l’écart-type

correspondant,- relever les évolutions de l’état des vitrages intervenues en cours d’essai ;

b) pour les vitrages qui n’ont pas de déshydratant :- déterminer le point de rosée final de chaque vitrage;- déduire des températures de point de rosée initiale et finale la pression partielle de vapeur

d’eau correspondante,- calculer l’indice I de pénétration de chaque vitrage,- calculer l’indice moyen I des vitrages sur au moins 5 échantillons ainsi que l’écart-type

correspondant,c) relever les évolutions de l’état des vitrages intervenues en cours d’essai.

VALEURS ET CRITÈRES D’ACCEPTATIONL'indice de pénétration moyen après essai climatique doit être intérieur ou égal à 0,20 et aucune valeurindividuelle ne doit dépasser 0,25.

CONTENU DU RAPPORT D’ESSAI- Description du vitrage isolant et des constituants qui le composent (nature et épaisseur des composantsverriers, nature et épaisseur de la lame d'air ou de gaz, nature et géométrie des intercalaires ou espaceurs,mode de réalisation des angles, nature, localisation du déshydratant et quantité de déshydratant, nature ethauteur des mastics en 1ère et 2ème barrière), nature et définition du profilé d’adaptation éventuel et de toutautre particularité.- Pour chaque vitrage, selon son cas, :

- la température du point de rosée avant essai,- la teneur en vapeur d’eau initiale et finale du déshydratant ou la pression partielle de

vapeur d’eau correspondant aux points de rosée,- la capacité d'absorption du déshydratant soit mesurée, soit prise comme valeur forfaitaire,- l’indice de pénétration,- l’indice moyen de pénétration moyen et l’écart-type.

Modes opératoiresEssais sur constituants

RÉSISTANCE À LA PÉNÉTRATION DE L’HUMIDITÉ (EN 1279-2) 2/2Essai

f.-

g-

h-

Pvi 121vi0808/07/2004

Vi-Prescription technique générale

CklDcrPvi_VisPtgC37_00_t04g08_02.pdf DnnFprA02.01

OBJETDétection de la présence de produits volatils

RÉFÉRENCÉS DOCUMENTAIRESNorme EN 1279-6 annexe C)

APPAREILLAGE/ÉQUIPEMENT- support permettant l’installation de 4 vitrages- lampe UV à vapeur de mercure de rayonnement 2.000 µW/cm2- appareil de contrôle de rayonnement UV- bobine de refroidissement à eau

ÉCHANTILLONNAGE1 vitrage de 350 x 500 (± 10 mm)

CONDITIONS SPÉCIFIQUESInsolation d’un angle du vitrage isolant (r = 6 cm) sur sa face avantMise en place de la bobine de refroidissement plaquée au centre de la paroi arrière du vitrage isolantDistance de la lampe au vitrage telle que la température, dans l’angle du vitrage, soit de 60 ± 3°CDurée de l’exposition : 7 jours.

EXPRESSION DES RÉSULTATSObservation visuelle de la présence ou de l’absence de condensat sur la face interne, refroidie, du virageisolant

VALEURS ET CRITÈRES D’ACCEPTATIONAucune condensation visible

CONTENU DU RAPPORT D’ESSAI- date de la fourniture de l'élément d'essai,- identification des produits et ses composants- date de l'essai,- expression des résultats.

Modes opératoiresEssais sur constituants

DÉTECTION DES CONDENSATS (EN 1279-6 ANNEXE C)Essai

a.-

b.-

c.-

d.-

e.-

f.-

g-

h-

Pvi 121vi0908/07/2004

Vi-Prescription technique générale

CklDcrPvi_VisPtgC38_00_t04g08_00.pdf DnnFprA02.01

OBJETEssai de résistance à la pénétration de l’humidité après vieillissement climatique de 84 jours sansrayonnement UV.

RÉFÉRENCES DOCUMENTAIRES

APPAREILLAGE/ÉQUIPEMENT1 enceinte climat variable :- cycles de température entre -15°C ± 3°C et +83,5°C ± 1,5°C- maintien d’une humidité relative de 32,5% ± 2,5% durant les phases de haute température- brassage de l’air pour homogénéiser l’ambianceLes éprouvettes sont placées verticalement, leurs bords étant libres de se déformer. Un espace de 10 mm auminimum est réservé le long des bords des éprouvettes et un espace de 15 mm au minimum entre lesvitrages eux-mêmes.

ÉCHANTILLONNAGEVoir tableau d’échantillonnage (pvi 121vi01).Après confection, les éprouvettes sont stockées pendant le temps nécessaire à leur stabilisation qui estfonction des constituants du vitrage.

MODE OPERATOIRELe cycle unitaire dure 6h et se décompose comme suit :- maintien à -15°C pendant 1h- passage de -15°C à +85°C en 2h- maintien à +85°C pendant 1 h- passage de +85°C à -15 °C en 2h

Le programme complet de vieillissement est le suivant :- 14 jours en climat variable (56 cycles)- 14 jours en haute température (85°C)Ces 2 phases sont réalisées consécutivement 3 fois.

Stocker à température ambiante les vitrages non destinés aux essais climatiques.Réduire au minimum les temps d'attente entre les phases d'essai sont selon la disponibilité des enceintes.En cas de casse accidentelle, et dans la mesure du possible, l'utilisation d'un vitrage de réserve impliqueque ce vitrage recommence un cycle complet.

ESSAIS- Mesure du point de rosée selon Pvi 122ms31, dans un délai de 3 à 7 jours après la fin du vieillissement.- Calcul de l’indice de pénétration d’humidité (indice I) selon Pvi 122cl41, 24h au minimum après la mesuredu point de rosée et dans un délai maximum de 10 jours après la fin du vieillissement.

EXPRESSION DES RÉSULTATS- Calculer l’indice moyen I des vitrages, l’écart type et, éventuellement, les incertitudes de mesure (sauf pourles vitrages avec espaceur dont le déshydratant est incorporé).- Relever les évolutions significatives, caractéristiques de l’état des vitrages, intervenues en cours d’essai(décollements, fluage butyl, etc.).

VALEURS ET CRITÈRES D’ACCEPTATIONSelon Pvi 012cr11

CONTENU DU RAPPORT D’ESSAI- Description du vitrage isolant et des constituants qui le composent (nature et épaisseur des composantsverriers, nature et épaisseur de la lame d'air ou de gaz, nature et référence des espaceurs et desaccessoires - équerres, éclisses -, mode de réalisation des angles, nature et localisation du déshydratant -1,2,3 ou 4 cotés, incorporés -, nature et référence des mastics en 1ère et 2ème barrière, nature et référencedu profilé d’adaptation éventuel et de tout autre particularité).Pour chaque vitrage, selon son cas :- la température du point de rosée avant et après essai- le teneur en eau initiale et finale du déshydratant- la valeur Tc du déshydratant, soit mesurée (teneur en eau initiale LOI + capacité d’adsorption d’humiditéAWAC) pour un nouveau déshydratant, soit prise comme valeur forfaitaire à 20%- l’indice de pénétration d’humidité- l’indice moyen de pénétration d’humidité, l’écart type et, éventuellement, les incertitudes de mesure

Modes opératoiresEssais sur vitrages

RÉSISTANCE À LA PÉNÉTRATION D’HUMIDITÉ APRÈS VIEILLISSEMENT CLIMATIQUE (85°C)Essai

a-

b-

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i-

Pvi 121vi1008/07/2014

Vi-Prescription technique générale

CklDcrPvi_VisPtgC64_00_t14g08_01.pdf DnnFprA02.01

Préambule

Les OMV réalisent les mesures de taux de remplissage gaz exigées par chromatographie.

S’agissant d’un contrôle destructif, on ne connaît pas pour le même vitrage le TRI (taux de remplissageinitial) et le TRR (taux de remplissage résiduel). En cas de TRR non conforme, il n’est pas possible de dire sile résultat est dû à un TRI faible et/ou à une fuite de gaz importante lors du vieillissement climatique.

D’autre part, les centres effectuent leurs propres mesures de taux de remplissage au moyen d’un appareil decontrôle non destructif ou d’un oxymètre. Il n’est pas possible de rapprocher ces résultats avec ceux obtenuspar l’OMV par chromatographie.

Enfin, les délais de transmission des TRR (et dans une moindre mesure des TRI) ne permettent pas auxcentres de production de gagner en réactivité sur de potentielles non-conformités de taux de gaz.

Il est souhaitable de tirer parti des essais de la certification pour dépasser ces limites, et davantagecontribuer à l’amélioration de la qualité des vitrages isolants.

Procédure

1. Au moment de la fabrication, l’OMV identifie les vitrages de façon individuelle.Nota: si le centre ne dispose pas d’appareil de mesure non destructif, il fabrique 3 vitrages supplémentaires.

2. Avant expédition, le centre mesure tous les vitrages avec son appareil de mesure non destructif(5 mesures : 1 à chaque angle et 1 au centre), et enregistre les résultats sur une fiche jointe à l’expédition.Nota: si le centre ne dispose pas d’appareil de mesure non destructif, il mesure les 3 vitrages supplémen-taires à l’oxymètre.

3. A réception des vitrages, l’OMV mesure tous les vitrages avec son appareil de mesure non destructif,enregistre les résultats sur la même fiche, et retourne celle-ci au centre avec copie à Cekal.

4. Après réception de la fiche, le centre dispose de 48H pour arrêter les essais s’il le juge nécessaire.

5. Si les échantillons prélevés ne sont pas envoyés à l’OMV, ou si le centre décide d’arrêter les essais,il convient d’informer Cekal. Les essais seront considérés comme non conformes (sauf cas particulier),avec la décision correspondante du comité de certification.

Notes :

Les mesures réalisées par l’OMV ne constituent en aucun cas un étalonnage de l’appareil de mesure nondestructif ; elles sont à considérer comme indicatives ou informatives.

La présente procédure est sans effet sur le processus de décision de CEKAL ; les mesures de TRI et deTRR mesurées par chromatographie font foi.

Modes opératoiresEssais sur constituants

CONTRÔLES GAZ NON DESTRUCTIFS À RÉCEPTION DES ÉCHANTILLONS AU LABORATOIREContrôles croisés

a.-

b.-

c.-

Pvi 121vi1108/07/2014

Vi-Prescription technique générale

CklDcrPvi_VisPtgC63_00_t14g08_00.pdf DnnFprA02.01

Article 2. Relatif aux mesures sur matériaux

Modes opératoiresCaractérisation des matériaux

ARTICLE 2. RELATIF AUX MESURES SUR MATÉRIAUX

Pvi 122aa0025/01/2018

Vi-Prescription technique générale

CklDcrPvi_VisPtgC45_00_t18a25_00.pdf DnnFprA02.01

OBJETIdentifier un mastic par sa courbe de perte de poids en fonction de la température

RÉFÉRENCES DOCUMENTAIRES/

APPAREILLAGE/ÉQUIPEMENT- thermo-balance

ÉCHANTILLONNAGE- Produits “frais” :

- mastic monocomposant : 500 g- mastic bicomposant : 500 g de base + quantité de catalyseur, prescrits par le fournisseur du

mastic, nécessaire à la polymérisation- Produits réticulés :

- 5 à 10 g de produit à soumettre au test

CONDITIONS SPÉCIFIQUES- suivre le mode d’emploi de la thermo-balance

EXPRESSION DES RÉSULTATS- Courbe de perte de poids en % par rapport au poids initial de l’échantillon en fonction de l’élévation detempérature

VALEURS ET CRITÈRES D’ACCEPTATIONAucune valeur particulière n’est requise.

CONTENU DU RAPPORT D’ANALYSE- identité du produit,- conditions d’obtention de l’échantillon,- identité du matériel de mesure,- expression des résultats.

Modes opératoiresEssais de base

ANALYSE THERMOGRAVIMÉTRIQUEAnalyse

a.-

b.-

c.-

d.-

e.-

f.-

g-

h-

Pvi 122an2111/10/2001

Vi-Prescription technique générale

CklDcrPvi_VisPtgC41_00_t01j11_00.pdf DnnFprA02.01

OBJETIdentifier un mastic par sa composition moléculaire

RÉFÉRENCES DOCUMENTAIRESISO 7111

APPAREILLAGE/ÉQUIPEMENT- spectromètre

ÉCHANTILLONNAGE- Produits “frais” :

- mastic monocomposant : 500 g- mastic bicomposant : 500 g de base + quantité de catalyseur, prescrit par le fournisseur du mastic,

nécessaire à la polymérisation- Produits réticulés :

- 5 à 10 g de produit à soumettre au test

CONDITIONS SPÉCIFIQUES- suivre le mode d’emploi du spectromètre

EXPRESSION DES RÉSULTATS- Courbe

VALEURS ET CRITÈRES D’ACCEPTATIONAucune valeur particulière n’est requise.

CONTENU DU RAPPORT D’ANALYSE- identité du produit,- conditions d’obtention de l’échantillon,- identité du matériel de mesure,- expression des résultats.

Modes opératoiresEssais de base

SPECTROMÉTRIE INFRAROUGEAnalyse

a.-

b.-

c.-

d.-

e.-

f.-

g-

h-

Pvi 122an2211/10/2001

Vi-Prescription technique générale

CklDcrPvi_VisPtgC42_00_t01j11_00.pdf DnnFprA02.01

OBJETDétermination de l’indice de pénétration d’humidité du déshydratant

RÉFÉRENCES DOCUMENTAIRESNorme EN 1279-2

APPAREILLAGE/ÉQUIPEMENT- four- creusets- balance de précision à 0,001g- étuve- coupelles en verre

ÉCHANTILLONNAGESelon pvi 122ds11 et 122ds12.

CONDITIONS SPÉCIFIQUES- la pesée des échantillons après prise doit intervenir dans le délai le plus court possible- les mesures de teneur en eau se feront, de préférence, par séchage à 540 ± 30°C- la valeur de Tc (capacité d’absorption à saturation) peut être déterminée spécifiquement ou prise commevaleur conventionnelle à 20%- la valeur de Tc déterminée est égale à la capacité d’absorption à 10%HR (pvi 122ds11) + la teneur enhumidité déterminée à 540°C (pvi 122ds12), (Tc=AWAC+LOI)

EXPRESSION DES RÉSULTATSCalculer la valeur de l’indice de pénétration d’humidité exprimée en valeur décimale avec 3 chiffressignificatifs après la virgule.

VALEURS ET CRITÈRES D’ACCEPTATIONSe référer aux ptg pour lesquelles ces mesures sont faites.

CONTENU DU RAPPORT DE MESURE- description du vitrage isolant et des constituants qui le compose (composition, dimensions et épaisseurs,nature de la lame isolante...)- indiquer, selon que le déshydratant est contenu ou non dans un mastic, la méthode de mesure qui a étéappliquée- donner la valeur de l’indice de pénétration correspondant à chaque prise d’échantillon- indiquer la valeur de Tc prise comme référence et préciser s’il s’agit d’une valeur conventionnelle ou d’unevaleur déterminée spécifiquement

Modes opératoiresMéthode d’exploitation

INDICE DE PÉNÉTRATION DE L’HUMIDITÉCalcul

a.-

b.-

c.-

d.-

e.-

f.-

g-

h-

Pvi 122Cl4120/01/2016

Vi-Prescription technique générale

CklDcrPvi_VisPtgC44_00_t16a20_00.pdf DnnFprA02.01

OBJETDétermination de la capacité d’absorption d’humidité à 10 %HR, appelée AWAC (Available Water AbsorptionCapacity)

RÉFÉRENCES DOCUMENTAIRESNorme EN 1279-2 annexe B4 pour les modalités d’essais

APPAREILLAGE/ÉQUIPEMENT- creusets de 45mm de diamètre et 35mm de hauteur- balance de précision à ± 0,001g- dessiccateur de 10L environ, contenant une solution sur-saturée de KOH (avec agitateur magnétique)permettant d’obtenir 10% HR(3 creusets max par dessicateur)- laboratoire régulé à 23°C ± 2°C et 50 ± 5% HR

ÉCHANTILLONNAGEenviron 1 g de déshydratant

CONDITIONS SPÉCIFIQUES- dessiccateur à 10% HR au lieu de 32% HR

EXPRESSION DES RÉSULTATSCapacité d’absorption d’humidité : AWAC = (m2-m1) / (m1-m0) x 100

m1: masse du creuset + couvercle + déshydratant à l’état initialm2: masse du creuset + couvercle + déshydratant saturém0: masse du creuset + couvercle (sans le déshydratant)

VALEURS ET CRITÈRES D’ACCEPTATIONMinimum 16%

CONTENU DU RAPPORT D’ESSAI- date de la fourniture de l'élément d'essai,- identification du déshydratant,- date de l'essai,- expression des résultats

Modes opératoiresEssais sur constituants

DÉSHYDRATANT : CAPACITÉ D’ABSORPTION D’HUMIDITÉ À 10 %HREssai sur déshydratant

a.-

b.-

c.-

d.-

e.-

f.-

g.-

h.-

Pvi 122ds1104/07/2012

Vi-Prescription technique générale

CklDcrPvi_VisPtgC05_00_t12g04_00.pdf DnnFprA02.01

OBJETDétermination de la teneur en humidité, appelée LOI (Loss On Ignition)

RÉFÉRENCES DOCUMENTAIRESNorme EN 1279-2 annexe B3 pour les modalités d’essais

APPAREILLAGE/ÉQUIPEMENT- four permettant d’obtenir 540°C ± 30 °C- creusets- balance de précision à ± 0,001g- laboratoire régulé à 23°C ± 2°C et 50 ± 5% HR- récipient étanche à ambiance sèche

ÉCHANTILLONNAGE20 à 30 g de déshydratant

CONDITIONS SPÉCIFIQUES- four à 540°C ± 30 °C au lieu de 950°C ± 50 °C- en sortie de four, placer immédiatement le creuset dans le récipient étanche à ambiance sèche pour éviterla reprise d’humidité pendant le refroidissement

EXPRESSION DES RÉSULTATSTeneur en humidité : LOI = (m1-m2) / (m2-m0) x 100

m1: masse du creuset + couvercle + déshydratant à l’état initialm2: masse du creuset + couvercle + déshydratant séchém0: masse du creuset + couvercle (sans le déshydratant)

VALEURS ET CRITÈRES D’ACCEPTATION≤ 2% pour la qualification et le suivi extérieur, ≤ 3% pour le suivi en contrôle de production

CONTENU DU RAPPORT D’ESSAI- date de la fourniture de l'élément d'essai,- identification du déshydratant,- date de l'essai,- expression des résultats

Modes opératoiresEssais sur constituants

DÉSHYDRATANT : TENEUR EN HUMIDITÉEssai sur déshydratant

a.-

b.-

c.-

d.-

e.-

f.-

g.-

h.-

Pvi 122ds1204/07/2012

Vi-Prescription technique générale

CklDcrPvi_VisPtgC06_00_t12g04_00.pdf DnnFprA02.01

OBJETDétermination de la température du point de rosée d’un vitrage isolant en contrôle de production (horsprocédés IM et EO, se reporter aux DTA correspondants pour les températures et les délais avant mesures).

RÉFÉRENCES DOCUMENTAIRESNorme annulée P 78-452 du 20/07/1986

APPAREILLAGE / ÉQUIPEMENT- appareil type D-100 (Dennis Industries ou équivalent)- thermomètre vérifié (selon Pvi 123em05), d’une précision de 1°C, descendant à -65°C minimum- carboglace- alcool type éthanol ou produit équivalent

ÉCHANTILLONNAGESe reporter à la Pvi 121vi01

CONDITIONS SPÉCIFIQUES- Conditions environnementales :15 à 30 °C ; ambiance adaptée à l’observation

- Mesure (3 à 7 jours après fabrication du VI et 1 à 7 jours après vieillissement)à effectuer en zone centrale des vitrages sur le verre le plus clair et le moins épais, le contact doit être total(sans air) entre le verre et l’appareil, l’utilisation de l’alcool est nécessaire.

METHODEPour chaque échantillon retenu :

1- positionner le réglage de l‘appareil à -60°C (-10 ; +0)2- mettre en place le vitrage sur le support puis attendre 5 minutes3- enlever le vitrage du support pour examiner la surface intérieure du verre, à la lumière, partransparence4- constater la présence ou non d’un point de rosée :

4a- si RAS, alors point de rosée < -60°C4b- si oui, enregistrer le résultat comme non conforme >-60°C et mener un plan d’action adapté

EXPRESSION DES RÉSULTATS

- < -60°C : conforme ou > -60°C : non conforme avec action corrective

- aspect de la réaction dans le vitrage : état liquide ou solide (glace)

VALEURS ET CRITÈRES D’ACCEPTATIONSe reporter à la Pvi 012cr11

Modes opératoiresCaractérisation des matériaux

TEMPÉRATURE DU POINT DE ROSÉEMesure pour les centres de production

a.-

b.-

c.-

d.-

e.-

f.-

g.-

h.-

Pvi 122ms3125/01/2018

Vi-Prescription technique générale

CklDcrPvi_VisPtgC46_00_t18a25_00.pdf DnnFprA02.01

OBJETDétermination de la température du point de rosée d’un vitrage isolant (hors procédés IM et EO) enlaboratoire

RÉFÉRENCES DOCUMENTAIRESNorme annulée P 78-452 du 20/07/1986 et EN 1259-2 annexe A

APPAREILLAGE / ÉQUIPEMENT- appareil D-100 (Dennis Industries) ou équivalent (avec validation de méthode), avec système de fixationverticale si nécessaire pour les essais en vertical (en connaître la surface de contact)- chaîne de mesure de température raccordée COFRAC ou équivalent, d’une précision de 1°C, d’uneincertitude élargie de ± 1 °C, descendant à -62°C minimum- masse à forte inertie adaptée au D100- système d’éclairage à lumière froide- carboglace- alcool type éthanol ou acétone ou produit équivalent ayant une température de fusion < -80

ÉCHANTILLONNAGEVitrages essais suivant Pvi 121vi01

CONDITIONS SPÉCIFIQUES- Conditions environnementales23 ± 2°C ; ambiance adaptée à l’observation sous lumière froide

- Mesureà effectuer en zone centrale des vitrages sur le verre le plus clair et le moins épais, le contact doit etre total(sans air) entre le verre et l’appareil, l’utilisation de l’alcool ou autre produit restant à l’état liquide à -80 °C estnécessaire.

METHODEPour chaque échantillon retenu :

1- positionner le réglage de l‘appareil à -60°C (-2 ; +0)2- constater la présence ou non d’un point de rosée (en attendant 5 minutes après mise en place du vitrage)

2a- si RAS, alors point de rosée < -60°C, passer au vitrage suivant et reprendre en 1 avec unnouveau vitrage

2b- si oui, en utilisant le système de réglage de l’appareil ainsi qu’une masse à forte inertie pourréchauffer la surface de contact, retirer le vitrage et remonter vers -40°C3- à cette nouvelle température, repositionner le vitrage et constater ou non la présence d’un point de rosée(après 5 minutes d’attente)4- relever l’apparition ou non d’un point de rosée, si présence, alors > -40°C sinon -60°C < x < -40°C

EXPRESSION DES RÉSULTATS- plage de température à laquelle se forme la première condensation sur la surface interne du vitrage àl'endroit refroidi- aspect de la réaction dans le vitrage : état liquide, solide (glace) ou absence de point de rosée

VALEURS ET CRITÈRES D’ACCEPTATIONPas de critère d’acceptabilité

CONTENU DU RAPPORT DE MESURE- description du vitrage isolant et des constituants qui le composent (composition, dimensions, épaisseur,nature de la lame isolante, ...)- référence de l’appareillage de mesure utilisé- plage de température à l’apparition éventuelle du point de rosée -60°C < x < -40°C ou > -40°Csinon < -60°C- aspect du condensat si apparition

Modes opératoiresCaractérisation des matériaux

TEMPÉRATURE DU POINT DE ROSÉE (HORS PROCÉDÉS IM ET EO)Mesure pour les OMV

a.-

b.-

c.-

d.-

e.-

f.-

g.-

h.-

i.-

Pvi 122ms31108/07/2015

Vi-Prescription technique générale

CklDcrPvi_VisPtgC47_00_t15g08_00.pdf DnnFprA02.01

OBJETDétermination de la température du point de rosée d’un vitrage isolant (procédés IM et EO) en laboratoire

RÉFÉRENCES DOCUMENTAIRESNorme annulée P 78-452 du 20/07/1986 et EN 1259-2 annexe A

APPAREILLAGE/ÉQUIPEMENT- appareil D-100 (Dennis Industries) ou équivalent (avec validation de méthode), avec système de fixationverticale si nécessaire pour les essais en vertical (en connaître la surface de contact)- chaîne de mesure de température raccordée COFRAC ou équivalent, d’une précision de 1°C, d’uneincertitude élargie de ± 1 °C, descendant à -62°C minimum- masse à forte inertie adaptée au D100- système d’éclairage à lumière froide- carboglace- alcool type éthanol ou acétone ou produit équivalent ayant une température de fusion < -80

ÉCHANTILLONNAGEVitrages essais suivant Pvi 121vi01

CONDITIONS SPÉCIFIQUES- Conditions environnementales23 ± 2°C ; ambiance adaptée à l’observation sous lumière froide

- Mesureà effectuer en zone centrale des vitrages sur le verre le plus clair et le moins épais, le contact doit etre total(sans air) entre le verre et l’appareil, l’utilisation de l’alcool ou autre produit restant à l’état liquide à -80 °C estnécessaire.

METHODEpour chaque échantillon retenu :

1- positionner le réglage de l‘appareil à -60°C (-2 ; +0)2- constater la présence ou non d’un point de rosée (en attendant 5 minutes après mise en place du vitrage)

2a- si RAS, alors point de rosée < -60°C, passer au vitrage suivant et reprendre en 1 avec unnouveau vitrage

2b- si oui, en utilisant le système de réglage de l’appareil ainsi qu’une masse à forte inertie pourréchauffer la surface de contact, retirer le vitrage et remonter à -55°C.3- à cette nouvelle température, repositionner le vitrage et constater ou non la présence d’un point de rosée(après 5 minutes d’attente)4- relever la plage de température de formation ou non du point de rosée :si présence alors > -55°C sinon rechercher la température exacte (± 1°C) de formation du point de roséejusqu’à -60°C

EXPRESSION DES RÉSULTATS- température à laquelle se forme la première condensation sur la surface interne du vitrage à l'endroit refroidisi tel est le cas sinon < -60°C- aspect de la réaction dans le vitrage : état liquide, solide (glace) ou absence de point de rosée

VALEURS ET CRITÈRES D’ACCEPTATIONSe reporter à la Pvi 012cr11

CONTENU DU RAPPORT DE MESURE- description du vitrage isolant et des constituants qui le composent (composition, dimensions, épaisseur,nature de la lame isolante, ...)- référence de l’appareillage de mesure utilisé- température d’apparition du point de rosée si comprise entre -60°C et -55°C, sinon <-60°C ou >-55°C- aspect du condensat si apparition

Modes opératoiresCaractérisation des matériaux

TEMPÉRATURE DU POINT DE ROSÉE (POUR PROCÉDÉS IM ET EO)Mesure pour les OMV

a.-

b.-

c.-

d.-

e.-

f.-

g.-

h.-

i.-

Pvi 122ms31208/07/2015

Vi-Prescription technique générale

CklDcrPvi_VisPtgC48_00_t15g08_00.pdf DnnFprA02.01

OBJETDétermination de la dureté shore d’un mastic réticulable

RÉFÉRENCES DOCUMENTAIRESNorme ISO 868

APPAREILLAGE/ÉQUIPEMENT- Duromètre shore (A ou D)- pastilles étalons

ÉCHANTILLONNAGE-1 éprouvette d’essai ayant une surface plane ou rendue plane, non rugueuse, de 6,5 cm2 minimum dont laplus petite dimension est au moins égale à 25 mm et ayant une épaisseur d’au moins 6 mm.

CONDITIONS SPÉCIFIQUES- Étalonnage selon la norme ISO 868- Mesure de la dureté :

- placer l'éprouvette sur une surface rigide, horizontale et plane,- tenir le duromètre en position verticale la pointe du pénétreur étant au moins à 12 mm du bord de

l'éprouvette,- appliquer le pied presseur sur l'éprouvette aussi rapidement que possible, sans choc, le pied

restant parallèle à la surface de l'éprouvette,- appliquer une pression juste suffisante pour obtenir un contact étroit entre le pied presseur et

l'éprouvette (voir note).- lire la valeur donnée par l’indicateur sur l'échelle de l'appareil au bout de 15 s d’application,- effectuer les mesurages de dureté en cinq emplacements différents de l'éprouvette, distants d'au

moins 6 mm, et calculer la valeur moyenne.

NOTE 1- Si une lecture instantanée est demandée, lire la valeur au bout de 1 s de contact étroit entre le piedpresseur et l'éprouvette, à moins que le duromètre ne soit équipé d'un indicateur à maximum, auquel cas onprendra cette valeur.

NOTE 2- Il est possible d’obtenir une meilleure reproductibilité en utilisant soit un duromètre fixe, soit unpoids centré sur l'axe du pénétreur, soit encore l'un et l'autre, pour appliquer le pied presseur sur l'éprouvette.Les masses recommandées sont de 1 kg pour le duromètre du type A et de 5 kg pour le duromètre du typeD.

NOTE 3- Il est recommandé d’effectuer les mesurages avec le duromètre du type D lorsque des valeurssupérieures à 90 sont obtenues avec le duromètre du type A, et avec le duromètre du type A lorsque desvaleurs inférieures à 20 sont obtenues avec le duromètre du type D.

EXPRESSION DES RÉSULTATS- Valeur de la dureté shore (A ou D) de chaque point de mesure- Calcul de la valeur moyenne

VALEURS ET CRITÈRES D’ACCEPTATIONAucune valeur particulière n’est requise.

Modes opératoiresCaractérisation des matériaux

DURETÉ SHORE 1/2Mesure

a.-

b.-

c.-

d.-

e.-

f.-

g-

Pvi 122ms3211/10/2001

Vi-Prescription technique générale

CklDcrPvi_VisPtgC47_00_t01j11_01.pdf DnnFprA02.01

CONTENU DU RAPPORT DE MESURE- référence à la norme ISO 868,- identité du produit,- conditions d’obtention de l’échantillon, ses dimensions (l, L, e)- identité du matériel de mesure, son type (duromètre shore(A ou D)),- température de mesure et humidité relative lorsque la dureté du produit dépend de l'humidité,- s'il est connu, l’intervalle de temps séparant la préparation de l'éprouvette du mesurage de la dureté,- expression des résultats en précisant l’intervalle de temps au bout duquel chaque lecture a été faite.

Modes opératoiresCaractérisation des matériaux

DURETÉ SHORE 2/2Mesure

h-

Pvi 122ms3211/10/2001

Vi-Prescription technique générale

CklDcrPvi_VisPtgC47_00_t01j11_02.pdf DnnFprA02.01

OBJETDétermination de la dureté Shore A d’un mastic de scellement réticulable

RÉFÉRENCES DOCUMENTAIRESNorme ISO 868

APPAREILLAGE/ÉQUIPEMENT- Duromètre Shore A- Cales étalons

ÉCHANTILLONNAGE1 éprouvette d’essai ayant une surface plane ou rendue plane, non rugueuse (sans strille et sans trou), de6,5 cm2 minimum dont la plus petite dimension est au moins égale à 25 mm et ayant une épaisseur d’aumoins 6 mm.

NOTE 1- Ne pas découper l’échantillon après polymérisation (laisser la peau).

CONDITIONS SPÉCIFIQUES- placer l'éprouvette sur une surface rigide, horizontale et plane- tenir le duromètre en position verticale la pointe du pénétreur étant au moins à 12 mm du bord del'éprouvette- appliquer le pied presseur sur l'éprouvette aussi rapidement que possible, sans choc, le pied restantparallèle à la surface de l'éprouvette- appliquer une pression juste suffisante pour obtenir un contact total entre le pied presseur et l'éprouvette(voir note)- effectuer les mesurages de dureté en cinq emplacements différents minimum, distants d'au moins 6 mm, etenregistrer la valeur moyenne

NOTE 2- Si une lecture instantanée est demandée, lire la valeur au bout de 1 s de contact étroit entre le piedpresseur et l'éprouvette, à moins que le duromètre ne soit équipé d'un indicateur à maximum, auquel cas onprendra cette valeur.

NOTE 3- Il est possible d’obtenir une meilleure reproductibilité en utilisant soit un duromètre fixe, soit unpoids centré sur l'axe du pénétreur, soit encore l'un et l'autre, pour appliquer le pied presseur sur l'éprouvette.La masse recommandée est de 1 kg.

VALEURS ET CRITÈRES D’ACCEPTATIONEn fonction des spécifications du fournisseur

Modes opératoiresCaractérisation des matériaux

DURETÉ SHOREMesure destinée aux centres de production

a.-

b.-

c.-

d.-

e.-

f.-

Pvi 122ms32125/01/2018

Vi-Prescription technique générale

CklDcrPvi_VisPtgC47_00_t18a25_01.pdf DnnFprA02.01

OBJETDétermination de la masse volumique d’un mastic de scellement par la méthode hydrostatique

RÉFÉRENCES DOCUMENTAIRESNF L17-106

APPAREILLAGE/ÉQUIPEMENT- balance de précision au moins égale à 0,1 mg- fil métallique de diamètre environ 0,1 mm- éthanol à 95 % (V/V)- eau distillée- papier filtre

ÉCHANTILLONNAGE3 éprouvettes de masse supérieure à 0,5g prise dans le même élément

CONDITIONS SPÉCIFIQUES- Température d'essai : 20°C +/- 2°C.

- peser une éprouvette dans l'air, soit M1 la masse trouvée,- suspendre le fil métallique à un bras de la balance et le plonger dans l'eau distillée, le peser, soit M2 lamasse trouvée,- plonger l'éprouvette dans l'éthanol et la sécher avec le papier filtre,- attacher l'éprouvette au fil métallique et plonger le tout dans l'eau distillée, peser, soit M3 la masse trouvée,- procéder de même pour les deux autres éprouvettes.

NOTE 1- La longueur de fil plongée dans l'eau pour la détermination de M3 doit être la même que lors de ladétermination de M2.

EXPRESSION DES RÉSULTATSCalculer la masse volumique de chaque éprouvette : Mv =( M1/(M1-M3+M2) )x 0,998- Calculer la valeur moyenne des 3 éprouvettes

VALEURS ET CRITÈRES D’ACCEPTATIONAucune valeur particulière n’est requise.

CONTENU DU RAPPORT DE MESURE- identité du produit,- conditions d’obtention de l’échantillon,- date des mesures,- expression des résultats.

Modes opératoiresCaractérisation des matériaux

MASSE VOLUMIQUEMesure

a.-

b.-

c.-

d.-

e.-

f.-

g.-

h.-

Pvi 122ms3311/10/2001

Vi-Prescription technique générale

CklDcrPvi_VisPtgC48_00_t01j11_00.pdf DnnFprA02.01

OBJETDétermination de la proportion des différentes dimensions des grains constituant une composition dedéshydratant

RÉFÉRENCES DOCUMENTAIRESNorme NF ISO 565 pour tamisProcédure CEBTP pour essai

APPAREILLAGE/ÉQUIPEMENT- balance permettant de faire toutes les pesées avec une précision relative de 0,1 %- tamis de contrôle NF ISO 565 adapté à la Granulométrie théorique de l'échantillon- bacs- brosses - pinceaux.

ÉCHANTILLONNAGE100 g de déshydratant

CONDITIONS SPÉCIFIQUESL'essai se déroule de la façon suivante:- verser le déshydratant dans la colonne de tamis,- agiter manuellement ou mécaniquement, puis reprendre un à un les tamis en commençant par celui qui a laplus grande ouverture en adaptant un tond et un couvercle (d'une manière générale, on peut considérerqu'un tamisage est terminé lorsque le refus ne se modifie pas de plus de 1 % en 1 minute de tamisage),- verser le tamisat recueilli dans le fond sur le tamis immédiatement inférieur,- peser le refus de chaque tamis,- peser, s'il y en a, le tamisat du dernier tamis.

Cet essai doit être effectué rapidement pour éviter une reprise d’humidité du déshydratant très sensible auxconditions atmosphériques ambiantes.

EXPRESSION DES RÉSULTATSPourcentage de chaque tamisat et pourcentage cumulé ou pourcentages des refus soit sous forme detableau, soit sous forme de courbe

VALEURS ET CRITÈRES D’ACCEPTATIONAucune valeur particulière n’est requise.

CONTENU DU RAPPORT DE MESURELe rapport d'essais doit comporter les points suivants:- date de la fourniture de l'élément d’essai,- identification du produit et de ses composants,- date de l'essai,- expression des résultats.

Modes opératoiresCaractérisation des matériaux

GRANULOMÉTRIEMesure

a.-

b.-

c.-

d.-

e.-

f.-

g.-

h.-

Pvi 122ms3411/10/2001

Vi-Prescription technique générale

CklDcrPvi_VisPtgC49_00_t01j11_00.pdf DnnFprA02.01

OBJETDéterminer l’état de propreté des espaceurs

RÉFÉRENCES DOCUMENTAIRESNorme NF P78-453

APPAREILLAGE/ÉQUIPEMENT- cisaille- bécher- dispositif de distillation- chloroforme- étuve à 100°C- balance de précision à 0,1 mg

ÉCHANTILLONNAGE1 longueur de profilé de 2 m

CONDITIONS SPÉCIFIQUES- Découper le profilé en morceaux de 10 cm et en prendre 10 morceaux,- déterminer la longueur totale des 10 morceaux (mesure de chaque morceau à 0,5 mm près),- les laver à l'eau distillée et les sécher en étuve,- découper ensuite en plus petits fragments et les introduire dans un bécher parfaitement propre et sec,- ajouter 100 ml de chloroforme pur préalablement redistillé et neutralisé pour analyses,- agiter pendant 30 min,- retirer les échantillons de profilés espaceurs et filtrer le solvant pour séparer toutes les particulesmétalliques éventuellement présentes,- introduire le solvant ainsi filtré dans un ballon à distiller parfaitement propre et sec et distiller le chloroformejusqu'à l'obtention de 20 ml environ,- transvaser les 20 ml restants dans un récipient plus petit, parfaitement propre et sec et taré à la balance deprécision,- terminer par une évaporation en étuve à 60 °C jusqu'à masse constante.

EXPRESSION DES RÉSULTATS- Déterminer la masse du résidu P en milligrammes,- en déduire la quantité, en milligramme, de produits solubles dans le chloroforme par mètre de profiléespaceur.

VALEURS ET CRITÈRES D’ACCEPTATION5 milligrammes au mètre linéaire maximum

CONTENU DU RAPPORT DE MESURELe rapport d'essai doit comporter les points suivants:- date de la fourniture de l'élément d'essai ou du prélèvement,- identification du produit,- date de l'essai,- description et désignation commerciale du profilé espaceur soumis à l'essai,- expression des résultats

Modes opératoiresCaractérisation des matériaux

TAUX DE MATIÈRE GRASSEMesure

a.-

b.-

c.-

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h.-

Pvi 122ms3511/10/2001

Vi-Prescription technique générale

CklDcrPvi_VisPtgC50_00_t01j11_00.pdf DnnFprA02.01

Article 3. Relatif aux équipements de mesure

Modes opératoires

ARTICLE 3. RELATIF AUX ÉQUIPEMENTS DE MESURE

Pvi 123aa0005/07/2017

Vi-Prescription technique générale

CklDcrPvi_VisPtgC51_00_t17g05_00.pdf DnnFprA02.01

OBJETDispositions pour la vérification des matériels de mesure d’épaisseur.

PRINCIPEComparaison avec un jeu de cales d’épaisseur de référence.

Ce jeu de cales d’épaisseur de référence peut être utilisé par plusieurs centres de production. Dans ce cas,chaque centre dispose du dossier complet des étalons (au minimum : copie du certificat d’étalonnage et de lafiche de circulation) et vérifie leur état lors de leur réception dans le centre.

APPAREILLAGE/ÉQUIPEMENTJeu de cales d’épaisseur avec constats de vérification rattachés aux étalons nationaux et identificationspropres.

Les cales sont choisies de manière à disposer de trois points de contrôle répartis sur l’étendue de mesurecorrespondant au contrôle. Si l’étendue de mesure est restreinte, deux cales encadrant cette étenduepeuvent suffire.

Ce jeu de cales est considéré comme étant de référence et ne sert que pour le contrôle des appareils demesure. Il est identifié et, hors le moment des vérifications, il est conservé dans son écrin et à l’abri de toutessources d’endommagement.

Nota : Les cales d’épaisseur sont à changer ou à étalonner tous les 5 ans.

PROCÉDURE- Successivement, on mesure l’épaisseur de chacune des cales- Cette mesure est répétée 3 fois- On détermine l’écart entre la valeur de référence (Vr) et la valeur indiquée par l’appareil à vérifier (Vm) :Ec = Vr-Vm

Nota 1 : Quel que soit le signe de l’expression (Vr-Vm), Ec est pris comme étant une valeur toujours positive.Nota 2 : Les mesures doivent se faire dans un local clos, à température comprise entre 15 et 25°C.

EXPRESSION DES RÉSULTATSPour chaque valeur de référence, on calcule la moyenne des écarts des 3 mesures : Em = ∑Ec/3.L’écart moyen est arrondi avec un chiffre après la virgule.

VALEURS ET CRITÈRES D’ACCEPTATIONSi l’écart obtenu pour chacun des points de référence reste inférieur à l’écart admis, les indications donnéespar l’appareil de mesure sont prises comme telles.

Dans les autres cas, l’appareil est ré-étalonné ou remplacé.

Nota 1 : Un exemple de calcul est donné dans la pvi 212em01.Nota 2 : Cette procédure est à considérer comme un moyen de justification de la vérification de l’appareil demesure. Des procédures plus élaborées ou comparables sont acceptables. En cas de critères d’acceptationdifférents, il revient au centre de démontrer que les critères propres à CEKAL sont respectés.

Modes opératoiresEssai sur matériel

MESURES D’ÉPAISSEURProcédure de vérification

a.-

b.-

c.-

d.-

e.-

f.-

Pvi 123em0121/01/2015

Vi-Prescription technique générale

CklDcrPvi_VisPtgC52_00_t15a21_00.pdf DnnFprA02.01

OBJETDispositions pour la vérification des matériels de pesée.

PRINCIPEComparaison avec un jeu de poids de référence.

Ce jeu de poids de référence peut être utilisé par plusieurs centres de production. Dans ce cas, chaquecentre dispose du dossier complet des étalons (au minimum : copie du certificat d’étalonnage et de la fichede circulation) et vérifie leur état lors de leur réception dans le centre.

APPAREILLAGE/ÉQUIPEMENTJeu de poids, avec constats de vérification rattachés aux étalons nationaux et identifications propres.

Les poids sont choisis de manière à disposer de trois points de contrôle répartis sur l’étendue de mesurecorrespondant au contrôle. Si l’étendue de mesure est restreinte, deux poids encadrant cette étenduepeuvent suffire.

Ce jeu de poids est considéré comme étant de référence et ne sert que pour le contrôle des balances. Il estidentifié et, hors le moment des vérifications, il est conservé dans son écrin et à l’abri de toutes sourcesd’endommagement.

Nota : Les poids étalon sont à changer ou à étalonner tous les 5 ans.

PROCÉDURE- Effectuer la mise à zéro de la balance- Successivement, on pèse chacun des poids de référence en effectuant une remise à zéro pour chaquepesée- Cette séquence est répétée 3 fois- On détermine l’écart entre la valeur de référence (Vr) et la valeur indiquée par l’appareil à vérifier (Vm) :Ec = Vr-Vm

Nota 1 : Quel que soit le signe de l’expression (Vr-Vm), Ec est pris comme étant une valeur toujours positive.Nota 2 : Les mesures doivent se faire dans un local clos, à température comprise entre 15 et 25°C.

EXPRESSION DES RÉSULTATSPour chaque valeur de référence, on calcule la moyenne des écarts des 3 mesures : Em = ∑Ec/3.L’écart moyen est arrondi avec un chiffre après la virgule.

VALEURS ET CRITÈRES D’ACCEPTATIONSi l’écart obtenu pour chacun des points de référence reste inférieur à l’écart admis, les indications donnéespar l’appareil de pesée sont prises comme telles.

Dans les autres cas, l’appareil est ré-étalonné ou remplacé.

Nota 1 : Un exemple de calcul est donné dans la pvi 212em01.Nota 2 : Cette procédure est à considérer comme un moyen de justification de la vérification de l’appareil demesure. Des procédures plus élaborées ou comparables sont acceptables. En cas de critères d’acceptationdifférents, il revient au centre de démontrer que les critères propres à CEKAL sont respectés.Nota 3 : Certains appareils de mesure peuvent être ré-ajustés (réglage propre à l’appareil). Dans ce cas,l’appareil est ré-ajusté pour rester inférieur à l’écart admis.

Modes opératoiresEssai sur matériel

PESÉESProcédure de vérification

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Pvi 123em0221/01/2015

Vi-Prescription technique générale

CklDcrPvi_VisPtgC53_00_t15a21_00.pdf DnnFprA02.01

OBJETDispositions pour la vérification des duromètres.

PRINCIPEComparaison avec un jeu de cales de dureté de référence.

Ce jeu de cales de dureté de référence peut être utilisé par plusieurs centres de production. Dans ce cas,chaque centre dispose du dossier complet des étalons (au minimum : copie du certificat d’étalonnage et de lafiche de circulation) et vérifie leur état lors de leur réception dans le centre.

APPAREILLAGE/ÉQUIPEMENTJeu de cales de dureté avec constats de vérification rattachés aux étalons nationaux et identificationspropres.

Les cales sont choisies de manière à disposer de trois points de contrôle répartis sur l’étendue de mesurecorrespondant au contrôle. Si l’étendue de mesure est restreinte, deux cales encadrant cette étenduepeuvent suffire.

Ce jeu de cales est considéré comme étant de référence et ne sert que pour le contrôle des appareils demesure. Il est identifié et, hors le moment des vérifications, il est conservé dans son écrin et à l’abri de toutessources d’endommagement.

Nota : Les cales de dureté à trou sont à changer ou à étalonner tous les 5 ans. Les cales de dureté souplessont à changer tous les 3 ans.

PROCÉDURE- Successivement, on mesure chacune des cales- Cette mesure est répétée 3 fois- On détermine l’écart entre la valeur de référence (Vr) et la valeur indiquée par l’appareil à vérifier (Vm) :Ec = Vr-Vm

Nota 1 : Quel que soit le signe de l’expression (Vr-Vm), Ec est pris comme étant une valeur toujours positive.Nota 2 : Les mesures doivent se faire dans un local clos, à température comprise entre 15 et 25°C.

EXPRESSION DES RÉSULTATSPour chaque valeur de référence, on calcule la moyenne des écarts des 3 mesures : Em = ∑Ec/3.L’écart moyen est arrondi avec un chiffre après la virgule.

VALEURS ET CRITÈRES D’ACCEPTATIONSi l’écart obtenu pour chacun des points de référence reste inférieur à l’écart admis, les indications donnéespar le duromètre sont prises comme telles.

Dans les autres cas, l’appareil est ré-étalonné ou remplacé.

Nota 1 : Un exemple de calcul est donné dans la pvi 212em01.Nota 2 : Cette procédure est à considérer comme un moyen de justification de la vérification de l’appareil demesure. Des procédures plus élaborées ou comparables sont acceptables. En cas de critères d’acceptationdifférents, il revient au centre de démontrer que les critères propres à CEKAL sont respectés.

Modes opératoiresEssai sur matériel

MESURES DE DURETÉProcédure de vérification

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Pvi 123em0321/01/2015

Vi-Prescription technique générale

CklDcrPvi_VisPtgC54_00_t15a21_00.pdf DnnFprA02.01

OBJETDispositions pour la vérification des appareils de mesure de la propreté de l’eau.

PRINCIPEComparaison avec une solution de référence.

Cette solution de référence peut être utilisée par plusieurs centres de production. Dans ce cas, chaquecentre dispose du dossier complet de l’étalon (au minimum : copie du certificat d’étalonnage et de la fiche decirculation) et vérifie son état lors de sa réception dans le centre.

APPAREILLAGE/ÉQUIPEMENTUne solution entre 5 et 30 µS/cm avec constat de vérification rattaché aux étalons nationaux et identificationpropre.

Cette solution est considérée comme étant de référence et ne sert que pour le contrôle des appareils demesure. Elle est à renouveler avant la date de péremption qui est indiquée sur le contenant.

PROCÉDURE- On mesure la conductivité ou résistivité de la solution- Cette mesure est répétée 3 fois- On détermine l’écart entre la valeur de référence (Vr) et la valeur indiquée par l’appareil à vérifier (Vm) :Ec = Vr-Vm

Nota 1 : Quel que soit le signe de l’expression (Vr-Vm), Ec est pris comme étant une valeur toujours positive.Nota 2 : Les mesures doivent se faire dans un local clos, à température comprise entre 15 et 25°C. La valeurde référence (Vr) varie en fonction de la température.

EXPRESSION DES RÉSULTATSOn calcule la moyenne des écarts des 3 mesures : Em = ∑Ec/3.

VALEURS ET CRITÈRES D’ACCEPTATIONSi l’écart obtenu reste inférieur à l’écart admis, les indications données par l’appareil sont prises commetelles.

Dans les autres cas, l’appareil est ré-étalonné ou remplacé.

Nota 1 : Un exemple de calcul est donné dans la pvi 212em01.Nota 2 : Cette procédure est à considérer comme un moyen de justification de la vérification de l’appareil demesure. Des procédures plus élaborées ou comparables sont acceptables. En cas de critères d’acceptationdifférents, il revient au centre de démontrer que les critères propres à CEKAL sont respectés.Nota 3 : Certains appareils de mesure peuvent être ré-ajustés (réglage propre à l’appareil). Dans ce cas,l’appareil est ré-ajusté pour rester inférieur à l’écart admis.

Modes opératoiresEssai sur matériel

MESURES DE CONDUCTIVITÉ OU DE RÉSISTIVITÉProcédure de vérification

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Pvi 123em0421/01/2015

Vi-Prescription technique générale

CklDcrPvi_VisPtgC55_00_t15a21_00.pdf DnnFprA02.01

OBJETDispositions pour la vérification des matériels de mesure de température.

PRINCIPEComparaison avec un jeu de deux thermomètres de référence ou avec un thermomètre seul de référenceétalonné.

Ces thermomètres de référence peuvent être utilisés par plusieurs centres de production. Dans ce cas,chaque centre dispose du dossier complet des thermomètres (au minimum : copie du certificat d’étalonnageet de la fiche de circulation) et vérifie leur état lors de leur réception dans le centre.

APPAREILLAGE/ÉQUIPEMENTJeu de deux thermomètres à liquide adapté à l’étendue d’emploi des appareils de mesure de température outhermomètre seul avec constat de vérification rattaché aux étalons nationaux et identifications propres.

Le jeu de deux thermomètres est constitué à partir du moment où deux thermomètres neufs et identiquesdonnent pour trois températures réparties sur leur plage d’emploi la même indication avec un écart maximalentre ces deux thermomètres de 0,5°C.

Ce jeu de deux thermomètres est considéré comme étant de référence et ne sert que pour le contrôle desappareils de mesure. Les thermomètres sont identifiés et, hors le moment des vérifications, ils sontconservés dans leur écrin et à l’abri de toutes sources d’endommagement.

Nota 1 : L’utilisation d’un thermomètre comme appareil de vérification conduit à son étalonnage tous les 5ans s’il ne sert qu’en vérification, sinon il est considéré comme un appareil de mesure et il doit être vérifié (cf.106em51).

PROCÉDURE- On utilise un des deux thermomètres de référence ou le thermomètre étalonné- En utilisant 3 milieux stabilisés de températures différentes et permettant d’obtenir trois points sur l’étendued’emploi de l’appareil de mesure de température, on compare, successivement, la température donnée par lethermomètre de référence avec celle donnée par le thermomètre à vérifier- Cette mesure est répétée 3 fois- On détermine l’écart entre la valeur de référence (Vr) et la valeur indiquée par l’appareil à vérifier (Vm) :Ec = Vr-Vm

Nota 1 : Quel que soit le signe de l’expression (Vr-Vm), Ec est pris comme étant une valeur toujours positive.Nota 2 : Les mesures doivent se faire dans un local clos, à température comprise entre 15 et 25°C.Nota 3 : Pour les milieux à température connue pouvant servir de points de contrôle on pourra retenir l’eaubouillante (100°C), la glace pilée fondante (0°C), la carboglace en bloc (-78,5°C).

EXPRESSION DES RÉSULTATSPour chaque valeur de référence on calcule la moyenne des écarts des 3 mesures : Em = ∑Ec/3.L’écart moyen est arrondi avec un chiffre après la virgule.

VALEURS ET CRITÈRES D’ACCEPTATIONSi l’écart obtenu pour chacun des points de référence reste inférieur à l’écart admis, les indications donnéespar l’appareil de mesure sont prises comme telles.

Dans les autres cas, l’appareil est ré-étalonné ou remplacé.

Nota 1 : Un exemple de calcul est donné dans la pvi 212em01.Nota 2 : Cette procédure est à considérer comme un moyen de justification de la vérification de l’appareil demesure. Des procédures plus élaborées ou comparables sont acceptables. En cas de critères d’acceptationdifférents, il revient au Centre de démontrer que les critères propres à CEKAL sont respectés.

Modes opératoiresEssai sur matériel

MESURES DE TEMPÉRATUREProcédure de vérification

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Pvi 123em0505/07/2017

Vi-Prescription technique générale

CklDcrPvi_VisPtgC56_00_t17g05_00.pdf DnnFprA02.01