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A l’écoute de L’Esprit Saint avec Mariam. Ce matin j’étais peiné parce que je ne sentais pas Dieu. Il me semblait que mon cœur était comme du fer. Je ne pouvais pas penser à Dieu. -. Et j’ai invoqué l’Esprit Saint. Et j’ai dit : « O chère Mère, - PowerPoint PPT Presentation
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A l’écoute de
L’Esprit Saintavec Mariam
Ce matin j’étais peiné
parce que je ne sentais pas Dieu.
Il me semblait que mon cœur
était comme du fer.
Je ne pouvais pas penser à Dieu. -
Et j’ai dit : « O chère Mère, c’est vous qui nous faites connaître Jésus. Les apôtres sont restés longtemps avec lui sans le comprendre, mais une goutte de
vous le leur a fait comprendre.
Et j’ai invoqué l’Esprit Saint.
Vous me le ferez comprendre
aussi. Venez
ma consolation, venez ma joie,
venez ma paix, ma force,
ma lumière, venez,
éclairez moi pour trouver
la source où je dois
me désaltérer
Une goutte de vous suffit pour moi, pour me montrer Jésus tel qu’il est.
Jésus a dit que vous iriez aux ignorants. Je suis la première des ignorantes. Je ne vous demande ni d’autre science ni (d’autre) sagesse, mais que la science de trouver Jésus et la sagesse de le conserver »
et je me suis senti le feu un peu allumé dans mon cœur.
l’Esprit Saint ne me refuse rien.
Tout à coup je me suis sentie tirée dans un désert,
et j’ai aperçu une grande plaine, très grande, sans herbes,
sans montagnes, sans arbres, sans rien
Il me semblait qu’il n’y avait que du sable,
et je me suis mise à marcher, à marcher
dans cette vaste plaine. Il n’y avait pas d’air.
Je ne pouvais pas respirer.
J’avais soif, et je ne pouvais pas me désaltérer. Et en marchant je suis arrivée à un Rocher,
et je me suis assise un peu.
J’étais harassée, et après et je suis entrée dans le Rocher et je me suis sentie un peu consolée et j’ai lu sur le rocher. (J’ai vu une lettre)
: réjouissez-vous c’est le mystère de l’incarnation du Sauveur,
et j’ai quitté ce Rocher et j’ai commencé à marcher de nouveau.
Et l’Esprit Saint marchait
devant moi, et tant qu’il me
guidait, je marchais droit sans
dévier
et quand il me laissait et qu’il ne me dirigeait pas,
plusieurs chemins se trouvaient devant moi,
et je me trompais immédiatement de route ;
alors je me sentais immédiatement fatiguée,
agitée, malade dans toutes les peines, les angoisses.
Et j’ai entendu une voix qui m’a dit :
« Unissez, votre fatigue à la fatigue de Jésus ;
vos sueurs aux sueurs de Jésus,
votre soif et votre faim à la soif et à la faim
de Jésus ; vos douleurs, vos larmes,
vos souffrances à ses douleurs
à ses larmes, à ses souffrances. »
Et j’ai compris qu’il fallait que tout homme
passât un peu par
toute épreuve où est passé
Jésus, les bons en cherchant
le bien, les méchants
en cherchant le mal,
parce que tous
les hommes sont l’image
De Notre
Seigneur.
En unissant les peines, les soucis, les tracas,
les ennuis, les souffrances
de la vie etc... à ceux qu’y a rencontrés
Notre Seigneur,
l’image de Jésus Christ s’imprime de plus en plus dans les bons ;
et les méchants, qui cherchent le mal,
c’est l’image de ce qu’ils cherchent, au contraire,
qui s’imprime en eux, quoiqu’ils passent
cependant par où les bons sont passés ;
mais l’homme n’éprouve
jamais qu’une petite partie de ce
que Jésus a ressenti. Il ne pourrait pas
supporter ce que Jésus a
enduré.
A la fin du chemin j’ai trouvé un escalier très haut
et pas très solide. – Les degrés
tremblaient, je n’osais pas trop
m’y aventurer
(c’est le symbole de la foi) -
Guidée cependant par
l’esprit de Dieu, je me suis
hasardée à les monter ;
et quoique tremblante,
je les ai franchis sans accident,
et au bout de cet escalier j’ai rencontré une grotte
dans laquelle il y a trois cierges
allumés. Les flammes
de ces cierges s’élevaient
en haut, et je voulais savoir
où elles allaient.
Et j’ai vu une porte ouverte devant la grotte, devant moi.
Et j’y suis passée
. Et en entrant dans la chambre où
conduisait cette porte, j’ai aperçu un Prêtre
disant la Messe, et alors la pensée m’est
venue que je n’avais pas bien examiné les
cierges que j’avais trouvés dans la grotte
qui n’était pas bien ornée
.
Et je suis retournée pour les considérer et il m’a semblé voir
écrite une lettre d’or en renfermant
deux autres (une triple lettre
d’or) sur chacun des cierges. -
Et la lettre écrite sur le premier
cierge allumé que j’ai vu signifiait pauvreté,
et celle écrite sur le 2ème
cierge signifiait
chasteté
et la troisième signifiait
obéissance
Et les trois cierges renfermaient cependant chacun les trois vertus représentées
par la triple lettre inscrite dans la cire.
Et j’ai vu que les trois cierges symbolisaient aussi la Ste Famille.
Le cierge de la Pauvreté, St Joseph
celui de la chasteté, Marie
Celui de l’obéissance, Jésus.
Et en même temps j’ai regardé
le Prêtre qui disait la Messe
et il m’a été dit).
que le Prêtre était
la figure de
Jésus
par conséquent
de l’obéissance
.
Et les deux cierges allumés
à la Messe
celle de St Joseph et de Marie
Et les deux cierges allumés à la Messe celle de St Joseph et de Marie ou de la Pauvreté et de la chasteté qui doivent accompagner le Prêtre à l’autel, lorsqu’il offre le St Sacrifice.
Ensuite j’ai repris mon idée de savoir où allaient les flammes des trois cierges allumés
dans la grotte,
et je me suis élevée. Et après avoir monté, monté,
je me suis trouvée en face de Dieu lui-même,
un obstacle se trouvait entre le Père éternel et moi, et je ne pouvais pas passer pour aller à lui.
Et, en ce moment, j’ai aperçu
les flammes des trois cierges
que j’avais laissés dans la grotte
brûler entre le trône
de Dieu et moi ;
et j’ai vu la flamme de la pauvreté
produire au Ciel
devant Dieu des richesses
infinies
Celle de la chasteté, une pureté et des jouissances immenses, infinies.
Et celle de l’obéissance, une autorité infinie devant laquelle tout s’incline et tout obéit
Et j’ai vu que pour
passer et pour se tenir devant
Dieu, il faut se tenir
derrière les flammes
de la Pauvreté, de la Chasteté
et de l’Obéissance
(Jésus, Marie,
Joseph) qui se
trouvent entre Dieu
et nous
Et j’ai vu qu’en passant et en se tenant
derrière ces flammes l’image
de Jésus-Christ s’imprimait,
se gravait en nous ;
et Dieu qui ne peut plus
regarder l’homme Depuis
sa prévarication qu’à travers Jésus,
comme l’homme ne peut regarder
Dieu qu’à travers
le même Jésus, nous regarde
parce qu’il ne voit plus en nous, nous-
mêmes mais l’image
de Jésus.
.Et alors j’ai regardé en bas dans la grotte,
et il m’a été dit que la grotte était la figure de
l’Eglise qui parait laide et petite au dehors, mais qui cache dans ses entrailles des trésors, des beautés et des grandeurs infinies ;
que la pauvreté était
ses trésors ;
la chasteté, ses délices
et sa beauté ;
et l’obéissance, sa puissance.
Que les trésors que je contemplais appartenaient à l’Eglise, que c’étaient les vertus derrière lesquelles elle se cache, et que ce n’est que par elles que nous pouvons arriver à Dieu
et ces trésors cependant viennent de Dieu qui alimente l’Eglise et retournent à lui comme à leur source ;
c’est comme si une lampe
était alimentée par l’huile
qui sortirait d’un tonneau (vase)
et y retournerait par le verre
qui contiendrait la mèche.
Il y a beaucoup d’autres choses, mais je ne puis
les exprimer.” Mariam