63e ANNEE. -- No 14' BUREAUX : RUE SAINT-ROME, 44.

ABONNEMENTS?:

TOULOUSE U. an, c0 fr.; G mois, 21 fr.; 3 m a, 51 Ce.PnlLUvwnn,t' U. au, 1;0 f.; r mois, 26 fr.; 3 mois, 41, fr.

parlenerish4éETICANGER Le, frais de poste en sus.

Tou oaasel, à3 Mai.

FOI lo Ii 11_A6dis.

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A ] ail U. L,h.. I

r , YOrl ar is .lte05 aa

a louprelle oeu L,,. À,ou Rmpro.

o CPZdis.. air

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l", o 151 J'ne, d

Voiril,hier.

us., essu a

se Lasi,

On revoit les abonnements et les annonces :A TOULOUSE, aux bureaux de Journal, rue SainhBome, 44.- A PARIS, chez 611!. Haves, 3, rue Jean-Iaoqueu.

Rousseau; Lu r,eo-Bmtra Il 0omp., 8, place de la Bourse; FouIne,,, 22, rue de Trévise,seuls correspondants pour les annonce,.

\Veimar, 20 mai.La chambre a adopté la Constitution

fédérale de l'Allemagne du Noed, cirai queles propos,tioos cc wrrnant les Diètes.il,

20 cri, soir.Les députés ont rrie-té la proposition de

51. Xuu,oal sur ra inooropatibilités porle-m maires.

Cette proposition Luo,a'JuéL aussi 1, ré-forrne de la C,nostituGOn,lcallosion de laloi éleomrale et la décentralisation.

Rogne, 20 mai.En attendant le règlement définitif de la

question du Lnxomhnurç, les sujets laxem-b l'éfirarger t placésp t t dpl tq o

bellir, 20I suite d tentatives ration dans

l flanelle, Plusieurs It-p p Î{ .1 t 3I. 9ii v r,,ii,euear de po' 1 tt sel. se,,Berlin, pour se rendre dans le Hanovre.

mRegese, 21sPu conflit e en lieu antre les hahitonts

de la fr obère de Raguse et quelquel ires de sujets Lares aidés pur les bachi-

b e, ugs. Il y a eu plusieurs ble,niu. Le

régime et Deuteahmmster est intervenupour apaiser le tumulte. Le conflit orges

nvb par une question de pflmraaeset par le cordon eanitmro établi à cause duhoh;ra.

Vieuse, 20 mai,A l'ouverture du Il ,oh,eath, le comte

Charles d'Anersbeeg, pLesidentde la Cham-bec des soigneurs, a jotté tin coup d'aeil

1 tl sur les graves événements quip dex ,t

less P`lm en a,I J ve. e t ;o ID ll. t été données àI rmbte f rai P L d G ,otq e

sL° ! d as e lI a m i e un droitttt -.1d LI h y- i ce-f 1 t.. 11 d I.I

t y t f. I q l p t t s

1 tt à _ 1 ted I pt e t leeue1 d t t q 1 ,co de sec ,oisoéI i,r f p, t

l'a1 . o,,, les f d } d ,i,,,,,9

lie ais d t t d Lr la ,reil deriti I Atdrava.er aa , u ssouee ue,s,o.d l

Berlin, 21 mai.Les étudiants de l'Université de Berlin

t délbérelirpour vb i. + r Is rcpon à faiee ,d re.,eo dag étâi 0

...antsrane5.I

eet aeIlenovre alu On a saisi a chez un

l'aurien ro o,obreusoo c espon-t

Ja,vcv.

o

a ooF.or.e J. oct.I dan mpromcotcs pou

n ea gu{uess tkcd à de, -misesid.. tltt 1 c ép ,

Il ri

l d lit lonahier aL npris, a ac e.gct d l L qui, dd en,

, u o gent putlws.w

u 0les cours de la Bu rs

a/epc^e e s i psatgnes 1

le 20 mai.Il.,mpartant t ont dt£dé

vertus eu b I l' s'eus' tiésorerm iJairP'onota NouveLe (,rleens.

@'eoltaetou dis 201IAEL DE ohB IdS[L

L ROI 3ES GUEU

iies,^ motl i I i d2l

lé l J.' t r 1

- t cal td ;

lie, t d f t. dt 'el la Osa plus de ses

IL termine en disant. -

Via e- 22 ml'arehidechesseLe fou a pris à lu robe da

Mathilde, oui a éprouvé de graves brn-ures.

Marché du 2_ mai,318 betterave, 59 00

Ceux de MI]. les abonnés, dont1'a boanernent expire le 31mai ont priés de le renou-m ie, s'ils nui veulent pas éprou-

r d'interruption dans l'envoido journal.

ai4lPlllO. 91R LOt.ALE-

A partir da 2 mai ouvres!, par sorte dela

reprise luserv,ae daté sur le chemin

doter du Midi, les lovées de la balte dabureau de Toulouse seront ainsi rnodliées:

Ile'Coalcuse à Bordeaux et route,

1'

dé-part, midi 30 minutes;

De Toulouse à Foix, 9er déport, 7 h.40 min. du matin;

Ils Toulouse 9 Faix, 2s départ, 1 heure

du soirDe 5, ol.ose à Mmnt,éj,au, de= départ,

7 h.1.0 ,n, du maire;De Toulouse à illontrejeau, 2= départ,

L. du soir.DIToulouse à Albi, 2s départ, 1 heure

da soir,

pria rl'aonoseor que medi, àsa

:oral.,sa

8o2

uer se a éli'brdans lahoh p 1 a stère de Notre-Damn aaC4'e u., elle efatabiau, pour les Damesd'a de x rouvres d R[u g Il y aura uneusb net i on Par le R P F I

qui'Toutes le pers 'm'a. intérête ire morion sont inuitees a cette pieuse

L e conséquence de 1. diminution 1

d tins. de l t Disar,

lead t. d l pris d' rltéa

'm it

let x l l

ot t indi,* mité

1 rur I t ' le, drapIl-cirsur p LL d ly l'

àN Muré d lui tuu'B 1 d =00 r ton,- choqueansée

e s tLes emplacements par voie admm,stra-tive corntraotés pour u e darde de sept

donneront droite une prime da2,21)0 le, dont 1,000 le, payablca ou.,et la et 1,200 fi. à la

ration définitive.bEPeut ,ou doement cootraoté pour mainss

de sept ans dur - t àoaie o

de 370 fr. par ch { aimée d

eemplacc-

cet, dort 942 f p y bras au r montdu remplacement et 210 IL. à lo IrbératmndcS lac.S,,ur

r !a premrere portion de la prime oude I t p .I éo! nt dela p d p t t q p ment, sui.

t 1 À i 11 ff ecé le revo-Jl t d meut, et conformémentni'

C. t lofe, minées par lad 10 août 5805,

Le sen ements de sept ans donne-ront dontJea

TARIF DES ANNONCES:Annonces, la Agne ................... 0 fr. 30 e.Réclames, la ligne ................... 0 fr. 50 c,Faits divers, la ligne.. ............... 1 fr. 00 0..

Toulcnse, impe. PI,. Menante, p. r. St-R.ns, 1.

1' A ues somme de 2,200 fr., dont1,000 fr. payables au moment du renga-çemenl ou do l'incorporation, et 1,1;00 fr.à la libération détordue da service,

2- Ale hante paye de resgugemcet def 0 centimes par joue.

'l'ont rensgemcot cmtraoté pour moinsde sept a s donnera droit, jusqu'à quo.00, aO ans de service :

1, A nos omme de 350 francs parchoque 550éosderenqu ment, dont 140francs payables au mnmont dur n;agc-m,mt on de l'incorporation, et 010ele. à lelibération définitive;

2vA la haute paye de rengagement de10 cent mes a o rprI

le renAprès quatorze d .

paysgaçL

droitq labalte i

nul 7 0 t sd 28 fip t l

vrir I80 relatives a l

tt f titre

er t 5 0'0 n ui des ec s tlleur

sL nnuaront ' race

application.liLes engagements volontaires, après

bémtion, donneront droit , s avant letemps de service accompli, aux avantagesepériltes dans l'art{ole 1" c1-dessus.

Sur la première portion de le prime oude l'annuité allouée aux engagés volontai-

pees libératon, sera prélevé le mon-tant de la première mise de pont équipe.

fiant suivant l'arma à laquelle l'engagén a affecté, et conformément aux fixa.serdons déterminées par la décision ministé-rielle du 10 amie 18G3.

Ces arréLés corons exécutés à partir do5.i juin 1867.

Rspp t r cos,oros 7 vente de le77 t U ....... Saint -Gaudrns

1867, p 11. le dorte r Nanber.

M s11 q r s que les Coolo,.

sol ., d t d partament, n t rÏ s

ubuoe ouv_ll GàSmnbGaa

nousavec ana

portancoqu'an ode

bl 1 Sons des exh,biuimcspa d s ts, si féconde on Loueouxnés Iist

conte te t 50rteLautorité lui,0 oellente morues p d tte b le

r darotat,on dWà t Saint-téuIons qui a été appelé à

l'honoré,

del'iuau'regr ana seconde fois.

Le programme duImesu rs actuel a subide Jodles rsos moi sine et en ce qui tonee +m les asilee norme ieres

L'un dernier,, lIa

catégorie des bolets etdes vaches croisés des sangs gascon et go-eaaoeis avait été écartée; on indiquaitainsi ux éleveurs que i'a,nélioeouion dura-bledo bétail , celle qui fait souche dans

contrée, réside plcidt deus Ion perles.tiennemcots Immemmt 1 mors sûeomeutobtenus par usa sélection bien entendueqce par des métissagl'es, aux résultats flot-tants, vanables à excès. it é s jusglrCette Ibis nous sommes en au

Ce sdisions, en 1803, de l'af-

.. dans notre depaetement, f t

populations

amr de ce principe, trop Iongt { e-mmes q dose i à 5;i nt

abanon de la rota Baron aise, d t les Piedeos, des he d ,p t ors du

mérites en sent canïe,té,upar personne , ncours des set s que la -11 u l'arroy-

o me beaucoup trop cxceptiomiellc duos rhssement avaientsi t g -

la taule Garonne.n,'ée., vient de se pro', ro oves

Cette disposition a permis de multiplier val éclat, sous 1 mil Propos, et vigilant du

11p 1 1 ls Mauresque, l'a Oeil forcé,unièl,s4 -il donc d ns le oaese d, à lit ll était toujours droit, et por

ttQu'y

f, nt don Herusn. tait 1 ut s "Le sévérr, couronnée de d b '

A di j Jurd la poids ns plus bran q [a g ; noms des

d l - E y ,t il qua le frén,ias,.ments 1 't mont tous sese 'abaes. Ses titi l avaient urk.rr ic o ce g, and mot: la vn

regard Lits ; la p d ce Joies ségcanefl

y a l'ionnour -enquis i répondit { t de plaques s , et la

la Mauresque. V ll P t t e s fil voit peine mol- tc p o-

rnois,une 05010n, de toue eoocf t devra lu une.

LES h1EDLNA-CEL1. I l 11 glorieux onts 1 lle.., L, tchambre fmébre pic t t l'as'

V uus tain uses, seigneur, parla que veua Plot que ue avons décrit. I ,marc

7i1attendu trop lungteerps! III ncho! des magyar éclairait vivement la lit, eu-

Clsnche ! ce nom adore est mire cri de tonné du blanches draperies, et sur lequelIl(Vole le éosevel de Toalosase du 21.) guerre... la morte reposait dors son frais costamuc

lotion flle,Venez, dit-elle, la morte -On a creusé deux to;o'ues, liallmtia de

Je"n o'ae,z

le vieillard ; le serment .,,art aven calot L'embaumement, pratiqué avec art, laiplus quo qui l'a prononcé... laissait de loin toutes las appar,mies de la

le more... I.a,ssez celui-ci à sa trabion, re. A certains jeux de lunrié,e, la suaveet si ons c.as erreurs ana le ul de -Blanhe! répéta rArraaina, enez beauté de ses traits semblait sourire,vous chuibe, à votre tour, que ee sait Don llweoan so mit eu louchet moi, o A cet instant surtout, l'illusion était om-

autre nom vint à sa lèvre.pD II r oui Ici do, ne soir lis ae.

In,, I...plate.

1 z mita main sur l'épaule de Virolait Au d. ne l'entendait pas,; ll p ursui- Viucent se tenait d h t et découvert à

outil ,ait : la tête du lit. Au pied. lace était agenourl-

- Nous- ne sommes pas vaincus, Mon- - 11, ont couple sur la faiblesse de lés.

cade, dit-elle I ion vois Laute et claire ; votre dgu ; ils se sa;, oli, : a La souffrana C'était contempler ça tableau que

pJ k I,.. t p 1 g é M. d H ti n de Moncade venait d sas.

P dort I J L i. J 1 Jf p fll. l' t

t I I b 1 n do tt :ff béa coméd' A ' T I gardaitelle, nuis damage

il'.. oilme t tft tell

oi

JBI I 1i,

a quo avec vexentJs

Lion.des profaoanop

Î bIJ I11 a,ont crans la chambre mer-. - V moi da a- au. j... po jImr, ldpore de cloua ode tua i hé i..s

t Ils; lede1Pieds t le

. jeMoncasasril.,et -

a.omn, 1 M-u RI ql h répétaLe vmilluei rendit un sourd se-

que. d c I t d l -t Sc.nisor. a

- éllenoe, femme) mort. p t I Il t B t x p mont.

c faut r f { Il 1 I f t far Iamour, ps !Il, h ion I nia haine 1 murmura t il

tressai ,t; ou, p prise. j hiatal t pieds parie q le es aile av,e a, s etrang,.: nn Espagnol

ter 1 l o b e . , . J t tOr

s s,,nte et e a ty J L td. ,pg r fis

çu nt l I Di du p p t sue n,me En( 'écria CAleicame ; Voici le

41..1.. \ aire , n él u et ,e destiu,;aq et[q

roof le même dalu !eurs'e g,nt,lhomnie

eurrier ! . Su' a on pire, var 240 dans [es J lies 1 ciel ...'l' r m'aime tuez v, rait de sc relever, après aelle lavait dit, les piedsoclne t' Nous liasse co euimerarcomme

f t 1 art dans sa pilote, comme 1se.n f d ions.Elle aussi souriait; son sourire serait

le coeur.D Duo sot do àloncm7 dit-elle

1 EI éohque .s'rémté dos b II morts, j é p dessus tout

.c monde. Vous lu fut bics du{ J bille mmcene

eth 1 ur r sl que vI- t promeleu.voua d'ino b edon

out le

ratdon

o le promets, répondit le secenaegois de l'araire, les yeux baisses, marela tdte hante.

Un smer sarcasme allait tomber des le.as d'Aïdda cc (ut dan licteur (loi loi

imposa s eluile.

- Don Vioeont de Moncade, pourailvrtIn,,, je vous pardonne, 1o prieDieuqu'il voua

octroc,

u,lco,p g e digvade.. Le don yue eje reelmne de tre

I vi1 loi . Vous ne mo défendrezpar t tien; n, par vitro épée, les

Lieni1

hamac de veneance.La p rDrm du Jouue veto, rendit en

long gémissement.1 s Pourrais M ads! s'éoeia

AEtd F éebo,oraté

J répéterV tu as p I

ll V lit p ers Inca. Ilru ,

1 loil J ivre.J- P"' I t 1 u ela me!..

AI tout c t st t et mous...N y z 1 que la tête de cet en.

...t 'Il t p, lireTais-toi, Moncade ! urd I

j'ai leuD ' - t lo 11 d i t

l de b p t Ils a

J .gtest n ante ont 1 hem s ealio u' entre a,, v moe .. ,

1 morte. e se remnrna f out le s. de l Arrcaiue étant à sess dE.à IL ta les ma, amie a Ell otant^.s, et votre soi ment va enl s'aueo:n eG>us mortes ici bas ; tu v, J

phi ! a'uppolles...Jevais Aici, Blanche; j,I veux lentement vers ntérieur de la chambre. tempes. Elle attendait comme Io tigre ai-

luez entraloa don Vincent dans son vi e I Son visage était rot pleine lainière. 'fout t tend sa prmc.

élan heeéenetible et passa le seuil la pro. La main ridée du vieux marquis, posant martyr a nu auréole, Il y avait autour do 1 Et deuil sa gorge hatetaetle eu mat gren.

e Jetons en voile sur, un passé dbsas-ceux; profitons dos orseignameut; chee-

chon end à l'Empan le nos et laprospérité; a Icintérour, le prestige et lop mer i0 Irvhéei or, noyons pasl'urri're-pmlaéo de rnprésailleo, mais cher-chons à changer la dbh'aveur et l'miroitiéeu respect et sympathie.

Autan taépérate.Paris, 22 mai an soir.

Par décret impérial sort nommés subs-tituts du procureur impérial : à 'b'arbes,

M. Groussoa; à Lourdes, M. Abeille.

Le tomit lie constate l'impression L".-rot, l. p d 't Europe p le résultatIn r

'i de 1 f f t tP 11 po 1 L l ts ssndorlh à l modéra t t à l'athitedede lao e du Uou cnt , nulqn so'parane junrus Ies amotérét t' tu l 3 I des i,tér dis généraux,.'obéit, de démarches et ses actes,quà dos idées d'spmsnmant et de coi

rle.

l'EmpreeneLe Dfonrzteur annnnee quede Russie arrivera à Paris le t juin, où

il séjournera Jusqu'oa 11,1.'fitwedard croit savoir qu'avant la On

de la semaine, une partie des troupe pros.siennes logos à Luxembourg irait à l.as-tadt.

La France dit que le roi de Prusse neiondrart à Paris qû après le départ du

Czar, vers 104:; juin.

P ei 2 ai.lier, chos, lie

de R. I t rédiéé io raponsc èmu, I on,ac 'alAd p .êl d ot t 1 Stesoiléb' Il di ç élpt.l

q i t sa bs pareils de paix, et termineamar

F l'Allemagne d,os sa libertéI p lj' mais

note é s deeelauc mil, oq mcotlagu

L C ee i n l tqI s t l a t

capon d t p,nnabie

n té hLi t

dule vu)aUc1_ cl.,eil,a

Rd queailIé he 1 Ipo pestv o J p tiller à k'ansdans le courant de juin. La date do dé-p t bL la ne prochaine 1s"ae0t I ossrblo qu'il sort reculé Jus c: près laPm.uccét

Lo Prince Rayai va miel, il ira trèsparis.

Aratae dbs:éclre.Paris, 2

10CLa,

ation lltl prirue mlé l l 1, t rtipud p t 1 Saint f.loud

l aile s, Lier, p ,è, mi-CesConstantinople, 22 moi.

I basdl Fa -:a relms, les,lSuit lLt ig

'ail pluL Slt L e t Itiro

L,eaon p P

r,'cId-P.éh., avec su. fil

doit: non: d tAold suI von, ai,Il l'aime pcl G

pèreD L i o

Don Iterran et lu. se regardaient bac- L ont dieu h,dalgo est une chatoe Ï.ment.

Don Vim.enq détaillant, s'appayart à lacolonne dlit.

liiezet

don llrenan se priecit à mar-cher Ion vers l'autre d'eu pas égal et 1

lent.Le àB

urndtcs'arrêts 1 4F

i nmrm, à au len proiesatao Alita poignant et trop valent Peur

nature, que le chagrin encore plus que letemps avait usée et minée.

Don flereau de Mmrcade lit un gestequi ressemblait à une prière, pour empé-

her Irez de s apprucherdevantage. Comme[nez avançait toujours, il baissa les yeuxet dit :

- J'si fait un serment !... j'ai fait unserment 1...

Sa voixaüérér, sonnait comme une plaintesourde.

sa-- Un Serment Solennel et deux foinha' I ajouta la Mauresqueen scandant e-

que met' avec l'éunegie de eu haine.ont le calmeSegneur , dit lues dont'

sembla t grandir su milieu des terribles',notions de cette aveu,, je viens à sonspour que votre -rot soit accompli.

Lt I voulut mettre un genou en terre.D D n aida d'mrfas.

dételles de vous agonomlleedevant sera-t-il. Que voùlez vous f

q ait eusP Agir ... Smsrssse la ,\t q elle sorte de cette maison 1

et vans -même avec elle !... Allez loinbien loin 1 et q D bublue

Son corps , t 1 Il tD V t et bdd t -DV e 'm'a,bl p I set

11 l rd rpussa tàl foistua tl Les s

,5l père on eue é pmormues V no'nt ,mécoutez la vair de

votre cmur 1

les ré impenses affectées ans seules ca-tégories de bmufs indigènes, comprenantla race gasconne pure et deux races desPvrénées , celles de

Saml-Girons et ao

Lourdes.Ces innovations ont re, u une complbte

5onction de la port du jury en présence ÿdes-00ombreux et beaux sojcts offerts à 3n,1 ap-

éciation , ayant ainsi les moyens de oc-mpanser un suffisant uomheo d'animaux

se faisant remarquer autant par la pueetéde lors races que par leur bonne confor-maGor.

Chaque catégorie, soit dans elles desmiles, comptant 58 sujets, soit dans celles

a eh-des femelles s 'élevaot ai t têtes,es.m lui étaient atn,bu""" les prix q

Notre belleeacente ]enr 1110e elle le mégie, en LUI, du

pro-

g anime de 1867 ; mais, par une brerwse.innovation , ,ne place à part a été f t.:lla s s rata de montagne, Si bien ad ape,par des apt,tndes depuis longtemps q'o -ses, à toutes les exigences du systéme Pas-total suivi joue nos Pyrénées.

Le jury a pa appliquer sans difficulté àces deux premmres catégories les priivesqui leur etamnt intentes. N6aumoios, com-

e les brebis du groupe montagnard oFfraient un ensemble plus remarquable etsurtout plus pur quo les béliers, le juryleur e attribué es quatrième prix, au dé-triment de ces derniers.

La troisième classe, comprenant l'espècepolicier, a noces, à côté de vient et per-sistant type du pays, qui e sa raison ilautantet qui mériterait une améLoration parlui-mdme qu'au lui refuse moue , destypes étrançers doue remarquable corsformation.

Le Jury a disposé do tous ses prix eu lesaffectant à nos individu, de prvavenmuesdiverses.

Vingt trois lots dI x de s lausé 'o t 1 en ;les

gsct,

l

e ontabordépouéles do q et l,

tour,t

,matoj

evain, quify e Jours , he-

norablenrent sonrang.Parmi les -pesants l'instruments, le

lvl, salif audens, sesvpl", liions I t ucteursrde

AsIigce, Cagous, L bToulouse S'ILdent les rracboucs vnrées et 4p

nsmaent tout un arser. I a,ri. i li,Gommerd produit, pour le prtoilea !ms

o échennJleuso 1 p 'dob L'as

luzcrn tires du eoieopil at, a au n illeur plus redoutable caoemr.

Les aerondis'emeotsde Saint-Gaudensctde motel out eu aussi de dignes enprenes

ors.Le jury a été liement de pouvoir alb-

1 leu médailles, qui ont absorbé lesdeux cents francs de Primes mis à sa diraposition.

11 en a été de mémo pour Ies or-ouentes oo,prenantvmgt sep5Iots variés

etdes plus iuteressants.

Lx vieillard élut immobile outre casdeux forces coutreires. Il

iils ,son

apparenteL

issI r rl fille lac t d i

dit il du t p péril, a;-ds t à 1 7 s'agenouillait

ha viee, dema.V genoux

oenosn1 d traîtres i

s'écria IAfrmaine; voici deux parjures, lepère et le fils... Mais lo serment nous ap-partient à tondes trois... J'hérite des deusparts abandonnées, et je l'accomplirai tonsentier?

Irez releva sur elle son regard éclatent

de résignation et de sérénité.

- la vous plains, femme , dit-elle ; carrl m'aime...

Cc fut un segissement de hou qui sortitde la poitrine de la 41 que,

mez poursuivit eu sndresesnt au vieil-lard V,eus

sures étés mépris seigneur; jene m'agenourllers, pas porc tlemandeeec r . La c diurne se prosterne sous lah h a s f ;sais Jc, moi qui 'attendsplus que L mort. J venais à vous pore

us.

Voir, t une draine def -rctt t lie; Ire sermentr 1 h t me. sangil.. _Ls : le ou

lPt que

I I p i t à d Tracent deC1 d d y s d P svotre file. I 1 t h c d

d d I tombe. Si 1. la*ose Leur

d L pl bl qu D'ee se;J t rc t b é aaitre,rus rend t han q est à loi. Le fille

toile, pour a ede liuzman est li esezn aicabre son éonsso l i 1'lnunode, se,.

Saur?... Les "'allé t ansées l'uni

Me,de l'antre... Tuez votre second,

i4 fille, et lavez avec son sang l'allient fait:Je suis la vois do la morte 1 pro. r la première ç main que fia sous soit pur

JEUDI 23 MAI 187.

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

premier magistrat du dépmteiocni e

plissant a umsmmr lient 1 q f itla f àio du nos Indu 4 p t à loi

aide ce Provoquent tentes t'Ss administratives qui peuveas 1i.-

t iessnr. _COMàtISSlli\ MUVICIPAIF

M .1'11 1 1 j ' t u llav .

1, 6 -tS 181'M. le 11 ueclare oa tc lu d.nv e

fu.u a la no local ci,1La Te. M. Asna, ayant o:C_ leu I i majorité

't ap fl cesf t

1. ail' t sert 4 1 te,tr l d'a commissions'

`vain :1 4 f 1 d l h p. 1

,clcvc al f nn j i,,unirai du tribu ulrsulmre de Jassy, rendu en faveur de

Al,_ via P. lienvoyé a 5111. Sar-raillé,Dotlig y

2, Ind. Dote demandée pur les b outar-r,s le ln Oraison, rue il. Pont numéro b.- Renvoyé à 6111. 1lécunris , Batiste,Su cruillé.

3, Snbvent!on demandée à la ville pour3a gave 55101 Cyprien à 1 suite de l'ovinéons par la cummissron d'engoéie.-lien-voyé à 5IM. Dont, Alité, Saunai, Lézat,Pigne,,

4r Autorisation de rendre définitifs lestraités passés avec les sieurs Biques, Pu-jol et Herdoulat, pour l'acquisition de Iraissn is, dont I aaoupetion est .Cessoire,

o.vert,re de la rua 'lr:msversale, douaia partie p ' l I AssI a4 etI e h.MM, a Cl. 1 Gi 4 1. Viçoae,

Léray Allié, Bouseb . it Cu hu Ba-

Sur Proposé de Ma l' us

lion4o Adopte un piolet d h 1 har-

pes pour la démolition otl' va"'I

des maiénaux de la masure acquise par le ville,ue dn lent, numéro 11,r2a Vol,, à tare d'evanc. fado au dépar-

tement, tn crédit de 2,300 le. destine à

u1 o 1 .

s n i é 'Pet m

Pe Pour m chargéed'aller étudier 1 Expositon universelle, ence qui conceroc lesamélioraiions et iunova-lions,odustrielles, artoeiiqucset ales, réalisables dans notre départmment;

Nomme à deus bourses communalesnouvellement créées à l'institution desjaunes aveugles ;

1. Aotori,a M. lo Al"!" à traiter aveu1c silo' D", "Y , pour la coupa desBabas aucraea autoul de l'église saint.Aubin ;

a Vote un artiole additionnel au cahierdes ahar7,s, pour la location des locauxquo lo ville possède rune Rivale;

h' Autorise 11, le Alaire à faire vendre,a. mieux des intérêts de la ville, un vieuxcheval attaché au 0emoice au Jardin des

Pi dues.sur le rapport de M. eLézat, la Cion dun adopte n, projet do sdoimüon du

p cugc alsacien au pavé ordno

inaire sur di-vers de l 'lie t i.et à la dispe.

codonil',

il le 11 l crédit nécessaire

pour le-écucu de ei, projet.Vaut d'on édit de 10,000 fr. pour le

dép.laeeonm4 ale divers service omme-aàtullou dons les bâtimentde Capi-

telee(!4l, Lézat, rapporteur),cet !armorient au conclusions d'une

,sien dont Al. R unes est l'organe,le Coi met , la Ii', siLie. de M.le Mai, nédit de 1 77 c p

omboursenlent eu s

e7

'l'hibart, de laaval'ur des

matériauxe77 fr.

apporteront, etemperlés par l'cntreprencur lors de la

usirnelion du, trottoir, situé devant sonh,toi, tue Suint-Antoina-du T,

Sur ]e rapport du rame embre, laCommission met à la

dispositionmde

M. letflaire, un crédit de 18,00011- pour l'ac-quisition de leur pompes d'une machinedemi-liur, et de dinars engins destinés à

er le foneiionvoeent de l'ancien e60-teauvd'eao, pendant le temps nécessaireJiaur ta transl'omati.r do sas anciennes

afin de laver mieux... et que votre fils,ma. époux, puises peler entra doux fosse'remplies, après yin; votre poignes aurabéuilaS noces vengeresses 1

Elle arracha la dague qui perdait à 1.ceinture du vieillard, et lui en présenta lapoignée de le main ",aile.

Elle abandonnait sa main gauche auxbaisers de Vincent qui la baignait de ses

Jarmes brdlaaes.fille était belle, en vérité, halle comme

lema,

sourire des saintes..h ioda, ramassée sur elle-même et souf-

frant tous Ics tourments de l'enfer, la cou-vaitd'un red de bote fauve.

lieu Herdml de Moulants ne prit pas toutde suite le poignard.

Il hésitait.L'a,![ de Vincent dardait jusqu'à lui sa

muette et ardente prière.Se gorge rendit u. cri do profonde a.-

geisee. Le vieillard avait enfin avancé la

'coinet pris la peignée do la dogue.

- Colla-es a le entai espegrol, pionne-ru-t-il d'une voix plus vibrante et plusforte, celle-ci fût gicrifié me maison... manoble mère 1'est e gaidée il'.. bon mit,assise ou foyer de [a famille,

11 semblait qu'u. flux de vigueur fat,a Sa. ee loi. Sa pale était hautaine,fion foi[ grand ..vert, sa tuée fièrement

lu,,i

Irez ui souriait doucement.Dans la silence qui ai, an tian-Vint

et lete.df4 que les sanglotedu

o

Vi.oe,

rSlo qui grondait dans la gorge de l'Afri-neDola

Incz, reprit levieille

1, j'aicompté les joues et les heures dans

pot.

Soute du moment quo voici.,, Dieuvoulu que Ire désira de l'hmnme fassentaveugles, d'os qu'ils ne sont point inspiréecar la miséricorde at l'amour... Lettefleure tant souhaitée est amère et o elleentre toutes las beurre de me vieCettearme brille ma main, je no veux pas dem engeance,,.IL

laissa tomber le poignard à ses pieds..D'an bsnd de pa thére, Aïdda le saisit,

.t, se relevant ivre de fureur, elle s'élança

machines.t de L nd le

du fblHie

de Smnt L' p (St d, (1 - d )Sur lec II 6d M Lé 4 ltf

dénounnat d l r dsu-llosdla 'lie, laL déri-

domou soitdc que les pièces du dossierit ap.. s a e t t le alie0100' M1f, l adore, de la ril

nomm'aman

avant1 I t rnudro canna

qu'il t tté.1, re est levée,

6n mur, u"o Ivs arannteus nunxas mo1sn,vu, 1

Séance du 9 m i 1867.

P sldenee de M, Ccos.IR. Clos rappelle que 111. Filhol et

T b l Lagsarvo e cou oo { t Adé 1 ce d f 1S')

]a

lé l i t] eu i l'S bois onLier lalgardaa d'aeno e eur ho il0

u

oliep ur l il;,,

Toulousain,,

l. Lmndorum aborlirurn de 1 rune. lb. Vie toi'Lacaao l'a retrouvée, à la date do 6 de onfrais, dans le Banroer du Moulin ale IL.quelle (près de Pinseguel), non loin de lapremière

etindiquée. Elle y est assez

boit et,, t il en a présenté deséchantillons àl[. Clos,

Mais une découverte d'un plus grandintévêtent celle quu meut de foi, c 1i. 'or-

thés du Clgpeoia grueibie de M. Plancher,tir les rochers dits de la Fendeille pros

de Sr,,..oCette gracieoee ' oeifére estuuelle pom lo département du Tarn oii ne

le sigalepue M. de Martels-Dunos dans asrécente Plurale. M. Clos Pavait pedoédem-, nt cueillie à Villespb (luge), ..r I

1 au v ont `+ 1, le Clypde L:sséd t le C. Qua ncoi pei4être qu'eue vanétd. l.e découverte de M.Derthé, se recommande à un double pointdo vue : elle ajoute une espions à la auradu Tarn elle rapporte un nouveau toiten l'avear de le déinonstratfou que la

Ïf t st pas cssemellranécum-

qiisqu'oa a déjà signalée en

Douphimé Glanai);, agas la Dordogne(l'abbé Meihea), dans le Lot (Dont Ponr-nucoule, L. Soubeyraoi.

- Si. Ad. Baudouin, appelé par ]'ordredo travail, lit uu mémoire dont voici lerésumé :

Les biographes suriens tant connu leprocès de Vanini que per lu DLercven deFrance, 11120; le P. Mereenoe : yuestloussur ln Gaaèse 1023; deus Chaufl'epié:Nouveau Dictionnaire historique; 1. P.Garasse : Doelrine cu i ea rie,, 1624; leprésident

Graau

mort Histoire de Francea paroi de fa mort de Hertrt IV, 1643,

le Paanuanmde Bayle iet dans la lThéologiede Leibnitz.

l:n 4812, M. Cousin a lait '...litre(Revus des Deux Afondas, livraison dedécembre 1845, le texte morne de l'arrêtde c.maturation du 9 février 1010 larelation de al sJ d Capitole rédigée à

p g plie de Catel tla fia de 1('11Te

e

jeux prétendus extraits des dedeMelenfant qui ne se trouvent pas dans lesdeux saufs exemplaires connus de cesmémelres

A ces documents, il faut ajouter aujour-d'hui deux pièces nouvellement décou-vertes dans les archives départementales(fonds de l'Archevêché de Toulouse). CeSaut :1a uau déclaration faite en Sorbonnele 1"" octobre 1016 par deux docteurs enthéologie : que l'approbation par eux don-née au livre de Vanini n'avait été obtenueque par ruse; 2' une o dousance de M.de Rudalle, v général de l'Arche,l-ché, rendue sue l'avis de 4 douteurs, le40 juillet 1620, - 47 mois après le sup-plice de Vanini, - pour conda.,oer

athées et fauteurs d'une liberté

alemieshls, Pamphieoéfur, de la divineprovidence et les secrets de la v,xluee,

]"étudeattentive de tous ces manu.

meula démontre que la parlement de'foa-

sur sa rivale en disant :- La vengea eu qu'an jette, je la

'a-masse

; Blanche de lloncade, moi seule loijen e souviens de toi t

Elle frappa d'un premer co de poi-gnard don Vincent, qui

ifaisaitupà Irez un

rempart de son corps. D un accord elleherchait le rieur drivez, lorsqu une Si.mitacler

la Saisit aux cheveux.C'était le vieux Donna., qui lui tordit les'lis d'un bras puissant et la renversa

terrassée. IL la poussa du pied nomme uauesclave. Comme une esclave, A'idda rampa,embro, mais silencieuse, sous le pied qui

l'écrasait,La couteau avait glissé soue la bau-

drier de don Vincent; sa poitrine étaitqu'effleurée.

Don Hernan ports la mais à son creur.U. voile sembla passer cor son regard,

- Femme, dit-il , mai seul avais ledroit de punir L..., Je te

déjoués

d'ou-fr la bombaIres paroles sout comp-

tées.-,., ne vois-tu pas que men heure an-proche

V inc nt le regarda et poussa ma cri detcrrour-

Debout, et droit qu'il était, quelquechose de funèbre planait autour de lui.S.

face était décomposée; un rayontroue remplaçait son regard,

- Oh es.tu, , Vincent ? re[il'it-il ; je n0La vois plus.

l,a main du jeune marquis tressaillitdoulmreusmnent en touchant sa mainfroide.

Don n s'appuya sur lui,- Ceuduionduis-mof vers ma Mlle, ordonna.

IL

alla jusqu'a. lit ; sis Vincent futobligé de relever la lite de la morte pourqueétait rigide,eSot""

lu

r suafront,

gide, pût déposer un kaiser su

Je te voyais, mon enfant chérie, dit.il tout bas. C'est toi qui murmurais à monteille Ne me venge pas ! ne me venge

pas!.Restez tous auprès de moi, s'inter-

rompit-il à vois basse; pas de médecin,,,

lause n'a co is do philosophe napoiimis,

Vloini lot jugé t d il m'osentI p l y de Ucio.son,

à l 'arrêt qui l it à perdre lat I

'.i lot il dueansreoesju,pl-1000uufhsames. L s

Juea.l

n rani pou1. t ci,

dereay uniq.e et wrool' ;qa, fèr L de quelques thé.l..

s avant

etit t in a,-

clofmtsl ouis n.lianqui plus oi d s ,,tinrent .ide dépose r; la situation p't lir.remeut

ai,aaiiouseepour n'wofi pro

s ëpohdrea

Paris de son livre desp5 F d itore, et «I es yens subreptie'e qu'il avait

leupie

rouimo

le Loir' alf linle, pçons véhéments q p' tJ uu prévenu, qor ne veut dire niq i st, 1 1 nt,0.

mneon

21ibr l { U I ét t

ue quale

ta l tc

nquelqui o te, rte identité e aluni ledeux mms.C'est depuis boise que, JulieCmsare Vanini est devenu Lvcilio Vanni.Cette découverte frayait au portement deToulouse des ,,,.a' posdmmes de ou-'iehon. Les théoiogfee, trouvèrent dansIes livres du philosophe, qui avait co,eundanmé comma cibée, mille démonatru-tiens d'athéisme. La vérité cet que l'Am-phifdeaarum n'est point dans le cataloguede l'Index; le De areanis s'y trouve, maux

e

cette restriction l'avorahle : dorercoriealur.

Quuud il fat établi que Vanini était onthé l dire, pour 1 te Iun

el, t e,m I, ou rpp, d Guillaume Cat,l dIuv oiicoin dais roc so. Le masqua dU

d'avoir en qualyeo sorte arraché sad fou

a ci

étI J tédd sl ge S.

, ai miaille, d 1 l p il d f 1 skali laient la il, ni

inpa t oi

cotés, 0r c ac0F,re smpathique, Ce lut lavictime, digne

docommisérati.n, non pas

tact du Parlement de Toulouse, dont l'in-tégrité n'est pas douteuse, que d'une loiévidera nt In u

queeffet, par le

Louches da temps, ce q e cette loi puuis-Sait commet un crime, est, de nos jours,Se n.u cumme un

droit,

et le Soeoété vit,ns que les r limions en

mrent, en

pleine liberté des opiniersmétaphysi-ques.

Cette lactoro donne lieu à une di.m-aion, à laquIlie prennent part 111M, Gatien-Arnoult, f uisse Cibel et Astre, ils s'ueeor.dent à 'e0000eisea l'important' des do-

its si trouvés par fi.Boudeuin et à le r,merrier, de les avoircommuniqués à l'Académie.

Le secrétaire poeplluel,

Dans sa séance ordinaire du 21 moi, lasociété impériale de médecine, chirurgie etpharmacie de Toulouse a procédé an rc-

uvelloment de son bureau pour l'armer1807-1808,

Ont'té nPrésdent, 51, le docteur Marchant;Vice-président, ll, le docteur Raque

d'Orbcastel fils ;Secrétaira-génual, M. la docteur Gis.

arc;

Secrétaire de prime-mensis, M. la doc-

teur Il ... calais..Arahiviste-bibliothécaire, M, le docteur

Guitard ;Trésorier, M. Consens. ;Secrétaire des consultations gratuites,

M. ledocteur

Tereon;Membres adjoints au bureau, 111. Oaus-

oe I et Magne,-Lahens ;Commission permanente d'hggiène et de

salubrité publique, MM. Armfeux, Gaus-sail,'l'imbol-I.agravé, Lafosse;

Eomité de publication, MM, Naudiu,Avoicux, B..nemaison, Lafosse,

Ti.bal-

Lagrave

A l'audience d'hier, leTribunal correc-tionnel,sta4uant en dernier ressort, a con-firmé pomment et simplement le jugement

un prêtre pour aider mon aima à se déta-cher de mon corps,.. J'ai v 'pore ; il Sou riait, c'était ai, fl rétie.,,,J'ai revu le dernier soupir de ma mire ;elle priait peur c'était une sainte,.lloi,j'ai lec mur triste et je ne pour paspardonner.

Sa voix allait faiblissant, IL appela.-viacte, de M..cail !- lie voici, m.. Be,orrépondit lejeune

marquis ; votre mai. est dans les mien-

,- Don Vincent, répéta la vieillard, moaarmant meurt aven moi ; je voue relève

de votre promesse.,- four ce qui regardel'avenir, laites sale. votre foi,-- Donc Irezest digne de vous, et notre Cid épousa Chi-.en,,..

IL sourit are loure air es mai..- Est-ce toi, A'idde P demanda-l-il.- Seigneur, répondit la Mauresque, la

fille ducomte-dur

est entre moi et monmilice m rani.,, u muitee qui mfrappée et foulée aux [deds pour la fille du

a te-ducDon Berne. retira sa main et poussa un

long sopir,- La fille du comte-due 1 répéta-Hl,

Bla.cha , Viens-ta m. chercher ?.. Ohtu descends du ciel pour prendre mon20.,- Nous aurons deux tombes voisi-

G C était penr moi qu'o. maillait hierLu terre des caveaux.

- Mon père, pardonnez, au nom deDis. ! supplia Vincent.

Et nue antre voie, douce comma celledes a

Pardonnez, pardonnez, mon noble

Don Reman s'affaissa dans les bras deson fils,

-Blanche!... dit-il encore, c'est toiqui as prononcé ce mot pardonnez

S. poitrine cet uae comte convul-sion,

ll y avait trois visages penchés avide..cet eu dosons du sien pour guetter sadernière

e parole,

Ce fut comme un souffle exhalé..- blan Dien !.. Soyez bEnfant,,,

rendupole1 I I1 mille boler surappel t J .t p l p 1. 1

Cb I et CM ver e des mpteura ày r, pont la ville de Toulouse,

114 11 I 1. 1 Lolouse, devint00 I Ibual le I I de J P

té I' J' t qui fait h r t I

,oral tt époque, l'. lie

lins le eic i 1{.;I'', aie empli

11M. S et 13 , employéssoient, mardiles 2 l 7 , r

,]ansla roc 7 P d -de-l'IJ -1 ., I qu uni

faute odeur le hrhlé happe tout à coupJour odorat

Lever 1 l to explorer les mailles .i.' d A polloire d'une

nl 1. é

loin,J II' tpi bss re. A. lois, l ,I r 'é

Ilrangées eu bataille no laissaient échappéea.rome fumée.

1111 S et Il. pouismvimcnt leur route.C.p rlairt cette odeur doutent de plus euplus forte es semble s'aua,hor à leur pas.Enfin, M. S. se retourne, s'arrête et pousse

ri de stupéfaction, Le faner de Erncen-obé est à eue faible distance derriére lui,M. B., prévenu parcipiteIo cri qui frappe sesteiller, va se prér vers la porte du

Capitole et appelai les pompiers; mc'est déjà inutile. Plus prompt que l'éclair

avec un sang froid etou

conraledianes des plus grands éloges , a élan fl'éles Gammes... qui ont dévoré la sue etendommagé fes

hale

m afin parapluie ilportait leu, le bras,

0000 u .rit en conjectures wrleb Cannas1, - t e, Cepondaot fa malveillancel t t tout à fait é eongèra, On nue'

Ode ,oucoruoet a en jeter la faute suron

fumenr

t ici prudent. Le parapluie n'étaitpis ssué.

Les portes ont été évaluées à 10 frenrs.

Caisse

d rnln,les 19 et lundi 20 moi.Nouveaux déposants, 20.

Ronottes du Dimanche.... 19,321 00Dépenses du Lundi ..... 47,7M 41

Boute.,. 1,769 57

72= nr airPrie nnedes us de onilucgui ront

exécutés le 23 rn tir 10 0rcuit.Rand, de3 lierres à 1 heures III.1, Le Cemarade , allegro milbtaire,

(Gacdnee)

2. Ouverture de Fr¢-Diarob.. (Arbre).v. Fantaisie sur Orphée aux Enfers,

(Offenbseh).1. Mosaïque sur Si j'éOais Roi, (Adam.)'. La bénédiction des poignards dos

Fluquonote. (lleyeebeer

f,, Pas de trois et tyrolienne de Guii-Iau,ue Tell, (Bellini).

7. SoheidcherGZ, valse, «Long]).

OBSERVATOIRE DE TOULOUSExrmieenn, 198 mÊ,a.S.

Extrait des Observations FJAtéorolegvquea

du 21 mai 4867-

Chemomàtreoantigr, Mimmam +Maximum+ 17,5.

nxnans. -..Ère.. ÉTAT an coin. YENT69h,dum.,0-,741 05- couvert. - 0,

faible.lfbdi, 0-;741 30- id. - 0.

faible.3 h.dus.,0-,74M1 54- nuegcax. -O.N.O.

faible.

Le baromètre est à peu prés tabou-e. Le temps est è la pluie. Pendant la

ami, il est mrnbé sur la plana-larme del'Observatoire 12,2 millimètres de pluie.

Le directeur de l'Observatoire,Dncon.

ras, la ehmaigss laea!a al Loin ce qui peéslit,A. Poron.

Auch , 22 mai.On nous écrit de divers points du déper-

roble enfant,., je pardonne.,,Les lèvres d'Inca se collèrent à s

Jeu

IL au respirait plus, 0. vit poindrecomme un rejet de qui étude sereine parmil'austère beauté de ses traits,

Un grand silence emplit la chambre.Ve...ul et tuez étaient prosternés,,. Cesdeux visages de morts restaient tournés1'.. vers l'autres, et heure sourires le.mobileo répondaient.

La voixix d'A'idda troubla ces muets reoueillements,

-Moi, je en pardonne pue I dit-olle,r, 10 m chaque mot de sa gorge 000 t0;io il maudis mon maître décédé é comme

tu as maudit ton père vivant, Vincent deMoucade

Elle était debout sur le seuil ; sa mainbrandissait le poignard da do. 1 [frnao.

- Mci, aohova-t-elle an étendant sonbras armé, je vous hais maintenant d'uneseule et même haine,-,

XXIVenLTAtt-r

IL n'était pas plus d'une heure après mi-.ait quand le bon duc de Medina-Coli, àle tête do ses trois serviteurs passa lagrande port, de la maison de Pilote, Enquelques minutes, la cavalcade out attci01la porc Ro,vole l'armée depuis le oouvra-fou sonné, Deos lo coeps-de-garde, Ils

es dormaient o causaient desvé.en,ents de la soirée. Grade avait été

l'émotion parmi la garnison de Séville, Les

moindressoldats savaient que la cousigno

la plus sévère avait été donnée pour lelendemain.

S'il écrit permis d'employer une locu-tion toute moderne, nou s dirions que laville Gm!t par lo toit vu état de siége.

Le même corps-de-garde rénniaeait lesmilnolets qui étaient la gala on propre-ment dite de Séville, les hallebardiers doquartier équipés par la bourgeoisie, et lesdeux cavaliers de l'hemandad qui .formaient chaque poste dans les grandesoccasion,

Los hallebardiers bourgeois avaient tout

M

tl'

1 in 11 4 e1H t t9 I .,

' I e 3 T,io ou! t [ S I,

édmntes part II ,verve., Ales aror!i îlot II' q, i,.e ulé,oisayant été lin pi:s fra P 1 queues pic e,l. .ont.

l'or ond,ss ont d, Lomb lis e -eauJ O L

,us m m Villelreneho Gai Notre tar

nous

o, retetel,

, InSioj.c,ior

u ,aym. ,ain.T Lm St 1rem na

M I: l l 1i ée

d t

toute nature. L F @ ' 1A f1 uu f fl tll o t f t r'olurtes quels .,lors f u t s et .aire, pa lisc

ont clé dce,r,oés, f 1

Dans lac orne de Cous la In d à pproduit ou de ces cents no t. l plus t ia ili o Ofvt l , .es que suryr a. su e n m

(Gal rais, ayde

1 h maître valetliez le eur Bouvnl , propriétmra an lieu

de la Ça 4opnèrc, était à lahoneor, on coinpagaie de 1 { t t l .'lion, dans unchamp éloig 1 t de trois centsmètres de le I bt quand tout à-coup il, le l s m, orage et [S

Olivenu, arriver ,n,ça,t,.de dételer pour voter e; ana s a pmav u-til fait quelques pas gui., oo motionélectrique ePoignet et Mcollon, squias'étaient abriféederrière mae haie bordant le champ e5 ilstravaillaie.tperdirent de vtic Olive; cepeu-dany après eu écime et an violent coupde tonnerre, toc odeur de soufre très dé-

a .ivo à e ; ils orte.t uneegréableoeut du lieu oh ila ëétaieut blottis et

aperçoivent, à la distance de 50 mètresenviron, leur ce,oaoare Olive étendu surle sol, la face tournée contre terre; les

I Ol t e

t f pl .q. p la tiendra qui lessailli3'.'ut mêle

leu oamamdes td Olive tv ont à sonà, 1, appcileni des g'nUndu v

,race, et aveu leur aide, c, oenalheornuqui dunn it de vie, st traospor

heu Ira. M. L t. ff d t t

.aura de Cea t li I l. tâ ent rendu en t. at . hâte chez 01 ve, à quie prodigué Ies soins que n ' l 'tétat. De la déolarotroo du mug 4 o dootour, Olive n'est pas en danger de muet ;

rétablissement sera très-long, le sys-tème merveus ayoot été fortement affcétépar celle secousse eleotrique, et la para-lysie, qui en est la suite, existant encore aun haut degré.

Cet accidenta produit une vive sensationparoi le habitant, de celte contrée, quie font dlffcilemriot à l'idée que le fluide

ait uu être attire en un lieu i, rien nosemblait devoir déteroiio e un ci uSautélectrique. La lacs. qui expligm ce phé-

o,nboe est prohabl'aient le crochet on ferqui se trcavo an anilieu du Joug réunissantles bmufs au travail, (Gara)

Tarbes, 21 moi.Une grande partie du départementsenti le tremblement de terre que anusns Taches, duos fa nuit de

jeudi à vendredi,-Ou nias écrit de LomnéI.e tremblement de terre qui nous a ré-

veillés au milieu de la voit d. 10 ea 17a duré 10 secondes, La c motion

était tellement forte que scil-laocnt comrnu des de ahemn defer lancés à grande

vels.IL

est a craindreque,

par suite de cetébraoleme.y plusieurs bétiments ne finis-sent par ou!ci. On s'est immédiate-mcet occupé de vérifier l'élut des habita-tions et do pourvoir à lear solidité.

- On nous écrit de Taurmy :L'orage qui, dans la parlé, (lu I5 ai

e éclaté sur notre canto. a plus particuliè-ient sévi sur Ies couionuaos de Bordes,

Colavaoté, Grader, Lespouey, Le,, llas-

as, Nouledous, Peyraobe et Sinzon, 0.

estime que la tutelle du vie et celle des

,L,àLaigu,S et entièrement pendue.

U On mus écrit)de Trie :terrible orage de mercredi dernier a

causé des pertes Iuaéparables. Les com-.ces de Sève Rustoiog, Dugord, Lama,-

que,. Villembits, Luby, Lubret, Antin,0" cela, 'Vide. , Ber.odets , Bonnefont,Lustar, Sadournin, Lentraille,, Lalanoe,

Cap'1re et une grande partie du isset'

naturellement la plus m se place surla paille et la plus petite cuillère a la ga-

ielle. L'Oermsndad tenait le haut bout, àla condition de sooOeir patiemment cer-taines plaisanteries risquées pur la troupediabolique des miquelet,*

Deux hallebardiers veillaient au-devant

de poste.

Au bruit de cette cavalcade chargeant àfond de traie, leur premier. posée fut deperudro ba clef des champs ; ils préférèrent,après rlblexiou, se retirer en bon ordretir le aov ps.d'.garde. `f'ous deux jetteront

leurs piques afin de micas courir.- Alarmet alarmet cri ment-ils en

PoLes neoseutrs eurent la parole coupée,

les dormeurs se mirant sur leurs pieds enSursaut,

- Qu'est-ce, Go...imo? Qu'est c,, ma1-tre Miguel ?

Oéronimo répondit :- Merci de nous tous! les desservi-

dates sent plus de mine, mus montéscomme saint Georges (puisse-t il cous

aide, et aussi s m Jacques!),E us armés comma des citadelles t

liais Miguol disait :- Les Pronoil sont entrés dans la

ville par la potin du soleil... et les A.-glais hérétiques pin deesns les veilles.,Ils viennent le feu partout sur leur passage.

On frappa rudement aux châssis de laoraisée.

Les migmlefs'salèrent sur leurs armestaudis quo les deux cavaliers de l'hermanded s'aecnteient prudammena duos le coinle plus obscur du taudis,

- Holà! qu'on ouvre la porte! criait ancependant au dehors.

- Qui nove I demanda le sergent desmiquclllesd'm

Celi, par le rail

Les ni:qucle,, sortirent bravement avecla lanterne d. poste. L'alfenra Si porter'es armes et mit chapeau bas pour exami-.en

le sans conduit,- Mnn eigneuq ait-il, .i'aj aomm'jde

braves soldats qui vols avalent vu l'épée àLà-bss, on Flaudrel Dons caccn-

il nuit.Deux louve iI 1 1 18f6,gel,

1'u. de I c c de C,iy e' , unie deelle de Vas r LfGis aux tri-

bleues épar le s. 11 b lave, lav I lP é j t

voulu'L ..t wIpéu. "éaifait couper

1es

deus premières pI auorede l'indicateur de la nina u l 'soi'.avait rmpluyé cerfaines substa.ces peur

Palopéeie.simulerEn ,ard da ces tristes temntiveu, in-

dignesdn la jeunesse froogaisv ot heuren-ent bien riras, nous oiteruoa l'émule'

Lien patuiotique de trois jemres e s deSainte-élirigte , qui o haussaiô s

leurs pieds poue essaye, de pro er qu'ilsfient la et voici aient la

nature qui les oxcluai4 des rangs de outregl

Le 18 dn r t, ent re midi etnnah 1 pl l. test arrivé àai b 1, wq { k l oe t 1 1 on la an esd'El

Lad c M.oii l,crmain,épo0seL ciao t en domrcl' à laflou: II de la veuve Cape lie,

i 1 1 F, qné,,butta, ] t t q II -.t tt4 I r . f I rdliea-

L, t bè0e s toit à Clté t le ldomo l s e peuvent la matn-

son, la femme Peyyrue a voulu sélanoer àterre ; s niemo instant, la voiture

usé et lu amulheureuse fco m bue adans cette chut. le i fracture. Tiens.portée aussildt couvent Saint Cyriee dulanbourg, elle e été visitée par d1M. lesdocteurs Alpespy et Rozier; mais, malgréles soins qui Ira ont olé prodigués, elle o

-pieé vers six heures de soir. La femmeCapelle, de sou volé, o au le bras gaudedémis et ana jambe comnsiannéo, maisson état n'iuspfre aocau, inquiétude,

(Le ie'apoléoasre.(

"- apprenons que le 11 de me,Mgr 1ltvéque da Rodez, .o allant de f lo.-'Is à Boro antan de Saint

bree, e éprouvé un aceident qui, heureu-

nent, ,i a pas eu de suites hie. fàrheu-

'oA cet endroit de la rcuie, très rapide,la sangle du chacal monté par le prélats'est rompue. La selle et le cavalier sonttombés à la renverse sur an rocher, Cettechute, qui pouvait avoir de graves roule.quencesna on, asio.né à S. Urmodeuqu'oul forte annois nn ao dos, nn peu aa-d. fe l'épaule, co qua es P a pas em-péehé do continuer à pied sa route Jusqu'àBarn, là les soins les plus empressés luioutété prodigués.

Deux heures après, Monseigneur étaitde 'Il,eau à cheval, se dirigeant versssfut-Chély on il cet arrivé la nuit, et d'air' I o pn continuer sa tournée pastorale dansles autres paroisses de notre a tondisse,ment. (Eullrlin d'Eapalian.)

On lit dans l'Echo da Loobèee:La journo'c de mardi dernier feraépogao

dans a annales locales et constituera

une datenéfaste pour nos propriétaires.Ou cage, equents.s o ide iust......c

etles

par une chaleur evcossiue pour lie al-

rayé, le soir, vers les trois heures

ourla ville et les environs. Eu quelquesinstants, une grêla épouvantable, tomlunt,suas pluie et .,,a ..a extrémo violence,

11,11 1, vos histoires, autour du fan de.aitVotre Grec daigneras elle nousdire le fin mot de tout Il qui se passe f

-Ma geai. né pas le temps, mo. c.ara de, répondit la bon duc eu riant; ça

aurait long, et j'ai de la besogne,,. Ouvraporte.-A la hersa, Miguel et Gero.imo!

commanda l'effarez,I.es deux pauvres diables sortiront mut

défaits. Les ferrailles de la porte crièrent,et les battants tournèrent sur leurs gondsrouillé,

Le sergent, ses miquelets et morse les,aval il',de l'heounandad vinrent sc ranger

en haie des deux 'étés de la herse.Le bon duo jeta sa bourseoiau sergent

pas- Vive Dieu!ce

celui-, ce os molle comte-duc qui agit comme cela! QueDieu vous peotége, Ibrdina.Cell, cor vice,oyagez celle nid, j'en suis certain, po.r

la mIm da l'Cspegue,- Part à tons, n'est-ns pas, bon duc?

demandèrent les cavaliers de l'hermsndod,Les trois Nous, passe mens les premiers.

Aillled!lons

na-0oli é approcha du sergent et fuibits :

douzième heure?ont Passés depuis lu

Oui, seigneur?- ce al?-A cheval.- Combien de cavaliers ?- Une douzaine pour le moins.

Aveu un sauf'-conduit Y- Donné es nom du seigneur comte de

Palomas.- Et.,, ces cavaliers eucortailet une

dameEue dame, Excellence.,, malade, s'il

'est permis de dire mou avis, car deuxcavaliers la soutoluieni sursa selle.

Pou; Fbnsn,

(La mita A demain.)

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

I littéralementles récoltas panlité dos propriCt,

haché, pulvérisé 1 La mesurequi a remplacé par un ,]ai- fassent connaître les noms des auteurs des'quo lots- 1 .on l un des tanibonrs de ,,troqua campa' demandes d'interpellations, surtout quandd é

du

Gréien, qui étalait, il 5 a quelq les ours,pl 1, ri t

le lof l. Il I ,],,t notion In plus,coupole I t t dé,e

sans Ismll , et sans fans, Ics ja tinsp o l e r s ravagés

comm,,

si des ,,Bases deis1 vair t t é ue, I -leurs

P tout 1 i i -é 1, l"'. il is

laissé quo la dévasmiion ol In roine. C'eotilI ,,ai désastre dont nos propriétaires so

rc ,toile, ll=piJamais, de ""' un pa

phénornéne ne s'était produit dansnreilotre

pays; lourais la gr'le n'était tombé,, sacspluie, et, à anaue' époque, à beaucoupprès, les grélrns .,,avaient atteint de stvoler use; dimensions.O. en a ramasséqui iraniens presque aussi gros qu'un mol

Nous apprenons qui, quelques localités ne biberon des enfants nouveau-nés, Levoisines ont plus ou moins sonlfert, et mi. lait artiljoiul se,ait composé de farine detunment la momncne de le Voeguerie. Le I froment, de lois (crémé, d'orge germée,

'éanime de Saiut-Marlin-d'Azirou , situon territoire, n été, assure-t on, com-

p]éteniont ravagé.

Iln mande d'Ales

d'est le 1G, à o e heu as et demie, quesfige, Lavigurio a pu quitter son navire,

que des veats contraires avaient empêchéd'arriver à l'heure annoncée.

Dtgr l'archevêque s'est alors reodu ,milieu d'un concours immensc,,lusqu'i lecathédrale où il a pris possession il usie,,.

Sa Craudeur était attendue suries de-gés de la cathédrale par le cliapitrecapi-

luice. M. le chanoine Smlter, sas préai-dent, lui a aur, s-, are allocution,

Mgr l'archevêque a répondue. emei-,nt de si le et du dévouement dont il est

âuimé pour tAluaeic.Après la cérémonie de l'obédience, lige

La', geeic a donné la bénédiction papale àI jolie qui stationnait dessus l'église. SaGrandis 'est ensuite dirigée vers le pu-ais de l'arches@uhé, et c'est IA qu'a eu ien

Ja r lia t lion oI s autorités civiles ettlou

s lise lit IicnnesU

fat e, l tPt f t tp

7 I

teint dernièrement. la t I

csmacesd,l,, ,ocnLt Il. dormant

g f les Loi II e ci : pbl I p : 1

rs de lumen, soit pour la polira, nte-

I le 11 't I

IIII, t. t LII 4 s I

t 1 t trop an, L - t. algériens 1I t I plus p l'a ,ons

être IlJ

aunes

r i c. Mais les aeu d'unepareille mesure ne sont pas

lion peut.

laI c a,

ors,

l t. ll y I ilI t

nie1 Al;éne L, ,r t te ;,'rd Il se dé-

fendce,le rôle de netrc ai rode se bornantà guider 1os posten-frontières d5 Sud, ilsera possible de la réduire dana façonconsiddrable, Llemand.

Parte, 21 a vai,;Oerreepnadunce particulière,)

La confiteor est e venus tout à fait dansle stoncle des orfxiras et avec la ,,enfance,

reprise ?,lointain dans les tensactionsEn,que les craintes provoquées dans cou tien-lier, temps par la situation pli tique,rie `n

t oomplf semant am biles, lesmarchés Européens témoignent de lamime confiance et or signale partout unebouse marquée sur les valeurs de Bourse,Comme Hou elle politique je

,,ai àsignaler que la signature du traité de Louedrus' pur le roi grand duc.

On usure que depuis !e commencementde mois les rapports autre lu France etA'Angleterra out repris I. oaraotére de laplus grande cordislité. Dans le mondeofficiel on a beaucoup remarqué l'accueilsi empressé qui a été fait nue 'l'uileriesaux

deus Bis de la Reine d'An Icterr.dont o

annoncela prochaine irritésà

Puis. Nous on es donc ee cari à lafaine se entente cordiale qui avait subitant d'accrocs depuis les fêtes de Chue'bau n 1858, Cette alliance intime etee la Prarce et la OrmaieBreegue estun fait e nsidérable qui peut avoir .egrande joliurtoor s ur le ma mien de lupais urouéenur. C'est à ce point de vueque je trois devoir vous le signaler.

Pluuems i ournaux ont publié uneadresse envoyée ;,ar les étudiants de Ber-lin n rép u o ne adressa des étudiantsfraismais . 1,0 prose des Il'^us oule.véde violents Drapes dons Ics .cengsae la jeu-nesse Sarasbonrgeoise. Or, B,Pidsdépêche de Berlin en date d'hier, le fac-tum ne question ,,,ait q i un dcos-

em a ryphc, poüsgac les Gtudtanl,, e

1eiversoté de Berlin ne davami nt senie qu'hier au soir pour délibérer sur larépoous''o faire',, ladresse des étudiantsale v ,Strasbourg.

Le noie royat de tri viendra

pt.cll t t ls p .to, onulle r,

'or'le [' à B. d

I'h p al. tressée t dl.OÙassa e u la l n,. os pis .n

' y t de sur la situation 1 l I,donsle Hanovre, Jes partisans d la mâsunroyale an remneit bwm.oup et en a sa

et de' I I t é p- .tl t: I

b .t 1 8 1 qu'il l

abordles muncos loyal sé , ail 1 an cey 'il v demander positivement a. adu-aet de Vienne l'éloignement de l'ex ,ci ettic

sa famille, qui sont toupmrs dans u.choucas situé prés de

Il capital,.autri-

chienne.Dans certains salonspdt, crit parle

id p 1 m lf t 1 11 .

lat,

net e o I. e. 0croit

11 lenti

de lit. Ilimil pd 1l D eh remontredes h,ances D',p ,il 1 :ts, que jouelascen

.t p t ( s ms toutev1J il hr conservormt les fouc-

J de s- trlEt tLo i ,sire ete t cid i f N t d -

der qcc les régi m ntsut raval - 1 tin nousi,,

t t q tt 7 d eu

de tusd, sasseront à 1 Rvcnje de faire usa;, I en Lie satiae la" Il ne nous paraitdu pistolet. pas ..jus joS° qye p75 hausles'rntldus

gaie es r giments do bgne a etc ese.dite il s'agit d'intérêts enssi considérables et

x umonts de Grenadiers et de volli, qui touchent un si grand nombre ale la-s

arde nues. (Non velles i.4n'ur,( us .-a"E ,eh

Lu I

1 Projet de loi ce. b2orl autour de l'orateur)1 t a

Irepris, Chaeu a de cous a sa respeusnbilité et

I d I I I I t f Ell doit répondr e de ses intentions et de sesOn

'

il1 - I t j. née 1,, actes à notre jug ouv. a n, le ps élec-vlte d clusomble clans,.nain, la loisera tarai. Je demaindesdoocfque

lescorn

ms deseà fordre dujour du Sénat dansloous. signataires de la demande d'interpellations,

rutile la semaine prochaine. rejetée par la majorité des bureaux, soientUn cri,,, tnsol,te a éclaté anjourd hoi, i, érés eu Afour4eur et an compte-reodu,

sers G hures eu demie, sur Paris. Après afin que le pays sache, le jour veau, quelsplusieurs coups da tonnerre violents, il sont les obres de cette Chambre quiest tombé une tarte pluie mêlée do geé. rat le pins à ,.or la délhso de sas inlé-lons. La température reste très m bile rôts. (Exclsmations. - Bruit.)

oninclinaison à la pluie. L'agrieu[tue, so ,ai, u soin : C'est une affiche que l'on

e einqujàe. demande.xu

I: illustre ,himille allernaud, le baron u. Slantion serasr e a,,eb, qmui assistait hier à la séance de faite de

l'observation

n au procès-verbal. SiISiAraidgéle dL

esscienceil, ya lu osun Mémoire le Président, à la dernière séance, 0a passurn. lait artificiel qu'il p r o p e de subs- lu tous las noms des signataires de lao,

lituer an l a i t de vache pour lalimentation tarde d'inerpeilatiru, iL p a pour cela

d eau et de LÀr'mrbonato de soude.Pour faire ressortir l'utilité durs chae-

ge icut dans j'alimcutatiou actuelle dusnouveau-nés, le célèbre s vout a expoe

Allemagne A2 0% d eenfants su -onibent par , it, de l'alimentation

alait de vache. Et ,nos n'ignorez pas que,bien que

1111,I11,

roportion sait moindre euFrance, eest ,'cor assis 000Si idéra-ble par, que la question soit étudié, avectort le eau qu'elle mérite.

On dit que M. et 31me Minghetti doi.vont retourner prochainement en Italie.A propos du ce dernier pays, une ,erres-pooderus parLie il es a-aille que le géré-rat Garibaldi o renoncé à son enserre lé.gendaire et qu'il porte n ainlenant redin-gate et pamalcs, comme vous at .ai. J'ai-

s

toucuniapprcodre que le pluenul

renoncé

à ses projets par trop a e tu-

raLa Cour impériale de Paris vient deoondamuer à 500 fr. d'amande et eus de'plus de I-a instanoo, d'appel et de rossa-Iion, n pharmacien de Baaugency quivais livré à e fumure une préparation

médoc Hale ou d ,o ssi -séeslion1 . I Il' I é1 Ire-II'

t t, j n Cour aurat f do ibi I t

I

l loin ,PO--d t le l llicIll

P, i la Coui de cessnloa,a qui 00511} ffai'n ail j.y. t de la Couril

ilO

.p(

car i

IJ i modem la et de laM, E. de Gi,

impérialed L o 1 dLI t

tII 1

Il

1

CungdeAles etla

L Je vous si 1,1 d jà q la pou,,ait, p 11 AG tt

I ot élevé àAdam alickmesv , elle, l 'cimetière devi t J lu j rd hoi.

Rlphitheatr_ d1 d I Lcdole

dfo

i Il "Il a,e médscssrunisuniss

e[ lacguoeexthliqun brasait sur la pair

On u0imvice nomme devant paraître, auHeu ai, la semaine prochaine :

1- I)énocralfe et Libertd, par Em. Olli-- C'est le recueil des du

député de la boise ; 2- la deuxième sedes L,IIY,S sur l'Angleterre, par LouisBlaOC.

On travailla actuellement à l'état'majorand ouvrage sur l'organisation mi-

liiairà des divers Eets de l'Europe, quiompreudra des mémoires particuliers sue

le, armées des principales nations et con-tiendra, en score, des planches et desplans.

La commission de I'eoquéte agricoles'occupe enssi, dit-o0, de rédiger

unrap-

port général résumé qui ne tardera as àêtre livré à l'9itpres -on Les doemnutsde l'enquête contiennent, dit-on , la usa-taire de 90 volumes.

Il y aura jeudi, à l'hotel-de-ville, inand dinar de 500 ro

vea dos ,tes municipales o,,,a pssgeccoreété aisée

la [telleaauxbleu

erines ode ParistPandmal lent,le durée du marché, il ,e sist pas vendu

cul sac, Il y a plus de quinze ans queun fait n'avait o, lion.

Pour extrait: A. Pinot,.

CORPS LECISLATIF.(Compte-reodu analytique.)

Séance du borda 21 mai 0307,

a

nrvcu su I. axe mLasésues est enverra à doit,

se

hures.L tuLuprocèsr,I.

Il os séance leu'lealoi

17par ,Il. e ,,roue elles de

1['et',[ t',Iin dl's'Oi àtaires

es.I.I.. El:xc. vM. niumstro d'E-

st O 'a flammes; vuitry,'reialoLre prési-Iant le co stil d plat, et du l'arcade laRoquette, ni

udie-ic de l'agriulmru, du

mena es ms 'revaux publics, sié-ent b!a 1)anc des commissaires du gouver-

uoneut

Obaaeealiae sur le prooésuerbal.

I A Il11 11m: p . borrviaimuuàl p bl

A ,éanan dernièreh riaou ', 1 s nnonaesj I pue lao

,Il,ceux de la admise Je

il iulnepcllasis e ,épelai, par q -tou se aile .-LIl, Il l'opp,s'trélou,et ayant pour objet de

demandée une u.lion du tau, exorbi-t 4 I- C- t p lu Ics mursIl, m. I. d I' d i11 n i Ce ayant és,

uft rendu a alytique,nou &fonicrur, je demanda à le Ci ambre japermissi.n de les faire connaîtro. liesvo1crnest

Picard, Jules Faueo, CarnetPié,..Leroy, laines,, Jules Simon, du duce Marinier, Dorion,(ilais-Biaoin, Pelleter,ale

taros Pouzolo allalézieux,

marie,

.

j B t i ,ers )): Lt p se avait fat Ilu-

d1 I n t q ous y cessiez

Allie vox: C ss ri,. do commuap

1

deux raisons : 1 usage d abord, qui a faito quelque sorte jurisprudence; Prési-

dent lit le nom il'.. dessignataies

res de lademanda en le faisant suivre de ogi .di aCon . o plusieurs d, les collègues. »

insu mn. Cl0 compagnieie,

commaara clrnunon

n. Nous acceptons le mutqnd il ,haut d'un membre de la

ta earsmmxr 0e Nu noue. Je n'ai dorefait que m conformer ll'usage établi.(C'ast vrsil) Eusulte, je pourrais ajoutée,

ce qui concerne les interpellations, querigoureusement lea demandes ne doivemlors lues ea séance que quand elles ontélé aotoriséea par las bureaus. Cependant,puisque la mention do tous les votas estdemandée, elle aura lieu. ('Très bien ! trèsbien !)

Le procès-verbal est adapté.

caltas -MIE le marquis de Campaigne et Plichon

s'escusert par lettres de, ne pouvoir assis-ter à le séance d'aujourd'hui.

Une prolongation de cougé est accordéeà M. Sullaudrouze de Lanoonnai., retenuchez lui par l'état de se santé.

U t accordé à 51 l s Ilotsurs... Lu IDÉILIIII IlIIIIIIII d

t C.Opl lé . l t f d Projetsd "13L fs à 1 l I deparlement des Ld par la ville d'Arleset à 1 roi u,.Lton dos il R's des 0emures de La Valette et de 'foulon (Ver).

ntes0 0 déposa ou rapport supplémonta re sur le projet de loi

rtlanfaux

sociétés.dép, u1r ',osé,, rapp t

ppl t 1 L L2 du projetdeloi

I tf L lr ri

1 1,11,111, "11-111. J l'honneur de dép n et au nom de mes119111, 11M H non, L

,esjmuai D

1 rie 13ethmoi t 0, ot Pourol, 61 BGaruer-Pa JI , Jales Gav

es Isles Sinon, d note d inlorpella'tin.

Zonapour objet de savoir si le Cou-

peésr.tedansstless électionspp

aeLiellceusauCorps législatif et da os [es ileetioos

aio slau ion ils généreux 1ripe

de la merle des réunions électorales(Bruits divers.)

le. ,a er Il 'y a lieude donner ntni marques d'approbation, nimarques d'improbation,

N, Où en saut les travauxde la couimiseion chargée du projet relatifeu droit de Ilunian

L'ordre du jour appelle las délibérationsur un projet de loi ayant pour objet d'au-toriser le département de la Corse à ,on-teontor us emprunt et à 5150 poser extra.,.dosuiremenu.

liai. le comte de Chaolérao et Jolihois,seillcrs d'État , siéront an bain, des

co es du Gou ,ment.te projet est adopté

ris

L'ordre du jour appelle la délibérationus projet de loi ayant pour objet d'au-

attiser onéchange d'immeubes culer l'Estt le lieur Yosquton et la dame Doilevin

(Chareuto).MM- du Berthier et le baron Qu icelle,

conseolires d'Est, siégenL au banc du Gou-oce s.

LeCorp législatif adopte le projet deloi au scrutin, à la majorité de 217 voix

contre 1, sur 218 semas,amnom i roda

o' - cm uo ut.50a, Je consulte la

Chral re sur la Sisal ionie s ordre dujour. Je lui propose de fixerà jeudi la dis.

,ion du projetde loi relatif à la natura-Iismi.n vendredi, la reprise de la dis-

ou du projet sur les conseils m i-prux ; et à lundi, 1a discusuo. ae la luisur les sociétés, (sui 1 .ai ! - Très bien 1L'es bie0 I)

Il. IL n ncouaT. Sur le projet de loirelatif à la naturalleation, on a déposé cematin encore des amendements qui roi-gent un nouvel examen de la commission;Îe rapport na élé distribué qu'hier. Il nueparait donc impassible de ,sol la rlis.ussiouà jeudi, (Ilruit.)

la. LE iIf.liIlIT icitultoul.. D'ici à udy

I colonnisom, OÙ. acte laisi. ce leurend. ment dé lp se. cujourd hu , a

n defbérer et sirs un t rplé-monnre.

napper pp

Si la commissio t t t pas prête, si laChamb ,jugea t q T 5

onpeut

ôr luis jeudi, al seraitt 0100es temps de,,ri a un antre jour. (Oui I cet )si u Ls 'nr, président de la commis-

n, a .nnm'sumoo se réunira demain.o azI , Je demande encore lion

fois .à au sont les travaux de la c nlu-e ehaegé. d'exauur le projet

ode

loior les Il ruons,0[. nanLR O"1,-mn. Je me joins à noter

honorable colt?., M. Glais-Itizoin pourdoptandee où en cool Ics travaux de coite

00mmissiml. Je ee arque quo hisses,rénnd presque jama , (Rucjamatmus)

Pue veux. Elle s'est réunie samedidanoise.

nl oJe irons qu'ilait parti p d'étmi,Ter la loi, (Bruit.

m ouais mso ,v. Le sd,.nce de la nom'amble à celui de la Belle au

Ici, alliaient.a o,' c- Eu l'absence d trési-

d t de la commis n, je déclare 1105115Colt munie avant'bien ot qu clic a délibéré,

J'oppose donc nne dénégation défaille l'as-sertion de il. Eniile Illiciar.

Pourquoi ne s'est.elle .,as i tous, aujourd'hui? (B,cul.)

s sapvnaen, Les comm st II t Tespere que dans une

d prochaines s. .a les honorablesambres qui demandent des éclaircisse.

neufs pourront obtenir satisfaction d'une.,niàre nette.

tu

'4,ui o eus. Cela est difficde-

L séance est levée a trois heures moinsn quart.

La demande d'interpellation déposée ily a quelques jours par uu certain nombrede députés de la gauche et repousséepar les bureaux avait .n double but, oudu mo ns aurait produit un doublerésultat si elle avait re u ou accueil race-euble, Le guuvernement , obligé de dé-clorme nettement s'il entendait maintenirà 3,000 te, le pris de l'exonération ous'il couseotait à l'abaisser, aurait étéamené par là même à dire, au moins im-plicitement, jusquà quel point la pais luiamblait assurée par le traité du 11 mai ;

d'on autre côté, l'Opposition n'aurait paslaissé échapper cette occasion de ettre enlumiéer les fastes politiques

amuxquelles

elle attribue, à lort ou à ra son, la criseque os de traverser et les .,a-

meot suivant au projet de budget de18go:

A partir du lai janvier 1868;

Le prix des dépêches télégraphiques de2) mate sers de vingt centimes pour toute)a l'arien.

A partir du I=, janvier 1868,

Las bureaux do tabac seront mis en ad-judication.

1 partir du Ier janvier 1868,[I sera vendu dans tous les bureaux de

tabac ou tabac dit de rassise, su pris dedeus francs cinquante centimes le demi.kilog ,

- Ou lit dans la Patrie :Nous oves parlé de la nouvelle phase

dans laquelle est entrée le discussion

p,Cus t ait espéce,,commeoi..as 1l'avoas

sur

dit, l'ouverture prochains des débats. On'Le, comme devant y prendre part, M.

'[Mens qui, à cette oc m croitsralatiossavenles gnseeesrments étras.

gers. E. Boucher,,,

- Le Diritto croit savoir que VictorEmmanuel a revu une lotus de l'empereurNapoléon l'invitanc à venir à Paris asmois de juin. La lettre ajoutait que l'em-pereur d'Autriche sera à Paris à la mêmeépoque.

teurs fficiels se seraient edoroés, en lui On lit dans le Journal des Econontis-répondent , ao rétorquer tous ses a tes :

jumoots, de façon à prouver et e lois La Société d'économie politique a eu unee plus qu'il a'y a pas ea . une sou le faute réunion le G de ce mois.

M. Ch. Renonard, conseiller à la cour deaoTsis bureaux sur .cet out jugé quil y cassation, membre de l'Institut, a présidé

vair des i nvénients sérieux à laisser este énnion, à laquelle assistaient : 01.poser de pareilles questions et o ir de E. Chadoiuh, c pundaot de l'Institut;tels débats. 11 semble anjourd'hui qoe AI. Joies

peueheredéputé

aux Eets decette opinion n'est pas celle du gouverne' l'russe; III. de Snlvietri, co seiller intimement. et secrétaire général du mloistèle de l'agri-

Une Note insérée hier dans 1, Moniteur mlture de Prusse ; ôl. Neuman, professeurau soir nn s apprend que, par ardr, de d'économie politique à 'Académie com-l'Empereur, le ministre de la guerre vient

corconde Vienne; M, Leone

Levide

, profes-de prendre un arrêté d'après lequel le prix ur au Ein§ s collége de Londres, elc.

considérations qui, trop rouvans, bilas,lient la langue des honnées g ' ainsilongtemps que l'exemple d'autruinest pat

nd la délite; tantôt ils se douent que een est pas leur faibl, voix, leur humble. suf-frage qui pèsera utilement dans la l,a.Iaoce et ui ilq va aura gse e des gouttesd'eau Ils miel l que

cenues. loi .s

d'eas qm Ionslea

s ère,. O n et lesu

uu font les rui, ces conquend,tte

speébis. mais ic,cellette

ml modestie

crueapppréhensionen serait pas do

mire

se. Lesernbres de la Société, par leur non, par

leur position, par leurs travaux, os rI,Ontdaot la mande et ti onc pas la droit de Ii-

er. 11 importe doue qû ils disent lieu-i mect cs qu'BS penseol, ainsi que ,eu..let de la fmre a autant d'autorité, àla suite de M, le président, quelques unesdos hanches les plus éloquentes de la riiu-

; et 11. F. Pessyose, eu conséquence,les conjurer d'appuyer de toute leur éoer-gie les efforts tentés d et les

résultats déjà acquis

parà

ces

preantrnam,iers

ii'

forts (Vive adhésion.)

Le Journal de Médecins de Lyou ar-e que le mio tus, de I'intôricur vient

dadopter le principe de la suppressiongénérale des Lus monts decette imporeme décisjon une voet autres

ns doute que ceux consignés dans le re-moequableeappms tronamis e l'adminis-

testioa aspérteurc, le 15 joie 1861i, parle Comité d'bygiese et du servie, médicaldes hôpitaux. Emanédes plus hautes som-

ités sc evtifiquas, en documcvt conolatàn la complète supériorité d'un systèmed'eccouehemmrt à domicile o eh'. lesages-femmes, su le mode d'admission

da es les Maternités des mères indigentesen inal d'auront.

Variétés.

de, l'exonération est abaissé pour l'année B1. Renouerai a prie la parole eu ces ten- Une catastrophe au Mont.Bfanc,9867 à 5,000 tffrancs. Eu même temps ta -es : (Sniteetfin, loirle¢inméro d'hier.)France ffirme que , le gouverne.

.Avant que nous n commencions nos

ent acceptera le débat sur la situation c vnations accoutumées, vous trouverez ,V.

réglée pas e traité, , e.! yue le marquis bonque j'adresse nos remerciements aux Ce

"'fut Bette rencontre, e ie fut

de Moustier a mé, 1 j sec désigné pour én aneers, su d sLkgm4 à tant de tu, es di- la vuè t I 1 Lq

o t 3. n quiv

Int bie n us hongrer e bllce1

sur pl qé d s [,a eLrasN trop p,rtisa,s d I p ne 111;c d. l.ut prsence, Je sus certain de l une I l'as

Ie,

, serre jetées l genouxpo 1 o j i la d m mien eu hler dans o mot, dans u I t avoir pensé du courage dans la i,rié, e,do 1 ix da 1 axone a ion Qeaot aux débats mort l'express on de leurs senti ms et vinrent préparer laue mère à la fatalequi LI t i I t s d- .dires : J, porte 0 toast e la paix I is 11o

scènest I tenir dais sa douteur -I>.O,,iI son

Il Il 1

le,ce I I I Ce oi out pas duos une rén.mn comme ne.se

du 11 usvf t. .t il I u cors banout, yue j'entre pie. Irai dcscrIme less,'expriment. d ncnt qtiellesmoil

Lrh 1 I n o t I lus pour nous qu'un bienede de la paix ci de déplorer te san- Le grade no put se dérober au désir desonInter il Q d A d Bauoin- vabc fléau do la guerre. Je mu ors s mea tao, t I c l , lemaudait à le vinterpellai) JI. élu B smark I s palle d'are parole assez forte pour égala et q l 1 itù, on 1 m ,lonnau, l'assurancebru ts rclaulIs a la d I b g, 1 L-nergie de vos couvie1,105. Je ve j n. 1 (. t 1 p blé pour tua eenaro a

P direos

1.a r rasa avait s d t- t se Ils chose : c'est yut, u pas

lia:se corps de san bis.

dans la fo te.rasse t était o loba code séder lo paix, il faut l'aimer et lu a voulu r. Dans le village massai né, ]a douleurles en net rcr sud Is las .Il tain ramer la ,} s cl', pour se p ie ne faune ttat 10. ,ante aussi sous de plus modes,,enfer nier aux dés rs qu ezpr, irons la pas, quand on se plais à exciter, par de tes toits. Les trois autres victimes Lris-orité des membres d Pu du folles ait osJ u . rlement j a me , les vanités rat 1 riens d I , s et des rII

tuu ire

d. quand on grossit et envenime, pa I s f a

j'et

a e t le corps de leur poreAujoord h ai, yuan i bien mémo le Corps voles préjugés du point d'honneur I d .

rIt d I e réponses qu'il fallutlrg statif tout aniser serait don autre av ertunents et les querelles ; qu dru fait f n vies s basés, le IL, enque le gouvernement sur la question qui c nsisser la gra.dem poliWgve d on peu' de Syl1

,ce

vain Couttol fondait, et ce lui étaitvont d'étro résolue à Londres, à quai se,- pie à devenir le domjnatenr des aullés. coup sùr une epreuvo plus rude à sup-'rait la onstatxLion t e e désaccord? Non ; la grendeuc et la glaire, pour les porter qus celles auxquelles il se prép,-Quelle inllomuce pourrait-ele exercer sur peupl .,s comme p se les a Ires individus, le lendemain.e alfai terminée, sur un traité parephé ut d'être la maure, o n ènnautres, mais fie lerdem n, yui était un dimanche,

par les plénipotentiaires de entes lesgran- de soi. 'Tant de mauxsont à eérir, tant signalait l'féeuïquedévouementdelacor-des t set déà r ifié de misérpenemen l at par tous les esà soulager, tant àd dglrà porate donc nous avons parlé, et yuigouvernements? combattre, tant d'instruction à ,

répanddre,

quinzejours durant ne devait pas se dc-

Du voit , le droit d'interpellation , tavtde forces productives à enfanter, qu'il pp su A peine l'as torité eut-elle faitqvo ,nenous présentait ion m un progrès néxisto encanet nation qui ne poisse, se appeil aux hommes de bonne volonté que

tnaportavt, ne peut jusqu'à présent s'ezer- travaillant sur alle mérne, re ueillir u vinglIcinq guides ou porteurs se présen-nr, comme autrefois le droit d'Adresse , moisson de gloire lssez ample pour satise tirent, Tous était prit: vivres, cordiaux,guo sur des faits accomplis, es Hous ne faire les ambitions es plus hautes. mous et outils nécessaires; on résolut les pas qu'il soit acore permis aut . Quand nous célébrons la puissance de dépanà l'instant mérne,et aussitôt lacara-grinds corps de l'h:Lat d'intervenir mil,- l'industrie, vantons-ls de propager le btu- ue le sauvetage, sous la di...lie. deont dans la direction des affaires. Les être, l'instruction , la moralité; nu la pintr

aépide

Sylvain,montaverslesGrauds-alarmistes, yui avaient cu si peur le 20 louais pas de e, gu'eile invente des ons- minets, d'où le 1'i eu matin, alla all'ron-jeovier , doivent éaeo rassurés. tramants et des procédés pour tuer ex taiules mille périls de l'ascension pour(Journal des Débats.) P. David. péditovement. iver au lieu coloristre,, La gsrrrs consomme improducttv6 al'On sait ce sont les travaux de trou,- On lit dans l0 T noJiso lent : elle gis Ils le le é-

queAutant que nous avons c m rendre S pi passé, ramé pr liées dons Irs terrains yui fout tremblerpu o p se t, çré e es retarde l'avenir. L'éco,umie

les eau qui ont été ,clins- politiyue e peut pas lui pardonner dei,aur la vie des puisatiers; i

reetsceuxeque s trouvons dans di- tels lente, Sacheus a ussi détester e elleauteurs pluss,co les ne paouihs plus

rs journaux de Paris, le cannas créé par la geroboelion de III lares, In Sestr ,,nonPénibles et plus dan gereux de pareils tra-

ie projet de loi milisaire ii (té apaisé par des sentiments de charité, et nn troux pour cens qui las e rit ont. C'est

aloi emboua gulière. Le,Pcom- pua, blin ,renn.,re talle ue qui oniptndada expédient pau iodou0 la liberté s, le , artel midis une

nont ,oral, faitz as capter la disposa' et pour dis,,d,e de fes pou urate, Hou.-

a r n , pics, piu-tiëoqui fixa le chi[l'er de I armée Priera- l'ors nt aimons l'es t fefue.

chas, étmico es civiies,sete., qu ïl faut00510 è huent cent mille hommes ; a s

pro pnci I monter sur des pentes1 lse. s, yue lesPré n Il faut voulue part. - Ce que les touristes, libres de sous fardeau, r as diequai, la uommission aurait rédigé, de son puples voulutsérin

ieusement, soi romans 'aidant de s'ai t k t e. bras ditcôté, uu allie],, qui mai.tient au Corps lé ec c ilssnce, mis l'obtiennent, Ne nousen panes oc .Su dplnni rs heu es à 'g a

igislatif le droit de voler la contingent. Les entera ea dans des entiments ieté- 0deux articles vivront en bonne inielligente

ns p s 055' lu l reeonnur le temps presse, oadigon :voilà qui s de la peine à noue es- pat

sansfets

dedos

la paix seaspirations crostéupertilnesl,

etQue

se pè-les

s

attque la glace ausvet, et Lesde, DilOl leurstrer dans l'entendement. Pari 'yde! Su ent cu suivant lu trace, eu les

p

seul : que chairs, et qu' tous, en us de! Sous les cou porSi l'on doit avoir écessairement uu gal'

lis

qu'os Lent, lespays, bien haut yu'ils la veulent,ees

t s'ébouler et - truée permanent de huit cent mille huma ous l'aurons.parois lui sait sur

t ris votant quel abIn pose leur pied - -le sel a,êffon-neéet pec

oal' er qu'en

.Buvons à la paix 1 , d r, Iril'api e encore au-dessus dechoque a chiffnn n oLa lont proportionné

Les paroles de 61. le président, expri- leur tôle, estsans

s cassa Le p, écu ,vpuco re otal. I.a I;hambre seratuant les sentimems de l'assemblée, on[ des sen Linelles sont rites ldonc lié les mains quant en vue du 005' niées pour

nagent ; elle ne pourra l'abaisser au delà IL, vivement applaudies. Elles ons été sui' veiller lus hauteurs et dommr l'alarma'ild'un certain 000,10 e, et ce chili're enssi peu vies d'eue conversation à laquelle ont ot signe. Le refuge est indiqué

éloigné dam matériellement pos- Pris par 11. AVolmvski, Jules Simon, Juleslle cri poussé, s'y rendra yuiosinoure

sable, qoe lo latitude laissée au Carpe lé Faucher, L. ]uval, l Nc' de Labry, Vil- pourra. R6es! combien le pourront, etcom-gisla,t,lrostem assez étroite. baumé, Cernuschi t 00tin. tin tout bien iront rejoindre',es co ps qu ils sont

Il est donc vrai que le prérogative de la nhaut échangebous 0s

sutimems s'est cous arracher au glacier. Uieu les garde!utt titre

eaon eront, Pro o s deus derniers :l'un c'est lut qui leur donne le ,,mur vaillanfChambre est in air, , et ce (e so d

alleman. m, sI le généreux courage, c'est lui qui lesil' point commis oe que l'Eten. d'origine lombarde, l'autre d

dard aIppelle une méprise calculéeco. Toutes ehe nn a rappelé que l'Italie et l',\utri-orviaa.les ez >bcatioos l'ournoes par jouoa l potvenait de prétder à la politique de le

s.Tandis

1c

u'il dirige les travaux, le ,nefmême sembleut prouver yue nous ne

pais Par a 'rusé de c marte, Il a a l'ail osa es mol, intmrogesunous sommes mépris en aurunr jouta grill état elle.. de constater su les

venss

tsaiet

lesles nuages; que le nuage s'a-

I p Sotil. -

parle nenteire su t eau ae la Socdé d'économie politique et tir relu c'est le siblc.l il épaleur nt dimmuE , p, r le solution qu ndique Pars, des sentiments que partagent ses le retour imposube Q ] t ""e,,,lI Oé f le Smvant ce journal, collègues au sein de ]a Socle d'économie ce sera le tourbillon de.ce-' et 1a trombele if d h it eut ouille homm d.t.r- Pofnque de Vienne. qui Imt la mort ,,entama' t Pendant qe.

rad une fois pour toues e co singent AI, I . Passy annonce qû il a sollicité n est temps encore, il faut lmr et desce-total ; sulemant, le vue annuel du la bliutol'illaeLion de faon uneplconférence pu- die au plus vie u Iralsaut la besogneCh b d q a t le nombre d - quo la guerre, ou ues cintra la uach é e main, si lo ciel rst propm ,ecol

rs qua devront le service actif , 1 d'if. liI a.err (Bravo.) Il annonce de plus, qutil on re pala on ahana ,r lo -

reoce em re les deuy chiffres sofa t I chie ont de er former un comité qm trava Ils nne : pre arum ur favorablepopour les

00re-

fre mémo do la réserve. à organiser la igne de le pots, prendre,et

t mm l'on tara squ'au ce qu'il11 est presque inutile de faire re er- En fou prrsyuaLsot lo monde, dit it permis d'accomplir jusq,e.I bout la

quel' yue c'est là un céritatle démembre- F. ls'assy, dans cote la ul bu -disonsns douloureuse èche.

mont de ce droit parememaoee, dons s dan toute l'Europe - veux la pais et ré- Ainsm monta et remonta, avec des alter-' ' n, d'après la cen mure renom' qudie la guerre. Mains Ale

plupaprt

de ceux natives diverses, la caravane guidé. partuée ifis'étais faite le soutien. Si l'article quo quo pensent airs; tout bas hésitent à Sylvain Couttet.lire à huit cent mille hommes lemioimum duc tout haut Les uns ,,raout - à toes

rt Le 15, après plusieurs heures d'eu tra-de I é. l ermau t secs d e" , R s- - qu'il est contra re a ,ail acharné, alla dénouent le cadavre ma-ri pt n IL, al I qL d L uA 1 ur 1 1 a d té m reréis et

d evenpoupe de filé de Joseph Tonrmer, à plus e. trois

réd I oserd a dés proie t engiodes, cs sou a quel pinta d est sage êtres de profondeur dans la glace. Pleinsetla conimissio i, u acceptons ces sicle, a modm é, et qu'à un IaOgaga souvent em- d'espoir, les travailleurs redoublèrent d'ef-

sac fié l l érogztave do la Chan b prer t 1 e LmSs.co, peut-itre égala' fris mais sans résultat, pour arriver aux:ce.

Date a t i s eompr j gps ment i et se, il est bon de répondre par deux dernières victimes qu'ils pensentpas q i uC t Ja051 t dla d{are loi une er d eau moins apparente. Lasse.est pruh s. La journée avançait; ;es recher-l' p itn pluton d simple v ires t est la grand nombre, avenus eh s durent cesser.i ledénué d'autorisé et ss abat frais h ment amer et leurs soin Lo retour, rendu ri;us p1mlle.. par les11,

te,wva IsemberLmu usi sis Is répugnent à mettre leurs tIorp slt6s qua r".eseôtae, la descente desnoms ou bas d'une dôclaraeun quelcou- I, qu'us des uI[ eux de ournier celui de Joseph,M. filais }fizmu a dGposé l'ameude yue. Tant04 ils sept retapes par née Ali]l. , qu on venait de découvrir, et celai dq

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

t i t N I C' I rite Ini-méme cotte fois aowmpagne la cara-none,

Ils nt qu'us pri4 en passant au Grau,- Le 50, oo gagne les Grands-5lnlete, et'ce pénible retour s accomplit heu' le lev h, il 51, il peine a -ou dbpassé ie

ie t 11 t t I t I. oc plateau q . 1.11 i mprena ilauntitéc'. iat io,.'diuts t x Geoodn dc l uutrrl Let uvalanehas ont bo de-

t f rme aureluit dun pas

nart +aruhait mnjonrs à

I a d d t{ t. P, Il tt à" I-1 st t +aroiF- 1 0, t

e d 3

d Il eup

t l' i H- Itled.. plus. On lait relue +x G+an.ls M

Jet1°), sre teermps eutitpliecoovore. 0 i gr t

lèveraa; pet t d I

9 il 1 'l l Iet et t l.' jorsqu'à t!'

ei 0005e imsital ou note u t l urari tes;t iles. Ou se demand, .

i Ilos,wci' I,hes ai -cr t point d' o It: st t uleA1I t

J 1 00 fpim1

à d- c e td. 1 1. d cprendre les tra de l

I l s aIZI

iii lie if 5I t en-

,Iragt de p rsounrs. L u 4 i ça

monte te Jour r élus . Ci ds61 ilote.

Le22 da I t Ides poi -mutes,at s il p f Jeur, nn bras se

1t p l e t 1 buste et Ics sutbre épure do corps de Slmlaet S.

d.Reste l J d malh'ureux

F

j d I lY1 Ak

I.e 2 re n loale pond ntIres

taule luée i lie +éne d'autre résult q 7 d.

o t d p q t de teren'.p tsec t 1 it hel

,. t pnp11 t

La plu st1,,cac snccedent pendantles iocrnas du

2126, du 27, du 28 et du 29.

l.oaoarave

duuécouragée rentre à Ghamonn

l ee dernière tentative est décidée surai,, instances de sir Arthur AeLnsnight qui,

nrsè le ro ne elles ont eucomhrl le paselulalle do r Ide es t t t t tablé Ion t i e tort... pa,,,nl, 1,,, Ilt t eu 1t' 1 p ssonces des elle th s' t tout esp tr

+ A+ 1 se déca vie ,car ndlaun +

.

este de ilb le, eo,iin ce rrt,i i,.

Oa rentre à Chamounix ja 1or novembre,et tel let s n+

el,

ont le jeu ont de cot I

1 t lire ynritons crnxq

ystvopleèscetbrasél'impnssi-

blc.La mêla, cette r dé ropArée a qui

lut l 44 salué e ,, s lat'oo le[ : ; de son fils, dut s'l' r de t cs h ôomesAvant d quitter Chamoum:, elle porto

o ala m l_ola

t n t des secoorge it x fou*lles desMrehel S+mond

et de Jos,F t r t raoems Tesrnrer.ASI C ttttè N l' jY I dt

[la a prit {t I 1 du t tL y II t tE hé

.1 II or gui cenfamne ia poetrad l1 torts ne ou potane,

Ainsi s'est nap mrée a leur égard la le-1 ll A k ;I t t I ne

I Ilt t l p d..e t lentulai,t il t une autre téotin-

f 9a f p bhgoe reciamupt I ll - o+xantc pers

{ t p res part tetree tsort paat I rc ne t d+stieguées.

9u y

James nIédar,les d'honneur n'auront été

des tome,. un peu nodécs, habilementménagées et tant a fait nature, une grandefinesse dans les traits du visuge, sontautant de qualités à signaler.

Empress s i dire que ces poG '4 t tl unie de M. Qui

milan, d t lent mconuestu atI. 1 .ll ..p l.. àll led s boson .ares et a rouf , I.our aceei+-

d I ll dit n I bran fooeé d h t IR 2 d q'

a, talc rot ll grnt, M.i.g. DIon, quiu eleoer 1 t.. 1i

. - d'onart,

cl dont [a r e te, bien appreme, u

pas besoin déloges.

Maume SAIRATIÉANTI-RDUtt"ATIS)IAL

NGLI`@L, maire da Voliora¢gne, m mhre du Conseil généralR nO NAOD , dnctani c¢ médecine, et lis quarante noiabine do

e, filons et aiteetons que le huante Sahrtié n toujours guériç: I t m aetarigurr l I l dP p'. I l f d t Porteur Al4l

11 l 9 T It .hl VII I Ab l 1 1 dg f 1,.o

v011, Ha 8 ul rne-, Con,BlU,iget,élarpt-la lool.

bus LNC M

37.RUeD;

Dyâieret de Teint.

Esgeai J s d' t in 2 { é

ad 4 p tue a t o.p i, I t: uF

t...é .jeté à des d I t et d

sécrct+on yin ru tn+n,ssu,t tallât oualterenua pureté.

L ratiqur compta t v tde sucées, e ,.posé d'él cors dose la

zone t t Tu t t 1. b s

ru f 1 i l da I IF t-oitéi .es del rose I a a,

ce, I I l tl l' tLL à l p tG i I d t tlu aqui ` a pu t l étal . ita

1.,t épri c per c,.ttc t epur uviu, cpioges u dose bemgneou à d et mulon

Lupe1é 0 d beul tàJ'L télangé 4

el, ouy t

'-isd le -ami" debiais n i

de 1 'I tl I lino -

ll tq )(ÿ 1dh ai,

d t r d p bl pe :Jmieux méritées. I - de I tt m il 1 t Il

enri N+otcs. r d ifl n'allument tl déparativ sui leotsau d 1 p

9o tcol

N q é et nous recom- pôehe la g t i t ncas "m,7 t q i aiment tes peu. tes dans leu I l d il détroitad s

'd l s t t 1 des pin limes pho4o-arc+s-pl qu p t à "le 1 1 a 'Ilg'-d p lest qu

t p' utolus Nepl 2U h. MI' é Ulpli t I A

1 00A d vraies mmilfiorrseharafiantoset 1I t le fane des roIi net pei t s f portrait origu

calo d'une ionuc grosse paysanne; us

les bouta 1 bp rcutcrr car par celois il lait bue la peau leu R

g e '1 1 'p et prirent I

f0 e I 6 I f ,lll,ruEositôs, hl tid et au

tÿ Po que ,ignorant volontiers Courbes, et I de dix e q - j r p. ..Il,dont lo laisser aller et le nie banc con- ont de grossesse, le lent.,4a et Ira épheli-trastent a c les Jolies races, - noue des, targesd'Adelina Putti, entr'autres,- qui l'entou- gairement nommées taches de rousseur ,rond, et qui forment un cadre si riche son, lentilles, etc.et si gracieux à cc curieux tableau de Oie eemprendea que pour atteindre etgenre. détruira ces coches, le cosmétique doit d'a.

Dans nos portraits, pas d'elfat criard; bord exercer une action érosive sur l'épi

S.

derme qui les 'Ilion qui jamaiss'attagoeau t ssu de la peau. Voici de

guets aeoidonts sana gravité il s'aide chusnl

aveu

u de silé,.+'t un sa e acédeern, ,I s e :.ut dela démaus, u t 1 te-

accô+p C I tauleram. B -tt Iepi.Icrn deri_pt

.a.lku , yin la,ss.. a d,wu le pneumanche et t ç ssns a t ace oiestaches qa la .,rt o genre.Aus ajoote le 'n8ino docteur,

ns yuc au0 ères feront bicnodell cplui est 'mer, mute., les hie qu,n

1 1 d p 't es

h (c ia nacdicut du 1 0 1)A ).l'a Lait l pli li. d l'

h Csu tt: I 1 dàt l I,et eh, e test rc Faux je I m s 'LuilI.t, et coiffamo de Paris et des dél aitc-

nla'. L h.

-..y 1867

Samuel (H

111w I. ; J 1 I

Gazalé (U e),- 8 sus, é LarLoonc(Doute Garou',.), épouse Gauh.,i e, an ,

a',allé

Yjl (I {I) 8 a t1 (1 t Galonne)15.

L 'acas, né

ara ((Ilérauli), i'uoloao'SoiutC1-

p L p y e (Marie), 06 liée an t'ag t(G os) pouse 9n]rieox,

l nedes 'rouir-

Sas, pou L,,, 110J (d) d L à 'fouaulil,

St N Iurc, lu

hl. P0L16LL01 nreo d'r et p,rlul,td p e+ 13 en 66 S' trasC bien cal p. toi 1 - roi

de 1 bb 1

emre n d K , s' .il Erieu , 6u 4

n Jr e.

LA LQEOSOLL BILLARD le rnm`Jenrspécifique sentie les Niaux de. droits.2 franco. Paris, pharmacie Colbert. Dépôtà'l'oulouee, cbez 31. Vidal-Abbadie, pli,

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AUX ABONNES

du Journal de Toulons'e

12 f,I. ail lie,l de

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ou el I". d'on J 1n3aa ,ire uf t

ucl1,d st io s Ics o,t cnn, ces'ploies. , et à mettre à le portée de tout le

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d ;.tan I 'ira la ou tonne etnl

1i i ' a t il ggce soin et revugoce D+ct,onna re,des lin I

el'Il,unnpn Sa., t I 'tiè'e do plus de fi''c'r, est plus pht ,plus ldos

deus obactom

nne de ses paru e qu'a¢c e desdictionnaires spécieux qui e isteot, t csréuuit tons EN UN SP',CL. Le om'c

notaireqû un seul volume, malgré l'immensité desmatières.

Saule I , . t ' p l ' 1 veodo.I I l ip iUr I. I,. la.q I ptll ir hll.ab t icadan,j t s prooél t: vagcsq M. 1DRA0 apj t' ec larluct hi tr t u,

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roi 511 d0 I 1 CI t i g lieusl a,

USINE HYDRAULIQUE au Ramier ides 111pulirt du Ch[Neau Naeiu,oraie.

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I ec f 20 pr tup t t fr. Ga t G s.ale 'Il;d' LG ,o- L llncu It I2.

A YENDil E

U R LLR PROPRIÉTÉ

AMA

111AN'1

A VEtrDIjttLA BELLE

Forêt de LasserriDIte de Noaiia.e.

a à l'E t.

0101 I E A 10 tsnunrhrur, DE TOLLOESRk d 1 h çA (ers aT t.

7 otn lé bl DC L P yL ..'blos, p f rt va et,,, parlera n.ee ai

((O\ D:iALITATIOn Métairie t - e et moderne Vmatériel d'exploitatioe rnmylet n4 A da neuf

,u S itl ' I OC 1 11 S I y d o-rapre exact dtds bdlrme 0188f7 pin d roses rne de Pso

B. N(E!LHON .uesta$oeaac, N0, e@s la place des Cutnitole, Touio,eneLa g0LI ) y p' p b t d un, 1 p..l,tiola é,nets don CI,G1 yen sor meanee allant très b ce,

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