circuit 1 :circuit historique

circuit 2 :circuit des Bois

circuit 3 :circuit découverte“de la Beffe”

circuit 4 :circuit “des granges”

4 circuits à découvrir :

N P bLBalisage :

Distance : 3,5 kms

Difficulté : facile

Départ : rond-point central

Durée : 2 à 3 heures

Dénivelé : faible

Description : Rond-point central, route deParis, Croix des Bergeonnes,rue des Bergeonnes, cimetière,le Vieux Bourg, rue de la Gare,propriété La Creuzette, puits etallée de la Puisatière, chemin desAubépines, rue de la Veyrie, ruede Lyon, rue de l’Eglise, Eglise,presbytère, Monument aux Morts,Mairie.

Balisage :

Distance : 6 kms

Difficulté : moyen

Départ : devant l’église

Durée : 3 heures

Dénivelé : environ 100m

Description : Eglise, rue de l’Eglise (côté ouest),rue de la Gare, rue des Roches,chemin de Cerqueminal, sous lepont de chemin de fer, sur le pontdu ruisseau de Cerf de garde,chemin dans les bois, place Paty,allée de place Paty, route de laGare, chemin de Grand Champ,allée du Merle, chemin de laJacquette, rue du Colombier, ruede la Gare, rue de l’Eglise.

Balisage :

Distance : 6 kms + 1,2 kms

Difficulté : moyen

Départ : parking du boulodrome

Durée : 3 heures

Dénivelé : 100m

Description : Parking du boulodrome couvert,visite du lac et allée du lac, cheminlongeant en pied de talus le bord Estdu parc de l’Hippodrome ; descentevers le petit pont sur la Beffe ; sur leterritoire de Dardilly, prendre direc-tion Sud le chemin qui aboutit auparking du Casino. A droite de l’en-trée du Casino prendre l’anciennepiste de côte du rallye auto deCharbonnières, traverser le parc auxbiches et rejoindre l’avenue duCasino, à proximité de la propriétéde Pré-vieux. Traverser la route,remonter sur 500m environ et péné-trer dans le bois, juste avant l’alléepiétonne paysagée puis remonter aunord en direction du parc del’Hippodrome, prendre le cheminpiétonnier du parc, passer devant lestribunes, rejoindre le parking duboulodrome couvert.

Balisage :

Distance : 6 kms + 1,2 kms

Difficulté : moyen

Départ : rond-point central

Durée : 3 heures

Dénivelé : 100m

Description : Rond point central, avenue dela Poterie, carrefour dit de laDangereuse, chemin de Mala-taverne, on entre en territoirede Dommartin. A la croix pren-dre le chemin des Cordinaux,pour rejoindre la rue desGranges à la Tour de Salvagny,passage devant le château desGranges et devant le Golf deSalvagny. Avant le passagesupérieur sur la RN7 prendre lechemin d’exploitation, passersous la RN7 (passage agricole),poursuivre jusqu’au chemin duFerratier, rue des Granges, ruede Paris.

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LA TOUR DE SALVAGNYEn Pays Lyonnais

En limite de Lentilly, Dommartin, Dardilly, Marcy l’Etoile etCharbonnières-les-Bains, La Tour de Salvagny est une petite com-mune de 3500 habitants. Elle est située à cheval sur l’ancienne«nationale 7», appelée successivement Grand Chemin, route duBourbonnais, route Impériale. Dans la traversée du village, lanationale portait le nom de « Charrière haute » (actuelle rue deParis) et « Charrière basse » (actuelle rue de Lyon). Sa superficieest de 842 ha, son altitude, de 352 m (au centre du village) et sonniveau le plus bas (le Casino), de 238 m. Elle fait partie du cantonde L’Arbresle et de la Communauté Urbaine de Lyon.

Histoire d’un nomLes origines de La Tour remontent aux alentours de 970. Son nomvient du latin « Silvaniacus » désignant un lieu défriché dans laforêt. C’était au Moyen-Age le « pays des bois », dont il rested’agréables vestiges. Une tour de guet érigée à cette époqueconduisit à l’appellation de « Turris Salvagniaci ». Cette tour devint« tour-église » en 1330 ; elle est dédiée à St Ennemond. Pendant lapériode révolutionnaire, la commune s’appela simplementSalvagny. Elle reprendra le nom de « La Tour de Salvagny » à l’épo-que du Consulat.Les habitants sont appelés les Tourellois.

Mais où est La Tour ?« L’étranger qui, pour la première fois, arrive à La Tour de Salvagny,pose inévitablement la question :Où donc est la tour ? Où peut-on la voir ?Ne cherchez pas, elle n’existe plus ; construite en l’An 1000, au centredu Vieux Bourg, à proximité immédiate de la place de Terruggia, elle aété démolie en 1870 en raison de sa vétusté. C’est ainsi que le symbolede la commune a disparu.

NInstitution Notre dame desCharmilles Située au début de la rue de Lyon,à l’emplacement du premierrelais de poste de la commune,celui de la Croix Blanche, quifonctionna du XVI ème siècle à laseconde moitié du XVIIIème siè-cle. En 1865, les religieuses de St-Joseph avaient acquis une partiede ce domaine pour y installer unpensionnat de jeunes filles. Cebâtiment sert actuellement demaison de retraite pour religieu-ses.L'école privée des Charmilles,maternelle et primaire, a étéouverte en 1971, dans un nou-veau bâtiment construit dans lapropriété.

Rue de Paris (Charrière haute) - Nos 2 et 4 : portail en arc surbaissécouvert d'une corniche lyonnaise(génoise) ; autrefois, un maréchal-ferrant y tenait son atelier.- Entre les nos 18 et 20, on retrouvele même type de porche, muré, enbiais par rapport à la rue.- Nos 24 : maison avec cartouchedaté “1881” où exerçait un cor-donnier. Portail à linteau de bois etcorniche lyonnaise. Dans la cour,une maison restaurée avec entréecharretière surmontée d'un arc enanse de panier fut occupée en1828 par un veloutier.

A voir, à découvrir, à explorer…

P PPP- N° 25 : ancien relais de posteétabli vers 1765, après fermeturede celui de la Croix-Blanche , ilcomprenait, en 1828, quatrecorps de logis groupés en quadri-latère autour d'une cour. Façadesur rue haute de deux étages. Ce relais était le premier relaisaprès Lyon, sur la route duBourbonnais. Ses écuries abri-taient jusqu'à 35 chevaux et unpersonnel nombreux : valetsd’écuries et postillons. Il cessason activité en 1872, avec la miseen service de la ligne de cheminde fer Lyon-Montbrison.

- N° 32 : belle grille de portail enfonte (XVIIIème-XIXème siècles) ;un cabaret et une auberge yétaient installés fin XVIIIème siè-cle. Dans la cour, puits guéritecylindrique commun avec le n° 30.

Croix des Bergeonnes Implantée à l'angle de la rue deParis et de la rue des Bergeonnes depuis 1990, elle se trouvait

antérieurement au carrefour rue du Colombier/rue de la Gare. En pierre calcaire, haute de 1,80 mètre,datée de 1689 sur le dé,inscription illisible sur le côté.

CimetièreÀ cet emplacement depuis 1851,on retrouve la croix en pierrejaune de l’ancien cimetière quijouxte la tombe de deux ancienscurés de la paroisse, dont cellede l’abbé Lavenir, historien de lacommune. Plusieurs tombesintéressantes : celle de la familleGouttard, où repose l’anciennemaîtresse de poste, celle deClaude Balmont, ancien maire et ancien soldat de Napoléon, le tombeau de Wanda Szymanska de Slepovronet la tombe de la famille Tailhade-Coffy,surmontée d’un ange agenouillé en marbre blanc.

Le Vieux Bourg Rue du Vingtain - N° 4 : escalier extérieur condui-sant à l'une des maisons les plusanciennes du village. A l’origine ily avait deux habitations distinctesde part et d’autre du rempart ;elles ont été réunies en une seule,entre 1778 et 1828. Elle fut occu-pée par Claude Renard deLaroze.

Place du Vieux TilleulPuits public : antérieurà 1778, construit enblocage de moellons enpierre, couvert d'unevoûte en plein cintre. Al'intérieur, pompe àmanivelle munie degodets, type DRAGOR(début du XXème siècle).Contre ce puits, croix des Rameaux, d'une

hauteur de 3,5 mètres environ,datée de 1811. Elle se dressait pro-bablement autrefois place de laBascule (actuel rond-point central).Tilleul de Sully : supposé avoir étéplanté en 1601.Mur du Vingtain : vestige de l'en-ceinte construite au XIIIème siècle,d’un périmètre de 105 mètres etd’une hauteur de 6 mètres, il entou-rait la tour-église et le cimetière(transféré en 1851 à son emplace-ment actuel). L’ensemble étaitdénommé « le château ». Cetteenceinte, à porte unique, proté-geait les habitants contre les atta-ques extérieures et était entrete-nue grâce au vingtième de l'impôt,d'où son nom "vingtain".

Les maisons bordant la place, nos 1et 2 place du Vieux Tilleul et 4 ruedu Vingtain, sont les plus anciennesdu village, construites sur le mur duvingtain. Les maisons aux nos 4 et 5existaient déjà en 1684* et celle aun° 7 est antérieure à 1778**.

A voir, à découvrir, à explorer…

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LRue du Vieux Bourg - N°3 : tour carrée antérieure à1778, haute de trois étages, quiflanquait l'enceinte du "château".Escalier (XVIIIème siècle) donnantaccès au terre-plein sur lequel étaitconstruite la tour-église qui est àl'origine du nom de la commune. De l'autre côté de la rue, succes-sion d'anciennes fermes.

La PustièreHameau comportant un grouped’anciennes fermes transforméesen habitations et un manoirremontant au XVIIème siècle. Cetensemble a fait partie du domainede Lacroix-Laval. A la jonction de larue de la Gare et de l'allée de laPuisatière, se trouve un "puitsbanal"* en pierres maçonnées,antérieur à 1778. Il est accessiblepar deux ouvertures rectangulairesmunies chacune d'un système depoulie et coiffé d'un motif d'amor-tissement** en pierre de formeconique.

Rue de la Gare- n° 32 : "la Creuzette", vaste mai-son bourgeoise, fin XIXème siè-cle, qui fut la résidence d'été de lafamille de Lucien Bégule, célèbremaître verrier lyonnais, auteurdes vitraux de l'église paroissialeet de ceux de nombreux édificesde Lyon et de la région.

Groupe ScolaireEdmond Guion (Ecoles publiques maternelle et

primaire)

Le groupe scolaire porte depuis1983 le nom d'Edmond Guion, quifut maire pendant 33 ans, de 1949 àdécembre 1982, date de son décès. L'école primaire, bâtie en 1958, afait l'objet, en 2004, d'un agrandis-sement et d'un réaménagementrépondant aux normes "HauteQualité Environnementale".En contrebas, sur le même terrain,donnant sur l'allée de Passe-Chanin, se trouve l'école mater-nelle mise en service en septembre1979.

Rue de Lyon (Charrière Basse) - N° 10 : accès à une ancienneferme par un grand portail sur-monté d'une corniche génoise àtrois rangs de tuiles.- N° 16 : "Green Cottage" : maison

avec logette en saillie sur la façade,supportée par deux consoles en ferforgé. Le premier propriétaire, M.Brown, était d'origine britannique.- N° 26 : façade de style Henri II,cartouche rectangulaire encadrantun profil d'homme casqué dans unmédaillon.- N° 27 : ancienne auberge, transfor-mée en maison bourgeoise,construite en 1806 par EtiennePaillasson, ancien postillon. Longbalcon en fonte orné de lyres etd'une rosace encadrant le mono-gramme CC (Claudius Colin 19… ).

- Nos 39 & 39 bis : anciens bâti-ments de ferme, en retrait par rap-port à la rue. Puits guérite res-tauré, antérieur à 1778.- N°47 : portail en fer forgé portantle nom de la propriété "LesSapins". C'est un manoir construitaprès 1850, non visible de la rue. Ilaurait appartenu à AlphonseFochier, célèbre professeur demédecine de Lyon. *

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Mairie-PosteCe bâtiment accueille depuis1927 la mairie et la poste. Lasalle des Fêtes qui existait à l'ori-gine disparut lors du réaménage-ment survenu entre 1973 et1976, qui vit également laconstruction d'un étage sur lecorps central. Toiture à 4 pans entuiles mécaniques vieillies.Nouvel agrandissement en 2000avec création d'une nouvellesalle du Conseil, salle des maria-ges, d'un espace musical etd'une salle de Spectacle.

Place de la MairieLa place de la Mairie forme unesorte de vaste triangle délimitépar la rue de l’Eglise et la rue dela Mairie. Cette place était, auXIXème siècle, encore occupéepar des prés, des terres et desvignes. Curieusement elle ne futhabitée qu’au début du XXèmesiècle. Au cours du dernier tiersdu XIXème siècle, toutefois, laconstruction de la nouvelleéglise, de la mairie-école-presby-tère et de l’école des filles, luiont apporté une certaine anima-tion. La majorité des terrainsappartenait à une seule famille :les Rocheton. Ils cédèrent leursterrains à la commune enéchange de l’ancien presbytèresitué 11 rue de l’Eglise. En 1927, la place de la mairie futdonc aménagée suivant les plansdes architectes Escoffier etCartier ; il y eut un second amé-nagement en 1962. Des travaux importants ont étéréalisés en 1990-91 par l’archi-tecte Pierre-Frédéric Rapin : il enfait une grande place triangu-laire, très minérale avec son soldallé, ponctué par le Monumentaux Morts.

Un ensemble d’immeubles enbordure nord-est (le Griffon),donne à ce secteur un caractèreplus urbain.Signalons cependant un groupede maisons le long de la rue del’Eglise ; l’une construite auXVIIIème siècle (après 1778),remarquable par ces fenêtres enarc bombé, l’autre ajoutée après1828 qui a abrité le presbytèreentre 1874 et 1907.A l’emplacement du n°16 (anglede la rue de la Gare), habitait en1684 Mathieu (ou Mathurin)Ripaud, maître maréchal, quipossédait là, une “maison bouti-que, forge, étable, grange, cour,jardin, chenevier et aisances”.Le long de la rue de la Mairie unensemble d’immeubles seconstruit.

Monument aux MortsSitué à l'origine, en 1922, devantl'église, place de Verdun, il futtransféré en 1990 place de laMairie. Stèle en arc brisé épauléepar des faisceaux, ornée d'un bla-son de la commune et d'un tro-phée militaire, oeuvre de Benoist,sculpteur lyonnais et de J. Piloz,marbrier. 30 noms y sont gravés,ceux de Tourellois "morts pour laFrance" de 1914 à 1919 et de1939 à 1945.

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NEgliseDe style néo-roman, sous le voca-ble de Saint-Ennemond, achevéeen 1867, elle remplaçait la tour-église démolie en 1870. Sa res-tauration fut achevée en 2002 àl’identique de l’originale, parDidier Repellin, architecte en Chefdes Monuments Historiques. Avoir : les vitraux (XIXème), crééspar Lucien Bégule, maître verrierlyonnais, celui de N.D. deLourdes signé Brentini (1944), lespeintures de l'abside par Castex-Dégrange, les statues en boispolychrome de la Vierge(XVIIIème - XIXème siècles) et deSaint-Ennemond (XVIIIème siècle),

la Pieta de Vermare, le Christ encroix (XIXème - XXème siècles),les panneaux du chemin decroix en plâtre polychrome (finXIXème siècle), l'orgue Cavaillé-Coll, installé à l’origine dans lachapelle de l’hôpital St-Luc deLyon et offert à l’AssociationParoissiale lors de la démolitionde l’hôpital. Une tribune a étéspécialement aménagée en 2001,à l’occasion de la restauration del’église, pour accueillir cet instru-ment. Le clocher, restauré en2001, abrite quatre cloches : troisfondues en 1852 et une en 1878.

Salle Jeanne D'arc -Foyer Tourellois Cette construction, édifiée vers1916 sur le même terrain que lepresbytère, était à l'origine laseule salle de spectacle de la com-mune. Ce bâtiment abrite actuel-lement des salles de réunions.

PresbytèreConstruit vers 1916 sur un terrainoffert par Melle Wanda Szymanskade Slepovron. Façade place deVerdun soulignée au rez-de-chaussée par un arc en plein cin-tre à claveaux orné d'une croix. Ala hauteur du toit, niche à fron-ton cintré, abritant une statue duCuré d'Ars. Dans le jardin dupresbytère, se trouve la CroixCotton (non visible de la rue)d'une hauteur de 2,20 mètres enpierre jaune, fût tronconique,

marquée “1802 – P. TABARD”.

Maison de la Tour –BibliothèqueConstruit à l'emplacement d'uneancienne bâtisse municipaledémolie en 1988, ayant abritésuccessivement la mairie, lepresbytère, l'école de garçons, lelocal pompiers, le logement dugarde-champêtre, des salles deréunions…, le nouveau bâtiment,dénommé "Maison de La Tour",fut inauguré le 7 janvier 1990. Ilaccueille plusieurs salles de réu-nions et la bibliothèque.

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Parc de l’HippodromeCet ancien hippodrome,construit en 1930 par 300ouvriers, fut exploité par laSociété des Courses de Lyon-Charbonnières et inauguré le 5juillet 1931. Progressivementsupplanté par le champ de cour-ses du Grand Camp, puis parcelui de Parilly, il ferma définiti-vement le 17 septembre 1965.A partir de 1982, l'ensembledevint propriété de la Communequi le réhabilita. D'une trentained'hectares d'un seul tenant, il aété transformé en zone de loisirset de promenade, sous le nomde Parc de l'Hippodrome.A voir : la tribune de 1500 places,les anciens pesage et le restau-rant datant de 1930, transformésen salles de réunions.

Au nord, la salle des Fêtes,grande salle polyvalente dédiéeau sport et la culture, inauguréeen 2003, intégrant la salle omni-sport bâtie en 1984. A proximité,des aires de jeux et de tennis, leboulodrome couvert, les locauxtechniques et la chaufferie aubois qui assure le chauffage del'ensemble des bâtiments duparc.

Le lacLac artificiel aménagé au nord-est de l'hippodrome en 1931,pour l'arrosage journalier decelui-ci, grâce à un système pou-vant déverser en pluie fine 500m3 d'eau par jour. Il servait aussià la baignade des chevaux et àleur entraînement à la nage. Ilest actuellement utilisé parl'Amicale des Pêcheurs Tourelloisqui en assure l'ensemencementet l'entretien, ainsi que celui deses abords.

Casino “Le Lyon vert”Construit en 1881 par EugèneGrenier pour la distraction descuristes de la station thermale deCharbonnières, il fut ouvert le 11juin 1882 sous le nom de "CasinoKURSAAL". Outre les jeux dehasard, il proposait des attractionsdiverses : parc et jardins, kiosque àmusique, stand de tir, bals costu-més pour enfants, concours d'élé-gance, promenades à dos de cha-meaux ou d'ânes, etc…. Dès 1884et durant de nombreuses années,malgré son implantation sur le ter-ritoire de La Tour, il fut appelé"Casino de Charbonnières". C'esten 1989 qu'il prit d'abord l'appella-tion commerciale "Casino le LionVert", transformée par la suite en"Casino le Lyon Vert". Actuellement, l'établissement pos-sède, outre les jeux traditionnels,un parc de 400 machines à sous etun restaurant réputé, "LAROTONDE", cité comme réfé-rence d'excellence de la cuisinelyonnaise (2** au Guide Michelinen 2000).

Le Griffon * de la source thermale Cette source d'eau ferrugineuse aété découverte en 1778 par l'abbéMarsonnat, curé de Tassin, sur lapropriété de la famille de LacroixLaval. Elle jaillit sur le territoire deLa Tour de Salvagny, à environ 5mètres de la façade nord de l’hôtel« Le Pavillon de la Rotonde ». Onn'en voit qu'une plaque de fonte, àl'aplomb de la source. Canalisée,l'eau se jette dans le ruisseau « LeCharbonnières ». Cette source fut àl'origine d'une activité thermaleimportante dont bénéficia la com-mune de Charbonnières et de laconstruction d'un casino sur lacommune de La Tour de Salvagny.Les communes de Charbonnières-les-Bains et La Tour de Salvagnyont été érigées en station hydromi-nérale par décret du 15 décembre1987.

* griffon : émergence d’une source

bbbbbAvenue de la Poterie

Doit son nom à l'ancienne usinede poterie fondée en 1822 parJ.C. Prost, qui fabriquait notam-ment des tuyaux en grès à man-chon et une foule d'articles :vases, pots, objets décoratifs,appareils sanitaires, etc.… Elle employa jusqu'à 120 person-nes assurant, dans les années 50,une production mensuelle esti-mée à 200 tonnes, principale-ment destinée à la ville de Lyonet au Sud-Est. Paul Beyer, céra-miste de renom, y collabora tech-niquement durant plusieursannées. Propriété en dernier lieude René de Veyle, l'usine arrêtasa production en 1969. Démolieen 1978, plus rien ne rappelleson souvenir.

Près de la limite avec Dommar-tin, se trouve encore un puits cir-culaire monté en briques dontl'existence est liée aux anciennestuileries.

Au lieu-dit "la Dangereuse", àl'intersection avec la RD 77, uneancienne auberge a été réamé-nagée en un vaste bâtiment d'ha-bitation de deux étages sur unrez-de-chaussée surélevé. Autrefois, les ouvriers et potiersde l'usine y étaient hébergés.Vers 1959, une quarantaine depersonnes y logeaient.

Château des Granges Construit vers 1850 par J.P. Fransadit France, Mademoiselle WandaSzymanska de Slepovron, bien-faitrice de la paroisse, en fut pro-priétaire de 1938 à 1957. Corpscentral flanqué de deux ailes,orangerie, pièce d'eau, alléesmajestueuses bordées d'ifs et deplatanes. Le peintre CastexDégrange, auteur des peinturesde l'abside de l'église, y séjournarégulièrement.

Golf de SalvagnyDeux parcours agréablementpaysagés, l'un de 9 trous, l'autrede 18 trous et un practice de 32postes s'étendent sur 72 ha, surles communes de La Tour deSalvagny et Dommartin. Le club-house est un bâtiment bas, deplan carré, surmonté d'uneimportante toiture à quatrepans. Il fut inauguré en juillet1988.

A voir, à découvrir, à explorer…