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Résultats de l'enquête "Les clés de la dynamique de croissance dans l’agroalimentaire français"
Colloque HEC – 24 novembre 2015
Une enquête réalisée
auprès…
De Dirigeants issus
d’un panel
d’entreprises
hétérogène en
termes de tailles et
activités…
…de la start up à la multi-nationale
Des réponses basées sur:
15 entretiens qualitatifs
103 interviews quantitatives
Menés entre mai et octobre 2015
suivis par
Crise
qui perdure Croissance faible Guerre des prix en
grande distribution
On pensait rencontrer des dirigeants
pessimistes et sous pression…
« La crise a accéléré des situations qui étaient déjà presque perdues, elle a aussi favorisé la
remise en cause de certains qui étaient en train de se perdre et a confronté un certain nombre de
gens qui étaient dans la bonne voie et il n'y a qu'à voir aujourd'hui dans l'agroalimentaire les
entreprises qui tournent et les développement qu'on a, c'est des gens qui ont un plan stratégique tous
les ans, des valeurs auxquelles ils sont attachés, qui savent en tirer profit etc. » (ETI)
« Toute crise est propice aux innovations… c’est la fin d’un cycle, le début d’un autre » (Start-up)
Une crise synonyme d’opportunité
Pour la croissance de
demain…
Quels sont les enjeux?
majeurs et moins consensuels
Quels sont les freins?
Et, pour conclure, quels sont les leviers?
40-50%
L’innovation des outils (MT) 5
La collaboration avec tous les
intervenants de la chaine/de la
filière
6
Que mettez-vous en
place aujourd’hui ou
qu’envisagez-vous pour
concrétiser ces enjeux
stratégiques majeurs
70% L’innovation produit 1
« L'innovation produit , c'est très important
pour nous pour conquérir de nouveaux
marchés et aller chercher de nouveaux
clients que je n'ai pas et bien sûr la
rentabilité » (PME)
L’enjeu stratégique
majeur
Au service de
la conquête
OUI
Réduire les coûts de production (93%) et
moderniser les outils (91%)
50-60% La compétitivité 2 1/2
On améliore
l’existant
50-60% La compétitivité 2
OUI / NON
Augmenter le niveau d’investissement (47%/ 53%)
Augmenter la taille de l’entreprise (53%/ 47%)
Participer à des avancées technologiques (44%/ 56%)
2/ 2
Puis on investit…
« Revenir à un fondamental qui est l'homme .. gagner en compétitivité c'est réussir à faire en sorte que
l'ensemble des forces vives de l'entreprise s'approprie le
projet …» (PME)
« Ce qui fait la différenciation d'une
entreprise ce n'est pas son capital c'est
la volonté des hommes … » (ETI)
50-60% Le capital humain 3 2/6
OUI Faire en sorte que les salariés s’approprient le
projet d’entreprise (95%)
Développer une réflexion commune sur
l’innovation (69%)
Et intéresser les salariés au capital de l’entreprise
(65%)
50-60% Le capital humain 3 3/6
Des salariés en place et des candidats
dont le niveau et la formation ne sont
que partiellement au niveau des
besoins de l’entreprise…
50-60% Le capital humain 3 5/6
Le décalage!
Un programme de formation plutôt
efficace (52%) , mais
dont le budget n’est pas connu (69%)
et peu utilisé
(Moins de 6 jours par sal/an: 68%)
50-60% Le capital humain 3 6/6
50-60% L’Export 4
« On arrive à passer les tempêtes
plus facilement quand on est dans
65 pays, plutôt que dans un ou
deux » (ETI)
1/3
Dans un climat franco-
français parfois morose…
Une répartition
des risques et
opportunités
50-60% L’Export 4
OUI
Réalisation d’actions à l’export
(96%)
Présence d’une équipe dédiée à
l’export (74%)
44%sur site en France, 29%
sur zone à l’étranger
2/3
« On a besoin des interprofessions parce que ça
nous permet d’avoir les meilleurs produits
possibles, des cahiers des charges, un garde fou,
et quand on va à l’international, à plusieurs on est
quand même plus forts » (ETI)
40-50% La collaboration avec tous les
intervenants de la chaîne/de la filière 6 1/4
avec vos pairs…
40-50% La collaboration avec tous les
intervenants de la chaîne/de la filière 6
Vous êtes membres actifs au sein
d’organismes professionnels et de
filières représentatives (72%)
OUI
2/4
40-50% La collaboration avec tous les
intervenants de la chaîne/de la filière 6
Des démarches concertées…
OUI
OUI /NON
Avec les fournisseurs et les clients
(78%)
Avec d’autres filières (50/50)
3/4
Des organismes d’aide jugés peu efficaces (54%)
Une posture très opposée à une « culture
d’assistanat » - perçue parfois comme un défaut
du système existant On ne souhaite surtout pas plus d’intervention de l’Etat
La dynamique de croissance doit être bâtie sur la qualité
des projets et l’engagement
Une perception contrastée des organismes d’Etat en
charge des soutiens financiers et organisationnels Pour certains, ils « font bien leur boulot »
D’autres voient une profusion et lourdeur peu en ligne avec le
dynamisme et l’agilité requis pour la restructuration du paysage
40-50% La collaboration avec tous les
intervenants de la chaine/de la filière 6 4/4
20- 40%
La diversification (MT)
Réduire la dépendance à la GMS
Développer le digital dans l’entreprise
7
9
8
Mettre en place une stratégie
premium-low cost 10
OUI
Mise en place d’un process pour
identifier les opportunités vers
d’autres secteurs et métiers (67%)
Identification concrète d’axes de
diversification (pour 70% ayant mis
en place un process)
20-40%
MT La diversification 7
20-40% Réduire la dépendance à la GMS 9
Développement de circuits
alternatifs (82%)
Développement à l’export (62%)
OUI « C'est la réalisation d'un magasin d'usine.. innover sur les
réseaux de distribution... c'est une boutique en ligne que je suis
en train de créer … ça me permet de réfléchir à d'autres
réseaux de distribution, d'autres moyens de toucher le
consommateur… » (PME)
« Il faut impérativement qu'on baisse dans les 5 ans
qui viennent à 60% de GMS » (ETI)
10-25% Mettre en place une stratégie
premium/low cost 10
OUI
NON
Au premium
96%
Au low cost (75%)
« En France on n’est pas dans le
luxe et on essaie d’éviter de l’être
.. plutôt premium mais pas
luxe.. le luxe devient quelque
chose d’inabordable » (ETI)
1/2
10-25% Mettre en place une stratégie
premium/low cost 10
Une premiumisation qui peut s’appuyer
sur le savoir-faire français
« On a une excellence
agricole et alimentaire, on a
d'autres choses à apporter
qu'être moins cher » (ETI)
« … il y a une histoire de l'agro-alimentaire
très longue en France depuis des
décennies voire des siècles il y a tout un
terreau de gens qui sont formés,
expérimentés » (Fonds d'investissement)
« Il y a un tissu il y a énormément de
PME de ETI et de groupes agro-
alimentaires en France, ces gens-là
essaiment et font de l'innovation »
2/2
50% Le coût de l’emploi et la rigidité des règles du
travail
34% Les règles trop rigides et instables face à la
concurrence étrangère
24% Le poids/la complexité de la fiscalité en France
+ Direction Gle
+ Ent. De moins de 50 salariés
+ Ent. De moins de 150 M€ de CA
La règlementation
44% Le poids de la GMS – La concentration
des centrales d’achat
31% La poursuite / l’accélération de la
guerre des prix
+ Ent. De plus de 500 salariés
+ Ent. De plus de 150 M€ de CA
20% La volatilité des matières premières
17% La difficulté à conserver, développer, recruter
les bons talents
21% Axer le développement sur
l‘Export 5
26% Rééquilibrer les relations avec la
Grande Distribution 4
On baisse la pression!
40% Miser sur l’innovation 2
38% Investir pour moderniser et
gagner en compétitivité 3
41% La premiumisation et la
différenciation 1
On sort par le haut, on ajoute de la valeur..
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