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La Proclamation de Londres du Front Européen de libération 6 (1949) Sommaire 38 Introduction 39 Section 1: Les fondements historiques du Front de Libération 39 1. L'unité de la Culture Occidentale . ••2 2. L'A~ edu matérialisme. "S Section Il : Le chaos du présent "S A. la subversion des nalions "S 1. la lutte des classes . ••7 2.L'émer~ ence du Juif. XX 3. la dé~ énérescence sociale. 57 B. la destruction de l'unité politique de l'Europe 63 C. la destruction de l'Empire mondial de l'Europe 69 Section III : La mission du Front de Libération 37

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57 B.la destruction de l'unité politique de l'Europe Sommaire "S Section Il:Lechaos duprésent 38 Introduction 37 "S A.la subversion des nalions 39 1.L'unité delaCulture Occidentale . "S 1.la lutte des classes . XX 3.la dé~énérescence sociale. ••7 2.L'émer~ence duJuif. ••2 2.L'A~edu matérialisme.

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La Proclamation de Londresdu Front Européen de libération6

(1949)

Sommaire

38 Introduction

39 Section 1: Les fondements historiques duFront de Libération

39 1. L'unité de la Culture Occidentale .

••2 2. L'A~edu matérialisme.

"S Section Il : Le chaos du présent

"S A. la subversion des nalions

"S 1. la lutte des classes .

••7 2.L'émer~ence du Juif.

XX 3. la dé~énérescence sociale.

57 B. la destruction de l'unité politiquede l'Europe

63 C. la destruction de l'Empire mondialde l'Europe

69 Section III : La mission du Front deLibération

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Introduction

Dans toute l'Europe s'éveille aujourd'hui une grande Idée imperson-nelle, l'Idée de l'/mperium de l'Europe, l'union permanente etparfaite des peuples et des nations de l'Europe. Cette idée incarnetout le contenu de l'avenir, car si cette Idée n'est pas réalisée, iLn'yaura pas d'avenir européen.

Ceux qui considèrent cette Idée, qui est exprimée en ce moment parle Front delibération, comme un danger pour eux, désirent ladétru-ire à tout prix. Ses ennemis sont, premièrement, les puissancesanti-européennes en dehorsdela CiviiisationOccidentale qui, en cemoment de l'Histoire, dominent le monde entier, et deuxièmement,leurs laquais serviles à l'intérieur de la Civilisation Occidentale,lespoliticiens réactionnaires, ainsi que les forces des intérêts qu'ilsreprésentent. Tous deux sont unis dans leur haine aveugle enverscette Idée jeune et vivante, qui libère irrésistiblement des énergiesqui menacent d'engloutir les vieilles forces de la réaction, du capital-isme financier, de la guerre desdasses, et du bolchevisme.

Cela s'adresse à toute la Civilisation Occidentale: aux coloniesimplantées partout dans le monde, eLau cœur et à l'âme del'Occident, la Terre-mère et l'Esprit-père. C'est l'Europe qui est lefoyer de la force historique du monde. La profondeur et la force decette âme et de ce corps dominent même ces puissances extra-européennes qui viennent de conclure une guerre temporairementvictorieuse contre l'Europe, et qui s'engagent maintenant dans despréparatifs. pour se faire la guerre, dans. laquelle chacune espèrepousser sa soif de conquête primitive et informe jusqu'à la martrisedu monde. Dans les plans de leurs martresq'aujourd'hui,le vrai pelJ-pie américain et le peuple rlJsse sont considérés seulement commedu matériel remplaçable. Dans ces deux populations, il y a de largeset profondes strates qlJi appartiennent intérieurement. à laCivilisation Occidentale et qui regardent le sol sacré de l'Europecomme leur origine, leur inspiration et leur foyer spirituel. A euxaussi, s'adresse cette proclamation.

Par une guerre gigantesque, par la terreur, et par une persécutionmultiforme, les politiciens et leurs martres extra-européens ont cher-ché et cherchent à étouffer cette puissante Idée. Ils ont cherché envain à la priver de parole et de tous les moyens d'expression, écritsou oraux.

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Ils témoignent ainsi eux-mêmes que le Front de libérationreprésente déjà une force en Europe. Contre l'Impératif organique duFront, ils tentent de rassembler toutes les forces du passé. Ils créentainsi IJne rupture spirituelle qui oblige tous les hommes à choisir uncamp ou un autre.

Il estdevenu.nécessaire que ceux qui sont au service de cette Idéeproclament à la Civilisation Occidentale les fondements spirituels etla signification du .Front de Lib~rationet de l'Imperium de l'Europeauquel le Front ouvrira la voie, car ce Front est la seule force créatricede notre époque. Par conséquent les adhérents représentatifs duFront, venant de toutes les anciennes nations d'Europe, se sontrassemblés à Londres dans le but d'exposer leurs idées, leurs objec-tifs, et leur position dans le monde. Cette proclamation est publiéedansles langues aUefl'lande, anglaise, espa~nole, italienne, françaiseetJlamande.

Section 1:Les fondements historiques du Front de Libération

1. l'unité de la Culture Occidentale

Depuisrori~ine, la culture occidentale a été une unité spirituelle.Cette base, réalité formatrice universelle, est totalement contraire àcettevision superficielle et i~norante qe ceux qui prétendent que l'u-nité de l'Occiqent est une idée nouvelle, un concept technique qui nepeut~tre réalisé que sur une base limitée et conditionnelle.

Depuis son cri de naissance lors des Croisades, la CultureOccidentale avait un Etat,avec l'Empereur à sa tête, une E~lise et unereli~ion, le christianisme médiéval, avec un Pape autoritaire, unerace, une nation,etunpeuple qui se sentait lui-même distinct et uni-taire, et était reconnu comme tel partoutes les forces extérieures. Il yavait un style universelle, le gothique, qui inspirait et nourrissait toutl'art depuis l'artisanat jusqu'aux cathédrales. Il y avait un codeéthique pour la classe porteuse de Culture,la chevalerie occidentale,fondée sur le sentiment purement occidental de l'honneur. Il y avaitune langue universel, le latin, et une loi universelle, la loi romaine.Même pour l'adoption de choses plus anciennes, non-occidentales,l'Occident était unitaire. Il les transformait en une expression de sonâme propre, et il tes universalisait.

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pauvait devenir l'objet de né~ociations pouvant satisfaire lesdeux adversaires.

le ~ain d'une portion de territaire, au la recannaissance d'unhérita~e, tels étaient les enjeux limités de ces ~uerres intra-Culturelles. l'échelle de ces ~uerres dynastiques s'accrût~raduellement, jusqu'à ce que la farme dynastique de la politique setermine, vers la fin du xvmème siècle, lorsqu'une nouvelle forme delutte intra-Culturelle paur la puissance émer~ea.

Mais pendant les siècles de la politique dynastique, avec ses ~uerreslimitées, et sa préservatian canséquentede l'unité culturelle, l'autretype de palitique, avec san autre farme de ~uerre, se poursuivit entreles unités politiques Occidentales et les formes extérieures: la pali-tique absalue. Ces guerres n'étaient pas conditiannées par le faitd'une appartenance mutuelle à une Haute Culture, et à la présenced'un code d'hanneur commun, car les barbares et les païens neparta~eaient pas le sentiment des .obligations chevaleresquesde l'Occident.

les ~uerres hussites, de Ilf20 à I1f36, mantrèrent la nature de la~uerre entre un peuple de Culture et un peuple barbare. Pendantseize ans, les armées hussites se répandirent dans de lar~es ré~iansde l'Allema~ne, brûlant, rava~eant,tuant et détruisant.Cetteexplq-sian slave nihiliste était tatalement séparée de tout but constructif, etétait danc simplement une expressian précace de ce qu'an appelleaujaurd'hui le Bolchevisme, l'esprit de négation et de destruction,partaufaù il se manifeste, qui recherche l'annihilation complète detaut ce qui est Occidental. Pendant les siècles du ~athique et dubaroque, ce furent surtaut l'Allema~neetTEspa~ne qui pratégèrentlecarps de l'Occident, et le sauvèrent des harreurs barbares. quiauraient été san sort si les forces extérieures l'avaient emparté.

2. l'Age du matérialisme

Pendant les siècles de sa croissance et de san déplaiement, la CultureOccidentale s'accrût en puissance et en maturité. les aspectsintérieurs de la vie reculèrent pro~ressivement devant les aspectsextérieurs, jusqu'à ce que l'Occident se trouve, à la fin du XVlllème siè-cle, devant la crise la plus profonde de san histoire. Comme laquestian était ~rande, fondamentale et intense, elle devint immé-diatement une question de vie et de mart, c'est-à-dire une questian

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politique. la ~rande crise prit sa forme politique avec la RévolutionFrançaise. Comme toujours quand une idée s'élève à l'intensité poli-tique, elle absorbe tout le reste, et cancentre toute l'attention et tousles effarts humains dans la lutte pour le pouvair. la Révolutian,cependant, n'étaitpas seulementfrançaise, mais européenne.

Cette révolutian totale marqua la victaire de la démocratie sur l'aris-tocratie, du parlementarisme sur l'Etat, de la masse sur la qualité, dela Raisan suLla Fai, des idéaux d'é~alité sur la hiérarchie organique,de l'Ar~ent sur le San~, du libéralisme, du pluralisme, du libre capi-talisme, et de l'esprit critique, sur les forces or~aniques de laTradition, de l'Etat et de l'Autorité et,en un mat, de la Civilisation surla Culture. le r('ltionalisme et le matérialisme étaient les communsdénominateurs de toutes les nouvelles idées qui se révaltaient can-tre le vieil ordre de pensée, d'Etat, d'économie, de société, de ~uerre,et de politique. la métaphysique devait être une question de paidset de mesures; le ~ouvernement devait cansister à campter les têtes ;l'économie devait être entièrement réduite au commerce de l'argent;la structure de la société devait être conditionnée par l'ar~ent ; lesrelations internationales de la ~uerre etde la politique devaient êtrel'apothéose de l'é~o"isme national, avec une complète indifférencepourJagrande unité Culturelle ~Iob('lle dont les nations sont de sim-ples manifestations séparées.

Même aujourd'hui, après plus d'un siècle de désa~régation, les lienstraditionnels entre les élites européennes, porteuses de Culture, sontintacts. Et ces Hens ne sont pas plus faible, mais plus fort avec letemps, car la directiondenotre développement spirituel a changé, etune secande~randetransformatian mondiale est apparue dans lavie de l'Occident.

Nous sommes maintenant au milieu dusecond ~rand tournant de lamaturité de la Culture. le bruit et les cris de la démocratie et dumatérialisme se sont éteints; le libéralisme est devenu une tyranniestupide masquant une dictature de l'argent, mauvaise et anonyme;les Parlements discutent dans le vide, et ce qu'ils disent n'a plus d'im-portance; les critiqueurs se sont dissous dans leur propre acide, etne peuvent plus croire, ni en leurs méthodes, ni en leurs résultats; lecapitalisme rapace a dévoré ses propres fondations; la finance atransformé les nations en d'immenses toiles d'araignées de dettesdans lesquelles toute la population occidentale est attrapée; par-dessus tout, le chauvinisme fanatique a détruit toutes les anciennes

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patries et les a livrées à l'occupation des forces extra-européennes,celles de la barbarie et des déformeurs de Culture.

Tout cela est l'héritage de l'Age du Matérialisme. Les serviteurs de cetAge continuent à appliquer ses méthodes démodées et stériles auxtaches vivantes du temps présent. Maismême si leurs mains morteset rigides s'accrochent aux rênes du pouvoir, la révolte continue. Ilsne peuvent pas construire un mur contre le Destin ;ils ne peuvent pasordonner à l'Histoire et au Temps de s'arrêter dans leurs marques.L'affirmation du parlementarisme libéral-capitaliste"démocratiqueselon laquelle il a un droit àunrègne illimité etéternel est un/men-songe organique. les méthodes de l'Age matérialiste,ses id~ologiesantiques et sa stérilité cadavérique, l'le peuvent même pas survivre,sauf en tant qu'instruments des forces extra-européennes, insensi-bles à la force interne du destin européen.

Même quand le cadavre du Matérialisme tente de détourner le sangvivant des forces nouvelles et vitales dans ses artères durcies, il s'en-fonce plus profondément dansJa froide rigidité de la mort. Contre cecorps se dresse maintenant la Résurgence deY Autorité, la plus hauteincarnation des anciennes vertus, éternellement jeunes et viriles, dela Discipline, de la Responsabilité, du Devoir, de la loyauté, et de laFoi. A la face du chaos du capitalisme individualiste-libéral, elle jettesa demande d'un Ordre éthique-socialistesupra"personnel.

Au-dessus des idéaux égalitaires de la Démocratie et du chaos dupluralism~national et international, se dressemé'lintenant l'impératifde la Hiérarchie et de l'imperium. Alaplacede l'~tatisme borné etsuicidaire, l'Idée de la Culture~Etat-Nation-Race-Peuple mono-lithique de l'Europe est conçue comme le prélude à la plus grandetâche parmi toutes: l'expression de l'absolue volonté de l'Occidentpour la politique impériale illim.itée.

le résultat ultime de ce combat gigantesque nous est connu, car nousavons déjà vu ce combat du Passé pour retarder l'Avenir. De 1800 à1850, les partisans réactionnaires de l'alliance négative contre ladémocratie s'allièrent aux idées et aux méthodes du Passé pourempêcher la marche de l'Avenir. Mais c'étaient les démocrates decette époque qui représentaient la vraie idée du temps, et l'Histoirene retourne pas en arrière. La Sainte Alliance devait échouer, quellequ'ait été la puissance matérielle mise à sa disposition, car lesarmées et les canons ne peuvent pas combattre une Idée.

PARTiE! - ANTHOlOfHE

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En l'espace d'un simple siècle, les démocrates, les égalitaristes, leslibéraux, les critiqueurs, les idéologues et les parlementaristes sontdevenus les opposants les plus radicaux à l'Esprit de l'Epoque, carcette Epoque n'est plus celle de l'Argent, de la Démocratie, et del'Egalité, mais celle defAutorité, de la Discipline et de ia Foi.

Pasplus que les libéraux-démocrates ne pouvaient être éliminéspour toujours en 1850, ils ne peuvent nous éliminer en 1950. Mêmequand les tyrans libéraux-démocrates exercent leur pressionéconomique, ils ont mauvaise conscience. ils le montrent par leurhésitation entre la cruauté insensée et la corruption maladroite, parleurpropagande infantile et par leurs vaines flatteries. Mais pour lesporteurs d'une mission supra-personnelle, aucune soumission n'estpossible, nià la terreur ni au compromis, car cette mission émanedirectement de la réalité u.ltime de Dieu. Aux matérialistes-libéraux-communistes-démocrates, les ennemis intérieurs de l'Europe, nousprésentons une seule demande inaltérable : ils doivent disparaîtrede la face>de l'Histoire.

Contre<cet ennemi intérieur et contre l'ennemi qu'i! incarne, nousprésentol1s maintenant nos accusations devant toute l'Europe.

Dans trois domaines, la démocratie-libérale-communiste-matéria-liste a blessé le corps defEurope et contrecarré son Destin:1-à l'intérieur des nations européennes,2 -dans les relationsentreJes nations européennes, et3- dans les relationsentrefEurope et le reste du monde.

Section Il : le chaos du présent

A. la subversion des nations

t. la lutte des classes

Dans sa première phase, la grande révolution du Nationalisme et duMatérialisme se tourna contre les deux pôles de la vie Culturelle, lesforces de l'Autorité dans la vie spirituelle et dans la vie politico-sociale, l'Encyclopédisme, le Jacobinisme, la Franc-Maçonnerie et leRépublicanisme sont quelques-unes de ses premières formes. Ilscombattirent tous les signes du rang, et tout ce qui avait grandiorganiquement à travers les siècles. L'esprit de cette révolte pénétrala classe dirigeante dans plusieurs pays, particulièrement en France,

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et ce fut cette faiblesse « en haut» qui rendit possible la Révolutionet la Terreur en 1793. la canaille ne se déchaîne jamais sans l'appro-bation des éléments dirigeants; ce fut tout aussi vrai en 1789 qu'en19LtLt, avec la conquête américaine de l'Europe.

le culte de la Raison appliqué à l'Etat et à la Société institua l'épreuvede la quantité comme seule mesure de la légitimité. Ni le rang, ni letalent, ni le génie ou la capacité, mais seul le nombre comptait pourles matérialistes. la source du pouvoir, selon les démocrates doctri-naires, était dans la masse de la population la plus grande, la plusindifférenciée, et non dans la classe spirituellement différenciée,née avec la mission d'accomplir la tâche vitale de la Nation, et deréaliser l'Idée nationale.

Aveuglément, les idéologues démocrates contin.uèrentleurœuvred'aplanissement et de destruction. Pendant le siècle 1850-1950, ilsréussirent effectivement à désagréger l'Etat et la société. Que réalisal'ordre ancien? Rien de ce que les démocrates de la première péri-ode avaient recherché. le nouveau centre de gravité de la Vie étaitdans l'économie, et la rivalité économique dominante était entre lecapitaliste industriel et le financier. Tout l'idéalisme et tous les sacri-fices des égalitaristes avaient seulement réussi à rejeter unearistocratie organique et à la remplacer par une ploutocratie sordideet vulgaire. A l'intérieur de tous les pays commença alors la nouvelleforme de lutte des classes, la lutte entre des groupes économiques aulieu de la lutte entre des groupes sociaux. les différences engen-drées par la qualité et la tradition avaient été désagrégées et lematérialisme économique fournissait maintenant le cadre desformes du combat.

Par la spéculation et les manipulations des échanges, le capitalistefinancier attaqua les formes productives de. la propriété de manièreà ce qu'elles puissent toutes travailler pour lui, le maître invisible etinconnu, contrôlant la vie économique des continents à travers sonréseau universel de dettes et d'intérêts. les exigences du combat for-cèrent les industriels à s'emparer de toutes les sources possibles deprofit, et à accroître ainsi l'oppression déjà cruelle des travailleurs etde leurs familles.

le code d'honneur dominant était maintenant celui de l'égorgeur, etla vie économique des nations était une vile course au profit. Danscette course au profit entraient maintenant de nouveaux concurrents.

PARTIE. j - ANTHOLOGIE.

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D'abord il Y eut le prolétariat, qui s'allia alors avec le capitaliste fi-nancier pour attaquer l'industriel du dessus et d'en bas. le conscritprolétarien reçut des mains de ses dirigeants, non-prolétaires etautoproclamés, une doctrine, une organisation et une tactique. ladoctrine était que toute l'histoire du monde n'était qu'une conti-nuelle lutte des classes, avec l'argent pour seule fin et seul but. Lesimple fait que cette idée repoussante et grotesque pouvait être for-mulée est en lui-même le seul commentaire nécessaire au genre demonde que créât le libéralisme. la forme d'organisation était le syn-dicat, et latactique était la grève. Tous trois, la doctrine, l'organisationetla tactique, étaient entièrement économiques, purement matéria-listes et capitalistes. Bien qu'elles se proclamaient opposées aucapitalisme, elles pensaient dans son cadre, partageaient ses buts etcombattaient avec ses armes.

Au lieu de manipuler le cours des produits, comme l'industriel, ou lecours de l'argent, comme le capitaliste financier, ils manipulaient lecours du travail. le dirigeant ouvrier devint alors le troisième mem-bre de la hargneuse trinité capitaliste.

2. l'émergence du Juif

Plus important que ces concurrents domestiques, il y avait un nouvelélément: l'étranger à la Culture. Son entrée dans les affaires occiden-tales fut un résultat direct de la victoire du Rationalisme et duMatérialisme. Comme seule la quantité comptait, alors évidemmentla qualité d'un homme n'avait pas d'importance. le fait qu'il venaitd'une Culture différente, et que, par conséquent, il se sentait membred'une race, d'un peuple, d'une nation, d'un Etat,d'une religion, d'unesociété différents - cela ne. comptait pas pour les doctrinaireslibéraux.lI~ parlaient avec ferveur de 1'« Humanité» et souhaitaientfraterniser avec elle, ne pensant guère qu'en dehors de la CultureOccidentale il n'y avait pas de sentiment similaire, mais seulementune sombre jalousie, de l'indifférence, ou du ressentiment.L'idéologie libérale prévalut, et à partir de ce moment les Rothschild,les Ricardo, les Marx, les Lasalle, les Bebel, les Dreyfuss, lesGug~enheim, les loeb, les Trotski, les Stavisky, les Krueger, lesBaruch, les frankfurter et les Blum entrèrent dans la vie publique del'Occident.

La Culture-Etat-Nation-Religion-Race-Peuple du Juif est le produitd'une Culture qui était déjà achevée et rigidifiée à l'époque de notre

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période médiévale. Au temps où nous émergions juste de l'étatprimitif, ces étrangers-à-Ia-Culture se dispersèrent à travers l'Europe.Le goût de l'Argent, considéré comme mauvais par l'Occident, était lepoint fort du Juif. Le prêt à intérêt était interdit aux Occidentaux parleur religion, et le Juif ne fut pas long à s'emparer du monopole del'usure que cela lui conféra.

Dans la Culture dont le Juifétait un produit, une nation était une unitéde croyance, entièrement indépendante de la notion de territoire, depatrie. Dispersé dans toute l'Europe, le Juif considérait naturellementtous les Occidentaux comme des étrangers. Dans le monde occiden-tal du christianisme médiéval, de la chevalerie, de la piété,etde lasimple économie agricole, il n'y avait pas de place pour cet étrangersans patrie et déraciné avec saTorah et son Talmud, son argent et soncynisme, son éthique dualiste, une pour son 'propre peuple, et uneautre pour les goyim. Le Juif créa son propre ghetto commeunsym-bole de son complet isolement intérieur vi$-à-vis de· sonenvironnemen~. Le sentiment général de l'Epoque médiévalereligieuse était que le Juif était une création du Diable, qui l'avaitdésigné pour mener son commerce del'usure.

Entre les membres de la Culture Occidentale et cet élément quivivaitdans et sur le corps de l'Occident, mais qui ne partageait et ne con-tribuait d'aucune manière à son développement, apparut unehaineet une oppression mutuelles. Les Croisés massacrèrent des commu-nautés juives entières sur la route du Levant, ainsi qu'au retour. tesprotestations contre l'usure entraÎnèrentle pillage et .Iemeurtre desJuifs. Les papes et les philosophes de la Scolastique dénoncèrent leJuif. Tous les rois occidentaux, à un moment ou à un autre, expul-sèrent toute la population juive de leurs royaumes. Les Juifs furentpendus en masse en représailles contre leur usure et leurs contre-façons. Toute possibilité d'assimilation du parasite par l'hôte,quiaurait pu exister, fut à jamaisrendue impossible par le ressentimentet le désir de revanche infiniment profonds qui se développèrentdans le Culture-Etat-Nation-Race-Peuple du Juif.

Entre lui et son environnement occidental, il n'y avait pas de lien pro-fond. Il regardait tout le développement occidental d'un œil froid,l'œil du spectateur calculateur qui cherche seulement son propreavantage. Shylock est le symbole du Juif dans la Culture Occidentale,l'usurier comptant son argent et accumulant sa rancœur. Pendantpresque un millier d'années, le Juif ravala sa bile et attendit son

P;~RT!16 : - ANTHOLOGH::

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heure, et alors finalement sa chance apparut. Avec l'arrivée dumatérialisme, du capitalisme, de la démocratie, et du libéralisme, unegrande vague d'excitation parcourut le monde juif. LeJuif avait vu lespotentialités de ces idées et avait favorisé leur croissance de toutesles manières. Les Illuminés de Bavière et toute leur descendancefranc-maçonne furent infiltrés par le Juif et transformés en instru-mentsde sa politique de revanche. Pour le Juif, le grand attrait detous ces mouvements occidentaux était leur aspect quantitatif, etqu'ils tendaient donc à briser l'exclusivisme de l'Occident, qui l'avaitmaintenu en dehors de ses luttes pour le pouvoir, et confiné dansson ghetto, rêvantà sa revanche après des siècles de persécutions. Apartir de ce moment, il lui futgénéreusement accordé le même statutspirituel que les Occidentaux dans leur propre Culture, et le mêmestatut civique que les Occidentaux dans leurs propres Etats-nations.Bien sûr, il conserva son propre exclusivisme et sa propre viepublique, car les vœux de Nouvel An du Libéralisme - humani-tarisme, amour fraternel, « tolérance» et tout le reste, étaient à sensunique. Ils étaient une phase de notre développement et ne pou-vaient pas trouver d'écho dans l'organisme juif, qui était passédepuis longtemps au-delà· de tout développement, comme lesChinois, les Hindous et lesMusulmans.

Dans la finance, I.ecommerce, la société, l'éducation, les lettres, ladiplomatie, le Juif à présent progressait régulièrement, organismefermé à l'intérieur d'un organisme ouvert. Alors que les Occidentauxappliquent le test de capacité, le Juif choisit ses associés et sessubordonnés sur la base de leur appartenance à sa Culture-Etat-Nation-Race, ou à une de ses sociétés secrètes qui s'étendenthorizontalement à travers les nations occidentales.

En1858, le Juif putmontrereffectivement sa capacité à diriger le pou-voir des Etats Occidentaux dans son intérêt, lors de l'affaire Mortara.Pendant tout le XIXème siècle, le Juif intervint constamment dans lesaffaires intérieures et extérieures de tous les Etats-nationseuropéens. A l'intérieur de chaque pays, il cherchait à imposer lapolitique qui lui donnerait finalement la maîtrise complète de laCivilisation Occidentale. Ainsi, en Angleterre il était impérialiste etlibre-échangiste, en Allemagne et en Autriche il était libéral et social-démocrate, en France il était libéral ou communiste.

Pendant la dernière partie du XIXème siècle, le Juif se lança dansl'invasion de l'Amérique, quand le mot circula dans la Culture-Etat-

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Nation-Race juive, que les opportunités étaient ici aussi gra~~es et larésistance plus faible, à cause de l'absence de hautes traditions. E~Europe, il a été impossible pour ~e Juif d'annih~ler I~ Traditio~, qUiopposa constamment une barriere fo~te e.t s,llencl~u.se, ~alsenAmérique, à cause de son origine coloniale, Il n yavalt.tamals eu decréativité ni d'exclusivisme, et il n'y avait pas de barnere contre leJuif. l'Amérique était plus profondément d~sagrég~e par le,~ationa-lisme, le matérialisme, le libéralisme et la democratle que n Importequel pays européen, parce qu'un~ colonie n'a pas, et ne p'eut pasavoir, la profondeur et la continuité spirituelles d~ laterre.-mere de laCulture. En résultat, c'est en Amérique que le succesdu JUIf fut le plusgrand, et pendant l'année 1933, to~tlecontinent a.m.éricain passasous le contrôle du Culture-Etat-Natlon-Race-Peuple JUif.

la présence d'un étranger à la Culture génère des phénom~n~s sp~-rituels économiques et sociaux d'un genre qui ne pourrait Jamaissurgir 'parmi les éléments et le~ événements ~omestiques.cesphénomènes sont des manifestations d'une maladie de la Culture etsurgissent forcément quanddes groupes humains qui ne partagentpas la même Culturesont en contact. Quand l'undes groupes appar-tient à la Culture, et pas l'autre. -Iecas des Nègres dans la c?lgnieBoer, ou des Nègres et des Indiens au Brés~l- la.relati.on ~st simple-ment du parasitisme de la Culture. Cet etat m~I~~lf depla~e lesmembres de la Culture et a uneffetlentementstenllsant sur/I orga-nisme culturel.

la situation est plus grave quand l'étrangerà,l~ Culture inte~vie~tdans les affaires publiques et spirituelles de 1hote, car alors Il dOitnécessairement déformer la vie de l'hôte, pervertissant et fru~tr~ntses propres tendances pou; les m~ttre au servi:e de ses Id~esétrangères. le Juif est le seuletranger a la cul1uroeqUI exerce a.çtuelle-ment cette déformation de la Culture au detnment de la vie de laCivilisation Occidentale.

les éléments domestiques malades à l'intérieur de la Culture, quisouhaitent conserver les idées et les méthodes démodées du Passéet combattre l'esprit créatif qui accomplit une mission culturelle, sontles forces de Retardement de la Culture. Celles-ci se sont mises auservice des déformeurs de Culture. En réalité ces éléments désirentsimplement diriger, mais en sont eux-mêmes incapables, et par c~n-séquent consacrent leurs vies à S'?p~oser aux .g.randes ~d.eesformatrices, aux courants spirituels creatifs, et aux dirigeants VISlon-

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naires et géniaux. Ce sont les Churchills, les Spaaks, les de Gaulles"les rejetés de la haute Histoire qui se mettent au service des forces denégation et de destruction. la forme la plus critique de la maladie deRetardement de la Culture est la situation dans laquelle elle chercheà empêcher la réalisation de l'Idée de l'Avenir, même au prix de lahonte consistantà s'allier aveclesforces extérieures, à se dégraderen devenant leur vassale, et au· risque de détruire toute la Culture.Avant de montrer l'effet des éléments malades sur les relationsexternes de la Culture,il faut résumer leur effets internes.

3. la dégénérescence sociale

les forces du rationalisme, du matérialisme, de l'athéisme, dujacobinisme, dela démocratie et du libéralisme devinrent toujoursplus radiçales dans leurs demandes pendant ce siècle. leur produitle plus intransigeant fut le communisme. les valeurs dominantes ducommunisme sont identiques à celles de la démocratie libérale: lecommunisme prêche aussi le sens économique de la vie, la supré-matie de l'individu, la sublimité du « bonheur », la doctrine duparadis sur Terre, la supériorité du type d'homme le plus bas, lematérialisme, J'esprit critique, l'athéisme, l'intellectualisme, la hainede l'autorité, le suicide racial., I.eféminisme et le pacifisme. la seuledifférence en pratique entre la démoçratie libérale et le commu-nisme était que le communisme fut une intensification de cescroyances jusqu'au point où elles devinrent politiques. Le libéra-lisme était anti-politique, et espérait ~agner par des sentimentsamollissants, mais le communisme était empli d'une haine intensequi demandait à s'exprimer par la lutte des classes.

Tous les aspects de la décadence sociale furent pénétrés par ledéformeur de Culture, qui comprit bien leur valeur pour son pro-gramme de domination. En mêmeternPS qu'il répandait et soutenaittoutes ces formes de décadence sociale pour les nations blanches, ils'efforçait soigneusement d'en préserver son propre Culture-Etat-Nation-Race-Peuple. Ce fut une caractéristique invariable de latactique du Juif, lui-même porteur de la maladie de la Culture, que des'allier instinctivement avec toutes les formes, théories, doctrines etpratiques de décadence dans tous les domaines de la vie.

La dégradation de la vie sociale ne survenait pas naturellement,elle était planifiée, délibérément encouragée et répandue, et la

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désa~ré~ation systématique de toute la vie de l'Occident se poursuitaujourd'hui.

les instruments de cette attaque sont les armes de la propa~ande : lapresse, la radio, le cinéma, le théâtre, l'éducation. Actuellement, enEurope, ces armes sont .contrôlées presque entièrement par lesforces de la maladie de la Culture et de la dé~énérescence sociale. lasource principale de la propagande estle cinéma, et depuis sa capi-tale d'Hollywood, le Juif vomit une .interminable série de filmspervertis pour dégrader et corrompre la>jeunessede· l'Europe,comme il a si bien réussi à le faire avec la jeunesse de l'Amérique.Parallèlement, il inspire une littérature vicieuse dans le journalisme,les romans et les pièces qui prêchent le même message de destruc-tion des instincts individuels sains, de la vie familiale et sexuellenormale, de désagrégation de l'organisme social en untas de grainsde sable humains, errants et se heurtant.

le message d'Hollywood s'exprime totalement dans le modèle del'individu isolé, sans identité et sans racines, coupé de la société etde la famille, dont la vie est simplement larecherchede l'argent et duplaisir érotique. Ce n'est pas l'amour normal et sain d'un homme etd'une femme liés par de nombreux enfants que prêche Hollywood,mais un amour pour soi-même, érotique et maladif, l'amour sexuelde deux grains de sable humains,superficielettransitoire. Devantcette valeur, la plus haute de toutes celles de Hollywood, tout lerestedoit rester àl'écart: mariage, honneur, devoir, patriotisme, austérité,don de soi-même à un but plus élevé. Cette horrible déformation dela vie sexuelle a créé la manie de l'érotisme qui obsède s.esmillionsde victimes en Amérique, et qui a maintenant étéJmpqrtée surlaterre-mère de l'Europe parl'invasion américaine.

Ce ne sont pas seulement les individus qui sont les victimes de cettetechnique de dé~énérescence, mais aussii la famille et la race qui sontdissoutes partout où elle les touche. le divorce remplace le mariage,l'avortement remplace la naissance, la maison acquiert une raisond'être purement commerciale, la famille devient le champ de batailledes luttes individuelles pour l'avanta~e personnel. l'érotisme poursa propre fin réduit délibérément le nombre de membres de la race,même s'il désa~rège aussi l'or~anisme global. Par un aspect de cettetechnique, la femme est transformée en féministe, une malheureusecréature égarée qui affronte l'homme sur son propre terrain etcherche à perdre tous les attributs de la polarité qui lui assure son

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épanouissement, et qui lui garantit la di~nité naturelle qui est lasienne. la fin du processus peut se voir dans ces lar~es couches del'Amérique qui ont été complètement hollywoodisées.le féminismehollywoodien a créé une femme qui n'est plus une femme mais quine peut pas être un homme, et un homme qui est dévirilisé en unechose indéterminée. le nom donné à ce processus est la«libération» de lafemme,et est mené au nom du « bonheur» le motmagique de la doctrine libérale-communiste-démocrate.1I ac~ompa-gne le développement d'un puritanisme inversé, qui cherche àrépandre la manie de l'érotisme en entourant la vie sexuelle d'uneaura de mal attirant.

Du point de vue de la race, le résultat de cette technique dedé~énérescence est l'affaiblissement, et finalement l'extinction desinstincts raciaux. les victimes désinté~rées, coupées de leurs con-nexions or~aniques avec le~rand contenu supra-personnel de la Vie,deviennent improductives, perdent leur volonté de puissance, etmanquent bientôt de la capacité à croire ou à rechercher quelquechose de loIntain et de supérieur. Elles deviennent cyniques, aban-donnenttoute discipline intérieure, recherchent une vie de facilité etde plaisir,etméprisent toutsérieuxet tout sens de l'honneur. Tous lessentiments intenses disparaissent, car ils pourraient impliquer unrisqueetunsacrifice.l'Amour de la Patrie fait place à la folie de l'ar-~ent et à la manie del'érotisme.

la complète médiocrité qui en résulte peut se voir chez les mal-heureux Américains désinté~rés quifurent enrôlés et envoyés enEurope pendant la seconde ~uerre mondiale. Manquant complète-ment de tout désir de combaUreoumême d'accomplir la destructionquiétê!itattendue d'eux, ils se laissèrent cependant envoyer se fairetuer au loin plutôt que de se défendre eux-mêmes, ainsi que dedéfendre leur Patrie, contre les plans du ré~ime étran~er deWashin~ton.

Cet état de dé~énérescence, si lar~ement répandu en Amérique, avecson manque colonial de résistance à la maladie de la Culture, et simenaçant pour l'Europe sous l'actuelle domination américaine, n'estpas survenu par accident. 1\ y a un siècle, le libéral-communiste-démocrate Karl Marx et sa coterie formulèrent dans leur pro~rammela destruction de la famille, du maria~e, et de la Patrie. Ils déclarèrentune ~uerre horizontale contre la Civilisation Occidentale, affirmantleur but de désa~ré~er toutes les formes sociales, culturelles et poli-

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tiques. L'Amérique est leur pro~ramme en cours de réalisation, et sonexemple montre à l'Europe ce que le ré~ime libéral-communiste-démocrate des déformeurs de Culture prépare pour elle dans les~énérations à venir.

Mais ne faisons pas d'erreur: il n'y a rien d'inévitable dans ceUemaladie de la Culture. Aussi lon~temps· que l'or~anisme culturel~arde ses traditions, ses instincts raciaux, sa volonté de puissance,ainsi que son exclusivisme et sa résistance naturels à tout ce qui estculturellement étran~er, ce résultat ne peut pas survenir. L'exempledu Québec en est la preuve. Ici, les instincts sains de résistance à lamaladie de la Culture rendent. impossibles pour le ré~ime deWashin~ton d'enrôler la population· d'.untiers du Canada pour sa~uerre de revanche, de haine, et de destruction, contre la Culture-mère et la Patrie de l'Europe. L'héroïsme collectif du ré~iment duQuébec qui déposa les armes et refusade participer àTinvasion hos-tile du sol sacré de l'Europe estla preuve manifeste de la présence etdu haut potentiel, même dans les colonies, de l'invincible traditionoccidentale de pureté et d'exclusivisme culturel. De même, dans lacolonie Boer, une forte résistance fut contin\.Iellement opposée à la~uerre des forces extra-européennes contre la Culture ?ccidentale.Même en Amérique, principal lieu des efforts du deformeurdeCulture, et base desa ~randepuissance,laplus ~rande partie du peu-ple se tint à l'écart de la ~uerre par l'attitude dénoncée comme« isolationniste» par le ré~imeétran~er. Loin d'être isolée, l'âme pro-fonde du vrai peuple américain est reliée indissolublement par leplus fort lien possible, le cordon mystique reliant l'Or~anisme-Mère àsa colonie, et ce fut précisément àcaus.e de ce lien que l'instinctaméricain répu~nait à la ~uerre haineuse contre l'Europe. Il cherchaità s'isoler seulement de l'horrible trahison contre l'Europe, qui étaittramée etdiri~ée à Washin~ton.

Ce fait capital démontre à l'Europe et à l'Histoire que l'Amérique n'estpas perdue, et dès cet instant le Front de Libération existe aussi enAmérique. La ~uerre pour la libération de la Civilisation Occidentaleinclut aussi les colonies, car c'est une ~uerre horizontale, comme lesmaladies de la Culture contre lesquelles elle combat. Les tentativesde diviser l'Occident en unités séparées, économiques, politiques,militaires, raciales, sont purement artificielles à notre époque. Lalutte verticale de tous contre tous appartient au passé capitaliste-nationaliste, et sa résurrection actuelle est simplement unetechnique de l'ennemi intérieur, une tentative d'étran~ler l'avenir

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avec l'étreinte morte du passé. Le Front de Libération, à la fois dansla terre-mère et dans les colonies, tourne le dos aux vieilles luttesverticales, et s'oppose au ré~ime de Washin~ton en Amérique aussitotalement qu'il s'oppose aux .administrations-marionnettes qu'ilmaintient en Europe. A l'intérieur de la Civilisation Occidentale elle-même, il n'y a plus de différences verticales réelles; le seul combatréel de cette sorte dans le monde est la révolte du monde extérieurcontre la suprématie de la race européenne.

Dans le domaine de l'économie nationale, la maladie de la Culturepoursuit pendantl'ère matérialiste le même pro~ramme de destruc-tionque le<Hbéral-communiste-démocrate Marx avait énoncé pourelle. La littérature communiste-démocrate demandait des impôts surle revenu et des impôts sur rhérita~e écrasants pour détruire lesindustriels et transférer laJortune .aucapitalisme financier, dont lafortune est invisible, et ne peut pas être découverte ou taxée. Dansune bataille qui dura un siècle,les forces de la maladie réussirentpresque complètement à détruire tous les ~roupes privés de tradi-tion occidentale, dont l'ascendance elle-même représentait unebarrière à ladé~énérescence et à lavictoire du déformeur de Culture.Elles introduisirent le procédé des énormes structures financièresanonymes, appelées holdings, ils firent de la monnaie des nationsune fonction de leurs banques,etimposèrent le principe d'un fluxconstant dans l'économie nationale, pour créer la possibilité de« coups »financiers.

La corrosion de la maladie de la Culture n'affecta pas seulement lesdomaines de la société etdeTéconomie, mais aussi celui du ~ou-verne ment. Là oÙautrefoisl'EtatavaiHa durée pour lui, parlant avecautorité a.unom de tous, centre du respect et source de l'ordre, ellesintroduisirent le chaos desidéol()~ies, chacune prétendant avoirla formule du millenium, le secr~tpour construire la terre promisede "Ancien Testament, tous deux purement matérialistes etéconomiques. Ils ne parlaient pas d'une Idée Mondiale, de la missionde l'Occident dans le monde, de la construction de l'/mperium del'Occident, mais de commerce, de distribution et d'échan~es. L'âmede l'homme occidental était pour eux une fonction des importationset des exportations, de la marchandise et de la comptabilité. de lapossession et de la non-possession, de la rivalité entre les classes.LaMission Mondiale de l'Occident était pour eux le fait de s'assurer desmarchés et des matières premières par-delà les mers.

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là où l'Autorité avait de la tenue, et était remplie de dignité, ilsapportèrent des Parlements jacasseurs où la parlotte devint toujoursplus insensée, et la comédie toujours plus patente. Car ces députéssont de simples objets, des unités remplaçables qu'on peut décrireseulement mathématiquement, en groupe. Parmi eux il n'y a pas, et ilne peut pas y avoir, une individualité forte, car un homme, unhomme accompli et complet, ne se vend pas comme .ces prostituésparlementaires.

Pour remplacer le principe d'autorité de la responsabilité publique,la maladie de la Culture avait apporté l'irresponsabilité anonyme dela décision de la majorité amorphe, qui ne put jamais être retrouvéeaprès qu'elle eut commis sa trahison envers l'Europe. Pour compléterla destruction, la fraude mensongère des soi-disant élections tentede re-convaincre les peuples européens, à intervalles réguliers, qued'une manière ou d'une autre ils se gouvernent eux-mêmes. Entre lesmensonges que les candidats offrent à la populace, et les engage-ments qu'ils prennent envers leurs vrais maTtres, il n'y a pasla moindre connexion. Les programmes soumis à l'électorat sontcomposés avec le vieux matérieUdéologique libéral-communiste-démocrate, historiquement. mort depuis longtemps. Pour cescréatures sans honneur, sans caractère, ou même sans la com-préhension nécessaire, l'avenir doit être simplement une extensiondu passé. Parler d'une nouvelle organisation équivaut à parler d'unParlement plus grand et meilleur, d'une Société des Nations avec unParlement gigantesque, apportant la possibilité de plus fortes récom-penses pour de plus grands mensonges. Seule l'échelle doit êtreagrandie. Même en Angleterre, berceau de l'idée parlementaire, etseul endroit où elle eut vraiment de la dignité et de la valeur, ridéeest complètement morte. Avec un instinct sûr, la population appellele parlement local «l'usine à gaz ». Partout en Europe, les populationsmontrent ce qu'elles pensent de cette fraude putride en s'en isolantelles-mêmes : elles ferment leurs oreilles aux programmes et auxmensonges, elles haïssent les idéologies, elles boycottent les élec-tions, elles méprisent de toute leur âme toute la Tour de Babel qui aaujourd'hui la témérité de se faire appeler gouvernement, et dedemander la confiance des peuples.

Voilà le monde que l'ennemi intérieur, le libéral-communiste-démo-crate, a créé, travaillant avec, et souvent même sous la direction del'étranger à la Culture, l'Etat-Nation-Peuple-Race-Société du Juif. Avecleur maladie du retardement de la Culture, avec laquelle ils veulent

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étrangler l'avenir de l'Europe, ils ont renforcé les maladies du para-sitisme de la Culture et de la déformation de la Culture, qui sont lescadeaux du Juif à l'Europe.

Ils ont apporté le matérialisme, l'athéisme, la lutte des classes, lesidéaux amollissants du bonheur, le suicide racial, l'atomisationsociale, la promiscuité raciale, la décadence dans les arts, la maniede l'érotisme, la désintégration de la famille, le déshonneur privé etpublic, le féminisme destructeur, la fluctuation et la catastropheéconomiques, la guerre civile dans la famille des peuples européens,la dégénérescence planifiée de la jeunesse au moyen d'une littéra-ture et de films infâmes, et de doctrines d'éducation névrotiques. Ilsont cherché à corromprel'Europe, à affaiblir ses instincts raciaux, à ladéviriliser, àla priver de son honneur, de son héroïsme et de sa viri-lité, de la conscience de sa Mission Mondiale, de la conscience de sonunité Culturelle, et même de son code militaire chevaleresque. Ils ontcherché à paralyser la volonté de l'Europe et à détruire sa volonté depuissance en important la syphilis mentale de Hollywood pourempoisonner le sol sacré de l'Europe.

Nous mettons cela à leur charge. Ces choses sont des faits, et àl'avenir rien ne pourra jamais faire oublier qu'elles ont été faites ettentées par l'ennemi intérieur. Ceci n'est pas non plus la totalité de ladestruction apportée par la haine, la négation, et la revanche desennemis de l'Europe. Ceci est la dévastation à l'intérieur des peuplesde l'Europe. Il reste à exposer leur effet dans le domaine des rela-tions mutuelles entre nations européennes, et finalement, dans ledomaine des relations de l'Europe avec le monde extérieur.

B. La destruction de l'unité politique de l'Europe

Pendant la période dynastique de l'Histoire occidentale, bien que lesguerres inter-européennes étaient à grande échelle et de longuedurée, elles étaient limitées dans leurs buts, et l'exploitation de lavictoire était strictement conditionnelle. Ce n'étaient pas des guerresnationales, mais des guerres dynastiques. la puissance était l'enjeu,mais la puissance seulement à l'intérieur du cadre supérieur del'éthique chevaleresque, de la société, et de l'unité Culturelle. Cetteunité était connue sous le nom de Concert de l'Europe, et le nom lui-même reflète le sens profond de l'unité dans la famille européenne.

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Avec la venue de l'Age du Matérialisme, et l'attaque menée contretoutes les traditions de l'Occident par les forces du libéralisme, dujacobinisme, de la démocratie, de l'argent, et du rationalisme, le con-cept dynastique de l'idée nationale s'effondra lentement et futremplacé par le concept linguistique de la nation. Le symbole mys-tico-autoritaire de la maison régnante avait été l'expression ultime del'Idée nationale pendant des siècles, mais maintenant une nouvelleépoque demandait une nouvelle forme de concept de nation pourexprimer la vision matérialiste du XIXèmesiècle. le matérialisme créaainsi le test linguistique de la nationalité.

la tendance expansive toujours plus forte de l'organisme Occidentalavait entraîné une énorme croissance de la population occidentale,reflet de sa vie plus intense. Decela surgirent de vastes systèmeséconomiques, des Etats plus forts que tout ce qui avait existé aupar-avant, des guerres à plus grande échelle, et un accroissementconstant de l'intensité du combat.

le concept littéral de l'Idée nationale isolaitlesnationsles unes desautres et accentuait leurs sentiments nationaux par rapport auxautres. De cela surgit le patriotisme déformé, appelé chauvinisme. Ilenvahit les universités, le monde des lettres., les cabinets et les partispolitiques. Il concentra.tous ses espoirs, ses sentiments, ses idéaux,et son intelligence dans les nations, et à son dernier stade, il en arrivafinalement à l'idée ridicule que les nations sont les créatricesdeJaculture, et que, donc, il y avait autant de Cultures en Europe qu'il yavaitde nations. Comme c'est le sentimenlde l'unité dela Culture quiavait maintenu l'Europe unie, et qui avait conservé àsa politiqueinterne et à ses guerres un caractère limité et chevaleresque, cetteforme malsaine de nationalisme s'attaquait à la base même de l'unitéde l'Europe. Si, dans une guerre entre deux Etatseuropéens, chacunse considérait lui-même comme une Culture, alors l'adversaire étaitun ennemi total, et la lutte était absolue. Ce nouveau concept deguerre et de politique gouvernaitles esprits des démocrates et deslibéraux matérialistes, qui accueillaient à présent le chauvinismedans leur république de destruction. les chauvinistes réinter-prétèrent tout le Passé en termes de nations du XIXèmesiècle. Ilsparlèrent de ces nations comme si elles avaient toujours existé, etcomme si elles étaient mécaniquement et causalement nécessaires àl'existence du monde, comme si elles étaient les seules unités del'Histoire supérieure, et comme si l'avenir, tout comme le passé,appartenait à ces blocs de constructions historiques.

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Mais une fois de plus, l'attaque matérialiste ne réussit pas totale-ment. la Tradition ne disparut pas complètement, parce qu'elle est lecœur même, l'expression de l'âme de la Culture Occidentale. Ainsi,après la guerre franco-prussienne, à la fin du XIXèmesiècle, Bismarckveilla à la sécurité et à un traitement honorable de l'Empereurfrançais vaincu, et le traité de paix fut dans le style chevaleresque duXVlllèmesiècle. le nationalisme vertical du chauvinisme matérialistene réussit pas à détruire entièrement le sentiment de l'unitéCulturelle, et la preuve en est dans la réaction occidentale à laRévolte des Boxers en 1900. les nations européennes réagirent àl'unisson, alliées à la colonie américaine, pour envoyer uneforce e)Çpéditionnaire commune pour représenter et protégerl'Europe entant qu'unité, sous le commandement du feld-maréchalallemand Waldersee.

le combat entre la Tradition et le nationalisme vertical continua etatteignit finalement sa plus grande intensité avec la cassure de lapremi~reguerre mondiale. Mais soudain, avec la fin de cette guerre,un nouveau monde naquit. l'Europe, avec cette puissante secousse,était entrée dans une nouvelle phase de son existence. la ruptureétait tout aussi profonde que celle de 1789,l'autre grand tournant del'histoire européenne récente. les vieilles notions matérialistes denations, de société, d'histoire, de politique, d'Etat, de guerre, de cul-ture, d'éducation, d'éthique, de science, étaient toutes balayées. Aleur place, il y avait une nouvelle vision de la vie, complète etorganique. Sa relation avec la vieille vision matérialiste-rationaliste-démocrate-communiste peut être comprise au mieux, non commecelle existant entre le vrai et le faux, mais comme celle existant entrel'Avenir et le Passé. la vieille vision-du-monde libérale-parlemen-taire, matérialiste, désintégrée, atomisée, était simplement morte desa mort naturelle. C'est la seule manière de triompher d'une Idée his-torique, la manière organique, par saréalisation complète et sa mort.la première guerre mondiale elle-même fut une création -la dernière création indépendante - de cette vieille vision; elle futla plus haute expression du nationalisme vertical et de l'Age dumatérial isme.

De la mort de l'Age du matérialisme surgirent les nouvelles valeurs.D'abord, dans le domaine de l'économie, domaine favori de l'aristo-cratie libérale-communiste-démocrate, le vieux principe éthique ducapitalisme recula devant le nouveau principe du socialismeéthique. A la place du code d'égorgeurs du chacun pour soi, et de la

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vie conçue comme une compétition darwinienne pour devenir riche,surgit le nouveau code du chacun pour tous, du sentiment que l'Etatest le gardien du Destin, et donc de la puissance, de tout son contenu,que le but dela Vie n'estpas de devenir riche, mais de se réaliser soi-même et de réaliser ses possibilités à Tintérieur d'un organismesupérieur. A la place de la suprématie de l'économieetdel'individu,il y eut la subordination<de l'économie et l'intégration. de l'individudans la vie supra-personnelle. la bonne conscience et les. fonde,ments théoriques du laisser-faire disparurent.

Dans le domaine spirituel, le matérialisme athée commença lente-menfà quitter ses hauteurs et à se soumettre àun renouveau desvrais sentiments religieux. En philosophie, le sensualismefit place àla méthode historique, et l'organismedelaCultureOcc;identale pal-pita à nouveau avec la redécouverte de son destin unitaire et de sapuissante mission impériale dans le monde.

Dans le domain.e de la société, s'opposant a.uchaos del'atomisation,du féminisme, de la désintégration du foyer et de la famille, du sui-cide racial, et de la décadence universelle, surgit· l'idée del'ascendance raciale, de la fécondité, dela préservation et de l'inté-gration de la société, duretour de la bonne.santésociale.

L'idée de l'Etat limita sa domination totale au domaine de la poli-tique, et le parlementarisme, avec sa· chaotique successiond'élections, de programmes, d'utopies, et de corruption, prit placeparmi les choses archaïques. La te~tatived'utiliser le légalisme pourpriver de vie l'organisme européenfutvaincue, et lavolontéde puis-sance européenne fut accrue. la vie politique> s'intensifia, lepacifisme disparut, l'homme européen s'orienta vers les prochainesguerres absolues pour la survie de l'Europe, et contreJes forcesextérieures.

Après plus d'un siècle de désintégration, de division, et de désunifi-cation constantes, de crise permanente provenant de la maladie dela Culture du matérialisme rationaliste, la Culture retrouva une fois deplus la santé et la vitalité,l'Autorité et la FoL la forme provisoire dela restauration de la santé et de l'unification de l'Europe fut progres-sivement assimilée par les pays européens, l'un après l'autre.

Pendant la première guerre mondiale, le Rationalisme et leMatérialisme des XVlllèmeet XIXèmesiècles avait remporté une pseudo-

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victoire sur la Résurgence de la Foi, de l'Autorité et de l'Empire, quisont l'esprit des XXèmeet XXlèmesiècles. les éléments retardateurs deCulture qui exploitèrent cette victoire tentaient de perpétuer lesméthodes et les idées anciennes. Avec leur Société des Nations capi-taliste-parlementaire, ils amplifièrent le pluralisme des Etats dej'Europe, tout comme ils continuèrent à l'intérieur de chaque Etat àamplifier le plllraiisme socio-économique. la différence était main-tenant que ces Etats n'étaient pas de véritables unités politiques,mais de simples vestiges qui devaient s'unir si l'organisme del'Europe devait simplementsurvivre. Dans cette situation, la tentativede perpétuer l'étatisme. borné et le nationalisme vertical était unetrahison envers l'Europe et aussi envers chaque petit Etatà l'intérieurdel'Europe. Maisla trahison est le métier des éléments de la maladiedelaCulture; leur seule relation avec la grande mission impériale del'Europe dans le monde est celleq'un ennemi. lorsqu'ils voients'élever quelque chose de grand, ils décident, dans leurs âmes mal-ho.nnêtes et envieuses, de s'y opposer et de l'abattre.

C'estainsi qu'ils résolurent dedétruire la Résurgence européenne del'Autorité, avec sa Foi retrouvée, et sa haute tâche d'unification del'organisme européen pour saMission Mondiale. lorsqu'en 1936 lesquatre principales puissances en Europe signèrent un pacte définitif,renonçant à la guerre entre elles, et affirmant ainsi leur unitéeuropéenne, l'Avenir del'Europe sembla garanti pour toujours.

Mais dal1s le monde extérieur, des développements hostiles enversl'Europe dépassaient lar~ement les efforts des éléments maladifsintérieurs, les libéraux-communistes-démocrates. Car en Amériqueen 1933, la Culture-Etat-Nation-Race-Peuple du Juif s'était emparéedu pouvoir total,et toutes les ressources de l'Amérique étaient à sadisposition pour sa mission de haine, de revanche et de destructiondela Civilisation Occidentale, et en particulier de son cœur et de sonâme, J'organisme européen. Par une propagande empoisonnée, parla corruption àune échelle sans précédent, par l'achat de gouverne-ments et de parlements entiers, par des spéculations financières surdes monnaies européennes, et par des pressions économiques, lerégime des déformeurs de Culture de Washington divisa l'Europe endeux moitiés et commença à préparer une Guerre Mondiale contrel'Europe. l'instrument de cette préparation en Amérique fut le mons-tre Roosevelt, qui fit de sa vie un exemple d'infamie, et dont le nomest synonyme de l'apogée de la puissance juive dans le monde. leJuif et son Roosevelt accomplirent ce qu'aucune force intérieure en

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Europe n'aurait jamais pu réussir, la création artificielle et inor-~anique d'une ~uerre de destruction et de terreur contre l'Europe,qui à la lon~ue réussit finalement à atteindre sesobjectifs né~atifs.laréunion de l'or~anisme européen a temporairement échoué, laRésur~ence de l'Autorité esUemporairement stoppée, la puissancede chacun des anciens Etats de ('Europe est réduite à rien, la puis-sance de l'or~anisme européen dans le monde extérieur a disparu, lepresti~e de l'Europe est éclipsé par celui des puissances extra-européennes.

Voilà la nouvelle Europe, la création de la démocratie libérale-com-muniste, l'Europe du matérialisme rationaliste, du capitalismefinancier marxiste-prolétarien, de la lutte des classes et du nationa-lisme vertical, poussés jusqu'à leurs limites extrêmes. D'unedirection vienne Juif, entraînant à sa suite ses malheureuses vic-times américaines, avec leur but auto-proclamé d'« éduquer »l'Europe; de l'autre direction, à l'invitation du ré~ime de Washin~tonet avec son assistance, vient le ·flot parbare de l'Armée Rou~emoscovite, jusqu'au cœur de l'Europe.

là où hier laRésur~ence de la Foi et de l'Autorité s'était levée pourouvrir la voie à l'Avenir européen, là où la volonté de puissance, d'or-dreet d'accomplissement, d'abondance et de beauté avaitcalmement pris la tête de cette œuvre, aujourd'hui le lé~alisme hys-térique des Juifs excités et des libéraux morts impose une horrible etmonstrueuse terreur aux peuples d'Europe. A la place de la volontéunique d'unité et de puissance, il ya maintenant une multitude deparlements où chaque jour l'âme de l'Europe est achetée efvendue,et oÙ l'existence économique de l'humanité européenne est traitéecomme une entrée dans le re~istre du ministre américain des affairesétran~ères. les éléments maladifs triomphants ont détruitlastabiHtéet l'ordre de l'économie européenne, et ontimportéJapauvreté uni-verselle pour remplacer la sécurité etl'abondancequi sont le droitde l'Europe. Avec leur désa~ré~ation, leur capitalisme d'é~or~eurs,d'étatisme borné, de compétition insensée, et d'é~oïsme canonisé, ilsont créé le manque et l'insécurité, la faim, la malnutrition, le chô-ma~e, le désespoir et le suicide. lorsqu'ils nouent autour de nos cousla chaîne de la dépendance économique devant l'Amérique, ilsattendent un chant de ~ratitude de la part des peuples de l'Europe,qui ont connu l'indépendance et la ~randeur, mais qui n'ont jamaisconnu l'esclava~e.

PARnE. ! - ANTHOLOGIE

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Cela aussi, nous le mettons à leur char~e.les éléments maladifs de ladémocratie libérale-communiste, l'ennemi intérieur de l'Europe, ontcherché à détruire définitivement, et ont temporairement empêché,l'unité Culturelle de l'Europe, qui servait à unir tous les peuples parle lien Culturel supérieur, les contrai~nant, même pendant les ~uer-res, à des usa~es chevaleresques, au respect mutuel, et à la retenuepolitique. Ils ont fait cela, et ils ne peuvent pas nier leur responsabi-Iité car ces résultats ont été la conséquence de leur vision invertie etde leurs méthodes honteuses.

Et ce n'est pas tout: avec sa dé~énérescence sociale pendant plusd'un siècle, avec sa désa~re~ation de l'unité Culturelle de l'Europepar le moyen de l'intensification de l'étatisme borné, du chauvin-isme, et du nationalisme vertical, la coalition des déformeurs deCulture juifs et des retardeursde Culture libéraux-communistes-démocrates a eu automatiquement un troisième résultat, à savoirdans la relation politique de l'Europe avec le reste du monde.

C. La destruction de l'Empire mondial de l'Europe

En 1900 le.s affaires des 911O,mes de la surface de la Terre étaientdiri~ées directement depuis> les capitales européennes. C'étaitl'Empire mondial de l'Europe, Cet empire était la base de la puis-sance, de la sécurité, de la prospérité, oui, de l'existence même despeuples d'Europe. En réalité cet empire était simplement et unique-ment européen, et son or~anisation superficielle en une collectiond'empires - français, an~lais, allemand - était seulement apparente.Mais la tension interne créée par l'étatisme mesquin ~énérait unetendance centrifu~e à l'intérieur de l'Empire européen, et les forcesextra-européennes exploitaient cette tendance. En particulier, larévolte se répandait parmi les races de couleur. la seule manièrepour que le ~rand Empire mondial puisse maintenir sa puissancemondiale était de réaliser une plus forte inté~ration pour pouvoirmaintenir sa maîtrise et inverser la dispersion de la puissance.

la preuve finale de l'unité or~anique de cet Empire mondial était lefait que pas un seul Etat-nation européen ne pouvait affaiblir la puis-sance d'un autre Etat-nation européen sans se faire en même tempsdu tort à lui-même dans une mesure é~ale ou plus ~rande. Mais cefait or~anique dominant fut i~noré, et la tra~édie de la première~uerre mondiale, la création des retardateurs de Culture, des chau-vinistes, des nationalistes verticaux, fut le prix que l'Europe paya

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pour la présence de la maladie de la Culture. Toutes les troupesde couleur ou extra-européennes qui combattirent pendant cette~uerre combattirent contre toute l'Europe. Toutes les flottes extra-européennes qui participèrent combattirenUa puissance matériellede l'Europe.

La démonstration de ces faits organiques fut la nouvelle situationcréée par la ~uerre. La flotte anglaise, défenseur principalde la puis-sance européenne. sur les mers du monde, fut vaincue parlapuissance maritime extra-européenne du Japon et de l'Amérique.Les nouveaux arbitres des destinéesdu<globe terrestre furent desforces extra-européennes,l.e Japon, l'Amérique, et la Russie.

Avant la première guerre mondiale, la Russie apparaissait comme unEtat Occidental. Ses classes dirigeantes, ses idées dominantes,étaient Occidentales. La tension qui existait entre les élémentsOccidentaux de Russie et la volonté de de$tructionasiatique sous-jacente fut cependant portée jusqu'au point de<rupturepar lapremière guerre mondiale, et les éléments asiatiques, en conjonctionet avec l'assistance de laCulture-Etat-Nation-Race-Peuple-Société duJuif partout dans le monde, l'emportèrent et réorientèrent la Russiecontre l'Europe. A partir de ce moment, et encore aujourd'hui en1950, la Russie apparaît comme l'un des guidesdelarévolte des peu-ples de couleur contre la race européenne. Mais les possibilitéseuropéennes existent encore à l'intérieur de la RUssie, parce quedans certaines couches de lapopulation, l'adhésion au grand orga-nisme de la Culture Occidentale est un instinct, une Idée, et aucuneforce matérielle ne pourra jamais l'anéantir, même si elle peut êtretemporairement réprimée et abaissée.

La première.guerre mondiale montra, à ceux qui ne connaissent pasla différence, l'indépendance mutuelle de la Victoiremilitaire et de laVictoire politique. Ainsi, bien que la Russie ait été vaincue sur lechamp de bataille, elle émergea de la guerre avec une puissanceaccrue et une plus ~rande influence sur les affaires du monde. LeJapon, qui ne prit pas militairement part à la ~uerre, fut un vainqueurpolitique de premier plan. Bien que la Grande-Bretagne fut soi-disantvictorieuse dans le combat, elle perdit sa puissance dans le Pacifiqueen faveur du Japon et de l'Amérique, dans l'hémisphère occidentalau profit de l'Amérique, son hé~émonie navale au profit du Japonet de l'Amérique, et son prestige mondial au profit de la révoltede couleur contre la race européenne. Le Raj européen-anglais

PA.RTIE. 1 - ANTHOLOÜIE.

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en Inde fut complètement sapé par la ~uerre, et la mutinerie in-dienne victorieuse en 19'-17provenait directement de la première~uerre mondiale.

Mais les retardateurs de Culture n'avaient pas fini leur travail. Ilsavaient trouvé une Europe qui contrôlait les 9/10èmes de la surface dela planète. Avec le\,lr ~uerresuicidaire, ils avaient réduit l'empire à unpoint oùil contrôlait les2/10èmes du monde, mais leurs potentialités etleurs instincts destructeurs n'étaient. pas encore épuisés. Ilsconçurent une Société des Nations pour étran~ler l'Europe et pourfaire participer le monde entier àla direction des affaires internes del'Europe; ils affirmèrent que·le.ursystème de dé~énérescence, dedestruction et de mort était le système lé~al, et qu'il ne pourraitjamais être chan~é. La Loi n'existe pas p0\,lr exprimer et pour servir laVie, non, ceslibéraux-communistes-démocrates disaient que la Vieexiste pour s.ervida Loi. Ce lé~alismeinspiré de l'Ancien Testamentétait destiné à empêcher pour toujours l'Europe de se relever de ladéfaite ~énérale de lapremière ~uerre mondiale et de reconquérir ledomaine mOl"ldialqui lui appartient en vertu de sa force de volonté,de sa capacité or~anisationnelle,de\son besoin de s'exprimer, de soninstinct irrépressible, de son Destin etdesa foi. Ici, comme toujours,les différentes formes de la maladie de la Culture montrèrent leuraffinité naturelle. L'Etat-Nation-Race juifdéformeur de Culture com-pléta les efforts des retardateurs de Culture pour rabaisser etretarder l'Europe, pour l'étrangler économiquement, et pour forcer ladispersion des populations àtravers la terre, comme émi~rants dés-espérés, accabl.és par la pauvreté, sans avenir.

Tous les éléments maladifs s'unirent dans la né~ation et la hainede la grande Résur~~nce européenne de l'Autorité. La conquête dupays nègre sauvage d'Abyssinie par la race européenne fut dia-boliquement représentée comme un « crime » par la maladiedémocrate-libérale-communiste juive. Pendant que l'âme del'Europe vibrait avec un espoir et une vi~ueur renouvelés à cettemanifestation de la réaffirmation, éternellement jeune, de sa volontéet de son Destin, les éléments maladifs entreprirent la préparationd'une ~uerre traîtresse et honteuse pour détruire à jamais l'EmpireMondial européen, la patrie européenne, l'âme de l'Europe, et leDestin supérieur de l'Europe.

Ils cherchèrent à commencer la ~uerre en Espa~ne en 1936. LeBolchevisme russe envoya des a~ents et des armes, le Bolchevisme

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américain de Hollywood envoya une assistance militaire et finan-cière,le Bolchevisme juif envoya des dirigeants et des organisateurs.le gang libéral-communiste-démocrate dans tout le mondeOccidental, l'ennemi intérieur de l'Occident, se leva avec enthou-siasme, et de ses rangs jaillit un flot de conscrits voués à sa mission dedestruction. Mais l'Europe réagit à J'unisson et stoppa la trinitébolchevique des ennemis extérieurs.

la tentative suivante eut lieu sur la frontière européenne de Bohêmeen 1938. A nouveau, les quatre unités principales de l'Europe s'u-nirent pour empêcher la destruction de l'Empire et de l'organismeeuropéens. En conséquence, l'attaque suivante fut préparée plussoigneusement, et précédée de l'organisation totale des élémentsretardateurs de Culture pour préparer la suprême trahison,la créa-tion d'une seconde guerre mondiale s9uS la forme d'un combatinsensé à l'intérieur de l'organisme européen. le monde entier savaitqu'une telle guerre, si elle se prolongeait, ne pouvait que ruinerl'Empire européen et tous les peuples. et provinces de l'Europe.Même les traîtres le savaient au fond de leurs âmes, mais un traîtreest fondamentalement aveugle. la trahison n'est rien d'autre que l'in-capacité transformée en résolution. Si cela n'était pas apparentpoureux avant la guerre, cela devint clair pendant la guerre. l'Architected~ la guerre, le crypto-déformeur de Culture Roosevelt, affirmaexpressément ses deux buts de guerre à ses Churchills, comme étantla destruction de l'Etat allemand et de l'Empire britannique, lesdeux moitiés du corps de l'Europe, les fondations et l'édifice del'Empire européen.

Ce fut leur seconde guerre mondiale. Elle ne fut rendue possible quepar la trahison de l'ennemi intérieur, le libéral-communiste-démo-crate. Aucune force à l'intérieur de la Culture Occidentale ne pouvaitmême penser à s'opposer avec succès'iila puissante vague du Destindéferlant sur l'Europe, la Résurgence de l'Autorité et de la Volonté del'Imperium. Mais dans leur haine tortueuse, sombre et jalouse enversla noblesse et la grandeur, les libéraux-communistes-démocrates, lesguerriers de classe et les capitalistes financiers, les matérialistes etles parlementaristes, firent appel aux forces extérieures, lesBolchevismes de Washington, Moscou et Tel-Aviv, et les invitèrent àaccomplir la destruction dont ils étaient eux-mêmes incapables. lechauvinisme et le fanatisme étaient simplement des techniques, et ilsne pouvaient pas inspirer les Européens. le poids du combat fut sup-porté par les forces extra-européennes, car les troupes européennes

PARTIE. i - ANTHOLO(l.IE

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n'étaient simplement pas prêtes spirituellement à un combat contrel'organisme de l'Europe.

les tactiques mêmes de la guerre furent marquées par la négation etla haine. les forces extra-européennes, conduites par les déformeursde Culture, appliquèrent le principe selon lequel le but de la guerreest de détruire la population civile de l'ennemi arbitrairementdésigné. la force industrielle de l'Europe n'était pas diminuée, lesarmées étaient intactes, mais le Juif-Américain et l'Américain-Juifpoursuivirent leur guerre contre les foyers et les familles, pendantque les forces dela Russie asiatique menaient la véritable guerremilitaire. La guerre de revanche et de haine du haut des airs était unpréliminaire à la victoire militaire de J'alliance américano-juive, maiscela n'importait pas, car leur mission n'était pas la victoire politique,mais la destruction totale, la destruction de la Culture-Peuple-Race-Société de l'Europe. Ainsi, l'assistance militaire à la Russie n'avait pasde base politique, mais fut donnée imprudemment, sans aucunepensée pour l'avenir, parce que l'alliance Washington-Tel Aviv nepensaitmême pas à accroître sa propre puissance ou à construire unernpireimondial pour elle-même, elle pensait simplement, unique-m~nt, à détruire l'Empire, "organisme, et le Destin de l'Europe. Parcons~quent la juiverie américaine négocia une paix généreuse avecle Japon, ce quiétaH une reconnaissance de la victoire de la missionjaponaise en Orient, et pour l'Qccupation du Japon une politiqued'amitié, de bienveillance et de reconstruction fut mise en œuvre.leur exploitation de la victoire fut aussi tortueuse et pervertie queleurs propres âmes. leur grande oppression est l'inversion de toutevérité etlaperversiondetoute vie supérieure.

Au début de leurs efforts pour déclencher la seconde guerre mon-diale sous la forme.qu'ils luidonnèrent, ils trouvèrent une Europe quiétait maîtresse de son.propre territoire et d'un cinquième du monde.A la fin de leur guerre, ils purent contempler l'Europe qu'ils avaientcréée. Une Europe dépouillée de son empire mondial et occupée pardes forces extra-européennes, économiquement dépendante d'eux,comme une esclave devant son maître.

Dans cette Europe de démocratie libérale, les ennemis de l'Europe semirent à exploiter leur victoire. Ivres de leur puissance, ils com-mencèrent à tuer en masse ceux qui s'étaient opposés à eux et quiavaient dévoué leurs vies à réaliser le Destin de l'Europe. Même dansle meurtre, ils ne purent pas être francs: ils durent inventer des

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raisons fondées sur "Ancien Testament, des rituels légaux, pourdéguiser leurs meurtres. Ils inventèrent, et cherchèrent à implanterdans la Culture de l'Europe, le procédé du procès à grand spectacle.Ils s'en délectèrent, ils jubilèrent, ils prolongèrent leur grand procèsmosaïque pendant une année. Ils cherchèrent à humilier par tous lesmoyens imaginables leurs victimes encore en vie, et dans la mort ilspensèrent priver leurs victimes de leur rang historique par l'astucehaineuse et stupide consistant à disperser leurs cendres dans la cam-pagne. Ils mirent en pièce les traditions chevaleresques dutraitement des prisonniers de guerre, et déformèrent la Conventionde Genève en l'assortissant de la condition leur permettant de pen-dre comme criminel tout soldat qui s'était opposé à la victoire desforces américano-juives libérales-démocrates.

Plus ils étalent leur rituel mosaïque de meurtre légal, plus il devientévident pour l'Europe qu'il s'agit du face àface de deux mondes, etque ce conflit ne peut pas être réglé dans un tribunal inspiré del'Ancien Testament, mais qu'il grandira et se poursuivra,. s'appro-fondira et s'intensifiera, jusqu'à ce que l'étranger à la Culture soitexpulsé totalement et définitivement dusol sacré derOccident. Leurterreur s'étend sur tous les pays d'Europe, en dépit de leur.affirma-tion qu'elle est limitée à la moitié occupée pard'URSS.La ruseconsistant à montrer un visage souriant dans une partiedeTEuropeet à concentrer l'hostilité sur uneautre ne trompe personne. Tant queles retardateurs de Culture qui administrent l'Europe resterontdociles, accepteront une aide alimentaire américaine, une aidefinancière américaine, et des garnisons américaines, le régime deWashington sourira. Mais l'Europe a vu l'autre visage' du Juif-Américain et de l'Américain-Juif, dépourvu d'attrait, de sagesse, deprincipes - cruel, méprisant, et stupidement arrogant. Cette Jentativede diviser l'Europe pourrait peut-être réussir sile sentiment decama-raderie était absent des populations européennes. Mais un millierd'années d'unité Culturelle, d'expériences communes dans tous lesdomaines des mêmes souffrances, même infligées par des mainseuropéennes, ont uni les Européens indissolublement. Ils le saventmaintenant plus que jamais auparavant, car ils l'ont appris à n0l..lveausous le fouet juif-américain.

Finalement, nous mettons à la charge de l'ennemi intérieur ladestruction de l'Empire Mondial européen, par son nationalisme ver-tical et son étatisme borné, et par sa soumission au Bolchevisme deWashington, Moscou, et à la Culture-Etat-Nation-Race-Peuple du Juif.

PARTI~ ; - ANTHOLOÜI!'

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Il a ainsi détruit la puissance de tous les Etatseuropéens, et a livré lesol de l'Europe aux ennemis extérieurs.

Section III : la mission du front de libération

L'Europe connaît l'identité de l'ennemi intérieur et ce dont il estresponsable. Elle sait qu'i! est le pire ennemi de l'Europe, parce qu'i!se déguise en Européen, mais l'Europe a aussi des ennemisextérieurs envers lesquels elle doit adopter une position claire.

Les ennemis extérieurs sont le régime bolchevique de Moscou, lerégime bolchevique judéo-américain de Washington, et la Culture-Etat-Nation-Race du Juif, qui a maintenant créé un nouveau centred'action à Tel-Aviv, un deuxième New York.

Les ennemis extérieurs sont aujourd'hui les arbitres de l'Europe. Ilsont imposé leur choix à la place du choix naturel de l'Europe, celui del'AutoritéetdelaJoi : l'Europe, source de butin pour les forces extra-européennes ;TEurope, réservoir de main d'œuvre àla dispositionde J'employeur américain ; l'Europe, marché d'emprunts pour lefinancferde New York ;l'Europe, coloniedemendiants attendant desmiettes de la table de la riche Amérique; l'Europe, site historiquepour les colons de passage, un endroit où se passaient autrefois degrands événements ; l'Europe comme musée, comme mausolée;l'Europe, collection moribonde de petits Etats et de peuplesquerelleurs; l'Europe, entreprise en folie où chaque petite unité estopposée à toutes les autres ; l'Europe, population arriérée attendantd'être rééduquée par le clown mondial américain et le Juifsadique; l'Europe, laboratoire pour les ~igantesques expérimenta-tions. sociales de Moscou et les expériences génocidaires de NewYork eHel-Aviv; l'Europe, Messe Noire de procès à grand spectacle,de persécution rétrograde, de trahison, de terreur, de désespoir etde suicide.

Il Y a juste cinquante ans, l'Europe était unfier organisme indépen-dant, sûr de lui-même et maître du monde. Le sol sacré de la CultureOccidentale est maintenant occupé par les Mongols, les Turkmèneset les Kirghizes d'Asie, par les Nègres d'Amérique, les Sénégalaisd'Afrique, les Juifs des trottoirs du monde entier. Voilà l'Europedémocratique, l'Europe libérale.

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Mais cette situation est seulement externe, matérielle. l'âme del'Europe ne peut pas être occupée, dirigée ou dominée par lesétrangers à la Culture. Seul un matérialiste peut penser que la pos-session des attributs visibles de la puissance garantit la continuationéternelle du pouvoir. S'il en était ainsi, un petit nombre de castes etd'Etats aurait toujours dirigé le monde, depuis son commencementMais dans l'épreuve ultime, la puissance est le reflet de qualitésintérieures, et ces qualités ne sont possédées par aucun des ennemisextérieurs de l'Europe. leurs empires transitoires sont bâtis sur dusable, parce que, pour les soutenir, il n'y a pas d'âme supra-person-nelle, pas de Mission Mondiale, pas de Destin. Même pendant noscourtes vies nous avons vu des empires surgir et disparaître, et leconglomérat de puissance temporaire de Moscou et de Washingtonsuivra le même chemin.

les ennemis extérieurs de l'Europe sont condamnés, tout comme l'estl'ennemi intérieur. le temps joue contre l'ennemi intérieur, parce quel'Histoire ne peut pas retourner en arrière, même si pour un courtinstant les gâteux rétrogrades peuvent essayer de forcer l'Histoire àpartager leur râle d'agonie.

Et il en ira de même avec ces choses primitives et hétérogènes que lebarbare de Moscou et le Juif de Washington aiment à considérercomme des empires. Ils disparaîtront, comme la brume matinale,sous les rayons brillants de l'Histoire. l'Avenir appartient seulementà ceux qui portent en eux-mêmes l'Impératif Intérieur de réaliser uneIdée Mondiale, et il n'y a qu'une seule source à un tel Impératif. linepeut pas être inventé artificiellement, il doit être organique, et aucunhomme ou groupe d'hommes ne peut le fabriquer. Il provient del'o-rigine cosmique et spirituelle de l'univers, elle-même venant de Dieu.

Donc, le Front de libération proclame à présent ses deux grandestâches devant l'Europe:

l - l'expulsion complète de tout ce qui est étranger hors de l'âme etdu sol de l'Europe, la purification de l'âme européenne desscories du matérialisme et du rationalisme du XIXèmesiècle avecleur culte de l'argent, leur démocratie libérale, leur dégénéres-cence sociale, leur parlementarisme, leur lutte des classes, leurféminisme, leur nationalisme vertical, leur capitalisme financier,

PARTH:': j •• ANTHOLOÜIE

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leur étatisme borné, leur chauvinisme, le Bolchevisme de Moscouet Washington, la syphilis éthique de Hollywood, et la lèpre spi-rituelle de New York.

2 - la construction de l'/mperium de l'Europe et la réalisation dela volonté européenne, émanée du divin, de l'impérialisme poli-tique illimité.

A la place de la maladie de la Culture des non-Européens et destraîtres, il y aura les éternelles valeurs éthiques de l'Europe :l'Autorité, la Foi, la Discipline, le Devoir, l'Ordre, la Hiérarchie, laFécondité, la Volonté de puissance.

Cette Proclamation est donc une Déclaration de Guerre.

Dans cette guerre, le Front de libération parle au nom de l'Europe, ilreprésente "Europe, il est le gardien du Destin de l'Europe. Il est ainsirevêtudu manteau d'invincibilité supra-personnelle qui est l'attributde l'organisme européen. Aucun massacre, aucun procès à grandspectacle, aucune terreur ou persécution ne peuvent toucher cetteforce ;Ies canons et les baïonnettes de Washington ne peuvent l'af-faiblir, mais finalement elle les dissoudra. Elle rejettera les forcesjudéo-américaines à la mer, elle repoussera les armées asiatiques deMoscou jusque dans les profondeurs de l'Asie.

Dans ce combat, tous les anciens peuples, races et nationsd'Europe sont unis, car dès le début cette guerre est seulement uneguerre horizontale:

Race signifie maintenant, en Europe, posséder à la fois l'honneur etla fierté.

Peuple désigne le sentiment collectif de tous les Européens.

f'oJatiol'1désignemaintenant l'organisme collectif de l'Europe.

Anglais, allemand, français, italien, espagnol: ce sont maintenant desimples nomsgéo~raphiques et de simples variations lin~uistiques.Comme tous les autres riches produits de notre grande Culture, ilscontinueront à exister mais ils ne seront plus des termes politiques.les cultures locales en Europe pourront être aussi diversifiéesqu'elles le souhaitent, et elles jouiront d'une parfaite autonomie

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dans l'Empire européen, à présent que l'oppression du nationalismevertical est mort. Quiconque cherche à perpétuer l'étatisme borné oule nationalisme à l'ancienne mode est l'ennemi interne de l'Europe. Iljoue le jeu des forces extra-européennes, il divise l'Europe et commetune trahison.

La trahison aujourd'hui n'a plus qu'une seule signification pourl'Europe: cela signifie servir des forces autres qu'européennes. Iln'existe plus qu'une seule trahison aujourd'hui: la trahison enversl'Europe. Les nations sont mortes, car l'Europe est née.

Le Front de Libération ne laissera pas l'Europe être distraHepar la si-tuation actuelle, dans laquelle les deux bolchevismes primaires deWashington et Moscou préparent une troisième guerre mondiale.Dans ceUe préparation, les retardateurs de Culture, les ennemis.intérieurs, les libéraux-communistes-démocrates sont à nouveau àleurs postes: d'une seule voix les Churchills, les Spaaks,Jes Lies,lesde Gaulles, croassent que Washington va sauver l'Europe [de. lame-nace] de Moscou, ou que Moscou va arracher}'Europe à Washington.1\n'y a rien qui justifie ceUe propagande. La réalité est que seulel'in-tervention américaine dans la secondegu~rre mondiale a empêchél'Europe de détruire complètement la Russie bolchevique, en tantqu'unité politique. L'actuel Empire Russe esfdonc une création del'Amérique. Jamais durant les cinq cent ans de l'histoire russe, laRussie ne fut capable de pénétrer en Europe sans aide. Elle n'envahitla Prusse du Grand Frédéric qu'avec l'appui de la France, del'Autriche et de la Suède. Elle n'envahit la France en 181lf et 1815qu'avec l'assistance de l'Angleterre, d~ l'Autriche et de la Prusse.Ellen'envahit l'Europe en 19% qu'avec l'aidedel'Amérique. La Hussien'est une menace que pour une Europe divisée; une Europe uniepeut détruire la puissance russe au mom~ntdeson choix. C'est unmensonge grossier de dire que l'Europe ne peut pas se défendre elle,même contre la Russie. Pensent-ils que l'Europe puisse oublier cequ'elle vient d'apprendre au prix du sang de millions de ses fils?Pensent-ils que l'Europe puisse oublier que le régime judéo-améri-cain, et lui seulement, a amené l'Armée Rouge jusqu'auc$ur del'Europe? Peuvent-ils penser que l'Europe puisse oublier que l'en-nemi intérieur, avec sa démocratie libérale-communiste, a menél'Europe dans ce gouffre? L'Europe se souvient, et elle sait que lelibéral-démocrate est une créature de l'abysse, l'esprit de négationqui recherche un abysse toujours plus profond. Il a détruit un Empire

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mondial, et maintenant il demande la confiance de l'Europe pourmener une nouvelle croisade.

Le programme de Washington est d'enrôler les Européens - ce qu'ilsappellent cyniquement le {( potentiel humain» de l'Europe - et d'é-pargner ainsi aux poltrons d'Amérique du Nord les pertes d'une durecampagne contre la Russie. Une stupidité abyssale est à l'origine dece souhait. Pensent-ils vraiment que les Européens accompliront desprodiges militaires pour combaUreun ennemi de l'Europe au profitd'un autre ?Pensent-ils qu'un Haut-Commandement américano-juifpuisse inspirer les sentiments nécessaires à l'éveil des instinctshéroïques d'un corps d'officier européens?

Non, l'Europe n'est pas plus intéressée par ce projet de guerre quepar un combat entre deux tribus nègres au Soudan.

Le combat européen est celui de la libération de notre sol sacré et denotre âme occidentale. C'est un combat horizontal, contre tous lesennemis de l'Europ!;!, les ennemis intérieurs et les forces extra-européennes, quels qu'ils soient. Avant que l'Europe puisse menerune guerre verticale, elle doit se constituer en tantqu'lmperium del'Europe, la CuHure-EtahNation-Race-Peupleorganique del'Occident. Et si l'Europe fait la guerre, alors ce sera co.ntre l'ennemipolitique de son propre choix, et au moment de son choix. Dans cesdécisions, le Juif, Moscou et Washington ne prendronfaucune part.La propagande du Juif américain et de l'Américain juif ne trompepersonne. Avec leurs discours sur le combat entre « l'Est » et« l'Ouest », ils espèrent entraîner les esprits faibles de l'Europe àcoopérer avec eux. Mais pour nous, l'Occident est un mot contenantune Mission émanée dl.l divin, un mot sacré, et il n'évoque pasl'Amérique, laRussi~, ou leJuif, mais seulement le sol sacré del'Europe et l'organisme européen.

Toutes les forces extra-européennes sur le sol européen sont desennemis exactementdans lesmêmes proportions et exactement aumême degré. l'Europe ne combattra jamais pour une force extra-européenne; l'Europe n'entrera jamais dans une relation où elle n'estpas le maître; l'éventualité d'une guerre entre des forces extra-européennes ne compte pas pour l'avenir de l'Europe.

Les structures de pouvoir primitives de Washington et de Moscoun'ont pas de Passé,et par conséquent pas d'Avenir. Elles sont sans

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LE PROPHËTE OE L'IMPERIUM ; FRANCIS PARKER YOCKEY

Tradition, sans Mission Mondiale, sans Idée Nationale, sans Destin,sans unité organique, sans Etat, et sans poss~bilités ~mpériales. ~esdeux choses informes sont de simples et pales cancatures de 1u-nique et véritable Mission Mondiale; q~i est ce.lle de l'.Europe seule.Cette Mission ne vient pas de la volonte humaine, mais elle est uneémanation directe de Dieu.

Dans ce grand combat pour la libération de l'Europe, tous lesEuropéens ayant de la race, de l'honneur et de la fier~é sont desnôtres, quelle que soient leurs origines. Les seul~ Europeen~ exclusde nos rangs sont les traîtres à laCulture,la maladl~ d~ notre epoq.ue.Le Front de Libération lui-même est la forme provIsoire de la Nationeuropéenne, et il durera jusqu'à ce que la forme permanente del'imperium européen soit établie.

Dans la mission de libération de l'Europe,ladate exacte de la réus-site finale est secondaire pour nous, précisément parce que noussavons que notre victoire est déjàdéterminée.

Avec chaque décennie, chaque année,ce m~uv,ement ?e la volont~européenne vers l'union parfaite et le plein e~Çlnou.lssement qUIsont son Destin devient plus fort. Notre volonte est Intacte, notrerésolution plus forte que le fût jamais une résolution européenneavant nous. Avec une sérénité parfaite· nous entreprenon,s cettetâche, la plus grande de toutes celles auxquel.les les Europeens sesont jamais dévoués.

Aux baïonnettes et aux canons des forces extra-européennes, nousopposons une volonté plus dure que leur~cier, qui brisera }'e~p:isede leurs armes et de leur puissance. Nous Jetterons avec mepnsl en-nemi intérieur dans la boue.

Un millénaire d'histoire européenne, de joie et de sacrifice,d'héroïsme et de noblesse, nous appellent à cette tâche. Au sang quia coulé sur le sol sacré de l'Europe nous ajouterons le sang de nosennemis. Nous continuerons jusqu'à ce que ('Europe soit libérée deses ennemis, et que la bannière européenne flotte sur son propre sol,de Galway à Memel et du Cap Nord à Gibraltar.

Europe réveille-toi!

PARTIE! - ANTHOLOGIE

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les deux factions politiquesde l'Amérique

Le fragment ci-dessous a été publié dans le numéro 23 deFrontMhter, lebulletin du European Liberation Front, en avril 1952. Ledébut de cet article (signé du pseudonyme de Ulik Varange) n'a mal-heureusement pas été retrouvé (la plupart des anciens numéros deFrontfighter ayant été perdus).

(suite du n° 22)

C'est la faction militaire qui insista pour une aide économique auboucher serbe Tito, dontla révolte contre Moscou survint sans con-nivence avec le régime de Washington, et qui fut d'abord dénoncéedans la presse américaine. C'est la faction militaire qui insista pourl'imposition d'une alliance de guerre entre la Grèce et la Turquie.C'est la faction militaire qlJi intervinfenCorée - on se rappellera queAcheson refusa tout commentaire pendant les premiers jours de laguerre de Corée, car sa faction communiste combattait encore dure-ment l'intervention américaine. C'est la faction militaire qui luttetoujours pour imposer une alliance avec l'Espagne, et la faction com-muniste continue à saboter tous les efforts pour rendre cette allianceréelle.

Avec la connaissance de l'existence, de l'identité, et des intérêts deces deux factions, l'énigme autrement insoluble de la politiqueaméricaine devient claire. Ainsi lors du blocus de Berlin par lesRusses, l'été 1948, la faction militaire voulait envoyer des convoismilitaires jusqu'à Berlin. Cela aurait bien sûr causé une défaite poli-tique à la Russie, car les Russesn'étaient aucunement en position des'opposer à une telle démonstration militaire. Par conséquent la fac-

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