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Tivoli Storage Manager pour AIX Initiation Version 4.2 GC11-1793-00

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Tivoli Storage Managerpour AIXInitiationVersion 4.2 GC11-1793-00

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Tivoli Storage Manager pour AIX - Initiation Version 4.2 - juin 2001

Réf. US : GC35-0402-01

Notice de copyright© Copyright IBM France 2001. Tous droits réservés.

© Copyright 2001 Tivoli Systems Inc., filiale d’IBM Corporation, y compris cette documentation et tout logicielassocié. Tous droits réservés. Ne peut être utilisé que dans le cadre d’un contrat de licence logiciel de Tivoli Systemsou d’un contrat de licence logiciel d’IBM comportant un addendum relatif aux produits Tivoli. Aucune partie de cettepublication ne doit être reproduite, transmise, transcrite, conservée dans un système d’archivage ou convertie en unquelconque langage machine, sous quelque forme ou quelque moyen que ce soit, électronique, mécanique, magnétique,optique, chimique, manuel ou autre, sans autorisation écrite antérieure de Tivoli Systems. Tivoli Systems vous accordedes droits limités vous autorisant à imprimer ou à effectuer d’autres reproductions de toute documentation informatiquepour votre propre utilisation, dans la mesure où ces reproductions comportent la mention de copyright de TivoliSystems. Nul autre droit sous copyright n’est accordé sans autorisation écrite antérieure de Tivoli Systems.Le présent document est livré ″en l’état″. IBM et Tivoli Systems déclinent toute responsabilité, expresse ou implicite,relative aux informations qui y sont contenues, y compris en ce qui concerne les garanties de qualité marchande oud’adaptation à vos besoins.

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Marques

Les termes qui suivent sont des marques d’International Business Machines Corporation dans certains pays :ACF/VTAMAD/CycleAdvanced Peer-to-Peer NetworkingAFSAIXApplication System/400APPNAS/400ATC/370Common User AccessCUADATABASE 2DB2DFDSMDFSDFSMS/MVSDFSMS/VMDFSMSdssDFSMShsmDFSMSrmmES/9000ESCONExtended ServicesIBMIBMLinkMVS/ESAMVS/SPOpenEditionOperating System/2Operating System/400OS/2OS/390OS/400POWERparallelRACFRISC System/6000 correctement configuréRS/6000SPSystem/370System/390SystemViewVM/ESAVTAMXT

iiiTivoli Storage Manager pour AIX Initiation

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Lotus, Lotus 1–2–3, Lotus Approach, Lotus Domino et Lotus Notes sont des marques de Lotus DevelopmentCorporation dans certains pays.

Tivoli et Tivoli ADSM sont des marques de Tivoli Systems Inc. dans certains pays.

Microsoft, Windows, Windows NT et le logo Windows 95 sont des marques de Microsoft Corporation dans certainspays.

UNIX est une marque enregistrée de the Open Group dans certains pays.

Java et toutes les marques et logos incluant Java sont des marques de Sun Microsystems, Inc. dans certains pays.

Intel est une marque déposée d’Intel Corporation dans certains pays.

D’autres sociétés sont propriétaires des autres marques, noms de produits ou logos qui pourraient apparaître dans cedocument.

RemarquesLe présent document peut contenir des informations ou des références concernant certains produits, logiciels ou servicesTivoli Systems ou IBM non annoncés dans ce pays. Cela ne signifie pas que Tivoli Systems ou IBM ait l’intention deles y annoncer. Toute référence à un produit, logiciel ou service Tivoli Systems ou IBM n’implique pas que seul ceproduit, logiciel ou service puisse être utilisé. Sous réserve de toute propriété intellectuelle en vigueur chez TivoliSystems ou IBM ou de tout autre droit pouvant être légalement protégé, tout produit, programme ou servicefonctionnellement équivalent peut remplacer un produit, un programme ou un service auquel il est fait référence. Il estde la responsabilité de l’utilisateur d’évaluer et de vérifier lui-même les installations et applications réalisées avec desproduits, logiciels ou services, non expressément référencés par Tivoli Systems ou IBM.Tivoli Systems ou IBM peut détenir des brevets ou des demandes de brevets couvrant les produits mentionnés dans leprésent document. La remise de ce document ne vous donne aucun droit de licence sur ces brevets ou demandes debrevets. Si vous désirez recevoir des informations concernant l’acquisition de licences, veuillez en faire la demande parécrit à l’adresse suivante : IBM EMEA Director of Licensing, IBM Europe Middle-East Africa, Tour Descartes, 92066Paris-La Défense Cedex 50.

Pour plus de détails, pour toute demande d’ordre technique, ou pour obtenir des exemplaires de documents IBM,référez-vous aux documents d’annonce disponibles dans votre pays, ou adressez-vous à votre partenaire commercial.

Vous pouvez également consulter les serveurs Internet suivants :

¶ http://www.fr.ibm.com (serveur IBM en France)

¶ http://www.can.ibm.com (serveur IBM au Canada)

¶ http://www.ibm.com (serveur IBM aux Etats-Unis)

IBM EMEA Director of LicensingIBM Europe Middle-East AfricaTour DescartesLa Défense 52, avenue Gambetta92066 - Paris-La Défense CEDEXFrance

© Copyright International Business Machines Corporation 1993, 2001. All rights reserved.

iv Version 4.2

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Table des matières

Récapitulatif des modifications apportées à Tivoli Storage Managerversion 4 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ix

Modifications de la version 4.2—Juin 2001 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ix

Modifications de la version 4.1—Juillet 2000 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . x

Introduction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . xiiiConditions préalables . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . xiii

Site Web Tivoli Storage Manager . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . xiii

Conventions typographiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . xiii

Types d’informations . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . xiii

Lieu d’exécution des tâches . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . xiii

Résultats de l’installation et de la configuration . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . xiv

Tâches élémentaires. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . xv

Tâches évoluées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . xvi

Chapitre 1. Installation de Tivoli Storage Manager . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1Modules d’installation de Tivoli Storage Manager . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2

Migration vers Tivoli Storage Manager version 4.2 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2

Migration vers AIX version 5.1. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3

Avant d’effectuer une installation par migration . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4

Exécution d’une installation par migration . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5

Installation de Tivoli Storage Manager. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6

Unités SCSI et Fibre Channel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 10

Définition des variables d’environnement. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12

Exécution de plusieurs serveurs sur une seule machine. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13

Utilisation de la documentation électronique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13

Vérification de l’installation. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 14

Introduction. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15

Démarrage et arrêt du serveur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 16

Démarrage et arrêt d’un client d’administration ou de l’interface Web . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 16

Enregistrement des licences . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 17

Chapitre 2. Spécification des méthodes de communication serveur etclient . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21

Support d’adaptateurs réseau . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 22

Définition des options de mémoire partagée . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 22

Définition des options TCP/IP . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 23

vTivoli Storage Manager pour AIX Initiation

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Définition des options HTTP . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 23

Définition des options SNMP . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 24

Connexion au serveur Tivoli Storage Manager via un pare-feu . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 24

Chapitre 3. Personnalisation de votre système Tivoli Storage Manager 27Augmentation de la taille de la base de données et du journal de reprise . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 28

Augmentation de la taille des pools de stockage sur disque . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 29

Ajout d’administrateurs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 29

Ajout de clients de sauvegarde-archivage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 30

Utilisation d’unités optiques ou de type bande . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 30

Connexion d’unités et installation des gestionnaires d’unités. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 32

Ajout d’une bandothèque manuelle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 38

Ajout d’une bandothèque automatique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 40

Affichage d’informations relatives aux unités . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 41

Préparation des volumes de bande . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 42

Inclusion d’une bande dans la hiérarchie des pools de stockage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 44

Migration de données du disque vers une bande. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 44

Création d’une règle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 45

Appel du processus d’expiration . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 47

Création d’une liste d’inclusion et d’exclusion pour un client . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 48

Automatisation des opérations client . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 49

Automatisation des commandes d’administration . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 51

Protection des données de Tivoli Storage Manager et du client . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 52

Annexe A. Concepts Tivoli Storage Manager . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 53Gestion du stockage par le système . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 53

Migration de l’espace de stockage du serveur. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 53

Règles de Tivoli Storage Manager . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 54

Expiration . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 55

Unités et supports de stockage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 56

Automatisation des tâches client . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 58

Exploitation d’un réseau de serveurs Tivoli Storage Manager . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 59

Annexe B. Utilisation des interfaces d’administration . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 61Utilisation de l’interface Web d’administration . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 61

Visualisation des opérations . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 63

Visualisation du réseau . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 64

Visualisation de la configuration . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 64

Visualisation des objets . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 65

vi Version 4.2

Page 9: Tivoli Storage Manager pour AIX Initiationpublib.boulder.ibm.com/tividd/td/SMAIXN/GC35-0402-01/.../anraqs41.pdfAIX Application System/400 APPN AS/400 AT C/370 ... 14 Introduction

Utilisation de l’interface de ligne de commande du client d’administration . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 67

Utilisation du mode interactif. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 67

Annexe C. Définition de Secure Web Administrator Proxy . . . . . . . . . . . . . . 69Conditions préalables. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 70

Installation de Secure Web Administrator Proxy . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 70

Configuration de Secure Web Administrator Proxy . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 71

Désinstallation de Secure Web Administrator Proxy . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 72

Résolution des incidents dans Secure Web Administrator Proxy . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 72

Annexe D. Support de langue nationale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 75Procédure d’installation du support de langue nationale par SMIT . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 76

Annexe E. Exécution de mises à jour de Tivoli Storage Manager surAIX . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 77

Internet, IBMLink et Compuserve . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 77

Internet . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 77

IBMLink/ServiceLink . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 77

CompuServe . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 77

Avant d’exécuter les mises à jour. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 78

Installation des mises à jour avec SMIT sur AIX . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 78

Annexe F. Suppression de Tivoli Storage Manager . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 81Avant de supprimer Tivoli Storage Manager. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 81

Retour à une version antérieure de TSM (ou à ADSM) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 82

Annexe G. Informations complémentaires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 85Comment contacter le support client . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 85

Signalisation d’un incident. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 86

Internet . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 86

Publications Tivoli Storage Manager . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 87

Publications connexes relatives aux produits matériels IBM . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 88

Livres rouges IBM . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 88

Traductions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 88

Annexe H. Remarques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 89

Glossaire. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 91

Index . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 117

viiTivoli Storage Manager pour AIX Initiation

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viii Version 4.2

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Récapitulatif des modifications apportées à Tivoli StorageManager version 4

Modifications de la version 4.2—Juin 2001Cette édition intègre les modifications suivantes :

Support étendu des environnements Système géré pour les réseaux SANParmi les clients qui peuvent effectuer un transfert de données indépendamment duréseau local figurent désormais les clients de sauvegarde-archivage et les clients APIfonctionnant sous les systèmes d’exploitation Windows, AIX et Sun. On peutégalement y ajouter d’autres clients d’application Tivoli Data Protection fonctionnantsous les systèmes d’exploitation Sun et AIX.

Autres unités prenant en charge le transfert de données client indépendamment duréseau local

Le support a été étendu de manière à permettre l’utilisation des unités suivantes pourle transfert de données client indépendamment du réseau local :

¶ bibliothèques IBM 3494 ;

¶ bibliothèques partagées via un serveur TSM qui peut être soit un gestionnaire debibliothèque, soit un client de bibliothèque.

Augmentation de la taille maximale du journal de repriseLa taille maximale du journal de reprise est étendue à 13 Go. Le fait d’augmenterde façon significative la taille du journal de reprise peut également accroîtresensiblement le temps nécessaire au redémarrage du serveur et aux opérations desauvegarde et de restauration de la base de données.

Prise en charge d’espaces fichiers client compatibles UnicodePour les systèmes client Windows NT et Windows 2000 compatibles Unicode, leserveur permet désormais de stocker les noms d’espace fichier, de répertoire et defichier Unicode dans des espaces fichiers compatibles Unicode. Unicode est unstandard universel d’encodage de caractères qui prend en charge l’échange, letraitement et l’affichage de texte rédigé dans n’importe laquelle des langues dumonde actuel. Le logiciel client TSM compatible Unicode doit être installé sur lessystèmes client. Les nouveaux clients qui ne possèdent pas encore de donnéesstockées sur le serveur enregistreront automatiquement leurs données dans desespaces fichiers compatibles Unicode.

En revanche, les clients qui possèdent déjà des données stockées sur le serveurenregistreront tout nouvel espace fichier comme compatible Unicode ; les donnéesexistantes de ces clients ne seront pas automatiquement enregistrées dans desespaces fichiers compatibles Unicode. En tant qu’administrateur, vous pouvez fairemigrer ces clients à l’aide de la fonction de modification automatique des nomsd’espace fichier. TSM renomme les espaces fichiers existants de façon à imposer lacréation de nouveaux espaces fichiers compatibles Unicode. Vous pouvez égalementlaisser aux clients l’initiative de renommer eux-mêmes les espaces fichiers. Une foisqu’ils ont été renommés sur le serveur, les espaces fichiers existants sont recréésdans l’espace de stockage du serveur comme des espaces fichiers compatiblesUnicode, via une opération de sauvegarde-archivage, cette fois. Si vous disposezd’un grand nombre de clients ou de données client compatibles Unicode, vous devezplanifier la migration.

ixTivoli Storage Manager pour AIX Initiation

Page 12: Tivoli Storage Manager pour AIX Initiationpublib.boulder.ibm.com/tividd/td/SMAIXN/GC35-0402-01/.../anraqs41.pdfAIX Application System/400 APPN AS/400 AT C/370 ... 14 Introduction

L’ajout du support Unicode peut affecter le résultat de certaines commandesSELECT, car il a un impact sur le tri des informations telles que les noms d’espacefichier.

Utilisation du programme d’acceptation des clients TSM pour gérer le planificateurLe démon ou service d’acceptation des clients gère le client Web desauvegarde-archivage. Les utilisateurs peuvent désormais laisser ce programme gérerégalement le planificateur sur les clients. Le programme d’acceptation des clientslance le planificateur et le client uniquement lorsqu’il est nécessaire d’exécuter unplanning TSM. Cette méthode permet de limiter les problèmes liés à laconsommation mémoire du planificateur. De plus, s’ils utilisent déjà le programmed’acceptation des clients pour gérer le client Web, les utilisateurs peuvent ainsiréduire le nombre de processus exécutés simultanément sur leur machine. Pourconnaître le client approprié, reportez-vous au guide de l’utilisateur.

Amélioration des messages ANR9999DEn activant la fonction d’affichage du contexte des messages, vous pouvez obtenirdes informations complémentaires sur les messages ANR9999D affichés par leserveur. Ces informations peuvent vous aider à identifier la cause des incidents.Reportez-vous à la commande SET CONTEXTMESSAGING dans le manuelAdministrator’s Reference et à la section Messages.

Demande d’espace dans les agrégats lors du transfert de donnéesVous pouvez demander à ce que le serveur recrée les agrégats lors du transfert dedonnées. Cette opération utilise l’espace laissé libre suite à la suppression de fichierslogiques d’un agrégat.

Modifications de la version 4.1—Juillet 2000Cette édition intègre les modifications suivantes :

Prise en charge des clients mobilesCette amélioration permet aux utilisateurs mobiles de sauvegarder un fichier completet de ne sauvegarder ensuite que la partie du fichier (sous-fichier) qui a été modifiée,et non la totalité de ce fichier. Ce type de sauvegarde permet aux utilisateurs distantsou mobiles dont les modems ont une largeur de bande limitée de réduire la durée dela connexion, le trafic réseau, ainsi que le temps nécessaire à la sauvegarde. Cetteméthode fait appel à des mécanismes de cryptage pour protéger les données client.

Système géré pour les environnements SANCette fonction améliorée prend en charge le transfert de données indépendamment duréseau local au sein d’environnements SAN (Storage Area Network). Elle offreactuellement un support limité, qui permet de transférer directement les données dusystème client vers une unité de stockage gérée par un serveur et connectée à unréseau SAN (Storage Area Network), au lieu de devoir les transférer du systèmeclient vers le serveur, puis du serveur vers l’unité. Cette amélioration permet deréduire le trafic de données sur le réseau local et d’augmenter ainsi la largeur debande disponible pour les autres applications. Elle facilite en outre le partage debandothèques entre plusieurs serveurs TSM.

Octroi de licenceLes clients sont désormais fournis sous licence comme des systèmes gérés. Unsystème géré peut être un client ou un serveur nécessitant des services de sauvegardede la part du serveur TSM. Tout système géré transférant des données vers/depuisl’espace de stockage via un réseau SAN (Storage Area Network) requiert une licence

x Version 4.2

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Système géré pour les réseaux SAN. Le tableau suivant répertorie les modificationsapportées aux noms de licence :

Tableau 1. Modifications apportées aux noms de licenceAncien nom Nouveau nom Remarques

Connexions client Système géré pour les réseauxLAN et Système géré pour lesréseaux SAN

Tout système géré transférantdes données vers/depuis l’espacede stockage à la fois via unréseau local et via un réseauSAN (Storage Area Network)requiert la licence Système gérépour les réseaux SAN.

Support d’unité étendu Bibliothèque gérée

xiTivoli Storage Manager pour AIX Initiation

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xii Version 4.2

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Introduction

Tivoli Storage Manager est un système de gestion de stockage automatisé, régi par desrègles, destiné aux serveurs de fichiers et aux postes de travail. Cet ouvrage vous aidera àinstaller et à configurer un système rationnel. Il décrit comment :¶ installer le serveur sur AIX ;¶ définir le réseau de communication entre le serveur et les clients ;¶ configurer Tivoli Storage Manager en fonction de votre environnement.

Conditions préalablesAvant d’aborder ce manuel, vous devez connaître :¶ les systèmes d’exploitation AIX ;¶ les unités utilisées par TSM ;¶ les systèmes d’exploitation des postes de travail sur lesquels résident les clients ;¶ les protocoles de communication requis pour l’environnement client/serveur ;¶ les procédures de sauvegarde de votre poste de travail.

Site Web Tivoli Storage ManagerToutes les publications TSM sont disponibles sur le site Web TSM à l’adresse suivante :http://www.tivoli.com/support/storage_mgr/tivolimain.html

Vous trouverez sur le site Web TSM des informations intéressantes sur de nombreux sujets.Vous y trouverez également les toutes dernières actualités concernant le produit TSM.

Conventions typographiquesCette section décrit les conventions utilisées tout au long de ce manuel.

Types d’informationsLes conventions suivantes permettent d’identifier les différents types d’informations :

Conseils ou avertissements importants

Informations détaillées utiles, mais non indispensables pour la réalisation d’une tâche

Conseils permettant d’éviter ou de corriger des incidents

Lieu d’exécution des tâchesLes conventions suivantes indiquent à quel endroit effectuer les tâches associées :

Ligne de commande AIX

Ligne de commande du client d’administration

xiiiTivoli Storage Manager pour AIX Initiation

Page 16: Tivoli Storage Manager pour AIX Initiationpublib.boulder.ibm.com/tividd/td/SMAIXN/GC35-0402-01/.../anraqs41.pdfAIX Application System/400 APPN AS/400 AT C/370 ... 14 Introduction

Interface Web d’administration

Ligne de commande du client utilisateur

Interface graphique du client utilisateur

Résultats de l’installation et de la configurationLorsque vous aurez exécuté les tâches du chapitre «Installation de Tivoli Storage Manager» àla page 1, le système Tivoli Storage Manager par défaut comprendra les éléments suivants :

Configuration de base :

¶ Le serveur démarre automatiquement en mode de notification restreinte à l’issued’une relance du système.

¶ La méthode de communication par défaut est TCP/IP.

¶ Le fichier d’options du serveur (dsmserv.opt) contient les options deconfiguration du serveur.

Base de donnéesLa base de données dispose d’un volume de 17 Mo nommé db.dsm.

Journal de repriseLe journal de reprise dispose d’un volume de 9 Mo nommé log.dsm.

Pools de stockage sur disqueTrois pools de stockage sur disque:¶ BACKUPPOOL avec un volume défini de 8 Mo, nommé backup.dsm¶ ARCHIVEPOOL avec un volume défini de 8 Mo, nommé archive.dsm¶ SPACEMGPOOL, avec un volume défini de 8 Mo, nommé spcmgmt.dsm

Un client d’administration AIXCe client a les valeurs par défaut suivantes :

¶ Nom : admin

¶ Mot de passe : admin

Un client AIX de sauvegarde-archivageCe client a les valeurs par défaut suivantes :

¶ Nom : client

¶ Mot de passe : client

Règles standardLes objets d’une règle de stockage par défaut sont définis (ils portent tous le nomSTANDARD). Cette règle définit les éléments suivants :¶ Lorsqu’un fichier sauvegardé n’est plus associé à un groupe de paramètres de

sauvegarde, il est conservé sur le serveur pendant une durée de 30 jours.¶ Lorsqu’un fichier archivé n’est plus associé à un groupe de paramètres

d’archive, il est conservé sur le serveur pendant une durée de 365 jours.¶ Les fichiers clients ne font pas l’objet d’une gestion de l’espace.

xiv Version 4.2

Page 17: Tivoli Storage Manager pour AIX Initiationpublib.boulder.ibm.com/tividd/td/SMAIXN/GC35-0402-01/.../anraqs41.pdfAIX Application System/400 APPN AS/400 AT C/370 ... 14 Introduction

¶ Pour les opérations de sauvegarde :

v Les fichiers sont sauvegardés sur le pool de stockage sur disque par défaut,BACKUPPOOL.

v Une sauvegarde incrémentale n’est réalisée que si le fichier a été modifiédepuis la dernière sauvegarde.

v Les fichiers ne peuvent pas être sauvegardés s’ils sont en cours demodification.

v Un maximum de deux versions de sauvegarde d’un fichier d’un systèmeclient sont conservées sur le serveur. La version de sauvegarde la plus récenteest conservée tant que le fichier original réside sur le système client. Toutesles autres versions sont conservées pendant une durée maximale de 30 jours.

v Une version de sauvegarde d’un fichier qui a été supprimé du système clientest conservée sur le serveur pendant une durée de 60 jours.

¶ Pour les opérations d’archivage :

v Les fichiers sont sauvegardés sur le pool de stockage sur disque par défaut,ARCHIVEPOOL.

v Les fichiers ne peuvent pas être archivés s’ils sont en cours de modification.

v Une copie d’archive est conservée pendant 365 jours au maximum.

Tâches élémentairesVoici un aperçu des tâches d’installation et de personnalisation de TSM.

1. «Installation de Tivoli Storage Manager» à la page 1, qui comprend :

a. Installation du serveur. Vous trouverez des informations concernant l’installation desclients d’administration et de sauvegarde-archivage dans le manuel Tivoli StorageManager Installing the Clients.

b. «Démarrage et arrêt du serveur» à la page 16

c. «Démarrage et arrêt d’un client d’administration ou de l’interface Web» à la page 16

d. «Enregistrement des licences» à la page 17

2. «Personnalisation de votre système Tivoli Storage Manager» à la page 27, quicomprend :

a. «Augmentation de la taille de la base de données et du journal de reprise» à lapage 28

b. «Augmentation de la taille des pools de stockage sur disque» à la page 29

c. «Ajout d’administrateurs» à la page 29

d. «Ajout de clients de sauvegarde-archivage» à la page 30

e. «Utilisation d’unités optiques ou de type bande» à la page 30

f. «Migration de données du disque vers une bande» à la page 44

g. «Création d’une règle» à la page 45

h. «Automatisation des opérations client» à la page 49

i. «Automatisation des commandes d’administration» à la page 51

xvTivoli Storage Manager pour AIX Initiation

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Tâches évoluéesPour exploiter toute la puissance de Tivoli Storage Manager, vous pouvez effectuer d’autrestâches, décrites dans le manuel Administrator’s Guide, notamment :

Réseau de serveursCréer un réseau de serveurs pour :¶ partager les définitions d’objets tels que les règles de stockage, les

administrateurs et les scripts de commandes ;¶ enregistrer des informations dans les pools de stockage des autres serveurs ;¶ acheminer des commandes vers un ou plusieurs serveurs.

Protection des pools de stockage et du serveur¶ mettre en miroir la base de données et le journal de reprise ;¶ sauvegarder la base de données et les pools de stockage ;¶ récupérer des données d’une base de données ou d’un pool de stockage perdues

ou endommagées.

Unités et bibliothèquesPrendre en charge Tivoli Storage Manager avec votre système de gestion desupports.

Pools de stockage et volumes¶ sauvegarder les pools de stockage ;¶ déplacer les fichiers d’un volume à un autre.

Règles de stockage¶ offrir aux clients de certaines plateformes des services de gestion de l’espace ;¶ offrir des fonctions supplémentaires outre les services de sauvegarde-archivage.

Sécurité¶ laisser les clients accéder à Tivoli Storage Manager sans mot de passe ;¶ modifier le délai d’expiration du mot de passe ;¶ assigner des niveaux d’autorisation aux administrateurs ;¶ définir la longueur minimale du mot de passe ;¶ obliger un client ou un administrateur à modifier son mot de passe.

Opérations serveurSurveiller et contrôler :¶ les processus serveur ;¶ les sessions des clients ;¶ le journal des activités TSM ;¶ les enregistrements statistiques TSM ;¶ les fonctions de journalisation utilisées pour surveiller l’activité du serveur.

xvi Version 4.2

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Installation de Tivoli Storage Manager

Le logiciel Tivoli Storage Manager comprend trois CD-ROM : un pour le programmed’installation du serveur, un pour les clients UNIX et un pour les clients PC. Pour consulterles manuels avant l’installation, reportez-vous à la section «Utilisation de la documentationélectronique» à la page 13. Le présent chapitre décrit les tâches suivantes :

Tâche : Procédure :

Migrer vers Tivoli Storage Manager version 4.2 à partird’ADSM ou d’une version antérieure de Tivoli StorageManager

«Migration vers Tivoli Storage Manager version 4.2» à lapage 2

Installer Tivoli Storage Manager pour la première fois «Installation de Tivoli Storage Manager» à la page 6

Utiliser la documentation en ligne «Utilisation de la documentation électronique» à lapage 13

Vérifier l’installation «Vérification de l’installation» à la page 14

Configurer le serveur «Introduction» à la page 15

Pour le serveur version 4.2, consultez l’annexe «Suppression de Tivoli Storage Manager» àla page 81.

Avant d’installer Tivoli Storage Manager, vérifiez les points suivants :

¶ vous disposez d’un système RISC System/6000 configuré de façon appropriée, avec aumoins 120 Mo d’espace disque disponible et 128 Mo de mémoire ;

¶ vous disposez d’AIX version 4.3.3 ou ultérieure ;

¶ la méthode de communication est configurée ;

¶ vous disposez pour l’installation d’une unité de CD-ROM ;

¶ si vous utilisez l’interface Web d’administration, vous devez en outre vous assurer quevotre explorateur Web prend en charge Java version 1.1.6.

Pour connaître la configuration nécessaire, les unités prises en charge, le codeclient, ainsi que les correctifs disponibles, accédez au site Web TSM, à l’adressesuivante : http://www.tivoli.com/support/storage_mgr/tivolimain.html .

Après avoir installé Tivoli Storage Manager et avant de le personnaliser selon vosbesoins, accédez aux site Web TSM. Téléchargez et exécutez tous les correctifsdisponibles.

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Voici un aperçu des différents répertoires d’installation :

¶ Répertoire serveur par défaut (/usr/tivoli/tsm/server/bin ), qui contient :

v les volumes du pool de stockage (backup.dsm, archive.dsm, spcmgmt.dsm) ;

v le volume de base de données (db.dsm) ;

v le volume du journal de reprise (log.dsm) ;

v le code serveur et les informations relatives à l’octroi de licence.

¶ Répertoires liés au serveur, qui contiennent :

v le référentiel de messages, l’aide en ligne et les langues prises en charge(/usr/lib/nls/msg/) ;

v le support des unités et le support STK (/usr/tivoli/tsm/devices/bin et /etc).

Modules d’installation de Tivoli Storage ManagerTivoli Storage Manager utilise trois types de modules d’installation AIX. Le type utilisédépend du contenu du support de diffusion. Il est très important de mesurer l’impact dechaque type d’installation.

Première installation et installation par migrationLorsque vous installez une nouvelle version ou édition de Tivoli Storage Managerles modules d’installation sont configurés pour effectuer une installation parmigration ou une première installation, selon qu’une version antérieure est déjàinstallée ou non. Dans les deux cas, ils définissent un niveau de base pour chaquejeu de fichiers. Dans le cas d’une installation par migration, le niveau de baseantérieur ainsi que toutes les mises à jour qui s’y rapportent sont supprimés dusystème. Vous ne pouvez pas supprimer les jeux de fichiers qui ont été installés lorsd’une installation par migration sans désinstaller le produit.

Installation par mise à jourUn module d’installation par mise à jour est utilisé avec une mise à jour demaintenance (PTF) ou un correctif afin de remédier à un certain nombre d’incidentsayant un impact majeur. Une installation par mise à jour permet d’annuler aprèscoup l’installation du module et n’impose pas la modification du niveau de based’un jeu de fichiers. Vous devez utiliser l’option SMIT ″Install and Update fromALL Available Software″ et affecter la valeur ″no″ à ″COMMIT software updates?″et la valeur ″yes″ à ″SAVE replaced files?″.

Remarque : Si vous validez (COMMIT) un jeu de fichiers, vous ne faites quemodifier son niveau de base ; vous ne pouvez pas supprimer ce jeu defichiers sans désinstaller le produit.

Migration vers Tivoli Storage Manager version 4.2Vous pouvez installer Tivoli Storage Manager version 4.2 sur une version antérieured’ADSM ou de TSM. Cette procédure est appelée “installation par migration”.

Les répertoires d’installation par défaut ADSM ont changé pour Tivoli Storage Manager. Sivous aviez utilisé le gestionnaire de reprise après incident DRM (Disaster RecoveryManager) pour créer un fichier de plan de reprise après incident, il est possible que cefichier renvoie à des noms de répertoire qui ne sont plus corrects. Après avoir installé Tivoli

2 Version 4.2

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Storage Manager, vous devez sauvegarder les pools de stockage et la base de données, puiscréer un nouveau fichier de plan de reprise après incident. Pour plus d’informations sur cetteprocédure, reportez-vous au chapitre gestionnaire de reprise après incident Tivoli, dans lemanuel Administrator’s Guide.

Pour pouvoir revenir à ADSM ou à une version antérieure de TSM à la suite d’uneinstallation par migration, vous devez disposer d’une sauvegarde intégrale de labase de données et du code d’installation serveur associés à cette version initiale.

¶ Vous ne pouvez pas restaurer une base de données sauvegardée correspondant àune version antérieure du serveur TSM sur la dernière version de ce serveur.Par exemple, vous ne pouvez pas restaurer une base de données TSMversion 3.7 sur le serveur TSM version 4.2. Pour savoir comment revenir àune version antérieure du serveur TSM, reportez-vous à la section «Suppressionde Tivoli Storage Manager» à la page 81.

Vous devez toutefois mesurer les conséquences d’un éventuel retour à ADSM ou àune version antérieure de TSM :

¶ Les références aux fichiers client qui ont été sauvegardés, archivés ou migrésvers le serveur Tivoli Storage Manager version 4.2 seront perdues.

¶ De plus, il se peut que certains volumes aient été écrasés ou supprimés aucours de l’utilisation normale de la version 4.2 de Tivoli Storage Manager.Dans ce cas, les fichiers client qui se trouvaient sur ces volumes et qui ont étémigrés, récupérés, déplacés (commande MOVE DATA), ou supprimés(commande DELETE VOLUME) ne seront pas accessibles à la versionantérieure d’ADSM ou de TSM.

¶ Les définitions, mises à jour et suppressions d’objets TSM qui ont étéeffectuées sur la version 4.2 du serveur seront perdues.

Migration vers AIX version 5.1Des conflits risquent de se produire au niveau des gestionnaires d’unité si vous installezTivoli Storage Manager version 4.2 sur AIX version 4.3.3 et que vous souhaitez migrer parla suite vers AIX version 5.1. Pour résoudre ces conflits, vous devez installer le supportd’unité Tivoli Storage Manager pour AIX version 5.1 (tivoli.tsm.devices.aix5.rte). Pour cefaire, procédez comme suit :

1. Avant de lancer la migration, enregistrez toutes les définitions d’unités TSM.

2. Désinstallez le jeu de fichiers tivoli.tsm.devices.aix43.rte à l’aide de la commandesuivante :

installp -ug tivoli.tsm.devices.aix43.rte

Cette commande désinstalle également tivoli.tsm.msg.[lang].devices, où [lang] esten_US, ainsi que tous les autres jeux de fichiers de messages ″tivoli.devices″éventuellement installés.

3. Migrez vers AIX version 5.1.

4. Installez les jeux de fichiers TSM tivoli.tsm.devices.5.rte et tivoli.tsm.msg[lang].devices.

5. Redéfinissez les unités.

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Avant d’effectuer une installation par migrationLa présente section décrit les points à prendre en compte avant d’effectuer une installationpar migration.

¶ Le fichier dsmserv.dsk pointe vers les emplacements de la base de données courante etvers les volumes du journal de reprise. En principe, une installation par migration necrée pas de nouveaux volumes de pool de stockage, de journal de reprise et de base dedonnées. Toutefois, si dsmserv.dsk ne se trouve pas dans le répertoire/usr/lpp/adsmserv/bin ou /usr/tivoli/tsm/server/bin, l’installation va créer les volumessuivants dans le répertoire /usr/tivoli/tsm/server/bin :

v le volume de base de données (db.dsm) ;

v le volume du journal de reprise (log.dsm) ;

v les volumes du pool de stockage (backup.dsm, archive.dsm, et spcmgmt.dsm).

Si vous souhaitez utiliser les volumes existants de base de données, de journal de repriseet de pool de stockage, assurez-vous qu’une copie du fichier dsmserv.dsk figure dans lerépertoire /usr/tivoli/tsm/server/bin et que le système de fichiers est monté avant lelancement de l’installation par migration. Vous ne devez pas déplacer les volumes debase de données, de journal de reprise et de pool de stockage.

¶ Si vous décidez de revenir à la version précédente d’ADSM ou de TSM, vous devezdisposer d’une copie de sauvegarde des fichiers de base de données, d’historique desvolumes et de configuration d’unités antérieurs. Dans l’exemple suivant, la classe d’unitéde bande nommée CLASSEBANDE est utilisée pour les sauvegardes de base dedonnées.

backup db type=full devclass=classebandebackup devconfig filenames=devconfig.jan99backup volhistory filenames=volhistory.jan99

Remarque : Cette commande récupère les enregistrements de base de données lors duvidage de la base de données. Ce processus n’accède pas au journal dereprise. Les transactions stockées dans le journal de la base de donnéessont perdues.

Stockez en lieu sûr les volumes de sortie, ainsi que les fichiers de configuration d’unitéet d’historique des volumes.

¶ Lors de la procédure d’installation par migration, les fichiers suivants sontautomatiquement copiés dans le répertoire d’installation de la nouvelle version de TSM :

v Le fichier dsmserv.dsk

v Le journal des statistiques TSM (dsmaccnt.log)

Si la variable d’environnement DSMSERV_ACCOUNTING_DIR était définie, vousdevez la redéfinir. Pour plus d’informations, reportez-vous à la section «Définitiondes variables d’environnement» à la page 12.

v Le fichier d’options du serveur dsmserv.opt

v Les fichiers de configuration d’unité et d’historique des volumes existants s’ils senomment devconfig et volhist

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Si les fichiers de configuration d’unité et d’historique des volumes ne se nommentpas devconfig et volhist, vous devez effectuer une copie de sauvegarde de cesfichiers et les enregistrer dans un répertoire temporaire. Vous pourrez modifierultérieurement le nouveau fichier d’options du serveur de manière à y inclure lenom de ces fichiers.

Si les fichiers sont copiés automatiquement, le fichier d’options du serveur estégalement mis à jour automatiquement.

Il est également recommandé d’enregistrer dans un répertoire temporaire tous lesscripts de fichier d’exécution existants.

¶ Les définitions d’unité TSM ne sont pas enregistrées lors de la procédure d’installationpar migration. Pour installer les nouveaux gestionnaires TSM, vous aurez besoin durésultat des commandes suivantes :lsdev -Cc tape

lsdev -Cc library

Cette commande n’est pas obligatoire pour les systèmes IBM 3494, 3495, 3570, 3575 ou3590, qui utilisent les gestionnaires fournis avec les unités.

Lors de la procédure d’installation par migration, les définitions FCP (FiberChannel Protocol) seront perdues. Enregistrez les définitions FCP existantes avantde lancer l’installation, faute de quoi vous devrez les réinstaller.

Exécution d’une installation par migration1. Si le serveur est en cours d’exécution, arrêtez-le en entrant :

halt

2. Si vous avez créé des scripts comportant des chemins vers /usr/lpp/adsmserv/bin,remplacez ces chemins par /usr/tivoli/tsm/server/bin.

3. Installez la version 4.2 du logiciel serveur (reportez-vous à la section «Installation deTivoli Storage Manager» à la page 6).

Remarque : Tant que la nouvelle version ne sera pas complètement installée et quetoutes les licences nécessaires n’auront pas été validées (étape 7 à lapage 6), les clients ne pourront pas établir de connexion avec le serveur.

4. Tivoli Storage Manager est fourni avec des exemples de scripts de commande quipeuvent être chargés dans la base de données et exécutés à partir d’un clientd’administration, de l’interface Web d’administration ou de la console serveur. Ilspeuvent également être inclus dans les plannings de commandes d’administration. Lesscripts fournis à titre d’exemple, dans scripts.smp, sont essentiellement des requêtesSELECT ; il s’agit également de scripts qui définissent des volumes et étendent la basede données et le journal de reprise ou encore, qui sauvegardent les pools de stockage.

Remarque : Les exemples de scripts ont certainement été chargés lors de l’installationd’une version antérieure d’ADSM ou de Tivoli Storage Manager. Si vous

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les rechargez maintenant, les nouveaux scripts remplaceront les scriptsexistants de même nom, et vous perdrez toutes les modifications apportéesaux scripts d’origine.

Pour charger les exemples de scripts dans la base de données, lancez la commandesuivante :

./dsmserv runfile /usr/tivoli/tsm/server/webimages/scripts.smp

5. Pour que vous puissiez utiliser l’interface Web d’administration :

a. votre navigateur doit disposer du support Java version 1.1.6 (par exemple, Netscapeversion 4.06 ou ultérieure et Microsoft Internet Explorer version 4.0 ou ultérieure).

b. Configurez la méthode de communication HTTP dans le fichier des options duserveur (dsmserv.opt).

commmethod httphttpport 1580

6. Démarrez le serveur.

./dsmserv

7. Les licences de la version antérieure ne sont plus valables et vous devez procéder à unnouvel enregistrement. Reportez-vous à la section «Enregistrement des licences» à lapage 17.

Remarque : Pour enregistrer les licences, vous devez disposer du programmetivoli.tsm.license. Ce programme est installé en même temps que leprogramme du serveur TSM.

Installation de Tivoli Storage ManagerVous pouvez utiliser la procédure ci-après pour installer le serveur et le support d’unité. Lesrépertoires d’installation par défaut sont :

¶ Pour le serveur : /usr/tivoli/tsm/server/bin

¶ Pour les portions du programme variant selon la langue : /usr/lib/nls/msg/[lang]/. Leslangues prises en charge sont l’américain, l’anglais, l’allemand, le français, l’italien,l’espagnol, le portugais (Brésil), le coréen, le japonais, le chinois (traditionnel, simplifiéet traditionnel Big5). L’anglais américain doit toujours être installé.

Remarque : Le référentiel de message de TSM s’appelle désormais dsmserv.cat et lefichier d’aide des commandes et messages s’appelle dsmserv.hlp. Dans lesversions précédentes, il s’agissait respectivement des fichiers dsmameng.txtet dsmameng.hlp.

Voici la procédure SMIT :

1. Connectez-vous en tant qu’utilisateur root.

2. Chargez le CD-ROM dans l’unité sélectionnée.

3. A partir du bureau, accédez à SMIT et choisissez les options correspondant au niveaude votre système d’exploitation AIX.

6 Version 4.2

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Remarque : Pour le choix de la langue, les chemins d’accès diffèrent de ceuxmentionnés ici. Reportez-vous à l’annexe «Support de langue nationale» àla page 75.

Entrez :

smit install_update &

Ensuite, sélectionnez :

Install and Update SoftwareInstall and Update from the LATEST Available Software

4. Dans la fenêtre suivante, sélectionnez l’unité que vous utilisez pour l’installation. Vouspouvez entrer le nom de l’unité dans cette fenêtre ou cliquer sur List pour accéder à laliste des unités.

Si vous cliquez sur List, sélectionnez l’unité de CD-ROM que vous utilisez pourl’installation (par exemple, /dev/cd0).

5. Cliquez sur OK.

6. Localisez la ligne Software to Install.

Remarque : La valeur de la variable d’environnement LANG détermine les messagesTSM traduits, les messages d’aide et les messages de sélectionautomatique d’unité présents dans SMIT qui sont installésautomatiquement.

a. Pour installer tous les composants répertoriés dans le tableau de l’étape 7, passez àl’étape 9 à la page 9.

b. Pour installer uniquement certains composants, cliquez sur List pour accéder à laliste des dernières versions logicielles disponibles, puis passez à l’étape 7.

7. Sélectionnez les composants TSM requis. Reportez-vous au tableau 2 à la page 8 et autableau 3 à la page 8 pour installer les jeux de fichiers appropriés pour la version deTSM et du noyau que vous exécutez.

Remarque : Consignes d’installation à respecter :

a. Le code serveur commun tivoli.tsm.server.com est requis par les deuxserveurs (jeux de fichiers rte).

b. Le serveur 32 bits (tivoli.tsm.server.rte) et le serveur 64 bits(tivoli.tsm.server.aix5.rte64) sont incompatibles. Ils ne peuvent résidersimultanément sur la même machine.

c. Le jeu de fichiers de licences 32 bits requiert le jeu de fichiers serveur32 bits.

d. Le jeu de fichiers de licences 64 bits requiert le jeu de fichiers serveur64 bits.

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Lorsque vous installez un jeu de fichiers, vous pouvez recevoir le message d’erreursuivant : ″installp: APPLYING software for: <package name>... The parameterlist is too long.″.

Dans ce cas, installez le correctif U472458 à partir du volet de mise à jour d’AIXde la page Web IBM http://techsupport.services.ibm.com/rs6000/fixes . Cet incident,lié au système d’exploitation AIX, se produit lorsque les jeux de fichiers retournentune longue liste de fichiers, ce qui provoque un dépassement de capacité de lamémoire tampon. Pour remédier à cet incident, procédez comme suit :

a. Désinstallez le jeu de fichiers qui est à l’origine du message d’erreur.

b. Appliquez le correctif U472458.

c. Réinstallez le jeu de fichiers.

Tableau 2. Tivoli Storage Manager Noyau, adressage et versions à installer.

Matériel Noyau AIX Serveur TSM Gestionnaire d’unités

32 32 4.3.3 32 32

32 32 5.1 32 64/32

64 32 4.3.3 32 32

64 32 5.1 32 64/32

64 64 5.1 32 64/32

64 64 5.1 64 64/32

Tableau 3. Tivoli Storage Manager Noms des jeux de fichiers à installer.

¶ [lang] est la langue sélectionnée. Par défaut, il s’agit de l’américain [en_US]).

Version d’AIX Noms des fichiers Description

AIX version 4.3.3 tivoli.tsm.server.rte Module Server Runtime.

tivoli.tsm.server.com Fonctions communes du serveur et exemples.

tivoli.tsm.server.webadmin (facultatif) Graphiques du serveur (interface Web).

tivoli.tsm.license.rte Activation des licences pour un serveur 32 bits.

tivoli.tsm.license.cert Certificats de licence.

tivoli.tsm.devices.aix43.rte Support d’unité d’exécution 32 bits.

tivoli.tsm.devices.acsls (facultatif) Interface pour STK Silo.

tivoli.tsm.msg.en_US.server Aide en ligne du serveur en anglais américain et fichiersde messages traduits

tivoli.tsm.msg.en_US.devices Fichiers de messages SMIT traduits pour support d’unitéen anglais américain

tivoli.tsm.msg.en_US.webhelp Aide, en anglais américain, du panneau d’interface Webd’administration

AIX version 5.1 (32 bits) tivoli.tsm.devices.aix5.rte Support d’unité d’exécution pour AIX version 5.1

AIX version 5.1 (64 bits) tivoli.tsm.server.aix5.rte64 Module Server Runtime pour le noyau 64 bits

tivoli.tsm.license.aix5.rte64 Certificat de licence et module de licence pour le noyau64 bits

tivoli.tsm.devices.aix5.rte Support d’unité d’exécution pour AIX version 5.1

Remarque : Pour l’installation d’AIX version 5.1, remplacezles jeux de fichiers de la version 4.3.3 par lesjeux de fichiers correspondants de la version 5.1et installez tous les autres jeux de fichiers depuisla version 4.3.3.

8 Version 4.2

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Tableau 3. Tivoli Storage Manager Noms des jeux de fichiers à installer (suite).

¶ [lang] est la langue sélectionnée. Par défaut, il s’agit de l’américain [en_US]).

Version d’AIX Noms des fichiers Description

Indépendant du systèmed’exploitation et dépendant de lalangue étrangère installée

tivoli.tsm.msg.[lang].server Aide en ligne du serveur et fichiers de messages traduits

tivoli.tsm.msg.[lang].devices Fichiers de messages SMIT traduits pour support d’unité

tivoli.tsm.msg.[lang].webhelp Aide du panneau d’interface Web d’administration

Remarque :

Le jeu de fichiers tivoli.tsm.devices.aix5.rte prend en charge à la fois le noyau 32 bits et lenoyau 64 bits pour les unités SCSI et FCP.

Les langues disponibles sont l’américain (en_US), l’allemand (de_DE), le français (fr_FR),l’italien (it_IT), l’espagnol (es_ES), le portugais brésilien (pt_BR), le coréen (ko_KR), lejaponais (ja_JP et Ja_JP), le chinois traditionnel (zh_TW), le chinois simplifié (zh_CN) et lechinois traditionnel Big5 (Zh_TW).

Tenez compte des contraintes suivantes :

¶ Pour valider votre licence, installez le jeu de fichiers de licence et le jeu de fichiers duprogramme d’exécution du serveur correspondant au noyau utilisé. Si vous utiliseztivoli.tsm.server.rte, installez les jeux de fichiers (tivoli.tsm.license.rte ettivoli.tsm.license.cert). Si vous utilisez tivoli.tsm.server.aix5.rte64, installez les jeux defichiers (tivoli.tsm.license.aix5.rte64 et tivoli.tsm.license.cert).

¶ Pour utiliser l’interface Web d’administration, installez le jeu de fichierstivoli.tsm.server.webadmin.

¶ Pour utiliser les unités de type bande, les unités optiques et les bibliothèques, et pour vousservir de l’utilitaire de labels de bande (DSMLABEL), installez les programmes d’unité.

8. Cliquez sur OK.

9. Vérifiez les paramètres par défaut des options de cette fenêtre.

10. Pour continuer, cliquez sur OK.

SMIT répond :

ARE YOU SURE?...

11. Pour continuer, cliquez sur OK.

L’installation peut prendre plusieurs minutes.

12. Une fois l’installation terminée, cliquez sur Done, retirez le CD et quittez SMIT.

13. Pour que vous puissiez utiliser l’interface Web d’administration :

a. Assurez-vous que votre navigateur dispose du support Java version 1.1.6 (parexemple, Netscape version 4.06 ou ultérieure et Microsoft Internet Explorerversion 4.0 ou ultérieure).

b. Configurez la méthode de communication HTTP dans le fichier des options duserveur (dsmserv.opt).

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commmethod httphttpport 1580

c. Entrez la commande suivante :

./dsmserv runfile /usr/tivoli/tsm/server/webimages/dsmserv.idl

14. Pour installer un client de sauvegarde-archivage et un client d’administration,reportez-vous au manuel Tivoli Storage Manager Installing the Clients.

Unités SCSI et Fibre ChannelLes invites et les menus de définition d’unité Tivoli Storage Manager de SMIT permettentde gérer à la fois des unités SCSI et des unités FCP. Le menu principal de TSM contientdeux options :

SCSI Attached DevicesCette option permet de configurer les unités SCSI qui sont connectés à l’adaptateurSCSI du système hôte. La configuration proprement dite des unités s’effectue àl’aide des sous-menus, lesquels demeurent inchangés.

Fibre Channel system area network (SAN) Attached DevicesCette option permet de configurer les unités qui sont connectées à l’adaptateur FibreChannel du système hôte. Sélectionnez l’un des paramètres suivants :

List Attributes of a Discovered DeviceAffiche la liste des attributs d’une unité reconnue par la base de donnéesODM courante.

FC Port ID :

ID sur 24 bits du port FC ((N(L)_Port ou F(L)_Port). Il s’agit d’unidentificateur d’adresse unique au sein de la topologie à laquelle estconnectée l’unité. Dans les environnements basés sur un commutateur,cet identificateur est généralement défini par le commutateur, les deuxoctets supérieurs étant différents de zéro. Sur une boucle arbitrée privée(Private Arbitrated Loop), il s’agit de d’adresse physique de la bouclearbitrée (AL_PA), les deux octets supérieurs étant égaux à zéro. Veuillezcontacter votre fournisseur de composants FC pour connaître lesmodalités d’affectation de l’adresse AL_PA ou de l’ID de port.

Mapped LUN ID :

Cet ID provient d’un pont FC<->SCSI (également appelé convertisseur,routeur ou passerelle), tel qu’IBM SAN Data Gateway (SDG) ouCrossroads 4200. Veuillez contacter votre fournisseur de ponts poursavoir comment sont mappés les numéros d’unité logique (LUN). Il estrecommandé de ne pas modifier ce paramètre.

WW Name :

World Wide Name du port auquel est connectée l’unité. Il s’agit del’identificateur unique sur 64 bits qui est affecté par le fournisseur decomposants FC, tels que les ponts ou les unités FC natives. Veuillezcontacter votre fournisseur de composants FC pour connaître le WorldWide Name du port.

10 Version 4.2

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Product ID :

Identificateur de produit de l’unité. Veuillez contacter votre fournisseurd’unités pour connaître l’identificateur de produit.

Discover Devices Supported by TSM :Cette option permet de reconnaître et de rendre DISPONIBLES les unités connectéesà un réseau SAN Fibre Channel qui sont pris en charge par TSM. Chaque foisqu’une unité est ajoutée ou supprimée au sein d’un environnement SAN existant,vous devez sélectionner cette option pour reconnaître une nouvelle fois les unités.Ces derniers doivent en effet être reconnus pour que les valeurs courantes de leursattributs apparaissent dans l’option List Attributes of a Discovered Device :. Lesunités prises en charge par TSM sur un réseau SAN Fibre Channel sont les unités debande, les changeurs automatiques et les unités optiques. Le gestionnaire d’unitésTSM ne prend pas en compte les autres types d’unité, telles que les disques.

Remove All Defined Devices :Cette option supprime toutes les unités TSM connectées à un réseau SAN FibreChannel dont l’état est Défini dans la base de données ODM. Vous pouvez, sinécessaire, reconnaître à nouveau ces unités après les avoir supprimées ensélectionnant l’option Discover Devices Supported by TSM.

Remove a Device :Cette option permet de supprimer une seule des unités connectées à un réseau SANFibre Channel dont l’état est Défini dans la base de données ODM. Vous pouvez, sinécessaire, reconnaître à nouveau cette unité après l’avoir supprimée en sélectionnantl’option Discover Devices Supported by TSM.

Pour configurer une unité connectée à un réseau SAN Fibre Channel, procédez comme suit :

1. Lancez le programme SMIT.

2. Sélectionnez Devices.

3. Sélectionnez Tivoli Storage Manager Devices.

4. Sélectionnez Fibre Channel SAN Attached devices.

5. Sélectionnez Discover Devices Supported by TSM. La procédure de reconnaissancepeut prendre un certain temps.

6. Revenez au menu Fibre Channel et sélectionnez List Attributes of a Discovered Device.

7. Notez l’identificateur d’unité à 3 caractères que vous utilisez pour définir l’unité dansTSM. Par exemple, si une unité de bande a pour identificateur mt2, entrez /dev/mt2comme nom d’unité. Exemple :

define drive lib1 drive2 device=/dev/mt2

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Définition des variables d’environnementUne variable d’environnement décrit l’environnement fonctionnel d’un processus, parexemple son répertoire d’accueil ou le terminal utilisé. Pour exécuter le serveur à partir d’unrépertoire autre que le répertoire par défaut (/usr/tivoli/tsm/server/bin), vous pouvez avoir àdéfinir des variables d’environnement. Par exemple, pour que la variable d’environnementDSMSERV_DIR pointe vers le répertoire /usr/tivoli/tsm/server/bin où le serveur doit trouverles fichiers, entrez :

export DSMSERV_DIR=/usr/tivoli/tsm/server/bin

Vous pouvez définir une variable d’environnement de sorte qu’elle pointe vers le fichiersd’options du serveur (dsmserv.opt). Par exemple, pour définir la variable d’environnementDSMSERV_CONFIG de sorte qu’elle pointe vers le fichier d’options du serveurdsmserv.opt, entrez :

export DSMSERV_CONFIG=/usr/tivoli/tsm/server/bin/dsmserv.opt

Vous pouvez également définir une variable d’environnement de sorte qu’elle pointe vers lefichier journal de statistiques.

Les enregistrements statistiques sont stockés dans le fichier dsmaccnt.log . La variabled’environnement DSMSERV_ACCOUNTING_DIR désigne le répertoire dans lequel lefichier de statistiques est ouvert. Si cette variable n’est pas définie au démarrage du serveur,le fichier dsmaccnt.log est placé dans le répertoire courant.

Par exemple, pour définir cette variable de sorte qu’elle place les enregistrements statistiquesdans le répertoire /home/engineering, entrez la commande suivante :

export DSMSERV_ACCOUNTING_DIR=/home/engineering

DSMLABEL, utilitaire hors ligne d’écriture des labels des volumes à accès séquentiel quiseront utilisés avec TSM, doit lire le fichier dsmserv.opt pour trouver l’option de langue. Enconséquence, vous devez lancer DSMLABEL à partir du répertoire /usr/tivoli/tsm/server/bin/ou définir les variables d’environnement DSMSERV_DIR et DSMSERV_CONFIG.

Remarques :

1. Vous pouvez également définir le paramètre -o de la commande DSMSERV pourspécifier le nom d’un fichier d’options.

2. Utilisez la commande suivante si votre shell fait partie de la famille csh :

setenv DSMSERV_DIR /usr/tivoli/tsm/server/bin

3. Utilisez la commande suivante si votre shell fait partie de la famille ksh :

export DSMSERV_DIR=/usr/tivoli/tsm/server/bin

4. Pour sauvegarder cet environnement, enregistrez ces entrées dans le fichier .cshrc ou.kshrc du répertoire $HOME.

5. Le fichier dsmserv.dsk est toujours lu à partir du répertoire de lancement du serveur.

12 Version 4.2

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Exécution de plusieurs serveurs sur une seule machinePour exécuter plusieurs serveurs TSM sur une seule machine, vous devez créer plusieurspaires de fichiers de base de données et de journal de reprise. Si la variable d’environnementDSMSERV_DIR pointe vers le répertoire exécutable du serveur, il est inutile de copier lesfichiers exécutables du serveur dans plusieurs répertoires.

Remarque : Vous devez disposer de licences distinctes pour exécuter plusieurs serveurs.

Pour configurer un serveur supplémentaire, utilisez la procédure suivante :

1. Définissez le nouveau répertoire dans lequel vous souhaitez créer les fichiers (parexemple /usr/local/newserv) et copiez les fichiers d’options du serveur dans cerépertoire :

mkdir /usr/local/newservcp /usr/tivoli/tsm/server/bin/dsmserv.opt /usr/local/newserv/dsmserv.opt

Si la variable d’environnement DSMSERV_CONFIG pointe vers un fichier d’options duserveur, il est inutile de copier ce fichier.

Remarque : Assurez-vous que les paramètres de la méthode de communication diffèrentde ceux des serveurs TSM existants. Par exemple, les serveurs ne peuventpas utiliser le même TCPPORT ou HTTPPORT.

2. Lors de l’installation, définissez le chemin d’accès sur la console du serveur ou à partird’une session aix en spécifiant les variables d’environnement. Pour ce faire,reportez-vous à la section «Définition des variables d’environnement» à la page 12.Vérifiez que vous vous trouvez bien dans le nouveau répertoire avant de poursuivre.

3. Formatez les fichiers de la base de données et du journal de reprise, et configurez leserveur pour l’interface Web d’administration. Par exemple, pour formater deux volumesde base de données de 300 Mo et un volume de 30 Mo pour le journal de reprise,entrez :

dsmfmt -db dbvol2 300 dbvol3 300dsmfmt -log logvol2 30

dsmserv runfile /usr/tivoli/tsm/server/webimages/dsmserv.idl

4. Initialisez la base de données et le journal de reprise dans le nouveau répertoire duserveur :

dsmserv format 1 logvol2 2 dbvol2 dbvol3

Utilisation de la documentation électroniqueLe présent manuel, ainsi que le manuel Tivoli Storage Manager Installing the Clients sontlivrés avec le produit sous forme de documents imprimés. Toutes les autres publicationsrelatives au client et au serveur TSM figurent sur les CD-ROM fournis avec le produit :

¶ Le CD-ROM d’installation de TSM contient tous les manuels aux formats PDF etHTML.

¶ Le CD-ROM des publications TSM contient tous les manuels aux formats PDF etHTML.

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¶ Le CD-ROM d’installation de Secure Web Administrative Proxy contient des manuels auformat HTML uniquement.

Vous pouvez télécharger Adobe Acrobat Reader à partir du site Web Adobehttp://www.adobe.com/ .

Pour afficher les manuels au format HTML, utilisez un navigateur qui prend en chargeHTML version 2.0 ou ultérieure. Vous pouvez, par exemple, télécharger NetscapeCommunicator à partir du site Web http://www.netscape.com/ .

Vérification de l’installationVous pouvez vérifier l’installation en sauvegardant les données d’un client desauvegarde-archivage. Ce client doit avoir été installé à partir du CD des clients Unix. S’iln’est pas installé, reportez-vous au manuel Tivoli Storage Manager Installing the Clientspour connaître la procédure à suivre.

Ne sélectionnez pas plus de fichiers que ne peut en contenir votre pool destockage. Un pool de stockage de 8 Mo, un pool d’archivage de 8 Mo et un poolde gestion de stockage de 8 Mo ont été alloués lors de l’installation.

1. Pour que vous puissiez utiliser les clients de sauvegarde-archivage et d’administration, leserveur doit être en cours d’exécution. Vous trouverez la procédure de démarrage duserveur dans la section «Démarrage et arrêt du serveur» à la page 16.

2. Configurez comme suit le client de sauvegarde-archivage :

a. Copiez l’exemple de fichier d’options système du client (dsm.sys.smp ) et l’exemplede fichier d’options utilisateur du client (dsm.opt.smp). Les exemples de fichiers setrouvent dans le répertoire /usr/tivoli/tsm/client/ba/bin/.

b. Modifiez les fichiers d’options afin d’y inclure les options ci-dessous :

Dans dsm.opt :

servernamenom_serveur

Dans dsm.sys :

servername nom_serveurcommmethod tcpiptcpport adresse_porttcpserveraddress adresse_serveur

nodename client

Remarque : Les noms de serveur doivent être identiques dans dsm.opt et dansdsm.sys. Pour plus d’informations, reportez-vous au manuel TivoliStorage Manager Installing the Clients.

3. Lancez l’interface graphique du client de sauvegarde-archivage à l’aide de la commandesuivante :

dsm

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L’ID et le mot de passe par défaut du client de sauvegarde-archivage sont :

¶ ID : client

¶ Mot de passe : client

4. Pour sauvegarder plusieurs fichiers, effectuez la procédure ci-après. Pour obtenir desinstructions plus détaillées et connaître les autres procédures de sauvegarde,reportez-vous au manuel relatif au client TSM approprié.

a. Cliquez sur Sauvegarde. La fenêtre Sauvegarde s’affiche.

b. Vous pouvez sélectionner les fichiers à partir d’une arborescence de répertoires ouparcourir une unité ou un répertoire pour sélectionner les fichiers :

¶ Pour sélectionner les fichiers à partir d’une arborescence, développezl’arborescence et cliquez sur les fichiers à sauvegarder.

¶ Pour rechercher les fichiers, procédez comme suit :

1) Cliquez sur l’icône Recherche dans la barre d’outils. La fenêtre Recherchede fichiers (sauvegarde) apparaît.

2) Entrez les critères de recherche dans la fenêtre Recherche de fichiers(sauvegarde).

3) Cliquez sur Recherche. La fenêtre Fichiers correspondants (sauvegarde)apparaît.

4) Cliquez sur les cases de sélection en regard des fichiers à sauvegarder.

5) Fermez la fenêtre Fichiers correspondants (sauvegarde) en cliquant surl’icône de sauvegarde-archivage dans la barre de menus et en sélectionnantFermer.

c. Cliquez sur Toujours sauvegarder dans la liste Type de sauvegarde.

d. Cliquez sur Sauvegarde. Vous êtes averti par un message de la fin de la sauvegarde.

IntroductionLa présente section décrit les tâches suivantes :

¶ «Démarrage et arrêt du serveur» à la page 16

¶ «Démarrage et arrêt d’un client d’administration ou de l’interface Web» à la page 16

¶ «Modification du mot de passe du client d’administration» à la page 17

¶ «Enregistrement des licences» à la page 17

Des exemples de tâches d’administration TSM sont fournis à la fois pour l’interfacede ligne de commande et pour l’interface Web. Tous les exemples relatifs àl’interface Web commencent à la fenêtre Visualisation des objets.

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Démarrage et arrêt du serveurPour démarrer le serveur à partir du répertoire /usr/tivoli/tsm/server/bin, entrez :

./dsmserv

Vous pouvez arrêter le serveur sans avertissement préalable si un incident inattendu vousoblige à redonner le contrôle au système d’exploitation. Pour éviter de perdre desconnexions de postes clients et d’administration, arrêtez le serveur uniquement lorsque toutesles sessions en cours ont été terminées ou annulées.

Pour arrêter le serveur, choisissez l’une des méthodes ci-dessous :

halt

OU

1. Sélectionnez Serveur.

2. Sélectionnez Statut du serveur.

3. Sous Opérations, sélectionnez Arrêt du serveur, puis Fin.

Cette procédure a pour effet d’arrêter immédiatement le serveur et d’annuler toutes lessessions des clients, même si une activité n’est pas terminée.

Démarrage et arrêt d’un client d’administration ou de l’interface WebLorsque vous lancez un client d’administration ou l’interface Web, vous devez indiquer unnom d’administrateur et un mot de passe. Les valeurs par défaut de l’installation sont :

¶ ID : admin

¶ Mot de passe : admin

Pour modifier le mot de passe, reportez-vous à la section «Modification du mot de passe duclient d’administration» à la page 17.

¶ Pour lancer l’interface de ligne de commande du client d’administration, entrez lacommande suivante :

dsmadmc

¶ Pour que vous puissiez utiliser l’interface Web d’administration, TSM doit être déjàconfiguré. Pour plus de détails, reportez-vous au point 5 à la page 6. Pour lancerl’interface Web, entrez l’URL de votre serveur TSM à partir du navigateur Web survotre machine. Par exemple :

http://tsmserv:1580

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Où :

tsmservindique l’adresse du serveur (peut également être une adresse IP numérique)

1580 indique un numéro de port HTTP.

Pour mettre fin à une session d’un client d’administration, choisissez l’une des méthodessuivantes :

¶ A partir de la ligne de commande Admin :

quit

OU

¶ A partir de l’interface Web d’administration :

Sous Options, sélectionnez Déconnexion.

Modification du mot de passe du client d’administrationPour remplacer le mot de passe du client d’administration par défaut (ADMIN) parTUCSON, procédez comme suit :

update admin admin tucson

OU

1. Sélectionnez Administrateurs.

2. Sélectionnez le nom de l’administrateur souhaité.

3. Sous Opérations, sélectionnez Mise à jour d’un administrateur.

4. Entrez les informations relatives à l’administrateur et cliquez sur Fin.

Enregistrement des licencesLorsque vous installez Tivoli Storage Manager, votre système dispose d’une licence pour lesupport de base du produit, qui comprend :

¶ un nombre illimité de clients d’administration ;

¶ un client de sauvegarde-archivage AIX ;

¶ des fonctions d’administration d’entreprise ;

¶ la prise en charge des volumes virtuels entre serveurs.

Vous devez immédiatement enregistrer toutes les fonctions TSM sous licence que vousachetez.

Remarque : Si vous faites migrer ADSM, vos licences existantes ne seront plus valables.Vous devrez mettre à jour ces informations de licence.

Les fichiers du certificat de licence sont fournis avec le programme serveur dans lerépertoire d’installation du serveur. Chaque fichier correspond à la licence valable pour une

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fonction particulière. Vous pouvez vous procurer des licences pour les fonctions sous licenceet les enregistrer en spécifiant les fichiers suivants dans la commande REGISTERLICENSE :

drm.licGestionnaire de reprise après incident Tivoli (DRM) : intègre la prise en charge desvolumes virtuels entre serveurs pour la sauvegarde des pools de stockage et desbases de données. TSM requiert cette licence pour le serveur source, et non pour leserveur cible.

1spacemgr.lic, 5spacemgr.lic, 10spacemgr.lic ou 50spacemgr.licPour chacun des systèmes gérés utilisant le Gestionnaire d’espace Tivoli, TSMrequiert en outre une licence Système géré pour les réseaux LAN ou Système gérépour les réseaux SAN. Il ne requiert qu’une seule licence Système géré pour lesréseaux LAN si le client HSM et le client de sauvegarde-archivage sont installés surle même système avec le même ID de poste.

1mgsyslan.lic, 5mgsyslan.lic, 10mgsyslan.lic ou 50mgsyslan.licPour un Système géré pour les réseaux LAN, TSM requiert une licence pour chacundes systèmes gérés transférant des données vers/depuis l’espace de stockage via unréseau local. En revanche, cette licence n’est pas nécessaire si le système gérérequiert également la licence Système géré pour les réseaux SAN.

1mgsyssan.lic, 5mgsyssan.lic, 10mgsyssan.lic ou 50mgsyssan.licPour un Système géré pour les réseaux SAN, TSM requiert une licence pour chacundes systèmes gérés transférant des données vers/depuis l’espace de stockage via unréseau SAN (Storage Area Network). La fonction de partage de bandothèque estobligatoire sur le serveur TSM.

1oracle.lic, 5oracle.lic, 10oracle.lic ou 50oracle.licPour chacun des systèmes gérés utilisant Tivoli Data Protection pour Oracle, TSMrequiert également une licence Système géré pour les réseaux LAN ou Système gérépour les réseaux SAN.

1mssql.lic, 5mssql.lic, 10mssql.lic ou 50mssql.licPour chacun des systèmes gérés utilisant Tivoli Data Protection pour MS SQLServer, TSM requiert également une licence Système géré pour les réseaux LAN ouSystème géré pour les réseaux SAN.

1msexch.lic, 5msexch.lic, 10msexch.lic ou 50msexch.licPour chacun des systèmes gérés utilisant Tivoli Data Protection pour MS Exchange,TSM requiert également une licence Système géré pour les réseaux LAN ouSystème géré pour les réseaux SAN.

1lnotes.lic, 5lnotes.lic, 10lnotes.lic ou 50lnotes.licPour chacun des systèmes gérés utilisant Tivoli Data Protection pour Lotus Notes,TSM requiert également une licence Système géré pour les réseaux LAN ouSystème géré pour les réseaux SAN.

1domino.lic, 5domino.lic, 10domino.lic ou 50domino.licPour chacun des systèmes gérés utilisant Tivoli Data Protection pour Lotus Domino,TSM requiert également une licence Système géré pour les réseaux LAN ouSystème géré pour les réseaux SAN.

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Page 37: Tivoli Storage Manager pour AIX Initiationpublib.boulder.ibm.com/tividd/td/SMAIXN/GC35-0402-01/.../anraqs41.pdfAIX Application System/400 APPN AS/400 AT C/370 ... 14 Introduction

1informix.lic, 5informix.lic, 10informix.lic ou 50informix.licPour chacun des systèmes gérés utilisant Tivoli Data Protection pour Informix, TSMrequiert également une licence Système géré pour les réseaux LANou Système gérépour les réseaux SAN.

1r3.lic, 5r3.lic, 10r3.lic ou 50r3.licPour chacun des systèmes gérés utilisant Tivoli Data Protection pour R/3, TSMrequiert également une licence Système géré pour les réseaux LAN ou Système gérépour les réseaux SAN.

1ess.lic, 5ess.lic, 10ess.lic ou 50ess.licPour chacun des systèmes gérés utilisant Tivoli Data Protection pour ESS, TSMrequiert également une licence Système géré pour les réseaux LAN ou Système gérépour les réseaux SAN.

1essr3.lic, 5essr3.lic, 10essr3.lic ou 50essr3.licPour chacun des systèmes gérés utilisant Tivoli Data Protection pour ESS R/3, TSMrequiert également une licence Système géré pour les réseaux LAN ou Système gérépour les réseaux SAN.

1emcsymm.lic, 5emcsymm.lic, 10emcsymm.lic ou 50emcsymm.licPour chacun des systèmes gérés utilisant Tivoli Data Protection pour EMCSymmetrix, TSM requiert également une licence Système géré pour les réseaux LANou Système géré pour les réseaux SAN.

1emcsymr3.lic, 5emcsymr3.lic, 10emcsymr3.lic ou 50emcsymr3.licPour chacun des systèmes gérés utilisant Tivoli Data Protection pour EMCSymmetrix R/3, TSM requiert également une licence Système géré pour les réseauxLAN ou Système géré pour les réseaux SAN.

1library.lic ou 5library.licPour chacune des bibliothèques faisant partie de la catégorie des unités avancées quisont gérées par un serveur TSM, TSM requiert cette licence.

libshare.licCette licence, qui est associée à la fonction de partage de bandothèque, est requisesur tout serveur TSM accédant à une bibliothèque partagée, y compris legestionnaire de bibliothèque. Elle n’est nécessaire que sur le gestionnaire debibliothèque.

Vous devez enregistrer toutes les fonctions TSM sous licence que vous achetez. Par exemple,pour obtenir la licence de prise en charge de gestionnaire de reprise après incident Tivoli etde 10 clients Gestionnaire d’espace Tivoli appelés à transférer des données via un réseaulocal, procédez comme suit :

register license file=10spacemgr.licregister license file=10mgsyslan.licregister license file=drm.lic

OU

1. Sélectionnez Serveur.

2. Sélectionnez Informations relatives à la licence.

3. Sous Opérations, sélectionnez Enregistrement d’une licence.

4. Entrez les informations requises et cliquez sur Fin.

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Spécification des méthodes decommunication serveur et client

Le présent chapitre explique comment spécifier les méthodes de communication à utiliserentre le serveur Tivoli Storage Manager et les clients. Pour ce faire, vous devez modifier lefichier d’options du serveur, dsmserv.opt. Vous devez créer le fichier d’options du serveur encopiant, puis en modifiant le fichier d’options type, dsmserv.opt.smp. Chaque entrée de cefichier type est un commentaire, c’est-à-dire une ligne commençant par un astérisque (*).Appliquez les règles suivantes pour modifier le fichier d’options :

¶ pour activer une option, supprimez l’astérisque placé au début de la ligne ;

¶ les options peuvent commencer dans n’importe quelle colonne ;

¶ n’entrez qu’une option par ligne (une option ne peut pas occuper plusieurs lignes) ;

¶ les majuscules et les minuscules sont utilisées indifféremment dans les options ;

¶ vous pouvez insérer un ou plusieurs espaces entre les mots clés et les valeurs.

Lorsque vous modifiez le fichier d’options du serveur, vous devez redémarrer le serveurpour que les modifications prennent effet. Reportez-vous au manuel Administrator’sReference pour consulter la description des options de serveur.

Vous pouvez spécifier une ou plusieurs des méthodes de communication suivantes :

¶ Mémoire partagée

¶ TCP/IP

¶ HTTP (pour l’interface Web du client d’administration)

¶ SNMP DPI

Remarque : Vous pouvez également interdire l’emploi de toute méthode de communicationen ajoutant l’option suivante dans le fichier d’options du serveur :

commmethod none

Cette option interdit aux utilisateurs de se connecter au serveur. Elle s’avèreutile lorsque vous souhaitez expérimenter des commandes de règles en toutesécurité.

Le présent chapitre explique également comment configurer le serveur Tivoli StorageManager et les clients pour qu’ils communiquent via un pare-feu. Reportez-vous à la section«Connexion au serveur Tivoli Storage Manager via un pare-feu» à la page 24 pour plusd’informations.

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Support d’adaptateurs réseauTivoli Storage Manager permet d’utiliser plusieurs adaptateurs réseau, laissant àl’administrateur la possibilité d’autoriser une ou plusieurs méthodes de communication. Cettefacilité permet à l’administrateur d’augmenter le débit du serveur, en proposant plusieursconnexions avec le même réseau, ou de desservir plusieurs réseaux distincts avec le mêmeserveur.

Hormis la méthode Mémoire partagée, les méthodes de communication du serveurpermettent l’utilisation de plusieurs adaptateurs réseau. Les procédures permettant despécifier l’emploi de plusieurs adaptateurs diffèrent selon les protocoles. Chaque adaptateurinstallé sur le système peut utiliser plusieurs protocoles.

TCP/IPLe serveur ne demande pas de configuration supplémentaire pour la prise en chargepar TCP/IP de plusieurs adaptateurs réseau. Chaque adaptateur doit être défini avecune adresse TCP/IP séparée. Ces adresses sont ensuite transmises aux clients pourleur fichier d’options. Le serveur acceptera les sessions établies à partir desadaptateurs ainsi définis. La limite du nombre de sessions est déterminée par lenombre total d’adaptateurs définis.

Définition des options de mémoire partagéeTivoli Storage Manager permet les communications en mémoire partagée entre clients etserveurs installés sur la même machine. Pour utiliser la mémoire partagée, vous devezinstaller TCP/IP sur la machine. Voici un exemple de configuration avec la méthode decommunication Mémoire partagée :

commmethod sharedmemshmport 1510

Dans cet exemple, SHMPORT indique l’adresse de port TCP/IP d’un serveur lorsqu’onutilise la méthode de communication Mémoire partagée. L’option SHMPORT permet despécifier un autre port TCP/IP pour l’écoute des clients. L’adresse de port par défaut est1510.

Pour éviter les erreurs de communication en mémoire partagée, au moins une desconditions suivantes doit être satisfaite :

¶ la strophe dsm.sys rattachée au client local doit comporter la chaîne“PASSWORDACCESS GENERATE” afin que l’agent dsmtca (TrustedCommunications Agent) s’exécute sous l’autorité de l’utilisateur racine ;

¶ l’utilisateur client doit avoir l’ID racine ;

¶ le client et le serveur doivent avoir le même ID utilisateur ;

¶ les droits d’accès des fichiers programme du client d’administration semodifient à l’aide des commandes suivantes :

cd /usr/tivoli/tsm/binchown root.system dsmadmchmod u+s dsmadmchown root.system dsmadmcchmod u+s dsmadmc

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Selon le logiciel AIX dont vous disposez, vous pourrez établir jusqu’à cinquante sessions decommunication simultanées en mémoire partagée avec Tivoli Storage Manager.

Définition des options TCP/IPVoici un exemple de configuration TCP/IP :

commmethod tcpiptcpport 1500tcpwindowsize 0tcpnodelay yes

TCPPORTest l’adresse de port du serveur TCP/IP. La valeur par défaut est 1500.

TCPWINDOWSIZEest la taille de la mémoire tampon TCP/IP utilisée pour envoyer ou recevoir lesdonnées. La taille de fenêtre utilisée dans une session est la plus petite des tailles defenêtre définies sur le serveur et sur le client. Des tailles de fenêtre supérieuresutilisent davantage de mémoire, mais peuvent augmenter les performances.

Vous pouvez entrer un nombre entier allant de 0 à 2048. Pour utiliser la taille defenêtre par défaut définie par le système d’exploitation, entrez 0.

TCPNODELAYindique si le serveur envoie les messages courts ou laisse TCP/IP les placer enmémoire tampon. L’envoi des messages courts permet d’améliorer le débit, maisaugmente le nombre de paquets transitant par le réseau. Entrez YES pour envoyerles messages courts ou NO pour que TCP/IP les place en mémoire tampon. Lavaleur par défaut est YES.

Définition des options HTTPLa méthode de communication HTTP est réservée à l’interface Web d’administration.L’utilisation de l’interface Web du client d’administration requiert l’activation du protocoleTCP/IP. Voici un exemple de configuration pour HTTP :

commmethod httphttpport 1580

HTTPPORT désigne l’adresse de port TCP/IP d’un serveur utilisant HTTP. La valeur pardéfaut est 1580.

Remarque : Si vous utilisez l’interface Web d’administration, vous devez en outre vousassurer que votre explorateur Web prend en charge Java version 1.1.6.

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Définition des options SNMPTSM installe un sous-agent SNMP (Simple Network Management Protocol). Vous pouvezconfigurer celui-ci pour qu’il envoie des demandes d’alerte à un gestionnaire SNMP, parexemple NetView, et pour qu’il prenne en charge une base d’informations de gestion (MIB).

Remarque : Pour plus d’informations sur la configuration de SNMP dans le cadre de TivoliStorage Manager, reportez-vous au manuel Administrator’s Guide.

Le sous-agent SNMP communique avec le démon snmpd qui communique, à son tour, avecune application de gestion. Le démon snmpd doit supporter le protocole DPI. Des agentssont disponibles sous AIX, Windows 95, Windows NT et OS/2.

Le processus du sous-agent est distinct de celui du serveur TSM même si le sous-agentobtient ses informations à partir du fichier d’options du serveur. Une fois activé, legestionnaire SNMP peut recevoir des données des serveurs TSM.

Voici un exemple de configuration avec la méthode de communication SNMP :

commmethod snmp

snmpheartbeatinterval 5snmpmessagecategory severity

.

Connexion au serveur Tivoli Storage Manager via un pare-feuDans la plupart des cas, le serveur Tivoli Storage Manager et les clients peuventcommuniquer via un pare-feu. Vous devez configurer le pare-feu de manière à ouvrir lesports requis par le serveur et les clients. Comme les modalités d’ouverture de port diffèrentselon les pare-feu, vous devez vous conformer aux instructions fournies avec votre dispositifmatériel ou logiciel. Si vous avez besoin d’aide, contactez le fournisseur de votre pare-feu.

Les opérations suivantes nécessitent l’ouverture de ports sur le pare-feu.

Deux scénarios sont possibles pour configurer le serveur et les clients de part et d’autre dupare-feu.

1. Si le serveur se trouve à l’intérieur du pare-feu et que les clients se trouvent à l’extérieur,vous devez utiliser la procédure suivante.

¶ Pour permettre aux clients de communiquer avec un serveur situé à l’intérieur dupare-feu, vous devez ouvrir le port TCP/IP du serveur (option TCPPORT du fichierd’options du serveur). Le port TCP/IP par défaut est 1500.

2. Si le serveur se trouve à l’extérieur du pare-feu et que les clients se trouvent à l’intérieur,vous devez octroyer des droits d’accès aux clients suivants selon le type de pare-feuutilisé.

¶ Vous devez permettre aux clients d’accéder au serveur situé à l’extérieur du pare-feu.Pour ce faire, vous pouvez être appelé à installer SOCKS sur votre système ou àconfigurer un routeur de bord qui achemine les données de façon transparente àtravers le pare-feu.

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¶ Pour utiliser l’interface Web d’administration avec le serveur à travers un pare-feu, vousdevez ouvrir le port HTTP du serveur (option HTTPPORT du fichier d’options duserveur). Le port HTTP par défaut est 1580.

Il est fortement recommandé d’utiliser Tivoli Storage Manager Secure WebAdministrator Proxy pour administrer le serveur Tivoli Storage Manager via le Web dansun environnement d’entreprise. Installez le relais Web sur un serveur Web situé sur lepare-feu, de sorte que ce dernier ait accès aux ressources situées de part et d’autre dupare-feu (cette zone est parfois appelée ″zone délimitarisée″). Après avoir configuré lerelais Web, vous pouvez l’utiliser pour administrer n’importe quel serveur TSMversion 3.7 ou ultérieure. Pour plus d’informations sur l’installation et l’utilisation d’unrelais Web, reportez-vous à la section «Définition de Secure Web Administrator Proxy» àla page 69. Vous pouvez également renforcer la sécurité au sein de cet environnement enactivant les services HTTPS (également appelés SSL, ou ″secure socket layer″) sur leserveur Web lorsque vous installez le relais Web. Pour plus d’informations sur cetteprocédure, reportez-vous à la documentation fournie avec votre serveur Web.

¶ Si vous utilisez le client Web de sauvegarde-archivage pour vous connecter à un clientvia un pare-feu, vous devez utiliser la version 4.1.2 ou ultérieure. Vous devez ouvrir lestrois ports suivants sur le pare-feu :

v Le port HTTP du client (option HTTPPORT du fichier d’options client). Le portHTTP par défaut du client est 1581.

v Les deux ports spécifiés à l’aide de l’option WEBPORTS dans le fichier d’optionsclient. Par défaut, les ports Web sont affectés de façon aléatoire, ce qui estincompatible avec un pare-feu. Vous devez spécifier cette option en affectant auxdeux ports des valeurs différentes de zéro, puis ouvrir ces ports sur le pare-feu.

Les opérations suivantes sont actuellement sources d’incidents dans les configurations detype pare-feu :

¶ Les clients de sauvegarde-archivage dont la version est antérieure à la 4.1.2 nefonctionnent pas lorsque le système client ou le serveur auquel ils se connectent estprotégé par un pare-feu.

¶ En mode par appel (PROMPTED), le planificateur client ne fonctionne pas lorsque leserveur est protégé par un pare-feu. En revanche, il fonctionne correctement en modepar interrogation.

¶ Le serveur ne peut pas journaliser des événements sur un serveur Tivoli EnterpriseConsole (T/EC) lorsqu’il est protégé par un pare-feu.

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Personnalisation de votre système TivoliStorage Manager

Vous avez à présent installé, configuré et démarré le serveur Tivoli Storage Manager, ainsique les clients d’administration. Le présent chapitre décrit les tâches de personnalisationsuivantes :

¶ «Augmentation de la taille de la base de données et du journal de reprise» à la page 28

¶ «Augmentation de la taille des pools de stockage sur disque» à la page 29

¶ «Ajout d’administrateurs» à la page 29

¶ «Ajout de clients de sauvegarde-archivage» à la page 30

¶ «Utilisation d’unités optiques ou de type bande» à la page 30

¶ «Création d’une règle» à la page 45

¶ «Appel du processus d’expiration» à la page 47

¶ «Création d’une liste d’inclusion et d’exclusion pour un client» à la page 48

¶ «Automatisation des opérations client» à la page 49

¶ «Automatisation des commandes d’administration» à la page 51

La personnalisation décrite ici n’englobe pas toutes les fonctions de Tivoli Storage Manager.Toutefois, elle permet de mettre au point un système à la fois souple et puissant, répondantaux besoins de la plupart des utilisateurs. Si le serveur que vous venez d’installer fait partied’un réseau de serveurs TSM, les tâches de personnalisation pourront en être affectées. Parexemple, il est possible que votre serveur reçoive ses informations de configuration par lebiais d’un serveur désigné comme gestionnaire de configuration. Ces informations peuventcomprendre des objets tels que des définitions d’administrateurs, de règles ou de serveurs.Inversement, votre serveur peut être désigné comme gestionnaire de configuration et, dans cecas, ce sont vos définitions qui seront transmises aux serveurs gérés du réseau. En outre, ilest possible que vous ayez à définir un ou plusieurs autres serveurs en plus du vôtre. Pourplus d’informations, reportez-vous au manuel Administrator’s Guide.

¶ Des exemples de tâches d’administration TSM sont fournis à la fois pourl’interface de ligne de commande et pour l’interface Web. Tous les exemplesrelatifs à l’interface Web commencent à la fenêtre Visualisation des objets.

¶ Les tâches décrites dans le présent chapitre ne peuvent être effectuées que si leserveur TSM est en cours d’exécution. Si ce n’est pas le cas, démarrez leserveur (voir la section «Démarrage et arrêt du serveur» à la page 16, pour laprocédure appropriée).

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Augmentation de la taille de la base de données et du journal dereprise

La procédure d’installation initiale crée par défaut un volume de base de données de 17 Mo(db.dsm) et un volume de journal de reprise de 9 Mo (log.dsm). L’espace disque est allouéaux bases de données et aux journaux de reprise par incréments de 4 Mo, avec 1 Mosupplémentaire disponible en cas de dépassement de capacité.

La taille de la base de données est déterminée principalement par le nombre de fichiersclient qui seront enregistrés dans l’espace de stockage du serveur. Elle doit être suffisantepour permettre l’enregistrement de l’équivalent d’une journée de sauvegarde de fichiersclients. A mesure que vous ajoutez des clients, vous pouvez être amené à augmenter la taillede la base de données. Selon l’utilisation du journal de reprise, sa taille peut aussi êtreaugmentée.

Pour augmenter la taille de la base de données ou du journal de reprise, procédez commesuit :

1. Formatez et définissez un volume de base de données de 500 Mo et un volume dejournal de reprise de 25 Mo, puis étendez la base de données et le journal de reprise entapant :

define dbvolume db2.dsm formatsize=500define logvolume log2.dsm formatsize=25

extend db 500extend log 25

OUFormatez et définissez le volume de base de données, puis développez la base dedonnées :

a. Développez Base de données.

b. Sélectionnez Volumes des bases de données.

c. Sous Opérations, sélectionnez Définition d’un volume de base de données.

d. Entrez les informations requises et cliquez sur Fin.

e. Revenez à Base de données et sous Opérations, sélectionnez Extension.

f. Entrez les informations requises et cliquez sur Fin.

Formatez, définissez et étendez le volume de journal de reprise :

a. Développez Journal de reprise.

b. Sélectionnez Volumes du journal de reprise.

c. Sélectionnez Définition d’un volume du journal de reprise.

d. Entrez les informations requises et cliquez sur Fin.

e. Revenez à Journal de reprise et sélectionnez Extension.

f. Entrez les informations requises et cliquez sur Fin.

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Augmentation de la taille des pools de stockage sur disqueLors de l’installation du serveur, les volumes de pool de stockage suivants sont créés :

Nom du pool destockage

Nom et taille du volume

BACKUPPOOL backup.dsm (8 Mo)ARCHIVEPOOL archive.dsm (8 Mo)SPACEMGPOOL spcmgmt.dsm (8 Mo)

Les volumes du pool de stockage sur disque doivent être au minimum suffisants pourpermettre l’enregistrement de l’équivalent d’une journée de sauvegarde de fichiers clients. Amesure que vous ajoutez des clients, vous pouvez être amené à augmenter la taille des poolsde stockage sur disque. Vous pouvez formater et définir d’autres volumes de pool destockage. Par exemple, pour créer un volume de 100 Mo, nommé sbkup01.dsm, dansBACKUPPOOL, procédez comme suit :

define volume backuppoolsbkup01.dsm formatsize=100

OU

1. Développez Espace de stockage du serveur.

2. Développez Pools de stockage.

3. Développez Pools de stockage sur disque.

4. Sélectionnez Volumes.

5. Sous Opérations, sélectionnez Définition d’un volume de pool de stockage sur disque.

6. Entrez les informations requises et cliquez sur Fin.

Ajout d’administrateursSi vous avez installé des clients d’administration supplémentaires, vous devez les enregistreret leur accorder à chacun un niveau d’autorisation. Pour plus d’informations sur les niveauxd’autorisation, reportez-vous au manuel Administrator’s Guide.

L’ID utilisateur SERVER_CONSOLE ne peut pas être employé par un autreadministrateur.

Par exemple, vous enregistrez un administrateur avec l’ID utilisateur MARK et le mot depasse MISSOURI et vous lui affectez des droits d’accès au système.

register admin mark missourigrant authority mark classes=system

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OU

1. Sélectionnez Administrateurs.

2. Sélectionnez Enregistrement d’un administrateur.

3. Entrez les informations relatives à l’administrateur et cliquez sur Fin.

Ajout de clients de sauvegarde-archivageVous êtes maintenant prêt à enregistrer tous les clients supplémentaires desauvegarde-archivage que vous avez installés. Par exemple, enregistrez le poste nomméMERCEDES avec le mot de passe MONTANA.

register node mercedes montana userid=none

OU

1. Sélectionnez Postes clients.

2. Sélectionnez Enregistrement d’un nouveau poste client.

3. Entrez les informations relatives au poste et cliquez sur Fin.

Deux commandes, DEFINE CLOPTSET et DEFINE CLIENTOPT, vous permettentde définir les options client affectant les opérations de sauvegarde, d’archivage, derestauration et de récupération. Reportez-vous aux manuels TSM Administrator’sGuide et Tivoli Storage Manager Installing the Clients pour plus d’informations.

Utilisation d’unités optiques ou de type bandeAvant d’utiliser des unités optiques et de bande avec TSM, vous devez :

1. connecter les unités à votre système, ce qui signifie relier physiquement les unités ausystème, configurer les gestionnaires d’unités et déterminer le nom des unités ;

2. définir une bibliothèque pour les unités, les unités, une classe d’unité et un pool destockage associé à la classe d’unité ;

3. inclure le pool de stockage dans la hiérarchie de stockage.

Vous pouvez effectuer ces tâches à partir de la ligne de commande Admin ou de l’interfaceWeb.

Cette section décrit les tâches suivantes :

¶ «Connexion d’un changeur automatique et de ses unités» à la page 34

¶ «Ajout d’une bandothèque manuelle» à la page 38

¶ «Ajout d’une bandothèque automatique» à la page 40

¶ «Préparation des volumes de bande» à la page 42

¶ «Migration de données du disque vers une bande» à la page 44

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Si vous souhaitez utiliser un système de gestion de bandes avec TSM, reportez-vous aumanuel Administrator’s Guide.

Les exemples de cette section définissent la configuration suivante :

¶ une bibliothèque manuelle comprenant deux unités de bande de 8 mm ;

¶ une bibliothèque de bandes de 8 mm automatique avec deux unités ;

¶ un pool de stockage sur bande associé à ces bibliothèques. Tous les pools de stockagesur disque transfèrent les données vers ce pool de stockage sur bande.

Si TSM doit utiliser une bandothèque contrôlée par ACSLS (StorageTek AutomatedCartridge System Library Software), vous devez définir la valeur de la variableCSI_HOSTNAME dans le fichier /opt/tivoli/tsm/devices/bin/rc.acs_ssi. Définissezaussi la variable d’environnement ACSLS_SERVER_HOSTNAME dans le fichier/etc/environment ou /etc/profile. Il ne sera pas nécessaire de réinitialiser cettevariable à la mise à jour suivante du produit.

Voici certains concepts qui vous aideront à configurer votre environnement debandes (pour plus de détails, reportez-vous au manuel Administrator’s Guide):

Migration du pool de stockage

Pour éviter que les pools de stockage sur disque ne soient saturés avec les donnéesclient, vous pouvez spécifier que ces données client doivent automatiquement êtretransférées vers le pool de stockage sur bande.

Le seuil supérieur de migration (valeur par défaut : 90%) détermine le moment dela migration. Le seuil inférieur de migration (valeur par défaut : 70%) déterminel’arrêt de la migration. Ainsi, par défaut, la migration des données du pool destockage sur disque démarre lorsque le pool est rempli à 90% et elle se poursuitjusqu’à ce que le taux de remplissage du pool soit inférieur ou égal à 70%.

Un autre paramètre par défaut détermine le placement en mémoire cache desdonnées (elles restent dans le pool de stockage) à l’issue de la migration. Lesdonnées en mémoire cache restent sur le disque, où elles sont plus rapidementaccessibles, jusqu’à ce que l’espace soit requis pour de nouvelles données.

Volumes scratch

Un volume scratch est un volume utilisable par TSM. Ce volume porte un label,peut être vierge ou ne pas contenir de données correctes, et n’est pas définivis-à-vis du serveur TSM. Vous devez indiquer le nombre de volumes scratch queTSM peut demander pour ce pool (paramètre MAXSCRATCH).

Collocation

Le terme collocation signifie que le serveur essaie de conserver les fichiers d’unclient sur le plus petit nombre possible de volumes de bande. Par défaut, ceparamètre est désactivé. Une fois que les clients ont commencé à enregistrer desdonnées dans un pool de stockage alors que la collocation était désactivée, il estdifficile de déplacer les données pour les loger dans le même emplacement. Pourcomprendre les avantages et inconvénients de la collocation, reportez-vous aumanuel Administrator’s Guide.

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Connexion d’unités et installation des gestionnaires d’unitésPour que TSM puisse utiliser une unité, vous devez connecter physiquement l’unité auserveur et installer le gestionnaire d’unités approprié sur le système. Les sections ci-dessousexpliquent comment effectuer ces opérations pour les unités d’une bibliothèque manuelle etpour les unités et le contrôleur d’une bibliothèque automatique.

Bandothèques, changeurs automatiques et unités de bande IBMInstallez le gestionnaire d’unités de bande IBM. Pour un IBM 3494, installez IBMTape Library Driver pour Sun Solaris, qui comprend le démon lmcp. Reportez-vousà la section «Installation de gestionnaires d’unités pour des unités de bandeIBM 3490, 3570 et 3590» à la page 35, à la section «Installation de gestionnairesd’unités pour des bibliothèques IBM 349X» à la page 36 et au manuel IBM SCSIDevice Drivers : Installation and User’s Guide.

Unités de bande et changeurs automatiques non IBMInstallez les gestionnaires d’unités TSM. Lors de l’installation de TSM, vous devezpréciser si vous souhaitez installer les gestionnaires d’unités TSM pour unités debande et changeurs automatiques. Pour savoir comment installer les gestionnairesd’unités reportez-vous à la section «Installation des gestionnaires d’unités» à lapage 35.

Unités optiquesInstallez les gestionnaires d’unités TSM.

Les gestionnaires sont lancés en même temps qu’AIX. Les unités doivent être sous tensionpour qu’AIX puisse les reconnaître.

Identification des noms d’unité dans Tivoli Storage ManagerPour identifier et utiliser les unités à support amovible, TSM requiert le nom de fichierspécial de l’unité. Une fois qu’une unité a été configurée, un nom de fichier logique estretourné sous la forme opx, mtx ou lbx, où x est une valeur numérique correspondant àl’instance de l’unité dans une classe donnée.

Lors de la configuration, un nom de fichier spécial d’unité est créé comme indiquéci-dessous. Dans ce tableau, x remplace un entier de 0 à 9.

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Nom de fichier spécial Description

/dev/mtx Utilisé par toutes les unités de bande non prises en charge par lesgestionnaires d’unités IBM

/dev/lbx Utilisé par la plupart des bibliothèques SCSI prises en charge parTSM

/dev/ropx Utilisé par tous les unités optiques prises en charge par TSM

/dev/rmtx Utilisé par le type d’unité GENERICTAPE et par les unités de bandeIBM 3570, 3590 et LTO

/dev/rmtx.smc Utilisé par la bibliothèque 3570

/dev/smc x Utilisé par les bibliothèques 35705 et LTO, et pour définir la fonctionACF (Automatic Cartridge Facility) de l’IBM 3590 B11 en tant quebibliothèque

/dev/lmcpx Utilisé par les bibliothèques de bandes automatiques 349X

Voici des exemples de noms de fichier spéciaux :

Tableau 4. Exemples de noms de fichier spéciaux d’unitésSi le nom logique est : Le nom de fichier spécial de l’unité est :

mt3 /dev/mt3

lb0 /dev/lb0

1op /dev/r1op

rmt1 Unité : /dev/rmt1

Changeur de support : /dev/rmt1.smc (3570)

rmt2 /dev/rmt2

lmcp0 /dev/lmcp0

Remarque : Vous devez connaître le nom de fichier spécial pour utiliser les commandesDEFINE DRIVE ou DEFINE LIBRARY. Le nom de fichier spécial correspondà la valeur que vous spécifiez pour le paramètre DEVICE= . Vous pouvez faireappel à l’outil SMIT pour obtenir le nom de fichier spécial.

Connexion des unitésAssurez-vous que les unités sont physiquement raccordées au système selon les instructionsdu fabricant.

Connexion des unités d’une bibliothèque manuelleVoici un aperçu de la procédure de connexion d’une unité d’une bibliothèque manuelle ausystème serveur :

1. Installez un adaptateur SCSI dans votre système, si cette opération n’a pas encore étéeffectuée.

2. Repérez les ID SCSI disponibles sur l’adaptateur SCSI auquel vous raccordez l’unité.Localisez un ID SCSI inutilisé pour chaque unité.

3. Suivez les instructions du fabricant afin de définir comme ID SCSI de l’unité l’IDinutilisé que vous avez repéré. En principe, cela consiste à basculer des commutateurs àl’arrière de l’unité.

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Remarque : Chaque unité connectée au sein d’une chaîne à un bus SCSI unique doitavoir un ID SCSI distinct. Si chaque unité ne possède pas son propre IDSCSI, vous pouvez avoir à faire face à de sérieux incidents.

4. Suivez les instructions du fabricant pour brancher l’unité sur le système serveur(matériel).

Attention :

a. Mettez le système hors tension avant tout branchement d’unité pour éviter toutdommage matériel.

b. Lorsque plusieurs unités en chaîne sont connectées à un adaptateur SCSI, vous devezinstaller un dispositif de terminaison sur la dernière unité. Des instructions détailléessont généralement fournies dans la documentation qui accompagne le matériel.

5. Installez le gestionnaire d’unités approprié.

6. Déterminez le nom de l’unité, nécessaire pour définir cette dernière vis-à-vis de TSM.Reportez-vous à la section «Identification des noms d’unité dans Tivoli StorageManager» à la page 32.

Connexion d’un changeur automatique et de ses unités

1. Installez un adaptateur SCSI dans votre système, si cette opération n’a pas encore étéeffectuée.

2. Repérez les ID SCSI disponibles sur l’adaptateur SCSI auquel vous raccordez l’unité.Localisez un ID SCSI inutilisé pour chaque unité, et un pour le contrôleur de bibliothèque oude changeur automatique.

Remarque : Dans certaines bibliothèques automatiques, les unités et le changeurautomatique partagent le même ID SCSI, mais possèdent des numéros de LUdifférents. Pour ces bibliothèques, un seul ID SCSI est nécessaire. Vérifiez ladocumentation accompagnant votre unité.

3. Suivez les instructions du fabricant afin de définir comme ID SCSI d’unités et de contrôleurde bibliothèque les ID inutilisés que vous avez repérés. En principe, cela consiste à basculerdes commutateurs à l’arrière de l’unité.

Remarque : Chaque unité connectée au sein d’une chaîne à un bus SCSI unique doit avoirun ID SCSI distinct. Si chaque unité ne possède pas son propre ID SCSI, vouspouvez avoir à faire face à de sérieux incidents.

4. Suivez les instructions du fabricant pour brancher l’unité sur le système serveur (matériel).

Attention :

a. Mettez le système hors tension avant tout branchement de l’unité pour éviter toutdommage matériel.

b. Lorsque plusieurs unités en chaîne sont connectées à un adaptateur SCSI, vous devezinstaller un dispositif de terminaison sur la dernière unité. Des instructions détaillées sontgénéralement fournies dans la documentation qui accompagne le matériel.

5. Installez les gestionnaires d’unités appropriés. Reportez-vous à la section «Connexiond’unités et installation des gestionnaires d’unités» à la page 32.

6. Repérez la feuille de configuration s’appliquant à votre unité.

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7. Déterminez le nom de l’unité, nécessaire pour définir ce dernier vis-à-vis de TSM, etreportez-le sur la feuille de configuration de l’unité.

Le nom d’unité de chaque unité a la forme /dev/mt/x. Le nom d’unité du contrôleur debibliothèque a la forme /dev/lb/x. Dans les deux cas, x est le numéro attribué au moment dela configuration de l’unité et de la bibliothèque par le gestionnaire d’unités.

Conservation des feuilles : Les informations que vous enregistrez sur les feuilles deconfiguration pourront vous aider pour la réalisationd’opérations telles que l’ajout de volumes à un changeurautomatique. Conservez-les pour pouvoir vous y référerultérieurement.

Installation des gestionnaires d’unitésCette section explique comment installer les gestionnaires d’unités disponibles.

Installation de gestionnaires d’unités pour des unités de bande IBM 3490,3570 et 3590

Pour les unités de bande IBM 3490, 3570 et 3590, reportez-vous au manuel IBM SCSIDevice Drivers : Installation and User’s Guide pour savoir comment installer lesgestionnaires d’unités.

Après avoir effectué la procédure décrite dans le manuel, vous recevrez un message dusystème :

¶ Si vous installez le gestionnaire d’unités d’une unité de bande IBM 3480 ou 3490, vousrecevrez un message (nom de fichier logique) ayant la forme :

rmtx Available

où x est un numéro. Notez la valeur x, automatiquement attribuée par le système.Servez-vous de ces informations pour compléter la zone Nom de l’unité de la feuille deconfiguration.

Par exemple, si le message est rmt0 Available, cela signifie que le nom de fichierspécial de l’unité est /dev/rmt0. Entrez /dev/rmt0 dans la zone Nom de l’unité dans lafeuille de configuration de l’unité. Indiquez toujours le préfixe /dev/ avec le nom fournipar le système.

¶ Si vous installez le gestionnaire d’unités d’un IBM 3570, 3575 ou 3590 modèle B11,vous recevrez un message ayant la forme :

rmtx Available

Notez la valeur x, automatiquement attribuée par le système. Le nom de fichier spécialde l’unité est /dev/rmt x. Le nom de fichier spécial du changeur de support(considéré par TSM comme la bibliothèque) est /dev/smcx (smc fait référence auchangeur de support SCSI).

Par exemple, si le message est rmt0, entrez /dev/rmt0 dans la zone Nom de l’unité dela feuille de configuration de l’unité. Entrez /dev/smc dans la zone Nom de l’unité de lafeuille de configuration de la bibliothèque (robotique). Indiquez toujours le préfixe/dev/ avec le nom fourni par le système.

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Remarque : Pour les unités comportant plusieurs unités (par exemple, IBM 3570modèle B12 ou B22, ou IBM 3575), vous n’avez besoin que d’un seulsmcx. Bien que vous receviez un .smc pour chaque unité rmt de labibliothèque, vous n’avez besoin que d’un seul smc pour la feuille deconfiguration de la bibliothèque TSM.

Installation de gestionnaires d’unités pour des bibliothèques IBM 349XPour un systèmeIBM 3494 ou 3495 Tape Library Dataserver, vous pouvez consulter soit lemanuel IBM SCSI Tape Drive, Medium Changer, and Library Device Drivers, soit le manuelIBM AIX Parallel and ESCON Channel Tape Attachment/6000 Installation and User’sGuide.

Après avoir effectué la procédure décrite dans le manuel, vous recevrez un message (nom defichier logique) ayant la forme :

lmcpx Available

où x est un numéro attribué automatiquement par le système. Servez-vous de cesinformations pour compléter la zone Nom de l’unité de la feuille de configuration.

Par exemple, si le message est lmcp0 Available, entrez /dev/lmcp0 dans la zone Nom del’unité de la feuille de configuration de la bibliothèque. Indiquez toujours le préfixe /dev/avec le nom fourni par le système.

Configuration d’un changeur automatique ou d’un gestionnaire d’unitésrobotisés pour une bibliothèque

Remarque : Utilisez la procédure de cette section pour configurer les changeurs automatiques etles gestionnaires d’unités robotisés, à l’exception des systèmes IBM 3494 etIBM 3495.

Le terme robotisé fait référence à une unité effectuant des opérations programmées oucommandé à distance.

Exécutez le programme SMIT afin de configurer le gestionnaire d’unités pour chaque changeurautomatique ou robot :

1. Sélectionnez Devices.

2. Sélectionnez TSM Devices.

3. Sélectionnez Library/MediumChanger.

4. Sélectionnez Add a Library/MediumChanger.

5. Sélectionnez TSM-SCSI-LB pour toute bibliothèque TSM prise en charge.

6. Sélectionnez l’adaptateur parent auquel vous raccordez l’unité. Ce numéro apparaît sous laforme 00-0X, où X correspond au numéro de la fente d’extension de l’adaptateur SCSI.

7. Lorsque vous y êtes invité, entrez l’adresse de connexion de l’unité que vous installez. Cetteadresse de connexion est un numéro à deux chiffres. Le premier chiffre correspond à l’IDSCSI (valeur que vous avez inscrite dans la feuille de configuration). Le second chiffrereprésente le numéro d’unité logique (LUN) SCSI de l’unité, en principe zéro, saufspécification contraire.

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Par exemple, l’adresse de connexion 40 correspond à un ID SCSI égal à 4 et à un LUN égalà 0. Si vous utilisez AIX version 4.1, l’adresse de connexion 4,1 correspond à un ID SCSIégal à 4 et à un LUN égal à 1. Une virgule (,) doit en effet séparer l’ID SCSI et le LUN.

8. Cliquez sur le bouton DO.

Vous recevez un message (nom de fichier logique) ayant la forme lbX Available. Notez lavaleur X, automatiquement attribuée par le système. Servez-vous de ces informations pourcompléter la zone Nom de l’unité de la feuille de configuration.

Par exemple, si le message est lb0 Available, entrez /dev/lb0 dans la zone Nom del’unité de la feuille de configuration. Indiquez toujours le préfixe /dev/ avec le nom fournipar SMIT.

Configuration d’unités de bande pour AIXLes unités de bande ne peuvent pas être partagées lorsque TSM est démarré. Elles nepeuvent être partagées que si l’unité n’a pas été définie vis-à-vis de TSM ou si TSM nefonctionne pas.

Remarque : La commande mksysb ne fonctionne pas si TSM et AIX partagent une ouplusieurs unités.

Pour pouvoir utiliser le gestionnaire d’unités de bande natif du système d’exploitationconjointement avec une unité SCSI, l’unité doit d’abord être configurée pour AIX, puis pourTSM. Ces étapes ne peuvent pas être inversées. Configurez d’abord l’unité pour AIX àl’aide des options suivantes de SMIT :

Sélect DevicesSelect Tape Drive

Select Add A Tape Drive

Pour définir les unités vis-à-vis de TSM, consultez la section «Configuration d’ungestionnaire d’unités pour unités de bande ou unités optiques».

Configuration d’un gestionnaire d’unités pour unités de bande ou unitésoptiques

Remarques :

1. Utilisez la procédure de cette section pour configurer les gestionnaires d’unités TSM pourunités de bande ou unités optiques, à l’exception des systèmes IBM 3490, 3570 et 3590.Reportez-vous à la section «Installation de gestionnaires d’unités pour des unités de bandeIBM 3490, 3570 et 3590» à la page 35.

2. TSM ne peut pas écrire sur des bandes tar ou dd, mais les unités tar ou dd peuvent écriresur des bandes TSM.

Exécutez le programme SMIT afin de configurer le gestionnaire d’unités pour chaque unité (ycompris les unités au sein de bibliothèques) comme suit :

1. Sélectionnez Devices.

2. Sélectionnez TSM Devices.

3. Sélectionnez Tape Drive ou Optical R/W Disk Drive, selon qu’il s’agit d’une unité debande ou d’une unité optique.

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4. Sélectionnez Add a Tape Drive ou Add an Optical Disk Drive, selon qu’il s’agit d’uneunité de bande ou d’une unité optique.

5. Sélectionnez TSM-SCSI-MT pour toute unité de bande prise en charge par TSM ouTSM-SCSI-OP pour toute unité optique prise en charge par TSM.

6. Sélectionnez l’adaptateur auquel vous raccordez l’unité. Ce numéro apparaît sous la forme00-0X, où X correspond au numéro de la fente d’extension de l’adaptateur SCSI.

7. Lorsque vous y êtes invité, entrez l’adresse de connexion de l’unité que vous installez. Cetteadresse de connexion est un numéro à deux chiffres. Le premier chiffre correspond à l’IDSCSI (valeur que vous avez inscrite dans la feuille de configuration). Le second chiffrereprésente le numéro d’unité logique (LUN) SCSI de l’unité, en principe zéro, saufspécification contraire.

Par exemple, l’adresse de connexion 40 correspond à un ID SCSI égal à 4 et à un LUN égalà 0. Si vous utilisez AIX version 4.1, l’adresse de connexion 4,1 correspond à un ID SCSIégal à 4 et à un LUN égal à 1. Une virgule (,) doit en effet séparer l’ID SCSI et le LUN.

8. Cliquez sur le bouton DO.

Le message que vous recevez ensuite varie selon que vous configurez une unité de bande ou uneunité optique.

¶ Si vous configurez le gestionnaire d’unités pour une unité de bande (sauf IBM 3480, 3490ou 3590), vous recevrez un message (nom de fichier logique) ayant la forme mtXAvailable. Notez la valeur X, automatiquement attribuée par le système. Servez-vous deces informations pour compléter la zone Nom de l’unité de la feuille de configuration.

Par exemple, si le message est mt0 Available, entrez /dev/mt0 dans la zone Nom del’unité de la feuille de configuration. Indiquez toujours le préfixe /dev/ avec le nom fournipar SMIT.

¶ Si vous configurez un gestionnaire d’unités pour une unité optique, vous recevrez unmessage ayant la forme opX Available. Notez la valeur X, automatiquement attribuée parle système. Servez-vous de ces informations pour compléter la zone Nom de l’unité de lafeuille de configuration.

Par exemple, si le message est op0 Available, entrez /dev/rop0 dans la zone Nom del’unité de la feuille de configuration. Indiquez toujours le préfixe /dev/r avec le nom fournipar SMIT.

Ajout d’une bandothèque manuelleDans l’exemple suivant, deux unités de bande 8 mm indépendantes sont ajoutées à TivoliStorage Manager. Comme un opérateur doit intervenir pour monter les bandes sur les unités,vous devez les définir vis-à-vis de TSM comme appartenant à une bandothèque manuelle.Vous pouvez vous servir de cet exemple comme modèle pour configurer d’autres unités detype bande ou d’autres unités optiques manuelles. Cet exemple présente la procédure depersonnalisation minimale. Pour aller plus loin dans le processus de personnalisation,reportez-vous aux sections référencées dans les différentes étapes.

Ces commandes, entrées dans l’ordre, permettent de définir une bandothèque manuelle :

DEFINE LIBRARYDEFINE DRIVEDEFINE DEVCLASSDEFINE STGPOOL

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1. Définissez une bandothèque manuelle et deux unités associées. La bibliothèque porte lenom BIBMANUELLE. Les deux unités, nommées UNITE1 et UNITE2, sont situées auniveau de l’adaptateur SCSI 0 et ont les ID SCSI 1 et 2.

define library bibmanuelle libtype=manualdefine drive bibmanuelle unite1 device=/dev/mt1define drive bibmanuelle unite2 device=/dev/mt2

OU

a. Développez Espace de stockage du serveur.

b. Développez Bibliothèques et unités.

c. Sélectionnez Bibliothèques manuelles.

d. Sous Opérations, sélectionnez Définition d’une bibliothèque manuelle.

e. Entrez les informations relatives à la bibliothèque et cliquez sur Fin.

f. Sous Bibliothèques et unités, sélectionnez Unités manuelles.

g. Sous Opérations, sélectionnez Définition d’une unité manuelle.

h. Entrez les informations relatives à l’unité et cliquez sur Fin.

2. Classez les unités par type d’unité. Il est conseillé de choisir un nom de classe d’unitéreprésentatif du type d’unité (par exemple, CLASSEBANDE).

define devclass classebande devtype=8mm -format=8500 library=bibmanuelle

OU

a. Développez Classes d’unité.

b. Sélectionnez Classe d’unité de type 8MM.

c. Sous Opérations, sélectionnez Définition d’une classe d’unité.

d. Entrez les informations relatives à la classe et cliquez sur Fin.

3. Définissez un pool de stockage nommé POOLBANDE pour la classe d’unité.

define stgpool poolbande classebande maxscratch=20

OU

a. Développez Espace de stockage du serveur.

b. Développez Pools de stockage.

c. Sélectionnez Pools de stockage à accès séquentiel.

d. Sous Opérations, sélectionnez Définition d’un pool de stockage à accès séquentiel.

e. Entrez les informations relatives au pool de stockage et cliquez sur Fin.

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Ajout d’une bandothèque automatiquePour l’exemple suivant, une bibliothèque Exabyte EXB-210 contenant deux unités estajoutée à TSM. Vous pouvez vous servir de cet exemple comme modèle pour configurerd’autres unités de bande automatiques. Cet exemple présente la procédure depersonnalisation minimale. Pour aller plus loin dans le processus de personnalisation,reportez-vous aux sections référencées dans les différentes étapes.

Ces commandes, entrées dans l’ordre, permettent de définir une bandothèque automatique :

DEFINE LIBRARYDEFINE DRIVEDEFINE DEVCLASSDEFINE STGPOOL

1. Définissez une bandothèque automatique et ses deux unités internes.

La bibliothèque est une Exabyte EXB-210, nommée BIBAUTO, dont le mécanisme SCSIse trouve au niveau de l’ID SCSI 3. Les deux unités, nommées UNITE5 et UNITE6, ontles ID SCSI 5 et 6. Les adresses d’élément des unités dans l’EXB-210 sont 82 et 83.

define library bibauto libtype=scsi device=/dev/lb3define drive bibauto unite5 device=/dev/mt5 element=82define drive bibauto unite6 device=/dev/mt6 element=83

OU

a. Développez Espace de stockage du serveur.

b. Développez Bibliothèques et unités.

c. Sélectionnez Bibliothèques automatiques.

d. Sous Opérations, sélectionnez Définition d’une bibliothèque automatique.

e. Entrez les informations relatives à la bibliothèque et cliquez sur Fin.

f. Sous Bibliothèques et unités, sélectionnez Unités automatiques.

g. Sous Opérations, sélectionnez Définition d’une unité automatique.

h. Entrez les informations relatives à l’unité et cliquez sur Fin.

Adresse d’élément

L’adresse d’élément est un numéro indiquant l’emplacement physique d’une unitéau sein d’une bibliothèque automatique. TSM a besoin de connaître cette adressed’élément pour connecter l’emplacement physique de l’unité à l’adresse SCSI del’unité. Lorsque vous définissez une unité, l’adresse d’élément n’est nécessaire quesi la bibliothèque automatique contient plusieurs unités.

2. Classez les unités de la bibliothèque par type d’unité. Il est conseillé de choisir un nomde classe d’unité représentatif du type d’unité (par exemple, CLASSEBANDE).

define devclass classebande devtype=8mm -format=8500 library=bibauto

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OU

a. Développez Classes d’unité.

b. Sélectionnez Classe d’unité de type 8MM.

c. Sous Opérations, sélectionnez Définition d’une classe d’unité.

d. Entrez les informations relatives à la classe et cliquez sur Fin.

3. Définissez un pool de stockage nommé POOLAUTO pour la classe d’unité.

define stgpool poolauto classebande maxscratch=20

OU

a. Développez Pools de stockage.

b. Sélectionnez Pools de stockage à accès séquentiel.

c. Sous Opérations, sélectionnez Définition d’un pool de stockage à accès séquentiel.

d. Entrez les informations relatives au pool de stockage et cliquez sur Fin.

Affichage d’informations relatives aux unitésAvant de poursuivre, vous pouvez consulter les résultats de vos définitions. Au besoin, vouspourrez modifier ces définitions à l’aide des commandes de mise à jour.

¶ Pour interroger les bibliothèques :

query library

¶ Pour interroger les unités :

query drive

¶ Pour interroger les classes d’unité :

query devclass format=detailed

¶ Pour interroger les pools de stockage :

query stgpool

OU

¶ Pour interroger les bibliothèques et unités :

1. Développez Espace de stockage du serveur.

2. Développez Bibliothèques et unités.

3. Sélectionnez :

v Bibliothèques manuelles ou Bibliothèques automatiques, puis les bibliothèquesque vous avez définies.

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v Unités manuelles ou Unités automatiques, puis les unités que vous avezdéfinies.

¶ Pour interroger les classes d’unité :

1. Développez Espace de stockage du serveur.

2. Développez Classes d’unité.

3. Sélectionnez Classes d’unité 8MM, puis les classes d’unité que vous avez définies.

¶ Pour interroger les pools de stockage :

1. Développez Espace de stockage du serveur.

2. Développez Pools de stockage.

3. Sélectionnez Pools de stockage à accès séquentiel, puis les pools de stockage quevous avez définis.

Préparation des volumes de bandeTSM ne peut utiliser les volumes de bande que s’ils ont reçu au préalable un label. Si voussouhaitez qu’un volume ne soit utilisé que lorsqu’il est appelé par son nom, vous devezdéfinir celui-ci dans TSM. Un volume défini est un volume privé, affecté à un pool destockage spécifique. Un volume non défini dans TSM est un volume scratch. Un pool destockage peut demander les volumes scratch disponibles tant qu’il n’a pas atteint le nombremaximal de volumes définis pour ce pool de stockage.

Préparation des volumes de bande avec une unité manuelleSi vous utilisez une seule unité de bande, vous pouvez envisager d’affecter des labels àplusieurs bandes dès maintenant.

1. A partir de la ligne de commande d’un client d’administration TSM, utilisez une unité dela bibliothèque nommée MANUAL pour attribuer à un volume le label DSM001 :

label libvolume manual dsm001

OU

a. Développez Espace de stockage du serveur.

b. Développez Bibliothèques et unités.

c. Sélectionnez Volumes d’une bibliothèque.

d. Sous Opérations, sélectionnez Attribution d’un label à un volume debibliothèque.

e. Entrez les informations relatives au volume et cliquez sur Fin.

2. Définissez tous les volumes devant être utilisés comme volumes privés. Par exemple,définissez le volume auquel vous venez d’attribuer un label :

define volume poolbande dsm001

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OU

a. Développez Pools de stockage.

b. Sélectionnez Pools de stockage à accès séquentiel.

c. Sélectionnez le pool de stockage de votre choix.

d. Sélectionnez Volumes.

e. Sous Opérations, sélectionnez Définition d’un volume à accès séquentiel.

f. Entrez les informations relatives au volume et cliquez sur Fin.

Préparation des volumes de bande avec une bibliothèque automatiquePour attribuer des labels aux bandes d’une bibliothèque automatique, sortez les bandes quevous ne souhaitez pas utiliser avec TSM et chargez les bandes qui doivent recevoir un label.

1. Utilisez la commande LABEL LIBVOLUME pour affecter un label aux volumes et lesenregistrer. A partir de la ligne de commande d’un client d’administration ADSM, lancezla recherche des volumes sans label de la bibliothèque automatique nommée AUTOLIBet affectez un label à ces volumes en fonction de leur code à barres :

label libvolume autolib search=yes labelsource=barcodecheckin=scratch

OU

a. Développez Espace de stockage du serveur.

b. Développez Bibliothèques et unités.

c. Sélectionnez Volumes d’une bibliothèque.

d. Sous Opérations, sélectionnez Attribution d’un label à un volume debibliothèque.

e. Entrez les informations relatives au volume et cliquez sur Fin.

2. Définissez tous les volumes devant être utilisés comme volumes privés.

define volume poolauto dsm001

OU

a. Développez Pools de stockage.

b. Sélectionnez Pools de stockage à accès séquentiel.

c. Sélectionnez le pool de stockage de votre choix.

d. Sélectionnez Volumes.

e. Sous Opérations, sélectionnez Définition d’un volume à accès séquentiel.

f. Entrez les informations relatives au volume et cliquez sur Fin.

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Inclusion d’une bande dans la hiérarchie des pools de stockageVous pouvez maintenant configurer TSM de sorte que les données client soient transféréesvers une bande. Pour effectuer un transfert de BACKUPPOOL vers POOLAUTO et deARCHIVEPOOL vers POOLBANDE, procédez comme suit :

update stgpool backuppool nextstgpool=poolautoupdate stgpool archivepool nextstgpool=poolbande

OU

1. Développez Espace de stockage du serveur.

2. Développez Pools de stockage.

3. Sélectionnez Pools de stockage sur disque.

4. Sélectionnez le pool à mettre à jour.

5. Sélectionnez Mise à jour d’un pool de stockage sur disque.

6. Entrez les informations relatives au pool de stockage et cliquez sur Fin.

Migration de données du disque vers une bandePour vérifier que les unités de bande sont correctement configurées, faites migrer lesdonnées à partir d’un pool de stockage sur disque. L’opération de migration requiert lemontage de bandes. Les messages de montage sont dirigés vers la file d’attente de messagesde la console et vers tout client d’administration ayant été démarré avec l’option modeconsole ou mode de montage.

Déclenchez la migration à partir d’un pool de stockage sur disque (BACKUPPOOL, parexemple) en affectant la valeur 0 aux seuils supérieur et inférieur de migration :

update stgpool backuppool highmig=0 lowmig=0

Une fois la migration effectuée, redonnez aux seuils leurs valeurs d’origine.

update stgpool backuppool highmig=90 lowmig=70

OU

Pour faire migrer les données à partir d’un pool de stockage sur disque et, à l’issue de lamigration, pour redonner aux seuils leurs valeurs d’origine, mettez à jour le pool destockage :

1. Développez Espace de stockage du serveur.

2. Développez Pools de stockage.

3. Sélectionnez Pools de stockage sur disque.

4. Sélectionnez le pool à mettre à jour.

5. Sélectionnez Mise à jour d’un pool de stockage sur disque.

6. Entrez les informations relatives au pool de stockage et cliquez sur Fin.

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Contrôle de la migration

La migration à partir du disque vers un pool de stockage sur bande faisant appel àdes ressources telles que les unités et les opérateurs, il peut être important pourvous de contrôler le moment où elle est effectuée. Pour ce faire, conservez un seuilde migration supérieur proche de 100 la plupart du temps, et diminuez cette valeurlorsque vous souhaitez déclencher la migration.

Lors de l’étape précédente, vous avez affecté la valeur 0 aux deux seuils demigration pour vérifier que la migration avait bien lieu. En conditions normales,vous ne souhaiterez pas forcément vider complètement le pool de stockage surdisque en choisissant un seuil de migration inférieur égal à 0 à chaque migration.En principe, il est d’usage de conserver un seuil de migration inférieur de 40%, etd’adopter un seuil de migration supérieur variant de 90% à 50%. Pour plusd’informations, reportez-vous au manuel Administrator’s Guide.

Création d’une règleLa règle TSM par défaut indique le mode de traitement des fichiers clients par TSM. Parexemple, elle spécifie que TSM conserve jusqu’à deux versions de sauvegarde de tout fichierexistant sur le client (pour plus de détails, reportez-vous à la section «Résultats del’installation et de la configuration» à la page xiv). Pour la plupart des clients, deux versionssont amplement suffisantes. Toutefois, si certains clients doivent conserver les dix dernièresversions, vous pouvez choisir l’une des méthodes suivantes :

¶ créer un nouveau domaine de règles et affecter les clients à ce domaine (procéduredécrite dans cette section) ;

¶ créer une nouvelle classe de gestion au sein du domaine de règles par défaut. La listed’inclusion et d’exclusion doit alors être mise à jour pour tous les clients affectés.

Enregistrement direct sur bande

Avec la règle par défaut, les fichiers des clients sont enregistrés directement surdisque. Vous pouvez également définir des règles permettant l’enregistrement directdes fichiers sur bande. Dans un groupe de paramètres, indiquez simplement le nomd’un pool sur bande comme destination. Notez cependant que si vous enregistrezdirectement sur bande, le nombre d’unités de bande disponibles limite le nombre depostes clients pouvant simultanément enregistrer des données.

Pour créer une règle, vous pouvez commencer par copier le domaine de règles STANDARD.Cette opération copie du même coup le jeu de règles associé, la classe de gestion et lesgroupes de paramètres. Vous pouvez alors assigner des clients au nouveau domaine.

1. Copiez le domaine de règles par défaut, STANDARD, vers le nouveau domaine de règlesNEWDOMAIN.

copy domain standard newdomain

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OU

a. Sélectionnez Domaines de règles.

b. Sélectionnez le domaine STANDARD.

c. Sous Opérations, sélectionnez Copie d’un domaine de règles.

d. Entrez les informations relatives au domaine et cliquez sur Terminer.

Cette opération copie le domaine de règles, ainsi que tous les jeux de règles, classes degestion et groupes de paramètres associés. Au sein du domaine de règles nomméNEWDOMAIN et du jeu de règles STANDARD, vous trouvez :¶ une classe de gestion nommée STANDARD ;¶ un groupe de paramètres de sauvegarde nommé STANDARD ;¶ un groupe de paramètres d’archivage nommé STANDARD.

Pour notre exemple, vous ne modifierez que le groupe de paramètres de sauvegarde.

2. Modifiez le groupe de paramètres de sauvegarde en indiquant que dix versions desfichiers sauvegardés doivent être conservées.

update copygroup newdomain standard standard standard -type=backup verexists=10

OU

a. Développez Domaines de règles, Jeux de règles, puis Classes de gestion.

b. Sélectionnez Groupes de paramètres de sauvegarde.

c. Sélectionnez le groupe de paramètres NEWDOMAIN STANDARD STANDARDSTANDARD.

d. Sous Opérations, sélectionnez Mise à jour d’un groupe de paramètres.

e. Entrez les informations relatives au groupe de paramètres, puis cliquez sur Terminer.

3. Validez et activez le jeu de règles STANDARD dans NEWDOMAIN.

validate policyset newdomain standardactivate policyset newdomain standard

OU

a. Développez Domaines de règles, puis sélectionnez Jeux de règles.

b. Sélectionnez le jeu de règles NEWDOMAIN STANDARD.

c. Sous Opérations, sélectionnez Validation d’un jeu de règles, puis cliquez surTerminer.

d. Sous Opérations, sélectionnez Activation d’un jeu de règles, puis cliquez surTerminer.

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Les situations suivantes génèrent un message d’avertissement lors de la validation :

¶ un pool de stockage de destination n’est pas défini ;

¶ la classe de gestion par défaut ne contient pas de groupe de paramètresd’archivage ou de sauvegarde ;

¶ le jeu de règles actif fait référence à une classe de gestion non définie dans lejeu de règles objet de la validation ;

¶ le jeu de règles actif contient des groupes de paramètres non définis dans le jeude règles nommé ;

¶ une classe de gestion spécifie qu’une version de sauvegarde doit exister pourqu’un fichier puisse être migré à partir d’un poste client, mais la classe degestion ne contient pas de groupe de paramètres de sauvegarde.

4. Assignez des postes clients au domaine de règles NEWDOMAIN soit en modifiant lespostes clients existants, soit en enregistrant de nouveaux postes. Par exemple, pourmettre à jour le poste client mercedes, choisissez l’une des méthodes suivantes :

update node mercedes domain=newdomain

OU

a. Développez Clients.

b. Sélectionnez Postes clients.

c. Sélectionnez le poste choisi.

d. Sous Opérations, sélectionnez Mise à jour de ce poste client.

e. Entrez les informations relatives au poste et cliquez sur Terminer.

TSM conservera désormais jusqu’a dix versions des fichiers sauvegardés du poste clientmercedes car il est assigné au domaine de règles NEWDOMAIN.

Appel du processus d’expirationLes fichiers arrivés à expiration ne sont supprimés du pool de stockage sur le serveur quelors du processus d’expiration. Vous pouvez déclencher ce processus de plusieurs manières :

¶ L’option serveur d’intervalle d’expiration permet de déterminer à quelle fréquence leprocessus d’expiration sera déclenché à partir de la mise en route du serveur. Par défaut,il s’agit d’un intervalle de 24 heures.

¶ Vous pouvez aussi entrer manuellement la commande EXPIRE INVENTORY aumoment de votre choix (voir l’exemple qui suit).

¶ Vous pouvez enfin prévoir que la commande EXPIRE INVENTORY soit lancéerégulièrement à une heure donnée (voir la section «Automatisation des commandesd’administration» à la page 51). Si vous planifiez le processus d’expiration, attribuez lavaleur 0 à l’option serveur d’intervalle d’expiration.

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expire inventory quiet=yes wait=no

OU

1. Sélectionnez Serveur.

2. Sélectionnez Statut du serveur.

3. Sous Opérations, sélectionnez Expiration de l’inventaire.

4. Sélectionnez les options choisies, puis cliquez sur Terminer.

Création d’une liste d’inclusion et d’exclusion pour un clientTout client peut exclure certains fichiers de certaines opérations régies par des règles ou, aucontraire inclure d’autres fichiers dans d’autres opérations. Pour ce faire, on utilise desinstructions dans une liste d’inclusion et d’exclusion ou, pour les clients UNIX, dans unfichier d’inclusion et d’exclusion. Par exemple, un fichier d’inclusion et d’exclusion peutexclure des fichiers système dont la restauration pourrait endommager le systèmed’exploitation. Il est également conseillé d’exclure les répertoires des clients et du serveur.Pour plus d’informations, reportez-vous au guide de l’utilisateur du client TSM approprié.

Vous pouvez définir des instructions d’inclusion et d’exclusion pour votre installation. Lesutilisateurs peuvent ajouter ces instructions à leur fichier d’options client (dsm.opt). Vouspouvez également définir ces instructions sous la forme d’un jeu d’options et affecter ce jeuaux postes clients lorsque vous les enregistrez ou les modifiez. Pour plus de détails sur lescommandes DEFINE CLOPTSET et DEFINE CLIENTOPT, reportez-vous aux manuelsAdministrator’s Guide et Administrator’s Reference.

Voici quelques exemples d’instructions d’inclusion et d’exclusion :

¶ Un utilisateur souhaite inclure tous les fichiers *.sct et *.drw du répertoire /eng/spec/dans la sauvegarde, mais exclure tous les autres fichiers de ce répertoire. L’utilisateur vaalors ajouter les instructions d’inclusion et d’exclusion suivantes :

exclude /eng/spec/*.*include /engspec/*.drwinclude /eng/spec/*.sct

TSM lit les instructions du bas vers le haut jusqu’à ce qu’il trouve unecorrespondance. Dans l’exemple précédent, aucune correspondance n’a été trouvéedans les instructions d’inclusion pour le fichier /eng/spec/proto.obj. TSM litl’instruction d’exclusion, trouve une correspondance et exclut le fichier.

¶ Pour un fichier ou un groupe de fichiers, l’utilisateur peut également remplacer la classede gestion par défaut :

exclude /eng/spec/*.*include /eng/spec/*.drw monthlyinclude /eng/spec/*.sct

Dans cet exemple,

v les fichiers *.sct sont liés à la classe de gestion par défaut ;

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v les fichiers *.drw sont liés à la classe de gestion mensuel ;

v tous les autres fichiers du répertoire spec sont exclus de la sauvegarde ou del’archivage.

Automatisation des opérations clientVous pouvez planifier le démarrage automatique de la plupart des opérations client, parexemple les sauvegardes. Les opérations suivantes peuvent être planifiées sur la plupart desclients :¶ sauvegardes, archivages, restaurations et récupérations dans TSM ;¶ commandes du système d’exploitation ;¶ macros (fichiers contenant des commandes du programme TSM et du système

d’exploitation).

Cette section vous aide à planifier les sauvegardes client pour trois postes clients enregistrésassignés au domaine de règles STANDARD : bill, mark et mercedes.

1. Planifiez une sauvegarde incrémentale et associez le planning aux clients. Le planning,nommé DAILY_INCR, est destiné au domaine de règles TSM par défaut, appeléSTANDARD. Il prévoit la sauvegarde dans le pool de stockage sur disqueBACKUPPOOL. Ce planning appelle une fenêtre de planning qui :¶ débute à la date de définition du planning (valeur par défaut) à 23 h 00 ;¶ dure 1 heure (valeur par défaut) ;¶ est répétée quotidiennement (valeur par défaut) ;¶ reste effective sans limite dans le temps (valeur par défaut).

define schedule standard daily_incr action=incremental -starttime=23:00

define association standard daily_incr bill,mark,mercedes

OU

a. Développez Automatisation.

b. Sélectionnez Plannings client.

c. Sous Opérations, sélectionnez Définition d’un planning.

d. Entrez les informations relatives au planning et cliquez sur Terminer.

e. Revenez à Plannings client.

f. Sélectionnez le planning de votre choix.

g. Sous Opérations, sélectionnez Définition d’une association.

h. Entrez les informations relatives à l’association et cliquez sur Terminer.

2. Lancez le planificateur client. Pour que les plannings soient activés pour un poste detravail, un utilisateur doit lancer le planificateur à partir du poste.

dsmc schedule

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Pour être sûr que le planificateur s’exécute sur les clients, il est possible d’inclurela commande SCHEDULE dans les commandes de démarrage du système client.

La liste d’inclusion et d’exclusion (fichier sur les clients UNIX) de chaque clientinflue également sur les fichiers qui sont sauvegardés ou archivés par les deuxplannings définis lors des étapes précédentes. Par exemple, si un fichier est exclude la sauvegarde par une instruction EXCLUDE, il ne sera pas sauvegardé lors del’exécution du planning DAILY_INCR.

3. Le planning DAILY_INCR étant exécuté quotidiennement, vous pouvez vous assurerqu’il fonctionne comme vous l’escomptez dès le lendemain du jour où vous l’avez définiet associé aux clients. Si le planning a fonctionné correctement, le statut sera Terminé.

query event standard daily_incr begindate=today-1

OU

a. Développez Automatisation.

b. Sélectionnez Plannings client.

c. Sélectionnez le nom du planning de votre choix.

d. Sous Opérations, sélectionnez Consultation d’événements client.

e. Entrez les informations requises et cliquez sur Terminer.

Vous pouvez limiter la consultation des événements aux plannings qui n’ont pasfonctionné comme prévu. Par exemple, vous pouvez lancer chaque jour lacommande suivante pour identifier les clients pour lesquels le planningDAILY_INCR n’a pas fonctionné correctement la veille.

query event standard daily_incr begindate=today-1 -exceptionsonly=yes

Les plannings dont l’exécution n’a pu être terminée ont le statut Echec, Manqué ou Interruption.

4. Vérifiez les résultats du planning DAILY_INCR sur l’un des clients auxquels ce planningest associé. Pour la plupart des clients, y compris les clients AIX, les informations liées àl’exécution d’un planning sont enregistrées dans le fichier dsmsched.log.

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Automatisation des commandes d’administrationVous avez la possibilité d’automatiser les tâches d’administration TSM en planifiant lescommandes d’administration. Ainsi, vous pouvez automatiser les commandes qui doiventêtre régulièrement exécutées ou qui nécessitent un traitement important ou d’autresressources système. Dans cette section, vous allez définir un planning permettantd’automatiser le processus d’expiration.

1. Définissez un planning nommé EXPPROC pour déclencher le processus d’expirationchaque nuit à 2 h 00.

Ce planning appelle une fenêtre de planning qui :¶ débute à la date de définition du planning (valeur par défaut) à 2 h 00 ;¶ dure 1 heure (valeur par défaut) ;¶ est répétée quotidiennement ;¶ prend effet immédiatement ;¶ reste effective sans limite dans le temps (valeur par défaut).

define schedule expproc type=administrative -cmd='expire inventory' active=yes starttime=02:00

OU

a. Sélectionnez Automatisation.

b. Sélectionnez Plannings des commandes d’administration.

c. Sous Opérations, sélectionnez Définition d’un planning.

d. Entrez les informations relatives au planning et cliquez sur Terminer.

2. Le planning EXPPROC étant exécuté quotidiennement, vous pouvez vous assurer qu’ilfonctionne comme vous l’escomptez dès le lendemain du jour où vous l’avez défini. Sile planning a fonctionné correctement, le statut sera Terminé.

query event expproc type=administrative begindate=today-1

OU

a. Sélectionnez Automatisation.

b. Développez Plannings des commandes d’administration.

c. Sélectionnez Consultation des tâches administratives.

d. Entrez les informations requises et cliquez sur Terminer.

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Protection des données de Tivoli Storage Manager et du clientLa base de données, le journal de reprise et les pools de stockage sont des éléments vitauxpour le fonctionnement du serveur. Si la base de données ou le journal de reprise sontinutilisables, c’est la totalité du serveur qui devient inexploitable. Si la base de données estperdue et ne peut être restaurée, toutes les données de sauvegarde, d’archivage et de gestionde l’espace de ce serveur sont perdues. Si un volume de pool de stockage est perdu et nepeut être restauré, toutes les données de ce volume sont également perdues.

Tivoli Storage Manager fournit un certain nombre de méthodes permettant de protéger lesdonnées, notamment par la sauvegarde des pools de stockage et de la base de données. Vouspouvez par exemple définir des plannings déclenchant les opérations suivantes :

¶ après la sauvegarde intégrale initiale de tous les pools de stockage, une sauvegardeincrémentale de ces pools de stockage est réalisée chaque nuit ;

¶ des sauvegardes complètes de la base de données sont réalisées chaque semaine ;

¶ des sauvegardes incrémentales de la base de données sont réalisées chaque nuit.

Par ailleurs, le gestionnaire de reprise (DRM), fonction en option de TSM, peut vous aider àréaliser de nombreuses tâches liées à la protection et à la récupération des données. Pourplus d’informations, reportez-vous au manuel Administrator’s Guide.

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Concepts Tivoli Storage Manager

La présente annexe décrit des concepts élémentaires de Tivoli Storage Manager, tels que lapersonnalisation des supports de stockage et des opérations d’automatisation. Tivoli StorageManager gère les supports de stockage sur la base d’une série de règles que vous pouvezpersonnaliser pour différents types de données et de groupes d’utilisateurs. Vous pouvezégalement automatiser certaines opérations comme les sauvegardes de base de données clientet serveur. Tivoli Storage Manager peut accroître votre productivité et éliminer les tâchesrépétitives, souvent source d’erreurs.

Gestion du stockage par le systèmeTivoli Storage Manager comprend les composants ci-dessous :

ServeurAssure la gestion de la mémoire pour les stations de travail des clients et gère unebase de données d’informations.

Vous pouvez définir des serveurs dans un réseau afin de centraliser leur gestion etéquilibrer les ressources de mémoire.

Espace de stockage du serveurContient des fichiers sauvegardés, archivés et migrés depuis les stations de travail.L’espace de stockage du serveur se compose de pools de supports à accès séquentielet direct.

Client d’administrationFournit une interface avec le serveur.

Client de sauvegarde-archivageFournit des services de sauvegarde et d’archivage aux stations de travail.

Gestionnaire d’espace Tivoli ou Client HSMFournit des services de gestion de l’espace aux stations de travail sur certainesplateformes.

Clients d’applicationAssurent la sauvegarde et la restauration des bases de données sélectionnées. Desclients d’application sont disponibles pour les bases de données SQL, Exchange,Oracle et Lotus Domino.

Migration de l’espace de stockage du serveurPour utiliser de manière plus efficace les ressources de mémoire, vous pouvez organiserl’espace de stockage du serveur sur un principe hiérarchique. Vous pouvez alors déciderquand les données seront migrées depuis les pools de stockage les plus rapides, mais aussiplus coûteux (cas des disques), vers des pools de stockage plus lents et plus économiques

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(cas des bandes). Vous pouvez également stocker les données sur un autre système TSM(reportez-vous au manuel Administrator’s Guide pour plus d’informations).

Règles de Tivoli Storage ManagerTSM confie les tâches ci-dessous aux utilisateurs de stations de travail :

SauvegardeCopie les fichiers dans l’espace de stockage du serveur pour éviter la perte dedonnées. Plusieurs versions d’un même fichier peuvent être stockées.

ArchivageCopie les fichiers dans l’espace de stockage du serveur pour les stocker à longterme.

Gestion de stockage hiérarchiqueLibère de l’espace mémoire en déplaçant les données vers l’espace de stockage duserveur. Le fichier initial est remplacé par un pointeur désignant son emplacementdans l’espace de stockage du serveur. Cette fonction est également appelée lagestion de l’espace ou migration.

Les règles sont définies par les administrateurs dans des objets tels que les domaines derègles, les jeux de règles, les classes de gestion et les groupes de paramètres d’archivage etde sauvegarde.

L’illustration ci-dessous montre comment TSM stocke les données des clients.

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�1� Un client sauvegarde, archive ou migre un fichier. Le fichier est lié à la classe degestion par défaut ou à une classe de gestion définie dans la liste d’inclusion etd’exclusion du client.

�2� Si, selon la classe de gestion, le fichier peut être sauvegardé, archivé ou géré parHSM, le client l’envoie au serveur avec ses données.

�3� Le serveur contrôle la classe de gestion ou le groupe de paramètres pour détermineroù, dans son espace de stockage, stocker le fichier en premier lieu.

Si le premier pool de stockage manque d’espace, le serveur examine le pool suivant dela hiérarchie et y stocke le fichier si l’espace disponible le permet.

�4� Le serveur stocke le fichier dans le pool de stockage approprié et enregistre lesinformations le concernant dans la base de données.

Lorsque les fichiers contenus dans l’espace de stockage du serveur sont migrés d’un poolvers un autre, le serveur actualise les informations de la base de données.

ExpirationUn fichier demeure dans l’espace de stockage du serveur jusqu’à son arrivée à expiration etl’exécution de la procédure d’expiration. Un fichier arrive à expiration en fonction descritères définis dans les règles de TSM. Par exemple, les règles de sauvegarde peuventautoriser l’existence de deux versions au plus d’un même fichier dans l’espace de stockagedu serveur. Si une troisième version de ce fichier est enregistrée, la version la plus ancienneprésente dans l’espace de stockage du serveur arrive à expiration. Les règles de sauvegarde

Figure 1. Comment TSM contrôle la sauvegarde, l’archivage et la gestion de l’espace

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peuvent également prévoir que si un fichier est supprimé du système de fichiers du client, ilarrivera à expiration au terme d’un délai de soixante jours par exemple.

La procédure d’expiration de TSM consiste à supprimer de la base de données les fichiersparvenus à expiration.

Unités et supports de stockageTSM représente les unités et supports de stockage physiques sous la forme d’objets définispar l’administrateur. Ces objets sont décrits ci-dessous.

BibliothèqueUne bibliothèque TSM se compose d’une ou de plusieurs unités (éventuellement desunités automatisées) présentant des caractéristiques de montage de supportidentiques.

Unité Chaque unité définie par TSM correspond à une unité utilisant un support optique oumagnétique.

Classe d’unitéChaque unité est associée à une classe d’unité qui spécifie son type et le mode degestion de ses supports. TSM possède une classe d’unité prédéfinie (DISK) pour lesunités à accès direct.

Pools de stockage et volumesUn pool de stockage est un regroupement identifié de volumes de stockage utilisantle même type de support. Un pool de stockage est toujours associé à une classed’unité. Par exemple, un pool de stockage sur bande 8 mm contient exclusivementdes volumes sur bande 8 mm. Un volume de pool de stockage est toujours associé àun pool de stockage déterminé.

La figure 2 à la page 57 décrit brièvement les relations unissant les éléments d’unenvironnement constitué par les unités physiques, les objets de stockage de TSM et lesclients TSM. Les chiffres ci-dessous renvoient à ceux de l’illustration.

�1� Lorsque les clients sont enregistrés, ils sont associés à un domaine de règles. Lesautres objets rattachés aux règles de TSM se trouvent dans ce domaine de règles.

�2�, �3�Lorsqu’un fichier est sauvegardé, archivé ou migré depuis un client, il est associé àune classe de gestion. La classe de gestion, et les groupes de paramètres d’archivageet de sauvegarde qu’elle contient, indiquent où les fichiers sont stockés et comments’effectue leur sauvegarde, leur archivage ou leur migration depuis un client (fichiersgérés par HSM).

�4�, �5�Les pools de stockage servent de destination aux fichiers sauvegardés, archivés ougérés par HSM. Les groupes de paramètres indiquent les pools de stockagecontenant les fichiers sauvegardés ou archivés. Les classes de gestion indiquent lespools de stockage contenant les fichiers gérés par HSM.

Les pools de stockage sont mappés sur les classes d’unité, qui décrivent les unités.Le pool de stockage contient des volumes dont le type d’unité est celui associé à laclasse d’unité. Par exemple, un pool de stockage mappé à une classe d’unité ayant letype d’unité 8MM contient uniquement des bandes 8mm.

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Toutes les unités doivent être associées à une classe d’unité précisant un typed’unité. Les unités de bandes nécessitent également une bibliothèque et une unitépour gérer les supports, notamment pour leur montage.

�6� Les fichiers d’abord stockés dans des pools de stockage sur disque peuvent ensuiteêtre migrés vers des pool de stockage sur bande si les pools sont définis dans unespace de stockage hiérarchique.

Figure 2. Vue d’ensemble

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Automatisation des tâches clientLes tâches client, telles que la sauvegarde ou l’archivage, peuvent être automatisées. Lafigure 3 montre les objets TSM utilisés pour automatiser ces opérations. Ces objets sontlistés ci-dessous :

Critères d’inclusion-exclusion définis sur chaque client TSMDéterminent quels fichiers sont sauvegardés, archivés ou gérés par HSM, et relientces fichiers aux classes de gestion.

Classe de gestionDétermine l’emplacement et le mode de gestion des fichiers client stockés.

PlanningDétermine le moment de l’exécution des opérations (par exemple, les sauvegardes).

Association définie entre le client et le planningDétermine les plannings exécutés pour un client.

Figure 3. Automatisation des tâches client

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Le client peut associer une classe de gestion à un fichier ou à une série de fichiers, ouutiliser la classe de gestion par défaut du domaine de règles. Le client indique une classe degestion en insérant une option INCLUDE dans sa liste ou son fichier d’inclusion etd’exclusion. Voir le point �A� dans la figure 3 à la page 58.

La classe de gestion contient des informations qui déterminent comment TSM gère lesfichiers que les clients sauvegardent, archivent ou migrent. Par exemple, la classe de gestioncontient le groupe de paramètres de sauvegarde et le groupe de paramètres d’archivage.Chaque groupe de paramètres désigne une destination ; un pool de stockage qui recevra lesfichiers sauvegardés ou archivés. Voir le point �E� dans la figure 3 à la page 58.

Les clients sont affectés à un domaine de règles lors de leur enregistrement. Les plannings,qui peuvent automatiser les opérations des clients, sont également associés à un domaine derègles. Voir le point �C� dans la figure 3 à la page 58. Pour automatiser les opérations desclients, vous devez définir des plannings pour un domaine. Vous définissez ensuite desassociations entre ces plannings et les clients dans le même domaine. Voir le point �B� dansla figure 3 à la page 58.

Pour qu’un planning s’exécute sur un client donné, la machine de ce client et le planificateurclient doivent être en cours d’exécution.

Les tâches client planifiées sont appelées des événements, et les informations relatives à cesévénements sont consignées dans la base de données de TSM. Voir le point �D� dans lafigure 3 à la page 58. Par exemple, vous pouvez interroger le serveur pour déterminer lesévénements planifiés qui ont été accomplis et ceux qui ont échoué.

Exploitation d’un réseau de serveurs Tivoli Storage ManagerPour stocker plus efficacement les données des clients, vous penserez peut-être qu’avoir desserveurs Tivoli Storage Manager proches des clients est la meilleure façon de repousser leslimites des réseaux en matière de largeur de bande. Ainsi, vous disposerez de serveurs àplusieurs endroits. TSM propose des fonctions facilitant la configuration, la gestion et lasurveillance des serveurs reliés à un réseau, avec une garantie de cohérence et d’efficacité.

TSM dispose de nombreuses fonctions permettant de gérer un réseau de serveurs. Vouspouvez ainsi :

¶ gérer et distribuer des données de configuration de serveur, telles que les règles, depuisun même gestionnaire de configuration vers plusieurs serveurs ;

¶ surveiller plusieurs serveurs et clients depuis le même serveur ;

¶ exécuter des commandes sur un serveur à destination d’autres serveurs ou groupes deserveurs ;

¶ utiliser l’espace de stockage d’un serveur pour les données d’un autre serveur.

L’accès à ces fonctions nécessite la licence d’utilisation des options Administrationd’entreprise, Réseau et Volumes virtuels inter-serveur.

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Utilisation des interfaces d’administration

La présente annexe contient les sections suivantes, qui expliquent comment utiliser lesinterfaces d’administration de Tivoli Storage Manager :¶ «Utilisation de l’interface Web d’administration»¶ «Utilisation de l’interface de ligne de commande du client d’administration» à la page 67

Utilisation de l’interface Web d’administrationVous pouvez exécuter des commandes Tivoli Storage Manager, afficher les donnéesd’administration du serveur et effectuer toutes les tâches administratives directement depuisl’interface Web. Pour plus d’informations sur le démarrage de l’interface Web, reportez-vousà la section «Démarrage et arrêt d’un client d’administration ou de l’interface Web» à lapage 16. Pour arrêter une session d’interface Web, sélectionnez Déconnexion dans le menudéroulant Options.

Remarque : Si vous utilisez l’interface Web d’administration, vous devez en outre vousassurer que votre explorateur Web prend en charge Java version 1.1.6. Nousvous conseillons d’utiliser Netscape version 4.06 ou ultérieure ou InternetExplorer version 4.01 ou ultérieure.

L’administration du serveur Tivoli Storage Manager se compose de quatre vuesprincipales :

¶ «Visualisation des opérations» à la page 63

¶ «Visualisation du réseau» à la page 64

¶ «Visualisation de la configuration» à la page 64

¶ «Visualisation des objets» à la page 65

Les sections suivantes donnent des détails concernant chaque vue.

La figure 4 à la page 62 montre les quatre vues principales de l’interface Web, la vueVisualisation des opérations étant partiellement développée.

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Le délai d’expiration par défaut d’une session de l’interface Web d’administrationest de 10 minutes. Passé ce délai, vous devez retaper votre nom d’administrateur etvotre mot de passe. Pour modifier ce délai, procédez comme suit à partir del’interface Web :

1. Développez Visualisation des opérations.

2. Développez Gestion de la sécurité.

3. Cliquez sur Délai d’authentification du Web.

Spécifiez un délai compris entre 0 et 9999 minutes. La valeur 0 indique que lasession n’arrive jamais à expiration.

Figure 4. Arborescence de l’interface Web d’administration

62 Version 4.2

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Visualisation des opérations

Utilisation desadministrateurs

Ajout, mise à jour et suppression d’un administrateurAttribution et révocation de privilèges d’administrateurAttribution ou révocation de privilèges d’administrateur

Utilisation des postesclient

Ajout, mise à jour et suppression d’un poste client

Automatisation destâches client

Définition, mise à jour et suppression d’un planning clientAssociation de postes client à un planningSuppression de postes client d’un planningRapport sur les événements planifiésOptimisation des paramètres de planification

Gestion de la base dedonnées et du journalde reprise

Visualisation détaillée de la base de donnéesAjout d’un volume à la base de donnéesExtension/réduction de la taille de la base de donnéesSuppression d’un volume de la base de donnéesAjout d’un volume de copie à la base de donnéesUtilisation du déclencheur d’espace de base de donnéesUtilisation du déclencheur de sauvegarde de base de donnéesSauvegarde d’une base de données

Visualisation détaillée du journal de repriseAjout / suppression d’un volume dans le journal de repriseExtension / réduction de la taille du journal de repriseAjout d’un volume de copie au journal de repriseUtilisation du déclencheur d’espace du journal de repriseDéfinition du mode du journal de reprise

Gestion de l’espace destockage du serveur

Consultation des pools de stockageConsultation des volumes d’un pool de stockageUtilisation des pools de stockage sur disque

Visualisation de tous les pools de stockage sur disqueDéfinition, mise à jour et suppression d’un pool de stockage sur disqueSauvegarde et restauration d’un pool de stockageDéfinition, mise à jour et suppression d’un volume de pool de stockage sur disqueTransfert de données vers un volume de pool de stockageMise en ligne / hors ligne d’un volumeRestauration d’un volume de pool de stockage sur disque

Utilisation de pools de stockage à accès séquentielVisualisation de tous les pools de stockage à accès séquentielDéfinition, mise à jour et suppression d’un pool de stockage à accès séquentielSauvegarde et restauration d’un pool de stockage à accès séquentielDéfinition, mise à jour et suppression d’un volume à accès séquentielTransfert de données vers un volume de pool de stockageRestauration d’un volume de pool de stockage à accès séquentiel

Utilisation de pools de stockage de type COPIEVisualisation de tous les pools de stockage de type COPIEDéfinition, mise à jour et suppression d’un pool de stockage de type COPIEDéfinition, mise à jour et suppression d’un volume à accès séquentielTransfert de données vers un volume de pool de stockage

Automatisationd’opérations

Définition, mise à jour, activation, désactivation et suppression d’un planning decommandes d’administrationVisualisation des tâches d’administration planifiéesDéfinition, mise à jour, changement de nom, copie, suppression et exécution d’un script

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Surveillance desopérations

Consultation du journal des activités du serveurConsultation d’enregistrements d’événement planifié clientVisualisation détaillée de la base de donnéesVisualisation des commandes émises par des administrateursVisualisation des sessions en cours sur le serveurVisualisation des processus en cours d’exécution sur le serveur

Gestion de la sécurité Paramètres d’authentification du serveurParamètres d’enregistrement ouvertActivation de sessions clientDésactivation de sessions clientParamètres d’expiration du mot de passe / Définition d’une limite d’ouverture de sessionincorrecte / Longueur minimale d’un mot de passeDélai d’authentification du WebVerrouillage/déverrouillage d’un poste client pour le rendre inaccessible/accessible auserveurVerrouillage/déverrouillage d’un administrateur

Optimisation desperformances

Nombre de fichiers client envoyés par transactionOptimisation du nombre d’octets transférés par transactionOptimisation du pool de mémoires tampons d’une base de données

Configurationcentrale

Définition/mise à jour des paramètres de ce serveurOpérations du gestionnaire de configurationDéfinition de ce serveur comme gestionnaire de configurationUtilisation des profils de configurationInformation des abonnés sur les changements

Opérations duserveur géré

Définition du serveur du gestionnaire de configurationDéfinition de la fréquence de mise à jour d’une configurationAffichage des profils disponibles pour enregistrementPréparation de l’enregistrement des informations du serveurPréparation de l’enregistrement des informations sur les règles de gestionUtilisation des enregistrements de profil

Visualisation du réseau

Autres serveurs Définition, mise à jour, suppression, exportation et importation d’autres serveurs

Postes client Enregistrement, mise à jour, suppression, exportation et importation de postes client

Groupes de serveurs Définition, suppression, mise à jour et changement de nom de groupes de serveursDéfinition, suppression et transfert de membres dans un groupe de serveursEnvoi d’une commande vers plusieurs serveurs

Envoi d’unecommande versplusieurs serveurs

Envoi d’une commande vers plusieurs serveurs

Visualisation de la configuration

Définition/mise à jourdes paramètres de ceserveur

Définition et mise à jour des paramètres du serveur (nom, mot de passe et adresse, parexemple)

Opérations dugestionnaire deconfiguration

Définition de ce serveur comme gestionnaire de configurationUtilisation des profils de configurationInformation des abonnés sur les changements

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Opérations duserveur géré

Définition du serveur du gestionnaire de configurationDéfinition de la fréquence de mise à jour d’une configurationAffichage des profils disponibles pour enregistrementPréparation de l’enregistrement des informations du serveurPréparation de l’enregistrement des informations sur les règles de gestionUtilisation des enregistrements de profil

Objets deconfiguration

Paramètres de configurationProfils de configurationAdministrateurs gérésDomaines de règles gérésPlannings de commandes gérésScripts gérésJeux d’options gérésDéfinitions de serveurs gérésGroupes de serveurs gérésAbonnésAbonnements aux profils

Visualisation des objets

Administrateurs Enregistrement, mise à jour, suppression, changement de nom, exportation, importation,verrouillage et déverrouillage des administrateursAttribution / révocation de droits d’administrateurAttribution / révocation de droits client

Clients Postes clientEspaces fichiersJeux de sauvegardesJeux d’options clientOptions clientEspaces fichiersJeux de sauvegardes

Serveur Statut du serveurOptions du serveurInformations relatives à la licenceJournal des activitésProcessusSessionsSessions de restauration réitérablesHistorique d’un volumeConsultation, sauvegarde, suppression et mise à jour de l’historique d’un volumeAutres serveursGroupes de serveursMembres d’un groupe de serveurs

Base de données Volumes des bases de donnéesDéclencheur de sauvegardeDéclencheur d’espace de base de données

Journal de reprise Volumes du journal de repriseDéclencheur d’espace de journal de reprise

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Automatisation Scripts du serveurPlannings des commandes d’administrationConsultation des tâches administrativesSuppression d’événementsPlannings clientAssociationsConsultation d’événements clientSuppression d’événementsPlannings d’opérations à exécuter immédiatementConsultation d’événements clientSuppression d’événements

Domaines de règles Jeux de règlesClasses de gestionGroupes de paramètres de sauvegardeGroupes de paramètres d’archivagePostes clientEspaces fichiersJeux de sauvegardesPlannings clientAssociationsConsultation d’événements clientSuppression d’événements

Espace de stockagedu serveur

Pools de stockagePools de stockage sur disqueVolumesPools de stockage à accès séquentielVolumesPools de stockage de type copieVolumesConsultation des pools de stockageConsultation des volumes d’un pool de stockageClasses d’unitéBibliothèques et unités

DRM Statut du DRMMachine DRMMachine DRMAssociation d’un poste client à une machine DRMSupport de reprise DRMAssociation d’une machine à un support de reprise DRMSupport de reprise hors site DRMFichier de plan de reprise DRMCréation / consultation des fichiers de plan de reprise

Agents de stockage Définition, mise à jour et suppression d’affectations d’unités

66 Version 4.2

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Utilisation de l’interface de ligne de commande du clientd’administration

L’interface de ligne de commande du client d’administration permet à l’administrateur decontrôler et de surveiller le serveur au moyen de commandes administrateur. Pour plusd’informations sur l’utilisation de l’interface de ligne de commande, reportez-vous aumanuel Administrator’s Reference.

Lancez l’interface de ligne de commande en entrant la commande dsmadmc.

Utilisation du mode interactifPour entrer une série de commandes d’administration, lancez le client d’administration enmode interactif avec la commande suivante :

dsmadmc

Vous êtes invité à saisir votre ID utilisateur et votre mot de passe. Si vous voulez évitercette étape, vous pouvez aussi entrer l’ID utilisateur et le mot de passe directement avec lacommande DSMADMC en utilisant les options -ID et -PASSWORD. Par exemple, entrez :

dsmadmc -id=jules -password=secret

Pour arrêter une session de client d’administration en mode interactif, utilisez la commandeQUIT :

quit

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Définition de Secure Web AdministratorProxy

Tivoli Storage Manager Secure Web Administrator Proxy permet à l’interface Webd’administration TSM d’extraire des pages Web en toute sécurité sans nuire auxperformances du serveur. Un relais Web (Web proxy), installé sur un autre serveur Web quele serveur Tivoli Storage Manager, traite les demandes d’images et de pages HTML del’interface Web d’administration. Un serveur Web est capable de traiter les demandes deplusieurs serveurs Tivoli Storage Manager de différentes plateformes comme le montre lafigure 5.

Pour configurer un relais Web, vous procéderez généralement comme suit :

1. Installez un serveur Web. Ce serveur peut être l’une des plateformes suivantes : AIX,HP-UX, Sun Solaris ou Windows NT/2000. Le serveur Web peut offrir des services auxserveurs Tivoli Storage Manager sous AIX, HP-UX, Sun Solaris, Windows NT/2000 etMVS.

Remarque : N’installez pas le serveur Web et le serveur Tivoli Storage Manager sur lamême machine afin de bénéficier pleinement des améliorations deperformances que procure l’utilisation d’un serveur Web.

Figure 5. Tivoli Storage Manager et le relais Web

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2. Installez le relais Web et les fichiers d’aide (images GIF et fichiers HTML).

3. Spécifiez une URL qui inclut le répertoire CGI (Common Gateway Interface) pourpermettre au serveur Web d’accéder à l’interface Web d’administration.

Le relais Web se connecte à Tivoli Storage Manager en tant que client, sécurise la connexionet extrait des pages Web ou soumet des formulaires. Le serveur TSM répond avec les pagesHTML demandées et redirige les adresses URL des pages vers le relais Web. Lorsque lerelais Web reçoit la réponse, il transmet les informations au serveur Web. Le progiciel SSL(Secure Socket Layer) du serveur Web code les informations et les renvoie au navigateurWeb.

Conditions préalablesPour installer, configurer et utiliser le relais Web, il vous faut :

¶ Un serveur Web avec :

v 20 Mo d’espace pour installer le programme de base et la version en anglais desfichiers d’aide du relais Web. Si vous installez d’autres langues, vous aurez besoin deplus d’espace.

Remarque : L’assistant d’installation et de configuration ne vérifie pas l’espacedisque disponible.

v Définir la Couche de sockets sécurisées (SSL).

v Le support de l’interface CGI (Common Gateway Interface) version 1.0 ouultérieure.

v Le support Java Development Toolkit (JDK) ou Java Runtime Environment (JRE)version 1.1.6 ou ultérieure. Pour vous procurer JDK ou JRE, consultez le site Webhttp://www.javasoft.com .

¶ Un administrateur Tivoli Storage Manager enregistré dépourvu de droits.

¶ Les méthodes de communication définies pour TCP/IP et HTTP dans le fichier d’optionsdu serveur Tivoli Storage Manager.

Remarque : La méthode de communication HTTPS, requise pour SSL sous ADSMversion 3, n’est pas nécessaire pour le relais Web et n’est pas prise encharge par Tivoli Storage Manager.

Installation de Secure Web Administrator ProxyLes fichiers du relais Web se trouvent dans le répertoire swap du CD-ROM libellé TivoliStorage Manager Secure Web Administrator Proxy. Ce CD-ROM est livré avec TivoliStorage Manager. Il contient aussi les versions HTML de toutes les publications relatives auserveur et au client Tivoli Storage Manager, regroupées dans un fichier zip auto-extractible.

Pour installer et configurer le relais Web, procédez comme suit :

1. Définissez une variable d’environnement nommée JAVA_HOME (respectez lesmajuscules), qui pointe sur le répertoire de base de l’installation Java. Par exemple :

¶ Sous Windows NT ou 2000 :set JAVA_HOME=c:\jdk116

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¶ Sous UNIX :export JAVA_HOME=/usr/jdk_base

2. Si vous téléchargez les fichiers du relais Web depuis le site FTP, placez-les dans l’un desrépertoires du serveur Web.

3. Modifiez les répertoires en fonction de l’emplacement des fichiers.

4. Cliquez sur le fichier Setup ou tapez Setup sur une ligne de commande.

5. Lorsque l’assistant démarre, entrez simplement les informations demandées.

¶ Vous devez connaître les chemins d’accès au répertoire cgi-bin et au répertoire htmldu serveur Web. Par exemple, le répertoire racine du serveur Web peut être e:\web etcontient deux répertoires, cgi-bin et html. Lorsque l’assistant vous demanded’indiquer les noms des répertoires, entrez e:\web\cgi-bin et e:\web\html.

Remarque : Les répertoires cgi-bin et html peuvent être associés à d’autresemplacements à l’aide de liens symboliques. Le serveur Web résoudrales liens symboliques.

¶ Vous devrez entrez l’ID et le mot de passe d’administrateur Tivoli Storage Managerréservés au relais Web. Pour des raisons de sécurité, n’accordez aucun droit à cetadministrateur. Vous pouvez enregistrer cet administrateur une fois le relais Webconfiguré.

¶ Si vous prévoyez que le relais Web ne servira qu’un seul serveur Tivoli StorageManager, nous vous conseillons d’indiquer comme valeurs par défaut l’adresseTCP/IP et le numéro de port de ce serveur. Si le relais Web doit servir un réseau deserveurs d’administration d’entreprise, prenez l’adresse TCP/IP et le numéro de portdu gestionnaire de configuration comme valeurs par défaut.

Configuration de Secure Web Administrator ProxyUne fois le relais Web installé, effectuez les opérations suivantes sur chaque serveur TivoliStorage Manager à connecter au serveur Web :

1. Vérifiez que l’ID et le mot de passe d’administrateur indiqués dans l’assistant (voir étape5 à la page 71) sont enregistrés sur le serveur Tivoli Storage Manager. Par exemple, pourenregistrer l’administrateur PROXY avec le mot de passe PROXY, procédez commesuit :

register admin proxy proxy

Remarque : N’accordez aucun droit à l’administrateur. Lui en accorder risquerait decompromettre la sécurité du système Tivoli Storage Manager.

2. Définissez les adresses de niveau supérieur et de niveau inférieur du serveur TivoliStorage Manager. Par exemple, pour définir l’adresse de niveau supérieureTSM.TUCSON.XYZ.COM et l’adresse de niveau inférieur 1500, procédez comme suit :

set serverhladdress tsm.tucson.xyz.comset serverlladdress 1500

3. Lancez le relais en entrant l’adresse URL indiquée à l’assistant (voir étape 5 à la page71). Par exemple :http://web/cgi-bin/dsmproxy

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Si vous aviez défini les adresses de niveau supérieur et de niveau inférieur (voir étape 2à la page 71), l’écran d’ouverture de session de l’interface Web d’administrations’affiche. Si vous ne les aviez pas définies, un formulaire vous demandant d’indiquer unemplacement s’affiche.

Désinstallation de Secure Web Administrator ProxyLa procédure d’installation du relais Web place l’assistant de désinstallation dans le mêmerépertoire que les fichiers de support, c’est-à-dire dans le sous-répertoire HTML durépertoire tivoli/tsm/swap/. Par exemple, si le serveur Web se trouve dans e:\www\html,l’assistant de désinstallation est placé dans e:\www\html\tivoli\tsm\swap. Pour démarrerl’assistant de désinstallation, entrez la commande suivante en respectant les majuscules etminuscules :Uninstall

Si vous entrez cette commande depuis le répertoire tivoli/tsm/swap/, l’assistant commence àsupprimer les fichiers. Si vous entrez cette commande depuis un autre répertoire, l’assistantvous demande d’indiquer l’emplacement du répertoire HTML. L’assistant repère ensuite lesfichiers installés et détermine comment supprimer le relais Web.

Résolution des incidents dans Secure Web Administrator Proxy¶ Des images tronquées incomplètes s’affichent ou vos demandes de fichiers d’aide se

traduisent par l’affichage d’un message indiquant que la page n’a pas été trouvée.

1. Vérifiez les droits d’accès aux fichiers. Le droit d’accès par défaut sous UNIX est644, qui permet au propriétaire d’accéder au fichier en lecture et en écriture et auxautres uniquement en lecture.

2. Consultez le journal des erreurs du serveur Web et vérifiez si l’emplacement indiquépour le fichier est correct. Si le fichier ne se trouve pas à l’emplacement indiqué,ajoutez un alias dans le fichier de configuration du serveur Web. Par exemple, sur leserveur Web Apache, le répertoire tivoli/tsm/swap/ se trouve dans/www/tivoli/tsm/swap/ . Pour régler le problème, ajoutez la ligne suivante dans lefichier httpd.conf :Alias /StorageFiles "/www/StorageFiles"

¶ Une demande initiale renvoie deux messages d’erreur indiquant que le relais Webn’a pas pu se connecter à xxx : Sur la console Tivoli Storage Manager, définissez lesadresses de niveau supérieur et de niveau inférieur du serveur. Voir l’étape 2 à la page71.

¶ Le relais Web signale que le mot de passe ou l’ID indiqué est incorrect : Vérifiezque le mot de passe et l’ID de l’administrateur du relais Web ont été définis sur leserveur. L’option ?configure permet de mettre le mot de passe à jour sur le relais Web.Pour utiliser cette option, ajoutez ?configure à la fin de l’URL dsmproxy. Par exemple :http://webserver.tucson.ibm.com/cgi-bin/dsmproxy?configure

¶ ?configure ou les liens de l’interface Web d’administration ne fonctionnent pas :Attribuez au relais la même adresse URL de CGI que le serveur Web. Par exemple :dsmproxy -cgiURL=http://webserver.tucson.ibm.com/cgi-bin

¶ Pour vous connecter à un autre serveur que le serveur par défaut : Ajoutez ?jump àla fin de l’adresse URL. Par exemple :http://webserver.tucson.ibm.com/cgi-bin/dsmproxy?jump

72 Version 4.2

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¶ Le relais Web signale que l’ID d’administrateur est verrouillé : Déverrouillez l’IDd’administrateur avec la commande UNLOCK ADMIN.

¶ Le relais Web signale une erreur interne : Pour lancer le traçage sur le relais Web,choisissez l’une des méthodes suivantes :

v Ajoutez l’option FORCETRACE à la demande Web. Voici un exemple de demandeWeb :http://webserver.tucson.ibm.com/cgi-bin/dsmproxy?SERVER=tsm:1500&URL=1500

Pour activer le traçage de cette demande, indiquez FORCETRACE avant de spécifierle nom du serveur :http://webserver.tucson.ibm.com/cgi-bin/dsmproxy?FORCETRACE&SERVER=tsm:1500&URL=1500

Les informations de traçage sont placées dans un fichier nommé proxytrace.txt,enregistré dans le répertoire cgi-bin du serveur Web.

v Depuis la ligne de commande, lancez la commande suivante dans le répertoirecgi-bin du serveur Web où dsmproxy a été installé :dsmproxy -trace=proxytrc.txt

Le relais ajoute alors les informations de traçage au fichier proxytrc.txt. Vous pouvezattribuer au fichier de trace le nom qui vous convient.

¶ ?configure signale une erreur lors de la mise à jour de la configuration via le Web :Cet incident se produit généralement sur des systèmes UNIX en cas d’erreur relative auxdroits d’accès aux fichiers. Sous UNIX, mettez à jour les droits d’accès au fichier/etc/dsmproxy.cfg. Sous Windows NT ou 2000, les options sont stockées dans le registre.

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Support de langue nationale

La présente annexe traite du support de langue nationale du serveur Tivoli Storage Manager.Le Support de langue nationale (NLS) permet au serveur d’afficher les messages et l’aidedans d’autres langues que l’anglais. Il permet également l’utilisation de conventionsnationales pour la date, l’heure et les formats numériques. Les langues prises en charge sontles suivantes :

¶ Portugais/brésilien (pt_BR)

¶ Chinois simplifié (zh_CN)

¶ Chinois traditionnel (zh_TW)

¶ Chinois traditionnel Big 5 (Zh_TW)

¶ Anglais (en_US)

¶ Français (fr_FR)

¶ Allemand (de_DE)

¶ Italien (it_IT)

¶ Japonais (ja_JP et Ja_JP)

¶ Coréen (ko_KR)

¶ Espagnol (es_ES)

La procédure d’installation du serveur via SMIT installe automatiquement la langue définiepar la variable d’environnement LANG. Vous pouvez installer une autre langue à l’aide de laprocédure d’installation sélective. Quelle que soit la langue choisie, vous devez installerégalement le support de l’environnement de langue approprié.

¶ Installation sélective : Pendant l’installation, utilisez l’option “Installation / Mise à jourde tous les logiciels disponibles” pour afficher tous les jeux de fichiers et choisissezceux correspondant aux langues souhaitées. Vous pouvez également utiliser SMIT, unefois l’installation terminée, pour modifier la sélection de la langue. Reportez-vous à lasection «Procédure d’installation du support de langue nationale par SMIT» à la page 76.

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Pour activer le support d’une langue nationale précise, procédez comme suit :

¶ Définissez la variable d’environnement LANG. Par exemple, pour définir cette variablepour l’italien, entrez :export LANG=it_IT

¶ Attribuez à l’option LANGUAGE du fichier d’options du serveur le nom de la languenationale à utiliser. Par exemple, pour utiliser l’environnement local it_IT, affectez àl’option LANGUAGE la valeur it_IT. Si l’environnement local sélectionné s’initialiseconvenablement, la date, l’heure et le format numérique en vigueur sur le serveur serontcontrôlés par cet environnement local. Les valeurs définies pour la date, l’heure et leformat numérique dans le fichier d’options du serveur ne seront plus utilisées. Si lalangue sélectionnée ne s’installe pas normalement, les fichiers de messages en anglais etla date, l’heure et le format numérique conservent les formats définis dans le fichierd’options du serveur.

La console du serveur utilise l’environnement local/la langue définis par la variableLANGUAGE des options du serveur. Toutefois, si un client d’administration ADSM seconnecte au serveur et spécifie un environnement local autre que celui défini sur leserveur, ce dernier essaie d’initialiser l’environnement local du client d’administrationpour lui renvoyer les messages.

Pour utiliser une langue autre que celle définie lors de l’installation, ou pour ajouter latraduction des messages de TSM et de l’aide en ligne, reportez-vous à la section qui suit,«Procédure d’installation du support de langue nationale par SMIT».

Procédure d’installation du support de langue nationale par SMITSuivez la procédure suivante pour utiliser SMIT afin de réaliser l’installation et laconfiguration requises pour modifier la langue sélectionnée ou en ajouter une. Dans le casd’une mise à jour d’ADSM à Tivoli Storage Manager, consultez la section «Migration versTivoli Storage Manager version 4.2» à la page 2.

1. Connectez-vous en qualité de superutilisateur.

Remarque : SMIT peut être lancé depuis une ligne de commande ou depuisl’environnement X Windows.

2. A partir du bureau, entrez :

smit

3. Sélectionnez les options SMIT suivantes pour installer, modifier ou ajouter une langue.

Installation et maintenance de logicielInstallation / Mise à jour de logiciel

Installation / Mise à jour de logiciel (installation personnalisée)Installation / Mise à jour de tous les logiciels disponibles

Sélectionnez les options et, si nécessaire, passez à l’étape 4 à la page 7 de la procédured’installation et de configuration de base pour terminer l’installation.

Pour plus d’informations sur SMIT, reportez-vous au manuel Getting Started : ManagingIBM RISC System/6000, et lisez le contenu des fenêtres SMIT pendant l’installation.

Pour plus d’informations sur le support des langues, reportez-vous à la section relative àl’option de serveur LANGUAGE, dans le manuel Administrator’s Reference.

76 Version 4.2

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Exécution de mises à jour de TivoliStorage Manager sur AIX

La présente annexe explique comment utiliser les mises à jour de maintenance pour TSMavec AIX. Ces mises à jour de maintenance, également appelées correctifs ou PTF (ProgramTemporary Fix), permettent d’actualiser le serveur au dernier niveau disponible. L’interfaceSMIT (System Management Interface Tool) permet d’installer ces mises à jour. Pourconsulter la liste des dernières mises à jour et télécharger des correctifs, visitez le site Webhttp://www.tivoli.com/support/storage_mgr/tivolimain.html .

Le serveur TSM doit être désactivé pendant la procédure de mise à jour.

Internet, IBMLink et CompuserveUne aide en ligne est disponible sur Internet, IBMLink/ServiceLink et CompuServe.

InternetSi vous avez accès à Internet, les derniers PTF pour serveurs et clients sont disponibles surle serveur anonyme FTP (File Transfer Protocol). Le nom de la machine estftp.software.ibm.com. Les informations relatives à Tivoli Storage Manager se trouvent dansle répertoire /storage/tivoli-storage-management.

IBMLink/ServiceLinkSi vous avez accès à IBMLink/ServiceLink, un programme de base de données interactiveen ligne, vous pouvez :

¶ rechercher un rapport officiel d’analyse de programme (APAR) correspondant àl’incident qui s’est produit ;

¶ rechercher un PTF rattaché à l’APAR en question ;

¶ commander le PTF s’il existe ;

¶ créer un rapport d’incident ETR (Electronic Technical Response) afin d’obtenir l’aide duservice d’assistance technique.

CompuServeSi vous avez accès à CompuServe, vous pouvez obtenir les PTF nécessaires pour les clientset les serveurs par le biais des bibliothèques du forum IBMSTORAGE.

Le forum IBMSTORAGE propose également des fichiers d’informations générales, desconseils et astuces, des bulletins d’assistance technique et des APAR d’information.

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Pour accéder à ce forum, tapez GO ADSM ou GO IBMSTORAGE (à n’importe quelleinvite de type !). Utilisez ce forum pour échanger des informations et des remarques avec lestechniciens IBM et d’autres utilisateurs.

Avant d’exécuter les mises à jourLes mises à jour de maintenance contiennent parfois des fichiers README > qui résumentles modifications contenues dans le PTF. Consultez ces informations avant d’exécuter lamise à jour :

1. Montez le CD-ROM en entrant ce qui suit à partir du répertoire racine :

crfs -v cdrfs -d /dev/cd0 -m /cdrom -pro

mount /cdrom

2. Passez dans un répertoire accessible en écriture. Par exemple, pour passer dans lerépertoire /home/temp, entrez :

cd /home/temp

3. Affichez le contenu du PTF via la commande RESTORE. Par exemple :

restore -Tvf /cdrom/u452223.bff

4. Notez l’emplacement relatif des éventuels fichiers README. Par exemple :

./usr/tivoli/tsm/server/bin/README.SRV

./usr/tivoli/tsm/devices/bin/README.DEV

5. Restaurez le fichier README. Par exemple :

restore -xvf /cdrom/u452223.bff ./usr/tivoli/tsm/server/bin/README.SRV

6. Passez dans le répertoire contenant le fichier README et affichez son contenu avecvotre navigateur habituel. Reportez-vous à la section «Utilisation de la documentationélectronique» à la page 13 pour plus d’informations sur les navigateurs.

Installation des mises à jour avec SMIT sur AIXPour exécuter les mises à jour sur AIX avec SMIT, procédez comme suit.

Remarque : L’utilisation de SMIT pour les mises à jour de maintenance sur AIX estréservée au superutilisateur. Un espace disque suffisant doit être disponible.SMIT peut être exécuté depuis la ligne de commande AIX ou celle d’unXterminal ou d’une fenêtre de bureau.

Le serveur doit être désactivé avant le lancement de cette procédure.

Il est conseillé de vérifier que le serveur fonctionne convenablement avant de procéderà la mise à jour.

1. Connectez-vous en tant qu’utilisateur root.

Remarque : Pour accéder à l’environnement X Windows, entrez : xinit.

78 Version 4.2

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2. Entrez :

smit

3. Pour voir la liste des APAR disponibles, sélectionnez les options SMIT suivantes :

Installation et maintenance de logicielInstallation / Mise à jour de logiciel

Installation / Mise à jour de tous les logiciels disponibles

4. Dans la fenêtre suivante, sélectionnez l’unité à utiliser pour l’installation. Entrez le nomde l’unité dans la fenêtre ou cliquez sur Liste pour afficher la liste des unités. Si vouscliquez sur Liste, sélectionnez l’unité à utiliser (par exemple /dev/cd0).

Remarque : L’unité sélectionnée doit avoir le statut Disponible. N’utilisez pas l’unité/dev/mtx pour les installations avec SMIT.

5. Cliquez sur Exec.

6. Placez le curseur sur ″Logiciel à installer″ et appuyez sur la touche de fonction F4 pourafficher la liste des mises à jour disponibles.

7. Sélectionnez les mises à jour que vous souhaitez installer.

8. Gardez les valeurs par défaut des options de cette fenêtre.

La validation du programme de mise à jour empêche la suppression de TSM dusystème et exclut l’annulation de l’installation du PTF pour revenir au niveauantérieur.

9. Gardez les valeurs par défaut pour toutes les options.

10. Cliquez sur OK pour continuer.

L’installation peut nécessiter plusieurs minutes.

11. Une fois l’installation terminée, cliquez sur Fin, retirez le CD-ROM et quittez SMIT.

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80 Version 4.2

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Suppression de Tivoli Storage Manager

La présente annexe décrit les tâches que vous devez effectuer avant de supprimer TivoliStorage Manager version 4.2 et explique comment revenir à une version antérieure de TSM(ou à ADSM).

Pour pouvoir revenir à ADSM ou à une version antérieure de TSM à la suite d’uneinstallation par migration, vous devez disposer d’une sauvegarde intégrale de labase de données et du code d’installation serveur de la version initiale.

¶ Vous ne pouvez pas restaurer une base de données sauvegardée depuis uneversion antérieure sur une nouvelle version du serveur TSM. Par exemple, vousne pouvez pas restaurer une base de données TSM version 3.7 sur un serveurTSM version 4.2.

Vous devez en outre mesurer les conséquences d’un éventuel retour à ADSM ou àune version antérieure de TSM :

¶ Les références aux fichiers client qui ont été sauvegardés, archivés ou migrésvers le serveur Tivoli Storage Manager version 4.2 seront perdues.

¶ Il est possible que certains volumes existants aient été écrasés ou suppriméslors de l’utilisation normale de la version 4.2 de Tivoli Storage Manager. Dansce cas, les fichiers client qui se trouvaient sur ces volumes et qui ont étémigrés, récupérés, déplacés (commande MOVE DATA), ou supprimés(commande DELETE VOLUME) ne seront pas accessibles à la versionantérieure d’ADSM ou de TSM.

¶ Les définitions, mises à jour et suppressions d’objets TSM qui ont étéeffectuées sur la version 4.2 du serveur seront perdues.

Avant de supprimer Tivoli Storage ManagerProcédez comme suit :

1. Faites une sauvegarde complète de la base de données. Par exemple, si vous avez uneclasse d’unité sur bande nommée CLASSEBANDE, faites une sauvegarde intégrale enexécutant la commande suivante :

backup db type=full devclass=classebande

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2. Faites une copie de sauvegarde de l’historique des volumes et des fichiers deconfiguration des unités définis dans le fichier d’options du serveur, respectivement avecles commandes VOLHISTORY et DEVCONFIG. Par exemple, pour sauvegarderl’historique des volumes dans un fichier appelé VOLHIST et les configurations d’unitédans un fichier appelé DEVICES, entrez :

backup volumehistory filenames=volhistbackup devconfig filenames=devices

3. Stockez les volumes sauvegardés en lieu sûr.

Retour à une version antérieure de TSM (ou à ADSM)

Vous ne pouvez pas restaurer une base de données sauvegardée depuis une versionantérieure sur une nouvelle version du serveur TSM. Par exemple, vous ne pouvezpas restaurer une base de données TSM version 3.7 sur un serveur TSMversion 4.2.

1. Si le serveur Tivoli Storage Manager version 4.2 est en cours d’exécution, arrêtez-leavec la commande suivante :

halt

2. Supprimez les définitions d’unités actuelles.

a. Pour utiliser SMIT, entrez :

smit &

b. Sélectionnez Unités.

Sélectionnez l’unité désirée dans l’écran.

Il n’est pas utile de supprimer les unités non TSM utilisées par Tivoli StorageManager (pilotes 3480, 3490 et 3590, et bandothèques 3494 et 3495).

c. Sélectionnez Supprimer, pour l’unité choisie à l’étape précédente.

Ne gardez pas les configuration dans la base de données, mais notez l’adresse SCSIdes unités afin de pouvoir les redéfinir ultérieurement. Dans l’écran SMIT dedéfinition des unités (Conserver la définition dans la base de données), remplacezOui par Non.

3. Supprimez le programme serveur version 4.2. Entrez :

/usr/sbin/installp -ug tivoli.tsm.license/usr/sbin/installp -ug tivoli.tsm.devices/usr/sbin/installp -ug tivoli.tsm.server

Remarque : Supprimez également tous les modules NLS de Tivoli Storage Manageréventuellement installés (par exemple, tivoli.tsm.msg.Ja_JP.server).

4. Si vous disposez du fichier dsmserv.dsk, de la base de données et du journal de reprisede la version précédente, restaurez-les dans le répertoire prévu pour la réinstallation.

5. Réinstallez la version précédente du serveur TSM et les plus récents correctifs.

82 Version 4.2

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6. Définissez les unités Tivoli Storage Manager dans le système d’exploitation.

7. Réinitialisez tous les volumes du journal de reprise et de la base de données, outre ceuxcréés au cours de l’installation, à l’aide de l’utilitaire DSMSERV FORMAT.Reportez-vous au manuel Administrator’s Reference pour plus d’informations.

8. Rechargez la base de données TSM à l’aide de l’utilitaire DSMSERV RESTORE DB.

dsmserv restore db todate=07/04/2000

Reportez-vous au manuel TSM Administrator’s Reference pour plus d’informations.

9. Démarrez le serveur en entrant la commande suivante :

dsmserv

10. Pour contrôler tous les volumes de pool de stockage sur disque, exécutez la commandeAUDIT VOLUME FIX=YES pour chaque volume de pool de stockage séquentiel ayantle type STGDELETE ou STGREUSE.

11. Examinez l’historique de volume sauvegardé à l’étape 2 à la page 82.

Pour éliminer de la base de données toute référence de volume invalide, exécutez lacommande AUDIT VOLUME FIX=YES pour chaque volume séquentiel spécifié avecle type STGREUSE ou STGDELETE dans le fichier d’historique des volumes.

S’il n’existe aucun volume ayant le type STGDELETE, utilisez la commande DELETEVOLUME DISCARDDATA=YES pour supprimer les références de volume de la basede données du serveur.

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Informations complémentaires

La présente annexe décrit le service fourni par IBM pour le produit Tivoli Storage Manageret vous indique où vous pouvez trouver des informations complémentaires sur ce produit.

Comment contacter le support clientPour obtenir une assistance sur ce produit ou tout autre produit Tivoli, vous pouvez contacterle support client Tivoli de l’une des façons suivantes :

¶ Visitez le site Web de support technique Tivoli Storage Manager à l’adresse suivante :http://www.tivoli.com/support/storage_mgr/tivolimain.html .

¶ Soumettez un PMR par voie électronique via le système IBMLINK. Pour plus de détailssur l’inscription et l’accès à IBMLINK, consultez la page Web IBM à l’adressehttp://www.ibmlink.ibm.com .

¶ Soumettez un enregistrement de gestion d’incidents (PMR) par voie électronique à partirde notre site Web à l’adresse http://www.tivoli.com/support . Reportez-vous à la section«Signalisation d’un incident» à la page 86 pour plus d’informations.

¶ Envoyez un courrier électronique à [email protected].

Les clients situés aux États-Unis peuvent également composer le numéro 1-800-TIVOLI8(1-800-848-6548). Pour les numéros de produit 5697-TS9, 5697-DRS et 5697-DPM, ilsdoivent composer le 1-800-237-5511.

Les clients situés dans d’autres pays doivent consulter notre site Web pour obtenir lesnuméros de téléphone des services locaux d’assistance à la clientèle. Ils peuvent égalementcomposer le numéro de téléphone 08 01 63 10 20 ou envoyer une télécopie au numéro 0801 63 35 11.

Vous pouvez également consulter le Customer Support Handbook qui est disponible surnotre site Web, à l’adresse http://www.tivoli.com/support/handbook/.

Avant de prendre contact avec le service client, procurez-vous les informationsd’identification relatives à votre société, afin que le personnel du service client puisse vousaider plus rapidement. Vous serez peut-être appelé à fournir également ces informations pourpouvoir accéder aux différents services électroniques disponibles sur le site Web.

Le site Web d’assistance à la clientèle fournit des informations étendues, telles qu’un guidedes services d’assistance (Customer Support Handbook), une Foire aux questions et unedocumentation sur l’ensemble des produits Tivoli (notes d’édition, livres rouges et livres

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blancs). La documentation relative à certains produits est disponible à la fois au format PDFet au format HTML. Des documents traduits sont également disponibles pour certainsproduits.

Vous pouvez commander de la documentation par courrier électronique, à l’adressesuivante : [email protected]. Veuillez indiquer le numéro de publication, la référence dudocument ou la référence de la commande. A défaut, vous pouvez indiquer le titre dudocument, le numéro de version, ainsi que la date de publication. Vous pouvez égalementcommander en ligne des publications Tivoli en vous connectant au sitehttp://www.fr.ibm.com (ou en appelant le numéro 1-800-426-4968, pour le Canada).

Vos commentaires et suggestions concernant les produits et la documentation Tivoli sont lesbienvenus. N’hésitez pas à nous les transmettre par l’un des moyens suivants :

¶ Envoyez un courrier électronique à l’adresse [email protected].

¶ Renseignez notre formulaire de retour client sur le sitehttp://www.tivoli.com/support/feedback/.

Signalisation d’un incidentLorsque vous signalez un incident, soyez prêt à fournir les informations suivantes :

¶ Version, édition, correction et niveau de service du serveur Tivoli Storage Manager. Vouspouvez obtenir ces informations en entrant la commande QUERY STATUS sur la ligne decommande du serveur TSM.

¶ Version, édition, correction et niveau de service du client Tivoli Storage Manager. Vouspouvez obtenir ces informations en entrant la commande dsmc sur la ligne decommande.

¶ Type, version et édition du protocole de communication (par exemple, TCP/IP) utilisé.

¶ Activité en cours lorsque l’erreur est survenue. Il convient d’indiquer les opérationseffectuées avant l’apparition de l’erreur.

¶ Texte exact des messages d’erreur.

InternetVous pouvez obtenir des informations complémentaires par voie électronique, via un serveurFTP anonyme (ftp://ftp.software.ibm.com). Les informations relatives à Tivoli StorageManager se trouvent dans le répertoire /storage/tivoli-storage-management.

Un forum, appelé [email protected], est mis en oeuvre par une société tierce. IBM assureau mieux le support de ce forum.

86 Version 4.2

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Publications Tivoli Storage ManagerLes publications relatives au serveur TSM sont répertoriées dans le tableau ci-dessous.

Titre de la publication Numéro de référence

Tivoli Storage Manager Messages GC35-0405

Tivoli Storage Management Products License Information GH09-4572

Tivoli Storage Manager pour AIX - Initiation GI11-1793

Tivoli Storage Manager for AIX Administrator’s Guide GC35-0403

Tivoli Storage Manager for AIX Administrator’s Reference GC35-0404

Tivoli Storage Manager for AIX Managed System for SAN Storage AgentUser’s Guide

GC36-0001

Tivoli Storage Manager for Sun Solaris Managed System for SAN StorageAgent User’s Guide

GC36-0002

Tivoli Storage Manager for Windows Managed System for SAN StorageAgent User’s Guide

GC35-0434

Les publications relatives au client TSM sont répertoriées dans le tableau ci-dessous.

Titre de la publication Numéro de référence

Tivoli Space Manager for UNIX Using the Hierarchical StorageManagement Clients

SH26-4115

Tivoli Storage Manager for Macintosh Using the Backup-Archive Client SH26-4120

Tivoli Storage Manager pour UNIX - Guide d’utilisation du client desauvegarde-archivage

SH11-1264

Tivoli Storage Manager pour NetWare - Guide d’utilisation du client desauvegarde-archivage

SH11-1262

Tivoli Storage Manager pour Windows - Guide d’utilisation du client desauvegarde-archivage

SH11-1263

Tivoli Storage Manager Installing the Clients SH26-4119

Tivoli Storage Manager Quick Reference for the Backup-Archive Clients SH26-4118

Tivoli Storage Manager Trace Facility Guide SH26-4121

Tivoli Storage Manager Using the Application Programming Interface SH26-4123

Les publications relatives à Tivoli Data Protection sont répertoriées dans le tableauci-dessous.

Titre de la publicationNuméro deréférence

Tivoli Data Protection for Informix Installation and User’s Guide SH26-4095

Tivoli Data Protection for Lotus Domino, S/390 Edition Licensed ProgramSpecifications

GC26-7305

Tivoli Data Protection for Lotus Domino for UNIX Installation and User’s Guide SH26-4088

Tivoli Data Protection for Lotus Domino for Windows NT Installation GC26-7320

Tivoli Data Protection for Lotus Notes on AIX Installation and User’s Guide SH26-4067

Tivoli Data Protection for Lotus Notes on Windows NT Installation and User’sGuide

SH26-4065

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Titre de la publicationNuméro deréférence

Tivoli Data Protection for Microsoft Exchange Server Installation and User’s Guide SH26-4110

Tivoli Data Protection for Microsoft SQL Server Installation and User’s Guide SH26-4111

Tivoli Data Protection for Oracle for UNIX Installation and User’s Guide SH26-4112

Tivoli Data Protection for Oracle for Windows NT Installation and User’s Guide SH26-4113

Tivoli Data Protection for R/3 Version 2.7 Installation and User’s Guide SC33-6388

Tivoli Data Protection for Workgroups for Windows NT User’s Guide GC35-0359

Tivoli Data Protection for Workgroups for NetWare User’s Guide GC32-0444

Publications connexes relatives aux produits matériels IBMLes publications connexes relatives aux produits matériels IBM sont répertoriées dans letableau ci-dessous.

Titre Numéro de référence

IBM 3490 Magnetic Tape Subsystem Enhanced Capability Models E01 andE11 User’s Guide

GA32-0298

IBM SCSI Tape Drive, Medium Changer, and Library Device Drivers:Installation and User’s Guide

GC35-0154

Magstar 3494 Tape Library Operator Guide GA32-0280

Magstar 3494 Tape Library Introduction and Planning Guide GA32-0279

IBM Magstar 3590 Tape Subsystem Operator’s Guide GA32-0330

IBM 3570 Magstar MP Tape Subsystem Operator’s Guide GA32-0345

Livres rouges IBMLe centre de support technique international ITSC (International Technical Support Center)publie des livres rouges, qui sont des ouvrages traitant de sujets particuliers (tels que ledocument Using TSM to Back Up Databases). Vous pouvez commander ces publicationsauprès de votre partenaire commercial IBM ou de votre agence locale IBM. Vous avezégalement la possibilité de rechercher des documents et de les commander en accédant ausite Web des livres rouges d’IBM à l’adresse suivante : http://www.redbooks.ibm.com .

TraductionsCertaines publications TSM ont été traduites dans d’autres langues. Pour connaître lespublications traduites et savoir si elles sont disponibles dans votre pays, adressez-vous àvotre partenaire commercial IBM.

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Remarques

Le présent document peut contenir des informations ou des références concernant certainsproduits, logiciels ou services IBM non annoncés dans ce pays. Pour plus de détails,référez-vous aux documents d’annonce disponibles dans votre pays, ou adressez-vous à votrepartenaire commercial IBM. Toute référence à un produit, logiciel ou service IBMn’implique pas que seul ce produit, logiciel ou service puisse être utilisé. Tout autre élémentfonctionnellement équivalent peut être utilisé, s’il n’enfreint aucun droit d’IBM. Il est de laresponsabilité de l’utilisateur d’évaluer et de vérifier lui-même les installations etapplications réalisées avec des produits, logiciels ou services non expressément référencéspar IBM.

IBM peut détenir des brevets ou des demandes de brevet couvrant les produits mentionnésdans le présent document. La remise de ce document ne vous donne aucun droit de licencesur ces brevets ou demandes de brevet. Si vous désirez recevoir des informations concernantl’acquisition de licences, veuillez en faire la demande par écrit à l’adresse suivante :

IBM Director of LicensingIBM Europe Middle-East AfricaTour Descartes92066 Paris La Défense Cedex 50France.

Pour le Canada, veuillez adresser votre courrier à :

IBM Director of Commercial RelationsIBM Canada Ltd3600 Steeles Avenue EastMarkham, OntarioL3R 9Z7 Canada

Les informations sur les licences concernant les produits utilisant un jeu de caractères doubleoctet peuvent être obtenues par écrit à l’adresse suivante :

IBM World Trade Asia CorporationLicensing2-31 Roppongi 3-chome, Minato-kuTokyo 106, Japan

LE PRESENT DOCUMENT EST LIVRE EN L’ETAT. IBM DECLINE TOUTERESPONSABILITE, EXPLICITE OU IMPLICITE, RELATIVE AUX INFORMATIONSQUI Y SONT CONTENUES, Y COMPRIS EN CE QUI CONCERNE LES GARANTIESDE VALEUR MARCHANDE OU D’ADAPTATION A VOS BESOINS. Certainesjuridictions n’autorisent pas l’exclusion des garanties implicites, auquel cas l’exclusionci-dessus ne vous sera pas applicable.

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Le présent document peut contenir des inexactitudes ou des coquilles. Il est mis à jourpériodiquement. Chaque nouvelle édition inclut les mises à jour. IBM peut modifier sanspréavis les produits et logiciels décrits dans ce document.

Les références à des sites Web non IBM sont fournies à titre d’information uniquement etn’impliquent en aucun cas une adhésion aux données qu’ils contiennent. Les élémentsfigurant sur ces sites Web ne font pas partie des éléments du présent produit IBM etl’utilisation de ces sites relève de votre seule responsabilité.

IBM pourra utiliser ou diffuser, de toute manière qu’elle jugera appropriée et sans aucuneobligation de sa part, tout ou partie des informations qui lui seront fournies.

Les licenciés souhaitant obtenir des informations permettant : (i) l’échange des donnéesentre des logiciels créés de façon indépendante et d’autres logiciels (dont celui-ci), et (ii)l’utilisation mutuelle des données ainsi échangées, doivent adresser leur demande à :

IBM CorporationInformation Enabling RequestsDept. M135600 Cottle RoadSan Jose CA 95193-0001U.S.A.

Ces informations peuvent être soumises à des conditions particulières, prévoyant notammentle paiement d’une redevance.

Le logiciel sous licence décrit dans ces document et tous les éléments sous licencedisponibles s’y rapportant sont fournis par IBM conformément aux dispositions de l’ICA,des Conditions internationales d’utilisation des logiciels IBM ou de tout autre accordéquivalent.

Les informations concernant des produits non IBM ont été obtenues auprès des fournisseursde ces produits, par l’intermédiaire d’annonces publiques ou via d’autres sources disponibles.IBM n’a pas testé ces produits et ne peut confirmer l’exactitude de leurs performances nileur compatibilité. Elle ne peut recevoir aucune réclamation concernant des produits nonIBM. Toute question concernant les performances de produits non IBM doit être adresséeaux fournisseurs de ces produits.

Le présent document peut contenir des exemples de données et de rapports utiliséscouramment dans l’environnement professionnel. Ces exemples mentionnent des noms fictifsde personnes, de sociétés, de marques ou de produits à des fins illustratives ou explicativesuniquement. Toute ressemblance avec des noms de personnes, de sociétés ou des donnéesréelles serait purement fortuite.

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Glossaire

A

AbsoluValeur du mode d’un groupe de paramètres de sauvegarde signifiant qu’un fichier doit être traité lors d’unesauvegarde incrémentale, même s’il n’a pas été modifié depuis la dernière sauvegarde. Voir aussi Mode etModifié.

ActivationValidation du contenu d’un jeu de règles, celui-ci étant ensuite copié dans le jeu de règles ACTIF.

Adaptateur réseauDésigne un dispositif physique (ainsi que le logiciel qui y est associé) permettant de relier à un réseau unprocesseur ou un contrôleur.

AdministrateurUtilisateur enregistré auprès du serveur. Les administrateurs ont l’autorisation d’effectuer des opérationsappartenant à une ou plusieurs des classes de privilèges d’administration : système, de règle, de stockage,d’opérateur et d’analyste. Les administrateurs peuvent utiliser les commandes et requêtes d’administrationautorisées par leurs privilèges.

Advanced Interactive Executive (AIX)Système d’exploitation utilisé sur les ordinateurs RISC System/6000. AIX est l’implémentation IBM du systèmed’exploitation UNIX.

Advanced Peer-to-Peer Networking (APPN)Extension de l’architecture point à point LU6.2 conçue pour des services destinés aux utilisateurs finaux. VoirSNA LU6.2 et Systems Network Architecture.

Advanced Program-to-Program Communication (APPC)Implémentation du protocole SNA/SDLC LU6.2 qui permet à des systèmes interconnectés de communiquer et detraiter en commun des programmes. Voir SNA LU6.2, Systems Network Architecture et Common ProgrammingInterface Communications.

AFSVoir Andrew file system.

Agent de communication sécuriséeProgramme exécutant des tâches de communication pour le compte du client ou du serveur et garantissant lasécurité de ces échanges.

Agent de stockageProgramme qui permet à Tivoli Storage Manager de sauvegarder et de restaurer des données client directementsur/depuis une unité de stockage connectée à un réseau SAN.

Les termes définis dans ce glossaire se rapportent à la bibliothèque d’objets Tivoli Storage Manager. Si vous ne trouvez pas le termerecherché, reportez-vous au glossaire des logiciels IBM sur le site suivant : www.ibm.com/ibm/terminology/. Vous pouvez aussi vousreporter à la Terminologie du traitement de l’information, publiée par IBM, New York: McGraw-Hill, 1994.

Certains termes et définitions de ce glossaire ont été tirés des ouvrages suivants :

¶ American National Standard Dictionary for Information Systems, ANSI X3.172-1990, copyright (ANSI). Vous pouvez vousprocurer un exemplaire de cet ouvrage auprès de l’American National Standards Institute, à l’adresse suivante : 11 West 42ndStreet, New York 10036, ou auprès d’un organisme de normalisation local (AFNOR, etc.).

¶ Information Technology Vocabulary, ouvrage élaboré par le Sous-comité 1, Comité technique mixte de l’Organisationinternationale de standardisation et de la Commission électrotechnique internationale (ISO/IEC JTC2/SC1).

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AgrégatFichier, enregistré dans un ou plusieurs pools de stockage, consistant en un ensemble de fichiers logiquesregroupés. Voir Fichier logique et Fichier physique.

AIXAdvanced Interactive Executive.

Andrew file system (AFS)Système de fichiers distribué développé pour les systèmes d’exploitation UNIX.

AnnulationSuppression des modifications apportées à des fichiers de la base de données depuis la dernière validation.

APIApplication Program Interface.

APPCAdvanced Program-to-Program Communication.

APPNAdvanced Peer-to-Peer Networking.

Architecture Unifiée d’Application (AUA)Ensemble d’interfaces, de conventions et de protocoles logiciels permettant d’encadrer la conception et ledéveloppement d’applications compatibles d’un système à un autre.

ArchivageFonction permettant aux utilisateurs de copier un ou plusieurs fichiers dans un pool de stockage en vue de le(s)conserver relativement longtemps. Les copies d’archivage peuvent être associées à un texte informatif etrestaurées à partir de leur date d’archivage, de leur nom ou encore de cette description. Voir aussi Restauration.

AS/400Application System/400.

Assemblage de disques (HDA, Head-Disk Assembly)Sur une unité de stockage à accès direct, unité composée de disques et de dispositifs de positionnement. Sonremplacement doit être effectué par le service de maintenance.

Association(1) Relation définie entre un poste client et un planning client. Une association donne le nom du planning, celuidu domaine de règles auquel le planning appartient ainsi que le nom du poste client qui effectue les opérationsprogrammées. (2) Dans un gestionnaire de configuration, relation définie entre un profil et un objet tel qu’undomaine de règles. Les associations de profils définissent les informations de configuration qui sontcommuniquées aux serveurs gérés lors de leur souscription au profil.

AuditProcessus de recherche des incohérences logiques pouvant exister entre les informations du serveur et la situationréelle du système. Le gestionnaire TSM peut procéder à l’audit des volumes, de la base de données, desbibliothèques ou encore des licences. Par exemple, lors de l’audit d’un volume, le gestionnaire recherche lesincohérences pouvant exister entre les informations sur les fichiers sauvegardés ou archivés qui sont enregistréesdans la base de données et les données réelles associées à chaque version de sauvegarde ou copie d’archivagedans l’espace de stockage du serveur.

Audit de base de donnéesUtilitaire permettant de rechercher, et éventuellement de corriger, des références incohérentes de la base dedonnées.

AuthentificationVérification du mot de passe d’un utilisateur effectuée avant de lui donner accès au serveur. Ce processus peutêtre activé ou désactivé par un administrateur ayant un privilège de système.

AutoritéDroit accordé à un utilisateur d’effectuer des tâches avec les serveurs et les clients TSM. Voir Classe deprivilèges d’administration.

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AwkSous AIX, programme de mise en correspondance de caractères génériques permettant de traiter des fichierstexte. Avec le gestionnaire DRM, vous pouvez utiliser un script awk pour diviser en plusieurs sectionsexploitables le fichier de plan de reprise après incident.

B

Bandothèque(1) Ensemble de bandes en cartouche. (2) Dispositif effectuant automatiquement le montage et le démontage descartouches sans intervention d’un opérateur.

Base de donnéesEnsemble d’informations relatives à tous les objets gérés par le serveur, en particulier les objets de gestion desrègles, les utilisateurs et les administrateurs ou encore les postes client.

Bibliothèque(1) Référentiel de supports enregistrés démontables tels que les bandes magnétiques. (2) Dans le contexte TSM,ensemble d’une ou plusieurs unité(s), éventuellement associées à des dispositifs robotiques suivant le type debibliothèque, qui peut être utilisé pour accéder à des volumes de stockage. (3) Sur le système AS/400, objetsystème servant de répertoire pour d’autres objets. Les objets apparentés sont rassemblés dans une bibliothèquedans laquelle il est possible d’effectuer des recherches par nom d’objet.

Bibliothèque dynamique (dynamic link library ou DLL)Fichier contenant un code exécutable et des données, associé à un programme à l’occasion d’un chargement oud’une exécution plutôt que lors d’une édition de lien. Le code et les données d’une bibliothèque dynamiquementliée peuvent être partagés par plusieurs applications à la fois.

Bibliothèque optiqueUnité de stockage hébergeant des disques optiques et des unités de disques optiques et pourvue d’un mécanismepermettant de déplacer les disques entre les unités et l’emplacement de stockage.

Bibliothèque partagéeUnité de bibliothèque partagée par plusieurs serveurs Tivoli Storage Manager.

C

Canaux nommés (Named Pipes)Protocole de communication intégré au système d’exploitation Windows NT ou OS/2. Ce protocole permetnotamment d’établir des communications entre le serveur TSM et tous les clients TSM situés sur le mêmesystème.

Capacité affectéeEspace mémoire pouvant être utilisé pour enregistrer une base de données ou des informations relatives aujournal de reprise. Voir aussi Espace disponible.

Capacité évaluéeEspace mémoire disponible d’un pool de stockage, exprimé en méga-octets.

Caractère jokerCaractère spécial, tel qu’un astérisque (*) ou un point d’interrogation (?), qui peut être utilisé pour représenter unou plusieurs caractères. Un caractère joker peut remplacer n’importe quel caractère ou jeu de caractères. On parleégalement de Caractère générique.

Cartouche magnétique double capacité ECCST (Enhanced Capacity Cartridge System Tape)Cartouche magnétique dont la capacité a été étendue et qui peut uniquement être utilisée avec les sous-systèmesmagnétiques 3490E. Voir aussi Cartouche magnétique standard.

Cartouche magnétique standard (CST, Cartridge System Tape)Principal support de bande en cartouche utilisé avec les sous-systèmes de bande magnétique 3480 ou 3490.Lorsqu’il s’agit d’un type de support du gestionnaire TSM, CST reconnaît les bandes de longueur standard. Voiraussi Cartouche magnétique double capacité ECCST.

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CARTRIDGESur les serveurs TSM qui la prennent en charge, classe d’unité qui désigne les unités à bande en cartouche, telleque la Bandothèque automatique 3490.

Changeur automatiquePetit support de bandes comportant plusieurs compartiments et équipé d’un mécanisme de chargementautomatique des cartouches dans le ou les lecteur(s) de bande. On parle également de changeur de support ou debibliothèque.

ChargementVoir Montage.

Chargement d’une base de donnéesTâche exécutée par l’utilitaire DSMSERV LOADDB (commande LODADSM dans les systèmes AS/400), quiconsiste à copier les entrées d’une base de données TSM à partir d’un support en vue d’une nouvelle installationd’une base de données.

CIDConfiguration Installation and Distribution.

Classe de gestionObjet règle que l’utilisateur peut associer à chaque fichier afin d’indiquer la façon dont il doit être géré par leserveur. Une classe de gestion peut contenir un groupe de paramètres de sauvegarde, un groupe de paramètresd’archivage et des attributs de gestion de l’espace. Les groupes de paramètres déterminent le mode de gestion descopies de sauvegarde ou d’archivage des fichiers. Quant aux attributs de gestion de l’espace, ils indiquent si lesfichiers répondent ou non aux conditions de migration des postes clients vers le stockage TSM et définissent cesconditions. Voir aussi Groupe de paramètres, Liaison et Nouvelle liaison.

Classe de gestion par défautClasse de gestion affectée à un jeu de règles, qui permet de gérer des fichiers sauvegardés ou archivés lorsquel’utilisateur n’indique pas de classe de gestion précise pour un fichier.

Classe de privilègesAutorité conférée à un administrateur TSM. La classe de privilèges détermine les tâches d’administration TSMauxquelles l’administrateur a accès. Par exemple, un administrateur qui possède la classe de privilèges systèmeest autorisé à effectuer toutes les tâches d’administration. Voir Classe de privilèges système, Classe de privilègesde règle, Classe de privilèges de stockage, Classe de privilèges d’opérateur et Classe de privilèges d’analyste.

Classe de privilèges d’administrationAutorité conférée à un administrateur TSM. La classe de privilèges détermine les tâches d’administration TSMauxquelles l’administrateur a accès. Par exemple, un administrateur qui possède la classe de privilèges systèmeest autorisé à effectuer toutes les tâches d’administration. Voir Classe de privilèges système, Classe de privilègesde règle, Classe de privilèges de stockage, Classe de privilèges d’opérateur et Classe de privilèges d’analyste.

Classe de privilèges d’analysteClasse de privilèges d’administration qui permet à un administrateur de réinitialiser les statistiques.

Classe de privilèges de postePrivilège d’administration qui permet à un utilisateur d’accéder à distance à un client de sauvegarde-archivageWeb à l’aide de l’ID utilisateur et du mot de passe de l’administrateur. Tout utilisateur disposant de ce type deprivilège peut se voir octroyer des droits de propriété ou une autorisation d’accès client sur un poste clientspécifique ou sur tous les clients d’un domaine de règles.

Classe de privilèges de règleClasse de privilèges d’administration permettant à un administrateur de gérer des objets règle, d’enregistrer despostes clients et de planifier des tâches client sur ces derniers (par exemple des services de sauvegarde). Lesprivilèges de règle accordés aux administrateurs peuvent être restreints ou illimités.

Classe de privilèges de stockageClasse de privilèges d’administration permettant à l’administrateur qui en bénéficie de superviser l’allocation etl’utilisation des ressources de stockage d’un serveur, notamment par le suivi de la base de données, du journal dereprise et de l’espace de stockage du serveur. Les privilèges de stockage accordés aux administrateurs peuventêtre restreints ou illimités.

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Classe de privilèges d’opérateurClasse de privilèges d’administration qui autorisent un administrateur à exécuter des commandes régissant lefonctionnement du serveur. Les actions permises incluent notamment l’inactivation ou l’arrêt du serveur à desfins de maintenance, son activation, l’annulation des processus exécutés sur le serveur et la gestion de la bande.

Classe de privilèges systèmeClasse de privilèges d’administration autorisant l’administrateur qui en bénéficie à exécuter toutes les commandesdu serveur.

Classe d’unitéEnsemble d’unités de stockage ayant des caractéristiques communes, identifié par un nom. Chaque classe possèdeun nom unique et représente un type d’unité spécifique : disque, fichier, disque optique, bande.

ClientProgramme installé sur un micro-ordinateur, une station de travail, un serveur de fichiers, un serveur LAN ouencore sur un grand système. Il permet de faire appel aux services d’un autre programme appelé le serveur. Lesclients qui peuvent être servis par un serveur TSM sont les suivants : client d’administration, client d’application,client d’API, client de sauvegarde-archivage, client HSM (également appelé client du gestionnaire d’espace) etserveur hôte.

Client Access/400Produit logiciel qui prend en charge le protocole de communication APPC (Advanced Program to ProgramCommunication) dans les environnements DOS, OS/2 et Microsoft Windows, et qui offre un ensemble deservices destinés à l’utilisateur final.

Client d’administrationProgramme installé sur un serveur de fichiers, une station de travail ou un grand système permettant auxadministrateurs de gérer et de contrôler le serveur par l’intermédiaire de commandes spécifiques. Voir aussiClient de sauvegarde-archivage.

Client d’applicationL’une des applications Tivoli Data Protection installées sur un système. Le serveur Tivoli Storage Manager offredes services de sauvegarde à ces clients.

Client de gestion de stockage hiérarchique (HSM)Programme Gestionnaire d’espace Tivoli permettant aux utilisateurs de la station de travail sur laquelle il estexécuté de conserver de l’espace libre en faisant migrer des fichiers vers un espace de stockage Tivoli StorageManager, puis de les rappeler. Synonyme de Client du gestionnaire d’espace.

Client de sauvegarde-archivageProgramme installé sur une station de travail ou un serveur de fichiers permettant aux utilisateurs de sauvegarder,d’archiver, de restaurer ou d’extraire des fichiers. Voir aussi Client d’administration.

Client du gestionnaire d’espaceSynonyme de Client de gestion de stockage hiérarchique (HSM).

Client HSMClient de gestion de stockage hiérarchique. Egalement appelé client du gestionnaire d’espace.

Client PCGroupe de clients pris en charge par TSM et composé de clients fonctionnant avec les systèmes d’exploitationOS/2, DOS, Windows, Apple et Novell NetWare.

Client/serveurArchitecture d’un système dans laquelle un ou plusieurs programmes (les clients) font appel aux fonctions detraitement de l’information ou de base de données d’un autre programme (le serveur).

CollocationProcessus permettant, dans la mesure du possible, de conserver toutes les données appartenant à un même posteclient ou à un même espace de fichier client sur un nombre minimal de volumes de supports à accès séquentielau sein d’un pool de stockage. Cette opération permet de limiter au maximum le nombre de volumes auxquelsaccéder lorsqu’une quantité importante de données doit être restaurée.

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Common Programming Interface Communications (CPI-C)Interface de programmation permettant les communications de programme à programme à l’aide de SNA LU6.2.Voir aussi Systems Network Architecture.

Common User Access (CUA)Instructions facilitant le dialogue entre un utilisateur et une station de travail ou un terminal. C’est l’un des troiscomposants de l’architecture SAA (Systems Application Architecture).

CompressionProcédé permettant d’utiliser moins d’espace de stockage par élimination des zones vides ou des donnéessuperflues d’un fichier. Dans un environnement TSM, la compression peut avoir lieu sur une station de travailavant que les fichiers ne soient sauvegardés ou archivés dans l’espace de stockage du serveur. Il est égalementpossible de procéder à une compression matérielle sur certains types d’unité de bande.

Configuration d’entrepriseFonction qui permet à l’administrateur de distribuer une configuration de serveur TSM entre plusieurs serveurs àl’aide d’une méthode de communication serveur-à-serveur. Voir gestionnaire de configuration, serveur géré,Profil et Souscription.

Configuration Installation and Distribution (CID)Terme désignant les produits IBM qui peuvent être installés automatiquement. Les produits CID peuvent êtreinstallés à distance, sans que l’utilisateur ait à intervenir.

ConservationDélai, exprimé en nombre de jours, durant lequel les fichiers sauvegardés ou archivés inactifs sont conservésdans le pool de stockage et au-delà duquel ils sont supprimés. Les attributs de groupe de paramètres et les duréesde conservation du domaine définissent la conservation.

Copie approximativeVersion de sauvegarde ou copie d’archive d’un fichier risquant de ne pas refléter parfaitement le contenu dufichier, car la sauvegarde ou l’archivage a eu lieu pendant que le fichier était en cours de modification.

Copie d’archivageFichier utilisateur qui a été archivé dans un pool de stockage TSM.

Copie de sauvegardeFichier utilisateur qui a été sauvegardé dans un pool de stockage TSM.

Copie miroirFonctionnalité de copie simultanée des données sur différents disques visant à éviter la perte d’informations dansla base de données ou le journal de reprise. Cette opération permet de produire jusqu’à trois copies conformes dechaque volume de la base de données ou du journal de reprise.

CPI-CCommon Programming Interface Communications.

CSTCartouche magnétique standard.

CUACommon User Access.

D

DASDDirect access storage device.

Date d’expirationSur les serveurs MVS, VM et VSE, attribut de classe d’unité servant à informer les systèmes de gestion debandes de la date à laquelle TSM n’a plus besoin d’un volume de bande. Cette date est enregistrée dans le labelde bande de sorte que le système de gestion n’écrase pas les informations relatives au volume avant la dated’expiration.

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DDMGestion de données distribuées.

Déclencheur de sauvegarde de bases de donnéesEnsemble de critères qui déterminent le moment et le mode de sauvegarde automatique des bases de données.Ces critères définissent la fréquence des sauvegardes, leur type (intégrales ou incrémentales) ainsi que leuremplacement de stockage.

Délai d’attente de montageAttribut de classe d’unité indiquant le délai maximal, exprimé en minutes, pendant lequel le serveur attendqu’une requête de montage d’un volume de support à accès séquentiel soit satisfaite, et au-delà duquel cetterequête est annulée.

Délai de conservation du montageAttribut de classe d’unité indiquant le délai maximal, exprimé en minutes, pendant lequel le serveur maintient lemontage d’un volume de support à accès séquentiel en dehors de toute utilisation, et au-delà duquel ce volumeest démonté.

DémonSous AIX, programme qui donne accès à un service standard sans que l’utilisateur ait à intervenir. Certainsdémons sont lancés automatiquement lorsqu’une tâche spécifique doit être effectuée, d’autres s’exécutentpériodiquement.

DestinataireRéférentiel serveur contenant un fichier journal dans lequel les messages serveur et la plupart des messages clientsont consignés sous forme d’événements. Il peut s’agir, par exemple, d’exits fichier et utilisateur, ou de laconsole serveur TSM et du journal des activités. Voir aussi Evénement.

DestinationAttribut d’un groupe de paramètres ou d’une classe de gestion qui indique le pool de stockage principal danslequel un fichier client doit être sauvegardé, archivé ou transféré (migration).

Direct access storage device (DASD)Unité de stockage à accès direct pour laquelle le temps d’accès n’est pas conditionné par l’emplacement desdonnées.

DISKClasse d’unité définie par TSM lors de l’installation. Elle est utilisée pour désigner des disques internes tels quele DASD 3390.

Disk operating system (DOS)Système d’exploitation utilisé sur les ordinateurs IBM PC, PS/2 et compatibles IBM.

DLLVoir Bibliothèque dynamique.

DLTAbréviation utilisée pour désigner la technique de sauvegarde ″Digital linear tape″.

DomaineVoir Domaine de règles ou Domaine du client.

Domaine de règlesObjet règle qui contient des jeux de règles, des classes de gestion et des groupes de paramètres utilisés par ungroupe de postes clients. Voir Jeu de règles, Classe de gestion et Groupe de paramètres.

Domaine du clientEnsemble des unités, des systèmes de fichiers ou des volumes d’un client de sauvegarde-archivage sélectionnéspar l’utilisateur lors d’une opération de sauvegarde ou d’archivage.

DOSSystème d’exploitation sur disque.

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DRMAbréviation de gestionnaire de reprise après incident Tivoli.

DRMVoir Gestionnaire de reprise après incident.

Durée de conservationSur un serveur MVS, attribut de classe d’unité indiquant le délai durant lequel les fichiers sont conservés sur unsupport à accès séquentiel. Lorsque cette fonction est activée, TSM transmet l’information au systèmed’exploitation MVS afin de garantir que d’autres systèmes de gestion de bande n’écraseront pas les donnéesconservées dans les volumes à bande.

Durée de conservation des archivesNombre de jours pendant lesquels le gestionnaire conserve une copie d’archivage lorsque le serveur n’est pas enmesure de créer une nouvelle liaison entre le fichier et la classe de gestion appropriée.

Durée de conservation des sauvegardesNombre de jours pendant lesquels le gestionnaire conserve une version de sauvegarde lorsque le serveur n’a pasété en mesure de créer une nouvelle liaison entre le fichier et la classe de gestion appropriée.

DynamiqueValeur de sérialisation d’un groupe de paramètres qui indique que TSM accepte le premier essai de sauvegardeou d’archivage d’un fichier, que le fichier soit en cours de modification ou non lors du processus de sauvegardeou d’archivage. Voir aussi Sérialisation, Dynamique partagé, Statique partagé et Statique.

Dynamique partagéValeur de sérialisation de groupe de paramètres indiquant qu’un fichier ne doit pas être modifié au cours d’unesauvegarde ou d’un archivage. TSM tente de renouveler l’opération un certain nombre de fois. Si le fichier estutilisé en chacune de ces occasions, l’archivage ou la sauvegarde ont tout de même lieu lors de la dernièretentative. Voir aussi Sérialisation, Dynamique, Statique partagé et Statique.

E

ECCSTCartouche magnétique double capacité.

EnregistrementProcédure d’identification d’un poste client ou d’un administrateur auprès du serveur.

Enregistrement d’événementEnregistrement dans une base de données qui décrit l’état réel ainsi que le résultat d’un événement.

Enregistrement ferméProcessus d’enregistrement consistant à enregistrer les stations de travail en tant que postes client du serveur. Voiraussi Enregistrement ouvert.

Enregistrement ouvertProcessus d’enregistrement dans lequel les utilisateurs peuvent enregistrer eux-mêmes leur station de travailcomme poste client auprès du serveur. Voir aussi Enregistrement fermé.

Enregistrements statistiquesFichiers permettant d’enregistrer à la fin de chaque session client les informations relatives à l’utilisation desressources.

Enregistrer(1) Définir un poste client ou un administrateur autorisé à accéder au serveur. Voir Enregistrement. (2) Indiquerque des licences d’utilisation du serveur ont été achetées.

Espace de stockage du serveurEnsemble des pools de stockage principaux et de copies dans lesquels le serveur conserve les fichiers utilisateur,à savoir les versions de sauvegarde et d’archivage ainsi que les fichiers ayant subi une migration à partir depostes client (fichiers avec gestion de l’espace). Voir Pool de stockage principal, Pool de stockage de type copie,Volume de pool de stockage et Volume.

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Espace disponibleEspace mémoire, exprimé en méga-octets, pouvant être utilisé par la base de données ou le journal de reprise.Cet espace peut servir à étendre les capacités de la base de données ou du journal de reprise. Il permet égalementde disposer d’un espace suffisant pour supprimer un volume de la base de données ou du journal de reprise.

Espace fichierDans l’espace de stockage d’un client, espace logique pouvant contenir un groupe de fichiers. Pour les clientsWindows, un espace fichier est une partition logique identifiée par un label de volume. Pour les clients AIX etUNIX, un espace fichier peut comprendre tout sous-ensemble de répertoires ou de sous-répertoires issus d’unpoint de montage virtuel. Les clients peuvent restaurer, extraire ou supprimer leurs espaces fichiers à partir del’espace de stockage du serveur TSM. Les fichiers d’un même espace fichier ne sont pas nécessairement stockésensemble, mais TSM est en mesure d’identifier tous les fichiers de son espace de stockage appartenant au mêmeespace fichier.

Espace maximal utiliséPourcentage maximal de la capacité affectée pouvant être utilisé par la base de données ou le journal de reprise.

Etat de protectionAttribut de classe d’unité qui indique s’il convient ou non de mettre à jour le profil RACF pour identifier lesutilisateurs ayant accès aux cartouches associées à cette classe d’unité sur les serveurs MVS.

Etendue d’enregistrement d’un fichierEtendue d’un fichier exprimée en nombre d’enregistrements.

EthernetProtocole de liaison de données et réseau local (LAN) permettant l’interconnexion d’ordinateurs personnels et destations de travail via un câble coaxial.

Evénement(1) Commande d’administration ou opération d’un client dont l’exécution est prévue par la planification TSM. (2)Message émis par un serveur ou un client TSM. Les messages peuvent être consignés à l’aide de la journalisationTSM.

ExclusionOpération consistant à désigner les fichiers ou répertoires d’une liste d’inclusion-exclusion devant être exclusd’une sauvegarde lorsqu’un utilisateur ou un planning lance une sauvegarde incrémentale ou sélective, ou pourexclure ces objets d’une migration depuis un poste client via le Gestionnaire d’espace Tivoli.

ExitDans une section d’un programme, lancement d’une instruction destinée à arrêter l’exécution de cette section.

Exit de montageSur un serveur VM, exit à l’échelle de l’installation (DSMMOUNT EXEC) demandant le montage de la bande àl’initiative du serveur sur le système VM.

Exit de suppressionPour MVS ou VM, code de sortie s’appliquant à toute l’installation et informant un système de gestion de bandesou un opérateur que le serveur a supprimé de la base de données un volume de support à accès séquentiel.

ExpirationSuppression de fichiers dont la date d’expiration ou la fin de durée de conservation est arrivée. Les fichierssauvegardés ou archivés sont indiqués par TSM comme étant expirés en fonction des critères définis dans legroupe de paramètres de sauvegarde ou d’archivage.

ExportationProcessus consistant à copier sur un support externe des définitions d’administrateurs, de postes client et derègles, des informations de contrôle du serveur ou encore des données de fichier.

Expression de caractères génériquesChaîne utilisant les caractères joker pour déterminer un ou plusieurs objet(s) TSM. Voir aussi Caractère joker.

ExtensionProcessus consistant à augmenter l’espace mémoire pouvant être utilisé pour stocker une base de données ou desinformations de journalisation des reprises. Voir aussi Réduction.

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Extension du noyauProgramme opérant des modifications sur certaines parties du noyau qui peuvent être personnalisées pour offrirdes possibilités de services et d’appels supplémentaires. Voir Noyau.

Extension maximumEspace de stockage maximal, exprimé en méga-octets, que vous pouvez affecter à la base de données ou aujournal de reprise.

ExtractionFonction permettant à l’utilisateur de dupliquer une copie d’archivage du pool de stockage vers la station detravail. La copie d’archivage qui demeure dans le pool de stockage n’est pas affectée par l’opération. Voir aussiArchivage.

F

Faire migrer(1) Déplacer des données d’un pool de stockage à un autre défini dans la hiérarchie comme le pool suivant. Cetteopération est régie par les seuils de migration supérieur et inférieur du premier pool de stockage. Voir Seuilsupérieur de migration et Seuil inférieur de migration. (2) Copier un fichier d’un poste client Gestionnaired’espace Tivoli vers un espace de stockage TSM. Le Gestionnaire d’espace Tivoli place un fichier raccord à laplace du fichier original sur le poste client. L’opération est régie par la liste d’inclusion-exclusion et par lesattributs de gestion de l’espace des classes de gestion.

Fenêtre de lancementPériode au cours de laquelle un planning doit être initié.

Fichier de configuration des unitésFichier contenant des informations relatives aux classes d’unité définies ainsi que, sur certains serveurs TSM, desinformations se rapportant aux unités et bibliothèques définies. Le fichier peut être créé à l’aide d’une commandeTSM ou d’une option du fichier des options du serveur. Ces données sont des copies d’informations deconfiguration d’unités enregistrées dans la base de données TSM.

Fichier d’inclusion et d’exclusionSur les clients UNIX et Windows, fichier contenant des instructions utilisées par TSM pour déterminer s’il doitou non sauvegarder ou faire migrer certains fichiers. Ce fichier lui permet également d’identifier les classes degestion associées devant être utilisées pour la sauvegarde, l’archivage ou la gestion de l’espace. Voir Listed’inclusion-exclusion.

Fichier d’options clientFichier pouvant être modifié par le client et contenant un ensemble d’options de traitement relatives au serveur età la méthode de communication utilisée ainsi que des options de sauvegarde, d’archivage, de gestion de l’espaceet de planification. On parle également de fichier dsm.opt.

Fichier d’options du serveurFichier contenant des paramètres qui contrôlent les différentes opérations serveur. Ces paramètres, ou options,affectent les communications, les unités et les performances.

Fichier d’options système d’un clientFichier utilisé sur les clients UNIX qui contient un ensemble d’options de traitement permettant d’identifier lesserveurs TSM à contacter lors des opérations. Ce fichier précise également les méthodes de communicationutilisées ainsi que les options de sauvegarde, d’archivage, de gestion de l’espace et de planification. On parleégalement de fichier dsm.sys. Voir aussi Fichier d’options utilisateur d’un client.

Fichier d’options utilisateur d’un clientFichier créé par l’utilisateur qui est utilisé sur les clients UNIX et qui contient un ensemble d’options detraitement permettant d’identifier le serveur, la méthode de communication utilisée ainsi que des options desauvegarde, d’archivage, de gestion de l’espace et de planification. On parle également de fichier dsm.opt. Voiraussi Fichier d’options système d’un client.

Fichier dsm.optVoir Fichier d’options client et Fichier d’options utilisateur d’un client.

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Fichier dsmserv.optVoir Fichier d’options du serveur.

Fichier dsm.sysVoir Fichier d’options système d’un client.

Fichier endommagéFichier physique dans lequel le gestionnaire TSM a repéré des erreurs de lecture.

Fichier géré par HSMFichier soumis à une migration à partir d’un poste client et rappelé vers ce poste par l’intermédiaire dugestionnaire d’espace (client HSM).

Fichier logiqueFichier client stocké isolément ou sous forme d’agrégat dans un ou plusieurs pool(s) de stockage. Voir aussiAgrégat et Fichier physique.

Fichier macroFichier contenant une ou plusieurs commande(s) d’administration et exécuté à partir d’un client d’administration.Voir aussi Script de commandes TSM.

Fichier physiqueFichier stocké dans un ou plusieurs pool(s) de stockage et comportant soit un seul fichier logique, soit un groupede fichiers logiques assemblés (ou agrégat). Voir aussi Agrégat et Fichier logique.

Fichier stubFichier remplaçant, sur un poste client, un fichier original qui a été migré vers un espace de stockage TSM.

Fonction de montage interneSur un serveur VM, fonction permettant au serveur de requérir le montage de bandes en envoyant un message àl’opérateur de montage. Ce message est envoyé en continu jusqu’à ce que la bande soit montée ou que le délaid’attente de montage soit dépassé.

Fonction de statistiquesFonction qui permet d’enregistrer les statistiques relatives à l’activité des sessions client.

Fonction IUCV (inter-user communication vehicle)Sur un serveur VM, méthode de communication utilisée pour transmettre des données entre les machinesvirtuelles et leurs composants.

Fonctions d’exportation et d’importationVoir Fonctions d’importation et d’exportation.

Fonctions d’importation et d’exportationFonction qui permet aux administrateurs du système de copier des définitions et des données de fichier d’unserveur source vers un support externe afin de déplacer ou copier ces informations d’un serveur à un autre. Unsous-ensemble de données peut être importé vers un serveur cible à partir d’un support externe.

FormatAttribut de classe d’unité qui précise le format d’enregistrement utilisé pour procéder à des opérations de lectureet d’écriture sur un support à accès séquentiel, une bande par exemple.

FréquenceAttribut de groupe de paramètres qui précise l’intervalle minimum, exprimé en nombre de jours, entre deuxsauvegardes incrémentales.

FSIDFile space ID. Identificateur numérique unique que le serveur affecte à un espace fichier lorsque celui-ci eststocké dans sa mémoire.

FTPVoir Protocole de transfert de fichiers.

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G

Gestion de disponibilitéGestion des reprises suite à un incident système relativement courant tel que la défaillance d’une tête de lecturede disque. La reprise se fait généralement à l’aide de l’enregistrement miroir du disque ou d’autres formes de latechnologie RAID. Il est également possible de récupérer des copies de sauvegarde des données sur site.

Gestion de données distribuées (DDM, Distributed Data Management)Fonctionnalité du logiciel commercialisé qui permet à une application (le client) d’utiliser les fonctions d’unprogramme serveur pour travailler sur des fichiers résidant sur un système distant.

Gestion de l’espaceOpération effectuée par le gestionnaire d’espace et consistant à maintenir suffisamment d’espace de stockage libresur un poste client en faisant migrer des fichiers vers un espace de stockage Tivoli Storage Manager. Les critèresde migration des fichiers sont définis dans les classes de gestion qui leur sont associées et dans la listed’inclusion-exclusion. Synonyme de HSM. Voir aussi Migration.

Gestionnaire de bibliothèqueServeur TSM qui contrôle les opérations liées aux unités en cas de partage d’une unité de stockage par plusieursserveurs TSM. Ces opérations incluent le montage, le démontage, l’octroi de droits de propriété sur les volumeset l’inventaire de bibliothèque.

Gestionnaire de communicationComposant OS/2 qui permet à une station de travail de communiquer avec un ordinateur hôte et d’utiliser lesressources de cet hôte ainsi que celles d’autres ordinateurs personnels auxquels la station est rattachée, soitdirectement, soit par l’intermédiaire de l’hôte.

Gestionnaire de configurationServeur TSM qui transmet les informations de configuration à d’autres serveurs TSM (appelés serveurs gérés) parl’intermédiaire de profils. Ces informations peuvent comprendre la règle et le planning. Voir Serveur géré etProfil.

Gestionnaire de reprise après incident (DRM)Fonctionnalité de TSM qui facilite la préparation, et ultérieurement l’utilisation, d’un plan de reprise aprèsincident pour le serveur TSM.

Gestionnaire d’unitéEnsemble de sous-routines qui permettent de gérer l’interface entre des adaptateurs d’E/S d’unité et le processeur.

GrappeDans un environnement Microsoft, ensemble d’ordinateurs autonomes, appelés postes, qui sont configurés pourfonctionner comme un système unique. La configuration en grappe garantit la disponibilité des ressources et desapplications critiques.

Groupe de paramètresObjet règle qui contient les attributs permettant de gérer la création, le placement et la suppression des fichiers desauvegarde et d’archivage. Il existe deux types de groupes de paramètres : sauvegarde et archivage. Les groupesde paramètres appartiennent à des classes de gestion. Voir aussi Fréquence, Destination, Mode, Sérialisation,Conservation et Version.

Groupe de paramètres d’archivageObjet règle qui contient les attributs permettant de gérer la création, le placement et la suppression des fichiersd’archivage. Chaque groupe de paramètres d’archivage appartient à une classe de gestion.

Groupe de paramètres de sauvegardeObjet règle qui contient les attributs permettant de gérer la création, le placement et la suppression des fichiers desauvegarde. Chaque groupe de paramètres de sauvegarde appartient à une classe de gestion.

GUIAbréviation utilisée pour désigner l’interface graphique (Graphical User Interface).

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H

HDAAssemblage de disques.

Hiérarchie de stockageClassement logique de pools de stockage principaux selon les critères définis par l’administrateur bénéficiant desprivilèges système. Généralement, l’ordre choisi est fonction de la rapidité et des capacités des unités utilisés parles pools de stockage. Dans TSM, la hiérarchie de stockage est définie en fonction du pool suivant déterminédans les définitions de pools de stockage. Voir Pool de stockage.

Historique des volumesFichier comportant des informations relatives aux éléments suivants : volumes utilisés pour les sauvegardes et lesvidages de base de données, volumes servant à l’exportation des données concernant les administrateurs, lespostes, les règles ou le serveur et volumes de pool de stockage à accès séquentiel ayant été ajoutés, réutilisés ousupprimés. Ces informations de volume ont été copiées à partir de la base de données TSM.

HP-UXImplémentation Hewlett-Packard du système d’exploitation UNIX.

I

ImportationProcessus consistant à copier sur un serveur externe des définitions d’administrateurs, de postes client et derègles, des informations de contrôle du serveur ou encore des données de fichier, et ce à partir d’un supportexterne.

Informations machineRenseignements relatifs à la machine sur laquelle réside un poste client.

InstantanéVoir Instantané de la base de données.

Instantané de la base de donnéesFonction de TSM permettant de sauvegarder l’intégralité de la base de données TSM sur un support pouvant êtretransporté hors site. L’instantané de la base de données n’interrompt pas les séries de sauvegardes et ne peut pasêtre associé à des sauvegardes de base de données incrémentales. Voir aussi Sauvegarde intégrale.

Interface de programme d’applicationEnsemble de fonctions qu’une application installée sur une plateforme client peut appeler pour enregistrer,interroger ou extraire des objets à partir de l’espace de stockage TSM.

Interface de Programme d’Application (API) de TSMEnsemble de fonctions qu’une application installée sur une plateforme client peut appeler pour enregistrer,interroger ou extraire des objets à partir de l’espace de stockage TSM.

IPX/SPXAbréviation utilisée pour désigner le protocole de communication ″Internetwork Packet Exchange/SequencedPacket Exchange″. IPX/SPX est le protocole de communication de Novell NetWare.

IUCVVoir Fonction IUCV (inter-user communication vehicle).

Jeu de donnéesVoir Jeu de données linéaires.

Jeu de données linéairesType de jeu de données MVS utilisé par le gestionnaire TSM pour la base de données, le journal de reprise et lespools de stockage. Le jeu de données doit être pré-alloué à l’aide de l’utilitaire IDCAMS VSAM et formaté envue de son utilisation par le gestionnaire TSM.

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Jeu de règlesObjet règle comportant un groupe de définitions de classe de gestion valables pour un domaine de règles. Bienqu’un domaine de règles puisse contenir un nombre élevé de jeux de règles, un seul d’entre eux peut être actif àun moment donné. Voir Classe de gestion et Jeu de règles actif.

Jeu de règles actifJeu de règles contenant les règles actuellement utilisées par tous les postes client affectés au domaine de règles.Le jeu de règles actif est le dernier activé du domaine de règles. Voir Jeu de règles.

Jeu de sauvegardesRegroupement de fichiers de sauvegarde portable pour un client unique. La création d’une série de sauvegardesest possible pour certains clients de sauvegarde-archivage sélectionnés servis par un serveur doté des dernièresmises à niveau logicielles.

Journal de repriseJournal regroupant les mises à jour prêtes à être inscrites dans la base de données. Ce journal peut servir à larestauration des systèmes et des supports en cas de défaillance.

Journal des activitésJournal enregistrant les messages d’activité normale générés par le serveur. Les informations contenues serapportent notamment aux opérations effectuées par le serveur et le client (l’heure de début de la session ou leserreurs d’entrée et de sortie d’unités, par exemple). Chaque message comprend un ID, la date et l’heure ainsiqu’un texte descriptif. Il est possible de déterminer le nombre de jours pendant lesquels les messages sontconservés dans le journal.

Journal des erreursFichier texte enregistré sur un support à accès direct et contenant des informations relatives aux erreurs détectéespar le serveur ou le client.

Journalisation d’entrepriseEnvoi des événements de serveurs TSM vers un serveur d’événements désigné. Le serveur d’événement transmetles événements aux récepteurs désignés, par exemple à une sortie utilisateur. Voir aussi Evénement.

K

Kilo-octet (ko)1 024 octets.

koKilo-octet.

L

LANRéseau local (Local Area Network).

LiaisonProcessus consistant à associer un fichier à un nom de classe de gestion. Voir Nouvelle liaison.

Liste d’inclusion d’exclusionGroupe d’instructions d’exclusion et d’inclusion utilisées par TSM. Les options d’exclusion permettentd’identifier les fichiers à ne pas sauvegarder ou ne devant pas être transférés (migration) hors du poste client. Lesoptions d’inclusion définissent les fichiers qui ne sont pas concernés par les règles d’exclusion. Elles serventégalement à affecter une classe de gestion à un fichier ou à un groupe de fichiers dans le cadre de services desauvegarde, d’archivage ou de gestion de l’espace. La liste d’inclusion-exclusion d’un client peut contenir desinstructions issues du fichier d’inclusion-exclusion (pour les clients UNIX) ou du fichier d’options client (pourles autres clients), et du jeu d’options client du serveur.

Liste d’inclusion d’exclusionVoir Liste d’inclusion et d’exclusion.

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LongueurAttribut de classe d’unité qui détermine la longueur de bande d’une cartouche en indiquant l’un des deux typesde supports suivants : cartouche magnétique standard (CST) pour une bande de longueur standard ou cartouchemagnétique double capacité (ECCST) pour une bande de longueur double.

M

Mappage des unitésDéfinition de corrélations pour les noms d’unité entre un serveur TSM et un agent de stockage TSM.

MasqueSéquence de caractères qui détermine si les éléments d’une autre séquence de caractères ou de bits doivent êtreconservés, supprimés ou testés.

Méga-octet (Mo)(1) En termes de capacité de processeur ou de mémoire physique ou virtuelle, désigne une valeur correspondant à220 ou 1 048 576 octets. (2) Cette unité de capacité exprime des capacités de stockage en mémoire de masse etdes vitesses de transmission, correspond à 1 000 000 octets.

Mémoire cacheLors de la migration d’un fichier vers un autre pool de stockage de la hiérarchie, espace mémoire utilisé pourconserver une copie dupliquée sur un support d’accès direct.

Mémoire tamponEspace de stockage utilisé pour compenser les différences de débit lors du transfert de données d’une unité à uneautre.

Méthode de communicationMéthode utilisée par un client et un serveur pour échanger des données.

MigrationDéplacement de données d’un emplacement de stockage à un autre. Voir Migration client et Migration serveur.

Migration clientProcessus consistant à copier un fichier du poste client vers l’espace de stockage TSM et à le remplacer par unfichier raccord sur le poste client. Cette tâche est déterminée par l’utilisateur ainsi que par les attributs de gestionde l’espace définis dans la classe de gestion. Voir aussi Gestion de l’espace.

Migration serveurDéplacement de données, régi par les seuils supérieur et inférieur de migration, d’un pool de stockage au pool destockage suivant. Voir Seuil supérieur de migration et Seuil inférieur de migration.

MinidisqueSubdivision logique d’un disque VM permettant le stockage sur des cylindres de mémoire à accès direct (DASD).Sur un serveur VM, un minidisque peut être défini comme un volume utilisable par la base de données, lejournal de reprise ou un pool de stockage.

Mise hors ligneDans une configuration en grappe Microsoft, processus qui est exécuté lorsqu’une ressource, telle qu’un serveur,tombe en panne et qui consiste à transférer le contrôle des opérations sur une autre ressource de la grappe.

mmMillimètre.

MoMéga-octet.

ModeAttribut de groupe de paramètres indiquant si les fichiers qui n’ont pas été modifiés depuis leur dernièresauvegarde doivent faire l’objet d’une nouvelle sauvegarde. Voir Modifié et Absolu.

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Mode d’accèsAttribut d’un pool ou d’un volume de stockage indiquant si TSM peut écrire ou lire dans ce pool ou volume destockage. Les différents modes d’accès sont Lecture/Ecriture, Lecture seulement ou Non disponible. Pour lesvolumes de pools de stockage principaux, le mode d’accès peut également être Détruit. Pour les volumes depools de stockage de type copie, le mode d’accès peut être Hors site.

Mode de planificationType de planification prévue pour le client et le serveur. TSM prend en charge deux modes de planification pourles opérations client : planification sur interrogation par le client ou sur invite du serveur.

Mode de planification des interrogations par le clientTechnique de communication de type client/serveur : le client interroge le serveur pour effectuer des opérations.

Mode de planification sur invite du serveurTechnique de communication client-serveur dans laquelle c’est le serveur qui contacte le client lorsqu’une tâcheplanifiée doit être accomplie.

ModifiéValeur du mode groupe de paramètres de sauvegarde indiquant que seuls les fichiers ayant changé depuis ladernière sauvegarde peuvent faire l’objet d’une sauvegarde incrémentale. On considère qu’un fichier a étémodifié en cas de changement dans sa date, sa taille, son propriétaire ou les autorisations qui lui sont associées.Voir Mode et Absolu.

MontageAction de placer un support de données, par exemple une cartouche, dans une unité en position defonctionnement.

MotifInterface graphique utilisée pour la gestion de fenêtres et offrant des fonctionnalités de développement de hautniveau. Cette interface permet d’afficher sous forme d’icônes les systèmes de fichiers sous UNIX. Egalementappelée -Windows/Motif ou Motif X-Toolkit.

MSCSMicrosoft Cluster Server.

Multiple Virtual Storage (MVS)L’une des familles de systèmes d’exploitation IBM pour le processeur System/370 ou System/390, telles queMVS/ESA.

MVSMultiple Virtual Storage.

N

NetBIOSNetwork Basic Input/Output System.

Network Basic Input/Output System (NetBIOS)Interface de système d’exploitation utilisée sur des micro-ordinateurs IBM connectés au réseau IBM Token-Ring.

Network File System (NFS)Protocole mis au point par Sun Microsystems et qui développe les services de fichier réseau du protocole TCP/IP.Le système de fichiers NFS permet d’afficher des fichiers situés sur un poste distant comme s’ils étaient stockéssur la station de travail locale.

NFSNetwork File System.

Nombre maximal de points de montageAttribut de classe d’unité indiquant le nombre maximal de volumes accessibles simultanément à partir d’unemême classe d’unité ou, en d’autres termes, le nombre maximal de points de montage. Voir Point de montage.

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Nom d’unitéSur un serveur MVS, attribut de classe d’unité désignant un groupe d’unités à bande utilisés avec le serveur. Lesnoms génériques de périphérique, les noms d’unité personnalisés et les périphériques physiques peuvent être desnoms d’unité.

Notify operatorID utilisateur de VM désignant un opérateur recevant des messages relatifs aux erreurs et incidents majeurs.

Nouvelle liaisonProcessus consistant à associer un fichier à un un fichier sauvegardé avec un nom de classe de gestion. Parexemple, une nouvelle liaison est formée lors de la suppression de la classe de gestion associée à un fichier. VoirLiaison.

NoyauPartie du système d’exploitation assurant des fonctions élémentaires comme l’affectation des ressourcesmatérielles.

O

ObjetEnsemble de données gérées comme une entité unique.

Objet géréDéfinition distribuée à un serveur géré par un gestionnaire de configuration et qui figure dans la base de donnéesTSM de ce serveur. La modification locale de cette définition sur le serveur géré est généralement impossible.Lorsqu’un serveur géré souscrit à un profil, tous les objets associés à ce profil deviennent des objets gérés dansla base de données du serveur. Les objets gérés peuvent inclure des règles, des plannings, des jeux d’optionsclient, des scripts de serveurs, des enregistrements d’administration ainsi que des définitions de serveur et degroupe de serveurs.

Occupation logiqueEspace requis pour le stockage de fichiers logiques dans un pool de stockage. L’occupation logique ne prend pasen compte l’espace inutilisé créé lors de la suppression d’un fichier logique d’un agrégat ; c’est pourquoi cettevaleur peut être inférieure à celle de l’occupation physique. Voir aussi Fichier physique et Fichier logique.

Occupation physiqueVolume occupé par des fichiers physiques dans un pool de stockage. Il s’agit de l’espace total requis pour stockerces fichiers, comprenant également l’espace inutilisé créé lorsque des fichiers logiques sont supprimés desagrégats. Voir aussi Fichier physique, Fichier logique et Occupation logique.

Opérateur de montageSur un serveur VM, ID utilisateur pouvant recevoir des messages de montage de bande envoyés par le serveur.

Operating System/2 (OS/2)Système d’exploitation utilisé sur les ordinateurs IBM PC AT, PS/2 et compatibles IBM.

OS/400Operating System/400.

OS/390Operating System/390.

OS/2Operating System/2.

P

Page(1) Bloc d’instructions, de données ou d’une combinaison des deux. (2) Dans le contexte TSM, unité d’allocationd’espace dans les volumes de la base de données. (3) Dans les systèmes de stockage virtuel, bloc fixe pourvud’une adresse virtuelle et transféré sous forme d’unité entre un espace de stockage réel et un espace de stockageauxiliaire.

107Tivoli Storage Manager pour AIX Initiation

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Page de codesAffectation de caractères graphiques et de fonctions de contrôle à tous les points de code (affectation decaractères et de fonctions de contrôle à 256 points de code pour un code sur 8 bits et affectation de caractères etde fonctions de contrôle à 128 points de code pour un code sur 7 bits, par exemple). La page de codes décrit lamanière dont les valeurs binaires sont mappées vers des caractères humainement compréhensibles.

Pagination(1) Transfert d’instructions, de données ou d’une combinaison des deux, entre un espace de stockage réel et unespace de stockage de page externe. (2) Déplacement de données entre la mémoire et un support de mémoire demasse suivant les besoins en données.

Périmé (statut de copie)Indique qu’une copie de volume n’est pas accessible à la base de données ou au journal de reprise.

Plan de reprise après incidentDocument contenant des informations relatives à la méthode de récupération des systèmes informatiques en casd’incident majeur. Le gestionnaire de reprise après incident Tivoli (DRM) permet de créer le plan de reprise d’unserveur TSM. Ce plan est un fichier dans lequel sont enregistrées des informations sur les ressources logicielleset matérielles utilisées par le serveur TSM ainsi que l’emplacement du support de reprise.

Planificateur centralFonctionnalité permettant à un administrateur de programmer l’activité du client ainsi que des commandesd’administration. Il peut faire en sorte que ces opérations aient lieu périodiquement ou à une date précise. VoirPlanning client et Planning des commandes d’administration.

PlanningEnregistrement de base de données décrivant les opérations client planifiées ou les commandes d’administration.Voir Planning des commandes d’administration et Planning client.

Planning clientEnregistrement de la base de données décrivant le traitement d’une tâche client planifiée pour une périodedéterminée. Cette opération peut être une sauvegarde, un archivage, une restauration, une extraction, unecommande du système d’exploitation client ou encore une macro. Voir aussi Planning des commandesd’administration.

Planning des commandes d’administrationEnregistrement d’une base de données qui décrit le processus d’une commande administrative pour une périodedéterminée. Voir aussi Planning client.

PlateformeEnvironnement de système d’exploitation dans lequel un programme est exécuté.

Point de montageUnité logique par laquelle le gestionnaire TSM accède à des volumes dans une classe d’unité à accès séquentiel.Dans le cas d’une classe d’unité à support d’information amovible (par exemple de type CARTRIDGE), le pointde montage est une unité logique associée à une unité physique. Pour une classe d’unité dont le support est detype FILE, un point de montage est une unité logique associée à un flux 1/0. Le nombre de points de montaged’une classe d’unité donnée est déterminé par le nombre maximal de points de montage qui lui est associé. VoirNombre maximal de points de montage.

Pool de mémoires tamponsEspace défini temporairement sur le serveur et destiné à recevoir des pages de la base de données ou du journalde reprise. Voir Pool de mémoires tampons d’une base de données et Pool de mémoires tampons du journal dereprise.

Pool de mémoires tampons du journal de repriseUtilisé pour conserver les enregistrements des nouvelles transactions jusqu’à ce qu’elles puissent être inscritesdans le journal de reprise.

Pool de mémoires tampons d’une base de donnéesEspace de stockage utilisé comme cache pour mettre en mémoire des pages de base de données pendant unepériode relativement longue. Le serveur peut ainsi effectuer en continu des mises à jour de ces pages sans avoir àprocéder à des opérations d’entrée et de sortie (E/S) à partir d’une unité de stockage externe.

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Pool de stockageEnsemble de volumes de stockage identifié par un nom qu’utilise TSM pour stocker les données client. Il existedeux types de pools de stockage : les pools de stockage principaux et les pools de stockage de type copie. VoirPool de stockage principal et Pool de stockage de type copie.

Pool de stockage de type copieEnsemble de volumes identifié par un nom et contenant la copie de fichiers résidant dans les pools de stockageprincipaux. Ce type de pool est utilisé uniquement pour la sauvegarde de données enregistrées dans les pools destockage principaux. Ni les groupes de paramètres de sauvegarde, ni ceux d’archivage, ni une classe de gestion(pour les fichiers gérés par HSM) ne peuvent être placés dans un pool de stockage de type copie. Voir Pool destockage principal et Destination.

Pool de stockage principalJeu de volumes identifié par un nom et utilisé par le gestionnaire TSM pour stocker les copies de sauvegarde etd’archivage des fichiers, ainsi que les fichiers migrés depuis des postes client HSM. Les pools de stockageprincipaux peuvent être sauvegardés dans des pools de stockage de copie. Voir Destination et Pool de stockagede type copie.

Poste(1) Nom unique permettant au serveur d’identifier un poste de travail. Voir aussi Poste client. (2) Dans uneconfiguration en grappe Microsoft, désigne chacun des ordinateurs composant la grappe. Voir Grappe.

Poste clientServeur de fichiers ou station de travail sur lequel ou laquelle un programme client de sauvegarde-archivage estinstallé et qui est enregistré(e) auprès du serveur.

Préfixe de volume sur bandeAttribut de classe d’unité constituant le qualifiant de niveau supérieur du nom de fichier ou de jeu de donnéesdans le label de bande standard.

PrémigrationPour un client HSM, opération consistant à copier des fichiers prêts à migrer dans un espace de stockage TSMtout en laissant les fichiers originaux intacts sur le système local.

Processus d’arrière-planProcessus du serveur qui s’exécute en arrière-plan et permet d’utiliser la session d’administration pour d’autrestâches.

Processus démonSous AIX, traitement lancé par le superutilisateur ou par le shell root et que seul le superutilisateur peut arrêter.En règle générale, ce processus donne accès à des services qui doivent être disponibles à tout moment, letransfert de données vers une imprimante par exemple.

Processus d’exitSur un serveur VM, machine virtuelle qui exécute les codes exit de montage et exit de suppression pour toutel’installation.

ProfilGroupe d’informations de configuration identifié par un nom et qui peut être distribué à partir d’un gestionnairede configuration lors de la souscription d’un serveur géré. Les informations de configuration peuvent inclure lesadministrateurs enregistrés, les règles, les plannings client, les jeux d’options client, les planningsd’administration, les macros de serveur, les définitions de serveur et les définitions de groupes de serveurs. VoirGestionnaire de configuration et Serveur géré.

Programme client de bibliothèqueServeur TSM qui utilise des communications serveur à serveur pour contacter un gestionnaire de bibliothèque oudemander des services relatifs aux unités en cas de partage d’une unité de stockage par plusieurs serveurs TSM.

PropriétairePropriétaire de fichiers de sauvegarde-archivage envoyés à partir d’un poste client multi-utilisateurs, par exempleAIX.

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Protocole de communicationEnsemble d’interfaces définies pour permettre aux ordinateurs de communiquer entre eux.

Protocole de transfert de fichiers FTP (File Transfer Protocol)Dans le protocole TCP/IP, protocole permettant le transfert de données entre différents hôtes ainsi que l’utilisationindirecte d’hôtes externes.

Q

QICQuarter-inch cartridge (format de bande magnétique).

R

RandomisationPourcentage de la fenêtre de lancement que le serveur peut utiliser pour attribuer des heures de lancement àdivers postes clients associés à un planning.

RappelFonction permettant aux utilisateurs d’accéder à des fichiers qui ont été soumis à une migration de leur station detravail vers un espace de stockage TSM par l’intermédiaire du gestionnaire d’espace (client HSM). Voir aussiMigration.

RécupérationRegroupement des données résiduelles de plusieurs volumes à accès séquentiel dans un nouveau volume unique àaccès séquentiel.

RéductionLibération d’un espace suffisant pour pouvoir supprimer un volume de la base de données ou du journal dereprise. Voir aussi Extension.

Réduction maximumEspace de stockage maximal, exprimé en méga-octets, que vous pouvez retrancher de la base de données ou dujournal de reprise.

REELSur les serveurs TSM qui la prennent en charge, classe d’unité qui désigne les unités à bande acceptant lesbandes à bobine, telle l’unité à bande à neuf pistes 3420.

Reply operatorSur un serveur VM, ID utilisateur VM désignant l’opérateur chargé de répondre aux requêtes de montage debande envoyées par le serveur.

Reprise après incidentReprise après un incident majeur survenu sur les systèmes informatiques. Un tel incident peut être, par exemple,l’impossibilité de retrouver l’emplacement d’un système à la suite d’une coupure provoquée par un orage. Afinde se prémunir contre de telles catastrophes, les données de sauvegarde sont conservées hors site.

Requête de montageRequête serveur demandant le montage d’un volume à accès séquentiel en vue de la lecture ou de l’écriture dedonnées sur ce support.

Réseau local (LAN)Réseau faisant communiquer des unités entre elles et qui peut être relié à un réseau plus vaste.

RestaurationRenvoi d’une copie de sauvegarde vers un emplacement de stockage actif en vue d’une utilisation. Legestionnaire TSM dispose de processus lui permettant de restaurer la base de données, les pools de stockage, lesvolumes de pools de stockage et les fichiers utilisateur sauvegardés. Par exemple, un utilisateur peut copier uneversion de sauvegarde d’un fichier du pool de stockage vers la station de travail. La version de sauvegarde dupool de stockage n’est pas affectée par l’opération. Voir aussi Sauvegarde.

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S

SANStorage area network.

SauvegardeProcessus consistant à faire une copie de données pour les préserver. Le gestionnaire TSM peut effectuer dessauvegardes des fichiers, de la base de données et des pools de stockage. Par exemple, les utilisateurs peuventsauvegarder un ou plusieurs fichiers dans un pool de stockage afin de se prémunir contre une perte de données.Voir aussi Restauration, Série de sauvegardes de la base de données et Sauvegarde incrémentale.

Sauvegarde incrémentale(1) Fonction permettant aux utilisateurs de sauvegarder des fichiers ou des répertoires créés ou modifiés depuis ladernière sauvegarde incrémentale. Grâce à cette fonction, il est possible de sauvegarder à partir d’un domaineclient des fichiers et les répertoires auxquels ne s’appliquent pas les règles d’exclusion de la listed’inclusion-exclusion et dont les paramètres de fréquence, de mode et de sérialisation correspondent aux critèresdéfinis dans le groupe de paramètres de sauvegarde de la classe de gestion des fichiers. Voir aussi Sauvegardesélective. (2) Fonction TSM qui permet de ne copier que les pages d’une base de données qui ont été créées oumodifiées depuis la dernière sauvegarde intégrale ou incrémentale. Voir aussi Sauvegarde intégrale et Série desauvegardes de la base de données.

Sauvegarde intégraleFonction de TSM permettant de copier la base de données dans son intégralité. Ce type de sauvegarde entraîne lelancement d’une nouvelle série de sauvegardes de la base de données. Voir aussi Sauvegarde incrémentale etInstantané de la base de données. Voir Série de sauvegardes de la base de données.

Sauvegarde sélectiveFonction permettant à l’utilisateur de sauvegarder des fichiers ou répertoires provenant d’un domaine client. Lasauvegarde sélective peut s’appliquer à des fichiers ou à des répertoires qui ne font pas partie de la listed’inclusion-exclusion et qui répondent aux conditions de sérialisation définies dans le groupe de paramètres desauvegarde correspondant à leur classe de gestion. Voir aussi Sauvegarde incrémentale.

ScriptVoir Script de commandes TSM.

Script de commandes TSMSéquence de commandes d’administration TSM stockée dans la base de données TSM. Un script peut contenirdes variables de substitution pour des paramètres de commande et des éléments conditionnels. Un script peuts’exécuter depuis toute interface connectée au serveur.

SCSIType d’interface système (Small computer system interface).

SectionEnsemble de lignes d’un fichier assurant une fonction en commun ou définissant une partie du système. Chaquesection porte un nom et est généralement séparée des autres sections par un point ou une ligne vierge.

Séparateur(1) Caractère utilisé pour indiquer le début et la fin d’une chaîne de caractères. (2) Caractère qui permet deregrouper ou de séparer des mots ou des valeurs d’une ligne de saisie.

SérialisationAttribut de groupe de paramètres indiquant le comportement du gestionnaire TSM lorsque les fichiers sontmodifiés en cours de sauvegarde ou d’archivage. Selon la valeur de cet attribut, l’opération peut se poursuivre,être arrêtée ou reportée. Voir Statique, Dynamique, Statique partagé et Dynamique partagé.

Série de sauvegardesVoir Série de sauvegardes de la base de données.

Série de sauvegardes de la base de donnéesSauvegarde intégrale de la base de données, à laquelle s’ajoutent jusqu’à 32 sauvegardes incrémentales effectuéesà partir de la sauvegarde intégrale. Toute sauvegarde intégrale lancée entraîne une nouvelle série de sauvegardesde la base de données. Chaque série de sauvegardes est identifiée par un numéro.

111Tivoli Storage Manager pour AIX Initiation

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Page 130: Tivoli Storage Manager pour AIX Initiationpublib.boulder.ibm.com/tividd/td/SMAIXN/GC35-0402-01/.../anraqs41.pdfAIX Application System/400 APPN AS/400 AT C/370 ... 14 Introduction

ServeurVoir Serveur de bandothèque.

ServeurProgramme fournissant aux clients des services de sauvegarde, d’archivage et de gestion de l’espace ainsi que desservices d’administration. Le programme serveur doit se situer au niveau requis pour pouvoir offrir toutes cesfonctionnalités.

Serveur cibleServeur susceptible de recevoir des données envoyées à partir d’un autre serveur. Voir aussi Serveur source etVolume virtuel.

Serveur de bandothèquesBandothèque automatisée comportant des composants mécaniques, des emplacements de stockage de cartouches,des sous-systèmes de bande IBM et des dispositifs de contrôle matériels et logiciels. Le serveur de labandothèque prend en charge le montage et le démontage des cartouches sans intervention d’un opérateur.

Serveur d’événementsServeur auquel les autres serveurs transmettent des événements pour consignation dans le journal. Le serveurd’événements transmet les événements à tous les récepteurs activés pour les événements du serveur detransmission.

Serveur géréServeur TSM recevant des informations de configuration d’un gestionnaire de configuration suite à lasouscription d’un ou de plusieurs profil(s). Les informations de configuration peuvent notamment comprendre desdéfinitions d’objets tels que les règles et les plannings. Voir Gestionnaire de configuration, Souscription et Profil.

Serveur hôteDésigne le système sur lequel le programme Tivoli Data Protection pour Workgroups s’exécute. Tivoli StorageManager procure des services de planification au serveur hôte.

Serveur sourceServeur capable de transmettre à un autre serveur des données sous forme de volumes virtuels. Voir aussi Serveurcible.

Serveur virtuelDans une configuration en grappe Microsoft, groupe de grappes MSCS qui apparaît comme étant un serveurWindows unique. Le serveur virtuel comporte un nom dans le réseau, une adresse IP, un ou plusieurs disquesphysiques et un service.

Services de gestion d’espace de stockageComposant permettant à un système central de faire office de serveur de sauvegarde, d’archivage et de gestion del’espace des fichiers pour les serveurs de fichiers et les stations de travail d’un réseau local.

Services réseau/DOS (NS/DOS)Produit logiciel qui prend en charge le protocole de communication APPC (Advanced Program to ProgramCommunication) dans les environnements DOS et Microsoft Windows 3.1. Avec NS/DOS, les applications decommunication résidant sur votre station de travail «discutent» avec des applications partenaires sur d’autressystèmes qui prennent en charge le protocole de communication APPC.

Session d’administrationPériode pendant laquelle l’ID utilisateur d’un administrateur est utilisé sur un serveur pour effectuer des tâchesd’administration. Voir aussi Session d’un poste client.

Session d’un poste clientPériode pendant laquelle un utilisateur peut communiquer avec un serveur pour lancer des requêtes desauvegarde, d’archivage, de restauration, d’extraction, de migration ou encore de rappel. Voir aussi Sessiond’administration.

Seuil de récupérationPourcentage d’espace récupérable dont un volume à accès séquentiel doit disposer pour que le serveur puisserécupérer le volume. L’espace devient récupérable après expiration ou suppression des fichiers. Ce pourcentageest défini pour chaque pool de stockage.

112 Version 4.2

Page 131: Tivoli Storage Manager pour AIX Initiationpublib.boulder.ibm.com/tividd/td/SMAIXN/GC35-0402-01/.../anraqs41.pdfAIX Application System/400 APPN AS/400 AT C/370 ... 14 Introduction

Seuil inférieur de migrationPourcentage de la capacité du pool de stockage en deçà duquel TSM peut arrêter la migration des fichiers vers lepool de stockage suivant. Voir aussi Seuil supérieur de migration et Migration serveur.

Seuil supérieur de migrationPourcentage de la capacité du pool de stockage qui indique quand TSM doit commencer à faire migrer lesfichiers vers le pool de stockage disponible suivant dans la hiérarchie. Voir aussi Seuil inférieur de migration etMigration serveur.

ShellDans les environnements AIX et UNIX, interface logicielle entre un utilisateur et le système d’exploitation d’unordinateur. Les programmes du shell interprètent les commandes de l’utilisateur et ses réponses sur des unitéstelles que le clavier, les dispositifs de pointage ou les écrans tactiles et transmettent les informations ainsirecueillies au système d’exploitation.

SMITAbréviation utilisée pour désigner l’outil d’administration System Management Interface Tool.

SNA LU6.2Abréviation de Systems Network Architecture Logical Unit6.2 ; voir Systems Network Architecture.

Socket(1) Terminal de communication entre des processus ou des applications. (2) Paire constituée d’un port TCP etd’une adresse IP ou d’un port UDP et d’une adresse IP.

SouscriptionMéthode par laquelle un serveur géré demande à recevoir les informations de configuration associées à un profildonné sur un gestionnaire de configuration. Voir Serveur géré, Gestionnaire de configuration et Profil.

Standard UnicodeStandard universel d’encodage de caractères qui prend en charge l’échange, le traitement et l’affichage de texterédigé dans n’importe laquelle des langues du monde actuel. Le standard Unicode prend également en charge denombreux textes classiques et historiques, et il est continuellement étendu. Il est compatible avec la normeISO/IEC 10646. Pour en savoir plus, consultez le site http://www.unicode.org .

StatiqueValeur de sérialisation de groupe de paramètres indiquant qu’un fichier ne doit pas être modifié au cours d’unesauvegarde ou d’un archivage. Si un fichier est modifié à l’une de ces occasions, TSM n’effectue pas desauvegarde ni d’archivage. Voir aussi Sérialisation, Dynamique, Dynamique partagé et Statique partagé.

Statique partagéValeur de sérialisation de groupe de paramètres indiquant qu’un fichier ne doit pas être modifié au cours d’unesauvegarde ou d’un archivage. TSM tente de renouveler l’opération un certain nombre de fois. Si le fichier estutilisé en chacune de ces occasions, l’archivage ou la copie n’ont pas lieu. Voir aussi Sérialisation, Dynamique,Dynamique partagé et Statique.

Statut de copieEtat des copies de volumes défini dans la base de données ou le journal de reprise. Les différents statutspossibles sont les suivants : synchronisé, périmé, hors-ligne ou non défini.

Storage area network (SAN)Réseau de communication ultra-rapide qui est optimisé pour le stockage.

SuperutilisateurVoir Utilisateur root.

Support à accès directTout volume auquel l’accès ne se fait pas de manière séquentielle. Dans TSM, l’accès aux volumes ne se fait pasde manière séquentielle s’ils résident dans la classed’unité DISK.

Support à accès séquentielTout volume dont l’accès se fait de manière séquentielle, par opposition à l’accès direct. Dans TSM, l’accès auxvolumes se fait de manière séquentielle s’ils résident dans une autre classe d’unité que la classe DISK.

113Tivoli Storage Manager pour AIX Initiation

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Page 132: Tivoli Storage Manager pour AIX Initiationpublib.boulder.ibm.com/tividd/td/SMAIXN/GC35-0402-01/.../anraqs41.pdfAIX Application System/400 APPN AS/400 AT C/370 ... 14 Introduction

Support d’amorçageSupport comprenant un système d’exploitation ainsi que d’autres fichiers indispensables pour pouvoir lancer unestation de travail ou un serveur.

Support de repriseSupport contenant les données nécessaires à la restauration du serveur TSM et des clients.

Support de reprise hors siteSupport conservé à un emplacement séparé pour assurer sa sécurité en cas d’incident majeur sur le systèmeinformatique principal. Ce support comporte des données nécessaires à la restauration du serveur TSM et desclients. Le gestionnaire du support de reprise hors site, qui fait partie du gestionnaire de reprise après incident(DRM), identifie les supports de reprise qu’il convient de déplacer du site principal à l’emplacement secondaireet inversement et assure le suivi de l’état des supports.

Synchronisé (statut de copie)S’applique à l’unique copie d’un volume ou à un volume synchronisé avec d’autres copies dans la base dedonnées ou le journal de reprise. Le statut synchronisé implique que l’établissement des copies miroir acommencé.

Système géréClient ou serveur qui demande des services de la part du serveur Tivoli Storage Manager.

Systems Network Architecture (SNA)Ensemble de règles définissant les modalités de transmission de données sur un réseau. Une couche du systèmeSNA, appelée APPC (Advanced Program-to-Program Communications), permet aux applications de communiquerentre elles.

T

Taille du pool du journalTaille d’une zone de la mémoire dans laquelle sont stockées les pages du journal de reprise.

TCP/IPVoir Transmission Control Protocol/Internet Protocol.

TelnetDans TCP/IP, protocole assurant l’ouverture de la connexion au système.

Tivoli Storage Manager (TSM)Programme de type client/serveur qui permet la gestion de l’espace de stockage des clients dans unenvironnement informatique multiconstructeur.

Transfert de données indépendant du réseau localTransfert direct des données client entre un client et une unité de stockage via un réseau SAN (Storage areanetwork), plutôt que par le réseau local.

Transmission Control Protocol/Internet Protocol (TCP/IP)Ensemble de protocoles de communication assurant la prise en charge des fonctions d’interconnectivité sur lesréseaux locaux et étendus.

TSMTivoli Storage Manager.

Type d’unitéCatégorie d’unité de stockage. Chaque classe d’unité est associée à l’un des types d’unité pris en charge, DISKou CARTRIDGE par exemple.

U

UCS-2Universal Character Set. Format d’encodage sur 2 octets conforme à la norme ISO/IEC 10646. Le client TSMWindows NT et Windows 2000 utilise la page de codes UCS-2 lorsqu’il est configuré pour prendre en charge lestandard Unicode.

114 Version 4.2

Page 133: Tivoli Storage Manager pour AIX Initiationpublib.boulder.ibm.com/tividd/td/SMAIXN/GC35-0402-01/.../anraqs41.pdfAIX Application System/400 APPN AS/400 AT C/370 ... 14 Introduction

UnitéUnité utilisée pour lire ou écrire des données sur un support tel qu’un disque, un disque optique ou une bande.

UNIX System ServicesServices MVS/ESA qui prennent en charge un environnement au sein duquel les systèmes d’exploitation, lesserveurs, les systèmes distribués et les stations de travail partagent des interfaces communes. UNIX SystemServices permet de développer des applications standard compatibles avec des systèmes multiconstructeur et enconformité avec la norme POSIX. UNIX System Services correspond à l’ancien système MVS OpenEdition.

UTF-8Unicode transformation format - 8. Format d’encodage orienté octet qui est défini par le standard Unicode.

Utilisateur rootDans les environnements AIX et UNIX, utilisateur détenant les droits de superutilisateur. Un superutilisateur estautorisé à se connecter et à exécuter des commandes à accès restreint, à arrêter le système et à modifier ousupprimer des fichiers protégés.

Utilisation de l’espacePourcentage de la capacité affectée utilisée à un moment donné par la base de données ou le journal de reprise.

Utilisation des ressources sessionRegroupe le temps d’attente, le temps d’accès et l’espace utilisé ou extrait au cours d’une session client.

V

ValidationOpération consistant à vérifier que le jeu de règles actif contient une classe de gestion par défaut et à signaler leséventuelles erreurs de définition de groupe de paramètres.

ValiderEnregistrer les modifications apportées à une base de données. Ces modifications ne sont pas conservées si ellesne sont pas validées.

VersionCopie de sauvegarde d’un fichier stockée dans la mémoire d’un serveur. La plus récente copie de sauvegarded’un fichier est la version active. Les copies antérieures de ce même fichier sont des versions inactives. Lenombre de versions conservées sur le serveur est déterminé par les attributs du groupe de paramètres de la classede gestion.

Version activeLa plus récente copie de sauvegarde d’un fichier enregistrée par TSM. Ce type de fichier est exclu du processusde suppression tant qu’une sauvegarde n’a pas détecté son remplacement par une version plus récente ou sasuppression de la station de travail par l’utilisateur. Voir aussi Version inactive.

Version de sauvegardeFichier, répertoire ou espace fichier qu’un utilisateur a sauvegardé et qui réside sur l’espace de stockage duserveur TSM. Il peut exister plusieurs versions de sauvegarde dans le pool de stockage, mais il ne peut y enavoir plus d’une active. Voir Version active et Version inactive.

Version inactiveVersion de sauvegarde d’un fichier pour lequel une sauvegarde plus récente existe. La possibilité ou non delancer un processus d’expiration pour les versions de sauvegarde inactives dépend de la classe de gestion affectéeau fichier correspondant. Voir aussi Version active.

Vidage d’une base de donnéesTâche exécutée par l’utilitaire DSMSERV DUMPDB (commande DMPADSM dans les systèmes AS/400), quiconsiste à copier les entrées d’une base de données TSM sur un support en vue d’un rechargement ultérieur encas d’incident majeur.

Virtual Machine (VM)L’une des familles de systèmes d’exploitation IBM pour le processeur System/390, telles que VM/ESA.

115Tivoli Storage Manager pour AIX Initiation

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Page 134: Tivoli Storage Manager pour AIX Initiationpublib.boulder.ibm.com/tividd/td/SMAIXN/GC35-0402-01/.../anraqs41.pdfAIX Application System/400 APPN AS/400 AT C/370 ... 14 Introduction

Virtual Storage Extended (VSE)L’une des familles de systèmes d’exploitation IBM pour le processeur System/390, telles que VSE/ESA.

VMVirtual Machine.

VolumeUnité élémentaire de stockage dans la base de données, le journal de reprise et les pools de stockage de TSM.Les volumes peuvent être des volumes logiques, des fichiers d’un système de fichiers standard, des cartouches àbande ou des cartouches optiques. Chaque volume est identifié par un identificateur de volume unique. VoirVolume de base de données, Volume scratch et Volume de pool de stockage.

Volume de base de donnéesVolume affecté à la base de données TSM.

Volume de pool de stockageVolume affecté à un pool de stockage TSM. Voir Volume, Pool de stockage de type copie et Pool de stockageprincipal.

Volume hors siteVolume de support amovible situé à un emplacement auquel il ne peut être monté et utilisé.

Volume logique(1) Portion d’un volume physique qui contient un système de fichiers. (2) Pour le serveur TSM, espace combinéde tous les volumes définis soit sur la base de données, soit sur le journal de reprise. La base de données et lejournal de reprise constituent chacun un volume logique.

Volume scratchVolume utilisable par le gestionnaire TSM. Ce volume porte un label, peut être vierge ou ne pas contenir dedonnées correctes, et n’est pas défini vis-à-vis du serveur TSM.

Volume virtuelVolume qui apparaît comme un volume de support à accès séquentiel sur un serveur source, mais qui est enréalité stocké sous forme de fichier archive sur un serveur cible.

VSEVirtual Storage Extended.

W

WORMType de support optique non effaçable et non réinscriptible.

X

X WindowsSystème de fenêtrage transparent pour le réseau développé par le MIT. X Windows constitue la base d’autresproduits, comme Enhanced X Windows qui tourne sur le système d’exploitation AIX.

Z

z/OSSystème d’exploitation IBM reposant sur l’architecture 64 bits z/Architecture.

116 Version 4.2

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Index

Aaccès CompuServe pour les mises à jour d’entretien 77accès Internet pour les mises à jour 77ACTIVATE POLICYSET, commande 47activation

jeu de règles 47serveur 16

activation des communications 21adaptateurs réseau multiples 22administrateur

attribution d’autorité 29enregistrement 29

administration, commandesACTIVATE POLICYSET 47COPY DOMAIN 45DEFINE ASSOCIATION 49DEFINE DEVCLASS 39, 40DEFINE DRIVE 39, 40DEFINE LIBRARY 39, 40DEFINE SCHEDULE 49, 51DEFINE STGPOOL 39, 41DEFINE VOLUME 29DSMSERV DUMPDB 4EXPIRE INVENTORY 47, 51HALT 16QUERY EVENT 50, 51QUERY STGPOOL 41REGISTER LICENSE 17REGISTER NODE 30UPDATE COPYGROUP 46UPDATE STGPOOL 44VALIDATE POLICYSET 46

aideen ligne 77

ajout d’une bibliothèque au système 38, 39, 40anglais, variable de langue 7archivage

description xv, 15, 54sur bande 31, 44, 45taille du pool 29

arrêt 16, 17client 17serveur 16

associationde clients et de domaines de règles 45de clients et de plannings 49

attribution d’autorité aux administrateurs 29automatisation

commandes d’administration 51opérations client 49, 58

Bbande 42

écriture de labels de volume 42initialisation de volumes 42sauvegarde 30unités 30, 38, 40

base de donnéesdéfinition 28taille 28volumes 28

bibliothèque TSMdescription 56manuelle 30

bosinst.data, fichier 75

Ccaractéristiques des versions de langue nationale 75chinois, variable de langue 7classe de gestion

description 55par défaut 47, 48

client d’administrationarrêt 17démarrage 16description 53interface Web 6, 17, 61nom et mot de passe 16

client de sauvegarde-archivagedescription 53enregistrement 30

commande de fichier exécutable 6commandes

DSMSERV RUNFILE 17commandes client

QUIT 17SELECTIVE 15

commandes d’administrationACTIVATE POLICYSET 47COPY DOMAIN 45DEFINE ASSOCIATION 49DEFINE DEVCLASS 39, 40DEFINE DRIVE 39, 40DEFINE LIBRARY 39, 40DEFINE SCHEDULE 49, 51DEFINE STGPOOL 39, 41DEFINE VOLUME 29DSMSERV DUMPDB 4EXPIRE INVENTORY 47, 51HALT 16QUERY EVENT 50, 51QUERY STGPOOL 41

117Tivoli Storage Manager pour AIX Initiation

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Page 136: Tivoli Storage Manager pour AIX Initiationpublib.boulder.ibm.com/tividd/td/SMAIXN/GC35-0402-01/.../anraqs41.pdfAIX Application System/400 APPN AS/400 AT C/370 ... 14 Introduction

commandes d’administration (suite)REGISTER LICENSE 17REGISTER NODE 30UPDATE COPYGROUP 46UPDATE STGPOOL 44VALIDATE POLICYSET 46

concepts TSM 53configuration d’unité

bibliothèques automatiques 30connexion au serveur par l’interface Web 17console TSM

ajout de dérouleurs de bande 38, 40création de volumes de pool de stockage sur disque 29

consultationévénements 50, 51volumes de pool de stockage 41

convention culturelle/langue 7conventions utilisées dans la documentation xiiiCOPY DOMAIN, commande 45correctifs (PTF) 77création de volumes de pool de stockage sur disque 29

DDEFINE ASSOCIATION, commande 49DEFINE DEVCLASS, commande 39, 40DEFINE DRIVE, commande 39, 40DEFINE LIBRARY, commande 39, 40DEFINE SCHEDULE, commande 49, 51DEFINE STGPOOL, commande 39, 41DEFINE VOLUME, commande 29, 42définition

administrateur 29bibliothèque 39, 40classe d’unité 38, 40classe de gestion 45domaine de règles 45groupe de paramètres d’archivage 45groupe de paramètres de sauvegarde 45jeu de règles 45pool de stockage 39, 41poste client 30règles 45unité 38, 39, 40volume de base de données 28volume de journal de reprise 28volume de pool de stockage 29volume de pool de stockage sur disque 29

démarrageclient d’administration 16planificateur client 49serveur 16

description de classe d’unité 56documentation, TSM 85documentation en ligne 13domaine de règles

association d’un client avec 45définition 45

dsmsched.log 50

dsmserv, fichier exécutable pour client Web 6dsmserv.dsk, fichier 4, 12DSMSERV DUMPDB, commande 4

Eenregistrement

administrateur 29poste client 30

environnement, langue 7expiration

description 55intervalle (option de serveur) 47option de serveur 16, 47traitement 51, 55

EXPIRE INVENTORY, commande 47, 51

Ffichier d’options

modification 21fichier d’options du serveur

définition 21fichier de définition pour le Web 6fichiers

bosinst.data 75dsmserv.idl (fichier de définition Web) 6dsmserv.opt.smp 21fichier exécutable dsmserv 17

Ggestion de l’espace (HSM)

description 54taille du pool de stockage 29, 54

gestionnaire de reprise après incident Tivoli (DRM) 2gestionnaires, unités

installation 34SCSI 32unités de bande automatiques 32unités de bande manuelles 32unités optiques 32

gestionnaires d’unités 32installation 34SCSI 32unités de bande automatiques 32unités de bande manuelles 32unités optiques 32

GRANT AUTHORITY, commande 29groupe de paramètres d’archivage xv, 45

118 Version 4.2

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HHALT, commande 16HTTP, méthode de communication 23

IIBMLink/ServiceLink pour les mises à jour 77initialisation

serveur 28volumes sur bande 42

installationconditions minimales 2gestionnaires d’unités 32migration vers TSM version 3 2serveur

pour la première fois 6sur une version antérieure

besoins en espace 2résultats 6résultats de la configuration de base 6

vérification 14installation d’une langue à partir de SMIT 75installation d’une langue par SMIT 76installation d’une langue via SMIT 76installation de base d’AIX 3.2.5/TSM 76installation de base d’AIX 4.1/TSM 76installation standard et configuration

avertissements pour la migration vers la version 3 2client 76résultats 6

interface de ligne de commande administrateur 61démarrage 67mode interactif 67mot de passe 16sortie 67utilisation 67

interface graphiqueclient 16

interfaces d’administrationinterface Web d’administration 61ligne de commande 67

Jjaponais, variable de langue 7jeu de règles

activation 39, 40, 47validation 46

journal de reprisecréation 28taille 28volume 28

Llabel standard 42LANGUAGE, option 75langues disponibles pour le serveur 9langues du serveur 9licence de serveur 17licence TSM 17liste d’inclusion et d’exclusion 48Livres rouges IBM (IBM Redbooks) 88

Mmémoire partagée, méthode de communication 22messages dépendant de la langue 7méthodes de communication

HTTP 23mémoire partagée 22SNMP 24TCP/IP 23

migration 31, 44, 45espace de stockage du serveur 53hiérarchie 31, 44seuils 44

migration vers la dernière version de TSM 2mise à jour

aide sur Internet, IBMLink, Compuserve 77groupe de paramètres 46installation 77pool de stockage 39, 41utilisation de SMIT 78

mise à niveau vers la version 3 2mises à jour de maintenance 77mot de passe de client d’administration 16Motif 10, 76

Nniveau d’autorité, administrateur

attribution 29NLS (support de langue nationale) 75

Ooptions

démarrage du serveur 16initialisation du serveur TSM 28

options clientpour les communications en mémoire partagée 22TCPPORT 23TCPWINDOWSIZE 23

options client de mémoire partagée 22options serveur

communications 21dsmserv.opt.smp 21

119Tivoli Storage Manager pour AIX Initiation

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options serveur (suite)optimisation 21

OS/2démarrage du client d’administration 16

Pplanification

commandes d’administration 51opérations client 49

pool de stockageARCHIVEPOOL 29, 31, 44, 45BACKUPPOOL 29, 31, 44, 45description 15, 53, 55, 56disque 29par défaut 45SPACEMGPOOL 29, 31, 44, 45taille du pool d’archivage 29taille du pool de gestion de l’espace 29taille du pool de sauvegarde 29volumes 56

pools de stockage sur disquedéfinition d’un volume initial 29initialisation 29taille de volume par défaut 29

poste client, TSMdescription 15enregistrement 30

protection contre les incidents 2, 52protection des données 52PTF (correctifs) 77

QQUERY EVENT, commande 50, 51QUERY STGPOOL, commande 41

RRedbooks (Livres rouges) 88REGISTER LICENSE, commande 17REGISTER NODE, commande 30règles

description 54standard (valeur par défaut) xivutilisation 45, 47

règles standard xivréinstallation d’une version antérieure du serveur TSM 81remarques sur les langues nationales 76répertoires d’installation par défaut 2, 6

Ssauvegarde

description xiv, 15, 54, 55groupe de paramètres xiv, 45, 46sélective 15sur bande 31, 44, 45taille du pool 29

sauvegarde-archivageinstallation standard d’AIX 3.2.5 76installation standard d’AIX 4.1 76

sauvegarde sélective 15scripts 6Scripts, commande TSM 6Secure Web Administrator Proxy

CD-ROM 70conditions préalables 70description 69désinstallation 72installation et configuration 70résolution d’incidents 72site FTP 70

SELECTIVE, commande 15serveur TSM

activation 16arrêt 16autorité 29configuration 16création d’un volume de pool de stockage initial 29démarrage 16description 53initialisation 28installation d’une langue par SMIT 76migration de l’espace de stockage 31, 44, 55modification des options 47options 21, 47stockage 53vérification de la configuration 14

serveur Web 69seuil de migration 44SMIT 76SNMP, méthode de communication 24support de langue nationale 75suppression d’un client 7suppression du serveur TSM 81système de gestion des bandes 30

Ttâches avancées xvitaille

base de données 28journal de reprise, initial 28pool d’archivage 29pool de gestion de l’espace 29pool de sauvegarde 29

TCP/IPdéfinition d’options 23

TCPNODELAY, option 23TCPPORT, option 23

120 Version 4.2

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TCPWINDOWSIZE, option 23TSM, configuration 16

Uunité

noms 32rattachement 32

unités 34, 38, 40, 56unités optiques

support 32UPDATE COPYGROUP, commande 46UPDATE STGPOOL, commande 29, 44

Vvaleur par défaut

classe de gestion 45règles (standard) xivvolume de pool de stockage sur disque 29

VALIDATE POLICYSET, commande 46validation d’un jeu de règles 46variable d’environnement DSMSERV_DIR 12variables d’environnement 12variables d’environnement de langue 7variables de langue 7vidage de base de données 4volume de base de données, définition 28volumes de travail

description 31

121Tivoli Storage Manager pour AIX Initiation

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122 Version 4.2

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Numéro de programme : 5698–TSM

GC11-1793-00

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