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University of Toronto
http://archive.org/details/thoriedesnombres01krai
THÉORIE DES NOMBRES
PAIUS. - IMPRIMERIE GAUTHIER- V1LLARS ET Cu
66178 Quai des Grands-Augustins, 55.
THÉORIE DES NOMBRES
PAR
M. KRAITCHIK,INGÉNIEUR A LA SOCIÉTÉ FINANCIÈRE DES TRANSPORTS
ET D'ENTREPRISES INDUSTRIELLES,
DIRECTEUR A L'INSTITUT DES HAUTES ÉTUDES DE BELGIQUE.
AVEC UNE PREFACE
de M. d'OCAGNE,Membre de l'Institut.
PARIS
GAUTHIER-V1LLARS ET C«, ÉDITEURS
LIBRAIRES DU BUREAU DES LONGITUDES, DE L'ÉCOLE POLYTECHNIQUE
55, Quai des Grands-Augustins, 55
1922
Tous droits de traduction, de reproduction et d'adaptation réservés
pour tous pays.
PRÉFACE
J'ai eu, à diverses reprises, l'occasion cle faire remarquer
que, contrairement à un préjugé assez répandu, il n'est
pas ordinaire de trouver réunis chez une même personne
un talent distingué de mathématicien et une aptitude
particulière pour le calcul numérique; il s'agit, en réalité,
là de deux dons parfaitement distincts, de même que ceux
de la composition et de l'exécution musicales; encore uncompositeur de musique sera-t-il bien plus généralement
bon exécutant qu'un mathématicien habile calculateur;
tels illustres analystes, ayant puissamment contribué auprogrès cle nos connaissances dans les parties les plus
élevées de la théorie pure, n'ont jamais cessé de se montrer,
dans le maniement des chiffres, d'une véritable mala-
dresse. Ce n'est donc pas donner de l'auteur de cet
Ouvrage une caractéristique banale que de dire qu'il est
à la fois bon mathématicien et très remarquable calcu-
lateur; il peut, suivant la locution de Jacobi, chère à
Hermite, être regardé comme un vir arithmeticus ; il se
trouvait donc voué, en quelque sorte, par prédestination,
à poursuivre les études d'où est sortie cette Théorie des
nombres qu'il m'a fait l'honneur de me demander de pré-
senter au public.
J'ai accepté d'autant plus volontiers de le faire (bien
que n'ayant point de compétence spéciale en la matière),
que M. Kraïtchik, qui s'est fait connaître comme un ingé-
nieur distingué, en même temps qu'il poussait fort loin
PREFACE.
ses études mathématiques, s'est aussi classé parmi les
adeptes les plus fervents de la nomographie dont il a
publié nombre de très importantes applications, parti-
culièrement aux calculs financiers. Cela atteste la sou-
plesse de son esprit capable de se plier à la fois à la rigide
discipline de la théorie du nombre pur et à la multiple
variété des procédés destinés à réduire à son maximumde simplicité l'exécution des calculs approchés, seulement
requis par les besoins de la pratique courante. Les habi-
tudes d'esprit qu'il a prises en se familiarisant avec ces
procédés ne l'ont d'ailleurs peut-être pas desservi au
cours de ses études de pure théorie des nombres. On verra,
en effet, quel parti il a su tirer de certains procédés gra-
phiques — voire mécaniques — dans ses recherches rela-
tives aux propriétés des nombres entiers.
La théorie des nombres occupe une place à part dans le
domaine des mathématiques, et son développement n'a
pas été absolument concomitant de celui des autres parties
de ce domaine, ses plus notables progrès s'étant produits,
en quelque sorte, par brusques à-coups.
L'aurore de cette discipline spéciale est dominée par
deux grands noms, ceux de Fermât et d'Euler.
La participation de Fermât (i6oi-i665) à l'éclosion de
cette science ne laisse pas d'être entourée d'une sorte de
mystère; ce profond mathématicien s'est borné à formuler
les énoncés des théorèmes qu'il avait découverts en faisant
de leur démonstration, proposée aux autres chercheurs,
l'objet d'une sorte de défi. Il n'a d'ailleurs jamais fait
connaître lui-même la voie par laquelle il les a obtenus, se
bornant à affirmer que s'il la divulguait, on serait étonné
de sa simplicité.
Émanant d'un homme tel que lui, une telle déclaration
ne doit pas être regardée comme faite à la légère, et cela
incite d'autant plus à déplorer qu'il n'ait jamais révélé
le secret de sa méthode, vu les efforts qui ont été dépensés
TREFACE. VII
depuis lors par nombre de chercheurs, dont quelques-uns
des plus éminents, pour venir à bout des questions ardues
qu'il a offertes à leur sagacité. Ces efforts ont, au reste,
été couronnés de succès dans un grand nombre de cas et
n'ont abouti jusqu'ici à infirmer qu'une seule proposition
avancée par Fermât, celle-ci, au reste, sous forme dubi-
tative (voir plus loin p. 3 et 21). De celles qu'il a formulées
sans réserve, aucune, si l'on n'est pas encore parvenu à
l'établir, n'a en tout cas été trouvée en défaut.
Parmi les vainqueurs de cette sorte de tournoi arithmé-
tique, une place à part revient à Euler (1707- 1783) dont
le génie, universel en mathématiques, s'est attaché en
particulier à ce sujet difficile.
L'objet de cette étude étant principalement la recherche
des propriétés des nombres entiers, donc d'une suite essen-
tiellement discontinue, échappait a priori aux méthodes
de l'analyse infinitésimale; d'où la nécessité de créer des
modes d'investigation entièrement différents qui lui
fussent spécialement applicables; telle a été, en ce do-
maine, l'œuvre propre d' Euler.
Depuis lors, de nouveaux horizons ont été ouverts sur
cette science captivante par les travaux de plusieurs
grands mathématiciens, parmi lesquels je me bornerai à
citer Lagrange, Legendre, Gauss, Lejeune-Dirichlet,
Hermite.
Mais, bien que se rattachant encore étroitement pai leur
essence à l'arithmétique supérieure, ces travaux débordent
le cadre primitif où les premiers pionniers de cette branche
spéciale avaient borné l'objet de leurs explorations. C'est
la théorie arithmétique des formes quadratiques à deuxvariables que cette nouvelle pléiade de chercheurs a eu
surtout en vue.
Rappelons d'un mot de quelle extraordinaire fécondité
s'est montrée l'idée, conçue par le génie d' Hermite, de
l'introduction, en ce domaine, de variables continues,
VIII PREFACE.
fécondité encore attestée dernièrement par les élégantes
recherches poursuivies par Georges Humbert, pendant les
dernières années de sa carrière trop tôt terminée.
Pour en revenir à la théorie des nombres proprementdite, il convient de noter qu'en dépit de sa prodigieuse
ingéniosité. Euier n'a .pu absolument affranchir ses pro-
cédés d'investigation d'une sorte de tâtonnement ou,
plus exactement, de recours à la méthode expérimentale
consistant en des séries d'essais numériques propres à
réaliser un véritable criblage. Hermke aimait à souligner
ce caractère quasiment expérimental de certaines re-
cherches d'arithmétique pure.
Il va sans dire que ce mode opératoire, véritablement
fondé sur l'expérience, ne vise que la résolution de cer-
tains problèmes, non la démonstration des théorèmes qui
exige, comme dans les autres parties des mathématiques,
toute la rigueur des raisonnements purement logiques.
Mais, quand il s'agit de résoudre des problèmes, il con-
vient de noter que, même dans les cas où l'on peut donner
une solution directe, l'emploi du procédé par tâtonnement,
tout aussi sûr, l'emporte généralement en simplicité.
(Comparer à cet égard les nos 24 et 25 du Chapitre IV,
p. 83 et 85.)
Le tâtonnement devant, d'après cela, être regardé
comme inévitable en ce genre de recherche, la question
qui se posait consistait à le perfectionner. L'introduction
par Euler des diviseurs linéaires de formes quadratiques,
dont l'usage fut étendu par Gauss, permit déjà de réa-
liser, à cet égard, un sensible progrès.
Il y avait néanmoins plus encore à faire : il s'agissait
d'imaginer des procédés opératoires aussi sûrs, faciles et
rapides que possible, permettant d'effectuer les criblages
dont il vient d'être question sur des ensembles de nombres
assez considérables pour décourager toutes les tentatives
poursuivies par les voies ordinaires. C'est ici qu'inter-
PREFACE.
vient l'intéressante contribution due, en ces matières, à
M. Kraïtehik lui-même.
Alors que les procédés de criblage anciens ne pouvaient
guère s'appliquer pratiquement à plus d'une trentaine
ou une quarantaine de valeurs possibles, celui de M. Kraït-
ehik permet, sans plus de dépense d'effort ni de temps,
d'étendre l'opération à des ensembles comprenant plu-
sieurs millions et même plusieurs dizaines de millions
de nombres, sans que, giâce à l'emploi d'un dispositif
graphique approprié, il soit nécessaire d'écrire ces nombres.
M. Kraïtehik est même allé plus loin; il a imaginé unprojet de machine (voir p. 43) qui permettrait l'applica-
tion purement automatique du procédé et son extension
à des ensembles pouvant comporter des milliards de
valeurs à étudier.
J'ai tenu à insister sur ce qui précède pour mieuxmettre en lumière la part qui, dans le travail qu'on valire, revient plus personnellement à l'auteur; mais, en
fait, dans la façon de présenter les parties plus classiques
de son sujet et d'établir les démonstrations, il fait encore
montre d'une incontestable originalité.
Le présent Volume, borné à ce qui constitue les éléments
proprement dits de la théorie des nombres, peut être
considéré comme une sorte d'introduction à cette théorie.
Il est dans les intentions de M. Kraïtehik de poursuivre,
dans des Volumes ultérieurs, l'exposé des développements
théoriques qui s'y rattachent.
Tel qu'il est, ce premier Volume, grâce en partie à
l'abondance des tables numériques auxiliaires qu'il ren-
ferme, me semble appelé à rendre déjà de grands services
à tous ceux qu'attirent les recherches variées auxquelles
les nombres peuvent donner naissance.
M. d'Ocagne,
de l'Académie des Sciences.
THÉORIE DES NOMBRES
CHAPITRE I.
GÉNÉRALITÉS.
1. Un nombre N est dit premier s'il n'est divisible par aucun
autre nombre, excepté les nombres i et N. Tels sont les nombres :
2.3.5.7.II...2 31— I...2 61— I ...5.2 73 -|-I.. . 2 89— I. ..•2 1^_T ....>127_ I
Tout nombre qui n'est pas premier est composé et est divisible
par quelques autres nombres. Tels sont :
4.6.8.9. 10. 12. I/|. l5...2 128+ I . . . 2256 -f- Vm .;
Le plus petit diviseur d'un nombre composé est un nombre premier;
car si N n'est pas un nombre premier, il est divisible par N,, ce
nombre étant compris entre 1 et N. Si N, n'est pas premier, il est
divisible à son tour par N 2 >> c et N 2 sera aussi diviseur de N.
En effet, si N est divisible par N,, on aura IN = N, q. Si N, est
divisible par N 2 , on aura de même N, = N.2 gr, donc N = N.2 qq'.
Si N2 n'est pas premier, il est à son tour divisible par N 3> 1 et
ce nombre N 3 sera aussi diviseur de N, etc. ; le plus petit diviseur
sera donc nécessairement un nombre premier.
2. La suite des nombres premiers est illimitée.
Nous allons démontrer qu'étant donné un nombre premier N,
aussi grand qu'on le veut, il existe toujours un nombre premier plus
grand que N.
Considérons à cet effet le nombre P(N) formé en multipliant
entre eux tous les nombres premiers depuis 2 jusque N :
P(N) = 2.3.5. 7 .u...N,
KRAÏTCHIK. t
CHAPITRE
et considérons le nombre P(JN ) -f- i qui n'est divisible ni par 2, ni
par 3, ni par 5,. . ., ni par aucun nom lue premier inférieur à N. Si
le nombre P(N)+ i est premier, le théorème est démontré. Dans
le cas contraire, son plus petit diviseur est premier, et ce plus petit
diviseur sera supérieur à N. Il existe donc, même dans ce cas, un
nombre premier supérieur à N. Dans les deux cas, le nombre Nn'est pas le dernier nombre premier, et il n'en existe pas.
3. Toutefois, les nombres premiers deviennent de plus en plus
rares dans la suite des nombres entiers. C'est ainsi qu'on compte
168 nombres premiers de 1 à 1000 (le nombre 1 n'est pas compris
dans ces 168 nombres). On n'en trouve plus que 1 35 de 1000
à 2000, 77 entre iç)C)oooet2ooooo, 71 entre 10000000 et 10001 000,
54 entre io s et io 8 -f-iooo, /J9 entre io'J et io°-j-iooo, etc.
Nous donnerons dans le deuxième Volume plus de détails à ce
sujet. Pour le moment, bornons-nous à dire qu'on possède actuel-
lement des Tables des nombres premiers jusqu'à io 7 (plus exac-
tement jusqu'à 10 01 7 000).
Ce sont les Tables de Lelimer (Factor Table). Elles donnent le
plus petit diviseur des nombres composés non divisibles par 2, 3,
5"et 7.
4. Depuis longtemps on s'est occupé de la question de savoir
s'il existe une formule qui n'exprime que des nombres premiers,
tous les nombres premiers ou certains d'entre eux. Euler a démon-
tré qu'il n'existe aucun polynôme algébrique de ee genre. Soit
F(x) = a -+- bx +- cx 2 -+- dx z -\-. .
.
un polynôme qui pour x = n donne le nombre premier N, de sorte
queN = a -+- bn -+- c/i 2+ dn*+
Si l'on fait
x = n -h AN,
on obtiendra pour F (a?) un nombre divisible par N, donc non
premier.
Fermât croyait avoir la solution de ce problème avec la formule
GENERALITES. >
qui donne :
Pour n = o F n = 3
» i 5
« 2 17
3 >5 7
4 65 537
Toutes ces valeurs de F„ sont bien premières. Il croyait donc
pouvoir affirmer que tous les nombres de la forme précitée sont
premiers. Or, Euler a démontré que.pour n ~ 5 on trouve
F 5 = 641 x 6700417.
Depuis, on a trouvé bien d'autres résultais infirmant l'assertion
de Fermât. Nous donnons la liste de tous les résultats connus au
paragraphe 6, Chapitre II.
Toutefois, on trouve des polynômes qui donnent beaucoup de
•nombres premiers. Telles sont les formules
•r 2 -h x -+ 17, 2X 2 -\--2g, x* ^- x -\- ^i
qui donnent 1-, 2g et \\ nombres premiers pour les 17, 29,
4i valeurs croissantes de x en commençant par x = o.
5. Deux nombres sont premiers entre eux s'ils n'ont pas de
facteurs communs. Tels sont les nombres 14 et i5, 2'1— 1
et 2"+ 1.
Si N est un nombre premier, il sera premier avec tout nombre
qu'il ne divise pas, et en particulier avec tous les nombres qui lui
sont inférieurs.
On appelle plus grand diviseur de deux nombres, le plus grand
nombre qui divise chacun des nombres donnés.
Le plus grand diviseur de deux nombres A et B sera désigné par
la notation D (A, \\ ).
Tout diviseur du plus grand diviseur de deux nombres est aussi
un diviseur commun de ces nombres et sera désigné par la nota-
tion g? (A, B).
Le plus grand commun diviseur de nombres premiers entre eux
est 1
.
Le plus grand commun diviseur de deux nombres dont le plus
4 CHAPITRE I.
petit divise l'autre est le plus petit de ces nombres :
D(A, KA) = A.
Le plus grand commun diviseur de deux nombres quelconques
est égal au plus grand commun diviseur du plus petit nombre et?
du reste, de la division du plus grand par le plus petit.
Ainsi, si B = Kq -|-R, on aura
D(A,B) = B(A, R).
Il en résulte que l'algorithme du plus grand commun diviseur est
le même que celui des fractions continues.
6. Si AdB sont premiers avec C, le produit AB est aussi
premier avec C.
En effet, cherchons le plus grand commun diviseur de A et C par
une série d'égalités :
on aboutira à R«== i, car par hypothèse D( AC) = i
.
Si l'on multiplie ces égalités par B, il vient
AB = CB?,-hR,B,
CB = R,B<7 2+ B 2 B, ..., Rra_2 B — RJi-iB^-hRrtB.
Ces dernières égalités expriment successivement :
D(AB, C) = D(C, R,B) = D(C, R 2 B) =...= D(C, R„B) = D( CB) = 1
.
Corollaires :
i° D(AB, AG) = A.D(B, C);
2 Si G- est premier avec A et divise le produit AB, G divise B;
3° Si A et B sont premiers entre eux et que chacun divise C, le
produit AB divise aussi G.
En effet, soit G = AQ. Puisque B divise G ou AQ tout en étant
premier avec A, B divise Q. Soit Q = BQ,, doncC = ABQ, et
par conséquent le produit AB divise G.
7. Si l'on décompose le nombre N en ses facteurs N = a 7" b n cP. . .,
on voit que N est premier avec tout nombre ne contenant aucun
GENERALITES. 5
des facteurs «, b ou c. Par contre, N est divisible par tout
nombre IN'= am'bn'cp '
. . . qui ne contient que les facteurs a, &, c
avec des exposants m', /i', //, ... respectivement inférieurs ou
égaux à wî, /^, /?, ....
En particulier, si A e*st un nombre premier, autre que a, b, c, ...,
on auraD(N, A) = i.
La décomposition d'un nombre en ses facteurs n'est possible que
d'une seule façon.
SoientN = a"1 b n cP . . .
et
N = af'bfcp' ....
on aura
a"tb*cP..* —a^'b<c^... ;
donc les nombres a<, b{ , c, se retrouvent dans les nombres a, &,c,
Soienta = «i, 6 s= bi, c = Ci»
On notera de plus que m n'est pas supérieur à m', de même que mn'est pas supérieur à m ; donc m — m 1
, de même que 7i = /*', etc.
8. Une racine  ième d'un nombre n'est rationnelle que si tous les
exposants dans la décomposition am bn cP
.
. . sont divisibles par k.
En effet, soit
^N = am'b ll'cP' .".., d'où N = akm '
b
kn'
c
k i''. . . = a"» b n cP . .
.
,
ce qui entraîne
m == A:m', rc = ^At', p = kp'', ....
9. Zta/is toute progression arithmétique de n termes
a, a-^-d, a-hidy
..., a-h(/i— i)c?}
où a et d sont premiers avec n, il existe un et un seul termedivisible par n, les autres termes donnent des restes différentsquand on les divise par n.
Soient q t , q.2 , </,,, ...<q n les quotients et r{ , r 2 , . .., rn les restes
de la division de termes de la progression arithmétique donnéepar n.
b CHAPITRE I.
Nous allons d'abord promer que tous les restes sont différents.
Si, en effet, il existait deux restes identiques, r/(= n avec k et /
inférieurs à N, on aurait
a + ( k — i)d= nqic-4- r#, a +- (l — i) d == nqi -h r t
ou, par soustraction,
(A— ijd = n(q/,~q ( ).
Or, cette égalité n'est pas possible, car k et / étant inférieurs à /?.
k — / n'est pas divisible par n ; <^ est aussi premier avec n.
Puisque tous les restes sont différents, la série de n restes r<,
r 2 , . . -, rn ne diffère de la série o, i, a, . ..,(n — i) que par l'ordre
des termes. 11 n'existe donc qu'un et qu'un seul terme divisible
par n ; tous les autres termes donnent des restes différents si on les
divise par n.
10. Proposons-nous de déterminer la plus grande puissance d'un
nombre premier A donné qui divise
n = i .2.3. .. n (n > A).
Convenons de représenter par E(#) le plus grand nombre entier
contenu dans x. Ainsi,
E(io) = io, E/Ï5 = 3.
Parmi les n facteurs qui forment le produit n !, il y a E( — ) = Ktermes divisibles par A. Ce sont les termes
A, >A, 3A, ..., (K — i)A,KA.
Parmi ces E I — ) termes, il y en a E(-j =E(—) Q 111 son ^
divisibles non seulement par A, mais aussi par A 2.
On trouvera de même E (—
3 jtermes divisibles par A 3
, E (
-^ )
termes divisibles par A 7', etc.
Ainsi n sera divisible par Am avec
E(l).-KêH(£)
GENERALITES. 7
Comme cas particulier, posons
n = 2*j a = 2.
On auram = 2 A'~ [ 4- 2 /l
'- 2 4- 2*~ 3+ ...+ 2 + l = 2 /, -l.
On trouve de même pour n = i k— i , a = 2,
m = (2*— 1) — /,- = 2*— (£ 4- 1).
11. Si N est décomposé en ses facteurs N = am b n cf'
.
. ., le
nombre de diviseurs de N est
(m-t-i)O-hi) (/j + i)....;
leur somme est
s =a — 1 b — 1
En effet, tout nombre de la forme a'"'
b
n'
c
r'
. . . sera diviseur de INI
si O < m < m, O < n < n, O </>'</> ?
Il en résulte que chacun des termes du produit
(1 + «-+- a 2 4-. . .4- a"') (14- 6 4- 6 2 4-. . .4- 6") (r.4- c -+-. . .4- c /;
)
est diviseur de N, et inversement, tout diviseur de N est un terme
de ce produit. Le nombre de diviseurs est donc le nombre de
termes de ce produit ou
(m + i)(fl+ i)(/) + i)
La somme de tous les diviseurs est ce produit lui-même, ou
a»i+\— l bm-hl_i c/»-n_ I
S =b —
Remarque. — Nous avons dans ce paragraphe compté parmi les
diviseurs de N les nombres 1 et N.
Dans quelques problèmes on ne compte pas le nombre N parmile^ diviseurs.
Applications. — i° Trouver la somme des £ièmes puissances des
diviseurs d'un nombre donné N = am b n cP
Cette somme est le produit
(1 + a /l4a2/'+...+ a"^)(i + 6*4- ô**1k..-+. H)(i + c*+c2/'+...+ c" /')
8
ou
CHAPITRE I.
a (;n+l)i j£<7H-l)/t
j c[P-hi)k j
6 — i
2° Trouver le plus petit nombre admettant le nombre donné de
diviseurs, par exemple 24.
Soit N = am b n ci\. . . le nombre cherché. On aura
(m + i)(n + i)(j5 + i)...= 2/i,
d'où les solutions possibles :
711 -+- ] = 24, /i = p = . . = et N = a23;
m -+-[ = 12, n + ] = 2, p = q = ..= 0, N = a"6;
m -+- [ = 8, rc-h = 3, N = a- 62
.
m -f- [ = 6, n +] = 4, N =« 5 63;
m -f- r = 6, n -h L = 2, p-hi = 2, g=..v=o5
N = a*bc;
m -+- i = 4, n -+- [ = 3, yn-i = 2, N =a3^2c;
m?r = 3, n -+-[ = 2, P + ï = 2, «7+1=2, N = aïbcd.
Le plus petit nombre s'obtient par la forme
N = a z b 2 c avee n = 2, 6 = 3, c = J.
(I ouN = 36o.
3° Trouver la somme de tous les diviseurs du nombre N = 2".
On trouveS = 2"+!— 1 = 2N — 1.
4° Trouver la somme de tous les diviseurs du nombre
N = 2 /i- , (2"— i)
en supposant i n— 1 premier; on a
S = - ¥ À =2"(2"-l) = 2N.2— I (2«— l) — IV '
12. Nombres parfaits. — Nous venons de trouver que si
N = 2"- 1 (2«— i),
on a
S = 2N
si, toutefois, le nombre 2 n— 1 est premier.
GENERALITES. 9
Il en résulte que si l'on ne compte pas le nombre N parmi les
diviseurs du nombre N, on aura
S = iN— N = N
et la somme des diviseurs d'un tel nombre sera ('gale à ce nombre.
Un tel nombre est ait parfait.
Dans le second Volume de ce Livre nous donnerons plus de
détails sur les nombres parfaits. Actuellement, bornons-nous à
remarquer que les nombres parfaits pairs sont tous de la forme
2»-l(2»-rl)
a\ec la condition que 2 n— i soit premier. On ne connaît pas de
nombres parfaits impairs. Pour ce qui est des nombres parfaits
pairs, on en connaît les douze suivants qui correspondent à
/ï = 2.3.5.7.13. 17. 19.3 1 .61 .89. 107 et 127
dans la formuleN = 2 re~1 ('2«'— i).
Les sept premiers sont connus depuis assez longtemps. Euler
(1772) a vérifié le cas de /i = 3i, Seelhof (1886) a donné le cas
de n = 61, Powers (1911)8 établi la primalité de 2*9 —1 , Powers et
Fauquembergue (1914) ont trouve le cas pie n =107 et, enfin,
Fauquembergue (1914) a trouvé le nombre parfait correspondant
à n =? 1 2 7
.
13. A ombres amiables. — Considérons deux nombres tels que
Ni = 220 = 22.5. 11
et
N 2 = 284 = 22.71.
Soit S, et S 2 la somme de leurs diviseurs en exceptant le nombre
N4ou N 2 du nombre des diviseurs. On trouve :
S, = (2^ - 1) (5 + 1
)(1 1 + 1 ) — N
x= 5o4 — Ni == 284 = N 2 ,
S 2 = 7 . 72 _N 2 = 5o4— N 2 = Nt.
Ainsi ces deux nombres sont tels que la somme des diviseurs de
chacun d'eux est égale à l'autre.
Des nombres semblables sont dits nombres amiables. Nous en
10 CHAPITRE I.
donnerons une théorie plus détaillée dans le deuxième volume de
cet Ouvrage.
14. Soit à déterminer de combien de manières on peut décom-
poser un nombre donné N==ùm bn cP... en produit de deux
facteurs.
Désignons par R le nombre des diviseurs
K= (m -f-i)(/i + i) (/?-+-!)...,
et supposons en premier lieu que le nombre donné n'est pas carré
parfait, c'est-à-dire qu'au moins un des nombres m, n,p est impair
et K est par conséquent pair.
Le nombre des décompositions possibles est alors évidemment
de
-K=-(»i + i)(tt + i)(jo + ii....2 2
Si, en second lieu, le nombre donné est un carré parfait, le
nombre des décompositions possibles est de
-(i+K)=-(i + (m + i)(/i + i)(/)+i)...].
15. On appelle indicateur de N et l'on désigne par e (N) le
nombre de nombres plus petits que N et premiers avec lui.
Ainsi y(6) = 2, car il n'y a que deux nombres plus petits que 6 et
premiers avec (3 (i et 5).
Dans cette question le nombre i est considéré comme étant
premier avec n'importe quel nombre.
Si N est un nombre premier, on a
ç(N) = N— i.
En effet, tous les nombres i , 2, 3, . .. ,(N — i) sont inférieurs à N
et premiers avec lui.
Si N — a™, a étant un nombre premier :
©(N) = a»l- l (a — i).
En effet, seuls les nombres a, 2«, 3a, . .. ,
(aw_1 — i)a, parmi les
nombres i, 2, 3, . ..,(N — i), ne sont pas premiers avec N; donc :
©(N) = N— i — (a"1- 1 — i) = am—a"l- i = am- l (a — i).
GENERALITES. I I
16. Théorème. — *SYD(A, B) = i,o/îfl
cp(ÀB)== cp(A)o(B).
Soient at , a 2 , « 3 , . . ., a,n tous les nombres inférieurs à À cl
premiers avec lui, et b{ , b 2l èa, . -
., bn tous les nombres inférieurs
à B et premiers avec lui.
Pour avoir tous les nombres inférieurs à AB et premiers avec AB,
formons le tableau :
A 4- a,,
2 A -+- a i
,
3 A -hau
« 2 , «3,
A -h a 2 ,A H- «3,
2A + fl 2 .•2 A H- «3,
3A -h «2, 3 A -f- a 3 ,
i
[)A + a 2 ,(B -i)A+ fl3l
A -+- a,„.
2 A -f- am,
3 A H- «//*,
(B — i) A +-«!, (B-i)A + a„ (B-i)A + a3 , ..., (B-i)A + « w .
Chaque colonne contient B termes qui forment une progression
arithmétique dont la raison est A, nombre premier avec le premier
terme av{i= ï,2,3, ...) et avec B. Si l'on divise chacun des
termes de ce tableau par B, on obtient dans chaque colonne les
restes
o, i, 2, 3, 4, .-., (B— i).
Seul l'ordre de ces restes différera d'une colonne à l'autre.
Remarquons encore que tous les termes de ce tableau sont
premiers avec A. Et si l'on élimine de ce tableau les nombres qui
ne sont pas premiers avec B, on aura tous les nombres inférieurs
à AB et. premiers avec AB.
Or, dans chaque colonne, seuls les restes (de la division par B)
b\, b.>, 6 3 , ..., b n
lia sont pas à éliminer. Il en résulte que le nombre total des
nombres inférieurs à AB et premier avec AB ou co(AB) est le
produit cp(A)o(B), le premier de ces facteurs est le nombre de
termes de chaque ligne, le second est le nombre de termes qui
restent non éliminés dans chaque colonne.
17. Par les considérations qui précèdent (I, 15, 16) nous pouvons
trouver l'indicateur de n'importe quel nombre, si l'on connaît la
décomposition de ce nombre.
12 CHAPITRE I.
Soit
N = am bn cp . . .,
a, b, c, . . . étant supposés différents, donc premiers entre eux.
On a
© (a"1) = am ~l (a — 1),
©(£") = b"~i(b — i),
©(<:/') = c''-i(c — 0,
d'où
ou
®(a'"b n cP ...) = fl»-iin-i cP-i(<i-ii)(è — ^(c — i)
©(N) = a'"-i6»-Jc'»-i(a — i)(6 — t)(c — i) . .
.
--*"(' -à) (-s) (-:)
=*fe)H) (-;)•••
Celte dernière formule peut être obtenue directement de la manière
suivante :-
La suite
1.2.3.4. 5.. -N
contient IN nombres non supérieurs à N.
Pour avoir les nombres inférieurs à N et premiers avec lui, il
suffit d'éliminer de cette suite tous les nombres non premiers
avec a, 6, c, . . . . Or, a étant un nombre premier, seuls les
nombres
a, sa, ù a, . . . , ( — ja
Nne sont pas premiers avec a. Leur nombre est de - •
La suite primitive 1, 2, 3, 4, . ..
, N ne contiendra plus après
élimination que les
N'= N = N (1— -) nombres
a \ a )
1 .'.).. 3 ... a — 1 , a H- j ... 2 a — 1 , 1 a +- 1 ... N — 1
.
Ces ~Nf nombres peuvent être distribués en -j- progressions de b
termes chacune, la raison de la progression étant a qui est premier
avec /;. Chaque progression contiendra un et un seul terme non
GÉNÉRALITÉS. l3
premier avec b (divisible par b). Ces termes sont à éliminer, car
ils ne sont pas premiers avec N.
Après cette élimination, il restera
N---T=-(---;HK)('-y
termes premiers avec a et 6, donc avec ab ou am b n.
Ces N" nombres peuvent à leur tour être distribués en — pro-
gressions de c termes chacune. Chaque progression contiendra un
et un seul terme divisible par c, donc non premier avec c et qui
est à éliminer. Il restera
N-=N--Ç = N-(.-c) = N (.-i) (--;)(.-;)
termes non divisibles ni par a, ni par 6, ni par c, donc premiers
avec abc ou am b n cP ou avec N.
D'où
Applications :
?(4 W ) = 20(2/1),
Cp(4rt + 2)= ©(2/1 H- 1),
ç(2w)= 2'"- 1,
ç(3«.)== 2.3'»-- 1
,
?(3o) = 8,
©(210) = 48,
cp(3oo3o) = 5760.
18. Soit à déterminer le nombre des nombres premiers avec Net dont le plus grand commun diviseur avec N est A.
Remarquons d'abord que le nombre A donné doit être un divi-
seur de N.
Soient ensuite A# { , Kx 2l A# 3 , ..., A.xn les nombres cher-
chés.
Puisque Aa?t*(i = 1, 2, 3, . . .) est inférieur cà N, on aura
I \ CHAPITRE I. — GÉNÉRALITÉS.
Ensuite, D(À#v, N ) = A donne
N . Ndonc tous les nombres X; inférieurs à — et premiers avec — peuvent
être employés.
Leur nombre est donc
(")
19. Si «i, a 2l a 3 , . . . , a/s sont tous les diviseurs du nombre
N= am bn cP. . . [donc k = (m -f-i) (n -f- 1) (p 4- 0- • • |, on a
o(al ) + ?(a 1 ) + 8(a})+ l ..+ o(a
J[)= N.
En effet, distribuons les N nombres i, 2, 3, . . . , N en À séries,
de sorte que les termes de chaque série aient le même plus grand
commun diviseur ai(i= 1 , 2, 3, . . . , / ) avec IN.
On aura alors, en vertu du paragraphe précédent,
Nor, — (i = 1 , 2, 3, . . . , k) est aussi un diviseur
aj(J = 1, a, 3, ..., k)\
donc©(«!) + o(a 2 ) -h ®(a 3 )
-h.. .-+- o(a /c ) = N.
Remarquons, toutefois, qu'il est essentiel de poser 0(1) = 1 pour
que la formule ne soit pas en défaut.
Corollaire. — Si p est un nombre premier et a 4 , a 2 , . . . , ctk
tous les diviseurs de p — \ , on aura
?(P) = <P( a l) + Ç(«2) + <P(«3) -H...+ ?(«*)•
CHAPITRE II.
CONGRUENCE DU PREMIER DEGRÉ.
1. Deux nombres a et b sont dits congrus au module m quanti
leur différence a — b est divisible par m.
On écrit
a = 6 (modm).
Cela veut dire que les nombres a et b divisés par m donnent le
même reste.
11 résulte de la définition que tout nombre N est congru avec Oquand on prend pour module un diviseur quelconque de N.
Ainsi
Ak = o (mod A).
Le dividende est congru avec le reste, quand on prend pour modulele diviseur (ou le quotient).
Si A = Bq -+- r, on a
A~r (mod B) et A = r (raod^).
En effet, la différence A — r ou Bq est divisible par B et par q.
Deux nombres quelconques sont congrus quand on prend pourmodule un diviseur quelconque de leur différence.
2. Propriétés des coivgruences. — i° Deux congruences demême module peuvent être ajoutées {algébriquement) membreà membre.
Si A = a et B = b (mod m), on a aussi
A±B == a±b (modm).
En effet, la divisibilité de A — a et B — b par m entraîne celle de
(A — a)±(B — b) ou (A±B) — (a±6),
l6 CHAPITRE II.
ce qui s'exprime par
A ± B == a ± b ( mod m ).
2° Deux nombres congrus avec un même troisième et poun même module sont congrus entre eux.
ur
Si A = a et B = a (mod m), on aura
A = B (mod m).
En effet, A — a et B — a étant divisibles par /n, leur diffé-
rence A— B l'est aussi, donc A = B (mod m).
3° Une congruence ne change pas, si Von ajoute aux deuxmembres la même quantité {positive ou négative).
Si A = a (mod m), on a
A±K-a±K (mod m).
En effet, la différence (A±R) — (a±K) ne diffère pas de
la différence A— a.
Il résulte de là que les termes d'une congruence peuvent être
transportés d'un membre de la congruence dans l'autre, en chan-
geant les signes de ces termes, tout à fait comme s'il s'agissait
d'une équation.
4° Les termes d^une congruence peuvent être multipliés parun même nombre.
Si A = a (mod m) on a
KA = Ko (mod m).
En effet, la différence KA— Ka=K(A— a) est divisible
par A— a, donc par m qui est diviseur de A— a.
5° Deux congruences d'un même module peuvent être mul-
tipliées membre à membre.
Si A n^ a et B = b (mod m), on a
AB == ab.
En effet, les différences A— a et B— b étant divisibles par /??,
désignons par x et y les quotients, de sorte que
A — a = m x et B — b = my
CONGRUENCE DU PREMIER DEGRE. IJ
OUA. = mx -+- a et B = my +- b,
d'oùAB = (mx -h a) (my -h b ) = m 2^ -t- ?n(bx -+- ay) -\- ab,
d'où il résulte que la différence
AB — ab = m~ xy h- m(bx -f- aj^
)
est divisible par m, ce qu'on peut exprimer par la congruence
AB = ab (modm).
6° *Sï À= ae/B= ft( mod a?z)
, on aura aussi
A"B /; = a" b? (mod m).
En effet, la congruence A = « (mod m) entraîne celle de
A'* = a re (mod m) (par une répétition successive d'une multipli-
cation de deux congruences ou simplement en remarquant que la
différence An— an est divisible par A — a, donc par m).
De même, la congruence B = b (mod m) entraîne celle de
B/> = bP. Ces dernières congruences, multipliées membre à
membre, donnentkn BP=a"bf>.
7 On peut diviser les termes d 'une congruence par tout-
diviseur premier avec le module.
Si K et m sont premiers entre eux et AK = aR (mod m), on
auraA = a (mod m).
En effet, AK — aK = (A— a)K étant divisibles par m, et Kétant premier avec m, A— a est aussi divisible par m; donc *
A = a (mod m).
8° Un diviseur commun de deux membres de la congruence
et du module peut être écarté.
Si RA =ee Ka (mod m = K/?), on aura
A = a (mod p).
En effet, (RA— Ra) = R(A— a) étant divisible par m = Rp,KRAÏTCHIK. 2
ïS CHAPITRE II.
il en résulte que A— a est divisible par/? ou que
Asa (mod p).
9° Si j\x) est une fonction algébrique avec des coefficients
entiers et a = b (mod m), on aura
/(«0=/W (mod m).
En effet, posons
f(œ) = Ax" -h Bx»-* + ...+- Ex -^ F;
la congruence a =e b (mod /?z) entraîne les suivantes :
A an ==? A bn ( mod m),
Ea = E6,
F^F.
En ajoutant ces congruences membre à membre, on obtient
f(a)^f(b).
io° Deux nombres congrus suivant deux modules premiers
entre eux sont congrus suivant un module égal à leur
produit.
Si A= « (mod m) et A= a (modn), m et ji étant premiers
entre eux, on auraA = a (mod ma).
En effet, A— a étant divisible par m et /i qui sont premiers
entre eux, A— a sera divisible par le produit mn ou
A = a (mod mn).
3. Nous avons vu que tout nombre est congru avec le reste de
la division de ce nombre par le module.
Si donc le reste de la division de A par m est /•, le quotient
étant désigné par ^, on aura
A = /- (mod m).
Puisque le reste d'une division est toujours inférieur au diviseur,
C0NGRUEN6E DU PREMIER DEGRE. IQ
il en résulte qu'on peut toujours trouver un nombre inférieur au
module et congru avec le nombre donné.
On peut maintenant distinguer deux cas :
i° i\> — • Si alors on remplace q par q -f- 1 et le reste positif ;*
par le reste négatif /•'== /' — m, on aura
:° 01 /• < —j on aura
mr'< -
1
mr > -
1
Dans les deux cas, il existe :
i° Un nombre positif compris entre o et m et congru avec le
nombre donné suivant le module m;
2 Un nombre positif ou négatif inférieur à — et congru avec le
nombre donné suivant le module m.
Le premier reste ou résidu est le reste du nombre consi-
déré (mod m) ; le deuxième reste est le résidu minimum du nombre
considéré (mod m).
Exemples :
1 10 = 6 (mod i3),
6 est le résidu du nombre i 10 (modi3); c'est aussi le résidu
minimum;io 2 'î+1 = -f- 10 =— 1 (mod 11),
10 est le résidu de io2n+1 , — i est le résidu minimum du nombre
considéré (mod 1 1).
4. Théorème. -— Si m est un nombre impair, et a la valeur
absolue du résidu minimum de A (mod m), le signe de a est
déterminé par le signe de la quantité
(-0 '",
E(— \ désignant le plus grand entier contenu dans (
— - )•
En effet, si q est le quotient de la division de A par m, on peut
20 CHAPITRE II*
avoir deux cas :
Ai° </<- <«H— » alors
^ aA ". r /'iA\2^r< < 2^4-1 et E = 2 ^i
le résidu minimum de A (mod m) sera positif.
2° ût -I— <C — <* a -I- 1 , alors* 2 m *
<7 —î
— 1 1 < A < 2 </ -+- > et EY -— j= •29-4-1
et le résidu minimum de A (mod m) sera négatif.
On aura donc toujours :
résidu minimum de A(mod m) = (— i)m a.
a étant la valeur absolue du résidu minimum.
O. Si dans l'expression de
f(x) = kxm -+- B^'"- 1 H-...-f- E#-f- F,
où les coefficients A, B, C, ... sont des entiers (positifs [ou
négatifs), on remplace x par les valeurs
o . i . 2 .#. . . k. 2 .m
.
.
.
m -f- le . . >
,
et l'on calcule les valeurs
/(o), f{l\ f{%)\ ..., f(m\ ..., (mod m),
la suite ainsi obtenue est périodique, car
f(m-\-k)=f(k) (mod m).
Ainsi, si par exemple /'(#) = # 3— Sx-\-6 et jn= 5, on aura
# = 0.1.2.3.4.5.6.7.8...,
y(.r) = i.4.3.4.3.i.4.3.4... (mod 5).
Dans le cas envisagé, la période est (1.4. 3. 4*3).
Dans la suite des valeurs de x, on ne rencontre point les valeurs
/(x) = o mf(x) = 2 ; conséquemment, les congruences
x z— 8 .2? -4-6 = ou x z — 8.r-4-6 = 2 (mod 5)
n'ont pas de solution.
CONGRUENCE DU PREMIER DEGRE. 21
A fortiori, les équations
x 3— 8 #-+-6 = et a? 3— 8.r-t-6 = 2
n'ont pas de racines rationnelles.
6. Des propriétés fondamentales des congruences résulte la
possibilité de les utiliser pour la vérification des opérations de
calcul.
Ainsi, si le résultat d'une opération quelconque sur les nombres
A, B, C, ... nous a conduits au résultat X,
X = F(A, B, C, ...).
Si Ion désigne par #, a, 6, c, ... les résidus dès nombres
X, A, B, C, ... (mod 7>i), on doit avoir
x = F(a, b, c, . . .) ( mod m).
Parfois le calcul par congruence est non seulement plus simple
que le calcul de valeur absolue, mais indispensable.
Ainsi, soit à trouver, par exemple, le reste de la division
2 20',8par g-74849. Le nombre 2 20 '* 8 aurait contenu plus de
600 chiffres. Rien qu'exprimer ce nombre en système décimal
est difficile, mais il est relativement facile de trouver le reste
demandé de la division 2***.* par 974849 sans avoir le dividende
explicitement.
On trouve :
•2 16 = 65536,
•2 32 = 65536'-=— 217398 (mod 974849;
2 6 * =2173982=236035,
2 128 =236o35 2= — 99125,
2 236 = 99I25 2 =262 554,
2«« = 2Ô2 554 2 = I05 576,
2io24= io55-6 2 =5oi57-,
22048= 5QI 5^2 == — I#
Puisque 220 * 8 ==— 1 (mod 974849), on aura
22043_l_
I ^ o (mod 974 84 9 ),
ce qui exprime que 2 20 '' 8 -|- 1 est divisible par 974849.Ce résultat infirme encore le théorème de Fermât (I, 4).
22 CHAPITRE II.
Voici tous les résultats connus à ce jour :
n = 5. F n — ?.-n
-Jt- i = 641.6700417
6. » 274 177.67280421 3 10- >i
7. [ Les nombres correspondants sont composés, mais on ne
8. | connaît pas les facteurs de ces nombres.
9. F n est divisible par 2U . 374-1
11. » 2 ,3 .3.i3-hi et 2 13. 7. 17 -h 1
12. » 2 14 .7 4- 1,2 16 .397 4-1 et 2 1G.7.139
iP. » 220.13 -f-I
23. » 2 25 .5 4- I
36. •> 2 39 .5 4-i
38. >» 2*1.3 4-1
7). » 275 .54-I
Le premier résultat est d'Euler (1^32), le second de Landry
(1880), les deux suivants de Morehead et Western (1909). Le
résultat pour n = 9 est encore de Western (iT)o3), ceux qui cor-
respondent à n = 1 1 sont de Cunningham (1 899V Pour n = 12, le
premier facteur est de Lucas et Pervouchine (1878), les deux
autres de Western (1908). C'est encore M. Western qui a trouvé
les résultats pour n = i8 (1903). Le cas de « = 23 est de
Pervouchine (1878). Seelhoff (1886) a trouvé le facteur pour
n = 36. Cunningham, Cullen et Western ont trouvé le facteur
pour n = 38. Enfin, M. Morehead (1906) a trouvé le facteur
pour n = 7 3.
Le nombre 2273
-4- 1 est donc divisible par 5 . 2 7 5 4- 1
.
Le nombre 2273
-f-i est tellement grand qu'il est impossible de
l'écrire explicitement dans le système décimal. Il aurait contenu
o,3 x 9444 X io 18,
soit plus de 2700 x io 18 chiffres.
Avec des chiffres de imm de largeur, la bande qui le contien-
drait aurait 2700 X10 12 kilomètres de longueur et ferait plus
de 60 X io° fois le tour de l'équateur terrestre.
A raison d'un chiffre par seconde, 10 heures de travail par jour
et 36o jours ouvrables par an, il faudrait travailler pendant
2700 XIO 18
= 2 X io 14 ans60 x 60 x 10 x 36o
rien que pour recopier ce nombre.
CONGRUENCE DU PREMIER DEGRÉ. 23
Si toute la population de la Terre (i,5Xio 9 habitants) était
occupée uniquement à recopier ce nombre, supposé écrit en
système décimal, on aurait une besogne qui durerait
142 X IO
i .5 X io 9= i joooo années.
Ces considérations montrent que le calcul par congruence est
une véritable nécessité pour obtenir des résultats qu'on ne peut
pas aborder autrement.
7. Le nombre des congruences possibles suivant un module
déterminé est limité. Ainsi, suivant le module m, tout nombre Aest congru avec un des nombres de la suite o. i . 2 .3 . . .(m — 1).
Il n'existe donc que m congruences différentes (mod/??).
En d'autres termes, tout nombre A est un multiple de /??,.
augmenté d'un nombre de la suite o. ï .2. $...4 • . .(m — 1). On dit
encore que, suivant le module /??, les nombres- se subdivisent
en m classes :
i° Nombres de la forme Km ou =0 (mod m >
2 » K»i + i » =1 »
3° » Km -h 2 » == 2 »
ni" » Km -+- (m — 1) » = m — 1 »
Ainsi, suivant le module 5, on aura les cinq classes :
i° Nombres de la forme 5K ou =0 (mod 5)
2 » 5K+i » =i »
3° » 5 K -1- 2 » = 2 »
4° » 5K + .3 » =35° » 5K + 4 » =4
8. Nous avons vu (II, o) que la suite f(x) est périodique quandon remplace x par la série des nombres naturels, donc si x = r
satisfait à la congruence f(x) = o ( mod m),
x=Km-+-r ou x = /* (mod m)
satisfait aussi à cette congruence. Toutes ces solutions ne seront
comptées que pour une solution. Nous pouvons donc dire que lu
congruence
f{x) = o (mod m)
2 4 CHAPITRE II.
a autant de solutions différentes qu'il y a de nombres dans la suite
o . i . 2 . 3 . . . ( m — i)qui lui satisfont.
Ainsi la congruence x 2 = 5 (mod 3i) a deux solutions :
x = 6 et x = iS (mod 3i).
La congruence x 3 = 2 (mod 1 1) n'a qu'une solution :
x = 7 (mod r 1).
La congruence x 3 = 2 (mod 7) est impossible.
9. Abordons maintenant la résolution d'une congruence du
premier degré à une inconnue. Une telle congruence peut être
mise sous la formeax = b (mod m).
Remarquons d'abord que la congruence ax = b (mod m) n'est
pas possible si a et m ont un diviseur commun qui ne divise pas b.
En effet, la divisibilité àe ax — b par m peut s'exprimer par
ax — b = m K ou b = ax — m K.
Il résulte de la dernière égalité que tout diviseur de a et m est
aussi un diviseur de b. Dans ce cas, on peut simplifier la congruence
(ainsi que le module) par ce diviseur. Nous traiterons ultérieure-
ment ce cas (II, 14-).
Nous allons démontrer que si a et m sont premiers entre eux,
la congruence ax = b (mod m) est toujours possible et n'admet
qu'une solution.
En effet, la progression
o, a, ia, 3a, ..., ra, ..., (m — \)a
contient un et un seul terme qui est =6 (mod /m). Si ce terme
est m, de sorte que m = è(mod/n), on aura x = r, et d'une
façon générale x = r (mod m) comme solution de la congruence
. ax = b (mod m).
10. On peut trouver cette solution de la manière suivante :
Si l'on exprime la fraction — en fraction continue, on trouve
a— = /'1 r2 r3 . . . r„;m
CONGRUEN'CE DU PREMIER DEGRE. 2)
si ensuite on forme les réduites successives, dont la dernière est — tmon a
El El .Pn ~
l —qi q% " qn-i m*
d'où
« q?i-\— rnph-\ = (— i;'S
ou«?«-i = (—0" (mod m),
ou, en multipliant par (— i)"6,
(
—
\)n abq n- x=b (mod m),
d'oùx = (
—
\)»-bq n-\ (mod m).
Nous verrons dans la suite deux autres solutions de ce pro-
blème (III, 4; V, 12).
Exemples. — Soit à résoudre la congruence
i3.r = 6 (mod 17).
On a
13
Les réduites sont :
o 1 3 i3
V 7' V Tyd'où
i3. 4 — i-.3=-hi ou i3.4 = i (mod 17),
ou, en multipliant par 6 :
13.24 = 6 (mod 17),
d'où
x = 24 = 7 (mod 17).
11. On peut attribuer une signification au symbole - de façon
à avoir xee- (mod m) comme solution de la conorucnce
ax = b (mod m).
Nous allons adopter la définition suivante :
Si a et m sont premiers entre eux, le symbole - (mod m) désigne
26 CHAPITRE II.
un nombre entier qui, multiplié par a, donne un nombre
= b (mod m ).
Par cette définition, la solution de la congruence ax = & (mod ni)
est
x = — (mod m).
On peut aussi définir ce symbole en disant que : « diviser
b par a (mod m) veut dire qu'il faut diviser par a le nombre b 4- Km,K étant convenablement choisi, de façon que b-\-K?n devienne
un multiple de a ».
D'après cela, ayant la congruence i3# = 6 (mod 17), on peut
écrire
16 6 + 5.17 . :
x = —- == —- = 7 (mod 17).1 > 1
3
12. Nombres associés. — On appelle associé de a (mod m) le
nombre a tel que #a=i (modm). Les nombres a et /?i étant
supposés premiers entre eux.
Tout nombre autre que = o (mod m) a son associé, car si a et msont premiers entre eux, la congruence ax = 1 (modm) est tou-
jours possible.
Ainsi, pour le module 1 1, les nombres
1234567 8 910
auront pour associés
1 6 4 3 9 9. 8 7 5 10
et, pour le module i3, les nombres
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 1 1 1,2
auront pour associés
1 7 9 10 8 11 2 5 3 4 6 12.
On notera qu'il n'y a pas d'autre nombre que 1 et m — 1 qui
soient identiques à leurs associés.
13. Bien que la solution de la congruence ax z^b (mod ni) est
générale, il est quelquefois préférable de la remplacer par d'autres
coiigiuences si le module m est un nombre composé.
CONGRUENCE DU PREMIER DEGRE. 27
Soit la congruence
ax = b (mod m =pq).
On la remplacera par les congruences
ax = b (mod />),
ax = b (mod q).
Bien entendu, dans la congruence ax = 6 (mod/?), les nombres
a et b seront remplacés par leur reste (mod/)). Il en est de mêmede la deuxième congruence.
Si
x = /* (mod /?),
« = r (mod q
)
sont les solutions de ces congruences, on trouvera un nombre qui
est à la fois = /* (mod p) et =-;*' (mod q) et Ton aura une solution
de la congruence donnée.
Exemple :
9973? = u> (mod 720 = 16.9. 3).
La congruence donnée devient :
5:r = i, d'où x — i'ï (mod i(i);
7^ = 5, » x = 2 (mod 9);
2.2? =3, » x = î (mod 5).
Pour trouver un nombre qui soit = i3 (mod 16) et = 2 (mod g),
on opérera de la façon suivante :
Les nombres qui sont s i3 (mod 16) peuvent s'écrire 16 y -t- i3;
on aura donci6^-hi3 = 2 (mod 9)
ou
77=7 (mod 9), d'où y^\ (mod 9)
et
16/ + i3 = 29 (mod 1 44 )
Ainsi les nombres qui sont = 29 (mod 1 44) sont à la fois
= i3 (mod 16) et =='2 (mod 9).
Il reste à trouver les nombres qui sont
= 29 (mod 144) et =4 (mod 5).
28 CHAPITRE II.
Les nombres = 29 (mod 1 44) s'écrivent 144^ + 29; on aura
donc
l44£4-29^4 (mod 5) où 4^ = (modo),d'où
s = o (mod 5)
et
144-4-29 = 29 (mod 720).
Ainsi, x = 29 (mod 720) est solution de la congruence donnée.
14. Supposons maintenant que les nombres a, b et n ont un
lacteur commun A, mais tel que j et -r soient premiers entre eux.
En remplaçant dans ax = b (mod m) les nombres «, b et mpar ko!
ykb' et A m', il vient
ka'x~kb' (mod km1) ou a'x = b' (mod m')
qui donne
mou /n = -T-
Cette solution unique (mod m) donne k solutions (mod/?i) :
m 2m (k — 1 )m . .
.37 = 7', r-h-r-t r -\ — > ..., /'H?
(mod m).
Exemple. -— La congruence Ziox = 1 10 (mod 21 5) donne
63^7 = 22 (mod 43) ou a? = 14 (mod 43),
oux = 1 4 , 57 , 100, i43, 186 ( mod 21 5)
15. Supposons maintenant qu'il s'agisse de résoudre simulta-
nément plusieurs congruences :
a x x = bx
(mod m,),
a^x =. b.2 (mod m 2 ), ..., a nx = bn (mod m n ).
Les congruences (mod m), dans lesquelles le module m n'est
pas premier, seront remplacées par les congruences des modules
m\ m\ m"\ . . ., dans lesquelles les modules sont premiers entre
eux (III, 13). On aura ainsi le système :
a\x = b\ (mod /Ki), a\x^b\ (mod m'2 ), ..., a'nx~b'a (mod m'n );
a\x=àb\ (mod/Kj), a".z x=b\ (mod/Kg), ..., à'nx =. b"n (mod m"n );
CONGRUENCE DU PREMIER DEGRE. 21)
En résolvant chacune de ces congruences, on obtient :
x es r\ (mod ?n\ ), x = /-'2
(mod//i'2 ), ..., x = r'n (mod m'n );
x = r\ (mod m'i ), x = r 2(mod m 2 ), .. ., .r = r^ (mod Jn"n )\
Si quelques modules m'i sont identiques à quelques autres
modules my, il faut que les solutions correspondantes soient
identiques. S'il n'en est pas ainsi, le système est incompatible.
De plus, tous les modules /w/ étant des nombres premiers ou des
puissances de nombres premiers, si l'on trouve dans le système
des solutions deux modules mi et ray qui sont des puissances
d'un même nombre premier, les solutions correspondantes sont
contradictoires (dans ce cas le système est incompatible) ou sont
contenues l'une dans l'autre. Dans ce dernier cas, on gardera la
solution correspondant au plus grand module et l'on rejettera les
autres.
Par exemple, si l'on trouve parmi les solutions
x = 5 (mod 8), a? = 3 (mod 8),
le système est incompatible.
Le système est également incompatible si l'on trouve
x = 5 (mod 8), x es i i (modiG);
mais si l'on trouve
x = 5 (mod 8), x == 21 (mod 32),
on remarquera que la solution x = 21 (mod 32) est contenue dans
la solution x = 5 (mod 8).
On gardera la solution x := 21 (mod 32) qui limite la valeur de xmieux que ne le ferait la forme x = 5 (mod 8).
Ayant ainsi constaté que le système est compatible, et ayant
écarté les solutions inutiles, on aura un système des solutions
indépendantes :
x = r x (mod m,), x = r2 (modm,), ..., x = rn (modm„)
qui donnent
x = r (mod m = m )5 m 2 , . . . , m n ).
30 CHÀPITUE II.
Exemples. — i° Le système
j337 = i5 (mod 24), 17.27 = 10 (mod 2 5), 173^ = 12 (mod 72)
donne
5#=ê=.7 (mod 8), 1737 = 10 (mod 23), 3? = 4 (mod 8),
37=o (mod 3), 8a7 = 3 (mod 9).
La congruence 5^ = 7 (mod 8) donne x;=== 3 (mod 8), ce qui
est incompatible avec # eee 4 (mod 8), dont le système est incom-patible.
2 Le système
1737=44 (mod 72), 837 = — 1 (mod 9), 1137 = 12 (mod 16),
10037 = — 1 (mod 73)donne
37 = 4 (mod 8), 837 = 8 (mod 9), 1137 = 12 ( mod 16),
10037=— 1 (mod 73), 837 = 8 (mod 9),ou
37 = 4 (mod 8), 37 = 1 (mod 9), 37 = 4 (mod 16),
37 = 27 (mod 70), 37 = 1 (mod 9).
Les solutions # = 4 (mod 8) et ^ = 4 (mod 16) peuvent être
remplacées par une seule : x = 4 (mod 16).
On obtient ainsi les solutions indépendantes
37 = 4 (mod 16), 37 = 1 (mod 9), 37 = 27 (mod 7"3)
qui donnent
37 = 100 (mod io5i2 = 16.9.73) (111,13).
3° Le système
1137 = 53 (mod 72), 337= i3 (mod 100), 67937 = 484 (modG75),
737 = 25 (mod 96), 737 = 247 (mod 25o), 837= 68 (mod 112Ï;,
537=11 (mod 108), 1137= 21 (mod 80), ii37 = 25i (mod 270)
donne successivement :
A. Module 2m :
337 = 5 (mod 8), 337 = i (mod 4), 737 =.25 (mod 32).
37 = 1 (mod 2), 37=3 (mod 4), 1 1 37 = 5 (mod 16),
37 = 1 (mod 2),
CONGRUENCE DU PREMIER DEGRE. 3l
dont les solutions sont :
x = 7 (mod 8), 37 = 3 (mod 4), x=Z\ (mod 32),
ic = i (mod 2), 2?=3 (mod 4), 07 = i5 (mod 16),
07 = i (mod a")
el dont on gardera la solution
x = 3i (mod 3-2).
B. Module 3» :
2^ = 8 (mod 9), !\x~ib (mod 27), x = 1 (mod 3),
8,r = 5 (mod 9"), 5a7 = n (mod 27), 1 1 x = 8 (mod 27),
dont les solutions sont :
x es 4 (mod 9), x = i3 (mod 27), 07 == 1 (mod 3),
x = 4 (m°d9), .rs=i3 (mod 27), ar=!=i3 (mod 27)
et dont on gardera la solution
x = i3 (mod 27).
C. Module 5" :
3a? = i3 (mod '25), 4# = 9 (mod 25), 707=1*2 (mod 125),
8 x = 68 (mod 12)), 37 = i (mod 5), x = i (mod 5),
<lont les solutions sont :
x = 21 (mod 25), a?=2i (mod 25), x = 71 (mod 125),
:r = 7[ (mod 125), a? es 1 (mod 5), x = 1 (mod 5)
et dont on gardera la solution
x == 71 (mod 125).
Les modules des eongruences données ne contenant pas d'autres
facteurs simples que 2, 3 et 5, on peut satisfaire à toutes les
eongruences données avec les eongruences
37 = 3i (mod 32), =i3 (mod 27), =71 (mod 125)
qui (III, 13) donnent
x es 23071 (mod 108000).
16. Ainsi que nous l'avons vu par ce qui précède, la résolution
3'Jj CHAPITRE II.
d'un système quelconque se ramène à un système tel que
x = r\ (modfl!), = /*2 (inod a»), ..., == rB (inod a /t ),
les modules étant des nombres premiers ou des puissances de
nombres premiers.
Il est facile de démontrer que ce système est toujours compa-
tible, si les modules sont premiers entre eux.
En effet, si a{et a 2 sont premiers entre eux, les congruences
x ss r{
(inod «i), = r2 (moda 2 )
peuvent être remplacées par la congruence
a\y +• >'i = r.2 (mod « 2 ),
qui est toujours possible (II, 9).
Pour ce qui est de la résolution de ce système, nous avons
vu (II, 13) une solution directe très simple. Voici une autre
solution.
Soit le système
j = /'i (mod fl]), =5 rt (mod «2)5 •••? — rn (mod fl /t ).
On déterminera n nombres m/(* = 1, 2, 3, . . . , ri) tels que
m/=i (mod ai) et = (mod a t a 2 a 3 ..., cti-i «i+i ...««),
alorsn
se == ^ mjrj (mod axa 2 «3 ... ari)
1
est la solution du système donné.
En effet.n
1
== nii
r
t+ m 2 r2 4- m 3 r3 -+-* .
. -H m„ rn ( mod ai a 2 ... a„)
donnex = mi?\ (mod ai),
carr tous les termes, sauf le premier, sont divisibles par «, et
CONGRUEXCE DU PREMIER DEGRÉ. 33
puisque mK
= i (mod «,), on aura
x = î\ (mod ai).
On trouvera de même
x = r 2 (mod «à)» x — r3 (mod a 3 ), ....
Pour ce qui est de la détermination de n nombres m,, le travail
peut être facilité par les considérations suivantes :
Désignons par A les produits a{ , a 2 , a 3, . . . . an ; \e nombre
rm(i = r, 2, 3, . . . , n)
est alors déterminé par les considérations suivantes :
/«/= i ( mod ai), == o ( mod —j ;
donc nii(i = i , 2, 3, . . . , n) figure parmi les nombres .
A 2 A 3 A (ai— i)A
a, a, a,
Exemples. — i° Nous avons trouvé dans le paragraphe précé-
dent (exemple 2 ) les congruences
x = 4 (mod 16), =1 (mod y), =27 (mod 73).
On trouvera
nix== 9.73 = 637, m 2
= 4 . 16.73 =2 4672,
m 3 = 36. 16.9 == 5i 84 (mod 16.9.73);
d'oùx = 6J7.4 4- 4672. 1 -+- J184.27 (mod 16.9.73)
ou:r [47268 = 100 (mod 10112).
2° De même la solution du troisième exemple du même para-
graphe,
:r=3i (mod 32), =i3 (mod 27), = 71 (mod 225),
donnem
1= 13.27. I2 ^ = 5o6i5, m 2 = 7 .32. 1 25 === 28000,
ra 3 = 34.32.27 = 29376 (mod 32.27. 125);
d'où
x se 5o625. 3 1 -+- 28000. i3 -t- 29376.71 = 4019071 = 23071 (mod 108000).
KUAÏTCHIK. 3
3{ CHAPITRE II.
17. Il arrive très fréquemment qu'on ait plusieurs solutions
pour chaque module.
Si l'on a plusieurs congruences analogues, on aura plusieurs
solutions.
Ainsi supposons que la solution conduise aux résultats sui-
vants :
x == /', ou r 2 ou /-;;. r,n (mod ai),
x = /?i ou p-i p n (mod a 2 ),
x = Si ou s 2 sf)
(mod a 3 ),
i
x == t xou t 2 iq ( mod ai).
En combinant chacune des solutions possibles pour chaque
module avec chacune des solutions possibles pour les autres
modules, on obtiendra :
m 71 p ... q solutions ( mod a x a 2 ... #/).
Exemple. — Soient les deux congruences
x = o, 1,4 (mod 5),
x = ,o, 4, 5, 8 (mod iG).
On a 3 solutions (mod 5) et l\ solutions (mod'i6), ce qui équi-
vaut à
3 x 4 = 12 solutions (mod 5. 16 = 8o).
Voici ces 12 solutions :
x = o.4.5. i6.2o-.al . '24*36.4° • j6.64.O9 (mod 80).
Pour trouver ces 12 solutions, on peut opérer de la façon sui-
vante : on écrira les 4 solutions (mod 16) sous la forme de
5.4 = 20 solutions (mod 16. 5 =80).
x= o 4 5 8
16 20 ai 24
02 30 37 40
48 5i 53 56
6/» 68 69 72 (mod 80).
On éliminera de ce tableau les solutions x = r± . 3 (mod 5) qui ne
CONGRUENCE DU PREMIER DEGRE. 05
sont pas conformes avec la première condition x = o. i -4 (mod 5)*
Les solutions qui doivent être éliminées sont soulignées.
Les solutions non soulignées sont celles qui répondent à la ques-
tion, c'est-à-dire celles qui satisfont aux conditions imposées.
On arrive au même but par le procédé graphique suivant : Onconstruira une table à double entrée, composée de 4 colonnes
(pour les 4 solutions module 16) et de 5 lignes (le module de
l'autre congruence étant 5). Les colonnes seront marquées par
les nombres 0.4.0.8 (solutions module 16) et les lignes par les
nombres
o, 1x16 = 16, 2x16 = 32, 3 x 16 = 48 et 4x16=64.0. 4. 5. 8.
o -
16
32 - A -
48 - - -
64
o
De cette façon chaque case est réservée à un nombre parfaite-
ment déterminé par la somme de deux autres, dont l'un est inscrit
au début de la ligne de cette case et l'autre dans l'en-tête de la
colonne de ladite case.
Ainsi la case A correspond au nombre 32 -\- 4 = 36.
Cela étant, construisons une bande auxiliaire sur laquelle on
écrira les nombres
o, 16 = 1, 2x16 = 2, 3 Xi6 = 3 et 4x16=4 (mod 5)
avec un trait en face de 2 et 3, puisque x = 2 ou 3 (mod 5) est en
contradiction avec la condition
x = o.\ ou 4 (mod 5).
Si maintenant on applique cette bande auxiliaire le long d'une
colonne, de façon que la première case de cette colonne vienne
3
G
CHAPITRE II.
coïncider avec le résidu (mod5) du nombre de Fen-tête de cette
colonne, toute autre case coïncidera avec le résidu (mod5) du
nombre correspondant à cette case. Il suffira, dès lors, de trans-
férer les traits de la bande sur les cases qui viennent coïncider
avec ce trait, pour éliminer les nombres qui ne conviennent pas.
Les nombres restants (qui correspondent donc aux cases exemptes
de trait) donnent les solutions.
On obtient ainsi les mêmes solutions que précédemment.
18. Etant donnée l'importance de cette question, nous croyons
utile de résoudre encore quelques questions par le procédé gra-
phique envisagé.
Soit, par exemple, à résoudre les congruences
x =--
i 2 ou 5 (mod 7),
a7 = o.2.3.5 ou 8 (mod 11),
x ~ 0.1.4.5.9 ou n (mod i3).
Le premier tableau portera en tête des colonnes les nombres
X == o • 2 . 3 . 5 . 8 ( mod 1 1 ) et sera composé de 5 colonnes et 7 lignes,
ces dernières étant marquées par les nombres o . 1 1 . 22.33.44- 55
el 66. Ce tableau donnera 3 X 5 = 1 5 solutions (mod 7 X 1 1 = 77 ) -
o
n.
22
33
44
55.
66
- o
- 4
1
5
2
6
3
CONGRUENCE DU PREMIER DEGRÉ. 37
La bande sera formée de la façon suivante :
On écrira le long de la bande les nombres
o, ii == 4, 2x11=1, 3xir = 5, 4xn = 2,
5xii = 6, 6xir=3 (mod 7)
avec un trait en face de o . 3 . 4 et 6, solutions qui seraient en contra-
diction avec les solutions imposées x = i . i. 5 (mod 7).
Cette bande auxiliaire sera promenée le long de chaque colonne,
de façon que la première case de cette colonne vienne coïncider
avec le résidu du nombre de l'en-tète de la colonne (mod 7). Onmarquera d'un signe quelconque, par exemple d'un trait, les cases
qui viennent en face d'un trait de la bande et qui correspondent
aux nombres qui ne conviennent pas (mod 7).
Seules les cases exemptes d'un trait correspondent aux solutions.
On obtient ainsi les i5 solutions suivantes en remplacement des
3 solutions (mod 7) et des 5 solutions (mod 1 i ) :
x = 2.5.8. 16. 19.22.30.33 .36. 4
4
-47- 5j. 58.68.71 (mod 77).
On construira un second tableau comportant i5 colonnes [pour
les i5 solutions (module 77)] et i3 lignes.
Les colonnes porteront en en-têtes les i5 solutions (mod 77)et les lignes seront réservées aux nombres o, 77, 2X77 = 1 >i,
3 X 77 = 23 1 jusqu'à 12X77 — 9 2Z«-
2. 5. 8. 16. 19. T7. 30. 33. 36. 44. 47. 57. 58. 68. 71.
i54..
23l..
3o8..
385..
462..
53g..
616..
69 3 ..
770..
847- -
924..
38 CHAPITRE II.
0.
- 12
II
- TO
9
-. 8
- 7
- 6
5
4
- 3
2
I
O
La bande sera formée des nombres
o, 77 = 12, 2x77 = 11, ... (mod ij)
avec un trait en face de 2.3.6.7. 8. 10. 12, solutions qui ne cor-
respondent pas à celles exigées (modi3).
On promènera cette bande le long de toutes les colonnes commeprécédemment, et l'on marquera d'un trait les cases qui viennent
en face d'un trait de la bande et qui correspondent aux solutions
non admissibles (modi3). Seules les cases exemptes d'un trait,
correspondent à une solution. On obtient :
X eee 5.22.30.44.57.79.82.96. 11 3. 121 . i34- i35.i48. 1 56. 170. 173. 187.212.
222 . 225 . 239 . 247 . 261 . 264 . 278 . 299 . 3 10 . 3 1 3 . 3 16 . 33o . 338 . 352 .355.365.
39o.4oi.4o4-4°7 -42i .429. 44 2. 443. 453. 4 56. 464. 48 1.492 -4 9^. 498. 520.
533. 544. 547. 555.
5
7 2. 583. 586.
5
96 607.624.635.638.646.663.674.687.
698. 7 15.726. 729. 737. 75o. 772. 778. 789. 806. 817. 828. 84 1.849. 863.869.
880.915.932.940.954.960.971.992 (mod 1001).
19. Soit à trouver tous les nombres premiers avec
N = 2.3.5 = 3o, N = 2.3.5.7 =210, N = 2.3.5.7. 11 = 23io,
N = 2.3.5.7.11.13-== 3oo3o.
CONGRUENC.E DU PREMIER DEGRÉ. >Ç)
Les nombres premiers avec 2 sont i (mod 2) ou 1.3.6 (mod 6);
donc les nombres premiers avec 2.3 sont i .5 (mod 6) ou
i .5.7. 1 1 . i3 . 17. 19.23.25.29 (mod 3o).
Si Ton élimine de ces nombres les nombres 5 et 20 non premiers
avec 5, on aura les o(3o) = 8 nombres premiers avec 2 . 3. 5 =='36.:
#=(.7.11.13.17.19.23.29 (mod 3o).
Si on les développe par un tableau contenant 8 colonnes et
7 lignes7et qu'on élimine les nombres qui ne sont pas premiers
avec 7 (il y aura un nombre à éliminer dans chaque colonne); on
aura les 0(210) = \S nombres qui sont premiers avec
210 = 2.3.5.7.
donc non divisibles ni par 2, ni par 3, ni par 5, ni par -. Ce sont
les nombres :
x == 1 . 1 1 . 1 3 .17 .
19 . 2 3 . 29 . 3 1 . 87 .4 1 .43 . 47 • ~>3 . 39 . 6 1 . 67 .
7 1.73 . 79
.
83.89.97. 10 1 .io3. 107. 109. u3. 121. 127. i3i . 137.139. 143.149.
i5l. 157. i63. 167. 169.) -3. 179. 181 .187. 191 . 193. 197. 199 et
209 (mod 210).
Ce sont les nombres qui servent d'en-têtes dans les Tables de
Le limer (II, 3).
On obtient de même :
cp(23io) = 480 nombres premiers avec 23io,
o(3oo3o) = 5760 » 3oo3o.
20. Soit à trouver tous les nombres inférieurs à une limite
donnée et satisfaisant à plusieurs congruences données.
Pour fixer les idées, déterminons tous les nombres inférieurs
à 1 000000 et satisfaisant aux congruences :
x = 2 ( mod 4 ), ==± 1 ( mod 9), =+ 1 [ ( mod 2 j),
= 0.1.2 (mod 7); £=3.4.6.8.9 (mod 11),
= 0.1.2.3.8.9.11 (mod i3), =±(1.2.5.7) (mod 17),
==±(3.5.7.8.9) (mod 19), =±(0.1.2.3.4.8) (mod 23),
e==± (o. 1 .4.6.8. 10. [i .12) (mod 29),
= ±(3.5.8.9.10.12.13.14) (mod 3i),
= ±(1.2.4.5.6.8.10.15.17) (mod 37).
On obtient successivement :
x = 3 (mod 4), =±1 (mod 9),
/)() CHAPITRE II.
OU
'ar^ddio (mod 46), a?H=zbiô (mod 36), = + u (mod 2.5),
ou
x = -!- 386.586 (mod 900), x = 386.586 (mod 900),
== o. 1 .1 (mod 7),
ou, par le procédé graphique envisagé plus haut,
x =586. i486. 2186. 4186.4886. 5986 (mod 63oo).
Ces solutions avec celles qui sont exigées (mod 1 1) donnent :
.r= 2186.4186.6686.7786.10486. 12986. 14086. 19286. 20386. 23o86.
23 786. 24 886. 3 1886. 32986. 33 686. 36386. 37 486. 4^686. 43 786.
46 286. 48 986.50 086. 52 586. 5 {586. 58 886.
6
1586.62 686. 63 386.
64486.67186 (mod 69300).
Ces solutions sont obtenues parmi tableau comprenant 6 colonnes
(pour les solutions correspondant au module 63oo) et 1 1 lignes
(pour les nombres o, 63oo, 2 x 63oo, . . . , 10 X 6000).
Mais il serait assez compliqué de continuer de cette façon. Aussi,
sans chercher les formules générales des solutions pour les modules
plus compliqués, écrivons tous les nombres inférieurs à i 000000
et satisfaisant aux solutions (mod 69300) :
o
- ro
CON'GRUENCE DU PREMIER DEGRÉ 4'
On les écrira encore sous la forme d'un tableau comprenant
3o colonnes (pour les 3o solutions, mod 69800) et 10 lignes, car
la seizième ligne correspondrait aux nombres supérieurs à 1 000000.
Ainsi, la première colonne correspond aux nombres
69300K-+- 2186 avec K= . 1 . 2 .
.
.14
la deuxième 69300K+ 4186 avec K = Q . 1 . 2 .
.
• i4
la troisième 69300K+ 6686 avec K =.0.1.2.. .14
la treizième 69300K+ 3 1886 avec K = . 1 . 2 . . .i3
la trentième 69300K -f- 67 1 86 avec K = , i- . 2
.
. .i3
Le tableau ne contiendra donc que
12. î'5-+- 18. 14 = 432
nombres inférieurs à 1000000 et satisfaisant aux formes exigées
par le module 6g3oo.
On construira une bande auxiliaire qui portera sur sa longueur
les nombres
o, 69300 = 10, 2 x 69 !oo 7, 3 x 69 ioo j, ... (mod i3)
avec un trait en face des nombres 4 • 5 .6. 7 . 10. 1 2 qui ne con-
viennent pas (mod i3).
On promènera cette bande le long de toutes les colonnes, de
façon que la première case de chaque colonne coïncide avec le
résidu (mod i3) du nombre de l'en-tête de la colonne.
Alors chaque case viendra coïncider avec le résidu (mod i3) du
nombre qui correspond à cette case. On marquera un trait < ou le
nombre i3) dans les cases qui viennent en face d'un trait. Seules
les cases exemptes d'un trait (ou du nombre i3) satisfont à toutes
les conditions exigées par les modules 6g3oo et i3.
Il ne reste que 23o nombres satisfaisant à ces conditions (280 cases
exemptes d'un trait ou du nombre i3).
On éliminera ceux de ces 23o nombres qui ne sont pas
= ±1.2.5.7 (mod 17)
ou qui sont
= 0.3.4.6.8.9. [i.i3. 14 ( mod 1 7
)
au moyen d'une autre bande portant sur sa longueur les nombres
o, 69300 =.8, 2X69300 = 16, 3 x 69300 = 7,
42 CHAPITRE II.
avec un trait en face de
o. 3.4.6.8.9. 11 . r>. 14.
On promènera cette bande comme précédemment et l'on mar-
quera d'un signe quelconque (ou le nombre 17) dans les cases qui
viennent en face d'un trait.
Il ne reste que 102 cases exemptes d'un trait ou du nombre 17,
qui correspondent aux 102 nombres inférieurs à 1 000000 et qui
satisfont à toutes les conditions imposées parles modules 69800,
i3 et 17.
Au moyen dune bande portant sur sa longueur les nombres
o, 69800 = 7, 2x69300 = 14, 3 X 69800 = 2, ... (mod 19)
et un trait en face deo . 1 . 2
. 4 • 6 • 1 3 . 1 5 . 1 7 . 1 S;
on éliminera les nombres ne convenant pas (mod 19).
Il ne restera que 55 nombres dont le plus petit est 58886 et le
plus grand 953486 qui satisfont à toutes les conditions exigées par
les modules 69800, i3, 17 et 19.
De la même façon, on éliminera les nombres ne convenant pas
pour le module 23.
Après cette opération, il ne reste que les 25 nombres suivants :
x = 132686.181286.182386.227180.230986.287686.314686.327286.
339 886. 409886. 453286. 491 786. 5o8i86.549586. 667 486. 682586.
700786. 705 986. 812 386. 823 886. 863 486. 881 686. 886 186. 921 286
et 953486
qui satisfont à toutes les conditions envisagées jusqu'ici.
Si l'on élimine les nombres ne convenant pas (mod 29), il reste
x = 132686. 227 186. 230986. 287686. 327 286. 339886. 409886. 49 1786.
508186.700786.705986.823886.863486,881686.886186,
dont, les six suivants satisfont aux conditions imposées par le
module 3i :
x = 227186. 230986. 327286. 508186.705986. 863486.
De ces six nombres, seuls les trois suivants :
x = 117 180. 2 )o 986 . 863 486,
satisfont aux conditions imposées par le module 37, ainsi qu'à
toutes les conditions exigées par tous les autres modules.
CONGRL'ENCE DU PREMIER DEGRÉ. 43
21. Il est facile d'imaginer une machine à laquelle on pourrait
confier l'élimination des solutions qui ne conviennent pas pour un
module quelconque.
Sup posons qu'on fasse le tableau précédemment étudié (111,17,20)
de sorte qu'il ne soit composé que d'une seule colonne, mais d'un
nombre de lignes suffisamment grand. Les bandes aussi seront
d'une longueur suffisante. Si l'on pose les bandes correspondant
aux différents modules les unes à côté des autres, de façon que le
nombre de la première ligne coïncide avec le résidu du nombre de
len-tête de la colonne, une solution sera donnée par une ligne
blanche à travers toutes les bandes.
Une bande de longueur indéfinie peut être réalisée par une cir-
conférence tournant autour de son centre.
Imaginons un système d'engrenages composé d'un certain
nombre de paires de roues montées sur deux axes parallèles, Aet A.
Les roues montées sur Taxe A ont toutes le même nombre de
dents, par exemple 64, et sont solidaires avec Taxe. Les roues qui
leur correspondent sur l'autre axe A' sont folles sur l'axe et ont un
nombre variable de dents.
Ainsi, si Ton désigne par nt
et n-2 Je nombre de dents, et par R,
et R2 les rayons, on peut prendre une distance entre les axes A et
A' de :>oomm et les valeurs suivantes de ji
,, n 2 . R
f , R2 (en milli-
mètres) :
11,. R2 .
Pour le module in C>4
» 3 ou 9 ou, 27. 64
» 5 ou 25 64
> 7 ou 49 H» 11 64
i3 64
» 17 64
19 64
» 23 64
» 29 64» 3i 64
» 37 64
» 4i 64
43 64
» 47 64
64 100 100
54 108.7 91.3
5o 109.3 90.7
49 1 io.3 §9-7
44 118.
5
8i.5
52 in.
3
88.7
5i 1 1 2 . > 87.73~ 106.0 94.0
46 ii6.3 83.7
58 105.9 95.0
62 100.9 99-i
37 126.8 73.2
4i 122.0 78.0
4» 119.6 80.4
47 u5.3 84-7
44 CHAPITRE II.
Sur les roues montées sur l'axe A', on tracera une circonférence
d'un rayon inférieur à la plus petite valeur de R 2 ,par exemple
d'un rayon de 65 mm .
Cette circonférence sera divisée en n 2 parties égales. Aux points
de division, on percera des trous, ou bien on placera un contact
électrique, suivant qu'on se propose de se servir d'un rayon de
lumière ou de courant électrique. Ces trous ou contacts seront
numérotés.
Cela étant, si l'on a un système de congruences dont les modules
sont inférieurs à 5o, on procédera de la façon suivante : On bou-
chera les trous qui correspondent aux numéros ntqui sont des
solutions non admissibles (modjo). Si l'on se sert de contacts
électriques, on enlèvera les contacts des numéros qui correspondent
aux solutions non admissibles.
La machine étant mise en marche, quand elle présentera une
série de trous non bouchés, ou une série de contacts alignés,
donnera un nombre satisfaisant à toutes les conditions imposées.
Ce phénomène sera constaté par un rayon lumineux faisant tache
sur un écran placé devant la machine si Ton se sert de trous per-
forés. Si l'on se sert de contacts électriques, on s'arrangera de
façon que, par une série de contacts alignés, la machine soit arrêtée.
Dans les deux cas, on sera extérieurement informé de ce qu'une
solution est obtenue. Un compte-tours placé sur l'axe A donnera
le nombre de tours effectués et, partant, la solution.
22. Considérons un système de n congruences de même module
à n inconnues :
«u#i -h an &2 -+- «13^3 ... H- a\k%k • ••-+- am xn= &i ( mod m),
«21^1 -h a>ikxk = & 2 ,
««1^1+ «r2^2 O-nkXU b„.
Si l'on forme le tableau rectangulaire
«11 «12 «13 • • • a \k • • • «1« — &1
«21 «22 «23 • • • «2A • • • «2tt ^2
«Ml«/i2««3 • • • ank ' • • ann— "n
CONGRUENCE DU PREMIER DEGRE.
composé de n lignes et de (/i-f-i) colonnes, et si l'on désigne par
D,, Do, D 3 , . . ., D„, D les déterminants qu'on obtient du tableau
rectangulaire, en supprimant dans ce tableau la première, deuxième,
troisième, .... n lème dernière colonne, on aurait
— x x x2 — x 3 (—i)»xn (— i)»+«
D, ~D 2" D 3
~' D» D
si le système donné était un système d'équation.
Il est évident qu'en remplaçant la solution précédente p;
- Xy 37 2
ï>7"=
Dt
(-\)»xn (— i)'
D„ D(mod m),
on aura la solution du système de congruences.
Cette solution peut être achevée de la manière suivante : On a
ou
Xi==zt. — (mod m )
Do7/= ± D/ (mod m);
d'ailleurs, nous pouvons (II, 11) interpréter la solulion
a7/=±~ (mod m).
Exemple. — Soit le système
ix — Sy — 5z ~ 7
3 x — 6jk — 8 z. = ii,
837 H- jK + 2-3= 2,
(mod ioi ),
Le tableau rectangulaire
1 — 3 — :> 7
3 — G — 8 —i [
8 4- i 4- 2 — i
46 CHAPITRE II. — CONGRUENCE DU PREMIER DEGRE.
donne
D 1 =+ 29, D 2=:-/h D 3= -65, D 4 = — 53;
doù
(mod ioi)— x _ y _
— z "+-1
29 — 4 — 65 — 53
53;r = 29 donne 37 = 52 (mod 101),
53^ = 4 )) JK = 42,
53 £ = — 65 » z = 75.
CHAPITRE III.
GÉNÉRALITÉS SUR LES CONGRUENCES DE DEGRÉS SUPÉRIEURS.
1. Théorème de Fermât. — Si p est un nombre premier et anon divisible par p, on aura
a p-\ = i (mod /?).
Considérons les deux termes de la progression
a, ia, 3 a, .'":., (p — i)a
et soient
ru 7*2> rii • • • , rp-r 1
leurs résidus (mod/>), de sorte que
a = /-l5 2<7 = /-
2 , 3a = r3 , ..., (p — i)a ==rp-\ (mod/?).
Si L'on fait le produit de ces congruences, membre à membre, il
vient
1 .2. 3 «4 • • -{p — i)aP-~* = rv i\ /-3 • . . rp-i ( mod p ).
Or, les facteurs r4 , r 2 , r 3 , • • -, >>_< ne diffèrent que par Tordre des
facteurs i , 2, 3, 4, . . . (p — i) (I, 9); donc
rira ''3 • • • '7>-i= i.2.3. ..(/? — i).
En supprimant de la dernière congruence les facteurs communs
.
1.2.3.4. • •(/> — 1) = r t r2 r3 . . . rp-uil vient
aP~ x = i (mod/?).
Remarque. -'- Quel que soit «, on aura aP=a (mod/?) si pest premier.
En effet, la congruence aP~ a (mod/?) est vraie non seulementquand a n'est pas divisible par p (alors a**
-1 = 1 et aP=a), maisaussi quand a est un multiple de p.
48 CHAPITRE III.
2. Le théorème que nous venons de démontrer est d'une impor-
tance capitale dans la théorie des nombres. Aussi allons-nous
donner une autre démonstration de ce théorème :
Soit donc/? un nombre premier et a non divisible par p. On a
(a 4- b)i'= a>'-h pai>-iô 4- P P ~ *
aP-*b'2 -{- . . .4- pabP~ l 4- bP.
11 est facile de voir que tous les termes du second membre, sauf les
termes extrêmes, sont divisibles p r p\ donc
(a -h b )/> aP-^r bP (riiod p ).
Si, dans celle congruence, on remplace b par b 4- c, il vient
(a -+- b -+- c )p == «/'+ ( b 4- c )/' aP h- £/' 4- cP ( mod /> ).
En continuant de cette façon, on arrivera à
( a 4- b -+• c 4- . . .-+- /i -f- / )P = aP h- b'' 4- c/' -h ... 4- A/' 4- //' ( mod /? ).
Si l'on fait dans cette congruence
a = b == c = . . . = A = i
et leur nombre égal à a, on aura
a/,= i + i + i + ...4i:;:« ( ni od p ).
Si a n'est pas divisible par p, on peut supprimer le facteur
commun a et écrire
aP -i^i i mod p ).
3. Euler est le premier qui ait démontré le théorème de Fermai.
C'est encore Euler qui a donné le théorème suivant, dont celui de
Fermât n'est qu'un cas particulier :
Si Von désigne par ©(N) V indicateur de IN (I, 15) et si a est
premier avec IN, on aura
a«P(N)=i (mod Nj.
En effet, soient
N„ N„ N 3 ; ..., Kn
les n = co(N) nombres inférieurs à N et premiers avec lui.
GÉNÉRALITÉS SUR LES CONGRUENCES DE DEGRÉS SUPÉRIEURS. 49
Considérons les nombres
aNi, aN 2 , aN 3 , ..., aN„et soient
^l? r2i r3f ' • • ir ri
leurs résidus positifs (mod N), de sorte qu'on aura
aN| = r t , «N 2 = r2 ,..., flN„= r„ (mod N).
Puisque « et N/ (7 = i , 2, 3, ..., /i) sont premiers avec N, le
produit aN/ est aussi premier avec N et le nombre r,- qui lui est
congru est inférieur à N et premier avec lui; donc r, figure
parmi les nombresN l5 N 2 , N„ ..., Na.
D'autre part, les valeurs de r/(*=^i, 2, 3, ..., /i) sont toutes
distinctes, car si l'on avait /•;= r*, il en résulterait
âN/= «N^. (mod N)
ou, puisque a est premier avec N,
N/sNi (mod N),
ce qui est impossible, étant donné que N/ et N* sont tous deux
inférieurs à N.
Il en résulte que les facteurs du produit r{r 2
;*:,
. . . rn ne différent
(jue par l'ordre des facteurs du produit N, N 2 . . . N„.
Si maintenant on fait, membre à membre, les produits des con-
gruences
aNt^/'i, aN s =r2 ,..., aN„=r„ (modN),
il vient
a«N t N 2 N3 . . . N„= r, /•,
r
3 . . . rn (mod N)
et, en supprimant les facteurs communs, premiers avec le module,
N,N 2 N 3 ... ^n=r xrt rz ... rre ,
on auraa'l =i (mod N
)
ou ,
a?^=i (mod N).
On notera que si N est premier, o(N) = N — 1 et l'on aura le
théorème de Fermât.
KRAÏTCHIK. 4
50 CHAPITRE III.
4. On peut appliquer ces deux théorèmes pour la résolution de
congruences du premier degré.
Supposons d'abord que le module est premier.
Pour résoudre la congruence
ax = b (mod m),
a étant premier avec /?, remarquons qu'on a (mod m)
aP~i = i, ou baP x =b, ou abav^^b.
En comparant cette identité avec la congruence
ax = b (mod m) v
on voit qu'on peut prendre
x = b afJ-- ( mod /> ).
Pour trouver la valeur de x = — (mod p), on peut aussi multiplier
membre à membre cette congruence et la congruence i = aP~ {
;il
vient
x=baP- 2 (mod p).
Si, enfin, p n'est pas premier, on multipliera, membre à membre,
les congruences
i=aW et x = — (modp),a r
il vient
a; = 5 a?ip)-1
( mod p ).
o. Théorème. — Les diviseurs primitifs d'un nombre de la
forme an— i sont de la forme kn H- 1
.
Remarquons d'abord qu'on entend par diviseur primitif d'un
nombre de la forme an— i, un diviseur de an —^i qui ne divise
ax— i pour aucune valeur de x inférieure à n.
Ainsi :
2 25— j = 3j gOI !8oi.
De ces trois facteurs, le premier, 3i, divise i :> — i et n'est pas un
diviseur primitif; les deux autres ne divisent ix— t que pour
x = 25.S0.75 ... = 25 K
GÉNÉRALITÉS SUR LES CONGRUENCES DE DEGRÉS SUPÉRIEURS. 5l
et la plus petite valeur de x est x = 20. Ces deux facteurs sont
donc primitifs.
Remarquons encore que si 1'1— 1 est divisible par p, p étant un
diviseur primitif, on aura
a"=i (iiiod/>),
et puisque, d'après le théorème de Fermât,
aP~ l = 1 imodjo),
// est nécessairement un diviseur dey? — 1 , car la suite
a°=\, a^a i a^a^...a ll =\, an+l = «'... a"+A === a k,
aP~ x = 1 (niod/?)
renferme nécessairement un nombre entier de périodes
1, a, a 2 a 3 a* . . . a 11.
Ainsi/? — 1 est divisible par n. Si Ton désigne par k le quotient
de p— 1 par zi, on aura
p — 1 — kn ou p == krm- 1.
Nous reviendrons sur ce sujet qui est dune importance capitale
(V, 24).
6. Nous allons nous occuper maintenant des congruences de.
degré supérieur dont le module sera supposé premier. La forme
générale d'une telle congruence est
Aa?'»-+- B/'«-'+ C^'"-2 + . . .-h x -hK = o (mod/?)1
.
Les coefficients A, B, C, ..., K sont des nombres positifs ou
négatifs, mais entiers.
Remarquons d'abord que le coefficient du terme qui contient la
puissance la plus élevée de x peut être transformé en 1 sans que les
autres coefficients ne deviennent fractionnaires.
Si, en effet, a est l'associé de A(mod/>) (II, 12), on aura
A«=I.
En multipliant par a la congruence donnée, on aura
#'"-i-Baa?'"-i-+- Cax" l -*-+-.. .-+ ax -i-Ka ~ o (mod m u
5l CHAPITRE III.
Si A est divisible par p, le nombre A n'a pas d'associé, mais
alors on peut simplement supprimer le terme Axm qui est
= o (mod/?).
Ainsi, ayant la congruence 2X'J -+- 3# -f- 7 = o (modii) et
l'associée de 2 (mod 1 1) étant 6, multiplions la congruence donnée
par 6, on aurax 3 -4- 7 x -+- 9 = o (mod ii).
7. Théorème. — Une congruence de degré mxm -+- A x"'-- 1
-f- P> xm~* + ...+ Hir+K = o ( mod p )
riadmet pas plus de m solutions différentes.
On remarquera que si # = a(mod p) est une solution de la
congruence donnée, le premier membre est divisible par
x— a (mod/>).
En effet, soient Q (polynôme du degré m — 1) le quotient, et Rle reste de la division de
xm -\- Axm~ l -i-. . .-4- Hx -+- K par x— a,
on aura
œm -\- Axm- l -h. ..+ Hir + K = i^-rt)Q + R (mod/)).
Si Ton fait x = a, onaR = o; donc
xm ^- Ax fn- l -+-...-hHx-hK='(x— a)Q = (x—a) (xm~l -+- A l xm-*-4-...).
Ainsi à chaque solution x = a (mod p) correspond un facteur
linéaire dans la décomposition du premier membre de la con-
gruence.
Puisque le nombre de facteurs linéaires n'est pas supérieur à m,
le nombre des solutions différentes n'est pas supérieur à m.
On énonce quelquefois ce théorème autrement en disant que la
congruence
Ax"l-t- Bx'"- 1 -^. . .-h Hx-h K = o (mod/>)
n'admet pas plus de m solutions, à moins que tous les coefficients
ne soient divisibles par/?, et alors elle a une infinité de solutions.
Ou encore : si la congruence
Ax'"-+- Y$xm- x -\-. . .-+- Hx -f- K = o (mod/))
GÉNÉRVLITÉS SUR LES CONGRUENCES DE DEGRÉS SUPÉRIEURS. 53
admet plus de m solutions, tous les coefficients sont = o(mod p).
8. Considérons l'expression
/(a?) = (x — i) [x — 2) (x — 3) . . . [x — ( p — i)] — (xP-* — i)
composée de deux termes dont le premier est le produit de (/?— i)
facteurs x— i, x— 2, . ..,# — (p — 1) et le deuxième est
xp~ {— 1.
Chacun de ces deux termes s'annule pour
œ = 1 . 2 . 3 . . . p — 1
.
Donc la congruence(jr)'==Êû (mod/>)
admet/? — 1 solutions.
Mais /(a?) n'est que du degré p — 2, car les termes xP~ K dispa-
raîtront, donc tous les coefficients def(x) sont = o (moà p).
Les coefficients de f(x) sont :
1 — 1 = pour le terme en xP~ l
,
-II + 2 + 3+...+ jO + l) » xP~-,
+ (l.2+I.3+.,.+ 2>3+...j » xP~z,
•>
(— i)P-J 1.2. 3.4. :.(/> — i)-f-i » x°.
On aura ainsi :
i + 2 + 3+...+ (j5-i) = o (mod/?),
1 . 2 + 1 . 3 -f- . . . -h 2 . 3 -h . . . -+- ( p — 2 ) (p — ï) = o,
(— i)^- 1 1.2.3. ..(/> — !)-+- T = 0.
9. Théorème de Vilsojs. — Si p est un nombre premier, on
aura1.2.3... (p — 1 ) -h 1 = o ( mod p ).
Le théorème est vrai pour/? — 2, car 1 -+- 1 = o (mod 2).
Si p ;> 2, p est impair et p — 1 est pair.
La dernière relation trouvée dans le paragraphe précédent
devient1.2.3. . .(p — 1) + 1 = o.
Tl est à noter que le théorème de Vilson est une caractéristique
de nombres premiers, mais malheureusement inapplicable pour
reconnaître si un nombre est premier.
54,
CHAPITRE III.
10. Théorème. — Tout nombre premier de la forme /\n-\-\
est un diviseur d 1une somme de deux carrés.
En effet, si p = l\n + i est premier, on aura
i . 2 . 3 . . .-( 4 n) -+- 1 . == b ( mod p )
Qll
i . i . 3 . . . ( 2 n ) ( •>. n -+- t ) ( i n -+- 2 ) . . . ( 4 /i ) 4- i = o ( m od p ).
Les 4™ nombres formant le produit (4n)l peuvent être distri-
bués en deux groupes, chacun contenant in facteurs.
De plus, ces facteurs sont, au signe près, les mêmes (mod p).
Ainsi :
4/i eeee— i 4/i— i = — 2. . . 2 rc-i-2=— (in— i),'?./i-r- 1=— in (mod p \.
Le nombre des facteurs de chaque groupe étant pair, le chan-
gement de signe de ces facteurs n'altère pas le résultat et l'on
a u ra
[t .i.'\ . . .( 2rt)] 2+ i = o (mod/?);
donc le nombre premier p = /\n + i est un diviseur de
[l.2.3...(27l)J 2 -Hl
ou d'une somme de deux carrés.
11. Si la congruence
Aj7'"h- Ba^-i-f-, . .-h H.r -+- K = o (mod p)
admet m solutions an a 2 , . . ., am , on aura
— A(«!-h a 2 -i- «3+ - • •+ «m) = B (mod/? ),
A(o1 o!+a 1 aî+ ) = C,
(— i)"i Aa 1 a 2 a3+ . . -h a,„) = K.
En effet, on aura
A.rm -\- B.r'»- 1 -}-...-^ Ha?-t- K = A(x — a t ) (a? — a % )...(x — am )(mod/?)
ou
A.rw -+- Ba?**- 1 -*-. . .-f- Ha? + K = Aa?'"— A(fl 1 a2 a 3+ . . .--H^'»- 1
-+- A(aia 2 4- «i«3 . • .;a7'/t-2 -f-. .
.
-h (
—
i)"î Àaiaî ...a /„ (mod/?).
GÉNÉRALITÉS SUR LES CONGRUENCES DE DEGRES SUPÉRIEUKS. 55
Cette dernière congruence étant du degré m — i el admettant
m solutions a^a*,. . ., am aura tous les coefficients = o (mod/?);
donc— A( «j h- «2+ «3+ . . .) = B (mod/>),
+ A(rt 1 ffl 2+ «i«3+ • • •) = G,
(— i )/» A ai afc aj .-.; . a /lt = K.
12. Théorème. — Zes solutions communes à deux con-
gruences
f(x)==o et F(a7)sï=o (mod/>)
sorcf aussi solutions de la congruence D(#) = o (mod/?), D(#)étant le plus grand commun diviseur (mod/?) de f(x) et de
V[x).
En effet, à toute solution x = a (mod /?) des congruences
f(x) = o et F(.r) = o (mod/>)
correspond un facteur linéaire #— a dans la décomposition de
f(x) et F (a?), donc dans la décomposition de D(x); par consé-
quent x = a (mod/?) sera aussi solution deD(^) = o (mod p).
Inversement, les solutions de D(#) = o (mod/?) sont aussi solu-
tions def(x) = oetdeF(#) = o.
13. Théorème. — Si m est supérieur à p, la congruence dudegré m (mod/?) peut être remplacée par une congruence dudegré p — i qu'on obtient en cherchant le reste de la division
du polynôme donné du degré m par xP— x.
Soit
Aa?'"-H Bx»'- 1 -*-... -i- Ux-h K==o (mod/?)
la congruence donnée. Divisons
Axm -h Bx ,n~ l -{-. . .-4- Ex +- K par xP—x
et soient Q (un polynôme du degré m —p) le quotient et R le reste.
R est un polynôme du degré p— i au plus, tel que
k l xP-K+- B^-2+ ...-h H 2 # + K.
56 CHAPITRE III.
On aura
kx>n -+- B^'«-i+ . ,.+ Ha:+K = (xP— x)Q_
(mod /?).
Puisque (^— #)Q est = o (mod /?) quel que soit x, les deux
congruences
Ax"'+ Ba;'"-ï + . ..+ Ha; + K = o (mod p)et
ont les mêmes solutions, ce qui démontre le théorème.
14. Théorème. — Si la congruence
/< x ) = xm -\- Aic'"- 1 -^-. . .-+- Ha?+ K= x) (mod ^?)
admet m solutions, tous les coefficients du reste de la division
de xp— x par f(x) sont = o (mod/>).
Soient F (a?) le quotient et R(x) le reste de la division de xp— xpar/(.r). On aura
xP — x =f(x)¥(x) + R(x)
ourr^— x —f(x)F(x) = R(x ).
Or le premier membre de cette égalité est =o(mody») pour
m valeurs de #, au moins, car xp— x est eeo pour toute valeur
de x et f(x)Y(x) est = o (mod p) pour au moins m valeurs qui
satisfont f(x) = o (mod/?). Donc la congruence R(#) = o (mod/>)
admet aussi au moins m solutions. Comme R(#) est le reste de la
division de xp— x par/(.r) qui est un polynôme du degré m, le
reste R(#) est d'un degré inférieur à m. Et puisque la congruence
R(#) = o admet au moins m solutions, tout en étant d'un degré
inférieur à m, tous les coefficients de cette congruence sont
= o (mod p).
15. Inversement, si dans le reste de la division de
xv—x par f(x) = Ax'"- l -i-. . .-h H a? -h K,
GÉNÉRALITÉS SUR LES CONGRUENCES DE DEGRÉS SUPÉRIEURS. 67
tous les coefficients sont eé o (mod /?), la congruence
f(x) = o (mod/?)
admet m solutions.
Soient F (a?) le quotient et R(V) le reste de la di\ision de xP— x
par f(x); on aura
xP— x = f(x) F(x) + R(>)
ouxP— x — R(x) = f(x) F (x).
Le premier membre de cette égalité est congru à o (mod/?) pour
toutes valeurs de x, car les deux termes qui le composent %p— x
et R(x) sont congrus à o (mod/?) pour toute valeur de x.
Donc la congruence
f(x)F(x) = o (mod/?)
peut être satisfaite par n'importe quelle valeur de x.
Or, le quotient de la division de xP— x par f(x) est du degré
p — m et son premier terme est xP~m; conséquemment, la con-
gruence f(x) = o (mod p) n'a pas plus de m solutions, et la
congruence F(x) = o (mod p) plus de p — m solutions.
Puisque la congruence f(x)F(x) = o (mod/?) du degré
m -{-(p —-m) admet p solutions
x = o. 1 .2.3. . .(p — l) (mod/?),
il en résulte que la congruence f(x) ™ o (mod p) admet m solu-
tions et la congruence F (oc) = o (mod p) admet /? — m solutions.
Exemples. — i° La congruence
x 3 -h x 2 -+- 4 x -+- 1 = o (mod 7)
admet trois solutions, car le reste de la division de
x~— x par x %-r- x--\- \x H- 1 est — 28 xr— jjx — 7,
puisque
x' — x = (.r3 -h# 2 -+- \x-hi)(x'*~ x z— 3xi -^-6x-h 7) — 7(4#*-h 5a? -f- 1).
58 CHAP. MI. — GÉNÉRALITÉS SUR LES CONGRUENCES DE DEGRÉS SUPÉRIEURS.
2° La congruence
x*— x 2 -i-x — i == o (niod 7)
admet moins de trois solutions, car le reste de la division de
x~ — x par xz — a?2 H-.r — 1 est x-— ix-hi,
puisque
x" — x = (x z— x 2 -h x — 1) (.r4 -f- a? 3 -}- 1) -h (x 2 — IX +- 1).
CHAPITRE IV.
CONGRUENCES DU SECOND DEGRÉ.
1. La forme générale d'une congruence du second de»ré esto o o
rt.r 2 + bx -h c = o (mod/?).
Remarquons que si a = o (mod p), la congruence donnée n'est que
du premier degré'. Nous supposons donc a différent de o (mod y;).
Le module lui-même doit être supérieur à 2, car si p==2 la
congruence donnée peut être remplacée par une autre du degré
p— 1 = 2 — 1 = 1 (III, 13).
Supposons donc p ^> 2 et pour commencer supposons/? premier.
Dans ces conditions, la congruence
ax 2-i- bx -+- c = o (mod/?)
esl équivalente à
(2a^ + è)2 =i 2 -4«c (mod/?;ou
z-= q (mod />),
étant posé>ax-\-b = z et 6 2 — 4 ac — </.
Si l'on parvient à résoudre la congruence
z^—q — b- — \ac (mod/?),
on aura, pour déterminer a?, l'équation iax -\- b = z ou la con-
gruenceiax-\-b = z (mod/?)
que nous savons résoudre (II, 10).
Ainsi toute congruence de second degré
#a? 2 -t- bx-\- c — o (mod/?)se lamène à
z-=q (mod p).
Nous allons donc nous occuper de cette dernière.
60 CHAPITRE IV.
2. Nous supposons que q n'est pas = o (mod/?), car autrement
la seule solution de la congruence est £ = o(mod/?). En effet,
£ 2 =o(mod/>) exprime la divisibilité de z- par p. Or, p étant
premier, z 2 n'est divisible par p que si s l'est; donc z = o (mod/?)
est la seule solution possible de la congruence s 2= o (mod/?).
Nous allons prouver que si q ^ o (mod/?), la congruence
£ 2 = </(mod/?) admet deux solutions ou n'en admet aucune.
On sait que la congruence z 2= q (mod /?) a autant de solutions
qu'il j a de nombres dans la suite o, i, 2, 3, ...,/? — 1, qui lui
satisfont. D'autre part, cette congruence ne peut pas avoir plus de
deux solutions.
A cause de a 2 =(/? — a) 2, on voit qu'à toute solution z = a
correspond une solution z=p — a distincte de la première,
puisque a — /? — a entraînerait p — 2a; or p est premier par
hypothèse. D'autre part, si a <Cp — 1? p — # est aussi <^p — 1
;
donc si une solution # = a existe, il en existe aussi une seconde
x =p — a (mod p).
3. Nous avons vu (III, 14, 15) que pour connaître si une con-
gruence de degré m a m solutions (mod/?), il faut prendre le reste
de la division de xP— x par le premier membre de la congruence
proposée et s'assurer que les coefficients de ce reste sont= o (mod p) .
Donc, pour savoir si la congruence z- = q [mod p) admet deux
solutions ou aucune solution, il faut trouver le reste de la division
de zP— z par ^ 2— q.
Or
Le premier termeT }—-
p ~~~\
L(i«)2 ~q 2
J
est divisible par z 2 — q, donc le reste de la division de z-— p par
s 2 — q est
.puPour que la congruence s 2= </(mod p) ait deux solutions, il
CONGRUENCES DU SECOND DEGRÉ. Gl
faut que le coefficient de z soit = o (mod p) ou
i
q - — 1 = (mod/)).
Ainsi la congruence £ 2 =2(mod 7) admet deux solutions, car
7 — I- = 3 et 2 3= i (mod 7).
La congruence z 2 = 2 (mod 1 1) n'est pas possible, car — — 5 et
2 5= 32 n'est pas = o (mod 1 1).
4. Inversement, si la congruence 5 2 =^(mod /?) admet deux
solutions3 = a et z = (p — a) (mod/?),
on aurap-t
q2 = 1 (mod/?).
En effet, puisque z = a est une solution de z- = q (mod/?), on
aura a-= q (mod/?) ou, en élevant les deux membres à une puis-
sance dont l'exposant est*
ou
Or
donc
5. Nous avons vu (III, 1) qu'on a toujours
qiJ ~ l — 1 = (mod p),
ce qu'on peut écrire
\92 — iJW 2 +1^0 (mod/?).
On aura donc toujours
q2 = dz 1 (mod /?).
il est y
ilp—i) p —
a i = q ~ (mod p
P-i
a i>-\ === ^ 2 (mod /?)
a/'-i = 1 ( mod /?) ;
P -\
q2 ^1 (mod/)).
G
2
CHAPITRE IV.
Ainsi la valeur absolue de q - (mod//) est ï.
Nous avons vu que si l'on a
(]l = + i (mod/?),
la congruence £ 2 =/? (mod/?) admet deux solutions.
Si l'on a q2 = — ï (mod/?), la congruence z 2= q (mod p) n'est
pas possible.
On désigne par le symbole (-) la quantité ±i ou mieux la
quantité q2
.
On écrira donc symboliquement :
(?)- si ?2 =-f-i (mod/?),
d)-— si (mod />).
Ainsi :
(ï)-* car 2 3
1 (mod 7),
tè)-- car 2 5 ^=— 1 (mod 11).
Nous pouvons donc résumer le paragraphe 3 de ce Chapitre en
disant que la congruence z 2= q (mod p) est possible et admet
deux solutions si
(ï)--
Par contre, cette congruence n'est pas possible si(- \ = — 1
.
Dans le premier cas, q sera dit résidu quadratique de p: dans
le second cas, q est non-résidu quadratique.
Rappelons que p est supposé premier, mais aucune hypothèse
n'est faite sur q si ce n'est que q ^ o (mod p).
6. Théorème. — On a toujours
(ONGRUENCES DU SECOND DEGRÉ. fi
3
()=-+-i si /? = i (mod 4),
/Zlij=— i si /> = 3 (mod 4)-
En effet, on a/> —
i
[|j= ^ *
: (modp)
(j)I.
2 àkl.
Si /; = i (mod 4), posons p ±= 4 £ -f- * j alors
(£)-(-,>-<-*
Si jt> = 3 (mod 4), posons p =s 4 Ar -+- 3, alors
_ > Lzl-ij^(-l) * ^(_,)**-M^_,.
Ainsi i est toujours un résidu quadratique.
(— i) est résidu quadratique pour tout nombre premier de la
forme ^k-\-\.
(— i) est un non-résidu quadratique pour tout nombre premier
de la forme 4 k H- 3. •
En d'autres termes, la congruence .g2 =i (mod/?) est toujours
possible; la congruence z'2 ~ — î (modp) n'est possible que si le
module p est de la forme \k-\-i.
7. Théorème. — Si q = q t , q 2 , q-i-, • • -, qm
J)-(?)(5K?):;:'(Ç)-
En effet, on a
De même que
(j)=?2 (mod/,).
64 CHAPITRE IV.
d'où, en multipliant ces congruences membre à membre
p-\ P -\ p-i
p-\ r -\p—\
^(qiq-2-..qn)2 ^q 2
=(|) (mo.l/>).
Ainsi la détermination du symbole (-)» quand q n'est pas
premier, se ramène à la détermination de ce symbole quand q est
premier.
En particulier, remarquons qu'on peut éliminer les facteurs qui
entrent dans q avec un exposant pair.
Si, par exemple, q = a 2 b,
(J)-g)(«oa,).
En effet,
(î)- (?)-©(?)(;) -G)'® -G)-
8. Théorème. — Si p est de la forme 4 k -+- i, les nombres qet — q sont tous deux résidus quadratiques ou tous deux non-
résidus quadratiques. Si p est de la forme 4 k -f-3, les deux
nombres q et — q sont l'un résidu quadratique et Vautre non-
résidu quadratique.
En effet,
(îMtX?)'or (— i) est résidu quadratique si p est de la forme 4 k -f- i , alors
c'est-à-dire que les nombres q et — q sont tous deux résidus qua-
dratiques ou tous deux non-résidus quadratiques.
Mais si p est de la forme 4 k -f- 3, alors
c'est-à-dire que si q est résidu quadratique, (— q) est non-résidu
CONGRUENCES DU SECOND DEGRÉ. 65
quadratique, et inversement si q est non-résidu quadratique, (
—
q)
est résidu quadratique.
9. Théorème. — Si q = q (mod p), on aura
(?)
En effet, la congruence q^q (mod p) entraîne celle-ci :
p-i p-
i2 -=?' «
ou
(Î)-KS <mod ">-
Or, la valeur absolue de (—
)étant i , la congruence
(ïWï) <-*/?entraîne l'égalité
(ï)-(ï)-
10. Théorème. — Si Von désigne par R un résidu quadra-tique^ et par IN un non-résidu quadratique, on aura
RR'=R", RN = N', NR = N', NN'= R,
c'est-à-dire que le produit des deux résidus est un résidu, le
produit d'un résidu et d'un non-résidu est un non-résidu, le
produit de deux non-résidus est un résidu.
En effet, nous avons vu que si q = q K q 2 q 3 . . . qn , on aura
(ÏM5) («)$•';$);
Puisqu'on a par définition
S)-.' « (5)'-;
-KRAÏTCH1K.
66 CHAPITRE IV.
on aura
(?)©-—(!) ©:(?) =-=©(+ï)(-0
et enfin
e)(l)^-><->-— e:
11. Moyennant les théorèmes que nous avons examinés, le carac-
tère de q(mod'p) ou la détermination du symbole (-] peut
toujours se ramener au cas de q inférieur à p et premier.
Pour ce cas (donc quand q et p sont premiers et q<Cp)-, nous
allons démontrer le théorème suivant :
(!)= (-<>* avec , = E(^) +E (i
? )....+ E-
P
E(#) désignant le plus grand nombre entier contenu dans x.
En effet, nous avons vu (II, 4) que si r,-( i= i, 2, 3, . . .,j
désigne le résidu minimum absolu (mod p) du nombre iq, le signe
de ri est déterminé par le signe de la quantité
(- >' •
On aura donc, en respectant le signe de rn
— / — \
n^(-x)P iq (mod/>) (i=i,2,3, ..., ^--j
ou, en explicitant,
e (-) e (-)r,= (-i) v ^ ? , rlŒ (-0 v " ; 2 ? , ...,
E ( p — 1 ) q
V-i = (-0 ~ E^1 <1 (mod/>)
2
ou, en multipliant membre à membre,
'Wj • • • rp_ l= (— i)*? iqZq ..
2
Or, les facteurs 77, /*2 , /*3, ..., r
;,_i ne diffèrent que par l'ordre
r/.r2 r3 . . . r/ï_ 1W(— i-J*^ iq3q ... t^-1 q (mod/?).
CONGRUENCES DU SECOND DEGRE. 07
des facteurs i, 2, 3, . ..,- > car ils sont tous non supérieurs
à- (comme résidus minimums) et sont tous distincts.
Si, en effet, on avait r,= r* avec i et k non supérieurs à- >
on aurait
(—1) v P J iq = (— 1)v P J kq ( mod /?),
ce qui donneraitiq = ±kq (mod/>)
et entraînerait la divisibilité de î ifc A" par/?, ce qui est impossible,
i et k étant deux nombres supérieurs à •
Ainsi
n/*2^3- •• '>-!= 1.2.3.4 •• -^—
-
et
O^'-a- • • ^_,= (—-r)*j iq 3q \q . . .^—
-
(mod /?)~~2~ *
devient, quand on supprime les facteurs communs,
i = (— i)*^2 (mod/?).
Si, enfin, on multiplie les deux membres par (— 1)*, il vient
q 2 s-(-i)A (mod/?),
A désignant la quantité
(_i) v />y V. P / \ p ) \
Ainsi, pour déterminer le caractère de 5 (mod i3), on calculera
"(S)- »(SB (£)** EfêH"(S)-* «(SB
/: = o-i-n-2-+-3-f-3-i-4 = i3
et
^) = (-Oa =(-i) 13 = -i.
68 CHAPITRE IV.
12. La relation précédente est vraie quel que soit q. Elle peut
être simplifiée si q est impair. Supposons donc q impair, et remar-
quons que
(l).=(£#e
);
Si, dans la formule du para graphe précédent,
©=<-'* ^m-e>-'(?)— E (P
Pûi,
on fait
q == -(p -+- a),
a étant supposé impair (ainsi quep), il vient
{*-(*+*) p + a 2(»-H<7) ( p— li( p-¥n)+ E— -K..+ E — -
I) P P P =(-0*,
et si l'on multiplie les deux membres par f -Jet en remarquant
que l'exposant de (— i) est
= 1 + 24-32 p
•2rt.-\-
(P — i)
ip
a
/>-+-! P — 1
2 2 +e/:?)
„ /''2Û
)+... + E (Pip
)a
a.
+ 1M
= />2—
i
8+e)* (
2a\.-+- E (/? - ]
ip
)aj
on trouve
Si l'on fait dans cette relation a = i, on trouve
G)"(y)<->'8
CONGRUENCES DU SECOND DEGRÉ. 69
tous les E( — jétant nuls et en multipliant cette relation membre
à membre avec la précédente, on aura
p) =(-,)
E0;)
+E (7r) + - E—
,
relation de la même forme que celle du paragraphe précédent, mais
dont les termes sont deux fois plus petits.
13. Nous avons trouvé, dans le paragraphe précédent, la relation
p5-i
= (f)<-^En multipliant les deux termes par
(-1) 8 =i-i) 8,
il vient
(-> » =g>-) ' ,
et puisque le carré de tout nombre impair est de la forme 8 n -f- 1
,
car
(ik-+-if= 4A 2+4^ + i = 4/v(^ + i)h-i
et k (k -f- i) étant pair, (2 h:'+ i) 2= Sn -f- 1 ; donc £—— est pair et
p--i
(— 1)4 = -f- 1 ; donc on aura
Nous avons vu que ^—— est toujours pair si p est impair.
Pour ce qui est du nombre ?—?— > il peut être pair ou impair
suivant que p est de la forme 8 Â =b 1 ou 8 k zb 3.
Ainsi, si p = 8 /r rh 1
,
^-ïï-= 5 = Ji—ô = P a "' et 2)=
70 CHAPITRE IV.
Mais si p = 8 k±i 3,
p*-i (8Ha)»-i 64A 2 ±48£ + 8 //; ,,. /N^-g— = g = — £ =2(4A-2 dz 3/k) + i = impair
et
(I)-.-
Ainsi, nous avons le théorème :
i si /? =± i (mod 8),(?)
-) = — l si /?==±3 (mod 8),
ou
Ainsi\Sk± i)
etSA
(è)=
14. Théorème. — Si a eut impair et inférieur à /?, on aura
En effet, nous avons la relation
(f)-<-?>. avec * =E
(j)+ B
fë)+ ... +E^.
Cherchons la valeur de A". Remarquons, à cet effet, que k est
une somme de plusieurs entiers dont le plus petit est
et le plus grand
B<f,-„
E(,P -i)a =E /«_ -± \ = E
/q-i
1p \1 ip J \ 2
p — a
Ainsi k est une somme de nombres croissant de o à •
Pour déterminer cette somme, calculons combien il y a de termes
dont la valeur est o, combien il y a de termes dont la valeur est î
,
puis 2, 3, . .., jusqu'à
CONGRl'ENCES DU SECOND DEGRE.
Posons-nous la question d'une façon générale.
Etant donnée la somme
(p — i)ayt=E
g)+ E^) + ... +Eg)+ E!l±^ + ...+ E-
la
déterminer combien il y a de termes dont la valeur est a?, le nombrea — i
entier x étant compris entre o et —
Supposons que le dernier terme inférieur à x soit E( —J,
de
sorte qu'on aurava (y+i)aJ— <x< H L.,P P
px
B ,?«
ce qui donne
ce qui montre qu'il y a
nombres dont la valeur est inférieure à x.
On trouvera de la même façon qu'il y a
Ep(v-+-*)
a
nombres dont la valeur est inférieure à x -h i
Il y a donc
Ep(.x-+-i)
Epx
a a
nombres égaux chacun à x.
Ainsi la valeur de k se compose de :
a-E
a
a a
Ea-e2£
a
E;< -Dp
a
,->a
3)/>
p — a
i
,;<*a
l)P
nombres égaux chacun à
a — 3
72 CHAPITRE IV.
On trouve ainsi :
A =„7E£_E^UifE^-E£Ù 2(E2£-.EΣV ••\ a a ) \ a cl } \ a a ]
•2 |_ a a J
2 2 J
ce qui donne
k = a ~~ l p ~ l
L a a a a J
ainsi
v/<- / .\ 2 2 V a a la J
(i)-(-1)*=(-1)
15. Théorème. — «S'/ a et b sont deux nombres premiers
impairs et distincts, on aura.... a — 1 b — 1
En effet, on a (IV, U)
d'autre part (IV, 12),
, ft 1b \a— \\bl E-+E K..-f*E
—
_ __ / \\ a a 2a
a ' '
d'où, en multipliant membre à membre,
C'est en cette formule que consiste la loi de réciprocité des
nombres premiers.
On peut encore interpréter la dernière formule d'une autre
façon. On a
CONGRUENCES DU SECOND DEGRÉ. 73
Si donc un des nombres a ou b est de la forme 4 k -h i , l'un des
facteurs de l'exposant de (— i) sera pair et le second membre
est + i ; donc
et alors
ce qui revient à dire que le caractère de( t )
est le même que celui
*.©•;Mais si les deux nombres sont de la forme 4 £+ 3, l'exposant
de (— i) contient deux facteurs impairs et
ce qui revient à dire que si a est résidu (mod b), b est non-résidu
(mod a).
16. Ainsi, nous avons établi les résultats suivants :
i ° -h i est résidu de n'importe quel nombre où (-) ==+ i
.
2° — i est résidu des nombres de la forme 4 k -+- i et non-résidu
de nombres de la forme 4^+ 3.
3° Si p est de la forme 4 k -+-1
, les nombres a et — a sont à la
fois tous deux résidus ou tous non-résidus.
5° ^\= + i si p = Sk±i,
(2) =—
i
si p = $/czt3.
6° Si l'on désigne par R, IV, R" des résidus ; et par N, N', N", . .
.
des non-résidus (mod/)), on aura
RR' = R", RN = N', NR = N', NN' = R.
Si a et 6 sont premiers, impairs et distincts, on aura
a — 1 />—
:
(-) 2 2•(ï)(î)
74 CHAPITRE IV.
ou bien on aura toujours
à moins que les nombres a et b ne soient de la forme 4^+ 3;
alors
©--(!)
Moyennant ces formules, on peut trouver la valeur du symbole
( j ]quels que soient a et 6, sous la seule condition que b soit
premier.
Ainsi :
*'3\ _ /4i2\ / 4.io3 \ _/io3\ _ /6oi\ _/ 86 \
oi/ \6<M/ \ 6or /""\6oi/ \io3/~\io3/
17. Avant de continuer l'extension de cette théorie pour le cas
d'un module composé ou d'un module 2 re, il est bon d'envisager
toute la question sous un autre point de vue.
Nous avons défini le symbole ( j \ par la congruence
(?)== a 2 (mod p)
et avons démontré que si ( t )= i , la congruence x 2= a (mod b)
admet deux solutions. On peut aussi arriver à la définition du sym-
bole ( j ) d'une autre manière.
Tout nombre est congru à l'un des nombres o.i.2.3...(p — i)
(mod /;); donc, quel que soit a?, on aura
x ss.o.i.a.3. : ,{p — 2) ou (p — 1) (mod/?).
Si l'on élève tous ces nombres au carré, on aura non pas p valeurs
différentes de x 2, mais
— valeurs différentes,
CONGRUENCES DU SECOND DEGRÉ. j5
et si, provisoirement, on exclut la valeur x = o [donc aussi la
valeur x'2= o (mod /?)], on aura p — i valeurs différentes de #,
mais
— valeurs différentes de x 2,
i
car il existe toujours deux valeurs x et (p — x) dont les carrés sont
les mêmes (mod /?), puisque x 2 = (p— x) 2 (mod p).
Ainsi/? = 7 donne
œ ==1.2.3.4.5.6 (mod 7),
a? 2 = i .4.2.2.4.1 (mod 7).
Ainsi, quel que soit x, non divisible par 7, on aura toujours
a?2 =i ou 4 ou 1 (mod 7).
Donc, pour le module 7, les nombres 1 , 2 et 4 sont des résidus
quadratiques; les autres nombres de la série 1 . 2 . 3 . 4 • 5 .6 autres
que 1.2.4, c'est-à-dire les nombres 3.5.6, sont les non-résidus
et la congruence ,r2 =3.5 ou 6 (mod 7) est impossible. Ainsi un
nombre de la forme 7 k -+- 3 ou 7 /r-f- 5 ou 7 k -f- 6 ne peut jamais
devenir un carré.
Quelques-unes de ces notions sont connues dans l'arithmétique
élémentaire. Ainsi aucun carré ne peut finir par les chiffres 2.3.7
ou 8, car un nombre qui finit par ces chiffres est = 20u3 (mod 5)
et 2 et 3 sont non-résidus (mod 5).
Il est évident que, pour un module donné, il y a autant de
résidus que de non-résidus.
18. Toujours en excluant la valeur o pour le nombre considéré
et la valeur i n pour le module, prenons pour module une puissance
d'un nombre premier impair et voyons quels sont les résidus
(modjo"). «
Il est facile de démontrer que tout résidu (mod/?) est aussi
résidu (mod/> n) et, inversement, tout résidu (mod/;n ) est égale-
ment résidu (mod/?).
En effet, supposons que
76 CHAPITRE IV.
je dis qu'on aura aussi ( —)= + i et, d'une manière générale,
—) = 4-
1
si N=a (moàp).pn)
Kl)Si (
-j= 1 , on peut trouver un nombre x tel que x 2 = a (mod/?).
Nous allons prouver qu'on peut aussi résoudre la congruence
y-= a -hpk (mod/? 2).
Si l'on pose y =pz -\- x (mod /?2), x étant déterminé parla
congruence x 2 = a ( mod p ), il vient
X2— /?2 ^ 2
-f- ipzx -\- x 2= -ipzx -+ a (mod /?2).
La congruence donnée y 2 = a -{-pk (mod />2) devient
•ipzx -\- a = a -{- pk (mod y? 2)
ou2£a? = k ( mod /?),
congruence qui est toujours possible puisque p est premier.
De proche en proche on peut s'assurer que, si I -j— i , la con-
gruencex'2 = a +- bp -h cp 2 -\-. . .-h kpn ~ l (mod pn
)
est toujours possible et n'admet que deux solutions (mod pn).
19. Examinons maintenant la valeur de o pour un module pn
,.
p étant supposé premier impair.
Il est évident que o est résidu (mod p).
Mais <2= o(modyp) peut donner a = kp (mod p 2) et il est
évident que a n'est résidu que si k = o, c'est-à-dire de tous les
nombres = o (mod p) tels que = o,/?, 2/?, ..., (p— \)p (modjo 2),
seul le premier est résidu (mod p2).
Si l'on désigne par r f ra r2. -. .rAi±=
Jtous les résidus
différents de o (mod /?), on aura :
Résidu (mod p) :
x = o /'i r2 r 3 • • • 'V ;
Résidus (mod p2) :
i=/VV . r'i (moàp) et ;r == o (mod/?2);
CONGRUENCES DU SECOND DKGRÉ. 77
Résidus (mod/> 3) :
x = /*! rz .
.
, /*,• (mod/?) et a? = o ou p 2 n (modjt? 3)
fi = i, 2, 3, ...,P
^
Etc.
Ainsi fl = o (mod jD n ) n'est résidu que si
aàsp**ri (mod/?") et /-
/^ pouvant du reste être o.
Exemple. — p = 5 donne les résidus suivants :
Module 5 :
r == è, i ou 4 ;
Module 2 5 :
r = i ou /( (mod 5) ou = o (mod25),
soit en tout i i résidus (mod 25);
Module i25 :
r = i ou 4 (mod 5) ou o.25.ioo (mod 125),
soit en tout 53 résidus (mod 125);
Module 625 :
r = i ou 4 (mod 5) ou o.i5(5k ± 1),
soit en tout 261 résidus (mod 625);
Etc.
20. 11 nous reste à examiner le cas de p = i n .
D'abord pour n = 1 le module est 2 et tout nombre est résidu.
Cela résulte aussi du (III, 13) puisque dans ce cas la congruence
x 2 ~ q (mod p) peut être remplacée par une congruence du pre-
mier degré, toujours possible.
Si n = 2, p = 4 et le seul résidu impair est 1 , le seul résidu pair
est o (mod 4).
Si 71 = 3, p = S. Puisque tout carré impair est de la forme
8/V + 1, le seul résidu impair est -pi, les résidus pairs sont
0.4 (mod 8).
En reprenant ensuite ce qui est dit au paragraphe précédent, on
78 CHAPITRE IV.
trouve que, quel que soit le module 2 71, avec n non inférieur à 3,
les résidus impairs sont 8/:-f-i et les résidus pairs 2 2a (8Xr+i)
ou o (mod 2 7
).
21. Voyons maintenant quels sont les résidus pour un nombre
composé p = abc. ... Il est évident que si N est un résidu de p, il
sera aussi résidu de tout diviseur de /?, donc de a.b.c Inver-
sement, tout résidu de a.b.c. . . sera aussi résidu de leur produit p.
Cette dernière conclusion se démontre facilement de la façon
suivante : Si N est résidu de a . b . c
.
..
, on peut résoudre les con-
gruences :
x 2 = N (mod a),
# 2 = N (mod b),
x*= N (mod c),
Si
x = r x(mod a), x == r2 (mod 6), x = r3 (mode)
sont des solutions de ces congruences, on peut trouver un nombre
#= R(mod/?) qui remplace les solutions trouvées (II, 13, 16).
Mais si N n'est pas résidu d'un ou plusieurs facteurs, il n'est pas
résidu de leur produit.
Jacobi représente par le symbole de Legendre(— \ le caractère
de ^(modjo), quel que soit/?, donc même si p n'est pas premier,
tandis que Legendre n'a introduit ce symbole rien que pour le cas
de p premier.
Voici la définition de Jacobi : Si p = ab, (—
)=====
(—
) (f)'
Moyennant certains théorèmes auxiliaires, faciles du reste à
établir, Jacobi trouve pour son symbole (-) les mêmes formules
que nous avons trouvées pour le symbole ( -jde Legendre.
Ainsi, pour fixer les idées, considérons le symbole (-
)•
Nous avons vu que si /? = 8 A* —|— i, (
-j= + i , et f -
)=— i
,
si p = Sk±3.
Supposons maintenant que p n'est pas premier et soit p = ab.
Les cas suivants peuvent se présenter (mod 8) :
CONGRUENCES DU SECOND DEGRE. 79
i° p = 1 :
a =. 1 3 5 7
6=1 3 5 7
(i).*
(|)= + i -1 -1 + ,
2 p = 7 :
a = 1 3 5 7
6=7 5 3 1
( — ) =+i -1 -1 +1w(y= + I -, -I + ,
Dans tous les cas,
(ÏHl)(ï>-
tout comme si p était premier.
3° p = 3 :
a = 1 3 5 7
6 = 3 1 7 5
(i)- - - •
(l)s- +I +I -
4» p s= 5 :
a = I 3 5 7
6=5 7 1 3
(s).r*1 "' " +I
(1)--' +I +'
_I
et
(î) -.©#)-comme si /? était premier.
80 CHAPITRE IV.
Ainsi le symbole ( -)peut se calculer par la règle connue
(IV, 13) quel que soit/?.
Remarquons cependant que si l'on ne connaît pas la nature du
nombre /?, on n'est pas avancé par le calcul du symbole( -)•
En effet, si l'on trouve l -J= -f- 1
, a n'est résidu de p que si p
est premier ou composé de facteurs pour chacun desquels a est
résidu. Mais si p contient deux facteurs (ou en général un nombre
pair de facteurs) et que a n'est pas résidu de ces facteurs, on
trouvera aussi ( -)= + i sans que a soit résidu de /?, donc sans
que la congruence # 2= a (mod p) soit possible.
Si, cependant, on trouve l —j= — i, a n'est jamais un résidu
de p quel que soit p (premier ou composé).
22. Application. — Trouver les derniers chiffres d'un carré.
Le dernier chiffre d'un carré est x tel que I —)= -f- i , condition
qui exige
Or l^-\ =+ I est toujours vérifié et (-
) =-f-i est vérifié pour
37 = o.i .4 (mod 5).
On aura donc
# = 0.1.4 (mod 5) ou # = 0.1.4.5.6.9 (mod 10).
Le dernier chiffre d'un carré est donc o . 1.4 • 5 . 6 ou 9.
Les deux derniers chiffres d'un carré sont tels qu'ils forment un
nombre x et
(-\ioo,
conditions équivalentes aux deux suivantes :
(1)=- et (5)= +I -
Or( y ) =+ 1 est vérifié pour x = 0.1 (mod 4) et ( — \ =+ 1 est
CONGRUENCES DU SECOND DEGRÉ. 8l
vérifié pour x = }\4
(
mod 5 ) ou x = o ( mod 25 ) soit pour 1 1 va-
leurs (mod 25).
On trouvera donc
2 X il == 22 valeurs de x (mod ioo).
On trouve :
4
X = oo.oi .04.09.16.21 .24.25.29.36.41 .44.49-56. 6 1 .64.
69.76.81.84.89.96 (mod 100).
On trouvera les trois derniers chiffres par la condition
= + ' ou f 7T l *= "+1000/ \8
Les solutions de (—
) = f- 1 sont
(125/
ar.so,.i.4 (mod 8 ).
Les solutions de (—- ) === -J---I sont
\I25/
# = 1.4 (mod 5) ou o. 25. 100 (mod 125),
soit pour 53 valeurs de x (mod 125), d'où il résulte
3 x 53 = i5g solutions (mod 8 X 125 == 1000).
Les quatre derniers chiffres s'obtiennent par la condition
\ 10000/
(^)= +1 el (es)—*-••
Or (—
j= -f- 1 est vérifié pour
ou
# = 0.1 .4.9 (mod 16)
I =r —1— 1 PÇt vp625
et ( —)=-|- 1 est vérifié pour
# = 1.4 (mod 5) ou o ou 25 (5 k ±1) (mod 625),
soit pour 261 valeurs de x (mod Ô25).
On aura donc en tout 4 X 261 = io44 solutions (mod 10000).
On peut grouper ces io44 solutions de la façon suivante :
KRAÏTCH1K. 6
82 CHAPITRE IV.
Si les deux derniers Les deux avant--derniers seront tels que :
chiffres sont :
oo(t^)= +i -
d'où 22 solutions
01. 09. 41.49.81.,89 2/1, » 3oo »
2F .29.6l.69 4* -M, » 200 »
04. 36. 84 4^ + o.3, » i5o »
24.56 4k -+-.2.3, » 100 »
16.64.96 4 k -+- . 1
,
>^ i5o »
44.76 4A -+- 1 .2, » 100 »
25 10k h- 0.2
ou 5oÂ-
-t- 6
soit en
»
»
tout
22 »
: 1044 solutions
23. Pour terminer, nous donnons (Table IV) une Table de
résidus pour tous les modules p premiers et inférieurs à 200. Ce
sont les solutions de la congruence symbolique( — ) ==-|-i. Les
nombres qui manquent dans cette Table sont solutions de la con-
gruence
)—Pour former cette Table, on peut cribler tous les nombres infé-
rieurs kp. Ainsi, avec p = i3, on aura :
•')—• ®~-. ©Pi ' \P) \3-+- 1
4-3\ /3
p / \p:(3H(;)=- (?)-(l)-(S)=-
©-è)(i)-<-><->-"
G?)-®--;-Ainsi les seuls résidus sont 1.3.4.9-10 et 12.
CONGRUENCES DU SECOND DEGRÉ. 83
II est plus simple d'élever au carré les nombres
x = i .2.3.4.5.6 (mod i3),
on trouve.r 2 == 1.4. 9. 3. 12. 10 (mod i3),
d'où la même série de résidus.
24. Ayant reconnu que
2)PJP
on est certain que la congruence x 2 = a(modp) est possible et
admet deux solutions, si p est premier.
Nous allons nous occuper maintenant de la résolution effective
de cette congruence.
Remarquons d'abord que si le module p n'est pas premier, on
transformera la congruence donnée en d'autres dont les modules
sont premiers ou puissances de nombres premiers.
Soit donc p premier et x 2 = a (mod /?), la congruence donnée.
En excluant le cas où a est un carré parfait a = b 2, ce qui donne
immédiatement x 2= zh b (mod /?), on ne connaît la solution directe
que dans les trois cas que voici :
i° a = — 1 . — Il faut alors que p soit de la forme 4 k -\-1 , car
autrement(—
jne serait pas égal à -f- 1
.
D'après le théorème de Wilson, on a (III, 9)
i.2.3...(4£)-hi = o (mod/>)
ou[1.2. 3. . ,(ik)]*=— 1 (mod/?).
En comparant ce résultat avec la congruence donnée
a?2= — 1 (mod/?),
on voit qu'on peut prendre
as=kzh. [i.2.3i-. ,(a£)] (mod/?).
Cette solution directe est bien plus compliquée que la solution
par tâtonnement que nous verrons plus loin (IV, 25).
84 CHAPITRE IV.
2° Si p est de la forme 4^+ 3, on peut encore trouver la solu-
tion de la congruence x 2= a (mod p).
En effet, cette congruence étant supposée possible, on a
fa\ —(-j= + i ou a 2 es «****-* é=i (mod/?)
ou
a2#-t-2=a (mod/?), d'où x = ± ak+1 (mod/?).
Par exemple, si /? = 1 9 1 , (—
J= —(— i
,pour résoudre la congruence
# 2 = 2 (mod 191), on prendra
x si 2 48 (mod 191).
Or9.12=4096 = 85 (mod 191),
22* == 85 2= 7225= i58 = — 33,
2'^=(— 33)2 = io89 = i34;
ainsi
a?=±i34 ou #=±57 (mod 191).
3° On peut encore trouver une solution directe dans le cas de
p = 8* -h 5.
Nous verrons (IV, 39) qu'alors p peut être mis sous la forme
p= rn 2 -)-n 2.
Soit donc x 2= a (mod/? = 8 k -+- 5), la congruence donnée
supposée possible, donc
(i)ce qui donne
= H- 1 ou a'
«2^+1 = +!.
Cela étant, considérons les deux cas qui peuvent se présenter :
i° Si l'on obtient a2k+i ee+ i, on aura
a ik+*=a, d'où x = ±ak+*;
2° Si l'on obtient a 2k+i =— 1, posons
M = ak+i
,
ce qui donneM 2 = a 2*+2 = — a .
CONGRUENCES DU SECOND DEGRÉ. 85
Supposons encore effectuée la décomposition du module p en
somme de deux carrés p = m--\- ri2
.
Si maintenant on détermine deux nombres a et ^ soumis à la
condition mu— nv == M, on aura la solution sous la forme
a:=±(mc + ra) (mad p).
En effet, on aura
X 2+ M 2 = (mp + nû)*-h{mu — nv)*= (a 2 -+- v*) (m» -h rc2) = p(w 2+ p 2
) ;
orM 2=— a (mod/?;;
donc on aurax'1— a = o (mod/?).
Excepté les trois cas envisagés, on ne peut résoudre la con-
gruence x 2 = (mod p) que par tâtonnement.
25. Soient donc p un module premier, et a résidu de/?,
x-= a (mod />),
la congruence donnée.
Transformons la congruence donnée x 2 =a{n\oàp) en équa-
tion
Cette dernière sera à son tour remplacée par des congruences de
modules différents pour trouver les formes linéaires de x pour
différents modules.
Remarquons d'abord que x aura deux solutions (mod/?) dont
une est inférieure à — • Il existe donc une valeur de y inférieure2 J
à j qui rend l'expression py-\-a carré parfait. C'est cette valeur
de y que nous cherchons.
Soit m un module tel que 2 ou 2 n , 3 ou 3 n , 5 ou 5'*, 7,
11, i3, 17, 19, ... et donnons à y toutes les valeurs possibles
o .j . 2 . 3 . . .(m— 1
)pour ce module
jK= 0.1 .2.3. ...(m — 1) (mod m).
Calculons la valeur correspondante (mod m) de x 2 = py-ha, il
86 CHAPITRE IV.
vienta?5= aia2 «3 • • • «/« (mod m).
Or certaines de ces valeurs ai sont résidus (mod/?z); certaines
autres sont non-résidus. Si, pour y = £ (mod m), on obtient pour
# 2 un non-résidu, la valeur y =k (mod m) ne peut pas rendre
py H- a carré parfait et est, par conséquent, inadmissible.
Sont seules admissibles les valeurs de y qui donnent pour x 2 unrésidu.
On trouvera ainsi plusieurs formes linéaires dey qui détermine-
ronty et ensuite x (II, 20).
Exemple. — Soit la congruence
:r 2 == i (mod io32i).
Elle est possible car
\io32i/
On la transforme en équation x 2= io32ijr-h 2 qui a une solution
o < y < -Ç ou o <y < 258o.4
Posonsy == o.i .2.3 (mod 4),
a? 2= 2.3.0.1,
(Nous désignons par r un résidu et par n un non-résidu).
Puisque y = o.i (mod 4) conduisent à un non-résidu, ces valeurs
sont à éliminer et l'on aura
y == 2.3 (mod 4).
On peut même serrer de plus près l'élimination et développer
ces deux solutions (mod 4) en huit solutions (mod 16) :
y =2.3.6.7.10.11.14.15 (mod 16),
a: 2 ==4-5. 8. 9. 12. i3. o. 1,
r n n r n n r r,
dont quatre seules sont admissibles.
On trouve ainsi
jk = 2.7.i4.i5 (mod 16).
CONGRUENCES DU SECOND DEGRE. 87
Si, de même, on a recours à d'autres modules, on trouvera une
série de formes linéaires telles que les suivantes :
Module. Formes linéaires de y.
16 2.7.14.15
2.5 2.4 (mod 5) ou i3 (mod i5)
9 2 (mod 3) ou 1 (mod 9)
7 0.2.3.4
11 1.3.4.6.7.8
i3 1 .-2.3.5.6. 11 .12
17 o. 1.3. 7. 8. 12. 14. i5. 16
Par le procédé que nous avons indiqué (II, 20), on trouve la
solution y = 1 799 donnant x = 4^09.
Nous verrons dans la suite comment on trouve une solution sans
tâtonnement quand on possède une Table d'indices pour le module
considéré (V, 13).
26. Supposons maintenant que le module soit une puissance
d'un nombre premier impair p == kn .
Si a est différent de o et t j V= -\-1 , la congruence
à?2=a (mod A"'1)
est possible. La façon la plus simple pour la résoudre est la sui-
vante :
On commencera par résoudre la congruence x'2 = a (mod k).
Si x = b (mod k) en est la solution, on posera
x = ky-{-b (mod A 2) et (ky 4- 6)2= a (mod /c
2).
On aura une congruence du premier degré pour déterminer^.
Connaissant y [donc x = ky + b = c (mod A"2)], on posera
x = k*z-*rc (mod £3) et (k*z -+- c) 2= a (mod A3
).
On aura donc une congruence du premier degré pour déterminera.
On continuera ainsi jusqu'à ce qu'on arrive au module kn.
Si a = o, la congruence n'est possible que si a = o(mod/r 2).
En posant alors x == ky, on aura une congruence de la forme pré-
cédente dont le module sera kn~ 2.
88 CHAPITRE IV.
Exemple :
x2 =435i3o6 (mod 9765625 = 5 10).
Elle donne (mod 5) :
jK2 =i> d'où y=±\.
Il suffit, du reste, de prendre un seul signe, soit y = -H 1
.
(Mod 25) :
(5sH-i) 2 =6, d'où ios-i-i = 6,' 103 = 5,
d'oùz = 3 (mod 5) et 5z -+- 1 = 16 ou 9.
(Mod 125) :
(25w -f- 9)2 = 56 ou 45om = ioo (mod 125) ou 9^ = 2 (mod5),
d'où
w = 3 (mod 5) et 25w-f-g = 84 ou 41 (mod 125).
(Mod5*) :
(i25t-h 4i) 2 =56 (mod 623) ou 25o.4i t -+- 1681 = 56 (mod 625)
ou 200.41 £ = 25o (mod 625),
ce qui donne
4il=si (mod 5), d'où £ = 1 (mod 5)
et 125 t-{- 4 1 devient 166 (mod 620).
En continuant ainsi, on trouve la solution
^ = ±4218291 (mod5 10).
27. Voyons maintenant comment se représente la solution de la
congruence# 2=a (mod/») avec p = in .
D'abord, pour n = 1, la solution est immédiate, étant donné que
tout nombre est résidu; donc
x = 1 (mod 2) si a = i,
x = o (mod 2) si a = o.
Si 7z = 2, le seul résidu pair est o et le seul résidu impair
est 4-1.
CONGRUENCES DU SECOND DEGRÉ. 89
Si a = 1 (mod 4), on aura
x = impair ou = i (mod 2);
x = pair,
et si a = 2 ou 3, la congruence est impossible.
Dans tous les autres cas, on divisera «, s'il est pair, par une
puissance paire de 2.
Si, après avoir divisé a par une puissance paire de 2, on obtient
un nombre de la forme 8â* + i, la congruence est possible. Soit
Pour résoudre x- = a (mod 2 re
), on posera
x = i kyet Ton aura
y*= 8/1 + 1 (mod i n~ïk).
Nous nous occupons donc du cas, quand n est supérieur à 3 et
a impair = 1 (mod 8),
x-= a ( mod in ).
Il existe alors deux valeurs (mod 2 n~
{
) , donc quatre valeurs
(mod 2 n)qui peuvent satisfaire à la congruence donnée.
En effet, on a
{ik± xy==xi (mod2 /i"+l
).
Il en résulte qu'en choisissant convenablement la valeur de y, on
aurax = (2't- 1 zt y) et x 2~a (mod 2").
Exemple :
37 2 = n3 (mod 128)
donne
a? =±25 (mod 64) ou 4 solutions (mod 128).
On trouve.r = 25. 39.89. io3 (mod 128).
28. Applications. — i° Trouver les n derniers chiffres d'un
nombre, connaissant les n derniers chiffres de son carré.
Le problème revient à résoudre la congruence x 2 = N (mod io 7*)
90 CHAPITRE IV.
qui se décompose en deux congruences :
# 2=N (mod in ) et iJ=N (modo").
La première donne deux solutions (mod2'i_ ') ou quatre solu-
tions du (mod2 ra
); la deuxième donne toujours deux solutions
(mod 5"). On aura donc en tout huit solutions (mod io n ).
2° Trouver un nombre qui finisse avec les mêmes n chiffres que
son carré (on fait abstraction du nombre ion+ o et ion -f-i).
Soit x le chiffre d'unités. On aura
(io.A: -h x)"1 = x (mod 10) ou #2 =.r,d'où
r = o ou i (mod 2 et 5) ou x = o. 1.5.6 (mod 10).
Les cas de x = o et x = 1 (conduisant aux nombres 10" -f- o et
io^-j-i) étant exclus, développons les deux autres cas.
Soit y le chiffre de dizaines. On aura
(\oy -+- 5) 2 = \oy -+- 5 (mod 100), d'où y = 2 (mod 10),
(10^ -+- 6)* = iojk H- 6 » » ^ = 7 »
Les deux premiers chiffres sont ainsi 2 5 ou 76.
Soit z le chiffre des centaines. On aura
(ioo£ -f- 25) 2 = 100* H- 25 (mod 1000), d'où z = 6 (mod 10),
(100,3 -h 76 )2 = 100 £ -+- 76 » » ,z = 3 »
En continuant, on trouve les dix chiffres suivants :
8212890625 et 1787109376 (mod io 10)
(voir Dickson, History 0/ the Theory of numbers, vol. I,
p. 458).
29. Occupons-nous maintenant de la question inverse, à savoir :
Un nombre a étant donné, trouver les nombres pour lesquels
a\ (a
(?) \#.)=
c'est-à-dire trouver tous les nombres pour lesquels il est résidu ou
non-résidu.
CONGRUENCES DU SECOND DEGRÉ. 91
Nous excluons le cas de a = o, ainsi que le cas de a carré parfait.
Ces deux cas ne présentent aucune difficulté, ni d'ailleurs aucun
intérêt, car o ainsi que k 2 est résidu de n'importe quel nombre.
Remarquons que, dans ce qui précède, nous avons la solution de
ce problème dans certains cas. Ainsi nous savons (TV, 6) que — i
est résidu de tous les nombres de la forme /\k-\-\ et non-résidu
des nombres de la forme 4 k -+- 3.
Ainsi la solution de I ) =+i est
x == i (mod 4),
la solution de (—
j= — i est
x = 4^+ 3,
la solution étant supposée être un nombre premier.
-j= + i avec
# = 8À--bi,et(-J ee: — i donnera
x = ±3 (mod 8).
Nous allons démontrer quelques théorèmes qui nous faciliteront
la solution de ce problème pour d'autres cas.
30. Théorème. — Si a est positif et de la forme /\k -\- i (pre-
mier ou non), oji aura
_£_) =na -+- x )
a
ina — x
à la condition que x ainsi que 2na ± x soient premiers.
En effet, si a est premier, on a
ina zn x
puisque a est de la forme 4 k -j- i
.
Si ensuite a n'est pas premier, on aura a = bc et b et c seront
tous les deux de la forme /\k-\-\ ou tous les deux de la forme
4*+ 3.
9*2 CHAPITRE IV.
Dans le premier cas, on aura
(a W b
)(c
) = (L)(°-) = (^) = «.\2 na ± x ) \ina ± x ) \9.fia± x ) \x J \x / \ oc / x
Dans le second cas, il vient
/ a \ _ ( b \ / c \ _ /ina± x\ I ina±x\\inazhxj \ina±.xj \ina±x) \ b / \ c )
b]~c
Le signe du caractère dans le deuxième membre dépend de la
nature du nombre premier 2naàz.x. De toute façon, on aura le
même signe pour les deux facteurs, donc le signe -}- pour leur
produit.
Ainsi
oc\ I x\ (b\ I' c\ I
' bc\ a
•ma H- x ) \b J \c 1 \x } \ x j \ x J x
les signes de (-) et ( -jdevant encore être les mêmes.
Exemple. — 5 est résidu de tout nombre premier de la forme
5
ioa ± i
On démontrera de la même façon les formules suivantes
a \ (a/\na± x / \x
— a \ ( — a
4 na -\- x ) \ x
(——W—\ina + x J \ x
si
a == 3 (mod 4 )•
Dans toutes ces formules, les quantités ^iiazh x, ^na-\-x,
2na-\~x, ainsi que x sont supposés premiers, a est quelconque
dans les deux premières formules et =3 (mod 4) dans la qua-
trième, mais a est supposé être positif.
CONGRUENCES DU SECOND DEGRE. g3
31. Revenons à la congruence symbolique
a = i.
x
Supposons d'abord que a est positif.
Par les formules que nous venons d'établir
4 na ± x ) \ x J
dont la première s'applique au cas où a est de la forme /\k -\-\, et
dont la deuxième est vraie quel que soit «, on voit que les valeurs
dont a est résidu forment des progressions dont la raison est 2 a,
si a est de la forme 4^ + 1 et 4 a dans les autres cas. Il suffit donc
de trouver tous les nombres inférieurs à 2 a dans le premier cas,
ou inférieurs à 4a dans le second cas, pour avoir le premier terme
de ces progressions. Il suffit même de connaître la moitié de toutes
ces valeurs, car on trouve l'autre moitié en soustrayant la moitié
déjà trouvée de 2 a ou de 4 a.
Bien entendu, il faut éliminer de ces progressions les nombres
non premiers.
Exemples. — i° a=5. Pour trouver tous les nombres dont 5
est résidu, il suffit de trouver tous les nombres inférieurs à 10
dont 5 est résidu. Ces nombres sont 1 .3 .7 et 9, et 5 est résidu de 1
et de 9 (plus exactement, 5 est résidu de iok-{-g); donc, d'une
façon générale, 5 sera résidu de io/c-j-i et de ioA-f-9 ou de
iokzk.1. Ces deux formes linéaires donnent les deux progres-
sions :
1.11.21.31.41.51.61.71.81.91.101...
9. 19. 29. 39. 49. 59. 69. 79. 89. 99. 109...
dont il faut éliminer les nombres composés pour avoir tous les
nombres dont 5 est résidu.
On trouve1 . 11 ,3i .41.61.71 . 101
.
i3i . .
.
19. 29. 59. 79. 89. 109. 139.149-. ••
2 Considérons une valeur composée de a, par exemple
a = 33 = 3. 1 r.
94 CHAPITRE IV.
Pour trouver tous les nombres dont 33 est résidu, on écrira tous
les o(33) = 2o nombres inférieurs à 33 et premiers avec 33. Cesont les nombres
i .2.3.4.5.7.8.10.13. 14. 16.17. 19. 20.23.25.26. 28. 29.31 et 32
dont on peut supprimer les nombres pairs comme premiers avec
2X33 = 66.
Il reste les nombres
1 .5.7. 1 3. 17. 19.23.25.29.3 [.
Nous allons voir pour lesquels de ces nombres 33 = 3. 11 est
résidu. Or, 33 ne peut être résidu que si 3 et 1 1 sont tous les deux
résidus ou tous les deux non-résidus.
Si l'on désigne par /• un résidu et par n un non-résidu, on trouve
que pourN = 1 .5.7. 1 3. 17. 19.23. 2.5. 29.31
3 = r n n r n n r r n n
11 = r r r n n r n r n n
(I)
Ainsi 33 est résidu de a :
1 17 25 29 3i
et de 66 — a :
65 49 4i 37 35
ou, d'une façon générale, de
66 A: ± 1. 17.25.29.31.
Remarque. — On ne peut pas supprimer la valeur a = 25, bien
que 26 ne soit pas premier, mais 66 k =b 25 peut devenir un nombre
premier. Pour déterminer le caractère de 3 (mod 25), on cherchera
le caractère de 3 (mod 66 k-\- 25).
On trouve
/ 3 \ / 66A-f-25 \ /i\ _\mk-+-i5)~\ 3 /~V3y
_ + I *
3° Prenons a = 3. Cette fois-ci la raison de la progression est
4x3 î=i2. Les nombres inférieurs à 12 et premiers avec 12 sont
CONGRUENCES DU SECOND DEGRÉ. 95
i . 5 . 7 . 1 1 . Or, 3 n'est résidu que de i et de 1 1 ; donc les nombres
dont 3 est résidu sont 1 2 k -f- 1 et 1 2 k -h 11
, ou bien 1 2 k zh 1
.
4° a = 7 ; 4 « = 28. Il suffît d'essayer les nombres impairs infé-
rieurs à 28 : 2 = i4 et premiers avec 14. On trouvera les autres en
soustrayant de 28 les nombres trouvés.
Les nombres inférieurs à i4 et premiers avec i4 sont :
N = i.3.5.g.ii.i3
è/- rr nr n n
Donc 7 est résidu de 28 n zh 1 . 3.9.
5° Considérons, enfin, un nombre contenant plus de deux fac-
teurs tels que a= 66— 2 . 3 . 1 1 . Or, 66 ne peut être résidu d'un
nombre que si tous les facteurs sont résidus, ou bien si un seul est
résidu.
De plus, la raison de la progression est 4^ = 264 et il suffit
d'examiner tous les nombres inférieurs à 264 '. 2 = 1 32 et premiers
avec i32. On aura cp(i 3a) = 4o nombres à examiner :
N =i.5. 7. 13.17. 19. 23.^5. 29. 3i.35. 37. 41. 43. 47. 49- 53. 59. 61. 65
2
N
N
(S)— + +
)=++ + + + + + ++ + + + + +
N = 67.71.73.79.83.85.89.91.95.97.101.103.107.109.1 1 3.i i5.i 19.125. 1 23.i 3
1
/2\IN/
+ + + +++ + + + +
(D-
G»-
ffl-
96 CHAPITRE IV.
Ainsi 66 n'est résidu que des nombres suivants :
264 k h- 1 .5. 1 3. 17. 19.25.31 .41 .43.49-53.59.6i .65.85.95.97.103.109.125.
Remarque. — On peut aussi décomposer 66 en deux facteurs
tels que 2 et 33 ou 3 et 22 et opérer comme au deuxième exemple.
Il faut alors posséder les solutions de (—
J
= 1 ou de ( —J= 1
.
32. Supposons maintenant que a soit négatif. La raison de la
progression est alors 2 a si a = 3(mod4) et 4 a dans les autres
cas.
Exemples. — i° a = — 1 est résidu de 4 k H- l •
2 a — — 2. Si l'on examine les nombres 1 . 3 . 5 . 7, on remarque
que — 2 n'est résidu que de 1 et 3; donc — 2 est résidu de
8A- -+- i.3.
3° a = — 3 est résidu de 6 k -\- 1
.
4° a = — 5 est résidu de 20 A: + 1 . 3 . 7 .9.
5° a = — 6. Considérons tous les nombres inférieurs à
6 x 24 = 24
et premiers avec 24 :
N = 1 5 7 11 i3 17 19 23
2
N
-3N
(t)
11 en résulte que — 6 est résidu pour
N = i^k -{-1.5.7. 11.
6° a =— 3o. On peut décomposer — 3o en deux facteurs (— 6)
e t 4- 5 pour lesquels on connaît les formules linéaires.
Ainsi(— 6) est résidu pour 24 k -h 1 .5.7. 11,
5 » io/c±i.
CONGRUENCES DU SECOND DEGRE. 97
Or, pour que a = — 3o soit résidu, il faut que les deux facteurs
soient tous deux résidus ou tous deux non-résidus.
Tous les deux sont résidus pour
N = 1 20 k -+- 1 . 1 1 . 29 . 3 1 . 49 . 59 • 79 . 1 o 1
.
Ils sont tous les deux non-résidus pour
N = 120^ + 13.17. 23. 37. 43. 47. 67. n".
Donc a = — 3o est résidu de
\ = 120/1 -+- 1 . 11 . i3. 17.23.29.31 .37. 43. 47 -49- 59. 67. 79. 101 . 11 3.
33. On trouve ainsi toujours la forme linéaire des nombres
premiers pour lesquels zh a est résidu.
Ces formules linéaires sont très importantes pour la recherche
des facteurs d'un nombre.
Si, par exemple, on trouve que ±a est résidu d'un nombre à
factoriser, on est certain que db a est résidu des facteurs de ce
nombre, et partant ce facteur ne peut être que parmi ceux qui sont
donnés par les formes linéaires correspondant au résidu ± <i.
A raison de l'importance de ces résultats, nous donnons une
Table de solutions de mpour toutes les valeurs de a inférieures à 200.
Nous verrons dans la suite (V, 3o, 36; VI, 2) comment on trouve
un résidu d'un nombre dont on ignore la nature (premier ou
composé).
34. La théorie que nous venons d'exposer trouve son application
dans la théorie des formes quadratiques. Tout en nous réservant
de traiter ce sujet dans le deuxième Volume de cet Ouvrage, nous
donnerons ici les premiers éléments de cette théorie.
Nous considérerons les formes quadratiques simples, telles que
x 2 ±Dy 2. Disons une fois pour toutes que x et y seront toujours
supposés premiers entre eux. Dans le cas contraire, si x et y ont
un diviseur commun d, l'expression x 2± Y>y 2 sera divisible par d2,
et ce facteur sera à écarter.
KRAÏTCHIK.
*)& CHAPITRE IV.
35. Théorème. — Si le nombre IN ou son multiple peut se
représenter par la forme x-±i D/ 2, le nombre qz D est résidu
de®.
En effet, si l'on a
on aura,r2 =+D/ 2 (niodN);
or a?2 et y 2 sont résidus (mod N), donc q= D est aussi résidu.
36. Le théorème que nous venons de démontrer est très impor-
tant, car il permet de trouver les résidus des nombres dont on
ignore la nature. Si l'on trouve plusieurs représentations quadra-
tiques du nombre N, on aura plusieurs résidus zh D, et, partant,
plusieurs formes linéaires des diviseurs éventuels du nombre N.
Il reste à trouver les représentations quadratiques du nombre
considéré.
Ce travail sera facilité par les quelques théorèmes que nous
allons exposer.
37. Théorème. — Les diviseurs linéaires de la forme qua-
dratique x 2 dz Dy 2 sont les mêmes que ceux de la forme f2 zh D.
En effet, soit z l'associé dey (mod N) (II, 12). On aura donc
zy \ ( mod N).
Or, si l'on multiplie KN é= x- àz Dy 2 par z:
il vient
zKN = z*x*-t- by-z* ou zKN =(xzy--hDou
(xzY±D=o (modN) ou ^±D = o (mod N)
étant posé xz = t ( mod N ) . .
Il s'ensuit que si IN ou son multiple peut être représenté par la
forme a?2 :±:Dy 2
, ce même nombre ou son multiple peut également
être représenté par t2 zt: D. Inversement, tout nombre N qui divise
t2 dz D divise aussi x'1 zb Dy 2
.
38. Théorème. — Tout nombre qui divise une somme de deux
carrés est également une somme de deux carrés.
CONGRUENCES DU SECOND DEGRÉ. 99
Soit/) un nombre qui divise une somme de deux carrés x'2 -\-y-,
le même nombre p divise aussi une somme de deux carrés x 2 -4- i
(IV, 37). On aura donc
a? 2 -4- i = o (modjo).
Exprimons maintenant - en fraction continue et cherchons toutes1
P
les réduites dont la dernière est -• Gomme les dénominateurs desP
réduites croissent de i à p, on trouvera toujours deux réduites
successives
telles que
Cela étant, on aura
Pn9n
etqa+i
9l <P < 9n+l-
X p n(œqn —pp„)ï< —— <p
\p q>ij qnqn+i 9h+\
ou, si l'on ajoute q\ aux deux membres, il vient
(xq n— ppn)*-*- ql<p -+- ql <»/>ou bien
(x 2 -+-l)qrt— 2pxp„q n -hpïp n < >/>.
Or, le premier membre de cette inégalité est positif et un multiple
de p, donc on aura
(fqn—pPn)*-h ql=P,
c'est-à-dire que p est une somme de deux carrés.
39. Théorème. — Tout nombre premier de la forme ^k-\-\
est une somme de deux carrés.
En effet, nous avons vu (III, 10) que tout nombre premier de la
forme 4 /"-+- i divise une somme de deux carrés
[i.a.3...(a£)]*-f i,
et puisque tout diviseur d'une somme de deux carrés est une
somme de deux carrés, ce nombre ^k -\-\ est une somme de deux
carrés.
IOO CHAPITRE IV.
40. Ainsi que nous Favons vu (V, 39), tout nombre premier de
la forme 4k-+~ i est une somme de deux carrés. Pour ce qui est
des nombres premiers de la forme 4^ + 3, ils ne sont jamais une
somme de deux carrés, car si N == Jc'2-^-f
2,
(— i)est résidu de N;
or (— i) n'est pas résidu d'un nombre de la forme 4 A" -h 3.
Voyons maintenant comment se comporteront les nombres
composés;
Si N est composé et est de la forme f\k + 3, il contient un facteur
(ou en général un nombre impair) de la forme 4 A + 3 et ne peut
pas devenir une somme de.deux carrés, car, dans le cas contraire,
ce nombre composé N admettrait des diviseurs 4 k -f- 3 qui ne sont
pas sommes de deux carrés, ce qui est contraire au théorème du
paragraphe 38.
Pour les nombres composés de la forme 4 k -\- i , il y a deux cas
à considérer :
i° Si le nombre composé N = 4^"-f- 1 contient deux facteurs
(ou en général un nombre pair) de la forme 4 A 4- 3, la décompo-
sition en sommes de deux carrés est impossible;
2" Si le nombre composé N ne contient que des facteurs de la
forme 4A + i, la décomposition en sommes de deux carrés est
possible de plusieurs manières, comme nous allons le voir.
41. Soit donc un nombre N composé de n facteurs inégaux
N = «i a^a >,. . . a,n
chacun de la forme 4A + i. Voyons comment se fera la décompo-
sition de N en sommes de deux carrés.
On a
(a 2 -+- 6.2)(c 2 + cl1 ) = (ac ± bd)*-h (adzpbc)*,
identité (Euler) qui prouve que le produit de deux nombres, dont
chacun est une somme de deux carrés, est aussi une somme de
deux carrés, de deux façons différentes.
On aura donc autant de façons différentes de décomposer N en
sommes de deux carrés, qu'il y a de façons différentes de décom-
poser N en deux facteurs.
Or, on peut décomposer N en deux facteurs de la manière sui-
vante :
CONGRUENCES DU SECOND DEGRE. IOÏ
On prendra
i. pour i facteur et N pour l'autre, d'où i solution
N//
a%
ai a/, » » G;t
»
3 facteurs » (n — 3) restants » C£ »
N » i » i »
C l
fidésignant le nombre de combinaisons de n lettres pris i à i.
Or, la somme
i -+- n -+- C* -h C% -+- . .. -4- i = C° -+- G* -4- G,2, -+- . .
. -+- C£ = -2".
[On s'en assure en prenant le développement par la formule du
binôme de ( i -+- 1 )" .
]
Puisque nous avons compté chaque décomposition de N deux
fois, le nombre de décompositions du nombre N en deux facteurs
est 2 n I i = 2n ~*. Le nombre de décompositions en somme de deux
carrés est aussi i n~
K (I, 14).
Exemple. — 32040 = 5.13.17.29 est un produit de quatre
facteurs et peut être représenté par une somme de deux carrés de
2 3= 8 façons différentes.
Voici les huit solutions de N =^20 {5 = x--\-y- :
x= 2 4^> 7I «s <> i2-2 143 166 178,
y =179 173 i63 1 57 i3i 109 67 19.
42. En pratique, la question se présente d'une autre façon.
Soit N un nombre dont on ignore la nature. Supposons que Nsoit de la forme f\k -\- \. On est alors amené à chercher la décom-
position de N en x 2 -\-y-.
On ne trouvera qu'une solution si N est premier, on n'en
trouvera aucune si N est composé et contient deux facteurs (ou
en général un nombre pair) de la forme /\k-\-Z. Enfin, on trouvera
plusieurs solutions si N est composé de facteurs de la forme
4*+ i.
On verra, dans la suite, comment on trouve alors les facteurs.
102 CHAPITRE IV.
43. On peut répéter à peu près la même chose que ce que nous
avons développé pour la forme x 2 -\-y2 pour les formes x 2 -\-2y 2
et x 2 -hoy 2.
Nous abrégeons et résumons les conclusions :
i° Tout diviseur de x2 -+- 2y 2 est aussi de la forme t2 -4- 2 a 2
.
2 Tout diviseur de x 2-f- 3y 2 est aussi de la forme t- -+- 3 a 2
.
3° Tout nombre premier de la forme 8/r-f-i.3 peut être mis
sous la forme x 2 H- 2y 2, et cela d'une seule façon.
4° Tout nombre premier de la forme 6 k -4- 1 peut être mis sous
la forme x 2 -4- 3y2, et cela d'une seule manière.
5° Les nombres composés de la forme 8 /r H— 1 . 3 ne peuvent être
mis sous la forme x 2 -4- 2
y
2 que s'ils ne contiennent pas d 'autres
facteurs que ceux de la forme linéaire précitée.
6° Les nombres composés de la forme 6 k + 1 peuvent être mis
sous la forme x 2 -\-Zy 2 s'ils contiennent uniquement les facteurs
de la forme 6 /« + 1
.
7 Pour un nombre composé de n facteurs convenables, on aura
2 n~ l décompositions différentes.
Voici comment on démontre les deux premières propositions :
Si p divise .r2 4rl 2j2
, p divise aussi x 2 -4- 2 ([V, 37) et l'on
aura'
a? 2 -H 2 = ( mod p).
Soit — la réduite choisie comme il est dit (IV, 38). On aura,Pn
comme dans le paragraphe cité,
(xq n— pp a )2 ^-iql<p-^-2ql< */>,
et puisque le premier membre de cette inégalité est =0 (mod/?),
le deuxième membre ne peut être que p ou 2 p.
On aura donc
p = 3 2-f- 2JK
2,
rl
(xq n — ppny-h2q*=p, c'est-à-dire
ou bien
(orq n— ppn)- +- iql= >P et p = J^LZ
CONGRUENCES DU SECOND DEGRÉ. Io3
De même, si p est diviseur de x'2 -h 3y 2, p divisera aussi x 2 -\- 3
(IV, 37) et, en choisissant pH et qn comme précédemment, on
aura{xqn— pPnY--Jr 3q%-<p-h 3£>ï< i/>.
Le premier membre étant divisible par/?, le second ne peut être
que p, 2 p ou 3/?.
Donc(ccq n— pp n y--{-3q?l = p, ip ou 3/?.
Or l'égalité
{xq n— pp n y -h 3 grjj = 2 />
est impossible, car p étant diviseur de x 2 -\-3y2 est de la forme
f)/r -4- i et
{xqn— PPn y+ 3 y * = ip
deviendrait
(oou i) + (oou ,)) = 2 ( mod 4 )»
ce qui est impossible.
On aura donc(xq n— ppn y-+-5qh= p ou 3/>-
Dans le premier cas,
dans le second cas, on aura
ce qui est de la même forme.
Les autres propositions se démontrent comme pour le cas de
a?2 H-
y
2.
On remarquera l'identité
(.r 2 -h Dj-)( z2r
-+- D* 2) = (-a?* ± DjO'-t- D(#* =F7 Z )
2,
analogue à celle d'Euler (IV, 41).
44. 11 nous reste à montrer l'application de la théorie des résidus
quadratiques à la résolution des équations indéterminées.
Nous considérerons le cas d'une équation à deux inconnues.
Si l'on a n équations à (fl+ i) inconnues, on éliminera toutes
104 CHAPITRE IV.
les inconnues, sauf deux, et l'on entrera dans le cas que nous allons
envisager.
Nous étudierons successivement les équations
ax +- by-f- c = o, axy -+- bx -+- cy -h d = o, ax*- -h bx -h c = y-,
et d'une façon générale l'équation
f(x) = F(x),
y et F étant des fonctions algébriques.
Il est entendu que nous nous bornerons aux solutions entières
et, s'il n'y en a pas, nous dirons que l'équation est impossible.
45. L'équation ax -+- by -+- c = o n'est mentionnée ici que pour
compléter l'ensemble. Elle fait l'objet de l'Algèbre élémentaire;
d'ailleurs elle se ramène à une congruence du premier degré,
toujours possible si a et b sont premiers entre eux.
On sait que l'équation ax -\- by = c admet à une unité près
solutions entières et positives, E(#) désignant le plus grand entier
contenu dans x.
Si a et b sont de signe contraire, l'équation ax — by= c admet
une infinité de solutions entières et positives.
46. Considérons l'équation bilinéaire
axy H- bx -+- cy -h d = o.
Si l'on prend pour inconnue xy et bx -f- cjk, on aura une équa-
tion linéaire en xy et (bx-\-cy) qui admet des solutions telles
quexy = ri,
/;^ + r/=r2 (mod a),
ou, t étant une nouvelle inconnue,
bx -i- cy = at -h /-2 ,
xy = — t -h f\ .
CONGRUENCES DU SECOND DEGRÉ. IOD
-d'où
(at.-h r*)*— \bc{— t-^-ri) — z*-,
ce qui nous ramène à une équation du second degré
A 2 * 2+ 2B< + C = ,s2
,
dont nous allons nous occuper.
47. Soit l'équation
ax*-\- bx -h c =jk 2-
Sans nous arrêter aux solutions qu'on ne peut obtenir que dans le
cas où l'on peut factoriser le nombre b-— ^ac, nous allons exposer
la méthode qui donne la solution, entre les limites assignées, dans
tous les cas.
Supposons qu'il s'agisse de déterminer une solution entre les
limites /, et l2 de l'équation
ax 2 -\- bx -+- c = y*.
On prendra pour module m les nombres 2 ou 2", 3 ou 3 n , 5 ou
5 •'. -. 1 1 . i3 . 17 . . .; on donnera à x toutes les valeurs possibles
pour ce module :
x = o. 1 . 2 .3. . . (m — 1) (mod m).
On calculera la valeur de y 2= ax 2 -\- bx -+- c et l'on formera le
tableaux = o. 1 .2. 3.4 . . . (/« — 1) (mod m),
yï~bxb i b z b>t ...b in (mod m).
Or il se fait que certaines valeurs bi sont résidus (mod m),
certaines autres non-résidus (mod m).
Si une certaine valeur x conduit à un non-résidu, cette valeur
de x est à éliminer.
On forme ainsi une suite de formes linéaires qui contribuent à
l'élimination de valeurs non convenables de x.
Si, par le procédé que nous avons indiqué (II, 18-20), on crible
toutes les valeurs entre les limites assignées, on trouvera toutes les
solutions qui se trouvent entre ces limites.
!<)<) CHAPITRE IV.
Exemple. — L'étude du nombre N =6493oi 71 2 182209 nous
a conduit à l'équation
2i3i6a? 2 -h 2569.oo8i.r-t- 83ii64'i$ = j 2
avec des limites
— 3 <x < 71 628.
( Voir pour les détails le numéro spécial de Sphinx Œdipe,
p. i3-i6; Nancy, 191 1 . Le nombre IN est un facteur de2 73 -p- 2^+ 1
qui est lui-même facteur de 2 |,,fi +i.)On trouve les formes linéaires suivantes :
Modules. Formes linéaires.
16 . . 2. 3. 1 1 . 1 \
9- 5.7
25 2.7 . 1 2 . 1 3 .
17 . 2 1 . 22
7 o.3.,ï.6
11 0.1.2.5.6.7
1
3
1.2.3.5.6.7
17 o . 1 . 2 . 3 ,4 . 5 . 8 . 1
4
On ne trouve aucune solution entre les limites assignées.
Gomme cas particulier de l'équation générale
a a?2 -f- bx -+- c = j 2,
on obtient pour a = o l'équation y 2= 6# -f- c, qui ne diffère que
par la notation de celle que nous avons étudiée (IV, 24-25).
48. Considérons ensuite l'équation générale f(x) = F(y) don!
toutes celles que nous avons envisagées ne sont qu'un cas parti-
culier.
Si, en général, les polynômes f(x) et F (y) sont quelconques,
on procédera de la façon suivante :
On cherchera la valeur àe f(x) el de F (y) pour un système
complet de valeurs de x ou y (mod/n) :
x oujj'ESE 0.1.2.3. . .(m — 1) (mod/n),
f(x) = b{b,. . . Bm ,
F 00 = ci c 2 • • . cm .
CONGRUENCES DU SECOND DEGRÉ. IOJ
Si, pour x = ï, la valeur correspondante de F(y) = c;+1 ne
figure pas parmi celles qu'on obtient pour /(#), c'est-à-dire parmi
les 0, la valeur x = i (mod m) est inadmissible.
On obtiendra donc une série de formes linéaires de #, et par le
procédé que nous avons indiqué (III, 17-21) on trouvera les solu-
tions.
Il est toutefois à noter que le procédé est inapplicable quand les
deux fonctions sont linéaires. Mais alors l'équation donnée n'est
que du premier degré et admet une solution directe.
Il y a une précaution à prendre : Si les degrés des polynômes
sont respectivement m et /ï, il est bon de n'employer commemodule des nombres premiers p, de sorte que p — i soit divisible
par le plus petit commun multiple de m et n.
Si, par conséquent, les deux polynômes sont du deuxième degré,
tout nombre premier peut être pris pour module. Mais si un des
polynômes est du troisième degré, par exemple F (y) = V :}
,il est
clair que, pour un module de la forme 6 k +5, F (y) peut prendre
toutes les valeurs possibles. On utilise, dans ce cas, les modules de
la forme 6 k -\-i. A cet effet, on trouvera une Table de résidus à la
fin de ce Volume (Table IV).
49. Les équations de la forme x 2 -{-Dy- = N entrent dans le cas
envisagé. Une attention toute spéciale doit être apportée aux formes
suivantes :
L'importance de la première est évidente. Si l'on parvient à
trouver une solution de N == x 2— y 2, on aura la factorisation de N.
Si, au contraire, on connaît la décomposition de N, on aura une
solution en décomposant N en deux facteurs et en prenant un des
facteurs (le plus grand) pour X-hy, et l'autre pour x— y. Il yaura évidemment 2 n~ i solutions, n étant le nombre de facteurs
contenus dans N (IV, 41).
L'importance des autres équations sera montrée dans le deuxième
Volume. On verra que les décompositions de N en x 2 -Jr y-.
x'2 -\-2y'2, x 2 -\-3y 2 servent pour reconnaître les caractères rési-
duels plus élevés.
I08 CHAPITRE IV. — CONGRUENCES DU SECOND DEGRÉ.
Aussi donnons-nous une Table donnant les solutions de l'équa-
tion x 2 -\-Dy 2= N.
Nous n'avons pas étudié l'équation
x*— Aj- 2 = zti ou x 2— AjK 2 = + D
qui admet une solution directe. Nous nous réservons de revenir,
dans le deuxième Volume, sur ce très important sujet.
CHAPITRE V.
CONGRUENCES BINOMES. INDICES. CONGRUENGES EXPONENTIELLES.
1. Nous allons nous occuper des congruences de la forme
X"< = A (mod/?).
Nous commencerons par le cas le plus simple. C'est le cas de A = i
et quand/? est un nombre premier. Nous allons d:abord démontrer
la proposition suivante :
Théorème. — Si le même nombre x ~r (mod p) satisfait àdeux congruences
x'n = i et x n = i,
il satisfait aussi à la congruencé xd= i (mod/?), d étant le plus
grand commun diviseur de m et n.
En effet, d étant le plus grand commun diviseur de m et n y
m = dy, n = dz avec y et z premiers entre eux.
Or, y et z étant premiers entre eux, on peut trouver deuxnombres u et v tels que yu — zy = i, ce qui donne, en multipliant
par t/,
dyu — dzv = d ou mu — nv = d.
Puisque rm= rn= i (mod/?), on aura aussi
rWB= rnv= r"] u-nv == rd =\ (mod p).
2. Théorème. — Si m est la plus petite puissance de a qui est
== i (mod /?), m est diviseur de p — i
.
En effet, on aura par hypothèse <2w =i (mod/?) et, puisque
(HT, 1) aP~ s == i (mod/?), on aura aussi (V, 1) ad= i (mod/?),
d étant le plus grand commun diviseur de m et p — i . Or, m est
1 10 CHAPITRE V.
la plus petite puissance de a qui est = i ( niod p) ; donc d n'est pas
inférieur à m. Gomme m n'est divisible par aucun nombre plus
grand que m\ on aura d = m; m est donc un diviseur de p — i
.
3. Théorème. — d désignant le plus grand commun diviseur
de m et de p — i , la congruence x"1 = i (mod p) admet d solu-
tions qu on peut obtenir de la congruence xd= î (mod p).
En effet (V, 1), toute solution de la congruence #"*= i (mod/?)
est aussi une solution de la congruence xd= i (mod/?). La deuxième
partie de la proposition est donc établie. Reste à démontrer que la
congruence xd= i (mod/?) admet d solutions.
On sait (III, 14, 15) que la congruence xd= i (mod/?) admet
d solutions, si tous les coefficients du reste de la division de xP— xpar xd— i sont = o (mod p).
Or, %P— x = x{xP~ { — i ); de plus, d étant diviseur de p — i
,
xp—\ — ! es t divisible par xd— i, donc xP— x est divisible par
xd— i, donc la congruence xd = i (mod/?) admet réellement
d solutions.
4. Théorème. — La congruence xm= i (mod/?), m étant un
diviseur de p — i, peut être satisfaite par x = kn, k étant
premier avec p et n le quotient de la division de p — i par m,
p— i = mn.
En effet,
a"1 == k'nn= kP ! = i ( mod p ).
5. Théorème. — Si x = / (mod/?) satisfait à la congruence
xm= i (mod/?) sans satisfaire aux congruences
xa =i et 3^=1, ... (mod /??),
a, 6, . . . étant les différents diviseurs de m [en y comprenant
aussi le nombre i), toutes les m solutions de la congruence
x rn= i seront
x=r, x == /*2, a?=/- 3
, ..., x = r'n (mod/>).
[La dernière solution donne x = rm = i qui est aussi solution de
CONGRUENCES BINOMES. INDICES. CONGRUENCES EXPONENTIELLES. III
^m= i (mod /?), mais satisfait à une conoruence xa~ i (mod p)
avec a = i
.]
Remarquons d'abord que si x e= r (mod p) est solution de la
congruence xm= 1 (mod/?), toute puissance de /• est aussi une
solution, car x = r" donnerait
^w =/•«/«= rmn = in= i (mod/?).
Ainsi les nombres
.r = /•, ar'ss r*
,
. . .
,
a- = r"' ( mod p )
satisfont tous à la congruence #"'= i (mod p).
Et si nous parvenons à établir qu'ils sont tous différents, le
théorème sera démontré.
Or, supposons, au contraire, que deux puissances telles que
x é= rh et x === r /i (mod /> )
soient identiques, /i et k étant tous les deux compris entre o et met h > A\
On aura donc
•h =± rk nu rà—k (mod m).
ce qui est contraire à l'hypothèse, car r serait alors solution de la
congruence x h~k = i (modp), donc aussi de la congruence
xd= i (mod p), d étant le plus grand commun diviseur de h— k
et /w, donc inférieur à />?, puisque h — k est évidemment inférieur
à m.
Ainsi les nombres
r = /-, x == r2, .... x==r,m (mod/?)
sont tous différents, et sont tous solutions de la congruence
donnée xm= i (modp). Ils constituent donc un système complet
de solutions.
6. Ainsi, parmi les solutions de la congruence xm =. i (mod p),
il y a des solutions qui satisfont à la congruence donnée sans
satisfaire à une congruence de même espèce, mais avec un plus
petit exposant. Il y a d'autres solutions qui satisfont à la congruence
donnée, mais satisfont aussi à une congruence de même espèce
1 12 CHAPITRE V.
dont l'exposant est un diviseur de m. Une solution de la première
espèce sera dite « racine primitive de la congruence donnée ». 11
convient de ne pas confondre la racine primitive dune congruence
avec une racine primitive d'un nombre dont il sera question ulté-
rieurement.
Ainsi la congruence x 6 = i (mod 19) admet six solutions :
a? = 1 .7.8.11. 12.18 (mod 19);
de ces six solutions, la première est aussi solution de la congruence
x K = 1 (mod 19), la dernière est solution de x- = 1 (mod 19); les
solutions x := 7 . 1 1 (mod 19) sont solutions de la congruence
x* = j (mod 19). Seules les solutions x= 8. i 2 (mod 19) appar-
tiennent à la congruence x G = 1 (mod 19) sans satisfaire à
#'"= 1 (mod 19) avec m =1 .2.3.
Les seules racines primitives de la congruence # c =(mod 19)
sont 8 et 12 et toutes les autres solutions peuvent être obtenues-
moyennant l'une de ces solutions. Ainsi la solution x = 8 (mod 19)
donnerait
j?==8, # = 8 2 = 7, ars8'si8, d?==8V==u, x = 8 ;i =i>,
x = 8 6= 1 ( mod 19).
De même la solution x = 1 2 ( mod 1 9 ) donnerait
x = 1
a? = i2 5 =8,. ,r = i2 6 = i (mod 19),
ce qui donne, à l'ordre près, les six mêmes solutions.
7. Si l'on fait m = p — 1 , on aura la congruence
xP~ l = 1 (mod p)
qui admet p— 1 solutions
x = 1 .2.3. . . ( p — 1) (mod p).
La congruence donnée est donc vérifiée par n'importe quel
nombre, les multiples de p ou les nombres qui sont == o (mod pyseuls devant être exceptés, car x = o (mod p) donnerait
xiJ~ l = o et non =1 (mod/?).
CONGRUENCES BINOMES. INDICES. CONGRUENCES EXPONENTIELLES. I 1 3
Or, p étant supposé premier, p — i est composé.
Soient dt , d2 -> <^3, •••, d„ tous les diviseurs de p — i, le
nombre i étant compté parmi les diviseurs et n étant le nombre de
diviseurs.
Les (p — i) solutions de la congruence xP~ { = i (mod/?).
peuvent être distribuées en n groupes contenant chacun un nombre
variable de termes.
i° Le premier groupe comprendra les nombres qui satisfont à la
congruence xdi = i (mod/?), dK
étant le plus petit diviseur de
p — i, donc d{=z\. Le seul nombre qui satisfait à la congruence
x 1 = i (mod p) est x = i (mod p). Ainsi le premier groupe com-
prendra toujours le seul nombre i
.
2° Le deuxième groupe comprendra les nombres qui satisfont à
la congruence xd%= i (mod p) sans satisfaire à la précédente
x'!l~ i (mod p), d 2 étant le plus petit diviseur de p — i en excep-
tant le diviseur dK
. Puisque/? est supposé premier impair, on aura
toujours d2 = 2, car/? — i est évidemment pair.
Or, les solutions de la congruence x 2 =i (mod p) sont évi-
demment
a?=zhi (mod/)) ou x = i ou p — i (mod/?).
De ces deux solutions, la première appartient à la congruence
plus simple x { = i (mod/?), la seconde est une solution primitive
de la congruence x 2 = i (mod p).
3° Le troisième groupe comprendra les nombres qui satisfont à
la congruence xd3= i (mod/?) sans satisfaire à une congruence de
même espèce, mais plus simple, d3 étant le plus petit diviseur de
p— i, sans compter les diviseurs d{et d2 déjà examinés.
Il est facile de constater que cette congruence auracp(<^3 ) racines
primitives. En effet, elle admet en tout d% solutions qui sont toutes
primitives, sauf celles qui sont solutions de congruences de mêmeespèce, mais plus simples.
En effet, d3 est toujours divisible par i, le nombre i étant
compté parmi les diviseurs, donc une de ces d^ solutions n'est pas
racine primitive. Si maintenant d% est pair, une autre solution
KRAÏTCH1K. 8
I l4 CHAPITRE V.
(x = p — i) n'est pas primitive non plus. Alors d3 — 4 5 4 étant le
plus petit nombre pair en exceptant 2.
Or ç(4) = 2 et des quatre solutions de la congruence
x k= 1 (mod />)
deux appartiennent aux congruences x { = 1 et # 2 = 1 (mod/?). Il
ne restera donc que 4 — 2 = 2 racines primitives de la congruence
# 4 = 1 (mod/?).
Si tf?3 est impair, c/3 est nécessairement premier et
9 ( û?3 ) = d3— 1
.
Or, des <i 3 solutions de la congruence a?rfs= 1 (mod/?), une seule
n'est pas primitive. Le nombre de solutions primitives est donc
dans tous les cas çp(c? 3 ).
4° Soient enfin <i/ un diviseur quelconque de p — 1 et e t1 e 2 ,
e 3 , . .., e* tous les diviseurs de dt (le nombre 1 est compté parmi
les diviseurs) ;donc e
{= 1 , ek= d[.
On a
<p(ei)-t-<p(e 2 )-t-.. +?<>*) = ^ (I, 1.9).
Or, des c/t- solutions de la congruence xdi^ 1 (mod/?),
<p(i) = 1 solution appartient à la congruence x x = \ (mod />),
<p(e a )= cp(2) = 1 » x* = i »
?(«*).*==
ce qui prouve que la congruence # rf<EEE i (mod/?) aura Q~(di) solu-
tions primitives.
Ainsi la congruence xP~ K = 1 (mod/?) aura cp (/? — 1) solutions
primitives.
Si de plus
di == 1 , <^2 = 2, <^3 , 6/4, . . • , dn =p — \
sont tous les diviseurs de /?— 1 , ces p — 1 solutions se répartissent
de la façon suivante :
CONGRUENCES BINOMES. INDICES. CONGRUENCES EXPONENTIELLES. Il5
Solutions primitives. Gongruence.
cp(i)==i appartiennent à x 1 = i (mod p)
cp ( i ) = I )) # 2= I »
cp ( dz )» ,r rf3= I »
<p(û?i) » a^==i »
tç(dn ) = y(p — i) )) XP~ l EE,l »
Ce sont les solutions primitives de la congruence xP~ { = i (mod/?)
qu'on appelle « racines primitives du nombre premier/? ». [Voir
V, 23, Exemple.)
8. Nous avons vu (V, 5) que si a? = r(mod/?) est une racine
primitive d'une congruence xm= i (mod /?), toutes les racines de
cette congruence s'obtiennent par les m puissances successives
de r qui sont toutes distinctes.
Donc si r est une racine primitive du nombre /?, c'est-à-dire
une racine primitive de la congruence
a?p-i==i (mod/»),
les p — i puissances successives de r seront toutes différentes.
Il en résulte que la congruence
/'*== a (mod p)
est toujours possible, sauf quand a = o (mod p), si r est une racine
primitive de p. De plus, elle n'admet qu'une solution, inférieure
à/?-i.
On appelle x l'indice de a (mod/?) dans le système de base r.
Puisque rP~* = i, l'indice n'est déterminé qu'à un multiple de
(P — P rès, car .
ce qui montre que l'indice de a peut être indifféremment x oux -\- k(p — i). Nous pouvons donc écrire d'une façon générale
indice a = x (mod/? — i)
ou, en abrégé,indfl = ^ (mod/? — i).
Il6 CHAPITRE V.
9. Nous avons vu (V, 7) que tout nombre premier p aura
<p(/? — i) racines primitives, ce qui donne o(p — i) systèmes d'in-
dices pour chaque nombre premier p. Il est, toutefois, sans
importance de se servir de tel ou tel système d'indices. Nous
verrons du reste qu'on peut facilement passer d'un système d'indices
à un autre.
Mais quelle que soit la base, on aura toujours
ind i = o (mod/> — i),
En effet, on a
et
•o= rk(P-\)= l (mod p)
La première relation est évidente. Pour ce qui est de la deuxième,
remarquons qu'on a
rP~ l =i, d'où r 2 =±i (mod p).
Or, on ne peut pas avoir
r 2 =-f-i (modp),
car r ne serait pas alors racine primitive ; donc
r 2 = — i (mod p).
Il importe de remarquer que le module est toujours p pour les
nombres et p — i pour les indices.
10. Théorlme. — L'indice d'un produit est égal à la sommedes indices des facteurs; V indice d' une puissance est égal au
produit de V indice de la base par Vexposant de la puissance.
Soientk~ra
, B = 7h
,C = rc (mod p)
ou, ce qui revient au même,
a = ind A, b = lnd B, c == ind G (mod/? — i).
CONGRUENCES BINOMES. INDICES. CONGRUENCES EXPONENTIELLES. 117
On auraABC = ra+ /j+c (modp)
ou
a -+- b 4- c == ind (ABC) (modp — i),
ou encore
ind (ABC) =indA 4- ind B + ind G (modjo — i).
De même, Am= ram (mod p) donne
ind (A'") = a'"= m ind A (mod/> — i).
Corollaire. — L'indice d'un quotient tj est
ind A — ind B (mod/) — i).
En effet,
A r
donc
A
_ — — /*a—b >
B /•*:
ind— = a — b = ind A — ind B (modp — i).
11. Il résulte de ce qui précède qu'une Table d'indices peut
rendre, dans la théorie des nombres, les mêmes avantages qu'une
Table de logarithmes pour le calcul numérique.
La plus simple façon de construire une Table d'indices est de
choisir une racine primitive, de préférence la plus petite ou 10 si
cela est possible, et calculer la série complète de p — i puissances
de cette racine primitive.]
Ainsi p = i.3, r = 2 donneraient :
œ -..= i a 3 4 5 6 7 8 9 io ii 12 (mod 12),
rx —i 4 8 3 6 12 11 9 5 10 7 1 (mod i3).
On aura ainsi :
ind 1 = 12 ou o, ind 2 = 1, ind 3 = 4, ind 4 = 2, ind 5 = 9,
ind 6 = 5, ind 7 = 11, ind 8 = 3, ind 9 = 8, ind 10 = 10,
indu=7, indi2 = 6 (mod 12).
Si le nombre/? est quelque peu grand, il devient incommode de
chercher quel est l'indice d'un nombre donné. On construit alors
deux Tables, l'une pour les indices, l'autre pour les nombres.
47 42 34 14 29 23 21 24
i6 20 10 56 8 49 11 22
3 2 39 3 28 7 6 573 J i5
55 27 36 37 58 33 9 2
52 4i 19 38 26 4o 5o 46
54 5i 53 59 44 4 12 '7
II» CHAPITRE V.
Ainsi yp = 6i, /- = io donnent les Tables suivantes, dans les-
quelles chaque nombre N est mis sous la forme 10 a-\- b. Les
dizaines a sont inscrites dans la première colonne verticale, les
unités dans la première ligne horizontale.
Table d'indices (mod 60).
0. 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9.
o o
1 1 45
2 48 5
3 43 i3
4 35 18
5 i5 3i
6 3o
Table des nombres (mod 61).
0. 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9.
o 1 10 39 24 57 21 27 26 16 38
1 14 18 58 3
1
5 5o 12 59 41 44
2 i3 8 19 7 9 29 46 33 25 6
3. 60 5i 22 37 4 4o 34 35 45 23
4 47 43 3 3o 56 11 49 2 20 17
5. 48 53 42 54 52 32 i5 28 36 55
Ainsi, on trouvera pour la première Table :
ind 1 = o, ind 2 = 47 > • • *, ind 10== f, ind i5 = 56, ...,
ind (— 1) = ind 60 == 3o (mod 60).
La deuxième Table donne :
o = ind 1, 1 == ind 10, . . . , 10 = ind 14, i5 = ind 5o, ....
12. Une Table d'indices du nombre premier p permet de résoudre
facilement une congruence du premier degré (mod jo).
Ainsi, soit donnée la congruence
ï3x = 18 (mod 61).
Elle donne
xbb i| (mod 61) (II, II).
CONGRUENCES BINOMES. INDICES. CONGRUENCES EXPONENTIELLES. 1 1 9
Or,indx = ind 18 — ind i3 == 1 1 — 20 = — 9 = 5i (mod 60),
d'oùx == 53 (mod 6i\
13. Une Table d'indices peut aussi servir pour la résolution de la
congruence,r 2 = « (mod/>) qui fait l'objet des paragraphes (IV, 2o).
Soit donnée la congruence x 2 = 57 (mod 61), elle est possible,
car
Elle donne
2 inda? = ind 5y = 4 (mod 60),
d'où
màx = 2 (mod 3o) ou ind:r=2 ou 32 (mod 60)
et
a? = 39 ou 22 (mod 61).
14. On voit, par ces exemples, l'utilité d'une Table d'indices.
Il est toutefois à remarquer qu'une Table spéciale est nécessaire
pour chaque nombre premier. Et même si l'on veut se contenter
d'une seule Table pour chaque nombre, il ne serait pas possible
d'établir une Table complète pour tous les nombres inférieurs à
une certaine limite (10000 par exemple).
Jacobi a donné (Berlin, 1 83g) une Table d'indices pour tous les
nombres inférieurs à 1000. Nous avons entrepris le travail d'une
Table d'indices pour tous les nombres inférieurs à 10 000 ('). Mais
tandis que Jacobi donne pour chaque nombre les deux Tables
(l'une pour les indices, l'autre pour les nombres), nous nous bor-
nons à donner pour tout nombre premier inférieur à 10 000 les
indices de tous les nombres premiers inférieurs à 100.
Un exemple fera comprendre le procédé que nous avons suivi
pour établir les indices de tous les nombres premiers inférieurs
à 100 sans calculer toutes les (p— 1) puissances de la racine pri-
mitive. Remarquons que nous avons depuis longtemps (191 1)
établi une Table donnant une racine primitive pour tout nombre
inférieur à 10000. Cette Table se trouve dans le numéro spécial de
mai 191 1 du Sphinx Œdipe (Nancy, 1911).
(l
) On peut se procurer chez l'auteur une copie photographique de cette Table.
120 CHAPITRE V.
15. Problème. — Trouver les indices de tous les nombres pre-
miers inférieurs à ioo (mod 9649).
On prend pour base une racine primitive quelconque, par
exemple r = 7, et l'on calcule quelques dizaines de puissances
de r (mod 9649). On trouve :
0. 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9.
o 1 7 49 343 2401 7i58 1861,3378 4348 1489
1 774 54i8 8979 4959 5766 1766 2713 9342 75oo 4^55
2 838 5866 2466 73i3 5o46 6375 6029 3607 595i 3o6i
3 2129 5254 783i 6572 7408 36u 5979 3257 35oi 5209
4 7516 4367 1622 1705 22«6 5353
On notera les relations (mod 9649)
9600 = — 49,
7*. 4^-45,
718= 7500,
ou, avec les notations,
ind2 = #, ind3=j/-, \nà5==z,
on a
yx -+- y -h 2Z = 48^6,
ix — iy — £ = 4820,
2 # 4- y +4-3 = 18,
ou, en éliminant z,
u# — 3> = 4818,
io^r — 7y = 2;
d'où
47jK = 48 i58 (mod 9548) = g566 = 270062,
y == 5746 = ind3,
x == 1128 = ind 2,
z = 524o == ind 5;
p == 7 étant pris pour base, on aura
i n d 7 == 1
.
La relation n>o== ^4 = 1 8.43 donne
ind 43 =10 — 1128 — 2x5746 = 6686.
CONGRUENCES BINOMES. INDICES. CONGRUENCES EXPONENTIELLES.,
1.2 1
La relation 7' 2= 8979=— 870 donne
ind 29 = 12 4-48^4 — (1 128 + 5;46 -h 524o) = 2370.
La relation 725 e= 63^5 = 17X3.215 donne
ind 17 = 25 —(5746 -f- 3o524o) = 75o3.
La relation 29 X 336 = 9774 = 9^ donne
ind 19 — (2370 — 4 x 1128 + 5746 4-1) — 5240 = 7389.
La relation 23 X 4 2 ^ == 9770 = T26 donne
ind 23 == (1128 4- 2.5746 -h 1) — (75o3 4- 2.5240) = 4286,
La relation 7
*
9 e^ 4255 == 5.23.37 donne
ind 37 = 19 — (524o -f- 4^86) ==ï4i.
La relation 3 1 X 3 1 5 = 97^5 = 116 donne
ind 3i ='(2 X 1128 -h 2370) — (2.5746 4- 5240 + 1) = 7189.
La relation 7',3 eee 1705 = 1 1 . 1 55 donne
ind 1 1 = 43 — (524o -f- 7189) ==6910.
La relation 1 3 X 729 = 9477 = — 1 7 2 donne
ind i3 = (6686 + 2.11284-4824) — 6.5746 = 8234.
La relation 4 1 X 234 = 9^94 =— 55 donne
ind 4i = (524o 4- 6910 4- 4824) — (1 128 4- 2. 5746 4- 8234) = 5768.
La relation 47 X 2o5 == 9635 =a— 14 donne
ind 47 = (1128 4- 1 4- 4824) — (524o 4- 5768) = 4590.
La relation 53 X 1 82 = 9646 = — 3 donne
ind 53 = (5746 4- 4824) — (1128 4- 1 4- 8234) = 1207.
La relation 59 X 164 = 9676 = 27 donne
ind 59 = 3.5746 — (2.1128 4- 5768) = 9214.
Ï22 CHAPITRE V.
La relation 6 1 X 1 5g = 9699= 5o donne
înd 61 = (2.5240 + 1128) — (2.5746 + 1207) = 855;.
La relation 67 X 1 43 = 958 1 = — 68 donne
ind 67 = (2.1128 + 7503 + 4824) — (6910 + 8234) = 9087.
La relation 7 1 X 1 36 = 9666 = 7 donne
ind 71 = 1 — (3. 11 28 -+- 75o3) = 8410.
La relation 73 X 1 33 = 97°9 ~ 60 donne
ind 7 3 = (2 + 1 128 4- 5746 h- 5a4o) — (1 -h 4286) = 8955.
La relation 79 X 121 = 9559 = — 90 donne
ind 79 = (1128 -4- 2.5746 4- 52^0 -+- 4824) — 2.6910 sa 8864-
La relation 83 X 1 17 = 977 1 = 62 donne
ind 83 aa= (1 128 4- 7189) — (2.5746 4- 8234) sa 7987.
La relation 89 X 1 08 = 96 1 2 = — 37 donne
ind 89 sa (141 -h 4824) — (2. 1 128 H- 3 .5746) sa 4767.
La relation 9700 = 5i donne
ind 97 =(5746 4- 75o3)— 2(1128 4- 5240) = 5i3.
16. Cette Table abrégée est naturellement moins commode que
la double Table complète que nous avons établie précédemment.
Toutefois, elle rend suffisamment de services pour justifier le
travail demandé pour son établissement.
D'abord, connaissant les indices de tous les nombres premiers
inférieurs à 100, on trouve facilement l'indice de n'importe quel
nombre. Par exemple, pour trouver l'indice de N, on opérera delà
façon suivante :
i° Si N est composé de facteurs premiers inférieurs à 100, on
aura l'indice de N par la somme des indices de ses facteurs.
CONGRUENCES BINOMES. INDICES. CONGRUENCES EXPONENTIELLES. 123
Ainsi, pour/? = 9649,
ind 143 = ind 11 + ind i3 = 6910 -+- 8a34 = i5i44 = 54g6 (mod 9648).
2° Si N est premier, on prendra une relation quelconque de la
forme aN = b (mod p) avec a et b inférieurs à 100 ou composés
de facteurs inférieurs à 100, ce qui est toujours possible.
Par exemple, pour trouver l'indice de 1021 (mod 9649), on
prendra la relation
10. 1021 = 56 1 = 3. 11. 17
donnant
ind 1021 = (ind 3-hindn-+-indi7) — (ind 1 -4- ind 5)
= (5746 + 6910 -H 75o3)-h(ii28 -h 5240) = 1 3 791 = 4i43
(mod 9648).
Ensuite il est facile de trouver un nombre N(mod/?) dont on
connaît l'indice i (mod p — 1). En effet, r étant la racine primitive
qui a servi pour le calcul des indices, on aura
NssW (mod/?).
Par exemple, si l'on connaît, pour le module 9649,
ind N = 6368 (mod 9648),
on auraN = 7
63 68 (mod 9649).
Or,N = 7
6368 =_76368-4824=_
715U
( mod 9649).
Puisqu'on trouve parmi les indices connus ind 97 = 5 1 3, on a
7513 =97, d'où -2 1539 = 97
3
et
N =— 973.7
5=~ 97.9409.7158 =-+- 97.240.7158
= 240.9247 ss — 240.402 =— 96480 =+ IO.
17. Théorème. — La congruence a;"1= A (mod p) n'est pos-
sible que si l'indice de A est un multiple de m, m étant supposé
un des diviseurs de p — 1
.
En effet, cette congruence donne
m ind x = ind A (mod/?— 1).
124 CHAPITRE V.
Or, si p — i est divisible par m, il faut que ind A le soit aussi. Onaura alors
ind A / p — i \( mod — ),m \ m /
ind x
ce qui donnera ni solutions pour ind x (mod/? — i) et, partant,
m solutions pour x (mod /?).
18. Si l'on ne possède pas de Table d'indices, on peut encore
être fixé sur la possibilité ou l'impossibilité de la congruence
xm= A (mod /?) de la'manière suivante :
Soit q le quotient de p — i par m, de sorte que p — i = mq. Si
l'on élève les deux membres de la congruence xm:= A (modp) à la
puissance ^r, il vient
xm'i=kn ou xp-i==A9 (modjo);
or5
xp-* = \ (mody>);
donc on auraA?=i (mod/>).
Ainsi, si la congruence #™= A (mod/?) est possible, on aura
À m .ssi (mod/;),
Inversement, si l'on a
A m ssi (mod/?),
la congruence j?w^ A (mod />) est possible. En effet, soient r
une racine primitive de/? et i l'indice de A dans ce système; donc
r'"=A (mod/?).
Puisque
riç=zAv=A m =i (mod/?),
on aura
iq=p — i (mod/?— i) ou ^ = o (mod/) - i)
ou
i = o ( mod = m )•
\ ^ /
Ainsi i est un multiple de m, ce qui établit la possibilité de la
CONGRUENCES BINOMES. INDICES. CONGRUENCES EXPONENTIELLES. 125
xm=k (moàp).
19. Comme nous l'avons dit, il y a plusieurs systèmes d'indices.
A chaque racine primitive correspond un système d'indices. Il est
du reste facile de passer d'un système d'indices à un autre.
Soit r la base d'un système d'indices et supposons qu'on veuille
trouver l'indice d'un nombre N dans une autre base r .
On aura donc, x désignant l'indice de N dans la base r et i
l'indice de N dans la base r,
A = r'= r'x (mod/>)
oui ind /• = x ind r' (mod/> — i);
orind /* = i,
d'où
x = -—-—
,
(modo — i),ind r •v ^ '
ce symbole devant être interprété comme nous l'avons dit (II, 11).
Mais quelle que soit la base choisie, on aura toujours :
ind 1 = (mod p — i),
ind(— i) = ind (p — i) = — (mod p — i),
relations que nous avons établies (V, 9) et qui sont indépendantes
de la base choisie.
20. En supposant toujours que le module p est un nombrepremier supérieur à 2, étudions maintenant la congruence
a r =i ^mod/>).
On voit facilement que si x = r est une solution, x = kr en est
une aussi, la solution générale étant
x — kr -h n(p — i) ou x = kr (mod/? — i).
Si ensuite cl est le plus grand commun diviseur de r et p— i,
X.= d satisfait encore à la congruence a-v=i(modp— i). Il en
résulte que la plus petite solution de cette congruence est d, d étant
126- CHAPITRE V.
un diviseur de p— i, en comprenant parmi les diviseurs de p — i
le nombre/? — i aussi.
Ainsi, si d est la plus petite solution de cette congruence, toutes
les solutions sont
x = kd (mod/? — i) ou simplement x = o (modo?).
Ainsi, la plus petite solution de la congruence
ix =i (mod 22gi53)
est x = 176 et toutes les solutions sont x = o (mod 176).
Il en résulte que
2 176 =i (mod 229153),
d'où2 88= — 1 (mod 229 i53j
;
donc 2 88+i est divisible par 229153.
[On ne peut pas avoir 2 88 = -+- 1 (mod 229 1 53), car la plus
petite solution serait alors x = 88 et non x = 176.]
Nous avons établi une Table donnant la plus petite solution de
la congruence 2 r= 1 (mod/?) pour tous les nombres premiers pinférieurs à 3ooooo (*).
21. Théorème. — Si la plus petite solution de la congruence
ax= 1 (mod/?) est ni. l'indice de a est divisible par
P — 1
m 2
En effet, on aura
^inda^o (mod y? — 1),
doncm ind a = o ( mod p — i)
;
P — l ~„ — „ — P — l
ce qui exige que ind a soit divisible par ou par q =
On dit que a est un résidu de ^ième de p et l'on écrit ( -) == 1.
On trouvera à la fin une Table (IV) de résidus ^i(mes de /; avec
q =2. 3. 4-5. G. 7. 8. 9. 10. 14. 16. 18.
Ainsi, quelle que soit la base qui a servi pour l'établissement du
(x
) On peut se procurer chez l'auteur une copie photographique de cette Table.
CONGRUENOES BINOMES. INDICES. CONGRUENCES EXPONENTIELLES. 127
système d'indices, on aura toujours
D(ind a, p— 1) = q,
D(#,y) désignant le plus grand commun diviseur de x ely, car
cette relation montre que la plus petite solution de la congruence
ax= 1 (mod/>) est
P — lm = -
9
et cette plus petite solution est évidemment indépendante du choix
de la base
Cette relation est un invariant d'un système d'indices.
22. Inversement, si le plus grand commun diviseur de ind a et
p — 1 est*/, la plus petite solution de la congruence ax= i (mod p)est
Soient /' la base choisie et i l'indice de a, donc
/•'=a (mod 7?).
Puisque i est divisible par q, on aura
i = qq'
OUrf/v'= a (mod/>
)
ou, en désignant r?' par r', il vient
r'<7=a (mod p).
Si l'on élève les deux membres à la puissance P ~~ '
? on aura
r'i>-^ = a 1 = 1 (mod p).
Ainsi ax= 1 (mod p) est vérifié pour x =Il est facile de démontrer que c'est la plus petite solution.
23. Il résulte de ce qui précède que, relativement au module jo,
les nombres non divisibles par p se répartissent de la façon sui-
vante :
I28 CHAPITRE V.
Soient <#,==i, d2 =z 2, d3 , d k ,.".
., dn = p — 1 les /z diviseurs
du nombre/? — 1.
Il y aura :
<p(/? — 1) nombres tels que la pi us petite solution dea^^i (mod/>)est.r=/>— 1,
Ç(^n-l) » X=zdn-U?
<p(û?i) » x=dt ,
<p(2)=I » fl?=2,
9(1)= 1 » a?=i.
(On aura # = 2 si a = /? — 1, et x = 1 si a = 1.)
De cette façon, tous les /? — 1 nombres sont classés, car
?(/>) = P — 1 = 9(P — + <p(<4-i )-+-•••+ ?(<*/) -+-.. •
+ ï(a) + f(0 (I, 19).
Exemple. — p — 61, cp = 6o, 71 = 12 (nombre de diviseurs
de 60) :
n - dn . <p(c?B ). N.
1 1 1 1
2 2 1 60
3 3 2 i3.47
4 4 2 11 .5o
5 5 4 3.20.34.58
6 6 2 14.48
7 i° 4 9.27.41.52
8 12 4 21.29.32.40
9 i5 8 12. i5. 16.22.25.42.56.57
10 20 8 8.23.24.28.33.37.38.53
11 3o 8. 4-5.i9.36.39.45.46.49
12 60 16.... 2.6.7. 10. 17. 18. 26.3o. 3i. 35.43.44»5i .54.55.59
Les nombres de la colonne N sont ceux qui satisfont à la con-
gruence %rf'= 1 (mod 61), sans satisfaire à une congruence de la
même forme, mais avec un plus petit exposant. En d'autres termes,
les nombres de la colonne N sont les racines primitives des con-
gruences yf1^ 1 (mod 61). Tous les <p(6i)= 6o nombres inférieurs
à 61 et premiers avec 61 figurent dans cette colonne.
24. Théorème. — Les diviseurs primitifs d ) un nombre de la
CONGRUENCES BINOMES. INDICES. CONGRUENCES EXPONENTIELLES. I29
forme q™— \ sont de la forme km-f\, les diviseurs primitifsd'un nombre de la forme am+ i sont de la forme ikm -\-i,lesdiviseurs primitifs d'un nombre de la forme 2 4w -{- i sont de laforme i6mk -f- i.
Nous avons vu (III, 5) ce qu'on entend par diviseur primitif.Soit p un diviseur primitif de am— i , on aura
a ,n ~\ (moàp).
Puisque p est un diviseur primitif, la congruence
ax =\ (moUjo)
admet, comme plus petite solution, la solution x = m, diviseur dep — i
. Ainsi p— i est divisible par m.Si Ton pose p— i = mk, on aura
Si l'on a
on a aussi
donc
Soit enfin
On aura
ce qui donne
p = m /f _i_ I#
a'n ^- i == o (mod p),
a 2 '"=i (modp),
p = imk -+- 1.
2tm+iso (moàp.
2»'»=i (mod/?),
p = Hmq -+- 1.
Nous allons démontrer que q est pair.
En effet, on a
donc 2 est résidu quadratique de/?; donc
2 - = 24""7= i(IHO( | „
,
Il en résulte que imq est divisible par 8m, ce qui exige que <7soilpair.
KltAÏTCHIK.9
l3o CHAPITRE V.
Posons q = 2Â, on aura
p = 8 mq +- i = 1 6 mk -f- i
.
Ainsi les diviseurs de 2 32 H- i doivent être de la forme 4-32 k -\- i
ou 128/f -h i. Le premier nombre premier de cette forme est 64 i
qui effectivement divise 2 32 -j- i (I, 4; II, 6).
25. Supposons maintenant que le module p n'est pas premier.
Si le module p contient plusieurs facteurs premiers a 1", bn , . ..,
on décomposera la CQngjruence donnée en plusieurs, dont les
modules sont a"\ b 7'
Supposons donc que le module est une puissance d'un nombrepremier impair, p = am .
Si r est une racine primitive du nombre a, r est aussi une racine
primitive du nombre p = am et l'on aura
r< ,-
1 '"""~'i ( mocl p) ( III, 3).
Si Ton construit une Table d'indices avec la base /•, la Table
contiendra les indices de tous les z>(p) = (a — i)am~ { nombres
inférieurs à p = a'n et premiers avec p, donc non divisibles par a.
Ainsi tout nombre non divisible par p a un indice et inverse-
ment.
Toutes les relations que nous avons établies restent vraies, sauf
à remplacer pour les indices le module p — i par le module
cp( />) = (a — i)a" l-K
26. Si, enfin, le module est une puissance de 2, on peut prendre
pour base soit le nombre 3, soit le nombre 5.
Si Ton prend pour base le nombre 3, seuls les nombres de la
forme 8 /« —|— i . 3 auront un indice. De même, si l'on prend pour
module le nombre 5, seuls les nombres 8 • + i . 5 auront un
indice.
Il est donc nécessaire de modifier la définition des indices pour
le cas du module 2".
On adoptera, par exemple, la définition suivante :
i\_lwN-:ji
3'= (— 1) * . N ( mod 2n ).
CONGRUENCES BINOMES. INDICES. CONGRUENCES EXPONENTIELLES. l3l
Ainsi avec le module 2 5= 32, on obtient :
i = i 2 3 4 5 6 7 S (mod S ),
±3'= 3 9 5 i5 i3 7 n i (mod 32).
Ainsi les indices de
i 3 5 7 9 ii i3 i5 (mod 32)
serontoi 362754 (mod 8).
Nous nous réservons de développer ultérieurement ce sujet plus
en détail.
CHAPITRE VI
FACTORISATION.
1. Une des applications de la théorie qui précède est la factori-
sation des grands nombres. Par un court historique de la question,
on verra le progrès de ce problème pendant les 5o dernières
années.
En 1772, Euler a démontré que le nombre
1 147 483 647 = *-x31 — »
est premier, et c'était le plus grand nombre premier connu à cette
époque.
En 1875, Lucas écrit [Nouvelles Annales de Mathématiques,
187.5, p. 523) qu'il n'a pu vérifier si le nombre
8831418697 = —83
est premier. Il ajoute : c< II serait facile de s'assurer si ce nombre
est premier, et, dans le cas de réussite, ce serait, je pense, le plus
grand nombre premier connu actuellement. »
Lucas semble ignorer, en 1875, les travaux de Landry (Paris,
1867 et 1869), où sont donnés plusieurs nombres premiers bien
plus grands que celui cité par Lucas.
Et cependant trois ans plus tard Lucas a surpassé Landry. En
1878, Lucas a donné la factorisation de 2"dzi pour des valeurs
de n dépassant de beaucoup celles de Landry.
Nous n'avons relevé dans les travaux de Lucas que les erreurs
suivantes ; de ces résultats, la décomposition de 2 eJ-+- 1 a été donnée
par Landry en 1880 à l'âge de 82 ans et celle de 2 7T 4-i par
Cunningham en 1910 :
a »o _2 77 +2 91 -H
2 80 4.
264 _+_
276 +282 _+_
v 106+2 122 +•>198 _j_
FACTORISATION. 1 33
== (7 x 23 x 73 x 89 x 599479) x ('99 x «53 649 x 33057806959),
=I ! X 43 X 683) X (617 X 78233 X 33 53>. 364099),
= (3 x 43 x 2731) x (224771 x 31266402706564481),
= 63 537 x ( 4'4 721 x 44 479210368001),
= 274177 x 672804213107-21,
= 17 x (1217 x 148961 x 24517014940753),
= 3 X (10 169 X 40249589) X (181 549 X 12 112 549),
= 5 x 1800439824 io4653 x (15358129 x 586477649),
= 5 . 733 .1 709 . 368 1 4o 58 1 01 3 .( 3 456 749 .667 o55 378 1 4g ),
= ( 5 . 109 . 397 .4 327 489 ) x ( 42 373 . 1 5 975 607 282 273 )
x (13.37.2113.312709) x (235621 .8463901 912489).
Depuis cette époque, on a étudié des nombres laissant loin
derrière eux ceux qui ont été envisagés par Euler ou par Lucas en
i87 5.
Ainsi Ton sait actuellement que les nombres 2 e1 — 1, 2 89 — 1.
1 sont premiers et, par contre, que les
sont composés, mais on ne connaît pas
, .2'
25Cnombres 2 ,28-f-
les facteurs de ces nombres.
2. Si le problème de la factorisation n'a pas fait de progrès
sensibles jusqu'en ces tout derniers temps, c'est à cause des diffi-
cultés spéciales qu'il présente.
Il est, en effet, facile de vérifier si un nombre donné, quelque
grand qu'il soit, divise un autre nombre donné, puisque la vérifi-
cation se fait par division, c'est-à-dire par un procédé direct; mais
le problème inverse, c'est-à-dire le produit de deux nombres étant
donné, en trouver les facteurs, résulte essentiellement du tâtonne-
ment; et le perfectionnement des procédés n'est qu'un perfec-
tionnement des tâtonnements, en ce sens qu'on ne fait pas d'essais
pour certains cas qu'on élimine d'avance comme ne pouvant
satisfaire à certaines conditions.
Remarquons d'abord que la factorisation peut se faire par deux
procédés :
^ i° Par la recherche directe des facteurs;
2 En ramenant le nombre donné à une forme connue, dont h)
plus simple est une différence entre deux carrés.
1 34 CHAPITRE VI.
C était surtout le premier procédé qui était en usage depuis
l'antiquité, et Fibonacci (1202) donne pour la première fois la
règle connue d'essayer tous les facteurs possibles inférieurs à la
racine carrée du nombre donné.
Fermât et Euler ont perfectionné ce procédé en se servant de
formes linéaires des diviseurs. Ainsi, si par exemple le nombre
donné peut être mis sous la forme a'1 H- 6 2, les diviseurs ne peuvent
être que de la forme 4 k'-+- 1 . Il en résulte qu'il est inutile d'essayer
la division par les nombres premiers de la forme 4^ + 3.
La connaissance de chaque forme quadratique réduit environ
deux fois le nombre d'essais à faire. Il en résulte que si Ton connaît
une dizaine de formes quadratiques, on réduira environ 2 10 fois le
nombre d'essais à faire, ou d'environ 1000 fois.
Quand il s'agit de décomposer un nombre de 8-10 chiffres, le
procédé peut encore être employé avec succès. C'est pourquoi nous
allons donner quelques détails sur son application.
On trouvera à la fin de ce Volume des Tables donnant les divi-
seurs linéaires de formes quadratiques x-^t:Dy 2 pour toutes les
valeurs de D inférieures à 200.
On a omis les valeurs de D qui sont divisibles par un carré, car
si l'on a D = aK 2 la forme
xi 4. D^> = x i _4_ a ( Ky y.
ne diffère guère de la forme plus simple x 2 -\-ay 2.
L'emploi de ce procédé est très simple. Après avoir trouvé plu-
sieurs représentations quadratiques, telles que x- ± Dy 2, on
construit, en premier lieu, une Table des nombres premiers
convenant pour les formes les plus simples, et l'on exclut de cette
Table les nombres qui ne satisfont pas aux formes linéaires corres-
pondant aux formes quadratiques restantes.
Ainsi, ayant trouvé la représentation
;r 2 + / 2, x*~^--2y 2
, x"-— 3j 2,
.r2— 7JK2
, j 2 +ioj2, **-m3j*,
a?2— 2172, X e*-— 3ijk 2
, a?2 -f-86jK 2,
on procède de la façon suivante :
i° Les diviseurs linéaires de x- -\-
y
2 sont \ K -f- 1 et ceux de la
FACTORISATION. >35
forme x- 4- 2 y- sont 8 K -f 1 . 3 ; donc 8K+1 est la seule forme
linéaire qui convient aux deux formes quadratiques.
2 Les diviseurs linéaires de la forme x 2—
3
y 2 étant i2K±iou 24 K -+- 1 . 1 1 . i3 . 23, seule la forme 24K-f-i coïncide avec la
forme trouvée précédemment.
3° Les diviseurs linéaires de la forme x'1— jy2 sont 28 K ±: i .3.9
ou
168 K ± 1.3.9. 19.25.27.29. 3i .37. 47 «53. 55. 57. 59. 65. 75.8i.83,
dont les formes i68K-|- 1 . 26 . 1 21 seules satisfont à toutes les
formes considérées jusqu'ici.
i° Ces formes développées suivant le module 84o ( = 5 X 168)
donnent les formes
840 K -+- 1.25. 121. 1G9. [33.289.337.351 . {57. 5o5.529. 625. 673. 697. 793
dont les formes
S1 o K -+- 1 . 1 2 1 . 1 69 . 289 . ](> 1 . 5 2
9
seules sont diviseurs de la forme x 2 -{-ioy- et des formes précé-
demment envisagées.
Il reste à utiliser les formes x- -+- \3-y'2, x 2 — 21 ) -, x-— 3 1 jk
2,
.r2 +8(iyvDe ces formes, x- — 21 y- n'apprend rien de nouveau, car elle
résulte des formes x'1 — 3j^2
, et x'1 — 7y- déjà envisagées. En effet,
si 3 et 7 sont résidus d'un nombre quelconque, 3 X 7 = 21 le sera
aussi, la forme x 2 -\-#6y 2 peut être remplacée par x'- — 43y-, car
si — 86 et —1 sont résidus (— 86) : (— 2) =-\- {3 l'est aussi
(— 2 est résidu à cause de la forme x 2 -\- 2 r-).
Il reste ainsi à utiliser les formes a?2+ i3.y
2, x 2 —>3iya et
**— 43jk».
Avant de le faire, formons une Table des nombres premiers
inférieurs à la racine carrée du nombre considéré et des formes
84<> K -h 1 . 121 .169. 289 . 36 1 .
3
>.[).
Si, par exemple, la limite est 12000 (ce qui correspond à un
I
»36 CHAPITRE VI.
nombre voisin de 1 44^00000), on auraPour la forme.
D == 252 1 . 336 1 . 420 1 . 588 1 . 75(i 1.9?. \ \ 840 K -+- 1
1801. 6841. 7681. 852i 121
[009.2689.3529.0209 169
1 129.86K9. îo'Uig 289
r>.oi .456i .8761 .9601 36
1
îo4<) . 3889 . \~j >[) 5 569 . 8089. 8929 .9769 52g
De ces nombres, seuls les suivants sont diviseurs de la forme
x 2+ 13 y 2:
D == 2521.5209.6841.8089-8761,
dont D = 252i . 5209.8761 sont diviseurs de la forme x 2— 3 1 r'-
et dont D = 5209 seul est diviseur de la forme x 2— /\?>
y
2'•.
Ainsi il suffira d'essayer la division du nombre donné par 6209
pour le factoriser ou être fixé sur sa primalité.
Donc toute la question se résume à trouver des formes quadra-
tiques du nombre donné. On peut y arriver par les deux procédés
que nous allons indiquer.
On sait que le développement de y/N en fractions continues
donne lieu à une fraction continue périodique. Si un quotient
complet quelconque est
_ B„H-y/N _ 1
A rt — pj — U/l-hl -+~ y '
(— i)BDn est résidu de N et N ou son multiple peut être repré-
senté par la forme x 2 -\- (— i)"Dv"-.
De là résulte une règle très simple pour trouver autant de repré-
sentations quadratiques qu'on voudra. Toutefois, si le nombre des
termes de la période est petit, ces formes peuvent ne pas suffire.
Gela arrive, en particulier, pour N = a2 -{~ 1 et dans bien d'autres
cas.
On considérera alors le développement de y/2 A, ou celui de y/3A
ou, d'une façon générale de y//iA, étant donné que tout résidu de
/tA est aussi résidu de A.
Toutefois, le développement de y/A est assez laborieux et une
méthode de tâtonnements est, dans bien des cas, préférable.
FACTORISATION. 1 37
Soit IS un nombre impair sur la nature duquel on n'est pas fixé.
Soit encore a le plus grand entier dont le carré est inférieur à N.
PosonsN = (« + a?)*-*- r,
x étant choisi de façon à rendre r divisible par des carrés. D'une
façon générale, on trouve plusieurs valeurs de x pour lesquelles r
devient un carré, le double d'un carré, le triple d'un carré, etc.
Voici comment on procédera : On déterminera uue série de
congruences linéaires :
\ r.2 ( mod 2 3) = /*3 ( mod 3 ) = rs ( mod 5.) = : . •= rp (mod p).
Si N ~rp (moàp) est un résidu quadratique, on déterminera
IN = rp(moà p
2). La solution de la congruence auxiliaire
.z2 = r'p (mod p)
nous fournira deux valeurs de 3 telles qu'en posant
a ± x = z
•On aura
r == o (mod />2) ou r = Kp- et N = (a H- x )- -f- \\p 2
.
Un exemple fera comprendre la marche à sui\ je :
Soit donné le nombre 123456789 exprimé en système décimal
par les neuf chiffres significatifs. On a
123456789 = 9.113717421.
PosonsN = 13717421
et proposons-nous de décomposer ce dernier nombre.
On a
Sf Ses 5 (mod 8)== 2 (mod 3) = 1 (mod 5) = 4 (mod 7) =3 3 (mod 11)
es 3 (mod i3) = 2 (mod 17) = 10 (mod 19) = 14 (mod 23)
= r") ( mod 29) == 14 ( mod 3i) = 4 (mod 37 ) . . .,
N == 21 (mod 25) == 18 (mod 49) = i4 (mod 121) == 29 (mod 169;
= 36 ( mod 289) = 107 (mod 961) = 41 (mod 1 ^69 ) ;
I 38 CHAPITRE Vf.
d'où
± .s = 1 1 (mod 25) = 19 (mod 49) = 16 (mod 121) eee 69 (mod 169)
= 6 (mod 289) = 359 ( mod 961) = 33 1 (mod 1369).
On a, de plus,
N = 3;o3'2 -f- 5212 == (3;o3 — xf -+- r.
On a
N = i 7 n2_ 5/j! . I02= 36892+1087.102= 366i*h-3i45.jo s
= 36k) 2 h- ï-n.10 2 .. .
N = 369 i2 -4- 1 J6 5 . ;
2 = 37432— 1 493 .142 = 3645 2 -4- 2201 . 1
4
2• • •
= 37352— ;3i.22 2 = 37672 — 977.222 = 36462 4- 701.112 = 36i V2 — 21 [.55*...
= 37872 - 907 . >f>2 = 36492 -+ 095 . 522 = 5408 2 - 707 x 1 43 2. :
.
= 37632— 5SÎ. V,2=3 7 5i2_3o5.34 2=3474 2+ 57o5. 172 = 34622-4- )99 5.1 :
2..
= 4'>.o3 2 — 1027.622 = 34852 -+- 409. 622. .
.
= 37762— 39Ï.37 2
On a ainsi les résidus suivants :
")|i; — [°87; — 3i45 = — 5.17.37; — î.751 ;— 1 4^> >
= — > • '-9 > ;
1 19 3 ; — 2201 = — 31.71; 73 1 — 17.43; 977; — 701; — 211;
907; — 59") = — î.7. 17 ; 707 = 7.101; 383; 3o5 = 5.6i;
— 3701 = — 5.7. i63 ; — >99"3 = — i3.46i; 1027 = 13.79:
— 409; 395 = 5.79.
Si l'on y ajoute les formes
N = 761*+ 7 x i37o 2 = 34292+ 5.6262,
on aura les résidus — 7, — 5 qui, combinés avec les résidus trou\ es
précédemment, donnent les résidus
— 17; — 61; — 101 ; — 43; —79; — '>
ou les formes
^2+13^2- oçl^-ir-yï^ X% -\--43/*; J? 2 +6lJ/2j ;r2_)_--gj2. x 2 ->- IOI
y
2
Les diviseurs communs aux deux formes x 2 + 5y- et x'2 -h ~ Y 1
sontijoK+i .9.23.29. \\ .67.81 . 107. [09. 121. 12-3 . T27
FACTORISATION. l3(>
qui donnent les nombres premiers suivants comme diviseurs éven-
tuels de N :
23.29.43.67.107.109. 127. 149. 163.263.281 .347.389.401 .421 .443. 149. 460.
487. 54 1.547. 569 . 64 1.683. 70 1.709. 743. 809. 82 1.823. 827. 863. 883. 907.947
•
967. 1009. 1061 . 1087. uo3. 1129. 1 163. 1201 . 1229. 1283. 1289. i3o3. 1 3 >7 . 1367
.
i38i . 1409. i423. 1429. I481 . i523. i549- 1583. 1607. 162 1 . i663. 1667. 1709. 172 L
1747. 1787. 1789. 1801 . 1901 .2003.2027.2069.2081 .2083.2087. 2129.2143.
2207.2221 .2269.2347.2381 .2389.2423.24 i7.2ao3.25ai .2543.2549-2647.2683.
2689 . 274 1 . 2767 . 280 1 . 2843 . 2909 . 2927 . 2963 . 2969 . 3o49 . 3o6 1 . 3067 . 3089
.
3io9 . 3187.3203. 3221. 3229. 3301.3329. 3343. 3347. 3361.3389.3467 3^69.3529.
3 58 1.3607. 3623.
De ces nombres, seuls les suivants sont diviseurs de la forme
x 2 +\3y 2:
29 . 67 . i63 . 38g .463. 487 . 369 .641 .683
.701 .743 . 809 . 827 . 863 .947 .967 . 1087
.
1 io3 . 1 163 . 1367 . 1 3 8 1 . 14 23 . 1 î >9 . ( }8 1 . 1">••>.3 . 1607 . 1621 . 1723 . 1747. 1787. 190 1
.
208 1 . 2087 . 2 1 29 . 2 1 43 .2)47. 238g . 2 \i 3 . 2 ')o3 . 252 1 . 2543 . 2549 . 2647 • 2683 .
2767 . 2909 . 2927 .3187. 3>o3 . 3>2 1 . 33oi . 3329 . 33 \'\. 3347 . 3389 • 3706
.
De ces nombres, les suivants sont diviseurs de la forme x 2 -\- 1
7y- :
163.389.487.569.683.743.827.947. n63. 1367. 1 38 1 . 1423. 1429. 148 1 . i52.3
179.3 . 2 1 89 . 2389 . 2543 . 2549 • 2647 • 2683 . 2909 . 2927 . 3207 . 322 1 . 3343 . 3607
.
Seuls les nombres suivants sont diviseurs de la forme x- -f- 43 y2:
487 . 569 . 683 . 827. 947 . 1 38 1 . 1423 . 2389 . 2 m 3 • 2647 • ^683 . 3207 . 3607
.
Seuls les suivants sont diviseurs de la forme # 2 -f-6i y- :
569 . 683 . 9 J7 . i38i . 2 "> 4 3 . 2647 • :î6°7-
Seuls les suivants sont diviseurs de la forme x 2-f- jgy'2 '.
569.683.1381.2647.3607.
Seuls les nombres 56g. 1 38 1.3607 sont diviseurs de la forme
H- ioiy 2.
Ainsi, si N n'est pas premier, il est divisible par un de ces
l40 CHAPITRE VI.
nombres. On trouve, en effet,
N = 3607 x 38o3 et 123456789 = 9 X 3607 x 38o3.
Ce procédé est inapplicable dès qu'il s'agit d'un nombre supé-
rieur ta ion , étant donné qu'on ne possède pas de Table de nombres
premiers au delà de 10 millions.
C'est donc le second procédé que nous allons étudier.
3. Avant d'aborder la décomposition d'un nombre par l'équa-
tion X 2— \- = N, examinons quelques autres procédés de facto-
risation indirecte.
Si le nombre donné est de la forme l\k'-f-i, on peut essayer la
décomposition de N en somme de deux carrés. Dès lors, si l'on ne
trouve aucune solution (si l'on est certain qu'il n'en existe aucune)
le nombre est composé des facteurs (en nombre pair) de la forme
4 A" —f- 3 . S'il n'existe qu'une solution, le nombre est premier. Si
l'on en trouve plusieurs, le nombre est composé de facteurs de la
forme 4 k + 1
.
Dans ce dernier cas, on trouve les facteurs de la façon suivante.
Supposons qu'on ait trouvé
Posom
d'où
et
ou
N = a 2-t- 6 2 = c 2 -t-d2
.
\ = (>2 + yt) (^-j-jfî) _-(xz dzyt)* -+- (x t ±fZ )
2,
xz -+- yt = a, xz — yt = c,
xt— yz = b, xt-\-yz = d.
aiz = -(a-KC), yt=-(a — c), xt=~(dA-b), yz—-{d — b).
(On suppose que a et c de même que b eld sont de même parité,
c'est-à-dire tous les deux pairs ou tous les deux impairs, ce qui est
toujours possible.)
Ce système n'aurait pu être résolu d'une façon générale, car
(xz)(yt)==(xt)(yz);
donc les quatre autres équations se réduisent à trois; mais puisque
FACTORISATION. ! \ I
x, y, z et t sont des entiers, on aura
- (a-\- c)xz 2 a -h c m
ny* i(rf-è)d- h
m et n étant premiers entre eux; d'où
x = m, y =='n.
et l'un des facteurs est
Exemples. — i° Le nombre 1 33 est de la forme 4 A* 4- i , mais
ne peut pas être mis sous la forme x-^-y'2 , donc t 33 contient un
nombre pair de facteurs de la forme \k H- 3. On trouve, en effet,
133',=== 7 . 19; il en est de même de
1 729 == 7 . 1 3 .19.
2 Le nombre 89 == 8 2 H- 5 2 ne peut pas être mis autrement sous
la forme x'2 -\-y 2, donc 89 est premier.
C'est de cette façon qu'Euler a trouvé que le nombre 10 091 4oi
est premier comme ne pouvant se mettre sous la forme de % 2 -\-y2
que d'une façon avec x = 2920? y —= 1 2.5 1 .
3° Le nombre221 = 1 \
2 -\- 5 2 = io 2+ 1 i2
est composé. On trouve
xz -\-yt = j43
#•/ — x- = 5,
373 — j/^ = 10, xt-\-yz = 11,
d'où
xz = 12.; yt=>, agi=&J
yz — j,
r; _ r2 _ t
d ou
x = 4, JK = i- a7?-+-^2 = 17 et 221 = 17.13.
i° Le nombre
N = a'* -h 46'*'= (a 2 -'>j2)2+ 4^6»
est une somme de deux carrés de deux façons différentes. On
142 CHAPITRE VI.
auraxz-^-yt = a^, xt —yz=z2b*,
xz —yt = a'z— 2 6 2,
xt -4-j'z = iab,
d'où
xz = aï— 6V JK^ = 6 2,
xt — ab^-b'-, yz = ab — è 2,
«z a 2— 6 2 a -\- b
yz ab — b**- b '
d'oùar = a -4- £, r = 6,
et
z= a — b, t = b
les deux facteurs sont
x2_^y2— aï^- 2 ab -+- 2& 2, s 2 4- £ 2 = a 2— 2a6 •+- 26*
et
a*-+- 4^ = (a 2 -H-aa6 -H26 2) (a 2— >.ab^->.b-) (Sophie Germain
)
aveca = 1 , 6 = 2»;
il vient
24«+2_1_ I _ ( 22«+i + 2«+i + i)(^+1-2M1 + ]) (Aurifeuille).
On peut, dans le même but, se servir d'une forme quadratique
quelconque x- + Dk2-
Partant de l'identité
(a 2 H- Dô»)(c»-t-M2) = (ac ± D6d) 2 -+- D(adzp &c) 2
,
on trouvera les facteurs chaque fois qu'on aura une double repré-
sentation du nombre donné.
Ce procédé convient surtout quand on possède déjà une repré-
sentation quadratique.
4. On peut aussi se servir de la réciproque du théorème de
Fermât.
Si l'on constate que la congruence rtN-1= 1 (modN) n'est pas
vérifiée, le nombre N est certainement composé.
Si cette congruence est vérifiée sans qu'elle le soit pour un sous-
multiple de N— 1 , le nombre IN est premier.
On voit de suite le point faible de cette méthode.
FACTORISATION. l43
Après avoir fait des opérations compliquées, on est souvent peu
avancé, étant donné que si la congruence en question n'est pas
satisfaite, on ne connaît pas les facteurs, et, si elle l'est, il est
difficile de s'assurer qu'elle ne l'est pas pour un sous-multiple
de N - i
.
Cependant, dans le cas de N = 2 2 'l
-f- i et a = 3, la méthode est
infaillible, car
donc, si N est premier, on aura
3* = — i (modNj
sans que cette relation puisse être vérifiée par un sous-multiple
de (N — i), les seuls sous-multiples étant dans ce cas 22* avec
k <.n.
C'est ainsi que Morehead et Western (1909) ont prouvé que les
nombresN = F 7 =t 2*' -+-•
1 et N = F 8 = <228 -4- 1
respectivement de 3g et 77 chiffres sont composés, puisque la
congruence- (N — 1)
\* =_! (modN)
n'est pas vérifiée.
o. Passons à la décomposition par la forme x-— jk2 =N. La
première question qui se pose est de savoir laquelle des inconnues
sera trouvée directement par tâtonnement, l'autre pouvant être
déterminée par les opérations directes. Si, par exemple, on
connaît y, on aura x = yN -\-y'1
. De même, si l'on connaît #, on
aura y = \/x- — N.
Remarquons d'abord que nous faisons abstraction de la solution
éxidente :
N + 1 N —
1
x = ~T~ ' y = ~~T '
qui correspond à la décomposition "non moins évidente, N= 1 . ]\.
On aura toujours y <^ x et il semble qu'il soit plus commode de
I 44 CHAPITRE VI.
prendre y comme inconnue devant être trouvée directement par
tâtonnement. Tel n'est pas le cas.
On peut le prouver sans calcul, en considérant la branche de
l'hyperbole équilatère représentée par l'équation x 2 — y- = N.
Si P est un point entier de l'hyperbole ( c'est-à-dire un point
dont les coordonnées sont des nombres entiers), on aura
:r = OB, y = BP.
Or, y peut assumer toutes les valeurs comprises entre () et BP?
tandis que x ne peut assumer que des valeurs comprises entre OAet OB et l'on aura évidemment AB << PB.
Gomme la Géométrie est étrangère à l'Arithmétique, nous allons
donner une démonstration directe de ce qu'on aura moins de valeurs
à essayer pour x que pour y.
Soient à et b les deux limites entre lesquelles on se propose de
situer le plus petit facteur a <^b <i y/N.
Comme le produit de ces facteurs est constant (IN ), la somme de
ces facteurs est minimum quand les facteurs sont égaux, et croît
au fur et à mesure que ces facteurs s'écartent l'un de l'autre.
On aura donc
;(* x< Na
et, puisque a < x — y < 6,
i / N _\ i / M \
Le nombre des valeurs à essayer est la différence des deux limite;
FACTORISATION. l45
OU
2 \ a J i\ b ) -lab
i /N \ i /N .\ (N + a6)(6 — a)s(i^ a
/\ sU^*) dà (paur-r) -
On réalise donc une économie de
(N + aô)(b -a) _ (N — ab)(b— a)
lab 2ab(b — a) essais.
Nous verrons, dans la suite, d'autres raisons pour préférer la
recherche de la valeur de x plutôt que celle de y,
6. Avant d'aller plus loin, remarquons qu'il est parfois préfé-
rable d'introduire un nouveau facteur et considérer la décomposi-
tion de tiN = #2 — y-\ le facteur n devant être convenablement
choisi. Le but de l'introduction de ce facteur est de rapprocher
les deux facteurs et, partant, de diminuer le nombre des essais à
faire.
Soit, comme précédemment,
a <x—y < b < v/N.
On aura pour x les limites
d'où
>(*+ ïï)_ l(b+ «N (N-abHb-a)2 \ a / 2 \ b
)
lab
valeurs de x à essayer.
Considérons le nombre
nN = x\—y\= n (x*-—yî)
avec les limites
na < n(x— y) < nb < /«N,
d'où
i
£62 " §)•<*,< *(*.-*
-J)KRAÏTCHIK.
>46 CHAPITRE VI.
et, par conséquent,
i /. N\ i/,, N\ (N — kab)(b — a)- ka h (kb +- -y =
72 \ a / 2 \ b I 2 <7 />
valeurs de jr, à essayer.
Il en résulte une économie de
(N- ab)(b — a) (H — kab)(b-a) i.. ...~i — v
-r = -(b — a)(k — i) essais.lab lab >.
Toutefois, dans le choix de ;*, il est nécessaire de tenir compte
de la relation
na < n{x — y) < nb << \/n N on nab < N.
Il est à remarquer que l'économie de - (h — a) (k— i ) essais est
payée relativement cher, car on aura à opérer sur de plus grands
nombres. En définitive, l'introduction d'un nouveau facteur n'est
justifiée que rarement.
7. Supposons qu'il s'agisse d'un nombre de la forme a" =h h"
dont les facteurs sont de la forme kn -f- i
.
On aura donc
et
x -f-y = t (mod /*),
x — y = 1
,
le module n étant supposé impair, d'où
.ri, / = o ( mod ri).
Ainsi x est limité à un cas sur « cas possibles, ainsi que y.
Mais y' = o ( mod n ) donne
y- = o ( mod /i 2 ).
Cette valeur portée dans x- — y- == N donne
a?2=N (mod /i 2 ), d'où r = ± r (mod n 2).
Cette relation, jointe à la précédente x = 1 (mod Ai), donnera
f/fie solution et ^ serait limité à un cas sur n 2 cas possibles, tandis
quey ne serait limité qu'à un cas sur n cas possibles.
FACTORISATION.j e-
Exemple.— N = a" + 2 3« + T estfacteur de V»*+ i. PosonsIN =j7 2— r a, on a
N si+ 36. 61 (mod 6i 2 = 3721),
x =1 + 18.61 (mod 3721) r = (mod 61).
Supposons enfin qu'on ait établi
x = 1 (mod >."),
y = o,
la relation y = o (mod 2") donne
,, ,r2 = o (mod pj*),
d'où
•r 2^N (mod i*n) ou x =ztr (mod^-i).
Cette relation avec celle qui est indiquée plus haut
ac == r (mod 2")
donne U /i<. solution (mod 2"-') et x serait limité à un cas sur2 2n
' cas, tandis que y serait limité à un cas sur 2" cas.
Exemple. -- 2« +I est divisible par ,7^289. Le quotientest *
N = 1 02 1 273 028 302 2 58 9 1 3 = r 2— yi;
on a
N = 1 + 9.17 (mod i 72 = 289) =222 (mod 2 56),
les deux facteurs devant être x = -+- 1 (mod 272) ( V, 24).Si l'on pose
x -+- j/ = 1 6 /»• -+- 1
.
a? — j = 1 6 / + 1
,
on aura
256kl -h 16 (/c -h /) + 1 — 225 — 256 m.
H en résulte que * -M est pair et par conséquent A-l aussi,d où
2jr-i6(£— l) donne y = o (mod 16).
Ainsi on aura
jk 2 =o (mod 256), d'où a?2=N( 256),d où
•z=±i5 (mod 128), a? = i (mod 8).
I 48 CHAPITRE VI.
Cette relation et celle trouvée précédemment donnent
a?=-Hii3 (mod 128).
On aura ainsi
x = 1 -+- i3. 17 (mod 17 2)= 1 i3 (mod 256)
OU.27 = 14961 (mod 36999).
Ainsi x est limité à un seul cas sur 36992 cas possibles; y aurait
été limité à un cas sur 1- x 16 = 272 cas possibles.
Ces considérations confirment notre affirmation qu'il est préfé-
rable de prendre x comme inconnue devant être trouvée par
tâtonnement.
8. Par les considérations précédentes, nous sommes ainsi amenés
à chercher une valeur de x satisfaisant à l'équation x 2— y- = N.
Cela revient à dire qu'il faut trouver entre certaines limites une
valeur de x rendant x-— N carré parfait.
Si l'on prend un module quelconque P et qu'on donne àx toutes
les valeurs possibles pour ce module, si l'on calcule les valeurs
correspondantes de y'1, on trouve une série de valeurs dont certaines
seront résidus quadratiques, certaines autres non-résidus (mod P),
Si une valeur quelconque de x donne pour y un non-résidu, cela
prouve que cette valeur de x est inadmissible. Par là même, on
éliminera certaines valeurs de x et l'on gardera les seules valeurs
de x qui donnent pour^- 2 un résidu.
Exemple. — Prenons, pour le module, le nombre i3 et suppo-
sons qu'on ait N = 10 (mod i3). Si l'on fait
jr ==± o • T. 2 3 4 5 6 (mod. i3)
on obtient
x % — 014 9 3 12 10
yi — x%— 10= 3 4 7 12 6 2 o
/• r n r- n n
Ainsi, seules les valeurs x = dz o. i . 3 .6 (mod 1 3) sont admis-
sibles.
Les valeurs x = 2.4.0 ( mod 1 3 ) sont à éliminer.
FACTORISATION.\ ^
Si, avec P = i3, on a N = i i (non-résidu), on aura
a?_==±: p i 2 34 5 6 (mod i3)
a?2= o 1 4 9 3 12 10
r'2 == 37 2
—
IIEE= 2 3 6 11 5 1 12
/i r 11 n n r r
et
x ==± 1.5.6 (mod i3)
sont les valeurs admissibles et
a? = ± 0.2.3.4 (mod i3;
sont à rejeter.
Chaque fois que N est un résidu pour le module considéré, il
existe une valeur de x qui correspond à y = o. Dans ce cas, l'éli-
mination peut être poussée plus loin.
Ainsi, dans le cas envisagé précédemment,
P = i) et N =10 (mod i3),
on aura pour x les solutions
x ==±o.i.3.6 (mod i3j.
Les solutions x = dz o. 1 .3 (mod i3) donnant pour y une valeur
différente de o (mod i3) ne peuvent plus être réduites. Mais les
solutions ^===h 6 (mod i3) donnant/ = o peuvent être réduites.
Soit, pour fixer les idées,
N=io (mod i3) avec N = 73 (mod 169).
Si l'on développe la solution x = db 6 ( mod 1 3)pour le module 1 69,
on obtient :
x = ± 16. 7.19. 20. 32.33. 45.46. 58. 59. 71. 72. 84 (mod 169),
^2 = -h 35.49.23. 62. 10.75.166.88.153.101.140.114.127,
(^.='a7»-75_=i3o.a6.52.i56.io4. o. 91.13. 78. 21. 65. 39. 5a.
Toutes les valeurs de y 2 sont == o (mod i3), mais seul
jk2== o (mod 169)
peut devenir un carré. Il en résulte que des solutions
x~±6 (mod i3)
1 lO CHAPITRE V
seules les solutions x = db 33 (mod 169) sont admissibles et les
formes linéaires de x sont
#.==±0.1.3 (mod i3) ou ±33 (mod 1 (ig )
.
11 est cependant à remarquer que l'utilisation des modules P 2 ne
peut être justifiée que pour les petites valeurs de P et lorsque les
limites des valeurs de x sont très grandes.
9. Considérons en premier lieu le module 2 n.
Soit posé N = x'1— y'1. Il est évident que siN = 1 (mod 4), oc est
impair et si N = 3 (mod 4), X est pair.
Ce dernier cas se subdivise en deux suivant que N == 3 ou
7 (mod 8) :
Si N == 3 (mod 8), on aura x == 2 (mod \).
Aucune réduction ultérieure n'est plus possible, étant donné
que, dans ce cas, y est différent de o (mod i n ).
Mais le cas de N = 1 (mod 4) donne lieu à des réductions plus
importantes. D'abord, dans le cas de N = 5 (mod 8),
Si N =3 5 ( mod 32 ), on aura x ==± \ ( mod 16)
» 29 » 1 »
sans réduction ultérieure.
Mais, dans le cas deN~i (mod 3), la réduction peut être pou!
suivie plus loin de manière à obtenir finalement 2 cas sur 61
2 cas sur 256, 2 cas sur 1024, etc., soit à la limite à
_L / I _L \ — _L A — _L32 V
1 "**4
- .16'"/ 32 3
"24
de tous les cas possibles, c'est-à-dire 1 cas sur 24.
10. Considérons en second lieu le module 3.
Si N == 1, on aura x = ± 1 ;
» 2 » o.
FACTORISATION. 131
Le deuxième cas est irréductible puisque y est différent
de o (mod 3); mais le premier cas donne :
Si N = i (mod 9), on aura x =± 1;
» 4 » '*'•
» 7 » i.
Dans ce cas, la réduction peut être poussée plus loin. Finale-
ment, on aura dans ce cas : 2 cas sur 27, 2 cas sur 243, etc., ou à
la limite :
l IO >o
>: 9 i\ >
Si, toutefois, on s'arrête au module 8 i , on aura 2 cas sur 27 et
2 cas sur 81
, soit 8 cas sur 8 1
.
11. Considérons le module 5 :
Si N 2, on aura x = ± 1 ;
sans réduction ultérieure, puisque y^o.
Mais si N = 1, on aura ar = oou±i,
» \ )> » ± 2
.
La solution x = o est irréductible ; l'autre peut être ramenée à
2 cas sur 25 qui eux-mêmes peuvent être ramenés à 6 cas sur 125 ou
à 4 cas sur 1 25 et 2 sur 626, etc.
Il en est de même des autres modules.
12. Afin de bien faire comprendre le procédé à suivre, nous
allons refaire tous les calculs qui nous ont conduit à la décomposi-
tion d'un nombre de 19 chiffres.
On sait que
2 122_f. I = ( 261_ 231_hI )(.2 61 + .2 31 H_ I ).
On trouve
z 6i _ 2 3i + ,_ 5.733. 1709. 3G8i4o58ioi i,
2 6i + 2 3i _+. ï = 2 3o5<S4'îoi 1 36i 177601 = JV.
l52 CHAPITRE VI.
C'est ce dernier nombre qui a échappé aux investigations de
Lucas que nous allons décomposer.
Nous avons construit encore en 1914-1918 une Table donnant
la plus petite solution de ix= 1 (mod P) pour toutes les valeurs
de P inférieures à 3ooooo (*). On trouve, par exemple, dans cette
Table :
P = 733, # = 244,
P == 1709, x — 244;
donc ^33 et 1709 divisent a 24 '' — 1 ou '2 r22 -\-\.
En effet, ces facteurs divisent 2 ,H — a 3* —f— 1 , facteur de 2 r2 --\-i.
On ne trouve point d'autre facteur de 2 24 '' — 1, donc de 2 ,2-+i,donc de 2 e1 -+- 2 3
' -f- 1 , ce qui prouve que N n'a point de facteur <;
à 3ooooo.
En prenantN = 2 61 -+- 2* 1 4- 1 = a 2— 6 2
,
on aura
v/N < a < l
- U x io 5N
ou3oo.ooo/
1 5i8 5oo25o < a < 3843 071 835 601.
Ces résultats peuvent décourager plus d'une personne non
habituée à ce genre de calcul; on a, en effet :
3 843071 835 fioi
— 1 >i 8 :)o<> > m
384 1 5 53 33 5 35 1
nombres à considérer dont le plus petit est ^/N = 1 5i85oo25o. Araison d'un nombre par seconde et 12 heures de travail par jour et
36o jours par an, ce travail demanderait :
384xioi° •
= 370.370 années.60 x 60 x 12 x 36o
Et cependant nous allons le décomposer dans les quelques lignes
qui suivent :
On a, en effet,
N = a 2 — 6 2= 1 -h 36 x 6r (mod 6i 2)= i (mod 16) = 2 (mod 3);
(') Voir la note en bas de la page 126.
FACTORISATION. l53
puisqu'on a b = o (mod 61), on a
a=-h(i4-i8.6i) (mod 61 2)
D'autre part, les facteurs devant être de la forme 244^ + t? onaura
a + 6^ ( mod 4 ) ou a -+- b — 4 k -+-1
,
a — b =: ou a— 6 = 4^+1-et
16 £/ -4- 4 (K -(- /) -h 1 = 1 -4- 16/1,
-d'où /, -f- / = pair, de même que k — /. Il en résulte
6 = (mod 4) et a = i.
Mais 6 = o(raod4) donne
b^=o (mod 16) et a2 =i (mod 16),
d'où
a = + i (mod 8),
•ce qui avec a = 1 (mod 4) donne
a =+ 1 (mod 8).
IN = 2 (mod 3) donne
a == o ( mod 3)
•sans réduction ultérieure.
Ainsi on a
« = 1 + 18.61 (mod 3721) = 1 (mod 8) ==0 (mod 3)
oua = 53 ig3 (mod 8g3o4).
Posonsa = 89304 s -+- 53 19 3;
eette valeur substituée dans
N< a < "ï (3 x io5 -+- — r)•>. V 3 x io a
/donne
17003 < - < 43o33 kjo.
Afin de ne pas commencer l'élimination à partir de 17003, rem-plaçons encore z par 17003 + x. Il vient
a = 89304^ + 1518578409 avec o < x < 43016587.
1 54 CHAPITRE Vf,
Avant d'aller plus loin, il est nécessaire de trouver les formes
linéaires de x pour différents modules. De ces derniers, le module 3
est seul épuisé, puisque a = o (mod 3) et b ^ o (mod 3).
Commençons par le module 2 n. On a (mod 64) :
a = %\ se+- 4i et N == i
.
Posons :
37 = o 1 2 3 4 5 6 j'
(mod 8)
a == >.4^ -+- 4i = 4i 1 25 49 9 33 57 17 (mod 64)
« 2 = 17 1 u3 97 81 65 49 33 ( mod [28 I
62 = a2„ I;_ 16 112 96 80 64 48 32 »
b"- : 16 = 1 7 6 5 4 3 2 (mod 8 )
/• n n /i Ai n
La forme linéaire i = o (mod 8) seule conduit à un résidu irré-
ductible;
les formes linéaires #== 2 .3 .4.6 . 7 conduisent aux
non-résidus et doivent être rejetées. Les formes x= 1. 5 I mod 8)
peuvent être réduites.
Elles donnent :
X == I 5 9 i3 17 21 25 29 (mod >2)
a = 2164? -h 233 = 193 33 [2<) 225 65 161 1 97 (mod 236 )
«2=385 65 257 449 129 321 1 i 93 (mod 5 12)
2 = a 2— N = «*_!= 384 64 2 56 448 128 320 192 (mod 5i2)
62: 64 = 6 1 4 n
J 2 5 3 (mod 8)
/i r n n n n
La forme linéaire # = 5 (mod 32) conduit seule à un résidu
irréductible, les formes linéaires
x = 1 . 1 3 .17 . 2 1 . 29 ( mod 32
)
conduisent à un non-résidu; les formes # = 9.25 peuvent être
réduites.
Pour ces dernières, on aura
x 9.25.41 .57.73.89. io5. 121 (mod 128)
dont la forme x= 7 3 (mod 128) seule conduit à un résidu irréduc-
tible; les formes # = 25. 89 (mod 128) peuvent être réduites; les
autres sont inadmissibles.
FACTORISATION.j5-
Les formes
.2? = 9.5.89 (mod 128)donnent
x = 89.153 (mod 256).
Arrêtons-nous là. Nous aurons donc :
r = o(mod 8) ou 5 (mod 32) ou 7 3 (mod 128) ou 89. 1 53 (mod 256).*
Considérons ensuite le module 5.
On a (mod 5) :
X = 1 > 3 4
a = 4 x -f- 4 = 4 3 » 1
«2 = 11 i 1
b* = a*— N = a 2— 1 = 3 > 1
n 1 t r
La forme linéaire x ~ 4 (mod 5) seule conduit à un résidu irré-
ductible; les formes x ==1.2 sont à rejeter. Les formes x = <> . 3-
peuvent être réduites par le module 25 et deviennent
# = io.23 (mod 25).
Ces dernières peuvent à leur tour être réduites à 4 valeurs sur 1 >:>.
et 2 sur 625.
On trouve
* = 48.60.73 ;85 (mod 125) ou 260.3-3. mod 625).
En résumé, les formes linéaires de x sont (mod 5*) :
x^\ (mod5), 48. 60. 7 3. 85 (mod 12$) ou >6o.3 7 3 (mod62
Considérons ensuite le module n.
On a
N=5 et a = 5x + 5 (mod 71.Posons :
x == o 1 2 3 4 5 6 (mod 7 )
a = îx -h 5 ~ 5 3 t 6 \ >. o
a 2 ==4 2ii-2 4 o
&2= a2_N = ai--5= 6 4 3 3 4 6 -,
n r n n r n rdonc
t = 1.4.6 (mod 7).
Ces formes ne donnent pas 6— o et ne peuvent être réduites (mod 4g)
> »..
o6 CHAPITRE VI.
Le module 1
1
donne
Posons :
N = 5 et a = 6 37+7-
X = o i 2 3 4 5 (5 nJ 8 9 IO
a = 6x -+- 7 ==7 2 8 3 9 4 IO 5 o 6 î
a- = 5 4 9 9 4 5 i 3 o 3 i
b*~= cfl - N = o IO 4 4 IO o 8 9 7 9 8
/l /• r /i n /• /> r n
(mod n)
Donc les formes x= 2 . 3 . 7 .g (mod 11) sont admissibles; les
formes x = 1 .4.6.8. 10 (mod 1 1) sont à rejeter; les formes x = o. 1 5
peuvent être réduites par les modules 121 et donnent
x = ii.38 ( mod 121).
En continuant ainsi, on forme le Tableau suivant :
Décomposition de N = 2 61 -H 2 31 H- 1 = 2 3o5 843oi 1 36i 177601 = a 2 — b'1,
a = 8930437 +- i5i 807409 (o < x < 43oi6587).
Mod. N. a. x.
2n » » o (mod 8), 5 (mod 32), 73 (mod 128), 8g.i53 (mod 256)
5 n » » 4 (mod 5), 48. 60.73. 85(mod 125), 260.373 (mod 625;
7 5 5^ + 5 1.4.6
11 5 6.2? -h 7 2. J.7.9 (mod îî)ou H.38 (mod 121)
i3 1 737+10 2.5.6.7. 10 (mod i3 ) ou 47-56 (mod 169)
17 8 3a7+i2 1 .3.6.8. 12. i3. il ( mod 17) ou 204.264 (mod 289)
19 18 4^ + 8 4.5.7.8.10.11.16.17.18.
23 2 18 x -h 5 3.4.6.7.8. 17. 18. 19.21 .22 (mod 23)
ou 46.48 (mod 529 )
29 12 10^-1-21 o. 1 .2.6.7. 10. 11 . 17. 18.21 .22.26.27.28.
3i 5 2437-1-9 0.2.5.7.9. 11. 12. i5. 16. 17.21 .22.23.26.27.29.
37 6 2037-1-26 o. 1 .3.6. 8. 9. 10. 12. i3. 14. 18.21 .25.28'. 32.33.34-36.
4i 1 637 -h 32 o. 1 .2 . 3.6.
1
1.12. i3. i5. 18. 19. 20.22. 24 .25.26. 29.31.
32.33.38.
4~ 3o 4#-+-43 1 -3 .8.9. i3. 14 • i5. 17. 20. 21 .23.24.25 .26.28.29.32.
34.35.36.40.41.46.
53 4 523?-+- 43 o. 1.3. 5. 6.10. 11. 14. i5. 16. 17. 18. 19. 22. 23. 27. 28. 3o.
32.33.34.35. Ji. 43- 45.5i. 52.
59 5 3737-+- 6 1 .6.10. 12. 16.21 .23.24.25.28.29.30.31 .32.33.35,39.
40.41.42.46.48. 49 . 5b . > 1 . 52 .53. 56 . 57 .58.
FACTORISATION. l57
Pour se servir du module 61, il est nécessaire d'opérer de la
façon suivante :
On a b 2=a 2— N ou, en posant b — 4-6i.y,
( 244 y)2 = (89304^ "M 5l8578 409) 2— (261+231+1)
OU
y2 = 1 33956^7 2 h- 4555735227^7-4- 3987048505
ou(mod 61) jk
2= 3 a? -f- 55,
d'où
a? = 1.2.3 5.6.7.11.14.15.16.17.18.21.22.24.27.29.36.38.41.43,44.47.48.
4g . 5o . 5 1 . 54 . 58 . 59 . 60
.
Etant donné que le champ de variation de x est très grand
(o <r < 43016387),
on procédera par plusieurs étapes de la façon suivante :
i° On cherchera une solution :
x = 89.153 (mod 256) = 4 (mod 5).
On trouvera qu'un seul nombre # = 8^4649 satisfait à toutes
les conditions requises, mais à cause de x = 17 (mod 289), il ne
convient pas.
2 On cherchera une solution :
.r=.89.i53 (mod 256) = 48.60.78,85 (mod i>3 ).
Aucune valeur de x ne satisfait à toutes les conditions.
3° Aucune valeur ne donne
x = 89.153 ( mod 256) = 260.373 (mod 625)
avec toutes les autres conditions.
4° Aucune valeur ne donne
x = 73 (mod 128 )= 4 (mod 5)
avec toutes les autres conditions.
l38 CHAPITRE VI.
5" Aucune valeur ne donne
# = 73 (mod 128 )== 48. 60. 7'). 85 (mod 125)
avec toutes les autres conditions.
6° Aucune valeur ne donne
# = 73 (mod 128) = 260.073 (mod 625)
avec toutes les autres conditions.
-° On cherchera ensuite une solution
x = 5 (' riiod 32 ) = 4 ( mod 5 >.
On trouvera une seule valeur satisfaisant à toutes les conditions
requises : c'est
x = 6789829.
8° On cherchera une solution
x = 5 ( mod 32 ) = 48.60.73.8') ( mod (25 I.
On trouvera deux valeurs : #==69$] 1 7 3 , 10 i63 1 ^3, qui satis-
font à toutes les conditions requises, dont la deuxième donne
x = 26 (mod 329) et ne convient par conséquent pas.
9 On ne trouvera aucune solution donnant
x = 5 (mod 3z ) = 26o.3;3 1 mod 625).
io° On trouvera une solution
x = o (mod 8) = 260.373 ( mod 625)
et c'est la valeura; = 3717 760.
1 i° On ne trouvera aucune solution
x = o (mod 8) = 48.60.73 .85 (mod 12.5).
12° On trouvera cinq solutions
x = ( mod 8 )= 4 ( m^d 5 ) :
ce sont
# = 683624, 12026381, 5858624,3 923781, 102**8664
FACTORISATION. l5g
Ainsi on a huit nombres qui satisfont à toutes les conditions
imposées.
La recherche de ces valeurs se fait par le procédé graphique que
nous avons indiqué dans le troisième Chapitre.
Pour ne pas être obligé de vérifier les huit valeurs, on continuera
l'élimination par les autres modules supérieurs à ôi, mais sans
chercher toutes les formes linéaires qui sont admissibles pour ces
modules. On procédera de la façon suivante :
On a
#==6789829, 6931 1-3, 3717760, 6836-24, 12026 384, 5858624,
3923784, 10238664,
ou (mod 67 ) :
x ==il) 23 64 23 18 10 63 59
a = 60 # -+- 26 = 18 66 47 66 34 2 3 54 i5
a 1 — 56 1 65 1 17 60 35 24
b'1 = a?- — N = « 2 — 28 = 28
n
4o 57 4o 56 32
n
7
n
63
n
Il reste les quatre valeurs :
37 = ^931173, 3717760, 683624, 12026384
donnant (mod 71 ) :
X = I L 58 36 Ï9
2 1 == 9 61 i4 r>
«2 = 10 29 54 37
60 2
1
n
4o 65 i8£2= a2_ N E-a*
Il ne reste que les deux valeurs x == 3717760 et 12 026 384 qui
résistent aux modules ^3 aussi. La seconde aurait été éliminée par
les modules supérieurs à 73; la première donne :
x = 3717 760, a = 89 3o4^r +1 5 18 578409 = 333 529 \ 17 4 »9,
a«= 1 11 2 i 1 872303 8G9 305667601, N =3 23o5843oit36i 177601,
^>- = iii 2.39 566 460 8 57 9 \ \ 490000 = 333 525 960 70S2.
Ainsi :
a = 333 529417449
b — 333525960700
a 4- b = 667055378 149
a — b — 3 456749
l6o CHAPITRE VI.
et
N = 2 fil-i-2âl+ I= 3 456749 X 667655378149.
Nous avons trouvé de la même façon
7 o3+ 2*7+i = 15 358 129 X 586 477 649et
est premier.
- (io 19— 1 )== 1 m III III III III III
9
13. Il est peut-être intéressant de comparer le progrès réalisé par
le problème de factorisation avec le progrès des Tables des nombres
premiers. Euler n'avait à sa disposition qu'une Table des nombres
premiers jusqu'à 100000. Aussi ne s'attaque-t-il que rarement aux
nombres de 9-10 chiffres et encore dans des cas spéciaux.
C'est Euler qui a donné le plus grand nombre premier connu à
cette époque 2 31 — 1. C'est encore lui qui a décomposé
2 32 H_ [_ (54, x 6700417
infirmant l'assertion de Fermât.
Au xixesiècle, on a fait des Tables des nombres premiers jusque
10 millions et même au delà. Les procédés d'Euler deviennent
insuffisants; et il est rarement avantageux de se servir de ces pro-
cédés, sauf, peut-être, quand il s'agit d'un nombre excédant peu
la limite des Tables, de 9 ou 10 chiffres. Mais s'il s'agit d'un
nombre de 12-1 3 chiffres, seul le procédé indirect par décomposi-
tion en x'1— y 2 est pratique.
Si le nombre est d'une forme spéciale (diviseur de a n dz 0" ), on
peut encore s'attaquer à un nombre de 18-20 chiffres. Le nombre2°' -t-2
8, + i, précédemment étudié, en fournit un exemple. .
Mais la Science ne possède pas aujourd'hui une méthode par-
tique pour factoriser un nombre quelconque de 25-3o chiffres.
Pour ces nombres, on ne peut — et encore dans des cas excep-
tionnels — qu'être fixé sur la primalité ou non-primalité de ces
nombres et encore sans avoir les facteurs dans le cas d'un nombre
composé.
Nous avons cité des exemples : 2 127 — 1 est premier; 2 r- 8 -(-i
ainsi que 2 2;iG -+- « sont composés. Ces nombres sont respectivement
de 39 et 77 chiffres.
TABLES
KRAÏTCHIK
l6'2 TABLES DONNANT LLS CARRÉS DE TOUS LES NOMBRES INFÉR.
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l(j TABLE II DIVISEURS LINEAIRES DES FORMES QUADRATIQUES.
II. — Diviseurs linéaires des formes quadratiques.
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TABLE II. DIVISEURS LINEAIRES DES FORMES QUADRATIQUES. KV
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125 127 i3i i33 i37 i45 233 237 239 243 245 249 253 261 275 277 279 289
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i68 TABLE II. — DIVISEURS LINEAIRES DES FORMES QUADRATIQUES.
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TABLE II DIVISEURS LINEAIRES DES FORMES QUADRATIQUES. 169
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25 27 29 3i 33 35 4g 55 5g 61 63 67 81 83 91 g3 g7 io5
39 4i 43 47 49 5i 107 m 117 ng 121 129 i3i 1 33 i35 137 i3g i4i
61 67 71 7 5 81 87 i4g i53 i55 i5g 161 i63 167 169 171 175 177 i85
93 95 97 99 io5 n5 ig5 201 203
117 121 123 127 129 i33
i37 14, i43 147 i4g i5i
i53 161 169 i'83 i85 187
19 1 J 99 201
104 = 26 a 2
2IO 1 i3 23 41 53 5g io5
(suite p. 171)
420 1 11 i3 19 3i 4 X 43 47 53 57 71 73
TABLE II. — DIVISEURS LINEAIRES DES FORMES QUADRATIQUES.
(§)=, *-->,..
D.
-w, (=2);=-.:
OO
210
X. a X.
* 7 3 79 89 97 I01 Io3 io5 420 -{- 83 89 97 101 109 1 1 3 121 127 1 87 1 89 1^3 157
(suite) i63 167 169 T79 191 197 199 209 227 233 23g 247
269 271 289 3i3 317 3^i 359 36i 383 391 397 4o3
424 1 3579017 19 21 25 27 35
45 47 49 5i 57 61
63 67 7 5 81 83 85
89 g5 97 101 io5 109
n3 119 121 i25 i33 i35
i3g i4i ï4 3 *47 *53 157
169 171 173 175 179 181
i83 189 199 201
106 424 1 5 9 11 17 21 28 25 3i 39 43 4^
49 55 57 59 61 73 79 81 85 87 89 91
97 99 101 io3 io5 107 109 m n3 n5 121 128
125 127 i3i 1 33 1 4 ! i5i i53 i55 157 i63 167 i6<j
173 181 187 189 191 195 201 2o3 207 211 2i5 219
225 227 23i 23g 241 245 247 249 253 259 263 275
2-7 279 281 285 287 289 295 3o5 307 829 33 1 S'il
347 349 35 1 355 35 7 359 36 1 3 7 3 377 383 387 3893gi 3g5 3 97 4o5 409 4n 417 421
1^ 1 7 9 i3 i5 25
29 3i 33 3 7 41 43
49 5i 53 55 57 59
61 63 67 69 71 81
85 89 91 95 101 io3
io5 n5 117 121 127 i3i
1 35 137 139 141 i49 '67
169 t 7 5 179 187 191 198
ig5 197 203 209 211
107
108 = 3^ 2
21
1
1 3 9 11 18 19 23 25 27 29 33 35
37 39 4 1 47 49 53 57 61 69 75 79 81
83 85 87 89 99 101 io5 ni 117 119 121 123
137 14 i i43 i47 '49 '5i i55 1 59 i63 169 171 i83
'9 1 i97 '99 2 <>7 309
2l8 1 3 5 7 91321 25 27 29 3i 35
43 45 49 61 63 71
7 3 75 81 83 87 89
9 3 97 io5
109 436 1 5 9 11 19 21 28 25 29 39 45 47
49 5i 55 59 61 67 78 79 81 89 91 9.)
95 97 99 io5 107 m 1 1 3 n5 119 121 123 125
127 129 137 i3g i45 i5i 157 i5g i63 167 169 171
173 179 189 rg3 195 197 199 207 209 2i3 219 221
225 23i 233 235 245 249 25i 253 255 25g 261 271
275 281 283 287 289 2g3 295 3oi 3o3 3o5 3ig 333
335 349 35i 353 35g 36i 365 367 3 7 i 3 7 3 3 79 383
3g3 3g5 3gg 401 4°3 4°5 4°9 4'9 4 2 * 4 2 3 4 2 9 433
440 1 9 17 21 23 29
37 39 43 47 49 53
57 59 61 73 79 81
83 89 91 93 101 io3
107 109 123 i33 i4g i5i
i53 157 169 179 189 193
201 207 2i3 217
1 10 44o 1 3 7 9 17 19 21 27 29 3i 37 3g
5i 53 57 61 63 67 71 7 3 81 87 89 9 3
101 109 m 119 127 i3i i33 i3g 147 i49 i53 157
Ô9 i63 167 169 171 i83 189 191 198 199 201 2o3
207 211 2i3 219 233 243 259 261 263 267 279 289
299 3o3 3n 317 323 327 333 387 343 349 357 36i
371 38i 393 897 3gg 4oi l\\~) 4 2 7
M 4 1 5 11 17 19 j5
29 3i 43 47 49 55
71 73 79 83 85 89
91 95 io3 107 1 i 3 121
m
(suite p. 172)
222 1 5 7 17 23 25 29 35 49 5g 67 78
85 89 n3 n5 119 121 125 127 i3i i3g 1 43 i45
i5i Ô7 161 167 169 175 179 181 191 2o3 209 211
TABLE II. DIVISEURS LINEAIRES DES FORMES QUADRATIQUES.
(5)- 1, ^--\)r\
D.
-°r. (^)=-
Poo
uC.
U3
QO
X.
444 Ihl25 i45 i55 i57 161 i63 m169 181 187 199 209 3l5 (suite)
1 1 2 = 7 a-
226 I 7 9 n i3 i5 1.3 452 4-1 3 9 i3 19 20 25 27 35 39 4 1 43
25 3i 4i 49 5l 53 47 49 53 55 57 59 61 67 69 71 75 77
57 61 63 69 77 81 79 81 85 97 io3 io5 107 109 117 119 121 123
83 85 87 91 g5 97 129 14 1 i45 i47 J 49 J 5i i55 1 07 159 i65 167 16g
99 io5 109 1 1
1
173 177 179 i83 1 85 187 191 199 201 2o3 207 2i3
217 223 225 23l 233 237 24l 243 247 255 257 2.5g
263 271 277 289 291 299 309 3i3 3i5 317 3ig 32i
3 25 32 7 33 7 34i 35 1 353 357 359 36i 363 365 36g
379 387 389 097 401 4°7 4'5 4'9 42r 4 23 ^ 3i 4 3 5
43 7 441 445 447
456 1 5 7 11 i3 25 "4 456 1 5 i3 23 >5 3i 07 4' 4 3 47 4î) %35 07 4 1 49 55 65 65 73 77 79 89 101 io3 107 109 1 1 3 1 1 5 1
i
9
C 7 71 73-77 83 89 121 125 127 1 39 149 i5i i55 i63 169 179 181 i85
9 1 1 1 109 1 1 3 121 125 187 Kjl 197 203 205 2l5 223 227 235 239 2/|5 257
i3i i43 149 167 169 i 7 5 263 281 283 289 295 299 3 1 1 3i3 3ig 325 359 365
181 i85 197 199 2o5 211 37 i 37 3 385 389 395 4oi 4o3 421 427 439 445 44g
46o 1 3 9 11.17 i-9 n5 230 1 7 9 17 29 3i 33 3 7 39 41 43 4g
27 •«, 33 37 4i 47 53 57 5g 63 67 71 81 83 97 101 io3 107
49 5i 53 57 79 81 1 1 3 119 121 j3i i3 7 i3g 1 4 1 iri> i5i i53 157 169
«7 9 1 97 99 I01 1 1
1
179 i83 2o3 209 211 217 219 227
n3 121 123 127 137 141
i47 i53 r 57 i5g i63 167
16g 171 187 191 199 209
217 223
116 == 29a 2
117 = i3« 2
4 7 2 1 3 9 i3 17 *9 118 4 7 2 1 7 9 11 i3 i5 17 25 37 4i 43 4g
23 25 27 3i 35 3 7 57 61 63 67 69 71 77 79 81 83 87 gi
39 41 47 49 5i 55 g3 g5 99 101 io5 109 n5 117 1 19 121 127 1 3
1
57 61 69 75 77 81 i35 137 14 1 1 43 i45 i4o i-53 i55 i5 7 i5g i65 167
93
ni101 io3 io5 107
117 121 123 137
109
i3g
169 173 175 179 187 ig3 ig5 igg 211 21g 221 223
225 227 22g 235 23g 241 255 257 25g 263 265 267
141 i45 j4 7 149 i5i i53 26g 2 7 i 2 7 5 281 283 287 289 291 3oi 3og 3n 3 2
1
i5 7 i63 i65 169 171 i 7 3325 333 33g 343 34 7 34g 35g 36. 1 365 36g 375 383
i83 191 193 2o3 207 2l5 387 3g 7 3gg 407 417 419 421 425 427 433 437 43g
221 225 229 23 I 441 443 445 449 45i 453 467 469
476 1 5 9 11 19 23 Il9 2 38 1 3 5 9 i5 25 27 3i 4 1 4 3 45 53
2 5 3 9 4 1 45 47 53 61 67 73 75 81 g3 g7 121 1 23 i25 127 12g
55 59 61 71 73 79 (suite p 173i i3i i35 i3 7 i3g 1 43 i4g i5i i55 i5g i67 169 i 7 3
DIVISEURS LINEAIRES DES FORMES QUADRATIQUES.
s?- Dr*.
5o8
h 81 83 87
99 io3 107
i25 129 1 87
171 17a 181
207 209 2 1
1
29
47
63
9»
ir»3
i33
161
9 n35 3 7
49 5i
67 69
93 95
d3 1 15
i35 137
iG5 167
189 195 211
225 227 23 £
1 7 17
29 37 49
61 65 67
89 101 107
i33 i3 7 i43
161 169 170
2i5 233 235
1 3
21 23
4, 43
61 63
81 83
117 119 1
145 147 149
157 161 i65
177 i83 189
209 219 221
239 243 249
9-5
1 1
1
i 95
223
13
39
53
/^
97
"9109
169
2l3
23 7
19
53
73
"9'49
i99
241
9
2 7
5i
69
9^
123
i5i
167
J 97
223
93
n51 63
201
225
21
4*
57
81
99121
i55
I7 3
217
239
23
55
79121
i5i
203
97
121
169
2o5
235
25
43
59
85
10
1
I2 7
,5 7
181
221
25
59
83
i3.
: 55
21
1
I 5 i3 25 29
49 65 67 71 77
89 97 io3 109 1 1
3
i3
3 7 3 9
55 59
7 3 7 5m 1 1
3
129 i3g
i53 i55
169 175
201 20
225 235
"9(suite)
3o<r
21 = a'
122
i2l\ — 01 a
125= 5rt-
126 = i4<?
127
2 38
i\G
254
21 120 12'
128= lœ129
(suite p. r
5i6
d^, m179 l8l l83 191 199 201 205 209 2l5 219 2 25 22'
1 3 7 9 19 21 23 25 27 29 3 t 3 7
4i 49 53 55 57 63 65 69 71 73 75 79
81 83 85 87 93 97 101 107 m 1 1
3
121 123
i3i 1 33 1 37 i43 1 47 '5i 157 i5g 161 i,63 i65 169
171 173 175 179 181 187 189 191 195 203 207 2l3
2i5 217 219 221 223 225 235 237 241 243 249 255
257 259 261 277 279 283 287 289 291 295 3o3 3n321 333 335 339 343 34 7 349 353 359 36
1
363 369
371 373 379 383 385 38g 393 397 399 4n 4a 1 429
43 7 441 443 4'.5 449 453 455 47' 473 47^ 477 483
1 ii 17 25 29 3i 35 37 43 47 49 53
61 65 71 73 89 91 95 101 io3 n5 121 127
1 33 137 i3q ï/|g 161 i63 167 169 179 187 191 223
227 233 23g \\ 1
1 9 11 i3 i5 17 19 21 25 3i 35 37
41 47 49 Gl 69 7* 7 3 79 81 8 7 99 io3
07 n3 n5 117 1 2 1 129 i3i i35 (43 i/
|5 149 i53
57 i5g 161 i63 i65 169 171 »77 J 79 ,87 ,89 I 9 I
195 197 199 20I 2()3 209 211 21 5 22 1 2 25 227 23 1
247 249 25l
1 5 7 11 i3 19 23 25 29 35 47 49
55 59 65 77 83 89 91 95 97 107 109 n3n5 121 i25 i33 137 i43 i45 i49 i5i 161 i63 167
169 175 181 193 199 2o3 209 211 223 229 233 235
74 TABLE II. DIVISEURS LINEAIRES DES FORMES QUADRATIQUES.
Po
œ- 1
,
X.
ï)y\
]>.À.j
X.o
129
(sui'rcj
5 16 >3g 245 247 25i 253 257 275 289 2g5 29g 3 1 1 3 19
325 32g 33 1 337 343 35g 36 1 377 385 38g 3g7r\i3
4i5 43i 437 443 445 449 455 463 475 479 485 499
520 ± i 3 7 9 11 19 i3o 520 1 9 21 23 3 1 33 49 ^i 53 57 67 71
2 I '1 33 43 47 49 73 77 81 83 87 97 io3 109 m ng 121 123
53 57 5g 63 7 3 77 127 12g 1 3 1 1 33 137 i3g 1 4 1 1 49 '5i l0 l JD>3 173
79 81 97 99 107 109 177 179 i83 187 189 ig3 2o3 207 209 211 227 229
121 129 i33 i3 7 >4.i «4ï 287 239 25i 25g 263 267 271 277 279 287 289 297
'49 i5 7 i59 167 171 i 7 3 3oi 3o3 307 3ig 32i 323 329 33g 34g 353 35g 36i
*77 189 191 190 i99 20g 36 7 3 7 3 407 4'3 4i9 42i 427 43i 44i 45i 4^7 4^9
21 9 223 229 23l 237 243 461 473 477 479 483 49 l 4g3 5oi 5o3 5og 5i3 517
52 \ i 5 9 l3 19 21 i3i 262 1 3 5 7 g 11 i3 1 5 ,21 25 27 33
23 25 3i 33 41 45 35 3g 4i 43 45 4g 53 55 5g 61 63 65
47 49 5i 53 61 65 75 77 81 8g gi gg îot io5 107 10g n3 117
«7 7 1 77 79 81 83 121 i>3 125 12g i35 i43 i47 J 5i i5g i65 167 16g
37 89 95 101 io3 io5 i-5 177 17g i83 18g igi ig3 ig5 »o5 211 2i5 >25
109 1 1
1
1 1 3 n5 117 ùg 23 1 233 23g 243 245
121 125 127 129 ,39 i55
i63 i65 169 171 177 187
189 , 9 3 199 203 2o5 207
219 223 225 227 2 33 j35
245 2 47 25i 255 25g
i32 = 33 a3
266 1 3 9 ll i3 23 i33 • 53a 1 g i3 i5 25 33 4 1 47 5i ' 55 67 6g
25 2 73i 33 39 41 71 7g 81 83 85 87 89 g3 97 107 m n5
43 59 69 7 5 81 85 117 121 127 12g i3i i35 137 13$ i45 i4g i5i i55
89 93 97 99 io3 117 i5g 169 173 177 179 181 i83 i85 187 ig5 197 19g
121 123 129 211 2i5 21g 225 233 241 25i 253 257 26a 269 271
277 283 28g 2g3 2g5 >g7 3o3 3o5 3og 3n 3n.
32 7 33 1 33g 34i 365 367 36g 375 379 38g 3gi 407
4<»g 419 423 42g 43i 433 457 45g 467 471 4 7 3 4 7g
487 48g 4g3 49^ Soi 5o3 5o5 5og 5i5 52 1 527 52g
536 I 5 7 9 i3 17 ÏZ\ 536 1 3 5 g 11 i3 i5 17 23 25 27 33
19 25 3i 33 35 45 3g 43 45 47 49 5i 53 55 61 65 6g 71
49 53 59 61 63 65 73 75 81 85 8g 99 10 j io3 109 n5 117 121
69 73 79 81 83 85 i25 127 129 1 33 i35 i3g i4i i43 i47 l^ 1 I^ l $4
87 89 9 1 9 5 101 107 i65 167 169 179 i83 187 ig3 19.) 197 19g 2o3 207
109 1 1
1
117 119 121 123 2l3 21 5 217 2ig 221 223 225 22g 235 24l 243 2'j5
125 129 i3i t 33 i4i i53 25 1 253 255 257 25g 263 265 267 275 287 28g 2g7
i55 i63 i65 169 171 i 75 2gg 3o3 3o5 3og 325 327 33i 345 :'>\-j 35i 355 35g
*9* i 9 3 197 211 2i3 217 36 1 363 365 3 7 3 37 5 3 7g 38 1 387 3gi 3gg 4o5 4i3
22
1
225 227 229 23 1 23g (suilc p. 175) 4,7 423 ',25 439 43l 4 39 44l 4 /, 3 4 4 r> 449 453 457
TABLE II. — DIVISEURS LINEAIRES DES FORMES QUADRATIQUES.
(-) = 1,-2_ Dr2
. *H-Vy\ (-#)='\xj
]).
_J J
a x. Q X.o O
536
S
±241 245 247 253 257 265 i34 isuil<>) 536 +459 47.3 477 479 4g5 499 5oi 5<>5 .307 5i5 5i 7 52g
i.35= i5a 2
i36 == 34à2
274 1/ 9 !I l5 l l ,3 7 54S 1 3 9 17 23 2.5- 27 3i 35 37 43 'i7
J 9 25 :i 7 3g 4g 5g 4g 5i 55 61 65 67 69 71 73 75 77 79
61 63 65 6g 7 3 77 81 83 91 g3 g5 101 io5 109 m 121 127 129
81 87 g3 99 loi io3 i3i i33 141 i43 i4^ *47 Ï53 i63 i65 169 i 7 3 179
io5 107 109 Il5 119 13 1 i8x i83 191 ig.3 1 9.5 197 199 301 3o3 2o5 307 20g
123 t2g i33 1.35 2l3 2ig 223 225 237 2.3l 237 23g 243 2^7 2/
jg 2.3l
257 :>65 27 i 27.3 279 >8i 285 387 389 2g3 2g5 3o3
3o 7 3 i3 3i5 319 327 33 1 333 337 35g 36 1 363 371
373 377 38i 387 38g 3gi 39-3 397 3gg 4°9 4*3 V'*
425 429 43i 433 435 44-1 445 449 4ôi 4>9 46i 463
485 4^9 49 1 49^ J°3 5o 7 5og 5i5 5ig 527 529 533
535 537 54i 543
552 1 J7 19 35 29 3. i38 55 3 1 7 11 17 35 29 .37 47 ',g 61 65 71
35 37 43 4g 55 5g 73 77 79 83 89 g5 101 io3 107 109 n3 119
61 65 67 7 3 77 89 121 137 i3g 1 .35 i57 1 63 167 i63 173 17.3 181 187
9 1 IOI 109 1 1 3 121 1 37 19.3 197 199 2o3 3o5 311 3i5 337 229 2.3g 247 23i
i3i x37 i(3 i5i i57 16g >5() 265 26g 375 281 289 295 307 3 1 1 317 3ig 039
«73 *79 181 191 19.3 197 33 1 335 343 36 1 367 37.3 401 4°3 4°7 4°9 4 '9 4 '•'
>o3 223 229 2 35 26.) 265 V'3 V; '»"»•'\Cn 1 G 7 4 S ">
'i9 3 '\ {M \\)\) 5o9 5l1 :>I 7
269 271 53i 533 539 547
556 1 3 5-9.1 3 1
5
1 3g 378 1 5 7 9 11 1 3 >.') 2g 3i 35 37 \ \
»9 23 2.3 27 29 37 'i> 47 49 ôl 55 57 63 63 67 6g 7 i 77
% + r 43 45 4g 57 7g 81 8.3 89 91 99 107 ii3 117 i3i i>,3 127
&9 65 6g 75 77 81 12g i3i i3.7 i'j.3 i45 i53 i5g i63 i6 7 169 173 i 7 5
8: 89 g5 io3 ni n3 177 181 1 83 18.3 191 19.3 2o3 2o5 317 219 225 235
1 15 Il 7 Iig 121 12.3 13.') 23g 343 3.3 1 2.35 257 2.3g 261 268 270
129 1 35 i.3 7 i45 i4 7 i5i
169 I 7 I 17.3 177 i 79 181
i85 187 19.3 i 95 199 2ô5
207 21
1
2l5 317 223 22.)
.,.,_ 23 I 3|3 245 347 2.")7
261 267 271
i4<) = 35 à?
282 1 5 7 II 2.3 20 •4* 564 1 5 19 35 2g 3i 3 7 \i 43 49 >9 '•'
2 9 35 3 7 41 49 55 6 7 7 1 77 83 9 1 95 97 " 3 ]I 9 I?I'
,:> li l
61 77 79 97 io3 107 i.'ii 1
3
7 i.3g i43 i45 i.3i i55 i57 161 1 63 169 i85
n3 1 15 121 13) I.37
(suite p. 17G)
187 igi 199 30.3 3ii 2i5 221 223 233 2.39 241 245
2.3i 3.33 357 263 377 281 289 2g3 2g5 >gg 3o5 3i'7
335 33 7 347 355 36i 367 3 7i 383 385 38g S91 397
176 TABLE II. DIVISEUBS LINEAIRES DES FORMES QUADRATIQUES.
:.)l . --— )y1.
D.
w , (=*) = ,.
w
Q©
.r.
w-J
QO
X.
*4* 564 -4-41 3 431 449 455 457 461 463 475 4 79 485 491 499(suiltM 5og 5n 529 54i 547 55 1 553 557
568 ± 1 3 7 9 ,3 i 9 t42 568 1 9 11 i3 i5 21 2.5 35 49 5i 53 57
2
1
2.) •>5 :>
7 3, 3g 59 61 67 69 73 79 81 85 87 89 93 95
43 4: 49 53 55 57 99 io3 m n5 117 119 121 12.3 129 1 33 1 35 i3g
61 63 69 73 75 8. i4i i4 3 ! 4 J ^9 T 5i 1 5.5 161 i63 i65 167 169 170
83 85 ^9 9 1 93 107 181 i85 189 191 195 197 139 2o3 2o5 211 2i5 217
117 121 l2 7 l29 i3i i33 223 22.5 227 23i 233 235 249 259 263 269 271 273
iîi 1 '| 5 '47 "49 1 5g 161 >-5 283 287 289 291 3oi 3o3 307 3n 3i3 3i5 3i 7
165 169 171 i 7 3 J 73 J 79 32i 323 325 32 7 3> 9 33i 33g 34 7 349 359 36i 367181 i83 i85 187 lS9 *97 375 38 1 385 389 3g 1 3g3 397 409 4 11 4*^ 4 21 43
1
2o5 207 2i.7 !, 9 225 2 33 Î37 44» 443 455 45<)'
fGi 463 46 7 471 477 485 491
2 39 243 >'\: 249 25 1 2 55 ')().> 5o3 5o5 5i3 52i 52.3 5>5 527 529 53 1 5.35 5.37
267 269 273 27;, 539 54i 545 549 55 1 56 1 563 565
572 I 9 i5 21 2 5 3i l43 286 1 3 7 9 19 21 23 25 27 4 ! 49 53
35 4i 43 47 49 :>1 57 63 69 73 70 81 83 85 io3 109 n3 123
53 57 5g 67 69 71 1 33 i45 147 1 49 l
'
)l 1)) r ^7 '^9 161 167 171 175
73 79 Si 85 87 95 179 181 i85 189 191 193 197 199 207 210 219 225
107 109 m 1 1
3
1 1 5 119 227 235 2.3g 241 243 249 25i 255 257 269 271 281
127 i3i 1 33 i35 i39 i45
»49 i5 7161 i63 181 i83
i85 189 J 9* 3 *97 2()3 211
223 225 241 249 257 259
263 267 269 279 281 283
i44 = «2
290 I 3 9 J 7 27 3 7 145 58o 1 7 9 11 17 19 »3 3i 37 39 49 63
43 47 4g 5i 59 7" 6 7 7 3 77 79 8l 83 97 99 Io3 I0 7 I09 II3
7 3 77 81 91 97 I09 119 121 123 129 i3i 1 33 137 i4i i49 I,r>3 157 i5g
1 1
1
n3 121 127 129 t33 161 167 169 171 177 181 i83 187 191. ig3 207 209
i3 7 i39 141 i43 >;i 2 1 3 217 223 227 241 25i 253 2,39 267 271 273
279 281 283 289 29.3 3o3 3n 317 323 33i 333 337
34i 343 347 349 35 1 359 36i 379 38i 383 3gi 4GI
407 417 429 433 437 4'm 453 463 469 479 487 489
• 49 1 5og 5n 5ig 52i 523 527 52g 5.33 537 53g 5^
-
553 559 567 577
584 1 5 9 " i3 21 1-46 584 1 3 5 7 9 i3 i5 19 21 a5 27 29
2.3 25 29 41 43 45 3i 35 39 4 1 4^ 47 49 53 57 63 65 67
49 5i 53 55 57 5g 7 5 77 81 87 89 91 ()3 g5 97 101 io3 io5
65 7 1 77 79 81 83 117 121 123 125 i33 i35 137 i4i i4^ i4t 1 ^ 1 r ^5
89 93 97 99 101 io5 157 i5g 167 169 171 17.5 187 189 191 ig5 197 199
107 1 11 1 1 5 117 121 12 3 201 2o3 2o5 211 217 225 227 229 235 239 243 245
l2n/
1 3
1
i33 i3 7 i39 14, (suite p 177) 247 25i 253 257 261 263 265 267 271 273 277 279
TABLE II. — DIVISEURS LINEAIRES DES FORMES QUADRATIQUES. 177
©.== 1, X)y\
D.
't1* (^) = -
PS
584
x.
WJPOOS
X.
±143 i45 1')- i63 169 «79 146 584 +283' 285 287 289 291 3o9 3i5 325 329 335 343 347i83 189 «97 201 205 207 (suite) 35r 353 36i 363 36g 371 375 377 391 3gg l\oi 4<>3
2l5 217 223 225 229 23l 4o5 407 4 11 4 x 9 4? 1 4^3 43i 435 44 1 445 453 453
245 253 2 55 25 7 2 59 261 457 4^5 469 47 1 473 47^ 477 483 499 5°« 5o5 507
265 273 270 277 285 289i4 7 = 3 a 2
i48 = 37 a2
5i3 5i5 523 525 529 533 54i 547 55 1 56i 567 573
298 1 5 7 9 l l «9 «49 5g6 1 3 5 9 11 i5 17 23 25 27 29 33
2 5 29 3i 33 35 37 37 43 45 49 5i 53 55 59 61 69 71 73
39 43 47 49 53 61 75 79 81 83 85 87 91 99 m n3 n5 121
63 67 69 73 81 85 125 129 i3i i33 1 35 139 i45 147 i5i i53 i5g i63
93 io3 107 n3 "9 121 i65 167 169 173 177 i83 i85 187 199 207 211 2i3
r2.) 125 127 129 i33 «43 2i5 217 219 223 225 227 229 237 239 243 245 2 47
i45
1 5o = 6 a*
249 253 255 261 265 269 271 273 275 281 283 287
289 293 295 297 3o5 3n 317 319 329 333 337 339
345 355 36 1 363 367 373 387 3gi 3q3 3g5 399 4ch
4o3 4o5 407 4 ! 5 4n 421 4 2 5 435 439 44 r 453 455
459 4^9 47 3 477 479 487 489 49 r 493 495 499 5oi
5o3 507 5ig 529 53i 533 53g 54g 555 557 56i 565
57 5 577 583 58g
604 1 3 5 7 9 i5 i5i 3o2 1 5 9 11 17 19 21 25 29 3i 37 3g
«7 21 23 25 27 29 43 45 4 7 49 55 5g 69 81 85 91 95 9735 37 45 49 5i 63 99 io3 io5 121 i23 i25 127 137 i3g i45 i53 i55
G7 69 7 17 3 79 81 i5g 161 167 169 171 173 i83 i85 187 189 191 ig3
83 85 87 97 io5 107 ig5 201 209 2i3 2i5 219 223 225 227 229 23l 235
1 1
1
1 15 ««9 1 2
1
125 i3i 237 23g 241 245 249 25i 261 267 269 275 27g 287
i35 i3 7 i43 i45 '47 i53 28g 2 95 2 9g' 161 i63 x69 , 73 i 7 5 '79
i85 i83 193 «99 201 200
207 209 211 2l3 225 229
237 241 243 245 247 249
255 259 261 263 269 271
283 289 291
i52 = 38a'
i53= 17 à1
616 1 3 5 9 i5 J 7 154 616 1 5 g 17 19 25 2g 3i 39 4i 45 4723 25 2~> 29 4i 43 67 6g 73 7g 81 83 85 g5 io3 10g 11 1 n345 5i 59 69 7 1 73 125 127 12g i3i 137 i3g i45 i4g i5i i53 i55 157
7 5 81 85 87 107 109 i5g i63 16g 171 177 17g 181 i83 ig5 ig7 igg 2o5
n3 1 15 123 125 129 i35 2i3 223 225 227 22g 235 23g 241 261 263 267 26g
i.37,'
f5 «49 1.53 i57 167 (sniîe p. 178) 277 27g 2S3 28g 2gi 2gg 3o3 307 3n 32 1 323 33i
KRAÏTCIIIK.
178 TABLE II DIVISEURS LINEAIRES DES FORMES QUADRATIQUES.
w
X.
1).
X.o
616 ±169 177 181 191 197 20.") 154 616 335 345 35 1 35q 36 1 365 067 369 373 379 383 3g5
207 211 21 3 2i5 219 2 25 (suile) 397 401 4°5 4°9 4*5 42 3 42 5 43i 443 449 47^ 4® 1
229 24l 243 247 2.5l 2.').") 4q3 499 5oi 509 5i5 519 52.3 527 529 541 545 55i
261 269 271 277 289 29.") 555 557 559 563 565 573 579 589 5g3 601 6o3 61
3
620 1 7 9 11 i3 17
37 4i 4/ 49 53 5 7
63 67 69 73 77 79
81 87 91 99 101 io3
IO7 IO9 117 119 121 129
1.37 i3g i43 i49 ï5i i53
i63 169 177 179 i83 187
197 199 2i3 221 227 239
249 231 289 267 271 277
281 283 287 289 291 307
1 55
1 56 = \\^<i'1
3io 1 3 9 i3 17 19 2.3 27 3 7 39 4.1 43
49 5i 53 57 5g 69 71 7.3 77 81 83 101
109 ni 117 121 123 127 129 i3i 137 i47 *49 *53
1)9 167 169 171 177 191 197 2o3 207 211 2i3 219
221 223 2.3i 243 247 249 26.3 277 281 289 299 3o3
3,4 1 3 9 11 i3 17
19 25 27 3i 33 3)
37 39 47 49 5l 57
67 71 7.5 81 89 93
99 101 100 107 m n31 1.5 117 121 127 i4i i^3
i45 1.47 i53
107 628 1 7 9 i3 i5 17 23 2.5 33 37 43 49
55 57 59 63 79 81 83 .87 89 91 9.3 9.5
101 io3 io5 107 109 1 1 3 117 119 121 i23 i3i i35
1 39 1 4 r i45 i5i i53 i55 159 161 i63 169 17.3 i-5
179 i83 191 193 195 197 201 2o5 207 209 211 2i3
219 221 223 225 227 23l 233 235 25l 255 257 25;)
265 271 277 281 289 291 297 299 3oi 3o5 307 3i3
317 3 19 325 333 335 34i 343 345 349 353 355 35g
36i 365 367 3 7 5 3 7g 38i 383 385 387 38g 3gi 3gg
4n 4 T 3 42 5 4 29 43g 44 1 443 447 45i 457 461 463
471 479 48 1 4^5 49 1 4g5 499 5oi 5o3 5i3 517 53i
543 55i 553 555 557 55g 56i 563 56 7 5 7 5 577 58
1
583 587 58g 5g3 5g7 5gg 601 607 60g 617 623 625
63a 1 7 9 11 i5 19
2J 29 37 39 47 49
5i 53 61 63 65 6 7
69 71 7 3 77 81 83
85 89 98 97 99 io3
io5 109 1 i5 121 123 127
129 i3i i33 i35 149 1 55
157 i63 i65 169 171 173
i 7 5 177 179 191 197 199
203 205 209 2l5 221 225
229 24l 257 25g 261 271
2 7 3 27 5 281 283 285 289
293 295 299 3o3 3 1 1 3i3
i.58 632 1 3 g 23 25 27 29 3i 35 37 43 49
53 55 5g 61 65 6g 7 3 7 5 77 81 85 87
89 9 1 93 g5 97 io5 107 10g 111 11g 121 129
i33 i3g i43 147 «49 *5i l ^l x 5g '^5 167 16g 173
177 i83 187 ig5 197 2o5 207 209 211 219 221 223
225 227 229 23i 235 23g 241 243 247 25i 255 257
261 263 267 273 27g 281 285 287 28g 2gi 2g3 307
3i3 3i5 32i 3a3 327 32g 33i 333 335 33 7 34g 355
35 7 36 1 363 367 3 7 3 379 383 38 7 3gg 4i5 4»7 4'9
429 431 433 439 441 443 447 45i 453 457 461 469
471 477 479 48 7 49 T 4g5 497 5oi 5o5 507 5og 5i5
5i 7 5ig 52g 53i 533 54g 56i 565 56g 575 58i 585
587 5gi 5g3 5gg 611 6i3 6i5 617 619 621 625 627
636 i 5 ii i3 19 25 i.59(suite p. 17)9
3i8 1 5 7 i3 23 25 35 3 7 /M 43 49 65
TABLE II. DIVISEURS LINEAIRES DES FORMES QUADRATIQUES. »79
S)-.z 1— Dy-.
D.
' *+*»,
> (^H'
X. 3Q X.
O O
636
S
=h 3i 3 7 4i 47 49 5.) i59 3.8 -+-7
1 83 91 97 ïoi 1 1 5 121 125 137 161 i63 167
5g 65 67 799'1 97
isuilc) 169 178 175 179 i85 187 191 199 2o5 209 211 :m 5
ioi io3 107 119 121 125 223 229 233 23g 241 245 25i 257 25g 263 271 287
127 1 3
1
«37 i3g i43 i5i 289 299 3oi 307
i55 161 169 i 7 3 i85 2o3
2o5 209 227 229 233 235
241 245 247 257 275 283
289 295 3oi 3n160 = 10« 2
322 1 5 9 n *$ 25 161 644 I 3 5 9 11 i5 17 25 27 29 3 1 33
29 33 39 45 61 7 1 43 45 47 $1 55 ^9 ^i 67 75 79 81 85
81 83 85 89 93 9 5 87 89 g3 97 99 107 121 i2J 129 i3i i35 i3g
: 97 io3 III 1 2 1 123 I2D »4i i45 i53 i55 157 i65 167 169 177 181 i85 187
I27
I >g »4i 1^3 i45 l5l J 9 r 193 197 201 2i5 223 225 229 233 235 237 241
i 53 i5 7 ,59 *43
293
359
43i
493
247 255 261 263 267 271 275 277 279 289 291
295 297 3o5 307 3n 3i3 317 3ig 32 1 335 34
1
36i 363 375 379 387 393 3g5 l\ob 4 «7 4 2 3 4 2^
433 435 ^3g 445 44g 45g 465 4 7 i 4 73 481 485
4g"> 5oi 507 517 52i 527 53i 533 535 541 543
-
l6j : = l(f
S49 56 i 571 573 5 7g 587 5gi 6o3 6o5 607 6ï5 63i
65 2 1 3 7 9 « «9 i63 3>() 1 g i5 21 25 33 35 3g 4 1 43 47 4g
21 23 25 27 3i 33 5i 53 55 57 61 65 6g 71 77 81 83 85
4* 49 53 5 7 09 61 87 gi g3 g5 g7 11 1 n3 n5 ng 121 i3i i33
63 65 67 69 75 77 i35 i43 i45 i5i i55 161 167 16g 17.) 177 179 i85
79 8l 85 93 97 99 187 189 197 igg 201 2o3 20g 217 21g 221 223 225
io3 107 n3 121 123 127 227 237 247 25i 2j3 259 263 267 281 28g 2g5 2g7
i33 139 145 i47 i5g 161 299 3o3 307 3og 3i3 3 1 5 3 19 32i 323
169 171 i 7 3 i 75 177 i83
i85 189 19 1 *& «97 201
207 209 211 2i5 217 221
225 23l 235 237 239 243
2 53 255 271 2 7 5 279 281
283 287 289 291 297 309
3it 3i3 321
164 = 4ia-
33o 1 7 i3 23 >9 3i 1 65 660 1 i3 ig ag 41 ',9 53 5g 67 71 73 7g4i 43 47 49 53 73 83 ioi io3 107 n3 ng 137 i3g 1 49 J 5i *6i l() 3
91 IOI 1 12 127 l3l i3 7 i0- 169 179 181 191 ig3 an 217 2 >3 227 22g. 247
«49 lGl
isuiie p. 180)
201
537
f&7
257 25g 263 271 277 281 28g 3oi 3n 3 j 7 02g
347 353 36i 367 373 377 3gi 4*9 4 21 42 7 43g
461 463 487 5o3 527 52g 533 55i 563 56g 571
l8o TABLE II. — DIVISEURS I INEAIRES DES FORMES QUADRATIQUES.
(?H *r-D.
a,-;.!*., (=£)*..
.
W wJ
57. a X.o
33o
s
i65 (suite) 660 +599 6i3 617 623 629 687 6^3 653
664 ± i 3 5 9 ii i3
i5 17 25 27 33 39
4i 45 47 49 5i 53
55 5g 65 71 75 79
81 85 99 101 io3 n3117 121 i23 i25 i3i 1 33
i35 i4i i43 i47 *4-9 J 53
157 159 161 i65 169 177
166 664 1 5 7 9 i3 17 19 23 25 3i 33 35
4i 43 45 49 53 63 65 67 81 85 87 91
95 101 107 ni n3 n5 117 119 121 125 127 1 33
i3g 141 i49 *5i i53 i55 157 161 i63 i65 167 169
171 175 177 179 181 i83 191 193 199 2o5 207 211
2i3 2i5 217-219 221 225 23i 237 241 245 247 25l
265 267 269 279 283 287 289 291 297 299 3oi 307
3o9 3x3 3i5 3i 9 3 2 3 3*25 3j 7 33i 335 343 347 353
181 187 193 195 203 205 359 36i 369 371 379 383 387 389 3gi 3g3 4oi 4°3
2l3 217 221 223 225 227 4o5 407 4°9 4 11 4 21 4 2 5 4 29 43i 435 437 44 » 4^5
235 237 239 241 243 2/(5 461 463 467 469 473 475 479 49 1 5o5 517 519 52i
255 259 263 265 269 271 527 529 533 535.54i 555 559 56i 565 567 571 575
275 289 295 297 3oi 3o3 585 587 589 5gi 5g3 5g5 6o3 6o5 607 609 61 3 617
309 3n 3i3 325 625 627 635 63 7 643 649 6$3 661
668 1 9 i5 21 23 25
29 33 35 39 43 49
5i 55 57 ôg 61 6b
67 71 77 79 81 83
85 89 9 t 9 3 95 97
io3 111 119 121 i23 i3i
1 33 i35 187 i3g i4* i43
1 5 1 i55 107 i5ç) i63 169
173 181 i85 187 189 2o5
207 209 217 219 221 225
227 229 233 235 247 259
261 265 271 281 287 289
293 297 3o3 307 3i5 317
32i 323 327 329 33i
167
168 = 42 a-
169 = a?
334 1 3 7 9 il 19 21 25 27 29 3i 33
47 49 57 61 63 65 75 77 81 85 87 89
9 3 97 99 107 n5 121 127 i33 i3 7 i_4« 147 ^7169 171 173 175 179 181 i83 i85 189 191 195 199
2o3 2o5 209 211 2i5 217 221 223 225 229 23l 233
23g 243 25i 255 261 263 >65 267 275 279 281 283
289 291 2g3 2g5 297 299 3n 317 3ig 32i 029
68o 1 7 9 11 i3 23
29 43 49 53 57 61
63 67 7 3 77 81 83
89 9 1 9 3 97 99 109
m 11 3 117 121 i23 i3i
139 i4i i43 i5i 157 161
167 169 177 181 191 193
2o3 207 211 2i3 233 237
239 253 261 269 271 281
2g3 299 3oi 3o3 307 3og
3i3 319 32i 337
170 680 1 3 9 i3 19 27 29 3i 39 47 49 53
07 59 61 71 7 3 77 79 81 87 89 g3 97
io3 107 109 n3 117 121 127 1 4 » i4t ^7 l ^9 I ^ 1
i63 169 171 177 179 181 i83 193 199 2i3 219 223
227 23i 233 237 243 247 25i 253 259 261 263 267
269 279 281 283 287 291 293 3oi 309 3n 3i3 32i
327 33 1 33 7 33y 34^ 35i 36i 363 3 7 3 377 38i 383
4o3 407 4°9 4 2 3 43i 439 44 1 4^i 4^3 4% 47 l 473
477 479 4$3 489 49 T 5°7 5i3 529 53i 537 54i 543
5'|7 549 55i 557 569 579 58i 589 597 611 6i3 617
637 63g 643 647 65 7 659 669 67 3
TABLE 11. — DIVISEURS LINEAIRES DES FORMES QUADRATIQUES. l8l
§) = **-»>
346
696
354
712
1 9
25 29
i3 i5 21 23
3i 33 35 3 7
4i 43 47 49 5i 55
5 7 67 73 77 81 83
85 89 g5 109 n3 117
119 121 i33 i35 137 139
149 i5i 157 159 i63 167
169
1 5 11 17 23 25
3i 37 4 1 49 °3 55
67 71 79 85 89 91
n3 n5 121 125 127 i3i
i33 137 j3g 149 i55 157
167 169 173 i85 187 197
2o3 2o5 229 239 241 245
247 25i 253 265 271 275
283 289 3oi 3o5 3i3 329
335 34
1
47
85
i3i
161
19
77 791 1 3 121
23 25
49 65
89 101
i33 139 i45 149
i63 169 173 175
71 = iga-
72 = fia 1
i 7 3
'74
173
176 1 d'
Dr2,
692
696
127
i55
1 3 9 i3 17 19
25 27 29 35 37 39
43 47 49 °i 55 57
178
(suite p. 182)
708
- 1 3
3 7 39
81 85
117 121
169 171
219 223
257 25g
297 3o5
339 343
397 399
45 1 465
5og 5n553 557
6?5 627
669 67 5
1 5
53 59
i25 i33
i85 191
245 253
3n 3i3
4o3 4*3
47 5 47958i 587
665 673
7
4i
87
[23
9
49
89
127
i 7 5 177
225 229
26l 265
307 3i3
345 35i
401 4°7
4-1 475
5i3 525
563 567
63 1 63 7
677 687
7 J 7
61 83
i3 7 i43
«97 *99
259 263
3i3 329
4i5 419
487 5o3
5g5 599
683 685
11 i3
5 7 59
9 1 99i3i i33
189 191
23i 233
267 269
317 3ig
36 1 363
4n 413
48i 485
527 529
57 3 587
639 641
19 21
63 71
io3 107
i3 7 i43
r97 ?99~
235 237
271 27 3
321 325
369 377
4i5 429
487 491
53 1 533
591 595
645 647
«9
85
2 5 35
89 95
149 i5t i57
205 211 2l5
265 287 28g
33i 34i 343
421 4 2 ^ 4 2 7
5og 5i5 529
6o5 617 619
25 27
7 3 7 5
109 mi47 149
2o3 209
239 243
275 283
32 7 333
38 1 38g
439 44<
497 499
539 54i
597 599
649 655
37 4 1 43
io3 107 n3i63 169 173
223 227 229
295 299 3oi
347 35g 36i
43g 445 449
535 54t 55 7
623 625 629
29 33
77 79
n3 n5i55 i57
2l3 2l5
247 255
287 289
335 33 7
3gi 393
443 447
5o5 507
547 55i
609 623
657 661
47
"!)
i 7 5
49121
179
235 241
3o5 307
3 7 i 379
45 7 463
565 569
63i 641
I 25 3r 35 43 49 55 65 67 71 77 85
89 9 1 95 IOI io3 107 n3 n5 "9 121 i33 i43
145 '49 i5i 161 167 169 i 7 3 181 i85 187 193 203
205 209 211 221 233 235 239 241 247 25l 2 53 25g
263 265 269 2 77 283 287 289 299 3o5 3n 3ig 32 3
329 353 359 36
1
365 367 371 3 7 3 3 77 383 3gi 395
4o 1 407 4x5 427 433 437 45i 463 479 48i 485 49 ï
493 5og 5n 5i 7 529 533 545 55i 553 569 5 7 i 577
58i 583 599 611 625 629 635 647 655 661 667 671
679 685 689 691 695 697 701 7o3
1 7 9 1 r i3 i5 l l 23 25 29 3i 37
49 57 61 63 67 73 77 81 9 1 95 97 99
IOI io3 io5 107 117 "9 121 123 127 129 i3i i35
i8>. DIVISEURS LINEAIRES DES FORMES QUADRATIQUES.
3
@ = s'-D^
D.
J
.+ IV , (-^) = ..
OO
712 ± 59 61 71 7 3 7 5 77 178
a
712 4-i3g i 4 1 i43 i4o i5i 1 53 159 161 1 65 169 175 177
79 81 83 87 97 101 (suite, 179 181 187 191 195 197 2o3 2o5 207 2i3 2i5 217
io5 m n5 117 121 129 221 225 227 229 233 235 237 239 249 25i 253 255
i4t 147 i49 J 53 i55 161 257 259 261 ?.65 275 279 283 289 293 295 299 307
i63 i65 167 169 171 177 3i 9 3 2 5 32 7 33i 333 339 34* 343 345 34 7 349 355
181 i83 i97 *99 2o5 211 359 36 1 3 7 5 377 383 389 39 i 3g5 397 399 401 4o3
2l3 217 219 221 223 225 407 '409 4 1 ' 4*5 421 4 2 5 427 43i 435 439 44 1 443
229 23i 233 237 243 24 7 449 465 4G 7 4^9 47 1 48i 489 493 5oi 5o3 5n 5i3
249 253 257 261 263 265 5 19 523 527 529 539 5^i 545 549 555 557 565 567
271 287 289 291 293 3o3 575 579 587 597 599 601 6o3 619 625 627 629 633
3n 3i5 3 2 3 325 333 335 63 7 6{i 643 64 7 653 65 7 65g 661 665 667 669 671
34! 345 349 35
1
673 677 679 685 691 693 707 709
716 1 5 7 9 11 .3 179 3.r)S 1 3 5 9 i3 iô 17 19 25 27 29 3
1
I 7 23 l'y 29 35 45 39 43 45 4 7 49 5i 5 7 59 61 65 67 7 5
49 55 5 7 61 63 65 77 81 83 85 87 89 93 95 101 107 117 121
7 1 77 79 8l 85 89 1 î5 129 1 35 i3g i4i i4^ "47 *49 I ^ 1 J 53 i55 161
9 1 93 99 10 1 io3 1 1
1
169 171 173 177 i83 191 193 195 199 201 2i5 221
i.5 117 119 121 12 3 125 2 >5 227 23i 235 239 243 245 247 249 253 255 25g
127 129 i3i i/|i i43 i45 261 267 279 285 289 289 295 3o3 3o5 317 32i 323
*49 i53 159 161 i63 167 .'»>5 335 33 7 347 35i
169 173 175 177 187 ic,3
201 2o3 207 211 219 221
223 225 2J5 249 25
1
253
26l 263 271 2 7 5 283 285
289 291 299 3o5 307 3nt
3i5 317 3ig 32i 3î5 32 7
33i 33 7 339 343 355
180 = 5« 2
36a 1 3 5 9 11 i3 181 724 1 5 7 9 i3 19 23 25 29 3i 33 35
i5 25 27 29 33 37 3 7 45 4 7 4 9 5i 63 65 71 7 3 81 83 91
39 43 45 49 55 59 95 101 io3 107 n5 117 i2! i23 125 127 129 1 3 1
65 67 7 3 7 5 79 81 i33 137 i45 i5i i55 159 161 i63 i65 169 171 175
87 99 I01 lir J1 7 "9 177 179 i83 i85 187 191 193 197 199 201 2o3 207
121 125 129 i33 i35 i3 7 211 217 225 229 23i 233 235 237 239 241 245 247
i3q i43 i45 147 161 i65 255 259 261 267 271 279 281 289 291 297 299 3n
,67 169 177
(suite p. 183)
3i3 3i5 3i 7 325 327 329 33 1 333 33 7 33g 343 34g
353 355 359 36i 365 373 3 77 379 383 389 4oi 4<>3
4o5 4i5 417 4^9 421 423 429 43i 437 4 39 44 1 447
449 45ï 455 4% 49 1 467 4? 1 473 ki^ 48i 497 Soi
5o3 5o5 5og 5n 5 c5 5ig 529 535 55 1 557 067 571
5 75 577 58i 583 585 58g 6o5 611 6i3 6i5 619 625
627 63 1 635 63 7 63g 645 6't7 64g 655 65 7 663 665
TABLE II DIVISEURS LINEAIRES DES FORMES QUADRATIQUES. IS'
(§H z"-— Dr 2
D.
,+ ,,,, (=^) = ,.
Oa:.
5GO
X.
36â 181 (suite) lA +667 669 671 681 683 685 697 703 707 709 713 719
728 ± 1 3 5 911 !.') 182 728 1 5 9 19 23 25 29 3i 33 4 1 43 45
a5 27 29 33 41 45 47 5i 53 59 73 79 81 83 89 95 97 107
53 55 67 71 7 3 75 ni n3 1 1 5 121 ia5 127 i45 i55 i65 167 171 179
81 87 89 97 99 io3 i83 187 191 201 ao5 207 211 2i3 2i5 223 225 227
1 i3 121 123 125 i3i i35 229 233 235 241 255 261 263 265 271 277 279 289
i39 i45 i5i i5g i63 i65 >()> 295 297 3o3 307 309 327 337 347 349 353 36i
199 201 2o5 2i3 219 225 365 369 373 383 387 389 393 395 397 4o5 407 4°9
229 233 239 241 243 25. 4n 4i5 417 423 437 443 445 447 453 45g 461 47'
261 265 267 2 7 5 277 283 475 477 479 4^5 4^9 49 1 5og ^19 ^ 2 9 53i 535 543
289 291 293 297 309 3n 5(7 55 1 555 565 56g 571 570 077 579 587 589 591
3ig 32 3 33i 335 337 339 593 597 599 6o5 619 625 627 629 635 641 643 653
349 353 355 359 36
1
363 657 659 661 667 671 673 691 701 711 713 717 725
732 1 7 i3 17 20 29 i83 366 1 11 i3 17 19 23 25 29 35 49 53 59
3i 43 47 49 53 55 71 73 89 97 101 io3 109 121 127 i43 i55 i63
67 7 3 79 83 89 9 1 169 173 i85 187 191 199 2o5 209 2x5 217 221 227
9^ 97 101 107 109 u5 229 233 235 241 247 2>i 253 259 271 275 281 283
119 121 i3i i.3g i5i 167 287 289 299 3oi 3n 3ig 323 325 329 335 359 36i
169 i 7 3 i 75 179 i85 203
200 209 21 1 217 221 22 3
229 2 33 239 241 253 263
281 289 29.3 Sot 307 3>5
Î2g 33i 343 34 7 355 36
1
184 ^ \( )n -
;-o 1 9 11 1 3 17 21 i85 7l<> 1 3 7 9 i3 17 19 ai 27 3i 3g 4 1
23 4i 43 49 57 7' 47 49 5i ^1 ^9 63 67 79 81 83 91 93
81 87 93 97 99 101 97 101 107 1 1 3 117 119 121 i23 127 1 3 1 1 33 i4i
io3 i 1
3
117 121 i33 i3g 147 149 i53 169 171 177 179 181 189 jgi ig3 199
141 143 149 i5i i53 I.')Q 201 217 221 223 229 237 23g 243 247 249 25i 257
i63 16- 169 177 181 18 3 263 269 273 277 279 287 289 291 3o3 307 3n 3 1
3
3u) 32i 323 329 33 i 339 3 43 34 9 35 1 353 35 7 36i
363 36 7 36g 38 1 393 3gg 4o3 4i3 423 43 1 43g 44
1
443 447 45 7 45g 46g 47 3 479 499 507 5og 5i3 5 2 i
527 52g 53i 533 537 543 553 557 567 573 577 57g
58 1 583 58g 097 601 6o3 611 63 1 637 64 1 65 1 653
661 663 667 669 671 679 687 697 707 711 717 729
ft 1 5 7 «3 17 23 186 744 1 5 11 i3 17 19 25 37 47 49 55 61
25 35 37 43 49 59 65 67 71 79 83 85 89 g5 97 101 121 iî5
61 65 85 89 91 97 127 137 i43 i4g i5i 161 i63 169 173 17g 181 i85
101 io3 107 1 1 5 119 121 187 igi ig3 igg 2o3 209 211 221 223 229 235 245
i25 i3i 137 i3g 149 161 247 25i 271 275 277 283 287 289 2g3 3oi 3o5 307
167 169 173 175 j8i i.85 (suite p. 18V) 3u 3i 7 323 325 335 34 7 353 355 35g 36 1 36 7 37 i
184 TABLE II. — DIVISEURS LINEAIRES DES FORMES QUADRATIQUES.
(
£3.T.
D.
Ph-D* (=J>) = ,.
X.O
744 ±193 209 2l5 221 227 229
239 245 25g 263 277 289
293 295 299 3oi 3o5 317
3i 9 325 33i 343 353 36.
186
O
744 -1-379 3g5 401 4°7 4*3 4'5 4-5 43i 445 449 4^3 vfi
47g 481 48 ^ 4 8 7 4g 1 5o3 5o5 5n 517 52g 53g 547
56g 577 587 5gg 6o5 611 61 3 625 62g 63i 635 687
641 653 667 671 685 6gi 701 703 70g 7-1 5 721 787
748 1 3 9 19 23 25
27 29 3i 35 4 1 43
49 53 57 61 65 69
71 7 3 75 81 83 87
89 91 93 io5 109 123
127 129 137 147 i5i 1.37
159 i63 169 171 173 i83
i85 193 195 197 199 207
2i3 219 225 229 233 235
239 241 243 249 257 259
261 263 267 271 278 277
279 295 307 3n 3i5 827
329 335 337 353 359 36i
36 7 369
,87
188 = 47 a'
189 = 21a'
374 1 7 9 i5 2.5 29 3g 4i 47 4g 53 57
5g 61 63 65 67 6g 73 7g 81 8g g3 g5
io3 io5 107 109 m n5 129 1 3 1 1 35 137 i3g i55
157 167 16g 173 175 17g i85 igi 19.3 197 2o3 211
2i3 2i5 223 225 227 229 233 241 247 249 25i 257
261 273 277 283 287 291 29g 3o3 32g 33 1 387 33g
343 347 35 r 353 355 36 1 36g 871
760 1 3 7 9 1 1 2
1
2 3 27 29 3i 33 47
49 63 67 69 71 77
79 8l 87 93 97 99
107 109 n3 119 121 i3i
109 t4i i47 ï5i i57 161
169 181 189 ig3 201 2o3
207 2i3 217 221 227 23l
237 243 25i 253 257 261
263 269 277 279 289 291
297 807 3 19 32i 327 329
337 339 34i 343 363 367
igo 760 1 9 21 29 33 39 |.i 4 g 5i 5g 6g 77
81 83 gi g3 g7 108 10g in u3 ng 121 i>3
127 141 i43 IJ7 i5g 161 i63 167 16g 17g 181 188
187 18g igi ig3 ig7 îgg 201 211 218 217 219 221
223 237 239 253 257 25g 261 267 26g 271 277 283
287 28g 2g7 2gg 3o3 3u 32i 32g 33i 337 34i 347
35i 35g 3 7 i 37g 383 38 7 3gi 3g3 3g7 4o3 407 4n
417 421 427 433 44' 443 447 45i 453 459 467 469
47g 481 48 7 497 5og 5n 517 5ig 527 52g 53 1 533
553 557 583 58 7 607 60g 611 6x3 621 623 62g 63i
643 653 65g 661 671 6 7 3 681 687 68g 6g3 6g 7 6gg
707 7 i3 719 723 72g 7 33 737 743 747 749 753 7 57
764 1 5 7 9 1 1 1
3
17 19 25 3i 35 45
47 49 55 63 65 69
71 77 81 83 85 87
9 1 95 97 99 109 111
117 119 121 123 125 127
129 i3i i33 i3g i43 i4p
i5i i53 i55 i5g 167 i6r
,71 t 7 3 177 179 i83 18-
19.3 ig7 201 20g 217 21c
'9' 382 1 3 5 g i3 i5 17 28 25 27 3g 43
45 4g 5i 5g 65 67 6g 75 77 7 g 81 85
g7 io3 107 10g n5 117 121 i25 12g i33 i35 147
i4g i53 i63 16g 177 ig3 195 197 199 201 2o3 207
209 211 2i5 217 221 223 >25 227 23i 237 23g 241
243 245 25 1 255 25g 263 26g 271 277 281 288 287
28g 291 2g3 2g5 2gg 3og 3n 3ig 821 325 327 32g
835 34i 345 34 7 34g 3.5 1 858 36i 363 871 8 75
TABLE II. — DIVISEURS LINÉAIRES DES FORMES QUADRATIQUES. l85
S)- Z-— Dy :
764
386
776
780
:22i 225 235 237 241 245
247 267 269 271 277 279
281 289 2 9 3 3o3 3o7 309
3i5 32i 323 325 329 33
1
339 34i 343 345 349 353
355 35g 36i 36 7 3; 9
1 3 7 9 21 23
25 27 3r 43 49 55
5g 63 65 67 69 75
81 83 85 93 95 9 ;
101 107 109 i2i i3i 137
1 39 i43 i45 147 i5i 1 55
157 161 i65 169 175 177
179 1S1 i85 187 189 191
1 5 9 i3
25 29 3i 33
4i 49 5i 5g
G9 73 77 79
89 g5 io3 io5
117 II9 121 123
1,3 1 1 09 i45 149
157 i5g 161 i65
171 i 73 179 181
187 189 191 193
225 2 35 241 245
253 255 261 273
287 289 2 95 297
3i3 3i 7 325 3-27
335 345 347 349
365 371 3-3 377
1 17 19 3i
43 47 49 53
77 83 89 97
D.
192 = 3a-
i 93
J 9 21
37 45
65 67
81 83
107 n3123 129
IJI i55
167 169
i83 i85
211 ai3
247 25l
277 2 79
3oi 3o3
33i 333
353 36
1
38
1
385
37 4i
61 7 3
io3 n3
2M-Djra— 1)
382
V-
77"
ig5 3g<
1 9 1 1 i5 ig 21 25 35 3g 47 49 :>l
65 69 71 79 81 85 87 91 93 97 99 101
io3 109 m n5 119 121 123 127 129 i35 137 i45
167 i5g 161 i63 i65 167 169 171 177 181 i83 i85
189 197 201 203 2o5 209 2i5 217 219 22 1 22.3 225
227 229 241 249 i5 1 257 259 263 >65 267 271 275
277 283 285 287 289 29 3 2g5 299 3oi 3o5 3o7 3i5
317 3>i 335 337 33g 347 35 1 36 1 365 367 3 7 i 375
377 385 389 391 3g3 399 4o3 409 4' 3 ii5 4*7 4^9
423 427 429 43.1 439 H' Ï43 i45 447 44g 453 459
461 463 4^9 47 » 48. 4gi 4g3 499 5o3 5i
1
517 5ig
5> 5 527.529 533 535 537 53g 54i 55g 56
i
565 57.3
577 58 1 585 5g3 •>97 ">99 617 619 621 6î3 620 629
63 t 633 63g 64
1
647 655 65g 665 667 677 683 68g
6g5 697 699 705 709 711 7 l3 7,:
> 7*7 7*9 : '7 in7 3i 735 739 711 7.3 7'i> 7 19 7
:>>7
:>9 7G5 7G 7 7
69
x 3 5 7 9 JI i.i i5 -1 -. 80 27
29 33 35 37 39 43 45 ^9 55 63 65 69
71 73 7
:> 77 81 87 8g 91 gg io5 111 1 1
3
1 1 5 117 121 125 127 12g 1 35 i4> i\~> 147 i4g i5 7
161 i63 i65 16g 173 175 181 1 8.5 18g ig3 195 J 99
2o3 207 2l3 2l5 2ig 223 > •.") » 27 >3i 2.3g 241 243
2 4 5 2 53 25g 261 263 267 2 7 [ 2 73 275 2 77 2.83 289
297 2 99 3o1 3o7 3n 3i3 3i5 3i 7 3ig 323 325 333
33g 343 345 34g 35 1 353 355 35g 36 1 363 365 367
373 375 377 379 38 1 383 385 387 ',o5 407 4 «9 429
435 43g 44 1 445 447 44g 4: 48i 483
48g 4g 1 4g5 497 5ot 5n 5ig 5>i 5>5 527 529 53g
54i 543 547 555 55g 565 567 571 575 579 585 58g
5g3 5g7 5gg 6o5 60g 617 621 62.3 620 635 63 7 63g
643 645 653 65 7 667 669 67.3 6 75 681 683 6g 1 6g3
G97 70g 7 i5 717 71g 72 3 72.5 729 7.').')7 45 7.J7 7og
1 7 11 17 23 3 7 41 4 g 53 5 g 61 67
7 1 73 77 79 *9 97 107 11 3 11g 121 i3g 149
161 i63 173 181 ,87 i 93 igg 211 2 2.3 233 2 3g 253
i86 TARLE Iï. — DIVISEURS LINEAIRES DES FORMES QUADRATIQUES
" ©==-Ii y:— l)y\
D.
h=B**: (-T
2
) ':
X. X.c
780
s
±121 127 i3i i4g i5i 161 ig5 3go -4-257 >5g 263 281 287 289 3o7 3',3 347 35g 36i 37
i
167 173 179 181 191 193
203 227 233 25i 253 257
271 281 283 289 3n àig
3 2 3 33 1 36 1 36 7 379 383
196 = a 1
394 1 7 9 i5 19 23 »97 788 1 3 9 11 25 27 29 3i 33 35 37 4 1
2 5 29 33 37 3g 4' 4g 53 61 65 6- 71 7 5 79 81 85 87 91
43 47 4gr>i r>
3 55 g3 g5 97 99 101 io3 io5 109 in u5 119 121
r»f)
61 63 65 81 83 123 i3i i33 i37 i3g i4 7 i5i i5 7 i5g 161 167 16g
85 93 97 10 1 io5 107 173 179 181 i83 ig3 ig5 igi 201 211 2i3 2i5 221
109 121 r>7 i33 i35 i37 225 227 233 235 237 243 247 255 257 261 263 271
i43 r55 157 161 i63 169 273 27") 279 >83 285 28g 2gi 2g3 2g5 2g7 2gg 3oi
*7! 173 175 181 187 191 3o3 3o 7 3og 3i3 3i5 3ig 323 32 7 32g 333 34i 3^5
i 9 3
198 = 22 a 2
353 35 7 35g 36 1 363 365 367 36g 383 385 3g 1 3g3
3gg 401 4°7 4og 4 11 4 «3 4i5 4» 7 433 437 43g 44 f
445 449 45i 453 45 7 463 467 47 i 477 4^3 5oi 507
5n 5ig 52i 523 5 2g 535 537 53g 543 54 7 54g 55 7
55g 565 56g 571 5jg 58i 583 585 5g7 5gg 601 6o3
611 6i3 617 623 625 633 635 63g 643 6',5 64 7 653
65g 661 663 671 675 681 6gg 705 711 715 71g 725
72g 7 3i 7 33 7 37 741 7 43 745 74g 765 7G7 769 77'
77 3 775 781 783
7!i (i 1 3 5g 11 i3 '99 3y8 1 5 7 g i3 23 25 2g 3i 33 35 43
i5 19 25 27 29 33 45 47 4g 5i 53 57 61 63 65 7g^ 81 89
39 45 4g 53 55 57 91 io3 m n5 117 121 i23 i25 i3i i3g i45 i5i
•
r>9 61 65 67 71 7") i55 157 161 i65 16g 175 177 187 ig3 201 2o3 207
81 83 87 89 95 9-9 20g 2i3 2i5 217 21g 225 227 23i 235 23g 245 249
107 117 1 ig 121 i25 127 :>5i 255 261 263 265 269 271 279 285 289 291 2g3
i35 i43 i45 147 1 57 i5g 297 2gg 3oi 3o3 3o5 3og 3u 3i3 3i5 32 1 323 325
161 i63 i65 167 169 171 327 3 2g 33 1 33g 343 357 359 36 1 377 379 38 1 383
i 77 179 i83 191 i 9 3 ig5 38 7 3g5
201 209 211 2l3 217 223
225 243 245 247 24g 259
261 265 267 26g 275 283
2*85 287 28g 293 295 297
3oi 3o5 307 3og 3i3 3ig
32 1 325 329 335 3'17 35
1
355 357 36 1 363 36 7 3;5
••77 38 1 3g 1
000 = 2 a 1
TABLE III. — FORMES LINEAIRES. 1*7
III. — Valeurs (mod. -i'1) de a, b, x et y dans a- 4- ô 2 = ./
?—_/
2 = N.
N. (7 OU 6. X. N. a c
Ik-h 2«± 2 a : 4 /. -+- 250/. + 04«±
! j r 3 1 25
3 -1 9
»7
25
1
1
1
310/
+
8tf=b 8«± 10/. +33
4>j T 1 i5 5
3
5 ;
2
3
i3
1
1
49
5 7
1
7
10
7- 0/, 9
65/
9 3 3 7 73 2 1
11 - 2 5 81 3i
i3 3 1 3 «9 29
i5 - 0, '1 1 97
io5
n3
9
32 /,— 16fl± 10" 32 k -+- i5
1 a 1 '9
5 1 3 2 712g 2 5
i3
2 \
3
5
*9
1
1
i3 7
i45
2 9 5 1 3 1 53
161
169
3
64 k - 32«± 3ïa± 64 k-+- 5
«77
i85
,_
, '5 7 1, 9 63
9 3,n 3, 5 55i 9 3 7
17
25
*> 9
3, 5
9> l5
5, i3
47
:; 9
201
209 3
1
33 9i*5 7 ,i5 3i 217 2 9
4i
49
57
5, i3
7 ,i5
11
, i3
11, ,3
»i 7
3,ii
23 22D
233
24l
249
9
2 7
i5
*9
y N
128o
i,3i
3,35
23,55
5,27
1 5 ,1
7
45, 5i
7> 39
43,53
i,33
3,29
9^3
5,37
»7>49
1 9 , 5
1
7,25
11 ,43
33,03
29,61
9.4»
37j 59
47-49
1 3 , 1 g
25,57.
11,21
3., 63
35,6i
\ ' -55
2 7> 59
i5,47
i3,45
39,57
2 1 ,53
04*
2
1
3i
2 9
9
2~
1
5
'9
>."»
1
3
23
5
X.
__
128«± 250/. +
1 ,33 l>55
3,29 247
9,23 239
5,37 23 I
'7,49 223
ig,5i 2 1 5
7,25 207
n,45 <99
33,63 M) 1
29,61 i83
9 5 4» 176
3 7> 59 1O7
47-49 159
i3, 19 i5i
25,57 1 ,3
11,21 i35
3i.63 127
35,61
41,55
27,59
»ô,47
1 3 , 45
3 9 ,
5
7
2i,53
1 , 3
1
3 , 35
2 3,55
5,27
15,17
45, 5i
7,39
43,53
9J
87
79
71
G 3
55
\~
3!)
3i
23
i5
7
i88 TABLE III. — FORMES LINEAIRES.
III. — Valeurs (mod. a») de a, b, x et / dans a--+-b-=x~—
j
2=N (suite).
N. « O u 6.
+1 \\
X
+1
N. a , b.
+1-FI
X
+1++1 +1 \ +
+J II +A!
e « 8 e S "^ -< ~ e « B e e •4s
c-t «* CD c-< >.—
1
c-t r~, c> «* c< Vf 0* 0*o <X> LO CO LO O co et lO
5 93
IT3
I 25 3i 1,127 23 33 1,129 ,023 393 II 29 67,195 61,67 63
1
9 ] I 93 3,i3i 5 99 3, i25 ,oi5 /|0, I 119 87,2,5 17 55 4', 87 6:>3
T 7 I 55 io5,233 '7 9 i5i,233 1007 4o9 3 37 59,, 87 i3 ,01 >9>69 6i525 3 101 5,123 i3 9 1 5,i33 999 4^7 23 49 47,8i 7 i,3 81,209 60733 23 n3 1,1,239 7 79 17,1,1 99' 420 5 !9 ,3,, 4, 2, 45 ,41,243 5994' 5 45 77,205 21 109 179,205 983 433 i 7 100 57,i85 3» 39 185,199 591
49•Il
39 7, '35 3i 25 7,121 97° 44, ,3 a 21,, 0797j ,2253o, g3
29 75 2,,, 49 5835 7 7
5 43,85 2 9 n 85,2i3 9«7 449 .7 9 , ,59 ,225
93,221,83,20,
5 7 5
65 7 1 33,95 9 65 33, 1 61 9°9 45 7 673
3 56773 2
1
3 29,167 27 61 167,227 95, 465 3, 87 73,20, 23 5598i 3i 23 9^ 1J 9 1 > 4' 9> l37 943 4 7 3 29 59 ,55,229 »9 5 27,155 55
1
89 29 5 9! 52I 9 19 69 3,7, T 9' 935 48, 9 81 , 5 , , 1
3
25 , 11 1 1 3, 24
1
>43
97 9 inJ9 ,207 2 5 47 49,79
•9^47927 489 27 1 ,5 ,.3,2,,
39, 167
21 5, 83,2i, 535IOJ 2 7 5i 1
1
i3 9'9 497 ,5 71 1 7 39,89 527
n3 i5
âi53,23i 1 5; io3,23, 9" 5o5 M) 2, 75, 203 3 85 53,75 5 19
121 '9 n,i39 3 107 11,1,7 9°3 5,3 25 3i ,29,255 23 33 127,255 5n129 25 33 63,65 23 97 65,193 895 52, , 1 93 , 25 , 253 5 99 ,3 ,,253 5o3i3 7 11 99 189,
,
95 5 35 67,195 887 52g 1 55 23, 131
n9 23, io5 495
,4.» 1 9 169, 2 i5 T 7 73 87,2,5 8/9 53 7 3 ,01 i33,25i 91 123,25, 487i53 3 9 1 1^7,197 i3 2 7 59 , ,87 87" 545 2 3 ,,3 i7,,45 7 79 145,239 479161 23 79 47> x 7 5 /
i5 47,8i 863 553 5 45 5l'
I 79121,249
21 ,09 5l ,77i35,249
47'169 5 109 i3,ii5 21 83 ,3,i4. 855 56
1
*7 39 3i 25 463
180n 25 57,71 3i
lï57,185 «47 569 ,3 7 5 171,2,3 29 1
1
43,171 455i3 1
1
107,235 2 9 21,10797,225
839 577 7 , 101 ,223 9 65 95,223 447i 9 3 1
65 3 1,97 9 ,27 83i 58o 2, 3 99, 22 7 36, 29,99 459
201 21 61 35, ,63 27 125 35, 9 3 823 5g3 3, 23 137,247 4i •'9,247 43
1
209 3. 4i 55,73 i5 io5 73,201105,229
8i5 601 2 9 5 37, ,65 l9 49 165,219 423
iii29 69 101 ,229 T 9 123 807 609 9 m 49,i77 25 \l 177,207 4i5
9 47 i5, i43 2 5 '7 1 5 , 1 1
3
799 617625 3
5i 19*109 11 ,3 ,(>9,23 7
25, ,53407
2 33 2
l10
i3 45,173 21 77 173,211 79' 125, io3 1 5
7 399241 5 7 ,67,217 1 121 3g,i6-
75,200783 633 J 9 85 117,245 3 107 ,39,245 391
2 49 x 9 107 i8t,2o3 3 43 775767
64i 25 33 191,193 23
\\63 ,
193 383
^ 25 97 I , I2C) 23 9J 129,255 649 n 99 61,67 5 61, 189 3 75
265 1
1
35 3,i25 5 2 9 125,233 7 59 65 7 , 9 41,87;j
-3 41,169 367
273281
1 73 i5i,233 l lJI 9 23, i5i 7 5, 665 3 9 1 59,69
n69, '97 359
3 27 5,i33 i3 & I 33, 231 743 673 23 79 8, ,2oq 7 175,209 35i
289 2 3 i5 17,111 7 49 17,145 7 35 681 5 109 14,, 243 2, 83 n5,243 3432 973o5
5 83 179,205 2
1
a 51,179121,249
727 689%
25 '85,199 3, 89 7 I,I 99 335
\l
89 7,121 3i 7'9 6977o5
1
1
21,1^9 29 53 i49,235 3273i3 53 85, 21
3
29 117 171 ,2l3 71, 7 65 i5g,225 9 ,27,20
3i,i59 3,9321 7 127 33,i6i 9 63 161,223 703 7,3 2, 6, 93,221 2i
i5
l63,22l 3u329 21 125 167,227 27 67 99> 22 7 6q5 72, 3, 4i i83,2o, io5 55,1 83 3o3
33 7 3i io5 9^37 i5 87 137,247 687 7 2 9 29 69 27, ,55 ! 9 123 27, 101 295
287345 2 9 123 37,91 J 9 59 37, i65 679 7 3 7 9 SIl3,24l 25 »7 ,43,241
353 9 l l 49 ,79 25 81 49, '77 671 745 27
83,2n 2, 77 45,83 2 7936
1
27 il 19,147 1
1
u5 19, 109 663 753 i5 57 39, 8q 1 121 ^9,21726336q i5 121 io3,23i 1 7 1 25, io3 655 761 J 9 io7 53,75 3 43 53,i8i
377 !9 43 11,117 3 2
1
117,245 647 769 25 97 127,255 23 9> 1,127 255
385 2 3 9.5 65,193 23 3, ,91 ,243 639 777 1
1
35 i3i,253 5 29 3,i3j 247
V N y N
TABLE III. — FORMES LINEAIRES. 89
I. — Valeurs (mod. 2") de a, b, x et y dans <? 2 4- b- = x-— j2 = N {suite),
N.
+1
«2 ou b. X N. a ou b. X.
+ +1 +! +| +! +1 + ++1 +1 +1 +1 +] fl +
«4se
CD et8 «si* e et e
e*
><
O <o c< iO et
T, 9
iO O ~ et iO CV iO
785 I 73 23,io5 *1 io5,233 239 9o5 1
1
29 61,189 5 93 189,195 **9
79 J 3
3123, 25l 10 37 5,i23 23l 9i3 1 "9 41,169
10
55 1 69 ,
2
I 5 1 11
801 23 i45, 239 7 49 111,239 223 93 1 3 h 69>ï97 101 187,197 io3
809 5 83 5l >77 21 19 77,200 2l5 9 29 a 3 49 175,209 7 u3 47, 17 5 058i 7825 11
89 i35,249 3i io3 7, i35 207 <fil 5 *9 n5,243 21 45 i3, n5 8753 43,i7i 29 "3 43,85 »99 945 17 io3 7 I
>I 99 3i 39 57>7* 79
833 7 127 95,223 9 33, 9 5 I9 1 953 1.' 117 149,235 29 73 107,205 7'
84, 21 125 29>99 21
10
67 29,167 i83 961 7 63 3i, 159 9 1 3i,97 63
84q 3i io5 119,247 «7 9, JI 9 i 7 5 9% 2
1
«7 1 63, 221 27 3 35,i63 55
867 29 123 165,219 if) 59 Q I , 2 1 9 167 9x73i 87 55,i83 i5 23 55,73 47
865 9 T 7 177,207 25 81 79,207i4t, 2 3
7i53,23i
,59 2q 59 27,101i43,24i
'Â5 101 ,229 39
8 7 3
i577 109,237
25, iob
1
1
n5 i5i 993 * 81 111 i5,i43 3i
88. 121 1 7 i i43 1001 0- n5 4^,83 21 5i 45,i73 23
889 !9 43 i39,345 2
1
11 , 139 i35 1009 i5 7» 89,217 1 7 167,217 i5
«97 20 9^ 63 , 193 3.
H
3. 63,65 127 1017 M 21 53,i8i 85 181 ,203 7
y N y N
IV. a ou 6. X.
T+| +1 M _L|
\\ +1 M +1 +~< B « e B a h^j
C -5J" 00 Q -^ GOet et T CiO O O O
•01 ,a< et et
1 25 3i 127 i,5n 23 33 129 i,5i3 4oc)5
267 25 97 I 129,383 23 93 207 129,641 38395i3 a5 3i 129 255,257 23 33 385 257,769
385,897
3583
769 2.) 97 207 127, 385 23 95 5n 33271025 20 3i 385 1 ,5i3 23 33 383 5i3, 1023 3071I28l 25 97 5n 129,641 23 95 255 641,895 28i5i53t
1793
25 3Î 383 257,769 23 33 127 767,769639,897
255g20
1?255 385,897 23 93 1 23o3
2049 20 127 5i3, io23 23 33 129 5ll ,T03.3 2047»3o5 25 97 1 64 1,
8
95 23 9 :> 257 383,895 Ï79 1
2661 25 3i 129 767,769 23 33 385 255,767 i535
2817 25 97 257 639,«97 ,
23 9^ 5n 127,639 12793o73 25 01 385 5n ,102.3 23 33 383 1,011 1023
3329 25 97 5ix 383, 895
255,767
20 q5 20 139,383 7673585 20 3i 383 23 33 127 305,257 5n384 l 20 97 200 127,639 23 95 1 137, 385 255
SiN est de la forme 8
A
-
-+- 1, «, 6 et a; peu\
y N
rent être limités à 2 cas sur 64, 2 sur 256, 2 sur
1024 elc ., soit à la limite à 1 cas sur 24. Il en est de même de y pour IS =2 7 (mod. 8).
'0° TABLE III. FORMES LINEAIRES.
ni. — Valeur (mod. p) de a, b, x,y, z, t
dans « 2 + & 2 = .z 2 — jk2 = ^ 2+ >v* 2 -+- 1 1 -h nvî = N.
r désigne un résidu quelconque el n un non-résidu (mod. p).
a. b, z. x, t.
3 /. 3Ar±3k
8i*-+- i
4
710
i3
16
*922
25
283i
4o
4346
49. 52
555861
6467
576
79
9 k -+- 1 3 À +0 9'± 1 .s
4 2 - 5
7 4_ ,2-4- 9 A"
27*-+- 1 3 /.• -h 27Ait 1.8 26
4 2,11 - 2 3
7 4,i3,
20
10 8,10
21 .! 7,"4,5
-
16 - 1
1
*9 I , 10 - 8
22 2 i7- 5
25 5,i3 ~~ 2 -f- 57/.
3/.' + o. 277f± 8,81 k± 1 80
410
7
i3
3516
-
11
5 4- 65
1 10 - 62
2 34 - °9i3 - 568 26 - 53
1
1
2 9- 5o
4 1.4- 47
4410 19 -
71
1
23 :4i
381 l l
- 35
2 i - 32
i3 32 - 2 98 28 - 26
IT 25 ~ 23
•'4 40 - 20to
7
8
38
_
:?5 3i -
1
1
1 37 - 8
2 20 - 5
i3 22 - 2 + 81Â-
y N
TAULE III. — FORMES LINEAIRES. 191
III. — Valeur (mod. p) de a, b, .r, y, z, t
dans a 2 h- b-= ./- — y-= - 2 -H r/t 2 = £ 2 -h «t' 2 = N (suite).
r désigne un résidu quelconque et n un non-résidu (mod. p).
N. a, b, x, c. £.
5A--+- 1 3 /, ± I 2 42 1 6,2 3
3 2 0, I 2
4 2 I 1 -h bk
25A+ 1 5 A: -ho • 25 k ± 1 5 /. -h 2 *4
4 . 2 1
6 9 2 *9
9 3 1 16
6 2 <4
II 8 1 1
1
16 4 2 9J 9 1 2 1 62
1
1
1
2 4
4 «> 7 1 I -H 20 A
J2Ô/i -H 1 bk -H i> 3/. ±: 1 49 5i 2 ,24
4 2 j3 27 1 I I I
6 lê 34 593 22 2§
2 ,J 99 1 116
6 19 56 2 i! 4r4 17 42 58 1 1 1
1
16 4 46 54 2 109T 9 12 i3 37 1 10621 1 1 36 3q 2 i<>4
24 7 32 57 1 10126 1 26 49 2 99^9 2 2 3 48 1 963i 16 34 41 2 9434 3 28 53 1
%36 6 44 56 2
% 8 17 42 1 864i 4 21 54 2 8444 ii i3 38 1 81
46 i'4 36 3q 2
H49 7 18 32 1
di 24 26 49 2 7454 2 3 48 52 1 7 1
56 9 34 41 2 6959 28 47 53 1 6661 6 3i 44 2 6464 8 17 33 1 6166 21 29 54 2 %69 i3 38 62 1 56
7 1 i4 36 61 2 5474 7 18 43
24 26 5t
1 5i
76 2 49
I?27 48 52 1 46
9 4* 5o 2 4484 22 47 53 1 4i
y \
IQ2 TABLE III. — FORMES LINEAIRES.
III. — Valeur (mod. p) de à, b, x,_y, z,
dans « 2 4- &* = .r 2— jk2 = s 2 4-r/? 2 = £2+ /îp2 = N (suite).
r désigne un résidu quelconque et n un non-résidu (mod. p).
N. a, b, x, z. t.
i25/,- + 86
8y9'
9'.
96
99IOI
104106
109
\\\116
"912
1
124
5/,- + o 125/r ± 19 3i 448 33 58
21 29 4637 38 6211 14 6-1
18 43 571 24 5i
2 27 52
9 l6 593 22 4719 3i 5633 42 58
4 29 4612 37 62
11 39 61
32 43 5 7
2
1
2
2
2
1
2
2
2
1
2
3936
343t
2926
2421
M)16
i4
1
1
96
41 -4- i:>5 A
y N
N. a, b, z. X, t.
7 A + 1
2
3
45
6
7 k ± 2
1
1 3
3
1 2
2 3
3
2
3
2
1
3
1
6
5
43
2
i%7*
2
48
91
1
i5
16
18
22
23
20
2 93o32
36
43
4446
7 A- ± 2
1
3
2
1
3
2
1
3
2
1
3
2
1
3
2
1
3
2
1
3
4 9A± 1
10
2
203
16
8
4J 9i3
1
1
5
i5
18
96
2423
22
17
7 A-±3
3
2
1
3
2
1
3
2
3
2
1
3
2
3
2
48
474^4*
4038
3433
3i
2726
2420
19
i3
12
10
6
5
3 + 49A-
y N
TABLE III. — FORMES LINEAIRES. '93
III. — Valeur (mod. p) de a, b, a?,JK, z, t
dans « 2 -+- 6 2 = a? 2— jk2 = s 2 h- /vi 2 = * 2 4- nv'î = N (suite).
r désigne un résidu quelconque et /i un non-résidu (mod. p).
N. a, b, z. x, t.
1 1 A• -h i 1 1 A- ± o 3 5 j 2 4 10
2 I 2 3 1} 5 93 o 3 4 5 1 2 8
4 o i 5 9 3 4 75 O I 2 4 3 5 G6 i 4 5 023 5
7 2 3 5 1 4 48 2 4 5 1 3 3
9 024 3 1 5 2
IO 1 3 4 02a 1 -h 1 1 A
y N
N. r/, 6, a?, z. t.
1 3 A -h 1 i.!A ±02 lj 1 3 4 5 12
2 . 4 5 2 3 6 1
1
3 2 5 4 1 3 6 10
4 1 4 2 3 5 6 95 12 3 o456 8
6 3 4 6 12 5 72 4 6 I 3.5 6
8 2 3 5 0146 5
9 5 6 3 I 2 4 410 1 3 6 2 4 5 3
1
1
1 5 6 0234 2
12 3 4 5 I 2 6 1 -h i3A
1 7 A -+- 1 i7A=bo 3 4 6 1 2578
345816
2 0127 G i5
3 1246 3 5 7 8 i4
4 5 6 8 2
4 5 G 7
i3
5 12 3 8 12
6 2 ."> 6 7 1 3 4 8 1
1
7 3 4 5 7 01268 10
8 0234 5 16782 3 4 7 î9 1 5 8 3
10 1 3 3 6 0247801245 l11 3 6 7 8
12 2458 01367 5
i3 0237 8 1 4 5 6 4i4 1478 2 3 5 6 3
i5 0468l
i235 2
16 0107 2 3 6 8 1 + 17 A
y N
KRAÏTCH1K.
194 TABLE III. — FORMES LINEAIRES.
III. — Valeur (mod. p) de a, 6, x, y, z, t
dans « 2 + 6 2 = x^ — jk 2 = £ 2+ m 2 = £2-h /i^ 2 = N (suite).
r désigne un résidu quelconque et n un non-résidu (mod. p).
a, b, z x. t.
I9*-h I 1 g /. ±02 3 4 7 1 5 6 8 9 18
2 12469 0357 8 l l
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18 1 3 6 7 8 02459 1 +- 19/.
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12 3 5 10 11 4 6 7 8 9 i-3
3457 8 10 O I 2 6 i| n 12
0237 10 1
1
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1 5 6 9 10 1
1
2 3 4 7 8 93 5 6 7 9 JI 1 2 4 8 10 8
0267 9 10 4 1 3 5 8 11 71 2 3 4 6 10 5 7 8 9 " 6
o345 9 « 8 1 2 6 7 10 5
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3 6 7 8 9 10 1 2 4 5 11 2
2 3 4 6 8 11 1 5 7 9 ïo I H- 23*
r N
TABLE IIÏ. — FORMES LINEAIRES. 1 93
III. — Valeur (mod. p) de «, b, x, y, z, t
dans « 2 4- 6 2 = x î — yï = ^ 2+ m 2 = * 2 -+- /ip 2 = N (suite).
désigné un résidu quelconque et /i un non-résidu (mod. p).
IV. «, 6, J7, Z. £.
29/1-4- I 2()/,'±o 5 C 8 9 n i3 1 2 3 i 7 ,0 12 14 28
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i 96 TABLE III. — FORMES LINEAIRES.
III. — Valeur (mod. p) de a, b. x, y, z, t
dans a"2 -f- b 2 = r2— j2 = ^2_|_ rn2 = ^2_|_ nP 2 = N (suite).
r désigne un résidu quelconque et n un non-résidu (mod. p).
N. a, b , z. X. t.
3i A + 16 3iA=ho 3 8 9 io xi i3 i5 4 I 2 5 6 7 12 i4 i5
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TABLE III. — FORMES LINEAIRES. 19:
IJI. — Valeur (mod. p) de a. b, x t y, z, t
dans a 2+
è
2 = j? 2—^ 2 = ^ 2 -t- rn 2 =
/
2-i- «p 2 = N {suite).
r désigne un résidu quelconque et n un non-ivsidu (mod. à).
«, b, x, z.
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TABLE III. FORMES LINEAIRES. T 99
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Ci -< co va-va- cco ce -occococe r^o o ci co ce r- - co ci o co coco t -co eva-m o « H^tr^c t^ciuç>e r»
3 o o o c r-o o co t- rwa-co Go-ioto r-o te Le - co oc co m vs- r» o» ci vrx co^o >-e r^vt-oc co va-co
~x ço -x ce i-i-Xuto uo ce va-cc r- c^.^. ce m .o ci co c vrvo- r^va- c- co o o co co . e x v— ci co co ce r> c: ci va-
ce m ce ce va
—
-,—tvt m vj-va- ci ci iolocû ci m va-ce «cm c ci ci co ce — «. ce ci ci ci va- r-co «mmcicmi-i-i-i'iva-Ci-icecociooi-owCMc;.eco«oo«r^C'-iceooo-<C'-Ci-'cioooc«oooo
c: ci — c^.'^ m ci c c cce cecece cicececece ci cmco «-ce « ce ce co ci ci ce — cicece ci ce ce ci ci «co «co1 Cl Cl M Cl C! Cl >-i Cl « Cl Cl Cl Cl CM CM Cl Cl Cl CM Cl Cl Cl Cl CM CM CM CM Cl Cl CM Cl Cl CM Cl Cl CM Cl Cl Cl Cl Cl Cl CM
O <> Z CCO - r- C C--CO 00«C Cl Cic c— C! Cl >-"X«0 Cl O Cl CCciO"-OC««OOOClOC-OOCOC!1 ci ci « ci « ci « « « ci ci ci c: -h c: ci ci c: c: « ci ci ci cm ci « ci ci ci ci - ci ci « c: ci ci ci ci w « ci ci
Jï cco co 10 x o c-.^ r^va- c r- i -co mm o « « c r- c- r- « coco -x s c r- c c co e. « cco r-co co >->iHHMMMMMMHMHMMHMMMflHHHMfflMnMnNpiMH-CiMMflMMClhMWMcorn ci ce m m co va-co ci c.io >e i-va-ce ex cco -o o co cco r-v— o r^cc co ce r^ cco co cm r-co m r-o c"""".£! M w ~' 'r [ " * 'n w °° ^"r ^"r;— *° - ce v— r-vo co ie v—lo co o co co co rxif - o v-r c, m i-v-t-m va- « tn m oo
! c m —.ce - - v— c vf o r- « ce va- ci ce1 r- ci ci lo o v-r-co v-tlo ci « co ci >e « o va-ce c o co co « ce o va-va-co
^r^civc^c cco r^ci cce c ci « - r> ci o Cv-t- c ci co oc ci m c « « va- c oo ce m co c^e ci c o c.co ce lo
P °o co co 00 c ci co coo o c o rvco va- criX co m co Ova-r^oieco « cceoo r»ci c.ve oc « o oo cco m w co
r-ie lo o r^cm r-i_e co r^ cco va-ce oo r-co o c^ cco o t—<r r» o x o w >e « r^vrr t-v M asm co »-e oo « c~ v— ro v—^-f c» : «) (~^ro v-rco ce co lo co co ci r-ie co v^-co co c: >_e »e ci i_e r-o va-v-fv-t- cr.co ce co r^-co va-co va- r-cc >-e
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>: CO v— 1.0 "O t-X C O -"
TABLE III. FORMES LINEAIRES.
III. — Table abrégée des valeurs de x dans a? 2 -+- D^ 2 = N.
N. D = — 1.
4* + i
3
i6Ar-4- i
3
5
2/1 ± I
8/1 ± 1
2
3
732Â-4-564/C-4- i
256 k -4- i
I024A-
-+- I
4096 Ar -h 1
4/1-4-0i6n±3.32/1 ± 1,964n=fc2364n± 23
64n ± 2 3
128/1 + i.33
256 n ± 33
256 n ± 33
5i2n ± 1 , 1291024/1 ± 129 2048 n ± i,5i3
N. D -3E -4- 1.
4A-bi3
16* + 1
3
5
2/1 ± 1
8/i± 1
1
32ÀT-4-5
64 k -4-1
256Ar -l- 1
1024A: -f- 1
4096 k -h 1
1 6 /i ± 1
3 2 /i± 1,764 n ± 25
6^4/1 ±2564/i ± 25
128/1 ± i,3i
256/i =h 3i
256/i ± 3i
5i2/i ± 1 , 1271024/1 ± 127 20^8 n ± 1 ,5i 1
N. D = /-.
3A- + 1 3/ï ±0 1
2
qA--h 1
8 1 k -+- 1
7 29*+ ï
6n
3/?
1
9/1 ± 1
27/1+ 10,
27/? ± 10,
81ni 1
243/1 ±82, 729/1 ± 1
5À + 1 5n ±0 1
2
25 A -4- 1
625 k -+- 1
5/i
5/i
1
25/1 ± I
I25/l±4<: ,5i, 625 n ± 1
7/:+ 1
3
49A--+-)
7/ï
7"
±0121 3
±02 , 49 /i ± 1
iiA-+i 11 n ±0 1 3 5
2
121 k -f- 1 11 n1 2 3
± 3 5 , 121 /i ± 1
TABLE III. — FORMES LINEAIRES. •20I
III. — Table abrégée des valeurs de x dans t 2 h- Dj2 = N (suite).
N. D = /• (.suite).
i3A: + i
2
1 3 /i =b1
1
4
2
5
6
17 k 4- 1
3
1 7 « ±1 2
3
4
4 6
6
19A--+- 1 19/i ±1 2
2
4
3 4
697
23ÂT+ I
5
23/i =b 1
2
4 895 7
10
9
1
1
29A-+- 1
2
29 n rfc
1
1
3
5
5
6 8
6 89
i3
1
1
i4
i3
3lA: + T
3
3 1 n ±1 3
2 4
455 7 1 1 1 1
3
7 8 12 i3
37 A- -+- 1
2
3-jn ±1 3
2 76 7
8 10 11
8 14 i5
i4 16
17 18
18
4 1 A -+- 1
3
4 1 n =t
1 2
3 96 7
12 i3 14s 9 u
16 1712 i3
18 ,9
'7
43A:-+-x2
43/j=fco1
1
2
237893 6 8 10 11
11 1
3
14 i5
17 18 2016 17
47* +15
47 /» ± 1 4 G
4 5
9 10 11
6 7 9
14 18
11 1 j
19 20 22 23
3 20 21
53 A + 1
2
53n rh
1
1
34 5
7 8
8 10 12
11 12 1
5
i3 1416 18
16 19 20 21 22
21 24 25 26
39 A-+ 1 ôg « zh 1
2
3 5
4510 11 1
3
b' 710i'
(,5
12 1617 19 22 2 3 24 25 2920 22 23 24 25 2.9
61 *+ 1
2
6i n ±1 4
M6 7
7 9 i3 1
8 11 124 i5 21 22 25 26 27 29 3o3 21 23 24 25 26 27 29
TABLE II!. — FORMES LINEAIRES.
III. — Table abrégée des valeurs de x dans # 2+ Dj 2 = N (suite).
N. D =- /• (suite).
67 k 4- 1
2
67/1 + 1 2 3 7 8 9 xo 11 i3 14 17 21 26 27 28 3o 3a
1 2 3 6 9 10 11 12 16 20 22 23 24 25 27 28 3o
71 A + 1
7
71/1 + 1 6 8 10 i3 i4 i5 16 18 20 21 23 24 2.5 29 3o 33 351 2 7 10 12 14 17 18 19 22 28 29 3o 3i 32 33 34 35
7 3A-+- 1
5
73/i + o i23 5 6 7 12 14 16 17 21 24 26 27 29 3o 32 361 2 3 9 i3 i5 16 17 18 19 21 22 25 27 28 3o 3a 36
79*4- t 79/1 + 1 2 4 ^ 6 7 8 11 14 i5 18 23 25 26 27 3o 3i 3> 33 35
1 3 6 8 9 1 1 14 21 22 25 26 27 28 29 3o 33 34 35 36 39
83.*-+- 1 83/i ±0 1 3 4 5 6 9 12 i3 i5 16 17 18 20 25 3i 34 35 36 38 £0 4i
1 2 4 6 7 8 9 10 i5 16 18 20 21 22 24 25 28 3i 33 37 4 1
SqA-H- 1
3
89/^ + 1 3 9 10 i3 14 17 19 21 25 27 28 29 3o 3> 33 34 35 36 4 1 4 2 431 2 5 9 10 i5 19 22 23 24 25 26 28 3i 32 33 34 36 38 39 4° \\
ç, 7 A-f-i5
97/1 + 12 3 5 6 7 10 14 16 17 18 20 22 23 26 27 29 32 34 38 3g !\o 4» 4^1 2 3 4 6 7 10 i4 19 21 22 24 26 28 3o 32 37 38 39 40 4 1 4^ 44 '\1
N. D = //.
3* + 1 3/ï + 1
2
9*+- 1 9/1 + 1
81A-+ 1 27/1 + 8 81/1+ 1
7>(>A-+ 1 27 // + 8 243/1 + 80 729/1 + 1
5 k -H 1 bn + 1 2
9 2
25A: -+- 1 5n + 2 ion + 1
625 k -+- 1 bn + 2 25« + 24,26 625// : 1
7 A + 1 l n + 1 3
3 2
'i<jA-+i l n + 3 49 n + 1
1 1 A" -h 1 11 n + 1.,
42 4 5
I2IA-+ I 1 1 // + 2 4 1 2 1 n + 1
TABLE III. — FORMES LINEAIRES. 203
III. — Table abrégée des valeurs de x dans x2 -h Djk 2 = N#
(suite).
. N. D — /? (suite).
1 3 k -+- t 1 3 n ± i 3 4 5
o 2 3 G
17Â-+1 1 7 /? rt i 2 5 7 6-
3 3 :> 7
s
I 9 /v + I 19 Al ± I 5 6 8 9
2 3 :>7 8
-.u- + i 2 3// fc 1) 3 ô 6 1
5 3 6 S 10 11
29Vr -h i 29/î ± 1 2 3 4 7 10 12 1,4
2 2 4 7 9 11 12
3i 4- i 3 1« ± 1•; 6 8 9 12 1 ') 1
')
3 2 6 9 10 11 14 i5 •
3 7Â-+- i 3-n ± i 3 4
•"> 6 9 12 i3 i"> 17
2 2 5 5 9 ii 12 1 3 16
4i A H- i \ 1 /> ~ 1.,
4 5 6 7 8 10 11 1.") 20
3 3 4 5 10 l'l
1") 16 18 19 20
43 A- -+- 1 43// ±1, 4 5 6 10 1? i4 i5 i(i 19 »i
0457 9 13 i3 18 19 >o >i
123 5 7 8 12 1 3 \\ i5 17 31
o 3 8 10 14 i5 16 17 18 19 22 a3
53 k
5q â
53« ± 1 2 367 9 11 i5 17 18 >;> >\ 25 '<>
2 'j 5 6 9 10 i3 14 17 19 20 22 a3
59/trh: 1 2 4 6 7 8 9 12 i() 18 30 21 26 37 28
o 3 8 9 11 i3 14 i5 17 18 19 21 26 27 28
204 TABLE II FORMES LINEAIRES.
III. — Table abrégée des valeurs de x dans #2-t- Dj2 = N {suite).
N. D = « (suite).
6i*+ i
2
3 5 6 8 10 11 12 16 17 18 19 20 23 24 28
2369 10 14 i5 16 17 18 19 20 22 28 3o
67 k + 1
2
67/? dz 1 4
4
5
5
6 12 i5 16 18 19 20 22 2 3 24 25 29 3i 33
7 8 i3 14 i5 17 18 19 21 26 29 3i 32 33
7 1 A H- 1
7
jïft+i 2
3
3
4
4579 11 12 17 19 22 26 27 28 3i 32 34
5 6 8 g 11 i3 i5 16 20 21 23 24 25 >6 27
73A-+ 1
5
73*.± 1 4
4
8 9 10 11 i3 i5 18 19 20 22 23 25 28 3i 33 34 35
5 6 7 8 10 11 12 14 20 >3 24 26 29 3i 33 34 35
79Â--4-1
3
79/i± 1 3
2
9
4
10 i2 i3 16 17 19 20 2i 22 24 28 29 34 36 37 38
5 7 10 12 i3 i5 16 17 18 19 20 23 24 3i 32 37 38
K3A--+-I 83 art 1 2
3
7
5
8 10 11 i4 19 21 22 23 24 26 27 28 29 3o 32 33
11 12 i3 14 17 19 23 26 27 29 3o 32 34 35 36 38
3? 3 9
3g 4o
89Â-+- 1 89/1 ±1 2
3
4
4
567 8 11 12 i5 16 18 20 22 a3 24 26 3i 37 38
678 11 12 i3 14 16 17 18 20 21 27 29 3o 35 37
39 40 44
41 4^ 43
97 k + x
5
97 n — * 4
5
8
8
9 ri 12 i3 )5 19 21 ->\ 25 28 3o 3i 33 35 36 37 42 4^ 44 4^ 4^ 47
9 11 12 i3 i5 16 17 18 20 23 21 27 29 3i 33 34 35 36 42 4^ 4^ 4^
r désigne un résidu quadratique quelconque.
n désigne un non-résidu quadratique quelconque (mod. N).
Pour avoir les solutions de x-^r Dy7 == R (mod. N), R étant un résidu quadratique, on
commencera par résoudre la congruence R = P. On obtiendra les solutions demandées en
multipliant celles qui correspondent à x"*-\- Dy3= 1 (mod. N) par t.
De même, ayant les solutions de x 2+D/2 =N' (mod. N), N' étant un non-résidu, on
obtiendra celles de x 7 -h Dy 2^ N" (mod. N), N" étant un autre non-résidu, en multipliant
les premières par s, s étant défini par la relation N"=N'.s2 (mod. N).
Ces tables remplacent donc avantageusement les tables complètes.
TABLE IV RESIDUS QUADRATIQUES. 205
IV Table de résidus.
1. — Résidus quadratiques.
MODULE RKSIDUS.
3....
5....
I
I 4
7.... I 2
11.... I 3 4 5 9
13.... 1 3 4 9 10 12
17.... I 2 4 8 9 l3 i5 16
19.... I 4 5 6 7 9 1
1
16 «7
23.... I 2 3 4 6 8 9 12 i3 16 18
29.... I 4 5 6 7 9 i3 16 20 22 a3 24 2.5 28
31.... I 2 4 5 7 8 9 10 i't 16 18 «g 20 2 5 28
37.... I 3 4 7 9 10 1
1
12 16 21 25 26 27 28 3o 33 34 36
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1
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1
16
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42 44 45ïl
49 5o 53 55 57 67 68 69 7 1 72 73 78 79 80 81
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97.... i 2 3 4 6 8
â11 12 16 18 22 24 25 27 3i 32 33 35 36
43 44 47 48 49 5o 54 61 62 64 65 66 70 7 2 73 7 5 79 81 85
86 88 89 9 1 93 94 95 96
101.... i 4 5 6 9 i3 A. 16 J 7 '9 20 21 22 23 24 25 3o 3i 33 36
• 37 43 45 47 49 52 54 56 58 64 65 68 70 7* 76 77 78 79 80 81
82 *4 85 87 88 9 2 95 96 97 100
•,>o6 TABLE IV. RESIDUS QUADRATIQUES.
IV. — Table de résidus (suites).
1. — Résidus quadratiques (suite).
MODULE. RÉSIDUS.
103.... 2 5 7 8 9 1
3
1
4
i5 16 |n 18 n>
23 20 26 28 29 Mo 32
33 34 36 38 4i 46 49 5o 52 55 56 58 :>9 60 61 63 64 66 68 7'
76 79 81 82 83 9 1 92 93 97 98 100
107.... i 3 4 9 10 11 12 i3 i4 16 J 9 2.3 25 2 7 2 9 3o 33 3,4 35 36.'!" 3o 4o 4) ia 44 47 48 V.) 52 53 56 •7 61 62 64 69 7-> 76 798i 83 85 86 87 89 9° 9 2 99 100 IOI 102 Kl.)
109.... ï 3 4 5 n 9 12 i5 16 20 21 22 25 26
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36 38 43 45 46 48 49 60 61 63 6.4 66 7 1 73 7•"> 80 81 82
83 84 87 88 89 93 94 97 100 102 104 io5 106 108
113.... ï 4 n 8 9 1
1
i.i 14 i5 16 18 22 25 26 28 3o 3i 32 36
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85 s7 88 9 1 g5 97 9S 99 100 102 104 io5 106 109 1 1
1
112
127.... i 2 4 8 9 1
1
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7 3
12174122
76
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131.... T 3 4 5 7 9 1
1
12 i3 i5 16 20 21 25 ''7 28 33 34 35 36
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74 7^ 77123
80 81 84 89 9 1 94 99 100 101 102 io5 107 iû8 109 112 n3 .41 17 121 125 129
137.... 1 2 4
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1
4 i5 16
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18 l\)
22 25 28 3o 32 34 36
3? 38 39 49 5o 56 59 60 61 64 65 68 A 7 2 7 3 74 76 11/ y
78 81 «7 88 93 98 99 100 101 ,„:; io5 107 109 112 Il8 Il 9 120 121 122
123 126 128 129 i3o i33 i35 i36
139.... , 4 5 6 7 9 1
1
i3 16 20 A 25 28 29 3o 3i 34 35 36 3738 4i 42 44 45 46 47 49 5i 52 54 55 57 63 64 65 66 67 69 7 1
77 78 79 80 81 83 86 89 9 1 96 99 100 106 io 7 1 12 n3 116 117 118 120121 122 124 125 I2 7 129 i3i i36 i3 7
149.... T 4 5 6 7 9 16 '7 19 20 22 A 25 26 28 29 3o . 3i 33 3536
II3g 42 45 46 47 49 53 54 61 63 64 67 68 69 73 76 80 8(
82 86 88 95 96 100 102 io3 104 107 1 1
1
1 12 ri3 n4 116 118 XI 9 120 121
123 i'ï 125 I2 7 129 i3o l32 i33 i4o 42 i43 44 i45 148
151.... 1 2 4 5 8 9 10 11 16 l l 18 M) 20 21 22 25 2 9 3i 3a 3436 h 38 39 4o 42 43 44 45 47 49 5o 5 5 58 $9 62 64 68 6Q 72:'. 7 6 78 80 81 84 85 86 88 9° 9 1 94 f)5 97 98 99 100 10 3 io5 IIO
116 118 121 i>3 124 125 I2 7 128 i36 i3 7 i38 i.39 44 i45 48157.... I 3 4
&10 1 r 12 i3 lA 16 17 I(
.)2 5 2
764
3o 3i 33 35 36 37
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103.... 1 4 G 9 10 i4 i5 16 21 22 24 25 26 33 34 35 36 38 •39 4o4." 43 46 47 49 5i 53 54 55 56 J 7 58 60 Ci 62 64 65 69 7 1 i\77 81 83 84 85 87
134
88 90 9 1 o3 9.5 t 97 100 104 1 11 n3 1 1.) 118 "9121
161
126 i3i l32 i33 i35 i36 i4o 43 i44 i46 i5o i)i l52 i55 i56 i58 160
TABLE IV. RESIDUS QUADRATIQUES. 207
IV. — Table de résidus (suite).
1 . — Résidus q uadratiques ( suite).
MODULE. RÉSIDUS.
167.... I o 3 4 6 7 8 9 Ir 12 «4 16 "9 21 22 2 4 25 2 7 2818
2 9 3i 32 33 36 38 42 44 47 48 49 5o 34 56 37 58 61 62 63 6465 66 72 t 76 77 81 84 85 87 88 89 93 94 96 97 98 99 100 107
108 112 114 1 15 116 121 122 124 126 127 128 i3o l32 i33 ,37 141 «44 «47 i5o IÔ2
i.Vf
i5 : 162
173.... ! 4 6 9 10 i3 "4 i5 16 21 2 2 23 2 4 25 29 3i 33 34 35 36
3 7 38 4o 4i 43 47 49 5i 52 34 55 56 37 60 64 67 73 77 78 81
83 84 85 88 89 90 92 95 96 100 106 109 n3 116 117 118 "9 121 122 12/1
126 i3o l32 i33 i35 i36 !3 7 i38 i3g 140 ,42 «44 148 1% i5o i5i l52 i5 7 ,58 i5.j
160 i63 164 167 169 172
179.... 1 3 4 5 9 l2 i3 «4 i5 16 «7 «9 20 2 2 25 2 7 "i 3i 36 39
42 43 45 46 47 48 49 5i 52 56 57 39 60 61 64 65 66 67 .68 7°
74 75 76 77 80 81 82 83 85 87 88 89 93 93 100 IOI 106 107 108 1 10
n6 117 121 r,.4 125 126 129 i35 i38 i39 i4i
^ «44 .45 146 «47 "49 i5i i53 i55
1 56 i58 l6l 168 169 171 172 i7 3 177
181.... 1 3 4 5 9 "" 12 i3 "4 1 5 16 20 >5 2" 29 33 34 36 37 38
3<) 42 43 44 45 46 48 49 5> 55 56 59 60 62 64 65 67 70 73 73
79 80 81 82 87 94 99 100 101 102 106 108 1 1
1
«"4 nfi rI 7 "9 121 122 125
126 129 l32 i33 i35 i36 x3 7 i38 ,3g 42 i43 i« i45 "47 ,48 1 5a "54 i56 161 i65
166 ,67 168 169 170 172 176 J 77 178 180
191.... 1 2 3 4 5 6 8 9 10 1
2
i3 i5 16 T 7 18 20 2 3 2 4 25 26
2 7 3o 32 34 36 39 4o 43 43 46 48 ta 5o
i:
52 34 39 60 64 65
67 68 69 "2 75 77 78 79 80 81 85 86 90 96 97 98 100 102 io3
104 107 108 IO9 1 i5 1 17 118 120 121 125 128 129 i3o i33 ,34 i35 i36 i38 ,44 «47
«49 i5o i53 ,54 i56 i58 160 162 i63 169 170 172 i77 180 ,84
193.... 1 2 3 4 6 7 s9 12 "4 16 18 21 23 <ï 25 21 28 3i 32
36 43 43 46 48 49 5o 34 55 51, 39 62 63 64 65 67 69 7 2 73 81
. 83 «4 85 86 9 2 9 3 93 ,,6 97 98 100 IO'I 107 108 109 1 10 1 1
2
118 121 y>A126 128 129 i3o i3i i34 i37 i38 i3q '43 «44 i/,5 "47 i5o i5i 157 161 162 i65 166168 169 170 172 17.5 177 "79 181 184 ,85 186 187 189 190 "9" 192
197.... 1 \ 6 n9 IO i5 16 l 9 22 23 2 4 25 26 28 2 9 33 34 36 37
h 4o 4i 42 43 47 49 5i 53 54 55 59 60 61 62 63 64 65 70 7681 83 85 88 9° 9 2 93 96 97 100 101 !04 io5 107 109 112 «4 116 121 127
i3:> i33 134 i35 i36 ï3 7 i38 142 i43 "44 146 "48 i5o 154 i55 i56 157 i58 160 161
i63 164 168 169 171 172 i 7 3 i/4 i 75 178 181 182 "&7 188 190 "9 1 19 3 196
199.... •1 2 4 5 7 8 9 10 i3 «4 16 18 20 23 25 26 28 29 3i 3233 35 36 4o 43 43 46 47 49 5o 5i 52 53 56 37 58 61 62 63 6465 66 70 7 2 79 80 81 86 89 90 9 1 9 2 94 98 100 102 103 104 106112 114 n5 116 117 121 122 123 ia4 125 126 128 i3o i3i i3a i39 »4« "H «45 i5i1 .55 x5
7 i58 160 161 162 i65 169 172 175 "77 178 180 182 184 187 188 i 9 3 196
208 TABLE IV. — RESiriIS CUBIQUES ET SIXIEMES.
IV. — Table de résidus (suite).
(
2. -- Res idu s cub iques et sixièmes
(Les résidus sixièmes sont aussi résidus eu )iqucs.)
MODULE. RÉSIDUS CUBIQUES. RÉSIDUS SIXIÈMES.
7. . .
.
13....
6
± 5
I
± I
19.... 8 12 18 I 7 11
31.... i5 23
i4
29 3o I 2 4 8 16
37.... ± 6 8 ± h IO 1
1
43.... 2 8 22 2"!
432 39 4 2 I 4 1
1
1.6 21 35 4i
61.... =b 8 1
1
23 28 zh. 1 3
420 '•'
7
67.... 3 5 8 2 7 4 2 43 45 52 53 58 1 9 i5 22 2'f
25 4o 59 62
66 6473.... ± n 10 '7
10
21 22 3o ± 1 3 8
â24 27
79.... I 2 '4 17 >.~ 33 4t 5 7 58 61 1 8 10 21 22 38 46 52 62
^9 7 1 78 64 65 6797.... ± 19 20 28 3o 34 4 2 45 46 ± I 8 12 18 22
2?
33 47103.... 3 10 •»•> 2 4
94
3i 37 39 4 2 69 I 8 9 i3 14 3o 34 61 64
73 80 89 90 95 102 66 72 76 79 81 93 100
109.... ± 2 8 '7 '9 23 32 33 4' 54 ± 1 4 16
134 38 43 45 46
127.... 5 10 20 27 33 4o 5i 54 63 66 1 2 4 16 19 25 32 38 47
77 80 89 93 102 108 1 1
1
!'9 123 1>.") 5o 61 64 73 76 87 94 100 107 117
126 122
139.... 8 10 14 23 2 7 33 39 48 59 60 1 6 34 36 44 45 52 55 5 7 63
(r>. 74 7 J 76 82 84 87 94 95 io3 64 65 77 79 80 9 1 100 106 112 116
io5 i33 i38 125 1 29 i3i
151.... 3 24 26 2 7 28 4' 53 5 7 60 65 1 8 9 *J20
^9 44 5o 59 6498 11067 70 S 79 83 87 92 IOI 107 122 68 7 2
7?81 84 86 9» 94
i3i 132 i43 i5o 123 12^ Ii5 127 i48
157.... ± 2
63
8 23 28 29 32 4i 45 54 ± 1 4 «4 16 2 7 39 46 49 56 58
39 78 64 67 7^
163.... 5 8 i3 ii
23 2 728 3o 3i 3 7 1 6 21 22 25 36 38 40 53 58
48 ^9 78 86 98 99 T02 io5 (10 I 23 61 64 65 77 85 io4 n5 126 i32 1 33
125 127 i38 141 142 i5 7 162 i35 i36 140 146 i5o i55 i58
181 ... ± 6 8 l 9 22 26 3o 3i 35 4o rfc 1 5 25 2 7 29 36 4 2 46 48 495i 68 7 1 74 86 56 59 64 67 82
193.... ± 11 i3 20 29 33 35 39 60 68 71 ± 1 3 8 9 i4 23 A on 42 43
74 76 87 88 89 94 5o 64%
69 7 2 81
199.... 1
1
\% l 7 27 42 55
91
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82 83 85 88 96 101 107 63 64 90 9? 98 io3 106 11
1
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68 86 88 89 90140
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223 ...
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1
118 125 141 i55 .s,
195
i5g i63 3o 32 33 34 4' 49 56 60
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1
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84 86 88 93 101 106 107 109 4 44 53n
60 61 68 108
241.... ± 17 21 23 26 28 33 43 44n5
73 ± 1 5 8 25 2 7 3o 36 4o 4»
76 85 93 101 102 io3 io5 1 17 47 48 61 64 79 87 9 1 98 106 n6
TABLE IV. — RESIDUS BIQl ADRAT1QUES. 209
V. — Table de résidus (suite).
3. — Résidus biqua cira tiq les.
MODULE. RÉSIDUS.
5....
13.... 3 9
17.... ± 11
29..../
16 20 20 24 25
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41.... ± 1 1 10 16 18
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61.... !» 12 i'3 i5 16 20 22 25 34 42 47 56 57 58
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233... ~~81
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1
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70 73 81 88 9 2 9^ 111 117 120 12 I 123 128
1
KRAITCHIK.
TABLE IV. — RESIDUS CINQUIEMES ET DIXIEMES.
IV. — Table de résidus (suite).
ht. — Résidas cinquièmes et dixièmes.
(Les résidus dixièmes sont, aussi résidus cinquièmes.)
MODULE. RÉSIDUS CINQUIÈMES. RÉSIDUS DIXIÈMES.
11.... 10(
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293 296 298 3o4
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21 33 36 5i 7 5 861 3.5 149 i52 174 176 178
q3 109182 i8
v,
TABLE IV. RESIDUS SEPTIEMES ET QUATORZIEMES.
IV. — Table de résidus {suite).
5; — Résidus septièmes et quatorzièmes.
(Les résidus quatorzièmes sont aussi résidus septièmes.)
MODULE. RÉSIDUS SEPTIÈMES. RÉSIDUS QUATORZIÈME s.
29....
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442 448 462 425 44i 457
491.... 63 66 9 1 10.') T10 128 !.!() i5q 162 175 I 12 20 4i 56 IOI n4 i38 i44 i-53
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1
386 4oo 425 428
547.... 26 28 3o 38 41 ^9 72 83 I02 106 1 11 21 4o 46 47 54 96 121 129
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3o8 3io 3i4 3i6 33o 348 366 4n 4i8 296 302 35o 353 3 75 402 419 4r
4o 44
1
426 45
1
493 5oo 5oi 507 526 536 546 445 464 475 488 5o6 5og 5i 7 5ig 521
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273 275i85 192 205 218 22S 234 262 281 282 286 175 188 '94 J 99 224 225 265 266
291 3o7 2X8 290
631.... 11 22 44 69 7 388 "9 i38 i'i? '47 I 2 4 8 16 32
I3 47 5 7 6417.') 176 2 38 255 276 287 2Q2 294 3i5 321 79 86 94 114 121 128 i55 i58 172 188
35o 35a 3 75
53 7
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5o3 228 24a 206 279 28t 3io 3 16 337
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TAULE IV. RESIDUS HUITIEMES ET SEIZIEMES.
IV. — Table de résidus (suite).
6. — JRésidus huitièmes et seizièmes.
Les résidus seizièmes sont aussi résidus huitièmes.)
MODULE. RESIDUS HUITIEMES.
17.... 16
41. . . i 10 16 18 3 7
73.... i 2 4 8 16 32- 37 55 64
89.... i
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2 4 8 16 3a 39 45 64 67
97.... ± 6 16 22
113.... 4 7 64 83 85 97 112
137....
74
16
8834 38 5o 56 59 60 72 7:'.
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233....
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2
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4 8 16 19 2 3 3 2 3 7 38
63 64 71 74 76 92 102 117i.)5 142 148 i52 175 i8'f 204
241... 10
,54
16
187
36 58 81 122 141 i43 147 i5o
217 226 240
257.... ± i5 r 7 3o 34 60 68 120 121
281.... 1
S 5
i55
249
486162
252
16 35 5o 58 5g 63 64 7990 98 101 109 m 128 i4o i53
io3 i65 181 200 211 282 236 238
256 273 279
313....
337....
1
i3 7243
21
258336
3
7814224g
4*
273
9 16 26 27 44 4^ 5o 58
81 83 98 io3 n3 119 121 102
i44 i5o 174 2o5 209 214 228 234256 277 280 294 3oi 3o2 3og
81 84 129 162 168 179 209 233
285 3o5 3n 32i 324 829 333 335
353.... ± 4 34 35 42 64 88 121 i35 146 162
401....
409....
14 16
177 2053oo 362
1 5
71 77IOl 102
197 203
309 3 18
4o5
29 3i 70 80 83 86 145 146206 223 228 276 3x3 324 329 338
376 396 4oo
6 16 17 25 3o 36 53 6980 8
:i 82 83 85 89 96 98
12.5 1 33 i3g i5o 167 179 180 184216 218 256 262 265 272 286 28934i 345 355 363 364 385 389 400
433.... 16
335
406
48 59 98 137 144 164 177 190 199272 280 283 294 352 355 367 382 383
407 4 11 4'6 4 24 43o 432
RESIDUS SEIZIEMES.
1 35 36
1 16 28 3o 49 IQ6 I09
1 49 63 81 84 85
1 i5 24 54 87 91 94 98 100 119
160 i83 2o5 225 23
1
1 2 4 8 16 3 2 64 128
1 2 4 8 i3 16 26 32 52 64
70 io4 128 i58 169 175 208 253 256 2953 16
1 16 22 58 97 122 i3i 1 36 i4o 166
169
1 5 25 3g 5r 63 72 77 88 125
173 1-8 ig5 ig6 224 2.55 256 3i5 3i8 32i
33i 36o 37 2 385 38 7
1 3 g 17 22 26 27 5o 5i 66
78 81 i3g i5o i53 161 198 234 243 256
26g 28g 296 335 3 74 385 417
TA RLE IV. RESIDUS NEUVIEMES ET DIX-HUITIEMES. 2l3
IV. — Table de résidus (suite).
7. — Résidus neuvièmes et dix hu itièmes.
(Les résidus dix-huitièmes sont aussi résid us neuvièmes.)
MODULE
.
RÉSIDUS NEUVIÈMES. RÉSIDUS DIX-HUITIÈMES.
19.... 18 !
37.... ± 6 zb 1
73.... dz io 22 ± 1 27
109.... ± 8 33 £i ± 1 ',5 46
f127.... 63 9") III 119 123 12.) 126 1 2 \ X 16 .32 64
163.... 23 3o 09 78 io5 110 i2.3 125 162 1 38 4o 53 58 85 104 i33 x4<>
181.... d= 19 22 3i 35 7
4
± 1 (a 46 56 59
199 ...
198
60 74 78 85 96 i36 1.37 Ï38 1S1 i 18
18861 62 63 io3 «4 121 125 l3g
271.... 3
2X419 27 29 3o 84 171
243 261 262 270
1X1 18 { 190 1 9241 242
10 28 57 81
24'f
252 26X«7 90 100 1X7
307.... 3
2028 27 34 35 38 72
5o5 226 a/|3 283 298 3o69 1 192 i 9 3 • 9
235 269
24 64 81 I02
272 273 280 299
io5
3o4
n4 1 1 5 216
379.... 5 2
260
.3/8
5 7 68 i2r
ti3.3 162 i63 184
285 286 288 29.3 3o3 328 34o
24l 2.V,
354 >\1 5
lli) 123
''7
.'"> 39 5i 76i.3X 195 216 217
86
24691
2).)93 94
3ll 322
397.... ± 2
198
8 32 62 63 m") 128 i'i5 i'i'i i83 ± 1 \
167
16 3i 64 99 107 124 126 14
1
433.... 2
1
i83
45 7:; 77 91 .38 i5i
i95[65 168 172 : 1 8
*98 *99
54 6', 79 n5 1.33 .40 x4« 179
487.... 5
22812 \\ q5 12 5 126 186
2.33 255 267 296 .3oo 3>i
436 446 448 462 468 4S6
K)5
343
203 20)
344 •>',.,
1 M)166 1S7
3oi 36
1
2 5 39 1i 5i
191 220 2.32 25^362 392 \\'S 4t5
60
25g
J82
i382X2
143 144284 292
523.... 3
1-8
38g
27 33 5o 58 ()5 1 1
5
219 2 3S 2 43 297 317 332
402 424 4'f 2 4^0 4^o 5i2
129
34Q5i4
i36 1 .5.5
;\u.\ :;73
522
1 9160 174.1x7 394
11 43 7 3 81
191 206 226 28040X \i% i6"5 4 7 3
9928.)
IT
121
3o4
(g6
1 34 i5o
345 368
520
541.... ~2l(j
29 44 46 52 56 8923 1 247 266 268
120 K,I 209 fc 1 48207 228
1 10 1 1 .5 124 1292 3 4 >\\ 2.") 2
i3o 1^0 X94 x 9 8
577.... zt 20
1 55
37 42 67 78 83 97
202 2.32 258 261 26612.3 ,4. .',<; ± I 24
171 177
27 33 35 65186 209 2i5 263
<l 127 i52 i63
613.... ± 24* s 7
35 59 69 g3 101 10723i 237 246 269 27.5 281
i45 l52 176 — ï 27.
190 197
28 3o 3 7 6 7
198 220 226 227
116
287143 171 i83
631.... 6 3o 38 02 106 m) 122
igo 20^ 216 260 3ig 333 3Ô2\i2 44g 45 1 '|6i 498 5o6 526
697 606 610 626 63o
126
362
53o
i5o 16738o 4<j3
548 595
1 i5
i33 t 7o
3 12.371
525 579
21 25 34 36180 182 219 2284.5 427 441 46459.3 601 625
83
242
48
1
IOI
2695o5
io5 12.5
279 298509 5l2
739.... 8
198338
548
738
47 5o 5> 97 108 109201 244 252 261 265 296339 356 363 3 7 2 446 456588 606 609 614 633 675
3oi
462682
129 160
323 325
469 5l2
702 719
1 20
191 2274qi 4x4o4i j797.3
1
37 57 64 106
270 277 283 293416 438 443 474610 612 63b 63
1
12.5
36 7
4 7 8
642
i3o 1 33 i5i
3 7 6 3X3 400/,x
7', ()5 538
6X7 689 692
2 1 4 TABLE V. — TABLE DES INDICES.
V. — Table des indices de tous les nombres premiers inférieurs à 50
pour tous les modules inférieurs à 1000.
\.
3
5
7
11
13
17
19
23
2931
3741
434753
5961,
6771.
73,
7983
89,
97,
101.
103.
107,
109,
113,
127,
131,
137139.
149
151,
157,
163,
167,
173,
179,
181.
191.
193.
197.
199.
211,
223,
227.
229^
N — 1 rj. 2. 3. 5. 7. 11. 13. 17. 19. 23. 29. 31. 37. 41. 43. 47.
1
4 2
1
1 3
2.3 3 2 1 5 -
2.0 2 1 8 4 7-
4.3 6 5 8 9 7 1
1
-
16 10 10 1
1
7 9 i3 12 -
2.9 10 l l 5 2 1
2
6 i3 8 -
2.11 10 8 20 i5 21 3 1
2
J l 5 -
4-7 10 1
1
27 18 20 23 2 i5 24 -
2.3.5 H 12 i3 20 4 29 23 1 22 21 27 -
4-9 5 11 34 1 28 fi i3 5 25 21 i5r '~ -
8.5 6 26 i5 22 3q 3 3i 33 9 36
228 32 -
2.3.7 28 39 ll 5 6 4o 16 29 20 32 35 18 -
2.23 10 3o 18 17 38 27 3 42 29 39 43 5 24 20 37 -
4.i 3 26 2.')9 3i 38 46 28 42 4« 39 6 45 22 33 3o 8
•2. 29 10 25 32 34 44 45 23 »4 22 27 4 7 4i 2 i3 53
4.3.5 10 47 42 i4 33 45 20 49 22 39 25 i3 33 18 4i 4o
2. 3. 11 12 29 9 3Pâ
61 23 8 26 20 22 43 44 '9 63 642.5.7 62 58 18 *4 43 27 7 38 5 4 i3 3o 55 44 in
8.9 .> S 6 1 33 55 59 21 6» 46 3.» 11 64 4 01 3i
2.3.i3 29 5o
ll
34 10 7° 74 q 10 52 1 76 23 2l 47 55
2.41 5o 3 81 24 72 67 4 09 16 36 32 60 38 49 «98. 11 3o 72 87 18 7 4 6b 82 53 3i 29 •
;
>7 77 ^7
4^
3432.3 10 86 2 1
1
53 82 83 J 9 27 S 47 26 4' 7 1 60
4.25 2 1 69 24 i3 66 3o 96 9» 84 56 45 42 58
2.3.17 D 46 &7 5q 32 29 66 DO 28 90 76 99 81 9* 55 *7
2.53 63 95 -8 i3 37 7 6 5<s io5 96 60 72 21 6 9045
93 il)
4.27 10 93 28 16 88 107 7 2l 3 100 10 74 65 66 5
16.7 in 52 70 61 72 22 58 .)(, 93 io3 87 3o 29 34 ll 97
2.9.7 109 18 23 1 11 120 52 20 Il8 42 1
1
79 5o 112 nb 121 120
2.5 i3 10 83 126 48 38 98 64 59 45 89 73 & 23 58 22 5
8.17 12 i3o i3 23 2 90 53 86 54 129 93 102 5i 3 7 11
1
2.3.2.1 92 119 4q 22 16 74 26 3 7 83 39 8 40 i36 82 23 70
4.37 10 117 ii5 32 38 25 i33 4 60 i5 128 32 i36 61
ll
i4
2.3.21 i«4 70 4i 82 37 34 101 88 90 n5 54 58 76 m 86
4.3.13 l3 9 i4 7 122 II 37 l52 i3o 128 116 81 ib 58 28 7^ IDI
1602.8l 70 71 43 93 161 97 57 159 127 i53 i43 39 7h 20 106
2.83 10 86 144 81 96 IIO 43 i43 5o 5i 32 152 127 55II
08
4 43 91 i37
i63 3i 127 142 89 85 88 152 122 42 74 '44
2.89 10 73 52 106 23
146
i34 '4 26 65 70 76 19 101 144 i36
4.0.3 10 i33 68 48 i5 32 55 i35 29 84 27 38 59 l4o 109
2.5.19 i5 7 102 i48 90 i33 n5 i56 184 93 112 29 120 65 i45 '74 39
64.3 10 182 i56 1
1
184 93 1.) i4q 59 34 9 i34 1)5 125 72 127
4-49 7 3 61 65 i3 7 86 5 i53 q5 182 68 4o 173 i48 46 34 106
2 .9. 1
1
197 194 i55 6 32 * 128 D 7 n 4i58 76 121 i43 17b 9»
2.3.5.7 Ai 169 127 48 181 186 3i 196 1
1
n5 202 i43 80 ibb
2.3.3 7 10 18 l'
62
205 l32 7 i5Q 192 32 i3i 220 i34 178 198 182 190
2.1*3 2, n 179 161 220 4o 7' 9.» 222 210 76
i437 223 171 182 i5o
4.3.19 1() 27 22 4 202 18, 78 i83 12 64 227 211 44 217 120 19
TABLE V. — TABLE DES INDICES. 213
Table des indices de tous les nombres premiers inférieurs à 50
pour tous les modules inférieurs à 1000 (suite.
\.
233..
239..
241..
251..257..263..
269..271..
277..
281..
283..
293..
307.,
311..
313.,
317.,
331.
337.,
347.,
349.
353.359.367.
373.
379.
383.
389.397.
401.409.419.421.
431.433.439.
443.
449.457.461.463.467.
479.487.
491.499.503.
509.
521.523.
541.
N — 1. P- 2.
8.29 10 200
2.7.17 237 J20iU.3.5 1 12 I 10
2.120 224 195256 10 80
2 . 1 3
1
10 i56
4.67 10 1092.27.0 269 i36
4.3.23 199 078.5.7 117 442.3.47 2 7 3 195
4.73 204 472.9.17 297 2372.5.3i 3oc 848 . 3 . 1
3
10 2744-79 270
i4o2.3.5. 11 31916.3.7 10 3o42,I 73 337 i45
4.0.29 2 20 25332.11 212 12
2.179 349 2802.3.61 IO 322
4.3.31 29I i5i
2 .2" . 7 10 73
2. 191 10 200
,4-97 10 100
4. 9. 11 28 4516.25 21 I 988.3.17 235 1942. n.19 10 494.3.5.7 238 i372.5.43 421 36o16.27 10 2582.3.73 429 i5o
i.i'i.in 433 421
64.7 3 2548.3.19 38o 904.5.23 10 169
2.3.7. 11 h4 822.233 457 4o52.23q 469 2062.243 10 4422.5.49 10 i3
2.3.83 10 3
2.25l 10 320
4.127 10 678.5. i3 439 4 7é
472.9.29 5i3
4.0.27 10 I 10
3. 5.
9348^2
h87IIO
n1485i
iQ 1
79
9288
56263
493i4
3.41 3
1
346
99226i 7 3
160
i3i
I30232838o
1
33
394
5o35o
2474'4
3 70
349240453436
95201
38 7412
33
186
i38
60i 77
160s.,
83
2462292 4 722 3
7 2
39i3
«4
33
29
.,9»
258
4532.3
3o61 33
28,,55
3o4
216
3
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195
54488
2l6 TABLE Y TABLE DES INDICKS.
V. — Table des indices de tous les nombres premiers inférieurs à 50
pour tous les modules inférieurs à 1000 (suite).
N. . N— 1. p- 2. 3. 5. 7. 11. 13. 17. 19. 23. 29. 31. 37. 41.
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43.
283
47.
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TA RLE V. — TARLE DES INDICES.
V. — Table des indices de tous les nombres premiers inférieurs à 50
pour tous les modules inférieurs à 1000 (suite).
N. N — 1.P«
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2 2<>
6
52
53
ig5
454321
889
47,
2l8 TABLE VI. — DECOMPOSITION DE 2 n
VI. — Décomposition de 2"±i,
2"— 1.
//.
Diviseurs «algébriques. Diviseurs primitifs.
1
3
1
75 01
7 127
9 7 73
11 23.8g13 8191 •
15 7 . 3
1
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17 131071
19 .52428721 7
2 .i27 33 7
23 47 . 17848125 3l 601 .1801
27 7-73 262657
29 233. 1 io3. 208g31 2i4t4S3647
59947933 7.23.8935 oi.i> 7 71. 122921
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51 7 .i3io7 i I()3.2l43. II1K)
53 636i .694.11 .2o3g44 ()I
55 23.31.89 881 .3191 .201961
57 7.624287 32377.1 212847
59 1799.H .020343 1780337
(il 200.58430092 1 369395
1
63....... 7^.73.^.7.337 92737. 6496.57
G5 31.819. i,45295i43558iii
67 19370721 .761838257287
69 747.178481 10032678938039
71 228479485441 2 1.2 12885833
75 7 . 3i
.
i5i .601 . 1801 1 00801. 10567201
81 7.73.262657 2.393.71 119.97685839
87 7.233. 1 107. 2089 4177.98,57737.55463
89 618970019642690137^495621 1
1
99 7. .2 3. 73. 89. 599479 199. 153649.330.57806959
105 72 .3i .71.127. 131.337 . 122921 29191
.
I 06681 . i52o4i
107 1 6225927682921 3363 3g 1.5780 10288 127
117 7.73.79.8191.121369 9.37.6,55.3.86113.7830 11 82971701411834604692317^1687303715884105727127
TABLE VI. — DECOMPOSITION DE 2 B ±I. "9
VI. — Décomposition de 2"±i {suite).
2--4-1.
n
.
*
Diviseurs algébriques. Diviseurs primitifs.
1
3
a
331
1.
5 1 1
/ 3 439 3 3 I(
>
11 3 68313 3
If1
33i15 32.11
17 3 4369119 I74763
. 21 3^3 54 t 923 3 279620325 3.n 25i-4o5i27 3*. 19 H7211
29 3 59.303316931 3 71.5827^883
33 3 2 .683 67.20A5735 3.H.43 281.8617137 3 1777. 2578108;;
39 3 2 .2 73i 2236689141 3 83. 883 14 1869743 3 2o32o3ioo74o345 3 3
. 11 . 10.33
1
1883700147 3 283.16576853752149 3.43 436395312729751 3J
. 43691 307^2857.0529107.2803981076243353 3
55 3. 11 2. 683 2971.48912491
57 32 . 174763 571 . 1604654892833. 37171. 18247260417686i43364o456465i
59 3
01 3
G3 33. 19.43.5419 77158673929
65 3. 1 1 .2731 i3i .40989 1.762 38.u
69 3 2. 2796203 1 39.168749965921
75 .'> 2. 1 1 .33 1 .25 1 .4o5i 11 3383673o4oi
617.782 33.3.5,53 2 36/
|0!|<J77 3.43.68381 3 5
. in. 87211 i63. 1 35433.2 72oio()Oi
839
499. 1 163.2657. 155077. 1345580977187 32 .59.3o33iC() 9607679 187 161 36 1
1
91 3.43.2731 224771 . 3i 26640270656 548i
97 ')ç)-: 1 . 1 553 . 3 1 S
17 . 1 1 008760 1 836 1 88>
5347 . 242099933645^7
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99 3 3. 19.67.683.20X5-
3 2. x 1 . 43 . 2« 1 . 33 1 . 54 1 (^ . Sfi 1 7
1
105 211 . 66444 r .156492 1
111 3 2. 1777. 23781080 333i . 17539. io777.5>3i3i2oi9
135 3,Mi.iq.33i.872n.i8S370oi 8ii.i5i2i.3858386426
/,
(789 i
220 TABLE VI. — DECOMPOSITION DE 1 n ± I .
VI. — Décomposition de 2n ±\ (suite).
2^4-1= \2"
—
i 2 -4-1/ \2 B+2 2 -4-1/ w étant impair.
n +i2"— 2 * +1.
/?.
Diviseurs algébriques. Diviseurs primitifs.
1
3
55
5 2
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7 n39 i3 37
11 5 39713 5 i6i3
15 i3.4i 61
17 137.90319 5 229. 4. > 7
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27 5 . 1 on 24624;29 5 107067621)
558 1.38477
3
31
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3
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37 5 ,', ( ).'8|',Siii.",
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41 181549. 121 1 254g43 5 17592177655N1
45 S*2
. 109. 1 32i 181 .54001
47 3761 .74840*47069
4981857697937"
49 n351 5. 263i 7 409.3061 . 1.3669
53 5 1801 43o824io465
3
55 4 1 . 2 1 T 3 4i58 7843836i
57 1 3. 52 53 1
3
2754i53o3i6959 5 1 181 .354i . 157649. 17487761 5 7 33. 1709. 368i4o58ioi363 i3.37.n3.i ;
P9 1 1870009834965 4i .53. 157 1 081 4098955868167 5 26g. 1097204 1083456992
1
69 5. ioi3. 1607 703343j28238o9
75 5 3. i32i . 268601 1201 . 1 182468601
81 13.37.279073 18012199620I277771021 .4421 .1302647724886185 5 2 .2ë3[ 7
87 1 3. 5369o368i 22170214192500421 1
1 0952
. 886 1 o851 9077400991 5.29. i6i3
99 5 109.397.432748 42373. 15975607282273io4i8i5865690i8i105 i3.4i .61 . n3.
1 429. 741 636
1
135 13.37.41 .61 .279073.292476615 2
. 3^7 . i32i .4327489.3630105520141541 .49681 .i65o4i853o6o42i
165 66i.33oi . 858i . 121 27627350301
TABLE VI. — DÉCOMPOSITION DE 2 n ±l, 221
VI. — Décomposition de in ±i (suite).
(*±» \ / l±i \
!»-f- I = ^2"— 2 2 -H 1/ \2w -l-2 2 -+-!/, « étant împair
n + 1
2" -+- 2 +1./?.
Divi.-curs algébriques. Diviseurs primitifs.
1
3
5
l3
5
7 5
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2 99 5 109
11 2Il313 53 . 10715 53 l32I17 5 2631719 o 5253 1
3
21
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3
5
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25 5 3 2685oi2729
i3.3 7 2790735369o368i
31 5 8681.4947733 5.397 432748935 4i.ii3 74i636i
593.2317697773739 5.i6i3 3l2l.2l84l41 5 10169. 4324938943 173. 101653.50017745 i3.374i.iM 29247661
1407374715781134749 5.2C) *91'*9fl°Tfà3n351 i3. 137.953 1 326700741
15358129.5864776'v)5355 5'.397 363oio552oi4i57 5. 229.457 i3noi . 16096959... ...
615764607533-7 1 653 1
3
3456749. 6670553781 4<»
63 5.29.109. i44',9 4o3884 7 3i8952i.5i48i .3411070165 5». 161
3
69 13.277.30269 541562402374973 5 293.9929. 6493017 12 18220975 1 3. 41 .61 . 101 .Sioi 63901 . 1 3334701
83i 7. 760965599 1075777 1 1 3 . 2 1 1
3
81 5. 109.246241 1 80 1 609766697 1649
87 5.107567629 349.29581 .2792080768993 i3. 558i.384773 373.951088210727633
235621 .8463901912489421.146919792181
99 13.37 2113.31270955
. 29.1321 i44^9-4t39238i105..
129 5.1 75921 7765581 1 7029 . 4695-7 . 9675877 1 543686700
30241 . 16624293547 1754241135 b\ 109. 181. i32i. 54ooi. 246241
TABLE VI. — DECOMPOSITION DE 'A" ± l
.
Vf. — Décomposition de 2 n±i (suite).
21
"-f 1.
*n- Diviseurs algébriques. Diviseurs primitifs.
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4 .-. I n
8 25 7
12 *7 24l
16 655 37
20 61681
24 257 97- c 7 3
28 l l 10790311
32 641 .6700417
36 17.241 433.38737
40 2 5 7 5.278255361
44 J 7 353.2931542417
48 65537 193.22253377
52 17 858oo1.308761441
50 257 5i53. 544*0972897
GO 17.241.61681 4562284561
64 274 177. 67280421 3 10721
72 97.257.673 577.487824887233
76 J 712 17. 1 48961 .24517014940753
80 65537 4 1 4 7
-
ï .44479 21 °368ooi
84 17.241 • i57Ç)o32[ , 3^61.88959882481
INDEX ALPHABÉTIQUE
Les numéros inscrits sont ceux des pages correspondantes.
Les noms d'auteurs sont imprimés en italique.
Associés (Nombres), 2(i.
Aurifeuille, \!\i.
Binôme (Gongruence), 109.
Calcul par congruence, 21.
Carré (Derniers chiffres d'un), 80.
Carrés (Table donnant les), 162.
Congruence binôme, 109.
— (Calcul par), 21.
— y Définition d'une), i5.
— du premier degré ( Solution
d'une), 24, 5o, 118.
— du second degré (Solution
d'une ), 85, 119.
— exponentielle, 126.
symbolique I -]— 90.
Congruences (Propriétés des), i5.
—( Système des), 41-
Criblage graphique, 34-42.
— mécanique, 43.
Cullen, 22.
Cunningham, 22, i32.
D (a,b),3.
Définition d'une congruence, iâ.
Derniers chiffres d'un carré, 80.
Dickson, 90.
Dirichlet (Lejenne-), vu.
Diviseurs linéaires des formes qua-
dratiques ( Nombre des ), 7.
— primitifs, 5o, 128.
—( Somme des), 7.
Euler, vi, vu, vin, 3, 9, 22, /f8, 182,
i4i, 160.
Équations indéterminées, io3.
Exponentielle (Congruence), 12.J.
Factorisation, 102.
Fauquemberghe, 9.
Fermât, vi, vit, 2, 3, 21, ^7, l\S,
49-
Fibonacci, \Z\.
Formes linéaires, 90, 97.
— quadratiques, 97.
cp (N), 10.
Gauss, vu, vin.
Germain (Sophie), 142.
Graphique (Procédé —de criblage),
34-42.
liermite, v, Vil, vin.
Humbert, vin.
Indicateur, 10.
Indice, n.~>.
Indices (Table des), 214.
Jacobi, vi, 78, 119.
— (Symbole de), 78.
T.agrange, vu.
Landry, 22, i3i.
Lehmer. 2, 89.
Legendre, vu, 78, 119.
— (Symbole de), 62, 78.
Lejeune-Dirichlet, vu.
Loi de réciprocité, 72.
Lucas, 22, i32.
Mécanique (Procédé — de criblage),
43.
Minimum (Résidu), 19.
Morehead, 22, 14 3.
Nombre des diviseurs, 7.
— parfait, 8.
— premier, 1.
Nombres amiables, 9.
associés, 26.
— premiers (Table des), 2.
Pervoncliinc,
INDEX ALPHABETIQUE.
Powers, 9.
Primitifs (Diviseurs), 5o, 128.
Primitive (Racine — d'une con-
gruence), m.— (Racine — d'un nombre), n5.
Quadratique (Résidu), 62.
Racine primitive d'une congruence,
m.Racine primitive d'un nombre, n5.
Résidu minimum, 19.
Résidu «'pni«, 12O.
— quadratique, 62.
Résidus (Table des), 200.
Seelhof, 22.
Sophie Germain, \!\i.
Somme des diviseurs, 7.
Symbole de Jacobi, 78.
— de Legendre, 62, 78.
Système des congruences, 41«
Table des indices, 214.
— des nombres premiers, 2.
— des résidus, 20.3.
— donnant les carres, 162.
Vilsoiu 53, 83.
Western, 22, i'p.
ERRATA.
Plusieurs erreurs typographiques se sont malheureusement glissées au cours
de l'impression de cet Ouvrage. Nous donnons ci-dessous les principales. Le
lecteur corrigera facilement de lui-même les autres.
'âges. L^ne (')• Au lieu de : Lire :
9— 10 22 V
i3 — 8 premiers avec inférieurs à î\
36 - 3 3 — 3
38 12 2 — 2
4o — 8 12 — 12
39 — 1 x = 3 ( mod 4) x = 2 ( mod 4)
4o 7 x == 586 x = 386
àl 6 les deux termes les termes
5i 3 2" —
1
a" — 1
6o - 4 z^ — p z* — z
6i 6 = ^ 1
67 9 supérieurs inférieurs
76 7il vient
( il vient
l à un multiple de p près
83 *7 x7 = ±b x = ± b
117 8 am am120 9 et 1
1
^3i3, 5353 76i3, 6353
i3o, ll 3706 3607
i 9 3 - 8 N =9. 2.3.4.7 2.4.6.7
128 Les nombres 3 et 9 du tableau doivent être permutés.
121-122 Les indices suivants doivent être corrigés :
N== 11 19 29 3i 4 1 47 ^9 61 67 73 79 83
IndN = 788i 6418 i399 6218 67 39 3622 8243 4655 8116 6823 6923 6916
(') Le trait placé devant un chiffre signifie que les lignes sont prises en
remontant.
KRAÏTCHIK.
TABLE DES MATIÈRES
Pages
.
Préface de M. d'Ocagne v
Chapitre I. — Généralités.
1 . Nombres premiers et composés i
2. La suite des nombres premiers est illimitée i
3. Nombre des nombres premiers 2
4. Formule générale des nombres premiers 2
5. Plus grand commun diviseur. Nombres premiers entre eux 3
6. Si deux nombres sont premiers avec un troisième, le produit de ces
nombres est aussi premier avec ce troisième nombre. 4
7. Décomposition en facteurs 4
8. Condition pour que la racine k u'mc d'un nombre soit rationnelle S
9. Théorème fondamental 5
10. Plus grande puissance de A qui divise n\ 6
11 . Nombre et somme de diviseurs. Applications 7
12. Nombres parfaits 8
13. Nombres amiables , 914. Nombre de décompositions en deux facteurs 10
15. Indicateur 10
1G. L'indicateur d'un produit de deux nombres premiers entre eux est égal
au produit des indicateurs de ces nombres 11
17. Formule de l'indicateur n18. Nombre des nombres ayant un plus grand commun diviseur donné
avec le nombre donné i3
19. La somme des indicateurs de tous les diviseurs d'un nombre est égale à
ce nombre 14
Chapitre II. — Congruence du premier deg\
1 . Définition d'une congruence if>
2. Propriétés des congruences i5
3. Résidu et résidu minimum 18
4. Formule donnant le signe du résidu minimum 19
5. Valeur de f{x) pour un module donné 20
6. Calcul par congruence 21
7. Nombre des congruences possibles pour un module donné 23
KRAÏTCHIK l5
Q26 TABLE DES MATIÈRES.
Pages.
8. Nombre des solutions d'une congruence donnée,
23
9. Une congruence du premier degré est toujours possible et n'admet
qu'une solution si le coefficient de l'inconnue et le module sont pre-
miers entre eux 24
10. Solution d'une congruence du premier degré par fractions continues.. 24
11
.
Symbole x == — ( mod p) 25
12. Nombres associés 26
13. Autre méthode de solution d'une congruence du premier degré 26
14. Cas quand le coefficient de l'inconnue et le module ne sont pas pre-
miers entre eux 28
15. Système de congruence 28
16. Un système des congruences est toujours compatible si les modules
sont premiers entre eux 3i
17. Criblage, procédé graphique " 34
18-20. Exemples numériques 36
21
.
Criblage mécanique 43
22. Système de congruence de même module 41
Chapitre III. — Généralités sur les congruences de degrés supérieurs.
1
.
Théorème de Fermât 47
2. Autre démonstration 4^
3. Théorème d'Euler 4$
4. Application à une congruence du premier degré '.
5p
5. Diviseurs primitifs d'un nombre de la forme a" — 1 So
6. Congruence de degrés supérieurs 5i
7. Une congruence de degré m n'admet pas plus de m solutions 5a
8. Quelques identités 53
9 . Théorème de Vilson 53
10. Tout nombre premier de la forme l\n +1 est un diviseur d'une sommede deux carrés 54
1 1
.
Relations entre les coefficients et les racines 54
12. Solutions communes à deux congruences 55
13. Cas où le module est inférieur au degré de la congruence 55
14-15. Condition pour qu'une congruence de degré m admette m solutions. 56
1. Toute congruence du second degré peut être ramenée à la forme z 1 h= q
( mod p) 5g
2. Cette congruence admet deux solutions ou est impossible 60
3-/|. Condition pour que la congruence z- = q ( mod p) admette deux solu-
tions 60
5. Symbole (£\ 61
6. Symbole(
• ) 62
TABLE DES MATIERES. 227
(q\PageS '
7. Symbole l —jquand q est composé
(33
8. Cas de p = 4 k -f- 1fi
r
9-10. Théorèmes concernant les résidus quadratiques 65
11. Formule pour déterminer l^-\ 66
12. Cas quand q est impair gg
13. Symbole(j) 6g
14. Autre formule pour la détermination de (%.\ ~
15
.
Loi de réciprocité
16. Récapitulation des formules concernant les résidus quadratiques17. Autre point de vue18. Cas d'un module =
.. 7 3
74P" .5
19. Cas de q — g20. Cas de p = 2" ............. .'
. . . . ; . . . . . . . .
.'
; .
'
21
.
Cas d'un module composé. Symbole de Jacobi ig
22. Application. Les derniers chiffres d'un carré gG
23. Solution de la congruence symbolique(-
]= +1 82
24. Résolution directe de la congruence x- = a (mod/?) 83
i° Cas de a = — 1 r>o
2° Cas de p — %k -+- 3 8/1
3° Cas de /> = 8 A + 5 ; [[ 84
25. Solution générale gc
20. Cas /> = A" ..'..'
827 « cas ^=2" y./.y/.y/.y.y.^'.;;;;";'.'.*.; 8s28. Applications
: i» Trouver les n derniers chiffres d'un nombre, connais-sant les n derniers chiffres de son carré pq
2° Trouver un nombre qui finisse avec les mêmes n chiffres queson carré
9°
29. Solution de (- \ = ,
\x) ' 90
30. Théorèmes concernant l'équation symbolique (~\ — y..'. QI
31
.
Solution de(-
J= i dans certains cas
q 3
32. Solution de (=-2) = . g6
33. Table de ces solutions (Table II)
34. Forme quadratique'
35. q= D est résidu de x"1 ± Dy 2
q836. Importance de ce résultat.
Qg37. Identité des diviseurs linéaires de x7 ± Djk 2 et z 2 ± D 0838. Tout nombre qui divise une somme de deux carrés est une somme de
deux carrésg
39. Tout nombre premier de la forme 4A + 1 est une somme de deuxcarrés
99
228 TABLE DES MATIERES.
Pages.
40. Cas d'un nombre composé 100
41 . Nombre de décomposition en somme de deux carrés ioo
42. Application à la pratique 101
43. Mêmes théorèmes pour les formes x2 -+- iy2, x2 H- 3y 2 102
44. Applications aux équations indéterminées io3
45. Equation linéaire ax -h by + c = o io4
46. Équation bilinéaire axy -+- bx -h cy -h g? = o 104
47. Equation y 1 == ax"2 -+- bx -h c ije>5
48. Équation générale /( x) = F (y) 106
49. Équation x1 zt Dy- = N 107
Chapitre Vr
. — Congruences binômes, Indices.
Congruences exponentielles.
1-5. Théorèmes concernant les congruences binômes 109
6. Racine primitive d'une congruence ni7. Congruence x?~ x == v ( mod/?). Racine primitive d'un nombre 112
8. Indice 1 i5
9. Relations invariantes d'un système d'indices 116
10. Indice d'un produit, puissance, quotient 116
11. Table d'indices 117
12. Application à une congruence du premier degré 118
13. Application à une congruence de second degré 119
14. Table d'indices jusqu'au 10000 119
15. Exemple 120
16. Usage de cette Table 122
17. Condition de possibilité d'une congruence binôme xm = A (mod/?) .... i23
18. Cas où l'on ne possède pas une Table d'indices 1^4
19. Changement de base d'un système d'indices. Invariants 12!?
20. Congruence « r =i (mod/?) 12S
21-22. Théorème concernant cette congruence 126
23. Répartitions de p — inombres (mod/?) 127
24. Diviseurs primitifs d'un nombre de la forme am — 1 128
25. Cas de p = am i3o
26. Cas de /? = 2m iîo
Chapitre VI. — Factorisation.
1. Historique i32
2. Application de la Table de diviseurs linéaires des formes quadratiques.
Application à un nombre de 8 chiffres i33
3. Factorisation indirecte par la décomposition en somme de deux carrés. i4o
4. Application de la réciproque du théorème de Fermât 142
5. Factorisation par la forme x"1 —y 2 = N. Considération sur le choix de
l'inconnue soumise au criblage i4 2
6. Introduction d'un nouveau facteur i45
7. Cas d'un nombre de la forme a'1 dr bn 146
8. Formes linéaires de x i4$
TABLE DES MATIERES. 22g
Pages
.
9. Module 2" i5o
10. Module 3" i5o
11. Module 5" i5i
12. Application à un nombre de 19 chiffres i5i
13. Conclusion . 160
Tables.
I. Tables donnant les carrés de tous les nombres inférieurs à 1 million. 162
II. Diviseurs linéaires des formes quadratiques x 1 ±: Dy 2 pour toutes
les valeurs de D inférieur à 200 164
III. Formes linéaires 187
1 . Formes linéaires de x, y, a, b dans à1 -+- b 2 — x 2 — y"1 = JN 187
2. Formes linéaires de a, b, x, y, z, t dans
a- -+- b 2 = x 2 — y 2 = z l -h zri3 = t2 + nv 2 = N 190
IV. Table de résidus , 2o5
1. Résidus quadratiques de N pour N inférieur à 200 2o5
2. Résidus cubiques et sixièmes 200 208
3. Résidus biquadratiques 260 209
4. Résidus cinquièmes et dixièmes [\Zo 210
5. Résidus septièmes et quatorzièmes 640 211
6. Résidus huitièmes et seizièmes + 44° 2l2
7. Résidus neuvièmes et dix-huitièmss 750 2i3
V. Table des indices de tous les nombres premiers inférieurs à 5o pourtous les modules inférieurs à 1000 2 14
VI. Décomposition de 2" ± 1 218
1 . Décomposition de 2" -+- 1 pour n impair :
n = 1 — 7 1.75. 81 .87.89.99.105.107. 1 17. 127 218
2. Décomposition de 2" -+- 1 pour n impair : '
n = 1 — 65.69.75.77.81 .83.87.91.97.99.105. nr ,r35 219
3. Décomposition de 2 2 " h- i pour n impair :
77-4-1 rt'-4-l
Décomposition de 2"— 2 2 +1 et an'-f-a 2 -h 1 :
n = 1 — 69.75.81.85.87.91.99. io5.i 35.i 65 220
n'= 1 — 65.69.70.75.78.81 .87.93.99. 105.129. 1 35 221
4. Décomposition de 22 " -1-1 pour n pair :
n = 2 — 32. 36. 38. 4o.44 • 222
Index alphabétique 223
FIN DE LA TABLE DES MATIERES.
PARIS. — IMPRIMERIE G AUTH IER-VI LLARS ET O,
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*M-+t mr1 o fev.m
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