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La LIbre Immo du 27 août 2015
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© S.A. IPM 2015. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit.
Quand l’urbanismePLOMBE LES VENTESA Bruxelles, les communes peinent à transmettre à tempsles renseignements urbanistiques d’un bien, obligatoiresdès l’annonce de sa mise en vente depuis le 1er août 2014.
pp. 4 et 5
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PortraitP.3Depuis deux ans, EmmanuelMalfeyt coordonne le clusterd’entreprises bruxelloisEcobuild.brussels.
D.R.
Rendez-vous surWWW.LOGIC-IMMO.BE
ConjonctureP.6Le Baromètre côtier desnotaires est sorti. Retrouvezles prix des appartementscommune par commune.
En vueP.3La rentrée académiquese profile aussi pourles professionnels del’immobilier.
MarchéP.7Plus de choix, des biensplus grands, le tout pourles mêmes mensualités decrédit qu’en 2013. Etude.
AnnoncesPP.8-16Dans ce supplément,9 pages d’annoncesimmobilières pour trouverle bien de votre choix.
Supplément à La Libre Belgique - N°296 - Semaine du 27 au 2 septembre 2015
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2 EN VUE SEMAINE DU 27 AU 2 SEPTEMBRE 2015 LIBRE IMMO
AgendaConcoursTrophées de l’Agence de l’année 2015.La société Bientôt-Vendu organise, pour la 3e
année consécutive, la remise de ses Trophéesde l’immobilier. Toutes les agences peuventparticiper gratuitement à ce concours, enremettant un dossier d’inscription completavant le 30 août prochain. Après uneprésélection effectuée par Bientôt-Vendu, lesdossiers de candidatures retenus serontexaminés par un jury de professionnels. Al’issue des délibérations, 10 prix seront remisaux courtiers participants, parmi lesquels lesprix de la meilleure agence immobilière de2015 dans chaque province du pays et desprix spéciaux (photo, vitrine, relation client).U Inscriptions via le lien http://pro.bientotvendu.com/users/sign_up
FormationEscala, spécialiste en formation pourl’administration publique, le secteur nonmarchand et sans but lucratif, propose uneformation consacrée à certains instrumentsdu Code wallon du logement – critères desalubrité et de sécurité, aides, lutte contrel’inoccupation – à destination des employésdes autorités locales et publiques comme dessociétés de logements sociaux. Prérequis :une connaissance de base du Code.UCSC Bouge, Chée de Louvain n°510 à5004 Bouge. Deux sessions de 3h le 28/9(9h30, 12h30 et 15h30); 150 euros.
SalonSecond Home International, le salon de laseconde résidence, se tiendra du 25 au27 septembre au Brussels Expo de Bruxelles.L’entrée (10 €) vaut pour deux personnes. Encas d’enregistrement en ligne, le prix duticket d’entrée est raboté de 50%.Uwww.secondhomeexpo.be
Un hôtel où le clientest roi à Versailles
Le château de Versailles accueillerabientôt un hôtel de grand luxeavec vue sur l’Orangerie.
LE CHÂTEAU DE VERSAILLES vient officiellement de lancer un appel d’offres pour la transformation en hôtel de luxe d’un ensemble de troisbâtiments longeant le Parterre de l’Orangerie. Unedémarche qui “s’inscrit dans la politique de rénovation et valorisation des espaces et d’implantationd’activités économiques dans les monuments historiques définie depuis plusieurs années par le ministrede la Culture et le secrétaire d’État au Tourisme”,souligne la direction de l’édifice public français.
Situés en prolongement de l’aile du Midi, leGrand Contrôle, le Petit Contrôle et le Pavillon despremières cent marches représentent une superficie totale de non moins de 2 800 m² et sont inoccupés depuis 2008. L’idée de leur réaffectation enétablissement hôtelier n’est pas neuve, puisqu’unprojet de transformation du Grand Contrôle en“hôtel de charme” de 23 chambres avait déjà étéannoncé en 2010. Une concession pour une durée
de 30 ans avait alors été accordée à une société privée, Ivy International, qui avait finalement renoncé.
Le groupe AccorHotel est en liceLe projet défini dans l’appel d’offres actuel com
porte entre autres lignes directrices une évaluation du budget nécessaire à pareille opération deréaffectation : la rénovation de la toiture et desmurs des trois vénérables édifices représente uninvestissement évalué entre 4 et 7 millionsd’euros, auquel viendraient s’ajouter 4 millionsd’euros pour l’aménagement intérieur. La concession porte toutefois sur le double de la durée accordée précédemment : 60 ans. A noter encoreque l’accès du futur l’hôtel sera extérieur au parcdu château et se fera via la rue de l’Indépendanceaméricaine. Ce qui n’empêche pas une partie (privilégiée) des chambres d’avoir vue sur l’Orangerie.
Au rang des candidats ayant d’ores et déjà répondu à l’appel d’offres figure le Français AccorHotels. “Ce qui serait surprenant, c’est qu’on nefasse pas partie des groupes qui soumettent un projet.A partir du moment où vous êtes numéro un sur unmarché, c’est logique qu’on soit dans la course”, a indiqué un porteparole du groupe hôtelier. (AFP)
Dormir à Versailles, un rêve en passe d’être réalité via la réaffectation des bâtimentsdu Grand Contrôle (à gauche) et du Petit Contrôle (à droite, en briques rouges).
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LA PARUTION DE LA SEMAINEJulien Cabay, assistant-chercheur au sein de l’Unité de droit économique du
Centre de droit privé de l’Université libre de Bruxelles (ULB), et IsabelleEkierman, avocate, titulaire d’un diplôme d’architecture (Ensaav La Cambre)et spécialisée en droit immobilier, cosignent un ouvrage offrant une analysecomplète de l’un des nouveaux métiers de la construction bouleversant le
schéma classique du trio maître d’ouvrage-architecte-entrepreneur : le“project manager”. Son statut, ses missions ainsi que ses responsabilités sont
identifiés précisément et articulés harmonieusement avec ceux d’autresprofessionnels (architectes et entrepreneurs). Spécialement sur la questiondes responsabilités, l’ouvrage démontre que certains cas de responsabilitétraditionnellement imputés à l’un de ces autres acteurs pourront l’être au
project manager, allant dans le sens d’un régime unifié de responsabilité pourl’ensemble des intervenants.
-> Editions Larcier, 128 pages, 25 euros. ÉDITIONS
LARC
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2 EN VUE SEMAINE DU 27 AU 2 SEPTEMBRE 2015 LIBRE IMMO 3EN VUEPLUS D’ANNONCES SUR WWW.LOGIC-IMMO.BE
Entremetteur ès construction durableMettre en relation, valoriser, informer et orienter. Voilà les quatre missionsd’Ecobuild.brussels, le réseau des acteurs de la construction et de la rénovationdurables à Bruxelles, dont Emmanuel Malfeyt est le coordinateur depuis 2014.
EMMANUEL MALFEYT en est convaincu : la construction durable estl’avenir du secteur. Une certitudeque la plupart des professionnelspartagent aujourd’hui, mais qui, àl’époque où elle s’est ancrée dansl’esprit – et le cœur – du trentenaire était singulière, pour ne pasdire… visionnaire. Telle une révélation, elle s’est imposée à lui dès sa2e année de bachelier en architecture à l’Institut Henry Van deVelde, à Anvers. “J’avais choisi l’option ‘construction écologique’, alorspeu prisée, et j’ai été fasciné par le faitqu’un bâtiment n’est autre qu’uneentité vivante, animée par des fluxd’énergie entrants et sortants”, expliquetil. L’année suivante, il partétudier en Espagne, aux îles Cana
ries, et y découvre “l’importance del’ancrage d’un bâtiment sur un sitedonné compte tenu de ses caractéristiques climatologiques propres. Unecompétence que les Espagnols ont développée bien avant nous, tant leurpays est riche et contrasté d’un pointde vue environnemental”.
De retour en Belgique, Emmanuel Malfeyt poursuit son cursus àBruxelles, où il entame un masteren architecture à SaintLuc. “Je mesuis alors rendu compte que je préférais les chantiers au travail en amontet j’ai monté une société de construction de maisons durables en ossaturebois avec un ami en 2007.” La petiteentreprise va grandissant et, bientôt, le jeune homme décide de s’yconsacrer entièrement.
“Sept ans plus tard, en 2014, nousétions à la tête d’une équipe de septouvriers et étions appelés sur des
chantiers partout dans la capitale etalentours quand j’ai eu l’opportunitéde devenir coordinateur du clusterd’entreprises Ecobuild.brussels, dontj’étais membre par ailleurs.” Unnouveau défi qu’il relève en pleinecroisée des chemins. “La conjoncture économique était difficile. Pourdévelopper encore notre société, il fallait faire de grands investissements,ce à quoi nous n’étions pas prêts.”
Sous son impulsion, le clusterouvre ses portes aux entreprises enconstruction non plus seulementécologique, mais durable. “Outrel’emploi de matériaux et techniquesrespectueux de l’environnement, lesaspects économiques et sociaux sontdésormais aussi pris en compte”,précise Emmanuel Malfeyt. Autreévolution, l’accueil de grandes entreprises en sus de la majorité dePME qui compose les 145 mem
bres d’Ecobuild.brussels. Une cohabitation bénéfique pour les unscomme les autres, la plateforme lesincitant à échanger savoirfaire etcompétences, développés à grandeéchelle ou de manière spécialisée.“Cette collaboration leur permetd’accéder à de nouveauxmarchés.”
Soutenu par ses membres qui enapprécient l’intermédiaire, le cluster s’est imposé au fil des anscomme un partenaire régional, national et international incontournable. Un succès qu’EmmanuelMalfeyt attribue au secteur vers lequel convergent ses efforts. “Le brioavec lequel les entreprises ont relevéle défi de la nouvelle réglementationPEB 2015 à Bruxelles a placé la capitale sur la carte internationale entant que pionnière de la constructiondurable”, conclutil fièrement.
Frédérique Masquelier
UNE MISSION D’URBANISMED’ÉTUDE POUR LE SITE DE L’OTAN
L’Agence de Développement Territorial (ADT) de la Régionbruxelloise lance un appel à intérêt pour une mission
d’étude portant sur l’actuel site de l’Otan, sur le boulevardLéopold III, sur les communes d’Evere et de Haren.
Pour rappel, les quartiers de l’Alliance transatlantique fontpartie d’un ensemble foncier de 90 ha appartenant à la
Défense Nationale, dont 40 ha sont situés en Régionbruxelloise. Suite au déménagement de l’Otan vers sonnouveau siège, de l’autre côté du boulevard, la Ville deBruxelles et Evere élaborent depuis 2012 un PPAS (Planparticulier d’affectation du sol, dit “Da Vinci”) sur desterrains appartenant à Citydev.brussels et à la Défense
Nationale. De son côté, cette dernière entend élaborer unestratégie de développement de ses propres terrains.
Le marché proposé par l’ADT comprend donc deux missionsdistinctes : une mission d’étude pour identifier et évaluerles potentialités programmatiques et urbaines du site; etune autre de suivi pour veiller à leur bonne transposition
dans le PPAS Da Vinci. Le budget de la mission nedépassera pas 85 000 euros et le marché sera attribué à
l’issue d’une procédure négociée sans publicité.PHOT
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243 000BAISSE DE L’IMMOBILIER DANS LE PATRIMOINE DES MÉNAGES
D’après le dernier “Focus” financier publié par les analystes de la Banque ING, le patrimoineimmobilier du ménage belge moyen s’élevait, fin 2014, à 243 000 euros. Le patrimoine
financier atteignait, lui, 246 400 euros au début de l’année en cours (des études indiquenttoutefois que la plupart des ménages du pays n’en possèdent en moyenne que le dixième,
soit un peu moins de 25 000 euros). A l’échelle de la Belgique, les actifs immobiliers de noscompatriotes pèsent, fin 2014, 1 176 milliards d’euros, contre près de 2 400 milliards pour
le patrimoine total. “On constate qu’avec la faiblesse de la croissance des prix immobiliers(0,8 % en 2014) et la forte contribution des effets de valeurs sur le reste du patrimoine, le
patrimoine financier des Belges a légèrement plus progressé quel’immobilier : la part de ce dernier continue donc de baisser
légèrement”, concluent les auteurs du “Focus”.
L’IMMOBILIER AUSSI FAIT SA RENTRÉE DES CLASSESIl n’y a pas que les têtes blondes qui s’apprêtent à reprendre le chemin dessalles de classe et des auditoires; la cloche sonnera également bientôt pourles professionnels de l’immobilier. La Solvay Business School, qui organise
un Executive Programme en Immobilier (en un an) depuis 2001, etl’Université Saint-Louis, dont l’Executive Master en Immobilier (en deux ans)est dispensé depuis 2010, entrent toutes deux dans les starting-blocks. Ellesne vont, en effet, pas tarder à clore les dernières inscriptions aux cours, qui
peuvent encore s’effectuer jusqu’en septembre, malgré le fait qu’unepremière sélection des dossiers de candidatures soit d’ores et déjà en cours.Solvay est la première à entamer l’année académique nouvelle. Elle a choisi
de marquer le début des festivités en grande pompe en conviant YvanMayeur, bourgmestre de Bruxelles, à s’exprimer sur les politiques
immobilières et de mobilité de sa ville à l’occasion d’une leçon inauguraleprévue le jeudi 24 septembre prochain (dès 18h30, hôtel de ville, Grand-
Place, Bruxelles. Inscriptions avant le 18/9). Saint-Louis lui emboîte le pasdeux mois plus tard, le 19 novembre 2015. Si la date est arrêtée, il n’en estpas encore de même pour le choix de l’orateur et du sujet. A noter que lesamoureux de la langue de Vondel sont eux aussi à l’aube d’une nouvelle
année académique, deux masters en immobilier étant prévus dans les cursusproposés par la KUL (Leuven) et l’UAntwerp (Anvers).
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4 DOSSIER SEMAINE DU 27 AU 2 SEPTEMBRE 2015 LIBRE IMMO
Les renseignements urbanistiques tardent, vendeurs et acquéreurs s’en passentPressés par leurs clients,les notaires élaborent des solutionspour pallier les retardsdes communes bruxelloises.Les informations urbanistiques,obligatoires dès la publicitéde la vente, ne sont parfois mêmeplus consultées avant d’acheter.
Dossier Yvan de Smet
UN BUT LOUABLE MAIS UNE MISE EN PLACEdésastreuse. Le message des professionnels del’immobilier est unanime, la modification duCode bruxellois de l’aménagement du territoire (CoBAT) qui impose au vendeur d’un bienimmobilier de disposer des informations urbanistiques le concernant dès l’annonce de samise en vente est une bonne chose. Quoi demieux en effet pour le futur acquéreur qued’avoir toutes les cartes en main pour se décider ?
C’est néanmoins sans compter, dans les faits,sur une mise en place chaotique. Là encore, notaires et agents immobiliers se rejoignent : catastrophique, voire dramatique, il n’y a pas demots assez forts pour qualifier les conséquences de la mesure sur le marché. Depuis son entrée en vigueur, le 1er août 2014, les communesde la capitale censées délivrer les précieusesdonnées endéans les 30 jours accusent un certain retard. “La plupart des communes bruxelloises ne respectent pas le délai imparti,mais la situation est spécialement délicate à BruxellesVille. Ona enfin récupéré il y a quelques jours des documents dont on avait fait la demande en… janvierdernier”, précise Gaétan Bleeckx, notaire àSaintGilles.
C’est le notaire qui s’y colleD’après le CoBAT, les renseignements urba
nistiques doivent être disponibles dès la publicité de la vente. Mais, dans la pratique, ce sontsouvent les notaires, qui interviennent plustard dans la transaction, au moment de la signature du compromis de vente, qui font officede relais auprès des services urbanistiques descommunes. Et ce, soit parce que le particuliervend luimême sa maison et n’est pas au courant de la démarche, soit parce que l’agent immobilier propose de s’en occuper pour décrocher le mandat de vente… et s’empresse ensuited’en transmettre la charge à un notaire.
“Nous nous occupons nousmêmes d’obtenir lesrenseignements urbanistiques nécessaires, mais jecomprends ceux qui refilent la patate chaude, souligne Aymeric Francqui, agent immobilier responsable des ventes chez Latour&Petit. C’est untravail à risque : les ventes ne sont pas assurées,donc les heures sont parfois perdues. Sans compterl’accès difficile au cadastre.” Les notaires possèdent, en effet, un accès direct pour introduireleurs demandes de relevé cadastral. “Dans certaines communes, on peut s’enquérir des renseignements urbanistiques sans ce relevé, expliqueGaétan Bleeckx. Sinon, il faut compter jusqu’àtrois semaines pour l’obtenir, auxquelles on ajouteau minimum un mois pour réunir le reste des informations.” Là encore, chaque entité communale a son mode d’emploi. “Certaines utilisentun documenttype, d’autres ont leur propre ver
sion. Pour le paiement, c’est aussi au cas par cas,préalablement ou à la réception. Il y a parfois lapossibilité d’introduire des demandes urgentes,mais les prix grimpent jusqu’à 450 euros… pour finalement respecter le délai légal”, dénonce Aymeric Francqui.
Pas d’attente indéfinieEn pratique, le notaire contacte donc les ser
vices urbanistiques des communes au momentde la signature du compromis de vente et… attend parfois encore leur retour à celle de l’acteauthentique. Que faire lorsque les précieuxrenseignements n’arrivent pas ? “Passé le délaide 30 jours, si la commune n’a pas répondu et queles deux parties sont d’accord, on peut obtempérer”, nuance Maître Bleeckx. Et d’ajouter que“la transaction immobilière modifie une existence : on ne peut pas suspendre des vies indéfiniment”. “Les acheteurs ont des conditions de créditslimitées dans le temps. Ils ne veulent pas payer pluspendant 20 ans à cause d’un retard de la commune”, complète son confrère Olivier Dubuisson, notaire à Ixelles.
Les agents immobiliers ont, quant à eux, unepetite astuce pour éviter un allongement desdélais risquant de mettre la vente en péril. “Onsuggère d’insérer une clause spécifique dans l’actede vente stipulant que la transaction est concluepour autant que les renseignements urbanistiquescorrespondent à la réalité, explique AymericFrancqui. Mais certains notaires ne l’acceptentpas toujours.” En effet, la validité d’une tellecondition suspensive n’est pas avérée. En cas deconflit, les parties n’ont d’autre choix que d’assumer d’être passées outre. “Tout recours contrela commune semble illusoire, notamment en raison du devoir de conseil des notaires, insiste Olivier Dubuisson. Nous attirons toujours l’attention de l’acquéreur sur l’intérêt de se renseignerauprès de la commune. D’autant que seul l’acquéreur a visité le bien et peut attester de sa conformité réelle. Le notaire ne découvre l’appartementou la maison que sur papier.”
Les renseignements urbanistiques ne sontd’ailleurs pas tous de grande valeur. Aucunemention d’infraction n’y figure si la communen’est pas au courant. “Dans 90 % des cas, ces renseignements ne sont pas déterminants”, déclareencore le notaire ixellois.
Alors pourquoi avoir changé la législation ?Selon Paul Houtart, “il n’y avait pas de demandedu marché”. Pour le viceprésident de l’Institutprofessionnel des agents immobiliers (IPI), “lestransactions litigieuses n’étaient pas plus nombreuses, ce sont les mœurs qui ont changé. Les acquéreurs sont plus exigeants et acceptent moinsl’incertitude qu’avant. La situation actuelle résultede deux niveaux de pouvoirs qui ne discutent pas.La Région bruxelloise a imposé sa décision,mais cesont les communes qui doivent l’appliquer.”
Et ailleurs ?A noter qu’au Nord du pays, le même type de
règlement est de mise, et ne souffre d’aucun délai. Les demandes d’informations urbanistiquessont introduites en ligne et généralement obtenues dans les deux semaines.
En Wallonie, a contrario, point encore d’obligation de renseignements urbanistiques. Lesnotaires font les vérifications nécessaires àtemps pour la signature de l’acte, comme auparavant dans la capitale. Avec ceci que le prochain Code du développement territorial(CoDT), l’équivalent wallon du CoBAT, devraitmême permettre de passer outre lorsque lacommune ne respecte pas le délai légal.
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4 DOSSIER SEMAINE DU 27 AU 2 SEPTEMBRE 2015 LIBRE IMMO 5DOSSIERPLUS D’ANNONCES SUR WWW.LOGIC-IMMO.BE
Les renseignements urbanistiques tardent, vendeurs et acquéreurs s’en passent
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Quels secrets livrentles renseignementsurbanistiques ?Des précisions historiques s’ajoutent aux donnéesfactuelles délivrées par les communes.
Pourquoi des informations, déjàrequises lors de la signature d’unacte authentique depuis de nombreuses années, créent de tels retards au sein des communes ?
De un, le changement de calendrier prévu par le Code bruxelloisde l’aménagement du territoire(CoBAT), soit la communicationdes renseignements urbanistiques dès la publicité de la venteplutôt qu’à la signature de l’acte,provoque parfois plusieurs demandes pour un même bien. Chaque agence mandatée – ou le notaire avec lequel elle a l’habitudede travailler – introduit donc sonpropre dossier auprès des servicescommunaux.
De deux, outre l’augmentationdes demandes, c’est leur contenuqui gonflent. Si la destination dubien, les conditions de soumission d’un permis de constructionet l’existence de plan d’expropriation ou de classement sont desdonnées transmises de longuedate, l’information urbanistiqueinclut désormais l’existence éventuelle d’un plan d’alignement. Dequoi déterminer obligatoirement
l’implantation du bâtiment oul’emplacement d’une haie parrapport au domaine public. La législation en vigueur ajoute tousles renseignements sur les permiset sur les certificats d’urbanisme.Même les refus sont concernés. Letravail de recherche est dès lorsforcément fastidieux, mais l’information sur les autorisationss’en trouve enrichie.
Les différentes affectations etutilisations du bien complètentles indications délivrées par lacommune. L’acquéreur attentifretiendra que cette affectation estpurement indicative si une modification a eu lieu avant que ce nesoit soumis à une réglementation.
Les constats d’infractions urbanistiques sont également joints audossier. Attention, dans la majorité des cas, les infractions n’ontjamais fait l’objet de procèsverbal et sont donc inconnues de lacommune. “Les renseignements urbanistiques ne reflètent pas forcément la réalité. Ils ne sont que la facejuridique d’un bien”, rappelle Gaétan Bleeckx, notaire à SaintGilles.
YdS
130,57 €EN MOYENNEPour obtenir les renseignementsurbanistiques dans les communesde la capitale, il faut en moyennedébourser quelque 130 euros.Dans la pratique, l’addition variedu simple au quintuple selon quele bien se situe à Saint-Josse-ten-Noode ou à Bruxelles-Ville.
A noter que plusieurs entitésproposent des tarifs d’urgence.Le vendeur pressé en est quittepour 120 euros à Auderghemmais doit débourser 400 euros àForest. Le délai annoncé oscillealors entre cinq et sept jours.Gageons qu’il soit respecté…
Particularité etterbeekoise :la commune propose des petits(69,5 €) et des grands (139,5 €)renseignements urbanistiques,mais les deux types sont toutefoisnécessaires lors de la mise envente d’un bien. (YdS)
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6 CONJONCTURE SEMAINE DU 27 AU 2 SEPTEMBRE 2015 LIBRE IMMO
Une brique côtière vieillotte,mais dont la valeur remonteLes notaires publient leur dernierBaromètre côtier. Bilan ? Le nombrede transactions et les prix sont en hausse.
ALORS QUE L’ÉTÉ TOUCHE DOUCEMENT à sa fin, la Fédération royale du notariat belge s’est attardée sur l’horizoncôtier et plus particulièrement sur son parc immobilier, afind’en délivrer les récentes statistiques en matière de transactions et de prix de vente.
En ce qui concerne les premières, le bilan est plutôt positif. Les notaires constatent une hausse de 4,8 % de l’activitéimmobilière entre le semestre écoulé et le 1er semestre del’année 2014. Une “performance” qui doit toutefois être relativisée. “Par rapport à la moyenne nationale, le littoral a enregistré... 5,7 % de transactions immobilières en moins tout demême, nuancent les auteurs du Baromètre côtier notarial.Cela signifie que la Côte n’a su tirer profit que dans une moindre mesure de la forte augmentation des transactions immobilières constatée à l’échelle du pays depuis la seconde moitié de2014.” L’une des raisons avancées par les notaires pour expliquer ces résultats en décalage est peutêtre le nombreélevé d’appartements plus anciens mis sur le marché ausein des 10 communes côtières au cours de la période analysée. “De nombreux candidatsacquéreurs privilégient lesnouvelles constructions ou les biens récents”, arguentils.
Quid des prix ? Après une “assez longue” période de baisse,courant sur les années 2012 et 2013, les tarifs des appartements “reprennent des couleurs” le long de la mer du Nord :+2,9 % pour les biens sis en 1re ligne (en bordure de la digue),à 320 000 euros en moyenne, et +3,6 % pour les lignes suivantes, à 264 500 euros. Les biens les plus coûteux se retrouvent, sans surprise, à Knokke, Heistaanzee et Coxyde,où il faut compter respectivement 397 500, 290 000, et255 000 euros pour un appartement. Des valeurs qui atteignent des sommets lorsqu’il est question de la digue knokkoise : 675 000 euros… en moyenne toujours.
F.Ma.
En bref
AmbitionsLe site VendreDirect.com et sonpendant flamandDirectVerkoop.com, réseauximmobiliers sans commissionlancés fin 2013, annoncent avoirfranchi, en juillet dernier, le capdes 400 particuliers ayant venduun bien en direct donc sansintermédiaire si ce n’est celui dusite. “La moitié des adhérents ontvendu en moins de 15 jours, précisele responsable de la plateforme,pour un délai moyen de vente de 34jours.” Quotidiennement, les deuxsites sont visités par plus de 500candidats-acquéreurs, avec unepointe record de 2 000 visiteurssur une journée. Soit, au total, plusde 250 000 visiteurs. L’entreprisebelge (18 collaborateurs) arécemment levé 1,25 million
d’euros de capitauxsupplémentaires via desinvestisseurs de capital-risque, cequi porte le montant total levé àl’heure actuelle en deux rondes etplusieurs “business angels” à2,10 millions. Jusqu’à présent,VendreDirect a essentiellementinvesti dans la technologie. Placedésormais aux investissementsdans le marketing et lacommunication.
FréquentationAu cours du deuxième trimestrede cette année, un peu plus de20 millions de personnes(20 866 791 très exactement) ontfoulé les allées des 15 plus grandscentres commerciaux du pays (duWijnegem anversois au M2 deMaasmechelen en passant entre
autres par l’Esplanade à LLN, leCity 2 bruxellois, la Médiacitéliégeoise, le Waasland à Sint-Niklaas, le Woluwe à Bruxelles, lesGaleries Saint-Lambert àLiège, etc.). Ce chiffre defréquentation, annoncé par le BLSC(Belgian Luxembourg Council ofShopping Centers) est en recul de0,89 % par rapport au mêmetrimestre de 2014, mais de 2,10 %par rapport à celui de 2013.
AcquisitionsLe portefeuille de Qrf, sociétéimmobilière réglementée (SIR), adépassé, au cours du premiersemestre 2015, les 150 millionsd’euros (+7,9 % par rapport au30 décembre 2014). Notammentgrâce à l’acquisition d’immeublescommerciaux dans les centres-
villes – puisque tel est le cœur decible de la SIR – de Gand, Namur,Anvers et Oudenaarde (4 unités decommerce et 3 unitésrésidentielles). Le tauxd’occupation du portefeuille (129unités sur 39 sites) est de 99,04 %(96,20 % hors garanties locativessur les biens vacants). A noter quele résultat net courant a augmentéau cours de ce premier semestre de17,9 % à 2,52 millions d’euros.
NominationMatexi, groupe de construction-promotion connu notamment pourses développements de quartiers,renforce son conseild’administration avec un 5e
membre externe : Bernard Delvaux,l’administrateur délégué du SonacaGroup.
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6 CONJONCTURE SEMAINE DU 27 AU 2 SEPTEMBRE 2015 LIBRE IMMO 7MARCHÉPLUS D’ANNONCES SUR WWW.LOGIC-IMMO.BE
Maison|Berchem-Sainte-AgatheLe 19 mai dernier, lors d’une séance de ventepublique unique, le marteau est tombé à215 000 euros pour une maison d’habitationsise rue Egide Winteroy n°56 à Berchem-Sainte-Agathe (Bruxelles). Le bien, construit en 1950 etlibre d’occupation au moment de la vente,comprend deux chambres, un salon, une salle àmanger, une cuisine et une salle de bain,répartis sur un rez-de-chaussée et 2 étages. Letout est assorti d’un jardin. Superficie au sol dubien et du terrain : 97 ca. PEB : catégorie F. CO2 :66 kg/m²/an. Revenu cadastral : 1 222 euros.UVente réalisée par Matthieu Derynck etDanielle Duhen, notaires à Bruxelles(respectivement 1000 et 1082).
215 000 euros
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Bureau |BruxellesLe 28 mai dernier, une surface de bureauinscrite dans la Résidence des Académies, auxn°s20-22 de la rue Belliard, à Bruxelles, a trouvéacquéreur à 201 200 euros. Soit une sommeidentique à celle atteinte lors d’une précédenteséance de vente avec faculté de surenchère.Le bureau, d’une superficie de quelque 145 m²,est inscrit au 2e étage de l’immeuble. Il estassorti d’un emplacement de parking au rez-de-chaussée. Le lot était occupé par son ancienpropriétaire au moment de la vente. Superficieau sol de l’immeuble : 4 a 06 ca. PEB : pasd’application. Revenu cadastral : 4 033 euros.UVente réalisée par Gérard Indekeu et DimitriCleenewerck de Crayencour, notaires associésà Bruxelles (1050).
201 200 euros
NVN-FEDN
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Immeuble de rapport |BruxellesLe 1er juin dernier, un immeuble de rapport sisrue Lebeau n°s 77-79, à l’angle de la place duGrand Sablon, en plein cœur de Bruxelles, achangé de mains pour… 2,48 millions d’euroslors d’une séance de vente publique unique.Il compte un rez commercial de 44 m² et 184 m²de logements, ventilés en 4 appartements du1er au 4e étage. Tous sont loués (570 à 680 eurosmensuels pour les logements, 5 333 euros pourle rez commercial). A noter que la régularitéurbanistique du nombre de logements n’est pasgarantie. Superficie au sol : 56 ca. PEB noncommuniqué. Revenu cadastral : 2244 euros.UVente réalisée par Robert Langhendries,notaire à Bruxelles (1180).
2,48 millions d’euros
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Libre Immo - Supplément hebdomadaire à La Libre Belgique. Coordination rédactionnelle: FrédériqueMasquelier. - 02/211.28.28 - [email protected] Illustrations: Etienne Scholasse.Réalisation: IPM Press Print. Administrateur délégué - éditeur responsable: François le Hodey. Directeur général: Denis Pierrard. Rédacteur en chef: Francis Van deWoestyne. Rédacteurs en chef adjoints:Xavier Ducarme et Gilles Milecan. Conception graphique: Jean-Pierre Lambert (responsable graphique). Publicité: Véronique Le Clercq - +322/211.27.64 - [email protected]
“Lesménagesbelges disposentd’une superficie
supérieure et d’unplus grand choixde biens pour desmensualités de
crédit identiques àcelles payées il y a
deux ans.”JOHN ROMAIN,
DIRECTEURD’IMMOTHEKER
Le conseiller indépendant Immotheker, spécialisé dans les avis sur les crédits d’habitation et laconstitution de capital, publie les résultats d’une analyse de 300 000 simulations de calcul d’emprunthypothécaire effectuées au cours des deux dernières années par les candidats à l’acquisition sur sonsite Internet. Bilan ? En comparant le 1er semestre de 2015 à celui de 2013, il s’avère que le prix d’unbien a gonflé de 10 000 euros en moyenne, passant de 240 000 à 250 000 euros. Soit un bond de+4,2 %, contre +5 % les années précédentes. A l’inverse, les taux d’intérêts (pour un emprunt sur 25
ans) ont, eux, diminué, dégringolant de 3,9 à 2,57 %, en moyenne toujours. Ce qui revient à direqu’avec la charge mensuelle (1 120 euros) d’un ménage moyen, le Belge peut désormais emprunter…33 000 euros de plus sur 25 ans, soit 249 000 euros, contre 216 000 voici deux ans. Conséquence,les acquéreurs ont accès à un panel de biens plus large qu’avant, équivalent à 54 % de l’offre, contre
44 % voici deux ans. Rien d’étonnant, dès lors, à ce que le nombre de demandes de crédit se soitenvolé au cours du 1er semestre de l’année : +8,27 % par rapport à pareille époque en 2013. Cette
demande en masse est aussi le fait de l’arrivée sur le marché acquisitif de ménages aux revenus moinsélevés, qui, attirés par les taux bas, tentent leur chance auprès de leur organisme de crédit. Lequel doit
malheureusement les refouler en raison d’un manque de fonds propres disponibles.
REPO
RTER
S/FA
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FACE
15HÔTELS AUTOROUTIERS EN BELGIQUE
D’après le site Internet néerlandais LangsDeSnelweg.eu, quiréférence les “meilleurs arrêts en bord de route en Europe”,qu’il s’agisse d’hôtels, restaurants, pompes à essence, etc.,
l’offre belge d’hébergements autoroutiers estparticulièrement pauvre. Non pas tant au Sud du pays, la
Wallonie étant relativement bien couverte (10établissements) en la matière, mais au Nord. La Flandre necompte en effet qu’une poignée d’hôtels (5 établissements)le long de ses voies rapides, la plupart bordant la E40 et laE17. Une faiblesse sur laquelle De Vastgoedgids, un réseau
belge de promoteurs et de groupes hôteliers (dont fontpartie, entre autres, Ibis, Accor, Industrie Hôtelière,
Radisson Blu, Hollyday Inn, Bricks&Leisure, etc.) basé àGand, attire l’attention, invoquant le fait que, selon une
enquête réalisée par ses soins, la rentabilité desétablissements hôteliers croît pourtant dans les zones
traversées par plus de 20 000 véhicules par jour. A ce titre,la Belgique représente un marché intéressant, pointe leréseau De Vastgoedgids, de par sa situation centrale en
Europe et donc, sa qualité de pays de transit. Et ce, tant àdestination des touristes que des hommes d’affaires ou des
chauffeurs de poids lourds. Fort de ce constat, ledéveloppeur flamand (Flandre occidentale) spécialisé dansl’immobilier de loisirs Bricks&Leisure annonce la mise enchantier d’un nouvel hôtel Ibis Budget de 80 chambres à
côté de la E40, à Jabbeke (plus de 50 000 véhiculesquotidiens), en périphérie de Bruges et à 15 minutes
d’Ostende. La livraison est prévue pour fin 2017.Les candidats à l’investissement peuvent d’ores et déjà
acquérir une chambre, à partir de 100 095 euros, bénéficesgénérés par la totalité de l’activité de l’hôtel à la clé.
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10 ANNONCES SEMAINE DU 27 AU 2 SEPTEMBRE 2015 LIBRE IMMO
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12 ANNONCES SEMAINE DU 27 AU 2 SEPTEMBRE 2015 LIBRE IMMO
à vendre
MAISONS250.000à500.000€
21-102121902-02
21-111863407-07
21-111863401-01
à vendre
MAISONS>500.000€
21-111857104-04
21-111863105-05
21-111863109-09
21-111858602-02
21-111858601-01
21-111863102-02
21-111857107-07
21-111857108-08
21-111863106-06
21-111864409-09
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14 ANNONCES SEMAINE DU 27 AU 2 SEPTEMBRE 2015 LIBRE IMMO
21-111863104-04
21-111858607-07
21-111863107-07
21-111863404-04
21-111857105-05
21-111863108-08
21-111863202-02
21-111863103-03
à vendre
MAISONSnonprécisé
21-111857106-06
21-111856704-04
à vendre
APPARTEMENTS<250.000€
21-111709602-02
21-111864406-06
21-111709601-01
21-111864408-08
à vendre
APPARTEMENTS250.000à500.000€
21-102121901-01
21-111857103-03
21-111864407-07
21-111857101-01
21-106137902-02
21-111864402-02
21-111864404-04
21-111858605-05
21-111864401-01
21-111863110-10
21-111864405-05
21-111864410-10
21-111863101-01
à vendre
APPARTEMENTS>500.000€
21-111863406-06
21-111863403-03
21-111858610-10
21-111858609-09
21-111857102-02
21-111858608-08
21-111864403-03
21-111858603-03
21-111858604-04
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salle de ventes
BRUXELLES
21-111817801-01
ventes par notaires
BRABANT
21-111806801-01
21-111858606-06
21-111863405-05
à vendre
APPARTEMENTSnonprécisé
21-111856703-03
21-111857901-01
21-111856701-01
21-111856702-02
VIAGER
21-109768901-01
21-102311601-01
21-102311602-02
IMMEUBLESDE RAPPORT
21-111863402-02
21-111857902-02
à louer
APPARTEMENTS
21-111709604-04
21-111709603-03
à louer
LITTORAL
21-110163701-01
21-110008701-01
SENIORIES
21-111863201-01
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