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Février 2010 www.nmc.nc

Smsp Guide 022010 Fr

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Sommaire

Introduction générale …………………………………………………………………………

3

Le mot du Président………………………………………………………

4

Organigramme du groupe SMSP ……………………………………….

6

I - Les centres miniers ……………………………………………………………..

8

L’activité minière de NMC …………………………………………………………………….... Poya………………………………………………………………………………………………... Ouaco………………………………………………………………………………………………. Nakéty……………………………………………………………………………………………… Kouaoua…………………………………………………………………………………………….

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1 – Situation 2 – Historique 3 - Activité minière 4 - Environnement 5 – Chargement 6 - Moyens humains 7 – Infrastructures 8 - Contacts

II - Les règles à observer ………………………………………………………..…………...

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1 - Accès des personnes et des véhicules …………………………………………………..

20

2 - Normes de sécurité et tenues réglementaires sur site …..………………………………

21

3 – Règles de conduite sur routes et sur site ………………………………………………..

23

4 – Règles comportementales à l’intérieur des sites ……………………………………….

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5 - Respect de l’environnement ………………………………………………………………

25

6 - Charte informatique ………………………………………………………………………..

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Introduction générale

Acteur calédonien incontournable du rééquilibrage économique, le groupe SMSP a

pour principal objectif d'augmenter la stabilité, la visibilité et la valeur de ses actifs

miniers et ainsi créer des emplois en province Nord pour les années à venir. Cet

objectif passe par la valorisation de la ressource minière et par une stratégie orientée

vers la production de métal et la maximisation des revenus du métal et la cohésion

sociale.

Sous l’impulsion de son Président Directeur Général, André DANG VAN NHA, la

SMSP qui n'avait ni titre minier ni domaine en 1990 et qui travaillait donc comme

contracteur de la SLN, est devenue le premier exportateur de minerai du territoire

calédonien. C’est par ses participations majoritaires dans des actifs miniers et

métallurgiques, que le tâcheron calédonien, devenu 1er exportateur mondial de

minerais en 1995, est entré, dix huit ans plus tard, en octobre 2008, dans le domaine

réservé de la métallurgie.

Officialisé en 1998, le partenariat avec Falconbridge, puis avec Xstrata, œuvre pour

la réalisation d’exploitations rentables, pérennes et respectueuses de

l’environnement dans l’intérêt de toutes les parties prenantes : actionnaires,

employés et communautés concernées. A l’issue de la phase de faisabilité KNS

(Koniambo Nickel SAS) devient la co-entreprise basée en Nouvelle-Calédonie en

charge du projet de l'usine du Nord. Elle est détenue à 49% par Xstrata Nickel et à

51% par la SMSP.

Dans un souci constant de créer des emplois et de développer le Nord, le groupe

SMSP a aussi voulu donner une nouvelle perspective à l’exportation de minerais de

teneur moindre, au travers de son partenariat avec POSCO et de leurs co-

entreprises NMC (Nickel Mining Company SAS) basée en Nouvelle-Calédonie et

SNNC (Société du Nickel de Nouvelle-Calédonie et Corée) basée en Corée du Sud.

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Le mot du Président

Il nous aura fallu procéder étape par étape, de la sous-traitance à la mine, de la mine

à la métallurgie. En 1990, la SMSP était un sous-traitant de la mine sans domaine ni

titre miner. Dix neuf ans plus tard, elle devient métallurgiste et en 2014, la société

devrait disposer d’une participation majoritaire dans deux unités de production avec

une capacité de 90 000 tonnes de nickel métal contenu dans des ferronickels.

L’usine SNNC de Gwangyang en Corée du Sud, construite avec notre partenaire

POSCO, l’un des leaders mondiaux de l’acier inoxydable, permet au groupe SMSP

d’être encore plus fort économiquement, d’une part en valorisant au mieux notre

patrimoine minier en Nouvelle-Calédonie et d’autre part en accédant à la rente

métallurgique depuis octobre 2008, date de la mise en service de l’usine de

traitement des ferronickels.

C’est avec fierté que la SMSP est entrée dans le monde de la métallurgie, lors de

l’allumage du four de l’usine de Gwangyang le 25 août et la première production de

métal le 20 octobre 2008. Née d’un partenariat original et novateur entre une société

minière et un aciériste, cette usine pyrométallurgique d’une capacité annuelle de

30 000 tonnes de nickel métal contenu dans des ferronickels s’est construite sur un

complexe industriel qui possédait déjà toutes les infrastructures nécessaires : un port

international, une centrale, des routes, des convoyeurs terrestres, ce qui a permis de

réduire significativement les coûts d’investissement. L’usine a atteint la pleine

capacité de production en octobre 2009. Ce partenariat unique au monde dans le

secteur du nickel permet de baisser la teneur du minerai exporté à 2.27%, ce qui

sécurise les exportations du groupe SMSP sur le long terme et permet à POSCO de

consolider une partie non négligeable de ses importations.

Le partenariat avec POSCO répond également et surtout à cet ultime objectif de la

valorisation de notre ressource minière car ce projet, qui vient en complément de

l’usine du Nord, permet de stabiliser la principale activité de la SMSP sur le long

terme tout en constituant un levier financier pour l'usine du Nord.

Le partenariat avec l’un des premiers producteurs mondiaux d’acier inoxydable, le

sud coréen POSCO, permet d’optimiser la ressource et de valoriser son patrimoine

en prolongeant la durée de vie de ses gisements tout en garantissant à son

partenaire un approvisionnement durable en minerai.

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NMC qui est la co-entreprise créée entre POSCO et SMSP est en charge de la

branche minière, constituée par les centres miniers de Ouaco et de Poya sur la côte

ouest, de Kouaoua et de Nakety sur la côte est.

Ce guide vous propose donc de découvrir ces 4 centres dont la production sera

essentiellement destinée à alimenter l’usine de Gwangyang en Corée du Sud dans

laquelle SMSP détient 51% ; il permet aussi de prendre connaissance des

principales règles à observer en matière de sécurité, d’hygiène et d’environnement.

André DANG VAN NHA Président de Nickel Mining Company SAS

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La Nouvelle-Calédonie dispose de 25% des ressources mondiales de minerai de nickel qui occupe depuis 128 ans une place emblématique dans le développement du territoire car le produit de la mine représente de loin la première source d’exportation. Le nickel a aussi une valeur hautement symbolique pour les calédoniens et l’usine du Nord nous permet de franchir une étape décisive dans l’émancipation économique du territoire. Situés sur la partie superficielle des massifs montagneux, les minerais de nickel de Nouvelle-Calédonie sont exploités en carrières à ciel ouvert. Le groupe SMSP dispose aujourd’hui de 6 centres miniers dont 5 entièrement dédiés à l’exportation de minerai : Ouaco, Poya, Nakety, Kouaoua et Boakaine, actuellement fermé.

Entre 1994 et 2007 la SMSP a exporté une moyenne annuelle de 31 000 tonnes de nickel métal, soit 2,1 millions de tonnes de minerais humides par an, ce qui la place dans le peloton de tête des exportateurs mondiaux de minerai. Au cours de l’exercice 2006-2007, les clients de la société minière ont été, par ordre d’importance en volume, les chinois Ningbo – Baosteel – Dalian Continental – Carter Company, l’australien Queensland Nickel Incorporation (QNI), les japonais Marubeni et Mitsui. Depuis 2008, la quasi-totalité des exportations de sa filiale NMC à qui elle a transféré son activité minière, est destinée à alimenter l’usine SNNC en Corée du Sud. L'activité minière de NMC est menée dans les centres répartis sur la côte Est et la côte Ouest. Deux gros centres (Ouaco et Kouaoua) emploient chacun de 153 à 60 personnes. Les centres plus petits (Poya et Nakety), font travailler en moyenne 71 à 51 personnes. A ces effectifs fixes de NMC, s’ajoutent les intermittents et contracteurs, notamment pour le chargement et l’évacuation du minerai. Chaque centre est géré par un Chef de centre, responsable du respect des objectifs en termes de production et de coût, dans le respect des politiques du groupe en matière d’hygiène, de sécurité et d’environnement. La réalisation de la pleine capacité de production de l’usine de Gwangyang a exhorté la montée en puissance de la production des quatre centres miniers. Pour ce faire, la NMC a préconisé la mise en place de double poste avec la publication de 94 postes CDI et le réaménagement des tranches horaires de travail dont une première de 4h00 à midi et une deuxième de midi à 20h00. Le système, mis en place à Poya en

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octobre 2009, sera généralisé à l’ensemble des centres NMC au cours de cette année. Un réseau radio équipe chaque centre et permet une bonne communication sur toute la zone couverte par les différentes opérations du centre. Cette installation est également un moyen défini et mis en place dans le cadre de la politique hygiène et sécurité du Groupe. Chacun des centres est aussi doté pour ses correspondances d’une adresse mail et de l’accès à Internet.

L’ACTIVITE D’EXPLOITATION DES CENTRES Elle comprend les phases suivantes :

1. La prospection et l’évaluation des gisements, conduisant au calcul des ressources et réserves, puis à la préparation des plans d’exploitation pluriannuels, dont chacun est un projet avec ses investissements, ses mesures environnementales et ses préparations réglementaires.

2. La pré exploitation qui comporte des sondages à maille serrée (de l’ordre de 10 m) ainsi que la préparation des verses à stérile et la gestion des eaux de ruissellement.

3. L’exploitation qui comporte : • Le décapage et l’extraction du tout venant, effectués aux moyens d’engins de carrière : pelles hydrauliques de 60 tonnes, chargeuses, bulldozers, tombereaux de 30 à 40 tonnes articulés ou rigides. • Le triage des minerais pour les débarrasser d’une partie des blocs stériles et réduire la granulométrie. Il est réalisé par des grilles, des cribles ou des ensembles wobbler concasseur. • L’évacuation vers le bord de mer par les routes de mines, assurée par des camions privés de roulage de 25 tonnes en moyenne pourvus de 10 ou 12 roues. • L’entreposage en bord de mer, le séchage, et finalement le chargement sur des minéraliers de 27 000 à 72 000 tonnes, au moyen de barges de 280 tonnes tractées par des remorqueurs. LA PRODUCTION MINIERE DES CENTRES Cette activité représente en moyenne 2,1 millions de tonnes de minerai par an. Il y a deux types de minerais : � Les saprolite (appelées «garniérites» en Nouvelle-Calédonie), minerai à haute

teneur (de 1.8 à 2.5%) près de la roche mère, destiné à la fusion qui produit les ferronickels et les mattes,

� Les limonites (appelées « latérites » en Nouvelle-Calédonie), minerai à teneur plus basse (de 0.7 à 1.6%) sous la cuirasse de fer, destiné à l’hydrométallurgie qui produit du nickel et du cobalt.

La balance annuelle entre garniérites et latérites dépend de la situation du marché. Jusqu'à présent la tendance a été de privilégier la garniérite, à plus grande valeur ajoutée, quand les cours du nickel au LME sont élevés et de favoriser la production de latérites quand les cours sont plus bas.

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CENTRE DE POYA : A CHEVAL SUR DEUX PROVINCES

1 - Situation :

Le centre de Poya a la particularité d’être à cheval sur les Provinces nord et sud. Il exploite la mine Pinpin qui culmine à 800m et qui est située à 27 kilomètres du bord de mer – ce qui en fait une source d’approvisionnement plus éloignée – et plus coûteuse en terme de roulage – que les centres de Nakéty et Kouaoua sur la côte Est qui sont à flanc de colline ou que le massif de Ouazanghou Gomen distant de 20 kilomètres du port de Téoudié.

2 - Historique : La mine Pinpin a été exploitée à partir des années 60 par la SLN. Au terme d’un protocole d’accord signé en 2000, la SMSP et la SLN ont procédé à un échange entre les massifs de Pinpin et de Konboye N’Goye à Thio. Les réserves de métal contenu sur les deux sites n’étant pas équivalentes, NMC s’est engagée à livrer à la SLN une soulte de 584 000 tonnes à 2,40% en compensation. A ce jour 162 000 tonnes ont été livrées à la SLN. Il reste encore à fournir 422 000 tonnes à 2,40% (ou 300 000 tonnes à 2,60%). 3 - Activité minière : La production annuelle du centre pour 2008 était de 150 000 tonnes de minerai garniéritique d’une bonne teneur en nickel avec un ratio fer/nickel et un taux d’humidité au dessous de la moyenne des autres centres. Cette production, qui a augmenté depuis 2002 avec une importance significative depuis 2006, devrait tripler dans les années à venir. Pour 2009, l’objectif de production est fixé à 250 000 tonnes de minerai garniéritique, destiné essentiellement à alimenter l’usine SNNC en Corée du Sud. La principale difficulté pour le développement de l’exploitation de la mine Pinpin reste néanmoins l’étroitesse de la piste d’accès qui n’est plus adaptée à la taille des engins modernes. Les 9 rouleurs effectuent en moyenne 6 voyages par jour, soit 108 rotations auxquelles il faut rajouter 30 rotations journalières pour le personnel d’exploitation, soit 138 au total.

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4 - Moyens humains : Le centre de Poya emploie 71 personnes (emplois permanents, sous-traitants et contracteurs permanents), plus 21 pendant les chargements : 71 salariés permanents rattachés au centre, 12 contracteurs pour le roulage du minerai, 2 pour l’arrosage des pistes sur mine, 2 pour l’entretien des pistes, 1 pour les travaux d’environnement, 2 pour la mise en stock au bord de mer. Pendant les chargements la société a recours à 5 rouleurs pour le chargement des barges, 8 intermittents pour le chargement et l’échantillonnage et 8 pour la batellerie. 5 - Chargement : Le site de chargement du minerai en bord de mer est situé sur le domaine maritime en baie de Porwi. Le minerai est maintenant évacué par de petits minéraliers de 45 000 tonnes pouvant transporter 33 000 tonnes de minerai. Les cinq chalands et les deux remorqueurs nécessaires au chargement proviennent de Téoudié et de Numbo. Le laboratoire équipé d’un potentiomètre contrôle les teneurs pour ajuster la qualité du minerai chargé. Il est fait appel à des sous-traitants pour l’évacuation du minerai, les opérations de chargement, une partie de l’échantillonnage, les manœuvres d’amarrage, l’arrosage du site et son nettoyage. Des matelots intermittents interviennent en complément. Afin de livrer à l’usine de Gwangyang un minerai de qualité, de réduire le taux d’humidité du minerai et ainsi répondre aux réglementations maritimes internationales en matière du transport de minerai de nickel, le centre NMC de Poya entreprend actuellement diverses opérations de gestion de stocks en bord de mer : agrandissement de la zone de stockage, séchage au vent et au soleil du minerai humide, déblai du minerai, couverture par bâche des layons de minerai séché, tests réguliers et suivi de mesure du niveau de séchage du minerai. Par ailleurs des essais de couverture de barges par bâches sont en cours pour améliorer les conditions de chargement par temps de pluie. 6 - Environnement : Des campagnes d’hydroseeding (semis) ont permis de revégétaliser complètement la verse Dimitri située au pied de massif à l’entrée de la mine. Ces opérations ont permis de contenir les flancs de la verse située dans une zone trop éloignée des points d’alimentation en blocs. En juin 2008, près de 3700 plants (principalement des dodonéa viscosa, de cordyline et de baumea) ont été mis en terre, en partenariat avec les élèves du Lycée agricole de Pouembout). Réalisation de systèmes anti-pollution par des bassins de décantation et des barrages de retenue sur le massif. Les travaux principaux ont porté sur la reprise et le reconditionnement des barrages Thierry, Yves et Emilie, des grands ouvrages situés en pied du massif Pinpin. Des correctifs ont été apportées à certains réseaux d’écoulement du périmètre 2 sur la zone « Vielles carrières ». Elles portent essentiellement sur des ouvrages supplémentaires de rétention intermédiaire de bassins, de décanteurs, de barrages imperméables et filtrants. Suite au projet Caladenia, les travaux relatifs à la gestion des eaux de la piste de roulage entre le pied de mine et Doline ont été réalisés en vue de sécuriser le roulage et pérenniser l’utilisation de la piste même par temps de fortes pluies. Les travaux effectués concernent : le re-profilage de 7KM de piste, la réalisation d’exutoires et d’ouvrages permettant la continuité hydraulique (cassis et buses), le curage, l’agrandissement et l’enrochement des exutoires et des barrages en cascade. En pieds de mine, les travaux réalisés portent sur le curage,

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l’aménagement et l’enrochement des barrages Val, Monica, AC1 Ouest, AC1 Est et AC2. 7 - Infrastructures disponibles : Le centre de Poya dispose de six villas louées dans le lotissement FSH, toutes propriétés de la SOGENOR. Ces villas servent au bureau administratif (qui sert également de réfectoire), au logement (chef de centre, équipes volantes ou de passages) et aux réunions ou formations. 8 - Contacts :

Téléphone Fax Email

Secrétariat 47 10 95 Atelier 47 90 94

Bord de mer 47 92 86 42 33 30

[email protected]

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CENTRE DE OUACO : LE CŒUR HISTORIQUE DE NMC

1 - Situation :

Le centre de Ouaco est situé dans les plaines de la côte nord-ouest de la Nouvelle-Calédonie, sur le territoire de la commune de Kaala-Gomen. Le centre recouvre :

- Le village, où sont regroupés les bureaux de direction et le secrétariat, les ateliers de maintenance, le magasin industriel, le laboratoire et le dock de l’équipe de sondage et de chaudronnerie.

- Les massifs miniers de Ouazanghou, distant de 20 kilomètres, et de Taom, distant de 30 kilomètres. 2 - Historique : La SMSP a été rachetée, ainsi que l’ensemble du village, par la SOFINOR (holding de la Province nord) en 1990 à la famille Lafleur, après la signature des Accords de Matignon-Oudinot, et a poursuivi l’activité d’extraction au profit de la SLN et de clients étrangers à l’exportation. Les membres d’une association qui vient de s’établir en 2009, sous l’appellation « l’Association du Patrimoine historique de Ouaco et de Kaala-Gomen » se mobilisent, au travers des journées du patrimoine ou des visites organisées, pour préserver et faire connaître au public, l’histoire de Ouaco (ses bâtiments, sa mine, sa boîte de conserve, et le premier relais par câble téléphonique avec l’Australie…) et son rôle dans le patrimoine historique de la Nouvelle-Calédonie

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3 - Activité minière : Une dizaine de carrière sont exploitées sur le massif de Ouazanghou. Sur le massif de Taom, fermé en 2001 en raison de la chute des cours du nickel, l’extraction a repris depuis 2004 sur deux gisements. La production du centre de Ouaco est actuellement de l’ordre de 90 000 tonnes par mois, dont la quasi-totalité de garniérites. Elle est exportée vers la Corée du sud et occasionnellement vers la Chine pour le minerai latéritique de faible teneur. 4 - Environnement : De 2006 à 2008 près de 11500 plants ont été mis en terre avec différentes espèces (incluant notamment 4800 Dodonéa viscosa, 1800 acacia spirorbis et 1100 carpolépis). Les contreforts du massif ont été équipés d’ouvrages anti-pollution. Les barrages Marliez et Roussette situés au pied du massif Ouazanghou ont fait l’objet d’une reprise et d’un reconditionnement. En décembre 2008, le chantier de curage du bassin de sédimentation de Tinip a été confié à un sous-traitant. A noter qu’une extension du département HSE est basée à Ouaco. Il est chargé de la conception, de la réalisation et de l’entretien des ouvrages. Dans le cadre du projet Caladenia, les barrages de pieds de mine incluant Roussette, Thono, Deli et Sam ainsi que les barrages sur mine, Sapin, Tindout, Paulette 1, Paulette 2 et 1-Aval) sont entièrement curés. Par ailleurs les travaux concernant la reprise et la gestion complète des eaux de la zone Tindou, Kabbar et Nouvelle Espérance ont été réalisés. 5 - Chargement : Le site de chargement du minerai en bord de mer est situé à Téoudié, sur une propriété de NMC et en partie sur le domaine maritime. Le site de Téoudié dispose d’une flotte de 5 remorqueurs et de 18 chalands pour assurer les chargements de Ouaco et de Poya. La flotte est entretenue par la Cotransmine basée en baie de Numbo à Nouméa. Lors des opérations de chargement d’un navire, il est fait appel à 7 sociétés pour le roulage du minerai et le remplissage des chalands. Pour chaque livraison, des salariés intermittents sont recrutés. Le laboratoire est équipé d’un spectromètre (absorption atomique) et d’un potentiomètre ce qui assure un meilleur contrôle des teneurs lors des chargements. Les associations de femmes et les associations sportives assurent la restauration des ouvriers. 6 - Moyens humains : Le centre de Ouaco emploie 152 salariés dont une partie affectée aux opérations d’extraction qui sont également confiées en partie à une entreprise sous-traitante. Une entreprise de la région de Koumac intervient continuellement sur les sites en exploitation pour les besoins de dynamitage nécessaire pour améliorer et faciliter l’avancement des chantiers. 7 - Infrastructures disponibles : La quasi totalité du bâti du village de Ouaco appartient à la NMC. Les maisons sont louées aux salariés qui proviennent de communes éloignées et aux retraités qui ont choisi de demeurer sur place. Plusieurs maisons servent aux bureaux de direction, accueil-secrétariat, laboratoire... Il n’y a pas de réfectoire commun mais chaque service dispose d’une salle « cafeteria ». Il en est de même pour les sanitaires et les douches. Une salle de réunion syndicale est à la disposition du personnel

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En 2009 les travaux d’amélioration des installations fixes de Ouaco incluent en amont, l’amélioration des grilles de triage (exemple : celle de Taom : cloisons, barreaux ronds avec un espacement variant en fonction de la minéralisation), et en aval, la remise en état du concasseur JK en vue de la réduction à la bonne granulométrie des passants des grilles et l’intégration de deux sauterelles au dispositif pour améliorer la gestion des flux et des stocks.

8 - Contacts

Téléphone Fax Email Secrétariat 47 64 59 Atelier de Ouaco 47 64 54 Bord de Mer 47 91 16 Laboratoire 47 66 70 Magasin 47 57 45 Sondage 42 49 19 Atelier sur mine 47 91 08 Planification Ouest, géologie et HSE 47 65 62

47 66 72

[email protected]

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CENTRE DE NAKETY : UN CENTRE CONCENTRE

1 - Situation :

Les gisements de la société côtoient des domaines appartenant au Groupe Ballande. Ceci se traduit par une présence conjointe des deux groupes sur le même massif et l’utilisation d’un tronçon de piste commun pour accéder à leur exploitation respective. Le centre de Nakéty occupe la côte sud de la baie du même nom, sur la commune de Canala, à 18 kilomètres du bourg principal. Il exploite les mines Edouard, Euréka et la mine Circée qui a été ré-ouverte en septembre 2008 pour alimentation de l’usine SNNC en Corée du Sud. 2 - Historique : Les mines de Nakéty sont les premières à avoir été rachetées par la SMSP à la société Nouméa Nickel, en 1991, après le démarrage historique de l’entreprise dans la région de Ouaco. 3 - Activité minière : Jusqu’en 2008 la production annuelle était de l’ordre de 350 à 400 000 tonnes de minerai en garniérites pour les fondeurs japonais et le marché chinois et en latérites pour le fondeur australien QNI et pour le marché chinois.

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Depuis la fin 2008 la production de garniérites a été essentiellement destinée à l’alimentation de l’usine SNNC en Corée du Sud et la production de minerai latéritique de faible teneur au marché australien. 4 - Environnement : Plus de 6500 plants ont été mis en terre comprenant différentes espèces (particulièrement 3800 Dodonéa viscosa, 1500 acacia spirorbis et 1000 Bauméa) avec réutilisation du top soil pour du merlonage protégé et servant de coupe-vent pour les endroits les plus exposés au vent. Les dispositifs anti pollution sont en cours d’achèvement. Les travaux environnementaux ont porté principalement sur la réalisation de dispositifs de sécurisation du périmètre 2 autour de la zone dite Eureka. Le barrage Victor est le premier ouvrage de Circée à subir des correctifs. 5 - Chargement : Les chalands et les remorqueurs nécessaires au chargement proviennent de Kouaoua ou d’un prestataire externe basé sur la baie opposée. Les aires de stockage et les installations pour le chargement du minerai en bord de mer sont partagées avec la société Ballande. Le laboratoire qui vient d’être agrandi, est équipé en potentiomètre et est destiné aux opérations de contrôle des teneurs. 6 - Moyens humains : Le centre emploie 51 salariés principalement originaires du district de Nakéty mais également de Canala. Pour les opérations de chargement, il est fait appel à des intermittents répartis en deux équipes et gérés par le GIE Mitewa Différentes missions sont assurées par des sous-traitants ; le roulage, le transport du personnel, des tâches environnementales et l’arrosage des pistes. La restauration est assurée par un patenté du district. 7 - Infrastructures : Le centre de Nakéty dispose de locaux regroupés en bord de mer pour héberger les services administratifs. Pas de raccordement au réseau Enercal : alimentation par groupes électrogènes. De même, l’eau est fournie par bouteille. Le centre compte une salle cafétéria et un restaurant d’entreprise qui est confié à une gérante qui s’occupe également de la tenue des bungalows mis à disposition des collaborateurs de passage. L’atelier de maintenance se trouve sur la mine de Circée. Les ouvriers disposent également de zones de vies composées de containers aménagés, pour la prise de poste (bureaux), les moments de pause (prises de repas, wc) sur les sites d’extraction et à proximité du laboratoire. 8 - Contacts :

Téléphone Fax Email

Secrétariat 42 31 81 Atelier 47 92 76 /77 Laboratoire 42 40 01

42 31 19

[email protected]

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CENTRE DE KOUAOUA : PETIT MINEUR DEVENU GRAND

1 - Situation :

Les bureaux du centre sont à une douzaine de kilomètres du village de Kouaoua, sur la route menant à Poro. Les mines du site sont SMMO 36 (Kadjitra ainsi que d’Alice 18), SMMO 37 et Claire Red (en sommeil) 2 - Historique : La société Nickel Mining Corporation qui détenait les mines de Kouaoua et qui était en difficultés financières a été rachetée par la SMSP, en 1998, pour le franc symbolique. 3 - Activité minière : La production annuelle est de 450 000 tonnes de minerai garniéritique et latéritique humide intégralement destiné à l’exportation. Les garniérites étaient destinées aux clients japonais et chinois et sont maintenant exclusivement destinées à l’alimentation de l’usine SNNC en Corée du sud. Les latérites de faible teneur sont exportées vers l’Australie. 4 - Environnement : Les opérations de revégétalisation sont conduites par hydroseeding de la verse de pied de mine de plus de 10 000 m², avec réutilisation du top soil sur des verses ou banquettes gelées. Les travaux de sécurisation portent sur l’entretien du périmètre 2,

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autour de la zone SMMO 37 Intermédiaire et la zone Basse. La verse SMD1 a fait l’objet de reconditionnement. 5 - Chargement : Le site de bord de mer de Kouaoua abrite la batellerie de Cotransmine, filiale de la SMSP, pour toute la Côte Est (soit le centre de Nakéty). Elle comprend 7 chalands de 250 tonnes et 4 remorqueurs. Les pics de chargement sur la côte nécessite parfois la location de chalands appartenant à d’autres opérateurs voire en complément la sous-traitance du remorquage. Et inversement, Cotransmine peut louer ses équipements de chalandage. Le laboratoire en bord de mer équipé d’un spectromètre et d’un potentiomètre permet un meilleur contrôle des teneurs et de la qualité des produits générés à tous les stades du process minier. 6 - Moyens Humains : Le centre emploie 60 salariés provenant des communes de HouaÏlou, Kouaoua et Canala. Des salariés intermittents interviennent pour la préparation granulométrique des échantillons, pour l’amarrage des chalands, le guidage des camions au wharf, le matelotage et le grutage lors des chargements de minéralier. Différentes missions sont assurées par des sous-traitants : le roulage, le transport de personnel, décapages, tris de mines, sondage, l’arrosage de piste, la mise en stock et le triage en bord de mer, le ravitaillement en gazole et le préventif des camions et engins miniers. 7 - Infrastructures : Le centre de Kouaoua dispose d’installations rudimentaires, anciennes et dispersées qu’il est envisagé de réhabiliter. Les locaux administratifs et ceux du campement minier au bas du massif, ne sont pas raccordés au réseau Enercal : alimentation par groupes électrogènes. L’atelier mécanique, situé au sommet de Kagitra, abrite également un vestiaire pour le personnel et un magasin de stockage de pièces détachées. Une zone de vie a été réalisée à partir de containers aménagés en cantine, bureaux ou sanitaires. Cette zone est équipée des réseaux d’eau et électricité, de cuves de stockage d’eau, de sources d’énergie électrique et d’installation de climatisation. Au mois de décembre 2009, les premiers essais opératoires du scalpeur qui a remplacé le wobbler installé depuis 30 ans à Kouaoua ont été satisfaisants. L’utilisation optimale de cet outil ad hoc va améliorer la productivité et la qualité du minerai du centre à destination de l’usine de Gwangyang. 8 - Contacts :

Téléphone Fax Email

Secrétariat 42 45 30 [email protected] Laboratoire 47 91 46

Atelier 47 91 77 42 44 50

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1 - Accès des personnes et des véhicules sur site

� Tous les véhicules utilisés par les employés et sous traitants doivent impérativement être en règle et en bon état de marche.

Toute personne étrangère à l’entreprise ne peut s’introduire ou être introduite dans les locaux ou dans les zones d’activité des sites miniers, sans raison dûment motivée et autorisée par le chef du centre. Les visites grand public ou de spécialistes peuvent être organisées selon le protocole des visites des centres miniers NMC.

� Interdiction de pénétrer ou de demeurer sur les centres miniers en état d’ivresse ou sous l’emprise d’une drogue ou de toute autre substance prohibée. Le responsable du centre pourra interdire l’entrée sur le site à toute personne dont l’état d’imprégnation alcoolique constituerait une menace pour elle-même ou pour leur entourage.

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2 - Normes de Sécurité et Tenue réglementaire sur site Tout manquement aux différentes mesures de sécurité énumérées ci-dessous, sera sanctionné par les mesures disciplinaires réglementaires :

� Chaque membre du personnel doit avoir pris connaissance des consignes de sécurité qui sont affichées sur les lieux de travail.

� L’utilisation des moyens réglementaires de protection contre les accidents du travail est obligatoire

� L’Equipement de protection individuel (EPI) sur mines est obligatoire pour tous visiteurs : casque, chaussure de sécurité, gilet haute visibilité.

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� Il est interdit de manipuler les

matériels de secours (extincteurs, lances à incendie, portes de secours) en dehors de leur utilisation normale et d’en rendre l’accès difficile.

� Il est interdit de neutraliser tout dispositif de sécurité.

� Les opérations de manutention nécessitant l’utilisation d’un moyen mécanique sont strictement réservées au personnel habilité à les faire.

� Tout accident, même léger, survenu au cours du travail (ou du trajet) doit être porté immédiatement et au plus tard dans les 24h à la connaissance du chef hiérarchique de l’intéressé.

� Le personnel est tenu de se soumettre aux visites médicales obligatoires (périodiques, d’embauche et de reprise).

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3 - Règles de conduite sur routes et sur site

La circulation sur mine est particulière. Elle ne répond pas aux mêmes exigences que le code de la route. Des règles précises doivent être observées pour tous véhicules roulants qui empruntent la piste principale.

- Vitesse limitée à 40 km/h.

- Sens de la circulation pour les centres de Ouaco et Nakety :

Les véhicules qui montent du bord de mer vers le sommet de la mine, empruntent le côté de la piste qui est proche du ravin. Inversement, ceux qui descendent vers le bord de mer, empruntent le côté de la piste proche du talus. Cette règle simple permettra à un conducteur de stopper son véhicule contre le talus en cas de défaillance technique

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4 - Règles comportementales à l’intérieur des centres

� Interdiction de fumer dans les locaux portant les panneaux « Interdiction de fumer ».

� Il est rappelé l’interdiction

d’introduction, de distribution et d’usage sur les centres miniers de l’alcool (sauf dans des circonstances exceptionnelles de type « pot » de fin d’année), de la drogue ou toute autre substance prohibée.

� Il est strictement interdit de se

bagarrer ou de provoquer des bagarres à l’intérieur des centres.

� Les armoires vestiaires mises à la disposition de certains membres du personnel doivent être maintenues en état de propreté constante et fermées à clé.

� Une tenue correcte est exigée pour

tous salariés travaillant sur site minier ou ayant un travail salissant et devant se rendre dans les locaux administratifs ou autres bureaux de l’entreprise.

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5 - Respect de l’environnement

NMC achève la phase de diagnostic environnemental pour l’accompagnement d’une certification ISO 14 001 (norme environnementale), ce qui inscrit la société dans une démarche d’anticipation à la réglementation minière. A toutes les étapes de l’exploration minière, le souci de préservation de l’environnement est devenu une priorité de NMC. L’environnement est pris en compte sous toutes ses formes tant au niveau de la gestion des eaux de ruissellement sur mine, que de la pollution dite industrielle et de la revégétalisation.

� Gestion des Eaux Tous les centres disposent d’un cahier de route ainsi qu’un planning de travail de remise aux normes. Sur les niveaux d’exploitation des carrières comme sur les pistes d’accès, des caniveaux sont à aménager pour canaliser les eaux de ruissellement.

NMC, avec l’aide de bureaux d’étude met en œuvre un plan d’action sur toutes les mines en activité. Les travaux de mise en conformité vont se poursuivre sur les trois années à venir. L’objectif du plan d’action est de protéger au mieux les cours d’eau bordant les massifs et indirectement le lagon.

� La pollution dite industrielle : La gestion des déchets inertes et

spéciaux

Cette gestion se traduit par une collecte des batteries, qui doivent être descendues sur notre centre de dépôt à Nouméa afin d’être acheminées vers l’Australie et la Nouvelle-Zélande.

Les huiles usées sont collectées et stockées sur mine, dans des cuves prévues à cet effet et sont ensuite pompées par des entreprises spécialisées pour être traitées et éliminées à Doniambo.

Les autres familles de déchets moins nocifs sont également récoltées sur centres et doivent être aujourd’hui acheminée vers les dépotoirs des communes minières.

Les acides et produits chimiques anciens des laboratoires sont regroupés au laboratoire central de Nouméa et sont envoyés pour traitement vers l’Australie ou la Nouvelle-Zélande.

Chaque individu est responsable de ses déchets et de leur mise à dépôt.

� Les opérations de revégétalisation

des sites Le service de revégétalisation a été crée en 2006. Il s’est fixé des objectifs primordiaux : Revégétaliser les verses à stériles sur les centres miniers. Revégétaliser toutes les plateformes de stockage de bord de mer

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6 - Charte Informatique

NMC dispose d’un système d’information et de communication nécessaire à son activité et aux échanges professionnels comprenant notamment un réseau informatique et téléphonique. Ce système englobe principalement les ordinateurs, le réseau informatique, les photocopieurs, les téléphones, les logiciels, les fichiers, les bases de données, intranet, extranet. La direction informatique est responsable du contrôle et du bon fonctionnement de l’ensemble du système ; des contrôles automatisés et manuels sont mis en place. Les utilisateurs sont informés que de multiples traitements sont réalisés afin de surveiller l’activité du système d’information et de communication. Dés lors, un certain nombre de règles communes et une vigilance globale doivent être appliquées et respectées par l’ensemble des utilisateurs salariés : - Confidentialité des paramètres d’accès : l’accès à certains éléments du système d’information est protégé par des

paramètres de connexion (identifiants, mot de passe). Ces paramètres sont personnels à l’utilisateur. - Protection des ressources : Interdiction d’amener du matériel informatique personnel sur le lieu de travail ; l’utilisateur ne doit pas installer de logiciel, ni copier ou installer des fichiers susceptibles de créer des risques de sécurité sans l’aval préalable du service informatique. - Accès à Internet : Les 4 centres sont dotés pour leurs correspondances d’une adresse mail et de l’accès à Internet pour des informations plus générales (comme par exemple la météo, les cours du LME ou des nouvelles sur le site web du Groupe SMSP). Cet accès Internet est ouvert mais pour des raisons de sécurité, l’accès à certains sites peut être limité ou prohibé par le service informatique ; celui-ci est habilité à imposer des configurations du navigateur et à restreindre le téléchargement de certains fichiers. - Messagerie électronique : Selon leurs missions, les salariés peuvent disposer d’une adresse de messagerie électronique à caractère interne et/ou externe. - Limites techniques : La taille, le nombre et le type des pièces jointes sont limités pour éviter l’engorgement du système de messagerie. Il est demandé une vigilance particulière sur les envois volumineux et recommandé de prendre contact avec le service informatique pour valider de tels envois.