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S»,AMée. — C li} .aO T lffis.-7 -_ U an É a-T ::_ cm flO T ^ n tm u h f Jâ Ù ctéa M U ^- Jeune flUe, 15 i»n r ses parents, d ési^^£^ asÎB de nouveautés •artial. p u Bureau du Joui^^, 817 Maison DESCOMBI» x I pmande un jeune | » faire les courses. Couc* ho francs par mois et ■es- 8» I On demande une bonne I I, faisant bien cuisine e t^ ? I |- Service avec f e m m e ^ l I au Bureau du Joumel. gjj I On demande, pour la caui.| I un homme à. tootaîl I sachant conduire cheval I Ole entretenir auto. * I au Bureau du Journal. Hjl ' On demande u n om chez 11. BONXÂtoj pSE, à Senlis. ' _ Ouvrier charron mil l é chez M. CdlUTUS, à L é ^ l 87 j | • .M^' r.îVIÈKE, modiste >1 _ l’Hospice, h Chantilly, I des apprenties nio, • On demande u n e m p lo v J |s.'e d’Epargoe de Senlis. L'n garçon coifTenrJ ' ans, ayant resté plusiem J dans la même maison, lune place à Senlis. Tau Bureau du Journal. lux JOilRNAl IN BON ÉTAT Peintres et Marchands le kilo^» er au Courrier de V{ 74* année. m des SilOISEI B9 S«lBt-6«orjfea, P«fj|,| bi - mennulU. — Coi eAomoù. ntle l*etle 15 de chaque s onae pour on an Apartir I |d n 1*' dn chaque mois. UN AN .............. ASB Innc». |)artezDeot8 14 ion postale .... IS des filles, des scenrs, et des mères dévouées ■i’amoup de Dieu, de l a _ surs devoirs; leur enseigne)’ I riches on pauvres — le J maison ; omer leur esprit ; _ ■leur intdligence, tout en les iKz travaux, à l’économie, t ménage, tel est le but que le Journal det DemosceH, »-treize années d’un faMia,a iroissant l’autorisent à k s'en est iamals é c a ^ ) u » mandat de poste a i ‘or> Directeur du JoAtmai^ 2, rue SaintSeorges. F.aTOTT o’un Huscé&o spscrvi Is BAUXPÜRB2 BCSSAiXG, digesti y-Générense, yérltilB 71 entrale, eau des arthritiqi Couverts S. BOORRIQUErS par I DE SÊ£DR1TÉ I prstomtars \t C . é RAISIES- 160 Francs r« FUIS ffi too imtks TÀin» — * to u te s feppéc ires -V A .t -0 1 mis, à h t aBRÎT: < . »»jr- ai'iiv* Paraissantole Jeudi et le. Plm anche. jcwibnaaf D i mmm eiii;c|ief : lioi^ F^aiseàiit le Jéiàüm^lél Dimanehe. nt «a .... Hx Bols.. .Ai B ô x r HT a xs a iM t s __ I oiViBééri aux Bureaux du Sc(«iB»l aI Haas toM ««Bu.etOiiO I i„ bàreau*de porté.I— L’ahoniieÜoaiC'ea» w^hl* .............. ' • h / Bv. I d’uveaee et oontiuue de pleiu droftiJattaV rdc^Hod ............. 4 ‘tr. ■ Ir. I d’avix contraire. : ; 1 Zi«a’Aébzmeiàâaie pàrtcii7 'du 1* on do XB de e^aqoe acoie. BU^AÜX^ KÉPACTIO»,:^ A jJjpigTï^T^ S^NIiIS - It, Place de l’HdtUMIe-VlBei 1 1 - BBMXlAj ,,W a ..o-ri Let manutçriU, intimé» otei/iôn, . î . a a i i a e h ’x riB B ’^ - _ .......- •’t RVea^.W i ’w'wwiiiéi. , IM’^ttusaé/'x<dan^'Me^'_ m i«eeee«é*eeeeae*e-- !■ •M*c|*aee.eee*«ee I Senlis^ Xe 30 Se'pteinbre 191.1. Sus aux inarehistes I La veille de Tarrivée do M. Delcassé à Brest, on pouvait lire sur les murs de cette ville une amche-d’une extrême violence, dûe auxoiivriers révohitionnaives (i« l'ursenal. i/êpüiiv:i(ttàlj!c catastrophe dti la Liberté donne à ce ducumt^nt abominable uu caractère d’aclcaliié sinistre. C’est en frémissant d’horreur, qu’on peut s’ex pliquer la menace mystérieuse^ qu’elle conte» nait. Lisez:, et vous crierez : justice 1 Il la pofiülatioü Brestoise, ... Toutes les menaces, même exé cutées, n’empêcheront fpàS ce qui dcÀt étte'! F.orte de Tapprobation de la partie saine du public, la masse ou vrière brestoise se doit de réserver'à M. Delcassé, ministre millionnaire, ami des grand flnan.ciers, représentant des gros métaUn^stes affâmeurS, cô-auteur du conflit franco-allemand, un accueil digne de to»s ses titres. Elle manifestera ; pour nos revendi cations et nos libertés ; contre la vie chère et les accapareurs, contre la guerre, pour la paix universelle ; pour les tuberculeux de Tribéron dont on va supprimer le sanatorium ; contre le régime Louis XV actuel ! Celaseradonc! Où, quand, avant ou apüès le lancement ?' ! < i Cela sera donc 1 » Quoi ? L’explosion cri- mineUede la Uberlé? C’est là le lugubre, et mystère » qjjeles énergumènes de l’arsenal de Brest nous réservaient « avant ou après le lancement » du Jeun Bart ? Comme- l’écrivent Xes Débats : » nous espérons, nous voulons espérer que la catastrephe de la Liberté s’ex pliquera par des raisons dont nous n’auroàs pa» à-rougir. » ’ Et c’est au moment où M. Delcassé nous a offert le splendide spectacle de notre marine, que nous avons à porter le deuil national d’uxe grdnde partie de l’équipage d’une dé nos plus belles unités de combat I M. Delcassé a fait bénéficier les ouvriers des arsenaux maritimes de sa sollicitude tenace. Récemment, la Dépêche de Brest, que dirige notre vaillant ami et distingué confrère, M. Louis Coudurier, énumérait les améliorations qu’ils devaient à leur éminent ministre. H u's a qu’à consulter le budget de la marine, pour savoir que M. Delcassé leur réserve encfte une situation meilleure. Les révolutionnaires, qui les guident, qu’ils écoutent Irop^ l’en ^e-. laercient en manifestant « contre^ la guerfe, pour la paix universelle », alors qu’ils vivant. des érrnementx "que la France doit sans ce^se perfectionner et multiplier pour imposerflo respect à ses ennemis toujours aux aguets, vérité, c’est une étrange folie, qui est un dan ger public et qii’il faut guérir à tout prix. 1 ,ün sénatetir radical nous viest en aid|e.. Après avoir fermé les yeux comme, tant d’au tres, il voit maintenant et regarde. Le mal Jni apparaît monstrueux et il indique le femède au.Président dutConseil ; « Allons, vous avez de la hardiesse et de la décision ; brisezila C. G. T., et revisez la loi sur la presse. Vc^s aurez bien mérité de la Patrie et tous les amis que la France compte dans le monde vous applaudiront». f LaC. G. T., voilà le danger intérieur per manent.Et que faut-il pour le dissiper? Feriqer ce repaire. d’anarchistes, qui exploitent t la misère humaine. H n’yagaèrequeM.Jaurjs, frère du comJnandant de la Liberié, qui p|o- testera. Tous les bons Français diront merej à M. Caillàux„n’il agit résolument. ? ' Quaatà ^ liberté de la prebe, telle que^la comprennent lés' inspiràtéuifs“ des sàboteprs criminels,..il faut qu’elle ne soit plus un instqu- mentTévtputionnaire. Certes, la liberté de >la presse nous tient à cœur et nous .avons asqpz bataillé pour qu’on n’y touche pas. Mais est-fte qu’il est permis d’écrire dans un paya civilisé des excitations au meurtre, à l’indisciplibe, militaire, à la désertion, à l’assassinât- des officiers, à l’action directe, an sabotageîLlw! Et, pourtant, voici ce qu’on peut lire dans Jes journaux révolutionnaires : « Quand il sera bien entendu que la ■Répùblique française est 'tout jüsfe aussi républicaine qüe la' Riïs'âiè' de •Nicolas II, il ne faudra' pas s'étonner si nous répondons à l’arbitraire et à la persécution conime on y répond en Russie. « Et toi aussi, Cailîàux, que les lauriers de Clémenceau 'de liraveil et de Villeneuve-Saint' ü'eoiges semblent etnpèclier de dormir, — Caillaux de Sang, comme t’appellera deniain la malédiction populaire, — souviens-toi de de Plehve ! — Gustave Hervé {Guerre Sociale, 20 juillet 1^11)-. » ; « Nous disons au jéiiné soldat : Souviens-toi que travailleur d’hier,' tu seras travailleur demain, et que tous les ordres qui peuvent t’être donnés, d’où qu’ils viennent, pour faire de toi un assassin, tu ne les exécuteras pas. i(Extrait de la circulaire du' lT juillet iadiesséë' aux jeunes' soldats par'‘Ids délégués du syndicat de là Triaçbn- herie)'. » . ' « Je conseille aux camarades de ne pas marcher et de dégringoler lés chefs, si on veut nous obliger k tirer. '(Extrait d'une lettre saisie d’un jeuije soldat k son syndicat). » «... Les camarades S’engagent k intensifier la propagande et l’action dans les chantiers et ateliers, afin d’imposer au patronat, par uii sabi^- tagè intelligent, le désir d’appliquer leurs revendications. (Extrait de la circulaire du 31 mai, adressée par le syndicat du bâtiment). » Il faut aussi indiquer une ligne de conduite aux syndiqués, pour qu’üs ne se laissent pas mobiliser comme un troupeau. Il faut envisager égale ment les moyens k employer poür paralyser toute mobilisation. Il faut exammer les procédés capables d’ar rêter l’envoi des troupes sur la fron tière. [La Bataille Syndicaliste, 29 juillet). » « Nous persisterons k pratiquer le sabotage intelligent des voies ferréès et des Ügnes télégraphiques. (Article de La Guerre Socfofr, juillet 1911). ;» ' « Loin dé considérer les sabpteuis comme des lâches; nous les coüsîdë- rons commé des hommes: couràgèuk, pratiquant la solidarité k l’égard de leurs compagnons delutte. Même ceux qui ont: tenté de; faire dérailler le rapide du Havre ne sont pas desiâehes : non seulement leurs intentions étaieht louables;' etc. ■ (Article de la Guéri;e Sociale, 12 juillet). » « Il estindispensable que nous ayons sous la main une troupe dé jeunés gens résolus, n’ayant peur de rieii, disciplinés et entraînés, mobüisablM en quelques heures et en secret, sjir im point quelconque de Paris. | « Multiplier les équipes de saboteurs, k condition qu’il soit bien entendu qu’on ne recourra qu’aux sâbotagès « intelligents ». (Hervé- GMerre So ciale, 26 juillet). » « Nous croyons devoir a'vertir lés gens qui composent le Gouvernement que, si par aventure, ils se laisseht entraîner k quelque tragique coup de de tête, nous serions unanimes, socià- listes et syndicalistes, k appeler la classe ouvrière k opposer au crime gouvernemental et capitaliste, toutés les forces de résistance et d’action. (Article de la Bataille Syndicaliste, 2 juillet. » En voilà assez ! Le dégoût a des limites et l’indignatiob ne-connait pins'de bornes. Sès aux anarchistes ! Tel est le-mot d'ogre qne donne au Gouvernement la clamebr- pubtfquè. ...... . 1. t. •BEXÉ.SALLiBS'. {Bviletin Association Nationale ;i BèpnUicavae.) ■■ , Echos et NamyejBcs. L a sœ m : B a d io u . '— Une pétition a cir culé ces jours-ci à AumalB pouV-faifë'obtènir , 1 a croix de la,Légion d’honneur à la vénérable sœur Badiqu, qui-à consacré toute sà'vié au dévouement et au sacrificè 'en've'rs'Ies pauvres et ■ envers lès malades de l’Hôpital-Hospice ü’iiumàle; dont elle est snpérieure-depuis cin- -CiraiHc ans. ' L'a sœur Badiou est âgée aujourd’liui de ^0 ans. 11y a soixaute ans qu’elle est, entrée en religion dans rdrcli-e des ilifes 'dé lâLhàrité ,de Sainl-Vinceiif-derl’anl. Sur ses Uèni'éés per-' sonneis, elle a prélévé 'nnè s'oriime-dé 300.0d0 francs, depuis son arrivée à'l'hospice, poiSr l'amélioration de cet établissement. La pétition qui a été'appuyée par le conseil Tnuni'clpBli'estcouVericae à'igdatji'rès.'' ' E ç o n d o ite s , — Les religieuses do l’Es- ,pérance o.it demandé à aider les hifirmiers des jiûpitaux militaires'à Toulon dans leur pénible Lesogne. Elles ont été écdaduitës.- Qira'nd 'on pénSè que, panSi les matelots blessés, il y atantdèBretoils't'.. I ' a i _:_U * - Un poirier pUiËildtnénél — A Saint- Priest, offpeut'voi|f'nir'(iîoiéiet*(^ banal. Une moitié de l’aAre porte dés poiresunagdir Bqnes,' et l’autre partie est converted’uif graid nombre de fleurs blanches, du plus gràcieiix- jCffet. ) Le fait se présente aussi pour unpommier, mais les fleubs sont beaucoup m'dins àoà- brèuses. , ' Plusieurs personnes ont vu cet arbre, et toutes sont unanimes à déclarer l’originalité du poirier. ' C'est une gracieuseté de cet été exceptionnél Écoles Polytechniques de Notariat, de Droit et de Procédure par cor respondance. — La réouverture des Coubs gratuits de Notariat, de Droit et Procédure par Correspondance a été fixée aux dates siiivan- tes ; Cours de Notariat, Je 25 octobrè’iutf ; cours'de Procédure, le 31-octobre 1*91111 couis de Droit (préparation aux examens de capacké efde 'iicence), le 31 octobre 1911.' : Messieurs les clercs de la région désireux de suivre ces cours peuvent se faire inscrire dèdà présent. Le règlement-programme 1911-1912 pour chacune de ces trois Ecoles, sera adtessé à toute personne qui en fera la'demahdei'-- Pour tous renseignements, inscriptions', etc., s’adresser à M. Maurice Corel, agent des Coubs, 28, rue Serpente (HOtel des Sociétés Savantes), Paris (VU). __________ ; Obsèques de M. Henry Honssaye. — C’est au milieu d’unë affluence considéralile que les obsèques de M. Henry HoUssay'ê, de l’Académie française, officier de la Légibn d’honneur, ont été célébrées mercredivà inidi, en l'église Saint-Honoré d'Eylau. Le deuil étàfr conduit par le capitaine de Guiroy, gendre Su ' défunt. Une députation d’officiers rendait les honneurs militaires ; MM. Frédéric Masscfn, Thureau-Dangin et Francis Charmes représen taient l’Académie française., Dans l’assitance parmi les perspnnalitjês reconnues : MM. de Seives,'ministfe des Af faires Etrangères ; les ministres de'Snè'de, de Serbie, de Grèce; René Doumic, Ribot, Be Régnier, Claretie, Lavisse, Herviéu, de l’Acfe- démie française; Lépine, généraux'Zurlinddn, Niox, Bonnal ; Donmêr, Sadi-Caroot, Fràniÿ- Chauveau, Escudier, prince delaMosko\va,Be Noihac,' ' Lèfèvre-Pontalis, nos' confrères ôe Nalèche,'; Hallays, Charles Malo,' Dietz, Gau- vain, Muret, Ripault, des Débats, Simoijd, Daniélon, d e l’jEcAo de P o w , de Cassagnàc, de l’Autorité, Berthoulat, de la Liberté, ejc. Des télégrammes. de condoléances avaient été envoyés par le prince Nàpoléon; le ■ roi Be Grèce, le prince MuraL Au cimetière du Père-Lachaise deux dis cours ont été prononcés’ par MM. Frédéric Masson et René Doumie. 1 Un sénateur visite ses électeurs en aéroplane. — Le sénateur-aviateur, 8e la Loire, Emile Reymond, qui avait forméue projet de venir visiter ses électeurs en aéro plane, vient de réaliser ce projet. * M. Reymond avait quitté Etampes, Jeudi matin, et s’était vu dans l’obligation ’dé’ des cendre à Nevers. Quittant cette ville à 11 b. 15, vendredi ma tin, lé sénateur-aviateur est arrivéà midi 50 au champ d’aviation de Bouthéon, en plmn Forez. Il a donc en 95 minutes accompli 8e trajet de 150 kilomètres. - i Il a été reçu par les membres de TAéth- Club foréziën et les membres dé ta pressé'. • ' M. Reymond quTne paraissaifpas àutremefet fatigué; a'gagné"ensüite'-’SaiatUEtîénlie' én automobile. Un maire radHcal fràndéur.' —. Le maiW‘tadiÇal de■ thjtléroUe’S'-étê 'cbédamné çar'Ie tribunal •correcüohtiél de 'MontlSçon a iSOO francs' d’amende et 'à -diverses inser tions du jugement, pour avoir fourni à l’hôpi- la( de MpnUiiço.n dujaij mp^iéj à raison de j3»,’V» èt avoir vénBii'dulàitecrèmé à raisod de 50'»/,. ' "" •; Là sneçessIiou’iiè'ItUlIlé^ard. — Les électeîlrs’'fié Ia'-‘'dêBiiiënie cir&nferiplioii' dU' 1 7 'nri-otndissement" üe'Pâris ' ’soùt' co’nVb'çfués putir le 2'2 ocioiirc à l’effet d’élire un députe én rcrapiacementdeM; Joseph Ménarci. On parie de la candidalure de, M, Joseph Dènain, conseiller mjinicipal du qUaflii r ,' qui' se pré- senle comfflë''répab!iéaifi'tililiral: Mort d’un-sénfifëtia*.*— M. Gustave Gd- bron, sénatedr rad'RiafdBà'A'rdennés,'présideùt-' efu Conseil général, vient de-mouHraubitemènt. La crise du français. — Dans un 1 mmèubie',aé,-îît fué'fi^l?Fidélité : * AuS mtxlùçaûires. Les fumistes vontLaire^ meréredi, le ramo nage des cheminées de tous l’immeuble. TottS lbeatajre;:qüi nB_’ïtmifr*'pas" laisser ppur.le déplacè- ment des Fui * 'Gétfé^^'iÜsE iinpiSSiSf au dos des permis de chaése : ■- * La quittance du prix du permis déltoré par les percepteurs ne peut enïucube msnièreLeUir lieu de permis. Le percepteur délivre quoi ? Une quittance. C’èst ponfquoFeiéiftiré est a u masculin. ' T Sur un écriteau, avenue Paul-Long, à Hyères : Maison à vendrp avec ses indépendances. Nous nous trouvons, au sujet des négocia tions marocaines, depuis* quarante-huit heures, en présence de deux versmna bien différentes émanant : l’une, pessimiste,'-du ministère des affaires étrangères, et l’qùtre, nètfemênt opti- inisté; de lâ présidenoë du''cohsè'iL II y a là évidemment unë ’diÇéi’gSifie dé vues sériéuse qu’il s’agit d’expliquer.' ' - Le communiqué provenant directement du cabinet de M. de Seives mdiqdaât iFùne' façon évidente qu’au quai d’Orsày la dermère réponse allemande était fort préoccupante. Quand on sait avec quelle modératiqn traditionnelle s’ex prime toujours ce départëmëht, cette note acquérait encore plüs de vâleUr. Aussi a-t-on été fort étonné', à Paris'jlprsqü’bn a vu s’envo ler àe'la pfésîdehce au èon'seîFdéS communi qués rassurants destinés à porter-nn pétf'par tout des paroles de’paix. -Ces niéaiiqs”pa«Mes-<lirei!d'prodiguées au syndic des: agents. dC; ehange venu aux ndu- velles. Coîncidèilce'“cÜrieuse : à Berlin, Us directeurs des grandes'badW^ bnf ippu du ministère des affaires ’éiraÎKèfés des assu rances optimistes" au sujet de la marche des négociations. ‘ . , En France, l’opinion publiqué demandé à êlre informée exactement. ; Les ht^stil^és sont cimme^ ; A six heures, hier soir, l’Agence Stefani publie un communiqué ofificfel du gouvernement italien, ainsi conçp : - u-Lâ noté de la ïifrqSié, en'réponse k l’ulliinatum ’itâlien; n’a pas été la réponsë' pérejnptoiflè' '‘dfeihandëé, mdis elle a été évasivé et ^dilatoire. Én çonséquéncé,' lç rdi d’Italie a déclaré la guerre k la Tùrquié, , Un croiseur italien a détruitî un tor pilleur tarçdans lé.BOrt de J>reveza;ét ü a d^'àr^é’ dêéXoUW. ' - ' ' L’autorité ffiiEtaiîre 'ènvoié un ba taillon à Preveza. Les Gatastrepinsv daasMIMHie. Après, le temble désastre, qui a anéanti le Cuirassé Îî&ërfé, il est intéressant, de rappeler les précédentes catastrophés'qui onf éndèülillé nôtrè ihariné : Le 19 mars 1899, ,1a ,pq.udrièpe„de la ma rine dé L'agûùbràn, Cputenant pO.Ü,O0'hilos de poudre, fit. explosion, détriiisanï une pafliq du'village. Il y eu 36 morts et une oentàiiie dé blessés. ' 8 février 1903, — Perle du Sully dans la bajd'q’Alongi , 6 juillet 19|®',.r- Naufrage du 3 ous-ma- ' rin Parja,déi, lu morts, ‘ 20''avrtri9ü’6j'-L- Explosion, â bord de la CouTqnne,;i tués, 28 hléssés,.. 17'octdbr‘é 1906.’— Naufrage, du. sous- marin Lutin, à. Bizerte, 14 .màrtè. 12 mars’196'7. — Explosion iéXlêna, â Toulon, 118 morts. . ! 3aCtit’'19<)7,,'r^ Explqsion d’nnj'çapon a bord de ,la',Coizronne»3 morts.flblesSés. 8 février 1908. tJîie chajiâiwe ..sanfe' 4 bord de la Jeanne cLArc, l l blesS'és. ; 12koÿt'i9p8,.,'—’Explosionfl’ti^^ çanon 4 bord, dé la Couronne, 6 tués,' 13 blè'ssés. , 22 sè)ptèÉibre 19Ô8. — Explosion d’un panoir a botriî du lÀtouche-Trteitte, 13 inorts, 26 mai 1910. — Le sous-marin Pluviôse boule à 'Calais, 27 morts. ' 20 septembrèl9ll.'— Explosion d’ime gargbusse à bord de la Gloire, 9 morts, 7 blessés. Ü ji Q eiA teiiaip e. . Il y a 100 ans que,, par un décret daté de 'Compiègoe, furent créés les sapeurs-pompiers de Paris. ' Napoléon 1*' avait rendu, le 18 septembre 1811, à Compièghe, un décret relatif à l’orga nisation mibtaire du corps des sapeurs-pom piers de'Paris. Les prmcipalés oisposiUons de ce décret portant quUl serait formé, avant le premier «janvier 18l2, un bataitUon de papéurs, chargés spécialémenldu service des pompes, à incendie, dans la ville ; de Paris. Ce batadlon seiàit divisé en quatre conipagnies de 142 hommes chacune et placé sous' les ordres dé l’administration du préfet de’police et sous l'autOrité du ministre de l’intérieur Avant 1700, « on ne savait que faire la part du feu, abattre les maisons enflammées et sur les décombres renverser avec des crocs ou des herppns lès toits, des maisons, voisines. Pour lancëF'fie .l’eau sur les flammés on ne disposait que’ d’inSlFnments d’un calibre'^plus oU moins grand, qu’il èsf impossible dé dési gner sous un autre nom que celui dé seringues. Le guet des métiers et 'le ' guet du roi appor taient les premiers secours et signalaient Déux transports .LifrCs sont canop- nés et jetés k la côto k Pre’veSa; Le gouverneur de Tripoli est sommé de serendrje .. .. , , l’incendie au prévOt des marcbands et au procureur général du" Parlement qui, tous les deux à leur tour, faisaient avertir les gardiens prieurs et autres digni&tres dés ordres men diants, à l'aide des cloches du ' béffroi' de l’Hôtél' de Ville, auxquelles répondaient les glas du tocsin de toUtesles église de Paris i». . A partir de 17Ô0, Paris eut suècessivemént dix, seize pompes. En 1722,. fut formée une compagnie de soixante gardes-nompiérs;'dont le nombre, s’éleva à 283 en iSOO. «Dès 1850, Lbnis-Napoléon Bonaparte les mit directement sous le contrble du minishe delà guerre, et Je corps des'sapeurs-pom piers, assimilé à l’infanterie, fut forme en régiment, sous le commandement d’un cob>- nel. Il se cômpose aujourd’hui d’environ 1.700 hommes; sous les ordres de la préfec ture de la' Seine.'» (Echo de Paris). Onze M orts.— L'Héroïsme d’un .Prêtre. Mercredi, vers 3 heurés,, une terrible catastrophe, a jeté la consternation dahs Paris. Un autobus de laligne Batignoliés- Jardin-dês-Piantes, n° 2036, s’engageait à vive allure sur le pont de i'Archevêché, quand apparut un autobus de la méihe compagnie, venant en sens contrairb ; le wattmandelapTemièrëvoitUré’peràit sop^ §ang .fitoid, il ^objiqpa tout 4 coup i droit» d’utf coup dë voiâht. L’autobus, l’un des nouveaux modèles sans impériale,.ffaiûïh'it le trottoir, dé- foaçânllé'falBle'paràp'ef en fonte etltomba dans le fleuve. i .On entendit une. rumeur fonnidable puis des-.crisr de détresse. Vingt-«ii.per- sonnes vendent d’être-précipitées dans la Çeioe, enférmées vivantes dans un e’vé- fitàble "cagëlj. Uu .Piètre Sauveteur. I Un jeune prêtre, l’abbé Richard, pro fesseur ad collège'libre Lamartine, 4 Betiëy, dans l’Ain, qui se -trouvait dans Fa'iflpbds, eut .te seniim^t frèi net dé ce quï 'se' 'passait.';.Eq. dépit de ,Ia .secousse qu’il avait ressentie pt de sa soutane "qui luj^ enserrait les .janibes,, il plongM six frfs,.et eix.;,/ois arracha un malhéui;eux être 4 la meut, 4 Le: soulle lui manquait et l’émotion flétreignait). des passants le conduisirent jï^ u ’4 une pt^macie voisine; ' L’abbé , W tÉart B’é ^ itç j^ aux' félioitâtiôns, trou- 'yant son Scié fout’natürel. ' En même temps, les pompiers prévenus acçodràiënt, ainsi'qde MM. Lépine, préfet de'police ; Tounÿ, directeur de la police mpniçipalet Chênebenoît, juge d’instrue- tiod Grandjeah, substitut ; le docteur Petit, les internes et les infirmières de i’Hôtel-Dieu. Les pompiers ramenaient sur la berge les cadavres que les scaphandriers reti raient de la voiture. M. Chênebenoît a ou vert immédiatement une enquête. L’abbé Richard, que le magistrat a félicité, s’est borné 4 répondre : « J’ai fait mon devoir simplement. Je regrette que ma myopie très prononcée m’ait empêché d’apercevoir les autres infortunées victimes. !à Gatastrophe de la “Idberté” Les secours aux famijles des vlctlines. Le département de la marine a reçu et reçoit encore d’importantes souscriptions en faveur des familles des victimes de f explosion, du cuirassé iîJerfé. I. Dès le lendemain de'.la-catastrophe, on a commencék distribuer 4 ces familles les premiers secours, dans des conditions qui ont été communiquées par la voie de la presse. Âvant les funérailles. Le ministère de la marine communique la note suivante : 0 Les familles qui seraient désireuses de faire inhumer en dehors de Toulon leurs parents décédés par suite de la catastro phe de la Liberté sont priées d’indiquer, le plus rapideinéiit pbsmKè, aii ■ préfet maritime de Tonton, la localité où 1 inhu mation devra avoir lieu ». Les Qbsèques solennelles. . Les obsèques des victimes de l ’explo sion du cuirassé ,Liberté auront' lieu 4 Toulon, mardi S octObfc, 4 9 heures et demie du matin. .. . Un train spécialement réservé aux bu reaux des.deux Chambres, aux boréaux des comini^ons de la marine et, dans la limite des places disponibles, aux mem bres du Parlement, quittera Paris lundi 2 Octobre, 4 S h. 30 du soir, et arrivera 4 Toulon mardi, maflh 4 8 heures. Retour : départ de Toulon, mardi 4 6 h. 43 du Soir. Arrivée 4 Parismuercredi matin,4 9 h.33. Mot de la fin. La cherté des vivres. — flu’as-tu fait de tes solitaires et fia ta broche .t — J’ai dù m’eu séparer... 11 me fallait une douzaine d’œufs et un. litre de lait. 108.FEUIL1ETONDD COCRKIER de L’OISE - ' '- Il GAtlîill t t,î, PAR J n l e s CHÀIVCEL DEU3CIÈ:ME P iM F t'T 'ip .1..-' — i'.,-..-; f ' I ’ CHAPITaE XXXn,(Sai/e) - 'Il repoussa toute discussion,'toute, exfdicafion, et se- bbrnto à jluî-.sitoffipi’ froidement qu’il exigeait une’’ separa- tiaà immédiate,! en attenitost le rés-ql- tat d’une, œstance en.divoroe.qullallqit. introduire. . , i Xp comlesse se sentit en présence id'naé résolution irrévocableiment prisp. i'P b r fierté, elle s'abstint d* iq-éd^nter ou de la combattre, et coinmp le cotqte aloiAa qu’il'tenait'à sa disposition: ijn-* médiate le demêunillions qu il lui àvpit reconnu par contrat, elle prit son pagri’ de la mésaventure qui aboutissait vrpi- semblablement ■pour elle à l'échange dllmtortil de baronne-un peu fantqi- ' aiw eoatre ttnfé eoanmnto duéale ' aii- '■''Lê comte partit:. lé. ,soif même pour Paris. ' ' ' iliiü ■■•is ? 9*MaeèbB et rejiroductipn ntterdites: y - 1, , - V f«v ' Sous l’influence dominatrice et né faste de sa fommtf, il avait dù refouler ses sentiments et persister 4 tenir ri gueur à Âdrienue. « Mais du fond du cœur il déplorait le parti’extrême auquel il s’étaitlaisséen- traîner. Il retrouvait pour sa fille ses. senti- ments-de pire. Il compâtissait à la douleur qu’elle avait dù éprouver en reconnaissant l’indi^ité de ThoiUme auquel elle avait dooné son amour. -ui . J Maintenantub-voulait hii ouvrir ses braa^iïentiourerde noUveauidei.sa Len- dressaet lui demander4ea cansolations- qu’il ne pouvait-plus attendre que d’elle Ce fut daasscea tdispositions d’esprit et dèiCfUiUr quil quitta Flageg;^. ; cAprësTénergie aireolE^ueUc Ôi avait résisté kTépteuve humiliante eticrnelle qui venait de le frapper, une.réaçtioin dapgeureHSe.était .4: prévoiTi.-rt'.4 re- - produisitteraible..: ... ,. Il échappa,4ir«ttaq.i*ejd’apqplswe,que son,,teSH>|ramehtî.iefciaeau' «Mécédeuts faisaie»tioiHDurpj;edcwter,pqw Mais une fièvre typjiig|adq,idu .icatac- tère le,plus dangereuit.i»,4(éslafa dès sonam!^.. . ; i iii-i'i j iATanf que le délire '.sé.fùt. emparé complijtCT.eim-de hivil eutieitemp». de faire prévenir s%.fille. ' Cette lettre de îiqqélphe, adressée 4 ^ g a t z ,’posbé ’restàntà, -ainsi qu'il avait ; demande, hiiavait appiàsc ïiiètallation 4 iAdrieiHie,roei.earttinet. ■ 'i; ' - -nt Uu:,dp8QiHtiqae fatièavoyé à .-cette ,adrqge4aatfyscom « >»d«rirtni11in»t^ u ' .aoLtuitsiCisC. îd z'MSÜ, pour que la jeune fille accourût sans 'le moindre retard, l'éîat dù 'malade étaht des plüs graves. ' ' Le docteur n’avait pas voulu lui fane dire, aussi brusquement, qU’il ne con servait presque plus d’espoir! , * Mais il ne le cacha pas 4 Rodolphe, â uand celui-ci arriva avenue du Bois- e-Boulogne. . tiuelques renseignements, discrè tement donnés par le' valet de chambre du comte, firent pressentir au jeune homme l'état réel des choses. Adrienue elle-même entrevit la, vérité 4 la tendresse que lui témo^alecOiiKe pendant une courte rémission de délire * où il put ta reconnaître.- Elle s'installa 4 son chevet, déddée)4i neipasile quitter un seul., instant; 4 fie s’en rapporter 4 aucun-domestique, 4 aucune garde, des soins 4 lui donner.! . {...Rodolphe, n e chercha pas 4 ia- diasuà- der d’une.irésolution mmathsdlei-iiii ' ILse promit de la seconder) de son mieux. ..* ! ‘i- Mais il compritqu’une femme, qu’use aaùeAsauiait,hiea3nieiïfe!qu«rluila ré- cofiforter daiiis,Ies angoisses morales et Tassisler daiis les fatigues physiques, qu’il prévoyait malheureusement poar ; e l l e . - • r"' : rt 'It revint en h4te rue Cardinét et fit connaître la'sitUation -41 Jeasn»; ; Ain^-qu’ilTaàait'btoaiprémxçcellè-ci déclara-qu’elle allait retironver'-Jmmé- diatementAdriennèi'') i’ fiU'rz'' Fierrè' seJpSrtait ’ trëk bièn': ''élle le çpafièsmit .sa«»-eraij»tt ■àn*'‘*oiÉ» de ’- i -'•)■ “'il qui pourrait vrâiir--S’installer rue Car- dinet pendant son absence. Rodolphe lui porterait des nouvelles de l'enfant. . , : 0 ’ailleurs, elle trouverait toujours mo.yen de, venir, le ..voir un moment dans la journée. L’essm^i^' était:,, de;, ne, pas laisser Adrienne' seule daqs d’aussi doulou reuses conjonctures. : C'était tout 4 fait l’avis de Rodolphe, qui la conduisait lui-même chez -le comte Miquet. CH APITRE XXXIII . Investi des fonctions de régisseur de la Sanguinèdè', M; Sdnièsj eifi bientùt donné ram'ès'ifré'dé’ce q'iflü était c a ^ b lé .dé'faîrè'." '■ c - !■ s, ; L’oj^ini’on était unanime’ dans le Jnanime et déplorable ! Oaflefrsuvsëati»dâsotn dn médiocre ! Cértaineareèt ' dtoi^ntaiilin! ne ie gardetait pàa-trras i n ^ b ■'«-) Il nè^dîrigeait'iriénf flî’ne sufveillait üeisi On doifinit!Biémiè«quHl'eat par couru iiadomsineç’t ’i 'r •- i • ^ En iresvaàèbè'flés caiés-de Montver- âiernt-'da ‘SeftntrflUgôsklrécevaieiit' ses* fréquenteè'visitesF.-l' i-1 œ ■>(- i:. iB , If était toujours prêt-'à-’ofirir > une coBsommetion; .nan-seulement ses amis et conna^fS|^à^mai^ encore à tous les gens, à u ^ îl avait un renseigne- mènt'4':3ç!- breux, cà; .SIUSS7 iifuù-nùsjrt'ïn .R .-i transports, et uhe foule de sujets:: analogues. Seiuément, on ne lui voyait faire, aucun Usage- dé la science théorique qu’il devait forcément acquérir en!se documentant aveÇ tant d’ardeur etide persévérance! - ■Volontiers on le comparait 4 une corneiUè qui ébat des noix. Le' dimanëhè 'ou Jeanne avait quitté la maison de santé pour revenir rue Çardinet, où elle n’avait fàit qUe tou cher bàrifè,. ainsi) qu’on Ta -vu, une foire (aux" moutons se tenait 4 Saint- Hugdn. ' -Solliès n’eut garde dé laisser occasion.dé prendre une échapper'tSté‘oc lew n ne Chdaés;. ’ n arriva vers i arriva vers neuf heures, dans une charrette Anglaise | qu’il conduisait lui- mèmé?ét,nprêàhVoir rèimisé au < Mi^uj* ton cbUrofiné if rejoigmt-le berger de la Sanguinèdè* venu, dé son côté, pour voir comihént- se pratiquaient |es côàrSJ';w’'»l -.-iJ . Depuis une demi-heure, il allait-et venait avec lui sur la place,' ^arrêtant -: deymt les lots de bâtes-*4 vendre,|et IriMtowlettplant d'un-regard qu'il chttùi k rendre-entendu,'-Jbr^ue PélagieuiPtoidiolej ila.l-rèee'veuse 'poâiesvet té i^ a p h ^ i parut -sur stt- poitej; éni toilefie fpriâtanièzie <et pim-u pante, coifiée d'un chapeau de paijle); teUântoàt-'surchar^i de fleurs qu onléè psenut là ^distance:- pour- nhé - 'carbeijle' de -jaediaj entériDée- de'.ipoàdre d* riz -aà*^iak d’«to devenir U âÀde-' ' aat6eepd»e#i'étaliiifi««i5tti fi»t< qu’èlle n’exhibait que dans les grandes circonstances, se contentant d’ordinaire d’un ruban ■violet. A côté d’elle, Joséphine, sa bonne, tenait im chàle sur le bras. Les deux femmes semblaient en proie aux impatiences de l’attente. M. Solliès eut un sourire 4 la vue de lâ receveuser dontia toilette semblait sous entendre, des arrières pensées cœiquérahtes; MaiS/jSa physionomie devint brus quement attentiTre et sérieuse, lorsqu’il vit le docteur, cofiduduisant son lilbury sortir-de.chez lui, travreraér da place au pas etîAarrâter devant le bureau de depos’e. , • Félagie Pibarol prit son chàle des mains'ide Joséphine, 4 * laquelle elle adressa quelques mots. Pnis eile monta en vaitilrei e t slassit 4 côté du docteur. Le tübury partit. M. Sqlüiès. le regardait s’éloigner par la nie qni-rèjoignait la grand'route de Montvëidier. n * H èuminoa'a examiner encore pen- dahfiquelques instants les moutons 4 -viwdeejœ. 'L,*; . » Pui4’laissant le berger prolongerseul da revue,'!! allaa'asseoitdmîslasaUe de café de l’auberge 'dit - ** Haatbni.cou- 'œ-R'dananda une absinthe et .de quoi )’écrire.''« l î i ' -7* Actii, Ah* ça,! Çue diable', vais-je bien 'peuvofr -imagineoS- auxramra^-it en mor^Uant-sotti ;portAÿaâie;:-i'.ét ep jdW^air pwcweieeî la feuille * é « a é e » d f « m k u ; ' sTnels linFr!; .5'fu;'-;jcr 'aU; t . i --Ke’f'éà

S»,A M ée. — I mmmbmsenlis.com/data/pdf/js/1911/bms_js_1911_10_01_MRC.pdf · S»,A M ée. — C l i } .a O T l f f i s .- 7 - _ U ^ « a n É a - T :: _ c m f l O T ^ n t m u

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S » ,A M é e . — C l i } . a O T l f f i s . - 7 - _ U ^ « a n É a - T : : _ c m f l O T ^ n t m u h f J â Ù c t é a M U ^ -

Jeu n e flUe, 15 i»nr s e s p a re n ts , d é s i ^ ^ £ ^ asÎB d e n o u v e a u té s

•artial.p u Bureau du Joui^^, 817Maison DESCOMBI» x I

pmande un jeune |» faire les courses. Couc* ho francs par mois et

■es- 8» I

On demande une bonne II, faisant bien cuisine e t^ ? I | - Service avec fem m e^ l

I au Bureau du Joumel. gjj IOn demande, pour la caui.|

I un hom m e à. toota îlI sachant conduire c h e v a l I Ole entretenir auto. *I au Bureau du Journal. H jl

' On demande un om• chez 11. BONXÂtoj

pSE, à Senlis. ■'

_ O u v rie r c h a r r o n millé chez M. CdlUTUS, à L é^ l

87j |• .M ' r.îVIÈKE, modiste >1

_ l’Hospice, h Chantilly,I d es a p p re n tie s nio ,

• On demande u n em plovJ|s.'e d’Epargoe de Senlis.

L'n g a rç o n coifTenrJ' ans, ayant resté plusiem

J dans la même maison, lune place à Senlis.Tau Bureau du Journal.

lux JOilRNAlIN BON ÉTAT

Peintres et Marchands le kilo^»

er au Courrier de V{

74* année.m des SilOISEIB9 S«lB t-6«orjfea, P « f j |, |bi - mennulU. — Coi

eAomoù. ntle l* e tle 15 de chaque s

onae pour on an A partir I |d n 1*' dn chaque mois.

UN AN.............. ASB Innc».

|)artezDeot8 1 4 —ion postale.... I S

des filles, des scenrs, et des mères dévouées

■ i’amoup de Dieu, de l a _surs devoirs; leur enseigne)’

I riches on pauvres — le J maison ; omer leur esprit ; _ ■leur intdligence, tout en les

iKz travaux, à l’économie, t ménage, tel est le but que

le Journa l det DemosceH, »-treize années d’un faMia,a iroissant l’autorisent à k s'en est iamals é c a ^

) u » m a n d a t d e p o s t e a i ‘or> Directeur du JoAtmai^2, rue Sa in tSeorges.

F.aTOTT o’un Huscé&o spscrvi

Is BAUX PÜRB2BCSSAiXG, digesti

y-Générense, yérltilB 71 entrale, eau des arthritiqi

C ouverts

S. BOORRIQUErSpar

I DE SÊ£DR1TÉI prstomtars

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P a r a i s s a n t o l e J e u d i e t l e . P l m a n c h e . j c w i b n a a f D i mmme i i i ; c | i e f : l i o i ^

F^aiseàiit le Jéiàüm^lél Dimanehe.

n t «a.... Hx Bols..

.Ai B ô x r HT a x s a iM t s __ I oiViBééri aux Bureaux du Sc(«iB»l aI Haas toM

««Bu.etOiiO I i „ bàreau*de porté.I— L’ahoniieÜoaiC'ea» w^hl*.............. ' • h / B v . I d’uveaee et oontiuue de pleiu droftiJattaV rdc^Hod............. 4 ‘tr. ■ Ir. I d’avix contraire. : ; 1

Zi«a’Aébzmeiàâaie pàrtcii7 'du 1* on do XB de e^aqoe acoie.

B U ^ A Ü X ^ K É P A C T I O » , : ^ A j J j p i g T ï ^ T ^

S ^ N I i I S - I t , P l a c e d e l’H d tU M Ie -V lB e i 1 1 - B B M X l A j, , W a . . o - r i

L et m anutçriU , intimé» otei/iôn, .

î . a a i i a e h ’x r i B B ’ - _

.......- •’ t ■ R V e a ^ . W i ’w'wwiiiéi. ,IM’ ttusaé/'x<dan^'Me '_ m

i«eeee«é*eeeeae*e-- !■•M*c|*aee.eee*«ee I

Senlis^ Xe 3 0 Se'pteinbre 191.1.

Sus aux inarehistes ILa veille de Tarrivée do M. Delcassé à Brest,

on pouvait lire sur les murs de cette ville une amche-d’une extrême violence, dûe auxoiivriers révohitionnaives (i« l'ursenal. i/êpüiiv:i(ttàlj!c catastrophe dti la Liberté donne à ce ducumt^nt abominable uu caractère d’aclcaliié sinistre. C’est en frémissant d’horreur, qu’on peut s’ex­pliquer la menace mystérieuse qu’elle conte» nait. Lisez:, et vous crierez : justice 1

Il la pofiülatioü Brestoise,. . . Toutes les m enaces, m êm e exé­

cutées, n ’em pêcher ont fpàS ce qui dcÀt é t t e ' ! F.orte de T approbation de la partie saine du public, la m asse ou­vrière brestoise se do it de ré se rv e r 'à M. Delcassé, m inistre millionnaire, am i des g rand flnan.ciers, représentant des g ros m é ta U n ^ s te s affâmeurS, cô-auteur du conflit franco-allem and, un accueil digne de to»s ses titres.

E lle m anifestera ; pour nos revendi­cations et nos libertés ; contre la vie chère et les accapareurs , contre la g uerre , pour la paix universelle ; pour les tuberculeux de Tribéron dont on va supprim er le sanatorium ; contre le régim e Louis XV actuel !

Celaseradonc! Où, quand, avant ou apüès le lancement ? ' !

<i Cela sera donc 1 » Quoi ? L’explosion cri- mineUede la Uberlé? C’est là le lugubre, et mystère » qjjeles énergumènes de l’arsenal de Brest nous réservaient « avant ou après le lancement » du Jeun Bart ? Comme- l’écrivent Xes Débats : » nous espérons, nous voulons espérer que la catastrephe de la Liberté s’ex­pliquera par des raisons dont nous n’auroàs pa» à-rougir. » ’

Et c’est au moment où M. Delcassé nous a offert le splendide spectacle de notre marine, que nous avons à porter le deuil national d’uxe grdnde partie de l’équipage d’une dé nos plus belles unités de combat I

M. Delcassé a fait bénéficier les ouvriers des arsenaux maritimes de sa sollicitude tenace. Récemment, la Dépêche de Brest, que dirige notre vaillant ami et distingué confrère, M. Louis Coudurier, énumérait les améliorations qu’ils devaient à leur éminent ministre. H u's a qu’à consulter le budget de la marine, pour savoir que M. Delcassé leur réserve encfte une situation meilleure. Les révolutionnaires, qui les guident, qu’ils écoutent Irop l’en ^e-. laercient en manifestant « contre la guerfe, pour la paix universelle », alors qu’ils vivant. des érrnementx "que la France doit sans ce^se perfectionner et multiplier pour imposerflo respect à ses ennemis toujours aux aguets, vérité, c’est une étrange folie, qui est un dan­ger public et qii’il faut guérir à tout prix. 1

,ün sénatetir radical nous viest en aid|e.. Après avoir fermé les yeux comme, tant d’au­tres, il voit maintenant et regarde. Le mal Jni apparaît monstrueux et il indique le femède au.Président dutConseil ; « Allons, vous avez de la hardiesse et de la décision ; brisezila C. G. T., et revisez la loi sur la presse. Vc^s aurez bien mérité de la Patrie et tous les amis que la France compte dans le monde vous applaudiront». f

LaC. G. T., voilà le danger intérieur per­manent.Et que faut-il pour le dissiper? Feriqer ce repaire. d’anarchistes, qui exploitent t la misère humaine. H n’yagaèrequeM.Jaurjs, frère du comJnandant de la Liberié, qui p|o- testera. Tous les bons Français diront merej à M. Caillàux„n’il agit résolument. ?' Quaatà ^ liberté de la prebe, telle que la

comprennent lés' inspiràtéuifs“ des sàboteprs criminels,..il faut qu’elle ne soit plus un instqu- mentTévtputionnaire. Certes, la liberté de >la presse nous tient à cœur et nous .avons asqpz bataillé pour qu’on n’y touche pas. Mais est-fte qu’il est permis d’écrire dans un paya civilisé des excitations au meurtre, à l’indisciplibe, militaire, à la désertion, à l’assassinât- des officiers, à l’action directe, an sabotageîLlw! Et, pourtant, voici ce qu’on peut lire dans Jes journaux révolutionnaires :

« Quand il se ra bien entendu que la ■Répùblique française est 'to u t jüsfe aussi républicaine qüe la ' Riïs'âiè' de •Nicolas II, il ne faudra ' pas s'é tonner si nous répondons à l ’arb itraire et à la persécution conime on y répond en R ussie.

« Et toi aussi, Cailîàux, que les lau riers de Clémenceau 'de liraveil et de Villeneuve-Saint' ü 'eoiges sem blent etnpèclier de dorm ir, — Caillaux de Sang, comme t ’appellera deniain la m alédiction populaire, — souviens-toi de de Plehve ! — Gustave Hervé {Guerre Sociale, 20 ju illet 1^11)-. »; « Nous disons au jéiiné soldat : Souviens-toi que travailleur d’hier,' tu seras travailleur demain, e t que tous les ordres qui peuvent t’être donnés, d ’où qu’ils viennent, p o u r fa ire de toi un assassin, tu ne les exécuteras pas. i(Extrait de la circulaire du' lT juillet iadiesséë' aux jeunes' soldats p a r '‘Ids délégués du syndicat de là Triaçbn- herie)'. » ’ . '

« Je conseille aux cam arades de ne pas m archer et de dégringoler lés chefs, si on veut nous obliger k tirer. '(Extrait d'une lettre saisie d ’un jeuije soldat k son syndicat). »

«... Les cam arades S ’engagent k intensifier la propagande e t l ’action dans les chantiers e t ateliers, afin d’im poser au patronat, p a r uii sabi^- tag è intelligent, le désir d’appliquer leurs revendications. (Extrait de la circulaire du 31 mai, ad ressée p a r le syndicat du bâtim ent). »

Il faut aussi indiquer une ligne de conduite aux syndiqués, pour qu’üs n e se laissent pas m obiliser comme un troupeau. Il faut envisager égale­m ent les m oyens k em ployer poür p a raly se r toute m obilisation. Il faut exam m er les procédés capables d’ar­rê te r l’envoi des troupes sur la fron­tière. [La B ataille Syndicaliste , 29 juillet). »

« Nous persisterons k p ra tiquer le sabotage intelligent des voies ferréès e t des Ügnes télégraphiques. (Article de La G uerre Socfofr, ju illet 1911). ;»' « Loin dé considérer les sabp teu is comme des lâches; nous les coüsîdë- rons commé des hommes: couràgèuk, p ratiquant la solidarité k l’égard de leurs com pagnons delu tte. Même ceux qui ont: tenté de; fa ire dérailler le rapide du Havre ne son t pas d esiâeh es : non seulem ent leurs intentions étaieht louables;' etc. ■ (Article de la Guéri;e Sociale, 12 juillet). »

« Il estindispensable que nous ayons sous la m ain une troupe dé jeunés gens résolus, n ’ayan t peu r de rieii, disciplinés e t entraînés, m obüisablM en quelques heures et en secret, sjir im point quelconque de Paris. |

« Multiplier les équipes de saboteurs, k condition qu’il soit bien entendu qu’on ne recourra qu’aux sâbotagès « intelligents ». (H ervé- GMerre So­ciale, 26 juillet). » ’

« Nous croyons devoir a'vertir lés gens qui com posent le Gouvernement que, si p a r aventure, ils se laisseht entraîner k quelque tragique coup de de tête , nous serions unanim es, socià- listes e t syndicalistes, k appeler la classe ouvrière k opposer au crim e gouvernem ental e t capitaliste, toutés les forces de résistance e t d’action. (Article de la Bataille Synd ica lis te , 2 juillet. » ■

En voilà assez ! Le dégoût a des limites et l’indignatiob ne-connait pins'de bornes. Sès aux anarchistes ! Tel est le-mot d'ogre qne donne au Gouvernement la clamebr- pubtfquè.

...... . 1. t. ■ •BEXÉ.SALLiBS'. ‘{Bviletin Association Nationale ;i

BèpnUicavae.) ■■ ,

Echos et NamyejBcs.L a sœm: B a d io u .'— Une pétition a cir­

culé ces jours-ci à AumalB pouV-faifë'obtènir ,1a croix de la,Légion d’honneur à la vénérable sœur Badiqu, qui-à consacré toute sà'vié au dévouement et au sacrificè 'en've'rs'Ies pauvres et ■ envers lès malades de l’Hôpital-Hospice ü’iiumàle; dont elle est snpérieure-depuis cin- -CiraiHc ans. '

L'a sœur Badiou est âgée aujourd’liui de ^0 ans. 11 y a soixaute ans qu’elle est, entrée en religion dans rdrcli-e des ilifes 'dé lâLhàrité ,de Sainl-Vinceiif-derl’anl. Sur ses Uèni'éés per-' sonneis, elle a prélévé 'nnè s'oriime-dé 300.0d0 francs, depuis son arrivée à'l'hospice, poiSr l'amélioration de cet établissement.

La pétition qui a été'appuyée par le conseil Tnuni'clpBli'estcouVericae à'igdatji'rès.'' '

E çondoites , — Les religieuses do l’Es- ,pérance o.it demandé à aider les hifirmiers des jiûpitaux militaires'à Toulon dans leur pénible Lesogne. Elles ont été écdaduitës.-

Qira'nd 'on pénSè que, panSi les matelots blessés, il y atantdèBretoils't'..I ' ■ ■ ■ a i_:_U *- Un p o ir ie r pUiËildtnénél — A Saint-Priest, offpeut'voi|f'nir'(iîoiéiet*(^ banal. ‘

Une moitié de l’aAre porte dés poiresunagdir Bqnes,' et l’autre partie est converted’uif graid nombre de fleurs blanches, du plus gràcieiix-jCffet.) Le fait se présente aussi pour un pommier,mais les fleubs sont beaucoup m'dins àoà-brèuses. , '

Plusieurs personnes ont vu cet arbre, et toutes sont unanimes à déclarer l’originalité du poirier. '

C'est une gracieuseté de cet été exceptionnél

É coles P olytechniques de Notariat, d e Droit et de P rocédure par cor­respondance. — La réouverture des Coubs gratuits de Notariat, de Droit et Procédure par Correspondance a été fixée aux dates siiivan- tes ; Cours de Notariat, Je 25 octobrè’iu tf ; cours'de Procédure, le 31-octobre 1*91111 couis de Droit (préparation aux examens de capacké efde 'iicence), le 31 octobre 1911.' ‘: Messieurs les clercs de la région désireux de suivre ces cours peuvent se faire inscrire dèdà présent.

Le règlement-programme 1911-1912 pour chacune de ces trois Ecoles, sera adtessé à toute personne qui en fera la'demahdei'--

Pour tous renseignements, inscriptions', etc., s’adresser à M. Maurice Corel, agent des Coubs, 28, rue Serpente (HOtel des Sociétés Savantes), Paris (VU). __________

; O bsèques de M. Henry H onssaye. —C’est au milieu d’unë affluence considéralile que les obsèques de M. Henry HoUssay'ê, de l’Académie française, officier de la Légibn d’honneur, ont été célébrées mercredivà inidi, en l'église Saint-Honoré d'Eylau. Le deuil étàfr conduit par le capitaine de Guiroy, gendre Su ' défunt. Une députation d’officiers rendait les honneurs militaires ; MM. Frédéric Masscfn, Thureau-Dangin et Francis Charmes représen­taient l’Académie française.,

Dans l’assitance parmi les perspnnalitjês reconnues : MM. de Seives,'ministfe des Af­faires Etrangères ; les ministres de'Snè'de, de Serbie, de Grèce; René Doumic, Ribot, Be Régnier, Claretie, Lavisse, Herviéu, de l’Acfe- démie française; Lépine, généraux'Zurlinddn, Niox, Bonnal ; Donmêr, Sadi-Caroot, Fràniÿ- Chauveau, Escudier, prince delaMosko\va,Be Noihac,' ' Lèfèvre-Pontalis, nos' confrères ôe Nalèche,'; Hallays, Charles Malo,' Dietz, Gau- vain, Muret, Ripault, des Débats, Simoijd, Daniélon, del’jEcAo de P o w , de Cassagnàc, de l’Autorité, Berthoulat, de la Liberté, ejc.

Des télégrammes. de condoléances avaient été envoyés par le prince Nàpoléon; le ■ roi Be Grèce, le prince MuraL

Au cimetière du Père-Lachaise deux dis­cours ont été prononcés’ par MM. Frédéric Masson et René Doumie. 1

Un sénateur v is ite s e s électeurs en aérop lane. — Le sénateur-aviateur, 8e la Loire, Emile Reymond, qui avait forméue projet de venir visiter ses électeurs en aéro­plane, vient de réaliser ce projet. *

M. Reymond avait quitté Etampes, Jeudi matin, et s’était vu dans l’obligation ’ dé’ des­cendre à Nevers.

Quittant cette ville à 11 b. 15, vendredi ma­tin, lé sénateur-aviateur est arrivéà midi 50 au champ d’aviation de Bouthéon, en plmn Forez. Il a donc en 95 minutes accompli 8e trajet de 150 kilomètres. - i

Il a été reçu par les membres de TAéth- Club foréziën et les membres dé ta pressé'. •' M. Reymond quTne paraissaifpas àutremefet fatigué; a'gagné"ensüite'-’SaiatUEtîénlie' én automobile.

Un m aire radHcal fràndéur.' —. LemaiW‘tadiÇal de■ thjtléroUe’S'-étê 'cbédamné çar'Ie tribunal •correcüohtiél de 'MontlSçon a iSOO francs' d’amende et 'à -diverses inser­tions du jugement, pour avoir fourni à l’hôpi- la( de MpnUiiço.n dujaij mp^iéj à raison de j3»,’V» èt avoir vénBii'dulàitecrèmé à raisod de 50'»/,. ' "" •; ‘

Là sneçessIiou’iiè'ItUlIlé^ard. — Lesélecteîlrs’'fié Ia'-‘'dêBiiiënie cir&nferiplioii' dU' ■ 17 'nri-otndissement" üe'Pâris '’soùt' co’nVb'çfués putir le 2'2 ocioiirc à l’effet d’élire un députe én rcrapiacementdeM; Joseph Ménarci. On parie de la candidalure de, M, Joseph Dènain,conseiller mjinicipal du qUaflii r ,'qui' se pré- senle comfflë''répab!iéaifi'tililiral:

Mort d’un-sénfifëtia*.*— M. Gustave Gd- bron, sénatedr rad'RiafdBà'A'rdennés,'présideùt-' efu Conseil général, vient de-mouHraubitemènt.

La cr ise du fran ça is . — Dans un 1mmèubie',aé,-îît fué'fi^l?Fidélité :* AuS mtxlùçaûires.

Les fumistes vontLaire^ meréredi, le ramo­nage des cheminées de tous l’immeuble.

TottS lbeatajre;:qüi nB_’ïtmifr*'pas" laisser ppur.le déplacè-

ment des Fui* 'Gétfé^ 'iÜsE iinpiSSiSf au dos des permis de chaése : ■-* La quittance du prix du permis déltoré par les percepteurs ne peut enïucube msnièreLeUir lieu de permis.

Le percepteur délivre quoi ? Une quittance. C’èst ponfquoFeiéiftiré est au masculin. 'T Sur un écriteau, avenue Paul-Long, à Hyères :

Maison à vendrp avec ses indépendances.

Nous nous trouvons, au sujet des négocia­tions marocaines, depuis* quarante-huit heures, en présence de deux versmna bien différentes émanant : l’une, pessimiste,'-du ministère des affaires étrangères, et l’qùtre, nètfemênt opti- inisté; de lâ présidenoë du''cohsè'iL II y a là évidemment unë ’diÇéi’gSifie dé vues sériéuse qu’il s’agit d’expliquer.' '- Le communiqué provenant directement du cabinet de M. de Seives mdiqdaât iFùne' façon évidente qu’au quai d’Orsày la dermère réponse allemande était fort préoccupante. Quand on sait avec quelle modératiqn traditionnelle s’ex­prime toujours ce départëmëht, cette note acquérait encore plüs de vâleUr. Aussi a-t-on été fort étonné', à Paris'jlprsqü’bn a vu s’envo­ler àe'la pfésîdehce au èon'seîFdéS communi­qués rassurants destinés à porter-nn pétf'par­tout des paroles de’paix.-Ces niéaiiqs”pa«Mes-<lirei!d'prodiguées au syndic des: agents. dC; ehange venu aux ndu- velles. Coîncidèilce'“cÜrieuse : à Berlin, Us directeurs des grandes'badW^ bnf ippu du ministère des affaires ’éiraÎKèfés des assu­rances optimistes" au sujet de la marche des négociations. ‘ ., En France, l’opinion publiqué demandé à êlre informée exactement.

; Les ht^stil^és sont cimme^; A six heures, h ier soir, l ’A gence Stefani publie un communiqué ofificfel du gouvernem ent italien, ainsi conçp : - u-Lâ n o té de la ïifrqS ié , en 'réponse k l ’ulliinatum ’itâ lien ; n ’a p as été la réponsë' pérejnptoiflè' '‘dfeihandëé, mdis elle a été évasivé e t d ilato ire. Én çonséquéncé,' lç rd i d’Italie a déclaré la guerre k la Tùrquié, ,

Un croiseur ita lien a détruitî un tor­pilleur ta rç d a n s lé.BOrt de J>reveza;ét ü a d ^ 'à r ^ é ’ dêéX oU W . ' - ' ' L’autorité ffiiEtaiîre 'ènvoié un ba ­taillon à Preveza.

Les GatastrepinsvdaasMIMHie.

Après, le tem ble désastre, qui a anéanti le Cuirassé Îî&ërfé, il est intéressant, de rappeler les précédentes catastrophés'qui onf éndèülillé nôtrè ihariné :

Le 19 mars 1899, ,1a ,pq.udrièpe„de la ma­rine dé L'agûùbràn, Cputenant pO.Ü,O0'hilos de poudre, fit. explosion, détriiisanï une pafliq du'village. Il y eu 36 morts et une oentàiiie dé blessés. '

8 février 1903, — Perle du S u lly dans la bajd'q’Alongi ,

6 juillet 19|®',.r- Naufrage du 3 ous-ma- ' rin Parja,déi, l u morts,‘ 20''avrtri9ü’6j'-L- Explosion, â bord de la CouTqnne,;i tués, 28 hléssés,..

17'octdbr‘é 1906.’— Naufrage, du. sous- marin Lutin, à. Bizerte, 14 .màrtè.

12 mars’196'7. — Explosion iéX lên a , â Toulon, 118 morts. .! 3aCtit’'19<)7,,'r^ Explqsion d’nnj'çapon a bord de ,la',Coizronne»3 morts.flblesSés.

8 février 1908. tJîie chajiâiwe ..sanfe' 4 bord de la Jeanne cLArc, l l blesS'és.; 12koÿt'i9p8,.,'— ’Explosionfl’ti çanon 4 bord, dé la Couronne, 6 tués,' 13 blè'ssés., 22 sè)ptèÉibre 19Ô8. — Explosion d’un panoir a botriî du lÀtouche-Trteitte, 13 inorts,’ 26 mai 1910. — Le sous-marin Pluviôse boule à 'Calais, 27 morts.■' 20 sep tem brèl9 ll.'— Explosion d’ime gargbusse à bord de la Gloire, 9 morts,7 blessés.

Ü j i Q e i A t e i i a i p e .

. Il y a 100 ans que,, par un décret daté de 'Compiègoe, furent créés les sapeurs-pompiers de Paris.' Napoléon 1*' avait rendu, le 18 septembre 1811, à Compièghe, un décret relatif à l’orga­nisation mibtaire du corps des sapeurs-pom­piers de'Paris. Les prmcipalés oisposiUons de ce décret portant quUl serait formé, avant le premier «janvier 18l2, un bataitUon depapéurs, chargés spécialémenldu service des pompes, à incendie, dans la ville ; de Paris. Ce batadlon seiàit divisé en quatre conipagnies de 142 hommes chacune et placé sous' les ordres dé l’administration du préfet de’police et sous l'autOrité du ministre de l’intérieur

Avant 1700, « on ne savait que faire la part du feu, abattre les maisons enflammées et sur les décombres renverser avec des crocs ou des herppns lès toits, des maisons, voisines. Pour lancëF'fie .l’eau sur les flammés on ne disposait que’ d’inSlFnments d’un calibre'^plus oU moins grand, qu’il èsf impossible dé dési­gner sous un autre nom que celui dé seringues. Le guet des métiers et 'le ' guet du roi appor­taient les premiers secours et signalaient

Déux transports .LifrCs sont canop- nés et je tés k la côto k P re ’veSa;

Le gouverneur de Tripoli est sommé de serendrje.. .. , ,

l’incendie au prévOt des marcbands et au procureur général du" Parlement qui, tous les deux à leur tour, faisaient avertir les gardiens prieurs et autres digni&tres dés ordres men­diants, à l'aide des cloches du ' béffroi' de l’Hôtél' de Ville, auxquelles répondaient les glas du tocsin de toUtesles église de Paris i». . A partir de 17Ô0, Paris eut suècessivemént dix, seize pompes. En 1722,. fut formée une compagnie de soixante gardes-nompiérs;'dont le nombre, s’éleva à 283 en iSOO.

«Dès 1850, Lbnis-Napoléon Bonaparte les mit directement sous le contrble du minishe delà guerre, et Je corps des'sapeurs-pom­piers, assimilé à l’infanterie, fut forme en régiment, sous le commandement d’un cob>- nel. Il se cômpose aujourd’hui d’environ 1.700 hommes; sous les ordres de la préfec­ture de la' Seine.'»

(Echo de Paris).

Onze M orts.— L'Héroïsme d’un .Prêtre.

Mercredi, vers 3 heurés,, une terrible catastrophe, a jeté la consternation dahs Paris. Un autobus de laligne Batignoliés- Jardin-dês-Piantes, n° 2036, s’engageait à vive allure sur le pont de i'Archevêché, quand apparut un autobus de la méihe compagnie, venant en sens contrairb ; le wattmandelapTemièrëvoitUré’peràit

sop §ang .fitoid, il ^objiqpa tout 4 coup i droit» d’utf coup dë voiâht.

L’autobus, l’un des nouveaux modèles sans impériale,.ffaiûïh'it le trottoir, dé- foaçânllé'falBle'paràp'ef en fonte etltomba dans le fleuve.i .On entendit une. rumeur fonnidable puis des-.crisr de détresse. Vingt-«ii.per- sonnes vendent d’être-précipitées dans la Çeioe, enférmées vivantes dans u n e ’vé- fitàble "cagëlj.

U u .P iè tr e S a u v e te u r .I Un jeune prêtre, l’abbé Richard, pro­fesseur ad collège'libre Lamartine, 4 Betiëy, dans l’Ain, qui se -trouvait dans Fa'iflpbds, eut .te seniim ^t frèi net dé ce quï 'se' 'passait.';.Eq. dépit de ,Ia .secousse qu’il avait ressentie pt de sa soutane "qui luj enserrait les .janibes,, il plongM six frfs,.et eix.;,/ois arracha un malhéui;eux être 4 la meut,4 Le: soulle lui manquait et l ’émotion flétreignait). des passants le conduisirent j ï ^ u ’4 une p t^m acie voisine; ' L’abbé

, W tÉart B’é ^ i tç j^ aux' félioitâtiôns, trou- 'yant son Scié fout’natürel. '

En même temps, les pompiers prévenus acçodràiënt, ainsi'qde MM. Lépine, préfet de'police ; Tounÿ, directeur de la police mpniçipalet Chênebenoît, juge d’instrue- tiod Grandjeah, substitut ; le docteur Petit, les internes et les infirmières de i’Hôtel-Dieu.

Les pompiers ramenaient sur la berge les cadavres que les scaphandriers reti­raient de la voiture. M. Chênebenoît a ou­vert immédiatement une enquête.

L’abbé Richard, que le magistrat a félicité, s’est borné 4 répondre :

« J’ai fait mon devoir simplement. Je regrette que ma myopie très prononcée m’ait empêché d’apercevoir les autres infortunées victimes.

!à Gatastrophe de la “ Idberté”

L es s e c o u r s a u x fa m ij le s d e s v lc t l in e s .

Le département de la marine a reçu et reçoit encore d’importantes souscriptions en faveur des familles des victimes de f explosion, du cuirassé i îJ e rfé .I. Dès le lendemain de'.la-catastrophe, on a commencék distribuer 4 ces familles les premiers secours, dans des conditions qui ont été communiquées par la voie de la presse.

 v a n t l e s f u n é r a i l le s .Le ministère de la marine communique

la note suivante :0 Les familles qui seraient désireuses de

faire inhumer en dehors de Toulon leursparents décédés par suite de la catastro­phe de la Liberté sont priées d’indiquer, le plus rapideinéiit pbsmKè, aii ■ préfet maritime de Tonton, la localité où 1 inhu­mation devra avoir lieu ».

L es Q bsèqu es s o le n n e l le s .. Les obsèques des victimes de l ’explo­sion du cuirassé ,Liberté auront' lieu 4 Toulon, mardi S octObfc, 4 9 heures et demie du matin. .. .

Un train spécialement réservé aux bu­reaux des.deux Chambres, aux boréaux des comini^ons de la marine et, dans la limite des places disponibles, aux mem­bres du Parlement, quittera Paris lundi 2 Octobre, 4 S h. 30 du soir, et arrivera 4 Toulon mardi, maflh 4 8 heures.

Retour : départ de Toulon, mardi 4 6 h. 43 du Soir.

Arrivée 4 Parismuercredi matin,4 9 h.33.

Mot d e la f in .La cherté des vivres.— flu’as-tu fait de tes solitaires et fia ta

broche .t— J’ai dù m’eu séparer... 11 me fallait une

douzaine d’œufs et un. litre de lait.

108.FEUIL1ETONDD COCRKIER de L’OISE■ - ' ' -

I l G A tl î i l lt t,î,

P A R

J n le s CHÀIVCEL

D E U 3 C I È : M E P i M F t 'T ' i p. 1 . . - ' — i'.,-..-; f ' I ’

C H A P IT aE X X X n ,(S ai/e ) -

'Il repoussa toute discussion,'toute, exfdicafion, et se- bbrnto à jluî-.sitoffipi’ froidement qu’il exigeait une’’ separa- t ia à immédiate,! en attenitost le rés-ql- tat d’une, œstance en.divoroe.qullallqit. introduire.. , i

X p comlesse se sentit en présence id'naé résolution irrévocableiment prisp. i'P b r fierté, elle s'abstint d* iq-éd^nter ou de la combattre, et coinmp le cotqte aloiAa qu’il'tenait'à sa disposition: ijn-* médiate le demêunillions qu il lui àvpit reconnu par contrat, elle prit son pagri’ de la mésaventure qui aboutissait vrpi- semblablement ■pour elle à l'échange dllmtortil de baronne-un peu fantqi-

' a iw eo a tre ttnfé eoanmnto duéale ' aii-

'■''Lê comte partit:. lé. ,soif même pour Paris. ' ' '

iliiü ■■•is? 9*MaeèbB et rejiroductipn ntterdites:

y - 1, , - V f«v '

Sous l’influence dominatrice et né­faste de sa fom m tf, il avait dù refouler ses sentiments et persister 4 tenir ri­gueur à Âdrienue.« Mais du fond du cœur il déplorait le parti’extrême auquel il s’étaitlaisséen- traîner.

Il retrouvait pour sa fille ses. senti- ments-de pire.

Il compâtissait à la douleur qu’elle avait dù éprouver en reconnaissant l’in d i^ ité de ThoiUme auquel elle avait dooné son amour. -ui . J

Maintenantub-voulait hii ouvrir ses braa^iïentiourerde noUveauidei.sa Len- dressaet lui demander4ea cansolations- qu’il ne pouvait-plus attendre que d’elle

Ce fut daasscea tdispositions d’esprit et dèiCfUiUr qu il quitta Flageg;^. ;

cAprësTénergie aireolE^ueUc Ôi avait résisté kTépteuve humiliante eticrnelle qui venait de le frapper, une.réaçtioin dapgeureHSe.était .4: prévoiTi.-rt'.4 re-

- produisitteraible..: . . . ,.I l échappa,4ir«ttaq.i*ejd’apqplswe,que

son,,teSH>|ramehtî.iefciaeau' «Mécédeuts faisaie»tioiHDurpj;edcwter,pqw ■

Mais une fièvre typjiig|adq,idu .icatac- t è r e le,plus dangereuit.i»,4(éslafa dèss o n a m ! ^ . . . ; i iii-i'i

j iATanf que le délire '.sé.fùt. emparé complijtCT.eim-de h iv il eutieitem p». de faire prévenir s%.fille.' Cette lettre de îiqqélphe, adressée 4 ^ g a t z , ’posbé ’restàntà, -ainsi qu'il avait ; demande, h iiavait appiàsc ïiièta llation 4 iAdrieiHie,roei.earttinet. ■ 'i; ' - -nt

Uu:,dp8QiHtiqae fa tièavoyé à .-cette ,adrqge4aatfyscom « >»d«rirtni11in»t^ u

' .aoLtuitsiCisC. îd z'MSÜ,

pour que la jeune fille accourût sans 'le moindre retard, l'éîat dù 'malade étaht des plüs graves. ' '

Le docteur n’avait pas voulu lui fane dire, aussi brusquement, qU’il ne con­servait presque plus d’espoir! , ■ *

Mais il ne le cacha pas 4 Rodolphe,

âuand celui-ci arriva avenue du Bois- e-Boulogne. .tiuelques renseignements, discrè­

tement donnés par le' valet de chambre du comte, firent pressentir au jeune homme l'état réel des choses.

Adrienue elle-même entrevit la, vérité 4 la tendresse que lui tém o^alecO iiK e pendant une courte rémission de délire * où il put ta reconnaître.-

Elle s'installa 4 son chevet, déddée)4i neipasile quitter un seul., instant; 4 fie s’en rapporter 4 aucun-domestique, 4 aucune garde, des soins 4 lui donner.! . {...Rodolphe, n e chercha pas 4 ia- diasuà- der d’une.irésolution mmathsdlei-iiii '

ILse promit de la seconder) de son mieux. ..* ! • ‘i-

Mais il compritqu’une femme, qu’use aaùeAsauiait,hiea3nieiïfe!qu«rluila ré- cofiforter daiiis,Ies angoisses morales et Tassisler daiis les fatigues physiques, qu’il prévoyait malheureusement poar ; e l l e . - • r"' :rt 'It revint en h4te rue Cardinét et fit connaître la'sitUation -41 Jeasn»;; Ain^-qu’ilTaàait'btoaiprémxçcellè-ci déclara-qu’elle allait retironver'-Jmmé- diatementAdriennèi'') i’ fiU'rz''

Fierrè' seJpSrtait ’ trëk bièn': ''élle le çpafièsmit .sa«»-eraij»tt ■àn*'‘*oiÉ» de

’- i -'•)■ “'il ‘qui pourrait vrâiir--S’installer rue Car- dinet pendant son absence.

Rodolphe lui porterait des nouvelles de l'enfant. . , :

0 ’ailleurs, elle trouverait toujours mo.yen d e , venir, le ..voir un moment dans la journée.

L’essm^i^' était:,, de;, ne, pas laisser Adrienne' seule daqs d’aussi doulou­reuses conjonctures. :

C'était tout 4 fait l’av is de Rodolphe, qui la conduisait lui-même chez -le comte Miquet.

CH APITRE X X X III

. Investi des fonctions de régisseur de la Sanguinèdè', M; Sdnièsj eifi bientùt donné ram'ès'ifré'dé’ce q'iflü était ca^blé.dé'faîrè'." '■ c - !■ ■ ■ s,; L’oj ini’on était unanime’ dans le

Jnan im e et déplorable ! O aflefrsuvsëati»dâsotn dn médiocre ! Cértaineareèt ' d to i^ n ta iilin ! ne

ie gardetait pàa-trras i n ^ b ■'«-) ’Il nè^dîrigeait'iriénf flî’ne sufveillait

üeisi On doifinit!Biémiè«quHl'eat par­co u ru iiadomsineç’t ’i 'r •- i •

En iresvaàèbè'flés caiés-de Montver- âiernt-'da ‘SeftntrflUgôsklrécevaieiit' ses* fréquenteè'visitesF.-l' i-1 œ ■>(- i:. iBmî,

I f était toujours prêt-'à-’ofirir > une coBsommetion; .nan-seulement ses amis et c o n n a ^ fS |^ à ^ m a i^ encore à tous les gens, à u ^ ù ^ î l avait un renseigne- m ènt'4 ':3ç!- “breux, cà;

.S IU S S 7 i i f u ù - n ù s j r t ' ï n . R . - i

transports, et uhe foule de sujets:: analogues.

Seiuément, on ne lui voyait faire, aucun Usage- dé la science théorique qu’il devait forcément acquérir en!se documentant aveÇ tant d’ardeur etide persévérance! -

■Volontiers on le comparait 4 une corneiUè q u i ébat des noix.

Le' dimanëhè 'ou Jeanne avait quitté la maison de santé pour revenir rue Çardinet, où elle n’avait fàit qUe tou­cher bàrifè,. ainsi) qu’on Ta -vu, une foire (aux" moutons se tenait 4 Saint- Hugdn. ’ '

-Solliès n’eut garde dé laisser occasion.dé prendre uneéchapper'tSté‘oc

lew n ne Chdaés;.’ n arriva vers iarriva vers neu f heures, dans une charrette Anglaise | qu’il conduisait lui- mèmé?ét,nprêàhVoir rèimisé au < Mi uj* ton cbUrofiné if rejoigmt-le berger de la Sanguinèdè* venu, dé son côté, pour voir comihént- se pratiquaient |es côàrSJ';w’'»l -.-iJ .

Depuis une demi-heure, il allait-et venait avec lui sur la place,' ^arrêtant -: deym t les lots de bâtes-*4 vendre,|et IriMtowlettplant d'un-regard qu'il chttùi k rendre-entendu,'-Jbr^ue PélagieuiPtoidiolej ila.l-rèee'veuse 'poâiesvet t é i^ a p h ^ i parut -sur stt- poitej; én i toilefie fpriâtanièzie <et pim-u pante, coifiée d'un chapeau de paijle); teUântoàt-'surchar^i de fleurs qu on léè psenut là distance:- pour- nhé - 'carbeijle' de -jaediaj entériDée- de'.ipoàdre d* riz -aà* ^ ia k d ’«to d e v e n ir U â À d e - '

' aat6eepd»e#i'étaliiifi««i5tti fi»t<

qu’èlle n’exhibait que dans les grandes circonstances, se contentant d’ordinaire d’un ruban ■violet.

A côté d’elle, Joséphine, sa bonne, tenait im chàle sur le bras.

Les deux femmes semblaient en proie aux impatiences de l’attente.

M. Solliès eut un sourire 4 la vue de lâ receveuser dontia toilette semblait sous entendre, des arrières pensées cœiquérahtes;

MaiS/jSa physionomie devint brus­quement attentiTre et sérieuse, lorsqu’il vit le docteur, cofiduduisant son lilbury sortir-de.chez lui, travreraér da place au pas etîAarrâter devant le bureau de d ep os’e. , •

Félagie Pibarol prit son chàle des mains'ide Joséphine, 4 * laquelle elle adressa quelques mots. Pnis eile monta en vaitilrei e t slassit 4 côté du docteur. L e tübury partit.

M. Sqlüiès. le regardait s’éloigner par la n ie qni-rèjoignait la grand'route de Montvëidier. n* H èuminoa'a examiner encore pen- dahfiquelques instants les moutons 4-viwdeejœ. 'L,*; .» Pui4’laissant le berger prolongerseul

d a revue,'!! allaa'asseoitdmîslasaUe de café de l’auberge 'dit - ** Haatbni.cou-

'œ-R'dananda une absinthe et .de quoi )’éc rire .''« l î i ' -7*Actii, Ah* ça,! Çue diable', vais-je bien 'peuvofr -imagineoS- auxramra^-it en m or^Uant-sotti ;portAÿaâie;:-i'.ét ep

jdW ^air pwcweieeî l a feuille * é « aé e» d f« m k u ; '

sTnels linFr!; .5'fu;'-;jcr 'aU; t . i --Ke’f'éà

Page 2: S»,A M ée. — I mmmbmsenlis.com/data/pdf/js/1911/bms_js_1911_10_01_MRC.pdf · S»,A M ée. — C l i } .a O T l f f i s .- 7 - _ U ^ « a n É a - T :: _ c m f l O T ^ n t m u

M t ü - i l . ’*.V5-

Questions MilitairesMutation»

Le colonel Dupléssis, dii 69* régiment d’in­fanterie, est nommé chef d"état-mia}or du 2* corps à AmieasV"' ’

Les co n scr its Illettrés*Conformément S 'la loi votée rènbéc der-

' nièrc, tous les jeunes soldats incor^rés.là semaine prochaine' vont étré'^oumis ^%'Têur arrivée au corps à un examen rudimentaire. Il s’agit de connaître exactement quel est le degré d’instruction des jeunes soldats. La chusc a de l'importance, car des divergences se sont produites à ce sujet entre les deux ministères intéressés, la guerre et l’instruction publique. Alors que l'administration préfecto­rale.ne relevait que 9.00P illftUrés ftovirona, la guerre constatait la présence de 14.000 illet­trés dans les i^ngs de la dèrflîèrt'clhssêi

Conformément aux iustructiwis ministé­rielles, des cours seront organisés dans les régiments pour les illettrés, mais 4ea heures consacrées à leur instruction ne devront dans aucun cas être prélevées sur celles-réservées à l’instruction militaire des recrues*

Courd’Assises de l’Oise.A ffa ir e L a m b er t,

C a r p e n tie r e t L e s a g e .( Cambriolages).

Marceau Lambert, Emile Carpentier et Robert Lesage comparaissent devant la cour d’assises sous l’inculpation de vols

■ qualifiés avec escalade et eflraetion, dans une maison habitée et en réunion. De plus, le père et la mère de Marceau Lambert sont poursuivis pour complicité par recel.

I l , s’arit du cambriolage commis à la maison de M.. Budin, rue de Beauvais à Notre-Dame-du-Thil, en face de la tour Saint-Lùcien. Ce vol fut commis, avec une rare audace, le dimanche II juin dernier, à 2 heures de l’après-midi,

ybicl l’état civil des accusés :Laïflbert (Marceàu-Léon), âgé de 19 ans,

né le 16 septembre 1892, à Beauvais, jour­nalier à Notre-Dame-du-Thili

Carpentier (Emije-André), 20 ans, né le 23 avril 1891, à Beauvais, journalier, sans domicile fixe.

Lesage (Robert), 16 ans, né le 2 mars 1895 à Liancourt, ouvrier d’usine à Vpisin- lieu-Allonne.

Lambert (Léon-Joseph), 35 ans, né le 9 avril 1856 à Arques, forain à Notre- Daine-du-Thii. . -' Haut (Marie-Palmyre), femme Lambert,

i l ans, née le 1«' janvier 1870 à Liez, mé­nagère ANotre-Dame-du-Thil.

Ces audacieux malfaiteurs avaient esca­ladé la grille de clôture et avaient pénétré dans la maison par une lucarne du pre­mier étagé grâce aune édhelle qu’ils avaient trouvée dans lè jardin. Les diverses pièces de l’appartement avaient été'visitées, lee meubles non fermés à clef avaient été' fouillés et les malfaiteurs s'étaient retirés, en emportant un revolver et divers bijoux d’une valeur de 1,300 francs.environ.

Marceau Lambert interrogé le premier, avQue et fait lûi méme.ie.réctt du.camjtjrio- lage.

Emile Carpentier, quatre fois condamné déjé malgré son jeune âge.fait les mêmes av-ux.

Le jeune Lesage est moins mal consiV déré : qualit à ses parents, ils assurent que c’estâ leur insu que-leur fils dissimu­lait chez eux les ohjrtsvolésâNotre-Dame- du-Thik

L'audition des témoins est accablante, surtout pour Lambert et Carpentier qui paraissent les deux principaux acteurs de ce cambriolage.

Après réquisitoire de M. Berger et plai­doiries de MM« Poulet, Gilles, Joly et Boullenger, le verdict suivant est pro­noncé :

La Cour condamne :Lambert Marceau, à six ans de réclu­

sion. ...............Carpentier Emile, à cing ans de tra­

vaux forcés.Lesage Robert, est acguitié comme

ayant agi sans discernement et décide qu’il sera mis en maison de correctioa jusqu’à sa majorité.

Lesépoux Lambert sont atqv.iltès.

passez pour un ivrogne,

Audience du Mercredi 27 Septembre.A ffa ir e V lH efroy .

La fille Eugénie Villèfroy, 21 ans, ma- nonvrière à Bitry, est accusée' d’avtrir, le IS mai dernier, étouffé et enterré dans un bois l’enfant auquel elle venait de donner le jour.

Les renseignements recueillis sur elle et sur sa famille n’étant pas mauvais, t’accusée a été laissée en liberté provi­soire Elle se présente à l’audience dans une très bonne attitude.

La fille 'Villèfroy avait, depuis quatre ans environ, des relations avec un jeune homme de son pays. Elle eut une petite üiie- qur aaujourd’hui 3 ans.

Elle assure que si elle a commis ce crime, c'était dans la crainte que son ami ne voulut plus l'ép.ouse.r.

M. le docteur Tournant, médecin-lé­giste, vient ensuite donner les résultats de t’autopsie de l’enfant, qui était hé viable

■•■vécn. -et avau. *-"<1101, prononce un réquisi-

M, SéOr suo?,.. . '->00056 pas à l’admis- toire modéré et ne s niméroesiondecirconstancesatténuaniv,-, **•..à l’application de la ldi de" su rsis} h - quiert cependant 'ùné ,

M' Gilles défeitd là fille ViRsfroy et plaide l’àcquiitemeht'. '

Après vingt minutes de délibération, le ’—y rapporte iih vérdîcf négatif.

Eugénie V illèfroy est acquittée.' “■iJ

A ffa ir e S ia A à ix i!(Le meurtre de Senlis).

L ’accusation.Jcseph-Clément Maifiiaix, .40 ans., ma-

nouvrier à Senlis, estincnlpé de meurtre coismis avec une froide crnanté. Voici Æaiilenrs l’acte d’aceusalion relJttant la scène qui fut déçrile.en .son tèinps dans le C attm er de M ise .

Le dimanehè .28 .mai .1911, vers .cmq heures du soir, Marbaix consommait dans nmdéhii de Senlis, rn cohapâgnie de plu-, sieurs camarades.parmi lesquels les sienrs Leclerc (Georges) et PrévDgt‘(8él»aStipn).

Due discnssion.s’engagea iOBtceiee der-, nier., et Marhaix, pour un inotif futile. Gomme Marbaix, paraissait vouloir violen­ter Prévost, .Ledere intervint en disant :« éi tu toochésBastion, c’estoommesi tui jne frappais moi-même ».

Ponr éviter nue rixe, la débitante poussa, dehors Marbaix. En sortanUt) se retourna et brisa avec le poing un oarreso de la porte.. Leelerc quitta presque anssitôt rétablissement. Quelques.instants ^rès. MtarbaixbéîDt^ait son domicile. ., jÆ futtSSïi par liedeo! qui, .Se.jtoant _ (tetant Je .(p w tietc^ ili^ teO a

quelques mètres etep iace .de.i;^ T rM ^ it te é tp td e M a rb a i^ '

dernier en lui disant : « F.tinéant, bracon­nier, si tu n’est pas un lâche, prends ton fusil et tire », en même temps, il eptr’ou- vrpit son vêtement.

Anssitôt l’accusé s’empara de son fusil chargé, accroché au-dessus de son lit, s’approcha de la fenêtre ouverte de sa chambre et, après avoir épaulé son arme, visa dans la direction de Leclèj;c etttt'feu. Atteini)en pleine poitrine, Leclercfitquel- ques pas, traversa la rue et, mÔfJ§l|é!S®°*- frappé,'vint s’abattre devant fa porte de Marbaix.

L’autopsie a démontré que le décès consécutif au coup de fusil chargé avec du plomb ri» i etre(;u en pleine poitrine, avait été causé par une hémorragie du bile pulmonaire et du cœur, avec perforation

-de l’oreillette gauclie. L’aceusé-a-subi six condamnations dont trois pour coups et blessures.

■ ' Les renseignements fournis sur son compte sont des plus défavorables. Ivrogne invétéré, braconnier incorrigible, de ino-

' ràlîté dôùtéuse, brutal, violent et méchant, il passe pour très dangereux et est très redbuté'QB ses voisins contre lesiquels il a souvent proféré des menaces.

L ’Interrogatoire.Marbaix est ensuite appelé à la barre ;

c’est un homme plutôt malingre, très brun, a l’air dur et brutal. 11 est né à Senlis le 15 juillet 1871.

' M. le président commence l’interroga­toire :

Di — Vous est-ce exact?

R. — Je bois un petit coup... le diman­che et un peu le lundi.

D. — Vous êtes braconnier.R. — J’y vais l’hiver pour donner du

pain à mes enfants.D. — Vous êtes très violent. Comme

braconnier, vous avez un fusil chez vous et vous en menaciez vos voisins.

R. — En parole, mais je n’aurais jamais fait de mal à personne.

D. — Rendiez-vous votre femme très heureuse ?

R. — Quand j ’étais saoûl, je lui donnais quelques gifles.

D. - Est-ce que vous ne lui avez pas donné un coup de couteau?

— Elle l’a reçu, mais il n’était pas pour elle.

D. — Cela indique que vous êtes très violent. Racontez comment vous avez com­mis le crime dont vous êtes accusé.

Marbaix raconte comment i l alla boire avec le nommé Maurice Carton. Après, avoir visité plusieurs débits de" Senlis, Marbaix et Carton entrèrent aü café Fir min où ils rencontrèrent Leclerc. Mar­baix eut avec celui-ci urje première dis­pute.

La querelle reprit dans un autre café, le débit Dekerpel. Marbaix prétend que c’est Leclerc qui le provoqua.

' L’accusé rentra ensuite chez lui.— J'étais à peine rentré, dit-il que j ’en­

tendis Leclerc qui criait ; « E hl viens donc feignant, braconnier « donneur que je te casse la g...' » Je pris mon fusil et-je courus à la fenêtre. Quand Leclerc vit mon fusil, il entr’ouvrit son veston et .s’écria: « Tire donc, si tu n’est pas fei­gnant. » J’ai appuyé sur le chien. Je savais bien que mon fusil était chargé, mais je •né savais pas g,u’il y avait nn.e capsule. »

' ■( ''Marbaix'. fait ,të: geste’r'd'e.’ Brér, ' ce 'qui ' p'rô't'o'qué déb rumeürs d'a'ns l'assista'nc.e.

Du montre le fusil de Marbaix : c’est une vieille arme à piston, qui se charge avec des bourres et une capsule.

D. — Pourquoi avez-vous visé Leclerc? R. — Pour lui faire peur.D. — Mais, vous avez armé votre fusil ? R. — Oui, mon président.D. — Pourquoi avez-voUs lâché la gâ­

chette?R .— Parce que j ’avais la certitude qu’il

n’y avait pas de capsules dessus.Les Témoignages.

Le premier témoin est la femme de l’accusé.

Elle déclara qu’elle n’a pas vu la scène parce qu’elle n’était pas dans la même pièce que son mari. Elle entendit simple­ment la détonation.

D. — Est-ce qu’avant de tirer, votre mari n’a pas ouvert le tiroir de la com­mode ?

R. — Si, je l’ai entendu ouvrir le tiroir de la commode ?

D. — Qu’est-ce qu’il y avait dans ce tiroir?

• R. — De l’argent, du linge, ü . — Et encore?R. — ...Des capsules ! répond la femme

Marbaix, après de longues né.sitations.M‘ Raviart au tém oin: Votre mi.ri,

avant de-'tirer, avait la main ensauglaiit -e.11 avait'cassé un carreau au café: Il nnt du sang au mur en prenant son fusil. Y avait-il aussi du sang au tiroir de la com­mode ?

Le témoin. — Non, Monsieur. 11 n’v avait nas de sang.

Le président à l'accusé. — Marbaix, avez-vous ouvert le tiroir pour prèmae des capsules. ' ■

R. — Non, mon président. Le tiroir était ouvert, j ’ai pu le heurter eu prenant mon fusil^ c’est tout.

Romam jfàpoléon, maréchal des logis au 2* hussards, était sur le pas de la poi te de la caserne, à peu près en face de la maison de Marbaix, lorsque le drainé s’est déroulé. 11 raconte la scène tragique. C’est ee sous-Offlcier qui arrêta Marbaix.

Bourgouin Pierre, hrigadiér-fourri>-r 2‘ hussards, raconte également la scèoe ûnaeurifè . '

CartûfFMaurice, 24 ans, détenu pour délit de chassé,' vient'déposer entre deux gendarmes. C’est ay'ec fui que Marbaix a lla au café où il rencontra Leclefc. D’a­près la déposition de .Carton, ce serait Marbaix se serait fâché le premier avéc Leclere.

Urrte Leherpeel, marchande de vins à 5enüs, racônte la dispute qui éclata dans son càf^iEntre Marbafx et Leclerc.' ,

PrAvosKSébastien, 17 ans 1 /2 ,’ma- nouvner’à 'Sènlls,' fait uné; déctaratiou identique." fl était aù éâfé: Dekerpel avec Manbaix et jLeciere. SfljTjt ensuite celm- çije't ■nt la scène dn .menptrjffie témoin siéelare (tvoif'iij'é ^on cotrâ d§fjS i l , . : l ta ^ § Aoisii :« (îienS, Jô Bè

,§l4*.pa*„nn_i)çh6 »- ' jKaréttiar,-^fijestfanx. ; <M. te Président. — Ce propos prouve­

rait qqe vous aviez l’inteobon de tirer sur îe c fe c . -

.B. — .C’est.faux. . .H..Passierieu (Pierre-üenri), peintre à

ViUemonbie, exTcataliec an 2* hussards, se >.trouvait dans noe des-cbambres de la oaserne, le 28 mai.qnasd ilvitlMarbaix apparattre 4 sa fenêtre un fusil à la main etimpr Leclero.

Emilie. Prévost, ménagère & Sen-. l également;présente à la.chicane

du Mmibaix et Jjeclerc..L e jjfllw F dnnpe leetare de là déposi-.'

tién f d in S e in ,4^1860. floi n’a . pas étéiktiw.«lié.psrdftiâiatii»i étaptjH M t^Bûciie ' connu. " ’

T.e réquisitoire.M. Berger, procureur de la République,

proponce un réquisiloire trèsferkq. H re­prend toutes les charges de,, l’aaçîisation qui, selon lui, démontrent sufliffljment due Marbaix avait bien rintêntiop,'^ tuer le malheureux Leclerc. « L’acoü^,'! dit-il, «^t un être particulièrement jflan^a.ux et jnplent et il a certainement agi Àop soiis jSiSW-f®, i’ivrésse, m ais^ps Ji’iiihoence de la-oolère et de la surexcftâtiôh. ' '

S’adressant auxjurés, il leur demande de rendre,uq yqrdiot, sévère et juste en ré- ppndànt a|fir,pj^iv^ei)S à la seulq ques­tion qui leur bera'pô'sée. Pour les circons­tances atténuantes, l’honorable magistrat s’en rapporte'â'la SagesSé’du jury.'" '

La défense.M' Emile Raviapt a ppononcé une très

éloquentè plaifldîKè. 11 a opposé à la thèse du ministère public qne, argumentation tendant à établir que Marbaix n’avait pas l’intention de donner la mort. « Le Procu­reur de la République n’a pas, dit-il, ap­porté de preuves précises dans cette attaire entourée dhin certain m'ystèr'ë et d’iin doute qui doivent proflter.à l’accusé. 11 dépeint Marbaix, non côiiime un malfaiteur dan­gereux, mais comme un ouvrier travaillant régulièrement pour élever sa petite fa­mille.

La peine demandée blic serait, selon le détionnée avec les fciitsetM'_____________des conclusions demandant à la Cour de poser au ju ry 'la 'question subsidiaire de coups et blessures ayant occasionné la mort.

Le verdict.Une seule question est posée au jurés :

celle de l’homicide volontaire.La réponse du jury est affirmative avec

circonstances atténuantes.Marbaix ëst condamné à cirtq ans de

travaux forcés.

Conseil d’ArrondissementDE SEAflJES

Les membres du conseil d’arrondisse­ment se soni réunis à 'k sous-préfectlMà, le, 1§ septetibré, pour ia'’’denxieme lie üfe la ceigibn 1911: ' ^

^ i e n t p t j^ n ts tous les membres sauf M. ^tyqu^^^çusé.. '

Contribution foncière des portes et fenêtres.

Le conseil d’arrondissement proteste de noùveaü' cohtrë le ’-coh'tîngent affecté à l’arrondissement de Senlis dans le répar- teinent des contributibus foncières et des portes et fenêtres, et demande l’uniformi­sation dëslaùx dans'tôus'lès ârf'ôffdlsse- fflfihls 4a département de l’Oise.

Sous-répartement de l’impôt.Le conseil d’arrondissement procède en­

suite au sous-répartement de l’impôt fon­cier o t des portes et fenêtres, d’après les principaux compris dans les rôles de 1911.

Eh ceqiiic'ôricèrné'ta'pérsonnéllë mobi­lière, le conseil fait application du même mode de sous-répartement, mais, tenant compte de la cessation de vacance du château d’Acy-en-Multien, adopte le 4* pro­jet présenté par l’administration des contri­butions directes.Rattachement au territoire déAntilly

d’une partie du territoire d E ta v ig n y .

Le conseil d’arrondissement donne un avis favorable, à l’unanimité, au projet de rattachement au territoire d’Antiily de la portion du territoire d’Etavigny com­prise entre la rivière de Grivette et la iigne du chemin de fer de Crépy-en-Va­lois à Mareuil-sur-Ouroq.

Vœux.Le conseil renouvelle le vœu qu’une en­

tente intervienne entre les ministères de l’Intérieur et de la Guerre, pour que les salaisons, biscuits et pains biscuités, qui forment le fond d’approvisionnement pour le cas de' mobilisation, soient passés de la Guerre à l’Intérieur, à titre'remboursa- ble, lors du renouvellement des stocks, pour servir à l’alimentation des détenus et permettre l’amélioration de la nour­riture de l’armée nationale.

Le conseil renouvelle le vœu que l’ad- ministation des ponts et chaussées re­cherche le moyen pratique d’arriver, dans de bonnes conditions de prix et de durée, au goudronnage des routes dans la tra­versée des agglomérations.

Le conseil, considérant que les facilités des relations entre Paris et Creil, à partir de neuf heures du soir, au lieu de s’amé­liorer ont été diminuées, émet le vœu que l’arrêt à Creil du train 131. partant de Pa ris à 11 h. lo du soir, arrivant à Com- piègne à 12 h. 32, soit rétabli dans le plus bref délai possible.

Le conseil émet le vœu que la compa-

fnie du Nord mette eh circulation pour esservir Senlis et les gares situées entre

'autre jambe I senlis et Chantilly, deux trains de voya- pied-était broyé. Après I geurs partant, l’un de Paris vers 9 h. 1/2un pansement opéré en hâte sur place, • S . . .................... ,------ j -------

on mit le petit blessé dans le train de 8 h.20 et on fe fil transporter avec tous les ménagements possibles à l’hôpital Lari-

Sur la ligne de Beanvais à Paris. UnelHère^ât' sèn ïiifan t '

l rqyés par l’ press.Un terrible accident s’est produit mer--

credi matin, vers Th. 1/2, en gare de Montsoult-Malfliers, sur la ligne de Beau­vais à Paris.

Mme Leduc, femme du jardiner du château de Chauvry, appartenant an baron Brincart, traversait la ligne du chemin de fer tenant par ia main son jeune fils âgé de S ans, lorsque l’express 406 allant de Beauvais à Pans les surprit au milieu de la voie et les tamponna.

Lorsque le train se fut arrêté, on se porta au secours de la pauvre femme. Mme Leduo-avait une jambe broyée et une fracture du crâne, tous les soins furent inutiles et elle succomba peu après.

L’enfant ; était grièvement blessé ; la jambe droite était coupée, l’autre jambe était-frac'turée et.le piedétait broyé. I '

boisière -ét iMiist ................................: Mi-^Leduéiiâ'. été avisé’ -par télégramme' du malheur qui le frappait.

Détail navrant: la grand mère de l’en­fant tenant à la main sa jeune sœur, assista épcfuvantée â la catastrophe et est devenue folle de cette terrible com­motion.

Mouvement du personnel-des Chemins de fer.

Sont nommés :Chef de stâtioh à Précy, M. Gustave

Deliry, chef (de station à Savy-Berlette.Employé â ' Aubervillers, M. Edgard

Lebon, facteur mixte de 4‘ classe â Vau- moise.

Chef de district à Tergnier, M. Ulysse Guilhert, chef de district à Clermont.

Chef de district à Clermont, M. Albert Deriencourt, chef de district à Marcoin

Employé au Meux, M. Jean Boure), employé à Loos.

Facteur-mixte intérimaire de 2 ' classe, en résldèiicé à Monlsoult, M. Jules Prévôt, facteur-mixte de2' classe à Saint-Maximin- garage.

lu soir, l’autre vers une heure du matin à la sortie des théâtres.

Le conseil renouvelle le vœu que la répartition de l’impôt foncier dans l’Oise

L soirâaile.selon une évaluation actuelle de cèlTmpôt, au lieu de l ’être sur des hases établies depuis plus de vingt-ans, et qui de l’aven de la direction des contributions directes, ont perdu toute valeur; qu’en tout cas, cette répartition ne soit plus éta­blie par arrondissement, mais sur le dé­partement, ce qui assurerait sa parfaite homogénéité.

^ travers SenlisVILLE DE SENLIS

Elections MunicipalesG O N V O C A T I O î S r

d e s E le c te u r s p o u r l e D im a n c h e 1 5 O cto b re 1 9 1 1 ,

à Veffet de procéder à l'Election d’un membre du Conseil Municipal

en remplacement de M. BRIARD, adjoint, décédé.

Conférence Saint-Vincent-de-Paal.Sous là'présidence de Monseigneur

l’évêque de Beauvais, aura lieu, à Com piègné, le'mércredi 4 octobre, line assein blée générale déS ' Conférences Saint- Vincent-de-Paul du diocèse, et des per­sonnes qui s’intéressent au but charitable de cette œuvre. '

Union Dmartementale des Sapeurÿ^Pompiers de l ’Oise.

AssemSlér. générale. L’assemblée généralM e l’üuion Dépar-

' i de l’Oisetementale dqs.Saiaura lieu-â-iBbamety, lè 15' octobre pro­chain, rordce.diL jour sera publié ulté rieurement.

Chemin de Fer du Nord.FIN DE LA SAISON DES BAINS DE MER

Suppression de trains de Voyageurs .au. départ de Paris.

1° Parisrâ'Eu et an Tréport-Mers :Le train rapide n» 433, partant de Paris

pour le Tréport à 4 h. 03 du soir, les samedis et veilles de fête, sera mis en marche, pour la dernière fois, \e samedi 30 septembre.

Le train express n° 401, partant de Pa­ris pour le Tréport à § h. 33 du malin, sera roU en roarobe pour la dernière fois, le mardi 3 octobre.■ Le train rapide n“ 409, partant de Paris pour le Tréport à 8 h. 05. du matin, ne dépassera plus Beauvais à partir du mer­credi 4 octobre.----■

2° Paris à Amiens, Boulogne et Calais Lè train "exprèss h»'3,. partant de Paris

pour Boulogne à. 8 h. 35 du matin, sera mis et! hiat’PtiP phûr- la dérnièrè' fois, le tpqjn pour Bqulpgqe 4 8 h. 35 du matin, èéfàffii-'SD maïene pour ia dernière fois,le mardi 3 outflbi'Ç’ .......... ”

Le train expreps n* i l , partant de Paris ponr Bonli^ine à 3 b. (fit du soir, sera mis en marche ponr la dernière, fois, le mardi 3 octobre.entre Paris et Amiens. ;, .

Le train .e^e5g nf 61,(partant de Paris & 4 h. 30 du soir, pour Bouiogne-Tinteile- ries et IVimille, ea semaine .seulement et' à titre temporaire . et. d'essai, sera mis en marche ppgr la^déMére fois, le saqjedi 30 septembre,

l e liioA parieUn grave appel, sori dn tombeau : .C’ési^Bral%^i'di{phd son bien.

'V M S^ ri® u d 3% lré (^jgo 'Se^Tiènifôyfmu'prussien.'

L ‘. P , i f iidm itïîiié savon.

■ Le Maire de la Ville de Senlis, cheva­lier de la Légion d'honneur.

Vu la loi du 5 avril 1884 ;Vu l’arrêté de M. le Préfet de l’Oise du

27 septembre 1911, convoquant les élec­teurs à l’effet de compléter le Conseil mu­nicipal pour procéder à ia noini nation d’uii adjoint.

Arrête :Article l" . — L.’.s dispositions suivan­

tes seront publiées et affichées da.,s la ville de Senlis ;

1" L'assemblée èieutoralB de la ville de Senlis,.eoiivoqnée pour procéder à l’élec­tion d’un membre du Conseil inunicip.’il. se réunira à cet efl'et le Dimanche 15 Oc­tobre prochain, à huit heures du matin, dans la salle de 1 Hôtel de Ville. .

2°. Les électeurs apporteront leur bulle­tin préparé en dehors de l’.A.ssemblée. Le papier'du bulletin doit être blanc et sans signes extérieurs.

Chaque bulletin ne devra contenir qu’un nom' imprimé ou manuscrit.

3» La liste électorale arrêtée le 31 mars dernier servira pour les élections dont il s’agit. 11 ne peut y être ajouté aucun nom. Les seuls changements à y apporter con­sistent dans la radiation des électeurs décédés ou privés de leurs droits oivitg e* politiques par jugement ayant forc’e gë chose jugée. .Ces olmngemenls fc'„i Pobjet d un-tableau de rectilicatic,n aiftfthé é 1» porte de l’Hôtel de Yil‘,é.

V Le scrutin,,Ouvert le 13 octobre, à puil heures du matin, sera fermé ledit jour, à SIX heures du soir, et le dépouille­ment aura lieu immédiatement après

Si.J’4iection ne danue pas de résultat, il sera prqcédé à un- second tour de scru­tin, le aimanehe 22 octobre prochain, aux mêmes heures-et dans le même local. A cette, secondé opération, i’élection- aura lieu à la majorité relative, quel que soit le nombce dea votants,

éftiole 2, Les cartes individuelles deslélecteurs leur seront remises à domi­cile avant la: jour des élections.

, . Paitâ-’TgÔtel de Ville de Senlis, le 30 septembre 1911.

Le Maire,Chevalier de la Légion d honneur,

r ; A. DE'WARS, ■

P rom ottona e t MutaUoBo.Par décision mimstérielle du 24 septembre

1 ^ 'r r

hors cai k t réinj f i fbg. f.M. Ri hussard Détaché XM. Lo deJiussi

lUX, chefd'escadrons breveté, "najor de Tarmée,3* buoiau),

sonÇ'âhne ét affecté au

d esi^Mus au 2> rég. de 10* de -dragons. —

intech^me dllcevale^). e ooimandMthu 2* 'rég.

instrucSHSi.iB'Tég. 'H. Fétizon, capitaine breveté au 40* rég.

d’artillerie, est nommé à l’état-major du géné­ral chef d’état-major général, à dater du 3 no­vembre I9H, en remplacement du chef de bataillon d’infafilerié lireVetë'Ganfelin’, “réinté­gré dans son arme (service).

M. Butte, capitaine au 2* rég. de hussards (détaehé comme instructeur d’exercices mili-

mis hors cadres (éeoles). — Uaintenu (sfirvjpe).M. Pqmmier-Layrargues, capitaine breyété,

hors cadreg {étht-mpior'dû'l2* cofp's'd'armée), pqése câêtieins 'commandant au 2‘ rég. de hussards (service).

Par décision du Président de la République, en date dU|24 septembre I9II,'rendu siur la proposition du Ministre de la Guerre.

M. Mussat, ancien élève de lléoole polytech­nique a été nommé sous-lieutenant de réserve et affé'çté ad 20' régiment d’artille'riè.'

Au nouveau promu, petit-flls de là regrettée Mme Chartier, nous adressons nos bien vives félicitations, .

L’A v e n ir ..Assemblée générale.

Les membres participants et honoraires de la .Société de Secours mutuels approu­vée l'Avenir, se sont réunis en assemblée générale â l’Hôtel-de-Ville de Senlis, le 23 septembre dernier.

La séance est ouverte à huit heures et demie du soir, sous la présidence de M. Sommmre, président de la Société, assisté de-MM. Beaufort, vice président; Grison, secrétaire ; Rrévost Isidore, secrétaire- adjoint ; Vanater Georges, trésorier; Ma­nn , trésorier-adjoint, et Yon Emile, tré­sorier spécial des retraites. M. Démelin excusé par lettre.

Le secrétaire procède à l’appel nominal. Il donne ensuite lecture du procès-verbal de 1 assemblée générale du 17 juin dernier, ainsi que célui' de la séance du 9 juillet ; ces deux procès-verbaux, qui ne donnent lieu â aucune observation, sont adoptés à luBammité.

■ sont -présentés et admis quatre nou­veaux membres participants.

L ordre du jour appelle l’examen du versement à opérer au fonds commun deretraites avant le 31 décembre._ proposition du président et duLonseil dadministration, l’assemblée :

Va la situation financière de la Société, vote a 1 unanimité le versémént de la soinme de cinq cents francs entre les mains du préposé à la Caisse des Dépôts et Cqnsignations au compte du fonds de retraites de la Société.

Sur le projet de création d’une section de retraites ouvrières, il est pris la délibé­ration suivante : la Société l ’Avenir appré-

“ louf valeur les avantages offerts par la-lof 'dès retraites ouvrières et pay­sannes, à' tous beux qu’elle vise ; ayant témoigné déjà de son adhésion spontanée à la loi par 1 inscription d’un grand nombre

- de ses membres an service do la ■prenant en considération diverses de­mandes quilui sont parvenues etco-,vaincu que la mutualité ne saurait faire une meil­leure propagande qu’en amenant à elle ceux qui lui sofit demeurés étrangers lus- qu à ce jour en leur facilitant l’accomplis­sement des obligations que la loi des re- traites “leur impose^ décide de compléter ses statuts comme suit-:; Article additionnel. — Une section spé-

ciate des_retraites ouvrières est ouverta aux béûénciaires de la loi du 3 avril.l9i i . La Société les y reçoit uniqljement en vaië du service de la collecte, sans les obliav.r à s aflilier à ses services généraux. En échange de la remise que lui vaudra la perception des cotisations, elle as>v,ireà '■eue catégorie d’adhérents, eh cas de ma­ladie, le versement de leurs cr,iis,Kions dans es termes du règloraent concernant la collecte, voté en assemblée du'‘->>> avril ÿ rn ier, approuvé par l'arrêté ministériel d autorisation en date du 12 juillet suivant et sous le contrôle des visiteurs qui s’assu­reront de la réalité et de .la durée des incapacités de travail,_ L’admission est exonérée rie tout droit d entrée; e le sera prononcée en assem­blée générale dans les formes ordinaires après examen préalable ét sur la prése'.- tation du Conseil d’affministralion.■• Lv participation de ces sociétaires aux

as-semblées. h-nr intervention dans les dé­libérations de la S.)Hété .sei-oui limitées vrières'**^*'”"* ’elativcs aux retraites ou-

„ q.uelgues renseignements donnés sur 1 éfat sanitaire au cours du trimestre,l i n 'a tiéanceest levée à dix heures.

A lla m e z v o s l a n t e m e ae t d o n c e n q ^ p l {

Le commissaii!pit!te«ttae, a d r« n ' " contravention n ÿ è s de vihi défaut déclairam“à danc chauffeuij tos, qui circulaient rif iflle sans êtr rés et à une allure tri^^apide.

Avis aux chagffeur|^; •4: -!PL ■

Bsqx clefs de sûreté et una petite roueen caoutchouc.

O bjet t r o n v é .Une casquette.

elTU d e S m MW*.du ^ au 30 septembre 1811.

Naissance.28. René-Gabriel Berge, rue du» CordeUers.

Décès.26. M. Jules-Camille Ragois^ domestique, 58

ans, rue de Paris.

M aison Ch. T o r ip et, L . F év r ie r » s o c c e s s e n r . " V étem ian ts p o n r J e u n e s G en s. — Dimanches et Fêtes, fermetwe des lfo,gasins à une hetife.

L abondance des m a tières nous^^ifgeàrenvoycrâno trepa-oc .ha inn 'u - m éro d iffé re n ts a rtic les: n o dam m eri une c ircu la ire de la m u n ic ip a lité d e M ontataire„ des com m unications de nos correspondants e t u n article concernant, l ’a ffa ire d e l ’outtroi d e la P o rte de C reil.

D o n s g é a é r e u x ,M. Driard fils, et ta famille Fautrat, à

1 occasion | de la mort de leur parent M. Dnard^ premier adjoint^' ont adressé au Bureau dg Bienfaisance la somme de cinq cents francs et des bo'ns de pain , p viande poùr être râpartis entre les f-- mtlles nécessiteuses.

Au nom ides pauvres, merci aux eéré- reux dcmateurs> ^

Drftpeanjx' e n b e r n e .En laison du deuil qui frappe la marine

française, tous les édifices publics de Senlis ont mis>le drapeau en berne jusque après les obsèques des victimes de la ca­tastrophe de Toulon,......

A S a in l-V in e e n t .La rentrée des classes aura lieu mardi

prochain, S octobre, dans la soirée.Le mercredi matin, à huit heures, messe

du Saint-Esprit, après laquelle se feront dans toutes les classes les compositions

M esse d e s C o n sc r its .La messe annuelle du départ des

conscrits pour le régiment aura lieu à la Çathédrale, dimanche prochain, à neuf heures du matin.

N é c r o lo g ie . ,Jeudi derniér ont eu lieu les obsèques

de iM-i-Jules Ragois, décédé à l’âge de 58 ans, après une longue et douloureuse maladie. >

-Le défunt, l’oncle de notre collaborateur. M. Ijefèvre, OTote à l’imprimerie ' du Courrier de tOise, était depuis longtempsemployé delà maison Bonnet.

ll àeté accompagné à sà’ d_____meurt par une nombreuse asMstanee^a ^pârtnts et d'amis.

■Ce décès! met en deuil les familles Ra-- gois, Fleury, Legrand, Lefèvre et Garor. auxquelles nous présentons l’expressipii de nos plus sincères condoléances.

F r é lè v e m e h ts .Ces jours derniers, M. T'axii a fait des

EoÇitme-les-GorpisNuds et Mo^tlognon.

C a n to n ^ ^ iOiîeil*

Grande cérém onie religietise. — La iim'Jo'T -® 'Patronages Catho- ilJH? 4® iUise aura lieu cette année â

^ * octobre prochain, de^eauTOF de Mgr Doums^ évêque

? ®^r’émonie compte :' messe solennelle en

nages 'Pour les jeunes gens des patro-

Fer i^^nquet à l’hôtel du Chemin de

Assemblée générale, salle ues têtes -du même hôtel : compte rendu

Gaillard, avocat, président deI Association, et causerie par M. Henri “ ^ “ OD’ .'de la Jeunesse Catholique, et la oerémoniei se term inera par une séance récréative., artistique et ■ littéraire,'tlans laquelle se feront - en-tendre -les jeunes gens des groupes de Creil e ffie - Gom- piègne.

Une ^ lle tte victime d'un satyre. — Mercre di matin, la dame Dedryè, habitant rue de Goumay, envoyait ses enfants, son fils JuJien, 10 ans, et sa fiiliette Juliette, / anr;, faire une course chez M' Rolland, huiF,sier, rue Gambetta. Lorsqu’à leur ret'jur, vens midi, à environ trois cents m'jtres. du domicile de leurs .parents, les c'afants s’amusèrent dans un petit bois, râtrjé lieu dit « le Marais », qui se trouve à l’interseiction des t/erritoires de Creil, Montataire et Nogent, a ramasser des 'orindilles, lorsqueYoutà coup uaindividu surgissant d’un taillis se jeta sur la petite Juliette, la terrassa et, étouffant ses cris, lui fit subir d’odieuses violences.

A l’appel de son petit frère qui cria aussitôt au secours, une voisine se préci­pita su r Je lieux où se découlait le drame, mais, à son approidie, le misérable qui avait eu-letempsiie consommer sonforfmt s’échap.pa précipitammi înt sous bois, sans i|ue ,'?.pJle-ci puisse l’ apercevoir, et les enfant 5. dans leur fra ' eur bien compré- hensiblc, n’ont pu malf. leureusement qu’en donner uii signalemenl . très vague, ce qui malgré, les actives r eoherches aussitôt enlraprises par la get idarmerie de Creil ren.d son arrestation, très difficile. Une pt'emière piste suivie a dû déjà être ahan- ■ionnée. Espérons néanmoins que l’affreux satyre pourra êtr e rétro uvé.

La petite qui 'a été t.rè:'' gravement bles­sée a reçu les s oins du D ' Debray.

Les Vétérans des Arnuées de Terre et de Mer. — .dois. — Les membres'de la 473* Section des 'Vétéra.as' BontinfOrraés que la recetfiR, pou,' le 4 ') trimestre 49H, aura lieu dimanches l'f'et'B'O 'ofobre, de 2 à 4 t.eiu-es de l’aprè vmidi, salle de la Yoirie., Hôtel de Ville de' Creil.

Les m.erabres de ia Cai sse de secours en cas di - décès, y compris 1 es camarades pensionnés, en retard pou." le paiement de leur s cotisations, sont lariés de se mettre, à jour., Les camarades qui désirijnt assister à

’.a cérémonie au monument, da-la défease, à Courb,Bvoie, qui aura lien be dimanche 12 novembre 1911, sont priés de se faire inscrire aux heures et lieu r'indiqués ci- dessus. .Le coût du voyage ei i demi-place est de 2! fr. 30.

Potilele Co m'ité :Le Président, C‘ J lipp. Cazie^

Echo des manifestations.- — Les scènes des ma nifestatioiis creilloisé s que la di­rection du théâtre a fait pr endre par le cinémat ographe seront rep.n ésentées, en séance privée, le jeudi 4 ou tûbre, à huit heures 6 jt demie du soir.

Progi -amme cinématogra.phique des grands j jours.

II fai idra pour entrer la. présentation de l’avit i nominatif adressé p*ar le théâtre. Prix UDiique des places, 1 fr anc.

Les -dames sont priées die venir sans chapeaux.

Pou.r l(-s enfants. — Jeuidi 4 octobre, à 3 heurss, - grande m atinée ciné’matogra- phiq ne pc lur les enfants. Prix : Ci Ir. S®.

Hiéureu x écoliers qui sont à jieine ren­tré,s eh .<class6 et qu on songe', déjà à dis­traire. ' ' .

C'inôwaî. — Programme , dm dimanchs octobre', matinée et soirée.

Partie,Smgapore, TiIIe-Voyage • La Peiïr des cami

Dnoleufs, comique; te s Kiodây:É.odï3»>ir, équ» fibristès.''Orcliestre. - - -

Latude, fîbh iTarl, Drâme ; Lès ' mésdMenlures de Juin; c'emio'ne. . ' '

Porhe. / 'Attraction^, " '

. 3' Partie.PathéJournal. .Toutes les. actualités de la

semaine.: Le Çoeurpardoune, fiJahiaits Drame de M. BureM-Gneroult, lut, par IsfüWtistes de la comédie F ^ çm se ;L ’a4roplaa» dadeFoui- narâ', 'camiq(fe. OKbeshe- -

LeSpofiateur;fibnd’MU,Drama<l«i'iLAdenis, Int.parlemma Thalès.; Dranam tait rea e^ melep ^ fibou'is, èonfiqae.' Bonso'ir; Retraite»

Pianiste M** Hoassais*

Page 3: S»,A M ée. — I mmmbmsenlis.com/data/pdf/js/1911/bms_js_1911_10_01_MRC.pdf · S»,A M ée. — C l i } .a O T l f f i s .- 7 - _ U ^ « a n É a - T :: _ c m f l O T ^ n t m u

^ u c e m e n t !1 dres 3é hier,

He vitiasse et Bufi'eui.'S d’au- k n sê trt'ic la i-

l e petite roue

Élis.1911.

| e Cordeliers.

cajestique, 58

F é v r ie r , In ts p o u rIches et Fêtes, te heure.

t ir r e s 710V.S y'>‘oc}iam-,m-

notamme>£ lia ip a litè de \ii':atio/is de

' m artic le fa c tr o i de la

Greil.X -

rieuse. — La Inages Catho- le tte année à pre proehain, ouais, évêque

BolenneUe en b.s' des patro-

|Q j Chemin de

nérale, salle |îcmpte rendu . président de

par M. Henri holique, et la

une séance Itéraire,- dans le les jeunes

I et- de Gom-

lin satyre. — prye. habitant ; enfants, son

Üette .luliette, .\I° Rolland, rsqu’à leur trois cents

parents, les pn petit bois,

; ji se trouve ^ps lie Creil, p.maisser des bp an individu

B sur ia petite ^ a n t ses cris, Ices.rere qui cria bine se préoi- |la it le drame,

1 sérabie qui er son foriait

biis bois, sans |evoir, et les bien compré- p.sement qu'en Mgue, ce qui eues aussitôt

rie de Creil IdiiEcile. Une Bià être aban- ( que l’affreux

kvement bles- Ibray.i de Terre et çnrtlres de la eu t informés nestre 1911,

I t 8 octobre, l ü i , salie de Ereil.| e de secours

camarades !e paiement

lEiés de se

assister i ia.éféfense,

dimanche de se faire

fndiqués ci- ; demi-place

Inité :fipp. C.vzi£sj

-Les scènes une la di-

fendre par le |sentées, en obre, à huit

bhique des

présentation • le théâtre,

■c.1 venir sans

1 o'jtobre, à bé’matogra- j f I Ir. 20. Ipe ine ren- : déjà à dis-

dimancha

trides cainf r ynir, éqn»

s^enlnres

llités de la paît; Drame

utes de rdëde Foni-

tlLAdenis, liaÿ reaem- [ir. Retraite,

le legs Moisset. — On nous écrit :Je lisais l’autre jour, dans un journal de

l'Oise, une note relative à un legs Moisset, au profit du bureau de bienfaisance de Creil ; cette note se terminait ainsi :

« Nous avons dit dans un précédent article que les héritiers proposaient le i-achal de la nue-propriété moyennant une r.imme de deux cent mille francs immé- iluilPinent versés et en toute propriété.

Il est nécessaire que l’on sache sur ruelles bases ce calcul a été établi.' Il résulte de la déclaration de succes­

sion que la portion disponible comme nue- propriété s’élève à 332.460 francs.' ■> Au regard de l’enregistrement, l’u­sufruit de cette somme, étant donné l’âge de la bénéficiaire, vaut les sept dixièmes, soit 372.79'2 francs. Il reste donc pour la iiureau de bienfaisance 139.768 francs. Ce ,.iil revient â dire que, officiellement, la nue-propriété du bureau de bienfaisance lie vaut que lo9 768 francs.

« Or, les héritiers offrent deux cent mille irancs. Il v a donc bénéfice incontestable pour le bureau de bienfaisance.

Cl D’ailleurs, ces chiffres ne sont pas ab­solument définitifs et ils pourront être mo- ililiés au cours du débal que, dans l’intérêt de nos concitoyens, nous souhaitons vive­ment voir s’ouvrir.

11 parait qua les membres du Conseil d’administration du bureau de bienfaisance doivent demander l’avis d’un jurisconsulte et que cet avis déterminera leur décision. Certes, ils ont raison de se retrancher derrière l’opinion d’un jurisconsulte. Mais celui-ci sera très-embarrassé pour formu­ler son rapport, la. question â lui poser étant très deli'.iate.

Le bureau de bienfaisance se trouve,lé­g a t a i r e d'une nue-propriété ; il a donc la propriété d’uiï fonds ou mieux d'une part d'un actif de succession évaluée 332.360 fr., dont une usufruitière touchera les revenus pendant son existence.

Il n’aura donc droit aux revenus qu’à partir du jour du décès de l’usufruitière.

On lui dit : vous voilà possesseur d’une ressource inattendue, il faut dès mainte­nant en tirer parti.

Il objecte peut-être que, si M. Moisset ne lui avait pas fait le legs, il lui aurait bien fallu continuer à faire face à ses obligations actuelles avec ses seules res­sources du moment et alors qu on peut bien attendra le décès de l’usufruitière.

Mais, sans doute y a-t-il toujours des «■ens très pressés qui ne peuvent admettre aucun raisonnement, car on propose au Bureau de Bienfaisance de vendre ici une propriété ; il parait qu’il n’y aurait aucun égo'isme à réclamer, tout de suite cette solution.

La plupart des compagnies d assurances sur ia Vie achètent les nues propriétés. Et au Bureau de Bienfaisance de Creil les héritiers du testateur offrent de racheter la nue propriété de ses droits s’élevant à .33-2.369 francs pour une somme de 200.000 francs, c’est-à-dire que le Bureau de Bien­faisance recevrait 200.000 francs dès maintenant au Heu d’en toucher o3-2.ü6U francs au décès de 1 usufruitière , cette ofi're 'peii élevée, dit-on, est basée sur l’évaluation que fait l’enregistrement à son és'ard, évaluation qui ne saurait faire la loi entre les parties.

Le Bureau de Bienfaisance ferait-t-ii une bonne -aü’aire en acceptani 1 offre deslîéritisrs ?

L’avenir seul pourrait lui répondre. En effet, si rusuf’ruiiièrevieutà mourir le ,ea- uemain de la vente, il aura toul simple- ment perdu dans l’opération 33- obU tr. , si elle vient à mourir un an, deux ans, ou quelques années après il aura perdu une somme dautant plus forte que la date du décès sera plus rapproché de celle de la vente. Au contraire, si I usufruitière^ vit longtemps peut-être aura-t-il gagné à ia

'vente mais il faudrait qu’elle vécut pres­que centenaire pour qu’il en soit ainsi.

La nue propriété est pour le Bureau de Bienfaisance l’équivalent presque d im billet rte loterie. A la conserver ou â la vendre il gagnera où il perdra.

On vo it tiucc que le jurisconsulte sera quelque peu embarrassé a donné u..eréponse. . , ..

Il le sera d’autant plus que la que.saon ne parait pas très élargie.

On pouvait en effet lui demaridei* aussp.Si le Bureau de bienfaisance pouvait

offrir â l’usufruitière de lui acheter son usufruit, c’est-à-dire de verser à cette nersonue et à forfait une somme déter­minée contre laquelle elle abandonneraitson usufruit. , . ■ ■

<=>•> Ou si le Bureau de bienfaisance ne pourrait pas demander à des Compagnies d’assurances sur la vie, à la Caisse des dépôts et consignations, au Crédit Foncier de France, ou â tout, autre établissement susceptible de le faire, de lui faire une avance sur la valeur de la nae-propriété, ce qui lui permettrait de réaliser une partie de ses droits à la somme de 33i.o60 francs, sans abandonner les autres, et de rester encore intéressé, dans une certaine me­sure aux bonnes chances de l avenir, tout en avant évité les désavantages du présent. Autrement dit, il resterait propriétaire de la nue-propriété (les 532.^0 francs sur laquelle il lui sersût avancé a titre de prêt ®ar une Compagnie ou un établissement Sue somme de l50 à 200.fi90 francs rem­

boursable au décès de l’usufruitière; le décès arrivant le Bureau de bienfanoe en­caisserait les 532,360 francs moins les 130 ou 200.000 francs prêtés; il aurait encore .382.500 francs ou 332.360 francs à sa disposition ; et il faut noter qu’il pour­rait fort bien ne pas em prunter les 130 ou 200.000 francs en une seule fois, mais en plusieurs au fur et à mesure de ses besoins.

Kt la question ainsi complétée eut été plus facile à résoudre pour tous ceux qui auront à s’en occuper.

A u théâtre. — Rappelons que c’est ce soir samedi, que la célèbre tournée Leduc nous donnera la très intéressante repré­sentation d’Emile, Bergerat : Plus que Heine, dont nous avons entretenu nos lecteurs.

Chien trouvé. — M. Guillemin, demeu­ran t 1, impasse de Paris, a trouvé un chien de petite taille, sous poils noirs et jaunes avec pattes blanches. Il le tient à la dispo­sition de son propriétaire.

Epaves. — M. Ludwick a perdu diman­che soir une bague en or avec pierre rouge. La personne qui l’aurait trouvée est priée de la rapporter au Commissariat contre récompense.

— M. Millot Alphonse, 47, rue de la République, a perdu différents papiers, com preuaot : oerlifioats de travail, livret de travail et une feuille d’hôpital. On est prié de rem ettre ces papiers au Commis-- sariat.

— Maurice Brabant, dem eurant 13, rue Charles-Augusle-Diigué, a trouvé la se­maine dernière, place de la Gare, une montre en acier bruni avec chaîne acier, qii il tient à la disposition de son proprié­taire.

— Mme Berthe, 31, rue Jules-Juillet, a' trouvé mercredi soir, place Carnot, à l’is­sue du marché, une taie d’oreiller. Une paire de lunettes a été trouvée le même jour au même lieu.

Etat civil du 23 au 29 septembre 49H.Naissances. — 25 : Lebel Roger-André ;

23 ; Cauchin Jules-André-Eugène ; 26 : Hubert, 'Yvonne-Paulette ; 28 : Esmery Pierre-Alexis.;

Publication de mariage. — Entre M. Lafon Germain-Louis, garde-frein, et Mlle Lebon. Emilieune, domestique, tous deux.domiciliés à. Creil.

Décès. — Ciaesserj Jeannè-Joséphine, veuve Vacher, sans profession, âgée de 72 ans ; 22 : George Clarisse-Divinne, veuve Meurice, âgée de 7"3 ans ; 26 ; Simoens Joséphine, femme Delterre, marchande de poissons, âgée de 43 ans ; 25 : Slock Bernard, manouvrier, âgé de 34 ans ; 26 ; Maingoy Jacques-Gilbert. âgé de 22 jours ; 26 : Barbier Irène-Amélie-Etien- nette, âgée de 9 mois ; 26 : Delplanque, sexe masculin, présenté sans v ie ; 28 ; Dillien Ju- lien-Artuur, âgé do 4 mois.

C iistntllly .Société régionale d’horticulture Ban­

quet de la Saint-Fiacre. — Le 17 sep­tembre la société, d 'horticulture de Chan­tilly fêtait la St-Fiacre par un banquet dans la vaste salle de l’Hôtel d’Angleterre.

La salle était magnifiquement décorée et il n 'y paraissait guère que la saison était inclémenle pour les jard in iers, car les Heurs étaient à profusion.

M. Lefèvre, électricien à Chantilly avait également prêté son concours en orga- ii'isanl un chemin de table et des corbeilles composées de Heurs artificielles toutes ru­tilantes de lumière électrique. C’était fèeriqiie et l’on ne saurait trop rem ercier M. Lcl'èvre de son heureuse collaboration.

,M. Vaüon. maire de Chantilly présidait entouré de M. Guiileminot président de la Soohaé, de M.M, .Aubin, Lebeau, vice-pré- side.'ts.

Les eo.evives étaient nombreux et la réunion fut d 'am ant pins gaiequ’un grand nombre de darnes avaient répondu à l’in- vuai:on de la socifn.é.

Le menu fut très soigné par M. Lesage auquel cous adressons nos remerciements.

Au champasiie M. Vallon prit la parole pour remeroier ia Société et son président lie l’avoir invité à 'p rés ider cette fête de limnile ;i ld itto u t le plaisir qu’il éprou­vait 1 iiaque année à se retrouverai! milieu- de noi.s ei apri' t-avoir levé son verre en l'hijiiacur des d.uiics présentes, du prési­dent et des membres de la Société, il fit des voeux pour le rétablis.sement de M. Bernaudin lé dévoué secrétaire de la So­ciété.

A son tour M. Guiileminot, Président prit la parole pour rem ercier M. le Maire d avoir bien voul'j accepter la présidence de ce banquet amical et dit tout le plaisir qu’il éprouverai î de se trouver à la tête d u Ml société prosnère comme la Société d horticulture de Chantilly, heureux su r­tout du bon accord qui règne entre tous ses membres. Il présenta les excuses de M- Lenoir qu’un deuil retenait dans sa famille et lui adressa nos condoléances au nom dé la société. Il exprima aussi le re­gret que chacun éprouvait de l’absence de M. Bernaudin retenu par la maladie et fit des voeux pour le prompt rétablissement de ce dévoué collègue.

Il rem ercia les dames d’ètre venues si nombreuses au banquet et porta un toast aux promus de l’année : M. Aubiu 1 ' vice- président nommé chevalier du Mérite Agricole et M- Lebeau 2® vice-président auquel M. le ministre vient d’accorder la médaille d’argent des Instituteurs.*

Enfin il leva son verre en rhoT-''»"” ' ■ M. Vallon, des dames et de to'c, c u i ves présents au banquet. iï’Après quelques chansons fort bien dites par plusieurs membres de la Société enfr’autres M. Ramus fils, les assistants se rendirent au café du théâtre où une sau­terie intime fut organisés.

Danseurs et danseuses s’en sont donnés à cœur joieîet ce n’est que fort tard que l’on se sépara en se donnant rendez-vcius à l’année prochaine et en remerciant tous les organisateurs de cette bonne journée.

Concert. — Dimanche l " octobre, à 4 heures, allée du Réservoir, concert par la' Musique.Municipale.

PROGRAMME1. Bruxelles Attractions (allégro). Turine.2. £e Tannhasüser (fan ta is ie ).... ' Wagner.3. La Veuve Joyeuse (valse) F. Lehar.4. Duo du Pré aux Clercs Hérold.3. Merle et Pinson (polka pour

2 pistons) redemandé Reynaud.Un billet de 100 francs dans un bas.

— Samedi dernier, Mme Chocart, pro­priétaire à Chantilly, s’apercevait qu’un billet de 100 francs, placé sur son bureau, lui avait été dérobé. Ses soupçons se por­tèrent sur sa bonne, qui nia le vol. Mais hier, un deuxième billet de 100 francs disparaissait également du même endroit. N’ayant plus aucun doute, Mme Chocart a trouvé le billet dans le bas de sa bonne.

La voleuse a été conduite à Senlis et' mise à la disposition de M. le procureur de la République.

Tamponné p ar un express. — Di­manche à 8 h. 46 du soir, le facteur Bre­ton Marcel, âgé de 26 ans, domicilié à Chantilly, employé à la gare qui venait de décharger des bagages sur une brouette du train allant sur Paris, a été tamponné au moment où il traversait la voie par le train allant sur Creil.

M. Joly, chef de gare, l’a fait transpor­ter immédiatement à l’hospice Condé où M. le docteur-Chaumel lui a fait l’amputa­tion des deux jambes. Son état, quoique très grave, n’est pas désespéré.

M o n ta ta ire .Accidents. — NoéL Ferdinand, 31 ans,

ajusteur, demeurant rue de la République, travaillant aux Forges, s’est blessé à l’au­riculaire droit, en soulevant un porte couteau de cisaille ; 20 jours d’incapacité de travail.

Bara Léopold, 20 ans, démonteur au même établissement, demeurant rue de la République, a été atteint au' pied gauche par un cylindre de laminoir qui s’était décalé, il s’est fait au pied des contusions qui entraîneront un repos de 20à30 jours.

Voleur pincé. — M. Dautel, l’actif commissaire de police de Montataire, a procédé jeudi soir à l’arrestation d’Olivier Gustave, âgé de 26 ans, demeurant rue de la Gare, qui la veille au soir s’était in­troduit par effraction chez Mme Durost, rue de la République, et y avait soustrait une somme de 900 francs se trouvant dans un tiroir.

Olivier avait commencé par nier, mais au cours d’une perquisition opérée à son domicile, l’argent volé ayant été retrouvé en sa possession, il a été mis à la disposi­tion du Procureur de la République. ■

Chanteurs expulsés. — M. le Commis­saire de police a interdit formellement à trois chanteurs ambulants, deux hommes et une femme, qui vendaient jeudi au marché une chanson plus ou moins anti­militariste et des complaintes sur la mort de Laval, de se livré à leur petite industrie sur le territoire de la commune de Monta­taire. Il serait bon que cette mesure soit générai'isêe à l’égard d’individus très peu dignes l’iiitérét. Un rassemblement assez, important s’ètait formé autour des chan­teurs qui ne paraissaient pas du tout con­tents d’èire dérangés.

F A J T S _ L O C A I J X

A u s e r -S a in l- ’V'Inceiit.Election du maire et d'tin adjoin t. —

M. Joseph Lemercier est élu maire par 3 voix sur 10 votants, au premier tour.

M. Eugène Ledoux est' élu adjoint au troisième tour par S voix sur 10 votants.

A a m o n t.Palmes académiques. — M. Malin,

ancien instituteur d’Aiimont et actuelle­ment à Morienval, vient de recevoir les palmes académiques.

Toutes nos félicitations.B é tb isy -S a liit -M a r tia .

Mariage. — Mercredi dernier, a été célébré en l’église d’Oissery, le mariage de M. Léonce Dubois, distillateur à Join- ville-le-Pont, fils de Mme Dubois-Deno- gent, ancienne marchande de vins en gros à . Béthisy-Saint-Martin, avec Mlle Fernande Gagneux, d’Oissery.

Les témoins étaient, pour la mariée, M. Boulay, maire de Cuvergnon, et M. Delahaye, hêtelierà Survilliers, ses oncles, et pour le marié M. Dubois, directeur d’école à Paris, officier d’Académie, son oncle, et M. Gressier-Huyart, fabricant de vannerie â Béthisy-Saint-Martin, ami.

Nous adressons aux nouveaux époux tous nos compliments.

! B é th lsy -S a ii it -P le r r e .VI. le lieutenant d’a-:illi.'rie Hachette,

originaire de Bélhisy-Saint-Pierre, vient d’être promu capitaine.

— Non seulement l’épidémie de rou­geole dont nous avons signalé l’apparition continue à sévir, mais malheureusem'ént ' elle fait des victimes ; des enfants sont décédés des suites de son atteinte.

Ne serait-il pas prudent de retarder de quelques jours la rentrée des elèves des écoles.

— Aujourd’hui dimanche, à deuxhenres, à la mairie, réunion des membres de la. Société de secours mutuels des sapeurs- pompiers et ouvriers.

C p ép y -en -V a lo is .Cercle Artistique. — Une charmante

artiste ayant eu la malchance de se blesser assez grièvement au bras, la séance an­noncée pour demain dimanche, n'aura lieu que le 15 courant.

Toujours des inondations. — Le petit édifice de ia place du Paon déborde tou­jours !■•• C’est charmant I... Parfumez- vous, messieurs les' voisins I et vous pas­sants humez à pleins poumons cet... (juoi vous moquez-vous de nous diront ceux qui ont cette parfumerie devant leur porte I Oh ! loin de moi pareille pensée ! « Et vraiment vous avez raison, car est-ce si sain et si agréable de respirer continuel­lement les émanations de cet urinoir ?.Non- pas certes, et croyez bien que laisser subsister un état de chose semblable ne fait point honneur à la Municipalité ». Ainsi se lamentent les habitants de la place du Paon, et l’un d’eux avec lequel le causais particulièrement et à qui je faisais remarquer qu’avec un simple fil de fer de 27 centimètres on pouvait débou­cher le conduit, m’a hasardé timidement :« Oui mais il faut peut être pour cela réu­nir la commission d’hygiène ? » Oh aldrs I autant déménager tout de suite !

On plaignant.I l va pleuvoir ! — Mercredi, la commis­

sion des eaux s’est réunie et transportée, aux fins d’examen, aux endroits où des travaux de canalisation des eaux dë'plûîesl avaient été effectués.

A h u e l..i à dia I — Malgré toute son habileté à conduire ses chevaux avec de retentissants à hue I à dia ! le charretier Desjardins Victor, de Nanteuil-le-Hau- douin, se voit dresser contravention, ce moyen de diriger un attelage n’étant pas reconnu suffisant.

Combien le savent? et combien s’y lais­sent prendre ?

Cinq heures du m atin ... Réveil en sursaut. — Attachez bien vos chevaux, messieurs les livreurs, et vous messieurs les hôteliers, au besoin,vérifîezles attaches.

Si cette précaution avait été prise, un coin de la place de la République n’eut point été mis en émoi mercredi dernier, âcinq heures du matin. Un cheval s’étant en efi'et détaché, faisait un tapage infernal dans l’écurie d’un hôtel de ladite place e t à cette heure matinale cela eut pu faire maugréer les voisins, sans les consé­quences dramatico-comiques... Vous l’avez vue sans doute ?

Les pochards rigoios. — Marth V. en a assez de sou métier de manœuvre et ces temps derufers il aveii. l’intention de deve­nir archiif!'ir‘.

Ses vingt s.x an ;. es lui ayant donné une certaine expérience, il s’éiait dit que pour lancer une all’aire il faut avant tout de la réclame et il résolut d en faire d’-une façon inédite. C’est pourquoi on a pu le voirldans le courant de la semaine décrire dans les rues de la ville des courbes et d’innombrables lignes brisées, afin de dé­montrer publiquement ses capacités. Les Crépynciis commençaient à être édifiés sur la valeur du nouvel arohiteofe, lorsque Marth qui, pour se donner de l’aplomb, avait bu un peu plus que de coutume,_fut rencontré par Messieurs les gendarmes. Ces derniers voyant le malheureu.x archi­tecte sans bureau, s’empressèrem de le comiuire au poste afin de lüi fournir un local. Pour calmer Marth auquel ce domi­cile ne convenait pas, on lui assura qu’il n’en paierait pas la location, mais qu’une simple contravention lui était dressée. Ce privilégié ne fut pas encore satisfait et confesse que c’est dégoûtant d’essayer de vouloir travailler.

Pharmacie ouverte. — Demain di­manche pharmacie ouverte, M. Petit, rue Jèannè-d’Arc.

M o n ta g n y -S a in te -F é lic ilé .Accident de voiture. — Lundi dernier,

dans la soirée, M. Harandsoy, hôtelier à Ermenonville revenait en voiture de Nan- teuil'. Dans la traversée de Montagny, à l’endroit où la route est rèndue très étroite à cause de la, contiguïté del à mare, la voiture, non protégée par un baffàge’ôu un mur culbuta dans la mare. Par un heu­reux hasard, M, Harandsoy et son fils qui l’accompagnait, ii'eurent que de légères contusions, mais le véhicule fut complète­ment mis hors d’usage. Grâce au concours deM. et Mme Rousseau, boulangers et de- M. Laudijois, les victimes de cet accident

purent sortir l’équipage de ia mare beu- reusemehVà sec)

L’admkiistFation ferait bien de-eons- truiré;«ii’{ iü rà è e t éiidM tdë la’fohté'-qni o,ffre ôB-réel dangen>aBX biétons comme ‘aux ciiifdùïJleürs, de voitures; ’ - ’ ,

■" ■ R a r a y .Plainte. — rifflârdi dernier, Bruno

Wefcman, sujet belge a porté plainte) cd'ntré son camarâde, Adolphe Capiau,; quPavaitfui en emportant des effets d’ha- bîllèmêht et div'éfé' objets lui appartenant,, pour une valeur de 30 firancs environ. Lé soir du même jour, i Capiau étant revenu, déclara qu’aprèsavéirfêté Bachus,. il avait emporté par m ég^de 'fes effets de son Copain. .

Bruno a retiré aussitôt sa plainte, tout est bien qui finit bien.

R ob erval.)Fête patronale. La fête patronale

de Roberval dite de Saiùt-Remi, a lieu cette année les 1’"' et 2 octobre; elle s’annonce comme devant être particu­lièrement belle, en effet beaucoup de- marchands forains sont'venus s’installer : chevaux de bois^ balançoires, tir à la cara­bine, pain d’épicés, jeux dé massacre, de boules, tourniquets, etc.; etc. ; est-il> besoin d’ajouter que les étrangers, les promeneurs trouveront bon accueil et que des pâtisseries et des rafraîchissements pourront leur être servis chez les débitants- â des prix très modérés. Le soir de ces deux jours bai à grand orchestre sous la tente.

T h u ry . iM ariage.— Lundi-dernier a eu lieu,-

au milieu d’une nombreuse', et sympathi­que' 'assistance,"Ié''m'âriagë de M. Bahn- Désiré, bourrelier, avec Mile Nouvian Lucie. ' ■ I ' -

Nous adressons aux jeunes époux nos meilleures félicitations. |

■ Obsèques: — Jeudi ont èu lieu, à l’é­glise, les obsèques de M. jHenri Senez, âgé dé 67 ans. M. Senez ét£Ut tombé acci­dentellement dans une créssohnière de Collinances et serait mort de congestion.

Nous adressons à la famille nos sincères condoléances.

A la Mairie. — Une enquête publique était ouverte depuis le 15 septembre, au sujet du curage de l’étang dé la Grivette. L’enquêfe s’étant prononcée dans le sens de l’Mfirmative, les travaux vont immé­diatement commencer.

Bureau ile Plate|ent gratuitIt l'AcUiii Uiraiii Finulaire.

T o n te s l e s c o m m n n ic a t io n s d e - 'vront ê tr e a d r e s sé e ^ à H . A . G a llé , 6 , C onr d u C h â tea u , à C rell. (A v e c la m e n tio n : P L Â - CÈMEIVT G R A T O T .)

DEMANDES OSg“ Une personne désire faire des

travaux de comptabité ou des écritures à domicile. 18

Employé ayant loisirs, prendrait à domicile tous travaux de copie à la ma'n ou à la machine à écrire, se cbargerait oe la confection d’adresses sur bandes ou enveloppes. 20

g Ç r - Adjudant d’artillerie coloniale, retraité, demande place concierge de pro­priété ou d’établissement industriel. Peut remplir les fonctions de secrétaire. [Très recommandé par son ancien patron qu’il quitte pour raison de santé la placé étant un peu forte pour lui). 33

ÿgF ~ Comptable, 30 ans, références séiroîseS’,'mari'e, recherche petites comp­tabilités industrielles et commerciales. 46

« B P Un chauffeur d’autoj connaissant le j.ardin, demande place. 36

e a y Un jeune homme de 14 ans 1/2, sachant déjà travailler, demande place de petit groom dans maison bourgeoise, pour conduire un cheval. (Bonnesiréfér.) 61

On cocher jardinier à toutes mams,46 ans, muni de bonnes références, demande place. 67

Un militaire retraité, âgé de 40 ans, demande un emploi dé garde pro­priété, gardien de nuit ou garçon de re­cettes. 68

©î®” Un homme marié, âgé Je 39 ans, demande place de gardien ou aulre dans mf^iâfeau, peut conduire cheval et en­tretenir aulo. 69

Une personne d’une 50“ d’années, démànde place de bonne à tdut faire, cui­sine, lessivage, jardin. Chef pèrsûnne Seule ou ménage. 70

Une jeune fille demande place de bonne à tout faire dans maison de com­merce oiiaotres; 71

Une dame veuve demande une place de bonne à tout faire chez personne seule. 72

M B" Une dame veuve, de SO ans, de­mande place dans maison bourgeoise, chez personne seule. Monsieur seul de préfé­rence. ^ (Bonnes références). 73

M^T’ Une personne âgée de 30 ans, demande plaée dans maisma bourgeoise, s’occupant de savonaagev'couture, repas- é^ge'pbur ménage de deux personnes, ou femme de chambre. pouvant; s ’occuper d’enfants. •— 74

« p ir Un ménage, le mari homme â tëb'tès mains, sachant un peu le jardin:^, lâ^mme bonne â4out' faire et basse-cour demande place. 75

'.W tir Un homme de 30 ans, muni de bdaàes références, demandé place de co- chér valet de-chambre et âtontes mains. 76

jppB" Un ménage, le •mari’pour soigner léëiâievanx, jardinage et â tontes mains, la femme pour la cuisine, lavage, repas­sage ét couture, demande place. 77

A s sn r a n e e s .La C'“ La Préservatrice, "la plus an

cienne des Gies françaises. Accidents, demande un représentant â (ireil. — Pro­duire références sérieuses.

O FFRESBjHT’ On demande une cuisinière d’une

trentaine d’années, très sérieuse, pour maison bourgeoise.Très bonnes références exigées. . 75

SÉpr* On demande un charron marié poaTHravaillé dans une ferme, logement, jaixhn, travail assuré tôute i’année. 83

0 9 " On demande un bon sommelier ayant travaillé dans l’épicerie, pour faire la 'S ive, la camionnage e tla livraison. (Bonnes références exigées). 85

On demande un bon charretier sérieux pOur'èlîarrOl de'grumes. 86

0 9 ^ * 6)n demande une cuisinière d’une trentaine d’années, munie de très bonnes références. 90

«BF’vOn demande pour une ferme un homme marié, logé, non nourri, pour soi­gner ohévaux, voitures et harnais' de maîtres; la femme serait occupée à la journée. Bonnes références. 92

«■IP On demande pour une ferme un ménage, d’homme charretier, la femme pour la cuisine des maîtres et des domes­tiques, basse-cour, ménage, etc. Bonnesréférences. 93

M l P On demande deux bons ouvriers charrons et un tireur â la lîme. 95

SI POtIR FAIRE LA CURE DE 'VOTRE

H E R N I Evous êtes-hésitant, surtout en présence de larmuitiplicité des inefficaces bandages et illusoires méthodes qui revendiquent ie monopole de la guérison, n’oubliez pas que le seul traitement scientifique et sérieux, est celui qui guérit rapidement d’une façon sûre, certaine et, surtout empêehe'la récidive.

Cette persistance d’action curative, le traitement institué par les appareils à soupapeetàpression perpétuelle (Brevetés S. G. D. G.) du renommé spécialiste M. TUACHET, 15, rue de l’Aqueduc, P a ris, a le droit de la revendiquer haute­ment après avoir fait ses preuves duranl plus de 30 années consécutives.

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A Gompiègne, Hôtel de Flandre, le 11 de chaque mois.

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Pour tous renseignements, écrire à M. 'VUAGHET, 15, rue de l’Aqueduc, Paris.

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Lè Gérant : SaTssnz-ButncHAits.

imprimerie Administrati-ye et Commerciale 9 tl,.plac«d6 rHôtsl-dtj-'Vilio, Senlis.

A n n o n c e s J n d ie ln ir e s .AST. }.

Élude de M« SAINTE-BEUVE,avotiô à SeDiis>

rue Saiûte-Geneviève.

ÎBKB l ’HîîolliùiiiBS LÉsales,

Suivant exploit du ministère de I tu* Lenoir, huissier -à Senlis, en date |4da trente septembre mil neuf cent

■ '«aze ; -notification a été, faite à Monsieur

' le Procureur de la RépubUque près■ le Tribunal civil de première lasiance séant à Senlis ;

A la requête de Monsieur Louis- r Ticîor dit Alphonse Chévalber, orft- I vre, demeurant à Paris, rue de l B-

''querre, numéro 5 ;Pour lequel domicile est élu en

I TEtude dè M* Sainte-Beu-ve, rI “ïexercant' p r è s l e Tribunal myil de

/Senbs, demeurant ên laditn viLe, rue ’Sainte-Geneviève ;

. De l’eiqiédiüon d’un a^e dressé auI -fiteffe du Tribunal civil de Senus, »{ 'Six septeinbre nèuf_W^on^ ' ''enregistré, constatant leudépôt * 8 ^

•toé ïudit Greffe ledtt jour, par M« 'Aaiiie-Beuve, avoné^deM’lni coliationnée.enregîst^ à ûMlip,

le six septemtme mii-ueuf cent ttpze, folio 28, case 10, par le a perçu les droits, de fwpédition

I ffiui acte reçu,par t „wtaire à Sannoia (Seine tesl nRite ■JtnBet' et'premier « e t f f lu

neuf cent onze, enregistré, easto- aaat par Monsieur Pierre André, nourrusenr, demeurant à S ^ e is

’me-etDise), vente an profit de ' Cbevalfier, sn»-Bfii»*e>

d’une maison sise â Ercuis (Disc), rue du Vexitt, conipi-enant : un corpi. de bâtiment à droite de l’entrée, ayant pignon sur la rue, élevé d’un rcz-de-chaussée divisé on sept pièces avec un grenier ao-dcssus couvert en tuiles ; un autre corps de bâtiment en retour d’équerre avec ie premier au fond de la cour, élevé d’un rez- de-chaussée divisé en quatre pièces 4’babitation et iin couloir conduisant au jardin, avec grenier au-dessus couvert eu tuiles, et un aulre corps de bâtiment, à gauche de l’entrée, 'élévé d’un rez-de-fihaussée diyisé endeux pièces avec un grenier . dessus couvert en tuiles ; rxinr au milieu des bâtiments; jardin der- rii^e. Le lout cadas ré section G, nu­méros S«0 ,et jé i, d’une (lontenancs de einq arcs environ d’après les titres et quatre ares vingt .centiares environ tfaprès le cadastre, teuent par devant à la rue, par derrière et 'd’an côté à droite Monsieur Samt- AnWn, pt dé l’autre côté à gauche à Monsieur Chevâllier ; moyennant, outre les charges, Je grjx principal de deux mille francs,'

Avec déclaration à Monsieur le Erocurenr de la République :

Premièrement. — Que ladite noti- Bwrttaà lui était faite conformémeni â l’articlè;**af du Code civiL. pour -rà'il « t h prendre .dans le délai de Jeux mois, à compler'déJltdite npti- aeetTon et au profit de qui de drpiL teÛe wspription d’hypolhèqne légale «tl auricARoU.. Al qUB CC Oélai P&SS6y

Deuxièmement. — Que les ancien.s propriétaires de ladite maison, outre ie vendeur, étaient :

1“ 'Virginie-Marie Brochard, épouse de Pierre André ;

2° La communanté d'entre Paul Brochard et Elisa Prévost, son épouse;

3“ Louise-Hortense Dupressoir, veuve de Louis-Roger Varé et ses deux enfants.

Troisièmement. — Et que ne connaissant pas tous ceux du chet desquels il pourrait être pris des inscriptions d’hypolhèques légales sur ladite maison. Monsieur Cheval­lier siis-nommé ferait publier ladite notification dans un journal d’an­nonces judiciaires, cpnforpiément a l’avis du Conseil d’Etat du neuf mai mil huit cent sept.

Pour insertion légale :.892 Signé : A. SAINTE-BEÜ'VE.

qu’il aviseï»;.!, pl que i ,fa maison dont R ♦’agit serait et dé­m arrait''entre les maJup de Mon­sieur André, sus-nommé, friui^ie et qiSue .de Joutes dettes et ehargès Sypoftécaite* <>9 h®“inserite», ■'

exploitation, les marchandises en dépendant et le droit au bail des lieux où il est exploité.

L’entrée en jouissance a été fixée au cinq septembre mil neuf cenPonze.

Les oppositions devront être faites, peine de forclusion, dans les dix

jours de la seconde insertion, et se­ront reçues en l’Etude de M* EscaTy, avoué a Senlis.

Cette insertion est faite en renou­vellement de celle parue dans le même journal, à la date du vingt ci un septembre mil neuf cent onzej. :

Pour seconde insertion : 831 COÜRMONT.

'ï.C essfo a

d e F o n d s d e C o m m erce .

DEUXIÈME AVIS

Suivant cgntrat pfss/i jfpyaht M* Cburmont, notaire â gouy, Je s*ize senfèmbre*rail neuf èent onze,Ron- sieuif Victorien PAfüiENTlER; 'débi­tant ét épicier, demeurant à' Plly- Saint-Geôrges, d vendu à Monsieur Bslpgd PARMEMIER, marchand épicier, deüieyrÿnt au même lieu, lé

dé..éoidBiéroe 4g ^ b l - t-m». d e b o ïaso ss e t ë p lé le r que Monsieur Victorien PARMEN- 'i’IBR exploitait à Ully-Saint-Georges, c&tireniuat Ig clientèle et l’achalange f atiMés, Uf servant à son

Études de M° âlORAND, agréé à Spnlis,

et de M* Haiirice LENOIR,huissier â Senlis.

Faillite de M. Aeb. JAéET, marchand de beurre et apiculteur

è PWffy (P‘se)r

BETTERAVESA V B ' k d r bpar adjidicatiaa. publique.

!• Dimanche 1® Octobre 1911^à dix heures et demie du malin,

DÉSIÔNATÏÔNTerroir . 'dé P lailly.

i . — Betteraves de Sucrerie.1» 1 hectare 03 ares environ, lieu

dit le Vieux Moulin et le Pré Villard. Avenue du Génétray, 'à droite', et à gauche, la partie a muche tenant de trois côtés à M. Girard; celle de droite tenant à MM. Triquet et Girard.

2» 45 ares environ, lieu dit la Gavée de La Chapelle, tenant au Cail- loutis de Plailly à La Chapelle.II. — Betteraves de Distillerie.

3» 4 hectares 56 ares environ, lieu dit Mahette, tenant à M. Soudé.

4» 35 ares environ, lieu dit le Val Rabourg, tenant à Madame veuve fioury,' de Suryillierq.Conditions ordinaires.

Paiem ent comptant.tons renseignements, s’a- à »|“Lém>ir, huissier. 849

exploitéà BÊTraSY-SAINT-PIERRE,

daîis une maison sisé rue de la Gare,

en face la place des Fêtes . et du Marché,

- e t c o n n u 's h u s 'le T o m d e ' C A F É D U C O M M E R C EL’âdjndiéation aura lieu-IeDiHAN-

CHE 8 OCTOBRE 1 9 1 1, àdix heures du malin, & Béthisy- SaintG>ierre, en l’Eiiide èV par le ministère de M“ FERRY, notaire, commis à cef effet.S’adresser pour les renseigne­

ments :A Sf« G eoi^os MORAND,

avoué à Seniis, poursuivant là vente;El à H» Edmond FERRY, no­

taire à Béthisy-Saint-Pierre, rédac­teur et dépositaire d« cahier des. chargea.

sur

par le ministère de H* Lenoir, buisaier.

fituîes deM*G eorges MORAND, licencié en droit, avoué à Senlis, et de »P Edmond FERRY,

notaire b Béthisy-Saint-Pierre.

sans àftMûffou'fle qualité, j en extoûtion d’une oïdonnance ren- -.due.par.JLJfi.TKai4«ttl.(ltt -Tri­

bunal civil de Senlis, le 15 sep- te m h « ê n ^ tt, 'fc '- -u ,

F6NBS BE COMMERCED E

Cafetier-Restaurateur

Études de SI* Loois ESCAVY, avoué à Senlis,

et- de M* THIROUIN, notaire à Acy-en-Mulllen,

VEJjrÉi s ^ ü e r r A T î Q N

ÀSuAÉÏfSOiNravêC Jardin ét Hangar

s ise AÇirvÇNvVIW.’nEN^ (tue du Pieu ou rue des SœurS. '

L’adiudication aura lieu le DIMAN­CHE 19 OCrOBRE'1011, à (Jeux heures de Fqprés-mjd», en

l’Etude et par le ministère de M* THIROUl.v, notaire à Acy-en-Mul- tien, â cet etiet commis par justice.

S'adresser pour tous renseigne­ments :

1“ A M* Louis ESCAVY, avoué poursuivant à Senlis ;

2» AjM° Thiroiiln, notaire à Acy- en-Mullien, rédacteur et dépositaire du cahier des charges ;

3" A M' B audet, avoué co-lici- taut à Seniis,

Etudes de :II* G eorges MORAND, licencié

en droit, avoué à Senlis,- 10, rue Saint-Hilaire, successeur

’ de M* Levreux ;M“ Henri B.ALÉZEAUX, notaire

à Chantitlÿ.

VENTE SUR UOTATIONri DE :

U N E M A I S O Nsitude â CHANT ILLY,

r«e de Creil^ n° 23 ,IT6C eirtîOIlïSw 6t i '

L’adjudication aura lieu lê ÎHER- CREIll OCTOBRE Û düf hfiuttes efdemîe'du matin,- en l’étude et par le ministère de

- S* Batézeanx, notaire à Chantilly, commis à cetsefl'jit. iS’adresser pour les renseiapé-

mente ;A M* Gporgea AlORAND,

qyoué h SeuUs, poursuivanlla ventei

A iH“ Sain te-B envo , avoué â Senlis, présent à la vcnJe ;

Et à M" .H èD rl,,B nlëzeaux, notaire â Chantilly, rédacteur et dé­positaire du cahier des charges.

Études de M‘ G eorges MORANDlicencié eu droit, avoué à Senlis,

10, rue Saint-Hilaire, successeur de M» Lfviebx,

et de âl" B.YLËZEAUX, notaire à Chantilly.

VENTE SUR LÎCIT.ATÎO'NDE

U N E M A I S O Ns itu ée â Fsiat-.tfaxîzuin ,

ooffî Cour, Jardin,3 petits Endroits souterrains,

Ltesfttafices et dêpendam

12 a re s1 6 G. m w k îa r rg'4 ^ r o i r do Saini-1lax.imin«

\kn Jea^fiëaai^gRoiies,EN UN SEUL LOT

tanra lieu le AiER-

à'dix heures du matin, en l’Etude- et par le-m inière-do M« BALE- ■ I^AUX, aolaièe-'îl'GëanliUyi cbm-

- mis 'à eet efiet. - — - ■S ’adresser to-jT~les renseigne­

ments :A M* G e o rg e s M O RA N D ,

avoué è-SenSis,po9rètS<*nt la vente;Età M“ Henid RAIËZEAUX,

notaire à Chantilly, rédacteur et dé-

Page 4: S»,A M ée. — I mmmbmsenlis.com/data/pdf/js/1911/bms_js_1911_10_01_MRC.pdf · S»,A M ée. — C l i } .a O T l f f i s .- 7 - _ U ^ « a n É a - T :: _ c m f l O T ^ n t m u

LË COtlËËIÜÉ SB 1*01

;■

1m - i

irnSmÉludes de M* L o u is GLÉTiRV,

huissier à* CbantiSy,- ■ et de M* M l AKD»

huèssier à GreiU'

AtllMll ï d i t eC h e v a u x , V a c h e s

yëftnres I n s tr u m e n ts A r a to ir e s

e t F o u r r a g e s

a u x e n c ^ è ilè s pùhlfiTOeâ

â S a in t - L e u - d ’f s s e r e n t »hameau de Boissy,

en ia ferme de M. Albert Helbert, le Dimanche 8 Octobre 4911,

à une heure et demie,par le ministère de »!• G a é tin *

huissier, en présence de M« R o la n d >

son confrère.

CONDITIONS O B D IN A IR E S

É tu d e d e ili® G C l t L E i l I l T T E »notaire à Villers-Cotterèls.

A V E K n H EA L’AMIABLE

l a f e i e do l o o i rs i s e à . M O S L O Y ,

commune de La Ferté-Milon, comprenant :

BàtiHieits S '159 Hectares fie Terreenviron.

Louée par baii 5.o50 francs par an jusqu’à la récolte à faire

. en 4947.

B elle ch asse .

Gare : La Ferté-Milon.

S’adresser à notaire.

Guillemettes894

Étude de HI« Mâarice' EEIfOIR»huwsier à Senlis.

AVISI.a V ente M obilière annoncée

poüi- aujounJ’hui Dïmànche, au domi­cile de M. BRIARD, à Plailly,

^ ’A t U A P A S U E U .893

A C É D E R :plusieurs Boucheries-C hai'

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^ P t to n , C ré p y * e n -V a lo is (O is e >

Observation de Mme Fl&maniMme FLAMANT, .. . _est néeàMaChj^i

,d e Ë â ltfo D d ; F k ris U ne b ro n ë Ü » ittëitiietiie^tilSêiâlénlSSl'ftAlç point

A éparti|esA inal8<jU eÿPepuâpette épo- u u e , e n effet, e lle n e ce sse ia in ô i i co m m is uraeAtdétoà^reVoUtttuè'liivcr, Am e n tn n e o u p lu s le u r s b ro n c m te s .E n lÂitiâ l s’ag g rav a e t M m e FLAM ANT tra c ta u n e pleurésie^et uneln roncbIt& £ n 1907Î e lle e u t u n e- ^ « a i ^ ^ - d o u b l e . £ n 191^ e lle h a tp ris a dete lle m e n t fo rte s q u ------------------------- , .re s t« 'a s< sise 'sn rson l i t , l e d o s a p p u y é a u r deiU:omile^j Sg. fi^^esse e(aitS' l’e U e 'n 'à v a itm o m ë n lü s lê c d û ra g e h ilà

rc e d e s e p é im è f . C ê S i^ s e s d ’é to u ff^

o b U g é e d é û a s s e r lâ s m ild a n s im fa u te u il. ^^BsggpMTiiT -iriiB I]^pruisl9P7, e l le re s se m a it .ung d b u lë u r c 6 té s ,s u r tu ù tg u c â tç ^ ü e b e ; le sm é d e d b sc o 'iisu lté s avaie& tlit #l'oTvrinss^»*w\i4«dn* Â^aèthmô. sïsa.'KwtnohîtA. i.Kri->nirni<è.

coB^i^edap

e,m3fiÿiàitAjo u r s u n e n e v re q u i la m in a it ; é ta it o ta v a it m aig r i .Q u a n d ^ le v in tà m a c o n s u l ta t io n ,le l2 o « n o b re ;1 ^ 0 , je ^ u L tro u v a i d es lé* s ie n s tu b e rc u le u se s du2* degré o cc u p a n t to u të la fa ce p ostérîé 'û re d u p o u m o n gaiiehe , d es râ le s d e b ro n c h ite o c c u p a n t to u te l a face p o s té rie u re d u poumOii d ro it d e m é m e q u 'au x d e u x so m m e tsp u lm ô n a iré s e n a v a n t. D e p lu s , so n osto- m a c fo n c tio n n m tm a l. Ç râ c e à m o n t r â i te m e n tà b a s e d ’E ü x ir I ^ p e y ro u x , ,lè 14ob lobré 1910Mme FLAÎVÏANT e u t s a d e rn iè re c r ise d 'étô ilîT enienre t so n appé* l i t re v in t ra p id e m en r. L e2ribvem brfrj les d b ü l e u i ^ e s c ô té sd is p à rû ië n ^ q u e s tu b e rc u le s é c la tè re n t b ie n tô t au ^ ti^ :^ s u p é r ie u r 'd p p o u m o n d ro i t eh a v a n t , en a r r iè re e t à la b a sé d rq ite s u r Xo côté . 11 fa llu t d é lo i^ s m tiis p o u r cica­tr is e r ces lé s io n s à la rg é s u rfa c e e tè ê n e ite lt e r la g u ériso n d e M m e FLAM ANT g r a v a i t re p r is d eS k ilo s, 5 ^ at r a i^ m e n tà b a s e d 'E l ix i rD ù p w r o u x . EUe_j«’« le b in 'd ’ê t re u t i l e â s e s s ë m b l^ le s . '

- S i l a tu b e rc u lo se f a it ta n t d e v ic tim es, c ’e s t p a rc e q u e lé s m éd e c in s n e sa v e n t p a s la so ig n er. L 'E lix ir D u p é j’rd u x , à b a se d ê créo so te v ra ie d é h ê tre , io d e , ta n in , g ly cé ro p h o sp h a te d e ch a u x , g u érit lesdésU ins tubercu-i leu ses e n p ro v o q u a n t l a fo rm a tio n d ’a n tito x in e s d a n s le sé ru h i san g u in .

^ T r a i t e m e n t n o u v e a i i d e s T u b ercu lo ses p u lm o n a ire , g an g lio n n aire , a r tic u la ire , la ry n g é e , c u ta n é e e t o sseuse , B ro n cliites chroni«m cs,. A sthm e, E m p h y sèm es, C a ta rrh es , G landes sü p p u ré e s o u n o n , A rtK rité^, T u m eu rsb la n c h e s , S r — * tE x tin c tio n s ^D'Dupey dan c e . L es peic a b in e t, 5, S q u are d e M e ss in ^ P a r is , d e v ro n t lu i é c r ire à l ’av a u c e p ou d e m a n d e r xm rendez-vous. — Lés d ix o u v ra g e sd e tb é ra p e u tlq u e e td ’hyg iène d u D ' D u p e v ro u x e t u n q u e s tio n n a ire s o n t envoyés g ra tis e t Iraiwîo s û r d em a n d e . —'L e p e ti t flacon d e 1 fir. 50 e t le n to y e n lla c o n d e 2 fr . 5 0 d ’E lix îr D u p é y i'o u x so n te n v o y é s fra n c o à d o in ic ilë c o à tre tim b re s ou m a n d a t.— L ire d im a n c h e p ro c h a in , à c e tte p a ^ le ca s d e M. M ons. .

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Entrée en jouissance ; Novembre 1911 pour les jachères. Novembre 1912 pour le surplus.

S’adresser à ;M' Galoy, notaire â Précy ;H. André, gêbinètrë l Senlis. 295

Étude de M‘ DELAÜIVAY, notaire à.Senlis.

H u i e t , B œ u f s , V a c h e s G é n i s s e s :

. A , ' ^ f e i S i D E ï . î s' pin AnJbniCàTiON yoLogiAiBE

par suite de cessation d’exploitation,

l.le Dimanche 15 Octobre 1911, I à une heure très précise,I et jours suivants, s'il y à lieu,Tpar le ministère de M< D e ia n m a y , i notaire,

' la Ferme de Maubuisson,_ commune de Verneuil-sur-Oise,

canton dé Pont-Saintë-Uaxence, à la requête de M. Tuisoknet.

i Pour la désignation,891 voir les affiches.

Élude de M» BEAtiCHÀMPS, notaire

à Pont-Sainte-Maxence (Oise).

A . V B M ' D F t E ;par suite de décès,

BOIS

F i B S f e i l M Mde Hferéchalèrie, '

ArUdes de Ménage,^ tjpicerie e t Buvette, |

exploit&râffs'jpTi'ët v ® i; de.Éfeise.<- à’ a . . . . . . . i't Étude de 5i« D E tA U IV A Y , notaireS adresser;* pour-traiter e t pour , Senlia

visiter, audit M ' B eaneham ps. f __

b I B N SEtude de M' BEAUCHAMPS, f notaire A Pont-Ste-Maxence (Oise). ' appartenant à l’HôpiXéd. général

— I de Senlis,A V e n d f B à l ’A m i a b l e . e t

T R È S B E L L E ' ■ ' | B i i ? o i t s d e C l i a s s e .

M alsM pBfleoiseî '

* par le mim'slère de M* DELADNAY,. notaire,

- en l’une des salles de PHàpital général de Senlis,

. sis faubourg Saint-M artin,.Le Mardi 10 Octobre 1911,

à une-heure et démiede relevée.

S’adrefôer ponr les renseignements :■ A SENLIS

A M. P lgeard , receveur deTHO-

iliquès. 'Et à M* Delaim ay, notaire.

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Etude de M* DELAUNAY, notaire k &idis.c I

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d e sube, i°-nne'grande Maiben Bourgeoise, avec Jardin, 2° én Lavoir sur la Nonette, le tout sis: à Senlis; rue de Saint>.Sffenn»; nvL -T- S’adresser à M* Delaunay» notaibe.

Étude de M GAZÉÀU,ndiàire &Sèniis •I ;s ,i rue-auxFlageairdS ' '

(successeur de M' Fnsttji

, A vendre à l’annable, par suite de départ de Paris, M a ls o tt d é R ap ^

rP O rt; â iP s ie ÿ ^ ssàg e 'P é n e l, ii“'18 (îBywrendisseiaenM. — S'adresser à M* Gazeauy-notaire.

’ " SIÉMÉ é t u d e — " ’■I . M

A vendre â l’âmiable, u n e M ai­s o n à usage de commerce,'sise à Senüs, rue; du Ghâtei, n» 16. S’adresser à M* Gazeau. notaire.

MÉMI ÉTÜDB'

A vendre à Tamiàble, n n e M ai­so n ,: située à La Cbapelle-en- Serval, route nationale de Paris. — S’adresser à M» Gazeau, notaire.

MÊME ÉTUDE

A louer pour entrée en jouissance de suite : l-vnne M ^son, située â Senlis, rue de la République, n» 17; ■2“ mae Maison, sise à Senlis, rue .de la Contrescarpe, appelée y illa des A rènes; 3° et une Maihon de C am p ag n e .m eu b léeo ü n o n , située àAumont, près Senlis. — S’adresser â M* Gazeau, notaire;

MÊME ÉTUDE

A loaer ou’à vendre, Maison bonrgeoise. avec jardin, écurie et remise,, sise à Senlis, m e du Moulin-du-Gué-dè-Pont, nr 6 S’adresser’■ M* Gazeâù, notaire.

té itïB Birèba: ' '

A vendre à l’amiable, nne Pro­priété, située à Aumont, n ie de EEglisei e t on Bois, situé commune d’Aumont, lieu dit le Bois du Roi. — S’adresser à M* Gazeau, notaire.

même étude

A vendre. Maison â usage de commerce. Jardin & B&timents;sis à La Chapelle-en-Serval. S’adr. à M* Gazeau, notaire à Senlis.

mâvsB É'i’iunB -

A louer Maison à usage de commerce, à Senlis, m e du Qiâtel, n® 16.- —. S’adresser à ,M* Gazeau, notaire à Senlis.

Mémé é t u d e

A vendre ou à louer, une Pro priété située â Creil, rue de Vaux, numéro 5, ayant vue sur la vallée de l’Oise. — S’adr. à M« Gazeau, no- tairè à Senlis, ou â M. Gervaisé, architecte à Paris, m e Lafayette. n» 181. ’

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h Lià&couFt, eo présence de W Beaichaaips, notaire à Pont- r^a in te-l^ehce, le Dimanche 1^' Oc- ipbré. 1911,; et jours suivants s’il y a lieUü àb êe hèurêetdem ie'de relevée. — De \deilles Faïences de Rouen -auihentiqués-.seront présentées à la vente sut* le désir-des amateurs.

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À louèr ou à vendre à l’amiable, cu i^ &£àiis6n, située àNahteuiUle^Hàüdomà f à usagé de G rainet^ie, e t propre à tout autre OOtàmerée. , . •

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1 ■’WriflllIlliln llRIII HI»i,|Mll— bimjLLI_-J__,J..^ r

MÊME ÉTUDE

Maison B oargeoise, sise à Morienvàl, à ùéndï’e par adjudication voiontàire, en la Mairie de Honenval, te- Dimainchè 8 Octobre 1911, à une heure,' par le ministère de M* Ferry, notaire à Béthisy-Saint-Pieffe.

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A vendre ou à louer à l’amiable, nne Maison, sise à Néry, autre­fois à usage d’auberge, puis de bou­cherie m propre à tout autre- com­merce. — S adresser à M* Ferry, hotaire.

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A louer nne Maison, sise à BéthisyJSainGMartin, sur le bord de la route; propre à ia culture marab (Aère. - - S’adresser à M* Ferry,, no­taire.

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A louer, grand Terrain, en­tièrement clos de murs e t de gril­lage, situé à Senlis, lieu dit le (Vos du Chapitre, près la Gare des mar­chandises, pouvant servir de chan­tier où de jardin. — S’adresser à M* Gazeau, notaire.

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A vendre à l’amiable, une Mai­son de Cam pagne et à usage de commerce de vins, sise à la Vieille-Poste, commune de Ville- neuve-sur-Verberie, et u n Bois Taillis, sis à Bresàéuse. — S’a­dresser à M* Lbuat, Dotaire,

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A louer, eoqnette V’illa « Zes Ombrages », sise à Courteuil, près Senlis. — S’adresser à M' Louât, notaire.

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A vendre à l’amiable, une Mai­son avec Jardin, sise à 5aiot-An- toine. — S’adresser à M» Rdbert, notaire.

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. . A vendre à l’amiable, I hectavetant, '17) rue Sainle-A]inlliltgL£9Ml{S- 41 a res de Bois; terroir de Barén '

- ; ‘ - v -r, ^ 3 S’adresser à «eDelatmay, notaire.

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Bon Café, Bavette, Restan- rant, avec salle de bal, bien situé au centre joli bourg, très belle in"- laüon, à céder de suite. — S'adr. à M' Dherbe.

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A vendre à l’amiable. Maison à usage de commerce, bien située au centre petite viUe de l’Oise bien iréquentée, une heure de Paris — S'adresser audit M® Dherbe.

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A vendre à l’amiable, dans joli hourg de lOise, gentille M a is o n B o u r g e o is e , avec écurie, remise et serre, jardin potager et d’agré­ment, petit bois, joli cours d'eau poissonneux, le tout clos de murs — S adresser à M® Dherbe, huissier.

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