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ROYAUME DU MAROCMINISTERE DE L’INTERIEUR
DIRECTION DE LA PROTECTIONCIVILE
Mission de la Protection Mission de la Protection CivileCivile
Sujet dSujet dééveloppveloppéé par le Colonel Mohamed BENZIANE par le Colonel Mohamed BENZIANE –– Mars 2005Mars 2005
2
I/ DEFINITIONI/ DEFINITION
3
I/ Définition
« La Protection Civile est avant tout une affaire de prise de conscience car chaque citoyen doit savoir lorsqu’il est contraint de se défendre que ce soit sur le plan militaire ou faire face à Dieu ne plaise à une catastrophe naturelle qu’il est mobilisé pour venir en aide à son frère afin de concrétiser la solidarité et l’entraide qui sont considérés comme les caractéristiques de l’Islam et de l’Éthique Musulmane »
Citation de Feu SMJ le Roi Hassan II lors d’un discours Royal
4
IIII/ MISSION/ MISSION
5
1955
Dahir du 30 Avril 1955 qui constitue le texte de base de la Protection Civile au Maroc.
2 missions
Présenté par le Colonel Mohamed BENZIANE – Direction de la Protection Civile
6
II/ Mission de la Direction de la Protection Civile
(Article 36 du Décret n° 2.97.176) du 15 décembre 1997 relatif aux attributions et àl’organisation du Ministère de l’intérieur fixe la mission de la Direction de la Protection Civile est chargée de:
7
La protection et la défense de la population et des biens en toutes circonstances;
L’organisation, l’animation et la coordination de la mise en œuvre des mesures de protection et de secours des personnes et des biens lors d’évènement calamiteux et de catastrophes.
8
D’assurer la protection et la sauvegarde de la population et du patrimoine national lors de circonstances relavant de la défense civile;
De promouvoir la prévention des risques et combattre tous sinistres en particulier les incendies.
9
D’organiser et d’assurer la gestion administrative et tactique des services de secours et de lutte contre l’incendie;
De préparer et entreprendre toute action de lutte anti-acridienne
10
IIIIII/ Acteurs de gestion de la catastrophe/ Acteurs de gestion de la catastrophe
11
QUI ?
COMMUNES- Octroi des autorisations
- Contribution à la promotion
de la Protection Civile
SOCIETE CIVILE- Contribution à la gestion des
risques
- Développement d ’une culture
de Protection Civile
ETAT-- Rôle de maintien de l’ordre
public
- Définition de la politique de Protection Civile
- Coordination interministérielle
12
AVEC QUOI ?
MOYENS MOYENS INSTITUTIONELSINSTITUTIONELS
MOYENS MOYENS HUMAINSHUMAINS
MOYENS MOYENS MATERIELSMATERIELS
- Commission Supérieure de la P.C
- Comité Interministériel permanent
- Commissions préfectorales et Provinciales
- Protection Civile
- Autres départements
ministériels
- Organismes publics et privés
- Équipements spécifiques
de la Protection Civile
- matériels des partenaires
de la Protection Civile
- Départements ministériels, FAR et autres
- Recours à la coopération
internationale
13
COMMENT ?
Prévention* Identification et localisation* Réglementation de
l’utilisation des sols* Information préventive des
populationsPrévision
* Formation des personnels* Réalisation des équipements
et infrastructures* Planification
Atténuation deseffets
* Lutte * Réhabilitation
14
IV/ Gestion de la catastropheIV/ Gestion de la catastrophe
15
IV/ Gestion de la catastrophe
16
Quand et comment?
La Gestion de Catastrophe
Présenté par le Colonel Mohamed BENZIANE – Direction de la Protection Civile
17
Quand ?
Avant la catastrophe
Pendant la catastrophe
Après la catastrophe
18
Comment?
Avant la catastrophe
Par anticipation des risques et des interventions
Pendant la catastropheLa gestion de la crise et ses effets
Après la catastrophe
Suivi des conséquences
19
Evaluer les risques
RISQUE SISMIQUE
F.F
FEUX DE FORET
RISQUE ACRIDIEN
TANGER
RABATCASABLANCA
AGADIR
TAN TAN
LAAYOUNE
DAKHLA
NADOR
OUJDA
FES
MARRAKECH
OUERZAZATE
RISQUE TECHNOLOGIQUE
RISQUE NATUREL
III-1 / Avant la catastrophe Anticipation des risques
-Répertoire des plans
-Plan général de Protection Civile: (sécurité des points et réseaux sensibles, fonctionnement minimal des services publics, plans ORSEC
-Plans d’urgences:
-Plan particulier interne: concerne les installations ou ouvrages fixes (Barrage, ONE, Stock de gaz, etc)
-Plan de secours spécialisé: aéroports, ports, activitéspécifique (TMD, Eau potable..)
-Plan de lutte anti-terrorisme:
-Malveillance biologique
-Malveillance radiologique ou nucléaire liées aux risques technologiques ou NRBC
20
-Etat des plans dans les régions-Prendre connaissance des plans existants-S’assurer de leur mise à jour-Procéder à des inspections sur le terrain-Savoir où sont rangés-Informer systématiquement l’autorité
-La vulnérabilité de la région-Les aléas propre à la région-Si il y a schéma d’analyse et de couverture des risques (les risques dominants), (risques naturels, risques technologiques)
21
Typologie des risques / ordre public
Risques naturels: (Séisme, inondation, feu de foret, pluie torrentielle, etc)
Risques technologiques:
-Industrie: contrôle thermique, installations pétrolière, nucléaires, mines et carrières
-Transport: transport collectif routier, ferroviaire, maritime
-Bâtiments: IGH
-Risques sociaux: rassemblement de foule, de sinistrés
22
Avant la catastrophe (Avant la catastrophe (Anticipation des risques )
Préparer les moyens
TangerTétouan
Al Hoceima
OujdaFès
Meknès
KénitraSaléRaba
tCasablanca
Khénifra
El JadidaSafi
Agadir
Guelmim
Es-Smara
Laâyoune
Dakhla
Khouribga
Settat
Marrakech
Beni Mellal
-Assurer la couverture opérationnelle des moyens d’intervention (PC, Santé, DGSN, FA, GR, FAR et autres)
-S’assurer de la disponibilité des moyens de transmissions
-Diffuser les consignes (assurer régulièrement le débriefing et l’évaluation à posteriori des événements survenus
-Faire l’étude critique des comportements pendant les crises (retour d’expérience)
-Vérifier les réseaux officiels d’alerte
23
Avant la catastrophe (Avant la catastrophe (Anticipation des risques )
0
50
100
150
200
250
PREV
ENTI
ON
SAUVE
TAGE E
T DEB
LAIEM
ENT
SECO
URISM
E
RISQ
UES C
HIMIQ
UES
PLONGEE
FEUX
DE NAVI
RE
FEUX
DE FORE
TS
SAUVE
TAGE C
OTIER
CONDUCT
EURS
POID
S LOURD
S
RISQ
UES R
ADIOLO
GIQUES
SPEL
EOLO
GIE
MECANIQ
UE AUTO
MOBILE
F. D
ES F
ORMATE
URS
MONITEU
RS D
E CONDUIT
EPO
LLUTI
ONAL
PINIST
ESDEM
INAG
E
MAITR
ES C
HIENS
-Garder un état d’esprit de veille et une culture de CatastropheOrganiser des sessions de formation à la gestion de CatastropheSuivre un plan régional de formation appuyé par des exercices
-Procéder à l’élaboration de fiches réflexes
Former les hommes
24
Avant la catastrophe (Avant la catastrophe (Anticipation des risques )
Prévenir l’événement
-Les catastrophes échappent en général au contrôle le plus attentif, cependant, la responsabilité de les gérer impose une obligation de vigilance et prudence. (l’objectif est de prévoir sinon prévenir, de réduire la gravité de désordre et de préparer l’opinion.
-Faire circuler l’information
-Utiliser les méthodes de raisonnement, logique simple: qui, où, quand, comment, pourquoi, etc)
25
Avant la catastrophe (Avant la catastrophe (Anticipation des risques )
Appliquer les principes
Les contrôles systématiques Consigne: contrôle de la salle opérationnelle
Examiner périodiquement les différents plans de défense, d’urgence et d’intervention et
s’assurer de leur mise à jour
Veiller à la tenue des tableaux des permanences et des services déconcentrés
concernés
Un répertoire téléphonique
Un ordre d’appel prioritaire
L’établissement et la mise à jour de l’annuaire
Classement des plans d’alerte téléphonique
L’annuaire téléphonique d’urgence
26
III-2 / Au moment de la catastrophe La gestion de la catastrophe et ses effets
-Organiser la décision (comité)-Rassembler les volontés-Communiquer l’information-Suivre les conséquences
27
Comite Régional d’Assistance
DIRECTEUR : M. Le Wali Ahmed HIMDI
P.C VEILLE ET SYNTHESE- COL.MAJOR Driss MATAICH- COL.MAJOR Ali MANOURY- GOUVERNEUR BENBAHIM- COL. Mohamed BENZIANE
- LT.COLONEL Najib MASROUR
PCF
COMMUNICATIONS ET RELATIONS PUBLIQUES
EVALUATION ET REGULATION
COL. Mohamed MAAMAR- Suivi des opérations- Évaluation des activités- Réajustements- Retour d’expérience
GOUVERNEUR Mohamed ARIF- Communication des activités- Relation avec la presse- Sensibilisation des populations- Coordination des secours étrangers
SECURITE ET POLICE COLLECTIVITES ET O.N.G
M. Bouchaib R’MIL
- Protection des biens et des personnes- Protection des points sensibles
DIRECTEUR Ahmed CHOUIHAT S. C du Wali Mohamed AFOUD
- Implications des collectivités - Suivi de l’action des ONG
DIRECTEUR ADJOINTGOUVERNEUR : Charki DRAIS
LT.COLONEL AbdelhamidSAOUD
- Ressources humaines, matérielles et financière - Hébergement et couchage- Ravitaillement en carburant- Réquisition de véhicules- Constitution de stocks
INFRASTRUCTURES
M. Abdenbi RMILI- Ravitaillement en eau et électricité- Dépollution- Télécommunications- Assainissement- Autres infrastructures
SANTE / SOCIAL
COLONEL Pr. Abdellah. BENSLIMANE- Gestion des capacités hospitalières- Gestion des évacuations sanitaires- Hygiène du milieu- Soutien socio psychologique- Ravitaillement sanitaire- Sécurité sanitaire alimentaire
GESTION DES SECOURS
PCO
LOGISTIQUE
LT.COLONEL Allal KHOUBIZ- Reconnaissance et détection - Interventions et sauvetages- Triages et évacuations
28
Au moment de la catastrophe La gestion de la catastrophe et ses effets
1) Organiser la décision - PC ou cellule de crise (placé sous l’autorité + acteurs + détermine lieu
événement, 1er bilan, informe l’autorité hiérarchique,prévoit installation presse)
- Rôle de l’autorité (cas d’Al Hoceima)
- Organisation du commandement (PCF, PCO) (fonction: renseignement,logistique, etc)
- Le centre opérationnel (jour le rôle du PCF)
- Les moyens d’intervention de secours (PC, police, GR, FAR, FM, etc)
- Les relations avec l’autorité judiciaire
29
Au moment de la catastrophe La gestion de la catastrophe et ses effets
2) Rassembler les volontés - Les acteurs impliqués dans la gestion de la catastrophe- Elus, collectivités, ONG, Experts- Personnes concernées par la catastrophe (les victimes, les
familles)- Expérience d’Alhoceima (distribution se fait, 1 autorité,
société civile, élus, communes concernées)
30
Au moment de la catastrophe La gestion de la catastrophe et ses effets
3) Communiquer l’information
- Avoir à l’esprit les méthodes du travail propre à la presse –unicité de la source de communication et d’information
- Trois principes d’action- Prudence règle de principe- Implique la connaissance exacte de ce dont on parle
- suppose une sensibilité à la psychologie de ces interlocuteurs
- Conseille d’avoir à l’esprit les nécessités opérationnels et celle de l’enquête judiciaire
III-3 / A la fin de la catastrophe
Retrait des moyens de secours
Passage à l’état de réhabilitation et de remise en état des sites
Reprise progressive des activités
Suivre les conséquences (fin de la crise)
Fin de la crise
- La fin de l’alerte en matière de Protection Civile est une décision
essentielle. Elle doit être portée à la connaissance de la population
immédiatement et sans craindre la redondance.
- Le retour à la normale et fin de la crise peuvent faire l’objet d’un
communiqué ou d’une conférence de presse.
Cellule qui traite, indemnisation des victimes, réparation aux infrastructures, dossiers d’aide aux victimes industrielles, relogement éventuel, etc….
32
V/ Bassins de risques au MarocV/ Bassins de risques au Maroc
33
RISQUE
ACRIDIEN
PLUIES
TORRENTIELLES
RISQUE SISMIQUE
FEUX DE FORET
F.F
34
Tétouan
Casablanca
SettatEl-Hajeb
GHARB : 1963-1996- Cause : Débordement Oued Sebou- Dégâts Matériels incommensurables
GHARB : 1996- Cause : Débordement Oued Sebou, Baht, Rdem, Kihel, Tiflet, Brader et Fgmat.
- Dégâts Matériels incommensurablesSuperficie inondée : 100.250 Ha
Taza
TAZA: 1995- Cause : Débordement Oued Amlil
43 Morts Dégâts Matériels incommensurables
Mohammedia
Ourika
Ourika: 18 Août 1995
150 Morts, 78 non identifiés, 88 portées disparues.
El-Hajeb 28/09/1997
-16 Morts
-Dégâts matériels importants
- Infrastructure routière
- Établissements …
-Destruction de 80 véhicules
I N O N D A T I O N S
R I S Q U E S N A T U R E L S
MOHAMMEDIA
SETTAT25 AU 26/11/2002
45 morts, 06 portéesdisparues, 8 blessées et 103 personnes sauvées.
25 AU 26/11/2002
2000 personnes sauvées, 5 personnes évacuées à l’hôpital
-14 quartiers inondés
-Siège de la préfecture inondé
-Dégagement de 7 camions citernes renversés ayant bloquéla circulation
MOHAMMEDIA
35
Al-Hoceima1994
Agadir29 Février 1960
12000 à 15000 victimesDégâts matériels
Tremblement de terre
Tremblement de terre
Magnitude : 5,2Épicentre: MnasraDate: 28-06-2001
Heure : 15h21mn45 s
Secousse sismique
24 février 2004629 morts
926 blessés
R I S Q U E S N A T U R E L SS E I S M E S
Magnitude 6 ER
36
Tétouan
Tanger
Ben Slimane
Dar Essalam
- 1991 (Dégâts 80 Ha)- 1997 (Dégâts 100 Ha)
- 1995 (Dégâts 1235 Ha)
- 1997 Dégâts 40 Ha
Taza-2000 (Dégâts 2400 Ha)
-2004 (80 ha de pins d’alep)
Chefchaouen- 1999 (Dégâts 143 Ha)
-2000 (Dégâts 250 Ha)
-4500 ha de forêt brulé
1983Dégâts 500 Ha
Ifrane- 2001 (Dégâts 1200 Ha)
9 GRANDS FEUX DEPUIS 1983 AVEC DES DEGATS ESTIMES A
6000 HA MOYENNE ANNUELLE BRULEE3 .000 HA / 9 MILLIONS HA
DE FORET
R I S Q U E S N A T U R E L S F E U X D E F O R E T S
37
GUELMIMTAN TAN
TATA
SUPERFICIE TRAITEE5 032 929 HA
SUPERFICIE GLOBALE (2 TYPES)
5 181 417 HA
ERRACHIDIA
OUERZAZATE
OUJDA
FIGUIG
BOUARFA
ASSA ZAG
DAKHLA
LAAYOUNE
R I S Q U E S N A T U R E L S
F L E A U A C R I D I E N
38
Haffat Benzagour 1988
52 morts et une dizainede maisons détruites
Kahf EL AZBA 1983
1 mort
Glissement de terrain
ChefchaouenDégâts matériels: Grandes fissures sur l’internat du collège Lamchichi qui ont permis l’abandon de ce collège
Al HoceimaDégâts matériels: Site de quemando est menacé par un grand et profond glissement qui s’est déjà manifesté par des fissures dans des édifices.
TangerDégâts matériels: 3 maisons ont été dévastées et 5 fissurée
RISQUES NATURELS
G L I S S E M E N T S D E T E R R A I N
39
TangerRabat
MohammediaCasablanca
Fès
-- 730 INCENDIES PAR AN730 INCENDIES PAR ANSOIT 2 INTERVENTIONS PAR JOURSOIT 2 INTERVENTIONS PAR JOUR
20 Juillet 1999Casablanca
Dégâts matériel important Dégâts humains: 11 éléments de la protection civileasphyxiés et 2 autres blessés
23 Mars 2000
Dégâts matériels importants Dégâts humains: 21 blessés,5asphyxiés, 1 brûlé, 2atteints de crise
Mohammedia11 Octobre 2000
Incendie au complexe la SAMIR
25 Novembre 2002
Dégâts humains: 2morts 1 asphyxié
-18 SEPTEMBRE 2003INCENDIE DANS UN BAC D’ESSENCE
Incendie a l’usine OMO
Incendie au complexe industriel OUKACHA
R I S Q U E S U R B A I N S
40
Casablanca
Effondrement d ’un
immeuble (R+4)
6 Morts et 11 Blessés
2000
3 Morts et 14 Blessés2002
Fès
1998
47 Morts et 40 Blessés
17 Morts et 43 blessés
1999
Effondrement d ’unimmeuble (R+5)
R I S Q U E S U R B A I N S
E F F O N D R E M E N T S
41
CasablancaOukacha
26/09/1997: (28 Morts)27/03/2000:
1 Brûlé, 4Asphyxiés évacués, 28Asphyxiés traités sur place)
El JadidaSidi Moussa
01/11/2002:
50 Morts dont 6 calcinés
40 Asphyxiés
Souk Larbaa
16/08/2002: 1 Mort, 40 Brûlés (dont 12 graves)
R I S Q U E S U R B A I N S
ETABLISSEMENTS PENITENTIAIRES
42
Témara
(14 Morts et 107 BlessésDégâts matériels importants )
K-Elkebir
37 Morts2000
Mohammedia28 Août 1990
1 Mort et 55 blessés
- 4 ACCIDENTS86 MORTS ET 162 BLESSES86 MORTS ET 162 BLESSES
R I S Q U E S T E C H N O L O G I Q U E S
A C C I D E N T S F E R R O V I A I R E S
1993
1976
34 Morts
Sidi Yehya du Gharb
43
Nador- 1998 (38 Morts)
- 23 Décembre 1973(105 Morts)
Tétouan
Tanger- 31 Mars 1965
(53 Morts)
Rabat- 12 Septembre 1961
(53 morts)
- 1975 (188 morts)- 1994 (42 morts)
Agadir
Casablanca
- 1961 (72 morts)
10 CRASH D10 CRASH D’’AVIONSAVIONS561 MORTS561 MORTS4 DISPARUS4 DISPARUS
-18 Décembre 2001(4 Disparus en Mer)
- 6 Février 2002(08 Morts)
Taroudant
Chefchaouen- 01 Janvier 2004
(2 Morts)
R I S Q U E S T E C H N O L O G I Q U E SC R A S H D ’ A V I O N S
44 TRAFIC DE PETROLIERS DU DETROIT DE GIBRALTAR: PLUS DE 300 PAR JOUR
- Explosion du pétrolier Khark V
- 225000 Tonnes de pétrole brut à bord
- Déversement de 70.000 tonnes en mer
- Etendu de la nappe de My Bousselham (Kénitra) à Safi
- Dégâts importants
06/08/1990
Collision entre 2 navires « Sea Spirit » et «Hesperus » à une distance de 10 km des côtes marocaines
Produits transportés: Fuel + Ammoniac
ZONE TOUCHÉE :
Côtes de la ville d’Al Hoceima
MOULAY BOUSSELHAM
SAFI
AL HOCEIMA
KHARK V19/12/1989
COTES ALGESIRAS21/01/2003
Menace des côtes marocaines à la suite de l’échouement d’une barge espagnole dénommée « SPABUNKER IV »transportant 900 tonnes de fuel lourd et 100 tonnes de gasoil.
POLLUTION
45
VIVI/ Ratio/ Ratio
46
VI/ Ratio
Moyens humains
- 1 AGENT DE LA PROTECTION CIVILE POUR 7000 HABITANTS
47
1 Agent de la PC
1 Agent de la PC
1 Agent de la PC
200 Habitants
600 Habitants
7 000 Habitants
USA
FRANCE
MAROC
48
Moyens matériels
- 1 ENGIN POUR 34.000 HABITANTS
- 1 ENGIN POUR 1100 KM²
49
1 100 Km²
1 Agent de la PC
1 Engin de secours
1 Engin de secours
SOIT UN RATIO DE :
7 000 Habitants
34 000 Habitants
50
I/ Définition
II/ Mission
III/ Gestion de la catastrophe
III-1/ Avant la catastrophe
III-2/ Au moment de la catastrophe
III-3/ A la fin de la catastrophe
IV/ Acteurs de gestion de la catastrophe
V/ Bassin des risques au Maroc
VI/ Ratio
51
S T A T I S T I Q U E S A N N U E L L E S S T A T I S T I Q U E S A N N U E L L E S -- 2 0 0 4 2 0 0 4 --
BILANBILAN GENERAL
13,839751 OPERATIONS DIVERSES
100287543TOTAL
80,3 230782 OPERATIONS DE SAUVETAGE
5,917010INCENDIES
POURCENTAGENOMBRE DESIGNATION
GENERAL
opérations de sauvetage
80,3%
opérations diverses13,8%
incendies5,9%
Répartition des interventions des services de la protection civile au titre de l’année 2004
52
Algérie
Iran
54
Iran
55
Iran
56
Iran
57
Turquie
58
Al Hoceima
59
La Samir