Ramatis Fr 07 Médiumnité de Guérison 1967 Jys

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  • 7/25/2019 Ramatis Fr 07 Mdiumnit de Gurison 1967 Jys

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    RAMATIS

    MEDIUMNITEDE GUERISON

    uvre mdiumniquedicte par lEntit RAMATIS

    au mdium psc!"#rap!e

    $ercili" Maes%

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    RAMATIS

    MEDIUMNITE DE GUERISONuvre mdiumnique

    dicte par lEntit RAMATISau mdium psc!"#rap!e

    $ercili" Maes%

    Le ci-nomm Monde Occulte agit toujours sur la cure des maladieshumaines sous les plus diverses formes. Ainsi, on peut le vrifier dans lesrcits bibliques, dans le hamanisme des peuples anciens, dans la tradition

    occulte et dans la mdiumnit contemporaine, ici dcrits par !amatis.

    "ans cet ouvrage qui traite spcifiquement de la thrapie par lavoie mdiumnique, la profondeur de la connaissance initiatique du Ma#tre!amatis, allie $ sa singuli%re objectivit, rv%le avec clart lesmcanismes d&agissement curateur dans le double thrique de l&homme etdans la ph'siologie des chacras. (l dcrit la technique utilise par lesquipes spirituelles dans les formulaires mdiumniques, la raison desquivoques possibles, le charlatanisme qui survient ventuellement dans ce

    procd, tout comme la mthodologie des chirurgies spirituelles, le travaildu mdium de prescription et ses difficults, les passes mdiumniques et leformulaire homopathique ainsi que l&eau fluidifie.

    "crivant la techniques des )ben*imento&+ et des )s'mpathies&+, illucide aussi avec une prcision indite comment agit la cure dans lescadres dermatologiques. (l pointera les effets de l&euthanasie et de lad'sthanasie, la mort difficile, ou le prolongement artificiel de la vie, quiempche l&homme contemporain de mourir en pai.

    "j$ considr et reconnu comme manuel classique en la mati%re,dans une dou*aine d&ditions successives, c&est une lecture indispensable

    pour ceu qui s&intressent au mcanisme de la cure spirituelle, de sonetension et de sa profondeur d&anal'se des mcanismes occultes de lamdiumnit curatrice.

    &'"ur les deu( m"ts empl"s n"us #arder"ns les deu( m"ts )rsilienstels quils s"nt ne(istants pas de v"ca)ulaire appr"pri * la lan#ue+ran,aise%

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    RAMATIS

    MEDIUMNITE DE GUERISONuvre mdiumnique

    dicte par lEntit RAMATISau mdium psc!"#rap!e$ercili" Maes%

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    $ercili" Maes

    -./.01.//02

    0ercilio Maes, mdium de !amatis, naquit et vcut $ uritiba,dans la rgion du aran2 dans le sud du 3rsil. (l fit trois annes demdecine qu&il du interrompre pour des raisons de sant et se forma

    postrieurement en droit, profession qu&il eer4a parall%lement aveccelle de comptable.

    5ers les /6 ans sa mdiumnit commen4a $ affleurer. (l eut des contacts avec!amatis, avec lequel il possdait des liens spirituels d&poque loigne. onscient ducompromis de travail assum avant sa rincarnation, il commen4a $ ps'chographier $ traverssa mdiumnit intuitive, la srie des ouvrages de !amatis, qui recouvrent des th%mes inditset mettant en veil, prsentant ainsi de mani%re accessible, la connaissance initiatiquemillnaire.

    Les ouvrages ps'chographis par 0ercilio Maes, sous l&orientation de !amatis

    dsirent sensibiliser la socit sur les malfices de l&alcool, du tabac et de l&intolrancereligieuse. (ls dfendent le vgtarianisme, l&7cumnisme, l&homopathie et l&autodcouverte. (ls prsentent l&8mbanda comme amalgame de l&9vangile de :sus, de laodification ;ardciste et des traditions brsiliennes d&origine africaine et indienne.

    8niversaliste et studieu des plus divers courants spiritualistes, 0ercilio Maes a tma4on, rose-croi, thosophiste. arall%lement $ son activit de ps'chographie, il a tmdium de prescription d&une rare efficacit. A travers la radiesthsie, dans laquelle il taitepert, il rpondit par la prescription homopathique gratuite $ des centaines de personnes

    par semaine dans un petit centre spirite de uritiba. (l acceptait uniquement, du point de vuetique, que les patients dsengags de la mdecine traditionnelle < c=est-$-dire les plusncessiteu sortant avec la propre mdication fournie par lui-mme.

    La quantit de cas complees, eotiques et )incurables& rsolus avec l&assistanced&une quipe de mdecins de l&espace n&a jamais t mentionne par 0ercilio, dont le traitmarquant de temprament et de vie tait la simplicit. (l se caractrisait par un caract%regnreu et une simplicit d&esprit par lesquels il accueillait et enthousiasmait des auditoireslors de runions o> il diffusait des connaissances transcendantes avec bonne humeur.

    (l dsincarna en 1??/ $ l&@ge de 6 ans, laissant sur ce plan son pouse "B 9leonora

    Maes, compagne de tous ses travau, trois enfants C(ara, Dlia e MauroE et de nombreu petitsenfants.

    F

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    A mon ami et confr%re 34li" Sim5 6"sta, dontl&amiti spirituelle nous unit $ travers des vies

    prtrites, esprit laborieu et de bonencouragement, dans l&eistence actuelle, il aaussi t un compagnon infatigable dans larecherche de l&nigme de nos destins.

    uritiba, septembre 1?G/

    $ercili" Maes

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    U7RES DE RAMATIS

    uvres psc!"#rap!ies par $ercili" Maes

    1. La vie sur la lan%te Mars et les objets volants non identifis -1?HH. Messages de l&Astral-1?HG

    0% 8a 7ie Au1Del* de la Spulture1./9:F. La Iurvivance de l&9sprit -1?H

    9% '!si"l"#ie de lAme1./9/G. Mdiumnisme-1?G6

    J. Mdiumnit de Guris"n 1./;0% 8e Rveil de la 6"nscience1@

    H. :ourne de Lumi%re-661@;% A 8a Rec!erc!e de 8a 8umi=re Intrieure1@.

    uvres psc!"#rap!ies par BeatriC Ber#am"J. Kouttes de Lumi%re 1??G

    G

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    uvres psc!"#rap!ies par Marci" G"din!"@

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    ai, Lumi%re et Amour

    RAMATIS

    9ntit responsable du prsent ouvrage. Ia mission consiste $ stimuler les @mesdsireuses de suivre le Ma#tre, aidant $ l&av%nement de la grande 9re de la raternit quis&approche.

    C"essin mdiumnique de "(PO!A0 I. 9PQ(AIE

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    Inde(

    Luelques m"ts du mdium .'r+ace .@D"it1"n tudier le Spiritisme J ./Messa#e * un mdium @N"te du traducteur @.

    .% 8antiquit du p!n"m=ne mdiumnique et sa certi+icati"n )i)lique @@@% Luelques ")servati"ns sur les mdiums 0>0% N"uveau( aspects de sant et des maladies 0/>% 8assistance t!rapeutique des esprits et la mdecine "++icielle de la Terre 9:9% Aspect de l"rd"nnance mdiumnique all"pat!ique ;/

    ;% 8es passes mdiumniques et l"rd"nnance de leau +luidi+ie :;:% '"urqu"i t"us ne peuvent1ils pas tre s"i#ns par l"rd"nnance mdiumniqueJ .% 6"nsidrati"ns sur les demandes des "rd"nnances ap"crp!es ....% 8es mdiums de #uris"n et les #urisseurs% .@9.@% 8"rd"nnance mdiumnique des 'ret"s vel!"sF des indiens et des ca)"cl"s .0.0% 8a t!rapie tran#e des )enCiment"sF des e("rcismes et des smpat!ies .0% 8es "rd"nnances mdiumniques rmunres .9;.9% '"ndrati"ns et respects du mdium malade .;;.;% 8a psc!"tec!nique spirite dans les "prati"ns c!irur#icales .:.

    .:% 8assistance mdiumniques au( m"urants .8e Mdium P Ari#5 @

    Serm"n de la m"nta#ne @>Inv"cati"ns au( '!alan#es du Bien @.@Ramatis -Bi"#rap!ie2 @.>

    ?

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    Luelques m"ts du mdium%

    6!=res lectricesF c!ers lecteurs%

    :e vous demande quelques instants de votre prcieuse attention afin d&epliquer laraison du prsent ouvrage R )Mdiumnit de Guris"n, lequel, dans sa substance, est uncomplment de ceu qui ont dj$ t publis sous les titres de h'siologie de l&@me etMdiumnisme.

    onformment au programme de travail ps'chographi par !amatis et dj$ annoncsur les couvertures des livres antrieurs, le signataire suppose, apr%s le livre R )Mdiumnisme&

    qu&il devrait ps'chographier ses messages en rfrents $ la 5ie de :sus, ou soit, )8e Su)lime'=lerin. ependant, pour rpondre au doutes et au recherches de nombreuses personnesintresses dans l&tude de la mdiumnit, et dans ses divers aspects, comme celui des passesmdiumniques, les cures, les formulaires, la ps'chomtrie, la radiesthsie et autres

    phnom%nes de mme origine, !amatis suggra comme travail de ncessit plus immdiate, laconfection d&un ouvrage supplmentaire, qui aborda certains dtails et minuties des mmesqui ne furent pas abords dans les livres antrieurs. 9t lui avec sa bonne volont habituellerpondit au recherches qui $ ce respect, lui furent prsentes.

    &est ainsi que naquit cet ouvrage R )Mdiumnit de Guris"n, rajout auprogramme dj$ trac, lequel par ses objectifs, sera de grand intrt et d&utilit pour les

    adeptes du Ipiritisme, spcialement pour les mdiums. 9t il sera suffisamment utile $ denombreu bnficiaires de la Mdecine, parce que son contenu constitue une valeureusecontribution qui amplifie le champ de l&tiologie et du diagnostique des maladies quiattaquent l&homme < lesquelles considres sous de nouveau aspects ps'chiques, rendront

    possible une vision thrapeutique de plus grande efficacit, au bnfice de l&0umanit. Aulecteurs qui constatent qu&il ' a dans cet ouvrage une esp%ce de rptition ou d&analogie avecquelques th%mes dj$ epliqus dans les ouvrages antrieurs, j&informe qu&un tel fait est del&orientation de notre propre guide !amatis, car il nous avertit tre indispensable au adeptesd&assimiler, en parfaite profondeur et amplitude, les mati%res abordes, non pas uniquementdans leurs aspects les plus vidents, mais aussi, dans tous les effets qui leurs sont accessoires,car la mdiumnit tant un phnom%ne conjugu au causes du plan astral ou indivisible, il '

    a une ncessit d&ouvrir toutes les dissimulations et d&apporter $ la superficie leur contenuafin d&tre dSment considr et de servir d&orientation au disciples et au ouvriers de la errecultive du Ma#tre.

    9n dehors de cela, $ l&poque actuelle, la diffusion et l&intrt, chaque fois plusimportant pour le Ipiritisme, ne permet plus que sa phnomnologie soit apporte sur la sc%nede l&opinion publique laissant en suspens ou sans rponse des interpellations qui font lesconsciences plus eigeantes, qui, avant de croire, font question d&anal'ser le )corps entier&,qui leurs est prsent comme une vrit digne de rvrence ou de considration.

    9n autre, !amatis, dans ses livres antrieurs, insiste, quelques fois, $ aborder sous denouveau angles un sujet dj$ abord auparavant, visant, justement $ lucider le lecteur defa4on $ dissiper quelques doutes qui sont fluctuants dans son esprit.

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    (l est certain, qu&une telle mthode, pour quelques lecteurs soit considre un tant soitpeu prolie ou harassante < mais il ne serait pas juste que pour satisfaire les adeptes les plusclairs, que l&on prjudici@t la majorit, omettant des claircissements de phnom%nes ou des

    probl%mes complees qui ne peuvent tre dfinis et accepts anal'sant uniquement leur

    superficie.

    ette orientation de !amatis, a pour objectif de permettre $ tous ceu qui l&ont dj$ lu,une comprhension intgrale des mati%res eposes dans ses ouvrages, lesquels rpondent $ lafinalit pratique et objective de bien clairer pour bien vangliser T

    $ercili" Maes

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    'r+ace

    e livre, )Mdiumnit de Guris"n, qui par son etension phnomnique, pourraittout aussi bien s&intituler )Mdiumps'chothrapie&, epose, tudie et clarifie un probl%mehumain de haute importance, lequel par son amplitude d&ordre collectif, intresse l&humanitenti%re. &est le probl%me des maladies qui affligent l&homme, donc, identifies et dfiniesdans ses causes et effets sous les fondements d&une tiologie et thrapie qui dpassent etamplifient profondment les connaissances de la pathologie considres jusqu&$ maintenant

    par la Icience mdicale.

    Ainsi le rviseur de cet ouvrage, par suggestion de son auteur, !amatis, a post sur lespages de son tete quelques lucidations de rel intrt, aussi bien pour les hommes enparticulier, comme spcialement pour l&illustre classe mdicale, dans le sens de rveiller leurrUle dans la recherche et de considrer de nouveau lments qui l&habilitent $ prserver, avecune plus grande efficacit, la sant des habitants de notre orbe.

    Actuellement, la mdecine a dj$ vaincu une grande partie des maladies dangereuseset a attnu les effets nocifs d&autres, bien qu&il en eiste encore quelques autres, comme lecancer, la l%pre, la tuberculose, le pemphigus foliac, connu sous le nom de )feu sauvage& etaussi certaines endmies comme la malaria, qui continuent $ faire des millions de victimes.9n dehors de cela, dans divers pa's, spcialement en Orient, il ' a eu des sursauts de maladiesgraves, d&tiologie encore non identifie. ependant l&homme continue $ souffrir de rudescombats contre la sant de son corps ph'sique.

    Pous disons son corps )ph'sique& parce que la propre science acadmique ne tarderapas $ certifier que l&homme-@me poss%de aussi un corps fluidique appel prisprit.

    Ainsi, l&objectif principal de cet ouvrage n&est pas uniquement d&eposer et d&clairerles particularits du singulier phnom%ne de la mdiumnit curatrice, mais de dmontrer aussique la cause originaire des maladies qui affligent l&0umanit est affecte essentiellement aune origine ps'chique. "onc, cet aspect du probl%me eige une tude spcifique, dont lesdductions habiliteront l&homme $ conna#tre la cause positive de ses maladies.

    Alors, il se certifiera aussi qu&il est entre ses mains, et non pas uniquement dans les

    produits ou les rem%des des laboratoires pharmaceutiques, d&attnuer les effets malins desmaladies qui le tourmentent.

    9ntre autre, la thrapie de )l&h'gi%ne mentale& comme recours quilibrant de santparfaite, est dj$ suffisamment diffuse par de nombreu ouvrages de ps'chologie pratique,accessibles au grand public. 9t bien au-del$ continuent $ tre raliss divers conclaves de

    ps'chiatrie destins $ rechercher, justement, la relation eistante entre les effets morbides decertaines maladies, et les refoulements ou les effervescences mentales de l&individu. 9t lechamp de cette tude tend $ s&amplifier chaque fois plus.

    ependant, pour autant, le probl%me de la sant maladie, constitue encore un

    lab'rinthe de phnom%nes ps'choph'siques non investis dans toute sa conteture ouprofondeur. 9t cette 7uvre ouvrant les recoins de tels phnom%nes et anal'sant ses minuties,

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    contribuera pour que la Mdecine soit habilite $ obtenir une plus grande efficacit dans safonction prventive d&assurer $ la amille humaine la plus grande jouissance de cette richessesans gale, qui s&appelle la sant.

    ependant, la Mdecine dans ce secteur, a encore un long chemin $ parcourir, parce

    que presque tous les mdecins sont athes < et comme suite de cette conviction ils ne croientpas en l&eistence de l&@me ou de l&esprit.

    "onc, cette apathie ngative empche que la Icience mdicale s&habilite $ faire uneprofonde anal'se introspective de l&@me. 9amen qui lui permettrait de certifier que certainesmaladies $ caract%re virulent sont le produit de graves )infections morales& eistant dans laconscience mme < et que par effet de rpercussion vibratoire, affectent son prisprit et aussile corps ph'sique, qui lui est assujetti.

    ar consquent bien que soient utiles et efficaces les recours prventifs des vaccins etla proph'laie contre certaines endmies et pidmies, et que soient galement bnfiques les

    mdications spcifiques dans la cure de maladies communes, il eiste cependant, des causespathog%nes de teneur ps'chique et un tant soit peu complees, auquelles il est temps qu&ellesmritent une attention et quelles soient identifies et dfinies par les professeurs de Mdecine,mais sans leurs opposer le paravent de quelques ides re4ues.

    "e quelque fa4on que ce soit, la science mdicale, dans sa marche volutive finira parreconna#tre le pouvoir curatif des fluides magntiques et consacrera $ la magntothrapie unesource de nouveau recours au bnfice de la sant. 9t pour aussi absurde que cela paraissedans le secteur de la neurologie, qui commence $ utiliser avec efficacit, la thrapie singuli%redes vibrations ou sonorits musicales, car dans certains tats pathologiques, la musique, par sarpercussion motive, de fond spirituel, a le pouvoir d&agir dans le champ ps'choph'sique,

    provocant des ractions sdatives sur le s'st%me nerveu, circulatoire et glandulaire, quifavorisent la recomposition saine des cellules et la d'namique endocrinienne , bnficiantainsi le r'thme ph'siologique et vital de tout organisme C1E.

    -.2 N"te du rviseur les psc!iatres '% QraisseF R% $uss"n et R% QrancesF suivant leurse(priencesF certi+i=rent que lacti"n et lensem)le des partiti"ns musicales in+luent sur les+"ncti"ns p!si"l"#iques du c"rps% Luil e(iste une esp=ce de r#ularisati"n des rt!mes)i"l"#iques c"n+"rmment au sc!ma t!matique et dnamique de la musique%

    8e psc!aitre '"ntvic cra * St"c!"lmF un institut de music"t!rapie et ses patients"nt ")tenus de(cellents rsultats% Il a++irme que la musique a#it sur n"tre sst=me mentalF

    psc!ique et usqu* p!si"l"#iqueF et quelle peutF dune certaine +a,"n catalser le(pansi"n den"tre pers"nnalit%

    omme lucidation complmentaire de l&tiologie astreinte au causesps'chopathologiques, il convient d&clairer que R -Le prisprit est le statuaire invisible quimod%le notre corps depuis l&embr'on f7tal jusqu&$ sa compl%te structuration ph'sique, car il

    poss%de des organes similaires au mme, mais, de fonctions plus raffines, lesquelles sont les)moules ou les copies& des organes du corps humain, structurs, cependant, $ son )image et saressemblance&. 9t alors si le dit corps prispiritique est avec quelques uns de ses organesaffects par des fluides caustiques provenant des motions toiques de l&@me, dans ce cas, lecorps de chair qu&il aura besoin de modeler dans la capsule du ventre maternel hritera des ces

    dformations classifies de congnitales.

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    Admettons par eemple, qu&une @me en raison de troubles d&ordre moral pratiquespar elle mme dans ses eistences prtrites, soit )condamne& $ rincarner )revtu& d&un corpspriv de facult de vue, dans la contingence de son prisprit elle mod%lera un tel corps aveccette dficience organique, car cette preuve est une sorte de )fatalisme& CE dcoulant de la loicarmique de cause $ effet, qui rgit l&univers moral.

    -@2 N"te du rviseur ce casF n"us p"uv"ns le usti+ier avec le(emple suivant 1 A la6asa da 6rian,a Andr 8uiC - * S" 'aul"2 F dans une mais"n den+ants s"u++rants dan"malies"r#aniques irrpara)les il e(iste un en+ant qui est n sans eu( et en de!"rs de cela avec uned+icience mentaleF muet et paraltique% En +ace dun tel martr si e(cepti"nnelF +ut demanddans une sance spirite mmeF quelle tait la cause dune telle e(piati"n si cruelle etimpressi"nnante% 8e #uide spirituel n"us claira 1 6e +r=re dans une de ses e(istencesprtritesF a t un #nral r"mainF qui c"mmanda quelques )atailles et une de ses attitudes de!aine et de ven#eance c"nsistait * +aire arrac!er les eu( * quelques uns de ses ennemispris"nniers%

    Il e(iste dautres cas daspects identiques c"mme celui de Marie Ant"inetteF +emme de

    8"uis 7IF qui m"urut s"us la #uill"tine pendant la Rv"luti"n Qran,aise de .:

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    )valvule de sauvetage& par o> l&@me epurge les rsidus toiques des motions rudes qui enelle brSle. 9t ainsi ces fluides corrosifs, transfrs vers le corps ph'sique produisent ou seconvertissent en lsions morbides et virulentes, comme la l%pre, le cancer, la tuberculose oud&autres maladies de caract%re plus bnin.

    "onc, comme lucidation du nouveau cadre pathologique qui fie les refoulements defond ps'chique comme facteurs responsables de certaines maladies du corps, nousinformons R - L&homme dans son ensemble, est un tre constitu par le trinUme @me, prispritet corps ph'sique.

    L&@me est l&ego cosmique ou conscience vive et ternelle au service de "ieu et de lafamille 8niverselle. Le prisprit est le corps fluidique de l&@me, constitue de mati%requintessencie qui chappe $ tous nos recours d&anal'se < donc, l&intgral commande

    ph'siologique et sensorielle de son theroplastie en relation au corps de chair qui nous m%ne $conclure que ce corps singulier est le produit d&une fusion labore $ travers de milliers desi%cles, depuis les esp%ces les plus infrieures ou lmentaires jusqu&au patron de l&tre

    rationnel. 9t, pour cela mme, les contingences ataviques font, que dans diverses phases oustades de son volution ps'cho-biologique, se manifestent encore che* l&homme certainsrefoulements de passions ou d&instincts animau, dont la gradation va depuis le sauvagefroce et l&anthropophage jusqu&au civilis, che* lequel les tares animalesques viennentuniquement $ la superficie de l&esprit avec intermittence, ou soit, lorsque rveilles par lafriction d&motions aigues.

    Nuant au corps ph'sique, c&est le vtement matriel ou le scaphandre et l&@me ajust $son prisprit, comme lien ncessaire pour qu&il puisse descendre dans les mondes coles, afinque dans cet environnement il acqui%re les connaissances et les vertus, qui peu $ peu lui

    proportionneront l&ascension $ l&9chelle de :acob de l&volution spirituelle jusqu&$ atteindre lahirarchie de l&anglitude.

    Ainsi, $ mesure que l&@me, suivant les rincarnations successives, se spiritualise,acqurant graduellement, les attributs morau de la saintet, son prisprit aussi s&pure endiaphanit < et alors les organes que composent sa conteture therico ph'siologique vont

    perdre leur )poids& ou densit therique, terminant par s&atrophier compl%tement, car si lafonction fait l&organe, son inertie finie par l&teindre. 9t comme suite d&une telle circonstance,l&@me due $ la d'namique de son volution, lorsqu&elle atteint la hirarchie anglique, son

    prisprit s&est dj$ teint intgralement < phnom%ne qui peut tre classifi comme une esp%cede )seconde mort& car a'ant atteint le degr de spiritualit cosmique de )septi%me ciel&, elle est

    dj$, releve de toutes rincarnations < par consquent il n&a plus besoin d&utiliser un corps-prisprit.

    ependant quant $ la conteture ps'chique de l&entit l&homme, il eiste un autrelment, mais celui-ci d&mergence ou transitoire, lequel $ la fonction de canal, ou de liend&inter-change entre l&@me Cavec son prispritE et le corps ph'sique. et lment est le )doubletherique& R mais, celui-ci apr%s la mort du corps de chair, se dsint%gre graduellement,s&teignant compl%tement.

    "ans cette simple introduction, nous nous dirigeons cependant $ ceu qui eercent lesacerdoce de la Mdecine, les sollicitant , pour que sans ide prcon4ue , ils lisent et mditent

    sur le contenu de ce compendium, car la phnomnologie ps'chothrapeutique epose, estune esp%ce de fentre qui s&ouvre, leurs montrant les nouveau hori*ons de la science qu&ils

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    entre ouvrent C/E , car en dehors $ les habiliter $ mieu servir leurs prochains, cela leursproportionnera de mettre en 7uvre les bndictions de ce singulier mdecin , le "ivin :sus,qui il ' a deu mille ans, prgrinant par les terres de la alestine, eer4a la bienveillance desoigner les malades du corps < la conjuguant $ l&objectif de soigner les maladies de l&@me.

    -02 8es illustres mdecins qui s"u!aitent sillustrer dans lanalse dautres pr")l=mespsc!"l"#iques lis au )inme c"rps1espritF n"us leurs su##r"ns quils lisent aussi le livre '!si"l"#ie de lVmeF dictF #alementF par lclectique #uide spirituelF RamatisF d"nt les"uvra#es depuis une vin#taine dannesF en de!"rs dtre traduits dans les principales lan#uesFaur"nt leurs rvlati"ns c"nsacres c"mme aut!entiques et valeureusesF par la pr"pre scienceacadmique du m"nde entier%

    Entre autreF le mdium $ercili" Maes a d* re,u des diCaines de cartes de mdecinaant lu s"n livre et qui laant apprciF lui mani+est=rent dav"ir re,u un #rand pr"+itintellectuel et pr"+essi"nnelF avec les prcieuses in+"rmati"ns et ensei#nements c"ntenus dansl"uvra#e mme%

    eu qui viennent $ accepter les thories et les phnom%nes relats dans cet ouvragecomme dignes d&tre considrs et recherchs, certainement peu $ peu ajusteront leur crit%re

    professionnel $ une thrapie plus ample. Mais , malheureusement , de tels avant-gardistesn&chapperont pas au sarcasmes ironiques de quelques uns de leurs coll%gues dont lamentalit ne comprend pas que la Icience, dans tous ces secteurs, pour aussi levs que soientses vols, qu&aucun d&entre eu ne pourra tre considr comme )point final&.

    ependant, quant $ cette incomprhension, il a toujours t ainsi, et il sera toujoursainsi, car la propre histoire nous prouve que les grands dcouvreurs de la Icience, commeasteur minent microbiologiste dont les dcouvertes scientifiques l&impos%rent comme le

    bienfaiteur de l&0umanit, 0arve* le dcouvreur de la circulation sanguine, :enner, le crateurdu vaccin contre la variole et d&autres de mme mrite, n&chapp%rent pas $ la critique acerbede quelques )officiels du mme office&.

    Ainsi, nous pouvons anticiper que quelques unes des rvlations un tant soit peusib'llines, contenues dans cet ouvrage par rapport $ l&tiologie et $ la thrapie dans le sensd=amplifier les connaissances du binUme sant-maladie, donneront des motifs de contestationsamorphes de la part de certains diplUms acadmiques. Pous nous rfrons $ ceu qui en faced=une doctrine ou d=un phnom%ne qu=ils ne connaissent pas compl%tement, opposentl=argument inepriment de R =c=est absurde T= 9ntre autre, dans les propres controverses parmicelles qui sont dites comme sages, le oui et le non qui les sparent $ propos d=un mme

    probl%me, prouvent que dans le cercle des eposants de la connaissance il eiste aussi des=ignorants=, car la vrit de n=importe quelle proposition dans un dbat est une n=tant paspossible bien videmment que les deu pUles contraires s=ajustent , celui du oui et celui dunon qui divisent et mettent les argumentateurs dans des camps opposs.

    Pous devons encore considrer la chose suivante R - "evant les m'st%res infinis del=8nivers, ce que notre science conna#t est une fraction si insignifiante de sagesse, qu=en vritil n=a jamais eist sur notre monde un homme quelconque qui puisse tre considr commesage, dans le sens tendu d=une telle signification.

    3ien videmment, il ' a eu et il ' a des hommes dont l=intelligence ou le talent se

    dmarque comme eposants de la connaissance. ependant, mme en relation $ ceu-ci, une

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    anal'se en profondeur nous m%ne $ conclure que le sage est sage, troitement dans la raisondirecte de l=poque dans laquelle il vit et dans la raison inverse de l=ignorance de la majorit.

    "e cette r%gle, l&unique eception est celle de :sus, car il s&agit d&un esprit d&un degrd&volution qui a dj$ atteint et irradie des fulgurations morales et intellectuelles d&amplitude

    cosmique.

    ar consquent les sages, qui par rvrence de considration, suivent un tel eemplesont ceu qui se revtent d&une absolue modestie et humilit. armi les anciens, nous pouvonsdtach le philosophe Iocrate, qui nous laissa cette phrase de rfleion profonde R )out ceque je sais, c=est que je ne sais rien.&+ A notre poque nous avons l&minent biologiste Aleisarrel, auteur du fameu livre R )O 0omem, esse desconhecido&+, dans lequel, suivant unetude anal'tique de profondeur, il dmontre que les connaissances de l&homme actuelconstituent une parcelle insignifiante de sagesse, car tout ce que nous ignorons $ propos des

    phnom%nes vitau de notre personnalit, certifie qu&en ralit, nous ne nous connaissonsmme pas nous-mme T

    & W X YZ [\ X Y]W X YZ% & 8!"mmeF cet inc"nnu%

    9ffectivement , actuellement, les conceptions de presque tous les hommes de science,$ propos de l&entit homme, sont tr%s loignes des ralits de la ps'chologiesupraconscientielle, car les recherches effectues par les autorits comme les professeurs!ichet, Kustavo Kele', mais aussi les chercheurs en ps'chanal'ses comme Wallace, sarLombroso, rdric M'ers et les philosophes de projection mondiales comme William:ames , 0enr' 3egson et d&autres , certifient , de fa4on absolue que l&homme rel n&est pas ceque la science classique ou pragmatique admet.

    9n dehors de sa conscience rveille, strictement humaine, l&homme poss%de unesubconscience profonde et ample d&un contenu multiforme, qui se rpercute dans les attitudesde sa personnalit et jusqu&$ son destin, car elle est constitue par une accumulation morale etintellectuelle accumule dans ses eistences antrieures, dont les caractristiques se dnoncentdans ses rincarnations postrieures. 9t ce fait est ce qui justifie le penchant che* certainsindividus qui d%s l&enfance, manifestent une tendance et une capacit d&assimilation pourcertains arts et pour d&autres professions.

    omme eemple d&une telle contingence, citons Mo*art et hopin, des gnies de lamusique, qui dj$ enfants, dmontraient un gnie incro'able quant $ l&assimilation subjectiveet la technique des secrets de cet art complee. (l ' a aussi 3eethoven, le fameu compositeurde musique s'mphonique, dont la submmoire lui permit d&crire ses s'mphonies de la plushaute inspiration, justement apr%s tre devenu sourd < certifiant ainsi, que les sonoritssublimes des cantiques musicau qu&il a transmis au monde , vibraient dans la chambreacoustique de sa mmoire supraconscientielle R et une telle rsonance d&harmonies , qui pourles crire sur le papier , n&a pas besoin de touches de piano , ni des sons du corps ph'sique,car il les captait suivant l&audition spirituelle de son @me T

    ette sub et supraconscience, en raison de sa d'namique d&epansibilit, est ce qui,par rpercussion intuitive, pousse le sage $ s&occuper $ dcouvrir une invention dtermine ou

    $ dchiffrer une inconnue scientifique. 9t, certaines fois, la solution d&un cas, pn%tre ous&allume dans l&esprit d&un chercheur comme une ide ou une inspiration foudro'ante 9t cet

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    vnement imprvisible fit que lui-mme fut surpris d&une telle rvlation surgit devant ses'eu. 9t en raison d&une telle circonstance, quelques scientifiques fameu ont confessqu&une dcouverte spcifique qu&ils firent fut le cas du )hasard&. 9ntre autre, nous pouvonsciter le cas des ra'ons X, obtenus par !oentgen, et de la pnicilline rvle par le sageAleandre leming.

    e phnom%ne rflee de l&intuition est le fondement sur lequel s&appuie laphilosophie de l&minent penseur fran4ais 0enr' 3ergson.

    ar consquent l&homme ne peut pas tre dfini sous les limitations ph'siques d&uncerveau et d&un s'st%me nerveu, comme si les motions de la conscience, les attributs ou lesdons morau de l&individu et la facult de rtention de la mmoire taient des phnom%nes degen%se ph'sico-biologique.

    inalement R - 9n face de la singularit des probl%mes auquels nous nous sommesrfrs, qui seront tous amplifis dans le tete de ce livre, il est naturel que de nombreu

    illustres praticiens de la Mdecine, rpondant au pragmatisme de la Icience qui )est envigueur&, se dsintressent de considrer son contenu ou substance en raison qu&il s&agit d&untravail dont l&auteur est une entit invisible )rsident& sur le plan astral. "onc, $ ce propos,nous nous permettrons de dire R - Nu&importe qu&une nouvelle doctrine ou s'st%me soit

    propos et annonc au monde par la voi d&un esprit incarn ou par un autre dj$ libr de lacarapace ph'sique du corps humain. e qui est en cause, ce n&est pas )l&esp%ce& de lien mentalqui transmet la rvlation, mais bien l&essence ou substance intrins%que contenue dans ses

    propositions.

    Nuelque concept discutable, loign d&un tel crit%re, est une dfinition imparfaite et endehors du plus lmentaire bon sens.

    3"s QuCeira%

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    D"it1"n tudier le Spiritisme J

    Le Ipiritisme, en dehors d&tre appu' par les autorits comme celle de William

    rooYes, !. Wallace, O. Lodge, Lombroso, Itainton Moses, AYsaYoff, de !ochas, Kibier etd&autres, la quantit de livres, de mmoires et d&epriences $ son respect est si considrable,que l&on ne peut justifier de rcuser les affirmations de ces si innombrables tmoignages, sansavoir fait une tude pralable.

    eu qui all%guent que R - eci est impossible&, nous leur demandons R - Nui peut fierla limite de ce qui est possible ou n&est pas possible Z outes les conqutes de la Icience onttoujours t, bien avant, dites comme impossibles.

    Au lieu de se dsintresser, les sages, les philosophes, les scientifiques devraientrechercher les faits affirms par le Ipiritisme. I&il ' a des erreurs et des illusions, il ' a tr%s

    certainement de nombreuses vrits. es vrits, lorsqu&elles seront fort bien connuesmodifieront profondment les faibles notions que nous avons $ propos de l&homme et del&8nivers.

    6!arles Ric!et&%

    + Auteur du fameu livre R )rait de mtaph'sique&, et d&autres qui ont t traduits dans lesprincipales langues, il se ddia durant quarante annes au tudes et travau eprimentau sur lesphnom%nes spirites, tant arriv au conclusions positives quant $ l&authenticit de ses phnom%nes.

    Le titre )D"it1"n tudier le Spiritisme J est le nom donn $ un opuscule de harles !ichetlui-mme.

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    Messa#e * un mdium

    'a#e dEmmanuel dites au mdium 6!ic" avier%

    Mon ami, que le Ieigneur fortifie ton c7ur, dans les tmoignages de foi. Accepte lesangoisses de l&heure prsente, convaincu, que la souffrance est notre unique officine de

    purification individuelle. Pous savons que les pines de l&amertume te blessent profondmentdans l&@me gnreuse et sensible. ependant, ce sont dans ces aiguillons de la douleurqu&cloront les roses de ton bonheur futur. Pe condamnes pas, ne hais pas, ne te venges pas.Karde la source de l&amour que la rovidence "ivine dposa dans ton esprit bien form. arceque les pierres du monde dilac%rent tes esprances, ne permet pas que disparaisse dans tonintime, la manne du pain cleste, que la mdiumnit localisa dans ta capacit avance deservir.

    Le missionnaire du bien ne poss%de pas sur erre d&autre chef plus grand que le hrist,mpris et crucifi dans le plus sublime minist%re de la renonciation. Le mdium conscientdes obligations leves qui lui reviennent, souffre les antagonismes de l&environnement,l&incomprhension, de tr%s nombreuses fois, des plus aims, et par-dessus tout, eprimente laconstante attaque rpte des ombres qui entourent encore la majorit des hommes. ourapporter une nouvelle contribution de la vrit, au domaines de la rvlation, paie ledouloureu tribut du sacrifice de l&indiffrence des semblables.

    Pe diminues pas, cependant, ton courage, ton talent, devant la tourmente. !fugie-toidans la pri%re et dans la confiance active, aid par les bienfaiteurs qui t&assistent et vas vers

    l&avant, avec ton rceptacle de consolations, lnifiant les afflictions et pensant les blessuresche* ces fr%res qui atteints par les mau morau, s&approchent assoiffs des sources delumi%re.

    Pe te manqueront pas les amis dvous, qui dans notre cercle, veillent pour toi et pourta victoire dans le domaine des preuves auquel tu as t appel. ardonne et poursuis. Lalutte angoissante est l&environnement. :sus est la fin. P&change pas mon fr%re, les fruitssublimes de l&ternit pour les fleurs phm%res d&un jour. Avec la lampe allume de la pri%re,nous atteindrons le iel. rie cependant le seigneur, pour que les forces ne te manquent pasdans le bon combat, afin que tu continues valeureu et serein jusqu&$ triomphe final. :e suiston ami et humble serviteur.

    Emmanuel%

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    N"te du traducteur

    A la lumi%re de la Pouvelle 9re, il est de sens commun que la mdiumnit s&veille che*

    tous les tres travaillant pour la rgnration de la plan%te et de ses habitants.

    Iur ce chemin trac par la Ipiritualit, il est urgent de nous dpouiller de notre vieilleenveloppe charnelle millnaire pour la tunique nuptiale, ce revtement a*ur, diaphane, fluidiqueet en s'ntonie parfaite avec la vibration du plan terrestre de demain.

    La gurison premi%re tant celle de notre @me, que nous pouvons appliquer $ nous-mmes par la simple rforme intrieure pour lever notre frquence vibratoire, cette s'ntonied&entre, afin d&apporter au tres de cette orbe un climat ligibilit $ tous les r%gnes prsents.5otre seconde gurison est votre alimentation. 9lle vous est unique, elle est votre. 5otre corpsvous tant prt pour votre sjour terrestre, maintene*-le afin de le rendre comme remerciement

    $ la erre m%re et nourrici%re, pour le retour dans la vritable partie qui est celle de l&Au "el$.

    !amatis nous oriente une nouvelle fois sur des sentiers baliss par une prise deconscience vers une alimentation ph'sique et morale en affinit avec les plans suprieurs, et undon qui nous a t offert celui de pouvoir gurir par la mdiumnit et tre guri par lamdiumnit, hommage divin, $ la porte de tous, comme don universel d&amour.

    &est avec joie que nous vous offrons cette ni%me traduction de !amatis en souhaitantque vous appliquere* les baumes $ celles et $ ceu qui ont besoin de votre aide, suivant lesrecommandations des guides spirituels.

    Nue la pai,la Lumi%re

    etL&Amour

    viennent sur notre monde.

    _annic Saurin

    Le MansMardi 1 :uin 61G

    I

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    8antiquit du p!n"m=ne mdiumniqueet sa certi+icati"n )i)lique

    Luesti"n 1 Luelques mem)res et adeptes dautres instituti"nsspiritualistesF c"mme lEs"trismeF la T!"s"p!ieF la R"se16r"i( "u le "#aFcensurent le Spiritisme p"ur av"ir tr"p p"pularis la pratiquemdiumnique% Ils all=#uent que ceci vul#arise linter c!an#e avec le m"nde"cculteF et que ne devrait tre e++ectu que des inter1c!an#es dans desenvir"nnements initiatiquesF sans les c"n+usi"nsF les e("tismesF les

    msti+icati"ns et les inter+rences animiques des mdiums incultes etindisciplins% Ils a++irment aussi que cela +init par ridiculiser le++"rt des#uides spirituels dans le dlicat s"in dclairer les incarns% Lue leSpiritisme devrait tre une d"ctrine e(clusivement p!il"s"p!iqueF sansdi++user linter1c!an#e mdiumnique parmi un pu)lic enc"re i#n"rant et *peine curieu(% Lue p"urrieC1v"us dire J

    Ramatis - La mdiumnit n&a pas t invente par la Ipiritisme. 9lle est aussivieille que l&homme, car c&est une facult provenant de l&esprit et non pas de la mati%re C1E.9lle eiste donc depuis que la premi%re crature Cesprit incarnE surgit sur erre et que lescentres nerveu de son corps se purifi%rent $ la sensibilit de ses sens. Alors, l&homme primitif

    s&est transform peu $ peu, purant ses facults qui l&ajust%rent $ un trait d&union entre lemonde occulte et le monde ph'sique.

    -.2 7"eC la prsentati"nF du c!apitre initital du livre Grandes 7ult"s da $umanidade e" Espiritism"F de Slvi" Brit" S"aresF de la QEB

    (l est vident que cette sensibilisation du s'st%me nerveu de l&homme contribu@t pourque les entits du monde invisible, l&utilisassent comme lien pour que s&tablisse un inter-change entre les deu plans.

    ependant, bien que la crature l&ignore, elle pressent que son perfectionnement

    )ps'choph'sique& dpend de beaucoup de l&assistance et de la pdagogie du monde spirituel.L&0umanit a t guide depuis son origine par les lois du monde occulte, qui agissent avecune profonde influence che* l&tre humain. outes les histoires, lgendes, narrations detradition millnaire, de votre orbe sont remplies d&vnements, de rvlations, de phnom%neset de manifestations etra-terriennes qui confirment l&eistence de la mdiumnit parmi leshommes des races les plus primitives.

    La 3ible elle mme, qui sert d&argument traditionnel au religieu pour combattre leIpiritisme, est parseme de rcits et d&vnements propres du monde occulte, dans lesquelsinterviennent des anges, des proph%tes, des entits surnaturelles. P&importe quel race, peuple,civilisation du prsent ou du pass conserve encore dans son folYlore la tradition vcue parles gnies, les fes, les gnomes, les dieu les s'lphes, les sorci%res, les ondines, lessalamandres, les nrides ou les tres tranges qui se divertissent dans le monde invisible et

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    aident tout aussi bien comme rendant hostiles la vie des hommes. Antiquement il ' avait destraits sib'llins, des mthodes occultes et des pratiques de magie sublime ou rpulsive, que lesmagiciens considraient comme les procds les plus efficaces pour l&homme d&entrer encontact avec les habitants du monde invisible.

    La magie tait pratique pr%s des rivi%res, $ cot de la mer, dans la campagne, dans lesbois sauvage, car la Pature a toujours t la sc%ne adquate pour dvelopper la volont, lecourage et l&esprit curieu de l&tre humain.

    ependant, les phnom%nes mdiumniques se gnralisent d&une telle fa4on , au si%cleactuel, qu&ils se manifestent tout aussi bien che* les hommes qui les dsirent ou lesrecherchent , comme ceu qui les dtestent ou les craignent par des manifestationsdiaboliques. Malgr le prestige de la science acadmique de votre monde, les scientifiquesterriens ne peuvent dj$ plus fuir la contingence imprieuse d&tudier la mdiumnit, chaquefois plus agissante au sein de l&humanit terrienne. "ans des pa's plus cultivs, on effectuedj$ des recherches et des tudes srieuses dans le genre, bien qu&encore sous la rotule de la

    )paraps'chologie&, nomenclature qui rpond au superficialisme de la vaniteuse acadmie.

    Luesti"n 1 Et que dites1v"us quant * la p"ssi)ilit de ltude dup!n"m=ne mdiumnique dans les +acults de mdecine du Brsil J&

    Ramatis - Le 3rsil est encore conditionn $ l&influence obsol%te de l&9tat du5atican, reprsent par le lerg !omain, avide de biens terriens et suffisamment influentdans la politique et dans l&administration publique du pa's. Le scientifique brsilien,uniquement dans de rares cas se trouve libre de prrogative religieuse, ou de prconceptacadmique, se dsintressant de soumettre le phnom%ne mdiumnique $ l&tude des facults

    suprieures. Mas la vrit est que la science du monde ne pourra pas fuir sa propre mission declarifier la pratique de la phnomnologie mdiumnique, dans le futur, lorsque les laboratoiresaideront aussi $ slectionner les mdiums vritables et les charlatans, les h'striques, lesmercenaires ou les malades, qui certaines fois dirigent des mouvements dans le sein duIpiritisme, mais sans possder les cro'ances eiges pour ce travail.

    Lorsque le phnom%ne mdiumnique s&imposera dfinitivement $ la science profane,les mdiums se libreront aussi de la traditionnelle ecommunication des propres religieu,qui irrits par le message sens et qui ne peut tre confondu du Ipiritisme, mlangent encorele XX si%cle avec la priode sombre de l&(nquisition, lorsqu&ils brSlaient les tsiganes, lessorci%res ou les sotristes en guise d&affilis $ 3el*buth. onsidrant que le rateur reste

    intgr dans chaque 7uvre, il est vident que Lui-mme op%re $ travers la science du mondematriel comme un des recours bienfaiteurs pour la plus br%ve flicit de ses enfants.

    Luesti"n 1 Mais il est vident que le rveil de l!"mme int=#re parla discipline s"trique et le(i#ence m"rale suprieure qui +"rment les)ases de linitiati"n dans n"s temples initiatiques s"ient di#nes de respect%Nest1ce pas ainsi J

    Ramatis - 3ien que vous lou l&initiation traditionnelle qui depuis des poqueslointaines, gradue le disciple studieu et disciplin $ recevoir son ma#tre ou )gourou&, au

    moment de son rveil spirituel, nous devons admettre que l&humanit terrienne atteintactuellement la priode de son plus grave et douloureu rajustement carmique. Le si%cle

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    apocal'ptique dans lequel vous vive* et l&poque prophtique de la )in des temps& rclamentune ouverture de toutes les portes de tous les temples initiatiques, car le phnom%nemdiumnique se gnralise $ la lumi%re du jour et se manifeste quotidiennement $ tous leshommes, indpendamment de la race, de la caste, de la culture ou de la situation financi%re.

    Lorsque la Ipiritualit convoqua l&esprit habile, gnial et laborieu d&Allan ;ardec,pour codifier la doctrine spirite et discipliner la pratique mdiumnique, elle avait dj$ planifide les librer des sortil%ges, des invocations lugubres, des postures mlodramatiques, descompromis ridicules, de la magie ehaustive et de rites etravagants. Au si%cle passuniquement les initis les plus heureu savaient manipuler les ingrdients magiques et

    promouvoir le )suspens&, destins $ proportionner le climat favorable pour que se manifestentles entits de l&autre monde. Apr%s les ehaustifs rituels et cantil%nes cabalistiques, une longue

    perte de temps apr%s l&utilisation de drogues m'strieuses et l&usage de mdicamentseotiques, ils russissaient alors quelques fugaces matrialisations de )larves& ou d&tres del&astral infrieur&, qui se dpla4aient et fluctuaient comme guise de phnom%nes importants eteffra'ants. Ians aucun doute, il ' avait des magiciens qui purent entrevoir quelques @mes

    leves et des tres resplendissants, mais ceci n&arriva pas par la force des r'thmes ou despratiques etravagantes, mais en raison de leur propre caract%re noble et $ la meilleuregraduation spirituelle. CE

    -@2 N"te du rviseur cest le cas des vieu( ma#es du passF c"mme Elip!as 8eviF 'apuset dautresF qui a leur p"que c"ndamn=rent v!ment le SpiritismeF c"n+"rmment * ce que l"npeut vri+ier * la pa#e .;@ du livre 8a cle+ des Grands Mst=resF qui dit que depuis d* tr=sl"n#temps cette d"ctrine -spirite2 "u antid"ctrineF prpare le m"nde p"ur le prcipiter dans uneanarc!ie universelle% D"ncF la l"i dquili)re n"us sauvera et a d* c"mmenc un #randm"uvement de racti"ns% A la pa#e .

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    Luesti"n 1 Sans dc"nsidrer v"s rec"mmandati"nsF n"us cr""nsque le Spiritisme nest pas dun #rand intrt p"ur la science acadmiqueFparce que la mdiumnit est un p!n"m=ne e(clusi+ du m"nde "cculte%

    Ramatis - 3ien que le phnom%ne soit une manifestation intrins%que du monde

    spirituel invisible, il se manifeste parmi les hommes en accord avec la sensibilit, la culture, lemoral, la capacit nerveuse et la dpendance du compromis assum par les mdiums avant dese rincarner. ependant, sa technique en relation avec les )vivants et les )morts& pourras&amliorer considrablement, ainsi d%s qu&il ' aura une plus grande coopration de la proprescience terrienne, aidant $ liminer les ecroissances morbides et les facteurs nocifs etridicules du fau mdiumnisme. ependant, de nombreu scientifiques et hommes de lettres,depuis l&apparition du Ipiritisme, ont dj$ contribu salutairement $ le librer de nombreusesuperstition et rites indsirables C/E

    -02 N"te du rviseur parmi eu( n"us av"ns qui se dtac!ent Ga)riel DelanneF ErnestB"CCan"F Asa"+F de R"c!asF `illiam 6r""esF Oliver 8"d#esF et l"n d"it distin#uer le

    m"uvement du Spiritisme quant * la manutenti"n des principes ardcistes%(l est certain qu&actuellement, il n&eiste plus les bSchers du Mo'en Age, comme $ la

    priode o> les autorits ecclsiastiques brSlaient les mdiums les considrant comme dessorciers manipuls par le "iable < mais malheureusement, les flammes du sarcasme, de la

    jalousie, de l&irrespect et de l&injure restent encore allumes T "ans une etrme, lesscientifiques enorgueillis par leurs vieilles pudeurs acadmiques attaquent les mdiums etclament contre le danger d&une ps'chose spiritique collective < d&un autre cot le sacerdoceorganis les ecommunie de ses pupitres, les injuriant devant la propre image de :sus, qui at un dfenseur de l&amour inconditionnel T

    Mais personne ne pourra retenir la marche volutive du Ipiritisme, car les bonsmdiums dominent les mmes phnom%nes qu&antiquement ealtaient les proph%tes, lesoracles, les p'thonisses, les astrologues, les sib'lles et les mages. Kr@ce $ l&esprit sens,laborieu et intelligent d&Alan ;ardec, les relations mdiumniques entre les incarns et lesdsincarns s&effectuent dj$ dbarrasses des complications, des verbiages et des pertes detemps, qui taient essentielles $ la vieille magie.

    L&on peut ajouter, que l&homme du XX si%cle, vit chaque fois plus dsespr etincrdule du possible bonheur dans le monde matriel, dont les difficults et les malheursaugmentent de jour en jour, rempli par l&angoisse et par la terreur de la guerre atomique T Lesstatistiques terriennes prouvent l&augmentation constante de personnes nvrotiques et

    dsquilibres, malgr l&avance spectaculaire de la science moderne, lan4ant des satellites etdes fuses interplantaires, et du progr%s technique de la Mdecine, capable de transplanter unrein et d&autres organes, les changeant d&un organisme pour un autre.

    Le terrien ne cache plus son dcouragement, quant $ une meilleure chance sur lacroSte terrestre de son monde ph'sique. (l sent qu&il lui manque un r'thme rconfortant ettranquille qui peut uniquement tre proportionn par la pai spirituelle durable, ce qu&iln&atteindra jamais par la science acadmique ou par les religions encore sous la commanded&autres hommes, aussi malheureu et incrdules de ce qu&ils prchent en public. &est laraison pour laquelle, dans le si%cle dans lequel vous vous trouve*, est rellement un climatlectif pour la divulgation et la rceptivit d&une doctrine si sdative et rconfortante que le

    Ipiritisme, qui oriente la pratique d&un mdiumnisme simple, sans rites ehaustifs oupratiques m'strieuses. CFE

    H

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    ->2 N"te du Rviseur RellementF t"ut en c"nsultant la Ma#ie 'ratique de 'appusF duc!apitre II usquau c!apitre 7IIF et la c"nclusi"n +inaleF n"us vri+i"ns que le matre critl"n#uement sur les mt!"desF ritesF ")ets et all#ati"ns ca)alistiquesF p"ur ensuiteF atteindre unc"ntact insu++isant avec lInvisi)le% Dans l"uvra#e r+r s"nt numrsF des pesF des stletsFdes )Vt"nsF des tassesF des encresF des )rleur d!er)esF des )"u#iesF du sel de lencre ma#iqueFde la craieF des r"uleau( de +icellesF des pantal"nsF des c!aussuresF des c!aussettes et un ta)lier)lancF t"ut ceci acc"mpa#n de +"rmules c!imiquesF de talismans avec des sm)"lesastr"l"#iques et des !ir"#lp!es mstrieu( en de!"rs des tendues citati"ns en #rec et en latin%Apr=s le )ain puri+icateur * )ase dessences aant re,u le sacrementF des p"stures dramatiques* lintrieur dun cercle de c"rde "u de craieF des c"ups dpes t"urn"ant dans lair s"us lc!"de p!rases ca)alistiques et de mantras de vi)rati"n ma#iqueF al"rs se dessineF certaines +"isFdans la pn"m)re du rec"in c"nsacrF quelque +"rme !"rripilanteF mena,ante "u mme tristeFque 'appusF ensuite prsente dans ses "uvra#es s"us la +"rme de sv=res et #raves r+le(i"ns%

    N"us nav"ns pas le dr"it de c"ndamner ces )rillants ma#iciens du passF quirec"urraient enc"re * des +umi#ati"nsF au )rla#e des !er)es ar"matiques et au( rt!mes+ati#ants s"us les in+luences astr"l"#iques +av"ra)lesF a+in d")tenir une pince dect"plasmee(sude du pr"pre c"rps t!rique de la Nature% Sans aucun d"uteF * cette p"que l*F ils ne

    p"uvaient pas prv"ir le succ=s du mdium de p!n"m=nes p!siques qui au si=cle peut+"urnir de lect"plasme de sa pr"pre intimit t!riqueF et pr"duire ainsi les p!n"m=nes dematrialisati"nsF de v"i( directeF de transp"rtF de lvitati"ns "u dinterventi"ns c!irur#icaless"us la c"mmande desprits dsincarns% Et ce qui est le plus imp"rtant est quactuellementF il nese mani+estent plus dentits lu#u)resF mena,antes "u indsira)lesF mais que les !"mmes aussientrent en c"ntact avec leurs +amiliers disparus et avec les entits de(cellente p"rte spirituelleFd"nt les +ul#urati"ns et les lumi=res sidrales pr"uvent leur "ri#ine leve%

    Luesti"n 1 Ob eurent lieu les premi=res mani+estati"ns de lamdiumnit et quel a t le peuple qui premi=rement les a rvles * n"tre

    m"nde JRamatis - Les civilisations comme celles de l&Atlantide, de La Lmurie, de lahine, du peuple hbraVque, de l&9g'pte, de la erse, de la halde, de arthage, d&Ass'rie,de Kr%ce, de 3ab'lone, de l&(nde, de Kermanie ou de l&Arabie, certifient par leur histoire,leurs lgendes, que les phnom%nes mdiumniques surgirent de tous les recoins de l&orbeterrestre, presque en mme temps et sans privil%ges spciau.

    9lles se manifest%rent dans tous les regroupements humains. La phnomnologiemdiumnique a t mise en vidence jusqu&au objets et dans les desseins guerriers des

    peuples primitifs, les a'ant influencs srieusement, bien que leur ralit soit voile par les'mbolisme des traditions lgendaires.

    Les scandinaves, principalement les )viYings&, narrent leurs rencontres avec les dieu,les sorci%res, les sir%nes et les entits fascinatrices, qui surgirent des brumes m'strieuses, les

    poursuivant durant les nuits de pleine lune. "ans la propre musique de ce peuple transpara#t larecherche occulte ou l&epectative fantastique dont des mlodies surgirent des choses hors ducommun et surprenantes $ la vie de l&homme ph'sique.

    Les histoires et les lgendes musicales de Wagner dans leurs pi%ces s'mphoniques ouopras magistrau confirment l&esprit de religiosit et la cro'ance au monde ferique de la

    part des peuples germaniques et anglo-saons. (ls rendaient leur hommage au dieu, augnies au esprits surnaturels, et les considraient les habitants d&un monde trange tr%sdiffrent de celui habit par les hommes CHE

    G

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    -92 N"te du rviseur RellementF les t!=mes +"ndamentau( des "pras de `a#ner s"ntt"us )ass sur des vnements surnaturelsF p"rtant au pr"+"nd sm)"lisme initiatique "ureli#ieu( * le(istence dun m"nde spirituel% 8a cavalcade des `alries par e(empleF c"ntel!ist"ire des dieu( qui recueillirent les #uerriers #ermaniques dans les c!amps de )atailles et

    ensuite les emp"rt=rent au `al!allaF "u s"it le r"aume de la #l"ire Dans Sie#+riedF le !r"s c!erc!e la vritF vainc le dra#"nF sm)"le de la naturein+rieure de l!"mme et plus tard dtruit MineF pers"nna#e c"nnu dans le rle initiatiquec"mme le c"rps dense "u la mati=re illus"ire% 8e t!=me dans sa pr"+"ndeur avertit que le p"uv"irde lesprit peut uniquement tre ")tenu apr=s quil ait d"min la c!airF "u linstinct animal%Dans le 6rpuscule des Dieu(F `a#ner traite dun suet pr"+"ndment anal"#ue * lap"calpseFde 3ean lEvan#listeF rappelant le(pectative de la slecti"n de l$umanit * l!eure cr"issantede la Qin des Temps% Tann!userF rac"nte l!ist"ire de lVme impar+aite incarne par le !r"sprincipal de l?uvreF al"rs quElisa)et! l!r"ne de la pi=ceF sm)"lise lVme pure F interdite dese lier * lam"ur impur !umain et macul par les sti#mates des passi"ns du m"nde matriel%Mais cest 8"!en#rin F un des plus )elles c"mp"siti"ns a#nriennesF l?uvre musicale de la plus#rande e(pressi"n initiatiqueF d"nt le rsumF d* au prlude du premier acteF rv=le le messa#e

    de lascensi"n spirituelle de ltre * dautres m"ndes suprieurs%8"!en#rinF le ma#ni+ique c!evalierF sur#it #lissant * la super+icie du lac tranquilleFc"nduit par le maestueu( c#ne )lancF dcid * sauver ElsaF victime de TelmarundF le sm)"ledu mal% 6ependantF le c#ne )lanc est immacul et reprsente un des sm)"les les plus lecti+s delinitiati"n spirituelleF l"iseau qui d"mine les divers lments de la vie p!siqueF car il na#emaestueusement sur leau "u su)mer#e s"n l"n# c"u p"ur e(pl"rer le lit de la rivi=re il vitaussi * la super+icie s"lide "u v"le avec scurit% Il d"mine la terreF leau et lairF sm)"lisant lepr"pre espritF qui ensuite se dp"uille des illusi"ns de la mati=re p"ur vivre uniquement dans ler"aume de la Gl"ire 8e traditi"nnel c!ant du c#ne sm)"lise enc"re lantique initiati"nF le

    urement du disciple se d#a#eantF en d+initi+ des trs"rsF des #l"ri"lesF des p"uv"irsF despassi"ns p!siques% 6ela si#ni+ieF en+inF la m"rt sm)"lique de l!"mme animal et la renaissance

    u)ilat"ire de l!"mme spirituel%

    9ntre autre, le 3rsil est riche de lgendes et d&histoires, dont l&origine se doitprobablement $ la facult mdiumnique suffisamment dveloppe che* les brsiliens, qui engnral sont prodigieusement intuitifs d%s le berceau. 3ien avant la codification spirite, less'lvicoles des plages amricaines pratiquaient dj$ divers rites qui les engageaient $ l)interchange mdiumnique avec le monde invisible, les mettant ainsi, en contact avec lescompagnons de tribu, dj$ dsincarns. (ls eer4aient aussi la mdiumnit curative, tout en

    prescrivant des plantes slectionnes, pour conjurer les mauvais esprits par le procdmagique des eorcismes collectifs. (ls prvo'aient les variations du temps, l&poque favorable

    pour la meilleure plantation et rcolte < ils auscultaient les signau du monde occulte et

    pressentaient les lieu pidmiques ou impropres $ leur eistence.Les pajs *les plus epriments prononcent la mort des caciques, la naissance des

    bons guerriers ou la marche belliqueuse des tribus adverses, avertissant, avec succ%s sur lersultat des tueries sanglantes.

    Les lgendes brsiliennes sont fertiles de phnom%nes mdiumniques. Iur la sc%ne desbois illumins par la Lune surgit le boitat * lan4ant du feu par les narines < dans lescroisement des chemins obscurs appara#t le fantastique saci-perep*, sautant uniquement surune seule jambe et projetant des lueurs de ses 'eu embrass < dans les prairies sans fin ,)Mula sem cabea* Cla Mule sans tteE court follement, ou dans la pnombre des aurores

    venteu, les plus incrdules disent entendre les gmissements tristes du Negrinho doPastoreio*C3erger etit PoirE.

    J

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    3ien que ce soit des histoires modeles par la lgende et la fantaisie, dans l&intime deces narrations folYloriques, domine le phnom%ne mdiumnique incontournable certifiant lavie immortelle.

    * Nous renvoons ! un le"i#ue en $in douvrage sur tous les mots spci$i#ues ! la langueportugaise et tupi guarani concernant des termes #ui leurs sont propres% Ne"istant pas

    d#uivalent en traduction& nous garderons le terme mme dans la langue dorigine apportant

    cependant la d$inition e"acte et dtaille%

    Luesti"n 1 8a pratique de linter c!an#e mdiumnique ne p"urrait1elle pas aussi tre vul#arise par dautres m"uvement spiritualistesF au lieudtre c"nsidre c"mme e(clusive au Spiritisme J

    Ramatis - Nue ce soit les mdiums Yardcistes de table, durant lescommunications, copiant les notables tribuns , eposant en langage culte et clarifiant la

    pense des dsincarns < que ce soit les cavalos* de l&'mbanda*, prenant soins desenfants du terreiro* , leurs transmettant les conseils des pais*en langage simple ou $rebours < que ce soit les sotristes dans leurs )sessions blanches& qui se disent inspirs par des

    prches doctrinaires < et les thosophistes qui confient uniquement $ leurs ma#trestraditionnels ou les disciples initiatiques qui attendent leurs )ma#tre& $ l&heure de leur maturitspirituelle, tout ceci, sont des phnom%nes mdiumniques& , alors que varie leurenvironnement et soit diffrent le mouvement de chaque ensemble religieu ou spiritualiste.

    * Nous renvoons ! un le"i#ue en $in douvrage sur tous les mots spci$i#ues ! la langue

    portugaise et tupi guarani concernant des termes #ui leurs sont propres% Ne"istant pas

    d#uivalent en traduction& nous garderons le terme mme dans la langue dorigine apportant

    cependant la d$inition e"acte et dtaille% (oir le le"i#ue des mots brsiliens page )+%

    Mais c&est la Ipiritualit et non pas l&homme terrien qui a attribu au Ipiritisme lavigilance et le contrUle de la manifestation mdiumnique sur erre, en dehors de ladivulgation de ses postulats d&claircissement de la vie immortelle et de rnovation morale del&homme. La codification spirite est la responsable de la pratique mdiumnique la plus saineet la plus sense parmi les )morts& et les )vivants&, rpondant $ la promesse de :sus, lorsqu&ilavertit qu&il enverrait le )onsolateur& pour se rpandre par la chair des hommes , desfemmes, des enfants.

    "%s lors que le Ipiritisme n&est pas une initiative destine eclusivement $ la

    spculation philosophique )etra terrienne&, mais doit *ler pour l&eercice efficace et sensde la mdiumnit parmi les hommes, alors, rellement, il lui revient de vulgariser l&inter-change avec les )morts& pour un meilleur claircissement des )vivants&. Le mdium diff%re dutraditionnel adepte affili au temples initiatiques, parce qu&il doit affronter ses preuves ettentations $ la lumi%re du jour, parmi ses activits et ses vicissitudes quotidiennes. Le disciplede l&initiation occulte doit prouver ses vertus et volont $ travers des s'mboles et des relations

    provoqus par les )tests& initiatiques. Le mdium cependant, affronte les plus dures preuvesdans la convivialit avec la famille, dans l&environnement du travail, dans ses relationsquotidiennes, dans les obligations sociales et par les dficiences de sant.

    onformment $ ce que nous avons dit, le Ipiritisme a t inspir par le propre Ma#tre

    :sus pour clairer les hommes R lui revenant de rpondre au cerveau les plus cultes,jusqu&au plus pauvre d&entendement intellectuel. Ainsi, comme le "ivin Ami, descendit sur

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    erre pour rpondre $ )tous& les hommes, le Ipiritisme aussi assume la responsabilit critiquede rpondre $ toute l&humanit, sans aucune eception de secte religieuse, de caste sociale oude privil%ge et de culture.

    Luesti"n 1 Luelques critiques a++irment que la p!n"mn"l"#iemdiumnique s"us les auspices du Spiritisme rp"nd uniquement * un sensspectaculaireF al"rs que les p!n"m=nes du m"nde "cculte impressi"nnentles sens p!siques de l!"mmeF mais en aucune +a,"n ils rveillent sa naturean#lique% Lue p"uveC1v"us dire J

    Ramatis - Pous n&opposons aucun doute que la phnomnologie mdiumnique,considre eclusivement comme un spectacle hors du commun au sens humains n&est passuffisante pour modifier le raisonnement de l&homme non repenti. 9n vrit les phnom%nesmdiumniques peuvent convaincre l&homme de son immortalit, sans cependant le convaincred&une vie morale suprieure prche par les plus indiques instructeurs du ro'aume anglique.:ustement pour cela, l&9vangile est la base ou le ciment indestructible de la codificationspirite, parce que l&homme en dehors de se reconna#tre immortel, doit aussi s&angliser $travers le message du hrist. Nue vaut la conviction salutaire de son immortalit, s&il ne se

    prpare pas pour bnficier du bonheur spirituel apr%s la mort ph'sique Z

    3ien videmment le Ipiritisme n&est pas le coupable, parce que beaucoup de sesadeptes ne suivent pas les principes de libration spirituelle et de rnovation morale prfrant$ peine bnficier des phnom%nes qui touchent les sens ph'siques. 9ntre autre, :sus,solutionna tr%s bien ce sujet lorsque rpondant $ la plainte de ierre contre la multitudeingrate, il dit catgoriquement R )Nue t&importe, ierre, s&ils ne me suivent pas Z 9st-ce que tu

    me suis Z&

    Luesti"n 1 N"us entend"ns aussi quelques adversaires de la d"ctrine

    spirite all#uant que la #nralisati"n de la pratique mdiumniquesensi)ilise prmaturment l!"mme le mettant en relati"n et en c"ntactdsavanta#eu( avec lastral in+rieurF al"rs quil na pas enc"re rvl desm"ens de d+ense psc!ique c"ntre lassaut dan#ereu( des esprits perverset msti+icateurs% Lue p"urrieC1v"us dire J

    Ramatis - Pe vous parait-il pas trange qu&aucune crature ait besoin dedvelopper sa mdiumnit, pour ensuite se lier au monde occulte infrieure T Les hUpitau

    ps'chiatriques sont remplis d&individus loigns de toutes les religions et conditionshumaines, qui en aucune fa4on eerc%rent leur mdiumnit ou particip%rent $ quelquemouvement spirite. (ls se ruin%rent par un caract%re moral dficient, par la faiblesse spirituelleou par un dbit carmique du pass, et non pas par quelque )eercice&.

    Nuelque statistique , dans votre pa's, est suffisant pour vous certifier que les hospices,les hUpitau ps'chiatriques et les autres institutions de patients $ troubles mentau , sontremplis de cratures de tous les @ges, de toutes les religions, de toute culture, de toutesdoctrines et de toute nationalit . 3ien que les scientifiques et les adversaires religieuassaillent encore le Ipiritisme de fabrique de fous, ils resteraient surpris en vrifiant que lesspirites, en vrit, constituent le plus petit nombre de locataires dans les tablissements de

    personnes dites folles.

    ?

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    Le contact dangereu avec les esprits infrieurs n&est pas le fruit eclusif de lafrquence au travau de la )table Yardciste&, ou des terreiros de l&8mbanda, mais dpend

    pour beaucoup de la nature des penses et des motions des hommes. La corruption morale, levice dgradant, la passion infrieure, la lascivit morale ou verbale, sont des attitudes

    dfavorables et sensibilisent mdiumniquement n&importe quelle personne pour la lier auentits des ombres. Alors que !aspoutine, sans frquenter quelque travail de dveloppementmdiumnique, se mettait en contact direct avec les esprits diaboliques, ran4ois d&Assises,agissait dans une autre tranche vibratoire, et pouvait communiquer avec :sus T

    Pous ne vo'ons pas de motif de censures, parce que le Ipiritisme recherche, tudie,contrUle et divulgue le phnom%ne mdiumnique et les relations avec les dsincarns, alorsque ceci constitue rellement la base pratique de ses principes doctrinaires en conneion avecles enseignements de la Loi du arma et de la !incarnation. I&agissant d&une doctrine qui nedpend pas des rituels, des compromis religieu ou initiatiques, ni ne signe sa divulgation pardes ingrdients de magie terrienne, mais bien dans l&lvation morale de la vie pratique, le

    Ipiritisme est rellement le plus crdible mouvement spiritualiste pour populariser lesphnom%nes de contacts avec l&Au-"el$. (l ne doit pas tre rendu responsable pour lesincongruits, les diatribes, les stupidits, les lg%rets ou les intrts mercenaires des mdiumssans scrupules, ignorants ou charlatans qui en eplorent la voi spirituelle.

    "ans l&ouvrage antrieur CGE, nous avons dj$ dit que la mdiumnit d&preuve est uneopportunit, une esp%ce d&)aval& concd par la Ipiritualit $ l&homme etrmementcompromis dans ses eistences antrieures. Mais il est de son devoir d&accomplir l&objectifmdiumnique de fa4on honnte, sublime et caritatif, lui revenant la responsabilit morale dansla bonne ou mauvaise application des biens apports par la magnanimit de ses guides. e quiest certain, c&est que de )l&autre cUt&, nous ne possdons toujours pas de police spcialiseavec le devoir d&assainir le service des mdiums dans le champ spirite. Pous devons nous

    plier $ la propre volont du rateur. Lorsque est respect le libre arbitre de ses enfants, alorsla Loi les discipline pour leur propre bien.

    -;2 N"te du Mdium 7"ir le c!apitre n" : 6"nsidrati"ns sur la mdiumnit naturelleet dpreuve de l"uvra#e Mdiumnisme de Ramatis%

    (l serait vraiment absurde au adeptes de condamner le Ipiritisme, uniquement parceque se manifest%rent $ leur cot des mdiums et des adeptes sans scrupule, tout commed&ecrer la Mdecine, en face de mdecins sacripants qui eplorent la douleur en guised&affaires lucratives, ou alors d&accuser l&9glise catholique en raison de l&eistence dereligieu vnau.

    Luesti"n 1 Entre autreF v"us aveC a++irm que la )i)le a enre#istrF il a des millnairesF des +aits mdiumniques c!eC les !"mmes% '"urrieC1v"usn"us citer quelques e(emples e(plicati+s de cette a++irmati"nF a+in que n"uspuissi"ns ampli+ier n"tre c"nnaissance * pr"p"s de ce suetF aussi imp"rtantp"ur n"s tudes J

    Ramatis - 3ien que les vnements mdiumniques dcrits dans la 3ible soient

    voils par le s'mbolisme ou par la posie religieuse, en vrit, ce sont des phnom%nesmdiumniques aussi spcifiques et positifs que ceu d&Allan ;ardec et d&autres auteurs

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    spirites qui sont numrs dans les tudes. 9n face de l&eiguVt d&espace que nous disposonspour cet ouvrage, nous citerons quelques uns des principau phnom%nes mdiumniquesinclus dans l&Ancien estament et dans le Pouveau estament, qui prouvent la manifestationde la mdiumnit $ cette poque, ecluant la doctrine spirite de l&avoir invente $ des finsdoctrinaires.

    Le phnom%ne mdiumnique de )matrialisation& et de voi directe, par eemple estindiscutablement enregistr dans Iamuel, chapitre , versets 11 $ 1H, lorsque Iamuel $ laveille d&affronter une difficile bataille sous son commandement, rsolut de consulter unecl%bre p'thonisse de l&poque, afin d&entendre l&@me de Iamuel, puissant commandant desforces armes d&(sra[l, dj$ mort et enterr $ !amatha, sa patrie. 5oici comment la 3iblerelate les faits R Alorsla femme lui demanda : Qui dois-je faire revenir pour toi ? Fais-moirevenir Samuel, dit-il.Quand la femme vit Samuel, elle poussa un grand cri, puis, sadressant! Sa"l, elle dit : #our$uoi mas tu tromp%e ? &u es Sa"l '(aie pas peur, lui dit le roi. )is-moi

    plut*t ce $ue tu as vu. +e vois un tre surnaturel $ui monte des profondeurs de la terre, lui

    r%pondit-elle.Quel est son aspect ? lui demanda Sa"l. est un vieillard $ui revient, drap%

    dans un manteau. Alors Sa"l comprit $ue c%tait Samuel et il sinclina, la face contre terre, etse prosterna.#our$uoi troubles-tu mon repos ? lui demanda Samuel. #our$uoi mas-tu faitrevenir ?

    -:2 N"te du mdium 7"eC le c!apitre A palavra d" m"rt"F -8a par"le du m"rt2 dulivre 8aCar" rediviv"F -8aCare ressuscit2 dict par lesprit Qr=re * 6!ic" (avier% Editi"n Qe)%-N"n traduit2

    he* :ob, chapitre F, versets 1/, 1F,1H et 1G, le proph%te dit R Au moment o lesvisions de la nuit agitent la pens%e, Quand les /ommes sont livr%s ! un profond sommeil. +e

    fus saisi de fra0eur et d%pouvante, 1t tous mes os trembl2rent. 3n esprit passa pr2s de

    moi.... &ous mes c/eveu4 se /%riss2rent....5 3ne figure dun aspect inconnu %tait devant mes

    0eu4, 1t jentendis une voi4 $ui murmurait doucement. "ans les deu cas, est parfaitementprouv la matrialisation des esprits et le phnom%ne de )voi directe& qui est confirme dansla phrase suivante R \. jentendis une voi4 $ui murmurait doucement

    "ans le Iecond Livre des Morts, chapitre G, verset H $ J, le proph%te 9lise produisitle phnom%ne de lvitation, tr%s connu dans les sessions spirites de phnom%nes ph'siques,conformment au rcit suivant R #endant $ue lun deu4 abattait son arbre, le fer de sa /ac/etomba dans leau. 6l s%cria: A/, mon ma7tre ' Quel mal/eur ' %tait une /ac/e emprunt%e'

    8/omme de )ieu lui demanda : 9 est tomb% le fer ? 8/omme lui indi$ua lendroit. Alors

    1lis%e tailla un morceau de bois et le lana au mme endroit. Aussit*t, le fer revint ! lasurface, et le prop/2te dit : ;am2ne-le ! toi ' 8autre neut $u! tendre la main pour le

    reprendre.(l n&' a aucun doute sur le fait, car un tel cas de )lvitation& se certifie de fa4onspectaculaire lorsque le fer de la hache mergea $ la superficie de la rivi%re $ la lumi%re du

    jour.

    Le phnom%ne de matrialisation, se confirme encore, une autre fois dans la narrationsuivante de Luc, chapitre 1, verset 11 lorsqu&il dit < &out ! coup, un ange du Seigneur luiapparut, debout ! droite de lautel des parfums. omme le narrent aussi les apUtres, dansd&autres etraits bibliques, lorsqu&un ange se matrialisa $ Marie, l&avisant qu&elle serait lam%re du Ieigneur.

    La mdiumnit de )transport ) est parfaitement implicite dans les rcits d&9*chiel, leproph%te Cchapitre /, verset 1FE, lorsqu&il s&eprime R Alors l1sprit me souleva de terre et

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    memporta. +e partis, le coeur plein damertume et dindignation, tandis $ue la main de

    l1ternel agissait sur moi avec force."e la mme fa4on, hilippe, Actes , verset /? $ F6, ilest ainsi epliqu R )Quand ils sortirent de leau, l1sprit du Seigneur enleva #/ilippe, et ledignitaire ne le vit plus. elui-ci poursuivit sa route, le coeur rempli de joie. #/ilippe se

    retrouva ! Asdod, do il se rendit ! %sar%e en annonant la )ieu est avec nous @. 6l se nourrira

    de lait ferment% et de miel $uand il saura rejeter ce $ui est mauvais et c/oisir ce $ui estbon.(saVe prophtisa la naissance de :sus d&une vierge, c=est-$-dire le premier fils con4ud&une vierge, ne pouvant tre que celui gnr dans la premi%re union conjugale. Le Ma#tre,cependant, naquit d&une vierge, mais sans dmentir les lois ph'siques immuables du rateur,ou sans violenter le procd gnsique particulier du monde dans lequel vous vive*. Laclairvo'ance d&(saVe se confirme aussi lorsqu&il indique que :sus serait aliment de beurre etde miel, c=est-$-dire qu&il serait vgtarien, prfrant le miel comme un de ses aliments

    prfrs.+

    NT & N"us c"nseill"ns p"ur de plus amples dtails la )i"#rap!ie mdiumnique de 3susle su)lime p=lerin de Ramatis% 7"us tr"uvereC les t!=mes a)"rdant la prparati"n de sa

    naissanceF sa descenteF s"n en+anceF s"n alimentati"n etc% Ouvra#e traduit et disp"ni)le *ladresse suivante !ttpsHH%+ace)""%c"mHpr"+ile%p!pJidK.9>:9:0/0

    "ans la 3ible il est possible cde se certifier de fa4on indiscutable du juste mcanismeet de l&quit de la loi du carma et les procds de !incarnation, qui actuellement s&ajustecomme enseignements spiritiques, tant suffisant d&eaminer la partie en rfrence $ la venuedu proph%te et de jean 3atiste, lorsqu&il dit ainsi R CMathieu, chapitre 11, versets 11 $ 1/E 1neffet, jus$u! +ean, tous les prop/2tes et la 8oi lont prop/%tis%. 1t, si vous vouleB le croire,

    cest lui, cet 1lie $ui devait venir. 9t dans Mathieu, chapitre 1J, versets 11 $ 1/E 6l leurr%pondit : 1ffectivement, 1lie doit venir remettre toutes c/oses en ordre. 9r, je vous le

    d%clare : 1lie est d%j! venu, mais ils ne lont pas reconnu. Au contraire, ils lont trait% comme

    ils ont voulu. 1t cest le mme traitement $ue va subir de leur part le Fils de l/omme. 8esdisciples comprirent alors $uil parlait de +ean-

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    le rachat de cette dette carmique, car lorsqu&il revint sur erre, sous la figure du proph%te :eanbaptiste, il fut aussi dcapit dans le ro'aume d&0rode $ la demande de Ialom.

    I&accomplira ainsi la loi du carma dans son implacable justice rdemptrice, d%s lorsqu&9lie, a'ant fait dcapiter autrefois, apr%s avoir rincarn comme :ean 3aptiste, souffrit une

    preuve carmique identique sous la loi de )Nui combat par l&pe , prit par l&pe&, malgrqu&il ait t le prcurseur du propre Messie CE.

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    II

    Luelques ")servati"nssur les mdiums -.2

    -.2 N"te du Mdium En +ace de ln"rme quantit de cartes qui n"us s"nt diri#esF d"ntles missives s"llicitent que n"tre mdiumnit s"it aussi e(plique dans le c!amp de l"rd"nnancemdiumniqueF n"us n"us sent"ns le dev"ir de s"lliciter * RamatisF ses c"nsidrati"ns sur le suetFqui se prsente dans le prsent c!apitre% Luelques in+"rmati"ns "nt d* t d"nnes dans des"uvra#es antrieurs mais maintenant il a)"rde dautres aspects% Entre autreF n"usrec"mmand"ns au lecteur le(amen du c!apitre .. du livre MdiumnismeF "u Ramatisa)"rde le tpe de n"tre mdiumnit et aide les mdiums intuiti+s et inspirs p"ur ")tenir plus de

    russite et de scurit dans len#a#ement de leur service mdiumnique%

    Luesti"n 1 6"nsidrant la vivacitF la rapidit et la scurit de v"tremdium actuelF qui aussi rp"nd au( mme c"nditi"ns c"ncernantl"rd"nnance mdiumniqueF et aant d* russi * s"i#ner de tr=s #ravesmaladies dans ce travail t!rapeutiqueF n"us v"us demand"ns samdiumnit est1elle * peine intuitive J

    Ramatis - omme nous vous l&avons dj$ epliqu dans un ouvrage antrieur,notre sensitif a pleine conscience des ides que nous lui transmettons < en vertu, en parfaite et

    rciproque s'ntonie ou affinit parmi nous, il redirige nos messages et l&ordonnancemdiumnique avec vlocit et fidlit, pouvant mme interrompre la communication durantquelques moments pour rpondre $ d&autres services ou obligations profanes, et ensuiterevenir $ la ps'chographie, sans que ceci affecte les rsultats de son travail mdiumnique."onc, ce qu&il prescrit est presque toujours la mdication homopathique de sa connaissance,car tant mdium intuitif, mais conscient, il ne peut pas indiquer des rem%des qu&il ne conna#t

    pas. 9t les thrapeutes dsincarns l&accompagnant, lui communiquent, naturellement lesrem%des dont les noms sont gards en mmoire ou indiqus dans son esprit. CE

    -@2 N"te du mdium rellementF durant l"rd"nnance mdiumniqueF me++leure de+a,"n indiscuta)le le n"m de la mdicati"n c!"isie par les mdecins !"m"pat!es dsincarnsFqui "p=rent avec m"i cependantF il sa#it dune mdicati"n c!"isie par les mdecins!"m"pat!es dsincarnsF qui "p=rent avec m"i car il sa#it de mdicati"n que e c"nnais% Amesure que ampli+ie m"n arsenal de mdicaments !"m"pat!iquesF e vri+ie que cr"t lesucc=s de mes "rd"nnances mdiumniques%

    A travers le contact prispirituel, quelques fois, nous supervisons sa rceptivitmentale, faisant qu&il fonctionne comme un rcepteur et nous comme un transmetteurtlpathique. 3ien que le phnom%ne survienne entre un esprit dsincarn et un autre incarn,son efficacit est gale $ celle obtenue parmi vous, par deu eperts tlpathes.

    ependant, la mdiumnit de plus grande amplitude che* le sensitif est la)transmentation& dnomination heureuse et connue d&un crivain spirite encore incarn C/E.

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    -02 N"te du mdium Ed#ard Arm"ndF dans le c!apitre Transmentati"nF pa#e 9< dulivre MdiumnitF / diti"n 8ae -n"n traduit en +ran,ais2 d"nt n"us transcriv"ns ci1dess"usles caractristiques%

    1. (l n&' a pas de transmission tlpathique, comme il survient dans les formes de

    conscience et semi consciences dj$ tudies

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    Ramatis - Potre sensitif, apr%s de constantes mditations, durant quelques annes,subordonna sa facult mdiumnique de ps'chographe $ un caract%re panoramique,impersonnel et didactique, se dsintressant de s&enrUler dans les mandres de configurationindividuelle ou par la curiosit si prononce des terricoles. Ion travail a pour finalitessentielle de capter les messages spirituels d&intrt pour l&0umanit ou soit d&amplifier le

    champ idologique de tous les hommes, dans le sens de les intresser dans les probl%mes dela vie de l&esprit immortel.

    Potre mdium est un sensitif d&intuition consciente < cependant, il ne peut s&eprimerou crire dans la mme graphie que les )morts& adoptaient lorsqu&ils vivaient dans la mati%re.ependant, sa mdiumnit nous le rptons, lui permet de capter toute la substance des idesque nous projetons dans la toile de son esprit < cependant, comme la singularit de nosrvlations ou les probl%mes contredisent certaines prmisses de votre science et contrarientquelques dogmes sculiers de sectarisme religieu, il est tr%s sens $ son attitude de soumettrenos communiqus $ une rvision de coordination logique et de maimale clart d&epositionfaite par d&autrui qui aussi dispose de certaine rceptivit $ nos inductions et, en dehors decela, eprime notre intuition fraternelle de faire que le lecteur , en considrant les aspects denos tudes, ne se limite pas $ )l&avantage&, d&avoir pris connaissance de nos rvlations, maisapprenne et sente que l&objectif essentiel des mmes est de rveiller leur conscience de fa4onque devant la lumi%re de nouveau hori*ons, leur esprit se purifie en sentiments et en vertusqui les int%grent chaque fois plus, dans le chemin de l&9vangile de :sus T

    9ntre autre, tout mdium doit ausculter et soumettre $ un certain contrUle les )produits&de sa mdiumnit. Mme aussi parce qu&aucun sensitif mdiumnique est absolumentimmunis d&tre m'stifi de )l&autre cot& car il eiste aussi des )prestidigitateurs& de

    phnom%nes ps'chiques et d&habiles sophistes de paroles dites et crites, capables

    d&illusionner le mdium de bonne foi et de le conduire $ certaines quivoques.Pous ne contestons pas que notre mdium aussi encourre des dficiences. Nuelques

    fois aussi, il se juge auteur d&ides et des penses qu&il enregistre sur le papier, incrdule, ainsid&tre inspirs par nous. "ans d&autres cas, il se croit un plagiste pour associer des sujetsd&7uvres trang%res qu&il a dj$ lus < et lorsque ceci survient, en se rappelant ou )il vit et lut&ce que nous lui avons dict, il se sent afflig. (l ignore, cependant, que nous-mmes lesdsincarns, nous ne crons rien de nouveau dans le osmos. Pous donnons $ peine cours auconceptions et connaissances de nos anctres, revtant leurs ides avec le vtement del&poque actuelle. Pous sommes quelques fois, une sorte de lentille amplificatrice d&ides decelles qui nous prcd%rent, telles quelles, $ leur tour, ont eu leurs prdcesseurs.

    ependant, notre mdium, en eaminant, postrieurement, ce qu&il crit sous notreintuition, vrifie avoir trait de sujets qui lui sont inconnus et avoir epos des conclusions

    jusqu&$ contraires $ son opinion.

    A la ressemblance de la boulette de terre, qui se dveloppe sur le sol sujette $ cro#trenaturellement par effet de sa d'namique gntique, il sait qu&il doit cultiver avec soin et

    prcaution sa facult mdiumnique, alors aussi il russira $ devenir une esp%ce de chnegnreu, dont l&ombre amie bnficiera $ des nombreu vo'ageurs a'ant besoin de repos.

    Ainsi comme le modeste filet d&eau, n et tomb du versant du rou, apr%s avoirparcouru prodigieusement l&tendu sol dessch par o> il passe et contourn les obstacles

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    immenses, il se transforme en intenses courants formant le fleuve Ama*one, le mdium quant$ lui a aussi besoin de transporter et de vaincre les pierres qui surgissent sur le chemin de sonapprentissage et de son perfectionnement mdiumnique. ependant, s&il dsire vaincre plusfacilement les dceptions, les dcouragements, sur son chemin volutif sur la face de la

    plan%te, le talisman merveilleu pour russir cet objectif est d&intgrer son @me et c7ur dans

    le chemin lumineu de l&9vangile de :sus T

    Le mdium qui peut eercer diverses facults en mme temps, constitue un casetrmement rare CFE, car la majorit est constitue de mdiums intuitifs. Ainsi dans le casd&ordonnance, notre sensitif rpond aussi $ des limites, qui ne dpassent pas sa capacitmdiumnique consciente, conjugue au passage thrapeutique qui est de sa connaissance, carn&tant pas un mdium mcanique, somnambulique ou d&incorporation, il ne peut tablird&ordonnances de mdications qui lui sont inconnues, ni faire de diagnostics en profondeur.

    5+6 - Note du Mdium . Nous croons #ue 7hico 8avier& dans lactualit& est le mdium #ui

    sajuste au mieu" ! cette nonciation de 9amatis%

    "ans le cas du mdium mcanique, les esprits thrapeutes, agissent sur le bras dumdium au niveau de son pleus brachial et travaillent le dpla4ant comme si c&tait uneesp%ce de st'lo )vivant&, pouvant alors, tablir l&ordonnance, sans utiliser comme lien , lecerveau humain. Nuant $ notre sensitif, ses succ%s thrapeutiques sont dus plus $ proprementdit $ son entra#nement et $ sa confiance dj$ acquise dans l&inter-change avec nous.ependant, il serait improductif et hsitant dans sa fonction mdiumnique, au cas o> il

    prtendit apporter une solution au probl%mes et sujets particuliers de ses communicants ou desconsultants terricoles.

    Luesti"n 1 D=s l"rs que v"tre mdium est * peine intuiti+ c"nscientFquel est al"rs le secret du succ=s de v"s messa#esF qui retracent un stleF desc"nnaissancesF des c"ncepti"ns )ien au1del* de sa capacit et de sa culture JN"us le c"nnaiss"ns avec ses d+iciences !umaines et n"us c"nnaiss"ns s"nincapacit * discerner et * rdi#er des dissertati"ns * pr"p"s de pr")l=messu++isamment c"mple(esF qui c"mptent d* divers livres d* dits s"usv"tre n"m J

    Ramatis 1 8n tel rsultat est le fruit de discipline, d&tude, de dvouement detravail incessants. "urant le contact prispirituel, sa rceptivit mentale, se s'ntonise $ notre

    frquence vibratoire, et fait que son travail ps'chographique glisse avec fermet. &est enfin,un lien qu n&oppose aucune rsistance. Ia confiance absolue dans les rponses que nous luitransmettons contribue aussi pour la perfection de son travail et du notre. (l crit en accordavec son criture commune et revt notre pense avec le vocabulaire de sa connaissance sanstrahir notre ide.

    Le mdium intuitif est similaire $ une vitre colore, car il donne sa propre couleur $ lalumi%re qu&il transmet, tel que le peintre epert et dvou, notre mdium utilise des )encres&,du monde matriel pour reproduire les cadres que nous projetons dans son esprit prispirituel.9ntre autre, beaucoup de mdiums de bonne porte spirituelle affaiblissent leurs facults parla crainte d&tre m'stifis ou renoncent devant le service, bien avant d&atteindre ladomination compl%te de leur capacit mdiumnique. ependant, le chemin sSr pour lemdium intuitif pour dvelopper cette facult est la persvrance, l&tude et le dsir de vouloir

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    tre utile dans l&9vanglisation de l&0umanit. Attendant le )miracle& de la perfectionmdiumnique, l&obtenant subitement, ceci n&est pas possible, car la monte des degrs del&volution eige des efforts propres.

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    N"uveau( aspectsde sant et des maladies

    -.2 N"te du Ramatis Lue la lectriceF que le lecteur me pard"nneF sur cette di#ressi"nsupplmentaire sur la sant et la maladie F suet d* a)"rd dans n"s "uvra#es antrieurs F maisla $aute Spiritualit rec"mmande * ce que n"us insisti"ns en indiquant au( terric"les quelless"nt les causes m"r)ides "ccultes et resp"nsa)les p"ur sa pr"pre msaventure dans le m"ndep!sique% Il est temps p"ur l!"mme de se certi+ier et de se c"nvaincre que la sant de s"n espritimm"rtel est ce qui r#ule et maintient lquili)re de la sant du c"rps p!sique transit"ire%Entre autre dan