Portfolio Yoann Waucheul

YOANN WAUCHEULPORTFOLIO

Curriculum _ Vitae

YOANN WAUCHEUL20_12_1987 / FR

RUE VAN AA, 91050 BRUXELLES

[email protected]+32 (0) 483 46 87 31+33 (0) 684 85 56 70

_ FORMATION

_ EXPERIENCE

_ COMPETENCES

2012201220092005

Master en Architecture / Facult dArchitecture LaCambre_Horta / BruxellesMmoire de Fin dEtudes / Le street art, remaillage du tissu social & architecturalLicence en Architecture / Institut Suprieur dArchitecture_St Luc / TournaiBaccalaurat Scientifique, spcialit mathmatique, Mention europenne Anglais / Lyce Alfred Kastler / Denain

_ CENTRES DINTERET

2011

200920072006

Langues

Logiciels

Atelier OLIVIER PARENT / Valenciennes laboration dun avant projetralisation de documents graphiques

contrle de chantiers et PV de rception

Travail de dmolition / TournaiRestauration dun chteau mdival / Association RempartGros uvre / Entreprise 3P btisseurs / Escaudain

Francais - Langue maternelleAnglais - Lu, crit, parlAutoCad / Revit / PhotoShop / InDesign / Sketchup / Artlantis / Suite Office

Permis B - 22_06_2006

Musique (Saxophone, Guitare) / Cinma / Dessin / Sport (Natation)

Stage en agence

Stages en entreprise de construction

M2 _ Sans Contexte

Sans contexte, ou comment concen-trer la recherche sur certains aspects ar-chitecturaux en faisant abstraction du site. Le point de dpart tait dimaginer le futur du logement, dans une cinquan-taine dannes. Pour contraintes, nous navions que lemprise au sol et la den-sit qui imposait la tour, et une grande flexibilit dans lutilisation des espaces. Jai ici imagin un nouveau mode de vie, utopique, o llvation des rues dans les airs permettrait de librer le sol, et de vivre en trois dimensions. La circulation verticale centrale de la tour traditionnelle disparait et chaque logement possde une porte donnant sur lextrieur, si bien que chaque passerelle devient une rue arienne, reliant les tours et les espaces. Les excavations des btiments devien-nent des espaces publics, des places, des terrasses de caf, et sont associs des quipements. La troisime dimension per-met de rduire les distances de dplace-ment entre logements, lieux de travail et quipements, que lon peut faire en uti-lisant les passerelles, ainsi que des trans-ports en communs ariens et gratuits.

Les hauteurs des tours et leurs espacements sont calculs pour optimiser lensoleillement et les passerelles sont ainsi places de sorte que chaque logement en possde un accs, tout en conservant le maximum dintimit. Le nombre et la taille des ter-rasses sont imposs par le type dquipement, et leur nombre ncessaire en fonction de la quantit de logements. Les tours ne sont habites qu partir de 10 mtres, et lemprise au sol est minimale, pour le laisser le plus ouvert et le plus libre possible. La terre nest donc ici ddie qu la dtente, aux activits spor-tives et aux rassemblements culturels.

La flexibilit dans lutilisation des espaces sexprime par une temporalit dans le mode de vie. Lexemple travaill est une cole pri-maire dans laquelle la fonction et la taille des espaces varient dans la journe. Une partie des logements se couple avec des classes le jour, et grce des parois coulissantes, le soir, les logements retrouvent leurs entiret tandis que les salles nen forment plus quune grande pour accueillir des cours du soir ou des ateliers divers accessibles aux habitants. Lexcavation asso-cie sert de parc/jardin pour les habitants, et de cours de rcration la journe, pendant les heures de classe. La totalit de lcole se dvel-oppe sur neuf niveaux et deux places/cours de rcrations qui sarticulent au cinquime, en relation avec une salle polyvalente.

Le logement coupl aux salles de classe pendant la journe

salles transformes en une seule grande en soire

BAC 3 _ Place de la Digue _ Charleroi

La premire tape de ce travail sur Charleroi tait un amnagement urbanistique de la place de la digue, jusqualors constitue par un grand lieu de stationnement entour de voies de circulation automobile. Pourtant, ce site constitue un des plus grands espaces libre du centre ville, et joue notamment un rle de charnire entre la ville haute et la ville basse, lendroit o la rue marchande pitonne vient rencontrer une artre priphrique importante. Nous avions pour mission dutiliser trois sites sur cette place en proposant des amnagements visant accueillir des logements sociaux. Dans une dent creuse au Sud et un angle au Nord nous avons propos de refermer les faades par un alignement autant en plan quen lvation par rapport lexistant, pour laisser le plus de neutralit et de potentiel lespace que propose cette place. Lide est de recrer un lot ouvert, aux passages resserrs et hauteurs varies qui rappelleraient le pass mdival de la cit. Chaque dcoupe et inflexion des facades des blocs dcoule de ltude des flux alentours. Les hauteurs et les distances sont dtermines pour minimiser limpact des ombres et les vis--vis entre les faades. Le traitement de sol se veut le plus neutre possible : une pierre claire et unie, avec une faible diffrencia-tion entre la chausse et lespace piton de la place. Seuls quelques bancs et des arbres pars viennent ponctuer lespace. Outre les accs aux logements, le rez-de-chausse des quatre blocs est occup par des commerces. Ce grand espace ouvert se veut ainsi comme la finalit de la balade marchande. Lespace de place ouverte est donc rduit la partie Est, plus en rapport avec lchelle du quartier.

BAC 3 _ Place de la Digue_ Logements collectifs

Suite au projet damnagement urban-istique de la place, il nous fallait travail-ler larchitecture dun des difices. Jai choisi la barre faisant la transition entre la rue ouest, encombre de circula-tion, et lespace plus calme de ce nou-veau coeur dlot, artificiel et ouvert au passage. Lide principale tant videmment danimer cette place, dsormais libre du stationnement automobile, et entoure dlments architecturaux audacieux. Le btiment vient se dcouper et se creuser au fur et mesure des tages, pour dcou-vrir de larges terrasses, ouvertes tous les habitants et accessibles depuis les coursives de distribution. Pour offrir un maximum densoleillement et une vue traversante chaque logement, il est mis en place presque autant de typolo-gies que dappartements, en duplex comme en simplex. Si chaque habitant possde une vue depuis son espace priv, les terrasses sont spacieuses et ouvertes tous, pour tenter de favoriser les rencontres et les changes entre les habitants.

REALISE PAR UN PRODUIT AUTODESK A BUT EDUCATIF

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exemple de T2. R+5. angle Sud.

exemple de T4. R+1. centre.


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MASTERPLAN 1/2000

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EUROPAN 2011SITE/ RIVE GAUCHE DAUVELAIS

ENJEUXtablir des squences horizontales et verticales.Porosit organise entre la berge et la rue.Re-structuration de la vgtation sur le site.Respecter un gabarit et une densit.

GIRAUD NATHALIE & PIAZZA MICKAEL

Densit btie

Continuation vgtal/rive gauche

MASTERPLAN 1/2000

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EUROPAN 2011SITE/ RIVE GAUCHE DAUVELAIS

ENJEUXtablir des squences horizontales et verticales.Porosit organise entre la berge et la rue.Re-structuration de la vgtation sur le site.Respecter un gabarit et une densit.

GIRAUD NATHALIE & PIAZZA MICKAEL

Densit btie

Continuation vgtal/rive gauche

M2 _ Europan 11 _ Sambreville

Sambreville, une communaut dagglomrations sarti-culant autour de ce paysage fluvial, bois et tortueux, et pourtant, exploit uniquement par les industries. Les centres des agglomrations sont tourns sur eux mme. Une paisse couche de parkings ou darrires dqui-pements publics tablit clairement une barrire entre le fleuve et les habitations. Un site de cinq hectares, en bor-dure de fleuve, mais sur la mauvaise rive, celle des zones commerciales, des casses automobiles et des industries. Entour par une voie de circulation automobile, une fa-brique pltrire et la voie ferre, il ne peut se tourner que vers le fleuve et une ville qui lui tourne dj le dos, chose possible que sur une mince bande de terrain. Ractiver ce site et contrler lexpansion urbaine taient les seules directives dEuropan. Ainsi, pourquoi ne pas se servir de ce lieu comme laboratoire ? Considrer comme construit la partie directement en rapport avec la Sambre, et ra-conter une autre histoire dans la partie arrire. La Wallonie aurait-elle galement droit ses grands ensembles de lo-gements ? Il sagirait ici de rcrer une entit de lchelle dun quartier, dense et complexe, qui serait suffisamment vivant pour se passer de la ville qui ne veut pas delle. Partir dun bloc, compact, et venir le travailler, le creuser et le tordre pour ladapter aux contraintes contextuelles. Des quipements tels quune salle de sport, une crche ou encore une maison de jeunes viennent se greffer dans cet ensemble. La complexit de ldifice se veut donc tre une base au dveloppement de logements varis, correspondants des attentes et des modes de vies diff-rents, cohabitant sur un mme site. Les relations entre les diffrentes branches du blocs sont multiples. Les coursives parcourent ldifice, articulent le sol et les quipements, offrent des vues sur les diffrents espaces extrieurs, et relient les logements aux toitures vgtalises, qui offrent ainsi un jardin inhabituel aux habitants.

accs vlo

toiture vgtale

balades pitonnes

Le bloc de base se plie pour recrer une nouvelle entre sur le site, scarte de la voie ferre, slve pour se confronter laxe routier et sabaisse pour dgager des vues. Nous nous retrouvons ainsi avec une forme complexe et minemment contextuelle. Des quipements adapts au quartier se placent dans les articulations, tandis que les loge-ments de types trs varis se crent selon lenvironnement immdiat. Des logements de plein pied, avec un jardin arrire, pour une famille classique, des cellules pour jeunes, tudiants ou en difficults, en relation avec des salles communes et une maison de la jeu-nesse, ou encore des appartements ouverts sur des terrasses partages, en relation avec le parc intrieur, pour favoriser les interactions entre habitants. Les circulations forment des boucles dans le complexe, reliant et sparant les espaces. Un parcours vlo stablit lintrieur mme du btiment, et donne une emprise territoriale beaucoup plus grande ldifice, notamment pour les relations avec lautre rive. Enfin, les toitures sont vgtali-ses et accessibles tous, offrant une balade verte, des jardins, des espaces cultiver en relation directe avec tout lensemble. Le site tant trs large, cest seulement depuis ces terrasses quune reconnexion lenvironnement est possible. Des vues sont cres vers le fleuve et les paysages boiss alentours, tout en se prservant des nuisances.


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M1 _ Analyse territoriale _ La Canche

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Cette tude territoriale avait pour but dlargir notre rflexion. Apprendre pen-ser une autre chelle et lintgrer dans le questionnement architectural. Il sagis-sait de se rendre compte de limpact que pouvait avoir un territoire, large et riche, sur une intervention mme trs ponctuelle, et inversement, quelle porte peuvent avoir nos constructions. Le thme de dpart tait le littoral, et plus prcisment lEstran, soit la zone de sable humide se trouvant entre la ligne de mare la plus haute et la ligne de mare la plus basse. Nous avons donc travaill sur lEstuaire de la Canche, aux paysages varis et la gologie riche, qui a normment volu en quelques centaines dannes seulement.

M1 _ Mdiathque +++ _ Le Touquet

Mdiathque +++ , ou comment exploiter un site de 7000 m, avec une rflexion sur un territoire le plus large possible ? Le Touquet est une ville de strates. Diverses couches qui glissent les unes sur les autres pour venir sentremler en divers endroits. Le site, de par son emplacement privil-gi sur la trame et son caractre historique, avec linflexion provoque par lancien trac du tramway, est un de ces endroits particuliers o les strates viennent se rencontrer. Il est en effet la limite entre lancienne trame de Daloze et le quartier Quentovic, ainsi quun point dentre dans la ville depuis la fort, o limplantation y est plus pavillonnaire, alatoire. Ce site est un morceau de trame dense dune ville comprime entre deux espaces ouverts ; la fort et la plage. Je propose de runir ces strates en ce site si particulier, en venant les faire sentremler sur 3 niveaux, qui sont autant de couches aux fonctions diffrentes offertes la ville. Le rez-de-chausse est constitu de services, commerces et parking, et se compose de petits blocs qui sagencent selon les flux et les faades alentours. Ils forment un espace ouvert qui draine la population de la trame pavillonnaire nord vers la trame serr au sud. Ces blocs supportent les deux niveaux suprieurs, beaucoup plus denses. La trame Daloze se soulve et laisse passer les pavillons et la fort au niveau du sol. Quatre pa-tios, plants darbres, viennent percer le bloc suprieur et constituent les circulations verticales de lensemble. Au R+1, ldifice abrite quatre qui-pements, qui sarticulent donc autour de ces patios ; trois cts ouverts sur le patio daccs, et le quatrime ouvert sur le patio de lquipement voisin. Enfin, le deuxime tage est une strate de logements. Les circula-tions verticales se rejoignent ce troisime niveau o lon dcouvre un coeur dlot compltement ouvert, constitu du toit des quipements et qui se veut tre un soulvement de lespace public vers le ciel, au centre de cet lot nouvellement recr. Les logements sont organiss sur toute la ceinture et on y accde donc via cet espace public central. Chaque logement dispose dune terrasse, ce qui donne cet tage lallure de la trame nord, quand celle du premier rappelait celle de la trame Daloze et celle du rez-de-chausse la trame de la fort.

Le programme imposait une mdiathque, qui constitue donc un des qui-pements du premier tage. Elle se veut tourne vers une intriorit, avec une circulation/salle de lecture surbaisse et tourne vers les arbres et le patio. Des passerelles compltement vitres traversent ce dernier en plusieurs endroits et permettent de relier les diffrentes fonctions de la mdiathque, tout en crant des salles de lectures au milieu de la vgtation, tandis que le hall souvre sur le patio d ct.

REZ R+1 R+2

mdiathque.

BAC 2 _ Logements individuels _ Gand

Le projet demandait damna-ger une trentaine de logements individuels T4 sur un large site qui descend vers lEscaut. Une barre vient faire la sparation entre la ville et lespace plus calme et naturel qui souvre vers le fleuve. Cette masse est creuse au Sud pour rappeler le front bti du quartier en offrant chaque lo-gement une terrasse bien expo-se. Au Nord, la faade est lisse et ouverte pour librer la vue sur lEscaut. Sur le reste du terrain, une autre typologie, plus en rap-port avec la nature, vient sin-srer dans le dnivel, pour se rserver une intimit ct fleuve et laisser passer la vue depuis la barre au Sud.

Yoann WaucheulSeptembre 2012

Documents

Portfolio Yoann Waucheul