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Atelier Prison Portfolio L’Innaceptable Jérôme Lemieux-Bouchard ARC 3000 Thomas Balaban Université de Montréal Automne 2012

Portfolio Atelier de Thomas Balaban

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Portfolio de l'atelier portant sur la conception d'une prison pour criminels environnemental.

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Page 1: Portfolio Atelier de Thomas Balaban

Atelier Prison PortfolioL’Innaceptable

Jérôme Lemieux-Bouchard

ARC 3000 Thomas BalabanUniversité de MontréalAutomne 2012

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La suite des choses

Recherche

films et lectures

Atelier Prison

Maquettes 3D

Rendu intermédaire

Work in progress

Rendu final

1ere piste conceptuelle

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Lectures Des notions qui ont influencés de près ou de loin le résultat du premier au dernier rendu. Des notions qui ont parfois été utilisées comme exemples ou contre-exemples.

« Appropriation creates the condition for peo-ple to identify with their environment. […] It occurs not only by changing spaces but to set boundaries between different realms. […] Appro-priation can be initiated by individuals as well as by groups, and thereby enhance social inter-action and well-being. »

« High density is correlated with negative emo-tions, physiological overexcitement and even in-creases in various illness as well as changes in social relations – such as reduced readiness to help others and increased aggression. »

« Studies have confirmed that certain fragrances such as flower scents and lemon fragrances can cause better attention, enhanced well-being, and higher performance.[…] It seems to be better if children have the opportunity to perceive and associate smells in nature. This is in line with the greater importance attributed to the various sensory experiences by open instruction methods.»

« À ce moment, le Masque Lancaster/Hanover montre son vrai visage : l’architecture comme représentation impossible de l’espace fondamen-tal et primitif de l’’habitat’’, et l’essence de l’architecture comme rien de plus qu’une matrice morte qu’il nous faudra animer nous-mêmes. »

« Premier principe, l’isolement. Isolement du condamné par rapport au monde extérieur, à tout ce qui a motivé l’infraction, aux complicités qui l’ont facilitée. Non seulement la peine doit être individuelle, mais aussi individualisante. […] En outre, la solitude doit être un instru-ment positif de réforme. Par la réflexion qu’elle suscite, et le remords qui ne peut pas manquer de survenir. »

« L’humilité n’est pas une qualité innée chez les humains ; il est communément considéré qu’elle s’acquiert avec le temps, le vécu et qu’elle va de pair avec une maturité affective ou spiritu-elle. Elle s’apparente à une prise de conscience de sa condition et de sa place au milieu des au-tres et de l’univers. Une attitude par laquelle on ne se place pas au-dessus des choses ou des autres et par laquelle on respecte ce dont la providence nous a gratifié. »

« The new education must teach the individual how to classify and reclassify information, how to evaluate its veracity, how to change cat-egories when necessary, how to move from the concrete to the abstract and back, how to look at problems from a new direction — how to teach himself. Tomorrow’s illiterate will not be the man who can’t read; he will be the man who has not learned how to learn. »

Herbert Gerjuoy

Michel Foucault

Le Robert

Wim van den Bergh

Rotraut Walden

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LecturesAvec l’intention originale de camper l’architecture dans le futur, j’ai entrepris quelques lectures allant en ce sens.Tirés du livre de Alvin Toffler intitulé «Le Choc du Futur»

« Lorsqu’on s’occupe du futur, […] il est plus important de montrer de l’imagination ou de l’intuition que d’avoir «raison» du tout au tout. Une théorie peut être des plus utiles sans pour autant être «vraie». Même l’erreur sert à quelque chose. » (p.20)

« Et la majorité écrasante des biens matériels dont nous nous servons dans notre vie quoti-dienne ont vu le jour au cours de la présen-te génération, la 800e. Celle-ci marque pour l’homme une nette rupture avec toutes les ex-périences du passé, car c’est elle qui a vu le renversement de son rapport avec les ressources naturelles.»(p.27)

« Les «choses» qui nous entourent – depuis le virus le plus minuscule jusqu’aux galaxies les plus immenses – ne sont en réalités jamais des choses, mais bien des processus. »(p.33)

À Los Angeles, les entreprises de location fournissent des buissons et des arbres aux pro-moteurs immobiliers qui désirent entourer momen-tanément des maisons-modèles de verdure. «Les plantes embellissent votre maison. – Louez des plantes vivantes!» proclame un panneau publici-taire sur les flancs de certains camions. (p.74)

« Soit par exemple la lettre Q pour désigner l’énergie produite par la combustion de 33 mil-lions de tonnes de charbon. Depuis Jésus Christ, la consommation totales d’énergie n’a pas dé-passé ½ Q par siècle en moyenne, et ce pendant 18 siècles et demi. Mais en 1850, ce taux est passé à 1Q par siècle. Aujourd’hui, il est envi-ron de 10Q par siècle.» Cela signifie en gros, que la moitié de l’énergie totale consommée par l’homme au cours des deux milles dernières an-nées l’a été pendant les cents ans qui viennent de s’écouler. » (p.36)

« Les liens réciproques entre deux interlocu-teurs ne mettent en jeu qu’une facette extrême-ment limitée du champ d’activité de chacun. […] Tout ce qui nous intéresse chez un marchand de chaussures, c’est de savoir s’il pourra ou non satisfaire nos besoins ; nous nous moquons éperdu-ment de ce que sa femme soit alcoolique.»(p.103)

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‘’Yesterday, this day’s madness did prepare tomorrows’s silent triumph of despair.’’

Le Moment de Poésie

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We’re not productive anymore. Don’t make things anymore. It’s all automated.What are we for then?We’re Consumers, Jim.Buy a lot of stuff, you’re a good Citizen.But if you don’t buy a lot of stuff, what are you then?What?What?You’re mentally ill.

Le Moment Pragmatique

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1ere piste conceptuelle

DEUXÀ une époque, on se préoccupait de notre envi-ronnement comme de notre vieille grand-tante qui habite à Chibougamau. À Noël et au souper de famille, on se contrit de sa solitude et on pro-jette de la rapatrier près de Montréal, histoire de mieux s’en occuper. Par contre, après le congé des Fêtes, l’implacable folie de notre vie quoti-dien reprend le dessus sur nos bonnes intentions et la vieille grand-tante restera à Chibougamau une autre année, ou jusqu’à temps qu’elle meure, enfin.Certains peuples de la Terre croyaient être le nec plus ultra de l’histoire de La Vie. Le hasard fit que ces peuples réussirent pendant un instant à réellement se sentir plus grands et plus impor-tants que La Vie elle-même. La notion d’humanisme que l’on connait aujourd’hui n’est pas fondamen-talement différente de celle de cette époque. La différence se trouve à être la place que cet hu-manisme avait dans le schéma de La Vie. L’espèce humaine se projetait un schéma de La Vie en pyra-mide, avec sa propre espèce au sommet. Les autres espèces vivantes, les ressources naturelles : là pour leur bon plaisir. Ces peuples connaissaient ce que l’on appelle aujourd’hui «La Puberté». Bref, pendant des décennies, les peuples se sont littéralement enterrés de déchets de toutes sortes allant des combustibles fossiles, aux combus-tibles nucléaires en passant par des emballages de May West. Grâce à l’essor des technologies de cette époque, ils ont crus pouvoir enrayer les problèmes grandissants liés à la destruc-

tion accélérée de leur environnement. Plusieurs individus ont eu des idées acceptables. Aucunes n’étaient assez radicales. Les peuples indus-trialisés et les individus super-industrialisés étaient loin d’être prêt à abandonner les rêves sordides que leurs gouvernements corrompus leurs avait promis.

Jusqu’à La Subversion. Le schéma pyramidal er-roné devient le schéma sphérique que l’on a aujourd’hui. Avant la Subversion, selon les Droits de l’Homme, tout être humain devait avoir droit à un environnement sain et propre. C’était indigne de l’Homme que de ne pas avoir y avoir droit. Si un gouvernement ou des individus ne re-spectaient pas ce critère des Droits de l’Homme, ils étaient plus ou moins sévèrement punis. Aujourd’hui les Droits de l’Homme Dans La Vie spécifient que si un homme contribue à la dégra-dation de son environnement, il n’est plus digne de porter le nom d’homme et n’est donc plus con-sidérer comme tel.C’est pourquoi, à notre époque, lorsqu’un homme enfreint certaines règles concernant son envi-ronnement il se voit démettre de ses fonctions d’Homme et est mis en vente.

Qu’arrive-t-il avec des hommes qui n’en sont plus?Il est important de différentier les Prisons, qui accueillent des êtres humains en réhabilitation, des XXXX, qui entretiennent des YYYY destinés à la vente.

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Dans le but de pouvoir défrayer les coûts reliés à la dégradation de notre environnement, les gou-vernements restants ont d’un commun accord créé un système commun de mise en marché des YYYY. Pour faciliter les transactions, ils ont tous convenus de les installer des modules facilement transportables par train qui pourrait vivre sans approvisionnement extérieur pendant une certaine période de temps. Ces modules servent donc de cellules pour leur occupant et de support aux différents systèmes de transports, d’entreposage et de vente.Ainsi, le YYYY est placé dans un environnement conçu pour le garder en bon état du tribunal jusqu’au point de livraison final. Cet envi-ronnement modulaire répond aux besoins orga-niques de son contenu : gérer les entrés de nour-riture, les sorties et traitements des déchets, gérer l’atmosphère du volume et garder le YYYY dans sa forme habituelle.Les bâtiments-système d’entreposage permettent une gestion efficace des cellules, une distri-bution automatisée des ressources pour chaque cellule et présente un aspect agréable et anodin pour les populations humaines qui pourrait être mises en contact avec le bâtiment. Les bâtiment-système de vente sont destinés à mettre les acheteurs potentiels dans un état d’excitation propice à l’achat de marchandises. La vente de YYYY est vue comme une soirée-évène-ment mondaine où les pouvoirs des différentes sphères se rencontrent à la manière des Clubs Privés d’une autre époque.

Évidemment, les différents systèmes et construc-tions sont pensés et optimisés de façon à mini-miser les coûts en ressources humaines et en res-sources naturelles. L’implantation des bâtiments est limitée au minimum sur tous les différents sites. L’intégration des modules dans les dif-férentes villes est laissée à des architectes locaux qui prennent les décisions avec l’appui de l’exécutif local.

« Si un humain n’est pas capable de percevoir la douleur d’un autre, il serait justifié de lui retirer sa qualité d’homme. » Bernard Werber

1ere piste conceptuelle

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Subversion SubversionSubversion Subversion

Humains VS. Environnement

SUBVERSION

La différence entre les deux systèmes de pensés est percutante. L’un se voit dominant, profitant de ses cerfs et l’autre se voit intégré dans ce qui se trouve être son environnement: l’espace absoluement essentiel à sa survie.

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L’enceinte et l’ouvertureUn élément central contient les prisonniers. Cet élément se baisse, vient fermer le volume et devient impénétrable.

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La prison et la publicité

L’élément central, en s’élévant, libère le passage sur les cotés et permet l’entrée des clients dans le bâtiement. Les surfaces de l’élément central font office d’immenses panneaux publicitaire et in-dique l’ouverture du magasin.

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Le Temps et les InstitutionsComposition métaphorique sur la facon dont l’on peut voir les institu-tions, et de quelle facon elle pourrait évoluer avec le temps.

Page 15: Portfolio Atelier de Thomas Balaban

Work in progress

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Work in progress

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Work in progress

Page 18: Portfolio Atelier de Thomas Balaban

Rendu intermédiaire

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Le Principe / La marchandise

La Marchandise

La Cellule

L’Entrepôt

Le Showroom Ca s’en vient.

Le capitalisme et son cycle de consommation fonctionne avec des systèmes intégrés. La prison/showroom fonctionne sur le même prin-cipe. De la marchandise de base, au récipient qui le contient, aux installations immobilières qui contiennent les contenants et permet la consommation de masse.

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La mondialisation du systèmeLe Système

L’Entrepôt

Le Showroom La Marchandise

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L’Évènement

Ouvert / L’Arrivée des Clients

Fermé / La Vente

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Le Menu

Les prisonniers/marchandises montent et descendent dans des grands couloirs verticaux dépendemment des offres qui sont faites pendant les enchères. La mise en scène est destiné à exarcerbé la compétiton entre les acheteurs et faire ainsi monter la mise.

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L’Enchère

Les acheteurs peuvent poser des questions aux prisonniers qu’ils vont acheter. Les acheteurs peuvent également poser des mises. Les différents étages du module des prisonniers abritent des marchan-dises de plus en plus convoitées.

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Entrepôt Entrepôt

EntrepôtServant

Circulation

Grande Salle

Showroom

Administration

Circulation

marchandise

Entrée employés

Entrée marchandises

La Patente

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Entrepôt Entrepôt

EntrepôtServant

Circulation

Grande Salle

Showroom

Administration

Circulation

marchandise

Entrée employés

Entrée marchandises

L’Axonométrie

L’Axonométrie

Les Plate-formes

La Structure

La Coquille

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L’Implantation

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La Circulation : Population

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La Circulation : Les Clients

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La Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La LivraisonLa Circulation : La Livraison

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Le Plan : Rez-de-Chaussé

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Le Plan : - 1 : La Circulation

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Le Plan : - 2 : Le Servant

Page 34: Portfolio Atelier de Thomas Balaban

La Coupe : AA

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La Coupe : BB

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La Coupe : CC

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La Coupe : DD

Page 38: Portfolio Atelier de Thomas Balaban

La Coupe : EE

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- Paulo Coelho

« Le futur a été créé pour être changé. »

Le Moment d’Espoir

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Work in progress

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Rendu final L’innaceptable

La personne reconnu coupable de crime contre l’environnement est une personne qui répondait à un impératif monétaire, il répondait au système dans lequel nous vivons, le capitalisme. Cette personne obtient de l’argent en échange de ressources ou d’un services donnés à des consommateurs. Qui est le véri-table coupable? L’exécutant où l’entité qui cautionne l’exécution en tant que telle? Le Criminel envi-ronnemental percevait l’ensemble de l’environnement comme son bien personnel, comme un objet de consom-mation? Il se retrouvera maintenant de l’autre coté de la vitrine, du coté de l’objet de consommation. Il sera offert en vente à des gens tout aussi peu scrupuleux que lui, aux consommateurs, à des gens qui pourront faire de lui ce qui leurs chantent. À moins que la prison et son architecture n’arrive à changer les choses. À rendre le consommateurs hum-ble et conscient de se qu’il s’apprète à consommer. À moins que l’architecture soit plus qu’un simple environnement bâti, qu’il soit une entité capable d’arrêter l’innaceptable.

Page 42: Portfolio Atelier de Thomas Balaban

capitalismecroissance sans borne

le mondeécosystème fermé

le monde actuelun système inconcevable

1 + 1 = 0

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pr

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La balance des chosesLa structure de gauche représente l’équilibre précaire des systèmes et constructions humaines. Les mots pèsent et s’équilibrent dans cette représentation de ce que sera la prison.

Page 44: Portfolio Atelier de Thomas Balaban

Implantation

Une trame générale de 10m par 10m, régie l’emplacement de la prison,du stationnement, des 3 voies de circulations traversant le cours d’eau et la trame d’arbre. Une grande faille transperce tout les éléments de la trame.

Page 45: Portfolio Atelier de Thomas Balaban

Axonometrie generale

la limite

l’enveloppe

le volume des prisonniersles expériences

le plurilithe

la barrière

le mur écran

l’assise

le volume servant

le reste

le site

la cage

la plate forme

Page 46: Portfolio Atelier de Thomas Balaban

Coupe AAL’ensemble du volume bâti. Une coquille enfermant un monde intérieur com-posé de multiple limites, barrières et miroirs. Une architecture de con-frontation et paradoxalement de rédemption.

Page 47: Portfolio Atelier de Thomas Balaban

Vue extérieure

L’enveloppe composée de panneaux de métal recouvert de verre ré-fléchit son environnement, empechant toutes interprétations du bâ-timent. La faille est facilement lu comme l’entrée au bâtiment. La surface de dalles sert de stationnement, mais est concu de telle sorte que l’auto ne semble pas à sa place à cet endroit.

Page 48: Portfolio Atelier de Thomas Balaban

Coupe Détail enveloppe

Le toit vitré permet de chauffer le grand espace d’air où sont situé les poutres. L’air est ensuite redistribué selon les besoins dans tout le bâtiment. Le détail des panneaux de verre et la structure des meneaux sont concus de tel sorte que l’enveloppe semble se pro-longer dans le ciel et dans le sol. La verticalité est soulignée.

Page 49: Portfolio Atelier de Thomas Balaban

Plan 0 - Plate-Forme

Chaque niveau à une identié bien défini. Le niveau auquel les con-sommateur arrive se trouve à être une plateforme suspendu dans les airs par de grands câbles d’acier. Donnant l’impression d’être dans une immense cage. Des mobiliers de différentes hauteurs rythme l’espace et offrent des informations aux consommateurs concernant la marchandise.

Page 50: Portfolio Atelier de Thomas Balaban

Vue de l’entrée

Une passerelle juste assez large pour un consommateur, permet ou oblige aux nouveaux arrivés d’être vu de l’ensemble des gens déjà présent. Le parcours solitaire est destiné à ce que le consommateur se pose une question essentiel : Qui suis-je et que viens-je faire ici?

Page 51: Portfolio Atelier de Thomas Balaban

Plan -1 - Circulation

Le niveau inférieur, celui de la circulation, est en rupture nette avec le précédent. Rien n’interrompt l’immense surface hormis des meubles placés sans aucun ordonnancement, rappelant le désordre et la vulgarité des marchés grandes surfaces. Trois grands monte-charges apportent de la nourriture aux consommateurs de la même manière qu’un chercheur avec des souris qui seraient l’objet de sa recherche.

Page 52: Portfolio Atelier de Thomas Balaban

Un plancher de verre entoure le plurilithe, permettant des vues en profondeur dans les entrailles du bâtiment. Les câbles d’aciers, emprisonnant les consommateurs venus acheter des prisonniers.

Les Consommateurs - La Cage

Page 53: Portfolio Atelier de Thomas Balaban

Plan -2 - Le Servant

Le dernier niveau accessible à tous, offre aux consommateurs très peu de plaisir sensoriel. Dans un dédale de murs bétonnés se re-trouve, au hasard, des pièces de machinerie et des toilettes, des trônes montés sur podium. Des portes coulissantes permmettent tem-porairement de moduler l’espace, mais laissant toujours la crainte aux consommateurs d’être dérangés dans un moment des moins glo-rieux, malgré le trône sur lequel il est assis.

Page 54: Portfolio Atelier de Thomas Balaban

Lorsque la vente s’effectue, le volume des prisonniers s’élève du sol et vient remplir la faille laissé dans le bâtiment. Un face-à-face inévitable et gênant attend les consommateurs venu acheter des prisonniers. Une domination de l’un sur l’autre ou une épreuve d’humilité? La vitre les séparant étant la dernière limite avant que les consommateurs ne deviennent à leur tours des prisonniers.

Coupe BB - L’échange / Le miroir

Page 55: Portfolio Atelier de Thomas Balaban

Axonométrie - Volume des prisonniers

expositionface-à-face

dortoir

Page 56: Portfolio Atelier de Thomas Balaban

Les Prisonniers / Les ConsommateursQui est le prisonnier? Qui est le consommateurs? Qui est libre? Qui ne l’est pas?

Page 57: Portfolio Atelier de Thomas Balaban

Axonométrie - Le Plurilithe

La nature

La detente

La gastronomie

Le sommeil

La musique

L art

Le cinema

La lecture

L amour

Les relations humaines

Le travail

La curiosite

Pour les consommateurs capable de percevoir le vrai derrière l’illusion, ils pourront accéder au plurilithe, un ensemble de volumes cachant en chacun d’eux, un moment de simplicité, d’humilité.

Page 58: Portfolio Atelier de Thomas Balaban

Coupe CC - Le Plurilithe

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Maquette

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«Peut-on justifier un capitalisme qui s’est développé sur la base de l’esclavage de masse?»

Eric Hobsbawm