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2 .a. 6 L'ISOLATION ACOUSTIOUE DES PLANCHERS LEGERS A CORPS CREUX CERAMIOUE HUET Ingénieur du Génie Civil , Dr . es - Sciences Délégué Scienti:iq ue du Centre Technique des Tu iles & Br i'lues , Paris , France THE INS U LATION OF LIGHTWEIGHT FLOORS MADE OF HOLLOW CERAMIC BODIES The new sound insu l ati on r egulations defined in the order of 14th June 1969, aim to i mp rove the aco us tic comfort of housing by cutting the discomf or t due to noise from adJacent dWellings down to a tolerable level . As one of the essential qualities of [loors of cer amic hollow blocks is thei r lightness, research must be undertaken to ensure that , in spite of this lightness which goes against the well - known mass low , they can satisfy the requirements of these new A general view is pr esented of three types of solutions which have been studied in recent years by the industry (in particular by the C. T. T. B. ) em d the buildin g prof ess ional s. The two first comp r ise r espectively the doubling of ceilings , and sZab f loating on mineral wool, in - stalled in the two cases after hardening of the supporting floor. The third comprises cross - lays wi th inco rp orated acoustic insulation, made in the form of damped, [loating cross - lays . DIE SCHALLDAEMUUNG DER LEICHTBAUDECKEN AUS KERAMISC HEN HOHLKOERPERN Die neue Vor sch r i f t , die SchaZldí:ímrrung bet reffend, festgelegt durch die verordnung vom 14. Juni 1969, be zweckt den akus tischen Komf ort der zu verbessem , indem die Sto rungen durch Gerousche aus anliegenden Wohnungen ouf einen tragbaron Pegel he r- ab gesetzt we r den . Indem eine der wesentlichen Quali - taten der Decken aus keramischen Hohlkorpem ih r ge- ringes Eigengewicht ist, Studien werden , um zu erreichen, dass sie trotz ihro r Leich - tigkeit: welche sich nachteilig in Bezug zum be - kannten Massegesetz auswirkt, den Anforderungen die - ser neuen Vorschrift entsprechen konnen . Es wird eine Uebe rsicht über droi Arten von Losungen gegeben, wel- che in den letzten Jahren von der Industri e (insbe - sondere von der C.T . T. B. ) und den Baufachleuten unter - sucht wor den sind. Die beiden ersten bestehen aus Ve r doppelungen der De cken bzw. aus schwimnenden Flies en ouf Mine ra lwol- le , beide nach Erhar t en der tragenden Decke ange- br acht . Die dritte besteht aus llkorpe m, in denen die Schalldammung mit enthalten ist o

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2 .a. 6

L'ISOLATION ACOUSTIOUE DES PLANCHERS LEGERS

A CORPS CREUX CERAMIOUE

CH~ISTlAN HUET Ingénieur du Génie Civil , Dr . es -Sciences

Délégué Scienti:ique du Cent re Technique des Tuiles & Bri'lues , Paris , France

THE INSULATION OF LIGHTWEIGHT FLOORS MADE OF

HOLLOW CERAMIC BODIES

The new sound insu lati on regulations defined in the

order of 14th June 1969, aim to i mprove the acous tic

comfort of housing by cutting the discomfor t due to

noise from adJacent dWellings down t o a tolerable

level . As one of the essential qualities of [loors

of ceramic hollow blocks is their lightness, research

must be undertaken to ensure that , in spite of this

lightness which goes against the well - known mass low,

they can satisfy the requirements of these new

re~lations . A general view is pr esented of thr ee

types of solutions which have been studied in recent

years by the industry (in particular by the C. T. T. B. )

emd the building prof essionals .

The two first compr ise respectively the doubling of

ceilings , and sZab f loating on mineral wool , in­

stalled in the two cases after hardening o f the

supporting floor.

The third comprises cross- lays wi th incorporated

acoustic insulation, made in the form of damped,

[loating cr oss- lays .

DIE SCHALLDAEMUUNG DER LEICHTBAUDECKEN AUS

KERAMISCHEN HOHLKOERPERN

Die neue Vor schr i f t , die SchaZldí:ímrrung betreffend,

festgelegt durch die verordnung vom 14. Juni 1969,

be zweckt den akus tischen Komfort der Wohnun~en zu

verbessem, indem die Storungen durch Gerousche aus

anliegenden Wohnungen ouf einen tragbaron Pegel her­

abgesetzt wer den . Indem eine der wesentlichen Quali ­

taten der Decken aus keramischen Hohlkorpem ihr ge­

ringes Eigengewicht ist, muB~ten Studien unterno~n

werden , um zu erreichen, dass sie trotz ihror Leich­

tigkeit: welche sich nachteilig in Bezug zum be ­

kannten Massegesetz auswirkt, den Anforderungen die ­

ser neuen Vorschrift entsprechen konnen . Es wird eine

Uebe rsicht über droi Arten von Losungen gegeben , wel­

che in den letzten Jahre n von der Industrie (insbe ­

sondere von der C.T. T. B. ) und den Baufachleuten unter­

sucht wor den sind.

Die beiden ersten bestehen aus Ve r doppelungen der

Decken bzw . aus schwimnenden Fliesen ouf Mineralwol­

le, beide nach Erhar t en der tragenden Decke ange ­

br acht .

Die dritte besteht aus Fü llkorpem , in denen die

Schalldammung mit enthalten ist o

2 . a . 6-0

L' ISOLATION ACOUSTIQUE DES PLANCHERS

LEGERS A CORPS CREUX CERAMIQUE

La nouvelle peglementation définie , en matiepe

d ' isolation acoustique, pap l 'appêté du 14 juin 1969,

vise à améliopep le confopt acoustique des habitations

en pamenant à un niveau tolépable la gêne due aux

bpuits ppovenant des logements adjacents . L 'une des

qualités essentielle des plancheps à coPps cpeux cé­

pamique étant constituée pap leup légepeté, des étu­

des ont da êtpe entpeppises poUP faipe en sopte que ,

en dépit de cette légepeté qui va à l ' encontpe de la

loi de masse bien connue, ils puissent satisfaipe

aux exigences de cette nouvelle peg lementation . On

ppésente une vue d ' ensemble sup tpois types de so­

lutions qui ont été étudiées ces depniepes années

pap l ' Industpie (en papticuliep le C. T.T . B. ) et les

ppofessionnels du Bâtiment.

Les deux ppemiepes sont constituées pespectivement

pap des doublages en plafonds , et des dalles flot­

tantes suP laine minépale, mises en oeuvpe dans les

deux cas appes durcissement du planchep popteup .

La tpoisieme estconstituée pap de s entpevous à iso­

lation acoustique incopporée, réalisés sous forme

d ' entrevous fl ottants amortis .

DE AKOESTISCHE ISOLATIE VAN

LICHTE VLOEREN UIT HOLLE BAKSTEEN.

De nieuwe r eglementeping voop akoestische isolatie,

doop besluit van 14.juni 1969, heeft als doel het

akoestisch komfort van woningen te verbeteren door

de geluidshindep voopkomend van buupwoningen te ver­

minderen . Een van de essentiele kwaliteiten van

vloepen in holle baksteen bestaat in hun lichtheid,

doch daap deze tegengest eld is aan de eisen van de

bekende massawet, werden studies ondepnomen om ze

te doen beantwoopden aan de eisen van deze nieuwe

peglementer'ing .

Een ovepzicht wopdt gegeven van dpie soopten oplos ­

singen die in de laatste jaren bestudeepd wepden

doop de industpie (voopal doop het C. T. T.B . ) en doop

de specialisten in de bouw.

De twee eepste zijn pespektievelijk gevopmd doop ver­

dubbelingen en door plafonds alsmede vLottende vloe­

pen op minerale wol , in beide gevallen t oegepast na

verhapding van de dPQagvloer .

De derde wordt gevormd door vu7blokken met ingebouwde

akoestische isolatie, gerealiseepd door vlottende en

gedempte blokken .

INTROOUCTION.

La nouvelle réglementati on française définie. en ma­tiêre d'isolation acoustique. par l'arrêté ministé­riel du 14 juin 1969. vise à améliorer le confort acoustique des habitations en ramenant à un ni veau tolérable la gêne due aux bruit.s provenant des loge­ments adjacents .

On sait que l'isolation acoustique aux bruits aériens d ' une simple paroi est d'autant meilleure que sa mas­se est plus grande . toutes choses égales par ailleurs. Oro l'un des intérêts essentiels des planchers à corps creux céramique. out re leur facilité de mise en oeuvre et leur compétiti vité économique. est justement cons­titué par leur légereté . Oes études ont donc été ré­cemment entreprises pour que. en dépit de leur légere­té. ces planchers procurent aux habitants un confort acoustique suffisant .

Ces études ont été menées en France dans 3 directions qui correspondent à des principes différents.

Dans le premier caso les études menées par le Centre Expérimental du Bâtiment et des Travaux Publics. PARIS (C . E.B .T. P . ) en liaison avec les C. T.T.B . • on t porté sur res doublages en plafond.

Dans le second cas o elles ont porté sur des dalles flottantes et ont é t é menées conjointement par le C. T.T.B . et la ,Société Saint-Gobain .

Oans le troisieme ca s o les études. menées au C. T.T . B .• ont porté sur l'élaboration d ' entrevous à isolation acoustique incorporée. mis au point sous forme d ' entre vou s flottants amortis .

Nous présentons ici une récapitulation des résultat, acoustiques obtenus dans ces trois directions .

DOUBLAGES EN PLAFONO .

Les doublages en plafond sont constitués essen­tiellement par des plaques préfabriquées de plã­tre de 1 em. suspendues aux entrevo us par des li­aisons souples. avéc interposition de quelques centimetres de laine minérale.

Le principe utilisé est ce lui de la double paroi. combinée a u faible fact eu r de rayonnement présen ­té par les paroi s minces en-dessous de leur fré ­quence c ritique . Celle-ci se trouve située dans les aigues . ce qui amene un bon comportement de l ' ensemble dans les graves . ou se présentent les plus grandes difficultés d 'amélio ration

Les résultats obtenus sont excellents. puisqu'ils vo nt. suivant les systemes. de 59 à 64 dBA pour l'indice d ' isolement R global pondéré A. Ra~pelons

que. compte tenu des transmissio ns i ndirectes . la réglementation amene à requérir une va leur de R au moins. égale à 56 dBA .

A titre d'exemple . an indice R de 63 dBA a pu être obtenu sur un plancher à 270 kg/m2 •

Nous n'insistons pas sur cette solution. qui fera l'objet d'une publication plus détaillée de la part du C.E.B . T. P . (1)

A titre d'exemple. nous présentons sur la figure 1 ci-apràs deux courbes d'isolement obtenues par ce procédé .

(1) Pour des informations plus détaillées on se re­portera à une publication faite par ailleurs par le C. E.B . T. P. et paraitra da ns les Annales de l ' LT.B.T.P. (Institut Technique du Bãtiment et des Travaux Publics) .

R en dB

90

80

70

60

50

40 1\

30

I

a . R = 62 d

~= S8d I

, Iti

125 500 2000 Hz

250 100 0 4000

Figure 1

2 . a . 6-1

Plancher à poutre l les béton précontraint et entr evous cérami que avec doublage en plafond.

2 . OALLE S FLOTTANTE S.

Le s études faites sur dalles flottantes ont montré que. sur planchers légers. il était nécessaire de disposer une épa isseur assez i mportante (4 em) de laine minérale pour obtenir un r ésultat satisfaisant .

Elles ont montré également que le s planchers les plus légers (ceux à tabl e de compression céramique. sans table béton ) sont rela tivement plus améliorés que le s planche rs de masse moyenne. ce qui l eu r per­met de combler leur handicap initial .

Les résultats obtenus avec 20 mm de laine minérale sont de 50 à 53 dBA suivant les planchers . et de 55 dBA pour 40 mm de laine minérale .

Pour tenir compte de l'influence du tassement sous charges de service sur la rigidité de la laine mi­nérale , 1es essais ont été effectués a vec une sur­c harge de 100 kg /m 2 uniformément répart ie.

La figure 2 ci -apres donne deux exemples de cour­bes d' isolement.

2 .a.6-2

R en dB a.. R - SS dBA -

80 " ,

~b_R , = SS d 70

60

li-

50 L.oo

r-, 40

, ,

30

20 125 500 2000 Hz

250 lÓOO 4000

Figure 2

PZanchers creux avec daZZe fZottante sur 40 mm de Zaine minéraZe

a) PZanchers à tabZe de compression béton et entrevous céramique, et poutreZZes béton précontraint (R = 55 dBA)

b) PZancher sans tabZe de compression béton (TabZe de compression c.éramique incorporée à Z'entrevous), et poutrelZe céramique pré­

contrainte (R = 55 dBA) .

3 . ENTREVOUS A 1SOLAT10N 1NCORPOREE.

Plutôt que de chercher, comme dans les deux cas précédents , à améliorer l'isolation acoustique des plancher9 à corps creux par des dispositions cons­tructives réalisées apres coup, et qui peuvent présenter divers inconvénients techniques ou écono­miques , on peut imaginer de résoudre le probleme en essayant d'incorporer la fonction acoustique aux entrevous, dont les fonctions initiales sont celles de coffrage perdu, de remplissage, et de planéité du support recevant le plâtre du plafond.

Ceci est rendu possible par la relative liberté de forme qui est laissée par l 'existence de vides et de l'entrevous lui-même.

Nos efforts dans cette voie sont allés dans le sens d'une complexification croissante du point de vue de la réalisation de l'entrevous (le but recherché étant la plus grande simplicité compatible avec l'efficacité).

Les premieres tentatives ont porté sur le profil intérieur des entrevous, aisément modifiable en principe. Les modifications imaginées se sont révê­lées inefficaces dans les fréquences légales, ou non fabricables.

Une deuxieme tentative a consisté à introdu ire de l'amo rtissement dans l ' entrevous , sous for~e d'une

cDuche de cisaillement viscoélastique interposée entre deux parties rigides. Les gains obtenus ont été tres importants dans les aigues, mais pratiquement nuls dans les graves, si bien que le gain sur le R global est resté insuffisant par rapport à celui qui aurait été nécessaire .

On a donc été conduit à compl e ter ce dispositif d'amor­tissement par un dispositif faisant jouer à l'entrevous l ui-même le rôle d'une doubl e paroi. L'entrevous com­porte alors une partie s upérieure liée rigidement par le béton de clavetage à la partie porteuse du plancher, et une partie inférieure fl ottante, séparée de la par­tie rigide par un matériau souple de faible raideur . La continui té sous la poutrelle de la partie flottante est assurée par une forme spéciale de l ' entrevous, pré­cédemment définie pau r améliorer l'isolation thermique (le systeme se prête donc à la réalisation d'une isola­tion total e : thermique et acoustique simultanément) . (2)

Les ~ésultats obtenus par une réalisation expérimenta­l e de ce systeme, sont, avec un R de 55 dBA, équivalents à ceux obtenus sur l es da l les flottantes.

115 présentent sur ce l les-ci divers avantages, dont les principaux sont l es suivants :

- facilité et économie de mise en oeuvre : les entre­vous acoustiques, entierement réalisés en usine, se mettent en oeuvre comme des entrevous c l assiques .

- surface portante restant rigide, ce qui évite les risques de fissurations, poinçonnement, affaissements: sous l e poids des meubles lourds et des cloisons no­tamment .

- élimination des aléas de chantier , et fiabilité du fonctionnement acoustique de l'entrevous, du fait de la réalisation en usine automatisée et contrôlée.

La facilité de mi s e en oeuvre en particulier a pu être vérifiée au co urs de la réalisation grandeur na ­ture, d ' un plancher de 17 m2 destiné aux essais acous ­tiques. On a constaté notamment que la partie flottan­te du plancher peut être solidarisée à son pourtour aux murs d'appui sans diminution de l'isolement global (qui s'est trouv é au contraire augmenté de 1 dB au cours des mesures) . Le procédé n'exige donc pas à la mise en oeuvre de dispositions ni précautions particu­lieres à ce sujet.

La figure 3 présente les courbes d'isolement obtenues, sur l e plancher à partie f lo ttante désolidarisée d'une part (dont on remarquera les performances particuliere­ment é levées aux aigues), et sur le même plancher apre ! solidarisation aux murs de la partie flottante par son pourtour .

L'industrialisation d'entrevous de ce type est actuel­lement a l'stude. Les premieres approches de prix de revient ont en effet montré que cette solution pouvait être tres compétitive sur le plan économique .

(2) Les différents systemes mentionnss ci-dessus ont fait l ' objet de brevets.

•. • . u.a.

Figwoe 3

P~ancher à entrevous f lott ant amort i .

a) Partie f lottante d~solidaris~e des murs au contowo

b) Partie [lottante solidaris~e des murs au contour par continuit~ de l 'endui t plâtre en plafond.

2 . a . 6-3

CONCLUSION .

Les études ainsi faites ont montré que , dans les troi= voies exp l orées (doubl ages en plafond , dalles flottan­tes, entrevous à isolation i ncorporée) , des solut i ons pratiques pouvaient être définies en vue d ' apporter aux planchers creux céramiques les qualités de confort acoustique valo ri sant les nombreus es qualités qu ' ils possedent par ailleurs . Certaines de ces études pour­r ont ou devront être poursuivies pour améliorer le cou ­pIe qua l ité - prix . Pour les entrevous à isolation in­corporée, qui présentent des avantages techniques cer ­tains du point de vue de l ' ensemb l e de la conception, de la mise en oeuv r e e t des ex ige nces de serviee des planchers, les ré su ltats obtenus sem~lent justifier des études d'industrialisation qui restent à entrepren ­dre.

L' a nnexe ci-apr e s réeapit ul e les résultats obtenus sur les solutions proposées .

A N N E X E

RECAPI TULATION OES RESULTATS OBTENUS SUR LES

SOLUTIONS PROPOSEES .

PLANCHERS A POUTRELLES CERAMIQUE PREeONTRAINTE S.

R ou L Laboratoire Aériens Impaets Mass e surfa- Epaisseur Et ude falte n

dBA cique total e t otale par du pl aneher

Kg/m2 em

Avee doublage en plafond

Pl aneher A CEBTP 63 (72) 270 Ooublage a

24

Ooublage b " 59 (76) 270 24 CEBTP Plancher B Ooublage a CEBTP 64 (71 ) 370 32 Ooublage b "" 56 (79) 370 32

Avec dalle flottante Pla ncher C CTTBI avec ragréage SAINT-

1,5 mm - laine 40 rrvn CSTB 55 69(80) 295 23

GOBAIN

PLANCHERS A POUTRELLES BETON PRECONTRAINTES .

Avee doublage I en elafond

Planeher E doublage a CEBTP 62 (73) 270 23 doublage b CEBTP 58 (77 ) 270 23 CEBTP Planeher F doublage a 62 (73) 27 doublage b 60 (75) 27

Avec dalle flottante enBI Plancher E SAINT-- laine 40 mm eSTB 55 66 355 25 GOBAIN

Entrevous à i so-lation ineorporée Plancher G - flottant

et amorti eSTB 55 76 330 26 CTTB (81 )

Aux impaets, l es valeurs entre parentheses sont des valeurs calculées par la relation Ln 135 - R