Le magazine qui vous dit tout !

« L’animal ne possède rien, sauf sa vie, que si souvent nous lui prenons » Marguerite Yourcenar

Fédération Nationale contrele Martyre des Animaux

Une seule adresse :11, rue de l’Ellé56770 PLOURAYTél : 02 97 34 84 59

Juillet , août , septembre 2014

À TOUS NOS ADHÉRENTS

L’été est le temps des vacances et pour certains de

voyager dans des pays lointains… Aussi allons nous

donner, dans ce numéro, des informations sur ce qui

se passe dans certains pays touristiques et envoyer des

lettres aux ambassadeurs des états concernés ; nous sou-

haitons révéler les réalités bien cachées dans ces contrées

« exotiques » et en particulier le sort des éléphants asia-

tiques : maltraités jeune pour les « broyer » et les rendre

plus dociles afin d’obéir au doigt et à l’œil, pour le plaisir de

nombreux touristes. Nous sommes étonnés que des chefs

religieux, bouddhistes (ulémas) notamment, ne dénoncent

pas de telles pratiques, eux qui n’écraseraient même pas

une mouche. Il suffit pas de prier à l’ombre d’un sanctuaire

ou autres édifices « religieux », mais dire à tous, surtout aux

politiques, la cruauté inimaginable endurée par de nom-

breux animaux, pachydermes en particulier. Aussi nous en

appelons au Dalai Lama et ses représentants en France…

Car LA VÉRITÉ DOIT ÊTRE DITE AU GRAND JOUR

Assemblée générale le 6 décembre 15 h

hotel Ibis rue Gustave Eiffel 29000 Quimper

Site Internet : http ://www.sosanimaux.comE-mail : jacqueline.guillaume3@orange.fr

Ne pas jeter sur la voie publique. Donnez-le à un ami ou mettez-le dans une salle d’attente.

Jacqueline GUILLAUME · Présidente de la Fédération

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On imagine le Népal comme le pays du Bouddha, une terre propice à la méditation et à la spiritualité, mais cette image est enta-

chée par des rituels tenaces qui prônent la violence à l’état pur envers les animaux.

Fête de Gadhimai Cette fête est pratiquée tous les cinq ans où tous les clans et toutes les ethnies y participent avec parfois la contribution de l’État et de l’armée. Elle se déroule au temple Gadhimai de Bariyapur (District de Bara) à environ 160 km au sud de la capitale Katmandou, dans le sud du Népal. C’est le plus grand sacrifice d’animaux au monde derrière l’Aïd el Kebir, où de nombreux bovins, ovins et caprins sont sacrifiés (buffles, porcs, chèvres, poulets, rats, pigeons…). En 48 h, entre 300 000 et 500 000 bêtes sont tués dans le but de plaire à Gadhimai, déesse de la puissance. Les animaux, qui n’ont pas péri de faim et de soif et qui ne tombent pas sous la première lame, sont mutilés de leurs deux pattes arrière avant d’être laminés à coups de sabre jusqu’à ce que leur tête soit tranchée. Parfois, 25 entailles sont nécessaires pour les plus grands bovins. Environ 5 millions de personnes par-

ticipent au festival, dont la majorité sont des Indiens des États de l’Uttar Pradesh et du Bihar. Ils assistent à la fête au Népal afin de contourner l’interdiction sur les sacrifices d’animaux dans leur propre État. Les participants estiment que les sacrifices d’animaux pour la déesse hindoue Gadhimai chasseront le diable et leur apportera la prospérité.

Célébration de Dashain Une fois par an la célébration de Dashain entraîne, à travers le pays, la mort de centaines de milliers de chèvres, bœufs, canards, poulets… dont une partie est tuée par les militaires. Certains rites imposent de boire le sang directement de la jugulaire de l’animal égorgé (danses de Navadurga).

Fête de Khokana Ce rite consiste à jeter une jeune chèvre de 5 ou 6 mois dans un bassin où de jeunes adolescents vont la dépecer vivante à mains nues et avec leurs dents. Ils se jettent à l’eau en lui déchiquetant les oreilles, les sabots, la queue… Un « héros » en res-sort, celui qui a réussi à la tuer, et mène alors la danse de Shinkali.

Les animaux des cirques sont encagés, enchaî-nés et forcés à travailler. Ils n’ont jamais goûté à un instant de liberté, mais vont de la cage à

la piste, de la piste à la cage. Ils voyagent pendant des milliers de kilomètres durant la pleine saison, ce qui signifie de longues heures dans des fourgons ou des remorques, sans espace pour se détendre, et

pour ce qui est de courir, n’en parlons pas !Lorsque je regarde des animaux tenus captifs dans les cirques, cela me fait penser à l’esclavage. Les ani-maux dans les cirques représentent la domination et l’oppression que nous avons combattues pen-dant si longtemps. Ils portent les mêmes chaînes et les mêmes fers.

Au Népal, le plus grand sacrifice d’animaux au monde !

La réalité sur les éléphants de cirque

Les piques « ankus » ou « bullhook »

sont utilisées constament

pour rappeler à l’animal sa place de soumis

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Les éléphants si paisibles et obéissants, font la joie des touristes, en Asie surtout, mais ceci cache une effrayante et effroy-

able réalité, car ces derniers ont été « dressés », d’une façon si cruelle, inimaginable, durant leur plus jeune âge : la torture étant leur quotidien ; ils sont pris en main par des dresseurs, à peine nés, subissant un rituel connu sous le nom de phajaan : monstruosité venant d’une croyance ancestrale et qui signifie « broyer, dénaturer », faisant perdre tout instinct naturel et être entiè-

rement sous le contrôle de l’homme : le bour-reau, tant et si bien que l’éléphant est prêt à accepter n’importe quoi pour ne plus subir de telles souffrances.Ils sont enfermés dans des cages exiguës, maltrai-tés : attachés, incapables de remuer un seul de leurs membres, puis frappés à des endroits pré-cis et sensibles (très douloureux) : articulations, oreilles, joues, tête (front en particulier) : les tor-tionnaires utilisent un bullhook, instrument de supplice : ci-contre images plus explicites.

Chassé pour sa viande et son ivoire, victime de la déforestation intensive, ce grand pachyderme, qui fut prospère sur l’ensemble du continent asiatique, est maintenant confiné à . des habitats restreints et de plus en plus rares

La principale menace à laquelle sont confrontés les pachydermes est bien entendu la destruction de leur habitat naturel, la forêt de l’île de Suma-tra située au nord-ouest de l’archipel indonésien. Aujourd’hui, celle-ci est de plus en plus sacrifiée au profit des plantations de palmiers à huile ou des terres agricoles Il ne resterait plus qu’entre

2 400 à 2 800 éléphants à Sumatra, soit 50 % de moins qu’en 2007.Les immenses plantations de palmiers à huile qui couvrent presque la totalité se Sumatra et de Bor-néo répondent à une demande internationale tou-jours croissante. L’augmentation du prix de l’huile prive les populations locales de cette ressource vitale (la cuisson se fait exclusivement à l’huile de palme sur ces îles d’Indonésie). L’augmentation de la consommation d’huile de palme pour la fabrica-tion de « biocarburant » aggrave dangereusement ce phénomène de destruction et de déforestation.

Ivoire : le massacre continue« Il faut s’en prendre aux intermédiaires et aux gros négociants, estime Ian Craig, fondateur de Northern Rangelands Trust. Les enquêteurs devraient examiner les comptes bancaires de ces individus qu’il est très improbable de surprendre une défense dans la main droite et une kalachnikov dans la main gauche. ». Cet infatigable défenseur de la faune sauvage met l’accent sur l’ambiguïté autour des réserves d’ivoire détenues par les pays. « Il est très difficile de faire la différence entre l’ivoire légal et clandestin.

Il faut interdire définitivement le commerce d’ivoire sous toutes ses formes. » un kilo d’ivoire peut aller jusqu’à 1 600 dollars (1 200 euros).

Stéphanie Braquehais Envoyée spéciale à Lewa (Kenya)

Les éléphants dans la nature

Les tortures infligées aux éléphants en asie

Des villageois posent à côté du cadavre d’un éléphanteau

dans une rivière à Serbajadi (Indonésie), le 21 août 2014.

Les éléphants de Sumatra sont victimes d’empoisonnements

perpétrés par les exploitants de plantations d’huile de palme

qui les considèrent comme une menace.

AFP

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L’accord signé entre l’Europe et les usa (tafta) nous inquiète car il ouvrirait le marché européen aux États-Unis et vice-

versa. Conjointement le même titre se négocie-rait avec le Brésil, un autre grand de l’élevage industriel.Tout ceci a de quoi nous alarmer, nous les défen-seurs du monde animal.Les américains produisent une viande 30 % moins chère par le biais de parcs d’engraissements, intensifs, de 32 000 bovins : « les feedlots », ce qui préoccupe, affole les consommateurs, car outre-atlantique ce sont antibiotiques, ogm, hor-mones « a tire-larigot ».Aussi les amis des animaux sont horrifiés car là-bas

l’intensification représente une orientation cala-miteuse.Les tomates espagnoles et marocaines avaient déjà inondées le marché français : quelles sont les normes de production dans ces pays ?Le poulet fermier a-t-il encore un avenir vis-à-vis de celui lavé au chlore ?Devant toutes menaces, nous souhaitons que la France prenne le contre-pied de tous ces compor-tements irresponsables, en développant, préconi-sant, le bio et l’élevage extensif.La Bretagne qui avait fait beaucoup de produc-tions bas de gamme (hors-normes…) semble revenir au naturel !

AIDONS LES AGRICULTEURS COURAGEUX QUI REFUSENT CES ÉLEVAGES ; AVANT QU’ILS NE SOIENT HAPPÉS PAR LES GÉANTS AMÉRICAINS QUI N’ONT QUE LA RENTABILITÉ DANS LA TÊTE.

Système de libre-échange entre les usa et l’Europe

La dinde chlorée

américaine

Les animaux ne

risque pas d’aller en

enfer, ils y sont déjà !

PAGE AFFICHEà photocopier et à distribuer

FÉDÉRATION NATIONALECONTRE LE MARTYRE DES ANIMAUX

Présidente : Jacqueline GUILLAUME

Antenne Bretagne : 11, rue de l’Ellé 56770 PLOURAY · 02 97 34 84 59

Site Internet : http://www.sosanimaux.com · E-mail : jacqueline.guillaume3@orange.fr

POUR LE PLAISIR DE QUELQUES SADIQUES QUI RIENTDE SON MARTYRE

PRIVÉ DE LIBERTÉ, ENCHAÎNÉ AVEC DE NOMBREUSES CORDES !Chaque année, plusieurs milliers d’animaux subissent le même sort

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COTISATION ANNUELLE

16 € 32 € 48 € à ma convenance Reçu fiscal : oui non

Nom – Prénom ....................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................

Adresse .......................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................

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Conformément à la loi informatique et Liberté du 6 janvier 1978, vous disposez d’un droit d’accès et de rectification pour toute information nominative vous concernant, figurant sur tout fichier.

ÉLÉPHANTS DE CIRQUEIl a été conditionné pour rester immobile, docile… mais pour en arriver là, il a subi de nombreuses maltraitances physiques et psychologiques.

L’éléphant attachéPeu de temps après sa naissance au cirque, un bébé éléphant fut attaché à un gros piquet bien planté dans le sol. Au début, il tenta de se libérer, mais le piquet était trop solide pour ce jeune éléphant et il ne réussit pas à s’en libérer.Bien que ses efforts pour se libérer du piquet continuèrent pour un certain temps, il cessa finalement d’essayer de l’arracher du sol. Deux années passèrent et lorsque l’éléphant n’était pas en spectacle, il continuait à être attaché à ce piquet. À ce moment-là, l’éléphant avait la force d’arracher le piquet du sol comme s’il ne s’agissait que d’un simple cure-dent.Ce qui est étonnant, c’est que malgré cette grande force, l’éléphant n’essaya plus jamais de se libérer de ce piquet.La perception développée dans sa jeunesse est restée avec lui et l’a empêché d’agir.

Fabienne Bavaud

Non aux animaux de cirqueNom - Prénom Ville Signature

FNMA - 11, rue de l’Ellé - 56770 PLOURAY

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