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Global Fund-ation LE GRAND ENTRETIEN Eric Mansuy Chief Information Ofcer RBC DEXIA Investor Services Bank S.A. EN KIOSQUE - LUXEMBOURG Eur 7.50 SEPTEMBRE 2008 / N°13 LUXEMBOURG : Les meilleures offres d’emploi IT au Luxembourg - P23 ITnance Actual IT Actual IT CCLux L’âme de Fond p.40 Intel 40 ans d’un géant p.44 Citrix Nouvelles promesses p.59 LE GUIDE SPÉCIAL FUND INDUSTRY Fiches entreprise, actu et annuaire

ITnation #13 - septembre 2008

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ITnation Magazine Luxembourg septembre 2008 GRAND ENTRETIEN Eric Mansuy, RBC Dexia

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Global Fund-ation

LE GRAND ENTRETIEN Eric Mansuy

Chief Information Of!cer

RBC DEXIA Investor Services Bank S.A.

EN KIOSQUE - LUXEMBOURG Eur 7.50

SEPTEMBRE 2008 / N°13LU

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: Les meilleures offres d’emploi IT au Luxembourg - P23

IT!nance Actual IT Actual IT

CCLux L’âme de Fondp.40

Intel 40 ans d’un géantp.44

Citrix Nouvelles promessesp.59

LE GUIDE SPÉCIAL FUND INDUSTRY Fiches entreprise, actu et annuaire

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Dans un monde IT extrêmement codifié, vous avez besoin de serveurs aux jambes bien musclées. Nous avons donc octroyé à Windows Server® 2008 des innovations telles que Failover Clustering ou une installation Server Core. De quoi aider à isoler, résoudre et contourner les problèmes, le tout offrant une fiabilité surhumaine. C’est ça le pouvoir réel du serveur sans limite.

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est un magazine

83 rue de HollerichL-1741 Luxembourg Grand-Duché de Luxembourg

T. +352 26 10 86 26F. +352 26 10 86 27E. [email protected] Internet: www.itnews.lu

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Raphaël HenryRédacteurM. +352 691 99 11 [email protected]

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L'IT peut-elle sauver du Credit Crunch ?

Le Credit Crunch est tangible. Malgré les efforts des législateurs à imposer plus de trans-parence et plus de rigueur dans la sphère !nancière mondiale, il apparaît que les mesures actuelles ne soient pas encore suf!santes. Un comble pour l'industrie immobilière, qui ne souffre pas du coût des matières premières, du prix des céréales, du taux de change…

Les plus touchés sont les plus grands, les plus armés, les mieux munis. Mac et Mae, géants américains de l'immobilier, en tête. Venant au secours d'un système encore trop imparfait, l'argent public arrive à point nommé.

Le Credit Crunch contient un paradoxe qui inquiète désormais l'Europe et que l'on peut for-muler ainsi : il n'y a pas de feu... sans fumée. Il semblerait en effet que la meilleure façon de mettre en péril l'économie mondiale est d'embrouiller les affaires dans les processus et une bureaucratie omniprésents, voire envahissants.

Or, le monde qui crie contre cette IT en assiette de spaghettis est lui aussi en défaut. Organisé autour d'un fatras de règles et de mesures, il n'apporte pas, au !nal, les garanties que l'homme de la rue peut attendre. Et souvent, le business a éliminé de l'équation tout sentiment ne se basant que sur la con!ance entre pairs. Aujourd'hui, dans ce monde de co-pétition, la seule signature en bas d'un contrat ne vaut plus: il faut mesurer !

La Business Intelligence sera le thème du guide ITnews, le mois prochain.

Mais qu'en est-il de cette intelligence des affaires, des métiers et des réglementations? L'IT peut-elle aider à y voir plus clair, alors que depuis des années, le business lui a souvent reproché d'être opaque et de limiter son accessibilité à une certaine caste de techniciens? Non, il en fau-dra plus aujourd'hui pour croire que les dirigeants ne savent pas ce que l'IT peut offrir : la vérité. Un mot avec lequel il faut pouvoir compter pour se guider dans un tel sac de nœuds…

Raphaël Henry et Delphine Reuter

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///////// LE GRAND ENTRETIEN

///////// PORTRAIT

EN OCTOBRE 2008… LE GUIDE SERA CONSACRÉ À LA BUSINESS INTELLIGENCEConférence BI : Le 16 octobre 2008 – Espace Entreprise de la Con!serie Namur – Luxembourg HammClôture: 26 septembre 2008 / Rédaction: [email protected] / Régie publicitaire et infos conférence: [email protected]

APSIL’impact du statut unique 31

///////// IT JOBS

///////// ACTUAL IT

Documents@workQuestions de gestion 54ImageJ au CRP TudorDessine-moi l’Open Source 56CitrixVitesse grand V 59itSMFA vot’ Service 60

IntelInnovation !rst 44ArsysINGRES: le come-back 46Conférence TélécomLes piliers du Business 48Clear PriorityGRC : Combinaisons gagnantes 49ITagendaWhat’s on 51Petit-déjeuner SITS FinanceeBanking 2.0 52

///////// IT FINANCE

eBRCFutur one-stop shop 39CCLuxEtoile européenne 40

Sébastien GenescaL’éclat de l’innovation 28

Eric Mansuy, CIO - RBC Dexia IS Global Capacity

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Eric Mansuy, qu'est-ce qui caractérise RBC Dexia Investor Services aujourd’hui ?

Si je devais n’utiliser qu’un adjectif pour caractériser RBC Dexia Investor Services aujourd'hui, je dirais ‘global’. Nous sommes en effet un groupe implanté dans seize pays sur quatre continents - un bureau a ouvert en Malaisie en août 2008. Nos clients sont eux aussi de plus en plus globaux, et nos projets de ce fait suivent cette tendance.

Il s’agit d’une société qui a grandi aussi rapidement…

C’est effectivement une société en pleine croissance qui a vu son portefeuille clients s’accroître de manière signi!cative, notam-ment à Luxembourg. Nous avons en particulier procédé à l’intégration de nom-breux clients durant le premier semestre 2008, et avons également des projets impor-tants prévus d’ici la !n de cette année et pour début 2009.

D’un point de vue interne, nous devons aussi continuer à mener à bien les projets d’inté-gration de nos systèmes. Nous avons lancé dès 2006 des initiatives qui nous ont per-mis d’identi!er nos plateformes cibles. Une bonne partie des projets sont actuellement en phase de réalisation. D’autres viennent d’être approuvés et !gurent désormais dans notre programme d’intégration avec une réalisation prévue entre 2009 et 2011.

RBC Dexia Investor Services est donc très dynamique...

Oui, également en termes d’effectifs avec une croissance de 25% en deux ans. De nombreux employés nous ont rejoints et ce, dans tous les pays. Nous constatons aussi une technicité plus forte dans nos métiers, due à l’évolution des marchés et des besoins de plus en plus sophistiqués, notamment pour les produits dérivés, les structures de fonds complexes,… Cela amène nos équipes, métier et IT, à acquérir cette technicité supplémentaire, à l’automatiser et faire en sorte de la gérer avec qualité.

Comment se comporte le marché aujourd’hui ?

Au niveau de la distribution des fonds, nos clients veulent de plus en plus pouvoir s’ap-puyer sur des structures comme la nôtre pour développer leurs activités en Asie ou distribuer leurs fonds en Europe depuis l'Amérique,… Par ailleurs, ils attendent des services globaux, personnalisés et d’une qualité irréprochable.

Autre tendance, la pression sur les coûts dans un contexte économique où l’on voit la valeur de certains actifs diminuer du fait de la chute des marchés, pouvant ainsi affecter nos reve-nus. Par conséquent, pour rester compétitif, il faut être à même de pouvoir gérer nos coûts ef!cacement. Au niveau informatique, cela signi!e qu’il faut avoir des coûts de déve-loppement maîtrisés et orientés à la baisse, soit par négociations contractuelles, soit par l’appui de partenaires locaux ou à l’étranger.

Ces focus sur les partenariats sont-ils déjà mis en place ?

Il faut pouvoir s’appuyer sur des partenariats locaux a!n de pouvoir allouer en même temps 10 à 15 personnes sur un même projet. Il s’agit de Peak Capacity ; lorsque nous signons un contrat avec un client, il faut pouvoir rapidement travailler sur le projet d'intégration de manière concrète. Il nous faut donc mobiliser des res-sources en interne, mais aussi, souvent, pour ne pas perturber les activités en cours, pou-voir compter sur des partenaires à même de nous apporter des ressources compétentes et connaissant déjà notre environnement. Le fait d’avoir des partenaires limités en nombre permet également à ces prestataires de pouvoir investir sur nos technologies et nos métiers.

Une autre voie, c’est l’externalisation ?

En termes d’outsourcing, nous travaillons principalement avec des sociétés indien-nes. Par exemple, pour notre projet relatif à la banque dépositaire, nous travaillons avec la plateforme de TCS, Tata Consultancy Services. Cette société nous propose l’im-plémentation de sa plateforme NCS (New Custody System), qui est déjà déployée chez d’autres grands acteurs du secteur !nancier

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comme BoNY, BNP Paribas, Standard Char-tered, etc. Cela nous permet de développer une plateforme globale en optimisant les coûts de développement. Nous avons donc des équipes on-shore ici avec nous en sup-port des analyses, et des développements qui sont quant à eux réalisés en Inde.

C’est votre seul cadre de ressources offshore ?

Nous étudions également d’autres pistes, avec les mêmes acteurs ou d’autres, pour avoir des capacités plus fortes sur certains aspects, et à coût égal. Notre objectif n’est certainement pas de sortir notre informati-que de RBC Dexia, mais plutôt de pouvoir compter sur des solutions alternatives pour absorber ces pics de capacité, et de pouvoir aussi challenger nos prestataires locaux. En Inde, il n’y a pas de compromis sur la qualité mais bien la recherche d’un meilleur coût..

Par exemple, sur quels domaines pourriez-vous envisager ces pistes ?

C’est valable pour l’ensemble de nos activi-tés. Le marché est déjà orienté dans cette direction. Je pourrais prendre un autre de nos piliers qui est la comptabilité de fonds, avec la solution Multifonds. Ige!, son éditeur, possède son centre de développement à Bangalore depuis plusieurs années.

Si l’on regarde l’intégration de nos clients, cela se passe de plus en plus via des inter-faces, du reporting, etc. Nous le faisons essentiellement en interne aujourd’hui. Nous pourrions aussi le faire en partie depuis d’autres localisations demain.

Pour quelles raisons envisagez-vous l’externalisation ?

Nous devons être à même d’adresser les besoins, et si l’on regarde les ressources

disponibles à Luxembourg, il est dif!cile de trouver les ressources compétentes sur la bonne technologie, et disponibles au bon moment. Il nous faut donc être ouverts à toutes les options. En revanche, il ne faut pas partir à l’aventure en déléguant des projets sensibles. Il faut donc y aller par expérimentation. Et nous le faisons avec des acteurs de poids : c’est TCS, avec qui nous avons entretenu une longue relation avant la signature du contrat, qui nous occupe actuel-lement ; ou iGate, déjà partenaire de RBC, que nous utilisons pour faire du testing. Ce sont des solutions et des acteurs éprouvés. Cela nous permet de créer avec ces fournis-seurs une relation forte. C’est un moyen pour nous d’être reconnus comme un acteur de poids. C’est donc bien dans un objectif d’ac-croissement de nos capacités plutôt que de délocalisation de ressources que nous envi-sageons l’externalisation.

Dans cette globalisation, aussi des achats, pouvez-vous béné!cier d’un levier d’action avec vos deux partenaires - actionnaires ?

Oui, absolument. Les leviers seront différents en fonction des activités. Si on reste sur le thème de la globalisation, les effets auront lieu plutôt sur des aspects offshoring, etc. Mais plus encore, de nombreux projets sont menés ici avec nos ressources. Une syner-gie aura donc plus lieu sur les logiciels ou les plateformes que nous avons en commun.

Murex, par exemple. Dexia possède cette solution et RBC également. Cela veut dire qu’au niveau du contrat ou au niveau du hos-ting, nous pouvons travailler ensemble. Par ailleurs, nos centres de calculs sont héber-gés chez DTS (Dexia Technology Services) à Luxembourg et chez RBC à Toronto. Cela nous permet deux choses : primo, de pouvoir nous appuyer sur des acteurs de poids qui travaillent eux-mêmes sur des synergies et

se font benchmarquer à l’extérieur. Ils évo-luent pour délivrer des services, eux aussi, de plus en plus globaux et à meilleur coût. Secundo, avoir deux prestataires nous per-met de prendre les meilleures décisions, pour des raisons de coût ou de fonctionnement IT, par exemple en fonction de la localisation des utilisateurs ou des plateformes.

Nous avons !nalement un panel assez large d’expertise et de choix, et nous développons aussi, avec nos actionnaires, une relation équilibrée. Nous leur offrons des services, tant pour Dexia Asset Management que pour RBC Asset Management, et nous sommes également demandeurs de services - en tant que client, ce qui fait que cela se passe très bien au quotidien.

Quel est le poids IT en fonction de vos différents métiers ?

Il y a plusieurs manières de quanti!er ce poids. Si l’on parle en termes de ressources impliquées par projet, c’est Sara qui est en tête. Cette application-maison a son origine ici, à Luxembourg, et avait déjà été déployée en Asie avant la joint-venture. Nous l’avons ensuite introduite en Australie et nous par-lons aujourd’hui de projets très concrets au Royaume-Uni. Cela nous permet de gagner des clients qui attendent la même plateforme et les mêmes services de par le monde. Finalement, on suit le client… comme pour Goldman Sachs par exemple.

Sur le pilier Custody ?

Il y a là beaucoup de développements internes sur nos différentes plateformes, notamment au Canada. Mais nous sommes désormais dans un mouvement de consolidation en raison du projet NCS avec une contribution importante de RBC Dexia: Business Analysts, testeurs, … On ne construit pas la plateforme; on la co-construit avec un partenaire.

BUSINESS DECISION MAKER

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Quant au métier du Fund Accounting ?

Au Canada comme au Luxembourg, nous sommes en relation avec des fournisseurs, avec qui nous travaillons en bonne intelligence. Quelquefois, nous sommes les premiers à sui-vre une problématique sur un pays donné, et nous l’adressons alors à l’éditeur. Typiquement, notre !liale française termine sa migration sur Multifonds, et d’autres acteurs pourraient suivre le mouvement et implémenter cette plateforme dans l’hexagone. En Allemagne ou en Angleterre, c’est le contraire : d’autres clients travaillent avec Ige! pour développer des modules, qui nous sont alors accessibles à un coût moindre.

Avez-vous d’autres grands engagements métier ?

Oui, notamment sur le Security Master File. Nous avons un service de pricing et une application centrale au niveau des titres qui a été développée, à l’origine, à Luxembourg. Elle est devenue un standard au niveau du groupe, ce qui nous a permis de réaliser des économies d’échelle en distribuant de l’information !nancière en interne, vers les structures de nos actionnaires – par exem-ple Dexia AM, et vers nos clients à travers les services de valorisation.

C’est une plateforme qui nous permet aussi de pro!ter de notre capacité globale. Ainsi, nous prestons le service de pricing à Singa-pour en avance par rapport aux marchés européens, ce qui signi!e que nous pou-vons collecter les prix et préparer les VNI’s six heures à l’avance et en valoriser certaines en Asie. Lorsque nos comptables à Luxembourg arrivent le matin, ils peuvent ainsi commencer leur journée avec des prix qui sont validés et reconnus comme étant de qualité. Il y a quelques années encore, ils devaient attendre que le département pricing ici à Luxembourg fasse son travail entre 5 et 7 heures du matin. Le moindre retard risquait d'impacter le pro-cessus. Aujourd’hui, nous avons six heures de marge. Tout en sachant que les deadli-nes ont tendance à se réduire. Cela pousse quelque peu les exigences, et nous devons donc être créatifs en nous appuyant sur notre réseau : c’est l’intérêt d’être global.

Avez-vous des priorités par excellence ?

Nous avons pu, assez tôt, dé!nir quelles étaient nos plateformes de choix. Nous som-mes toujours sur cette vague de déploiement de solutions au niveau global. Ce premier week-end de septembre, nous venons de démarrer au Canada la plateforme globale de Securities Lending. Ainsi, tout l’inventaire des

actifs est désormais centralisé au Canada et utilisé par nos !liales, dont celle d’Amsterdam par exemple, avec une conservation qui peut être déployée ici à Luxembourg, au Canada ou dans d’autres juridictions.

Quelles étaient les initiatives programmées à la joint-venture ?

Elles étaient au nombre de six. Il s’agissait d’abord de nos projets Bâle II pour les ques-tions réglementaires, du projet NCS, le Web Channel et l’initiative Securities Lending. Deux sont particulièrement en cours actuellement : la Global Derivative Platform et la plateforme de reporting.

Quelques précisions sur ces deux dernières décisions. D’abord cette plateforme globale pour les produits dérivés ?

Pour cette plate forme, nous avons fait le choix de Murex. Nous serons ainsi l’un des premiers administrateurs de fonds à se doter de cette capacité. Nous allons ainsi pouvoir prester des activités de pricing, notamment pour les pro-duits dérivés ou OTC (Over The Counter) - non cotés -, ou pour les produits structurés. RBC Dexia investit donc dans des capacités simi-laires à celles de salles de marché et à ce que des Asset Manager importants peuvent avoir.

Et si nous cultivions les services sur mesureessentiels pour optimiser vos investissements ?

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Et si nous cultivions les services sur mesureessentiels pour optimiser vos investissements ?

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De plus en plus, les réglementations impo-sent des capacités de pricing indépendantes et cela demande souvent au dépositaire d'as-sumer cette capacité. C’est, à l’origine, une solution front of!ce de salle de marché qui traite les produits dérivés, les options, les futures, le Forex, le Money Market, et toute la palette de produits de marché. Nous allons l’utiliser dans le contexte des produits déri-vés, OTC, pour le pricing dans un premier temps, en intégration avec notre plateforme, et puis en remplacement des solutions que nous avions déjà mises en place.

A l’heure actuelle, nous offrons à nos clients la solution Arpson, que l’on utilise à Luxembourg et dans d’autres pays. Mais comme nous vou-lons anticiper la croissance et la complexité des produits et éviter au mieux les tâches manuelles, nous souhaitons nous doter dès maintenant d’une plateforme qui permettra d’avoir un pricing reconnu sur le marché. C’est un signal fort que l’on donne à nos clients exis-tants et aux clients potentiels.

Un autre projet d’ampleur tourne autour du reporting.

Nous avons actuellement des infocentres et des capacités de reporting qui ne sont pas centralisées ou identiques entre le Canada et le Luxembourg. Pour pouvoir offrir à NCS, à Murex ou à d’autres un produit consolidateur,

nous avons fait le choix de la plateforme Gol-denSource - aussi un leader sur son domaine d’activité - que l’on commence à implémenter dans le monde du Custody, en collaboration avec TCS et GoldenSource, pour pouvoir produire et diffuser les premiers reportings sur la plateforme existante.

Vous avez également mentionné le projet Web Channel. Qu'en est-il et quel est l’enjeu ?

C’est un projet actuellement en cours visant à fournir à nos clients une plateforme inter-net intégrée afin qu’ils puissent accéder à différents types de services, comme la récupération de reportings, l’extraction de données, la saisie ou le chargement de tran-sactions, automatisées ou non. Nous avons mis en place les premiers pilotes au début de l’été et nous avons désormais un plan de déploiement qui est amorcé, ainsi qu’un plan de désengagement de nos plateformes histo-riques qu’étaient DFS Online (à Luxembourg) et View Finder (au Canada).

L’enjeu est simple : One Face to the Mar-ket. Aujourd’hui, RBC Dexia, groupe uni!é, a toujours deux plateformes desservant nos clients. L’objectif est d’avoir une seule vitrine qui puisse intégrer l’ensemble des platefor-mes existantes ou à venir. D’un point de vue technique, c’est une activité qui est essentiel-

lement basée à Toronto, où nous travaillons avec une société locale, IntelliWare. Ils ont une très bonne expertise technique et un grand dynamisme. Ils nous suggèrent beau-coup d’innovations, ce qui nous a permis de dé!nir une plateforme technique reposant sur des standards de marché et de l’open source via des solutions propriétaires telle que Busi-ness Objects.

Avant de passer au déploiement, nous avons comme objectif de maintenir le service que nous délivrons aujourd’hui et surtout d’en faire plus. Nous visons avant tout la réac-tivité et la "exibilité pour le client. L’objectif est bien de lui offrir un univers de données pour qu’il puisse extraire les champs dont il a besoin, sélectionner l’information qui lui est nécessaire et le format utile et ce, de manière ponctuelle ou bien permanente. Il s'agit donc autant de requêtes ad-hoc que de l’alimen-tation d’infocentres de nos clients et de leurs plateformes de gestion d’actifs, avec les der-nières valorisations, les VNI's, la position du portefeuille, etc. qui leur permet de réconcilier avec leurs propres outils.

C’est donc de la pure Business Intelligence…

On est en plein dans le domaine BI avec des plateformes d’extraction de données qui délèguent aussi à nos utilisateurs internes et

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à nos clients des capacités de pouvoir répon-dre eux-mêmes à leurs propres besoins. On pourrait dire que c’est de la Mass Customiza-tion : offrir des outils qui permettent à chacun de trouver son propre besoin, avec toutes les facilités possibles. Cela comprend les univers de données qui sont nécessaires et suf!-sants, compréhensibles, documentés et avec l’assistance en interne. Pour le spéci!que ou le complexe, nos équipes continueront à réa-liser au cas par cas.

Avec quel agenda ?

Nous avons construit cette plateforme l’an-née dernière, et nous disposons aujourd’hui d’un pilote pour la première phase, qui tourne chez six clients canadiens. Nous avons prévu autant de clients en pilote à Luxembourg pour ce mois de septembre. Nous visons des fonctions de Pregenerated Report, donc du reporting qui était produit en batchs. Une fois que le pilote est !nalisé et approuvé, nous faisons le roll-out vers les clients qui n’utilisent que ce type de fonctionnalités aujourd’hui.

Dans une seconde étape, on trouvera les Interactive Reports, qui permettront aussi de faire des rapports à la demande et d’avoir des options sur les formats de sortie sur une période donnée (comme le même rapport, une fois en quotidien, une fois en hebdoma-daire). En!n, nous couvrirons les transactions. Nos clients varient, depuis ceux qui sont très automatisés et qui veulent envoyer des !chiers massifs à ceux qui vont de temps en temps saisir une transaction ou qui n’ont qu’une partie de leur organisation souhaitant interagir avec nous en temps réel.

Il y a des facilités de saisie interactive, comme on en connaît sur les plateformes internet bancaires mais aussi des capacités de télé-chargement de !chiers. Nous avons un plan de désengagement des plateformes existan-tes prévu dès le début de l’année prochaine. Nous avons aussi établi des plans à l’Hori-zon 2 et 3, qui seront constitués de nouvelles fonctionnalités, après le bilan de la première phase et les feedbacks de nos clients.

Avez-vous déjà des ingrédients pour les recettes de ces phases 2 et 3 ?

Je crois qu’il faudra aller beaucoup plus loin dans la "exibilité de l’outil d’extraction de don-nées et de plus en plus en temps réel. Il faudra intégrer les plateformes que l’on a aujourd’hui, dans le monde back-of!ce par exemple, pour qu’elles puissent communiquer avec le web. Il faudra aussi tenir compte des évolutions, donner des features externes à notre activité qui permettront à l’utilisateur de dé!nir sa page, ses rapports importants, éventuelle-ment d’ajouter des !ls externes comme des news, des cotes de marchés, etc. Donc bien plus que le reporting de la veille…

Quels sont les outils sélectionnés pour cette BI moderne ?

Ce sont des outils basés sur Java et serveurs d’applications standards du marché - il s’agit de Websphere chez nous -, et BO (Business Objects) comme plateforme de choix pour

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l’extraction de données. Après, en fonction des besoins, il nous faut pouvoir trouver rapidement la solution qui convienne, dans les conditions de sécurité que nous avons dé!nies et que nous validons par des tests externes, des audits d’intrusion, etc. Nous comptons aussi sur l’appui de nos action-naires qui ont eux aussi leur approche en termes de sécurité. Il ne faut pas oublier ces aspects-là, surtout quand il y a échange de transactions.

Sur la partie infocentre, avez-vous des synergies avec par exemple Dexia-Bil, qui a aussi un environnement de pointe en la matière ?

En effet, l’infocentre de Dexia-Bil est plus qu’in-téressant. Nous utilisons la même plateforme back-of!ce qui est BLS. Celle-ci alimente les infocentres de Dexia-Bil et également d’autres

plateformes comme Fermat pour Bâle II, etc. Nous nous appuyons donc sur ces chaînes techniques qui ont été mises en place. Nous avons une relation forte en matière de dévelop-pement avec Dexia Bil, qui, au-delà de BLS, gère des plateformes telles que Corona pour la réconciliation ou Kondor+. Nous nous appuyons sur leur expertise, c’est évident. Lorsqu’on a construit le modèle, on essaie de ne pas le reproduire inutilement. Nous avons donc bien des contrats de services, tant avec Dexia-Bil qu’avec RBC, sur des projets que nous avons initiés ou qu’eux ont amorcés. Ainsi Dexia-Bil fait évoluer sa plateforme Swift pour laquelle nous contribuons en participant aux tests en tant qu’utilisateur important de la plateforme, mais aussi en !nançant une partie du projet puisqu’ils agissent pour nous également en tant que prestataires de service. Nous nous appuyons sur leurs solutions mais aussi sur leurs contrats pour avoir les meilleures conditions.

Collaborez-vous encore avec vos partenaires/actionnaires sur d’autres sujets ?

Oui, à Luxembourg, sur des aspects comme le mainframe back-of!ce; aussi, toutes les activités qui sont prestées sur Focus tour-nent toujours sur BLS, ce qui nous offre une grande stabilité. Dans la salle de marché, nous utilisons Kondor+ et travaillons encore avec Dexia-BIL pour faire évoluer la plate-forme; idem avec Corona. C’est encore le cas avec la plateforme de gestion documentaire, Documentum, qui est partagée aujourd’hui avec Dexia BIL et pour laquelle nous avons opéré le choix d’évoluer dans le même sens au Canada. Nous utilisons aussi la même connectivité entre Toronto et Luxembourg pour l’échange de messages entre applica-tions, avec MessageBroker d’IBM, choisi à l’origine par Dexia-BIL.

Il y a aussi DTS…

Oui, DTS est notre prestataire commun. On peut avoir des applications RBC-Dexia sur des serveurs consolidés que l’on peut uti-liser en toute sécurité par une ségrégation des activités et ce pour réduire les coûts ou pour conserver beaucoup de puissance ou de capacité. C’est le cas sur Multifonds par exemple, pour laquelle nous avons la capacité d’ajouter de la puissance de façon relative-ment "exible. DTS investit dans ce sens de manière régulière et suit nos besoins.

Avec des solutions de virtualisation…

Tout à fait. Ils sont vraiment à la pointe du marché et leur offre est toujours très perti-nente d’un point de vue de l’infrastructure, mais aussi en termes de sécurité, redon-dance, DRP…

Votre rôle au sein de RBC Dexia est global. Quelle est votre vision d’ensemble ?

Être global, c’est être présent dans les juridic-tions où nous avons des enjeux importants ; c’est également être présent au début des projets, au moment du choix de l’organisa-tion, des solutions, l’élaboration du planning

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et des budgets. Il faut garder le framework en tête et bien connaître les pré-requis, pour avoir un !l rouge. C’est important d’être là au début pour avoir les bons relais par la suite.

Culturellement, l’intégration se passe très bien. Nous sommes pragmatiques a!n d’ob-tenir rapidement des résultats concrets. Les milestones sont bien dé!nis, les plans sont formatés sur un délai de 6 ou 12 mois pour le delivery; nous évitons à tout prix les pro-jets de trois ans qui se font dans une tour d'ivoire et qui, à la !n, ne correspondent plus aux besoins. Comme nous avons des projets globaux, cela permet aussi d’aligner tout le monde sur les mêmes objectifs. Nous avons commencé cette démarche très tôt, avant même l’of!cialisation de la joint-venture. Fin 2005, nous avions déjà un premier projet sur Multifonds au Royaume-Uni.

Cela nécessite-t-il une organisation adaptée ?

Il ne suf!t pas d’avoir des projets communs, il faut aussi une organisation. La nôtre est d’ailleurs en train d’évoluer depuis une somme d’entités locales vers une organisation fonc-tionnelle. C’est une initiative que nous avons annoncée !n juin, quant à l’orientation et les rôles des personnes qui en seront en charge. Nous avons travaillé pendant l’été pour af!ner cette organisation et nous annoncerons mi-septembre le niveau suivant de la structure, avec des responsabilités globales et non plus locales. Cela concernera également l’organisa-tion de notre budget ou notre approche client. Un autre axe sera d’organiser notre réseau de !liales. Nous sommes présents dans 16 pays et nous avons une dizaine de respon-sables IT locaux. Il faudra les intégrer dans les deux directions a!n de déterminer mieux ce qu’ils font, quels sont leurs budgets, quels sont leurs projets, comment ils sont impactés par les actions du groupe, etc… Ceci pour les faire participer à des projets globaux.

Le niveau suivant de la structure sera orienté de plus en plus vers des centres de compé-tences. Si nous prenons le web en exemple, aujourd’hui, nous avons une équipe ViewFin-der au Canada et DFS Online à Luxembourg, qui travaillent sur un projet commun. Demain,

nous aurons un responsable dans le groupe pour cette nouvelle application RBC Dexia Online. Même chose pour le Custody, avec un responsable de la plateforme NCS. Idem pour la BI avec un responsable EDM… Mais il n’y aura pas que des centres de compé-tences non plus, car il y aura toujours des applications purement locales et qui ne font

pas de sens d’être mises sous la gouver-nance d’un responsable qui se trouverait ailleurs. Dans cette organisation, nous avons aussi un groupe Transition Applications, qui a pour mission d’assurer la maintenance, au meilleur coût, et de préparer le désenga-gement des anciennes applications vers les nouvelles plateformes.

16 SEPTEMBRE 08

BUSINESS DECISION MAKER

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Quel est votre poids IT dans le métier RBC Dexia Investor Services ?

Nous faisons partie intégrante du métier. Nous travaillons avec eux à la fois pour des petites demandes clients et de grandes intégrations. In !ne, nous travaillons pour construire une plateforme qui sera offerte aux clients. Nous avons de ce fait une rela-tion étroite avec les sales, notamment dans le cadre de RFP pour convenir ensemble de solutions et de dates en commun. Il est important pour eux de savoir que l’IT est aligné. Si nous regardons par exemple nos track records, ceux-ci attestent que nos qua-tre clients intégrés à Luxembourg au mois de juin l’ont été en temps et en heure. C’est aussi la même approche avec nos collègues des opérations: une nouvelle plateforme implique que nous travaillions avec eux pour dé!nir les spéci!cations, effectuer le testing, gérer la transition, désengager les platefor-mes et migrer nos clients. Cela suppose une bonne compréhension des services que l’IT offre. Le tout sans oublier nos collègues du risque, de la communication, des ressources humaines et d’autres encore…

De nombreux challenges en perspective.

Nous avons en effet un portefeuille de projets important, qui s’est traduit par une croissance de nos équipes, des spécialisations, de nouvel-les technologies, plus de procédures, plus de rigueur, et plus de complexité. Cela demande un plus grand professionnalisme, une bonne structure et maturité en termes de gestion de projets – nous avons un PMO qui se renforce également. Nous sommes sur la bonne voie, preuve en est notre certi!cation CMMI.

Comment envisagez-vous votre position dans le climat actuel ?

Il y a deux aspects. La baisse des marchés impacte nos revenus qui sont calculés en partie sur des basis points, des pourcentages des actifs. Cela veut dire que nous devons être attentifs.

Mais il faut aussi y voir là une certaine oppor-tunité. Alors qu’une activité pouvait être intéressante à l’époque chez eux en interne, nos clients - eux-mêmes dans un contexte économique dif!cile - sont aujourd'hui plus tentés d’outsourcer vers des professionnels.

En tant que prestataire de services global !gurant parmi les 10 plus grandes banques dépositaires, nous avons l’échelle suf!sante pour leur offrir des solutions dans lesquelles ils ne pourraient investir seuls. Tout le monde ne peut par exemple pas investir dans une plateforme NCS ou Murex. Nous avons également l’expertise interne et sommes totalement au fait du cadre réglementaire, dont la pression est de plus en plus forte. Il est donc intéressant pour certains asset managers, banques, ou institutionnels de nous con!er leurs activités.

Le "ux de demandes est actuellement assez important. Cela veut dire que nous devons aussi nous doter des capacités pour inté-grer ces nouveaux clients. Si l’on regarde le nombre de mandats remportés au premier semestre 2008, et les objectifs en cours sur lesquels nous sommes en phase, je ne suis pas fondamentalement inquiet pour l’avenir, d’autant que nous avons un important projet qui démarre sur Luxembourg et un autre qui démarre tout juste au Canada. Les cycles de vente sont assez longs et selon la taille de projets, les processus de migration sont de trois, six, douze ou même de dix-huit mois.

On pourrait aussi imaginer que dans un contexte de fusion/acquisition sur le secteur, certains de vos clients vous demandent des montées en puissance ?

Absolument. Nos clients nous aident à gran-dir. Nous avons eu certains cas de fusion ou d’acquisitions chez des clients. Cela amène plus d’actifs mais parfois aussi de la conso-lidation. C’est aussi pour cela que l’une de nos priorités est d’aider nos clients à se déve-lopper sur de nouveaux marchés, élément essentiel de ce cercle vertueux.

18 SEPTEMBRE 08

BUSINESS DECISION MAKER

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Claude Demuth, responsable du développement et de la promotion de TERALINK chez l'EPT

Netline et Datacenter Luxembourg se branchent sur TERALINKPour étendre son offre d’interconnexion internationale, Netline a choisi le réseau TERALINK, vitrine du nouveau dynamisme de l’Entreprise des Postes et des Télécommunications.

TERALINK est progressivement devenu l’un des instruments décisifs pour l’EPT, qui assume un rôle proactif dans le développement de la connectivité. «Nous voulons être un moteur de croissance pour l’économie luxembourgeoise, déclare Claude Demuth, responsable du développement et de la promotion de TERALINK chez l’EPT. Le tout est d’oser.» A l’heure actuelle, l’ensemble des datacenters au Luxembourg sont accessibles depuis TERALINK. Ainsi, Netline, société spécialisée entre autres dans les solutions d’hébergement, d’interconnexion de réseaux et de sécurité, a choisi le réseau des P&T pour développer son offre vers les pays limitrophes.

Dans la continuité de son développement international, Netline doit connecter son réseau luxembourgeois à son réseau exis-tant européen. La société avait donc besoin, pour ce faire, de mettre en place deux !bres optiques redondantes par deux chemins dif-férents. En souscrivant à l’offre TERALINK, Netline dispose désormais d’une liaison !bre optique 1 Gbit/s vers l'un de ses points de présence (POP) à Paris ainsi qu'une autre liaison 1 Gbit/s vers Amsterdam, avec la pos-sibilité d'upgrader ces liaisons à l'avenir, en fonction de l'évolution de ses besoins (jusqu'à 40 Gbit/s), sur base de l'infrastructure déjà mise en place. Netline peut ainsi étendre son offre d’interconnexion internationale à plus de dix pays européens ainsi qu’aux Etats-Unis. La société va aussi pouvoir développer les activités de son département Broadcast & Digital Media.

PROMOUVOIR LE LUXEMBOURG

Suite au peering direct avec Google et à l’arrivée des acteurs in"uents du streaming, Level 3 Communications et Global Crossing,

TERALINK va renforcer les partenariats en place. Il est donc clair que le développement du réseau haut débit par l’EPT est devenu essentiel dans la stratégie promotionnelle du Luxembourg en tant que ‘best place for doing business’.

Le réseau a aussi été conçu pour faire face aux besoins de connectivité. La consomma-tion sans cesse accrue de bande passante par l’e-commerce, les Rich Internet Appli-cations et le streaming exige en effet une infrastructure !able et une connexion rapide pour assurer l’accès à l’information.

«Ce projet nous donne la possibilité d’être compétitif vis-à-vis de nos concurrents établis à Francfort, Paris, Amsterdam ou Londres», déclare Marco Houwen, Adminis-trateur Délégué de Datacenter Luxembourg, qui a conclu un partenariat avec TERALINK en février 2008. Passant par sept grandes villes européennes, TERALINK relie ainsi Luxembourg aux grands marchés !nanciers et points d'échange Internet.

20 SEPTEMBRE 08

BUSINESS DECISION MAKER

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vous maîtrisez la méthodologie ITIL, les méthodes de gestion de projets ainsi que le secteur de la sécurisation des données informatiques, idéalement en milieu bancaire. Votre environnement technique est issu de l’infrastructure

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Le statut unique impactera aussi l’ITL'introduction du statut unique, le 1er janvier 2009, nécessitera des adaptations des logiciels de gestion des ressources humaines et ce, dès le 1er octobre 2008.

Approuvée le 29 avril 2008 par la Chambre des Députés, la loi portant introduction d'un statut unique pour les salariés du secteur privé entrera en vigueur le 1er janvier 2009. Cette loi modi!era le code du travail, le code des assurances sociales et provoquera des changements importants au niveau des échanges des entreprises avec le Centre Commun de la Sécurité Sociale (CCSS). De plus, ces changements forceront les entreprises à procéder à des adaptations de leurs logiciels de gestion des ressources humaines et ce, surtout au niveau des données à produire lors des déclarations des salaires.

En effet, au niveau des déclarations des salaires, les entreprises demeurant au Luxembourg ont aujourd’hui l’obligation de déclarer le salaire brut (heures supplémen-taires incluses), les grati!cations, le chômage intempéries et le chômage conjoncturel lors de leur déclaration mensuelle des salaires. Or, dès le 1er janvier 2009, elles devront être en mesure de déclarer séparément :

la rémunération de base les compléments et accessoires payés mensuellement en espèces ; la rémunération des heures supplémentaires (sans majorations) ; les grati!cations et autres avantages en espèces et en nature.

D'un autre côté, le chômage intempéries et le chômage conjoncturel ne seront plus à décla-rer séparément et les majorations de salaire sur les heures supplémentaires ne seront plus considérées. En outre, les employeurs devront dorénavant déclarer mensuellement le nombre exact (nombre entier) des heures de travail effectivement prestées. Toute décla-ration sur base de la moyenne mensuelle de 173 heures sera refusée par le CCSS.

DÈS LE 1ER OCTOBRE

Le statut unique entraînera également certains changements au niveau de la décla-ration d'entrée. En effet, avec la disparition des deux statuts professionnels, il n'y aura plus lieu d'indiquer le régime «ouvrier» ou «employé». Or, l'employeur sera toujours tenu d'indiquer si le salarié procède à une activité manuelle ou non. Cette indication ne sera plus nécessaire pour des embauches à partir du 31 décembre 2013.

En!n, les employeurs seront appelés à indi-quer le début et la !n de la période d'essai, a!n qu'ils puissent pro!ter de la nouvelle disposition de la loi sur le statut unique. La loi prévoit une prise en charge des salaires, en cas de maladie, par la caisse de maladie pendant les trois premiers mois de la période d'essai.

Plus de détails surhttp://www.ccss.lu/statutunique/index.html

Janin Heniqui, porte-parole de l’APSI

SEPTEMBRE 08 31

BUSINESS DECISION MAKER

Page 32: ITnation #13 - septembre 2008

Vincent Schaus, Business Development Manager chez Logica

ITjobs, deuxième opusEn mars 2008, le salon ITjobs, organisé à l'occasion du lancement du site ITjobs.lu, avait drainé plus de 300 personnes. A l'approche du prochain salon qui se déroulera !n novembre, trois participants ont partagé leurs impressions sur ce concept original de recrutement.

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Pourquoi avez-vous participé au salon ITjobs?En tant que recruteur, j’étais évidemment inté-ressé par le concept. Mais Logica participait dans un contexte plus large de communi-cation, puisque trois semaines plus tôt nous avions changé de nom et de logo.

Quel souvenir avez-vous gardé du salon ?J’ai été surpris par le succès de l’événement et la qualité et le dynamisme de l’organisa-tion. Le nombre important d’inscrits a montré l’intérêt des candidats et des différentes sociétés. Les gens circulaient entre les stands et les rencontres se faisaient naturellement. Chez Logica, nous avons été étonnés par la diversité des candidats, venus de France ou de Belgique, qui auraient sans doute été dif-!ciles à atteindre si le salon ne les avait pas attirés. C’est à nous, par la suite, de tester leur engagement à venir au Luxembourg.

Comment cela s’est-il passé ensuite ?Nous sommes rentrés avec une cinquan-taine de CV et ensuite, nous avons rencontré une dizaine de personnes. Le salon nous a permis de nous faire connaître auprès des candidats, de communiquer autour de notre re-branding et en!n de faire du networking auprès de clients et des prospects présents.

32 SEPTEMBRE 08

Page 33: ITnation #13 - septembre 2008

Michaël Frippiat, 32 ans, Product Leader, IT development, ICT application Support

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Pourquoi avez-vous participé à ITJobs ?J’ai reçu une invitation personnelle. Comme j’avais entendu parler de ce salon via plu-sieurs portails web, j’ai tout de suite accepté et je suis venu.

Quel souvenir avez-vous gardé du salon ?Sa convivialité. Je dois avouer que celle-ci m’a positivement surpris car elle ne collait pas du tout avec l’image rigide que j’avais du recrutement. Les recruteurs étaient en nombre et les participants pouvaient choisir entre le coin plus «party» et les stands pro-prement dits.

Comment cela s’est-il passé ensuite ?Mon tout premier contact sur le salon, je l’ai eu avec KBL European Private Bankers. Cette rencontre s’est révélée être la plus inté-ressante car elle correspondait à ce que je recherchais. Originaire de Namur en Belgique, j’avais repris des études et je voulais m’éva-luer par rapport aux besoins du marché. Le dialogue avec la consultante m’a permis de briser la glace et de modi!er aussi mon opi-nion par rapport au Grand-Duché. Un mois plus tard, le temps de passer mes examens, j’avais mon premier entretien.

SEPTEMBRE 08 33

Page 34: ITnation #13 - septembre 2008

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Pourquoi avez-vous participé à ITJobs ?Une connaissance y participait en tant que recruteur et m’a suggéré de m’y inscrire. J’ai suivi son conseil. Je suis au Grand-Duché depuis trois ans et je voulais connaître l’état actuel du marché ainsi que ses opportunités.

Quel souvenir avez-vous gardé du salon ?L’atmosphère était conviviale et informelle. Le fait que de nombreux recruteurs étaient présents sur les différents stands rendait les rencontres plus interactives. Je recherchais le contact humain et ce salon a exac-tement répondu à mes attentes.

Comment cela s’est-il passé ensuite ?J’ai eu un rendez-vous peu après et, deux mois plus tard, j’étais engagé chez KBL Euro-pean Private bankers.

Thierry Verly, 26 ans, Product Leader, Taxes, ICT Application Support

Prochain salon ITjobs en novembreContacts: [email protected] ; [email protected]

ITjo

bsSa

lon

34 SEPTEMBRE 08

Page 35: ITnation #13 - septembre 2008

Le recrutement d’un excellent collaborateur n’est plus une question de chance.

IT Recruitment & Consulting

CABINET DE RECRUTEMENT SPÉCIALISÉ EN ICT AU LUXEMBOURG

[email protected]

Lancelot LuxembourgTél : +352 26 38 93 57www.elancelot.com

ITN_Pub_lancelot_septembre.pdf 12/09/08 20:15:01

Page 36: ITnation #13 - septembre 2008

Envoyez votre nomination à [email protected]

MARC FOSSÉPREZDevient Directeur Général d'Infotechnique

Il poursuivra la croissance

de la société au Benelux.

Ayant rejoint Infotechnique

en 2007 en tant que

Consulting & IT Manager,

il a contribué de manière

signi!cative à l'extension

des activités d'Infotechnique

en Belgique et en France.

Il remplace Bernard Geubelle.

YVES STEINBUSCHNommé General Manager de Callataÿ & Wouters Luxembourg

Il aura objectif de poursuivre

les investissements déjà

entrepris tant au niveau de

l’agrément PSF, que de

l’offre SaaS (Software-as-

a-Service), sans oublier

le Centre de Support

International, basé depuis

peu au Grand-Duché.

FRANK BACKDevient General Manager Suisse-Autriche-Allemagne pour C&W

Il développera le marché

dans ces différentes

régions. Sa nomination fait

partie d'un business plan

ambitieux de Callataÿ &

Wouters pour pénétrer cette

région stratégique avec leur

solution bancaire modulaire

"Thaler run on SAP"

JEAN RACINENommé Sales Manager chez euroscript Luxembourg

Il sera responsable du

développement de la

société, en particulier de la

gestion documentaire et de

contenu, et de l’ILM. Il a 17

ans d’expérience dédiée à

l’IT, notamment auprès de

Telindus PSF Luxembourg,

de Compaq et de CETREL

AMAURY DE VIVIESEst nommé responsable des opérations d'Altran sur le Luxembourg

Il a rejoint le Groupe

Altran à Luxembourg en

2001 comme consultant

puis comme Manager.

Il aura désormais pour

rôle de poursuivre le

développement des

activités de la société

et de décliner le projet

d'entreprise du Groupe au

marché luxembourgeois.

FABRICE HAYODevient Junior Consultant chez Comparex Luxembourg

Son diplôme de Technicien

Supérieur Gestionnaire de

Ressources Informatiques

en poche, il a développé

ses connaissances IT grâce

à ses formations et ses

stages auprès de différentes

sociétés avant de rejoindre

Comparex Luxembourg.

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Carr

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/////////////////////// IT FINANCE

> eBRC se destine à devenir un one-stop-shop pour mieux favoriser l'agilité de ses clients p39

> CCLux en route pour jouer un rôle au niveau européen dans les Fund Processing Passports p40

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Page 38: ITnation #13 - septembre 2008

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The Netherlands October 8Luxembourg October 16Belgium November 6

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Page 39: ITnation #13 - septembre 2008

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«On essaye d’être les yeux et les oreilles de nos clients», résume Candi Carrera. eBRC peut ainsi détecter des modifications de performance lorsque les capacités d’ab-sorption de l’information ou la croissance du nombre de transactions pourraient devenir problématiques. «Les fonds nous poussent à être extrêmement réactifs, dit Candi Car-rera. Les fonds ont des besoins particuliers ; il faut assurer la disponibilité pour publier les VNI, la performance de leur plateforme et la con!dentialité de l’information».

Or, le secteur des fonds prend de plus en plus d’ampleur au Luxembourg. Si environ un tiers des clients ayant outsourcé leur infor-matique chez eBRC sont des fonds, certains sont des sociétés étrangères établies en tant que PSF. «La volonté du Luxembourg est de servir également ce type de client et de devenir le centre d’excellence pour les sociétés étrangères», rappelle Candi Car-rera. En tant que datacenter, eBRC repose sur des structures redondantes et béné!cie d’une connectivité importante à travers le réseau TERALINK. De plus, la société peut conseiller ses clients afin, par exemple, d’identi!er les domaines ou processus criti-ques et de quanti!er les risques éventuels. «Le business veut quelqu’un qui le com-prenne, de même que la notion de niveau de service, essentielle dans toute stratégie d’outsourcing.»

STRATÉGIE ASP

Depuis août 2008, eBRC est devenu un Application Service Provider pour le monde !nancier. Alors qu’auparavant, eBRC se limi-tait à héberger et gérer les plateformes de ses clients, cette nouvelle solution sera four-nie en mode SaaS. «Ce sera une synergie avec notre partenaire, explique Candi Car-rera. Chacun apportera son expertise, ce qui permettra de créer des économies d’échelle pour nos clients !nanciers. Beaucoup de clients demandent le modèle pay-as-you-grow et posent des questions précises sur les coûts de l’outsourcing.» Selon eBRC, la "exibilité du modèle ASP met les managers plus à l’aise. «Le client se concentre sur son business tandis que nous le soutenons dans sa croissance.» L’agilité d’eBRC sera donc aussi gérée au travers du choix des bons partenaires.

A!n de continuer à garantir la qualité de ses services, eBRC doit pouvoir en conserver la transparence et évaluer l’évolution de la matu-rité des clients. «Il faut donc garder un pricing bas et pouvoir les accompagner tout au long de leur démarche», résume Candi Carrera. eBRC et son partenaire deviendrait donc, avec cette solution, l’interlocuteur unique pour nombre de sociétés qui recherchent un modèle SaaS. La société ne cache pas ses ambitions. «A terme, nous voulons devenir un hub, a!n de capter aussi du business au niveau international. On travaille donc avec nos partenaires pour facili-ter et accélérer la création de compétences.»

eBRC, one fund shopEn hébergeant les plateformes IT de ses clients, eBRC peut favoriser leur agilité, notamment en période de croissance.

Acteur majeur au Luxembourg, eBRC propose des solutions d’hébergement, de business continuity et d’outsourcing, notamment aux administrateurs de fonds. «Nous devons pouvoir gérer la production des systèmes d’information externalisés chez nous, explique Candi Carrera, Director Client Service Operations chez eBRC. Nous sommes là pour épauler les clients a!n qu’ils conservent et développent leur agilité.» Dans un futur proche, eBRC deviendra ainsi un one-stop shop apte à soutenir encore mieux les fonds dans leur croissance.

eBRC a obtenu la certi!cation SysTrust

de l’AICPA et CICA pour le respect de la

disponibilité et sécurité de l’information,

par le cabinet Ernst&Young, en 2007. Le

rapport reconnaît la !abilité de la société

au niveau de la protection des données

et de leur disponibilité.

Candi Carrera, Director Client Service Operations chez eBRC

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BUSINESS DECISION MAKER

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Antoine Wagner, sous-directeur de la Bourse de Luxembourg et de CCLux

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Filiale à 100% de la Bourse de Luxembourg, Centrale de Communications Luxembourg veut participer en première ligne à l’effort européen de simpli!cation de la distribution de l’informa-tion relative aux fonds d’investissement. En juin dernier, CCLux avait organisé des petits-déjeu-ners autour des FPP. Initiés par l’association EFAMA (European Fund Asset Management Association), les FPP sont des documents harmonisés qui reprennent les informations essentielles que les promoteurs sont censés fournir sur leurs fonds a!n d’en faciliter la négo-ciation et en conséquence rendre plus ef!cace toute la phase de distribution de ces fonds. Le souhait de l’EFAMA est bien celui d’assurer une harmonisation et une simpli!cation de la distribution des fonds en Europe. Au Luxem-bourg, CCLux a déjà rassemblé et publié plus de 550 FPP sur son site www.cclux.lu.

La société se distingue par sa volonté de four-nir un service complet aux promoteurs, aux administrations centrales ainsi qu’aux distri-buteurs de fonds. En effet, CCLux recueille auprès de ces entités les informations relatives au FPP a!n de les publier sur son website et de les diffuser, via sa plateforme de distribu-

tion. Ce service est intitulé « load-and-publish » et peut être accompagné du service « Out-sourcing » au travers duquel CCLux se charge entièrement de la constitution du FPP grâce à une équipe entièrement dédiée à la créa-tion et à la maintenance des FPP », explique Antoine Wagner, sous-directeur de la Bourse de Luxembourg et de CCLux. CCLux va ainsi bientôt proposer le format XML, de plus en plus répandu dans l’industrie, en plus des formats csv et html déjà disponibles. De plus, la consultation et le téléchargement des FPP demeurent gratuits sur le site web de CCLux.

COUVERTURE EUROPEENNE

Si CCLux a d’ores et déjà recueilli les informa-tions nécessaires à la distribution de 550 FPP, la société dispose de 95% de l’information pour 1500 autres… « Nous voulons atteindre les 2000 à 2500 fonds d’ici !n décembre 2008, dit Antoine Wagner. Nous avons commencé dans un premier temps avec les fonds de droit luxembourgeois mais nous nous occu-pons déjà aussi de quelques fonds de droit allemand et français. Notre intention est bien

celle d’avoir une couverture européenne »Les FPP complètent ainsi l’offre de CCLux qui s’est développée au cours de l’année dernière avec la modernisation de sa plateforme et la mise en place de la nouvelle station basée sur l’application e-!le.lu qui a prouvé son utilité dans le paysage des fonds luxembour-geois. « La Station CCLux dispose aujourd’hui d’une architecture plus souple. Elle assure la transparence de l’information et permet aux utilisateurs de véri!er la qualité et le suivi de leurs propres données. »

CCLux veut devenir ainsi le hub au niveau de la collecte d’information et leur diffusion, tout en se servant du levier de l’harmonisa-tion européenne. A la suite du lancement par EFAMA d’une nouvelle classification européenne des fonds (EFC), CCLux, en collaboration avec la société danoise Fund-Connect, joue un rôle central dans la collecte des données relatives aux portefeuilles des fonds et la véri!cation que ces fonds répon-dent bien aux critères de classi!cation dé!nis. Cette nouvelle classi!cation facilitera la com-paraison des fonds européens.

CCLux, futur hub des Fund Processing PassportsLa société CCLux a développé une expertise dans la gestion des Fund Processing Passports (FPP) et compte jouer un rôle au niveau européen dans ce domaine.

40 SEPTEMBRE 08

Page 41: ITnation #13 - septembre 2008

Antoine Wagner, sous-directeur de la Bourse de Luxembourg et de CCLux

LUXEMBOURG, OCTOBER 14, 2008

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Page 42: ITnation #13 - septembre 2008
Page 43: ITnation #13 - septembre 2008

/////////////////////// ACTUAL IT

> Intel fête ses quarante prochaines années d'innovation p44

> ARSYS commercialise les bundles INGRES intelligents p46

> La conférence ITnews a souligné le rôle des télécom au Luxembourg p48

> Clear Priority, audacieux sur le marché de la gouvernance, risk and compliance p49

> Agenda p51

> eBanking 2ème génération: Petit-déjeuner avec Siemens IT Solutions & Services Finance p52

> Combinaison gagnante en sécurité: Computacenter p54

> L'innovation dans le document management: Congrès avec Documents@work p55

> L'Open Source au service de l'image processing: Séminaire avec le CRP Henri Tudor p56

> Citrix renforce l'intégration de ses produits avec notamment Microsoft : Séminaire p59

> Les meilleures approches du Service Management : Conférence itSMF p60

SEPTEMBRE 08 43

Page 44: ITnation #13 - septembre 2008

Roger Benson, Country General Manager d'Intel pour le Benelux et les pays nordiques

Intel, l’innovation sans !nLe quarantième anniversaire d’Intel coïncide avec la sortie de Centrino2, qui annonce une nouvelle ligne de produits plus souples et plus puissants.

Utilisateurs mobiles, travail en réseau, besoin de réactivité, accès à des données en ligne, etc. Les évolutions des habitudes semblent justi!er l’arrivée sur le marché de nouveaux appareils. Intel n’est pas en reste. Le géant du processeur suit de près les netbooks, nés du croisement prometteur entre le notebook et le smartphone. Les puces et les chipsets s’immiscent dans tous les devices. A l’heure de son quarantième anniversaire, la société investit plus que jamais dans la recherche et le développement : 6 milliards de dollars pour la seule année 2007, soit environ 20% du chiffre d’affaires.

«Nous sommes dans un cycle d’innovation sans !n, dit Roger Benson, Country General Manager d’Intel pour le Benelux et les pays nordiques. Les opportunités de développe-ment sont plus nombreuses aujourd’hui.» L’un des trois fondateurs d’Intel est Gordon Moore, demeuré célèbre pour avoir énoncé des lois mathématiques applicables au monde de l’IT. Plus que tout autre produit, les processeurs évoluent selon ces mêmes lois. Plus petits, plus rapides, ils justi!ent la loi de Moore selon laquelle le nombre de processeurs que l’on peut placer dans un même espace double tous les dix-huit mois. «Nous sommes toujours conscients que nous sommes sujets à compétition, déclare Roger Benson. Nous ne pouvons pas prendre de risques, il faut sans cesse innover et conqué-rir de nouveaux marchés.»

LA PUISSANCE DU NET

Intel a parcouru du chemin depuis le lance-ment du premier microprocesseur en 1971. Alors que les consommateurs se tournent de plus en plus vers la VoIP, les Rich Media et les réseaux sociaux, la demande pour des applications en ligne réactives et puissantes (YouTube, Google, SaaS) devient le nouveau moteur de la spirale hardware/ internet. Les processeurs sont devenus des pièces maî-

tresses des PC. La commercialisation de Centrino, en 2003, a permis d’introduire des capacités graphiques nouvelles, des vidéos, et supporter la connectivité avec la combi-naison du processeur et du chipset. «Les utilisateurs ont des besoins très diversi!és», explique Roger Benson.

La société participe ainsi à la venue d’un nou-veau type de produit, à mi-chemin entre le notebook et le PDA : le netbook. Plus maniable, il convient aux utilisations de base : consulta-tion et création de contenu, envoi d’emails. «C’est une plateforme ultra légère avec un accès internet», résume Roger Benson. De même, le futur MID (Mobile Internet Device) sera un produit hybride, combinant la mania-bilité du smartphone avec le confort de lecture d’un écran plus large. Avec de tels supports, la connectivité est donc essentielle. Tandis que l’arrivée de Centrino2 soutient ces nouveaux besoins, le nouveau microprocesseur d’Intel ne sera cependant pas le même partout. En Europe, le 3G suf!ra pour les besoins actuels des utilisateurs, tandis que Centrino2 dans ses versions américaine et japonaise inclura le Wimax. «L’Europe est un marché très frag-menté», explique Roger Benson.

Si les thin clients ne vont pas révolution-ner la manière de travailler, ils annoncent le

développement de secteurs niches liés à la sécurisation du réseau et, plus précisément, du transport des données.

MARCHÉS EN CROISSANCE

Malgré le ralentissement économique actuel aux Etats-Unis, Intel béné!cie d’une appro-che business située aux trois quarts hors du pays. Intel s’appuie aussi sur les marchés en croissance pour avancer, tels la nanotechno-logie. Ainsi, Intel innove aussi avec la venue de l’Intel Atom, un processeur miniaturisé au maximum. D’autre part, les serveurs, surtout ceux qui démontrent une consommation moindre d’énergie pour une puissance égale, forment à eux seuls un secteur à très haut potentiel. Avec le multicore en 2006, Intel a suivi la croissance des super datacenters. Les entreprises qui veulent être reliées à un réseau mondial pour gérer leurs bases de données et leur service aux clients peuvent faire appel à de la puissance en remote. Les produits multi-processeurs ont notamment été décisifs. «C’est une course aux cores et à l’économie d’énergie», résume Roger Benson.

44 SEPTEMBRE 08

Page 45: ITnation #13 - septembre 2008

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Annonce_sfeir_A4:annonce sfeir A4 29/06/07 16:46 Page 1

Page 46: ITnation #13 - septembre 2008

Marc Carniel, Directeur commercial d'ARSYS

INGRES dans les starting-blocksLa société ARSYS va commercialiser une appliance virtuelle développée par INGRES qui promet d’apporter de l’innovation dans le monde de l’ECM et du BI.

INGRES est un nom désormais connu : il est l’initiateur des bases de données relationnelles : le projet a en effet démarré dans les années 70 à Berkeley University. Mais INGRES a perdu de sa visibilité quand la société a été intégrée à la ligne de produits de CA en 1994. Or, depuis 2004, INGRES fonctionne en tant que société à part entière et, surtout, avec une stratégie open source. La société a aussi tenté de renouer avec ses clients au travers des groupes d’utilisateurs. ARSYS, distributeur de solutions logicielles de traitement de données et de documents, sera le contact local pour l’installation, le déploiement et le support d’INGRES database et de ses deux appliances, l’une en ECM et l’autre en BI.

ARSYS voit dans les appliances développées sur INGRES, une alternative intéressante à une gestion parfois longue et peu souple des bases de données, des applications de gestion de contenu et solutions de BI. Les appliances open source développées par INGRES per-mettent de réduire le temps d’installation et de con!guration, pour une exploitation rapide et une grande simplicité d’administration. De plus, la solution supporte la virtualisation : installée sur une machine VMware ou XenSource, elle peut ensuite être répliquée sur d’autres machines.

«Auparavant, quand on parlait d’appliances, on désignait à la fois une solution matérielle et logicielle généralement fermée et propriétaire, dit Marc Carniel, Directeur commercial d'AR-SYS. Or, INGRES a conçu à cet opposé, une solution optimale faite d’un OS Linux épuré, de la robuste DataBase INGRES connectable à toutes les DB concurrentes et de l’applicatif, tous trois parfaitement intégrés et ouverts.» La base de données INGRES est couplée à une solution qui est soit l’ECM d’Alfresco, soit la solution Business Intelligence de Jasper-Soft, tous deux des noms connus du monde open source. INGRES annonce aussi, dans les mois à venir, une appliance qui fonc-tionnerait comme un puissant moteur de recherche interne à l’entreprise.

BUNDLES INTELLIGENTS

«L’idée est de simpli!er toute la partie ins-tallation pour que le produit soit prêt à fonctionner out-of-the-box, explique Marc Carniel. INGRES est aussi allé beaucoup plus loin car la plateforme permet d’optimiser les trois produits en même temps. La base de données, l’OS et l’applicatif peuvent par exemple être mis à jour en même temps. Ingres annonce des temps d’installation à partir de 5 jours, ou plus suivant la com-plexité du projet.» Le time-to-market est donc aussi amélioré… «La solution s’adresse aux administrations qui recherchent un support ef!cace, dit Nicolas Salkin, Administrateur et Senior Business Architect Engineer chez ARSYS. Le concept des appliances virtuelles pourrait aussi intéresser les PME qui refusent souvent des solutions jugées laborieuses et trop coûteuses.»

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L IT

BI &

ECM

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Page 48: ITnation #13 - septembre 2008

et de la promotion de TERALINK chez EPT Alex Alexandrino, Head of Sales chez M-PLIFY

Prochaine conférence Fund SolutionsLe 25 septembre 2008www.itnews.lu

Habib Saghbini, Director or Organisation and IT Luc Dosquet, Head of IT Department SGBT

SGBT : les Télécoms, fondations du Business Lors de la conférence mensuelle d’ITnews 2.0 sur le thème des Télécoms, la Société Générale Bank & Trust a exposé les projets mis en place depuis 2002 qui ont permis à la banque de mieux affecter ses ressources, notamment via la virtualisation du stockage et la mutualisation de certains canaux de communication.

Dixième entreprise française, présente dans 82 pays, la SGBT s’est spécialisée dans la gestion d’actifs, avec 435 millions d’euros gérés, dans ce domaine, en 2007. Elle est aussi très active en tant que banque d’investissement et salle des marchés. Créée en 1995 suite à la fusion entre la Sogenal et Luxbanque, spécialisée dans le Private Banking, la SGBT englobe alors les succursales suisses et crée une !liale monégasque. «La SGBT exerce ainsi un métier de prestataire informatique», explique Luc Dosquet, Deputy Manager IT&Organisation. La SGBT s’est peu à peu spécialisée dans le conseil !nancier pour devenir un acteur incontournable. «En termes d’IT, on a pratiquement doublé de 2005 à 2008», déclare Habib Saghbini, Directeur de l’Organisation et de l’IT chez SGBT.

Face aux dé!s actuels, la SGBT a aussi orienté l’IT pour soutenir l’innovation et le développement durable et s’est organisée pour satisfaire aux régulations internationa-les et locales. «Ces dernières années, nous avons eu peu de temps pour ré"échir, dit Habib Saghbini. Nous avons doublé de taille, ajouté des applicatifs tout en gardant la même architecture. Il faut savoir gérer la mutualisation de façon cohérente, c’est pourquoi nous avons regroupé nos fonc-tionnalités de façons différentes : d’abord en hub pour le Luxembourg, ensuite pour les autres entités et en!n, en fonction des lignes métiers.» L’essentiel étant de conser-ver une base d’information accessible et que l’on peut maîtriser.

EXTENSION DU RÉSEAU

«En 2001, l’exploitation n’était pas coor-donnée, nous avions de multiples OS et le coût des ressources était trop élevé», expli-que Luc Dosquet. Depuis lors, la SGBT a amélioré la scalability de son infrastructure

et a ainsi lancé des projets de centralisa-tion et de virtualisation avec VMware a!n de mieux affecter les ressources. «Au niveau du WAN, comme on est prestataire pour des implantations distantes, on a dû mutualiser les points d’entrée et sortie externes par types de canaux de communication», dit Luc Dosquet. SGBT a aussi opté pour plu-sieurs systèmes de stockage a!n de réduire les risques de perte de données. Le LAN est également un aspect très important de l’infrastructure de la SGBT. «On veut pouvoir adresser les besoins des autres entités et nous allons donc étendre le réseau progres-sivement», dit Luc Dosquet.

GESTION DE CRISE

Par la suite, la société M-PLIFY a présenté sa solution AlarmTilt, un logiciel déjà installé dans la commune de Steinsel. «La communication de crise est déterminante», explique Alex Alexandrino, Head of Sales chez M-PLIFY. La gestion de la communication est bâtie sur les messages asynchrones et la multiplica-

tion des canaux (GSM, email, répondeur), a!n d’être sûr de toucher la bonne personne et de recevoir des messages de con!rmation. La société a aussi mis l’accent sur l’importance du roaming quand le réseau fait défaut. En!n, il faut aussi pouvoir gérer le facteur humain et pour cela, intégrer les futurs utilisateurs lors de la mise en place de la solution."

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Cycle de conférence ITnewsPhotos sur www.itnews.lu

Page 49: ITnation #13 - septembre 2008

Alex Alexandrino, Head of Sales chez M-PLIFY

Une gestion du risque sur-mesureClear Priority propose une plateforme ouverte ciblée sur les risques critiques des clients qui permet de mieux cibler leurs besoins et de simpli!er l’implémentation de la solution.

Le marché de la gouvernance, risk et compliance (GRC) est en pleine expansion. Les entreprises sont à la recherche d’outils combinant la Business Intelligence à la sécurité. «Il y a eu pas mal d’événements malheureux au sein des entreprises ces dernières années, dit Christophe Delcorte, CEO de Clear Priority. Fraude, interruption de services, non-conformité aux évolutions réglementaires, etc. Les entreprises doivent gérer les dé!s de la pérennité et de la conformité. Et elles veulent le faire en toute agilité.»

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Christophe Delcorte, CEO de Clear Priority

Paul Evrard, CTO de Clear Priority

Pour faire face à cela, les entreprises peuvent choisir un produit ciblé a!n de résoudre des problèmes spéci!ques. «Bien que le contenu soit souvent riche, néanmoins la mise en œuvre n’est pas facile», dit Christophe Delcorte. Clear Priority a donc développé une solution plus souple dont l’infrastructure peut être découplée du type de risques à surveiller. «Cela permet de créer des solutions sur-mesure, dit Christophe Delcorte. La souplesse, l’ouverture et le tailor-made sont des composants essentiels de la conception logicielle. De plus, la solution Clear Priority peut être implémentée rapidement.» En plus de J2EE, les concepteurs ont égale-ment utilisé Adobe Flex, qui permet d’injecter plus d’ergonomie en front-end et donc mieux convenir aux attentes des utilisateurs. «Nous n’avons pas de contenu ‘tout fait’, explique Paul Evrard, CTO de Clear Priority. Rien n’em-pêche donc le client d’ajouter des packages plus tard, dédiés à des compliances plus pré-cises ou particulières.»

REPORTING EN REAL-TIME

Clear Priority propose donc une plateforme qui permet au client de se focaliser sur les risques qui ne sont pas encore maîtrisés. «On a une approche à plusieurs niveaux, explique Paul Evrard. Nous voulons approcher les clients qui connaissent le GRC et compléter leur maîtrise des risques. Nous collaborons aussi avec des intégrateurs comme Unisys pour proposer notre plateforme et faisons appel à des spé-cialistes dans des secteurs-clés pour devenir partenaires.» Suite à la livraison de la solution chez le client, Clear Priority mène une analyse des risques à gérer en temps réel. «La notion de real time est déterminante, dit Paul Evrard. La Business Intelligence apporte l’information parfois trop tard.» Mais l’installation doit demeu-rer simple. «Les indicateurs doivent pouvoir être mis à jour relativement vite, dit Paul Evrard. Les utilisateurs doivent donc maîtriser la solu-tion autant que nous. On est souvent surpris

de constater que beaucoup de banques font encore du reporting manuel ou semi-automati-que.» La solution peut aussi clari!er les aspects de gouvernance de l'information lors de la mise en place d'une SOA au sein d'une entreprise.

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Claude Demuth, responsable du développement et de la promotion de TERALINK chez EPT

//// TERALINK ////

Les P&T ont renforcé leur position sur le terrain de la connectivité avec le développement de Teralink. Les

P&T veulent pouvoir offrir solution sur-mesure, clé en main. Avec 4000 km de !bre optique, 13 points

of presence (POP) et l’ensemble des datacenters au Luxembourg relié au réseau, Teralink démontre

le nouveau dynamisme des P&T. La société a d’ailleurs conclu un peering direct avec Google et des

partenariats avec Global Crossing et Level 3, fournisseurs globaux de contenu via le streaming.

Page 50: ITnation #13 - septembre 2008

RAISON D’ÊTRE DE LA FORMATIONAssurer la cohérence entre une politique IT (Information Technology) et des objectifs stratégiques à long terme est un des principaux enjeux des entreprises aujourd’hui.En effet, dans de nombreux secteurs d’activité, les T.I.C. (Technologies de l’Information et de la Communication) font partie intégrante de la stratégie générale des organisations, et se retrouvent au cœur même des innovations stratégiques de marchés, de produits et de processus organisationnels.

PROGRAMME DES ENSEIGNEMENTSGouvernance IT - 78 h - 9 ECTS*Alignement business et gestion des SI - 72 h - 9 ECTS*Méthodologie de développement IT - 66 h - 8 ECTS*Qualité des SI - 36 h - 4 ECTS*Groupes de travail : expérimentation d’une plate-forme KM et Business Process Modeling - 60 h - 6 ECTS*Stage et mémoire - entre avril et septembre 2010 - 24 ECTS*

TITRE DÉLIVRÉCette formation est sanctionnée, selon l’université où l’étudiant est inscrit, par un :

Master Information Numérique en entreprise spécialité Informatique et Innovation (Université Nancy 2)http://www.univ-nancy2.fr/

Master Complémentaire en Informatique et Innovation Faculté d’Informatique (Facultés universitaires Notre-Dame de la Paix, Namur)http://www.fundp.ac.be/facultes/info/

SÉANCE D’INFORMATION (INSCRIPTION OBLIGATOIRE)le jeudi 18 septembre 2008 de 17h30 à 19h00Inscription sur www.sitec.luCRP Henri Tudor | 29, avenue John F. KennedyL-1855 Luxembourg-Kirchberg

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Informatique et InnovationRENTRÉE ACADÉMIQUE : OCTOBRE 2008

D’autres formations diplômantes sont aussi proposées. Descriptifs complets disponibles sur www.sitec.luRenseignements et inscriptions | CRP Henri Tudor - SITec® | tel: +352 42 59 91 - 367 | [email protected]

Date15 octobre 2008de 8h30 à 17h30

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- Recrutement, formation et certification

des chefs de projet

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- Normalisation ISO en gestion de projet

- Méthodes innovantes

- Gestion du stress

- Multiples retours d'expériences

(contruction, banque, industrie, recherche...)

Une Table ronde sur la problématique :

project manager, est-ce un métier ?

Un espace Salon avec une vingtaine d'exposants,

associations, éditeurs, conseils et formateurs

« Les compétences au service de vos projets »3ème Congrès annuel sur la Gestion de Projet

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Page 51: ITnation #13 - septembre 2008

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ORGANISATEUR: itSMFTHÈME: Business Beyond BoundariesDATE: 14/10/2008LIEU: Hotel Le Royal, 12 Boulevard Royal, L-2449 Luxembourg,

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Congrès annuel sur la Gestion de Projet

ORGANISATEUR: SAPTHÈME: Les compétences au service de vos projetsDATE: 15/10/2008LIEU: CRP Henri Tudor, 29 avenue John F. Kennedy, L-1855 Luxembourg-Kirchberg,

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Citrix Solutions Seminar 2008

ORGANISATEUR: CitrixTHÈME: Deliver in a Dynamic WorldDATE: 16/10/2008LIEU: Abbaye de Neumünster, Rue Münster 28, L-2981 Luxembourg,

Informations et inscriptions:www.itnews.lu

EMC Forum 2008ORGANISATEUR: EMCTHÈME: Information infrastructureDATE: 21/10/2008LIEU: Novotel Kirchberg, 4 rue Fort Niedergruenewald, Quartier Européen Nord, Plateau de Kirchberg, 2015 Luxembourg,

Informations et inscriptions:www.itnews.lu

Salon ContactORGANISATEUR: Chambre de Commerce de Luxembourg, Chambre des Métiers de Luxembourg et LuxexpoTHÈME: Salon Networking et B2BDATE: 27/11/2008LIEU: Luxexpo, 10, Circuit de la Foire Internationale, 1347 Luxembourg,

Informations et inscriptions:www.itnews.lu

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Conférence ALFI & NICSA

ORGANISATEUR: Al!THÈME: 17è Global Investment Funds ForumDATE: 23/09/2008LIEU: Centre de Conférences, Place de l’Europe 4, Quartier Européen Nord, Luxembourg-Kirchberg,

Informations et inscriptions:www.itnews.lu

ITnation @ Hotcity

ORGANISATEUR: Makana - ITnewsTHÈME: Conférence web 2.0 à l’occasion du lancement of!ciel de HotcityDATE: 29/09/2008LIEU: Place Guillaume 2, Luxembourg,

Informations et inscriptions:www.itnews.lu

Petit-déjeuner ITnews (avec Siemens IT Solutions & Services Finance)ORGANISATEUR: Makana - ITnation.euTHÈME: eBanking 2è générationDATE: 02/10/2008LIEU: Con!serie Namur – Espace Entreprises, rue de Bitbourg 2, Luxembourg-Hamm

Informations et inscriptions:www.itnews.lu

Petit-déjeuner ITnews (avec Computacenter)

ORGANISATEUR: MicrosoftTHÈME: Sécurisation des documentsDATE: 02/10/2008LIEU: Con!serie Namur – Espace Entreprises, rue de Bitbourg 2, Luxembourg-Hamm

Informations et inscriptions:www.itnews.lu

Forum itSMF Luxembourg

ORGANISATEUR: PMITHÈME: Service Management : Mission (Im)Possible ?DATE: 09/10/2008LIEU: Casino 2000, Mondorf-les-Bains,

Informations et inscriptions:www.itnews.lu

Page 52: ITnation #13 - septembre 2008

Christof Roßbroich, Senior Sales Manager chez Xcom

eBanking, la seconde générationÊtes-vous prêt à garantir à vos utilisateurs, clients et métiers une solution eBanking de seconde génération qui relève haut la main les nouveaux dé!s d’agilité, de sécurité et la modularité ?

L’explosion des besoins dans le monde de l’eBanking est due principalement aux demandes des utilisateurs des banques pour plus de facilité, de sécurité, de vitesse et d’information !able sur les plateformes bancaires en ligne. Avec la croissance exponentielle de l’internet à grande vitesse tant dans les maisons que les bureaux, il faut que les solutions eBanking d’aujourd’hui répondent à ces nouveaux challenges à coûts contraints. C’est ce que la solution de XCOM représentée par Siemens IT Solutions & Services Finance Luxembourg permet.

«Les banques se trouvent dans un marché très mature et ont déjà démarré le cycle d’amé-lioration de leurs projets eBanking alors que les pays en développement sont en train de !naliser leurs premiers projets. Mais la pre-mière génération de ces projets a fait face à un manque crucial d’une architecture métier et logicielle capable de supporter un delivery multicanal, explique l’éditeur XCOM. Ces solutions ne sont pas préparées pour la crois-sance énorme des transactions à laquelle nous devons nous attendre. Plus encore, le manque d’agilité, de sécurité et de !abilité est évident. XCOM, qui vient de lancer sa seconde géné-ration de sa solution eBanking, basée sur la plateforme Tristan de XCOM, relève ces dé!s.»

LES FISSURES COMMENCENT À SE DESSINER

«Le succès de l’eBanking a exposé les limites de la première génération des solutions logi-cielles. Rapidement assemblées depuis des serveurs de commodité, ces solutions étaient construites pour garantir l’Up & Running. La gestion du système sur une architecture éprouvée et à haute !abilité était souvent reléguée à des considérations ultérieures. La sécurité, malgré des systèmes adéquats introduits dans les solutions, ne correspond plus aux risques actuels.»

«Une pauvre !abilité et une pauvre sécu-rité menacant les enseignes bancaires, dit XCOM. Les clients se sentent nerveux face aux nouvelles activités criminelles en ligne et face à la fraude. Ils veulent que leur banque emploie les meilleures techniques de sécurité pour minimiser les risques.»

«Par ailleurs, les banques fusionnent, se fédèrent dans des grands groupes,… Ces nouveaux groupes veulent lancer des produits innovants sur des marchés spéci!ques. Or la pression sur les coûts stimule la demande vers des services partagés. Tout cela crée un besoin pour une plateforme d’eBanking qui peut offrir des services multiples à la demande de marques multiples, utilisant dif-férents standards, outils, langages, et avec des fonctionnalités propres à chacune de ces sensibilités individuelles qui veulent être couvertes.»

FLEXIBILITÉ AVEC STABILITÉ

«Posséder de tels nouveaux produits et services sur le marché va accroître l’avan-tage compétitif des banques et permettra d’augmenter leurs parts de marché. Même si une plateforme eBanking pour le Retail est en place, cela ne veut pas dire qu’elle est à

même de supporter une activité de Corporate eBanking, d’eTrading, de Wholesale Ban-king… De plus, les systèmes cœurs dans les banques ne peuvent pas être changés faci-lement, ce qui fait que les banques sont plus à la recherche de solutions qui leur permet-tent de construire des nouvelles offres tout en prolongeant la vie de leur Core Banking.»

Découvrez comment Tristan offre une plate-forme simple et intégrée de haute performance offrant une solution eBanking composée de modules robustes. La solution eBanking de XCOM est plus qu’une édition logicielle. Et grâce au savoir-faire des projets des clients et de leur expérience à ‘tourner’ une banque, les implémentations sont clés de succès. Pour garantir ces succès, XCOM offre une ana-lyse et un design des process de l’electronic banking du client, un design de l’architecture et une intégration des systèmes. Le tout, en assurant le monitoring de l’opérationnel et le support, comme le remote management. À découvrir au Petit-déjeuner d’ITnews.

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Thomas Storck, Account Manager chez Siemens IT Solutions & Services Finance

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Petit-déjeuner d’ITnewsJeudi 9 octobre 2008

Thème : Comment se préparer à l’eBanking de seconde génération

Quand ? le jeudi 9 octobre 2008 à partir de 8h30

Où ? Espace Entreprises de la Con!serie Namur à Luxembourg-Hamm

Qui ? THOMAS STORCK Siemens IT Solutions & Services Finance Luxembourg CHRISTOF ROSSBROICH XCOM

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The guarantee of a winning combination in securityHow can you guarantee the highest level of security in a corporate environment where users deal with various types of devices and products?

Computacenter, as Microsoft Gold Partner and Utimaco certi!ed reseller, will explain how Microsoft Vista Enterprise and Utimaco SafeGuard can be used jointly to reach this goal. The company has invited specialists to show the advantages brought together by the combination of SafeGuard with BitLocker, a sector-based hard disk encryption system with pre-boot authentication.

BitLocker is in principle similar to SafeGuard Enterprise Device Encryption. By including BitLocker, Microsoft has made it clear that a system of this kind is needed to protect the end device. Vista's built-in standard tools only meet the security requirements of a typi-cal company. Many of the functions are only effective if the company implements Vista clients across the board, without exceptions. However, there will continue to be mixed environments, involving different Windows versions within a company, for many years to come. And data stored on data carriers such as USB-sticks, external hard disks, CD’s/DVD’s, also need to be protected.

Today, SafeGuard products offer additional protection and many more additional func-tions on a wide variety of platforms, and they seamlessly integrate in tomorrow's Vista security architecture. BitLocker provides enhanced protection against data theft or exposure on lost or stolen computers run-ning Windows Vista Enterprise or Ultimate editions, and more secure data deletion when BitLocker-protected computers are decom-missioned. Data on a lost or stolen computer is vulnerable to unauthorized access, either by running a software attack tool against it or by transferring the computer's hard disk to a different computer. BitLocker helps miti-

gate unauthorized data access on lost or stolen computers by combining two major data-protection procedures: (il manque une information ici)

FOCUS ON ENCRYPTION

The management of the encrypted data is also a challenge that can be resolved by combining Vista BitLocker with SafeGuard technology. (expliquer un peu plus) The com-bination of both technologies answers very genuine concerns like: “What happens when a user loses his password?”, “What happens when a PC crashes?” Or “How can I run a report proving that I am compliant with the data protection policies?”

The SafeGuard product portfolio enables companies with heterogeneous ITC infras-tructures to look to the future with con!dence, carefully prepare for their changeover to Vista, and then implement it step by step without having to give up uniform security across multiple platforms.

Windows Vista now uses group policies to restrict the use of external plug and play media such as USB memory sticks. Howe-ver, it does not provide settings with !ne granularity, such as the restriction that only

particular applications can process particular !le types, or that removable media should be encrypted, are therefore not possible. The SafeGuard applications do offer options of this kind - not only for Vista, but also for older Windows platforms and PDAs.

Petit-déjeuner d’ITnewsJeudi 2 octobre 2008

Thème : Sécurisation des documents

Quand ? le jeudi 2 octobre 2008 à partir de 8h30

Où ? Espace Entreprises de la Con!serie Namur à Luxembourg-Hamm

Qui ? FREDERIC DUMESLE Computacenter BENOIT FORTEMPS Microsoft

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Phédra Clouner, présidente de Documents@work

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Un congrès pour mieux gérer son patrimoine IT L’ECM est à la base de projets neufs dans le domaine de l’IT, c’est ce que veut prouver le congrès innovations@documentmanagement 2008.

De plus en plus d’entreprises sont confrontées aux problèmes de gestion des documents à long terme. Que conserver, que jeter, et de quelle manière ? Quels sont les aspects légaux qui cadrent ce genre de décisions ? Les entreprises doivent aussi pouvoir faire face aux changements de technologie rapides et une masse d’information en croissance constante.

«Il n’y a pas de cadre légal au niveau européen, il est donc urgent que les gou-vernements s’entendent à ce niveau-là», dit Phédra Clouner, présidente de Documents@work et co-organisatrice du congrès qui se tiendra le 25 septembre à Bruxelles. Le but du congrès innovations@documentmanage-ment est donc de couvrir le plus de domaines liés à l’Enterprise Content Management. En plus de l’ECM, la gestion de documents, le Records management, le Business Process Management (BPM), le Knowledge Manage-ment (KM) et les régulations et compliances sont au programme. Documents@work va aussi mettre l’accent sur un dialogue au niveau européen avec plusieurs associations actives dans l’ECM comme l’Aproged, l’AIIM

et la Fedisa (Information Lifecycle Mana-gement). Au niveau du Luxembourg, des sociétés comme MyXML ou Infotechnique vont partager leur expérience de la gestion de documents.

APPROCHE NEUTRE

Documents@work a également mis un point d’honneur à assurer la neutralité dans les sujets traités. «Notre conseil d’administration regroupe un représentant de la Management School d’Anvers et je viens moi-même du ministère des !nances belge», dit Phédra Clouner. L'association organise aussi six séminaires par an sur des sujets déterminés (web 2.0, ECM et open source, etc.) et autour

de cas d’étude concrets. Le groupe peut aussi fournir des white papers sur le sujet aus personnes intéressées.

Pour mieux couvrir l’ensemble des sujets proposés, Documents@work a séparé les sessions : technology trends, où seront expo-sés des concepts et tendances en matière de gestion documentaire ; customer case pour découvrir des cas pratiques ; et sponsors. L’accent est mis avant tout sur l’innovation. «L’ECM et la gestion documentaire sont des sujets dont on parle depuis longtemps, dit Phédra Clouner. Mais des innovations ont sans cesse lieu dans ce domaine.»

Congrès innovations@documentmanagement:Plus d’infos sur www.itnews.lu.

Page 56: ITnation #13 - septembre 2008

Andreas Jahnen, ingénieur de recherche du Centre de Ressource SANTEC au CRP Henri Tudor

ImageJ Conference6 et 7 novembre 2008au CRP Henri Tudor, Kirchberghttp://imagejconf.tudor.lu

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Le CRP accueille ImageJ pour la seconde fois

Le centre de recherche Henri Tudor organise pour la deuxième fois une conférence autour d’ImageJ, un logiciel Open Source d’image processing.

En 2006, le CRP Henri Tudor avait rassemblé les utilisateurs d’ImageJ, un logiciel Open Source d’image processing initialement conçu pour le domaine biomédical. Près de 75 personnes avaient alors assisté au discours de Weyner B, l’un des créateurs du logiciel, du National Institute of Health. Le succès de cette première édition pourrait se renouveler cette année, avec des applications suf!samment riches pour convenir à d’autres domaines que la biologie et la médecine…

Avant tout, la conférence est une rencon-tre entre curieux, amateurs ou experts de l’Open Source. «Lorsque nous avons décidé d’organiser la conférence en 2005, nous avons demandé aux membres de la communauté (environ 1700) ce qu’ils en pensaient», explique Andreas Jahnen, ingé-nieur de recherche au CRP Henri Tudor et organisateur de la conférence. Cette année, le nombre d’exposés soumis à la considéra-tion des organisateurs (20% de plus qu’en 2006) les a poussés à séparer les ateliers en deux sessions, l’une pour «beginners» et l’autre pour «advanced». «Le programme Ima-geJ est simple mais il contient beaucoup de fonctionnalités», explique Andreas Jahnen. A côté de l’expérience des développeurs, les participants pourront se familiariser avec le logiciel installé, pour l’occasion, sur une cen-taine d’ordinateurs.

PLUG-INS RICHES

L’équipe du CRP a développé l’application Optimage, testée depuis un an par l’hôpital du Kirchberg, qui permet de véri!er la qualité des images fournies par le scanner médical. «La plupart des plug-ins développés sont orientés pour le monde médical mais les applications d’ImageJ sont multiples», dit Andreas Jahnen. En plus de biologistes et de médecins, la conférence attire des visiteurs du monde de l’industrie, de la géographie, de la photographie ou encore de l’astrono-mie. «Si la conférence donne aux utilisateurs d’ImageJ de l’information de première main sur l’image processing, elle permet aussi à la communauté d’échanger pour développer des méthodes similaires», explique Andreas Jahnen. Le CRP collabore de temps à autre avec les universités de Trèves, de Strasbourg ou encore avec la Fahrschule de Cologne. «Si nous n’avons pas assez de machines, nous les obtenons ailleurs, résume Andreas Jah-nen. Le grand avantage est que nous avons la maîtrise de l’outil, nous ne payons pas de licence et nous pouvons ensuite léguer ce logiciel à nos utilisateurs sans devoir payer la société qui a créé le logiciel.»

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Page 58: ITnation #13 - septembre 2008

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Page 59: ITnation #13 - septembre 2008

Johan Vanhaeren, Country Manager Belux de Citrix

Citrix renforce sa collaboration avec MicrosoftCitrix complète et renforce son portfolio notamment grâce à une collaboration avec Microsoft.

Face à une demande croissante des sociétés de déployer une virtualisation end-to-end, Citrix a développé son offre de virtualisation desktop infrastructure (VDI). Selon Forrester Research, la VDI permet à une entreprise d’économiser jusqu’à 40% des coûts. «Beaucoup de clients sont intéressés par la virtualisation du desktop, dit Johan Vanhaeren, Country Manager Belux de Citrix. Mais peu d’entre eux ont déjà mis des projets en place.» Citrix compte donc renforcer sa présence au Luxembourg et annonce l’intégration de Windows Work"ow Foundation dans son portfolio de solutions.

La virtualisation permet de rendre le data-center plus "exible en allouant les ressources là où elles sont le plus utiles. En provision-nant les serveurs, l’IT manager peut en effet déterminer la puissance utilisée par chacune des machines et répartir les applications en fonction des besoins des utilisateurs… «La virtualisation amène une performance accrue, plus de souplesse et permet de réduire les coûts, dit Johan Vanhaeren. Nous voulons donner à l’utilisateur une meilleure expé-rience.» En ce sens, un datacenter dynamique passe donc par une gestion ef!cace des work"ows. L’ajout de Windows Work"ow Studio va donc permettre à Citrix de faciliter l’automatisation du work"ow dans l’infrastruc-ture de l’entreprise. «C’est une étape majeure pour Citrix», reconnaît Johan Vanhaeren.

ZOOM SUR LES SUCCURSALES

Suite à l’acquisition de la société NetScaler, Citrix a aussi mis le focus sur l'optimisation du réseau pour que les entreprises disposent d'applications sécurisées et performantes. Citrix pro!te aussi de la collaboration avec Microsoft pour étendre les performances de la solution WANScaler. «Beaucoup de

données demeurent dans les succursales d’une société, et ne sont pas centralisées», explique Johan Vanhaeren. Pour optimiser le tra!c entre le bureau central et les succursales d’une société, Citrix a conçu Branch Repea-ter, un composant devenu essentiel dans son offre de delivery center. Le Branch Repeater est une combinaison du logiciel Windows 2003 installé sur les serveurs Citrix. Le tra!c des données entre le bureau central et les succursales est optimisé au niveau du réseau. «Beaucoup de clients semblent rencontrer des problèmes au niveau de leur WAN, explique Johan Vanhaeren. Etendre l’environnement Citrix aux succursales est pour nous une grande opportunité.»

En!n, Citrix pourrait aligner certaines de ses solutions avec celles de Microsoft. «Hyper-V devrait pouvoir être supporté par notre pla-teforme de virtualisation», explique Johan Vanhaeren.

Citrix présentera ses solutions les 15 et 16 octobre à l’Abbaye de Neumünster. Plus d’infos sur www.itnews.lu.

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Conférence annuelle itSMF le jeudi 9 octobre 2008 au Casino 2000 à Mondorf. Plus d'infos sur www.itnews.lu.

itSMF Luxembourg organise des conférences mensuelles qui se déroulent généralement le jeudi soir au CRP Henri Tudor entre 17h et 19h. Pour plus d’informations, contacter [email protected] ou www.itsmf.lu.

Le Service Management, une mission possibleitSMF Luxembourg organise sa conférence annuelle sur le thème du Service Management, axée sur l'amélioration de la qualité de l'IT.

L'Information Technology Service Management Forum compte 51 chapitres au niveau mondial, tous actifs dans le partage d’information, l’échange et les retours d’expérience de sociétés impliquées dans le domaine de la qualité IT. Le chapitre luxembourgeois d’itSMF, créé en 2004, est un regroupement de personnes intéressées par la gestion des services informatiques et par la qualité des services.

Le thème de la conférence annuelle 2008, "Service Management, Mission (Im)Possi-ble ?", a pour objectif de mettre en lumière les dif!cultés de mise en place d’une ges-tion de services. Se basant sur des études publiées notamment par Gartner, itSMF Luxembourg a conclu que de nombreux projets informatiques liés à la mise en œuvre ou à l’évolution d’applications se terminent par un échec, ou, à tout le moins, présen-tent de sérieuses dérives budgétaires et/ou de délais d’exécution. De plus, la situation prend des dimensions plus importantes dès que l’on passe à un niveau « service » ou « approche service ».

La conférence abordera les méthodologies les plus ef!caces et sera donc l'occasion d’écouter les représentants de diverses organisations publiques et privées, ainsi que des organismes de standardisation. En effet, l’évolution de l’IT Service Management a été matérialisée en décembre 2005 par la

publication de la norme ISO/IEC 20000, sui-vie de la version 3 d'ITIL. Cette évolution a in"uencé les thématiques abordées lors des événements organisés par itSMF.

BET ON BEST PRACTICES

itSMF Luxembourg s'est donné pour objectifs de développer et participer à la promotion des bonnes pratiques en Service Manage-ment (banques, industries, gouvernement); de contribuer à professionnaliser les per-sonnes impliquées dans le SM; d'organiser un forum pour ses membres et permettre l’échange d’informations; en!n, d'être un vecteur pour l’amélioration de la qualité et de la performance des services. itSMF Luxem-bourg a été soutenu, dès le départ, par le Centre de Recherche Public Henri Tudor, qui encourageait le networking pour la diffusion des résultats de ses projets de recherche sur la qualité des services IT, le service manage-ment ou encore les évaluations de maturité.

L’ASBL, créée en mars 2005, compte une dizaine de personnes au sein de son comité de direction qui, forts d’expériences sur le marché, proposent des sujets intéressants et innovants en termes de développements futurs aux membres de l’association.

La présidente du chapitre itSMF Luxembourgeois,Sylvie Prime Van Pary

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Page 62: ITnation #13 - septembre 2008

Retrouvez la liste et les !ches descriptives des acteurs au Luxembourg

Les consolidations des éditeurs BI Tendances en Business Intelligence Centre de compétences en BI (Shared Services Center) BI interactive, "exible BI BI for the masses Open BI

En octobre 2008Guide ITnews Spécial Business Intelligence

Retrouvez égalementle dossier IT!nance du magazine ITnews 2.0 consacré au standard XBRL

Contact: [email protected]

Clôtures: Contribution: 26 septembre 2008 Parution et conférence: 16 octobre 2008

Contacts: Rédaction: [email protected] Publicité: [email protected]

Clôtures: Contribution: 26 septembre 2008 Parution et conférence: 16 octobre 2008

Page 63: ITnation #13 - septembre 2008

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