François de Mazières Maire de Versailles 3...La saison 2018/2019 du Théâtre Montansier sera une fois de plus placée sous le signe de la création, avec plus d’une dizaine de

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La saison 2018/2019 du Théâtre Montansier sera une fois de plus placée sous le signe de la création, avec plus d’une dizaine de spectacles créés sur la scène de notre beau théâtre bleu. Parmi eux, on notera les deux coproductions montées par le grand metteur en scène Peter Stein. Pour marquer que Versailles est plus que jamais la ville de Molière, il a choisi Le Tartuffe et Le Misanthrope.Si de telles collaborations garantissent le rayonnement du Théâtre Montansier bien au-delà de notre ville, sa direction ne perd pas pour autant de vue sa vocation première de théâtre de ville et conduit un remarquable travail de proximité sur le territoire. C’est notamment dans ce cadre que le théâtre accueille durant la saison plusieurs de nos compagnies en résidence, dont le travail de création est ainsi salué et promu. Ouvert à tous les publics, le Théâtre Montansier l’est par sa grille tarifaire qui le rend très accessible mais aussi par la diversité de ses propositions. Il parle à tous les publics, à tous les âges. Le jeune public bénéficie d’une attention toute particulière, et certaines des créations les plus originales du programme lui sont destinées. Le théâtre contribue ainsi à faire vivre cette « école du spectateur » qui me tient à coeur et qui s’exprime également tout au long de l’année, à travers le travail de nos troupes en résidence dans les écoles et pendant le « Mois Molière ». Le Théâtre Montansier occupe donc une place maîtresse dans la vie culturelle de notre ville. C’est cette place que nous souhaiterions voir reconnue par l’attribution du label « Scène nationale » par l’Etat afin d’exprimer la reconnaissance du travail de ses équipes et le plaisir que nous prenons à le fréquenter. J’espère que nous serons, cette saison encore, nombreux à le partager.

François de MazièresMaire de Versailles

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Notre direction vient d’achever une premièremandature de cinq ans au service de votreThéâtre et s’apprête à en engager une deuxièmeavec la présente saison. Ceci nous donne l’occasiond’un rapide bilan. Soucieux de faire la part belle àla création, sans oeillères, qu’elle vienne du théâtreprivé ou du théâtre public ; desireux d’attacherà notre action le public le plus large, le plus divers,la culture n’étant jamais le bien des uns contreles autres, notre activité se rapporte de fait à cellesdes Scènes Nationales. C’est la raison pour laquelle,afin de conforter un travail toujours fragile,nous avons sollicité le Label auprès du Ministèrede la Culture. Ce label permettrait de sanctuariservotre Théâtre et de pérenniser notre ambition.Nous remercions notre Maire François de Mazièrespour son soutien dans notre démarche.Et vous tiendrons informés comme il se doit del’accueil qui nous sera fait par nos tutelles.En attendant, très belle saison à chacun !

Geneviève Dichamp Frédéric FranckDirecteurs

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Fanny Ardant Fanny Ardant

Bienvenue dans la deux cent quarante et unième saison du Montansier !

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Théâtre ~ Seule en scène

D’après le scénario écrit par Marguerite Duras pour le film d’Alain Resnais, adaptation et mise en scène Bertrand Marcos, avec Fanny Ardant

Production Les Visiteurs du soir

Hiroshima mon amour

Catégorie A • Série 1 : 39 € / Série 2 : 34 € • Adhérents : Série 1 : 32 € / Série 2 : 26 € • Jeunes : 15 € • Durée : en création

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« J’ai eu le grand plaisir de travailler avec la comédienne Fanny Ardant sur L’Été 80 de Marguerite Duras. Orchestrer la rencontre entre cette exceptionnelle écriture et cette voix si singulière m’est apparu comme une évidence absolue. Une évidence qu’il fallait renouveler, avec un autre texte. J’ai redécouvert Hiroshima mon amour, que j’avais parcouru il y a longtemps, et dont je me souvenais mal. J’ai été totalement saisi par la puissance de ce texte. J’y ai trouvé l’une des plus belles œuvres de Marguerite Duras qu’il m’ait été donnée de lire. J’ai immédiatement imaginé Fanny Ardant porter ces mots foudroyants.Il s’agissait d’adapter le texte en gardant l’essentiel du scénario écrit par Marguerite Duras pour le film d’Alain Resnais, afin d’arriver à une version qui pourrait avoir tout son sens au théâtre.J’aimerais faire entendre cette histoire, simplement, sans artifice, et sans l’intervention subjective du cinéma. Faire entendre le texte pour ce qu’il est, pour les images qu’il crée, et laisser libre cours à l’imaginaire de chacun. » Bertrand Marcos

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Théâtre ~ Seul en scène

De Daniel Pennac, adaptation, conception et interprétation Laurent Natrella, sociétaire de la Comédie-Française, adaptation et collaboration artistique Christèle Wurmser, lumières Franck Walega, son Dominique Bataille, conseil artistique Laure Sagols

Production Comédie-Française / Studio-ThéâtreLe texte est publié aux Éditions Gallimard

Chagrin d’école

Catégorie C • Série unique : 27 € • Adhérents : 21 € • Jeunes : 10 € • Durée : 1h05

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Cancre de renom avant de devenir professeur et auteur, Daniel Pennac dessine ici un portrait à multiples facettes de l’école en alternant souvenirs de son enfance et de son expérience professionnelle dans une succession de courts chapitres. Il dresse avec humour et tendresse un portrait du cancre, presque universel, profondément touchant, tant ses souffrances semblent irrémédiables. Le récit s’ouvre sur l’échec que peut connaître l’enseignant, lui aussi confronté à des difficultés pour faire progresser le cancre. Ce témoignage offre une réflexion sur la pédagogie dont s’empare Laurent Natrella dans ce spectacle qui nous renvoie aux bancs de l’école. Lui-même enseignant parallèlement à sa carrière d’acteur, il transforme le théâtre en une salle de classe iconoclaste et entre dans la peau du professeur. Son adaptation se concentre sur les réflexions de Pennac autour de l’enseignement, dans des allers-retours entre l’estrade et les pupitres qui font vivre la classe. L’acteur se prend au jeu de la dimension ludique du texte et de la situation, entraînant le public dans une atmosphère intimiste pour offrir un véritable éloge de la transmission.

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Théâtre

Fin de concert dans sa loge, Hans Peter Miller le grand chef d’orchestre, est soudain importuné à plusieurs reprises par un spectateur se présentant comme un admirateur. Léon Dinkel va se révéler envahissant avant de devenir intrusif. Que veut-il, quels souvenirs va-t-il réveiller ? Qui est cet individu inquiétant qui avec des manières insistantes et allusives avance ses pions jusqu’à pousser Miller à la faute ? Dans cette partie d’échecs, le passé refait surface et les souvenirs se ramassent à la pelle. Il y est question de mémoire, de Mozart, de mensonges et de l’incapacité pour les hommes de se regarder dans un miroir. Fausse Note aborde les thèmes de la transmission, de la réparation mais aussi de la vengeance ; cette vengeance qui semble apaiser mais qui finalement ne répare rien.

De Didier Caron, mise en scène Didier Caron et Christophe Luthringer, assistés de Isabelle Brannens, lumières Florent Barnaud, son Franck Gervais, décors Marius Strasser, costumes Christine Chauvey, avec Christophe Malavoy et Tom NovembreProduction ID Production, Didier Caron et Théâtre MichelSoutien de la SPEDIDAM, de l’ASTP, de l’Espace Carpeaux/Courbevoie et l’Espace 93/Clichy-sous-Bois

Fausse NoteVendredi20h3028

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Catégorie A • Série 1 : 39 € / Série 2 : 34 € • Adhérents • Série 1 : 32 € / Série 2 : 26 € • Jeunes : 15 € • Durée : 1h25

« Le verbe de la pièce est fort et se suffit à lui seul, texte de Didier Caron chargé de tension et de suspens. Il commence comme une comédie, progresse dans la gravité, et — chose rare — possède une vraie fin. » Théâtral Magazine

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Théâtre et musique ~ à partir de 3 ans

Sonatine ou l’histoire d’une reine qui, grâce à sa clé magique, peut intervenir sur les forces du ciel et faire la pluie et le beau temps. Hélas, tout se dérègle le jour où deux petites sorcières espiègles, Croche note et Croche pied, s’emparent de cette clé et déclenchent une série de catastrophes. Le spectacle est suivi d’une présentation de la famille des cuivres pour découvrir les secrets de chaque instrument : la trompette, le cor, le trombone, le tuba, et apprendre avec les artistes la chanson La maison des cuivres sur l’air de L’Alouette…

De Rémy Schlemmer, mise en scène Charlotte Azan et Bruno Dubois, conception musicale Nathalie Priot, avec Nathalie Priot (conteuse), Olivier Landeau ou Alain Duquenoy (trompette), Virginie Resman (cor), Didier Quevrin (trombone),

Sylvain Dutouquet ou Philippe Porte (tuba) – Compagnie Les Archets à Bâbord

Sonatine, la princesse aux yeux d’or

Jeune public • Placement libre • Tout public : 10 € • Matinées scolaires : 5 € • Durée : 50 minutes

Représentations scolaires : lundi 1er octobre à 14h / mardi 2 octobre à 10h & 14h

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Après le spectacle, goûter au Foyer avec les artistes

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« Raymond Devos, Mesdames et Messieurs, est un miracle qui est apparu, singulier, sur la scène du music-hall français. Il ne ressemblait à personne. Personne, plus jamais, ne lui ressemblera. C’est comme ça. Il faut se faire une raison. Même si on n’est pas obligé… de se faire une raison. Il est plus opportun en évoquant Devos de se faire une folie. Un grain de folie capable d’enrayer la mécanique bien huilée de la logique, de la réalité, du quotidien. Ceux qui l’ont vu s’en souviennent : Raymond Devos fut un phénomène rare. Comme les arcs-en-ciel de feu circulaires, comme les colonnes de lumière, comme les vents d’incendie, comme les nuages lenticulaires, il a surgi, miraculeux et mystérieux, derrière un rideau rouge qui s’ouvrait sur l’imaginaire. On n’avait jamais vu ça ! Et, devant cet homme en apesanteur, on avait le souffle coupé. » François Morel

J’ai des doutes

D’après Raymond Devos, conception François Morel, musique Antoine Sahler, assistant à la mise en scène Romain Lemire, lumières Alain Paradis, son Camille Urvoy,

costumes Elisa Ingrassia, avec François Morel et Antoine Sahler ou Romain Lemire Commande de Jeanine Roze Production/Concerts du Dimanche Matin. Les Productions de l’Explorateur,

Scène nationale/Châteauvallon, La Coursive-Scène Nationale/La Rochelle, La Manekine - Scène intermédiaire des Hauts-de-France.

Catégorie B • Série 1 : 32 € / Série 2 : 27 € • Adhérents Série 1 : 27 € / Série 2 : 21 € • Jeunes : 15 € • Durée :1h30

Humour musical

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Fasciné par le grand clown, François Morel s’est plongé corps et âme dans sa prose pour inventer un spectacle musical en forme d’hommage.

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Dédicaces à l’issue de la représentation

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Quand on a demandé à Boulgakov d’écrire une biographie de Molière, il n’a pas hésité. Il voyait en Molière un compagnon d’infortune, capitaine à la débâcle puis marionnette des puissants. Il n’est pas étonnant que l’œuvre née de la plume du grand écrivain russe ait été censurée. On y sent le moyen de raconter le combat de la création, entre déboires et succès, entre révolte et séduction, toujours avec humour et élégance. Boulgakov livre une vision ébouriffante de la vie de Molière. Ce récit légendaire d’une troupe ballottée entre la gloire et les revers est ici présenté dans une version vivante et enlevée, entrecoupée de scènes de Molière et de morceaux de Lully transposés au piano. Découvrez l’aventure du directeur de troupe, à la tête de sa caravane, sillonnant les routes de France à la recherche de son public, pour le distraire et le fustiger en même temps.C’est le récit passionnant d’un groupe qui ouvre une nouvelle brèche dans l’art : celle d’une joyeuse révolte.. Le Roman de Monsieur Molière, c’est la vision du pionnier de la comédie par le maître du fantastique.

Le Roman de Monsieur Molière

D’après Boulgakov, Molière et Lully, mise en scène et adaptation Ronan Rivière, lumières Marc Augustin-Viguier, avec Ronan Rivière, Michaël Giorno-Cohen et Olivier Mazal (piano) – Collectif Voix des Plumes

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Catégorie Famille • Placement libre • Série unique : 15 € • Adhérents et jeunes : 10 € • Durée :1h30

Représentations scolaires : mardi 9 octobre à 10h & 14h / mercredi 10 octobre à 20h30

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Décembre 1897, Paris : Edmond Rostand n’a pas encore trente ans mais déjà deux enfants et beaucoup d’angoisses. Il n’a rien écrit depuis deux ans. En désespoir de cause, il propose au grand Constant Coquelin une pièce nouvelle, une comédie héroïque, en vers, pour les fêtes. Seul souci : elle n’est pas encore écrite. Faisant fi des caprices des actrices, des exigences de ses producteurs corses, de la jalousie de sa femme, des histoires de cœur de son meilleur ami et du manque d’enthousiasme de l’ensemble de son entourage, Edmond se met à écrire cette pièce à laquelle personne ne croit. Pour l’instant, il n’a que le titre : Cyrano de Bergerac.

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De et mise en scène Alexis Michalik, assisté de Aida Asgharzaden, décors Juliette Azzopardi, costumes Marion Rebmann, lumières Arnaud Jung, combats François Rostain, musique Romain Trouillet

avec Gauthier Battoue, Jacques Bourgaux, Eric Pucheu ou Adrien Melin, Ary Gabison, Nathan Dunglas, Augustin Ruhabura, Eric Mariotto, Christophe Canard ou Vincent Viotti, Alice Alright, Fannie Outeiro ou Juliette Lamboley,

Fabienne Galula ou Sandra Dorset, Valérie Baurens ou Cathy ArrondelProduction Théâtre du Palais Royal

Théâtre ~ Succès reprise

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Catégorie A • Série 1 : 39 € / Série 2 : 34 € • Adhérents • Série 1 : 32 € / Série 2 : 26 € • Jeunes : 15 € • Durée : 1h50

« Douze comédiens pour trente rôles. Le théâtre dans le théâtre est une des formes les plus jubilatoires du monde du spectacle. Ici on se divertit. Du grand théâtre populaire. »Le Figaroscope

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Rudyard Kipling, auteur emblématique du XIXe siècle, s’est amusé à écrire, à la manière des contes africains, des histoires pour raconter la vie des hommes et des animaux, avec humour et légèreté.Reprenant cette idée de pont entre l’Afrique et l’Occident, par l’art et l’imaginaire, sans jamais tomber dans la caricature, ce spectacle est avant tout un échange, une complicité entre un musicien et une comédienne. Une malle mystérieuse, un arbre à merveilles et quelques notes de musique. Ainsi, c’est au son du Kamalé N’gonni, le luth des griots, que ces histoires vont prendre vie. Le mime et la danse se mêlent alors à la musique caractéristique de l’Afrique de l’ouest pour nous faire voyager. C’est avec humour et poésie que sont repris ici l’histoire du crabe qui jouait avec la mer, et celle du chat qui va tout seul. Un spectacle pour petits et grands, à voir et à écouter avec son cœur !

Histoires comme ça

Théâtre ~ Conte en musique ~ dès 5 ans

D’après les textes de Rudyard Kipling, adaptation et mise en scène Aurélie Lepoutre, sous le regard complice de Rachel Ruello, avec Aurélie Lepoutre et Bachir Sanogo – Cie de l’Alouette

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Jeune public • Placement libre • Tout public : 10 € • Matinées scolaires : 5 € • Durée : 45 minutes

Représentations scolaires : mardi 16 octobre 10h & 14h / jeudi 18 octobre 10h & 14h


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Azor est le nom d’un chien, mais c’est avant tout le surnom du commissaire de police du quartier d’Auteuil. C’est un brave garçon, un ahuri au grand cœur et poète à ses heures. Il a eu le coup de foudre pour une jeune fille qu’il a croisée par hasard dans la rue et qui se révélera être la fille du Ministre de la Justice. Séducteur malgré lui, il est également poursuivi par une femme mariée, qui menace de le tuer s’il la quitte, et par une voleuse à la tire, fascinée par sa verve poétique. Pourquoi Azor se trouve-t-il obligé de s’enrôler dans la bande du redoutable Kiki-Le-Frisé ? Comment échappe-t-il à la colère d’un mari jaloux ? Réussira-t-il, à la faveur d’un bal costumé chez le Ministre, à ravir celle qu’il aime ? Voilà ce que vous saurez lorsque vous aurez vu Azor.Azor, est une comédie musicale française de l’entre-deux-guerres qui renoue avec

l’opérette inventée par Offenbach et Hervé. Ici, pas de jeune première ingénue mais une femme moderne, pleine d’humour et d’autodérision. Pas de policier futé ou nigaud mais un petit fonctionnaire rêveur aux ailes trop grandes. Pas de prostituée au grand cœur mais une femme libre et pragmatique. Des caractères dont l’épaisseur nous touche et nous offre une palette d’interprétations contemporaines et composites. De plus, et peut-être parce que le compositeur lui-même jouait le premier rôle, l’écriture musicale est intimement liée au texte, à la prosodie et à la personnalité des interprètes. Légère, spirituelle, dansante, pleine de bonne humeur, souvent syncopée, très 1932, elle conjugue avec efficacité élégance et virtuosité.

Azor

Opérette policière ~ Première à Versailles

Mise en scène Stéphan Druet, direction musicale et arrangements Emmanuel Bex, musique Gaston Gabaroche, Pierre Chagnon et Fred Pearly, livret Albert Willemetz, Max Eddy et Raoul Praxy, conception Emmanuelle Goizé, Gilles Bugeaud et Pierre Méchanick,

chorégraphie Alma De Villalobos, lumières et scénographie Patrice Lechevallier, costumes Bob Hatisi, avec Julien Alluguette, Gilles Bugeaud, Pauline Gardel, Quentin Gibelin, Emmanuelle Goizé, Estelle Kaïque, Pierre Méchanick,

Emmanuel Bex (orgue Hammond et claviers), Antonin Fresson (guitare et jeu), Tristan Bex (percussions) – Cie Quand on est troisCoproduction Théâtre Montansier/Versailles et Scène Nationale/Albi

Catégorie A • Série 1 : 39 € / Série 2 : 34 € • Adhérents • Série 1 : 32 € / Série 2 : 26 € • Jeunes : 15 € • Durée : en création

Création Coproduction

Théâtre Montansier

Goûter partagé et costumé Années folles le dimanche

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Coproduction


Écrite par William Shakespeare en 1595, La vie et la mort du roi Richard II raconte l’abdication de ce roi, dont le règne a duré 22 ans (1377-1399). Cette pièce historique commence après l’assassinat du duc de Gloucester, oncle du roi. À la suite d’une querelle, il bannit Bolingbroke, duc de Lancastre et Mowbray, duc de Norfolk et part faire la guerre en Irlande. À son retour, Bolingbroke est revenu en Angleterre, réclamant l’héritage de son père. Forcé (ou non, selon les interprétations...), Richard donnera son royaume et sa couronne à Bolingbroke, le laissant devenir Henry IV, nouveau roi d’Angleterre. Sur un malentendu (ou non, selon les interprétations...), le nouveau roi fera assassiner Richard, alors tourmenté par la folie, dans sa cellule de prison.

Si Richard II est l’histoire d’un roi qui chute, c’est aussi celle d’un acteur qui laisse le premier rôle. Rarement ce geste, souvent assimilé à la quintessence même du tragique, est interprété comme une gloire, une réussite : comme s’il n’y avait pas plus royal que de laisser sa place...

Richard II

De Shakespeare, mise en scène Guillaume Séverac-Schmitz, traduction, adaptation et dramaturgie Clément Camar-Mercier, scénographie Emmanuel Clolus, lumières Pascale Bongiovanni, son Yann France et Guillaume Séverac-Schmitz, costumes Emmanuelle Thomas,

avec Jean Alibert, François de Brauer, Olivia Corsini, Baptiste Dezerces, Pierre Stefan Montagnier, Thibault Perrenoud, Nicolas Pirson – Collectif Eudaimonia

Coproduction Théâtre de l’Archipel-scène nationale/Perpignan, Théâtres Aix-Marseille Gymnase-Bernardines, Le Cratère-scène nationale/Alès, Théâtre Montansier/Versailles

Théâtre

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Américain né à Boston et aujourd’hui installé à Montréal, Andrew Skeels, développe un parcours éclectique et aventureux. Passé par le hip-hop à l’âge de dix ans, danseur de boîte de nuit cinq ans plus tard, il démarre la danse classique à 17 ans et décroche un contrat de danseur classique aux Grands Ballets Canadiens. A 23 ans, il endosse les rôles de soliste dans les monuments du répertoire mais aussi dans les spectacles de Mats Ek, Jiri Kylian et Ohad Naharin. Depuis 2010, il chorégraphie ses propres pièces et en 2015 crée Oder Nirgends pour le Ballet de Hanovre, en Allemagne, avec 10 danseurs.

Finding Now

Chorégraphie Andrew Skeels, musiques baroques de Jean-Sébastien Bach, Antonio Vivaldi, Domenico Scarlatti…, lumières Alain Paradis, costumes Xavier Ronze

avec Mellina Boubetra, Hugo Ciona, Noémie Ettlin, Tom Guichard et Nicolas Grosclaude Commande et production Théâtre de Suresnes Jean Vilar/Suresnes Cités Danse 2018, avec le soutien de Cités Danse Connexions

Avec Finding Now, Andrew Skeels croise danse hip-hop et musique

baroque et s’attache au sentiment d’immédiateté, à l’instant présent,

à ce moment miraculeux où les éléments entrent en résonance et

conduisent à l’indicible.Cinq danseurs hip-hop – trois

garçons et deux filles –, breakers et danseurs debout, ont travaillé

sur la gestuelle exigeante du chorégraphe, pour mieux signifier

que hip-hop et perfection technique peuvent rimer avec tension et

relâchement, délicatesse et intimité, équilibre et fragilité.

Danse Hip-Hop ~ Musique baroque

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Catégorie A • Série 1 : 39 € / Série 2 : 34 € • Adhérents Série 1 : 32 € / Série 2 : 26 € • Jeunes : 15 € • Durée : 1 h 29

Grand prix de la

Critique 2018 Danse

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Seule au château le soir du solstice d’été, Mademoiselle Julie, la fille du Comte, se mêle au bal de ses domestiques et invite Jean, le valet de son père, à danser. Celui-ci s’échappe et vient retrouver Kristin, sa fiancée, à la cuisine où elle officie. Epuisée par son travail elle s’y endort. Julie les rejoint et lui demande de boire en sa compagnie allant jusqu’à lui ordonner de s’agenouiller et d’embrasser sa chaussure. Jean s’exécute, Julie feint de s’abandonner, il resserre son étreinte, elle le repousse brutalement… Dans l’atmosphère chaude de cette nuit d’été propre aux excès, ils échangent des confidences, s’attirent et se résistent, mais les gens approchent. Pour échapper à leur regard, ils s’enferment dans l’intimité de la chambre de Jean… Avec un espoir mêlé de crédulité, Julie se laisse prendre dans les griffes du désir qu’elle voudrait être de l’amour. Une fois conquise, en proie aux rumeurs et à l’humiliation sociale, le piège se referme.

Mademoiselle Julie

D’August Strindberg, traduction et adaptation Clémence Hérout et Nils Öhlund, mise en scène Nils Öhlund, scénographie et costumes Laurianne Scimemi assistée de Blandine Gustin, lumières Laurent Schneegans et Michel Bergamin, son Grégoire Harrer

avec Jessica Vedel, Carolina Pecheny, Fred Cacheux ou Nils Öhlund (en alternance)Coproduction Comédie De l’Est - Centre dramatique national d’Alsace et Théâtre Montansier/Versailles


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Novembre Théâtre

Mademoiselle Julie est un drame où l’art de peindre la complexité de l’âme humaine et les luttes qu’elle engendre s’exprime magistralement sous la plume de Strindberg.

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André Dussollier incarne le trompettiste qui raconte l’histoire de son ami Novecento sur le Virginian accompagné d’un quartet de jazz. De son récit émergent le bateau, la salle des machines, le pont des premières classes, et tous les personnages qu’il croise sur le bateau le temps d’une traversée. Novecento n’est jamais descendu à terre. Depuis son bateau, il voit passer le monde, il sait écouter les gens, leur terre, leur histoire. Il absorbe et retranscrit librement sur son piano tout ce qu’il entend à bord. Son récit mélange les sons de la mer, du vent, les rythmes des machines et la rumeur des ports. Sa réputation franchit les océans. L’inventeur du jazz vient le défier dans un duel. Il aurait pu conquérir le monde… s’il était descendu.

Novecento

D’Alessandro Baricco, adaptation française André Dussollier et Gérald Sibleyras avec la collaboration de Stéphane de Groodt, mise en scène André Dussollier, scénographie et co-mise en scène Pierre-François Limbosch, lumières Laurent Castaingt,

images Christophe Grelié, assistante artistique Catherine D’At, création musicale et direction Christophe Cravero, costumes Catherine BouchardAvec André Dussollier, Elio di Tanna (piano), Sylvain Gontard ou Gilles Relisieux (trompette),

Michel Bocchi (batterie et percussions), Olivier Andrès (contrebasse)Production Deux Ailes Production et Scène Indépendante Contemporaine (sic) en accord avec Les Visiteurs du Soir

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Catégorie A • Série 1 : 39 € / Série 2 : 34 € • Adhérents Série 1 : 32 € / Série 2 : 26 € • Jeunes : 15 € • Durée : 1h30

Molière 2015Meilleur comédiendans un spectaclede théâtre public

Succès

Reprise

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Intrigues à la Cour : Il était une fois La Princesse de Clèves, la cour du roi Henri II et de Catherine de Médicis…Des êtres dont le cœur, le corps et l’esprit étaient livrés à chaque instant du jour, à chaque heure de la nuit, aux passions et aux intrigues, à l’amour et aux plaisirs, aux charmes et à la séduction, au libertinage…Plaisirs : L’histoire de la Princesse de Clèves nous est racontée ici au moment du repas. Dans cet instant, il existe une fragilité, une ouverture, une détente, propices à recevoir ce drame où la psychologie et les mouvements de l’âme sont si bien décrits.Emois et gastronomie : Benoit Schwartz, comédien et conteur, amoureux de la plume et fort porté sur les plaisirs de la table, raconte et joue le texte de Madame de Lafayette, proposant à chaque spectateur une complicité particulière, autour d’une table dressée, d’une élégance étrangement baroque, où la gastronomie se mêle aux émois de la cour.

La Princesse de Clèves

D’après Madame de Lafayette, adaptation et mise en scène Benoit Schwartz, scénographie Elisabeth de Sauverzac et Benoit Schwartz, lumières Nicolas Villenave, avec Benoit Schwartz

Production Compagnie La Bao Acou, coproduction Espace culturel Luxembourg/Meaux, avec le soutien de la Cie La Belle Idée

Une soirée à la table de la Maison de France

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Dîner sur scène : 49 € / Adhérents : 42 € / Jeunes : 25 € (diner inclus) • Durée : 2h45

Représentations scolaires : lundi 3 décembre à 11h & 15h / mardi 4 à 15h (durée : 1h30)

Pour ce dîner il est recommandé de venir costumé ! En partenariat avec Esprit d’Atelier

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« Parmi toutes les chansons qu’Yves Montand a pu interpréter en scène, il a été extrêmement difficile de faire un choix pour s’en tenir aux 22 qui composent ce tour de chant. J’ai privilégié les chansons « d’acteur », drôles pour la plupart, celles qui racontent une histoire, celles qui posent de vrais personnages — un champion de boxe aveugle, un Lord Anglais pas très catholique, une vieille prostituée plutôt sympathique — des chansons « comme un petit film » et dans lesquelles Yves Montand lui-même introduisait beaucoup de comédie, beaucoup de fantaisie. Dans un souci de « variété », j’ai construit le programme en alternance avec d’autres chansons qui sont restées dans nos mémoires pour des raisons différentes : pour leurs mélodies « incontournables », pour leur joie de vivre débordante, pour leur grande tendresse car, comme il le disait :« Les gens, on leur fout de la terreur, de la violence, du rock… mais dès que tu as deux violons et un bon texte, ça marche… parce que la tendresse, tu as beau rouler des mécaniques, tu en as besoin ». Alors, sans doute, serez-vous tristes de ne pas en entendre certaines, mais je sais que vous serez heureux d’en redécouvrir d’autres… » Pierre Cassignard

Un soir avec Montand

De et avec Pierre Cassignard, direction musicale et piano Patrice Peyriéras, lumières Mathieu Le Cuffec

Productions Les Grands Théâtres


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Rencontre avec Pierre Cassignard au Foyer le 29 novembre. Voir p. 92

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Dans un train, « Lui » perd son ordinateur dans lequel se trouvait l’ébauche et toutes les notes d’une pièce à venir : « Les Mystiques ». Il nous raconte alors l’année qu’il vient de traverser, des prémices de ses recherches jusqu’à la perte, finalement libératrice, de son ordinateur.La pièce prend la forme d’une enquête sur les traces des mystiques, que « Lui » entreprend pour tenter de se rapprocher d’une demi-sœur qu’il connaît peu. Au fur et à mesure, « Lui » se libère de sa volonté de définitions claires et de réponses précises à ce qu’il croyait être sa question première : qu’est-ce qu’un mystique ?Ecrasé par la masse d’informations qui s’impose à lui dès lors qu’il commence ses recherches, confronté à la difficulté d’écrire de manière personnelle sur le sujet, « Lui » décide de s’isoler en quittant Paris. Son voyage le mènera de la gare de Poitiers à une forêt de la vallée de Chevreuse, d’un restaurant chinois au foyer d’un théâtre, de Niort à Sienne, d’une chambre d’hôtel à un désert, de la campagne toscane à la place de la République. Il croisera sur sa route une multitude de personnages : Elise, Laure, Philippe, Emmanuel Carrère, Michel de Certeau, Catherine de Sienne, Patrick Cohen, un auditeur de France-Inter, Sarah, Mathieu, Florence, Etty Hillesum, Simone Weil, quelques fantômes, Madame Madebeine, Socrate, Patricia Arquette, une danseuse étoile du Boston Ballet, Cassandre, Appolon, une fille de seize ans, un jeune bûcheron, un vieux chanoine, un éditeur, Patti Smith, une luciole…

Les Mystiques,ou comment j’ai perdu mon ordinateur entre Niort et Poitiers

De et mise en scène Hédi Tillette de Clermont-Tonnerre, avec la participation d’Éric Tillette de Clermont-Tonnerre, dramaturgie Sarah Oppenheim, lumières Kelig Lebars, musique Nicolas Delbart, vidéo Christophe Waksmann, scénographie Alexandre de Dardel, Louise Sari et Rachel Testard, costumes et accessoires Olga Karpinsky,avec Flore Lefebvre des Noëttes, Mathieu Genet, Bruno Gouery, Mireille Herbstmeyer, Lisa Pajon, Makita SambaProduction Le Théâtre IrruptionnelCoproductions Oara - Office Artistique de la Région Nouvelle-Aquitaine, Théâtre Montansier/Versailles, Le Moulin du Roc-Scène Nationale/Niort, ACB-Scène Nationale/Bar-le-Duc.Avec la participation artistique du Jeune théâtre national

Théâtre

Mardi20h30Mercredi20h30

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Décembre

Catégorie B • Série 1 : 32 € / Série 2 : 27 € • Adhérents Série 1 : 27 € / Série 2 : 21 € • Jeunes : 15 € • Durée : 1h40



Débat à l’issue de la représentation du 11 en présence de Frère Eric de Clermont-Tonnerre, atelier d’écriture et stage de jeu. Voir p. 92

« Ils attendent des amis pour le dîner, mais ceux-ci n’arriveront jamais…Pour interpréter ce couple construit sur le déni, j’avais envie de travailler avec des comédiens jeunes et modernes. Barbara Schulz et Arié Elmaleh étaient parfaits pour cela. J’ai eu la chance qu’ils comprennent tout de suite l’ironie de la pièce et qu’ils s’enthousiasment pour le texte. Leur talent permet aux personnages de passer du rire aux larmes tout en finesse ; il leur ouvre les portes de la vulnérabilité autant que de la violence. Collaborer avec ces deux comédiens brillants qui vont fouiller loin en eux-mêmes pour comprendre et aimer leurs personnages est un immense bonheur pour l’auteur et le metteur en scène que je suis. » A. Schebat

La PerrucheDe et mise en scène Audrey Schebat, assistée d’Emmanuelle Tachoires, scénographie Édouard Laug, lumières Laurent Béal, costumes Ariane Viallet, son François Peyrony, avec Barbara Schulz et Arié ElmalehProduction Arts live

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La Perruche : certains y laissent des plumes !

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Le Tartuffe est interdit, Lamoignon en a suspendu les représentations le 5 août 1667 et la troupe est restée sept semaines sans jouer. Pour pouvoir assurer une alternance dans son théâtre, Molière étoffe son répertoire et c’est ainsi qu’il se tourne vers l’Antiquité et emprunte le sujet à Plaute. Le thème des ressemblances est à la mode, Rotrou connaît le succès avec Les Sosies en 1636. Comédie en trois actes et en vers, Amphitryon est représenté le 13 janvier 1668 au Théâtre du Palais Royal. La pièce est entourée d’un parfum de scandale, certains prétendent que le rôle de Jupiter cache en réalité Louis XIV et que de cette manière, Molière peut aisément critiquer sa conduite. Louis XIV vient en effet de ravir son épouse au marquis de Montespan qui, pour le moment, se tient coi. « Un partage avec Jupiter / N’a rien du tout qui déshonore », il peut même susciter des espérances. (Amphitryon, v. 1898-1899)

Amphitryon

De Molière, mise en scène Stéphanie Tesson, assistée par Antony Cochin, costumes Corinne Rossi, peintures, costumes et toiles Marguerite Danguy des Déserts, lumières Florent Barnaud,

maquillages et perruques Anne Caramagnol assistée de Stéphanie Rossi, avec Jean-Paul Bordes, Benjamin Boyer, Antony Cochin ou Yannis Baraban, Odile Cohen, Mathias Maréchal, Guillaume Marquet ou Laurent Collard, Sophie Bouilloux, Nicolas Vaude

Production Théâtre de Poche-Montparnasse et Phénomène et Compagnie

Théâtre

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Jeudi20h30Vendredi20h30

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Raymonde Chandebise demande l’aide de son amie d’enfance, Lucienne Homenidès de Histangua : le manque d’ardeur conjugale de son mari et la découverte d’une de ses paires de bretelles renvoyée par le propriétaire de l’hôtel du Minet Galant lui ont mis la puce à l’oreille. Son mari la trompe, et il s’agit de le démasquer. Toute cette expérience s’ordonne autour de Chandebise. Contrairement à la plupart des personnages précipités jusqu’alors par Feydeau dans ses imbroglios, Chandebise n’est coupable de rien. Mari irréprochable, parent attentionné, ami dévoué, chef d’entreprise scrupuleux : le portrait qu’en dresse Feydeau est celui d’un parfait honnête homme.

« L’ahurissement, la fébrilité, la panique des personnages — tout ce qu’ils manifestent à nos yeux de maladresse, d’étroitesse, de défectuosité — entrainent irrésistiblement les spectateurs à « rire aux larmes » : la voilà bien, la condition humaine, réduite à sa plus mince expression. Et la confrontation à cette étroitesse, Feydeau fait en sorte qu’elle nous secoue, qu’elle nous épate, qu’elle nous exhausse. » Vincent Tavernier

La puce à l’oreille

De Feydeau, mise en scène Vincent Tavernier, assisté par Marie-Louise Duthoit, décors Claire Niquet, costumes Erick Plaza-Cochet, lumières Carlos Perez,

avec Quentin-Maya Boyé, Valentine Revel-Mouroz, Laurent Prévôt, Olivier Berhault, Maxime Costa, Marie Loisel, Benoît Dallongeville, Fanny Zeller, Pierre-Guy Cluzeau, Marie-Louise Duthoit, Jeanne Bonnenfant, Vincent Tavernier

Production Les Malins Plaisirs, Ensemble théâtral et lyrique du Pays de Montreuil-sur-merCoproduction Communauté d’agglomération des Deux Baies En Montreuillois, La Baracarolle/Audomarois/Saint-Omer,

Théâtre Monsigny/Boulogne-sur-mer, Théâtre Montansier/Versailles

Théâtre

Dimanche20h30Lundi20h30

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Décembre

Catégorie A • Série 1 : 39 € / Série 2 : 34 € • Adhérents Série 1 : 32 € / Série 2 : 26 € • Jeunes : 15 € • Durée : 2h00Nouvel an avec Feydeau au Montansier !



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« Il y a un Tartuffe en chacun de nous. Sans jeu de rôle, sans mensonge pour atteindre nos buts, nous ne pourrions pas vivre en société. Il y a un Orgon en chacun de nous. Trop souvent incertains nous pouvons être séduits par des gourous de toutes sortes, par les promesses religieuses et idéologiques. Ainsi Tartuffe ou l’imposteur, cette vieille pièce du vieux Molière reste intemporelle. C’est en observant scrupuleusement, en « élaborant » le sens du texte, en parlant l’alexandrin sans maniérisme que nous pourrons transmettre la beauté sérieuse, tragique, et comique de l’écriture et aujourd’hui encore recréer l’effet que Molière souhaitait avoir. La pièce, conclue par un représentant du Roi Louis XIV, était un coup de théâtre que Molière semblait devoir à son argentier. C’est dans cet esprit qu’il sera représenté ne voulant pas, nous non plus, nous laisser voler l’espoir d’une bonne fin. » Peter Stein

Le Tartuffe

De Molière, mise en scène Peter Stein, décors Ferdinand Woegerbauer, costumes Anna Maria Heinreich, lumières François Menouavec Pierre Arditi, Jacques Weber, Isabelle Gélinas, Agathe Bonitzer, Manon Combes, Catherine Ferran, Bernard Gabay,

Jean-Baptiste Malartre, Félicien Juttner, Loïc Mobihan et Luc TremblaisProduction Théâtre de la Porte Saint-Martin, coproduction Théâtre Montansier/Versailles

Théâtre

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R Catégorie A • Série 1 : 39 € / Série 2 : 34 € • Adhérents Série 1 : 32 € / Série 2 : 26 € • Jeunes : 15 € • Durée : en création

JanvierMardi20h30Mercredi20h30Jeudi20h30

Vendredi20h30Samedi20h30Dimanche15h00

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Conférence de Pierre-Hippolyte Pénet «Molière et la querelle du Tartuffe» le 17 décembre. Voir p. 92

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Les King’s Singers sont officiellement nés le 1er mai 1968, formés par six jeunes choristes diplômés du King’s College de Cambridge. Leur formation vocale était (par hasard) deux contre-ténors, un ténor, deux barytons et une basse, et le groupe n’a jamais dévié de cette formation depuis. 2018 marque le 50e anniversaire du groupe, et pour le célébrer, les King’s Singers présentent leur saison anniversaire : GOLD. Tout dans cette saison GOLD, du triple album au livre et à la tournée de concerts, célèbre l’incroyable héritage musical des King’s Singers, et se penche également sur le brillant avenir de la musique vocale sous toutes ses formes.Le monde a peut-être beaucoup changé au cours des cinquante années qui se sont écoulées depuis que les premiers King’s Singers se sont réunis, mais le groupe d’aujourd’hui est toujours animé par le même sang, celui qui veut rayonner la joie que le chant apporte chaque jour et qui veut donner vie au public avec sa virtuosité et sa vision d’un avenir musical passionnant.

Les King’s Singers

Avec Patrick Dunachie (contre-ténor), Julian Gregory (ténor), Christopher Bruerton (baryton), Jonathan Howard (basse) et deux autres chanteursProgramme : de Camille Saint-Saëns à John Lennon

Chœur a cappella

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Mardi20h3015

Janvier

Catégorie A • Série 1 : 39 € / Série 2 : 34 € • Adhérents Série 1 : 32 € / Série 2 : 26 € • Jeunes : 15 € • Durée : 1h30 (entracte compris)

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« Porter à la scène les mots d’Antoine Leiris.Ne pas chercher le spectaculaire. Mais ne pas se priver non plus des outils propres au théâtre afin de mettre en voix et en espace ce témoignage précieux. Que faire face à la réalité et la violence de ce monde ?Avec pudeur, délicatesse et générosité, faire entendre une parole de vie, d’amour et d’espoir.Nous sommes, public, les témoins de cette réflexion. Entre le souffle de vie et la pudeur. Ni le texte, ni le spectacle ne cherchent l’émotion. C’est un moment de vie partagé que j’ai essayé de mettre en scène par des respirations, des ellipses et des ruptures. J’ai le sentiment très fort que ce texte a sa place au théâtre, qu’il y a du sens à proposer de se réunir, ensemble, pour entendre ces mots.Au fond il s’agit d’une prise de parole en direct et en public. Cela s’adresse directement à nous. Le personnage essaye de faire le point avec nous, devant nous. Il essaye d’avancer, c’est un combat intérieur. » Benjamin Guillard

Vous n’aurez pas ma haine

D’après le récit d’Antoine Leiris (éditions Fayard), adaptation et mise en scène Benjamin Guillard, assisté d’Héloïse Godet, musique Antoine Sahler, scénographie Jean Haas, assisté de Juliette Azemar, lumières Jean-Pascal Pracht, vidéo Olivier Bémer

avec Raphaël Personnaz et Lucrèce Sassella ou Donia Berriri (piano)Production 984 Productions, coproduction Le Liberté/Toulon

Théâtre

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« Multipliant les ruptures de ton sans jamais jouer sur la fibre du pathos, poignant dans sa sobriété, Raphaël Personnaz suspend le public à ses lèvres. »Le Figaro Magazine

Molière 2018Seul en scène

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De l’an mil à 1715, parcourir en une soirée plus de sept siècles d’histoire. L’accession au trône des premiers capétiens, le procès de Jeanne d’Arc, la rivalité avec l’Angleterre, la guerre de Cent Ans, la victoire de François 1er à Marignan, la lutte contre la maison d’Autriche, la monarchie absolue, les guerres de religion…« Si l’on peut parfois contester la valeur scientifique des écrits des grands historiens et écrivains du XIXe siècle, leur style est du plus haut niveau. Sous leur plume, l’histoire devient mythe et littérature, et donc potentiellement théâtre ! Si l’on considère, bien sûr, que le théâtre est le lieu de l’émotion et de l’imaginaire, et non celui du raisonnement et de la recherche scientifique.À partir de ces grands textes et en m’attachant à en respecter le style et la puissance d’évocation, j’ai imaginé de concevoir pour le théâtre une leçon d’histoire de France. » Maxime d’Aboville

Les deux Leçons d’Histoire de Francede l’an mil à 1715

D’après Dumas, Michelet, Hugo, Saint-Simon, Chateaubriand, de, mise en scène et interprétation Maxime d’Aboville

Catégorie C • Série unique : 27 € • Adhérents : 21 € • Jeunes & matinées scolaires : 10 € • Durée (Leçon 1) : 1h / (Leçon 2) : 1h10

Théâtre ~ Soirée en deux volets

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Samedi20h3026

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Représentations scolaires : Leçon n°1 « de l’an mil à Jeanne d’Arc » : jeudi 24 janvier à 10h & 14hLeçon n°2 « de 1515 au Roi-Soleil » : vendredi 25 janvier à 10h & 14h

Maxime d’Aboville dédicacera ses ouvrages à l’issue des leçons Entracte gourmand et animé

Venez

costumés !

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Chopin : de l’air, du feu... et du bonheur

Musique classiqueJanvierDimanche17h27

Catégorie B • Série 1 : 32 € / Série 2 : 27 € • Adhérents : Série 1 : 27 € / Série 2 : 21 € • Jeunes : 15 € • Durée : 1h30 (estimation)

Avec Abdel Rahman El Bacha (piano), le Quatuor Parisii et Dominique Desjardins (contrebasse)

Chopin : Barcarolle op. 60Haydn : Quatuor « L’Empereur » op. 76/3 en ut majeur

Chopin : Concerto op. 11, n°1 en mi mineur

Depuis l’éclatante révélation de son talent au Concours Reine Elisabeth de Belgique qu’il remporte à l’unanimité, Abdel Rahman El Bacha se produit dans les salles les plus prestigieuses aux côtés d’orchestres tels que le Philharmonique de Berlin, l’Orchestre de Paris, le NHK de Tokyo, l’English Chamber Orchestra… Son premier disque, consacré aux Premières œuvres de Prokofiev, obtient le Grand Prix de l’Académie Charles Cros ; après avoir enregistré Bach, Ravel, Schubert, Schumann, Rachmaninov ainsi que les 5 concertos de Prokofiev (live), ses intégrales des sonates de Beethoven et de l’œuvre pour piano seul de Chopin - en ordre chronologique - rencontrent un très grand succès, tant en concert qu’en CD.

« Un merveilleux Premier concerto de Chopin illuminé par l’élégance aristocratique d’Abdel Rahman El Bacha, au jeu d’une rare perfection et d’une émotion pudique bouleversante. »ResMusica

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Histoire du soldat

Jeune PublicJanvierMercredi15h30

Jeune public • Placement libre • Tout public : 10 € • Matinée scolaire : 5 € • Durée : en création

Représentations scolaires : jeudi 31 janvier à 10h & 14h

Musique Igor Stravinsky, livret de Charles-Ferdinand Ramuz, par les étudiants musiciens, danseurs et comédiens du Conservatoire à Rayonnement Régional de Versailles Grand Parc,

direction David Chivers, mise en scène Ronan Rivière, scénographie Antoine Milian Production CRR/VGP, Théâtre Montansier/Versailles

C’est l’histoire d’un soldat qui rentre chez lui en permission, épuisé, son violon sur le dos. Sur le chemin il rencontre… le diable ! Rusé et perfide, celui-ci offre un livre magique que le jeune homme, candide, troque contre son violon. Mais le soldat se rend vite compte qu’en donnant son violon il a vendu son âme ! Si ce livre lui apporte la fortune, il ne le rend pour autant pas heureux. Après une dangereuse partie de cartes où il abandonne tous ses biens mais récupère son violon, le soldat guérit sa promise, la princesse, et l’épouse. Mais tout ne se termine pas comme dans un conte ! En voulant retrouver sa mère, le soldat retombe au pouvoir du diable qui l’emporte à jamais : « Un bonheur est tout le bonheur ; Deux, c'est comme s’ils n’existaient plus. »

A l’occasion du centenaire de sa création, le 28 septembre 1918, redécouvrez cette version miniature de la légende de Faust, inspirée des contes russes d’Afanassiev. Pensé pour une troupe réduite, dans les difficiles conditions de la guerre, ce mimodrame « lu, joué et chanté » alterne des styles musicaux variés (airs de marche, un « petit concert », un tango, une valse, un ragtime…) dans un climat proche de l’esprit du cirque et des musiciens ambulants.


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Le tribunal est un théâtre où la parole est reine et c’est bien cette parole qui peut faire glisser d’un côté ou de l’autre du monde des vivants : la liberté sous le ciel ou la réclusion à l’ombre. L’exercice de la justice a lieu sur une scène qui n’a pas toujours la résonnance médiatique donnée aux grands procès. Dominique Simonnot, journaliste à Libération puis au Canard Enchainé, a écrit des chroniques judiciaires savoureuses. Michel Didym et Bruno Ricci se sont intéressés au chemin souvent aléatoire qui conduit du Palais de justice à la prison en accolant ces chroniques à des textes d’écrivains sur qui le filet s’est refermé. Comédien de cinéma et de télévision, Bruno Ricci entre en scène avec ce matériel, théâtre documentaire, propos recueillis lors des audiences de différents tribunaux. C’est la justice ordinaire qu’il donne à voir et à entendre. Policiers, avocats, procureurs, juges et prévenus, paroles authentiques, mêlées à celles des poètes des prisons.

Comparution immédiate

De Dominique Simonnot, mise en scène Michel Didym, assisté de Anne Marion-Gallois, scénographie David Brognon et Stéphanie Rollin, collaboration artistique Bruno Ricci, lumières David Brognon et Sébastien Rébois,

son Michel Jaquet, costumes Éléonore Daniaud, décor CDN Nancy Lorraine, avec Bruno Ricci Production Centre Dramatique National Nancy Lorraine, La Manufacture


Théâtre ~ à partir de 15 ans

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À l’issue de la représentation rencontre sur le thème «La justice au quotidien»

FévrierVendredi20h3001

« Du tribunal à la scène, métamorphoses de la culpabilité. C’est féroce. On rit beaucoup. Mais ce n’est pas bêtement destructeur. Il n’y a que de l’humanité, de part et d’autre. Parfois, une lettre est glissée. Lettre venue de prison. Aussi bouleversante qu’éloquente. »Le Figaro ~ Armelle Héliot

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« Dans la pièce, toutes les relations humaines et tous les idéaux politiques sont gangrenés par la peur et la corruption car au palais de la princesse tout s’achète et tout se sait. Marivaux a tissé une histoire où amour, argent et politique sont indissociables. Les personnages sont livrés à eux-mêmes sans autorité supérieure. Ils sont tous jeunes, sans attaches familiales, libres d’eux-mêmes, confrontés à des choix qui marquent leur passage à l’âge adulte. Comment leur appétit de la vie s’exprime-t-il face à cette situation sauvagement moderne ? Conspirant à construire des histoires d’adultes, avec l’énergie et la gravité de l’enfance, comme un chasseur est à l’affût, prêt à capturer l’imprévu, Marivaux donne forme au murmure qui nous traverse pour nous rappeler que nous sommes des créatures condamnées à la parole, soumises à l’empire des mots. Une part de nous se raconte en noir et blanc, une autre en couleurs. Le comique naît ici, entre autres, de cette friction entre l’ordre établi et la revendication d’une nouvelle donne sociale. Une société nouvelle pas forcément meilleure, où l’argent règne toujours en maître, mais dans laquelle les pouvoirs sont contestés. » Yves Beaunesne

Le Prince travestiou l’Illustre Aventurier

De Marivaux, mise en scène Yves Beaunesne, assisté de Marie Clavaguera-Pratx et Pauline Buffet, dramaturgie Marion Bernède, scénographie Damien Caille-Perret, lumières Joël Hourbeigt, composition musicale Camille Rocailleux, costumes Jean-Daniel Vuillermoz, maquillages Kuno Schlegelmilch avec Marine Sylf, Elsa Guedj, Nicolas Avinée, Jean-Claude Drouot, Thomas Condemine, Johanna Bonnet, Pierre Ostoya-Magnin et Valentin LambertProduction La Comédie Poitou-Charentes/Centre dramatique national, avec le soutien de la DRAC Nouvelle-Aquitaine-Ministère de la Culture et de la Communication,de la Région Nouvelle-Aquitaine et de la Ville de Poitiers.Coproduction Le Théâtre 71-Scène nationale/Malakoff, Théâtre d’Angoulême-Scène nationale, Théâtre Montansier/Versailles

Catégorie A • Série 1 : 39 € / Série 2 : 34 € • Adhérents Série 1 : 32 € / Série 2 : 26 € • Jeunes : 15 € • Durée : en création

FévrierMercredi20h30Jeudi20h30Vendredi20h30

Samedi20h30Dimanche15h

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Théâtre Création


Montansier

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« Mon petit Ogrelet, je l’ai nourri de lait, gavé de carottes et de navets, de bleuets sauvages, de gelée de roses. Jamais il n’a senti l’odeur du sang frais. Jamais il n’a tenu un os dans ses mains, pas même les petits os de poulet. Jamais il n’a goûté à de la viande crue. Il est prêt pour l’école et son envie de lire est si grande. »« Tu ne mets pas les doigts dans ton nez, tu écoutes la maîtresse, tu réponds « oui madame », « non madame » et tu regardes le tableau. »« Je saurai lire et compter les jours et les années. J’irai au marché du village avec maman. Je porterai les paquets encombrants parce que je suis grand d’avoir eu six ans à la première neige. » C’est la rentrée, et ce petit de six ans, qui vit dans une maison perdue au milieu d’une forêt sauvage et hostile, est heureux de découvrir l’école. La mise en scène déploie un univers visuel et sonore puissamment évocateur, et débusque les enjeux d’un difficile et tumultueux apprentissage. Au-delà de sa force poétique, le très beau texte de Suzanne Lebeau propose de fécondes réflexions sur les relations filiales. Une pièce nourrissante à dévorer toute crue !

L’Ogrelet

De Suzanne Lebeau, mise en scène, lumières et scénographie Christophe Laparra, dramaturgie Marie Ballet, masques Loïc Nebreda, marionnettes Sébastien Puech, son Jean-Kristoff Camps, costumes Dulcie Best, perruques Micki Chomickiavec Christophe Laparra et Patricia Varnay, avec les voix de Marie Ballet, Jean-Christophe Camps, Élodie Gérard, Lucie Joliot, Éric Julou, Aglaé Laparra et Philémon LaparraProduction Théâtre de Paille, coproduction Comédie de Picardie-scène conventionnée/Amiens

Jeune public • Placement libre • Tout public : 10 € • Matinées scolaires : 5 € • Durée : 1h05

Jeune Public ~ dès 8 ansFévrierMercredi15h13

Représentations scolaires : jeudi 14 février à 10h & 14h

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« Les textes de Georges Bernanos nous ont accompagnés à l’occasion de plusieurs créations. Nous éprouvons aujourd’hui une fois de plus le désir de revenir à cet auteur, comme l’assoiffé dans le désert souhaite retrouver le puits où il a déjà pu étancher sa soif. En effet, à l’heure où l’humanité semble déboussolée, comme au moment où Bernanos livrait au monde son témoignage, en proie à la folie de l’argent et à la bestialité des guerres, il nous semble urgent de nous mettre à l’écoute et de faire entendre, à travers ce nouveau spectacle, la parole de cet écrivain mort au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale, en 1948. Pourquoi ?Cet homme qui partagea l’héroïque épreuve des hommes de la Grande Guerre et qui ne cessa de combattre et de témoigner de livre en livre en faveur de la vérité et la liberté contre toutes les formes de totalitarisme et d’aliénation de l’homme ; ce français qui nourrissait pour son pays un amour absolu mais dénué de tout esprit cocardier et qui déclarait : “Il n’est qu’une façon d’aimer, c’est de comprendre” ; ce visionnaire et cet homme du cri mais qui savait comme nul autre s’adresser à son lecteur sur un ton de confidence comme on s’ouvre à un compagnon ou à un frère, n’a-t-il pas une parole vivante et vivifiante à nous offrir en ce début du XXIe siècle ? » Valérie Aubert ~ Samir Siad

La liberté pour quoi faire ?

D’après Les Écrits de combat de Georges Bernanos, mise en scène et scénographie Valérie Aubert, décors, son et lumières Sébastien Célérier, costumes Laure Berto, avec Cédric Altadill, Samir Siad, distribution en cours...Coproduction Théâtre Montansier/Versailles, Théâtre en Partance Catégorie B • Série 1 : 32 € / Série 2 : 27 € • Adhérents Série 1 : 27 € / Série 2 : 21 € • Jeunes : 15 € • Durée : en création

ThéâtreFévrierSamedi20h30Dimanche15hMardi20h30

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Rencontre avec Samir Siad et Valérie Aubert au Foyer le jeudi 24 janvier. Voir p. 92

Représentation scolaire : lundi 18 février à 20h

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Une pépite du grand Wil rarement jouée en France... Le Roi de Navarre et trois de ses compagnons font serment de consacrer les trois prochaines années à l’étude de la science et à la philosophie - et surtout de ne plus approcher les femmes... Coup du sort ! Pour des raisons diplomatiques et incontournables voici que surviennent la Princesse de France et trois de ses dames qu’il faut bien recevoir...Parallèlement toute une galerie de personnages issus de la commedia dell’arte singent les manières et les amours des souverains et provoquent quiproquos et catastrophes... Tous les styles et niveaux de langage sont ici abordés et parodiés par Shakespeare dans un pur divertissement, qui fait de la langue et des mots le véritable moteur de l’action... Jusqu’à faire surgir par deux fois - dans un subtil jeu de mise en abyme - le Masque élisabéthain (divertissement alors très en vogue outre-Manche) pour espérer conclure... Et pourtant voilà une comédie qui, contrairement à la règle, n’aura point de dénouement !

Peines d’amour perdues

De William Shakespeare, mise en scène Hervé Van der Meulen, chorégraphie Jean-Marc Hoolbecq, scénographie Claire Belloc, costumes Isabelle Pasquier, lumières Stéphane Deschamps, avec 16 comédiens

Coproduction Le Studio d’Asnières, Théâtre Montansier/Versailles avec la participation de l’ESCA (École Supérieure de Comédiens par l’Alternance)


Théâtre ~ Création à Versailles

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Peines d’amour perdues, dans un tableau satirique de la cour et de la campagne, allie, dans une parfaite symétrie, esprit et grivoiserie, préciosité et burlesque, comédie romanesque et farce italienne…Une comédie initiatique aussi…qui traite de la jeunesse, de ses passions, de ses violences et de sa soif d’absolu… à la gloire des femmes enfin : elles triomphent ici et finiront par mener la danse !

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Dom Juan séduit, bafoue honneur et dévotion, ébranle l’ordre social, familial et religieux. Quant à Done Elvire, si excessive dans son désir de reconnaissance, on rit de son malheur pour ne pas en pleurer. Sganarelle, valet fidèle et homme d’esprit, devient le clown attachant qui détient l’humanité de la pièce. Un clown de théâtre est, par son étymologie même, un « balourd », un rustre naïf. Mais, avec le temps, ce type de personnage a évolué, il est devenu plus « mignon », plus poétique et surtout profondément humain. Bien loin de susciter la farce gratuite ou le rire facile, nos clowns sont proches des valets de commedia, repris par Molière. Mais, derrière leur nez rouge (le plus petit masque au monde), ils sont dans la démesure des sentiments, tragiquement drôles, malgré eux. Un seul personnage ne chaussera pas de nez : Dom Juan. Il tombe le masque, et sans nez, revendique son refus d’entrer « dans le grand cirque » de la vie. Mais ça ne l’empêche pas de se jouer des autres clowns, si prévisibles.

Dom Juan… et les clowns


Théâtre

De Molière, mise en scène Irina Brook, à partir d’un premier travail de Mario Gonzalez, décors et costumes Théâtre National de Nice – CDN Nice Côte d’Azur

avec Thierry Surace, Jérôme Schoof, Sylvia Scantamburlo, Elodie Robardet, Eva Rami ou Jessica Astier, Christophe Servas, Florent Chauvet ou Frédéric Rubio

Production Compagnie Miranda

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Les plus prestigieux magazines internationaux ont fait l’éloge de l’intégrale de la musique pour violoncelle et piano de Beethoven enregistrée par le pianiste François-Frédéric Guy et le violoncelliste Xavier Phillips. Considéré comme un spécialiste du répertoire romantique allemand et en particulier de Beethoven, François-Frédéric Guy a également enregistré les trente-deux sonates de ce compositeur et les cinq concertos avec l’Orchestre Philharmonique de Radio France dirigé par Philippe Jordan.

Rencontre au sommet

Catégorie B • Série 1 : 32 € / Série 2 : 27 € • Adhérents Série 1 : 27 € / Série 2 : 21 € • Jeunes : 15 € • Durée : 1h30 (estimation)

Musique classique

Avec François-Frédéric Guy (piano) et Xavier Phillips (violoncelle)

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« Poursuivant son périple (son Himalaya) beethovenien, François-Frédéric Guy retrouve en Xavier Philips un merveilleux compagnon de cordée. Même clarté́ du discours, même élégance, même vivacité . »Diapason

Fauré : Elégie opus 24Beethoven : 3e sonate pour violoncelle et piano en la majeur opus 69

Schumann : Fantasiestücke opus 73Mendelssohn : 2e sonate pour violoncelle et piano en ré majeur opus 58

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Depuis toujours, c’est entendu ainsi. Les saisons se poursuivent dans un ordre donné, le même exactement : printemps, été, automne, hiver. Ensuite revient un autre printemps, et tout recommence. Mais personne ne s’est jamais avisé qu’il pourrait en être autrement. C’est en tout cas ce que se dit un jour l’été. Il s’ennuie tant qu’il décide d’aller rendre visite à l’hiver ! Ainsi commencent les grands bouleversements.L’été peut discuter avec le printemps, le précédant, et aussi avec l’automne, lui succédant. Jamais en revanche il ne peut rencontrer l’hiver. C’est contre le grand ordre du Monde.Mais cet été-là a un je-ne-sais-quoi dans la tête, une obstination querelleuse. Il enjambe I’automne sans lui dire bonjour, et se retrouve chez son frère, l’hiver. La rencontre entre les deux frères rend jaloux le printemps. Il va voir l’automne ! Puis les quatre frères se retrouvent ; le chaos est incroyable et leur plaît beaucoup ! Intervient alors Mère Nature…

Folles Saisons

Jeune public • Placement libre • Tout public : 10 € • Matinées scolaires : 5 € • Durée : en création

Opéra jeune public ~ à partir de 4 ansMarsMercredi15h27

Représentations scolaires : jeudi 28 mars à 10h & 14h / vendredi 29 à 10h & 14h

Livret Gerold Schumann d’après le texte de Jean-François Chabas, mise en scène Gerold Schumann, musique Bruno Bianchi, chef de chant Nicolas Fehrenbach, scénographie et vidéo Pascale Stih, costumes Chantal Joguet, lumières Philippe Lacombe avec Sofia Obregon Abularach (mezzo-soprano), David Witczak ou Julien Clément (baryton), Bruno Bianchi (instrumentiste)

En partenariat avec la Fondation Royaumont. Coproduction Théâtre de la vallée, Théâtre Montansier/Versailles, Théâtre de Chartres, Théâtre de Fontainebleau, Ville d’Ecouen. Le Théâtre de la vallée, en résidence à Écouen,

est soutenu par le Ministère de la Culture - DRAC Ile-de-France, la Région Ile-de-France et le Département du Val d’Oise.



Trois dimensions musicales apparaissent dans Folles Saisons : la musique vocale, la musique instrumentale et la musique électroacoustique.

Après le spectacle, goûter au Foyer avec les comédiens

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Le début du XXe siècle est marqué par un engouement pour l’extrême orient tantôt mystérieux et inquiétant, tantôt séduisant et envoûtant. Giacomo Puccini s’empare de la pièce de David Belasco créée le 5 mars 1900 au Herald Square Theater à New York et en impose le canevas dramatique à ses librettistes Giacosa et Illica. Homme de théâtre intuitif et perfectionniste, il glisse dans sa musique de discrètes allusions aux coutumes et au folklore japonais pour brosser un portrait féminin d’une bouleversante justesse et d’une grande sensibilité. En japonais, « papillon » se dit « Cio Cio San ». C’est le prénom de l’héroïne de l’opéra, « Butterfly » étant le surnom que lui donne l’officier américain Pinkerton, son triste amant d’un soir. Plus de cent ans après sa naissance, ce drame de l’amour et de l’attente reste l’un des opéras les plus populaires du répertoire, arrachant toujours les mêmes larmes aux spectateurs. Les thèmes musicaux créent une atmosphère mélancolique et aérienne. L’orchestre est en constante symbiose avec la voix de cette femme-enfant qui passe de la grâce fragile aux déchirements pathétiques de la désillusion, saisie par les élans passionnés de l’espoir né de l’évocation du bonheur passé.

« Madame Butterfly reste l’opéra le plus sincère et le plus expressif que j’aie jamais conçu. » Giacomo Puccini

Madame Butterfly

De Giacomo Puccini, livret Giuseppe Giacosa et Luigi Illica, direction musicale Martin Mazik, mise en scène Roberta Mattelli, scénographie et costumes Alfredo Troisi, chef de chœur Yuko Otami

avec les solistes et l’orchestre de la Compagnie Lyrique Opera 2001 et le Chœur de Hirosaki (Japon)

Catégorie A • Série 1 : 39 € / Série 2 : 34 € • Adhérents Série 1 : 32 € / Série 2 : 26 € • Jeunes : 15 € • Durée : 2h55 (entracte compris)

Opéra ~ version originale en italien surtitréAvrilMardi20h3002

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Treize personnages interprétés par six comédiens pour une histoire de famille centrée autour de la figure d’un père despote et bienfaiteur. Il distille conseils et aides matérielles mais lorsque sa fortune s’évanouit il choisit de mettre le feu à ses propriétés pour récupérer les primes d’assurances. Sur les ruines et les cendres, sa famille cherche à comprendre. « À travers cette famille, j’ai voulu peindre un conflit entre deux générations : d’un côté, il y a des parents, qui, pour protéger leur statut, infantilisent, manipulent et étouffent la génération suivante, et de l’autre des enfants qui arrivent à l’âge adulte, rêvent de s’approprier le monde, et s’efforcent de soulever le couvercle que la génération précédente referme sur eux. La pièce se lit à travers deux biais principaux : d’une part, c’est un récit réaliste qui observe les processus relationnels de cette famille : les mensonges, les jalousies, les tabous, les désirs refoulés, les mécanismes d’influence, qu’ils soient économiques ou psychologiques. D’autre part un récit symbolique, la métaphore d’un monde qui accumule les dettes économiques et écologiques, et brûle les ressources des générations futures pour ne pas avoir à modifier son mode de vie. » Côme de Bellescize

Tout brûle, so what ?

De et mise en scène Côme de Bellescize, scénographie Mathieu Lorry-Dupuy, lumières Thomas Costerg, son Lucas Lelièvre, costumes Colombe Lauriot-Prévost, vidéos Nadia Nakhlé, avec Gustave Akakpo, Nigel Hollidge, Vincent Joncquez, Hélène Raimbault…

Production Théâtre du Fracas, coproduction les Quinconces/Le Mans, Le Théâtre de Rungis, Théâtre Montansier/Versailles. Avec le soutien dans le cadre de résidences de création du Théâtres Les Quinconces/Le Mans,

du Théâtre de Rungis, du Théâtre 13 et du Théâtre de l’Éphémère/Le Mans.Texte accompagné par le collectif A Mots Découverts.

Théâtre ~ à partir de 15 ansAvrilVendredi20h30Samedi20h30

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Rencontre sur le thème « Famille et argent au théâtre » avec Côme de Bellescize et Camille de la Guillonnière. Voir p. 92

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« Jeunesse de Joseph Conrad est le récit d’un marin à la retraite qui raconte sa première traversée, vingt ans auparavant, vers l’Orient. Chaque mésaventure - tempête, incendie, naufrage - est alors pour lui un moment de joie et de vie intense. Il se sent indestructible, immortel ! Dans cette nouvelle, le grand écrivain anglo-polonais interroge l’idéalisme et l’énergie de la jeunesse. La mise en scène met notamment face-à-face théâtre et cirque, un duo périlleux et inattendu de la parole et du corps.Les artistes forment sur scène un véritable équipage théâtral. Le spectacle lui-même est une embarcation pour eux mais aussi pour le public. Un spectacle ‘‘ embarqué ’’ veut dire notamment que la régie lumière et la régie son ne sont plus dans une cabine hors-champ mais sur scène. Éclairer, bruiter, diffuser du son relèvent ici d’une action visible et chorégraphiée. Pour donner à réaliser les dangers auxquels se confronte le marin, j’ai fait appel à deux jeunes acrobates qui, comme le jeune Marlow dans le récit de Conrad, portent en eux cette pulsion mystérieuse et merveilleuse d’intensifier l’existence en se frottant à ses limites physiques. » Guillaume Clayssen

Jeunesse

D’après la nouvelle de Joseph Conrad, traduction, adaptation et mise en scène Guillaume Clayssen, collaboration artistique Claire Marx, lumières Julien Crépin, son Samuel Mazzotti, costumes Séverine Thiébault,

scénographie Delphine Brouard, construction scénographie Jean-Paul Dewynteravec Johan Caussin, Frédéric Gustaedt, Julien Crépin, Raphaël Milland et Samuel Mazzotti

Coproduction Plateforme 2 Pôles Cirque en Normandie/La Brèche à Cherbourg et le Cirque-Théâtre d’Elbeuf, Comédie de l’Est/CDN de Colmar, Saison Voltaire, Théâtre Montansier/Versailles, Espace 110.

Théâtre et cirque


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« La pièce s’ouvre sur une façade, façade de Notre-Dame certes mais aussi superficialité de la société : téléphones et perches à selfie envahissent l’espace historique - représenté par une image à la mode de la gravure - sans se préoccuper du véritable fond ni de l’histoire du lieu. Puis comme dans un rêve le spectateur est plongé en 1482. L’écriture de Victor Hugo ne repose pas sur quelques protagonistes, mais sur tout un univers que nous avons cherché à recréer sans perdre de vue les destins individuels. La relation père-fils de Quasimodo bien sûr, mais aussi le désir de Phœbus ou bien l’étau qui se resserre sur Esmeralda. Plusieurs sociétés s’opposent, se répondent : Fleur de Lys, qui évolue dans un monde déconnecté tourne telle une poupée ; la cour, témoin d’une mécanique huilée et d’une justice approximative ; l’Eglise, dont le représentant Frollo ne cesse d’évoluer de haut en bas et de bas en haut, négociant en permanence entre ciel et terre et le monde des gitans, des mendiants, libre de ses mouvements qui sort de scène à la recherche de son public. Les gargouilles sont là définissant l’action et le lieu pour permettre au spectateur d’en tirer chaque fil. La cathédrale Notre-Dame, personnage central de la pièce, se déconstruit au fur et à mesure. Les personnages sont pris malgré eux dans un enchaînement fatal dont chacun est un rouage au creux d’une société naissante et titubante. L’adaptation incisive et la mise en scène physique privilégient l’action et mettent au centre la dramaturgie de Victor Hugo. C’est un drame romantique, visuel, vertigineux, viscéral et intemporel. » Gaspard Legendre

Notre-Dame de Paris

D’après Victor Hugo, adaptation Paul Stebbings, mise en scène Gaspard Legendre, musique John Kenny, chorégraphies Eric Tessier-Lavigne avec 5 comédiens Catégorie Famille • Série unique : 15 € • Adhérents et jeunes : 10 € • Durée : 1h40

Théâtre ~ à partir de 12 ans

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Représentations scolaires : lundi 15 avril à 14h / mardi 16 avril à 10h & 14h

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En 1830, Balzac tirait déjà la sonnette d’alarme : « Les avares ne croient point à une vie à venir, le présent est tout pour eux. Cette réflexion jette une horrible clarté sur l’époque actuelle, où, plus qu’en aucun autre temps, l’argent domine les lois, la politique et les mœurs… ». Dans un monde dominé par le calcul, la figure d’Eugénie Grandet apparaît comme une figure résistante à l’oppression financière. Au « tout pour l’argent » elle oppose le « tout par l’amour ».Portée par six acteurs, cette « tragédie domestique digne de la famille des Atrides » restitue fidèlement l’écriture de Balzac. Les acteurs portent tour à tour chaque épisode du roman révélant l’humour, le drame et l’infinie tendresse de Balzac pour ses personnages. Entre dénonciation politique, hymne à l’amour et causticité balzacienne, le spectacle apparaît comme un terrible miroir de notre époque.

Eugénie Grandet

D’après le roman d’Honoré de Balzac, mise en scène et direction artistique Camille de La Guillonnière, assisté de Frédéric Lapinsonnière, lumières Julie Düquenoy, avec Hélène Bertrand, Lara Boric, Erwann Mozet, Pélagie Papillon, Charles Pommel, Lorine Wolff

Production Cie Le temps est incertain mais on joue quand même, Théâtre de l’Usine/Saint-Céré, Théâtre Montansier/Versailles avec le soutien du TRPL, de l’EPCC Anjou Théâtre et du Fonds d’Insertion Professionnelle de l’Académie de l’Union - ESPTL,

DRAC Nouvelle-Aquitaine et Région Nouvelle-Aquitaine.

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MaiVendredi20h3010

Représentations scolaires : jeudi 9 mai à 14h / vendredi 10 mai à 14h

Succès

Reprise

Rencontre sur le thème « Famille et argent au théâtre » avec Côme de Bellescize et Camille de la Guillonnière. Voir p. 92

Dostoïevski voyait dans Eugénie Grandet un manifeste sur la disparition de la vie spirituelle au profit de la vie matérielle. La déshumanisation par l’argent.


Montansier

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Lionel Suarez réussit le pari de réunir une formation exceptionnelle autour de l’univers de celui qui restera comme le plus grand des chanteurs de Tango : Carlos Gardel. Une instrumentation originale et la rencontre de trois personnalités marquantes de la scène musicale française actuelle, qui rafraîchissent un répertoire mythique à travers le prisme de leurs parcours singuliers.Ensemble ces superbes artistes rendent hommage à l’œuvre envoûtante du grand maître du tango argentin. Sans les instruments de prédilection du genre (voix, violon, guitare et piano), le Trio Gardel explose les stéréotypes et présente ainsi un tango brut et épuré à l’éclat singulier. Chapeauté par l’accordéoniste Lionel Suarez, le Trio rassemble le violoncelliste français, Vincent Segal, le percussionniste argentin, Minino Garay. Créé en hommage au père du Tango, Carlos Gardel, le Trio dévêt les milongas du célèbre chanteur et compositeur argentin de tout superflu pour leur conférer une couleur nouvelle.

Le Trio Gardel

Avec Lionel Suarez (accordéon), Vincent Segal (violoncelle), Minino Garay (percussions)

Versailles Jazz Festival


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« Rodolphe écrit, Marcel peint, Mimi brode, Musette s’amuse. Ils ont vingt ans. À la frontière du conte de fées et du drame social, je veux raconter leur jeunesse, leur espoir de vivre toute une vie par et pour l’art. Les poèmes de Rodolphe et la broderie que tisse Mimi, jour après jour. Leur coup de foudre un soir d’orage où l’immeuble est plongé dans le noir. Le désir qui circule. Une nuit de fête, les lumières de la ville et des scènes de jalousies. Une femme qui aime plusieurs hommes et une qui n’en aime qu’un.Les estomacs qui gargouillent. La pauvreté, le froid, la maladie et la mort qui rôde. Être percuté à vingt ans par la violence du monde. Ne pas l’avoir mesurée, penser qu’on saurait s’en accommoder. Avoir envie de gagner et perdre, avoir envie de vivre et mourir. Découvrir les cicatrices que le temps laisse sur la peau.Et réinventer Paris sur le plateau, sous la neige ou au printemps, parce que « La Bohème n’existe et n’est possible qu’à Paris » (Murger, Introduction Scènes de la vie de Bohême) » Pauline Bureau

Bohème, notre jeunesse

D’après Giacomo Puccini, adaptation et direction musicale Marc-Olivier Dupin, mise en scène Pauline Bureau, chorégraphie et assistante à la mise en scène Cécile Zanibelli, décors Emmanuelle Roy, costumes Alice Touvet, lumières Bruno Brinas,

dramaturgie Benoîte Bureau, avec Sandrine Buendia (Mimi), Kevin Amiel (Rodolphe), Marie-Eve Munger (Musette), Jean-Christophe Lanièce (Marcel), Nicolas Legoux (Colline), Ronan Debois (Schaunard), Benjamin Alunni (Alcindor), Anthony Roullier (garçon de café), orchestre Frivolités Parisiennes

Production Opéra-comique, coproduction Théâtre Montansier/Versailles


Opéra-comique

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MaiJeudi20h30Vendredi20h30

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Le chef-d’œuvre de Puccini, quoique composé et créé en italien, est presque un ouvrage français par sa source littéraire – le roman de Murger – et le triomphe qu’il connut à l’Opéra Comique à partir de 1898, dans une traduction de Paul Ferrier restée à l’affiche jusqu’en 1971. Et La Bohème est le plus bel hommage, chaleureux et poétique, que la Belle Époque ait rendu au Paris romantique.De l’opéra italien en quatre actes, Marc-Olivier Dupin et Pauline Bureau font un opéra-comique en français et nous donnent l’occasion de partager, en musique et en images, l’intimité de personnages qui toucheront toutes les générations de spectateurs.

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Lorsque nous sommes arrivés en 2013 au Montansier à Versailles, nous avons souhaité faire à Molière une place digne de son génie dans notre programmation. C’est ainsi que nous avons coproduit et accueilli Le Malade Imaginaire dans la mise en scène de Michel Didym, L’Avare dans celle de Jean-Louis Martinelli, Les Femmes Savantes dans celle de Catherine Hiegel et Le Misanthrope dans la mise en scène de Michel Fau.Ce dernier spectacle a rencontré les faveurs de la presse et du public. Pourquoi donc revenir au cours de cette deuxième mandature sur un nouveau Misanthrope cette fois dirigé par Peter Stein avec Lambert Wilson dans le rôle d’Alceste ? Tout simplement parce que la beauté du théâtre réside dans les subtiles variations parfois même les franches oppositions qui existent entre deux interprétations d’une même œuvre. Il y a là un espace souvent ténu, propre à la rêverie et à l’émergence de la créativité. Alceste est unique mais Fau et Wilson en sont deux incarnations tout aussi légitimes. Le Misanthrope est pour le lecteur un ravissement de l’esprit mais le metteur en scène, qu’il soit Michel Fau ou Peter Stein, le traduira scéniquement par deux mondes différents. Avec pour l’un comme pour l’autre la recherche de l’excellence comme ligne d’horizon, gageons que le spectateur du Montansier sera le vrai gagnant de cette nouvelle aventure.

Le Misanthrope


Théâtre

De Molière, mise en scène Peter Stein, scénographie Ferdinand Wogerbauer, costumes Anna Maria Heinrich, avec Lambert Wilson, Pauline Cheviller, Hervé Briaux, Brigitte Catillon, Anne Girouard, (distribution en cours)

Production Théâtre Comédia, coproduction Théâtre Montansier/Versailles

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JuinMercredi15h05

C’est l’histoire d’une petite fille née dans un grand orchestre symphonique. Sa maman en est la chef et le dirige brillamment du bout de sa baguette.La petite Ama grandit, entourée de violons, de contrebasses, de trompettes, de clarinettes et de tous les autres instruments, bercée par l’amour de sa maman et dorlotée par les musiciens. L’orchestre, c’est sa famille, son terrain de jeu, sa maison. A chaque concert, Ama a son endroit « à elle », dans les coulisses, à l’abri des regards du public, juste derrière les rideaux.Ainsi, Ama assiste à tous les concerts depuis sa naissance, confortablement installée dans un petit fauteuil en mousse. Très tôt, la petite fille remarque que chaque symphonie, chaque concerto lui évoque une histoire, et qu’elle arrive à mettre des mots sur les plus grandes œuvres du répertoire, les transformant illico en joyeuses chansons pour enfants…

L’enfant de l’orchestre

De Morgane Raoux, mise en scène Julie Annen, musique Mozart, Beethoven, Tchaïkovski, Vivaldi, Brahms, Schubert, Ravel, Chostakovitch, Grieg,

arrangements musicaux Olga Vassileva, avec Morgane Raoux (chant, clarinette) et Olga Vassileva (piano, voix)Production Madame Clarinette

Jeune public • Placement libre • Tout public : 10 € • Matinées scolaires : 5 € • Durée : en création

Musique ~ dès 4 ans

Représentations scolaires : mardi 4, jeudi 6 & vendredi 7 juin à 10h & 14h

Ce spectacle permet aux enfants de s’approprier les plus grands « tubes » de la musique classique à travers une belle histoire pleine d’aventure et d’émotion.

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Journées européennes du Patrimoine Samedi 15 septembre de 11h à 17h (dernier départ 16h30)Dimanche 16 septembre de 14h à 16h (dernier départ 15h30)

Visite commentée du théâtre (durée : 25 min)Départ toutes les 30 minutes sur le parvis du théâtre.

Le Théâtre Montansier, les bibliothèques municipales et l'Association des Amis des Bibliothèques unissent leurs forces afin de vous permettre de préparer votre expérience de spectateur lors de rencontres au Foyer du Théâtre :

Jeudi 29 novembre à 19h30 Un soir avec Montand Rencontre avec Pierre Cassignard Un comédien s’empare de l’univers d’un chanteur.

Jeudi 24 janvier à 19h30La liberté, pourquoi faire ? échanger avec Valérie Aubert, metteur en scène et Samir Siad, comédien :« de la modernité de Georges Bernanos ».

Prolongez votre spectacle avec les bibliographies disponibles en bibliothèque et au Théâtre.

Premier élément de ce partenariat, le Théâtre Montansier accueille le pôle d’enseignement d’art dramatique du Conservatoire. Des locaux dédiés ont été aménagés pour que l’intégralité des enseignements des élèves comédiens s’y déroule. En fonction des projets croisés développés, musiciens ou danseurs peuvent être amenés à les rejoindre. Apprentis et professeurs ont également accès régulièrement à différents espaces de travail dans le théâtre, dont le plateau, notamment pour le spectacle interprété en fin d’année scolaire.En complément de la formation dispensée par l’équipe pédagogique du CRR, le Théâtre assure la transmission de savoir-faire artistiques, techniques et administratifs propres à l’activité et à la programmation du Théâtre Montansier. Ces collaborations sont définies par les partenaires, au regard des projets pédagogiques et de leurs saisons artistiques à venir (présence aux spectacles, rencontres professionnelles, découverte des métiers du théâtre, mises en situation professionnelle des élèves, accueil de scolaires, liens avec les compagnies en création ou en résidence, projets d’action culturelle, etc.). Chaque année, un spectacle musical est conçu en coproduction entre les deux parte-naires. Elèves danseurs et comédiens y sont régulièrement associés.Ce projet allie « mise en situation professionnelle » des étudiants en formation supérieure du Conservatoire, artiste associé (généralement un artiste ou metteur en scène en résidence sur le territoire de Versailles) et création inscrite dans la programmation du Théâtre. Après Pierre et le loup de Prokofiev, Le Carnaval des animaux de Saint-Saëns, c’est L’Histoire du soldat de Stravinsky et Ramuz les 30 et 31 janvier 2019. (voir P. 57)

Le Montansier : un théâtre écoleConférences et rencontresDu texte à la scène

Toutes les rencontres et conférences sont en entrée libre sur réservation [email protected] ou directement à la billetterie du Théâtre.

Au-delà d’être un théâtre dédié à la création et à la diffusion, le Théâtre Montansier, comme précédemment dans son histoire, se veut « Théâtre-école ». Ainsi, depuis 2013, le Théâtre développeune étroite collaboration avec le Conservatoire à Rayonnement Régional de Versailles Grand Parc, principal établissement d’enseignement artistique du territoire intercommunal et départemental.

Les rendez-vous de la saison

Samedi 27 octobre 2018 à 20h30Concert par l’orchestre symphonique franco-allemand sous la direction de Michael Cousteau.Entrée libre - réservations : www.crr.versaillesgrandparc.fr

Mardi 28 mai 2019 à 20h30Orchestres symphonique et d’harmonie du CRR, direction Bernard Le Monnier et Christophe Dravers. Concert au profit de la Croix Rouge. Réservations www.theatremontansier.com

Vendredi 14 juin 2019 à 20h30Shakespeare à chœur - par les élèves en Cycle d’Orientation Professionnelle en art dramatique du Conservatoire, mise en scène : Malik Faraoun.Entrée libre

Dimanche 16 juin 2019 à 17hMagnificat de Martin Palmeri avec le Chœur Vittoria et les chœurs du Conservatoire et du collège Rameau de Versailles, sous la direction de Michel Piquemal.Entrée libre - réservations : www.crr.versaillesgrandparc.fr

Lundi 17 décembre à 20h30 Rencontre et conférence par Pierre-Hippolyte Pénet, conservateur du patrimoine, sur le thème « Molière et le scandale de Tartuffe ».

Jeudi 28 mars à 19h30Rencontre croiséeTout brûle, so what ? Eugénie Grandet avec Côme de Bellescize et Camille de La Guillonnière, metteurs en scène, sur le thème « argent et famille au théâtre ».

Mardi 14 Mai à 20h30 Conférence par Tiphaine Barbier de Chalais sur le thème « L’allusion proverbiale et le jeu de mots dans Contes de fées de Madame d’Aulnoy » (travail de recherchemaster 2 de littérature française sous la direction de Constance Cagnat-Deboeuf).

Actions autour des Mystiques (11 et 12 déc. 2018) • Ateliers d’écriture les 3 et 10 décembre de 14h à 17h, Stage de jeu le 1er décembre Débat avec le Frère Éric de Clermont-Tonnerre à l’issue de la représentation du 11 décembre. Renseignements : [email protected]

L’arbre de Noël du Théâtre MontansierSamedi 15 décembre 2018 à 15h Au foyer du théâtre. Entrez dans la magie de Noël en passant un après-midi dans l’atmosphère onirique du Montansier et profitez en famille d’une animation inédite ! • Tarif adulte 10 € / Tarif enfant 5 €. Réservation obligatoire [email protected]

Jeu de piste à travers le Théâtre Samedi 22 juin à 11h (durée estimée 1h30) Une matinée en famille pour résoudre des énigmes qui vous mènerontdans les dédales du Théâtre Montansier ; un moment pour s’amuser et faire des découvertes insolites ! • Tarif adulte : 10 € / Tarif enfant : 5 €. Sur inscription uniquement [email protected]

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Pour les enfants

L’enfance de l’art Le projet s’articule autour de la pratique artistique et de la découverte du monde théâtral dans son ensemble et s’adresse aux enfants dès le CM1 et jusqu’à 14 ans. Par l’apprentissage d’un rôle, de la conscience de l’espace scénique et du travail d’équipe, les enfants vivront une expérience forte et mémorable en foulant ces planches mythiques !

• Un cours hebdomadaire le mercredi Le parcours prend de l’ampleur et pour cette 3e année, nous proposons : Cours 1 : 10h à 12h : nouveau - Créneau horaire pour les enfants de CM1/CM2. (Ce cours sera ouvert sous réserve d’un minimum de 12 inscriptions). Cours 2 : 14h à 16h Cours 3 : 16h15 à 18h15• Une sélection de 4 spectacles à voir au cours de la saison• Une visite du théâtre pour en découvrir l’histoire, les coulisses, les métiers et les endroits insolites• Une restitution de fin d’année ouverte au public

(Les groupes sont constitués en fonction de l’âge et des aptitudes propres à chaque enfant). Les cours ont lieu dans la salle de répétition du Théâtre et sont dispensés par Miriam Moleon, comédienne, actrice et institutrice spécialisée.

Audition pour les candidats mercredi 12 septembre de 14h à 17h. Début des cours le mercredi 19 septembre.

Tarif : 150 € par trimestre (Inscriptions à l’audition : dès le 1er septembre 2018)Coordination et renseignements Marie Nicolardot : [email protected]

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Action culturellePour les scolaires

L’ensemble des spectacles de la saison est ouvert à la réservation dès le 4 septembre 2018. Vous pouvez prendre connaissance de toutes les dates de représentations, tout public et scolaires, sur le site internet du théâtre, www.theatremontansier.com.

Pour réserver, envoyez vos demandes en détaillant : le spectacle, la date, l’horaire, le nombre d’élèves et d’accompagnateurs ainsi que les coordonnées de votre établissement à l’adresse [email protected]

• Les représentations scolaires sont suivies d’un bord de plateau : les comédiens répondent à chaud aux questions du public• Des dossiers pédagogiques sont réalisés pour chaque spectacle, disponibles sur le site internet du théâtre dans la rubrique « scolaires »• Rencontre avec les équipes artistiques en amont ou en aval des spectacles, ateliers d’écritures, mise en voix... Renseignements : [email protected]

Visites Datant de 1777, le Théâtre Montansier est l’un des théâtres de ville les plus anciens de France. Nous avons à cœur de partager cet héritage exceptionnel en proposant des visites sur mesure. Sur simple demande, nous fixons un créneau. La visite permet de découvrir l’envers du décor : machinerie et coulisses, vue insolite sur la salle. Elle s’adapte à toutes les classes du CP à la Terminale, et également aux étudiants. • La visite est gratuite pour toute classe assistant à l’un des spectacles de la saison• La visite coûte 5 € par élève si vous n’assistez à aucun spectacle par ailleurs• Durée : 1h15 environInformations et inscription : [email protected]

Les vacances au théâtre Stage de théâtre proposé aux enfants de 9 à 12 ans Ludique et pédagogique, voici l’activité de vacances idéale pour les enfants qui souhaitent découvrir l’art du théâtre. Avec des pratiques variées tels que le mime, l’improvisation, les masques ou encore le chant, nous proposons une semaine d’apprentissage dans un cadre privilégié. • Du lundi 22 au vendredi 26 octobre 2018 de 14h à 17h• Du lundi 25 février 2019 au vendredi 1er mars 2019 de 14h à 17h• Tarif : 130 €Inscription et informations : Marie Nicolardot [email protected]

Séance de conte Dans le cadre du Mai Papillon, l’Éventail des contes raconte aux enfants dès 6 ans l’histoire d’Eugénie Grandet au Foyer du Théâtre.• Le mercredi 15 mai 2019 à 15h• Durée : 45 minRéservation : [email protected]ée libre (dans la limite des places disponibles)

Goûters au FoyerToutes les représentations du mercredi à 15h sont suivies d’un goûter au Foyer avec les artistes. Madeleines, jus de fruits et petites gourmandises à 1 €.

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Visites & Ateliers Joindre la théorie à la pratique, telle est la formule que nous proposons en alliant une visite du théâtre à un atelier de pratique théâtrale avec des comédiens professionnels. Afin d’assurer un moment qualitatif, nous dédoublons les classes. Tandis qu’un demi-groupe suit la visite, l’autre moitié effectue l’atelier dans la salle de répétition du théâtre puis nous inversons les groupes.• Durée : 2h30 • Coût : 150 € par classe (selon devis) Informations et inscription : [email protected]

Soirée Parents/enfantsRéserver le théâtre pour l’ensemble d’un établissement scolaire et organiser une soirée « parents/enfants ».Renseignements : [email protected]

StagesLe Théâtre reçoit de nombreux stagiaires, collégiens et lycéens. Pour postuler il est vivement recommandé de rédiger une lettre de motivation manuscrite sans faute d’orthographe !

Le Théâtre est partenaire• Du lycée Jules Ferry pour son enseignement d’exploration « théâtre »• Du Lycée EREA Toulouse-Lautrec pour son option et son enseignement d’exploration théâtre• Des maisons de quartier de Versailles• De la Direction des Services Départementaux de l’Education Nationale pour les classes PEAC, pour lesquelles le Montansier est structure culturelle agréée.

Le Théâtre accueille• Prix littéraire des Lycéens et des Apprentis d’Ile-de-France : 17 décembre 2018• La finale des Olympiades de la lecture : lundi 18 mars 2019• La finale du Concours d’éloquence du Lycée Saint Jean Hulst : lundi 25 mars 2019


Les lectures théâtralisées Le Théâtre Montansier s’associe au « Théâtre en Partance » pour des lectures théâtralisées en lien avec les programmes, dans vos établissements scolaires ou au Théâtre Montansier.

Pour le collège • Dans le cadre du Conte : Comment Wang Fô fut sauvé de Marguerite Youcenar, L’Odyssée d’Homère avec Samir Siad, Le chêne parlant de Georges Sand • Dans le cadre du thème « Regard engagé, Insurrection » : En sortant de l’école de Jacques Prévert

d’après des poèmes de Paroles, Choses et autres et Fatras• Dans le cadre du thème « La Guerre » : Le Feu d’Henri Barbusse

Pour le lycée • Dans le cadre du « Récit réaliste et naturaliste » : La cousine Bette de Balzac • Dans le cadre de la « Poésie surréaliste » : L’insurrection poétique de Jacques Prévert d’après des poèmes de Paroles, Choses et autres et Fatras • Dans le cadre de « l’argumentation du XVIIe siècle et au XVIe siècle » : Discours de la servitude volontaire de la Boétie • Dans le cadre de l’Antiquité : L’Odyssée d’Homère, Les Perses d’Eschyle

Pour les classes préparatoires scientifiques• Trois lectures théâtralisées des œuvres inscrites au programme : Le Banquet de Platon, La Chartreuse de Parme de Stendhal, Le Songe d’une nuit d’été de Shakespeare

Pour les classes préparatoires économiques • Une lecture théâtralisée autour du thème de la Mémoire : Clio, La muse de l’histoire de Charles Péguy

Tarifs, informations et mise en place des projets : [email protected]

Visites tout public Associations, entreprises ou groupes d’amis, les portes du Montansier vous sont ouvertes. Découvrir un théâtre du XVIIIe siècle et s’immerger dans l’histoire de ce lieu magique.• Groupe de 15 à 30 personnes• 15€/personne • Durée : 1h à 1h30Informations et réservations : [email protected]

Toujours disponibles à l’accueil le Livre anniversaire des 240 ans du Théâtre et le Thé du Montansier.

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SCÈNE

PARTERRE

Grille tarifaire de la saison 2018/2019 Plan de salle

Série 1Série 2Série 3

* Série unique ** Série unique / Placement libreLe tarif réduit s’applique aux adhérents, aux familles nombreuses, aux seniors de plus de 65 ans et aux groupes. Les billets ne sont ni repris, ni échangés, sauf en cas d’annulation du spectacle par la direction du Théâtre.

Série 1

Spectacles

A

B

C*

D*

Famille**

Jeune public**

Plein tarif

39 €

32 €

27 €

21 €

15 €

10 €

Plein tarif

34 €

27 €

•

•

•

•

Tarif réduit

32 €

27 €

21 €

16 €

10 €

10 €

Tarif réduit

26 €

21 €

•

•

•

•

-de 26 ans

15 €

15 €

10 €

10 €

10 €

10 €

Série 2

Série 3

45 mn avant chaque représentation, les places de 3e série (visibilité et confort réduits) sont mises en vente au tarif de 5 €

Billetterie en ligne www.theatremontansier.com

Par téléphone & 01 39 20 16 00Mardi, jeudi, vendredi et samedi de 14h à 17h, mercredi de 14h à 16h. En dehors de ces horaires, vous pouvez laisser un message sur le répondeur.

Au guichet du Théâtre Montansier 13, rue des Réservoirs 78000 VersaillesMardi, vendredi et samedi de 17h à 19h, mercredi de 16h à 18h.

Direction

Direction

Geneviève [email protected]

Frédéric [email protected]

Communication, mécénat et développement

Hanaé Rachmuhl [email protected]

Joséphine Courtois [email protected]

Julie Laval [email protected]

Relations avec le public et action culturelle

Marie [email protected]

Accueil et billetterie

Sabrina [email protected]

Technique

[email protected] Stéphane Moncuit

Joël HatonAbdel Salmi

Et l’ensemble des techniciens intermittents, ouvreuses et ouvreurs

qui nous accompagnent durant la saison.

Remerciements à Violaine Joubert et Suzanne Angelo

Les portes de la salle sont ouvertes 30 minutes avant le lever de rideau. Les places numérotées ne sont plus garanties dès le début des représentations. Les retardataires seront placés par le personnel d’accueil en balcon.

101Par respect des artistes et du public, merci d’éteindre vos portables. Il est interdit de filmer, photographier avec ou sans flash ou enregistrer durant les représentations.

Théâtre mode d’emploi : comment réserver ?Hors Adhésion

Réservation ouverte pour tous les spectacles de la saison à partir du mardi 4 septembre 2018 en ligne sur www.theatremontansier.com, par téléphone et au guichet. Modes de règlementPar carte bancaire, chèque, espèces, chèques culture et chèques vacances. Réservations par téléphonePaiement immédiat par carte bancaire, les billets seront à votre disposition au guichet aux horaires d’ouverture ou au contrôle 30 mn avant la représentation. Règlement dans les 3 jours par chèque à l’ordre de Scènes à l’Italienne sans oublier d’indiquer au dos votre numéro de réservation. Si vous souhaitez recevoir vos billets merci de joindre une enveloppe timbrée à défaut les billets seront à votre disposition au guichet aux horaires d’ouverture ou au contrôle 30 mn avant la représentation. La caisse est fermée pendant les vacances scolaires, les jours fériés, du 6 au 8 mai et du 30 mai au 2 juin 2019.

Amis et adhérents

Billetterie en ligne à partir du jeudi 16 août 2018www.theatremontansier.com ou par courrier en envoyant le bulletin complété, accompagné de votre règlement et d’une enveloppe timbrée pour l’expédition de la carte et des billets. Les demandes seront traitées par ordre d’arrivée. Par téléphone à partir du mercredi 29 août 2018& 01 39 20 16 00 Mardi, jeudi, vendredi et samedi de 14h à 17h, mercredi de 14h à 16h. En dehors de ces horaires, vous pouvez laisser un message sur le répondeur. Au guichet du Théâtre Montansier à partir du mercredi 29 août 201813, rue des Réservoirs 78000 VersaillesMardi, vendredi et samedi de 17h à 19h, mercredi de 16h à 18h Nos revendeursLe réseau FNAC : www.fnac.comLe réseau Ticketnet : www.ticketnet.frLe réseaux TicketTac : www.ticketac.com

Pour faciliter l’accueil du public les horaires d’ouverture du guichet seront élargis du 29 août au 8 septembre : Mardi 4 septembre de 17h à 19h30, Mercredi 29 août et mercredi 5 septembre 16h à 19h30,Jeudi 30 août et jeudi 6 septembre de 17h à 19h30, Vendredi 31 août et vendredi 7 septembre de 17h à 19h30, Samedi 1er et 8 septembre de 17h à 19h30,La journée du patrimoine : samedi 15 septembre de 10h à 12h30 / 17h à 19h. Accueil « privilège » avant votre représentation Vous venez au théâtre entre amis ou en famille et vous constituez un groupe d’au moins 12 personnes : nous mettons à votre disposition le fumoir du théâtre, et vous bénéficiez ainsi d’un espace privé pour apporter votre collation à déguster entre vous avant la pièce. De 19h45 à 20h25 pour une représentation à 20h30Sur demande lors de votre réservation à [email protected]

Accès

Avenue de Saint-Cloud

Avenue de Sceaux

Avenue de Paris

Rue

des

Rés

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Rue

Roy

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Bd

du R

oi

Bd de la Paroisse

Bd de la Reine

Rue de l’Orangerie

Place d’Armes

Place Hoche

Place du

Marché

Château

Gare Rive Gauchevers Paris Montparnasse

Gare des Chantiers

vers Paris Montparnasse

Gare Rive Droite

vers Paris Saint-Lazare

Autoroute de l’ouestet de Normandie-Rouen

RN 10 Dreux-Chartres

Rambouillet

PARISpar l’Autoroute de

l’Ouest-Périphérique

PARISPont de Sèvres

Porte de Saint-Cloud


• Autoroute A13 Paris-Rouen sortie Versailles ChâteauParking de la Place d’Armes (face au château, gratuit à partir de 19h30, à 5 min. du Théâtre). Parking du marché Notre-Dame (payant, à 10 min.).

• SNCF : Paris Saint-Lazare terminus Versailles Rive Droite (à 10 minutes à pied) • SNCF : Paris Montparnasse, arrêt Versailles Chantiers puis bus Phébus ligne B, arrêt Réservoirs

• RER ligne C5, terminus Versailles Rive Gauche (à 10 minutes à pied)• RER ligne C7, direction Saint-Quentin-en-Yvelines arrêt Versailles Chantiers puis bus Phébus ligne B, arrêt Réservoirs

• Phébus ligne B, arrêt Réservoirs• Veolia ligne 1, arrêt Réservoirs• RATP ligne 171, arrêt Château de Versailles

• Accueil du public en situation de handicapLe théâtre est équipé pour accueillir les personnes en situation de handicap. Pour vous réserver le meilleur accueil, merci de nous prévenir lors de l’achat de vos billets. & 01 39 20 16 00 / www.theatremontansier.com

Avant chaque pièce, le Foyer vous attend : collation et restauration légère sont en vente au bar. Le Foyer accueille également de nombreuses rencontres entre les artistes et les spectateurs.

Billets électroniquesPrésentez directement vos portables au contrôle.

Accueil

Mécénat / privatisationDepuis trois saisons, vous pouvez devenir Ami(s) du Montansier et soutenir la prestigieuse salle versaillaise en accompagnant la vie contemporaine de ce théâtre de ville bien particulier. Ces dernières années, le mécénat a déjà permis de soutenir de nombreux projets et créations. Pour la saison 2018/2019, nous comptons sur le soutien des Amis pour : • La création de deux grands Molière de Peter Stein • La restauration des banquettes de Foyer • La création d’une collection d’œuvres attachées au Montansier

Avec les cartes familles les réservations de spectacles, à la présentation de saison et aux évènements mécènes sont valables pour deux personnes et leurs jeunes accompagnateurs.

Privatisation Vous souhaitez organiser un évènement privé, professionnel, tournage, etc. au Montansier ? Contactez-nous !

Pour s’informer et devenir mécène : www.theatremontansier.com / [email protected] ou au guichet du Théâtre

• Les contreparties de la carte Amis• Dans les coulisses d’une création : rencontre avec l’équipe de Peines d’amours perdues de Shakespeare mis en scène par Hervé Van der Meulen et invitation à une répétition • Invitation à un pot de première ou de dernière• Une invitation à venir partager un verre pour fêter la nouvelle année

• Les contreparties de la carte Donateur• Le livre anniversaire édité à l’occasion des 240 ans du Théâtre Montansier • Le prêt du Fumoir avec une bouteille de champagne à l’occasion d’une soirée de représentation

• La possibilité de réserver vos places pour les spectacles de la saison 2018/2019 dès le mardi 5 juin 2018• Une invitation à la présentation de saison le mardi 18 septembre• Le tarif adhérent sur les spectacles de la saison• L’inscription au livre d’or des Amis du Montansier• La bougie du Montansier

Prix

Montant de la déduction

fiscaleCoût réel

de votre carte

Individuelle

Famille

445 €

650 €

293,70 €

429 €

151,30 €

221 €

Carte Bienfaiteur

Individuelle

Famille

120 €

180 €

79,20 €

118,80 €

40,80 €

61,20 €

Carte Donateur

Individuelle

Famille

44 €

59 €

29 €

39 €

15 €

20 €

Carte Ami

Le mécénat se définit comme : «le soutien matériel apporté, sans contrepartie directe de la part du bénéficiaire, à une œuvre ou à une personne pour l’exercice d’activités présentant un intérêt général» (arrêté du 6 janvier 1989 relatif à la terminologie économique et financière). Acte philanthropique, le mécénat est un don (non assujetti à la TVA) qui donne droit à une réduction d’impôts à hauteur de 66 % du montant du don et dans la limite annuelle de 20 % du revenu imposable (au-delà, le solde est reportable sur les cinq années suivantes). Tout acte de mécénat donne droit à des contreparties. Ces dernières sont un avantage offert aux donateurs en surplus de la réduction d’impôts. La valeur des contreparties doit rester dans une «disproportion marquée» en fonction du don.

Tarifs et contreparties

Vous êtes une entreprise et vous souhaitez associer votre image à celle du Montansier ! Devenez mécène et profitez d’une déduction fiscale, de contreparties (privatisation, places de spectacles…), nous créons ensemble un projet adapté à votre entreprise.

Le Théâtre Montansier remercie pour leur soutien la Ville de Versailles, Versailles Grand Parc, la Région Ile-de-France, la Société Générale et les membres amis, donateurs et bienfaiteurs de l’association des Amis du Montansier.

Depuis 2017, le Théâtre Montansier fait partie de la Route européenne des théâtres historiques.Le Théâtre Montansier remercie également le Château de Versailles. Le Théâtre Montansier bénéficie de l’aimable soutien de l’Opéra Royal

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Théâtre Montansier 13, rue des Réservoirs 78000 Versailles

www.theatremontansier.com& 01 39 20 16 00

Documents

François de Mazières Maire de Versailles 3...La saison 2018/2019 du Théâtre Montansier sera une fois de plus placée sous le signe de la création, avec plus d’une dizaine de