Dossier de presse 2010 / 2011

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DOSSIER DE PRESSE

SAISON 2010-2011

mailto:[email protected]�


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DANSE / SPECTACLES

Jean-Baptiste André Intérieur Nuit Joanne Leighton Made in Taïwan

Hiroaki Umeda Repulsion, Haptic, Adapting for Distorsion

Brahim Bouchelaghem Davaï davaï

Emilio Calcagno Nouvelle Vague Ambra Senatore Passo / Merce Emanuelle Vo-Dinh – Latifa Laâbissi – Marine Bachelot Histoires exquises

Jean-Baptiste André Qu’après en être revenu Cie Locomotive Coloriage Pro Phenomen Signum Block Party Battle IV Thomas Lebrun Constellation Consternée



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LITTERATURE Sonia Chiambretto invite Yoann Thommerel, Antoine Boute, Jérôme Game et la revue Grumeaux Carte blanche à Sonia Chiambretto

Emilio Calcagno Génération Bagnolet



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ARTS PLASTIQUES

Ron Haselden Postcards

Véronique Hubert Alibi Véronique Hubert Utopia fait son cinéma ? Carte blanche à Véronique Hubert Vincent Madame, Fanny Alder, Pierre Gicquel

Anne-Sophie Boivin et Elisabeth Towns Portraits de famille / Sténopés



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PA R T I C I P E Z ! LES INVITATIONS A DANSER

Mardi 21, Mercredi 22 et Jeudi 23 septembre

Pour adultes, enfants, néophytes, débutants, confirmés… Il s’agit juste de croquer dans une danse ou une discipline inconnue avec des accompagnateurs aguerris. Ceux-ci

auront sélectionné pour vous l’enchaînement idéal : ludique, facile, jouissif…

>> Gratuit

LES BALS 18 novembre, 14 décembre, 17 février

Des soirées de danse qui rassemblent tous les publics dans une ambiance festive. >jeudi 18 novembre 19h : Bal klezmer Imaginez un fest noz aux couleurs de l’Est.

>mardi 14 décembre 19h : Bal impro

Proposition de Bruno Couderc (Chorégraphe, enseignant à l’Université de Rennes 2)

Le Bal impro est une invitation à danser ouverte à toutes et à tous, sans contrainte d’âge ou de niveau, accompagnés de musicien en live. Soirée organisée avec l’aide des étudiants du Master SSSATI de l’Université de Rennes 2 >jeudi 17 février 19h : Bal klezmer

>> Tarif unique pour tous les bals : 5€ - Jauge limitée - Inscription obligatoire

ACTION DEMOTTAGE Elle consiste à prélever des micro-paysages par démottage pour les déplacer ensuite vers un ailleurs. Ces mottes

de terre peuvent subir trois étapes : extraction, migration et réintroduction. Cette action artistique est proposée

par Benoît Sicat, et Gwen aëlle Rébillard de l’association 16 rue de Plaisance en écho aux Jardins Agitato.

Lancement de l’action démottage samedi 5 mars à 15h

>> Inscriptions auprès d’

au Triangle. ATELIER STENOPES Participez au dernier atelier sténopé proposé par Oscura dans le cadre de la manifestation Le sténopé, un procédé photographique. Anne-Sophie Boivin et Elisabeth Towns proposent de participer au jeu de Qui est-ce ? Cette

artiste propose au public de venir photographier une figure du quartier du 4 au 10 avril 2011. [email protected] / 02 99 22 27 20

mardi 21 septembre danse contemporaine enfants, 18h-19h, Métro Triangle danse contemporaine adultes 19h-20h, Métro Triangle

mercredi 22 septembre danse modern jazz enfants 10h30-11h30, Métro Triangle danse orientale 17h-17h45, Pôle social danses brésiliennes 18h15-19h, Métro Triangle danse modern jazz adultes 19h-20h, Métro Triangle flamenco 20h15-21h, Parvis du Triangle

jeudi 23 septembre danse africaine 18h-19h, Parvis du Triangle




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LE TRIANGLE EST PARTENAIRE DE … LE TRIANGLE EST PARTENAIRE DE … CONCERT

Mardi 3 novembre 20h30 L’antipode MJC Rennes et le Triangle/cité de la danse présentent

Tinderstcks Groupe majeur de ces vingt dernières années, Tindersticks revient avec un huitième album, Falling down a mountain. Entre ballades mélancoliques, instrumentaux

grandioses, pop soul épurée et folk rock embrumé vient se poser la voix si reconnaissable de Stuart Staples.

>> Tarifs : 22 € pour les membres Antipode, Ubu, abonnés Triangle/ 25 € (plein tarif)

DANSE / MUSIQUE

Mardi 22 février 20h

L’orchestre Ars Juvenis et l’université de Rennes 2 proposent

Appalachian Spring Création chorégraphique de Bruno Couderc à partir de la pièce de Martha Graham En 1943 Aaron Copland compose Appalachian Spring pour la chorégraphe Martha Graham qui crée le ballet l’année suivante. Chacun sait le rôle décisif qu’ont eu cette artiste et cette œuvre dans l’histoire de la danse au XXème siècle. Aujourd’hui, se pose la question d’une nouvelle proposition chorégraphique pour cette œuvre ayant une telle notoriété. Les interrogations autour de la « référence » et les réponses qui seront avancées renvoient à des préoccupations de la recherche artistique contemporaine. Première partie : Symphony n 2 (short Symphony) d’Aaron Copland, (15’ environ) accompagnée d’une projection vidéo explicitant la structure de l’œuvre. Appalachian Spring (version 1944) d’Aaron Copland, 25’ environ, chorégraphie Bruno Couderc / scénographie Denis Briand / direction d’orchestre Patrick Otto Deuxième partie : Conférence portant sur l’œuvre de Copland, Appalachian Spring, la chorégraphie de Martha Graham et sur le travail de création qui en est inspiré. Scénographie de Denis Briand Sur une œuvre musicale d’Aaron Copland Interprétée par l’Orchestre Ars Juvenis - Patrick Otto

>> Tarifs : 8€ / 5€/ 3,5€ (groupes scolaires)



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Soirée d’ouverture de saison Jeudi 23 septembre 19h

Présentation de la saison Images vidéo à l ’appui.

L’espace d’un instant chorégraphie Pénélope Parrau Interprète Pénélope Parrau / musique David Monceau / vidéaste Thierry Micouin / regard extérieur Franck Picart

Action démottage présentée par Benoît Sicat et Gwenaëlle Rébillard

Invitation à danser danse klezmer

>> Entrée libre / réservations au 02 99 22 27 27



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D A N S E

Jeudi 14 Octobre 20h

Intérieur Nuit Jean-Baptiste André / Association [W]

Première création du « distortionniste » Jean-Baptiste André Intérieur Nuit (2004) est un solo mêlant les arts du cirque à ceux de la danse, du théâtre, de la vidéo et de la musique électronique. Sur scène, l’artiste, filmé en direct dans son intérieur scellé par deux murs, nous dévoile son intimité, entre solitude et enfermement. L’artiste met dès cette première création, la question de la métamorphose du corps, au cœur de sa démarche. A force de torsion, rotation, dissociation, Jean-Baptiste André brouille les lignes anatomiques et les repères sensoriels. Partenaire idéal de ses explorations, la vidéo introduit son double, renverse les perspectives et nous donne à voir et à percevoir les sensations de ses propres distorsions, de son propre vertige.

Jean-Baptiste ANDRE Equilibriste – danseur et auteur, se forme au Centre National des Arts du Cirque de Châlons-en-Champagne (diplômé en 2002 avec les félicitations du jury). Il se spécialise alors dans les équilibres sur les mains et le travail de clown. En 2002, il fonde l’association [W] et développe depuis un répertoire de petites formes performatives appelées ‘modules’. Il devient le premier artiste de cirque lauréat du programme Villa Médicis Hors Les Murs de l’AFAA en 2005, grâce à laquelle il séjourne au Japon. Il y créé la pièce HiDDEN FACES / FACES CACHéES / KAKUSaRETA MEN en collaboration étroite avec Aoki Takamasa (musicien), Noriko Matsumoto (vidéaste) et le soutien précieux du Yamaguchi Center for Arts and Medias. En tant qu’interprète, il travaille avec les chorégraphes Philippe Découflé, Gilles Baron, Christian Rizzo, Herman Diephuis. En 2005, il fait la rencontre du plasticien Robin Rhode avec lequel il travaille régulièrement. Ils réalisent ensemble l’œuvre ‘Storyteller’ (pièce vidéo produite par le FRAC Champagne-Ardenne, mars 2006) et la pièce-performance ‘Frequency’ (Haus Der Kunst – Munich, septembre 2007). Jean-Baptiste est artiste en résidence depuis 2005 au Manège de Reims, Scène nationale.

Conception, mise en scène et interprétation Jean-Baptiste André / création musicale Christophe Sechet / création lumière et décor Jacques Bertrand / conseillers artistiques Céline Robert, Michel Cerda, Hervé Robbe / scénographie Jean-Baptiste André et Jacques Bertrand / création parfum intérieur Marion Costero / photographe associé Fred Mons / création graphique Antoine Rocher / Studio Libérezina / régie générale et lumière Hervé Lonchamp / régie plateau et son Bart Cocquerez. Co-production : Association [W], Centre National des Arts du Cirque - Châlons-en-Champagne, avec le soutien de la Région Champagne Ardenne, Le Prato, Théâtre international de quartier – Lille, Circulons Centre Chorégraphique National du Havre, accueil studio ACB - Scène Nationale de Bar-le-Duc, Centre Culturel Saint Exupéry – Reims. Avec le soutien de : Fonds Régional d’Art Contemporain (F.R.A.C) Champagne Ardenne – Reims, Espace Périphérique de la Villette – Paris, Centre d’Art et d’Essai – Mont Saint Aignan et la Direction Régionale des Affaires Culturelles (DRAC) Champagne-Ardenne. L’association W est soutenue par la Région Champagne-Ardenne et par la Ville de Reims.

www.associationw.com

>> Tarif Plein : 16€/ Tarif réduit : 11€/ - de 12 ans : 6€ Durée : 1h



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D A N S E

Mardi 19 octobre 20h

Made in Taïwan Joanne Leighton / Centre Chorégraphique

National de Franche-Comté à Belfort Face au public, la danseuse et chorégraphe Joanne Leighton met en place un dialogue avec les spectateurs, les entraînant au cœur même des processus de créations et des codes propres à la représentation, à sa structure et au déroulement du travail de création. Au niveau de la danse elle-même, Joanne Leighton propose un jeu sur la copie, la rature de certaines parties du corps dans certains mouvements, les différents angles de vue d’un même mouvement, en intégrant des ruptures, des interruptions, des fractures dans le déroulement du spectacle. A côté de ce traitement ludique de la chorégraphie, Joanne Leighton continue à accorder une attention particulière à l’intégration de principes architecturaux, une préoccupation récurrente depuis plusieurs spectacles. Joanne LEIGHTON De nationalité belgo-australienne, Joanne Leighton a été formée à la danse à Melbourne. Elle a ensuite dansé au sein de l'Australian Dance Theater, principale compagnie de danse contemporaine en Australie. Parallèlement à son travail de danseuse, Joanne Leighton a très tôt créé ses propres pièces. Elle vient ensuite travailler à Londres, où elle crée plusieurs spectacles accueillis au Place Theater. Connue pour ses qualités de pédagogue, elle est invitée à donner des cours au Théâtre Royal de La Monnaie. Ouvert à tous, ces cours favorisent alors des rencontres avec les chorégraphes émergeants de l'époque : Wim Vandekeybus, Anne-Thérèse De Keersmaeker, Michèle-Anne De Mey, Nadine Ganase. Son parcours de chorégraphe est étroitement lié à une vision de la danse originale, dynamique et évolutive, dans un désir constant de dialogue et d'échange. La chorégraphe entretient cette philosophie et cet engagement avec l'ensemble de ses danseurs et collaborateurs artistiques. Actuellement, Joanne Leighton compte à son actif une vingtaine de productions chorégraphiques. Les pièces phares de la compagnie comme ‘Display/Copy Only’ (2004), ‘Made In Taiwan’ (2004), ‘5 Easy Pieces’ (2006), ‘Surface’ (2008) tournent sur de nombreuses scènes nationales et internationales. Depuis 2010, Joanne Leighton a pris la direction du Centre Chorégraphique National de Franche-Comté à Belfort.

Chorégraphie et interprétation Joanne Leighton / Création lumières Xavier Lauwers / Conception sonore Peter Crosbie / Costumes Agnès Dubois, Chandra Vellut Production Compagnie Velvet. Avec le soutien de Charleroi/Danses. Avec l’aide du Ministère de la Communauté française Wallonie Bruxelles, de la SACD, du CGRI et de l’agence Wallonie Bruxelles Théâtre.

www.velvetvelvet.be

>> Plein tarif : 16€ / tarif réduit : 11€ / tarif enfant –de 12 ans : 6€ Durée : 40 min


http://www.velvetvelvet.be/�


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LITTERATURE / APERO POETIQUE

Jeudi 21 octobre 19h

Sonia Chiambretto invite… Yoann Thommerel, Antoine Boute, Jérôme Game et la revue Grumeaux

Pour cette nouvelle rencontre, Sonia Chiambretto invite la revue Grumeaux dont la seconde édition – titrée L’IMPOSSIBLE – paraîtra en septembre. Grumeaux publiera également dans un numéro spécial 2.1 un texte écrit par l’artiste dans le cadre de sa résidence au Triangle.

Nous proposons donc de découvrir cette jeune revue aux côtés de Sonia Chiambretto, deux contributeurs de la revue, Jérôme Game et Antoine Boute, son fondateur Yoann Thommerel, liront des extraits de leurs textes et diront pourquoi les revues restent à leurs yeux le foyer POSSIBLE de réflexions et d’expérimentations partagées.

Sonia Chiambretto, écrivain, en résidence au Triangle depuis le début de l’année 2010. Yoann Thommerel est revuiste et écrivain. Il a fondée en 2009 la revue Grumeaux. Jérôme Game est écrivain, auteur en résidence au Triangle en 2006. Antoine Boute est écrivain et poète sonore. Cette soirée est organisée en collaboration avec la Revue Grumeaux.

www.editions-nous.com/grumeaux

>> Tarif unique : 4€



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PHOTOGRAPHIES

22 Octobre > 17 décembre

Postcards

Ron Haselden Vernissage vendredi 22 octobre 18h30 Ron Haselden marche près de Plouër-sur-Rance, en Angleterre ou ailleurs, souvent en promenant ses chiens, l’appareil photo à portée de mains. Enfant déjà, il faisait des photos et des films. Couchers de soleil, rosiers du jardin, villas, ruches de Rosy, promenades à la mer, voilà décrites les quelques images que reçoivent par mail environ trois cents correspondants aux quatre coins du monde. Ces compositions font joliment clichés, elles peuvent également receler de multiples interprétations. Ses messages enchantent la journée. Parfois en retour il reçoit quelques mots, il garde tout, c’est comme un journal qu’il partage. Ron Haselden est sculpteur, on le voit ici par les collages, assemblages, montages réalisés sur l’ordinateur. Il photographie plusieurs fois les lieux qu’il arpente, montre les états de lumière du paysage, traite les espaces avec la même attention que les fils qu’il tend pour fabriquer une sculpture. Laissons-nous enchanter par ces vues d’un bout du monde.

RonHASELDEN Cet artiste vit et travaille à Londres et à Plouër sur Rance. Haselden a reçu la bourse sergent à la British School at Rome, en Italie. Au cours de ses réalisations, il a reçu de nombreux prix et des subventions de financement de nombreux organismes qui comprennent le Conseil des arts de Grande-Bretagne, Le Prix Lorne, La Fondation Hamlyn, L'éléphant Trust, la Fiducie Fairburn Esmée, Le Conseil des Arts de Londres, La Fondation Henry Moore, The British Council, l'Art RSA pour système d'attribution de l'architecture, l'Alliance Française, Conseil Général des Côtes d'Armor et le Fonds Régional d'Art Contemporain (FRAC) de Bretagne.

www.ronhaselden.com

>> Entrée libre



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DANSE Vendredi 19 Novembre 19H

Samedi 20 Novembre 16H et 21H

Le festival Mettre en scène – Rennes Métropole, Quimper, Vannes du 4 au 20 novembre 2010 présente

2-Repulsion, Haptic, Adapting for Distorsion

Hiroaki Umeda

2-Repulsion Cette pièce pour trois danseurs hip hop explore les forces physiques qui régissent la nature, un

travail sur le langage et l’énergie de la danse. Haptic Dans ce solo, l’artiste privilégie la lumière et plus particulièrement le champ de la couleur pour donner

corps aux relations que celle-ci entretient avec la danse. Adapting for Distorsion Ce solo évoque la condition de l’homme moderne. Le corps du danseur semble

s’effacer progressivement, perdant de sa netteté dans des spirales lumineuses jusqu’à devenir simple vibration, tressaillement de la chair…

Hiroaki UMEDA Né au Japon en 1977, Hiroaki Umeda vit et travaille à Tokyo. Après des études en photographie à la Nihon University –College of Art, il s’intéresse à la danse, puisant aux sources occidentales de la danse classique et du hip-hop et à l’essence nippone du butô, pour créer ses propres spectacles aux influences high-tech et plasticiennes. En 2001, il fonde sa compagnie – S20 – et créé les pièces Ni (2001), while going to a condition (2002), Looming (2003) et Finore (2003). Repéré en France à l’occasion des Rencontres chorégraphiques internationales de Seine-Saint-Denis (2002) et de la Biennale nationale de danse du Val-de-Marne (2004), Hiroaki Umeda trouve la reconnaissance publique et professionnelle lors de son passage au Théâtre National de Chaillot en janvier 2007, avec notamment la création d’une pièce intitulée Accumulated layout, rencontre entre sa gestuelle singulière et la lumière, véritable matériau scénographique. A l’invitation en résidence du Théâtre de Nîmes et de la scène nationale de Maubeuge, il a conçu deux nouvelles oeuvres Haptic et Adapting for distortion, où il poursuit son exploration des perceptions visuelles du public afin d’élargir le champ de représentation de la danse.

2-Repulsion chorégraphe et interprète Hiroaki Umeda / son S20 / image S20, Bertrand Baudry Haptic chorégraphe et interprète Hiroaki Umeda / son S20 / lumière S20, Hervé Villechenoux Adapting for Distorsion chorégraphe Hiroaki Umeda / danseurs: Kevin Mischel, Yvener Guillaume, Sofiane Tiet / son S20 / conception lumières S20

www.hiroakiumeda.com

>> Billetterie Mettre en Scène – PASS Triangle : 12€/ 9€



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DANSE

Vendredi 10 décembre 20h

Les Rencontres Trans Musicales de Rennes et le Triangle présentent

Davaï Davaï Brahim Bouchelaghem / Cie Zahrbat et Top 9

Depuis Zahrbat, son premier solo, Brahim Bouchelaghem développe un travail de chorégraphe et d’auteur à la fois singulier et sensible. Il a choisi pour cette nouvelle pièce d’embarquer dans son univers poétique un groupe de neuf danseurs russes.

Saint Pétersbourg et ses journées infinies d’été ont ouvert tous les horizons à une rencontre sensible mais aussi culturelle et artistique entre Brahim Bouchelaghem et les champions du monde russes du Battle of the year 2008, les Top 9. Le chorégraphe emmène les danseurs du show à la poésie, de la pure performance à l’expression personnelle. A chacun, il a demandé de raconter une histoire intime. Ces émotions, les danseurs apprennent à les transmettre, parfois avec un simple regard, émaillées de silence. « Une métamorphose artistique pour ceux les connaissent », confie Brahim.

Brahim BOUCHELAGHEM Né à Roubaix en 1972, Brahim Bouchelaghem découvre le hip hop en 1984. Il se forme et se perfectionne avant de connaître ses premières expériences professionnelles et de participer au Battle of the year 96. Remarqué par Farid Berki, il intègre la Compagnie ‘Melting Spot’, la même année et participe aux créations de Fantasia, Point de chute et Petrouchka. Grâce à ses cinq années passées aux côtés de Mourad Merzouki, il approfondit son travail d’interprète et connaît une première expérience forte de formateur et d’assistant chorégraphe avec le projet Mekech Mouchkin organisé dans le cadre de l’année de l’Algérie. En 2004, Kader Attou lui propose une reprise de rôle sur Pourquoi pas… Cette pièce inaugure une collaboration et une complicité qui amène la Compagnie Accrorap à porter le solo Zahrbat, première création de Brahim Bouchelaghem. En 2007, il rencontre Carolyn Carlson qui décide de soutenir son travail de chorégraphe, le qualifiant de poète. La même année il fonde la Compagnie Zahrbat qui bénéficie du compagnonnage du Centre Chorégraphique National Roubaix Nord-Pas de Calais. En 2008, il créée El Firak et en janvier 2009, un nouveau solo en collaboration avec Carolyn Carlson What did you say ? En 2009, lors d’une tournée de Zahrbat à Saint Pétersbourg, il rencontre le crew de danseurs hip hop TOP 9 avec lesquels il entreprend un projet de création de ce spectacle.

Chorégraphie Brahim Bouchelaghem / Interprétation TOP 9. Production Compagnie Zahrbat Avec le soutien de l’Institut Français de Saint-Pétersbourg, la Fondation BNP Paribas, La Région Nord Pas de Calais, CulturesFrance et la Communauté Urbaine de Lille, Kannon Dance et le Théâtre Tiouz de Saint Pétersbourg

www.ccn-roubaix.com (Guest compagnie)

>> Plein tarif : 16€ / tarif réduit et membre Ubu : 12€ / tarif enfant –de 12 ans : 8€

Durée : 1h30



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LITTERATURE / APERO POETIQUE

Jeudi 16 décembre 19h

Carte blanche à Sonia Chiambretto

Au cours de cette soirée festive et pour la fin de la résidence de l’écrivain Sonia Chiambretto, le public fera la rencontre des invités surprises. L’écrivain lira des extraits de ses nouveaux textes.

Sonia CHIAMBRETTO Sonia Chiambretto est l’auteur de la Trilogie CHTO dont les deux premiers volets Chto Interdit au moins de 15 ans et Mon Képi Blanc (Avignon 2009) ont été créés par Hubert Colas lors des deux dernières éditions d’actOral. Chto Interdit au moins de 15 ans, suivi de Mon Képi blanc et de 12 Sœurs slovaques sont édités chez Actes Sud Papiers. La Trilogie, mise en scène par Hubert Colas, sera présentée dans son intégralité au Théâtre de la Cité internationale à Paris, en novembre 2009. Ces textes ont également été présentés en Belgique, Allemagne, Italie, et Danemark. Auteur d’un impromptu, La sorcière aux dents vertes sur une vidéo de Laurent Friquet, 2006, d’un documentaire pour la scène, Une Petite Randonnée [PR], et de ZONE ÉDUCATION PRIORITAIRE (Actes-Sud Papiers 2010), Sonia Chiambretto écrit CHUTES Frontières, zéro gravité, texte pour Traversées, dernière création de la chorégraphe Kitsou Dubois, qui sera présentée au Manège de Reims, 2009, et participe au laboratoire Sondes de Franck Bauchard (CNES). Boursière de la DMDTS, elle sera en résidence à plusieurs reprises à la Chartreuse de Villeneuve Lez Avignon. En 2010 Sonia Chiambretto sera en résidence au Triangle à Rennes.

>> Tarif : 4€



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LECTURE / VIDEO / CONFERENCE

Mardi 11 janvier 19h

Génération Bagnolet

Emilio Calcagno

Le chorégraphe Emilio Calcagno propose un moment de culture chorégraphique en images et en paroles. Il nous

plongera dans cette foisonnante époque des années 70-80, aujourd’hui connue sous le nom de « génération

Bagnolet » ou « nouvelle danse française ».

Plus qu’à un courant, c’est à un véritable tournant dans l’histoire de la danse française que l’on assiste à cette période qui vit naître les Centres Chorégraphiques Nationaux. Il nous racontera le déroulement et la construction de son spectacle Nouvelle vague, génération Bagnolet, projet d’histoire et de répertoire. Il nous amènera à débattre autour des notions de concours, de patrimoine et de transmission en danse et apportera de multiples éclairages sur cette révolution artistique et ses influences.

« Bagnolet a le redoutable honneur de mettre en évidence les évidences éparses [...] pour une réflexion sur l'évolution de la danse et sa situation dans notre société. En effet, Bagnolet n'est pas un « spectacle », mais une prise de conscience. » Les Saisons de la Danse, 10 avril 1979, « Il me paraît aujourd’hui essentiel que la danse trouve en elle-même son propre mouvement [...] pour queles chorégraphes cessent de se soumettre et de soumettre avec eux la danse à des formes qui ne peuvent être qu’anciennes parce qu’elles ne sont pas issues d’un travail contemporain » Les Saisons de la Danse, 10 juin 1982 « Mais cherchant à s’imposer comme une voie royale d’accès à la reconnaissance, le concours de Bagnolet est devenu pour le chorégraphe ce que l’arène est au toréador, le ring au boxeur, un pont chargé d’angoisse mais aussi menant à l’espoir d’échapper au besoin et à l’anonymat.» Pour la Danse, mai 1984

>> Entrée libre / Réservations 02 99 22 27 27 Durée 1h30



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DANSE

Jeudi 13 janvier 14h30 et 20h

Nouvelle Vague « génération Bagnolet »

Un projet d’Emilio Calcagno

Chorégraphies de Domique Bagouet, Jean-Claude Gallotta, Daniel Larrieu et Angelin Preljocaj En 1969, le danseur Jaque Chaurand créait le Concours chorégraphique international de Bagnolet. La vague de la « nouvelle danse » française naissait. Cette effervescence donnera naissance dans les années 80 à de vraies maisons pour produire et créer : les centres chorégraphiques nationaux. Le concours de Bagnolet devint la référence majeure des professionnels et les lauréats, pris dans cet engouement, multiplièrent les créations. Mais au-delà des publics initiés de l’époque, qui a pu voir ces pièces, bijoux prémonitoires et éphémères qui n’ont, pour la majorité, jamais été représentées en-dehors de l’événement pour lequel elles ont été créées ?

Emilio CALCAGNO Né en 1970 à Catane en Italie, Emilio Calcagno entre au Centre national de Danse contemporaine à Angers. Il intègre le Ballet Preljocaj comme danseur en 1995. Après avoir dansé sur les scènes les plus prestigieuses du monde entier (Joyce Theater de NewYork, Opéra de Sidney, Tel Aviv…), il prend la responsabilité des activités pédagogiques. Dans ce cadre, il est à l’origine de différents projets culturels : danse et écriture dans les bibliothèques, performances dans les musées et les galeries d’art, travail sur le temps et l’espace dans les prisons. Par ailleurs, avec les lectures vidéo danse, il apporte au public, à travers une analyse originale des oeuvres chorégraphiques, un autre regard sur l’univers de la danse. Il intervient depuis 1998 à l’Université de Provence en collaboration avec le DEUST Théâtre. Il est invité régulièrement et sollicité par de nombreuses structures (Scénario publico – Italie, CNSM- Lyon, au Centre national de la danse à Paris, …) à divers titres, professeur, chorégraphe ou juré. Il a mené notamment une expérience artistique avec le CIANT (Centre International d’Art et Nouvelles Technologies / République Tchèque) à l’intérieur d’un dispositif mêlant danse, vidéo et nouvelles technologies créé à Prague en 2005. De 2005 à 2007, il a été responsable pédagogique du projet européen D.A.N.C.E. (direction artistique Angelin Preljocaj, Frédéric Flamand, William Forsythe et Wayne Mac Gregor). Depuis janvier 2008, Emilio Calcagno est en résidence à la Faïencerie - Théâtre de Creil dans le cadre du projet BDanse qui allie la danse et la bande dessinée.

Dominique BAGOUET Chanson de nuit «1976» Daniel LARRIEU Chiquenaudes «1982» Angelin PRELJOCAJ Marché noir «1985» Jean-Claude GALLOTTA Suite «1980» En fil conducteur de la soirée : Sous forme de projection vidéo, un patchwork aux couleurs politiques, sociales et culturelles sera projeté entre chaque pièce. Le comédien Denis Lavant nous contera ces époques...

www.compagnie-eco.com

>> Plein tarif : 16€ / tarif réduit : 11€ / tarif enfant - de 12 ans 6€ / PASSTriangle 11€ / 6€ Durée : 55 min



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DANSE

Mardi 25 janvier 20h

Passo / Merce

Ambra Senatore

Passo (Pas / Démarche)

Avec une danse dynamique et cassée par des chutes et des reprises, par des gestuelles inattendues, ce projet est centré sur la limite entre réalité et fiction, entre ce qui est dedans et ce qui est en-dehors du spectacle, entre partition chorégraphique et imprévu. En travaillant sur le doute et la surprise, avec une ironie subtile et plaisante, dans Passo on nie la possibilité d’une interprétation unique des choses. Comme la vie nous met face à la transformation constante et inattendue du sens de ce qu’on rencontre, sollicitant nos capacités critiques et un entraînement au doute et au questionnement, dans Passo de subtils changements dévoilent de nouveaux éléments qui déplacent le sens de chaque affirmation. Ambra Senatore. Le duo Passo a reçu le Prix Equilibrio 2009 de la Fondazione Musica per Roma Merce (Marchandises)

Merce évoque l’individu et la création confrontés aux lois de la marchandisation. Dès lors qu’une pièce est créée, il est fréquent et troublant de réaliser que l’intuition, le désir, l’écoute, la recherche, la rencontre humaine, bref tous les moteurs nobles et profonds de l’acte créatif, passent au second plan. On est inévitablement confrontés au commerce. Dans Merce, comme dans une brochure promotionnelle, on expose des produits d’artisanat. Merce est une pièce-catalogue, un jeu calmement provocateur sur la limite entre l’œuvre, l’interprète, le corps et l’objet de la vente.

Ambra SENATORE Cette artiste est née à Turin en 1976 et travaille dans le milieu de la danse contemporaine depuis 1997. Après des expériences de création collective elle commence ses créations en solo en 2004. Elle a collaboré avec Jean Claude Gallotta, Giorgio Rossi, Raffaella Giordano, Georges Lavaudant (production du Théâtre de l’Odéon, Paris), Marco Baliani, Michela Lucenti, Roberto Castello, Antonio Tagliarini. Elle s’est formée avec Raffaella Giordano, Carolyn Carlson, Dominique Dupuy, Jean Cébron, Bill T. Jones, Ivan Wolf, Antonella Bertoni et Roberto Castello. En 2001 elle a frequenté l’Accademia Isola Danza di Venezia, dirigée par Carolyn Carlson. Elle a terminé un doctorat sur la danse contemporaine en Italie et, en tant que chercheuse, donne des cours d’histoire de la danse à l’Università Statale de Milan. Elle a publié le livre La danza d’autore. Vent’anni di danza contemporanea in Italia, édition UTET, Torino, 2007.

Passo : Chorégraphie Ambra Senatore / interprétation Ambra Senatore, Caterina Basso / lumière Fausto Bonvini / musique Brian Bellott. Merce : Chorégraphie et interprétation Ambra Senatore

www.ambrasenatore.com

>> Plein tarif : 16€ / tarif réduit : 11€ / tarif enfant –de 12 ans : 6€ Durée : 1h



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VIDEO / PHOTOGRAPHIE / DESSIN

27 Janvier < 25 Mars

Alibi

Véronique Hubert

Vernissage le jeudi 27 Janvier suivi à 18h30

« Utopia », improbable fée ambassadrice de Spotniavie se déplace depuis quelques années dans des villes. Elle déambule, se cogne et disparaît parfois comme les fantômes. Ici, elle déambule à Rennes dans ses voiles, ses ailes de fée et son cube blanc. Le cube est cadre, écran, livre, maison, habit ou prothèse. C’est une protection, une carapace, il équilibre son rapport au monde extérieur. Au rythme de cette chorégraphie-performance, elle glane des instants de la vie, invente un ailleurs. Tout cela est filmé, photographié puis mixé avec sons et textes qui colorent les apparitions/chocs/ promesses/ritournelles de la fée. Véronique Hubert invente une ville avec Belfort et Rennes : c’est la ballade à Belnes. Le son la guide pour créer, apaisant ou dynamique avec musiques et textes

d’auteurs qu’elle affectionne. Cette poésie du quotidien en fait un conte des petits bonheurs possibles, malgré les

obstacles. Comme elle le dit si bien. « Je suis petite mais pleine d’espoir »

>> Entrée libre



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PERFORMANCE

Jeudi 27 janvier 19H30

Utopia fait son cinéma

Véronique Hubert

C’est un montage vidéo, rythmé par des comédies musicales, des chorégraphies, des intrigues cinématographiques et des vidéos d’artistes. C’est un mélange de musiques éclectiques et électroniques, de bandes originales et de dialogues de films. Le tout mixé devant le public. La fée Utopia y apparaît par

intermittence, joyeuse ou découragée, une ritournelle en tête. Depuis l’épisode n° 4, l’image et le mouvement des femmes et des individus en marge, présent au cinéma, dans la danse et dans l’art rythment cette série de

performance : les jeux, les genres, la violence et l’absurdité des corps pensants, s’emmêlent sans se priver d’humour. Un certain autre monde... Le public est invité le soir du vernissage à participer à cette performance et, éventullement à danser.

www.veroniquehubert.free.fr

>> Entrée libre / Réservations 02 99 22 27 27



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D A N S E / L I T T E R AT U R E

Mercredi 9 février et Jeudi 10 février 20h

Histoires Exquises

Une proposition d’Emmanuelle Vo-Dinh

Créations de Latifa Laâbissi et Marine Bachelot

Laurent Philippe Au commencement, il y a cette invitation faite au public de nous rapporter une histoire extraordinaire, insolite ou étrange, réelle ou fictionnelle. Inspirées d’une de ces histoires deux artistes s’emparent tour à tour de ce témoignage et en font l’une une création chorégraphique, l’autre une création littéraire. Ces Histoires exquises prennent la narration comme point de départ et confronte différentes formes d’écritures autour d’une même règle du jeu. Elle questionne ainsi la nature de la création et de son processus, la singularité de chaque écriture.

Emmanuelle VO-DINH Après avoir été interprète, essentiellement auprès de François Raffinot au sein du Centre Chorégraphique du Havre, Emmanuelle Vo-Dinh crée la compagnie Sui Generis au Havre en 1998. Si l’écriture des « débuts » inscrit un corps « figuratif » (Anthume ou la sensation du membre fantôme, 1998) qui privilégie la singularité de chaque interprète, la chorégraphe aborde progressivement un travail plus abstrait, par le biais de thématiques comme la neurologie ou la psychiatrie (Texture/Composite, 1999, Sagen, 2001). Avec décompositions (2003), le principe de « répétition » alors à l’œuvre offre une réflexion autour du rythme et de l’espace. De facture plus abstraite et contemplative, ce travail invite le spectateur à vivre des pièces au caractère hypnotique. Au-delà des principes d’écriture chorégraphique, dont le mode se renouvelle dans une thématique autour de la perception du temps (la fugue, la mémoire), la chorégraphe associe régulièrement d’autres disciplines à ses pièces, à travers des collaborations artistiques suivies comme avec la compositrice Zeena Parkins, le plasticien Laurent Pariente ou l’écrivain Frédéric-Yves Jeannet. Depuis 2007, Emmanuelle Vo-Dinh aborde des recherches qui s’appuient principalement sur l’écriture musicale (Aboli Bibelot…rebondi, 2007 ; 5’24, 2008), s’innervant aussi de certains aspects de l’histoire de la peinture (Eaux-fortes, 2007). Les désirs de création de la chorégraphe se portent aujourd’hui autour d’une écriture qui questionne la figuration dans l’abstraction, et place l’interprète au cœur du processus d’écriture (Ad Astra, 2009). La compagnie Sui Generis est installée à Rennes depuis 2004 et a été en résidence au Triangle, plateau pour la danse de 2007 à 2009.

Première partie : Création chorégraphique de Latifa Laâbissi

Interprète : Barbara Manzetti Deuxième partie : Création littéraire de Marine Bachelot Troisième partie : Projection du témoignage vidéo de l’histoire qui a inspiré les deux histoires exquises qui ont précédées.

>> Plein tarif : 16€ / tarif réduit : 11€ / tarif enfant –de 12 ans : 6€ . Durée : 1h



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A R T S P L A S T I Q U E S / L I T T E R AT U R E

Jeudi 24 février 19h

Carte blanche à Véronique Hubert Vincent Madame, Fanny Alder, Pierre Gicquel

L’œuvre de Véronique Hubert est foisonnante, son travail se nourrit de multiples sources, la littérature en est une. C’est pourquoi nous l’invitons à présenter des artistes de son choix. Pour cette soirée Vincent Madame et Fanny

Adler donneront une performance vocale chantée. « Juste avant les forêts » est élaboré à partir du texte de

Bernard-Marie Koltès. « Ce court récit, construit d’une seule phrase de 56 pages, impose de traiter la question

du souffle et du rythme qui le traverse, impossible à restituer dans son amplitude, et donc à reconstruire

physiquement. C’est ce qui détermine l’enjeu de la performance ». Véronique Hubert invite Pierre Gicquel à créer un duo texte / images / sons. Pierre Gicquel écrit sans hiérarchisation de genres et de rôles entre ses activités de critique et celle d’écrivain. Il écrit des chansons, a écrit pour Dominique A. Il intervient régulièrement dans des pièces d’artistes et musicales, il vient d’écrire un opéra qui sera chanté par Cécilia Bartoli.

>> Tarif : 4€



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D A N S E

Jeudi 24 février 10h30 et 14h30 (séance scolaire) Vendredi 25 février 14h30 (séance scolaire)

19h30

Coloriage

Cie Locomotive

Solo, duo, trio... Coloriage transforme la scène en un album grandeur nature. Comme si l’on feuilletait les pages d’un livre, images et comptines défilent les unes après les autres dans une suite de saynètes poétiques. Lune, Colorin et Larmélie deviennent les personnages animés d’une histoire tissée dans l’imaginaire débordant des plus petits. Mouvements, rythmes et couleurs composent une danse pleine de fantaisie au son de boîte à musique pop-électro. Larmélie, dans sa robe de satin rose, tente de se familiariser avec sa solitude et son chagrin pour que ses larmes deviennent ses compagnes. Lune vit dans un monde céleste, Colorin est une bulle de couleur dans un univers animé. Leur rencontre devient un jeu dans lequel chacun cherche à apprivoiser l'autre. Ils inventent un code gestuel et des rituels pour apprendre à se connaître et composer ensemble leur Tribu. Coloriage offre une vision du monde fraîche et spontanée. Compagnie La Locomotive La compagnie se forme en 2007. Elle bénéficie du soutien du Ballet Preljocaj et créé le projet Coloriage au Pavillon Noir la même année. À l'occasion de ce spectacle se réunissent Yan Giraldou, Amélie Port et Yui Mitsuhashi, issus de la formation de l'Ecole Supérieure de Danse de Cannes Rosella Hightower. Avec Coloriage, projet sous forme de triptyque et ouvert au jeune public, la compagnie développe un travail sur l'imaginaire et l'univers onirique de l'enfance. Au delà d'être au service de l'image, le mouvement apporte un aspect poétique et vivant. La gestuelle graphique et évocatrice est mise au service d'une narration abstraite ouverte à l'interprétation ; ce qui fait de la locomotive une compagnie accessible à un large public.

chorégraphie / scénographie : Yan Giraldou en collaboration avec : Yui Mitsuhashi, Amélie Port / Musique : Mùm / Lumières: Julien Guérut / Costumes : Nadine Galfi/ Graphisme : Tomek Jarolim / Interprétation : Yui Mitsuhashi, Amélie Port, Yan Giraldou Production : Ballet Preljocaj Avec le soutien de Centre chorégraphique national d’Aix-en-Provence et du soutien du Ballet Preljocaj.

>> Plein tarif : 16€ / tarif réduit : 11€ / tarif enfant –de 12 ans : 6€

Durée : 50 min



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D A N S E / C I R Q U E Création 2010

Jeudi 24 et vendredi 25 mars 20h

Qu’après en être revenu Jean-Baptiste André / Association [W]

« D’où vient cette étrange attirance, si puissante, si tenace pour ces régions polaires qu’après en être revenu on

oublie toutes les fatigues physiques et morales pour ne songer qu’à retourner vers elle ? ». Cette phrase de Jean-Baptiste Charcot est le point de départ du travail de Jean-Baptiste André. Qu’après en être revenu s’inspire des explorations polaires et interroge la résistance du corps, son endurance, ses limites physiques dans ces conditions de l’extrême.

Qu’est-ce qui nous fait résister et tenir ? Le rire, la poésie, la beauté, le lien aux autres ? C’est une réflexion autour de l’équilibre à chercher pour soi (qu’il soit physique, psychologique ou émotionnel) vers une harmonie à trouver avec les autres. Depuis la création de ses premières pièces, Intérieur nuit et Comme en plein jour, Jean-Baptiste André a fait de la métaphore du corps un des enjeux de sa démarche située entre le cirque et la danse. Pour ce projet, il réunit un trio d’équilibristes-danseurs accompagné sur scène par un musicien.

Conception Jean-Baptiste André avec Jean-Baptiste André, Julia Christ, Mika Kaski, Tony Chauvin Création musicale Percevalmusic / Tony Chauvin Ingénieur du son Bart Cocquerez Collaboration à la dramaturgie Michel Cerda Collaboration artistique Céline Robert Scénographie Jean-Baptiste André et Nicolas Baumann Construction réalisation Nicolas Baumann, Thomas Roquier Régie générale Joël L’Hopitalier Production, diffusion, accompagnement Sarah Morel Production : Association W Coproduction : Manège de Reims Scène Nationale, Les Migrateurs – Strasbourg, La Brèche, Centre Régional des Arts du Cirque – Cherbourg, Le Carré Magique – Lannion, Le Grand Logis – Bruz, Le Triangle – Rennes, L’Onyx La Carrière - St Herblain, EPGHV Parc de la Villette - Paris Ministère de la Culture et de la Communication – DMDTS, DRAC Champagne-Ardenne, L’Association W est soutenue par Conseil Régional de Champagne-Ardenne,Ville de Reims.

>> Plein tarif : 16€ / tarif réduit : 11€ / tarif enfant –de 12 ans : 6€ Durée : 1h



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D A N S E H I P H O P

Jeudi 31 mars 14h30 (séance scolaire) Jeudi 31 mars 20h

Signum

Pro Phenomen

SIGNS s’inscrit dans un projet mené par Pro Phenomen sur plusieurs années autours de la relation danse/vidéo. Avec cette création, la compagnie propose une nouvelle mise en forme de cette réflexion autour de l’utilisation de l’image et de la danse. Cette première étape de création fait suite à quatre mois de recherche : un véritable temps de laboratoire fait d’explorations, de tâtonnement, de découvertes, qui a permis de valider les choix artistiques et d’appréhender le champ des possibilités offertes par la vidéo. Après HOLD UP, où la compagnie prenait artistiquement en otage le public dans leur univers chorégraphique, aujourd’hui PROPHENOMEN veut aller plus loin en interprétant chorégraphiquement et musicalement l’état d’esprit des artistes face aux crises humaines, écologiques et économiques qui font l’actualité. L’utilisation de la vidéo permet de rendre visible et audible ces signes des temps actuels auxquels nous sommes tous inévitablement confrontés. SIGNS est la préfiguration de SIGNUM, pièce pour huit danseurs, dont la création est prévue en 2011.

Chorégraphes Philippe Almeida, Yaman Okur et Bruno Foucaud / Musique originale : Mehdi Ait Arkoub, Nicolas Pain et Grégory Rilcy / Danseurs : Yaman Okur, Philippe Almeida, Bruno Foucaud, Abkari Saitouli, Carl Maillard, Kévin Missamou, Patrick Brandt et Nicolas Pain / Lumière Dominique Christophe / Costume Harry James / Vidéo, images additionnelles Cédric Demiaude / Régie technique : Halim Kerbouche

>> Plein tarif : 16€ / tarif réduit : 11€ / tarif enfant –de 12 ans : 6€ Durée : 1h30



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D A N S E H I P H O P Samedi 2 avril 16h

Block Party IV

Plébiscité par le public, ce rendez-vous est en passe de devenir incontournable pour les danseurs du grand Ouest et les amateurs de battle. En effet, la dernière édition a réuni plus d’une quinzaine de crews avec en guest des danseurs parisiens et réunionnais. Relookée pour l’occasion, la grande scène du Triangle a été le théâtre d’un show alliant compétition féroce, suspense et bonne ambiance. La BLOCK PARTY BATTLE IV est en collaboration avec l’association Clap Your Hand.

>> Tarifs : 8€ (plein) / 5€ (réduit et –12 ans) / PASS Triangle : 5€

Samedi 2 avril 22h à 3h à l’Ubu Club After Block Party Battle

Cie Engrenage + Stereofunk DJ’s (DJ freshhh & DJ Marrrtin)

Nous avons convié Franco et Marie Houdin de la Cie Engrenage pour lancer leur bal Funk nommé "I feel good" en hommage à James Brown. Espace d'expression et d'exploration des danses funkstyle, les consignes sont simples : suivez le guide, calez votre pas sur le mix de DJ Freshhh & feel good !

>> Tarif : 5€ - infos et réservations au Triangle et vente sur place.

Gratuit pour les danseurs ayant participés au Battle



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J E U D E S O C I E T E / E X P O S I T I O N

20 avril > 7 juillet

Portraits de familles / Sténopés Association Oscura / Anne-Sophie Boivin et Elisabeth Towns

Exposition proposée par Oscura à partir d’un atelier de quatre semaines dans le cadre de la manifestation Le sténopé, un procédé photographique, le monde par le trou d’une aiguille. Installée sur les pelouses près de la station de métro, la caravane transformée en sténopé géant devient un espace de création et de rencontre pour les habitants du Blosne. Anne Sophie Boivin et Elisabeth Towns de l’association Oscura accueillent les participants à l’atelier pour un long moment de découverte du sténopé. La simplicité du dispositif (un trou d’aiguille dans une boite en fer) et sa dimension ludique en font un support pour un apprentissage du procédé photographique. Elles impliquent les familles, parents, enfants, amis, collègues...,

« les font passer du statut de photographes à celui d’interprètes de leur pratique pour les faire devenir acteur de

leur image ». Les portraits nous les découvriront par un jeu de société. Ce jeu de 7 familles se déclinera sous différentes formes pour donner à voir une représentation des uns et des autres. Cet ensemble atelier/exposition est réalisé en collaboration avec le Centre social Ty Blosne.

Oscura : www.vuesimprenables.com

>> Entrée libre


http://www.vuesimprenables.com/�


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D A N S E

Mercredi 20 avril 20h

Constellation Consternée

Thomas Lebrun / Cie illico Composé de trois solos : Gwiada, L’étoile jaune et Le temps de briller, d’un duo : Eclats de simulacre, et d’un quintette : Fulgurances céans, cette constellation consternée décline avec sensibilité la métaphore de l’étoile. Thomas Lebrun aborde les thèmes de la disparition d’un être aimé, du souvenir, de la gloire passagère, des conséquences d’une folie, du chemin de l’acceptation, de la peur, de l’illusion, de l’espoir, de la croyance… A chacun sa manière d’être danseur ou étoile.

Thomas LEBRUN Il interprète pour les chorégraphes Bernard Glandier, Daniel Larrieu, Christine Bastin, Christine Jouve ou encore Pascal Montrouge, fonde la compagnie Illico en 1998, suite à la création du solo Cache ta joie !. Implanté en région Nord – Pas de Calais, il fut d’abord artiste associé au Vivat d’Armentières (2003-2005) avant de l’être – depuis 2006 – auprès de Danse à Lille / CDC. On prendra bien le temps d’y être, La Trêve(s), Les Soirées What You Want ?, Switch, Itinéraire d’un danseur grassouillet et La constellation consternée, sont autant de pièces que d’univers et d’esthétiques explorés, allant d’une danse exigeante et précise à une théâtralité affirmée. Thomas Lebrun signe également plusieurs co-écritures, notamment avec le chorégraphe suisse Foofwa d’Imobilité (Le show / Un twomen show) et la chorégraphe française Cécile Loyer (Que tal !), et donne une place forte à l’enseignement (Centre National de la Danse de Pantin et de Lyon, Ménagerie de Verre, Conservatoire National de La Rochelle, Balletéatro de Porto, etc.) Il chorégraphie également pour des compagnies à l’étranger, comme le Ballet National de Liaonning en Chine, le Grupo Tapias au Brésil (un solo et – en 2009 dans le cadre de l’Année de la France au Brésil – un quintette), et dernièrement pour Loreta Juodkaité, danseuse et chorégraphe lituanienne, dans le cadre de l’édition 2009 du New Baltic Dance Festival de Vilnius et de l’opération FranceDanse Vilnius organisée par CulturesFrance (Vilnius, Capitale de la culture 2009).

Gwiazda Solo – 2008 - 18 min Interprétation Anne-Emmanuelle Deroo / chorégraphie : Thomas Lebrun / chant live: Emeline Deroo / musique Seb Martel, avec l’aimable participation de Vincent Segal et Greg Szlapczynski, Nick Cave / création lumière : Jean-Marc Serre / costume : Jeanne Guellaff Le temps de briller Solo – 2008 - 10 min interprétation Raphaël Cottin / chorégraphie : Thomas Lebrun / musique Jean Sibélius - La Valse Triste / introduction musicale David Moreau / création lumière Jean Marc Serre / costume Jeanne Guellaff Éclats de simulacre Duo – 2009 -18 min interprétation Anthony Cazaux et Claudia Miazzo / chorégraphie : Thomas Lebrun / musique création originale de David Moreau, pièce pour orchestre et courants électriques. / poème d’Adolf Böttger, Du Klarer stern, lu par Agnès Olier / création lumière Jean Marc Serre / costume Jeanne Guellaff Fulgurances céans Quintette – 2010 - 25 min interprétation Anthony Cazaux, Raphaël Cottin, Anne-Emmanuelle Deroo, Anne-Sophie Lancelin, Claudia Miazzo / chorégraphie Thomas Lebrun / musique introduction Benjamin Britten, Serenade for Tenor. / création originale de David Moreau, pièce pour orchestre et voix enregistrées (cor solo Jean-Jacques Justafré, hautbois et cor anglais, solo François Xavier Bourin) / création lumière Jean Marc Serre / costumes Jeanne Guellaff L’étoile jaune Solo – 2008 - 10 min interprétation Anne-Sophie Lancelin / chorégraphie Thomas Lebrun / musique Samuel Barber - Adagio for Strings / création lumière Jean-Marc Serre / costume Jeanne Guellaff

>> Plein tarif : 16€ / tarif réduit : 11€ / tarif enfant –de 12 ans : 6€

Durée : 1h20



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D A N S E

17 > 21 mai

Agitato

Festival de danse et des arts agités Après l’exceptionnelle expérience d’AGITATO 2010, nous ne pouvons interrompre le mouvement. Les questions

abordées n’ont eu que des réponses partielles. Faut-il libérer les prix ? Le MP3 expériment est-il le bon moyen

pour aborder la danse ?

Une chose est certaine : le public et les artistes en redemandent… AGITATO 2011 est donc indispensable. La

tendance est à la participation, aux déplacements dans la ville, aux surprises « expérimentales », … Malgré les difficultés, nous avons le désir d’affirmer AGITATO comme étant lieu et temps de créations. D’ores et déjà des projets se précisent : Benoît Sicat et Gwenaelle Rébillard proposeront un prolongement/développement des jardins AGITATO avec

« action démottage ». Julien Jeanne, danseur-performeur au parcours éclectique, nous invitera à entrer dans sa « forme dansante

aléatoire », Un effleurement.



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Direction : Charles-Edouard Fichet

Contact presse Nadia Elhadi : 02 99 22 27 04 [email protected]

Bd de Yougoslavie – BP 90160- 35201 Rennes cedex 2. Métro : station Triangle

Tél: 02 99 22 27 27. www.letriangle.org //email : [email protected]


Documents

Dossier de presse 2010 / 2011