Éditions des Sables

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Éditions des Sables

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ÉDITIONS DES SABLES

Catalogue 1987-2021

Fondées le 26 juin 1987 à Genève, les Éditions des Sables veulent encourager les écrivain-e-s de Suisse romande et des pays francophones dont les œuvres sont en recherche (sur la langue, la forme, les idées), y compris celles et ceux qui n’ont encore jamais publié. Nos éditions privilégient la poésie (plus de la moitié des parutions).

Elles s’intéressent aux différents genres, auxquels elles ont réservé pour chacun un nom de col-lection :

− Rose des sables pour la poésie − Château de sable pour les œuvres de fiction − Sablier pour le récit − Alluvions pour l’essai − Arène pour le théâtre − Pâté de sable pour les livres destinés aux enfants − Limon pour les ouvrages pédagogiques − Sable noir pour les policiers Tous ces noms sont en relation avec le concept de base : « Éditions des Sables », qui signifie à

la fois la présence éternelle de cette matière sur terre et l’éphémère de l’écrit. Elles ont fêté leurs 30 ans en 2017 en organisant de nombreuses manifestations durant toute

l’année : une dizaine de nouvelles parutions, des lectures en différents endroits (dont le Cimetière des Rois), des balades littéraires par les auteur-e-s sur leur lieu de vie ou d’histoire, une exposition-vente aux enchères, un concours, des picoulets, etc.

La fondatrice, Huguette Junod, est née à Genève. Dès l’âge de 12 ans, elle publie des contes pour enfants et depuis ses 17 ans, pratique le journalisme libre pour différents journaux. Elle ob-tient une licence ès lettres (1970). À partir de 1968, elle enseigne le français au Cycle d’orientation puis à l’École de commerce de Malagnou, devenue Collège Émilie-Gourd. Elle anime des ateliers d’écriture aux Études pédagogiques de l’enseignement primaire, à la Maison de la culture de Saint-Gervais puis au Mouvement des aînés (MDA). Elle participe à des marathons d’écriture et organise diverses manifestations culturelles. Son travail de diplôme 3e Cycle « Études genre », porte sur le sexisme des manuels scolaires utilisés à Genève (1998). Elle a conçu un guide méthodologique, Si les femmes nous étaient contées…, destiné aux professeur-e-s du post-obligatoire (7 documents, 700 pages, DIP 2005).

Passionnée par la Grèce, elle y retourne chaque année depuis 1980, apprend le grec et revient de ses séjours avec une moisson de poèmes.

Perséphone, Ariane puis Médée l’ont habitée pendant des années, la poétesse interprète les mythes en se mettant à la place des héroïnes.

Huguette Junod a obtenu le Prix des Écrivains genevois de poésie 2008 pour Le Choix de Médée. À ce jour, elle a publié une vingtaine d'ouvrages.

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Rubriques

POÉSIE ................................................................................................................................. 6 ROMANS ET NOUVELLES .................................................................................................. 34 RÉCITS ............................................................................................................................... 42 JEUNESSE ........................................................................................................................... 47 ESSAIS ................................................................................................................................ 49 PÉDAGOGIE ...................................................................................................................... 50

Index des titres et auteurs cités

365 ¼, 9 À en crever le ciel, 42 À la fenêtre des jours et des nuits, 18 Angèle n’a pas de sex appeal et craint pour ses ailes,

23 Araignée à la petite semaine, 14 Asters et Zébrures, 45 Astre-Démoulin, Marie-José, 43 Au fil des jours, 12 Au large du vent, 31 Aubes musicales aux Bains des Pâquis (2009-

2016), 20 Aux marges du jour, 27 Baggiolini, Gabriella, 7, 9, 14, 20 Bema, Timba, 6 Berthod, Nathalie, 6 Bestiaire intime, 22 Brindilles, 13 Buchs, Dario, 22 C’était le mois de taille, 30 Cafard et boule de gomme, 37 Calvo, Alain, 19 Cazador, Laura, 11 Ceci n'est pas un livre, 46 C'est comme la bicyclette, ça ne s’oublie pas, 40 Chantent les mots, 10 Ciel vagabond, 28 Clair-Obscur, 9 Co-errances, 15 Cohen, Catherine, 43, 47 Confession d’une dyslexique, 45 Confettis, 18 Constantin, Philippe, 26 Cuénod, Jean-Noël, 12 D’abeille à zèbre, 48 D’ailleurs les gens, 38

d’Andrès, Gilles, 34 D’horizons en émotions, 10 Dans l’escarcelle du vent, 20 Dans le sillage de mon corps, 30 Dans les Sporades, 31 De cinq à sept sur le canapé orange, 40 De mes dunes à tes flancs, 16 De mort vive, 28 Denervaud, Jean-Marc, 15, 24, 28 Deshusses, Mathias, 44 Desnuelles, Pauline, 38 Desplos, Marc, 7 Devenir paysage, 15 Doppenberg, Rolf, 24 Druc-Vaucher, Claire, 36, 37, 38, 39 Dry Day, 26 Dunant Gonzenbach, Anouk, 19, 49 Duret, Patrice, 29 Dutoit, Olivier, 34 En attendant le poème, 11 En pointillé…, 7 Enseignant-enseigné, 49 Envol, 28 Errances, 17 Ex Abrupto, 42 Ex Nihilo, 21 Fasciani, Vince, 8, 10 Favre-Prinet, Françoise, 6, 12, 17 Fiedler, Heike, 8, 11 Fornelli, Jean-Luc, 21 Gaillard, Alexandre, 49 Gandois, Bénédicte, 17 Genève Émois, 43 Gennai, Meloe, 23 Gens des villes Gens des îles, 40 Gfeller, Miriam, 42

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Godel, Vahé, 31 Golay, Éric, 39 Goumaz, Gaston, 49 Grains de sable, 42 Ignorance, 37 Il n’arriverait jamais rien qu’en passant, 17 Il s’agit de ne pas se rendre, 49 Instantanés d’une société (2000-2017), 21 Jaquier, Pierre, 20 Je de mots, 8 Je suis venu te dire, 49 Je voltige par-dessus la tristesse, 8 Jeux de Miroirs, 41 Joye, Regina, 18 Junod, Huguette, 9, 15, 20, 25, 29, 30, 31,

32, 41, 42, 45, 46, 48, 50 Jusqu’aux entrailles, 9 L’Anthologie des Sables, 25 L’emprise du banian, 34 L’île de sable, 48 L’œil vert du Rouquin, 39 L’univers en miettes, 23 La belle rousse, 34 La chasse aux nuages, 47 La complainte des animots, 13 La Dague, 39 La lampe de Nuinoire, 47 La traversée bleue, 30 Le 2 septembre 2003, 34 Le bocal aux papillons, 35 Le bois de grenadille, 12 Le cinquième élément, 29 Le cortège nuptial de la renarde, 6 Le goûter rue Paradis, 43 Le pli de l’éléphant, 26 Le Retour de Perséphone, 32 Le revenant du Louvre, 38 Le secret d’Yvette, 35 Le Théâtre de l’Aube, 41 Le Train, 19 Le verbe froissé, 25 Le vieux du 6e, 37 Les Aspirations d’un Aspirateur, 41 Les enfants de la douleur noire, 39 Les jolis ateliers d’écriture, 50 Les mots cailloux, 38 Les mots de tout au fond, 19 L'escargot dans son arrosoir, 22 Liam, 35 Liam, 37 Lloret, Véronique, 30

Lumineau, Thierry, 22 Magnat, Benoist, 23 Magnenat, René, 34, 37, 47 Mai 68 et après ? (vol. 1), 45 Mai 68 et après ? (vol. 2), 44 Maman, je veux retourner dans tes entrailles, 36 Marquart, Isabelle, 44 Marquise de Montesson, femme de lettres oubliée, 36 Martin, Anne C., 38 Mémoires des corps insurgés, 11 Mémoires ontologiques, 24 Menstrues, 26 Mercier, Bruno, 11 Métral, Nicolas, 41 Metzger del Campo, Stéphanie, 24 Milhit, Pierre-André, 14 Mission au Darfour, 44 Monnet, Marthe Marie, 35, 36, 39, 40, 43 Mugny, Patrice, 22, 26 Nagori ou l’empreinte des vagues, 7 Nouvelles du divan, 37 Nue, 32 Oriol, Amanda, 45 Où sont passées les odeurs des foins …, 20 Oymak, Meliké, 36 Parlatano, Sophie, 7, 13, 16 Parles-tu la langue ?, 6 Parmelin, Jean-Claude, 27 Pas le temps de courir, 25 Passages, 24 Pasteur, Olivier, 15, 21, 42 Perroton-Brekalo, Mladenka, 17 Petites Annonces pour Grand Amour, 46 Pipeau le petit bélier, 47 Pixel Corazón, 29 Plus rien à perdre, 16 Poésie de gare, 21 Poget, Pierrine, 30 Points d’ancrage, 8 Portraits contemporains (1960-2015), 27 Praz, Narcisse, 13 Prédelle, bandeau & Cie, 16 Qu’importe le vent, 19 Quais de vie, 14 Quand la terre sera blanche, 32 Que l’instant s’abandonne, 29 Qui a éteint le Feu ?, 12 Rastogi Mayor, Swati, 47 Retard, 26 Reymond, Aline, 12 Rhône blanc, 22

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Rien (ou presque), 31 Rindlisbacher, Renaud, 13, 18 Riondel L’Huillier, Solam, 10 Robert, Jean-Daniel, 16 Roguin (de), Stéphanie, 9, 19, 25 Roubaudi, Françoise, 41 Roue à aubes, 15 Roulin, Dominique, 25 Sans miel sans fiel, 14 Sauver la ville, 6 Sel de nos veines, du Moriah à la Mer morte, 24 Semaisons de silences, 13 Simplement comme c’est, 10 Sous la craie du ciel, 26 Speer, Linda, 26 Sur le vif, 27 Sur les rives du Simoïs, 17

Tatzber, Leyla, 16 Temps, intempérie, tempérament, 23 Termini, Marie, 10, 21 Thévoz, Sylvain, 22, 28 Trajet Éphémère, 19 Turbulences de voisinage, 35 Un si séduisant facteur, 36 Une calligraphie pour guérir, 11 Une chienne de belle vie, 44 Une couronne de feuilles rouges, 18 Une seule plume suffit, 7 Ventre vide, 38 Vernay, Éliane, 27, 28, 29, 31, 40 Voyage imprévu en Hémiplégistan, 43 Waeber, Bernard, 8, 14, 18, 47 Xambeu, Cécile, 23 Yamuna et le mystère de la perle bleue, 47

POÉSIE

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Poésie

Parles-tu la langue ? – Nathalie Berthod Coll. « Rose des Sables »

Parles-tu la langue ? Mais quelle langue ? Une langue universelle. Nathalie Berthod part à la quête des rêves, des amours et des mots pour les dire… Elle cherche les ponts, les ailes, les frontières, une terre sous ses pieds, elle se déplace avec lenteur entre les images, les sons, les odeurs, parfois les douleurs. Tout se mélange sur la toile de la vie, où elle aime se perdre pour tout recommencer.

Octobre 2021, 56 p. 25 CHF

Sauver la ville – Timba Bema Coll. « Rose des Sables »

Après un long séjour à l’étranger, sa mère, devenue aveugle, apprend au héros que Moukem, son ami d’enfance, a été lynché pour avoir volé des chaises en plastique. Comment une ville peut-elle tuer ses propres enfants ? se demande-t-il. Sur un monoï, le pélican, gardien de la ville, lui confie une mission : trouver avant l’aube une âme pure, sinon celle-ci sera détruite. Parviendra-t-il à sauver la ville ? Dans cette odyssée poétique, Timba Bema postule que la beauté peut sau-ver le monde, car elle rappelle aux humains qu’ils possèdent une âme, un principe qui n’est pas régi par les lois de la nécessité.


Le cortège nuptial de la renarde – Françoise Favre-Pri-net Coll. « Rose des Sables »

Le cortège nuptial de la renarde désigne en japonais la pluie qui se met à tomber soudainement alors que le soleil brille. En japonais, mais aussi dans toutes les contrées du monde : une rencontre im-possible, une alliance improbable, l’exceptionnelle fugacité d’un pro-dige, l’éblouissante majesté de la simplicité. C’est ce que guette Fran-çoise Favre-Prinet. La poésie commence dans son silence, dans son souffle. Son regard lie ou délie, rejoint ou disjoint et cueille toutes les lumières.


POÉSIE

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En pointillé… – Gabriella Baggiolini Coll. « Rose des Sables »

Gabriella Baggiolini cherche un espace de poésie, une terre promise où elle aimerait être une rose des sables, une fleur, un oiseau, un écureuil pour l’affleurement du vent, pour vivre des caresses comme une pluie de paradis, pour inventer une partition de chants d’allé-gresse, de rires, de graines à essaimer… Joie en pointillé, symphonie d’un nouveau monde.


Nagori ou l’empreinte des vagues – Marc Desplos Coll. « Rose des Sables »

Ce recueil poétique et philosophique propose une odyssée contem-poraine, plongeant dans les méandres du temps et du souvenir, et faisant écho aux vingt-quatre chants de l’Odyssée d’Homère. Et puisque la nostalgie passe par l’évocation sensorielle, les textes sont accompagnés d’illustrations de César Lador, qui permettent une rê-verie supplémentaire. Elles témoignent ainsi d’une amitié, nostal-gique, de deux copains d’enfance, séparés par les mers et les conti-nents depuis près de vingt ans.


Une seule plume suffit – Sophie Parlatano Coll. « Rose des Sables »

Prise dès son plus jeune âge par un amour immodéré des oiseaux, la poétesse s’interroge sur le chant, le nid, l’envol et se demande «ce qui reste de l’oiseau dans l’homme». Son recueil mêle poèmes courts et proses poétiques, au nom de ces «quelques grammes de plumes» qui peuvent «changer la face du monde». Remontant à son enfance, la poétesse se souvient des premiers coups de cœur pour les oiseaux observés depuis le balcon familial : le troglodyte, le rouge-gorge, la hulotte, l’épervier et tant d’autres. Écrire, c’est finalement peut-être «couver des rêves graciles et mimer un nid avec sa paume».

Juillet 2021, 65 p. 25 CHF

POÉSIE

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Je de mots – Heike Fiedler Coll. « Rose des Sables »

«Introduire un sampling, un remix…», peut-on lire en ouverture du recueil. À l’instar d’une démarche empruntée au monde de la mu-sique et à certains courants poétiques, les poèmes Aquarius et Ici Miroir sont composés à partir de fragments trouvés dans le quoti-dien Le Courrier et dans des livres de poésie. Les autres textes sont construits à partir des mots de nos langues, transformés en poésie, parfois en prose. L’auteure plonge, essaie de toucher les profon-deurs, à la lumière et dans l’écho des reflets alentours, telle la ca-verne de Platon ou la photo de couverture. Innovation et tradition littéraire se croisent et s’entremêlent, pour ne pas oublier, pour «se souven…».

Juillet 2021, 100 p. 25 CHF

Je voltige par-dessus la tristesse – Vince Fasciani Coll. « Rose des Sables »

La poésie de Vince Fasciani est une quête perpétuelle du sens, sens de la vie, de l’amour, de l’émotion, de la poésie. Il se pose des ques-tions sur l’homme, le temps, l’imagination. Toujours sur le point de faire ses valises, le poète s’accroche au quotidien pour tenter de vivre ou de survivre. Il regarde avec « des yeux de sable » et écoute avec « des oreilles de silence ». Malgré les moments de joie ou de bonheur, ses yeux « sont à la merci de larmes intarissables ».

Avril 2021, 96 p. 25 CHF

Points d’ancrage – Bernard Waeber Coll. « Rose des Sables »

Dénommer ce recueil « Points d’ancrage » n’est pas le fruit du ha-sard. C’est l’expression d’un attachement très fort à la vie, à l’amour et aux liens privilégiés qui unissent l’homme à ce qui l’entoure. Et de la mort aussi, il est beaucoup question, tellement elle fait partie de la vie. Pour le poète, les êtres et les choses ont ici une égale dignité, ce qui leur permet de se parler et de si bien se comprendre.

Mars 2021, 82 p. 25 CHF

POÉSIE

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Jusqu’aux entrailles – Stéphanie de Roguin Coll. « Rose des Sables »

Dans son troisième recueil, plus personnel que les précédents, Sté-phanie cherche à relater les questionnements et les ressentis d’une femme de plus de trente-cinq ans qui n’est pas encore mère, tiraillée entre son besoin de liberté et le poids des conventions sociales.

Mars 2021, 84 p. 25 CHF

365 ¼ – Huguette Junod Coll. « Rose des Sables »

Écrire un poème par jour pendant une année est un projet que je porte depuis 1983, mais je n’ai pas pu l’achever. À la place, j’en ai sé-lectionné 52, un par semaine, censés répondre aux événements na-tionaux et internationaux que je relevais. Ce fut 1985, une autre ré-ponse, publié début 1986 par les éditions Eliane Vernay. Mais l’idée de parcourir toute une année avec un poème par jour ne m’a pas quittée et j’ai fini par la réaliser dans 365 ¼. Le dernier, écrit après le 31 décembre, représente les 6 heures supplémentaires de l’année so-laire. Il constitue un bilan de l’histoire d’amour dont les vers de la dernière année transcrivent ses hauts et ses bas, avant de mal finir, contrairement aux contes de fées.

Décembre 2020, 110 p. 25 CHF

Clair-Obscur – Gabriella Baggiolini Coll. « Rose des Sables »

Dans ce « clair-obscur », Gabriella Baggiolini, à travers les petits riens de la vie quotidienne, recherche la lumière, la vie sous toutes ses formes, dans son jardin, les champs, la forêt, ses promenades. Elle se voudrait aussi libre que les oiseaux qui peuplent ses jours, elle se réfère à leur « prière » pour l’inaccompli de ses rêves. Mais la force des mots ravive les souvenirs, transmet les émotions, la « splendeur de l’éternel présent ».


POÉSIE

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D’horizons en émotions – Marie Termini Coll. « Rose des Sables »

Ce recueil nous convie à explorer différentes facettes de l’éva-sion : du voyage d’agrément à celui contraint par l’émigration, en passant par la découverte de l’intime, toutes les conditions sont réunies pour voyager par l’écriture. Car les plus belles évasions et les explorations les plus profondes sont celles que nous faisons grâce à la Poésie.


Simplement comme c’est – Vince Fasciani Coll. « Rose des Sables »

Fait partie de la réalité dans sa totalité pleine et entière tout ce qui existe et produit des effets : simplement comme c’est. Ce poème a d’ailleurs une réalité au même titre que n’importe quel objet matériel, des vers à arracher à la page, l’un après l’autre, jusqu’à extinction des feux.

Novembre 2020, 84 p. 25 CHF

Chantent les mots – Solam Riondel L’Huillier Coll. « Rose des Sables »

Paroles de chansons, poèmes aux pieds faits de notes qui invitent les syllabes à danser, ordonnent les rimes sur les crêtes des mélo-dies et déposent aux rives blanches des pages de cet ouvrage des mots encore palpitants, prêts à de nouveaux élans dans les mu-siques intérieures de ceux qui les liront …

Juin 2020, 90 p. 25 CHF

POÉSIE

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Mémoires des corps insurgés – Laura Cazador Coll. « Rose des Sables »

Ce recueil retrace en vers le parcours initiatique d’une jeune femme entre deux îles, de 2003 à 2020. De la Suisse encerclée par les montagnes en plein milieu du Vieux continent à Cuba ceinte par les eaux à quelques kilomètres du Big Brother, le début du 21ème siècle dépose ses empreintes sur celles et ceux qui y bai-gnent. À la croisée de ces expériences intimes et géo-politiques surgit la poésie des corps insurgés.

Juin 2020, 90 p. 25 CHF

En attendant le poème – Heike Fiedler Coll. « Rose des Sables »

Ce recueil réunit des textes écrits sur plusieurs années, aux styles et sujets variés. Des poèmes urbains, d’autres qui parlent de violences conjugales, poèmes de voyage, poèmes érotiques, dont certains ont déjà été présentés en public. J’y dévoile une intériorité, une subjec-tivité assumée, que j’ai envie de partager, pour vous entraîner dans le monde de mes textes spoken word et de mes poèmes, parfois courts comme des haïkus…

Juin 2020, 104 p. 25 CHF

Une calligraphie pour guérir – Bruno Mercier Coll. « Rose des Sables »

Dans Une calligraphie pour guérir, la plume caustique du poète nous fait voyager à travers le monde, de l’Algérie à Ostende, du Portugal à Berlin, de la Palestine à Ljubljana, de Londres à Bagdad, sans oublier la Suisse. Toujours à la recherche de la liberté, quand elle est bafouée, de l’humain, quand il est outragé, Bruno Mercier s’en prend aux dictateurs et à ceux qui empêchent le monde de tourner en rond. Un recueil qui remet les idées en place.

Juin 2020, 86 p. 25 CHF

POÉSIE

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Au fil des jours – Aline Reymond Coll. « Rose des Sables »

Aujourd’hui, je me sens… fière, triste, insouciante, inquiète, rê-veuse… Cela commence en hiver, au moment de la rupture, de l’absence. Quand il fait froid au-dehors, on se rassemble au-dedans et c’est ce que l’auteure a fait, mettant en mots jour après jour les émotions qui tissent le fil de sa vie. Une palette contrastée où la joie, capable de se nourrir d’infimes détails, toujours refait surface. Un livre à savourer par petites touches, à oublier sur une table, au fond d’un sac, à laisser ouvert sur une saison, une image, une émotion.

Juin 2020, 92 p. 25 CHF

Qui a éteint le Feu ? – Jean-Noël Cuénod Coll. « Rose des Sables »

« Qui a éteint le feu ? » La tribu des humains dresse ce sinistre constat. Le feu qui les rendait frères et sœurs n’est plus qu’un amas de cendres froides. Recherche du coupable dans les 4 points cardinaux. Mais qui est coupable, en vérité ? L’enquête va se muer en quête vers le Vrai Feu. Long parcours au cours duquel le pou-voir incarné par les hommes devra rendre gorge. Les Sorcières, qu’ils avaient brûlées jadis, renaissent de leurs cendres par le souffle de Christ-Femme. Le temps des hommes s’est achevé. Ce-lui des femmes commence. Ou plutôt recommence.

Mars 2020, 122 p. 25 CHF

Le bois de grenadille – Françoise Favre-Prinet Coll. « Rose des Sables »

C’est un bois précieux, la grenadille, un haut bois d’amour lorsque oragé, brisé, tombé à terre, un cœur patient va le porter, l’ouvra-ger, pour enchanter le quotidien, le tourner, le chantourner jusqu’au souffle puissant et gracieux. J’ai sève d’arbre moi aussi… Aubier de grenadille. Que danse la vie dans ses plus simples atours.

Mars 2020, 54 p. 25 CHF

POÉSIE

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Semaisons de silences – Sophie Parlatano Coll. « Rose des Sables »

« J’essaie de te le dire : tout un pan de ton cœur pousse contre ma poitrine ». Une voix tente de dire toute l’ampleur de son amour à un « tu » dont on sait bien peu de choses : qu’il est « jardin cou-vert de neige » et que ses mots sont « des petits pains de mie ». Cet amour teinté de deuil comme d’espoir, la langue poétique le relève de l’ombre en se faisant « pleine présence pétrie au levain de l’absence ».

Mars 2020, 104 p. 25 CHF

La complainte des animots – Narcisse Praz Coll. « Rose des Sables »

Comme La Fontaine, Narcisse Praz utilise les animaux pour leur faire dire des « mots ». Il dresse ici le procès des humains, qui se comportent mal, font souffrir, avilissent les animaux, provoquent des guerres.

Mars 2020, 78 p. 25 CHF

Brindilles – Renaud Rindlisbacher Coll. « Rose des Sables »

Dans ce second recueil, composé de courts poèmes, Renaud Rin-dlisbacher cueille les pépites des saisons, les étoiles de la nuit, les murmures du silence et les empreintes du cheminement intérieur. Sa poésie est une quête, celle d’aller chercher, dans la fourmilière de l’instant, les brindilles de l’essentiel.

Mars 2020, 98 p. 25 CHF

POÉSIE

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Quais de vie – Bernard Waeber Coll. « Rose des Sables »

Nous vivons tous sur un quai, dans l’attente de quelqu’un ou de quelque chose. C’est le « Quai de vie », tel que le présente Bernard Waeber dans ce recueil de poèmes qui reflète son vécu, ses pen-sées et ses regards sur l’homme, le monde et la nature. Une poésie pleine de bon sens qui aborde les problèmes de chacun d’entre nous en surfant sur les images. L’enfance, l’amour et la vieillesse y tiennent une place prépondérante et sont abordés avec simplicité, sensibilité et humour.

Mars 2020, 94 p. 25 CHF

Araignée à la petite semaine – Pierre-André Milhit Coll. « Rose des Sables »

Ce texte est un long poème, poème-ritournelle ou suite de poèmes semblablement construits avec des contraintes structu-relles. Il y a un tableau qui évolue au fil des pages, il y a des arai-gnées qui font digression, il y a un homme qui le hante, la posture du poète et une pensée qui émerge et qui fait office de relance pour le texte suivant.


Sans miel sans fiel – Gabriella Baggiolini Coll. « Rose des Sables »

Gabriella Baggiolini nous livre un deuxième recueil de poèmes. Elle a troqué les trois vers pour des poèmes plus longs, présentés par thèmes. Toujours proche de la nature, qui a le pouvoir de « réenchanter l’horizon », elle se voit « glaneuse au panier percé » à la recherche de rêves et de chimères, souhaitant « capturer la cou-leur du ciel ». Dans son impatience de vivre et sa quête d’un « goût de renouveau », elle fait rejaillir son rire d’enfant. Elle rend grâce à « la force du verbe » et à l’écriture, son sang.


POÉSIE

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Devenir paysage – Jean-Marc Denervaud Coll. « Rose des Sables »

Dans Devenir paysage, on retrouve les thèmes chers à Jean-Marc : la connivence avec la nature, l’importance des paysages, le chemin à suivre, la lumière, le ciel, la mer. Il aimerait « suivre les nuages », « parler avec les pins », « se nourrir d’horizon ». Pour lui, le ciel se penche, et l’écoute, la mer se respire. À la poursuite de son rêve, le poète veut habiter l’instant, et l’écrire.

Mars 2019, 96 p. 25 CHF

Co-errances – Olivier Pasteur Coll. « Rose des Sables »

Dans ces « co-errances », l’auteur nous livre une correspondance imaginaire entre deux jeunes poètes. À cœur ouvert, à corps perdu, leurs mots viennent se briser sur la grève et le vent se charge d'entretenir leur flamme, car nul n'est plus là pour souffler sur les braises de leur amour vivant qui ne veut pas mourir.

Mars 2019, 86 p. 25 CHF

Roue à aubes – Huguette Junod Coll. « Rose des Sables »

Poèmes de fusion et de solitude, d’espoir et de nostalgie, Roue à aubes nous parle du temps, de l’amour, de la sensualité, de l’Autre, en une quête passionnée qui s’étend au fil des jours et des nuits, des semaines, des mois et des saisons …

Mars 2019, 78 p. 25 CHF

POÉSIE

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Plus rien à perdre – Sophie Parlatano Coll. « Rose des Sables »

Sophie Parlatano sait écouter ce qui l’entoure, afin de le restituer au plus près d’elle-même, dans le silence. Elle s’interroge sur cette transmutation, elle cherche « une langue qui soit à la fois le pain et la mie », elle part à la quête des origines, du « chuchotement bleu de nos mères ». Par l’écriture, elle apprend la patience, l’hu-milité, mais rêve de « voir des ailes dans l’encre » et de « faire corps avec le ciel ».

Mars 2019, 58 p. 25 CHF

De mes dunes à tes flancs – Leyla Tatzber Coll. « Rose des Sables »

Des sables originels aux pics des montagnes helvétiques, elle compile les fragments d’un parcours entre sa Suisse intense et sa Kabylie ancestrale.

Mars 2019, 72 p. 25 CHF

Prédelle, bandeau & Cie – Jean-Daniel Robert Coll. « Rose des Sables »

Prédelle, bandeau & Cie est une intériorisation poétique de ce qu’on peut voir à l’église de St-Hugues-de-Chartreuse – et son musée contemporain consacré au peintre Arcabas –, avec le voyage pour s’y rendre.

Mars 2019, 86 p. 25 CHF

POÉSIE

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Errances – Mladenka Perroton-Brekalo Coll. « Rose des Sables »

Errance et Pays, Errance à Deux, Errance et Moi, Errance et Mots sont les sous-titres de ce recueil, qui cherche à comprendre où l’on se retrouve et où l’on commence à se perdre. C’est une quête de soi par la poésie, « ce container de Dieu et de la Mort », où elle a quelque chose à nous dire, « ça coince dans la bouche, ça fourmille dans le lobe ». Les mots sont des explosifs.

Mars 2019, 68 p. 25 CHF

Sur les rives du Simoïs – Bénédicte Gandois Coll. « Rose des Sables »

Sur les rives du Simoïs est une invitation à suivre les empreintes laissées dans notre mémoire par ces héros et ces héroïnes qui nous hantent depuis toujours. Héros de la Guerre de Troie et d’autres mythes fondateurs, leurs voix s’élèvent et s’entremêlent, dans des récits poétiques qui laissent surgir leurs regrets, leurs doutes mais aussi leurs espoirs. Et trouvent un écho dans notre monde moderne.

Mars 2019, 92 p. 25 CHF

Il n’arriverait jamais rien qu’en passant – Françoise Favre-Prinet Coll. « Rose des Sables »

Ces petits textes sont autant de lettres brèves, vécues, échangées, envoyées à tout ce qui n’arrive qu’en passant, l’accueil fulgurant d’un signe qui met sens dessus dessous le sens établi des choses, une mesure sans mesure autre que l’unique qui ne vient qu’une fois. D’un printemps à un hiver, d’un jour à l’autre, l’extraordi-naire joue l’anodin, nous tourne la tête, se mêle à notre histoire.

Mars 2019, 90 p. 25 CHF

POÉSIE

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À la fenêtre des jours et des nuits – Bernard Waeber Coll. « Rose des Sables »

La poésie de Bernard Waeber est un questionnement sur la vie et la mort, sur le temps qui passe, la mémoire, le destin, le bien et le mal. Elle est en quête de l’âme sœur parmi les paysages, les oiseaux, les enfants, sur « les plages mouvantes des jours et des nuits ». Dans la 2e partie, des poèmes de trois vers croquent le quotidien avec un zeste d’humour.

Mars 2019, 100 p. 25 CHF

Une couronne de feuilles rouges – Regina Joye Coll. « Rose des Sables »

Regina Joye écrit sur l’amour, mais aussi sur l’abandon et la soli-tude. Elle a de la tendresse pour les perdants qui doivent des-cendre de leur cheval et mordre la poussière. Le français n’est pas sa langue maternelle. Regina dit se battre avec lui. À la lire, cela ne se voit pas. Elle a un style original et manie la prose poé-tique avec un humour décapant.

Mars 2019, 68 p. 25 CHF

Confettis – Renaud Rindlisbacher Coll. « Rose des Sables »

Dans la poésie de Renaud Rindlisbacher, le cœur est omnipré-sent. Tantôt oiseau, tantôt fleur, ruelle, porte, prairie, boussole, rythme, mélodie, terreau, labyrinthe, il sourit, il est amoureux, il représente la vie. Le poète le porte, le décrit, le cueille, l’ouvre, le butine, le met en lumière...


POÉSIE

19

Le Train suivi de Trajet Éphémère – Alain Calvo Coll. « Rose des Sables »

Alain Calvo écrit dans le train. C’est l’occasion de décrire ce qui défile, avec un regard chaque jour neuf, de faire surgir des sou-venirs, des sentiments, des rencontres. Le poète suggère « la mé-lodie des flocons de nuit », « la fleur sous le visage », « l’histoire qui s’abreuve des distances », « le rapprochement des terres inté-rieures », « une phrase du ciel lue avec curiosité ». Il nous aide à regarder. Suivons-le !


Qu’importe le vent – Stéphanie de Roguin Coll. « Rose des Sables »

Dans ce deuxième recueil de Stéphanie, on retrouve son sens de l’observation, son humour, son désir de retenir les images, le quotidien, les sentiments. Elle s’interroge sur le silence, ce qu’il porte, ce qu’il signifie. Elle va de l’introspection vers les autres, pour essayer de les comprendre, et de les restituer, grâce à la poésie.


Les mots de tout au fond – Anouk Dunant Gonzen-bach Coll. « Rose des Sables »

Poèmes, interrogation sur le sens de la vie en différents lieux.

Septembre 2018, 98 p. 25 CHF

POÉSIE

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Dans l’escarcelle du vent – Gabriella Baggiolini Coll. « Rose des Sables »

Poèmes qui, en trois vers, décrivent avec finesse la nature à chaque saison.


Où sont passées les odeurs des foins … – Pierre Ja-quier Coll. « Rose des Sables »

Poèmes qui questionnent nos constructions culturelles passées et présentes.


Aubes musicales aux Bains des Pâquis (2009-2016) – Huguette Junod Coll. « Rose des Sables »

Choix des haïkus écrits durant les aubes musicales de 2009 à 2016.

Juillet 2018, 176 p. Offert au public des aubes musicales 2018

POÉSIE

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Ex Nihilo – Olivier Pasteur Coll. « Rose des Sables »

Prose poétique, en 40 tableaux. Une femme parcourt, en sens in-verse, les quarante dernières années de sa vie, recherchant un sens à ses rencontres avec les autres et avec elle-même, dans une quête improbable de son double.

Avril 2018, 74 p. 25 CHF

Instantanés d’une société (2000-2017) – Marie Termini Coll. « Rose des Sables »

Poèmes rimés, personnages et situations arrachés à l’oubli.

Avril 2018, 84 p. 25 CHF

Poésie de gare – Jean-Luc Fornelli Coll. « Rose des Sables »

Après les haïkukus suisses, voici Poésie de gare, qui n’est pas du tout pareil, mais qui y ressemble un peu quand même… L’his-toire d'un poète qui (se) donne un spectacle de divertissement francispongien, aux sujets aussi curieux que multiples. Exhila-rant ! Un OLNI, venu en ami, un doux antidépresseur. Jean-Luc Fornelli n’a jamais voulu devenir Nabilla, pompier, docteur, po-licier, voleur, vétérinaire, dentiste, top-modèle, footballeur et, encore moins, astronaute… Ainsi est-il devenu poète. Et c’est déjà pas mal !


POÉSIE

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Rhône blanc – Sylvain Thévoz Coll. « Rose des Sables »

Rhône blanc est un composé poétique qui fait revivre le quoti-dien d’un réfugié sans papiers et sans abri. À Genève, chaque année, des gens se noient dans le Rhône. On incrimine le fleure, rarement la précarité sociale, la pauvreté, l’impasse sociale de ceux qui dorment sur ses rives… Sylvain Thévoz vit à Genève, travaille dans l’action communautaire et mène, en parallèle, une action militante et politique. Auteur de plusieurs recueils de poésie, il coanime un laboratoire d’écriture avec Isabelle Sbrissa.


L'escargot dans son arrosoir – Patrice Mugny et Da-rio Buchs Coll. « Rose des Sables »

Photos de Dario Buchs, poèmes de Patrice Mugny.


Bestiaire intime – Thierry Lumineau Coll. « Rose des Sables »

Poèmes drolatiques sur quelques animaux.


POÉSIE

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Temps, intempérie, tempérament – Meloe Gennai Coll. « Rose des Sables »

Poèmes slam, poésie puissante, souvent désabusée, dont l’hu-mour est le fil rouge.


Angèle n’a pas de sex appeal et craint pour ses ailes – Cécile Xambeu Coll. « Rose des Sables »

Cécile donne à sa poésie des touches d’humour qui font mouche. Elle joue avec les sons et les mots, et crée une tapisse-rie où l’amour ne rime pas avec toujours… puisqu’Angèle craint pour ses ailes !

Avril 2017, 74 p. 25 CHF

L’univers en miettes – Benoist Magnat Coll. « Rose des Sables »

La poésie de Benoist Magnat va toujours à l’essentiel : la relation à l’autre, l’amour, la sensualité. Il part à la recherche de tout ce qui peut en exprimer les subtilités : la nature, les couleurs, le chant des cigales, les orchidées, les alouettes, le vent dans les voiles… Il nous parle de paix, de mémoire, d’humanité. Les mondes sont entrelacés dans un univers que le poète voit en miettes. Mais qu’il reconstitue de poème en poème.

Avril 2017, 86 p. 25 CHF

POÉSIE

24

Mémoires ontologiques – Stéphanie Metzger del Campo Coll. « Rose des Sables »

Poèmes inspirés d’images. Un retour aux origines, à la nature, à travers des thèmes récurrents : la lumière, la rencontre, l’amour, un hymne à « l’allégresse d’exister ».

Avril 2017, 80 p. 25 CHF

Passages – Jean-Marc Denervaud Coll. « Rose des Sables »

Le poète tente de décrire les soixante-quatre moments d’une libre randonnée, de l’appel au nouveau départ, en passant par le péril, le doute, la solitude, la persévérance, le compagnonnage, la contemplation, le détachement, la liberté, la force, le renouveau, le dépassement de soi, moments qu’il veut de partage.

Avril 2017, 80 p. 25 CHF

Sel de nos veines, du Moriah à la Mer morte – Rolf Doppenberg En coédition avec Maelström, Bruxelles, récit poétique.

Avril 2017, 86 p. 25 CHF

POÉSIE

25

Pas le temps de courir – Stéphanie de Roguin Coll. « Rose des Sables »

Poèmes, prix des Écrivains genevois 2016, une poésie hale-tante pour dire « la vie moderne » de la « génération zapette » : les illusions, les peurs, l’ennui, les rêves oubliés, la quête de l’autre, une vie où l’on n’a pas le temps d’aimer…

Mars 2017, 72 p. 25 CHF

L’Anthologie des Sables – Huguette Junod et ses auteur-e-s Poésie & Prose, contient les textes de 28 auteur-e-s des Éditions des Sables, qui fêtent leurs 30 ans en 2017. Un bel âge pour une petite maison d'édition, qui publie plus de poésie que de prose. Une gerbe de 28 fleurs, à découvrir…

Janvier 2017, 228 p. 30 CHF

Le verbe froissé – Dominique Roulin Coll. « Rose des Sables »

Poèmes inspirés par la solitude des grands espaces (l’auteur est guide de montagne), qui aide à se questionner et à question-ner… Le recueil commence par une réflexion sur la poésie, « dernière insoumise ». Dans ses cycles, celle de Dominique Roulin est amoureuse, révoltée, amoureuse, à nouveau révol-tée…


POÉSIE

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Le pli de l’éléphant – Patrice Mugny Coll. « Rose des Sables »

Courts poèmes qui expriment, par une observation aiguë, les sentiments, la vie quotidienne, l’ordinaire et l’extraordinaire, les moments où les choses peuvent basculer, avec quelques touches de nostalgie. Recueil richement illustré par les photos de Dario Buchs


Sous la craie du ciel – Philippe Constantin Coll. « Rose des Sables »

Poèmes qui expriment la Grèce, la mer, les oiseaux, les îles, les bateaux qui les relient, l’amour, les enfants, la maison-refuge, la parole. Un collage de l’auteur en couverture.


Menstrues, suivi de Retard et Dry Day – Linda Speer Coll. « Rose des Sables »

Poèmes, pour dire l’expérience d’une femme, la difficulté de composer avec le quotidien, la quête d’un sens, la volonté d’écrire. L’auteure teste les limites de l’identité féminine.

Avril 2016, 74 p. 25 CHF

POÉSIE

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Portraits contemporains (1960-2015) – Marie Termini Coll. « Rose des Sables »

Poèmes rimés de Marie Termini qui évoquent l’émigration, le monde des affaires, la société, l’amour, le langage.

Avril 2016, 84 p. 25 CHF

Aux marges du jour – Éliane Vernay Coll. « Rose des Sables »

« Chaque mot est une île » écrit la poétesse, qui nous parle du temps et de l’espace, de la parole et du silence, de la vie et de la mort. Le recueil contient une œuvre de 4 illustratrices : Brigitte Crittin, Annie Fayolle Dietl, Renée Furrer, Yannick Bonvin Rey.

Avril 2015, 74 p. 25 CHF

Sur le vif – Jean-Claude Parmelin Coll. « Rose des Sables »

Courts poèmes inspirés par les haïkus pour dire le quotidien, la légèreté.

Avril 2015, 64 p. 21 CHF

POÉSIE

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Envol – Éliane Vernay Coll. « Rose des Sables »

En un long poème, un hymne à la lumière, que la poétesse dé-cline dans toutes les nuances : éblouissement, éclair, murmure ensoleillé, luminosité venue d’ailleurs… Le recueil contient une douzaine d’illustrations en couleur de l’artiste Iris Dwir Gold-berg. Envol a reçu en 2015 le Prix des Écrivains valaisans.

Avril 2015, 58 p. 25 CHF

Ciel vagabond – Jean-Marc Denervaud Coll. « Rose des Sables »

Le poète-philosophe saisit les rythmes de la mer, les nuances de la lumière, le passage des nuages et celui des oiseaux. Il nous fait partager ce ciel qui devient vagabond.

Avril 2015, 98 p. 25 CHF

De mort vive – Sylvain Thévoz Coll. « Rose des Sables »

Une immobilisation forcée et une confrontation à l’inconnu de la mort. Dans ce recueil de poèmes, l’auteur interroge l’être, le désir, le langage, l’inexorable devenir mortel et la vitalité qui l’ac-compagne.

Mars 2014, 94 p. 25 CHF

POÉSIE

29

Que l’instant s’abandonne – Éliane Vernay Coll. « Rose des Sables »

Poèmes sur la fragilité de la vie, des sentiments, de la parole, des saisons, des teintes du ciel et de la mer…

Mars 2014, 70 p. 25 CHF

Le cinquième élément – Huguette Junod Coll. « Rose des Sables »

Recueil de poèmes en 5 parties : air, feu, terre, eau, temps, pour exprimer l’amour.

Mars 2014, 72 p. 25 CHF

Pixel Corazón – Patrice Duret Coll. « Rose des Sables »

Recueil de sizains en deux parties : « Points bleus » en octosyl-labes et « Points rouges » en hexasyllabes : des notations du quo-tidien, teintées d’humour.

Mars 2014, 56 p. 25 CHF

POÉSIE

30

C’était le mois de taille – Pierrine Poget Coll. « Rose des Sables »

Suite de poèmes en 90 tableaux : le récit d’un éternel départ, où chaque poème est un pas en direction d’un nécessaire ailleurs.

Avril 2013, 102 p. 25 CHF

Dans le sillage de mon corps – Huguette Junod Coll. « Rose des Sables »

Poèmes inspirés par plusieurs amants et divers lieux, en trois parties : « Eros », « Cronos », « Thanatos » : l’émerveillement, l’usure du temps, la mort de l’amour.

Avril 2013, 76 p. 25 CHF

La traversée bleue – Véronique Lloret Coll. « Rose des Sables »

Poèmes qui mettent en scène le lac Léman et Genève (notam-ment les bains des Pâquis). Du deuil à la redécouverte d’un lien perdu, grâce à une rencontre « magique » au bord du lac Léman.

Avril 2013, 84 p. 25 CHF

POÉSIE

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Au large du vent – Éliane Vernay Coll. « Rose des Sables »

Poèmes qui sont des allers et retours entre la mer, le regard, le présent, la mémoire. On suit la rage et le désir de la poétesse, son obsession de l’indéchiffrable par la beauté des images.

Avril 2012, 60 p. 25 CHF

Dans les Sporades – Huguette Junod Coll. « Rose des Sables »

Haïkus inspirés par les Sporades, îles situées au nord de l’Eubée, instantanés qui disent l’évanescence des choses et incitent à la réflexion.

Avril 2012, 80 p. 25 CHF

Rien (ou presque) – Vahé Godel Coll. « Rose des Sables »

Poèmes qui interrogent le sens de la vie, l’origine, la mort, la na-ture, les sentiments, le couple, par l’alchimie des mots.

Avril 2012, 90 p. 25 CHF

POÉSIE

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Quand la terre sera blanche – Huguette Junod Coll. « Rose des Sables »

Triptyque de poèmes inspirés par la Grèce, d’île en île, au cours des étés 1983, 1984, 1985. Version bilingue français/grec, tra-duction Errikos Hadjianestis, photos René Groebli, coédité avec Daedalus, Athènes.

Mars 1994, 104 p. 27 CHF

Nue – Huguette Junod Coll. « Rose des Sables »

Poème qui parle de la création, de la naissance, de l’enfance, de la vie, de la mort. Illustré par 18 dessins à l’encre de Chine de Jean Brulhart.

Édition de luxe sur papier Gardapat 170 g, format A4


Le Retour de Perséphone – Huguette Junod Coll. « Rose des Sables »

Poème de 1001 vers (1001 : le temps infini). Le mythe réinter-prété par la poétesse : Perséphone s’accomplit entre l’ombre de son mari Pluton, en enfer, et la lumière de son amant Adonis, sur terre. Traduction d’Errikos Hadjianestis, postface d’Albert Py, professeur de littérature française à l’Université de Genève, édition bilingue français/grec, coédité avec Daedalus, Athènes.


POÉSIE

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ROMANS ET NOUVELLES

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Romans et nouvelles

La belle rousse – Olivier Dutoit Coll. « Château de Sable »

Les histoires oscillent entre le réel et l’imaginaire, où le vécu et le souhaité font alliance. On peut passer d’une banalité à un acte odieux de façon surprenante. Au fil de la lecture, divers thèmes sont abordés, comme la sensibilité, la passion, les démons inté-rieurs ou la mort. En outre, la femme est omniprésente, tel un fil conducteur, qu’elle soit forte, martyre ou désirée. L’auteur nous offre huit nouvelles, inspirées de fantasmes romantiques ou de réalités sombres, ainsi que de personnages puisés dans son univers, qui attiseront notre curiosité.


L’emprise du banian – Gilles d’Andrès Coll. « Château de Sable »

Dix jours de vacances tournent au cauchemar : Bernard est par-tout. Ni les paysages de Nouvelle-Calédonie, ni l’exotisme de la route et des rencontres ne l’éclipsent. Bernard est trop présent, trop près, il parasite les corps et les échanges. Et si l’on veut s’en débarrasser, c’est autre chose qui commence. D’autres émotions qui surgissent au creux des ventres, une étreinte se-crète, comme un nœud qui se resserre. Est-ce que c’est l’île? La chaleur ? La forêt ? Est-ce que c’est Bernard ?


Le 2 septembre 2003 – René Magnenat Coll. « Château de Sable »

L’auteur nous raconte quelques années de la vie de Jean-Paul, un adolescent du début de ce siècle. Laissant la plume à son héros qui tient son journal personnel – journal qui n’est écrit que pour lui-même – l’auteur nous fait assister à la lecture clandestine de la mère du jeune homme. Elle découvre des côtés de son fils qu’elle était loin de connaître ni même d’imaginer. Et puis, fai-sant rapidement tourner les pages, elle est surprise de voir que le journal s’arrête le 2 septembre 2003, le jour-même de sa lecture. Elle va rédiger sur une feuille volante ce qu’elle pense que son fils écrira le soir venu. Mais les événements se précipitent…

Juin 2021, 154 p. 27 CHF

ROMANS ET NOUVELLES

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Turbulences de voisinage – Marthe Marie Monnet Coll. « Château de Sable »

Après Le secret d’Yvette, ce roman est la 2e partie d’un trip-tyque. Malgré le handicap contre lequel elle se bat, Sophie s’inté-resse à la vie de sa rue du Soleil Levant. Des faits étranges et in-quiétants se passent dans l’une des nouvelles maisons cons-truites à la place de la vieille demeure d’Yvette, sa voisine décé-dée. De plus, la présence de Sugar, un loulou de Poméranie har-gneux, que sa propriétaire protège, sème la zizanie dans la com-munauté, jusqu’alors pacifique. Sophie va enquêter, avec l’aide d’amis, dans le but de ramener le calme dans le quartier et de porter secours à une personne en danger.

Juin 2021, 154 p. 27 CHF

Le secret d’Yvette – Marthe Marie Monnet Coll. « Château de Sable »

Ce roman est la première partie d’un triptyque. On suit Sophie, de retour de l’hôpital, handicapée, qui doit apprendre à se réap-proprier son espace. Mais bientôt, elle est intriguée par les chan-gements survenus chez sa voisine Yvette, qui se replie de plus en plus dans une attitude paranoïaque. On fait aussi la connaissance d’étranges personnages qui tournent autour de la maison et s’en prennent physiquement à Sophie, afin qu’elle cesse de mener son enquête…

Juin 2020, 144 p. 27 CHF

Le bocal aux papillons – Liam Coll. « Château de Sable »

Dans ce deuxième recueil de nouvelles, Liam nous parle de la réalité, avec l’humour qui le caractérise. Il aborde les thèmes de la liberté, de la création, de l’écriture, de la Poésie, notamment, qu’il associe à la Beauté, à la découverte de l’Autre. Les femmes occupent une place centrale dans ses nouvelles : amie, muse, princesse rêvée, épouse, mère, avec qui les relations sont diffi-ciles. Les mots de Liam sont comme des papillons qui prennent leur envol et vont à la découverte de mondes inconnus.

Avril 2019, 184 p. 30 CHF

ROMANS ET NOUVELLES

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Maman, je veux retourner dans tes entrailles – Meliké Oymak Coll. « Château de Sable »

Roman. Meliké met en scène une adolescente révoltée contre sa mère, contre les adultes qui veulent l’aider, contre le monde en-tier.


Un si séduisant facteur – Marthe Marie Monnet Coll. « Sable noir »

Policier. Un facteur aime les blondes et en trucide quelques-unes, jusqu’à ce qu’il rencontre le grand amour…

Avril 2018, 328 p. 35 CHF

Marquise de Montesson, femme de lettres oubliée – Claire Druc-Vaucher Coll. « Château de Sable »

Roman historique, la vie passionnante d’une femme de lettres oubliée emmène le lecteur du siècle des Lumières à la Révolu-tion française et au sacre de Napoléon 1er.

Avril 2018, 236 p. 32 CHF

ROMANS ET NOUVELLES

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Cafard et boule de gomme, suivi de Ignorance – Liam Coll. « Château de Sable »

Liam, 20 ans, contes modernes.


Nouvelles du divan – René Magnenat Coll. « Château de Sable »

La reproduction du divan de Freud, en première de couverture, annonce la couleur : les nouvelles s’égrènent comme des confi-dences, faites par un chien, des caméléons, des hommes, des femmes, qui se posent des questions sur le quotidien, parlent de désir, de relation… L’auteur s’interroge aussi sur le travail d’écri-ture, les horizons, parfois étranges, qu’il peut créer. L’humour, marque de fabrique de René, s’insinue dans les récits, les rap-prochements, les jeux de mots (tapi, tapis), les sons (lascive, les-sivé), comme une façon de prendre de la distance.

Avril 2017, 176 p. 28 CHF

Le vieux du 6e – Claire Druc-Vaucher Coll. « Château de Sable »

Louis Chardin, citoyen genevois, a mené une existence aventu-reuse entre Paris et Caracas et vécu des amours multiples. Au soir de sa vie, désirant laisser une trace, il dicte ses mémoires à Clémence Leconte, jeune étudiante en lettres, une amitié se tisse entre eux.

Avril 2016, 164 p. 29 CHF

ROMANS ET NOUVELLES

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D’ailleurs les gens – Pauline Desnuelles Coll. « Château de Sable »

Fascinante galerie de portraits d’une vingtaine de personnes, émigrées, qui se sont intégrées à Genève. Ce livre donne la pa-role à celles et ceux qu’habituellement, on n’entend pas. Rafraî-chissant et positif. Préface de Sylvain Thévoz.

Avril 2016, 150 p. 28 CHF

Ventre vide suivi de Les mots cailloux – Anne C. Mar-tin Coll. « Château de Sable »

Nouvelles au style original et puissant, avec des allers et retours dans la mémoire, le temps, les lieux. L’auteure nous porte « ail-leurs », à l’intérieur de la fillette maltraitée devenue une femme forte ; vers les laissés-pour-compte, dans la deuxième partie.

Octobre 2015, réédité en 2017, 126 p. 27 CHF

Le revenant du Louvre – Claire Druc-Vaucher Coll. « Château de Sable »

Une femme revit une histoire d’amour, allers-retours entre le XVIIIe et le XXIe siècles, pleine de rebondissements, qui l’em-mène au royaume des Ottomans, à Constantinople, ainsi qu’à Marseille, ravagée par la grande peste de 1720.

Mars 2015, 182 p. 28 CHF

ROMANS ET NOUVELLES

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Les enfants de la douleur noire – Marthe Marie Mon-net Coll. « Château de Sable »

Les conséquences de l’explosion nucléaire de Tchernobyl à tra-vers trois adolescents qui font tout pour s’en sortir et finissent par partir pour la France, terre de liberté. Un livre puissant et, paradoxalement, un hymne à la vie.

Mars 2014, 294 p. 30 CHF

La Dague – Claire Druc-Vaucher Coll. « Château de Sable »

Roman historique qui se passe au XVIIe siècle. On suit la vie d’Anne Marchant, remariée en secondes noces avec Constant d’Aubigné, fils du poète Agrippa d’Aubigné. Existence jalonnée de rebondissements dans un Paris coloré et un Poitou protes-tant, pauvre et austère. Constant était un voyou qui finit par as-sassiner sa femme.

Avril 2013, 248 p. 29 CHF

L’œil vert du Rouquin – Éric Golay Coll. « Sable noir »

Fantaisie policière pour une concierge, une folle et deux ju-meaux. Roman policier situé dans la Genève des années 50, en-quête rocambolesque menée par une concierge curieuse et ru-sée, parallèlement à celle que mène la police.

Avril 2013, réédité en 2017, 264 p. 30 CHF

ROMANS ET NOUVELLES

40

Gens des villes Gens des îles – Marthe Marie Monnet Coll. « Château de Sable »

Gens des villes Gens des îles. Nouvelles sur des destins ordi-naires qui peuvent toucher au sublime, inspirées par des person-nages de Genève et de Noirmoutier.

Avril 2012, 134 p. 26 CHF

De cinq à sept sur le canapé orange – Éliane Vernay Coll. « Château de Sable »

Une lettre à un amant mystérieusement disparu, un récit sur la violence du désir.

Avril 2011, 128 p. 24 CHF (épuisé)

C'est comme la bicyclette, ça ne s’oublie pas – Marthe Marie Monnet Coll. « Château de Sable »

Nouvelles : des vieilles femmes indignes transgressent tous les tabous, jubilatoire !

Janvier 2010, réédité en 2017, 176 p. 27 CHF

ROMANS ET NOUVELLES

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Le Théâtre de l’Aube – Nicolas Métral Coll. « Château de Sable »

Recueil de nouvelles aigres-douces où l’auteur nous emmène chaque fois dans un univers différent, et nous fait réfléchir sur le destin, sur certaines aberrations de notre société, sur notre propre vie.

Mai 2000, 204 p. 25 CHF (épuisé)

Jeux de Miroirs – Françoise Roubaudi Coll. « Château de Sable »

Roman fait de touches et de retouches, qui tentent de retrouver les impressions, les sentiments, les souvenirs. Une femme se re-garde, se découvre différente, se raconte.

Avril 1991, 140 p. 24 CHF (épuisé)

Les Aspirations d’un Aspirateur – Huguette Junod Coll. « Château de Sable »

Nouvelles à l’humour noir sur les femmes enfermées à l’inté-rieur de leurs quatre murs. Chaque texte des deux parties « Recto » et « Verso » porte un nom en relation avec l’aspirateur (Suceur, Résistance, Surcharge, Grilles d’échappement ; Cage d’écureuil, Courant alternatif, Loi d’Ohm, etc.), préface d’Albert Py, professeur de littérature française à l’Université de Genève. Couverture de Philippe Schmidiger, photosculpteur.


RÉCITS

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Récits

Grains de sable – Huguette Junod et ses auteur-e-s Coll. « Sablier »

Pendant les 12 semaines de confinement imposé par la pandémie du COVID-19, les confiné-e-s se sont adapté-e-s le mieux po-sible. Pour certain-e-s, ce fut un enfer, pour d’autres, la possibilité de repenser leur environnement et leur vie. Dès le début, quelques poètes ont proposé de partager des textes entre eux, afin de maintenir les liens. C’est cette gerbe de fleurs que nous vous présentons dans ce livre, avec le récit de René Magnenat, qui fut durement touché par le virus, les photos de Jean-Jacques Kissling, montrant une Genève vidée de ses habitant-e-s, et le journal d’Huguette Junod, tenu au jour le jour.

Juin 2020, 256 p. 33 CHF

À en crever le ciel – Miriam Gfeller Coll. « Sablier »

Toucher la vérité du bout des doigts, puis la saisir à pleines mains. L'extraire de son corps, l'offrir au monde. Ces fragments racontent les crises, les blessures, l'obscurité. Le cheminement d'une femme traumatisée. Et pourtant, ils racontent aussi l'espoir, la guérison. Lorsqu'on défait les nœuds et qu'on écoute le dedans, quand à tra-vers les fissures finit par gémir la lumière.

Juin 2020, 84 p. 25 CHF

Ex Abrupto – Olivier Pasteur Coll. « Sablier»

« C’était il y a dix ans. Je tenais ta main qui ne sentait déjà plus la mienne. La nuit s’était murée dans le silence. Comme pour mieux recueillir ton dernier souffle. C’était il y a dix ans et mon fils a vingt ans. Et comme moi à son âge, sur lui la mort n’a pas de prise. Il se sent éternel. C’était il y a dix ans et nous aurons tou-jours toi et moi, aujourd’hui comme hier, trente ans qui nous sé-parent. »

Mars 2020, 68 p. 25 CHF

RÉCITS

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Le goûter rue Paradis – Catherine Cohen Coll. « Sablier »

Le goûter rue Paradis est le livre qu’il lui tenait à cœur d’écrire. Un parcours drôle, tendre et émouvant, sur les traces de sa fa-mille, venue des quatre coins d’Europe et d’Asie Mineure, témoin des guerres mondiales. L’écriture en a duré sept ans, émaillée de surprises et de découvertes, comme les carnets de sa mère, en voie de publication. Roman familial baroque, qui retrace une his-toire de 1860 à 1960. Cette enquête, qui a changé sa vision du monde, a conduit à une réflexion sur l’origine et le secret de fa-mille.

Janvier 2020, 78 p. 32 CHF

Genève Émois – Marie-José Astre-Démoulin Coll. « Sablier »

Entre déambulations rêveuses, chroniques impertinentes et décla-rations d’amour enflammées, ce livre nous présente une Genève aux aspects multiples. Il nous emmène sur la rive droite du lac, dans le monde des internationaux et des expatriés. Il nous fait en-trer au sein du Palais des Nations et nous en révèle quelques se-crets. Il nous promène le long des rives d’un Léman sans fron-tières et sublimé. Plus que tout, il nous dévoile une Genève sym-bole de paix, pas seulement au niveau de ses institutions humani-taires, mais aussi en tant que ville qui agit comme « un baume, une apaisante caresse, une main sur le front posée ».

Décembre 2019 (2ème édition), 128 p. 26 CHF

Voyage imprévu en Hémiplégistan – Marthe Marie Monnet Coll. « Sablier »

Ce témoignage permet de partager l'expérience d'une victime d'un accident vasculaire cérébral, hospitalisée pendant plus de quatre mois dans une unité de rééducation. Sur les membres de cette communauté hospitalière, elle porte un regard tantôt grave, tantôt curieux et amusé, parfois ironique ou ému, parfois sévère, malgré tout bienveillant.

Avril 2019, 152 p. 28 CHF

RÉCITS

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Une chienne de belle vie – Isabelle Marquart Coll. « Sablier »

Après avoir testé ces anecdotes turbulentes et authentiques de ma vie sur les copains qui pouffaient de rire ou s’étonnaient, j’ai décidé d’en faire un livre. Le voici. Évidemment, une vie aussi mouvementée n’a pas eu lieu sans rebondissements, sauts dans le vide, évènements truculents, dramatiques, charmants ou franche-ment drôles. À vous de juger ! Si, en lisant ce livre, vous éclatez de rire, souriez ou même laissez couler une petite larme, j’aurai touché mon but !

Avril 2019, 290 p. 33 CHF

Mission au Darfour – Mathias Deshusses Coll. « Sablier »

Parti au Darfour en 2005 dans le cadre d’une mission de coordi-nation d’un camp de réfugiés, Mathias Deshusses n’avait aucune expérience et devait résoudre un grand nombre de problèmes concrets, ce qui ne correspondait pas à sa personnalité, plutôt analytique et rêveuse. Séduit puis inspiré par cet endroit en plein milieu du désert, apparemment loin de tout conflit, alors que des combats se tenaient à quelques kilomètres, l’auteur a laissé les mots surgir. Trois mois dans une schizophrénie entre action et contemplation …

Avril 2019, 138 p. 30 CHF

Mai 68 et après ? Témoignages de camarades genevois-e-s, Volume 2 Coll. « Sablier »

Collectif, une page de l’histoire genevoise, qui fait partie de l’His-toire.


RÉCITS

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Mai 68 et après ? Témoignages de camarades genevois-e-s, Volume 1 Coll. « Sablier »

Collectif, une page de l’histoire genevoise, qui fait partie de l’His-toire.

Avril 2018, 232 p. 32 CHF

Confession d’une dyslexique – Amanda Oriol Coll. « Sablier »

Récit qui veut toucher les dyslexiques et les personnes « nor-males », en relation ou non avec ce handicap.

Avril 2018, réédité en septembre 2018, 138 p. 27 CHF

Asters et Zébrures – Huguette Junod Coll. « Sablier »

Abécédaire de souvenirs d’enfance, chroniques des années 50-60, entre Genève, le côté de ses parents, sa sœur, l’école, dans le quartier de la Servette, et Neuchâtel, le côté de ses grands-pa-rents, les vacances. Suivi d’un « petit traité de méthodologie pour faire écrire les élèves ».


RÉCITS

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Petites Annonces pour Grand Amour – Huguette Ju-nod Coll. « Sablier »

Témoignage-enquête sur les annonces « rencontre, amitié, ma-riage", thème de l’émission de la TSR « Temps Présent » de Jean-Louis Roy, du 24.11.1988, à laquelle participait l’auteure.

Août 1988, réédité en avril 1991, 168 p. 24 CHF

Ceci n'est pas un livre – Huguette Junod Coll. « Sablier »

Récit écrit durant le marathon d’écriture d’Avignon 1984, saga amoureuse ponctuée par des annotations sur le marathon (24 participant-e-s) et des collages à partir des papillons des spec-tacles « off ». Prix 1986 des Écrivains genevois, préface d’Yvette Z’Graggen.

Août 1987, 176 p. 24 CHF (épuisé)

JEUNESSE

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Jeunesse

Yamuna et le mystère de la perle bleue – Swati Rastogi Mayor Coll. « Pâté de Sable »

Chaque nuit, Yamuna, une jeune fille de seize ans, aperçoit une mystérieuse lumière bleue à l’horizon… Quand enfin elle décide de percer son secret, jamais elle n’aurait imaginé vivre autant d'aven-tures… Son courage lui suffira-t-il pour aller jusqu’au bout ? Ma-gnifiquement illustré par Marthe Monnet.

Juillet 2021, 86 p. (carré, cartonné) 25 CHF

Pipeau le petit bélier – Catherine Cohen Coll. « Pâté de Sable »

Conte pour enfants illustré.

Avril 2021, 42 p. (carré, cartonné) 25 CHF

La chasse aux nuages – Bernard Waeber Coll. « Pâté de Sable »

Poèmes pour enfants illustrés.

Décembre 2018, 54 p. (carré, cartonné) 25 CHF

La lampe de Nuinoire – René Magnenat Coll. « Pâté de Sable »

Conte pour enfants.


JEUNESSE

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L’île de sable – Huguette Junod Coll. « Pâté de Sable »

Photos et poèmes pour enfants, tout se passe sur une île où le sable est roi.


D’abeille à zèbre – Huguette Junod Coll. « Pâté de Sable »

Un abécédaire de poèmes illustrés, destiné aux enfants (âge idéal 4-8 ans).


ESSAIS

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Essais

Il s’agit de ne pas se rendre – Anouk Dunant Gonzen-bach Coll. « Alluvions »

En été 2006, l’auteure subit un deuil périnatal à cinq mois de gros-sesse. Au fil des mois et des années, elle se questionne sur la ma-nière de réagir face à un drame aussi hermétique et de s’en relever. Comment se mettre d’accord avec la vie et avec soi-même suite à un événement indicible, quel qu’il soit ? Ce cheminement intérieur explore l’histoire, la nature, la littérature et la poésie. Puis conduit à s’interroger sur l’espérance, sur la foi et sur ce qui est essentiel, ici et aujourd’hui.

Juin 2020, 92 p. 25 CHF

Je suis venu te dire – Alexandre Gaillard Coll. « Alluvions »

Pour pouvoir s’exprimer sur son époque aux prémices de l’âge adulte, c’est en 2018 qu’Alexandre Gaillard se met à l’écriture d’un carnet de bord. Témoin des rêves et du désarroi de sa gé-nération, il écrit sur sa vie en se laissant guider par intuitions aléatoires où le hasard des souvenirs le mène. Entre espoir et désespoir, entre fêtes et défaites, il essaie de tout dire par souci d’honnêteté sans faire table rase des vicissitudes du passé.


Enseignant-enseigné – Gaston Goumaz Coll. « Alluvions »

Enseignant-Enseigné : une estime réciproque, Gaston Goumaz, psychologue, alors directeur du Service médico-pédagogique de Genève. Réflexions sur le travail des enseignant-e-s.

Février 1991, 86 p. 24 CHF

PÉDAGOGIE

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Pédagogie

Les jolis ateliers d’écriture – Huguette Junod & Cie Coll. « Limon »

Ouvrage pédagogique reprenant 20 ans d’ateliers d’écriture (dé-marche, directives, exercices et jeux, 200 textes des participant-e-s aux ateliers, 67 p. de bibliographies par thème), un outil des-tiné à celles et ceux qui désirent écrire ou faire écrire.


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Mise à jour : 20 octobre 2021

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