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Lucie Mathurin: femme d’aujourd’hui Portrait de bâsseurs: les pionniers de la vallée École communautaire entrepreneuriale: le troisième enseignant CALE 2014 Printemps 2014 - Vol. 2, numéro 1

Chroniques d'Explorateurs printemps 2014

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Le magazine de la Fondation Samuel-de-Champlain célèbre les réussites des élèves et des anciens du Centre scolaire-communautaire Samuel-de-Champlain de Saint-Jean, Nouveau-Brunswick. Dossiers sur l’éducation, projets entrepreneuriaux, école orientante, innovation, réussites, portraits d’anciens, reconnaissances pédagogiques et plus encore. Ce magazine trace le parcours de nos explorateurs et bâtisseurs d’hier, d’aujourd’hui et de demain.

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Lucie Mathurin: femme d’aujourd’huiPortrait de bâtisseurs: les pionniers de la valléeÉcole communautaire entrepreneuriale: le troisième enseignantCALE 2014

Printemps 2014 - Vol. 2, numéro 1

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Le magazine Chroniques d’Explorateurs est publié une fois par année par la Fondation Samuel-de-Champlain du Centre scolaire-communautaire Samuel-de-Champlain. PréSidenCe: Philippe richard ViCe-PréSidenCe: Guy Léger AdMiniSTrATeUrS: Yvonne Babineau, Sylvie Basque, Amélie Bryar, dr Timothy Christie, denis Cormier, Marline Cormier-Boyd, Théo Gagnon, Gaétane Lévesque-dupont. représentante des élèves: Olivia Cull. rédACTiOn, PrOdUCTiOn et PUBLiCiTé: eric Kennedy, agent communautaire - [email protected] . AdreSSe POSTALe: 67, ch. ragged Point, Saint-Jean, n.-B., e2K 5C3. Le genre masculin est utilisé sans aucune discrimination et seulement dans le but d’alléger le texte.

Éducation: école commu-nautaire entrepreneuriale

2 Présidence 11 Nouvelles de nos anciens 12 In memoriam 13 Bal des finissants 2013

Photo de la page couverture: Kathleen Gagnon

Bal des finissants de 2013: de gauche à droite, Sophie Tremblay, daniel LeBlanc, Megan Brun, Alexandre Bouchard, Kiera dolan, Pat-rick Gauthier, delaney Losier, Alex Cull et Marie-Hélène Crowley.

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Portrait : Lucie Mathurin Bâtisseurs: Michelle Robi-chaud et Marc Mathurin

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édiTOriAL

La Fondation Samuel-de-Champlain inc. a été mise sur pied en juillet 2012. en plus d’octroyer des bourses postsecondaires et de l’aide financière aux élèves, elle s’est donnée comme objectif d’appuyer l’extraordinaire potentiel des élèves et des finissants du Centre scolaire Samuel-de-Champlain. Soutenir les projets de développement visant à améliorer la qualité de vie et l’épanouissement de nos élèves est également au cœur des ambitions de l’organisme. La Fondation reconnait l’importance pour tous les élèves de se sentir appuyés dans l’aboutissement de leurs plus grands rêves. Sans oublier bien sûr la volonté de faire en sorte que les liens tissés entre les finissants du Centre scolaire Samuel-de-Champlain puissent se perpétuer à travers les années, et ce, en assurant un espace physique et virtuel aux anciens.

La présentation d’un gala en l’honneur des élèves du secondaire le jeudi 29 mai 2014 est entre autres le premier événement d’envergure organisé par la Fondation. Cette soirée a pour but de mettre en valeur les succès des élèves et de créer un partenariat avec la communauté.

Au nom de tous les membres de la Fondation, c’est avec plaisir que je vous invite à vous impliquer au sein de notre organisme, afin de contribuer à la réussite et au bien-être collectif de nos élèves. ensemble, nous pouvons aller vers de nouveaux horizons !

Sincèrement,

Philippe RichardPrésident de la Fondation Samuel-de-Champlain

Redéfinir l’AcadieUne forme de révolution tranquille est en train de s’opérer dans le monde de l’éducation, grâce à la technologie, mais surtout en raison d’un changement de paradigmes. Finies les chaines de montage! L’école traditionnelle fait place au 21e siècle. Avec des concepts comme l’école orientante, l’école communautaire entrepreneuriale, l’enseignement et le leadership collaboratifs, les élèves de la province n’auront jamais été aussi outillés pour mettre le cap sur leur avenir et surtout, participer à la redéfinition de notre société.

Avec le décloisonnement qui s’opère en ce moment dans nos écoles, l’apprentissage devient plus efficace, plus spécifique et plus collaboratif. Les élèves ont plusieurs opportunités de mieux se connaitre, d’interagir avec leur environnement et d’acquérir des compétences que seule la pratique rend possibles. Le programme CALe du secondaire (pages 6 et 7) est un exemple de ces compétences essentielles que nous cherchons à développer chez nos jeunes. Bref, les ressources de la communauté sont mises à profit plus que jamais et le dicton qui dit qu’il faut tout un village pour élever un enfant prend alors tout son sens. C’est de ce « troisième enseignant » dont nous parle nathalie Landry en page 9.

L’enseignement se tourne maintenant vers le village global. Les meilleures pratiques mondiales sont partagées. nos jeunes ont littéralement le monde dans leur classe! en ayant accès si facilement à de l’expertise et des ressources dans la communauté, nos enseignants peuvent aspirer sans crainte à former de futurs leaders qui connaitront les enjeux régionaux, provinciaux et nationaux. ils formeront des jeunes passionnés qui pourront influencer, guider, inspirer et collaborer à leur tour. À l’image de Michelle robichaud et Marc Mathurin, les pionniers de l’école dans la vallée, en page 4.

Au nouveau-Brunswick, les employeurs et partenaires scolaires communautaires qui collaboreront se démarqueront très certainement des autres, tout en contribuant à notre épanouissement collectif.

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Mot du président de la Fondation

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POrTrAiT

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Femme d’aujourd’huiLucie Mathurinnée à Mont-Saint-Hilaire, au Québec, Lucie Mathurin a tracé la route du succès pour les femmes. elle est arrivée à Saint-Jean en 1985, année où elle a obtenu son diplôme d’études secondaires au Centre scolaire Samuel-de-Champlain, qui est d’ailleurs très fier de la compter parmi ses anciens. Après ses études à l’université Acadia, elle a obtenu un diplôme en droit à l’Université de Moncton. en 2000, elle a fait son barreau avec Maître Colette d’entremont et a fait du droit privé avec le cabinet Gorman nason de 2000 à 2004. C’est lors de sa dernière année qu’elle est passée du droit pénal à l’aide juridique. L’année suivante, elle devenait procureure de la Couronne, d’abord à Fredericton, puis à Saint-Jean.

Lucie Mathurin a un horaire quotidien chargé : rencontre avec les témoins, lecture des dossiers, étude des preuves; son travail en est un de détails et d’attention constante, ce qui semble satisfaire son caractère combatif. Même à l’école, Lucie a toujours aimé relever les défis tout en conservant des notes supérieures. Son sens du travail bien fait a toujours fait partie de ses priorités : dans sa vie scolaire, mais aussi dans sa vie sportive et dans son travail.

Maître Mathurin aime relever des défis au quotidien et aussi dans ses loisirs : elle a fait les Jeux du Canada en 1993 au soccer féminin, elle a été bénévole à la Finale des Jeux de l’Acadie 2010, elle a joué au soccer dans l’équipe du nouveau-Brunswick à plusieurs reprises et plus récemment, elle a marché jusqu’au camp de base du mont everest. elle joue toujours au soccer et au hockey pour tenir la forme. Lucie adore voyager avec un sac à dos. elle rêve d’ailleurs de parcourir le monde dans un format actif, c’est-à-dire par l’escalade et la randonnée. rien de mieux que de sentir la roche sous ses mains ou le sol sous ses pieds.

Mme Mathurin garde de bons souvenirs de son passage à notre école. elle était une étudiante impliquée dans son milieu et dans sa francophonie ce qui, selon elle, n’était pas toujours évident. Présidente des élèves en onzième année, Lucie savait déjà depuis la neuvième année qu’elle voulait devenir avocate et ses enseignants en étaient convaincus.

Pour ceux et celles qui seraient tentés par le droit, sachez que pour accéder à son poste de procureure de la Couronne, le candidat doit être travaillant, doit être en mesure de bien gérer le stress, doit être prêt à relever des défis, et comme elle le dit elle-même, doit être très compétitif. Lucie Mathurin a toutes ces qualités et plus encore, mais ce que je me rappelle le plus d’elle, c’est sa générosité et son humanité.

Gaétane Lévesque-dupont

Lucie reçoit un voeu de “Bonne route” lors de son aventure dans la région de Kumbu au Népal (photo: gracieuseté).

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BÂTiSSeUrS

Michelle Robichaud et Marc MathurinLes pionniers de la valléeen 2008, un groupe de parents visionnaires et dévoués s’est réuni pour lancer des discussions sur une nouvelle école dans la vallée de la Kennebecasis. À l’époque, Quispamsis suivait dieppe dans les municipalités de la province qui voyaient leur population francophone augmenter le plus rapidement. et le secteur de la vallée n’avait aucune école pour accueillir ces nouvelles familles. Michelle robichaud et Marc Mathurin étaient du nombre de ces pionniers qui allaient travailler d’arrache-pied pendant cinq ans pour convaincre des ministres, des politiciens, des conseillers et des résidents qu’une nouvelle école était une nécessité, afin d’attirer et de garder les francophones dans la région.

Le groupe Parents pour une école francophone dans la vallée a rapidement pris de l’ampleur, réussissant à rallier plus d’une centaine de personnes et d’intervenants croyant au projet. « Outre nos réunions mensuelles, nous avons eu plusieurs séances d’information publiques et d’échanges avec des décideurs », confie Michelle. « et sans compter les nombreux voyages à Fredericton ou à dieppe pour rencontrer les ministres ou les conseillers du district scolaire francophone », ajoute Marc. Christina Taylor, Jean-Marc Poirier et Michel Coté ont également apporté leur soutien incroyable au niveau du comité exécutif.

« il fallait convaincre les intervenants du bien-fondé de notre demande. nous devions démontrer que ce n’était pas seulement un vœu de parents, mais une nécessité pour la communauté » nous explique Michelle. et préparés, ils l’étaient. Statistiques, prévisions, témoignages et lettres de soutien à l’appui, le groupe avait un très bon dossier. « il faut dire aussi que le fait que nos jeunes passaient jusqu’à trois heures par jour dans un autobus pour se rendre à Samuel-de-Champlain, qui était pleine à craquer, ça a aussi aidé notre cas », révèle Michelle.

Mais le travail n’a pas toujours été de tout repos. « Juste au moment où nous pensions que nous faisions des progrès, il y avait un changement de ministres. et nous devions presque tout recommencer » se souvient Michelle. Le groupe n’a cependant pas baissé les bras. Chaque défi était suivi d’une petite réussite, nous rappelle Marc : « nous avons continué à y croire. Quand on a eu nos classes satellites, on savait que

c’était un petit pas, mais en même temps un grand pas pour notre école. »

La consécration de leurs efforts est finalement venue en 2013, avec l’annonce de la construction d’une nouvelle école pouvant accueillir 342 jeunes de la maternelle à la cinquième année à Quispamsis. Les travaux de construction avancent bien et l’ouverture est prévue en octobre 2014. Michelle, Marc et leur équipe de parents dévoués peuvent être fiers de leur travail. ironie du sort, leurs enfants ne pourront pas fréquenter pour la plupart la nouvelle école, étant devenus trop vieux. Mais le groupe garde le sourire et la satisfaction du travail accompli. « La nouvelle école sera un phare pour la communauté francophone de la vallée. Ce sera un témoignage de la diversité culturelle croissante de la grande région de Saint-Jean. Les enfants se sentent fiers de dire qu’ils vont à l’école francophone. Ça donne un sentiment de fierté et d’espoir pour la prospérité continue de la langue francophone, sa culture et ses valeurs », termine-t-elle.

Détermination visionténacité

don de soiPASSION

collaboration

La nouvelle école sera un phare pour la communauté francophone de la vallée grâce au travail d’un groupe de parents mené par Michelle Robichaud et Marc Mathurin (photo: Kathleen Gagnon).

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édUCATiOn

Le troisième enseignantÉcole communautaire entrepreneuriale

À quoi devrait ressembler le milieu d’apprentissage idéal pour les élèves d’aujourd’hui? des chercheurs et des professionnels provenant d’un vaste éventail de disciplines maintiennent que, de nos jours, la clé de l’apprentissage n’est pas seulement l’espace physique offert aux élèves, mais aussi l’espace social. Après les parents et les enseignants, le milieu d’apprentissage est « le troisième enseignant » qui peut optimiser le potentiel des élèves.

C’est cette notion qui se retrouve au cœur du concept des écoles communautaires entrepreneuriales du nouveau-Brunswick. Ces écoles préconisent la pédagogie par projets : les jeunes apprennent et appliquent leurs connaissances théoriques en menant des projets concrets. dans ces écoles, les membres de la communauté – entrepreneurs, employés, retraités, intervenants communautaires, anciens élèves, parents, etc. – occupent une place importante. Certains supervisent et partagent leur expertise dans la réalisation d’un projet entrepreneurial mené par les élèves. d’autres encadrent des activités parascolaires. La communauté entière devient une ressource et un important partenaire impliqué dans le cheminement et l’encadrement de ses futurs jeunes leadeurs.

Maxime Gauvin, coordonnateur des écoles communautaires du district scolaire francophone Sud (dSF-S) est aux premières loges pour constater comment le fait de repenser le milieu traditionnel d’apprentissage peut avoir un gros impact. Pour ce jeune leadeur dynamique qui a une formation en architecture et qui s’est retrouvé dans le domaine de l’éducation un peu par hasard, la notion du design de l’espace d’apprentissage vient tout particulièrement le rejoindre. « J’aimerais voir de plus en plus d’espaces mixtes d’apprentissage. Transformer les salles de classe en véritables labos de création. »

Maxime gère une équipe d’agents communautaires présents dans chaque école francophone du dSF-S, apportant un soutien aux enseignants qui veulent innover en salle de classe. des équipes similaires à la sienne sont d’ailleurs en place partout dans les districts francophones de la province.

« dans le système d’éducation traditionnel, l’enseignant se sent souvent obligé d’enseigner de façon magistrale. Les enseignants qui veulent essayer de lancer des projets entrepreneuriaux et novateurs

pour leurs salles de classe se heurtent à bien des obstacles, se sentent souvent seuls et se découragent. Avec le concept de l’école c o m m u n a u t a i r e entrepreneuriale, la présence des agents c o m m u n a u t a i r e s vient changer cela. ils donnent un coup de main aux enseignants pour mener leurs projets avec leurs élèves en allant chercher les ressources qui sont disponibles dans la communauté : experts et personnes-clés, sources de financement, etc. On veut que l’enseignant puisse se concentrer sur la livraison de sa pédagogie novatrice, nous on est là pour l’appuyer, le guider et travailler en collaboration. »

Choisi en 2012 comme un des jeunes leadeurs émergents du Canada atlantique par 21inc., Maxime Gauvin garde d’ailleurs toujours un précieux contact avec ce réseau qui grandit chaque année. « dans ce monde de plus en plus branché, le travail en silo n’est tout simplement plus à notre avantage, peu importe notre domaine. Ma présence à 21inc a permis au dSF-S d’aller chercher de l’expertise et de former de nouveaux partenariats avec des organismes, des entreprises et des individus. L’école n’est plus seule, elle a maintenant accès à des partenaires communautaires et à l’expertise dont elle a besoin pour aider ses jeunes dans leur cheminement. Car après tout, on ne peut pas tout savoir, mais on peut s’entourer de gens qui ont des connaissances qui complètent les nôtres. »

nathalie Landry, collaboration spéciale

Maxime Gauvin avec un des agents communautaires du DSF-S, Milène Arseneault (photo: gracieuseté).

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nOUVeLLeS deS diPLÔMéS

Faites comme eux!Partagez vos succès, vos rêves et vos

bonnes nouvelles avec notre communauté d’anciens!

[email protected]

INFO: Contactez France Dargavel au 506-658-4607

Valérie Albert (1999) est mariée à Chris Solc. Ils sont les heureux parents d’un beau garçon prénommé Adrien Louis qui est né en décembre dernier et la pe-tite famille vit présentement à Ottawa.

Mélanie Breau, diplomée en 2000, est en train de terminer sa résidence en pédiatrie en Ontario. en juillet 2012, Alexa et Sof-ie se sont ajoutées à leur famille.

Amye Harrigan (2010) a été acceptée en médecine à trois universités (dal-housie, Memorial et Ottawa) et décide-ra sous peu si elle poursuit l’aventure à Ottawa ou dalhousie. Bravo!

Sarah Harrigan (2012) s’en va à Lon-dres, non pas pour faire du cinéma (en référence à la chanson de renée Martel), mais pour participer à un semestre de perfectionnement musical avec les plus grands professeurs de musique et de vio-lon d’europe. Félicitations!

Récipiendaires/finalistes à des bourses/médailles prestigieuses

Bourse Bell 2013: delaney LosierBourse du CCNB: Alexander ChouinardBourse Loran 2013-2014 (fin. nation.): Kathleen GagnonBourse Loran 2013-2014 (semi-fin.): Hannah HébertBourse Loran 2012-2013 (semi-fin.): Marija VeljanovskaBourse Loran 2012-2013 (metion hon.): Alec BoudreauBourse Paul-Charbonneau 2013 (Atlantique): Sophie TremblayBourse Primerose 2013: Marija VeljanovskaSchulich Leader 2013-2014: Kathleen GagnonSchulich Leader 2012-2014: Marija VeljanovskaBourse de Patrimoine canadien: Larissa Bodin, Alex-ander Bouchard, Alex Cull, Patrick Gauthier, daniel LeBlanc, Ghislaine LeBlancBourse Roméo-LeBlanc: Ghislaine LeBlancMédaille du Gouverneur général du Canada 2013: Marija VeljanovskaBourses d’entrée - universités:Acadia: Paulina FournierDalhousie: Kathleen SterrittOttawa: Kiera dolan et Sophie TremblayRenaissance: Alec BoudreauSt-Mary’s: Brandon LoganUNB: Alec Boudreau,

Et plusieurs autres!

La liste complète est disponible au secrétariat de l’école.

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Vous voudriez rendre hommage à la mémoire d’un ancien de Samuel-de-Champlain?

Contactez-nous

in MeMOriAM

Danielle Landry (1979-2014)

Danielle Landry est décédée le 11 mars 2014, entourée de sa famille et de beaucoup d’amour.

Danielle peut être décrite par deux mots simples: sourire et amour. Née le 14 février, elle était un enfant d’amour. Cet amour est visible par ses deux enfants.

Maman de deux beaux enfants, joueuse extraordinaire de volleyball et employée d’Air Canada.

Elle laisse dans le deuil ses deux enfants, Sarah et Austin. Son amour Mike Rowe, ses parents Monique et Gilbert

Hommage à nos disparusLandry. Son frère et sa belle-sœur Gilles et Bonnie Landry, ainsi que plusieurs oncles, tantes, cousins et chères amies.

Championne pour sa famille et sa francophonie : dans nos cœurs pour toujours!

- Gilles Landry

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BAL deS FiniSSAnTS 2013

Ensemble vers de nouveaux horizons

Ci-haut, les finissants de 2013. en bas, de gauche à droite, delaney Losier, danielle duchin.Paulina Fournier, Ghislaine LeBlanc, renelle LeBlanc, Marija Veljanovska, Marie-Josée Pellerin, Audrey Smith, Larissa Bodin, Jocelyne LeBlanc, Marie-Hélène Crowley et Megan Brun. Brandon Logan et la récipiendaire de la 1re bourse de la Fondation Samuel-de-Champlain, Marija Vel-janovska. Sincères remerciements à Kathleen Gagnon, Ghislaine LeBlanc, Brandon Logan et plus particu-lièrement à Sophie Tremblay pour l’aide avec les photos.

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Une universitéqui te ressemble

Étudier à l’Université de Moncton, c’est plus que choisir la plus grande université canadienne francophone à l’extérieur du Québec. C’est aussi choisir une institution où tu pourras partager tes valeurs avec d’autres jeunes qui, comme toi, sont fiers de leur identité et de leur culture, qu'ils soient d'ici, d'ailleurs au Canada ou de partout à travers le monde. Choisis une université qui te ressemble : jeune, dynamique et pleine d’avenir. Choisis l’Université de Moncton.