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Agenda // Sports // Portrait // Quartier // Paroles de Castrais... Votre info au quotidien sur castres-info.fr le Mag Janv. 2013 # 05 Le mensuel indépendant et gratuit d’information locale Dossier L’Albinque fait peau neuve Nouveautés 2013 Tout pour le grand jour Spécial Auto Salon du mariage T o u t e lé q u i p e d e r é d a c t i o n v o u s s o u h a i t e UNE BONNE ANNÉE 2013 !

CASTRES Info 05 Web

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Agenda // Sports // Portrait // Quartier // Paroles de Castrais...Votre info au quotidien sur castres-info.fr

le Mag J a n v.2013# 05

Le mensuel indépendant et gratuit d’information locale

DossierL’Albinque fait peau neuve

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ute l’équipe de rédaction

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UNEBONNE ANNÉE 2013 !

N°5 - Janvier 2013 - Tirage : 10 000 exemplaires -Imprimé en région Midi-Pyrénées (France) - Mensuel gratuit publié et distribué par : Cité Média - 29, Av de L’Europe - 81600 GaillacTél. 05 63 41 40 02 - www.castres-info.frDirecteur de la Publication : Patrice [email protected] Rédaction : Bruno Masarotto, Marie-Jo Alibert, Roxane Nico-las, Pierre-Jean Arnaud, Patrice Gausserand, Yannick Michel, Grégory Andres.Conception graphique et mise en page : Emilie Marquès.

Service commercial :Caroline Sompayrac - [email protected] Petitjean - [email protected] Henry - [email protected]édits photo : PGCom, Roxane Nicolas, Grégory Andres, Bruno Masarotto, Pierre-Jean Arnaud, Atelier Bouriette et Vaconsins, Mairie de Castres, Lo Bolegason.Crédits photos et Copyright : tous droits réservés textes et images sauf mention contraire.Dépôt légal : à parution. Ne pas jeter sur la voie publique

édito

Directeur Général : Patrice Gausserand29, Av de L’Europe - 81600 Gaillac Tél. : 05 63 41 40 02 - www.pgcom.frVous voulez communiquer dans castres-info le mag ? Un seul mail : [email protected]

régie :Société de presse RCS Albi : 790 083 315Gérant : Patrice Gausserand29, Av de L’Europe - 81600 Gaillac Tél. : 05 63 41 40 02

édit ion : Cité Média

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4 dossier à la Une La Place de l’Albinque touche au but

8 SportsLes rameurs de l’Agout

10 Spécial Mariage9e Salon du Mariage, de la Réception et du PACS

16 JeunesseAccrocher pour ne pas décrocher

18 PortraitUn avocat arrivé à maturité

20 Spécial AutoNouveautés 2013

24 Quartier

26 Paroles de Castrais

28 Agenda

Si vous lisez ce billet, c’est que nous au-rons échappé à l’apocalypse du 21 dé-

cembre 2012. Ce sera toujours ça de pris. Pour autant, les douze derniers mois ne nous auront pas épargné, une crise aussi morale qu’économique et sociale. Nous n’allons pas débuter la nouvelle année par une énumération sinistre des problèmes que supportent bon nombre de nos conci-toyens. Sans en être certain, on peut espé-rer que 2013 soit meilleure. C’est plus un souhait qu’une prévision tant les augures sont mauvaises.

Dans cette grisaille ambiante qui s’auto-alimente, 2013 marquera la rénovation de la place de l’Albinque, au coeur d’un quar-tier animé et pittoresque. C’est plutôt une bonne nouvelle pour les riverains et, plus généralement, pour les nombreux Cas-trais qui fréquentent assidument la halle et les commerces environnants. Vous verrez dans ce numéro de Castres-info comment les riverains ont vécu la période de tra-vaux et ce qu’ils attendent d’un des chan-tiers majeurs du mandat de Pascal Bugis. Vous retrouverez également dans votre magazine un dossier spécial mariage, à quelques jours d’un salon qui lui est consa-cré, et toujours, le portrait du mois (Yves Salvayre), le club sportif à la une (l’aviron) et l’éclairage sur un quartier (Soult).

En vous souhaitant une bonne lecture, l’ensemble de l’équipe de Castres-info se joint à moi pour vous adresser tous nos voeux de bonheur pour 2013.

Bruno Masarotto

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4 • Votre info au quotidien sur castres-info.fr castres-info.fr – Janvier 2013 • 5

Dossier

La Place de l’Albinque touche au butAprès une pause pour les fêtes, les travaux vont reprendre pour la dernière ligne droite d’un chantier entamé début 2012. La nouvelle place de l’Albinque, un des dossiers phares de la municipalité, est attendue de tout un quartier, autrefois coeur de l’activité de la ville.

J par Bruno Masarotto

L es maires laissent souvent l’em-preinte de leur passage dans la pierre. Celle de l’Albinque mar-

quera à n’en pas douter la patte de Pascal Bugis, qui en a fait une des réalisations clés de son deuxième mandat, après l’achèvement de la place Jean-Jaurès lors de son premier. Avec ce chantier de dix-huit mois, inauguré par une polé-mique sur l’absence de granit du Sidobre (remplacé par de la pierre belge), le premier magistrat castrais joue gros. « Redessiner le visage de cette place est un projet conséquent. Entrée de ville mais aussi et surtout espace de vie, il faut tenir compte de son dynamisme, le renforcer, lui donner une unité sans perturber son

fonctionnement », indiquait Pascal Bugis, en début de mandature. Hélas, la réhabi-litation a été retardée par « l’affaire » de La Lyonnaise des Eaux et son amende record de près de 30 M€. Néanmoins, après une année d’ouvrages multiples, la chose se présente plutôt bien pour l’édile sud-tarnais, qui voit le bout du tunnel. En effet, sauf imprévu, le chantier de-vrait s’achever d’ici à l’été prochain. Et, hormis quelques critiques sur la baisse du nombre de places de parking, la sup-pression (budgétaire ?) du foirail, initia-lement prévu, les changements de cir-culations parfois déroutants, l’avenir du site de la Faïencerie (« la fabrique »)..., la population semble plutôt accueillir

le projet avec bienveillance. Les rive-rains - commerçants en tête - sont eux aussi favorables à « l’embellissement de la place ». Consultés par nos soins (voir ci-contre), quelques-uns, boulanger, boucher, cafetier, fromager, primeur..., nous ont confié leurs sentiments. Si leur chiffre d’affaires a souffert de la présence des pelles mécaniques et d’un accès dif-ficile aux clients (avec des baisses signi-ficatives de près de 30 % pour un super-marché), les marchands de l’Albinque ont fait le gros dos et espèrent récol-ter les fruits d’une place toute neuve, dont nous vous donnons ci-dessous les grandes lignes.

© Atelier Bouriette et Vaconsins

© Atelier Bouriette et Vaconsins

© Atelier Bouriette et Vaconsins

Les espaces vertsOutre la réalisation d’un parvis entre l’église et le marché couvert, une espla-nade arborée avec près de 130 arbres de différentes essences sera créée. Des bancs publics et une aire de jeux pour les enfants seront également installés, ainsi qu’une fontaine sur l’actuelle place Mahuziès.

La circulationLa circulation du boulevard Clémenceau longtemps à sens unique est passée à double sens sur la partie située entre la rue du Gazel et le carrefour en direction d’Albi/Lautrec. Deux voies entrantes vers le centre-ville et une sortante, depuis l’axe situé dans le prolongement du bou-levard Docteur Sicard en direction d’Albi ou Lautrec, ont été aménagées.

PhilosophieRendre à la place de l’Albinque sa confi-guration d’origine, à savoir prolonger le boulevard des Docteurs Sicard vers le boulevard Clémenceau sans contourner la place. Cette solution présente l’avan-tage de créer un vaste espace piéton de-puis le boulevard Clémenceau jusqu’à la place Mahuziès.

La voie située dans le prolongement de la rue Mahuziès, à proximité immédiate de nombreux commerces, le principal objectif était de faciliter leur accès en assurant le déplacement des différents usagers en toute sécurité. Ainsi après la rénovation de l’ensemble des réseaux, les

trottoirs ont été élargis pour le confort et la sécurité des piétons.

© Atelier Bouriette et Vaconsins

Un peu d’histoire1374. Création de la porte de l’Albinque. Le mot « Albinque » provient de l’adjec-tif occitan désignant une ancienne porte fortifiée de la ville de Castres, la « portà albenca », la porte d’Albi (elle était si-tuée à la sortie de l’actuelle rue Camille Rabaud).

1865. Construction de la halle aux grains par l’ingénieur Duranton, pour un coût de 134 000 francs de l’époque.

1820 – 1936 : La Faïencerie, qui compte jusqu’à 105 ouvriers en 1883, fabriquait de la poterie, de la faïence, de la céra-mique et de la porcelaine.

1866-72 : Construction de l’église Saint-Jean Saint-Louis. La flèche du clocher sera achevée en 1892, ses bas-côtés en 1899.

1905-1962 : Station de chemin de fer à destination de Vabre construite dans le petit bosquet de l’Albinque, à coté de l’église Saint-Jean Saint-Louis.

1945. La halle devient une salle de sports et de fêtes. Le sol passe de la terre battue au bitume.

1961. Construction du foirail. Accueil des foires aux bestiaux.

Archives municipales de Castres – Tous droits réservés.

6 • Votre info au quotidien sur castres-info.fr castres-info.fr – Janvier 2013 • 7

Dossier

On sait qu’on devra déménager un jour ou l’autre. Nous aimerions rester dans ces locaux découverts par hasard, que nous avons retapé petit à petit ». Serge Siman est un des « doyens » du site. Brocanteur depuis 1978 avec son beau-père François Delmoral, l’ex-arrière du CO a racheté le fonds en 2000 et entre-pose ses objets dans 1000 m2 de han-gars. « Ici c’est idéal, à deux pas du centre

ville, avec un espace vaste et pas cher. On ne retrouvera pas d’équivalent ailleurs. » A 63 ans, le retraité de l’imprimerie fait du rab : « Je passe une retraite active et je ne compte pas m’arrêter. Nous sommes bien à la Fabrique. C’est le village gaulois. On s’entend bien. Les abords mériteraient une restauration, mais on ne veut pas partir. On va se défendre. »

Témoignages

Les travaux côté vitrinesIls sont les premiers à souffrir du chantier qui a freiné leur activité. Globalement, les commerçants du quartier accueillent les travaux avec philosophie et attendent la réalisation du projet avec impatience.

Philippe Bousquet (boucher-charcutier, président de l’association des commerçants de l’Albinque) : « Le projet me plaît »« La première partie des travaux a été plus facile à franchir pour nous commerçants. La deuxième, avec la fermeture d’un côté de la place, a été plus compliquée. Sans les trottoirs, c’était dur. Cela s’est stabilisé,

même si on n’est pas revenu à la normale. Pour autant, le projet me plaît et le quar-tier sera plus joli après. »

Marjorie Lau (bar le Fair-play) : « On en a bavé »« C’est un peu long pour nous. On en a bavé. Quand ils ont fermé la route, ce fut même dur. Mais les fidèles sont restés. Au

final, ça sera pas mal. Je pense que ce sera mieux qu’auparavant. »

Chantal Cathala (primeur sous la halle) : « Il me tarde que ça finisse »« Il me tarde que ça finisse. Avec les pro-blèmes de circulation, novembre et dé-cembre ont été difficiles. Notre chiffre d’affaires a baissé. L’arrêt des travaux durant la période de fêtes a été le bienvenu. Nous allons souffrir jusqu’en septembre. Le plus gros est fait et bien fait. Le projet sera bien. »

Daniel Fabre (fromager sous la halle) : « Une plus-value pour les commerces »« Il faut savoir souf-frir pour être beau. On est philosophe. On a vécu des mois très durs. Nous allons essayer d’être bon pour résis-ter. Personnellement, j’étais pour ce chantier. C’est une plus-value pour les commerces. A 61 ans, j’aurais pu arrêter et prendre ma retraite. Je continue parce que j’ai confiance. »

Brigitte Julier (boulangère-pâtissière) : « Une belle place »« On a été ravis que le chantier soit arrêté pendant les fêtes. On savait pertinemment que ce serait délicat pendant les tra-vaux. Il faut être patient. L’organisation du chantier a été bien faite. Ils ont bien bossé et nous devrions avoir une belle place. » ■

Mémoire

« C’était bien avant la télé »Ginette Thil (née Bonnet) : à 85 ans, la fille de l’ancien propriétaire du « café Bonnet » n’a jamais quitté le quartier de l’Albinque.

E lle est née le 1er janvier 1928, au-dessus du café, qui portait alors son nom de jeune fille :

Bonnet. 85 ans après, l’alerte arrière-grand-mère habite toujours à côté du « Fair-play », qui a succédé au bistrot fondé vers la fin du XIXe siècle. Elle n’a d’ailleurs jamais quitté le quartier, juste traversé la place où avec son époux elle gérait une fabrique de cannes à pêche en bambou et roseaux située derrière l’église. « J’ai toujours vécu à l’Albinque, se souvient Ginette. Dans les années trente, le centre de la place était un grand pré, traversé par le ruisseau du Travet. J’ai toujours connu la halle. Par contre, les commerces ont beaucoup bougé. Le tabac-presse était alors un… bourrelier. » Inépuisable sur son lieu de vie, Ginette

Thil garde en mémoire l’activité fébrile des samedis dans la halle : « Ce jour-là, c’était le marché aux bestiaux. Les gens venaient à pied de Réalmont pour vendre leurs vaches. Mon père (Edouard Bonnet) sortait les tables et faisait exceptionnel-lement à manger. C’était un plus pour le café. Ma mère (Rose) préparait les hari-cots avec des côtes de porc. Il y avait un monde fou. C’était bien. Le soir on se retrouvait pour la belote. Il n’y avait pas la télé. » L’octogénaire ne s’enfonce pour-tant pas dans la nostalgie d’une époque révolue et jette un regard lucide sur les changements récents dus au chantier en cours : « C’est le progrès. Le quartier est toujours aussi vivant. Je regrette sur-tout les anciens lampadaires. Ils étaient si jolis. »

Ancienne faïencerie

La Fabrique fait de la résistanceArtisans et artistes de ce coin d’Albinque situé derrière l’église ne veulent pas quitter l’endroit destiné par la mairie à un projet immobilier.

C ’est un endroit un peu irréel, voire marginal, mais très pit-torresque. En retrait de la

place, derrière l’église Saint-Jean Saint-Louis, travaillent, et parfois habitent, des artisans et des artistes, regroupés dans d’anciens locaux industriels autour de l’antique faïencerie. Graveur, peintres, marrionnettiste, brocanteur… coha-bitent paisiblement dans une espèce de

communauté informelle baptisée « La fabrique ». Il y a déjà quelques années, la mairie a préempté les bâtiments à la vente. Elle entend, à moyen ou long terme, les détruire et y substituer un projet immobilier. « C’est ce qu’a dit le maire, dans une réunion de quartier, indique Franck Tourrel, peintre réputé, installé là depuis une décennie. Nous possédons un bail précaire avec la mairie. Franck Tourrel

Serge Siman

Ginette Thil

8 • Votre info au quotidien sur castres-info.fr castres-info.fr – Janvier 2013 • 9

Sports

couple à la dernière course de Noël à Moissac. « Il faut du temps pour décro-cher des résultats, prolonge Sandrine, par ailleurs entraîneur régional en minimes. Notre objectif est d’amener le maximum de jeunes en compétition et de hisser les meilleurs au plus haut niveau. » Pour autant, Castres Aviron ne produit pas que des compétiteurs. Une vingtaine d’adultes rament hebdomadairement

pour le plaisir, dans la partie « loisirs » du club : « Nous partons faire des randon-nées sur tous les lacs et plans d’eau d’Eu-rope, commente Laurent Pollet. Nous avons participé à la « Vogalonga » dans la lagune de Venise. L’an dernier plusieurs rameurs sont allés sur le Vidourle. On peut également naviguer sur la Loire, le Cher, la Seine… Tous les week-ends, il y a des choses intéressantes à faire. » Les

amateurs ou les curieux peuvent se ren-seigner sur le blog du club : castresavi-ron.free.fr. ■

Castres Aviron

Les rameurs de l’AgoutLa section aviron du Castres Sports nautiques, qui a obtenu le Label des écoles françaises, compte une cinquantaine de licenciés. Les dirigeants du club espèrent amener encore plus de jeunes en compétition et décrocher « la première étoile », une distinction majeure dans la hiérarchie nationale.

J par Bruno Masarotto

E t en plus, ils doivent subir les lâchers d’eau d’EDF ! Limités à un bout de l’Agout, en aval de

Gourjade jusqu’au pont Biais, les prati-quants d’aviron à Castres doivent parfois interrompre leurs séances lors des mini-crues provoquées pour soulager les bar-rages en amont. « Nous ne disposons pas d’un plan d’eau suffisant pour devenir un grand club », regrette le responsable de Castres Aviron, Laurent Pollet. Le « pré-sident » (titre officieux puisque Castres Aviron dépend du Castres Sports Nautiques) est aussi un des pionniers de la discipline dans la sous-préfecture aux côtés de Michel Panis et Didier Klopp, en 2006. « Nous étions une vingtaine d’adhérents. Nous sommes un peu plus de cinquante aujourd’hui. » Par ailleurs, la flottille d’embarcations, basée chemin

du Gravier (près de l’embarcadère du coche d’eau), s’est elle aussi agrandie avec trente bateaux pour dix seulement voilà 17 ans, du « bateau amiral », le huit avec barreur, au bateau d’initiation le plus simple. « Quarante personnes peuvent ramer en même temps, se réjouit Laurent Pollet, ancien champion de France

cadet et junior dans les années 70, j’ai suivi mon frère qui souffrait d’une sco-liose. L’aviron c’est bon pour le dos, pour le cœur, les abdominaux, même pour la souplesse des chevilles. » Sport com-plet, l’aviron véhicule aussi des valeurs auxquelles on ne pense pas forcément : « Le respect de son équipier, le respect de l’adversaire (l’aviron est la seule discipline olympique sans podium), décrit Sandrine Benay, responsable administrative du CA, et le dépassement de soi. »

Laurent et Sandrine en connaissent un rayon en la matière, puisqu’ils possèdent tous deux le certificat de qualification professionnelle (CQP), équivalent du « monitorat » de ski, et font donc partie du staff d’éducateurs du club, avec Jean-Pierre Hayward, Patrick Assoumou et Didier Klopp. « Nous avons obtenu le label « école française d’aviron » en 2011. On espère décrocher la première étoile très bientôt. » Pour grimper dans la hié-rarchie, les dirigeants comptent sur les espoirs de l’association, Ines Gholami-Bosc et Pauline Marty, en équipe des Pyrénées minimes, Nicolas Eyssette et Arthur Garcia, vainqueur en deux de

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SPÉCIALMARIAGE

publi-reportage

10 • Votre info au quotidien sur castres-info.fr castres-info.fr – Janvier 2013 • 11

50 spécialistes du Mariage accueilleront les futurs mariés, leur dispenseront des conseils utiles et leur proposeront des conditions avan-tageuses pendant toute la durée du salon.

Ils seront présents :

• Robes de mariées, Prêt-à-porter• Coiffure / Maquillage / Ongles• Photographes / Vidéo• Voyage• Liste de Mariage / Cadeaux• Animations• Faire-part, Dragées / Confiserie• Hôtellerie• Fleuriste / Décorations / Objets de fête• Location de salle, Traiteur

Ces «spécialistes» leur apporteront mille infor-mations ou idées, qu’elles concernent le choix du type de cérémonie, les tenues, les listes de mariages, la location de salle, les photos et vi-déo ou la musique, fondamentale elle aussi à la réussite de cette journée... Des défilés ani-meront cet évènement, et mettront en valeur le

savoir-faire des exposants.

Si ces trois jours sont essentiellement ba-sés sur le mariage, ils n’en oublient pas ce-pendant l’ensemble des autres fêtes de famille (communion, baptêmes…) mais aussi les évè-nements organisés par les associations et les entreprises, qui prennent une place de plus en plus prépondérante dans notre vie de tous les jours.

9ème Salon du Mariage, de la Réception et du PACS.11, 12 et 13 Janvier au Parc des ExpositionsHall 2000.

Organisé par le CORAC.

3 jours de fête pour le Mariage et la Cérémonie

50 exposants spécialistes du Mariage et de la Réception – 2 000 m² d’exposition

Lieu : Hall 2000 au Parc des expositions de Castres

Horaires du Salon :

Vendredi 11 Janvier 2013 : 14H00 à 20h00Samedi 12 Janvier 2013 : 10h00 à 20h00Dimanche 13 Janvier 2013 : 10h00 à 20h00Horaires des Défilés :

Vendredi 11 Janvier 2013 : 18h00Samedi 12 Janvier 2013 : 14h30 et 17h30Dimanche 13 Janvier 2013 : 14h30 et 17h30

Tarifs : entrée 4 Euros

TOUT POUR DIRE “ OUI ”

NELLY COIFFURE

Salon conseil en coiffures de mariageLe choix de la coiffure, pour ce jour si exceptionnel, est pour la future mariée un moment important. Nelly et Elise vous accompagnent.

Nos deux coiffeuses sont spécialisées dans ce domaine

puisqu’elles participent régulièrement à des formations et à des concours. Chignons stylés, asymétriques, glamours ou néo clas-siques, personnalisés par un jeu de colora-tions ou de mèches,

cette variété de choix, vous sera proposée au cours de séances

d’essayages. Le sa-lon est aussi dépo-sitaire de la marque Wella pour la co-loration ainsi que pour les soins. Alors pour être la plus belle ce jour-là, une seule adresse : Nelly Coiffure. ■

Nelly coiffure 1, avenue de Mazamet81580 Soual 05.63.75.55.05Ouvert du mardi au samedi de 9h00 à 18h00 sauf le jeudi 9h00-12h00. 14h00-19h00

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12 • Votre info au quotidien sur castres-info.fr castres-info.fr – Janvier 2013 • 1312 • Votre info au quotidien sur castres-info.fr

Sister Boutic

Un mariage... clé en mainsAurore Pistre, qui a repris la boutique soua-laise depuis 2012, est une professionnelle des robes de mariée, costumes et des te-nues de cérémonie. Présente au salon du

mariage de Castres, la jeune chef d’entreprise met son goût et son savoir-faire au service des futurs époux et de leurs familles.

A 26 ans à peine, Aurore Pistre connaît tout du mariage. Un environnement dans lequel la Crouzétole d’origine baigne depuis son

entrée dans le monde du travail. Munie d’un BTS Force de vente, puis d’une licence professionnelle en management spécialisée en activités commer-ciales, la jeune sud-tarnaise commence dans une entreprise aujourd’hui concurrente. Durant deux ans, elle occupe des fonctions de secrétariat et de vente. Puis, n’écoutant que son tempérament audacieux et volontaire, elle décide de se lan-cer : « J’ai d’abord pensé créer une entreprise de prêt-à-porter. Mais, quand j’ai appris que Laurie et Sandra, les anciennes gérantes de Sister Boutic, vendaient leur enseigne, j’ai réfléchi puis j’ai foncé. »

En avril 2012, Aurore prend donc les rênes du commerce en plein coeur de Soual, qui avait déjà pignon sur rue. Bien située dans un endroit passager, elle possède une large gamme de vêtements pour les mariages ou les cérémonies de tous ordres. « Nous habillons aussi les employés de banques, les cadres..., qui veulent un costume de ville. » Sister Boutic propose aussi des robes de cocktail pour des soirées chic et habillées. Mais le point fort de Sister Boutic reste les costumes de mariage, pour monsieur, les vête-ments sur mesure pour les petits, les tenues pour la famille, et, surtout, les robes de mariée pour ma-dame : « Je vais directement sur place - à Paris no-tamment - pour choisir mes modèles. Je ne choisis rien sur catalogue. J’aime voir les robes avant de les commander afin de créer, à chaque fois, une belle collection. »

La véritable force de Sister Boutic réside dans l’ac-cueil, l’écoute et les conseils donnés aux futurs époux. Parce qu’un mariage se prépare de longs mois à l’avance, Aurore et la couturière maison Rosy tiennent à rencontrer le couple bien en amont du moment le plus important de sa vie : «Nous les voyons d’abord pour les essayages, puis pour les re-touches et, enfin, les habillages, soit juste quelques jours avant la cérémonie, sans dévoiler pour autant

la robe de mariée et le costume qui demeurent un secret pour les futurs époux et pour per-mettre de préserver la magie du jour J. Dans ce contexte, nos services et nos conseils sont personnalisés, afin que les vêtements soient en totale harmonie. » Pour aller jusqu’au bout de la démarche, Aurore donne des conseils - compris avec l’achat de la robe - pour faciliter la montée des marches à l’église ou dans la voiture, comment se déplacer en fonc-

tion de la forme de la robe (ample ou cintrée... ).

Bien sûr, Sister Boutic sera présent au salon du ma-riage, où vous pourrez questionner Aurore sur l’en-semble de ses services dans un stand dédié. « Nous allons exposer nos robes de mariée, nos costumes, nos tenues de cérémonie et nos tenues pour les en-fants (y compris les tout petits). Nos modèles seront présentés également lors des défilés, moments at-tendus du salon. » ■

L’effet Éric traiteur

Le monde dans votre assietteCuisinier par passion, le Veilhois de 40 ans est devenu un traiteur demandé dans la région. Grâce à sa curiosité, il propose des plats issus de toutes les traditions et cultures de la planète, qui peuvent accompagner les mariages, les baptêmes, les communions, séminaires, vernissages...

De l’aérospatiale à l’art culi-naire, le fil conducteur n’est pas forcément évident.

Pourtant, Éric Prat a réalisé le grand écart entre l’industrie phare de la ré-gion et la cuisine, via une parenthèse dans le tourisme. C’est peut-être là que lui est venu le goût pour la cui-sine. Sans hésiter, Prat a effectué un virage à 180° pour intégrer l’école hôtelière de Mende en Lozère, d’où il est sorti avec un bac professionnel en poche.

En 2010, il franchit le pas en repre-nant le restaurant libanais « De-ci De-là », place Fagerie à Castres, dans une place charmante du centre-ville. S’il n’abandonne pas les mets par-ticuliers du pays des cèdres, Éric Prat a ouvert sa table à toutes les influences : « Je propose une cui-sine traditionnelle et une cuisine du monde.»

« Ma vocation, c’est traiteur, insiste le dynamique quadragénaire. C’est le métier que j’ai appris durant les trois années de stage à Millau, dans le cadre de mes études. » Et Éric en maîtrise désormais tous les aspects, avec un plus indéniable : la diversité. « Je peux très bien préparer un buffet à base de sushis ou un repas créole. J’ai même réalisé récemment un mariage musulman. » Dans les faits, Prat s’adapte à toutes les demandes, dans la mesure où elles ont été ex-primées à l’avance. « Je vais d’abord

goûter les mets et je m’en inspire. » En juillet prochain, Éric Prat assure-ra un mariage américain, avec ham-burgers, chicken, purée de patates douces... le tout maison, bien sûr. « Je travaille tous les aliments. Je n’ai pas de menu type. » Chez Prat, on peut ainsi faire le tour du globe sans bouger de la table : du confit du Sud-Ouest, aux douceurs marocaines, ta-cos mexicains, salades antillaises...

Mariages, évidemment, mais aussi communions, baptêmes, anniver-saires, séminaires, inaugurations, vernissages... forment un vaste en-semble de prestations que présente le traiteur castrais, qui peut égale-ment livrer sur le lieu de la cérémo-nie. Mais Prat a un atout dans sa manche, outre des prix abordables et la qualité de ses plats : « Je fais déguster avant les plats prévus pour la cérémonie. Les clients peuvent ainsi se faire une idée de ce qu’ils auront dans l’assiette. Un menu sur le papier est moins évocateur qu’une dégustation. » ■

Éric Prat traiteur 2, place Fagerie à Castres Tél : 05 63 35 72 8506 59 48 35 [email protected]

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14 • Votre info au quotidien sur castres-info.fr castres-info.fr – Janvier 2013 • 15

Fabiau-photos

Profession reporterAprès une solide formation, l’ancien sous-officier du 8e RPIMa s’est reconverti dans la photographie. Événements familiaux (mariages, anniversaires...), sportifs, culturels ou shooting privé, portraits d’entreprises, Sébastien couvre une large palette.

Une photo sur un pylône, sur une grue, une

tour d’immeuble..., pas de problème, Sébastien Fabiau assure. L’ancien instructeur de chute libre opérationnel au 8e RPIMa ne craint pas le vertige. De son passé de militaire, le sous-of-ficier a gardé le goût pour le terrain, quel qu’il soit. Après seize ans au service de la France, Sébastien Fabiau s’est donc orienté vers la photographie par pas-sion. « J’ai toujours eu envie d’en faire.

J’échangeais sur les techniques avec mes cama-rades photographes en équipe, avec qui je partais en mission.» Spécialiste des transmissions avant de conseiller les parachutistes, à 36 ans, Sébastien n’a pas hésité au moment du choix, une fois le paque-tage rendu : « J’ai eu un déclic. Je me suis lancé, malgré les obligations familiales (deux enfants de 5 et 8 ans). J’ai fait une formation chez « Lignes et for-mations » à Paris. » Il sort de cette école prestigieuse avec la qualification de « reporter photographe » en 2012. « À la base, je voulais travailler dans la presse. » Un stage intéressant à la Dépêche du Midi de Carcassonne en 2011 le convainc de s’installer à son compte pour pouvoir vivre de sa passion.

L’an dernier, l’adjudant Fabiau troque le parachute pour une paire de Nikon flambant neufs et un stu-dio mobile (torches, lumières, réflecteurs...). Cet investissement lui permet d’intervenir dans une large palette de services aux particuliers et aux en-treprises : « Je couvre aussi bien les mariages, les

anniversaires, les communions, les manifestations sportives (sports individuels et collectifs...), que les galas de danse, les spectacles culturels... Je peux aussi me déplacer chez les gens pour des séances de portraits ou dans les entreprises pour des « shoo-ting-call » , et actions de communication. » Sébastien peut aussi répondre présent en cas de demande particulière, grâce à une mobilité sur toute la région Midi-Pyrénées, qu’il sillonne au volant de son véhi-cule relooké à ses couleurs. Séances de portraits donc, mais aussi prises de vue « thématiques », se-lon les souhaits du client.

« J’espère développer le studio mobile chez les particuliers ou en entreprises », indique Sébastien Fabiau, qui apprécie le contact avec les clients qui font confiance à son « œil », à sa gentillesse et à sa compétence. Polyvalent et disponible pour des « missions » spécifiques, le Castrais n’en oublie pas les fondamentaux, notamment le traditionnel album de mariage : « Malgré l’essor du numérique, on re-vient aux tirages papier. Les gens nous demandent souvent le DVD et l’album. Ils affichent les photos sur les murs. » ■

Au service de l’amour Les temps changent, les relations évoluent, les gens se rencontrent. Les relations se font, se défont. Depuis 10 ans déjà l’agence Unicis à Albi provoque le hasard, accompagne les rencontres et évolue dans la modernité de son époque.

La confiance », répond Marie-Dominique Manceau, directrice de l’agence de rencontre Unicis à Albi lorsqu’on lui demande ce qui est

le plus important dans son métier. « Tout notre métier repose sur cette relation de confiance. Apprendre à connaître nos adhérents est une étape préliminaire né-cessaire pour répondre pertinemment à leurs attentes » ajoute-t-elle.

L’humain avant toutL’histoire commence donc par une rencontre. En toute intimité et forte de son expérience à la tête d’Unicis de-puis 10 ans, Marie-Dominique Manceau vous accueille dans son agence et son cadre chaleureux et humain. « Face à la froideur et l’aspect impersonnel des autres moyens de rencontres, nous faisons le choix chez Unicis, de privilégier le relationnel et la confiance ». C’est ici tout l’apport de l’agence de rencontre : savoir écouter ses adhérents, échanger avec eux pour cer-ner au mieux leurs demandes. L’objectif ici est quali-tatif. « Notre volonté n’est pas de multiplier le nombre de contacts. Cela serait contre-productif. Nous voulons avant tout proposer des rencontres entre des personnes qui se correspondent réellement», insiste la dirigeante. Sérieux, confiance et transparence sont devenus les synonymes de la qualité de service d’Unicis. Quant

aux adhérents, Marie-Dominique Manceau, l’affirme : « Notre service est ouvert à tous. Tous les âges, tous les milieux professionnels sont représentés. Tous ont la même envie de dialogue, d’échanges et de rencontre, d’une vie à deux dans la diversité et dans le respect des attentes de chacun».

Une palette de prestations au service des rencontres Unicis c’est avant tout la force d’un réseau national d’agences au service de l’amour depuis plus de 40 ans déjà. Le service Unicis a bâti sa renommée sur le concept gagnant de la double prestation oscillant entre rencontres individuelles et rencontres par les loisirs. Parce que chaque individu est unique, les rencontres individuelles se font selon le souhait des clients qui sont assistés dans leurs démarches par les conseil-lers d’Unicis. Soirées dansantes, cocktail-rencontres, sorties spectacles ou culturelles (expositions, musées, etc.), activités sportives (randonnées pédestres, bow-ling, balades à vélo, etc.), week-ends de découverte, à Londres, Bruges ou ailleurs, séjours-vacances (neige, soleil, croisières…), les rencontres par les loisirs pro-posent aux adhérents de se retrouver autour de pas-sions communes.Pour conclure notre entretien, Marie-Dominique Manceau cite, Alfred de Musset qui disait : « Partons, dans un baiser, pour un monde inconnu ». Et si au fi-nal, provoquer le hasard d’une rencontre, entrouvrir les portes de ce monde inconnu, ça ne se résumait pas tout simplement à pousser la porte d’Unicis... ■

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16 • Votre info au quotidien sur castres-info.fr

Jeunesse

Insertion des jeunes

Accrocher pour ne pas décrocherIl y a ceux qui réussissent… Et Il y a ceux, pour qui l’avenir s’annonce moins rose. La faute à qui ? Les réponses sont complexes et les questions restent souvent sans réponse justement. Pourtant de nombreuses démarches sont mises en place pour que ceux qui sont très tôt, au bord du chemin, reprennent une nouvelle direction.

J par Marie-Jo Alibert

L ’insertion des jeunes, généra-lement au centre des priorités gouvernementales depuis une

quarantaine d’années, est un processus complexe en raison de sa nature mul-tidimensionnelle. Le rôle des institu-tions chargées d’accompagner les jeunes adultes est de leur permettre de décider eux-mêmes de leur orientation et des conditions de leur entrée dans la vie professionnelle.

En effet, l’insertion des jeunes touche aux domaines de l’éducation et du mar-ché du travail. Ce dernier, complexe et incertain, est soumis à des mutations technologiques et à une compétitivité mondialisée au sein d’économies dis-parates… Alors face à cette situation pouvant avoir des conséquences so-ciales dramatiques, comment accom-pagner les jeunes et comment les aider à bâtir un projet professionnel ? Quelle politique de l’éducation nationale et de l’emploi faut-il mettre en œuvre pour aboutir à une orientation et une inser-tion réussies ? Comment faire en sorte que ceux qui quittent le système éducatif

puissent continuer à progresser durant leurs premières années d’expérience sur le marché du travail ? Autant de ques-tions qui trouvent une réponse auprès de la mission générale d’insertion avec à sa tête Edwige Ablana-Bossi coordi-natrice technique d’insertion basée au lycée Rascol à Albi.

« Notre objectif est d’accueillir des jeunes sans qualification et en décro-chage scolaire à partir de 16 ans », nous explique-telle.

Un travail de fourmi qui l’an dernier a concerné 185 jeunes en rupture scolaire et une centaine qui se sont positionnés sur les actions dans le département.

Résultat. 65 d’entres-eux ont poursuivi leurs études, 21 ont choisi la voie de la formation, 4 ont eu accès à un emploi. Mais au-delà de ce constat il convient de saluer le travail réalisé en amont par l’ensemble du personnel qualifié. « Dans le Tarn nous sommes trois à travailler sur ces dossiers », continue Edwige Bossi avant d’ajouter. « Après les entretiens réa-lisés en commun avec les différents ac-teurs : la mission locale, le CIO et avec la famille du jeune demandeur, on adapte une solution. Il y a aucune obligation. Même si l’élève doit respecter un cadre, c’est nous qui devons nous adapter aux élèves et pas l’inverse. Contrairement à d’autres organismes nous avons la chance de travailler avec le temps ».

On donne les outilsPour Laurence Gouyen, coordinatrice d’action sur le bassin Tarn Nord, le

travail réalisé rencontre un franc suc-cès. En proposant un dispositif en alter-nance, les jeunes se remobilisent. « Je travaille avec des groupes d’environ 40 élèves ». Une expérience annuelle de re-motivation qui leur ouvre de nouvelles perspectives : soit ils retournent au ly-cée, soit ils choisissent l’apprentissage et dans le pire des cas ils partent. Cette dernière solution n’est heureusement pas la plus fréquente. « Nous avons beau-coup de réussite car nous leur donnons les outils. En revanche, c’est du donnant- donnant, il faut que les jeunes se donnent aussi les moyens ».

Le même dispositif est réalisé dans le sud du département avec Sylvie Beco au lycée pro Anne Veaute à Castres.

Action de qualificationLes actions d’insertion ne s’arrêtent pas à ces différents dispositifs. Des actions de qualification sont également enga-gées auprès des jeunes. En clair, en cas d’échec à un examen, Edwige Bossi per-met à l’élève de s’inscrire en candidat libre ou dans un établissement scolaire afin qu’il puisse le repasser. Une autre solution qui porte également ses fruits. « C’est de la haute couture de l’inser-tion », précise la coordinatrice. « Nous effectuons un accompagnement très per-sonnalisé. L’an dernier cette action a per-mis à 20 jeunes de retrouver les bancs du lycée ».

Comme quoi, avec des moyens, et beau-coup de volonté il arrive parfois que les choses changent… ■

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18 • Votre info au quotidien sur castres-info.fr castres-info.fr – Janvier 2013 • 19

Portrait

sa fille. C’est un dossier qui m’a énormé-ment perturbé, étant précisé que ce mon-sieur a commis des actes monstrueux alors que sa personnalité n’avait rien de monstrueuse. Avant de me lever pour le défendre, je me suis dit que ça devait être terrible d’entendre requérir la peine de mort » se souvient Yves Salvaire dont le regard se brouille au fur et à mesure qu’il évoque les terribles circonstances entourant le drame.

Passionné de sportPour sortir de ce quotidien parfois pe-sant, c’est dans sa famille et notamment avec ses trois enfants (une fille de 24 ans et deux garçons de 16 et 13 ans) qu’Yves se ressource. Autre bouffée d’oxygène, le sport tient une place importante dans sa vie. La course à pied, qu’il pratique toujours pour se maintenir en forme, le tennis auquel il continue de s’adon-ner même si ses fils prétendent que son jeu date d’une autre époque et surtout le rugby qui reste sa discipline favorite. « J’ai joué, jamais à haut niveau, au rug-by au Castres Olympique en cadets puis

ensuite en scolaire et en universitaire. Quand je suis revenu à Castres, après mes études toulousaines, presque naturelle-ment on m’a demandé d’être dirigeant du Castres Olympique. A l’époque on partait avec les joueurs en priant qu’aucune voi-ture ne tombe en panne pour qu’il y ait 15 joueurs sur le terrain. C’était un autre temps. Ce n’est pas de la nostalgie mais ce sont des moments qu’il est agréable de se remémorer.» Dirigeant dès 1984, vice-président en 1988, Yves Salvaire est au-jourd’hui secrétaire de l’association du Castres Olympique. Une passion pour les choses du sport qui a d’ailleurs bien failli donner une autre orientation à sa vie. « J’envisageais, je crois pratiquement depuis toujours, d’être journaliste spor-tif. Je suis passionné par le monde du sport. Je suis un lecteur assidu de l’Equipe même si je n’ai pas toujours le temps. Je suis généraliste en matière de sport, peut-être un petit peu moins dans les sports mécaniques où je n’y connais pas grand-chose. Mon père qui était avocat a été très adroit. Il m’a dit : “ fais ton droit avant d’être journaliste, ça pourra toujours te servir ”» explique celui qui est né le 29

mai 1956, soit deux jours après la finale de la coupe de France de football. Lors de ses études, Yves prendra finalement goût au métier d’avocat. Un choix qui lui permettra tout de même de se rap-procher, par moments, de son premier amour en participant par exemple à la commission de discipline de la Ligue Nationale de Rugby ou en défendant les intérêts de joueurs du CO. En 1992, lors de la demi-finale Toulon-Castres filmée par Canal +, un seconde ligne varois avait infligé un coup de poing qui avait occasionné une sérieuse blessure à Jean-Philippe Swiadek. Les dirigeants toulonnais ayant fait traîner les choses, une plainte avait été déposée pour faire la lumière sur les responsabilités de cha-cun et prévenir d’éventuelles futures sé-quelles. Devant les images de télévision, les magistrats avaient tranché en faveur du joueur castrais, représenté par Yves Salvaire. Une belle trajectoire pour cet enfant de Castres à qui nous souhaitons un joyeux anniversaire. Trente ans ça se fête non ? ■

Yves Salvaire

Un avocat arrivé à maturitéEn trente ans de carrière, Maître Yves Salvaire a accumulé des souvenirs qui pourraient intéresser les lecteurs les plus assidus des chroniques judiciaires. Celui qui rêvait d’être journaliste sportif ne regrette finalement pas d’avoir mis les pas dans ceux de son père pour devenir avocat.

J par Grégory Andres

T rente ans. C’est le cap profes-sionnel que vient de franchir Yves Salvaire. Inscrit au bar-

reau de Castres depuis le 13 décembre 1982. Ce pur castrais a vécu de l’inté-rieur l’évolution d’une profession qui occupe aujourd’hui le devant de la scène médiatique. Séries télévisées, procès su-rexposés ou émissions revenant sur les faits divers les plus marquants de notre Histoire, le rôle de l’avocat n’a désor-mais plus beaucoup de secrets pour le grand public qui s’est même habitué à voir ces orateurs de prétoires se muer en chroniqueurs voire en animateurs télévisuels ou radiophoniques. Le quo-tidien de ces « robes noires », aussi bien restitué soit-il sur le petit écran, n’est cependant pas limité aux projecteurs de la salle d’audience ou des grands procès criminels. Etre avocat, c’est aussi rece-voir des clients anonymes, en détresse.

Etre avocat, c’est aussi plaider devant le juge aux affaire familiales pour faire en sorte qu’une séparation, une dispute à propos de la garde des enfants ou un partage des biens se fasse dans les meil-leures conditions possibles. Bref, être avocat c’est finalement être au soutien des autres dans les moments les plus dif-ficiles de leur existence en faisant sou-vent fi de ses propres soucis, humeurs ou problèmes existentiels. A l’image d’un curé de campagne, immortalisé dans un film de Robert Bresson, l’avocat de province doit souvent avancer avec prudence pour conquérir la confiance de ses « paroissiens ». Car le lien avocat-client ne se limite pas à une note d’ho-noraires comme certaines mauvaises langues tentent parfois de le caricaturer. Le parallèle effectué ci-dessus prend en effet encore plus de relief lorsqu’on sait que l’homme de droit se transforme

volontiers en un confesseur. En trente années de carrière, Yves Salvaire a su écouter, assister et conseiller de nom-breuses âmes dont certaines l’ont plus marqué que d’autres. Rencontre avec un homme qui ne se prend pas pour un autre et tente de faire son métier le plus honnêtement possible. Dans l’ombre comme dans la lumière.

Une affaire marquanteLorsqu’on l’interroge sur les affaires qui ont marqué sa carrière, c’est invariable-ment vers le même dossier, soigneuse-ment rangé sur le haut de son étagère, qu’Yves Salvaire se tourne. « C’est un dossier de 1996. Ca fait seize ans mais je ne l’ai pas oublié. C’est une affaire où Monsieur X. était poursuivi pour avoir, avec préméditation, assassiné son épouse et deux de ses enfants et tenté d’assassiner

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SEATLa Seat Toledo 4 et la nouvelle Leon, troisième génération, toutes deux sorties en décembre ont été entièrement revues. « Chaque marque a une griffe. La Leon aime le style jeune, sportif et dyna-mique et c’est le designer qui a des-siné la Lamborghini qui a retra-vaillé le look de la Leon », explique Damien Delaprez, commercial à la

concession Seat d’Albi. Au ni-veau des motorisations, elles ont toutes deux été revues afin d’être plus écologiques et plus performantes. Côté prix, comptez à partir de 13 990 € pour la Toledo 4 et à partir de 15 290 € pour la Leon der-nière génération.

TOYOTALa nouvelle Toyota Auris sera la grosse attraction du premier tri-mestre 2013 pour la marque. Avec un tout nouveau look, elle sera plus grande, plus basse et plus sportive. Elle se déclinera en version break. Ces deux modèles existeront en trois motorisations: essence, diesel et hybride. Désormais, la gamme Toyota comptera six modèles

hybrides: la Yaris, la Prius, la Prius Plus (monospace), la Prius rechar-geable (avec un moteur essence et un moteur électrique), l’Auris et l’Auris Break. «En 2012, cinq mil-lions de voitures hybrides ont été ven-dues dans le monde par Toyota, et la marque se place comme le construc-teur mondial n°1», souligne Pascal Cornil, directeur des concessions

Toyota d’Albi et Castres. «Avec ces tout nouveaux modèles hybrides, les émissions de CO² sont très faibles, tout comme la consommation de carburant», note Pascal Cornil. A partir de début janvier, la nou-velle Auris sera vendue à partir de 18 000€ environ.

OPELChez Opel, tous les goûts sont per-mis en 2013. L’Opel Mokka, dont la sortie est prévu courant janvier, aura la plupart des avantages du 4X4, mais sans les inconvénients. «Cette voiture fait partie des SUV. Elle ressemble à un 4X4 mais c’est en réalité un 4X2 qui consomme comme une berline. Elle a même reçu la note maximale, cinq étoiles, au test Euro NCAP», ex-plique Didier Baïsse, res-ponsable de la concession Opel d’Albi. La version Édition de ce modèle est à partir de 18 990€. Quand aux amoureux des quatre roues motrices, pas de panique, Opel a prévu le Cosmo Pack en 4X4 et boîte mécanique six

vitesses à partir de 27 040€.

Avec l’Adam, Opel compte bien atti-rer un public jeune et citadin. «On habille sa voiture comme on veut. On peut choisir entre autre la cou-leur des tissus, du pavillon, des rétro-viseurs», poursuit Didier Baïsse. Si la version «Nature» de cette petite

berline débute à 10 990€, la ver-sion «Glam» séduira davantage un public féminin de quadragénaire avec son côté glamour. La version «Slam», c’est la version sportive, et la «Jam» le modèle qui vise les jeunes avec un système Start&Stop. Les différents modèles de l’Adam auront des moteurs essence et les

trois versions personnalisables seront vendues à partir de 15 900€.

Pour finir, Opel mise sur le côté chic de la Cascada Cabriolet qui sera équipée d’une capote en toile. «C’est un cabriolet quatre places d’une certaine noblesse avec le pres-tige de ceux des années 1950 et 1960». Elle devrait être com-mercialisée à partir de juin.

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Petite citadine ou grand monospace, SUV ou véhicules utilitaire, la nouvelle année s’annonce très diversifiée en matière d’automobiles. Quant aux motorisations, il y en aura pour tous les goûts, de l’essence à l’électrique en passant par l’hybride et la diesel. Voici quelques-unes des voitures qui feront leur apparition dans les concessions, courant 2013.

par Roxane Nicolas

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FORDDu côté des concessionnaires Ford, le SUV Ford Kuga et la nouvelle Fiesta seront les derniers arrivés de la marque. Le nouveau Kuga sera moins cher que l’ancien à équipe-ment équivalent et sera plus respec-tueux de l’environnement avec un moteur diesel qui produira moins de 100g d’émissions de CO². « Ce vé-hicule sera plus habitable, plus mo-derne et équipé d’un système d’aide au maintien dans la file de circula-tion et d’un système d’aide pour se garer. La nouveauté c’est qu’il sortira aussi en modèle essence à partir de 24 690€ », indique Laurent Thomas, directeur de la concession Ford d’Albi. Cette nouvelle gamme aura

deux nouvelles couleurs: le «Burnished Glow» et le «Ginger Ale».

« La nouvelle Ford Fiesta est aussi l’un de nos grand lancement de l’année avec un design plus racé, plus moderne. Elle sera désor-mais équipé du système Sync. En cas d’accident, il permettra d’appeler les secours directement grâce au bluetooth. C’est typiquement américain », note Laurent Thomas. Quant aux couleurs, le «Bleu Candie» et le «Copper Plus» feront leur appari-tion. « Ford a voulu mettre plus de

couleur pour égayer ce monde de brutes ». La Fiesta sera vendue à partir de 11 750€.

CITROENChez Citroën, le C3 Picasso a été restylé, la face avant changée, et le moteur a été amélioré pour dimi-nuer les émissions de CO2. Il sera commercialisé à partir de 12 990€ sous conditions de reprises à partir de mars 2013. Nouveau look pour la DS3 qui se déclinera désormais en version «Cabrio» avec le toit découvrable, où la toile person-nalisable se repliera en dix-huit secondes. «Avec la DS3 Cabrio, on reprend notre modèle phare qu’est la DS3 actuelle, et la partie centrale du toit sera découvrable. Deux nou-velles couleurs vont faire leur appa-rition pour pouvoir personnaliser sa voiture, le «bleu infini» et le «gris moon dust », souligne Julien Fabres,

vendeur à la concession automobile Citröen d’Albi. Elle devrait sortir à la fin du premier trimestre à partir de 18 800€. Pour le C4 Picasso qui

sera en concession à la fin du deu-xième trimestre, « ce sera la surprise parce que nous n’en savons pas da-vantage », assure Julien Fabres.

RENAULTEn 2013, Renault lance deux mo-dèles: la Clio Estate et la Zoé. « La Zoé est une citadine équivalente en terme de gabarit à la Clio mais elle est 100% électrique et a une grande capacité d’autonomie », explique Jérôme Rivière, directeur de la concession Renault de Gaillac. Chez Dacia, le Sandero Stepway, un petit 4X4 de ville, le Sandero Dokker (l’équivalent du Kangoo) et le Sandero Dokker Van (à destina-tion des professionnels) feront leur apparition.

SN Diffusion, leader de la vente de véhicules d’importation dans le Grand Sud

Il y a vingt-deux ans, Didier Sirgue s’est lancé dans l’aventure automobile « seul et sans un sou ». Aujourd’hui, son entreprise SN Diffusion est numéro Un de la vente de véhicules d’im-portation neufs et occasions récentes dans le Grand Sud et emploie quarante-cinq personnes dans ses six agences. « Nous sommes une entre-prise qui embauche. Grâce aux cinq mille véhi-cules vendus en 2012, notre chiffre d’affaire a augmenté de 25% par rapport à 2011, et j’ai pu recruter treize personnes supplémentaires », ex-plique le créateur de SN Diffusion, Didier Sirgue. Avec leur devise « Le plus grand choix au meilleur prix », SN Diffusion a su gagner la confiance des clients. « Nous sommes consultés par énormé-ment d’acheteurs. La réputation est très impor-tante dans le milieu de l’automobile. Les gens ont besoin d’avoir confiance en nous et nous leur de-vons un service de qualité », insiste Didier Sirgue. Le service de qualité justement, c’est l’un des cheval de bataille du gérant qui a mis en place un service après-vente de sept personnes sur Albi. Avec un rapport qualité-prix et la disponibilité de plus de mille véhicules en stock, SN Diffusion s’assure de répondre au mieux aux attentes de sa clientèle. « Il est difficile de faire des pronostics dans cette période actuelle, mais notre objectif pour 2013 est que l’année soit au moins aussi bonne que celle qui vient de s’écouler », conclut Didier Sirgue.

LE MOT DES EXPERTSSerge Serres, gérant de Dekra contrôle technique d’Albi et Réalmont et d’Auto-Sécurité

A quelle fréquence doit-on soumettre une voiture au contrôle technique?

Le premier contrôle technique d’une voiture neuve se fait au bout de quatre ans. Au delà, c’est tous les deux ans pour pouvoir circuler, et il est valable six mois si on souhaite vendre le véhicule. Pour les véhicules uti-litaires, il y a un contrôle chaque année, .

Qu’est-ce qui est regardé lors d’un contrôle technique?

Nous commençons tout d’abord par l’identification du véhicule, vérifier que les numéros de série correspondent bien aux papiers. Ensuite, nous vérifions l’éclairage, le freinage, les cein-tures de sécurité, la direction, la signalisation, l’état des pneu-matiques et de nombreuses autres choses. En tout, ce sont 124 points de contrôle qui nous permettent de voir la fiabilité du véhicule, dont 72 sont soumis à contre-visite.

Quels conseils pourriez-vous donner avant de présenter son véhicule?

On peut avant tout vérifier toutes les ceintures de sécurité, voir si elles ne sont pas craquelées, si elles se déroulent et s’attachent correctement par exemple. Ils faut ensuite vérifier l’éclairage ainsi que l’état des pneuma-tiques. Si tout fonctionne, cela enlève pas mal de points sou-mis à la contre-visite.

Où en est le marché du contrôle technique?

Nous sommes de plus en plus nombreux à faire le même mé-tier et il n’y a pas autant de voi-tures qu’avant. La prime à la casse il y a quatre ans nous a fait perdre beaucoup de véhi-cules et la situation ne revien-dra probablement pas comme avant. Quoi qu’on en dise, je pense que la tendance est plu-tôt à l’achat de véhicules neufs.

On les attend aussi en 2013

Dacia :

- Logan et Sandero

- Dacia Logan MCV : grande idée

Skoda :

- Skoda Rapid

- Skoda Octavia

Mercedes : Classe B

Nissan :

- Nissan Pathfinder

- Nissan Sentra

- Nissan Note

Audi : A3 coupé 4 portes

Volkswagen :

- Beetle Cabriolet

- Exclusive : Golf R

Honda : Honda Crosstour

Fiat : Deux nouvelles versions de la Fiat 500 sont annoncées dont une plus grosse et une électrique.

Peugeot : 208 GTI, 308, 3008

BMW : Série 6 Grand Coupé

Mini Cooper : Mini Countryman

Ford : C-Max Hybride

Smart : Fortwo et Forfour : mariage heureux

KIA : Carens

Suzuki : S-Cross

24 • Votre info au quotidien sur castres-info.fr castres-info.fr – Janvier 2013 • 25

Quartier

David, TV, électro-ménager - Le service et la proximité

« J’ai repris les affaires de mon oncle en janvier 2011. Le magasin faisait dépan-nage TV, antenniste et réception satel-lite ; j’y ai ajouté HIFI, électro-ménager, chauffage et alarme. La dimension de proximité est évoquée par l’enseigne per-sonnalisée, nous y répondons par la cha-leur de l’accueil, le savoir-recevoir ».

« Pour ce qui est du quartier, il y a une très bonne mentalité. On n’y constate pas une plus grande animosité qu’ailleurs. Les jeunes y sont beaucoup présents. Ce qui contribue à l’apaisement, c’est aussi le jar-din du Mail qui n’est pas loin, un véritable poumon pour la ville. La proximité des commerces font que les gens y viennent à pied, même de la Villégiale (maison de retraite) ».Outre les animations commerciales en lien avec le CORAC et la CCI, David manifeste un vif intérêt pour la vie spor-tive, lui qui est 2ème dan de karaté : « J’aide l’Aviron Castrais, la boxe, le foot de Lagarrigue et de Lautrec. Habitant St Julien-du-Puy, je participe aux activités de karaté de Mondragon où mon fils est licencié; j’y apporte une aide adminis-trative. Au final, j’essaie de redonner par le biais associatif ce que j’ai moi-même reçu ». Le magasin a été lancé avec l’aide de

l’association Tarn entreprendre. Tarn entreprendre a été créée sur le modèle de Nord entreprendre en 1997. 45 as-sociations sont fédérées dans le réseau Entreprendre depuis 1998. Avec des chefs d’entreprise ; le tout représente plus de 7000 adhérents. Son coordon-nateur pour le Tarn est Alain Maillé ; la présidente en est Marie Le Grand. La structure reçoit un appui financier de la part de Pierre Fabre. « Ce dernier fait beaucoup pour l’économie de Castres et du Tarn en général, confie David ; d’ail-leurs, si je suis là, c’est un peu grâce à lui ».

Samuel, coach sportif- Pour la posture et le bien-être« Le quartier Soult ? C’est un petit quar-tier calme où je réside pendant ma jour-née professionnelle de 7h à 22h. Le jar-din est très fréquenté. Il y a un côté vert agréable ». Samuel, le coach, voit le quartier s’animer aux moments fors de la fête foraine, du marché aux fleurs et des concours de pétanque. Le marché constitue un lieu privilégié d’échange et de rencontre, notamment pendant le mois de juillet. Petit désagrément pour ce riverain dont les fenêtres donnent sur la gare des bus: « L’été, il est impossible de laisser les fenêtres ouvertes en raison du bruit. »

Isabelle, assistante de direction - Un goût marqué pour les belles demeures et les beaux arbres

« J’ai un faible pour les belles demeures », confie cette jeune femme, amoureuse du quartier et de ses maisons de caractère. Travaillant sur Lavaur, elle prend quotidiennement le train, un moyen de transport commode et moins stressant que la voiture. Adepte des déplacements doux et de la marche à pied, elle a

plaisir à circuler le long du jardin du Mail, qu’elle qualifie de petit poumon du quartier, avec ses arbres vieux et majestueux et son aire ludique attirant les enfants. « En dix minutes, je peux atteindre tous les commerces, banque et autres commodités. Ce quartier est très attractif et l’on reçoit des sollicitations des agences immobilières pour acheter des appartements. On y trouve une population mélangée avec pas mal de jeunes. Seul petit bémol : l’absence de boulangerie de ce côté-ci du Mail, il faut aller à Roulandou ». ■

Quartier Soult

Il cultive ses passions en-dehors de l’écussonSitué à l’entrée ouest du centre-ville, ce quartier de passage affiche ses atouts. Il veut développer ses talents et croire à sa prospérité même si son territoire se situe en-dehors du centre, de l’écusson.

J par Pierre-Jean Arnaud

L e jardin du Mail longe l’ave-nue de Gaulle qui se dédouble comme pour mieux enserrer ce

sillon de verdure. La place Soult prend naissance en bordure de l’écusson, au départ des D612 et D622. Dans ce quar-tier à dominante administrative et com-merçante, se déploie une vie associative et culturelle, teintée d’hispanité; la Casa de España y propose ses activités : ate-liers, Sant Jordi le 23 avril, expositions, fête annuelle ainsi que son journal « El abanico ». Les mois de décembre et de juillet voient les commerçants du mar-ché déporter leurs étals colorés de la

place Jean Jaurès à la place Soult. Pour affiner notre connaissance du quartier, allons à la rencontre de quelques acteurs de cette vie locale.

Bruno, brasserie Côté Jardin- un endroit stratégique« Je travaille ici depuis 1994 en tant que serveur. Devenu gérant en 1998, j’ai ra-cheté le fonds en 2008. C’est ici un bon emplacement dans un quartier en bor-dure du centre et de plus en été, c’est une des rares places ombragées. Par rapport à « l’écusson », pour les habitants, c’est plus tranquille, mais plus calme aussi pour les commerçants ».

Pierre Garcia, Billard club castrais : essaimer en milieu scolaireCréé en 1977, le Billard club castrais comprend une vingtaine d’adhérents adultes mais il est en train de se tail-ler un beau succès auprès des scolaires avec plus de 40 jeunes de moins de 15

ans. Cette politique d’essaimage porte ses fruits puisque « au total, ce sont 56 établissements qui sous ma direction ont été initiés au billard en France », rap-pelle Pierre Garcia, moniteur d’Etat et président du Billard club castrais. Dans le Tarn, outre le collège des Cèdres qui fut le pionnier en France en 1987, on compte parmi les collèges initiés, Jean Jaurès de Castres et la Catalanié à Brassac. Issus de cette filière scolaire, deux jeunes joueurs tiennent actuelle-ment la vedette : Bilitis Darcy et Denis Rodriguez, tous deux âgés de dix-sept ans. Bilitis Darcy est engagée en cham-pionnat de France féminin, elle a été classée 6ème à Lille et 4ème à Troyes, la finale se disputant à St Maur.

Patrick, brasserie Marso - ouvert à tous-

« Installés depuis fin mars, où nous avons repris la Taverne de Maître Kanter, nous effectuons nos débuts commerciaux ; notre brasserie est ouverte midi et soir.

castres-info.fr – Janvier 2013 • 2726 • Votre info au quotidien sur castres-info.fr

Publi-reportageParoles de Castrais

Sud Alu PVC

L’union de la compétence et de la qualitéJean-Louis Cesses et Jean-Michel Cousin ont réuni leurs compétences en 2000 pour fonder une entreprise qui fait désormais référence à Castres en menuiseries PVC et aluminium, volets roulants, portes, persiennes...

Quand un dessinateur, métreur et conducteur s’associe avec un artisan menuisier, le résul-tat est forcément à la hauteur des espoirs fon-

dés dans la nouvelle entité. On est en août 2000 et la SARL Sud Alu PVC vient de naître au 37, rue de l’Indus-trie. Depuis, au coeur de la zone de Mélou, la petite entreprise a prospéré pour employer aujourd’hui six personnes dans des locaux fonctionnels. « C’est Jean-Pierre Auriol et Jean-Claude Marty, mes anciens em-ployeurs chez Somalu, qui m’ont suggéré de m’instal-ler, se souvient Jean-Louis Cesses, un des co-gérants. Somalu faisait travailler Jean-Michel Cousin en tant que sous-traitant. Nous nous sommes associés pour créer notre activité. » Sud Alu est devenu un client de Somalu, avec qui les deux entrepreneurs travaillent en bonne intelligence.

Le personnel de l’entreprise est constitué, outre des deux gérants, Jean-Louis Cesses et Jean-Michel Cousin, d’une secrétaire, de deux poseurs et d’un ap-

prenti poseur.

Un savoir-faire étenduL’entreprise de Jean-Louis Cesses et Jean-Michel Cousin intervient dans de nombreux domaines qui vont des menui-series PVC et aluminium, en passant par les volets roulants

et battants, les persiennes, les portes d’entrées et de garage, les portails de clôture, les garde-corps, les moustiquaires...

Les matériaux utilisés sont le PVC (60 %), l’aluminium (35 %), autres (5 %).

Une clientèle de particuliers à 90 %Sud Alu PVC oeuvre essentielle-ment chez les particuliers, qui re-présentent 90 % de ses clients. Les 10 % restants sont des architectes, des administrations et des entre-prises. Les Laboratoires Pierre-Fabre font partie de ces-dernières.

Des prestations et des matériaux de qualité « Nos prestations sont réalisées avec des matériaux de très bonne qualité, insiste Jean-Louis Cesses. Des dé-lais respectés et des finitions soignées sont deux des critères essentiels que nous garantissons à nos clients, afin qu’ils obtiennent une entière satisfaction. » ■

Quartier Soult

Paroles de CastraisJ par Pierre-Jean Arnaud

Ghislaine et Isabelle, le must des produits laitiers« Le mardi à Mazamet, le mercredi à Puylaurens, le vendredi et samedi à Castres, nous sommes sur le marché depuis 40 ans. C’est bien sûr plus calme à Jean Jaurès, où l’on n’a pas les mêmes

vitrines. Ici, l’on perçoit davantage les bruits de fond, le vacarme de la circula-tion. Mais les clients nous suivent quelque soit notre emplacement. C’est agréable…un marché sans frontières »

Richard, primeur un professionnel confirmé

« Ici à Soult, le stationnement est plus fa-cile, mais les anciens préfèrent rester sur Lameilhé ».

Gilles, marchand de fruits et de saveurs tout en couleursChez lui, couleur rime avec bonheur ; bonheur de la table avec les fruits qui fleurent bon le Midi et la Provence ; ses olives font envie et ses plateaux de fruits secs multicolores invitent à la fête. « Ici, le marché est plutôt bruyant ; on est là 4 semaines l’hiver et 3 semaines l’été. Comme message, j’aimerais dire que

finalement, on préfèrerait rester sur la place Jean Jaurès, plutôt que d’avoir à se déplacer 2 fois par an ».

Jean-Marie, amateur d’olives et de lupinsCe professeur d’espagnol à la retraite qui a enseigné à la Borde Basse et à la fac d’Al-bi, est un consommateur éclairé, incol-lable sur les différentes variétés d’olives : « J’apprécie les Lucques (Provence), pit-cholines (olives aromatisées) qu’il trouve sur le marché; il se régale également de fèves de lupins que l’on appelle altramuces dans la langue de Cervantès (altramuz dans sa forme au singulier). Je préfèrerais que le marché reste à Soult car j’habite au Mail. Pendant la fête foraine de mai, je regrette les dégradations dess pelouses ».

Mylène, lycéenne en « accueil clients-usagers » à Anne VeauteCette mazamétaine qui se destine aux métiers de l’accueil, trouve le quartier agréable mais avec beaucoup de pas-sage, la gare routière étant jugée « un peu vieille ». « On fait appel à notre classe pour des événements qui se tiennent à la

salle Gérard Philippe ». Cette jeune spor-tive du Boxing club de Mazamet appré-cie que ce quartier soit bien positionné entre parc du Mail et centre-ville.

Jérémy, étudiant en soins infirmiers et membre des « Casse-museaux »« Le quartier assez tranquille sauf le week-end. Tout est à portée de la main. Actuellement, petit changement dans nos habitudes, l’enlèvement des ordures ménagères est devenu hebdomadaire au lieu de quotidien ». Cet étudiant en formation rue Soeur Richard à l’Institut de soins infirmiers, réside dans le quartier, avenue général de Gaulle. Jérémy parle de son origine brassacoise. « A Brassac ou plus précisément à Biot, petit village du Sidobre, il existe une spécialité « le casse-museau » à base de lait caillé de brebis ; j’ai d’ailleurs vendu ce délicieux gâteau pendant les mois d’été, sur le marché Soult.« Les Casse-museaux », c’est aussi le nom d’un groupe de rock festif dont je fais partie en tant que chanteur ; nous avons donné un concert hier soir vendredi 14 décembre à l’Irish pub the Quai ». ■

SARL SUD ALU PVC37, rue de l’Industrie, 81100 Castres

Tél : 05 63 72 06 22. Fax : 05 63 72 22 49

[email protected]

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agenda

Mardi 22 janvier à 21hThéâtre municipalDanse

BALLET OPERA NATIONAL DE KIEV. DON QUICHOTTE

Distribution : 50 artistes ; durée : 2h10 avec en-tracte. Fondée en 1994, cette prestigieuse compa-gnie, composée de danseurs issus pour la plupart du Bolchoï, se produit sur les plus grandes scènes du monde. Les étoiles du Ballet de Kiev revisitent une oeuvre emblématique du répertoire et nous entraînent à la rencontre du héros de Cervantès, Don Quichotte, le vieux chevalier excentrique ob-sédé par l’idéal de la chevalerie, hanté par la vision d’un amour utopique. Un ballet haut en couleurs à découvrir en famille. Présenté par NP Spectacles et la Ville de Castres

TN : 26 €, TR : 24 €, TA : 22 €, TE : 17 €,TJ<12 ans : 13 € Places numérotées

Dimanche 27 janvier à 17H30Théâtre municipal Musique

QUATUOR PSOPHOS ET DENIS PASCAL, PIANO

Reconnue comme l’une des meilleures jeunes for-mations à cordes d’Europe, le Quatuor Psophos, lauréat du premier Grand Prix du Concours International de Quatuor à Cordes de Bordeaux, s’est propulsé sur le devant des scènes internatio-nales. Denis Pascal se produit en France et dans le monde entier comme soliste et comme musicien de chambre. Pédagogue unanimement apprécié, il a été nommé professeur de la classe de piano du Conservatoire National Supérieur de Musique (CNSM) de Lyon, puis de celle du CNSM de Paris.

Jeudi 31 janvier à 21hThéâtre municipalDanse

ELEKTRO KIF

Après Macadam Macadam, métissage réussi du hip-hop et du contemporain, Blanca Li, toujours à la croisée des styles, s’empare de l’élec-tro dance. Avec Elektro Kif, la chorégraphe se plonge à nouveau dans l’univers de la danse urbaine, sa diver-sité stylistique, son inventi-vité créative constamment renouvelée. En une série de séquences vives, Elektro Kif raconte une journée à l’école, du cours de mathématiques au match de basket, en passant par un déjeuner irrésistible à la cantine. Huit dan-seurs virtuoses, à l’énergie intarissable, entraînent le public dans une composition époustouflante de vigueur et de spontanéité.

Réservations : 05 63 71 56 58 ou 05 63 71 56 57

L’agenda des sortiesMardi 15 janvier à 21hThéâtre municipalThéâtre

LES FEMMES SAVANTES

A la lueur vacillante de 180 bougies, et au son an-cien du luth, de la taille, du hautbois…, la Fabrique à théâtre revisite l’oeuvre de Molière. Les Femmes savantes retrouvent dans cette mise en scène ba-roque tout l’éclat et la spiritualité de leurs origines. Ces Femmes savantes réinventées sont aussi le lieu d’un passionnant débat contemporain de société.

Peut-on concilier féminité et féminisme, matérialité et élévation de l’esprit, carrière et famille ? Quelle est la place des femmes et des hommes dans le couple et la société ? Que se passe-t-il lorsque l’on manque d’éducation ? Autant de questions toujours actuelles. Diction et gestuelle codifiées, visages fardés de blanc, perruques à la Fontange, maquillages outranciers, costumes d’époque raffi-nés…avec une joie communicative, les comédiens de la Fabrique à théâtre nous offrent une merveil-leuse reconstitution de l’oeuvre de Molière. Un brillant divertissement

Grand Siècle. Un spectacle RARE, à découvrir absolument !

Durée : 2h15 sans entracte(Séance scolaire : 1h40)

Samedi 19 janvier à 21h Théâtre municipalThéâtre

LADY OSCAR

Clara Barnier, icône de la mode et de la haute couture, ancien top

modèle et créatrice du célèbre magazine Lady Mode est réputée pour avoir le verbe aussi haut que ses talons ! Alors quand un matin, son comp-table vient la réveiller pour lui demander la main de sa fille, le week-end commence mal, très mal…Les quiproquos et les situations délirantes s’en-chaînent alors à vive allure pour notre plus grand plaisir dans ce classique de la comédie revisité sur mesure pour Amanda Lear.

1re série : TN : 41 €, TR : 38 €, TA : 35 €, TE : 27 €, TJ<12 ans : 23 €2e série : TN : 38 €, TR : 35 €, TA : 32 €, TE : 24 €,TJ<12 ans : 20 €Places numérotées

Samedi 26 janvier à 20H30Salle Gérard PhilipeConcert

ALAIN SOUCHON

Figure majeure de la chanson française, Alain Souchon est l’auteur d’inoubliables succès. Avec ses textes finement ciselés, empreints de poésie, il parvient à alléger et à enchanter le quotidien. Ses chansons sont d’une parfaite élégance et sur scène, l’homme est de même. Alain Souchon semble toujours dire : « J’ai dix ans ». Entouré de deux musiciens, Alain Souchon nous convie à un tour de chant intimiste et émouvant et nous offre l’occasion de redécouvrir ses plus grands succès.

TN : 38 €, TR : 35 €Places numérotées

MAQUILLAGE

PERMANENT130ۈ partir de

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JANVIER AU BOLEGASON

Vendredi 18 janvier à 20h30Lo BolegasonMusique

CONCERTS : MASS HYSTERIA / DWAIL / UNZEN

Mass Hysteria : retour en force d’un groupe phare du métal français ! Avec L’Armée des Ombres, Mass Hysteria retrouve sa recette d’origine : métal industriel, samples, riffs exacerbés et textes en français, toujours vindicatifs. Un live massif et puis-sant ! http://www.masshysteriaofficial.com

Dwail : sélectionné au tremplin du Hellfest, Dwail, groupe toulousain de métal hardcore vous dévoile en avant première son second opus, mix unique de sonorités lourdes, véloces et déstructurées !

Unzen : quintet porté par une voix féminine, accom-pagné par Lo Bolegason, Unzen est un groupe de rock progressif aux compositions musclées et té-nébreuses. http://fr.myspace.com/unzen

Tarif C

Samedi 26 janvier à 20h30Lo BolegasonMusique

CONCERTS : NAÏVE / UNOFFICIAL PROJECT / THE FLORENTINES

Naïve : formation toulousaine plébiscitée, notam-ment grâce à son album « The End », Naïve navigue entre différents courants musicaux dont les trois majeurs sont le trip hop, l’électro et le métal.

Unofficial project : influencé par le rock alternatif et indie de Radiohead et Ghinzu, The Unofficial Project modèle depuis 2008 un rock saturé aux mélodies mélancoliques.

The Florentines : lauréats du Rock in Tarn 2012, The Florentines reviennent au Bolegason faire vibrer le public au son de leur pop mâtinée de new wave, de surf music et de punk.

Gratuit

Jeudi 31 janvier à 20h30Lo BolegasonMusique

CHANSON FOLK EMILY LOIZEAU / LINA AND…

Emily Loizeau : des ballades folk, peuplées d’ani-maux sauvages, baignées par une nature colo-rée… Voici l’univers poétique et surréaliste d’Emi-ly Loizeau, chanteuse franco-anglaise à la voix doucement éraillée. Un voyage au fil d’histoires faussement légères bercées par des mélodies enchantées…

http://www.emilyloizeau.fr

Lina and… : une ambiance surannée, un son de pia-no jouet, une voix inoubliable… Le duo Lina and… vous invite à un vagabondage musical joyeusement mélancolique, un peu jazz, un peu folk…

Tarif B

Samedi 2 Février à 20h30Lo BolegasonMusique

CONCERTS : DALLAS FRASCA / RANDY H

Dallas Frasca : sur scène, avec son look de chan-teuse punk, Dallas Frasca conjugue sa voix puis-sante à un blues rock primitif issu de ses racines underground. Trois ans après avoir reçu The Australian Music Awards, cette bombe sonique is-sue des terres aborigènes arrive en France et passe au Bolegason !

http://www.dallasfrasca.com

Randy H : guitariste et chanteur Tarnais, connu pour ses collaborations avec Neal Black, Randy H vient présenter ses derniers titres blues rock aux influences rumba, folk et funk.

Tarif D

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