Attention aux chutes ! Elles pourraient vous surprendre… Les élèves se sont inspirés de courts récits écrits par Bernard Friot (Histoires pressées…) et d’autres auteurs de nouvelles à chute (Anna Gavalda, Dino Buzzati, Ray Bradbury, Alphonse Allais, Roald Dahl,…). Le principe était de toujours trouver une chute amusante, décalée, bizarre, étonnante à l’histoire… Et si vous les lisiez ? Et si vous en écriviez vous aussi ? Allez voir : http://bernardfriot-fabriqueahistoires.com/ Le site de notre école : http://www.ecoles-courcy-brimont.fr/ Bonnes lectures !

ATTENTION À LA CHUTE

ATTENTION À LA CHUTE

École élémentaireÉcole élémentaireÉcole élémentaireÉcole élémentaire

«le Village»«le Village»«le Village»«le Village» CM2CM2CM2CM2 COURCYCOURCYCOURCYCOURCY 2012201220122012----2013201320132013

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Fiche signalétique

Titre du livre : ATTENTION À LA CHUTE Coordonnées de la coopérative OCCE Coopérative scolaire scolaire ou du foyer coopératif École élémentaire « le Village » 3, place de la Mairie 51220 COURCY ce.0510312m@ac-reims.fr Noms et prénoms de tous les élèves auteurs

Nom et prénom de l’enseignant responsable : MONNET Jean-Denis Date de la réalisation : entre octobre 2012 et février 2013 Livre numéro : A51-167-Cycle3

BARALLE Maurine GOMÈS Clara

BARRÉ Marie HENRIOT Alicia

BASS Delphine KOHLER Coraline

BÈZE Mélody LAGIRARDE Clément

BONNET Justine LAGIRARDE Émilien

CHAIRON Diane LAGIRARDE Valentin

CHENIVESSE Alexandre NOAILLON Antoine

CRÉQUY Antoine NOGAS Chloé

FAUVET Sarah PHILIPPOTEAUX Antoine

GARNOTEL Victor ZWALD Kilian

GEBHART Simon ZWALD Méllissa

ATTENTION À LA CHUTE

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Méllissa Zwald

que pour voir... Je les enfile, et là, elles me serrent les pieds... Et tout à coup, je me sens bizarre… Malheur ! Je suis devenu un garçon ! - Oh zut ! Maintenant, je vais être obligé de jouer aux jeux vidéos et au foot !

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Je n’aime pas les garçons ! Je m'appelle Samantha, je déteste les garçons ! Il n'y a que le foot qui les intéresse et les jeux vidéos. Impossible de discuter avec eux, on ne peut jamais parler des autres sports, des poupées, des vêtements, des chaussures... En parlant de chaussures, on a décidé, avec maman de me commander sur Internet une nouvelle paire de bottes. Je suis trop contente ! Sur l'écran de l'ordinateur on choisit une paire de bottes : elles sont superbes : à la mode, en cuir et avec de la fourrure ! Il y a quelques jours d’attente, ça va être long. Je suis impatiente de les recevoir ! Trois jours plus tard, le facteur a déposé un colis à la maison. Je suis dans ma chambre, maman m'appelle : - Viens voir ce que tu as reçu. Je descends. Impatiente, je commence à déballer le colis. Je l'ouvre et là... je découvre… des chaussures de foot !!! - Quelle horreur !!! - Oh, ce n'est pas bien grave, me dit maman en riant, ils se sont trompés, on les échangera. C'est amusant, regarde, c’est ta pointure, tu devrais les essayer. On ne sait jamais, si tu décidais de les garder... - Ce n’est pas drôle, maman ! Je ne suis pas un garçon ! Lorsque maman est partie, je les essaye quand même, rien

page Le cauchemar ........................................................4 Un fantôme ............................................................6 Un petit garçon ......................................................8 Charme ................................................................10 Poursuite au Far-West ..........................................12 La tornade ...........................................................14 Mauvaise journée .................................................16 Le Tire-poils .........................................................18 Le voyage .............................................................20 Le cimetière .........................................................22 L’expédition .........................................................24 Matthieu et Stéphanie ..........................................26 Le Centre équestre ..............................................28 L’anniversaire ......................................................30 Ouf ! De justesse ! ................................................32 La machine à remonter le temps ..........................34 Le Dragon ............................................................36 Que se passe-t-il ? ................................................38 À la piscine ..........................................................40 Le kidnapping ......................................................42 Théo et Valentin ...................................................44 Je n’aime pas les garçons ! ..................................46

ATTENTION À LA CHUTE

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Le cauchemar C’est le soir, dans mon lit, je m'endors. Plus tard, dans la nuit, je me réveille. Je sors, je vais me promener dans le jardin. Lorsque je reviens, je vais voir le chien dans sa niche. Je lui dis : - Tu n’as pas de soucis toi… Qu'est-ce que j'aimerais être à ta place ! Tout à coup, la foudre tombe dans le jardin. Je me rends compte que je suis devenue le chien. - Qu'est-ce qui m'arrive ? crie ma voix. Et là, je me rends compte que nos personnalités ont changé de corps. Qu'est-ce que je vais devenir ? Affolée, je sors de la niche, je passe vite entre les jambes de mon corps et à toute vitesse je monte les escaliers pour aller gratter à la porte de la chambre de mes parents. Mon père ouvre la porte : - Qu'est-ce qui se passe, Yochi ? Comment es-tu entré ? Pour essayer de me faire comprendre, je me mets à « chouiner ». Pourvu qu’il réalise qu’il se passe quelque chose… Mon corps arrive... Et j'entends ma voix qui dit : - Il m'a échappé, je vais le remettre dans sa niche. Vite, j'essaye d'échapper à mon corps en passant entre les jambes de mon papa et je lui saute dessus pour attirer une nouvelle fois son attention. Papa essaye de m’attraper, je tourne autour de lui en courant. Puis il me vient une idée : je vais chercher un chausson dans ma gueule et je lui dépose à ses pieds. Surpris, il s'exclame : - C'est bien la première fois qu'il rend service ! Mais il va me les abîmer et me mettre de la bave dessus ! Papa me prend dans ses bras. Ouf ! Je vais peut-être pouvoir m'en sortir. Hélas ! Il me met dans les bras de mon corps. - Remets-le dans sa niche et attache-le bien pour ne pas qu'il se sauve. - Oui papa, répond ma voix. En m'attachant à la niche il se met à me narguer :

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Kilian Zwald

se remet à jouer tranquillement avec sa peluche. En fin d’après-midi, sa maman vient dans sa chambre et lui demande : - Où est Valentin ? - Il est reparti chez lui tout à l’heure, affirme Théo tout en caressant le ventre un peu plus gros de sa peluche...

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Théo et Valentin Théo se lève, déjeune et va jouer dans sa chambre avec sa peluche préférée : C'est un gros ours au ventre bien rebondi. Quelques heures plus tard, sa maman l'appelle pour venir manger. Son copain Valentin vient le chercher, ils ont prévu d’aller faire du vélo jusque 16h00. Ils vont dans le parc et tout l'après-midi jouent comme des petits fous. Théo propose à Valentin de l'inviter à goûter chez lui. Valentin est ravi et accepte, son nouvel ami Théo est décidément très sympathique. Après le goûter. Théo fait découvrir sa chambre à Valentin et surtout sa peluche : - Mes parents me l'ont achetée dans une brocante l’année dernière, le vendeur a dit qu'elle était très spéciale. Regarde son gros ventre, si ça se trouve c'est une ourse qui attend des oursons... Théo annonce à Valentin qu’il va aux toilettes et sort de sa chambre. Pendant ce temps, Valentin observe attentivement la peluche... Lorsque que Théo revient, quelques minutes plus tard, il

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Maurine Baralle

- Ah ! Tu voulais être à ma place ! Tu vas voir ce que c'est qu'une vie de chien. Tu ne retrouveras jamais ton corps. Demain, pendant que tu mangeras ta pâtée, moi je dégusterai ton plat préféré ! Le lendemain matin, ce sont des cris qui m’ont réveillée, et en voyant mon corps, mon cartable à la main, les yeux rougis par les larmes, tiré brutalement par mon père qui criait : « Qu’est-ce que c’est que cette comédie ! Bien sûr que si, tu vas y aller à l’école, je vais t’y emmener ! »... je me suis dis en me rendormant : finalement, ce n'est pas si mal d'être un chien...

Un fantôme Ce matin, ma copine m'a raconté quelque chose ! Un truc de dingue. Un matin, en se réveillant, elle voit un fantôme. Elle a peur et commence à trembler. Elle dit : - Je vais me rendormir, c'est peut-être un rêve. Le fantôme répond : - Non ! Ce n'est pas un rêve, lève toi ! - Oh malheur, je crois que j'ai la berlue ! cria t-elle. Sur ces mots, le fantôme laissa exploser sa colère. Fou furieux; il tourna, vola partout dans sa chambre. Elle se glissa sous sa couette. Elle appella sa mère mais personne ne répondit. Elle avait de plus en plus peur. Un fantôme en face de soi, il y a de quoi avoir peur ! Le fantôme regarda la jeune fille. Celle-ci avait l'impression que son regard pourrait la tuer tellement il faisait peur. Son cœur battait la chamade, elle était sur le point d'éclater en sanglot. Au moment où son réveil allait indiquer 7h15, le fantôme regarda l'enfant. D'un air agacé lui dit : - Pourquoi ne me crois-tu pas ? Je ne veux pas te faire de mal voyons ! Lève-toi, déjeune et habille toi ! La petite fille écouta ce terrible fantôme qui l'effrayait tant mais se demanda si c'était un piège et qu'il lui ferait du mal dès qu'elle serait levée. La petite fille prise de panique crût qu'elle allait finir ses jours dans sa chambre, sans personne. Mais elle savait qu'il fallait tenter le tout pour le tout et se décida : elle se leva, s'habilla et descendit l’escalier. Arrivée en bas, elle rencontra son père qui lui dit d'un ton malicieux : - Bien dormi, ma chérie ? - Oui, mais un fantôme était dans ma chambre et j'ai eu très peur ! Son père, amusé répondit en riant :

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Antoine Philippoteaux

double tour. Je dois essayer une autre porte, mais laquelle choisir ? Je décide de prendre une autre porte que celle empruntée par les kidnappeurs : ce sera la quatrième à droite ! Je trouve un escalier et en haut de l'escalier, une fenêtre brisée... Je saute par la fenêtre, j'atterris dans la cour principale et je détale comme un lapin... Une balle m’atteint en plein cœur et je m'effondre sur le sol...

GAME OVER !!!!! - Ah non ! J'ai encore perdu ! J'ai pris la mauvaise porte...

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Le kidnapping Je reviens du lycée en bus. J'ai 17ans, je m'appelle Franck. Mes parents sont très riches : mon père est chanteur et ma mère est une célèbre chirurgienne. En sortant du bus il ne me reste que quelques mètres avant d’arriver chez moi. Tout à coup, deux hommes cagoulés et armés jusqu'aux dents se précipitent sur moi, me ceinturent, me mettent une cagoule sur la tête et me balancent comme un sac dans une camionnette. Un des hommes me plaque par terre, me bâillonne et me ligote les mains. La camionnette démarre. J’entends des bruits qui me viennent de l’extérieur : des bruits de klaxon, de circulation, le bruit du moteur… J'en déduis que l'on est toujours en ville. Tout à coup la camionnette s'arrête, j'entends une porte grincer. La camionnette redémarre et je sens qu'elle s’engage sur une pente. Au bruit du moteur je me rends compte que la camionnette pénètre dans un bâtiment puis j'entends son moteur s’arrêter. J'entends la porte du bâtiment se refermer et des pas se rapprocher. L'homme qui me maintenait me remet debout et me précipite violemment hors de la camionnette. Il m'enlève la cagoule et m'attache sur une chaise. - On va appeler tes parents, me dit-il, tu vas leur dire qu'on veut une rançon de 500 000 euros, sinon on te torturera. Un des hommes m’enlève mon bâillon pendant que l'autre compose le numéro de mes parents sur le portable qu'ils ont sorti de ma poche. - Allo monsieur ! Nous avons kidnappé votre fils. Nous exigeons une rançon de 500 000 euros. On vous passe votre gosse ! - Allo papa, c'est vrai ! J'ai été kidnappé ! Ils sont trois, ils sont cagoulés, ils sont armés, ils veulent me torturer si vous ne donnez pas la rançon ! Dépêchez-vous !... - Vous avez trois jours pour réunir la somme en billets usagés, prévient le malfaiteur. On vous rappelle dans trois jours pour vous communiquer le lieu de l'échange. Un des kidnappeurs me remet mon bâillon et les trois hommes m'abandonnent dans le hangar en sortant par une des portes du fond. Après quelques minutes de panique, je me décide et j'arrive en frottant la corde sur un coin métallique de ma chaise à me détacher. J'essaye d'ouvrir la porte principale du hangar, mais hélas, celle-ci est fermée à

- Mais ma chérie, c'est moi qui ai installé un hologramme pour te faire lever tôt ! -Un holo, quoi ? -Un hologramme : c'est comme un vidéoprojecteur sauf que tu vois en trois dimensions ! - Mais pourquoi, cela fait vraiment peur ! Un peu plus et je faisais un...un malaise ! Et depuis, ma copine se lève très tôt le matin, cette aventure lui aura servi !

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Marie Barré

Un petit garçon C'est un garçon qui a peur de dormir dans son lit car il y a des ombres et des bruits bizarres. Il va se réfugier sous son lit pour se protéger. Même sous son lit, il continue à entendre des voix mystérieuses. Épuisé, il finit par s'endormir sous son lit. Le lendemain matin, sa maman vient le réveiller. Elle ne le trouve pas dans son lit, elle le cherche partout dans sa chambre et finit par le trouver sous son lit, endormi. - Qu'est-ce que tu fais sous ton lit ? - J'ai eu peur, j'ai entendu des bruits, j'ai vu des ombres. Je me suis réfugié sous mon lit. - Mais non tu as dû rêver, ne t’inquiète pas tu as trop d'imagination. En tous cas la nuit prochaine tu dois dormir dans ton lit. Le soir suivant, il se couche dans son lit. Tout à coup, des spectres apparaissent dans la chambre en traversant les murs. Des animaux étranges et fantômatiques surgissent en même temps qu'eux. Un des fantômes s'adresse au garçon et lui demande : - Pourrais-tu nous indiquer un château que l'on puisse aller hanter ? - Oh ! Mais vous n'avez pas l'air méchant. Le château le plus proche est à cinq kilomètres d'ici. Il faut longer la rivière et après le pont, traverser la forêt. - Merci pour ton amabilité. À un de ces quatre... Les fantômes disparaissent en traversant les murs. Le garçon s'endort tranquillement. Le lendemain matin, il raconte tout à sa mère. - Je ne te crois pas, tu mens. Arrête de dire des âneries, les

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Chloé Nogas

le permet, d’inviter ses copains à venir s’amuser avec lui. Tout à coup il entend des bruits bizarres, comme ceux d’un siphon. Il y a comme des vagues à la surface de l'eau et celle-ci commence à tourner. Le tourbillon s'accélère et aspire Adrien qui disparaît au fond de la piscine...

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À la piscine Adrien ne sait pas quoi faire dans sa chambre. Il est très impatient... - Ouh la la ! C'est long d'attendre cinq heures avant d'aller faire les courses car c'est le mois des soldes et j'ai hâte d'avoir le nouveau pantalon que maman m’a promis. Sa mère frappe à sa porte. Adrien dit : - Oui maman entre. - Ton père a mis la piscine, dans le jardin. - Je peux aller dans la piscine ? Il fait beau dehors. - Oui oui, si tu veux, mais n'y va pas longtemps, après on va faire les courses. Adrien enfile son maillot de bain, il dévale l'escalier et il se dit qu'il va piquer une tête dans la piscine. Avec les reflets du soleil sur la surface, la piscine est pleine de couleurs. Adrien commence à jouer dans la piscine. Son père lui avait gonflé une grosse bouée et il s'amuse à sauter dessus, à essayer de monter dessus en équilibre sans tomber. Il essaye d'améliorer son record d'apnée de 30 secondes : il peut regarder le temps qu’il met car il a une montre « waterproof ». Il fait des roulades sous l'eau et il essaye de s'assoir au fond de l'eau. Il fait des longueurs sous l'eau et des plongeons en essayant d'éclabousser le plus possible... Bref, il joue et s’amuse comme un petit fou et se promet, dès le week-end prochain, si le temps

fantômes n'existent pas. Le soir suivant, les fantômes reviennent : - Nous n'avons pas trouvé le château, on s'est perdu... - Je vais vous montrer le chemin, propose le garçon. Les fantômes et le garçon quittent la chambre en traversant les murs. On n'a plus jamais revu le garçon...

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Delphine Bass

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Charme Bonjour, je m appelle Charme, j'ai 7 ans, je suis un cheval. Charme est un joli nom mais tout le monde dit qu’il ne me va pas du tout… J’habite dans un centre équestre, mais je n'aime pas du tout être monté. Je fais tomber mes cavaliers. Quand on me selle, je remue et je gonfle mon ventre. Je renverse les seaux d'eau quand on me nettoie les sabots. Je donne des coups de sabots et je fouette avec ma queue quand on m'étrille. Je marche exprès dans la boue pour éclabousser mon cavalier. Aujourd’hui, c'est l'heure de mon cours. Je n'y crois pas, on part en balade ! Il va encore falloir subir les coups de talon de ces maudits cavaliers ! En passant devant la carrière, j’entends le directeur dire : - Ce charme nous embête beaucoup, il faut se décider à l'abattre ! » Quoi !? Ah mais non ! Je ne vais pas les laisser faire ! Je décide d'être plus gentil, je n’ai pas vraiment le choix... Pendant plusieurs jours, j'arrête mes bêtises, je me laisse monter sans difficulté, je me laisse panser sagement. J’accepte même de franchir les obstacles sans broncher ! Personne ne me reconnaît au Centre !

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Antoine Noaillon

Une faible lumière éclaire le salon, je me décide et pénètre dans la pièce… Stupéfait, je découvre mes parents effondrés sur le canapé. Ils se sont endormis devant le DVD d’un film policier...

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Que se passe-t-il ? Je suis chez moi, je m'appelle Émile. Je viens de me laver les dents. Je suis dans mon lit, je lis un livre. Mon père vient, il me dit qu'il est temps de dormir maintenant. Je lui dit d'accord. J’éteints ma lampe de chevet et je m’assoupis. Mais, tout d'un coup, j'entends des explosions qui semblent venir de la maison. Qu'est-ce que c'est que ces coups de feu ! Où sont mes parents ? Qu'est-ce que je dois faire ? Je me demande qui est en bas. Je me cache en dessous de la couette de mon lit, j'ai peur. Si ça se trouve ce sont des voleurs en train de braquer mes parents. Sont-ils encore vivants ? J'entends des voix menaçantes que je ne connais pas et qui viennent du salon. Je n'entend pas mes parents et j'entends toujours des voix inconnues. Après un long moment, le bruit cesse, le silence est total... Que se passe-t-il ? Je prends mon courage à deux mains et je décide de descendre au salon. Je marche sur la pointe des pieds.J’ai peur de tomber sur une scène horrible, sanglante…

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Mélody Bèze

Quelques jours plus tard en revenant de promenade, je vois deux bûcherons qui sont en train de débiter un arbre abattu au sol. L'un des bûcherons dit à l'autre : - Décidément, ce charme n'est pas facile à débiter mais au moins, ses branches ne gêneront plus le passage des vans... »

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Poursuite au Far-West Nous sommes dans un désert du Far-West. Je me présente, je m'appelle Max, mais chut ! Je suis poursuivi depuis huit heures ce matin. J'ai volé des bijoux dans une bijouterie. J'ai réussi à prendre de vitesse James, un ancien complice qui convoitait lui aussi la bijouterie. James est sur mes traces. J'accélère, James accélère lui aussi. J'arrive dans un village et je m’arrête. Je cache mon cheval à l'écurie et je me cache dans le bar. À travers la fenêtre du bar, je vois James derrière l'abreuvoir des chevaux. Heureusement il ne m'a pas repéré. Aujourd'hui je l'ai échappé belle. En sortant du bar, je m'aperçois que James m'a laissé un mot sur l'abreuvoir : RETROUVONS-NOUS DEVANT LE BAR À MIDI POUR UN DUEL Le lendemain arrive. Je me prépare pour le duel. À midi pile, je suis devant le bar prêt pour le duel. L'un de nous deux va mourir ! James sort du bar et se place à vingt pas devant moi. Les croque-morts ont déjà préparé un cercueil, ils n'attendent plus qu'à connaitre le nom à graver dessus. L'un en face de l'autre, nous sommes prêts à dégainer. Dans le village, un silence de plomb, tous les habitants retiennent leur souffle...

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Valentin Lagirarde

les flammes du dragon en visant sa gueule. Mais rien n'y fait cela ne fait qu'exciter le dragon davantage. Le dragon fonce sur lui en projetant des flammes gigantesques. Le savant fou se rend compte qu'il a perdu la bataille, sa dernière heure est arrivée... Le joueur enlève à toute vitesse son casque vidéo à réalité augmentée...Ouf, juste à temps !...

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Le Dragon Depuis des dizaines d'années, le dragon survole le village, il espère bien pouvoir l’attaquer. Heureusement, un savant fou est là pour protéger le village, car il a mis au point une bulle Méga Nucléaire Protectrice ® autour du village. Hélas, la durée de vie de cette bulle est limitée dans le temps, son pouvoir protecteur s'épuise... Bientôt, le village se retrouvera à la merci du dragon. Alors, le savant fou décide d'envoyer deux chevaliers affronter le dragon. Le dragon crache des flammes et un chevalier meurt sur une pierre brûlée. L'autre lutte contre le dragon. Le savant fou, heureusement avait inventé une machine à remonter le temps portative qu'il avait confiée au chevalier. Le chevalier l'utilise et revient quelques minutes en arrière. - Tiens, prends ça, dit-il en blessant grièvement la patte du dragon avec son épée. » Le chevalier retourne dans le village vers le savant fou. Le savant fou doit retourner dans son laboratoire pour préparer une nouvelle arme. Pendant ce temps là, le pouvoir de la bulle finit de s'épuiser et de nouveau le village est vulnérable. Le dragon s'en aperçoit, et, fou de rage, en profite pour brûler toutes les maisons du village. Le savant fou n'en croit pas ses yeux, le village brule ! Le savant fou va devoir combattre seul le dragon ! A l'attaque ! Le savant fou prend sa lance-canon à eau et essaye d'éteindre

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Justine Bonnet

Tout à coup... Zut ! Une coupure de courant en plein milieu de la séance au cinéma. Les spectateurs ne verront pas la fin du film !

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La tornade Tim et Léo sont des chevaliers, ils sont dans le jardin du château en train de s'entraîner au tir à l'arc : chose importante pour les chevaliers car ils doivent partir dans les bois et quelquefois combattre des trolls. Parmi les exercices : trois cibles, la première tout près, la deuxième un peu plus loin, et la dernière, très éloignée. Cet exercice demande beaucoup de concentration et de précision. Soudain ils entendent un drôle de bruit et tout à coup, ils voient le vent se lever, emporter les feuilles et les faire tourbillonner de plus en plus fort, de plus en plus vite et se transformer en véritable tornade. Celle ci devient de plus en plus violente mais Tim et Léo n'ont pas peur. Ils commencent à se demander ce qu'elle fait là ! - Je vais voir si je peux l'éloigner grâce aux tours de magie du professeur Lamoty, annonce Tim. - Fais attention Tim, elle pourrait t'aspirer. Elle grandit, elle devient gigantesque et elle ravage tout sur son passage. - Mais d'où elle vient ? Qu'est-ce qu'elle nous veut ? Une tornade aussi violente par ici, cela n'est jamais arrivé ! Elle détruit des arbres, des buissons, on ne sait pas jusqu'où elle peut aller ! Tim s'en va la combattre, car Léo ne veut pas y aller. Quel peureux ! - La tornade continue de tout détruire et elle risque de faire d'énormes dégâts. Mais Tim ne l'écoute pas, il veut aller jusqu'au bout, au péril de sa vie !

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Émilien Lagirarde

d a n g e r e u x j ' e s s a y e d e m'approcher. Tout à coup, j'entends derrière moi du bruit et je me retourne : je vois foncer vers moi un vélociraptor furieux. Impossible de rejoindre mon siège ! Je suis obligé de détaler comme un lapin. Malheureusement le vélociraptor est sur mes talons... - Éteins cette télé immédiatement Antoine, tu devrais être couché depuis longtemps ! - D'accord, maman... Et Antoine appuie sur l'interrupteur...

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La machine à remonter le temps Je suis dans ma chambre, avec ce nigaud de chien qui n'arrête pas de me tourner dans les pattes. Allez ouste lui dis-je d'un ton sévère. Bon que vais-je faire ? Ah, je sais, je vais ranger ma chambre. En rangeant ma chambre je trouve quelque chose dont j'ignore la fonction : c'est une carte électronique avec des circuits imprimés. En cherchant sur Internet je trouve ce que c'est : il y a une puce temporelle qui, à mon avis, permet de remonter le temps. Vite avec un vieux siège interactif de jeu vidéo je fais un fauteuil en utilisant du matériel de récupération, des fils électriques puis avec un régleur et la carte que j'ai trouvée, je construis un régleur temporel, qui va me permettre de remonter le temps. Et si ça ne marchait pas ? Tant pis j'essaye de la construire. Une heure plus tard. Bon alors comment elle marche cette machine à remonter le temps ? Ah ça y est, je règle mon régleur sur préhistoire, époque de Cro-magnon et je remonte le temps. Je me retrouve dans une vallée boisée et escarpée, il pleut, je vais trouver un abri pour m'abriter durant la nuit et faire du feu. Je ramasse du petit bois et je le mets dans mon sac. Je trouve une grotte parfaite pour m'abriter, le feu allumé à l'entrée de la grotte, je m’endors paisiblement. Le lendemain matin je me réveille, je sors de ma grotte pour aller chercher à manger. Sur le chemin du retour je sens quelque chose de bizarre derrière moi, je me dis que ce n'est rien mais je suis quand même inquiet. De retour dans ma grotte je suis toujours inquiet. Le restant de la journée, j'explore les alentours pour faire des découvertes. La nuit, vers 3h00 du matin je me réveille brusquement. Aaaah ! J'entends du bruit, j'ai peut-être choisi la mauvaise grotte, j'ai peur que des hommes de la préhistoire ne me tombent dessus. Je me cache pour éviter qu'ils ne me trouvent. Oh non ! C'est trop tard il m'ont déjà repéré, vite il faut que je trouve une échappatoire ! Ma machine a remonter le temps ! Je programme mon régleur temporel sur le jurassique. Je me retrouve dans une grande plaine avec une grande forêt au loin. J'aperçois non loin de moi un énorme iguanodon. Comme je sais qu'il n'est pas

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Diane Chairon

Tim et Léo sont fatigués, ils ont faim ! Et soudain, ils entendent une voix : - Les enfants, le goûter est prêt et arrêtez de jouer avec l'aspirateur : vous allez être tous sales. Et au fait avez-vous rangé votre chambre ? - Non, on jouait avec les balais : c'étaient nos chevaux !

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Mauvaise journée Elle nous a oublié, elle nous a encore oublié ! Déjà, nos frères ont disparu. On ne voit plus que des miettes dans leurs assiettes. Et puis, il y a ce nigaud de chien qui vient voir toutes les minutes si il y a ses croquettes. Et, avec cette vitre, qui nous permet quand même de voir l’extérieur, nous n'arriverons jamais à sortir d'ici ! On s’ennuie, et en plus maintenant nous risquons d’être privés d’air ! Ça commence à nous faire vraiment peur. Il y a aussi, des enfants bizarres qui nous font peur avec leurs drôles de masque. Ils passent de temps en temps et ils nous observent avec envie à travers la vitre. On est enfermé, et à part la vitre que nous ne pouvons pas ouvrir, il n’y a pas d’autres issues… C'est vraiment sûr que nous n'arriverons jamais de notre bizarre de vie à sortir de là. En plus on ne sait même pas si elle va revenir pour ouvrir la vitre. Dans leur grande maison froide, nos copains vont être déçus de ne pas nous retrouver. Ça nous a paru étrange car nous on en est sorti et il y a eu une douce vague de chaleur qui nous a réchauffé. C’était plutôt agréable… A tour de rôle, chacun passait devant la vitre et pouvait se rendre compte de ce qu’il y avait à l’extérieur. C’était assez joli, en tout cas, ce n’était pas effrayant. Puis nous avons été séparés, et là, on a vu le carnage...

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Clément Lagirarde

- Ludovic ! tu dis n'importe quoi ! - Mais non c'est vrai ! Ludovic approche la pomme de son visage et incrédule, lui demande : - C'est toi qui parle comme ça ? Puis il approche la pomme de son oreille et entend faiblement : - Oui, oui, je t'en supplie, ne me jette pas dans la poubelle ! - Bon d'accord, dit Ludovic, puisque tu ne veux pas que je te jette dans la poubelle, tu iras pourrir au compost...

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Ouf ! De justesse ! Ludovic est un garçon de 11 ans. Il regarde sa montre : 12 heures. - Maman ! Il est l'heure de manger. - J'arrive ! Mets la table ! Il se dirige vers la cuisine, il met la table. Sa maman arrive : - Ce midi nous mangeons de la langue de boeuf sauce piquante. Un peu plus tard, à la fin du repas, à l'heure du dessert : - Maman, je peux prendre le dessert ? - Oui, tu peux Ludo. Il ouvre le réfrigérateur, il y a un camembert et une pomme. Le camembert dit à la pomme : - Attention il va te découper en quatre puis retirer ton cœur, t'éplucher et te manger. - Ne t'inquiète pas j'ai une super technique, il me suffit de rouler dans l'assiette de Ludovic, il va être dégouté : je l'ai déjà entendu dire à sa mère qu'il déteste le sucré-salé. - Ludo ! Tu te dépêches ? - Oui ! Oui ! J'arrive ! Je prend la pomme. Je la rapporte. Ludovic la pose dans l'assiette en faisant en sorte de ne pas la poser dans la sauce. Oh ! Elle roule ! C'est dégoutant elle est arrivée dans la sauce piquante ! Beurk ! Il prend la pomme et il l'emmène à la poubelle. La pomme dit : - Non ! Noooooooooooon ! NE ME JETTE PAS DANS LA POUBELLE !!! - Maman, je crois que j'entends des voix. Qu'est-ce qui m'arrive ?

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Alexandre Chenivesse

En tout cas, maintenant, ce qui est sûr, c'est que là, pour l’instant, on est tranquille, on est bien au chaud, personne pour nous embêter. On commence même à ramollir, parce que nous les gâteaux, ça fait trop longtemps qu'on est dans ce fichu micro-onde.

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Le Tire-poils Un jour l'empereur convoqua son meilleur chevalier dans son empire. Il lui expliqua la terrible menace du dragon blanc aux yeux bleus. Il lui donna une armure contre les flammes. Il lui confia une mission : tuer le dragon et ensuite lui arracher des poils pour fabriquer une potion magique. - Cette mission est très périlleuse, fit remarquer le chevalier à l'empereur. Ce dernier n'en fit qu'à sa tête et l'envoya sur le champ de bataille où il devra rencontrer le dragon. Le chevalier se mit en route pour aller dans la grotte du dragon. Lorsqu'il arriva à l'entrée de la grotte, il l’aperçut en train de dévorer une proie. Le dragon cracha des flammes. Le chevalier plein de courage entra dans la grotte du dragon. Il prit son épée courut vers le dragon et le transperça en plein cœur. Le dragon subit d'énormes chocs et il tomba par terre et il se releva, cracha de nouveau des flammes. Le chevalier sortit son bouclier mais les flammes du dragon étaient trop puissantes et le bouclier du chevalier tomba en cendre. Le chevalier n'avait plus que son épée pour combattre le puissant dragon. Il ressortit de la grotte pour se camoufler et le dragon ne s'en aperçut pas. Le chevalier campa derrière la grotte du dragon toute la nuit. Le lendemain matin alors que le dragon dormait encore,

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Coraline Kohler

Tim dévale les marches de l'escalier quatre à quatre. - Qu'est-ce que Jimmy vient faire là dedans ? interroge sa mère. - Mais tu m'avais dit qu'il viendrait... Aujourd'hui c'est son anniversaire ! - Ah, c'est l'anniversaire de ton copain Jimmy ! Je ne le savais pas, mais c'est surtout l'anniversaire de ton père...

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L’anniversaire Un garçon sort de l'école tout excité. Il entre dans sa maison et hurle : - Maman, maman ! La mère de Tim apparaît. - Je n'y crois pas, dit Tim, tu as mis ta robe rouge et tes boucles d'oreilles ! - C'est un jour spécial aujourd’hui ! s'exclame sa mère. - Je le sais bien mais ce sont des choses qui ne s'oublie pas, réplique Tim. - Je pensais que tu ne t'en rappellerais pas. - Mais si ! Je lui ai déjà trouvé un cadeau ! signale Tim. - Tant mieux, alors monte dans ta chambre pour lui préparer son cadeau. - Oui mais pourquoi tu as mis une super table en son honneur ? interroge Tim. - Une table en son honneur ! Mais il vient ce soir, il est invité ! rétorque sa mère. Tim monte dans sa chambre pour préparer le cadeau qu'il a prévu et il en profite pour se faire beau. Pendant ce temps, le père de Tim frappe à la porte et la maman de Tim vient lui ouvrir. Ils se font la bise amicalement. - Joyeux anniversaire ! chante la maman de Tim d'une voix forte. Tim entend sa mère, sort de sa chambre et du haut de l'escalier crie : - Joyeux anniversaire, Jimmy !

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Antoine Créquy

le chevalier prit d'assaut le dragon une deuxième fois et en profita pour lui arracher des poils... - Aïe ! Non mais ça ne va pas de m'arracher des poils du nez, ça fait horriblement mal ! Qu'est-ce qui te prend ? hurla son père. - Pardon papa ! Tu ronflais tellement fort que je t'ai pris pour un dragon.

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Le voyage Ce sont deux filles, Émilie et Nina qui partent au Japon en avion. Après l'atterrissage, elles récupèrent leur matériel et partent en bus vers le mont Fuji-Yama pour y faire une randonnée. Elles commencent à gravir la montagne et traversent un village. Tout à coup, le sol se met à trembler, c'est le début d'un violent séisme. Une maison s'effondre, puis une deuxième, puis une troisième... Elles sont terrorisées, les secousses sont tellement violentes qu'elles sont projetées au sol. Elles ont de plus en plus peur, elles essaient de se relever mais les tremblements sont trop puissants, elles n'arrivent pas à se relever elles chutent à toutes reprises... Brusquement, elles se réveillent en même temps et en criant. Elles sont encore dans l'avion et elles se rendent compte qu'elles ont fait un horrible cauchemar. Émilie commence à raconter le sien. Nina coupe la parole à Émilie pour lui dire qu'elle a fait exactement le même cauchemar. Les deux filles se regardent impressionnées : personne ne fait jamais le même rêve ! Bientôt, l'hôtesse annonce au micro : - Mesdames et messieurs, veuillez attacher vos ceintures, l'avion atterrit dans un quart d'heure. Elles sont impatientes de visiter le Japon mais leur famille

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Alicia Henriot

coup ma mère vient me chercher. Nous allons dans le manège et là, quelle surprise ! Tous mes amis sont là, souriants, entourant un magnifique cheval blanc que je n'avais jamais vu auparavant, équipé de la selle dont je rêvais. - Voici ton cadeau : une jument rien que pour toi, elle s'appelle Neige.

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Le Centre équestre Je m'appelle Justine et j'adore les animaux. Je vis à la campagne dans un centre équestre. Ma mère, Stéphanie s'occupe du centre et mon père, Christophe est vétérinaire. Pendant ce temps-là, moi je suis à l'école avec mes copines et mes copains. Dans une semaine c'est mon aniversaire et je vais avoir mes onze ans. Demain, je vais distribuer mes invitations d'aniversaire. En attendant le jour de mon aniversaire, je suis très impatiente de découvrir mon cadeau, cette année j'ai demandé une belle selle d'obstacle. En rentrant de l'école mes parents m'annoncent une mauvaise nouvelle : - Ma petite fille, cette année tu ne pourras pas fêter ton anniversaire car ton bulletin était médiocre et tu es trop grande maintenant ! Trop bouleversée pour répondre, je préfére monter dans ma chambre, je claque la porte et je m'effondre sur mon lit en pleurant. Le lendemain matin avant de partir à l'école je vais me consoler auprès des chevaux. En arrivant à l'école dans la cour, je réunis tous mes amis pour leur annoncer la terrible nouvelle. Mes amis semblent étonnés et font tout pour me consoler et me rassurer. Le restant de la semaine se passe très mal. J'ai du mal à m'en remettre et j'ai du mal à m'endormir le soir… Puis le samedi arrive, je suis dans ma chambre quand tout à

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Sarah Fauvet

leur manque déjà. Après l'atterrissage, elles récupèrent leur matériel et partent en bus vers le mont Fuji-Yama pour y faire une randonnée. Elles commencent à gravir la montagne et traversent un village. Tout à coup, le sol se met à trembler, c'est le début d'un violent séisme...

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Le cimetière Je rentre dans le cimetière quand j'entends des pierres qui bougent. J'ai peur mais je continue à avancer vers la tombe de mon père. En marchant je m’arrête devant une tombe. Un nom est inscrit dessus : M. Rattelais. Je connais cette personne, c'est elle qui était avec mon père dans la voiture lors de l'accident. Après de longues minutes de marche, je me retrouve devant la tombe de mon père. En la regardant, je me mets à pleurer et je me dis : « Pourquoi t'es parti ? J'avais encore tant de choses à faire avec toi ! » Après l'avoir regardée, j'entends quelqu'un qui me parle. Je me retourne précipitamment, mais rien à l'horizon. Je me retourne de nouveau, et, stupéfait, je m'aperçois qu'un arbre s'avance vers moi et me parle. Je lui dis : « Tu es un arbre qui me parle, mais c'est impossible, les arbres ne parlent pas et ne se déplacent pas ? » « Oui, je suis bien un arbre qui parle, et je ne suis pas le seul. » Là, six arbres sortent de l'ombre et ils se mettent à discuter et à m'observer. L'arbre qui me parlait au début me dit : « Je suis un arbre magique, je peux ramener des gens à la vie. » Moi, toujours sous le choc qu'un arbre m'ait parlé, reste bouche bée. Un instant plus tard, je réponds très étonné : « Alors, tu pourrais ramener mon père à la vie ? Il est mort dans un accident de voiture. » « Possible, possible, mais il faudrait que tu me sortes moi et mes amis de cet endroit car on trouve ce cimetière un peu ennuyeux et on ne sait pas ouvrir la grille... » « D'accord, mais où voulez-vous que je vous emmène ? » « Pas besoin de nous emmener loin d'ici, juste devant le cimetière suffirait à nous sortir de ce pétrin. » Je dis aux arbres de me suivre jusqu'en dehors du cimetière. Une fois la grille passée, je me retourne vers eux et leur dis : « Bon maintenant, qu’est ce que je fais ? » J'attends une réponse impatiemment pour quitter cet endroit qui me donne une peur bleue.

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Clara Gomès

r é f u g i e dans les bras de Matthieu. - Je veux passer le restant de mes jours avec toi, lui chuchote Stéphanie dans le creux de l'oreille. - Moi aussi, lui murmure Matthieu. Brusquement, ils se mettent à vieillir et en l'espace de quelques secondes, ils deviennent des vieillards. Leur vœu s'est réalisé !

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Matthieu et Stéphanie Un jeune homme de 26 ans va au cinéma et il croise une fille de son quartier qui va aussi au cinéma. Ils se disent bonjour. Ils ont choisi leur film et s’assoient dans la salle 9. Le garçon et la fille s'assoient côte à côte. Pendant les publicités du cinéma, ils se présentent : - Bonjour, je m'appelle Stéphanie. - Bonjour, moi je m'appelle Matthieu. Deux heures plus tard ils retournent chez eux. Ils se rendent compte qu'ils sont voisins. Ils décident de se revoir. Quelques jours plus tard, la fille frappe à la porte du garçon et lui dit : - On va faire une petite balade dans la forêt ? Le garçon dit : - Oui je veux bien. Le garçon prend sa voiture et ils se dirigent vers la forêt la plus proche. Ils s'y promènent sur un chemin forestier. En discutant, ils apprennent à mieux se connaître. Ils découvrent qu'ils ont de nombreux points communs qui les rapprochent. Tout à coup, un orage éclate, un éclair illumine le ciel. - Tiens, tiens, quelle coïncidence ! C'est vraiment le coup de foudre ! dit Matthieu. - Oui, tu as raison, lui répond Stéphanie. Brutalement, la foudre tombe près d'eux et Stéphanie se

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Victor Garnotel

« Claque des doigts trois fois et ton père reviendra à la vie. » J'exécute l'ordre qu'il m'a donné et je les remercie de leur aide. Sur le chemin du retour je me demande si toute cette histoire est vraie. Le lendemain matin à 7 heures, je descends précipitamment l'escalier pour ne pas être en retard à l’école. J'arrive dans la cuisine et je me prépare un chocolat chaud, je veux me faire des tartines de Nutella mais le pot est vide et je dis à voix haute : « Bon, il faut que j'aille en chercher un autre dans le placard. » « Inutile, me dit mon père en posant un pot sur la table, en voilà un tout neuf... »

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L’expédition Je suis avec un ami, nous faisons le tour de la région, nos réserves s'épuisent, le temps tourne. Nous traversons en ce moment un désert froid mais nous réussissons à trouver du caribou et des esquimaux. Nous allons plus au sud car il devrait y faire plus chaud. Nous discutons de la météo et du temps qu'il va faire pendant notre expédition. Nous venons de sortir du désert froid en passant devant une immense falaise, tout à coup, nous devons nous abriter car une pluie d’énormes grêlons surgit de nulle part. Heureusement, nous nous protégeons avec nos couvertures de survie en aluminium, nous attendons, nous nous relevons, tout est passé, nous continuons. Plus tard, il fait une température agréable, nous continuons et nous trouvons un point d'eau. Nous décidons de nous y baigner. - On va piquer une tête, vite enlevons nos pelures ! me dit mon pote. Puis plus tard, nous nous retrouvons dans une région où il fait de plus en plus chaud. Nous sommes accablés de chaleur, c’est une véritable fournaise ! On décide de quitter cette région avant d'être complétement grillés, carbonisés. Nous retournons vers le nord. Nous arrivons sur un grand

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Simon Gebhart

plateau. Il fait plutôt un temps agréable mais nos corps sont encore bouillants. Puis tout d'un coup, mon ami se fait enfourcher, assassiner et se fait manger, croquer !!! Et moi maintenant, je vais mourir. Haah !!! On me met dans une énorme assiette, et, tout à coup une arme survient : une fourchette... Malheureusement, les carottes sont cuites !...