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ATLAS de la Nouvelle- Calédonie ATLAS de la Nouvelle-Calédonie e 8-2-7099-1740-7 9/11 Carte blanche à l’Atlas 22 février 2013 JOURNÉE PORTES OUVERTES au congrès de la Nouvelle-Calédonie 1, BOULEVARD VAUBAN - NOUMéA STANDARD : (+687) 27 31 29 www.congres.nc STANDARD : (+687) 26 10 00 www.nouvelle-caledonie.ird.fr Découvrez le nouvel Atlas de la Nouvelle-Calédonie Les auteurs Guy AGNIEL professeur des universités - UNC Isabelle AMIOT professeur du secondaire/chargée de mission - Vice-rectorat Serge ANDREFOUËT chargé de recherche - IRD Jean-Sébastien BAILLE chef du service des mines et carrières - DIMENC Nicolas BARRÉ chercheur - IAC Jacques BOLE archéologue - IANCP Jacques BONVALLOT directeur de recherche - IRD Philippe BRESCIA chercheur - IAC David BROUSTET démographe - ISEE Damien BURRUS responsable de l’observatoire agricole et agroalimentaire - DAVAR Guy CABIOCH directeur de recherche - IRD Jean-Jérome CASSAN chef de service adjoint - SIEC/DDEE - province Nord Dominique CHARDON professeur des universités - UPS Pierre CHATELAIN juriste - ADRAF Céline CHAUVIN ingénieur cartographe géomaticienne - Congrès de la Nouvelle-Calédonie Pablo CHAVANCE chargé de programme - Union internationale pour la conservation de la nature Christophe CHEVILLON chargé de mission - province Sud/IRD Fabrice COLIN directeur de recherche - IRD Julien COLLOT géophysicien marin - DIMENC Luc DELLA PATRONA responsable action poissons lagonaires - IFREMER Elise DESMAZURES chargée de mission - DSF Pascal DOUILLET chargé de recherche - IRD Franck DUMAS chargé de recherche - IFREMER Pascal DUMAS maître de conférences - UNC Benoit FLAMAND professeur du secondaire - DESPF Emmanuel FRITSCH directeur de recherche - IRD Catherine GAILLARD agronome - DDEE-Nord Jean-Christophe GAY professeur des universités - IRD/ Université de Nice-Sophia Antipolis Jean-Paul GRANGEON chef du service des actions sanitaires - DASS Yonaniko GRENON Koniambo nickel SAS Olivier HOUDAN professeur du secondaire - Vice-rectorat Yves JACQUIER professeur du secondaire/délégué académique - Vice-rectorat Tanguy JAFFRE directeur de recherche - IRD Pierre JEGAT géologue - DIMENC Aymeric JOUON chef de projet - Lyonnaise des Eaux Fabien JUFFROY géomaticien - DTSI Mattias KOWASCH attaché temporaire d’enseignement et de recherche - UNC Michel KULBICKI directeur de recherche - IRD Yves LAFOY délégué de la Nouvelle-Calédonie en Nouvelle-Zélande Michel LARDY ingénieur de recherche - IRD Luc MAITREPIERRE ingénieur, chef prévisionniste - Météo France Patrick MARCHESIELLO directeur de recherche - IRD Daniel MARINI directeur des mines - SLN Régis MARTIN ingénieur géomètre, chef du service réforme foncière - ADRAF Pierre MAURIZOT directeur d’antenne - BRGM Christophe MENKES chargé de recherche - IRD Gil MONTEIL chef du département géologie et études minières - SLN Bastian MORVAN chef du service de l’énergie - DIMENC Claire MOYSE-FAURIE directeur de recherche - LACITO-CNRS Jérome MUNZINGER chargé de recherche - IRD Sylvain OUILLON directeur de recherche - IRD André OUETCHO archéologue - IANCP Bernard PELLETIER directeur de recherche - IRD Gilles PESTAÑA maître de conférences - UNC Julien PERRIER assistant de recherche - IRD Cyril PIGEAU ingénieur culturel - Culture(s) en Chantier Christine PÖLLABAUER directrice - ERBIO Laurence RAMON ingénieur agronome - consultante Frédéric RIGAULT ingénieur d’études - IRD Jean-Charles RITTER directeur de l’usine de Doniambo - SLN Jean-Claude RIVIERRE directeur de recherche - LACITO-CNRS Pascal RIVOILAN chef du département démographie et enquêtes - ISEE Christophe SAND directeur - IANCP François SERVE coordonnateur - SAP Benoit SOULARD responsable bases de données - IFREMER Jean-Michel SOURISSEAU chercheur socio-économiste - CIRAD Christiane TERRIER professeur agrégée - IUFM Christophe THOMAS directeur des opérations - SLN Philippe THOUZELLIER directeur administratif et financier - SLN Emmanuel TJIBAOU directeur - ADCK Myriam VENDE-LECLERC géomaticienne - DIMENC Jacques VERNAUDON maître de conférences - UNC Laurent VIGLIOLA chargé de recherche - IRD Laurent WANTIEZ maître de conférences - UNC Geoffroy WOTLING ingénieur - SESER/DAVAR 20° S 21° S 22° S 164° E 165° E 166° E 167° E 168° E 0 50 km © IRD 2012 Source : IRD La végétation 16 Formations palustres ou marécageuses Forêt sèche ou forêt sclérophylle Forêts denses humides de basse et moyenne altitudes sur roches ultramafiques Forêts denses humides de basse et moyenne altitudes sur roches volcano-sédimentaires Récif Lac Hydrographie Localité Forêts denses humides et maquis d'altitude Forêts denses humides sur roches calcaires Mangroves et végétations basses des zones salées Maquis de basse et moyenne altitudes sur roches siliceuses Maquis sur roches ultramafiques (ou « maquis miniers ») de basse et moyenne altitudes Savanes et fourrés secondaires Voh Vao Vao Île des Pins Maré Lifou Ouvéa Poya Poum Koné Yaté Thio Touho Touho Païta Tadine Pouébo Pouébo Canala Koumac Koumac Ouégoa Nouméa Dumbéa La Foa Farino Sarraméa Hwaadrila Kouaoua Moindou Bourail Houaïlou Houaïlou Pouembout Poindimié Hienghène Hienghène Mont-Dore Kaala-Gomen Kaala-Gomen Ponérihouen Boulouparis 79 40 60 20 80 100 Part des actifs travaillant dans leur commune de résidence(%) 5 500 à 6 800 1 500 à 3 500 900 à 1 500 300 à 500 100 à 300 50 à 100 Nombre de migrants intercommunaux Seuls les effectifs supérieurs à 49 sont représentés. Agriculteurs Professions intermédiaires Employés Ouvriers Cadres et professions intellectuelles supérieures Artisans, commerçants et chefs d’entreprise Limite de commune Limite de commune Limite de commune Limite de commune Limite de province 50 actifs 25 actifs 1 100 000 1 800 000 764 642 2 400 000 3 000 000 4 241 576 PIB par habitant (en XPF) 100 500 2 000 10 000 43 500 Nombre de salariés actifs 30 40 24 Privé Public Indépendant 50 60 Taux d'emploi (%) Mont-Dore Dumbéa Païta Yaté Boulouparis Farino La Foa Sarraméa Thio Moindou Bourail Canala Poya Houaïlou Pouembout Ponérihouen Koné Poindimié Touho Voh Lifou Kaala-Gomen Hienghène Ouvéa Koumac Pouébo Poum Ouégoa Belep Nouméa Kouaoua Maré Île des Pins Mont-Dore Dumbéa Païta Yaté Boulouparis Farino La Foa Sarraméa Thio Moindou Bourail Canala Poya Houaïlou Pouembout Ponérihouen Koné Poindimié Touho Voh Lifou Kaala-Gomen Hienghène Ouvéa Koumac Pouébo Poum Ouégoa Belep Nouméa Kouaoua Maré Île des Pins Mont-Dore Dumbéa Païta Yaté Boulouparis Farino La Foa Sarraméa Thio Moindou Bourail Canala Poya Houaïlou Pouembout Ponérihouen Koné Poindimié Touho Voh Lifou Kaala-Gomen Hienghène Ouvéa Koumac Pouébo Poum Ouégoa Belep Nouméa Kouaoua Maré Île des Pins Mont-Dore Dumbéa Païta Yaté Boulouparis Farino La Foa Sarraméa Thio Moindou Bourail Canala Poya Houaïlou Pouembout Ponérihouen Koné Poindimié Touho Voh Lifou Kaala-Gomen Hienghène Ouvéa Koumac Pouébo Poum Ouégoa Belep Nouméa Kouaoua Maré Île des Pins Sarraméa Mont-Dore Moindou Pouembout ATLAS DE LA NOUVELLE-CALÉDONIE IRD 2012 L'activité économique et l'emploi 33 20° S 22° S 167° E 20° S 22° S 167° E 165° E 20° S 22° S 167° E 165° E 20° S 22° S 167° E 165° E 0 50 km 0 50 km 0 50 km 0 50 km Les catégories socioprofessionnelles en 2009 Le produit intérieur brut par habitant en 2009 Le taux d'emploi des 15-64 ans en 2009 Les migrations domicile-travail en 2009 151 0 Services 60 % 5 % 2 % 8 % 12 % 13 % Agriculture Nickel Autres industries BTP Commerce Figure 2 Répartition de la valeur ajoutée par secteur d'activité en Nouvelle-Calédonie en 2009 Source : estimation CEROM ATLAS DE LA NOUVELLE-CALÉDONIE Planche 33 IV - L’économie L’activité économique et l’emploi 149 Un niveau de vie élevé En 2009, le PIB s’élève à 8,6 milliards US$, soit environ 3 mil- lions de XPF* par habitant. Sur le plan international, ce ratio situe la Nouvelle-Calédonie devant la Nouvelle-Zélande et très loin devant les autres petites économies insulaires du Pacifique sud. L’écart de niveau de vie moyen est ainsi de 1 à 10 par rapport à Fidji ou de 1 à 13 par rapport au Vanuatu. L’indicateur de déve- loppement humain (IDH)* permet de comparer les pays en ajou- tant au PIB/habitant d’autres critères plus sociaux tels que l’espé- rance de vie ou le taux de scolarisation. En 2005, cet indicateur situait le pays en 34position sur 177 pays, derrière l’Australie (3), la France (10), la Nouvelle-Zélande (19) et devant la Polynésie L ’activité économique se caractérise par une crois- sance soutenue et plus régulière que par le passé. Dans les années 1960 et jusqu’au premier choc pétrolier en 1973, l’économie est largement centrée sur l’exploitation du nickel qui conditionne une croissance chaotique, mais globalement très élevée (8,1 % par an en moyenne). La fin du boom du nickel* va conduire l’État à intensifier son intervention pour éviter un effondrement de l’économie : l’évolution moyenne du produit intérieur brut (en termes réels) est nulle de 1974 à 1984. L’instabilité la valeur ajoutée en 1998 à plus de 18 % en 2007. En moyenne sur le long terme, le nickel représente environ 10 % de la créa- tion de richesse et emploie directement 4 % des salariés en 2009. Ces chiffres reflètent imparfaitement l’apport réel du nickel à l’économie locale en termes d’emplois indirects ou d’entraî- nement sur les autres secteurs, mais également en termes d’enjeux pour le rééquilibrage et d’anticipations pour l’ensem ble de l’économie. Par ailleurs, cette ressource représente plus de 90 % des exportations du pays. La production métallurgique va croître fortement dans les années à venir puisque, en plus de la SLN à Doniambo, deux nouvelles usines de transforma- tion doivent entrer en production dans la province Sud (Vale Nouvelle-Calédonie) et la province Nord (Koniambo Nickel SA- SMSP-Xstrata). Cette montée en puissance va dans le sens d’un accroissement de la valeur ajoutée nickel, en privilégiant la transformation locale du minerai ou, par ailleurs, en externali- sant le traitement au moyen d’un partenariat avec la Corée du Sud. En conséquence, la dépendance au nickel de l’économie sera accrue, ce qui pourrait affecter la stabilité de la croissance et devrait replacer la question de la gestion de la rente nickel au centre des débats. néo-calédonienne, surpassant même la consommation des ménages, traditionnel moteur de l’économie. En par- ticulier, les récents et importants investissements pour la construction de deux usines métallurgiques ont concouru à la résistance de l’économie face à la crise mondiale. La croissance, plus vigoureuse en Nouvelle-Calédonie qu’en Métropole, a permis de rattraper en partie le retard en termes de niveau de vie moyen : l’écart de produit inté- rieur brut (PIB*) par habitant avec la Métropole était de 50 % en 1960 et n’est plus que de 20 %. Une économie largement « tertiarisée » et d’importantes réserves de nickel La structure même de l’économie est proche de celle des pays les plus développés puisque le secteur tertiaire représente près de 80 % de la création de richesse. Un tiers de cette valeur ajoutée émane du secteur public, soit une part comprise entre 20 % et 30 % du PIB depuis les années 1980. À titre comparatif, la part du secteur public dans le PIB en 2006 s’établissait à 21 % en Nouvelle-Calédonie, 26 % pour la Réunion et la Guadeloupe, 32 % pour la Guyane, 25 % pour la Polynésie française et 18 % pour la France. La Nouvelle-Calédonie est souvent présentée comme étant une île « métallique », centrée sur l’exploitation de son nickel. Or si ce secteur joue un rôle majeur en termes d’emploi, de fiscalité ou d’aménagement du territoire, ce sont bien les services qui constituent la principale source de richesse du pays. Ils représentent le premier poste de la consommation des ménages et de la consommation intermédiaire des entre- prises. Le commerce occupe également une place importante avec 10 à 12 % du PIB (soit un niveau comparable à celui de la Métropole). Les autres services marchands, presque exclusive- ment destinés à la consommation locale, sont très dynamiques et témoignent d’un niveau de consommation élevé. Les réserves estimées de nickel situent le pays au 3ou 4rang mondial, ce qui assure des possibilités d’exploitation sur plusieurs décennies, en fonction notamment du rythme de l’extraction et de l’évolution des moyens techniques. L’exploitation de cette ressource naturelle, dont les prix sont directement soumis aux aléas de l’offre et de la demande mondiale, a évolué de 3 % de politique accentue cette situation et c’est le dénouement positif, concrétisé par les accords de Matignon, qui per- met à la fin des années 1980 un retour à une croissance élevée. Depuis le le début des années 1990, la crois- sance est remarquable du fait de sa stabilité, autour des 3 %. Les aléas de la conjoncture internationale perturbent peu une croissance « auto-entretenue », alimentée par des transferts métropolitains en hausse, mais dont le poids diminue tendanciellement. Lors des dix dernières années, l’investissement a largement tiré la croissance AN-CPlanche 16 II - Les milieux La végétation Les mangroves et les végétations basses des zones salées L Les forêts denses humides de basse et moyenne altitudes La forêt sèche ou forêt sclérophylle

A ouvelle AlédoNie IV - L’économie Planche 33 Guy … · Forêt sèche ou forêt sclérophylle Forêts denses humides de basse et moyenne altitudes sur roches ultramafiques

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ATLAS

de la

Nouvelle-CalédonieL’Atlas de la Nouvelle-Calédonie présente une vision originale de cette collectivité

d’outre-mer du Pacifique sud, à plus de 16 500 km de la France.

Soixante planches cartographiques accompagnées chacune d’une notice illustrée de

graphiques, tableaux et photographies, décrivent le contexte régional de la Nouvelle-

Calédonie, les milieux naturels, leur protection et leur aménagement, les populations et

leur histoire, l’économie et la vie des hommes.

De nombreuses planches et notices sont d’une grande originalité et mettent en cartes

des données nouvelles sur les fonds océaniques, l’archéologie et l’histoire contemporaine,

l’exploitation minière et la métallurgie du nickel, les trente-trois communes du pays…

À l’heure où la Nouvelle-Calédonie est désormais dotée de compétences très larges, cet

ouvrage apporte une multitude d’informations accessibles aux scolaires, aux étudiants,

aux décideurs et aux lecteurs curieux.

ATLA

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Prix : 60 e

ISBN : 978-2-7099-1740-7

AtlasNouvelleCaledonieCvDoc 1

9/11/12 12:48:36

Carte blancheà l’Atlas

22 février 2013JOURNÉE PORTES OUVERTESau congrès de la Nouvelle-Calédonie

1, boulevard vaubaN - Nouméa

Standard : (+687) 27 31 29www.congres.nc

Standard : (+687) 26 10 00www.nouvelle-caledonie.ird.fr

Découvrez le nouvel Atlas de la Nouvelle-Calédonie

Les auteursGuy AGNIEL professeur des universités - UNCIsabelle AMIOT professeur du secondaire/chargée de mission - Vice-rectoratSerge ANDREFOUËT chargé de recherche - IRDJean-Sébastien BAILLE chef du service des mines et carrières - DIMENCNicolas BARRÉ chercheur - IACJacques BOLE archéologue - IANCPJacques BONVALLOT directeur de recherche - IRDPhilippe BRESCIA chercheur - IACDavid BROUSTET démographe - ISEEDamien BURRUS responsable de l’observatoire agricole

et agroalimentaire - DAVARGuy CABIOCH† directeur de recherche - IRDJean-Jérome CASSAN chef de service adjoint - SIEC/DDEE - province Nord Dominique CHARDON professeur des universités - UPSPierre CHATELAIN juriste - ADRAFCéline CHAUVIN ingénieur cartographe géomaticienne - Congrès de la Nouvelle-CalédoniePablo CHAVANCE chargé de programme - Union internationale pour la conservation de la natureChristophe CHEVILLON chargé de mission - province Sud/IRDFabrice COLIN directeur de recherche - IRDJulien COLLOT géophysicien marin - DIMENCLuc DELLA PATRONA responsable action poissons lagonaires - IFREMERElise DESMAZURES chargée de mission - DSFPascal DOUILLET chargé de recherche - IRDFranck DUMAS chargé de recherche - IFREMERPascal DUMAS maître de conférences - UNCBenoit FLAMAND professeur du secondaire - DESPFEmmanuel FRITSCH directeur de recherche - IRDCatherine GAILLARD agronome - DDEE-NordJean-Christophe GAY professeur des universités - IRD/ Université de Nice-Sophia AntipolisJean-Paul GRANGEON chef du service des actions sanitaires - DASSYonaniko GRENON Koniambo nickel SASOlivier HOUDAN professeur du secondaire - Vice-rectoratYves JACQUIER professeur du secondaire/délégué académique - Vice-rectoratTanguy JAFFRE directeur de recherche - IRDPierre JEGAT géologue - DIMENCAymeric JOUON chef de projet - Lyonnaise des EauxFabien JUFFROY géomaticien - DTSIMattias KOWASCH attaché temporaire d’enseignement et de recherche - UNCMichel KULBICKI directeur de recherche - IRDYves LAFOY délégué de la Nouvelle-Calédonie en Nouvelle-ZélandeMichel LARDY ingénieur de recherche - IRDLuc MAITREPIERRE ingénieur, chef prévisionniste - Météo FrancePatrick MARCHESIELLO directeur de recherche - IRDDaniel MARINI directeur des mines - SLNRégis MARTIN ingénieur géomètre, chef du service réforme foncière - ADRAFPierre MAURIZOT directeur d’antenne - BRGMChristophe MENKES chargé de recherche - IRDGil MONTEIL chef du département géologie et études minières - SLNBastian MORVAN chef du service de l’énergie - DIMENCClaire MOYSE-FAURIE directeur de recherche - LACITO-CNRSJérome MUNZINGER chargé de recherche - IRDSylvain OUILLON directeur de recherche - IRDAndré OUETCHO archéologue - IANCPBernard PELLETIER directeur de recherche - IRDGilles PESTAÑA maître de conférences - UNCJulien PERRIER assistant de recherche - IRDCyril PIGEAU ingénieur culturel - Culture(s) en ChantierChristine PÖLLABAUER directrice - ERBIOLaurence RAMON ingénieur agronome - consultanteFrédéric RIGAULT ingénieur d’études - IRDJean-Charles RITTER directeur de l’usine de Doniambo - SLNJean-Claude RIVIERRE directeur de recherche - LACITO-CNRSPascal RIVOILAN chef du département démographie et enquêtes - ISEEChristophe SAND directeur - IANCPFrançois SERVE coordonnateur - SAPBenoit SOULARD responsable bases de données - IFREMERJean-Michel SOURISSEAU chercheur socio-économiste - CIRADChristiane TERRIER professeur agrégée - IUFMChristophe THOMAS directeur des opérations - SLNPhilippe THOUZELLIER directeur administratif et financier - SLNEmmanuel TJIBAOU directeur - ADCKMyriam VENDE-LECLERC géomaticienne - DIMENCJacques VERNAUDON maître de conférences - UNCLaurent VIGLIOLA chargé de recherche - IRDLaurent WANTIEZ maître de conférences - UNCGeoffroy WOTLING ingénieur - SESER/DAVAR

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ATLAS DE LA NOUVELLE-CALÉDONIE

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Source : IRD

La végétation

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Formations palustres ou marécageuses

Forêt sèche ou forêt sclérophylle

Forêts denses humides de basse et moyenne altitudes sur roches ultramafiques

Forêts denses humides de basse et moyenne altitudes sur roches volcano-sédimentaires

Récif

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Hydrographie

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Forêts denses humides et maquis d'altitude

Forêts denses humides sur roches calcaires

Mangroves et végétations basses des zones salées

Maquis de basse et moyenne altitudes sur roches siliceuses

Maquis sur roches ultramafiques (ou « maquis miniers ») de basse et moyenne altitudes

Savanes et fourrés secondaires

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Part des actifs travaillant dansleur commune de résidence (%)

5 500 à 6 8001 500 à 3 500900 à 1 500300 à 500100 à 30050 à 100

Nombre de migrantsintercommunaux

Seuls les effectifs supérieurs à 49 sont représentés.

Agriculteurs

Professions intermédiairesEmployés

Ouvriers

Cadres et professions intellectuelles supérieures

Artisans, commerçants et chefs d’entreprise

Limite de commune

Limite de commune

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La FoaSarraméa

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ATLAS DE LA NOUVELLE-CALÉDONIE

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Sources : INSEE - ISEE, recensement 2009

L'activité économique et l'emploi

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Les catégories socioprofessionnelles en 2009

Le produit intérieur brut par habitant en 2009

Le taux d'emploi des 15-64 ans en 2009

Les migrations domicile-travail en 2009

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Sources : FMI ; ISEE ; ISPF ; Hawaii State Department of Business, Economic Development & Tourism

Figure 1Produit intérieur brut par habitant en 2009

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AgricultureNickelAutres industriesBTPCommerce

Figure 2 Répartition de la valeur ajoutée par secteur d'activitéen Nouvelle-Calédonie en 2009

Source : estimation CEROM

AtlAs de lA Nouvelle-CAlédoNie

Planche 33

IV - L’économie

L’activité économique et l’emploi

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Un niveau de vie élevé

En 2009, le PIB s’élève à 8,6 mil liards US$, soit environ 3 mil-

lions de XPF* par habitant. Sur le plan international, ce ratio situe

la Nouvelle-Calédonie devant la Nouvelle-Zélande et très loin

devant les autres petites économies insulaires du Pacifique sud.

L’écart de niveau de vie moyen est ainsi de 1 à 10 par rapport à

Fidji ou de 1 à 13 par rapport au Vanuatu. L’indicateur de déve-

loppement humain (IDH)* permet de comparer les pays en ajou-

tant au PIB/habitant d’autres critères plus sociaux tels que l’espé-

rance de vie ou le taux de scolarisation. En 2005, cet indicateur

situait le pays en 34e position sur 177 pays, derrière l’Australie (3e),

la France (10e), la Nouvelle-Zélande (19e) et devant la Polynésie

française (42e) et les autres pays et États insulaires de la région.

L ’activité économique se caractérise par une crois- sance soutenue et plus régulière que par le passé. Dans les années 1960 et jusqu’au premier choc

pétrolier en 1973, l’économie est largement centrée sur l’exploitation du nickel qui conditionne une croissance chaotique, mais globalement très élevée (8,1 % par an en moyenne). La fin du boom du nickel* va conduire l’État à intensifier son intervention pour éviter un effondrement de l’économie : l’évolution moyenne du produit intérieur brut (en termes réels) est nulle de 1974 à 1984. L’instabilité

la valeur ajoutée en 1998 à plus de 18 % en 2007. En moyenne

sur le long terme, le nickel représente environ 10 % de la créa-

tion de richesse et emploie directement 4 % des salariés en 2009.

Ces chiffres reflètent imparfaitement l’apport réel du nickel

à l’économie locale en termes d’emplois indirects ou d’entraî-

nement sur les autres secteurs, mais également en termes

d’enjeux pour le rééquilibrage et d’anticipations pour l’ensem­

ble de l’économie. Par ailleurs, cette ressource représente plus

de 90 % des exportations du pays. La production métallurgique

va croître fortement dans les années à venir puisque, en plus

de la SLN à Doniambo, deux nouvelles usines de transforma-

tion doivent entrer en production dans la province Sud (Vale

Nouvelle-Calédonie) et la province Nord (Koniambo Nickel

SA- SMSP-Xstrata). Cette montée en puissance va dans le sens

d’un accroissement de la valeur ajoutée nickel, en privilégiant

la transformation locale du minerai ou, par ailleurs, en externali-

sant le traitement au moyen d’un partenariat avec la Corée du

Sud. En conséquence, la dépendance au nickel de l’écono mie

sera accrue, ce qui pourrait affecter la stabilité de la croissance

et devrait replacer la question de la gestion de la rente nickel

au centre des débats.

néo-calédonienne, surpassant même la consommation des ménages, traditionnel moteur de l’économie. En par-ticulier, les récents et importants investissements pour la construction de deux usines métallurgiques ont concouru à la résistance de l’économie face à la crise mondiale. La croissance, plus vigoureuse en Nouvelle-Calédonie qu’en Métropole, a permis de rattraper en partie le retard en termes de niveau de vie moyen : l’écart de produit inté-rieur brut (PIB*) par habitant avec la Métropole était de 50 % en 1960 et n’est plus que de 20 %.

Une économie largement « tertiarisée » et d’importantes réserves de nickel

La structure même de l’économie est proche de celle des

pays les plus développés puisque le secteur tertiaire représente

près de 80 % de la création de richesse. Un tiers de cette valeur

ajoutée émane du secteur public, soit une part comprise entre

20 % et 30 % du PIB depuis les années 1980. À titre comparatif, la

part du secteur public dans le PIB en 2006 s’établissait à 21 % en

Nouvelle-Calédonie, 26 % pour la Réunion et la Guadeloupe,

32 % pour la Guyane, 25 % pour la Polynésie française et 18 %

pour la France. La Nouvelle-Calédonie est souvent présentée

comme étant une île « métallique », centrée sur l’exploitation

de son nickel. Or si ce secteur joue un rôle majeur en termes

d’emploi, de fiscalité ou d’aménagement du territoire, ce sont

bien les services qui constituent la principale source de richesse

du pays. Ils représentent le premier poste de la consommation

des ménages et de la consommation intermédiaire des entre-

prises. Le commerce occupe également une place importante

avec 10 à 12 % du PIB (soit un niveau comparable à celui de la

Métropole). Les autres services marchands, presque exclusive-

ment destinés à la consommation locale, sont très dynamiques

et témoignent d’un niveau de consommation élevé.

Les réserves estimées de nickel situent le pays au 3e ou 4e rang

mondial, ce qui assure des possibilités d’exploitation sur plusieurs

décennies, en fonction notamment du rythme de l’extrac tion et

de l’évolution des moyens techniques. L’exploitation de cette

ressource naturelle, dont les prix sont directement soumis aux

aléas de l’offre et de la demande mondiale, a évolué de 3 % de

politique accentue cette situation et c’est le dénouement positif, concrétisé par les accords de Matignon, qui per-met à la fin des années 1980 un retour à une croissance élevée. Depuis le le début des années 1990, la crois-sance est remarquable du fait de sa stabilité, autour des 3 %. Les aléas de la conjoncture internationale perturbent peu une croissance « auto-entretenue », alimentée par des transferts métropolitains en hausse, mais dont le poids diminue tendanciellement. Lors des dix dernières années, l’investissement a largement tiré la croissance

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Forêt dense humide de moyenne altitude, le pic du Pin

Forêt sèche, Nekoro

Mangrove avec Avicennia et Rhizophora

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AtlAs de lA Nouvelle-CAlédoNie

Planche 16

II - Les milieux

La végétation

Les mangroves et les végétations basses des zones salées

Les mangroves sont des formations arborescentes à palétu-

viers, n’excédant pas 8-10 m de haut, qui se développent sur les

sols salés de la zone de balancement des marées, principale-

ment sur la côte ouest de la Grande Terre. Les palétuviers sont

répartis selon une zonation, allant de la mer à la terre ferme :

un front pionnier avec Sonneratia spp., Avicennia marina et

Rhizophora stylosa, suivi d’une ceinture plus dense et plus haute

de Rhizophora spp. et Bruguiera gymnorrhiza sur substrat vaseux,

puis d’une bande d’Avicennia marina, sur substrat plus stable,

souvent suivie d’un tanne* ou d’une frange de Lumnitzera spp.

La flore de la mangrove rassemble une vingtaine d’espèces

indo-pacifiques adaptées aux sols salés et à la submersion des

racines et des troncs. Elle comprend notamment sept espèces du

genre Rhizophora pourvues de racines à échasses en arceaux,

Avicennia marina et Sonneratia alba et S. caseolaris aux pneu-

matophores* aériens, Bruguiera gymnorrhiza aux racines en forme

de genoux et deux espèces du genre Lumnitzera. L’ensemble de

la végétation des sols salés (mangroves, tannes, plages et arrière-

plages) rassemblent 175 espèces dont 11 % sont endémiques.

L a Nouvelle-Calédonie est caractérisée par la variété de ses formations végétales, la richesse et surtout l’originalité de sa flore, qui totalise 3 371 espèces de

plantes vasculaires* dont 74,4 % sont endémiques*. Elle

des troncs ne dépasse guère 40 cm, appartenant principale-

ment aux familles des Sapindacées (Arytera, Cupaniopsis),

Ebenacées (Diospyros), Combrétacées (Terminalia). Elle pos-

sède un sous-bois dense d’arbustes buissonnants et de nom-

breuses lianes. Sa flore d’origine récente (fin Tertiaire, début

Quaternaire) ne contient pas de conifères, ni de palmiers, et

très peu d’espèces ayant conservé des caractères archaïques.

Elle rassemble toutefois 347 espèces de plantes vasculaires

autochtones*, dont environ 60 % sont endémiques incluant une

soixantaine d’espèces qui lui sont strictement liées. Elle a large-

ment régressé sous l’effet des défrichages et des feux, qui ont

provoqué un envahissement par des espèces grégaires* dont

la prolifération s’oppose à la régénération naturelle de la forêt

au profit de savanes herbeuses et de fourrés.

Les forêts denses humides de basse et moyenne altitudes

Ces forêts occupent des zones où la pluviosité annuelle

moyenne est comprise entre 1 300 et 3 500 mm. Elles se rencon-

trent à basse altitude aux îles Loyauté, à l’île des Pins et à partir de

espèce unique du groupe le plus ancien des plantes à fleurs. La nature et la distribution des formations végétales sont liées aux conditions climatiques, au substrat, à l’alti-tude et aux effets de l’activité humaine.

La forêt sèche ou forêt sclérophylle

La forêt sèche occupait initialement les régions recevant

moins de 1 000-1 100 mm de précipitations annuelles moyen-

nes, en dessous de 300 m d’altitude, sur des substrats variés

(sauf les substrats ultramafiques*) sur la côte ouest de la Grande

Terre. Sous sa forme la mieux conservée, sa superficie n’est que

de quelques dizaines de km². C’est une forêt basse, possédant

de nombreuses espèces à feuillage sclérophylle*, à strate supé-

rieure de 6 à 10 m de haut, formée d’arbres dont le diamètre

possède en outre 45 espèces de conifères, toutes endémi-ques, incluant le seul conifère parasite connu (Parasitaxus usta), et de nombreuses espèces ayant conservé des caractères archaïques, notamment Amborella trichopoda,

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depuis l’Atlas de la Nouvelle-Calédonie et dépendances,

réalisé par l’OrStOM en 1981, la nouvelle-Calédonie a

vécu de profondes mutations tant sur le plan politique

et institutionnel que sur le plan socio-économique.

Une actualisation des savoirs et la nécessité d’apporter

des repères utiles à la compréhension de l’actuelle

nouvelle-Calédonie ont décidé, en 2008, le congrès de

la nouvelle-Calédonie à réaliser un nouvel ouvrage en

étroite collaboration avec l’Institut de recherche pour le

développement (Ird).

Comme le précédent, le nouvel Atlas de la Nouvelle-

Calédonie, est un atlas thématique. Soixante planches

cartographiques accompagnées de notices illustrées de

graphiques, tableaux et photographies, décrivent le

contexte régional de la nouvelle-Calédonie, les milieux

naturels, leur protection et leur aménagement, les popu-

lations et leur histoire, l’économie, la vie et le territoire des

hommes.

Les nombreux auteurs de cartes et de notices, chacun

dans leur spécialité, ont contribué à la réussite de cette

édition, ouvrage scientifique de qualité au contenu

savant mais qui s’adresse également au grand public.

Cartographie - Institut de recherche pour le développement (IRD)

de la carte à l’atlas imprimé, le service cartographie de l’Ird présente son savoir-faire en matière de cartographie d’édition. des démonstrations, à partir d’exemples contenus dans l’atlas, sont propo-sées au public.www.nouvelle-caledonie.ird.fr

Coin des libraires : Consultation et vente de l’ouvrage, disponible en librairie et grandes surfaces dès le 23 février 2013.

Information géographiqueDirection des technologies et des services de l’information (DTSI)

Le service de la géomatique et de la télédétection de la dtSI fait découvrir les deux principaux outils de son portail d’information géographique mis à disposition des internautes : le géorépertoire et l’explorateur cartographique du gouvernement de la nouvelle-Calédonie.www.georep.nc

ouvrage de référence publié par :• le congrès de la nouvelle-calédonie • l’institut de recherche pour le développement (ird)

17h30 Discours d’accueilGérard Poadja - Président du congrès de la nouvelle-CalédonieGilles Fédière - Ird*

18h00 La biodiversité des poissons côtiersLaurent Vigliola - Chargé de recherche – Irdmodérateur : Dominique Guillaud

Questions Du pubLic

18h30 Des milieux sensibles : 18h30 gestion et préservationJean-Jérôme Cassan - Ingénieur – ddEE*/ province nordmodérateur : Dominique Guillaud

Questions Du pubLic

19h00 Les espaces coutumiersEmmanuel Tjibaou - directeur - CCt* / adCK*modérateur : Dominique Guillaud

Questions Du pubLic

19h30 La nouvelle-calédonie contemporaineOlivier Houdan - Professeur - Vice-rectorat de la nouvelle-Calédonie modérateur : Thierry Mennesson

Questions Du pubLic

20h00 Du Lapita aux traditions kanak : archéologie ancienne de la nouvelle-calédonie

Christophe Sand - directeur - IanCP* modérateur : Thierry Mennesson

Questions Du pubLic

20h30 Les îles Céline Chauvin / Jean-Christophe Gay - Ingénieure cartographe géomaticienne – Congrès/Professeur des universités - Ird/ UnS*modérateur : Thierry Mennesson

Questions Du pubLic

21h00 Discours de clôtureMarie-Noëlle Favier - IrdGérard Poadja - Président du congrès de la nouvelle-Calédonie

* iRD : Institut de recherche pour le développement DDee : direction du développement économique et de l’environnement ADcK : agence de développement de la culture kanak

cct : Centre culturel tjibaou iAncp : Institut d’archéologie de la nouvelle-Calédonie et du Pacifique uns : Université nice-Sophia antipolisp

ro

gr

am

me

17h

30-2

1h

StandS danS l’eSpace dialogue (15h-21h)

expoSéS danS l’hémicycleDécouvrez le nouvel Atlas de la Nouvelle-Calédonie