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SOLEIL.Le quotidien ayant le plus fort tirage dans la ville et le district de Québec___________________

Prévisions atmosphériquesQuébec, Lac St-Jean, Côte-Nord:

Beau, plus frais qu'hier.

Tirage certifié par TA. B. C.

QUEBEC, MARDI 10 MAI 1949 PRIX: TROIS CENTS

OUVERTURE DE LA CAMPAGNE DU T. H. LOUIS ST-LAURENT

Les «fi aicorrespondent aux aspirations de tous les citoyens de notre pays

Les grévistes prêts à tenir pendant cinq mois

ids objectifs du parti libéraiCe n’est que si les secours de la C.T.C.C. vien­nent à leur manquer que les mineurs s’affilie­ront au C. I. O. — La Fédération des mineurs n’a aucun projet précis à ce sujet, déclare M. Hamel — Assemblée tenue hier soir.

Asbestos, 10 — tP.C.i — Un por- vant la Fédération, a ajouté M. Ha- te-parole officie] de la. Fédération met faisait part de la confiance . ,, . . . des dirigeants de la Fédération et deides mineurs d amiante a exprime jla c T c c qui swn cn mcsurela confiance hier que les greustes (ie ia grève pendant cinq;peuvent maintenir leur arré. de tra- :moi7Plîcore ; c’est en se demandant ! vail pendant cinq mois encore, si jcg f)Ui poUrrait arriver ensuite que necessaire, ^ Brève de 5,000 mi-jies mineurs ont songé au concours neurs rie la Fédération dure depuis du c j 0 R, )# c T c c np ^près de trois mois. ;pjus app01.ter (je secours financier. !

M. Rodolphe Hamel, président dela Fédération, a dit hier que les gré- DECLARATION OF M. HAMEL vistes chercheront à s’affilier au C.I. O. s’il arrive que la C. T. C, C. ne j c'est dans son discours aux gré- ’ puisse plus leur accorder son appui;vistes que M. Hamel a nié une af-J financier, 11 a clairement précisé, filiation éventuelle au C.I.O. Voici | que cette possibilité de changement (le texte de la déclaration de M.| d’affiliation n’était qu’un coup d'oeil |Hamel tel que communiqué par M. ; jeté sur l’avenir. Des mineurs én Jean Marchand lui-même : sont venus à cet avis, mais la ques-1 . ition ne s’est pas encore posée de-! La racilc!.a annonc^ que .^es 7j" i

dicats de Tannante ont decide dej s'affilier au C.I.O. Comme cette nou- ! velle m'est attribuée, je tiens à dé-j clarer à titre de président de la Fé-1 dération des Syndicats de TAmian-j te, que jamais une telle décision ne, fut prise par nos syndicats. La Fé- ;

; dération et ses syndicats on été I ; appuyés avec trop de générosité et d’efficacité par la C.T.C.C. pour[

: qu’ils songent à quitter ses cadres”,

Une nouvelle échauffourée en Palestine

Damas. 10. (PA) Des émeu- tlers civils arabes en sont venus aux prises avec des effectifs de la légion de Transjordanie ré­cemment dans la région du tri­angle de Nabhjs, en Palestine. Fa dépêche téléphonique qui est parvenue d'Amman, rapporte que 80 civils ont été grièvement bles­sés et que d’autres troubles sont à craindre. Ils ont leur origine dansje ressentiment arabe con­tre la cession par la Transjorda­nie à Israël de plus de 100 mil­les carrés de ce territoire, l.e triangle de Nablus est une région du nord central d» Palestine, dont Nablus, Tulkartfi et Jcnln

(Suite à la page 8. 1ère col.)

L'industrie du fer et de l'acier sera étatisée en Grande-Bretagne

Londres. 10. (Reutersi Le bill d'étatisation de l'industrie du fer et de l'acier, qui soulève une grande controverse, a été adopté aux Communes hier soir, en dépit d’une motion conservatrice pour l'abandonner. Il est maintenant devant la Chambres des Lords on son sort demeure problématique en face de la majorité conser­vatrice considérable de la Chambre haute.

Mais, le gouvernement a la faculté d'adopter le bill malgré, l'opposition de la Chambre des Lords qui n’en peut retarder la mise en vigueur de plus d’un an. Le vote sur la motion conser­va trice a été hier soir de 383 voix à 203; le bill a alors subi sa troi­sième lecture. >1. Aliver Lyttelton, au nom de l'Opposition, s'est plain que 198 des 480 amendements au bill ont été “guillottinés” en comité: il aurait fallu “ sessions parlementaires et demie pour les étudier tous. M. Lyttelton a réclamé l'abandon du bill parer qu'il créerait un monopole.

Importantes nominations dans la police à Québec

Linspecteur Roger Lemire promu inspecteur en chef — Promotions au sergent-détective Guillemette et au détective Tanguay — La bri­gade des crimes renforcie — Autres change­ments en vue.

j Le comité de discipline de la po- , Morin et Téchevin Gérard Guay dol- liice municipale se réunira aujour-ivent tenir au début de l'aprês-midl.

L'inspecteur général Norbert Lab- f hui pour faire la ratification de, plusieurs autres nominations sont jbe qui a commandé à Asbestos les :rois importantes nominations dansj^gg]^,,^ attendues. C'est ainsi 'renforts de la Sûreté, a donné lajles rangs de ia force constabulairejqUe p]usieurs policiers seront appe- |permission de tenir ! assembler jde Québec. jlés à renforcir les rangs de la bri-d’hier soir, où 1.500 grévistes ont en- L’inspecteur Roger Lemire sera gade des crimes qui serait portée ;tendu M. Rodolphe Hamel, prés!-jpromu inspecteur en chef avec ju- à un effectif d'une vingtaine dhom- | dent de la Fédération des mineurs jridicüon sur la Sûreté, le service I d’amiante, et M. Jean Marchand. , es moeurs, la circulation, la gen- ! M. Marchand a qualifié de "belle |darmerie et les différentes patrouii- assemblée” la réunion d'hier. Il ailes.affirmé qu'il avait des preuves assez; Le sergent-détective Aimé Guilcomplètes pour démontrer que ce qui ,lomet; " ,c a promu chef detectivej*alt paxüe de la force constabuiaire sest ,passe a Asbestos récemment , de la brigade des crimes. ! de Québec depuis 1939. Quelques

(Suite à la page 5, 4e col.l Le détective Oscar Tanguay seraimols aprèii avoir été admis dans ies---- ---- -------- promu sergent-détective.

BELLE ASSEMBLEE

mes,

L’INSPECTEUR LEMIRE

L'inspecteur Roger Lemire. O.B.E., (commissaire de la Cour supérieure

Ford accepte de négocier pour résoudre la grève

Le jeune président de la compagnie Ford, Henry Ford II, accepte une proposition de Walter Reuther, président de l’union, présu­mant que les pourparlers dureront jusqu’au rè­glement — 65,000 hommes sans travail et 40,000 autres sur le point de chômer.

Détroit, 10 (PA) La grève à la .déclaré que sa compagnie présumait, compagnie Ford, qui a laissé 65,000 jq^e les pourparlers se "continueronthommes sans travail et menace d'en &'àTce ^ tcette soit ré-„ . , . , . ,,,, „ iglee. Les questions en litige, ait-faire chômer plusieurs milliers dau- p devront étre résolues à leur mé­trés. doit être discutée autour d'une rite et par un effort consciencieux table de conférence, aujourd'hui. La de la part des deux groupes en pré­première réunion de négociation en-jsence à la table des délibérations, tre les représentants de la compa- jet non pas par des appels au senti-

| rangs de la police de Quebec 11 fut‘I1'cée.s à la suite de la réunion que, du C.P.C. en notre ville. L'organlsa-

ilee membres du comité de discipline don qu’il mit en branle suscita ies |de la police. S. H. le maire Lucien plus élogleux commentaires des au- I Home. S. H. le recorder Emile ; torités militaires et civiles du pays.

; En reconnaissance de ses services au

gnie et de Tunion doit avoir lieu à trois heures. Le jeune président de la compagnie, Henry Ford II, a accepté une proposition de pourpar­lers faite par Walter Reuther, pré­sident de l'Union.

Pendant ce temps, les répercus­sions de la grève s'étendent. Quel­que 40,000 autres ouvrier» doivent ne pénurie de châssis causée par un envisager le chômage d'ici une se- ralentissement de la production maine s'il ne survient pas de règle- dans une usine subsidiaire. Cette ment. La compagnie avait donné Ta- compagnie a fermé ses dernières li- vertissement qu’elle se verrait peut- gnes dessein Wage à ses usines de être dans l'obligation de fermer tou- Dodge, de Soto, et Chrysler et sa fa­tes ses 49 usines. brique de corrosserie sur Ta venue

En consentant à négocier, Ford a Kercheval.

ment.Alors que ces négociations don­

naient lieu d'espérer un règlement prochain chez Ford, d'autres diffé­rends surgissaient dans l'industrie automobile. Chrysler a annoncé qu’il congédiait 22,000 ouvriers pour une période indéfinie par suite d'u-

Hausse des billets de

1ère classeMontréal, 10. (PCI. L’Asso­

ciation des chemins de fer ca­nadiens a annoncé aujourd'hui que la Commission des trans­ports a approuvé une augmen­tation maximum de 15 p. c. du tarif de première classe des che- chemins de fer su pays ; le nou­veau tarif entre en vigueur à minuit ce soir. Cette augmen­tation est égale au montant de la taxe sur les transports qui a été rayée du budget fédéral en çiars dernier. II y a un mois, les chemins de fer ont augmenté de 15 p. c. le tarif des billets de voitures ordinaires ; comme ces tarifs étalent moins élevés que le minimum fixé, la Commiscion n'avait pas à don­ner son autorisation avant qu’on ne les augmente. En attendant l'approbation de la Commis­sion des transports, le tarif de première classe et le tarif accru en voitures ordinaires a été le même, depuis le 10 avril.

pays il fut décoré du titre d'Offlcier de l'Ordre de l'Empire Britannique. En 1941, au cours du conflit, il fut aussi promu sergent de la force coras tabulaire.

Au cours de Tan dernier, a laj (suite de rapports présentés au con-1 sell de ville concernant la réorga-; nisatlor e la force policière, M. Le­mire était promu inspecteur en( charge de la discipline. Il y a quel­ques mois, 11 prit charge de la ré­organisation de la police des moeurs.^CHEF DETECTIVE GUILLEMETTE

Depuis nombre d’années, le ser­gent-détective Guillemette est le bras droit du chef-détective Lau­réat Laçasse et il a mené les causes les plus importantes. M. Gutlie- mette s’est maintes fois signalé par sa compétence, sa droiture, son ha­bileté et son esprit consciencieux. C'est en 1921 que M. Guillemette

(Suite à la page 8, 3e col.)

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Donner des emplois au plus grand nom­bre possible, augmenter la sécurité so­ciale, encourager l'expression de notre esprit national et assurer la paix, tels sont les buts du gouvernement en de­mandant un nouveau mandat, a déclaré hier soir M. St-Laurent dans un discours à la radio — Tournée dans les Maritimes — Texte du discours du premier ministre.

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UN CADEAU POUR LA FETE DES MERES: ANDYTOMPOS, de Latrobp, Pennsylvanie, a en un beau radeau pour la fêle des Mères: il a retrouvé sa maman, grâce à une lettre qu’il écrivit récemment au rédacteur en chef d’un journal de Pittsburgh et que le journal publia dans ses termes d'une simplicité si émouvante que tous les Etats-Unis s‘y Intéressèrent. La mère de l’enfant, qui l'avait quitté 11 y a plusieurs années en le laissant à ses parents, eut connaissance de la lettre et voulut alors, bien qu'elle se fut remariée et eût un autre enfant, ravoir son fils. On le lui envoya par avion dimanehc dernier. On volt ci-dessus le garçonnet de 10 ans au moment où il embrasse, en extase, sa maman retrouvée. Dans la photo du bas il fait connais­sance avee son nouveau frère. Photos International Newsi

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FORD MOTOR

G'" E A LA FORD: La photo ci-dessus fait voir quelques centaines des 71,000 ouvriers des usines Ford au tr ornent où Ils quittaient le travail jeudi après-midi dernier, après une dernière tentative infruc­tueuse de règlement dans le conflit qui sépare la direction et l’union. On peut déjà voir des piqueteurs exhibent des pancartes préparées d’avance. Depuis, Henry Ford II a accepté de reprendre les négocia­tions avec Tuition, sur l'intervention de Walter Reuther. président de l'Union des ouvriers die l'auto,

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Levée officielle du blocus de Berlin fixée à minuit et une minute jeudi

Des véhicules décorés de drapeaux ouvri­ront la marche sur les routes rouvertes — Seize convois de fret par jour.

Berlin, 10 (PA) — Des véhicules qui seront décorés de drapeaux ou­vriront la marche sur les routes qui relient Test et l'ouedt de l'Alle­magne, à minuit et une minute (soit 6 h. 01 p. m., mercredi, heure vancée de Test). Ce sera le moment officiel de la levée du blocus soviéti­que de Berlin. Pas un seul différend n’est survenu jusqu’ici au cours des négociations.

Le général V. I. Chuikov, com­mandant russe en Allemagne, et les puissances occidentales ont donné des ordres pour que le transport, le commerce et les communications re­prennent normalement entre les di­verses zones, mercredi soir. L'Alle­magne reviendra ainsi aux condi­tions du 1er mars 1948, alors que commençait le blocûs de la capitale. Seize convois de fret entreront dans (Berlin chaque jour ; les Russes di­sent qu'ils n’exigeront pas de per­mis pour voyager et ne fouilleront pas les bagages des alliés.

Le monde extérieur voit dans la fin du blocus une défaite diploma­tique pour les Russes, mais le Jour­nal officiel de l’Armée soviétique, le “Taegliche Rundschau”, commen­te ainsi la levée du blocus. C’est ("un succès incontestable de la po- !itique d’unité qui a été toujours poursuivie par l'Union soviétique et les tenants du progrès en Allemagne. Ce Journal a prédit que les "fau-

(Buite A la nage 5, 5e eoi.)

Désastre évité de près

Collision de trains à Ste-Hélène de Kamouraska; 18 chevaux tués, 40,000 gallons d'essence répandusSte - Hélène, Kamouraska, 10. marchandises. Trois wagons ont

(Spéciale). Une collision de che- déraillé, dont Tun contenant 40,000min de fer qui aurait pu entraîner un désastre s’est produite vendredi soir, à dix heures, près de la gare de Ste-Hélène, entre deux trains de

Espions exécutés à Shanghaï

Shanghai, 10 (PA) IJ tension croit à Shanghai en raison de l'exécution de 20 hommes par la police la semaine dernière. Dans certaines parties de la ville les coups de revolvers et le cré­pitement des mitraillettes ont mis fin aux jours de ceux qu'on arcusait d’espionnage ou de vio­lation des mesures économiques.

Hier encore, trois hommes ont été exécutés; deux d'entre eux étaient drs partisans du maré- ehal ti Chi-Sen nul dirige lé

(Suite 8 la page 5, 5e col.)

gallons de gazoline, Heureusement, l’essence s'est répandue dans le fos­sé longeant la vole ferrée, sans prendre feu. Les témoins disent qu'une explosion à cet endroit au­rait pu entraîner une conflagration au village et peut-être de nombreu­ses pertes de vie. On sait que la vole ferrée est construite près du

(village et que de plus, les feux d'her- ;be sont particulièrement dangereux là cette période de Tannée.

Dix-huit chevaux qui emplissaient un wagon sont tous morts, à bord du train descendant qui était sta­tionné à la gare, attendant Tautre train qui devait à Ste-Hélène pren­dre la voie d’évitement, en montant vers Lévis. Un autre wagon rempli de briques a culbuté dans le fossé, de même que le wagon de queue.

Le chauffeur du train frappé eut la vie sauve comme par miracle, nous dit le secrétaire de ia munici­palité, M. Adélard Bérubé. Il s’en tira avec des égratignures. après avoir été projeté sous le choc, parmi

(Suite à la page 8,1ère eol.)

(Par PAUL PARADIS)Ottawa, 10. En invitant les élec­

teurs canadiens hier soir à don­ner un nouveau mandat au parti libéral le jour des élections géné­rales, le 27 Juin prochain, le pre­mier ministre du pays, M. Louis Saint-Laurent, a déclaré que son gouvernement continuerait de viser à donner des emplois au plus grand nombre possible, augmenter !a sécurité sociale, encourager l'ex­pression de notre esprit national et assurer la paix.

M. Saint-Laurent, qui ouvrait sa campagne par un discours radiodif­fusé dans les deux langues d'un bout à Tautre du pays, s'est dit convaincu que les grands objectifs du parti libéral correspondent aux aspirations de tous les canadiens dans toutes les parties du pays.A SHERBROOKE

Le premier ministre a quitté la capitale à 4 heures ce matin pour se rendre à Sherbrooke, où il se­ra reçu à Thôtel de ville et au sé­minaire Saint-Charles Borromée, son Alma Mater. Il se rendra en­suite dans soft village natal, Comp­ton, et retournera à Sherbrooke ce soir pour remonter à bord de son wagon particulier.

Dés demain, le premier ministre commencera une tournée de dix Jours dans les provinces mariti­mes.

Voici le texte du discours par le­quel M. Saint-Laurent a ouvert sa campabne électorale hier solsr :TEXTE DU DISCOURS

"Chers concitoyens des dix pro­vinces du Canada, je suis heureux que le moment sois venu ou nous pouvons tenir des élections genera­les.

Depuis que je suis devenu pre­mier ministre de notre pays en no­vembre dernier, j’ai toujours dé­siré obtenir un mandat du peuple lui-même. Mais avant de pouvoir vous demander de nous renouveler votre confiance, il y avait trois choses pue le gouvernement devait faire.

La première était de mener à bonne fin les négociations en cours en vue de Tunion de Terre-Neuve et du Canada

La seconde était de parachever les pourparlers en vue du pacte de sécurité tie TAtiantique - nord et d’obtenir la ratification de ce trai­té par vos représentants au Par­lement.

La troisième était de nous pré­senter devant le Parlement lui-mê­me ,de soumettre les compte* pu­blics, déposer les crédits, présen­ter le budget et prolonger pour une année certaines mesures nécessaires, comme la régie des loyers.

Ces trois choses ont été faites et nous nous sentons maintenant li­bres d’en appeler :V peuple .

J’ai eu la responsabilité, à titre de premier ministre, de diriger le gouvernement qui a administré les affaires du pays au cours des six derniers mois.DEPUIS 6 MOIS

Dans ce premier discours de la campagne électorale, je veux vous rendre compte de la manière dont nous avons conduit vos affaires au cours de ces six mois.

Lorsque je suis revenu premier ministre, le gouvernement a\Vlt entamé des pourparlers avec une délégation de Terre-Neuve qui avait été envoyée à Ottawa pour conve­nir des conditions de Tunion de nos pays.

Ces discussions ont été poursui­vies dans une atmosphère cordiale par des hommes qui s'attendaient à devenir concitoyens sous peu et qui vooulalent vivre ensemble dans l'harmonie. Le 11 décembre, les conditions de Tunion furent signées au Parlement d'Ottawa ; mais elles ne pouvaient entrer en vigueur qu’après avoir été approuvées par le Parlement.

Au cours de ces mêmes mois de novembre et de décembre, le gou­vernement préparait également les travaux de la session du Parlement. A l'ouverture de la session en jan­vier, notre programme fut annoncé

,au Parlement et au peuple cana- | diens.(travail accompli

Le premier point de ce program­me était la législation relative A l'entrée de Terre-Neuve dans la Confédération Le gouvernement présenta ensuite la.législation d'ur­gence, y compris la régie des loyers,' qui fut adoptée avant le 31 mars. Il ne faut pas oublier que, si le Parle­ment n'avait pas prolongé, cette loi d'une année, la régie des loyers serait devenue inopérante le 27 mars.

A la fin de mars également, le projet du traité de TAtiantique- Nord avait été préparé par les re­présentants du Canada et des autres nations de i'Atlantique-Nord réunis à Washington.

Nous étions d'accord que ce projet jetait excellent mais nous avons vou­lu demander au Parlement d'ap­prouver les principes de ce traité avant de le signer au nom du Ca­nada. Nous voulions que le monde sache que tous les Canadiens sont unis dans leur détermination à maintenir la paix.

Le gouvernement étant d'avis que les relations amicales entre le pre­mier ministre du Canada et le pré­sident des Etats-Unis qui avalent existé entre M. King et le président Roosevelt, étaient de haute impor­tance pour nôs deux pays, j’ai été heureux d’accepter une invitation du président Truman â passer une fin de semaine à Washington -en fé-

j (Tier pour renouveler et consolider les liens d'amitié qui nous unissent depuis sa visite chez nous 11 ÿ a deux

I uns. Cette visite de fin de semaine n'a nullement retardé les travaux de le Chambre.

Mais, à mesure que la session du parlement avançait, il devint de plus en plus évident que la perspective d'une élection rendait plus diffici­le de conduire les travaux de la Chambre dans Tordre et qu’il serait dans l'Intérêt du peuple canadien de tenir des élections le plus tôt possible.

Néanmoins, lorsque le Parlement ajourna pour le congé de Pâques, nous avions accompli beaucoup de travail. Terre-Neuve était devenue la dixième province canadienne, le pacte de I'Atlantique-Nord avait été signé avec l'approbation du Parle­ment, la législation d'urgence avait été adoptée et le budget avait été soumis.ELECTIONS NECESSAIRES

A mon retour de TOuest après Pâques, il était clair que le peuple canadien s'attendait à une élection et que le pays vivrait dans une at­mosphère d’élections tant qu’elles n’auraient pas eu lieu.

Nous étions d avis que le gouver­nement — car notre gouvernement est un nouveau gouvernement — avait mené à bonne fin presque tou­tes les affaires urgentes et que nous pourrions servir nos concitoyens plus efficacement après-«voir reçu un vote de confiance du peuple lui- méme. Disons, en d'autres termes, que nous étions d'avis que le temps était venu pour le peuple de décider lul-mèmc â quels hommes 11 voulait confier les affaires publiques pour les quatre ou cinq prochaines an­nées.

Les affaires publiques sont sim­plement les affaires du peuple—vos affaires. Et c’est par des élections générales que le peuple du pays gar­de le contrôle sur son gouvernement et sur l’administration de ses af­faires.

Le 27 Juin, les Canadiens choisi­ront deux cent soixante-deux hom­mes et femmes pour les représenter à la Chambre des Communes. En élisant votre député, vous contri­buerez à décider quel gouvernement le pays aura pour les quatre ou cinq années qui viennent.

A notre avis. 11 n’aurait pas été ijuste à l'endroit d’un grand nom- (bre de voleurs qui s'éloignent de leur foyer au milieu de Tété, de re­tarder l’élection après la fin de Juin: mais nous étions également d'avis que nous devions demander au Parlement d'approuver certaines mesures sans tarder. Nous voulions, si possible, faire voter par le Par­lement les crédits nécessaires è l'administration du pays durant 1s

(Suite à la page 5,1ère col.)

L'épineux problème nègreNew-York. 10. (PA) M. Ralph

Bunche, médiateur intérimaire de» Nations-Unies pour la Pales­tine, a déelaré hier *oir que le problème nègre aux Etals-Uni* est peut-être plus déroutant que le problème de la Palestine.

M. Bunche, Noir américain dont la médiation a aidé à réa­liser la fin de la guerre en Terre-Sainte, parlait à un dî­ner donné en son honneur par l’Association américaine pour les Nations-Unies. M. Bunche a dit qu’il parlait en tant que Nègre et en tant qu’Américaln. Je ne puis m’empècher, dlt-U, de rap­

peler à mes compatriotes amé­ricains que tous ceux de nous qui avons le sens de la justice et de l'équité devons contribuer à la solution du problème qui nous touche de si près chei nous, plus complexe peut-être que celui de la Palestine, si no­tre pays veut vivre à la hauteur des principes de la Charte à la­quelle nous avons tous adhéré solennellement. C’est ce que nous ne pourrons faire tant que 14 millions de Nègres seront privés de plusieurs de leurs èroits fondamentaux et privés de l'égalité politique, économi­que et sociale.

I

LE SOLEIL, Québec, mardi 10 mai 1949 ,Nouvelles de Lévis

Qurction d'un eenlrr rivlqur Municipale Sportive de Lauzon bon- ;dans Lauzon i cle avec un léger deficit, mais par i

Une séance du conseil munici- ! cnntre au actif d environ $400 ! pal de Lauzon a été tenue, hier f ^ P^UK a ameliorations |soir, sous la présidence de M. le !et d65 travaux à la patinoire mu-1 maire J.-Emest Bolduc. Tous les nicipale au couj's de 1 année pour | échevins étaient présents, moins M. j*®00; 11 explique qti elle a commen-j Antonio Bouchard, retenu chez lui ;ca a opérer cette année un mots i par une grave maladie. Nous ap- ! piUs C|UC 1 an dernier. Son iprenons que M. Bouchard a pris S but n esl P®* de faire des pro­

fits, ajoute M. l'échevin Barras, que de procurer à la population l'avan­tage d’avoir un centre de loisirs, de s’amuser et se récréer honnête­ment dans Lauzon. Il dit que la Commission Municipale Sportive est prête à continuer son oeuvre et de­mande au conseil son support et son encouragement.

M. le maire dit qu'il est en fa­veur qu'à Lauzon la population ait I l'avantage d’avoir des sports et dé- I sire qu'ils se développent et que \ le conseil doit appuyer les sports, i mais en restant toujours dans les cadres rie la loi. Il ajoute que lors- | qu’il s’agit de question de dépense j d’argent des contribualjles, toute j Commission ou comité ne peut en- j gager la corporation municipale I que par un règlement ou une ré-

Le greffier de la cour du recor-1 solution. Il donne lecture d'une der a soumis son rapport sur les consultation légale prise de MM, | activités de cette cour durant les ! Boutin, Boutin et Marcotte, avocats, I mois de mars et d’avril, à M. Joseph j pour appuyer ce qu’il venait de di- I Dubé, chef à l’usine de filtration, fait j re plus haut. M. le maire terrai-] rapport qu’en avril dernier, lespom- ] ne en disant qu’il a un projet d’or- j pes ont été en opéation pendant [ ganisation locale et d’un centre ci- ! 720 heures, qu’on a pompé 46,477,-] vique pour Lauzon dans le but de 000 gallons d’eau, qu’on a utilisé I permettre à la population de se ré- 6,000 livres d’alun et 5951-2 livres I créer et qu’à la prochaine séance de chlorine. j du conseil 11 sera en mesure de pré-

Lu Commission Municipale Spor-- senter un rapport de ce projet qui

un mieux sensible et est mainte­nant convalescent.

M. Lévis Bourassa, greffier de la ville, fait rapport que M. Paul Bouchard, engagé dernièrement comme constable et pompier de Lauzon, a été assermenté le 29 avril dernier et est entré en fonc­tions le premier mai.

M. Patrick Dumas, chef de po­lice de Lauzon, fait rapport qu’en avril dernier, son département a opéré onze arrestations, a abrité 37 personnes pour la nuit et a reçu 54 plaintes sur lesquelles des en­quêtes ont été faites.

M. Joseph-E. Poisson, chef de la bridage des incendies, fait rapport qu’en avril son département a ré­pondu à 18 appels et que les dom­mages par le feu ont été légers.

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Votre patron,Madame

frar

tive de Lauzon Enrg. a soumis son rapport financier, donant l’état des recettes et déboursés au 30 avril dernier. Parmi les recetes se chif­frant à $7,009.50, on voit que la balance en banque le 1er mai 1948 était de $927.57 ; les souscriptions ont rapporté $51.65 ; le hockey, $957,42 ; le patinage, $1.189.44 ; le tennis, $699.07 ; le loyer du restau­rant, $105 : le festival, $934.04 ; la lutte, $1,518.44 ; divers, $415.81 ; la glisoire, $211.05. Les déboursés se montent à $6.803.21, laissant un sur­plus de $206.29 et il y a encore des comptes à payer, ce qui fait que le déficit sera de $27.89. M. l’éche- vin Barras dit que la Commission

GRATIS -

pourra être étudié par les membres du conseil. Il ajoute qu’un centre civique pour Lauzon s’impose et que l’on pourra avoir l’aide des gou­vernements et aussi cette construc­tion pourra donner de l’ouvrage aux nombreux chômeurs de Lau­zon.

Il est proposé par M. l’échevin Raoul Samson, secondé par M. l’é- chevin Blaise Guay que le rapport soumis par la Commission Munici­pale Sportive de Lauzon soit ac­cepté et que des félicitations soient offertes à son président, M. l’éche- vin Gaston Barras ainsi qu’à ses officiers et membres pour leur beau travail et le dévouement dont ils ont fait preuve au cours de la sai­son 1948-49. Adopté à l’unanimité.

On se rappelle qu’à la séance dd conseil d’avril dernier, lors de la lec-

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de Lauzon cet hiver et que l'on!congrès sera très important et Lau- domie encore présentement à une;zon qui fait partie de cette Union famille de vétéran de Lauzon. Le ! y sera représenté officiellement.conseil a voté un montant de $50.

M. le maire a parlé de la fête des arbres et de la semaine de net­toyage et d'embellissement organi­sées par la Chambre de Commerce junior de Lévis. Il dit être en faveur de cette campagne et demande la coopération des membres du conseil. Ce dernier est heureux de seconder la Chambre cadette de Lévis pour cette belle initiative et a autorisé M. le maire de publier (me procla-

La maison Arthur Pelletier .sou­mit un projet d’incinérateur pour Lauzon et le coût de cet appareil sera d'environ $10,000. Le conseil étudiera cette question à sa pro­chaine séance du comité.

Après l’adoption des comptes, la séance fut levée et ajournée sine die.Visite du jeune commerce de PlessUville

La Chambre de Commerce desmation pour demander à la popuia-; jelliles qe Lévis recevra demain la tion d apporter son concours. visite d'un groupe d'officiers et

membres du jeune commerce de Piessisville. Les visiteurs arriveront à Lévis, vers deux heures de i'après-

Le sous-ministre du service du ca­dastre, du ministère des Terres et Forêts, M. Avila Bédard, informe le

-1 ture du rapport de la séance de j conseil que les pians et le tendercomité du 31 mars, M. l’échevin Lu- ;du quartier Fréchette, de la ville decien Guay fut dissident et M. le [Lauzon, sont maintenant officielle- maire Bolduc refusa de signer ce [ment déposés au bureau d’enregis- rapport de comité, disant qu'il neitrement du comté de Lévis et que le signerait que lorsque la Com-j copies ont été transmis à l’hôtel de

les scapulaires 4 dans 1 a’n,c<‘nts, mission Municipale Spizrüve de Lan- ville de Lauzon. Cette révision ca-chacunr. Demandez les 20 chaînes wn auran soumjs Son rapport de la dastrale de ce quartier a été faiteet le catalogue de 100 belles primes j948.49. m. l'échevin Gaston par MM. Bernier et Lachance, ar-gratis à: Barras déclara alors que ce rapport : penteurs-géomètres, de Lauzon. Il yAILEH NOUVEAUTES Sl-Za(hari6 Out. ;eralt soumis a la séance de mai. a maintenant deux quartiers de Lan-; tous les officiers et memurcs de la

' 1 vu que l’année fiscale ne se termi- zon qui sont, complets au point de [Chambre de Commerce junior de

de l’argent ou de magnifiques pri­mes données Gratuitement à ceux qui vendront 20 chaînes et médail-

midi et seront récris par les autori­tés municipales et M. le maire J.- Adélard Bégin leur souhaitera la bienvenue. Dans l’après-midi, on fera la visite de l’usine de filtration, de l’Ecole d’Arts et Métiers de Lau­zon, de la Levis Textile et de la Laiterie Fortier, de Lévis. Le sou­per sera pris à 6 heures, au Manoir de St-Romuald. On demande à

les personnes maigres engraissent de 5,10,15 liv.

Retouvrw entrain, énergie, vigueur

naît que le 31 avril. Ce rapport]vue cadastral, les quartiers Couture ayant été soumis, M. le maire Bolduc jet Fréchette.a consenti de signer le susdit rap-] t,a Fédération des maires des mu- port qui a été adopte à i’unaniml- nlcipalités de la province de Qué-

j té. M. le maire dit quil tenait à|bec aura son congrès annuel à Qué- prouver qu’il n’a aucune animosité;bec, du 6 au 9 juin prochain II y

___ _____ _ n. nüeminent rt». eJlvcls personne et ne désire qu’une .aura durant ce congrès une récep-Bthtinrisroimoi. i, »««• i*» Ichose, que les affaires marchent tion spéciale pour les épouses dos‘ [bien et quç l'accord règne parmi les ]congressistes

me. M pouvaient «ugralMM «ont fier» Aujourd’hui 4» leur bellfl apparence Un attribuent «•A Outrai qui reTltfûe et renforelt. Contient IngrettJ- •otc. «tlinulant*, fortlQanta. fer. viumlna Ri, cal- «tuai poureoricblr laiang, améliorer! appétit et la dlgeation et pilaux faire profiter de la nourriture:qa,î.m.rî ‘«l■11 ^t"' »n octl°l P™1- permettre rte]K.u30!iwmii»MM»irtiipntiriitt.mi)r»|»norTOC. venir en aide aux familles des vete- province ae üuebec aura son rrmerès .jrans dans le besom ri a expliqué annue, à Chicoutimî dr27 seX-!Sne*

vicmrur et nolda. Toutee pharmacien, nnp l'r»n a '.pmnni fiiiplniif'K hro nn -.1— ... i oitaivnie

Lévis qui sont libres de bien vou­loir se rendre demain après-midi pour 2 heures, à l’hôtel de ville de Lévis. Le souper sera présidé par M. Julien Dumont, président de la Chambre de Commerce des jeunes de Lévis.Assemblée officiers et chefs de grou-

; bien et quç l’accord régne parmi les congressistes et touï comme'Lévis «*?, ,,. „wnt Bm «uoiirti’hui ; membres du conseil municipal. et les municipalités de la region lej Une assemblée des officiers et

M. Edouard Labrecque, secrétaire j conseil municipal de Lauzon a voté | cbc'bs ?™upes dé la ligue du Sa­de la Succursale No 12, de Lévis, de pour sa quote-part de l’orga-i cr^'^'oeu.r Bienville sera tenue la Légion Canadienne, est venu sol- ] nisation de cette réception. Ice so‘r' a ® heures, en la salle St-

tnUMer. ce*»* quand vous »nre* rturap» iw a, *". » 1 Ici ter un octroi pour permettre rte L Union des Municipalités de la Qoitante 1 s ou 20 iittm néc«M*ire« pmir iitttintir* j* nonn»t« j venir en aide aux familles des vele- province de Québec aura son moo-rAo . ...CoOto pou. Nouvoou tonoot d'essai seulement 80c. j____ __ u_...... _, „ _______________ ^ ‘ LL'ud 6°n conKreS, AssembléKouYti ka fameux eomprlméa-tonlque* oatr tour recouvrer rUrucur et polda. Toute* pharmaci'

Commission ScolaireIque l'on a secouru quelques familles bre au premier octobre prochain. Ce

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50 -

Une assemblée de la Commission Scolaire de Bienville sera tenue ce soir, à 8 heures, à l’école St- Dominlque, rue Wolfe, sous la pré­sidence de M. L. Sylvio Durand. Fête de M. le chanoine Raoul Tar­dif

Demain sera la fête de M. le chanoine Raoul Tardif, supérieur du collège de Lévis. A cette occa­sion. les anciens élèves sont invités, à se rendre présenter leurs hom­mages à Monsieur le Supérieur. Le programme de cette réunion comprend un souper au collège, à 6 heures; une démonstration de gymnastique, à 7 heures 30 et une opérette intitulée "Le marché aux domestiques”, jouée par les élèves, à 8 heures 30. n y aura program­me de chants par la Société Pales­trina et la fanfare du collège ex­écutera les plus belles pièces de son répertoire, Le secrétaire de l’Asso­ciation invite cordialement tous les anciens élèves à cette fête.Assemblée Cercle des Fermieres de Lévis

L’assemblée générale mensuelle des officiers et membres du Cer­cle des Fermières de Lévis sera tenue ce soir, à heures, au local de l’avenue Mont-Marie, à Lévis, sous ! p ésidence de Mme Alfred Couture. Des questions intéressan­tes seront di utées.Semaine de nettoyage et d’embel­lissement

Dimanche, le 22 mai, commence­ra le semaine de nettoyage et d’embellissement organisée par la Chambre de Commerce junior de Lévis. Les principaux événements seront la fête des arbres le 22 mai et la parade le 23 au soir. Toute la population de Lévis et de Lauzon est priée de collaborer à cette se­maine, afin de rendre nos deux villes attrayantes. Nettoyons, pein­turons, cultivons les fleurs et em­bellissons.Le tournoi des petites quilles.

Le t -noi annuels aux petites quilles, pour le championnat de la rive sud. bat, son plein, en la salle des Chevaliers de Colomb de Lé­vis, Ce soir, à 7 heures, joueront les employés de la Davie Shipbuil­ding, de Lauzon.Elle est convalescente

Mme Henri Labranche, de Lévis, qui a subi une délicate opération chirurgtcr.le, à l’Hôtel-Dieu de Lé- vis, vient de retourner dans sa

BRICK BRADFORD iom Ritt et Clarence Gray

lin n . \ mon point nr v«e cru hic srmblr quf dr» Allions llcitri'usfmrnt i l«* crime nu pu

ron que J*»l découvert *— O qui me met en mesure de conclure que

lout doit être cnlosftal dan» non ensemble

uche de végétation

lies nlllun». en vérité — mal.» Il» forment un patron exact

famille pour compléter sa conva­lescence. Nous lui souhaitons un parfait rétablissement.Résultat d'un tirage.

A l'occasion de la partie de cartes annuelle de l'Amicale du couvent de Jésus-Marie, à Lauzon, le 27 avril dernier. M. le curé Jos V. Boucher a procédé au tirage des deux prix de la souscription en fa­veur des oeuvres1 de l’Amicale. Le sort a favorisé Mlle Yoland Lepage, rue Charland qui a gagné le fer à repasser de voyage don de M. le curé Boucher et Mme Eugene Dion, rue Wolfe, Bienville, a gagné le silex, don de Mme J.B. Cadrin, présidente honoraire de l'Amicale.

Plusieurs prix de présence avait été offerts par M. le curé Jos V. Boucher, M. l'abbé Emile Bernard, aumônier, la Révd Mère Supérieu­re, Mmes J.-B. Cadrin, J.C.J. Robi- taüle, J. Ernest Bolduc, J.A.K. La- flamme, Horace Huot, Alexandre Samson, Roméo Bissonnette et Ro­se H. Bissonnette, Mlles Thérèse Noël et Pauline Turgeon.

Les dames du comité exécutif fé­licitent les gagnants et remercient sincèrement les généreux donateurs

| ainsi que tous ceux qui ont encou- ]ragé de quelque manière cette or­ganisation qui a remporté un franc

! succès.! Appel des pompiers de Lauzon! Les pompiers de Lauzon ont été appelés hier matin, vers dix heures, pour un feu de cheminée sans dommages, i^ie St-Cyrille.

J Mort rte Mme Charles Gagné j Nous avons appris avec regret lia mort de dame Diana Grenier, j épouse de M. Charles Gagné, sur­venue dimanche dernier, à l’hô­pital de Piessisville. La défunte, âgée de 54 ans et 7 mois, outre son époux, laisse pour pleurer sa mort, ses fils, M. Louis-Philippe Gagné, de Lauzon, MM. Laval et Jean-Charles Gagné, d’Abitibi; sa fille, Mme Wilbrod Grenier, née Jacqueline, de Boston; sa belle-

j fille. Mme Louis-Philippe Gagné; ison gendre, M, Wilbrod Grenier; [ses souers, Mme Joseph Drouin et jMme Adélard Beaudoin, d'Abitibi, j Elle laisse aussi plusieurs neveux, nièces, cousins et cousines. Les

[restes motels -sont, exposés aux sa­lons funéraires de la maison J.P. Thibeault Enrg, 9 Commerciale, à Lévis. Les funérailles auront lieu demain matin, en l’égiise de Lau­zon. Nous présentons aux parents de la regrettée défunte nos plus vives sympathies.Mort de M. Polydore Poiré

Nous avons appris avec regret la mort de M. Polydore Poiré, époux de dame Marie-Jeanne Tur­geon, survenue dimanche dernier, a Québec. Le défunt, âgé de 45 ans, outre son épouse, laisse pour pleu­rer sa mort, ses files. MM. Joseph- Arthur et André Poiré, de Lauzon; ses filles, Mlles Dorothée, Marcelle et Esther Poiré, de Lauzon; sa mère, Mme Vve Arthur Poiré; ses beaux-parents, M. et Mme Orner Turgeon. de St-Charles de Belle- chasse; ses frères, MM. Gérard et Wilfrid Poiré, de Lauzon; ses

[soeurs, Mme Gérard Laflamme, de ] Beaumont. Mme Gérard Guay, de Lauzon, Mme Michel Bissonnette, de Lauzon, Mme Antonio Turgeon, de Lauzon. Mlles Marie-Jeanne, Claire, Gertrude et Thérèse Poiré, de Lauzon; ses beaux-frères et bel- les-souers, MM. Gérard Laflamme, Gérard Guay, Michel Bissonnette et Antonio Turgeon, MM. Gérard et Philippe Turgeon, de St-Charles, M. Adélard Turgeon, de Victoria- ville, MM. Henri et Paul Turgeon, de St-Charles, MM. et Mmes Henri Nadeau, Adélard Marcoux et Ber­nard Nadeau, de Beaumont, M. Jo­seph Labonté, de New-York, M. et Mme Aimé Lacroix, de St-Michel, Mlle Madeleine Turgeon, de St- Charles. ainsi que plusieurs ne­veux, nièces, cousins et cousines. Les fuifcrailles auront lieu demain matin, en l'église de Lauzon. Nous présentons aux parents du regretté défunt nos plus sincères condolé­ances.Confessions des élèves

A Lévis, demain matin, confes­sions des élèves du couvent et de­main après-midi, à 3 heures, en l'église Notre-Dame, confessions des élèves des écoles.Funérailles à Lauzon el au Christ- Roi

Ce matin, en l'église de Lauzon, ont eu lieu les funérailles de M. Adélard 1 agueux, époux de dame Azilda Samson, décédée samedi der­nier, à sa résidence, rue St-Joseph, à l'âge de 70 ans et 3 mois. Après la cérémonie funèbre, les restes mortels furent conduits au cime­tière St-Joseph et inhumés dans le terrain de la famille.

Ce matin ,en i église du Chrits- Roi, ont eu lieu les funérailles de M. Georges Levine, époux de dame Gertrude Boutin, décédé subitement samedi dernier, à l’âge de 38 ans et 8 mois. Après la cérémonie fu­nèbre, les restes mortels furent con­duits au cimetière Mont-Marie et inhumés dans le terrain de la {a- mille.Semaine étudiante

Du 23 au 29 avril, la Jeunesse Etudiante de Lévis tenait sa 35ème campagne laquelle fut des plus ré­vélatrices.

Dès le lundi matin, le dévoué président, Roger Beaudoin, s'adres­sant à toute l’école précisait le sens de la dite campagne. Les jours sui­vants, les présidents des autres classes firent tour à tour part à leurs camarades de leurs études et de leurs consultations.

Les sujets suivants furent étudiés en équipe puis transmis aux cama­rades : "L'Ecole est une oeuvre. l’Ecole est une oeuvre d'efforts, une oeuvre d’amitié, une oeuvre de col­laboration.’t Ces problèmes de notre milieu soigneusement élaborés puis sérieusement étudiés intéressèrent vivement les copains qui en firent le sujet de maintes conversations.

Vendredi, c'était la mémorable soirée de clôture : on y a vu pro­fesseurs et élèves fraterniser et s’égayer aux mêmes tables... et vi­vre des heures charmantes. Après quelques mots encourageant:: de M. l’aumônier et du Fr. Directeur, il

Chronique ouvrièreConventions collectives

On comptait 1,185,561 travailleurs [assujettis à conventions collectives [au Canada en 1947, soit une aug­mentation de 11.7 pour 100 sur let total enregistré en 1946. Les chiffres

[donnés sont tirés des renseignements fournis par les employeurs collabo­rant au relevé des taux rte salaire iet heures de travail au Canada en 1947, auxquels on a ajouté des ren-

pseignements supplémentaires four­nis par les syndicats et les em­ployeurs.

Le nombre total des salariés et des travailleurs à traitement en emploi le 8 novembre 1947 s'élevait à 3,-i 334.000 d'après les calculs du Bureau fédéral de la statistique (basés sur; ;un relevé par coupe de 1 pour 100 de! [la population et par conséquent su-| !jet à erreur). Donc 35.6 pour 100 du; [total des travailleurs en emploi [ [étalent liés par conventions collée-; jtives, dans toutes les industries en [1S47. Voici les moyennes par prin-| [cipaux groupes industriels ; agricul­ture, néant ; exploitation forestière,

ipéche et piégeage, 44.7 ; mines 71.2; industrie manufacturière, 50.4 ; électricité et gaz ; 49.6 ; transports et communications, 75.2 ; commerce.5 2 ; finance et assurance, néant ; services 8.2.

En comparaison de '.’année précé­dente. la hausse du total des tra­vailleurs assujettis à conventions en [l947 est attribuable en partie à la hausse du chiffre de l'emploi com­me l'indiquent ies données officiel­les et en partie au fait que bon nom­bre de conventions supplémentaires ont été conclues en anglobant les Travailleurs d’établissements non an-; [térieurement assujettis à conven­tions.

I Dans l'exploitation forestière, seu-j les la Colombie-Britannique et la partie nord-ouest de l'Ontarioi comptaient des convention^ en vi-j gueur. L'augmentation du nombre! des travailleurs englobés est due à une hausse du chiffre de l'emploi. Dans le groupe manufacturier, les augmentations les plus importantes dues à une hausse du chiffre de l’emploi dans les établissements as-

y eut distribution de magnifiques prix aux gagnants.

Sincère merci au C. F. Louis- Maximin, directeur actuel, pour sa pleine collaboration et ses généreu­ses permissions. Merci aussi aux dévoués professeurs qui ont su en­courager de leurs intéressantes sug­

gestions et de leur non moins inté- tressante présence.

sujettis à conventions ont été enre­gistrées dans les industries manu­facturières de la pulpe et du papier La hausse est surtout attribuable aux nouveaux établissements.

ConvocationsSyndicats catholiques : — Réunion

de la Fraternité nationale des em­ployés du transport, du Syndicat des employés de garages du Quebec Power ce soir, à 8 heures, à 17, rue Caron.

Unions internationales : — Réu­nion du Conseil Fédéré des Métiers et du Travail de Québec et Lévis, ce soir, à 8 heures, à 72, rue Ste-Hélè- ne.

Logements construits à St-Jean-Baptiste

Drummondville. (DNC) La muni­cipalité de St-Jean Baptiste se classe, pour la seconde année con­sécutive, en tête des municipaités du grand Drummondville pour le nombre de logements construits dans les quatre premiers mois de l'année.

Depuis le premier janvier, cette municipalité a émis 28 permis de construction, représentant 31 lo­gements. Ces constructions ont^une valeur globale de $105.500. ”

A St-Simon tie Drummond, on a

construit, pendant cette même «lia née. un total de 19 logements pour une valeur de $84.000.

STE-HENEDINEVa-et-vient

M et Mme Anselme Audet et MM. Ovila et Raymond Audet, de Frmpton, chez M. et Mme Pierre Thibaudeau, ces jours derniers.

M. et Mme Raoul Bourgault de Ste-Marie, chez M. Valère Bour- gai ll, récemment.

M. Paul Ruel de passage en cet­te paroisse, la semaine dernière.

M. et Mme Lucien Slyvain. Mlles Cécile et Monique Corrivault, de Limcilou. chez Mlle Thérèse Veil- leux, dernièrement. ••

M. et Mme Albert Lernehn et leurs enfants de Limoilou chez MM. et Mmes Charles Pomerieau et Grégoire Royer, dernièrement.

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C'est parce qu'on ne m’avait pas ’ dit que le type que nous devions battre était le Saint, mon fars ... C'est Tunique homme au monde qui peut me rosser ! Mai.» Martin est le nom du typ* qof * enrajeé.

tous dan* la ^... Vaehon y \vais apprendre I

!‘Ux*U ont à /

Il ment. J Vral- *ans aurun ment 7

doute ! J F.h bien essayez de me

battre

Restez tranquf) le pr.Tids rharye de

situa­tion

Render-vous bibliothèque rompris. Je ce que ce» dru djre, sans en venir nu*

coups

Fm

jLe mchefe politique 4* 5

A la flamande unanime des chei libéraux du comte de Lotbiniere. M Hugues Lapointe, fils du regrette Ernest Lapointe, sera de nouveau candidat officiel du parti liberal dans cette circonscription qu'il re­présente si brillamment à la Cham-

teur en chef du parti libéral à Qué­bec. nous fait part que deux conven­tions libérales auront lieu la semai­ne prochaine dans le district: lai première sera celle du nouveau

; comté de Lapointe, région du Lac ;St-Jean. Elle aura lieu à Jonquière,; «aile de l'hôtel de ville, à 8 heures! du soir, mercredi le 18 mal prochain La «seconde convention aura lieu dans le nouveau comté fédéral de! iCharlevoix, à Baie St-Paul, vendre­di le 20 mai à 2 heures de l'après- midi.

CANDIDAT AU SAGUENAV

M Donat Lacroix, de Québec, nous icommunique qu'il sera candidat in­dépendant dans le comté de Sague- !nay à l’élection nationale du 27 juin, ;M. Lacroix se défend d'avoir aucune lattache avec tout clan politique et |il s'engage à faire "une lutte hoh-: jnête et loyale".

A TROIS-RIVIERES

Trois-Rivières, 10. <DNC). Me iLéon Balcer. jeune avocat de Trois- Rivières, a accepte de se presemer comme candidat progressite-conser-

Ivateur dans le comté de Trois-Riviè­res aux prochaines élections fédéra­les du 27 juin. Il a répondu dansj

. . . depuis neut l'affirmative à une centaine de Tri-iJ’;. ,' Lapoulte a en effet été^elUifiuviens qui se présentaient hier

J lo/n S aUX 0ns"50ir en délégation a sa demeurer^fxZ0 —-dp—- —réélire par 4,306 voix. La même an-!née. le premier ministre lui confiait! La manifestation était dirigée par un poste important en le nommant M Philippe Bedard, president de secrétaire parlementaire du ministrej1 organisation nocale des progressis- de la défense nationale. Lors de l’ao- 'es-conservateurs. Me Leon Baker cession au poste de premier- mi- Ja remercié la foule du grand non- nistre du T. H. Louis St-Laurent. Ineur qu’elle lui faisait en le dèsi- M. Lapointe devint peu de lenijlii snant comme candidat. Plusieurs après, adjoint parlementaire du mt-!amis de Me Balcer ont ensuite dit,

rÊÏ.

m«o«em

( LE SOLEIL, Québec, mardi 10 mai 1949

En Cour à Sherbrooke

Grévistes accusés d'assemblée illégale; débal entre les

avocats, commentaires du juge

À *

bre des Communes

INITIATION D’ECUYERS COLOMBIENS: Photo prise lorscl'tinr récente initiation chez les Ecuyers Colombiens. On remarque, au centre. GASTON GARNFAl’, Chef Ecuyer; à sa droite, M. l'abbé LEO BOUILLE, aumônier diocésain des Chevaliers de Colomb,

M. URBAIN CAl’MARTIN, chef conseiller au cercle des Ecuyers ainsi que quelques religieux; à sa gauche, M. l’abbé HENRI-Y. BOU­LET. aumônier du cercle. M. GEORGES DELISLE, député grand Chevalier du conseil 2721 ainsi que MM. PAUL GARNEAU, ULRIC FERNAND et ANDRE LECLERC, tous conseillers du cercle.

L'hon. Tancrède Labbé réélu maire pour un 5e terme à Thelford-Mines

Par une majorité de 129 vBix. mière fois en 1931 et devint député l’hon. Tancrède Labbé. ministre de Mégantic à la Législature en

nistre des affaires extérieures du quelques mots, dont Me Roger La-j sans portefeuille dans le cabinetCanada, l'hon. M, Pearson. Sa can-'roche, Me Jean Decelles, Me Yves;! provincial, a été réélu à la mairieriidature a été annonçée par l'orga- Gabias. MM. J.-A. St-Pierre ei nisateur en chef du parti liberal àïCharlemagne Brouillette.Québec, l’hon. Wilfrid Hamel. La jeune Renée Duplessis a of­

fert une gerbe de fleurs à Mme ,Léon Balcer, au nom des dames;

L bon. Wilfrid Hamel, organisa- présentes.

de Thetford-Mines. hier.

1935.Après son élection hier soir. il a

DES CONVENTIONS

Les finissants de Laval accueillis dans la grande famille des anciens

La grande famille des “Anciens Anciens, jjeut-étre la plus humaine de Laval” a accueilli officiellement .entre toutes”, dit Me Fernand Cha­îner plus de trois cents finissants jQuette.des diverses facultés qui viennent "Les Anciens de Laval sont trèsgrossir ses rangs cette année. Cette !heul'eux de recevoir aujourd’hui , ri , mimicinalité nui snm ve cérémonie d’accueil a eu lieu 'nU!i déP°f*r ,eur voté «ont demeuréscours d’un ralliement au salon de Pour 9111 V1P- ue piofes- . . : :h!l'uuiversité hier soir. Me Fernand «««Hwlle assurément, commence de- p‘u’ •° t’s’Choquette CR vice-président des maln Mercl a nolre tllere Univer- Le nouveau conseil rie ville se com-andens et. professeur T la faculté sl,é d avoir bien voulu que cette rcu- pose des membres suivants; M. Tan-

^ ’ nion de famille se déroule sous son ci .'de Labbé. maire réélu

C’est le cinquième terme a la mai- jrie rie Thon. Labbé qui a obtenu 1.239 voix contre 1.110 pour son ad- versaire, M. Arthur Ouellet, candi­dat ouvrier.

Dès que le résultat de l’élection ; lent été connu, les partisans de M. ILabbc l’ont chaleureusement accla­me à l’hôtel de ville.

En dépit des circonstances diffi- iciles amenées par la grève actuelle des mineurs d’amiante, l'élection du

; conseil de ville s’est déroulée dans la ! paix et l'harmonie.

On avait anticipé quelques bagar- jrcs ou tout au moins des scènes tapageuses, mais à la grande sur­prise des gens, les 80 p.c. des élec-

de Droit, a présidé la fête en l'ab- MM.

Mille inscriptions aux cours d'étéUn millier d'étudiants environ s’inscriront aux cours d’été de

Laval cette année. Des centaines rfe demandes d’inscriptions sont déjà venues des Etats-Unis et des diverses provinces du Canada.L’université de vacances inaugurera cette année des cours qui in­téresseront un plus grand nombre de Canadiens français.

Le programme a été enrichi cette année d’un cours de biblio­théconomie qui conduira à l’obtention du certificat après deux sessions d’été. Me Lucien I,ortie, professeur à la faculté des Let­tres de Laval, dispensera cet enseignement. Il est à noter repen­dant que l'an prochain, le programme rie la première session ne sera pas répété. Les candidats devront donc s’inscrire dès cette année s'ils sont désireus d’obtenir le certificat.

Des cours avancés de latin sont offerts aux professeurs de renseignement secondaire. Mgr Louis Richard, doyen de la faculté des Lettres de l'Institut catholique de Paris, a charge de cet en­seignement. Cette année. Laval ajoutera aux programmes des cours de français la nouvelle section d'histoire et de géographie.

Un pressant appel à la population de la Mauricie pour les mineurs

Shawinlgan, 10. iSpécialo) Di-,foyers. Elle affrété les femmes e manche dernier. Une collecte dans le| les enfants. Dans ces circonstances, ; durant but de soulager la misère des fa- la charité fait un devoir à tous, à |qu'ils devaient sacrifier jusqu’à leur vrier qui existe dans les Cantons quelque classe qu'ils appartiennent Jvie S1 nécessaire, pour la liberté, je | milles éprouvées par le conflit ou-! (Suite à la page 6.3e col.» ime demande ce qu’ils pensent en

Sherbrooke. 10. (PO. La compa­rution de cinquante et un grévistes de l'amiante hier a donné lieu à un riebai entre les avocats au sujet du droit d'accès auprès des prévenus pour consultation. Les prévenus sont accusés d'avoir tenu des as­semblées illégales.

Le juge Aimé Chassé, de Sorci, a fixé des cautionnements variant de $300 à $800 pour la liberté pro­visoire des grévistes, et a fixé la date des enquêtes préliminaires par groupes au 31 mai. 7 juin et 14 juin.

Ces accusations d'assemblée illé­gale résultent des désordres qui se sont déroulés à Asbestos alors que des grévistes en sont venus aux prises avec la police.

Tous ceux qui ont comparu hier avaient été amenés de Montréal où

jon les avait dirigés d'abord parce que la prison de Sherbrooke était

I remplie à sa pleine capacité.Me Jean Drapeau, avocat de

; Montréal, déclara dès le début de l'audience qu’il a fait des tentatives

' répétées pour voir les détenus à i Montréal, samedi et dimanche, mais sans y réussir. Il ajouta qu'aprés j avoir tenté de faire des arrange- ! ments à cette fin avec des officiers: de la Sûreté provinciale, il s’adres- j s;, bu département du Procureur général à Quebec, mais on lui ré­pondit que le departement ne pou­vait pas intervenir.

Me Drapeau précisa qu'hier en- enre i) tenta rie voir les détenus. : mais on lui répondit que les hom­mes étaient déjà partis pour Sher­brooke et qu'il ne pourrait pas les' voir avant leur comparution.

' Un tel traitement, dit-il, est un déni des droits d'un citoyen. C’est un principe fondamental de la loi qu’un avocat doit avoir la permis­sion de communiquer avec ses ; clients. Si cela se répète, les gens ! fuiront les tribunaux de justice et n'y chercheront, plus refuge. Des

j émeutes et des révolutions en ré­sulteront si on ne met pas fin à de; telles méthodes, S'il y a des horn­

et : mes ici qui ont porté l’uniforme j la guerre, à qui on a dit

A la demande de M. Drapeau, un , ajournement de 10 minutes lui fut ; accordé pour converser avec les ac­cusés. Ces derniers ont comparu par groupe et n'ont pas été requis d'en-

! registrar un plaidoyer.Quand la question du cautionne-

! ment fut soulevé, le juge Chasse j souligna qu'il n’est pas habituelle­ment sévère dans ce genre de cau-

ises. mais qu’il ne peut badiner avec jle code criminel et l'administration de la Justice sans résultats lamen­tables. Il spécifia que des officiers de police ont été assaillis à Asbes­tos, qu’il s’est donné le trouble

!dc faire enquête sur certains rap­ports. et en est venu à la conclusion

!que certaines déclarations voulant que la police se soit servie de ses

.armes à feu étaient fausses, "J'espè- !re, dit-il, que les journaux met- i Iront le public au courant de la vé­rité au sujet de cela et de toutes les nitres fausses accusations qui ont

;été faites contre la police provin- iciale”.

La salle d'audience était remplie de constables provinciaux. Seuls fu­rent admis dans la cour les officiers de cour, les avocats, les proches pa­rents des accusés et des représen­tants de la presse. Tous les repor­ters, même ceux des journaux lo­caux, furent requis de montrer leurs cartes d'identification. On croit que c'est la première fois que des re­porters, ceux rie Sherbrooke, du moins, aient été soumis à cette obli­gation.

Avant l'arrivée du juge, la police a permis la prise de quelques pho­tos. Les comparutions sc continue­ront aujourd'hui. Si l'on tient comp­te des 48 grévistes qui ont comparu vendredi. 99 ont comparu à date sur

(Suite à la page 7. 5e col.'

toit”. (Emile Giguère (91 voix) et Arselas : déclaré qu'il avait remporté la vic-- ence du docteur Jean-Baptiste J - Le professeur Choquette a engage Lefebvre (accl.i pour le quartier No noire en dépit de l'opposition ' des

Ptestoent de 1 executif des An- jes etudiants qui quittent l'Univer-U >MM. Joseph Blais (167 voixi et [syndicats catholiques et de la cins d Laval. [site à s'inscrire dans l'Association ; Maurice Emond 'accl.» pour le’c.T.C.C.”

Mgr Ferdinand Vandry. P.A.. V.G.,!dps Anciens: “Pour tout dire", a-[quartier No 2: MM. J.-A, Béliveau l a cause de la grève, ni le maire recteur de 1 Université Laval, a par-it-ii ajouté en souriant, “le secré-i<88) et Léo Grégoire laccl.'t pour Je [ni les conseillers n’ont tenu d'as-

de l'Est fut lancée dans toutes les ; églises du Diocèse des Trois-Riviè- jres suivant la recommandation de | Son Excellence Mgr Georges-Léon Pelletier.

Voici le texte de la lettre de Mgr Leclaire. v.g. de St,Hyacinthe et président de la Commission Sacer-

• dotale d'études sociales, émis avecticipé à la réunion et a prononcé itariat permanent est ici avec des [quartier No 3 ; MM. Ch. Dubuc (85 ( ! semblée avant l'élection, àune allocution. Les autres orateurs formules; on n'a qu'à les furent Me Jean-Marie Bureau, C. pour que. finissant aujourd'hui, on R., bâtonnier du Barreau des Trois- soit’"Ancien de Laval” demain Rivières et membre du comité des “En l'absence de notre président anciens de Laval dans la cité dé générai, le Dr J.-B. Jobin. qui m'a La violette, et M. J.-E. Theriault, nommé son député pour la journée", chef du secrétariat des anciens de[a continué le président de la récep- Laval. Les étudiants ont manifeste-['j011, “c'est avec plaisir et fierté que ment apprécié la cordialité de cetp exprime aux étudiants qui, avec accueil et ils ont entendu les or a- J°ie- terminent leurs études cette leurs avec beaucouo d'intérêt. jannée les sentiments de leurs 'ai-

.. , ... ,, nés. Messieurs les Finissants, nosMe l ernand ( hoquette voeux les plus sincères, les plus fer-

“Les finissants ne disent plus .vents suivront vos pas dans la car- adieu à leur Alma Mater mainte- rière que vous avez choisie, nant, puisque l'on une

causesigner jet Maurice Huard. <B9i pour le quar- la tension des esprits dans cette ré-

tier No 4. g ton où sévit la grève de l'amian-M. Labbé fut élu pour la pre-'te depuis le 13 février.

Début du travail de recensement en vue des élections générales

Les élections à Sainf-Romuald

St-Rorrnmld, 10. (Spéciale). La mise en nomination aux élections municipales a lieu demain, à rhô tel de ville. Comme on le sait, le

de j l’approbation de la Commission des. majrp sorta«t, M. L.-P. St-Hilaire,Evêques chargés des questions so-

iclaiesaura un adversaire en la personne

ce moment"Me Drapeau demanda alors que

[ les accusations soient rejetées et spécifia que les accusés n’ont pas

[eu l’opportunité -d'avoir un avis lé-j gai. Une telle procedure est contrai- j re à la loi, souligna M. Drapeau.

Me Roland Dugré, procureur de l [la Couronne, se leva alors pour dé­

clarer qu'il ne s'est pas préparé à un discours politique. Il dit que si M. Drapeau n'a pas eu la permlssfion de voir les accusés, c'est parce que ces derniers ont définitivement dé- . clair que leur procureur était Me I Carrier Fortin, de Sherbrooke. “La !

qui fut lue à toutes 1rs mes-; dg ^ j -Alphon.se Demers, cegnp- ses dans les églises du Diocèse: , tabie ancien maire de St-Romuald.

"Depuis le début de la grève qui! Dans le quartleï numéro I. M. affecte la région industrielle de Ta- [ chs-Ed. Robltaille qui avait com-fait leur large part pour hâter le ! mencé sa campagne à l'échevinage, ]7bérté existe au Canada aussi bien!miante, les autorités religieuses ont ,-0S[ raillié hier soir à la Candida- ...T cx s r a'. CR ®}lssl D1CIL

• - — — Jduuc e ‘r * ** (.Miiuuirt ;qu ailleurs, souligna Mc Dugré, et:■ si les accusés désiraient avoir M.:Drapeau comme leur procureur, ils I

jn'avaient qu'à le dire. On a tou- j

5

règlement du conflit. Elles ont mul-j ture de M. J.-A.-P. Beaulieu, qui L,

Depuis hier, on a commencé a Montmagny-L'Islet, passer de porte en porte pour re-. Louis Pelletier.

Pour[cueillir les noms de ceux qui seront' Nicolet-Yamaska, Gentillyochaines j Villeneuve.

idarite, qui es, en quelque sorte ce moment et'j'aurai jusqu'aux j ^iucrHuS^ ’ De8chflmb8ult :

une nouvelle Faculté, la Faculté des premiers jours de juillet, le mois des ‘ ' Nanti

Montmagny :

tlplié leurs démarches auprès des j aura maintenant comme seul ad- 1 intéressés en les invitant à étudier | versaire M. Paul-Emile Bussières,diverses formules de solution qui | employé de la Cie Lévis Transport, | jours dit a ja couronne que M. For-[ tenaient compte des exigences légi-jDans le quartier numéro 5, le cou- tin défendait tout le groupe", times de toutes les parties en eau- i sellier sortant, M. Alfred Lefebvre.; ^ juge cha-sé intervint alors

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C.-E se. Malheureusement, leurs etiorts! aura comme adversaire M. Noèl!^.,,^ la discussi0n pour déclarer l ainsi que l'intervention rie l'autorité Boulanger M. Napoléon St-Hilai- rp|-1j ,,'a pas l'intention d'entendre

[civile, n'ont pas abouti jusqu’à pré-jrp, conseiller sortant dans le quar- fjos discours durant toute Taprès- Alfred|sent au résultat espéré. [lier numéro 6, a accepté de ,se re- midj

Durant ce temps, la misère se;présenter, et. il n'a pas encore d'ad-dr; versaire.

Un forum au 5e anniversaire de la (oopéralive d'. . . . . . . Lairel

le

{premières moissons, une pensée af-w1 vendredi inclusivement.J Québec-Est, 602 Quatrième Ave-[fait sentir dans des milliers•fectueuse et toute particulière Mais La l’»PUlaf.nn est donc prtee de mie (Québec) : Ernest Godbout. ---------------------------------------------à tous nos confrères de demain i sun'clllpr la vpnue cie l’énumera- Québec-Sud. 19 rue Notre-Dame

[dans le droit, la médecine, le gc- 'leur af'n d116 les listes soient corn- (Québec) : J.-P. Lessard.[nie dans toutes ses formes, les scien- dtôtes le joui des élections. Québec-Ouest. 1233 rue St-Vallierjees dans toutes leurs expressions, Voici les noms et les adresses des (Québec) : Roméo Jobin.[sans oublier les sciences politiques, [ officiers rapporteurs de quelques Québec-Montmorency, 146 rue St,- jà tous, du fond du coeur, je sou- comtés de Québec et de la région : Grégoire (Montmorency) : M. E. halte réussites, succès et triomphes. Beauce. St-Georges de Bcauce :(Que la Providence benisse vos car- j A ornrii-on Rimouskt. Rimouski : Gerard Le-jrières: que la paix soit dans vos , : garé. Un intéressant forum a marqué peut s'obtenir à moins de 0.15esprits et vos coeurs, cette paix Bellechasse, Armagh: Philippe ' Saguenay, Baie Comeau : Georges'hier soir le cinquième anniversaire pieu La loi nationale du logement j[qui, selon le mot de Valéry, est une PIante- ; Desnoyers, [de fondation de la. Coopérative (Tha- j prête jusqu'à 90 p. 100 du. coût de [victoire virtuelle, muette, continue Charlevoix, Pointe-au-Pic : El- Temiscouata. 167 rue Lafontaine [bitation Lairet. Ce forum fut tenu;ia construction, mais selon son éva- j

[des forces possibles contre les con-jzéar Villeneuve. (Rlvlère-du-Loupt : Jacques Mlvil- dans la salle d'assemblée de la pa- luation à elle. Une maison familiale;[voitises probables. Soyez heureux; Chicoutimi Chicoutimi: L-G !e- jroifse Saim-Albert-le-Grand. Laide 2 pièces coûterait aujourd’hui;en tout et partout". Gauthier Trois-Rivières Trois-Rivières: J.-[question à l'étude était: Un salarié! environ $8.400. SI le salarié qui se

Les finissants ont applaudi avec! ' A. Villeneuve. ’ [gagnant un salaire moyen et possé-1 construit peut fournir une bonne!enthousiasme le professeur Fernand | Uorchester’ 5t-MaIachie . Jean : —____________ jdant quelques centaines de dollars jparr de la main d'oeuvre, elle lui [[Choquette et son allusion aux exa-;BrPton'. . - - , . , d'économie peut-il se bâtir une ha - ; coûterait, environ $6,500. Les socié-[mens du Barreau, qui auront lieu Gaspr- Ligny-St-Flochel : Joseph Any nijgr ac qû gc oration familiale, l'entretenir et la té de pré .sont, de plus en plusdans deux mois, a particulièrement. Beaudin. y y garder en vue d'y élever sa famille? 'difficiles. Elles ne prêtent que sur-enchanté ses élèves de la Faculté Kamouraska. St-Pascal de Ka- • m._i _ La discussion fut très animée, des garanties que le salarié eu gé-de Droit. ; tnouraska Adalbert Anctil. O IIIUI I cil UICLC les idées qui >e sont échangée néra' ne pourrait, fournir.

Mgr le Reetnir de Laval Lac St-Jean. St-Joseph d Alma : Athènes. 10 (PAi Un reportage au grand profit, de tous, ne man- De plus, en supposant qu'un sa-Le recteur de Laval, Mgr Ferdt- • Victor !• illion de la presse provenanWde plus de 400 quèrent pas de piquant.. C'est ainsi laric parviendrait à réunir as.se/.

iiiand Vandrv, déclara aux finis-, Lapointe, Kénogami : Rolland'guérillas, gelés A Patral annonce que j par exemple, que Ton a soutenu d’économies pour être en mesure! sants : "Quels que soient les déboi-j Coulombe. les corps morts durant la campagne |qu’un salarié gagnant de $35. à $40 de payer le tiers de sa cons-

U HILAIRE : M. lahhé Jules* Ran- res. ou les déceptions que vous ayez! Lévis, Lévis : Me Antoine Bourget.[d'hiver contre les troupes du gou- dollars par semaine et possédant (ruction, soit environ $2.500 son court, curé de St-Patrice de Rivie- éprouvés durant vos études, rappe- Lotbinière, Ste-Croix : Joseph Bé- vernement grec, furent trouvés sur $500 d'économie pouvait, se bâtir salaire de $40. pat semaine ne suffl-re-du-Loup. célébrait dimanche, 1er lez-vous toujours l'atmosphère sym- dard. les flancs d'une montagne au sud- une habitation de sept pieces, à lo- ra: pas pour supporter le lourdmai. son Jubilé d'argent sacerdotal, pathique rie 1 université et l’Intérêt! Mégantic, Thetford Mines : J-G. est de Patral .dans la région du noM gement unique. fardeau des taxes, des intérêts sur;

^nN( Riv.-du-Loup) (Suite à la page 7. 3e coi.i Lafontaine. du Péloponnèse. Cette thèse .souleva une foule,hypothèque, des réparations et desle terrain ne

C est alors que Me Fortin informa ; [là cour que M. Drapeau agissait j conjointement avec lui dans cette (affaire et, qu'il avail été délégué pour voir les prisonniers à Montréal.

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[d'objections D'abord, (Suite a la page 6, 4e col.l

Une démonstration de télévision offerte aux ingénieurs en congrès

50 ANS AU SERVICE DE L ECLISE: M. Alphonse ba­vard, de Loretteviile, qui, pendant cinquante ans. a mis sa belle voix rie ténor au service de l’Eglise, de ses concitoyens et de toutes les bonnes causes, a été (objet d'une belle manifestation d'estime, le 78 avril dernier, de la part d'un imposant groupe de parents et d'ami». Sur la photo ei-dessus prise à cette occasion, on note la

présence, autour du jubilaire, de son épouse, de M. le curé J.-G. DUMAS, de S. H. le maire MAURICE PLEAU. président de la soirée, de >f. l'abbé JULES DUBEAU, chapelain du couvent, et de M. BARNABE PARENT, maitre de cérémonie. I n microphone et une bourse furent offerts a retie occasion a M. Savarri, tandis nue Mme Savard recevait une valise el un bnuouet de roses

1 Photo Moderne.i

Une première démonstration de télévision sera offerte à Québec jeudi soir, au cours du congrès de l'Institut des Ingénieurs canadiens au Château Frontenac. Le congrès s'ouvre demain pour durer jusqu'au 14 mai. samedi. Les plus impor­tants travaux de génie exécuté* au cours des dernières années dans la province de Québec aunont la ve­dette à ces assises nationales des ingénieurs, apprend-on.

Plus de 800 délégués participeront à ce 63e congrès annuel de l'Institut des Ingénieurs du Canada. Une Im­posante délégation des étudiants en génie des différentes universités ca­nadiennes participera au congres. Le conseil de l'Institut des Ingénieurs doit tenir aujourd'hui des réunions

Un verdict de morl accidentelle

Montréal, 10. (PCi Un verdict, de [mort accidentelle par asphyxie a été rendu, hier, sur la mort, de

[Lucien Lanctôt, âgé de 62 ans, dontj le cadavre a été retrouvé dans sa ré-;

isidence, à Rosemont ,au début.de; [ta journée d’hier.

Une soeur du mort fit la inaca- [ bre découverte cownc elle venait, lui rendre visite, a éclaté la police. Le Dr Raymond Hébert a dit que

[Lanctôt était mort depuis au moins deux jours.

plénières, qui seront suivies re soir du diner du président au Club de

[ la Garnison.Le président de la section de Qué­

bec de Tïnstitut des Ingénieurs. M. Paul Vincent, ingénieur en chef au

[ministère de la Colonisation, rece­vra les délégués à titre de president du comité local du congrès. Plu­sieurs ingénieurs américains, qui

[doivent participer à la conférence' ; de l'hémisphère occidentale du Co- [ mité International de Gestion scien­tifique (International Committee of [Scientific Management), qui ; 4»'a i en fin de semaine.

L'Université Laval participera au , congrès des Ingénieurs canadiens en [décernant des doctorats d’honneur 'és sciences a trois d'entre eux : le doyen J.-N. Finlayson, président sortant de charge de l'Université de la Colombie britannique; M. A.- R. Décary, surintendant pour le Québec, du ministère fédéral des Travaux publics; et M. A.-B. Nor- mandin, conseiller technique au dé­partement. des ressources hydrauli­ques du Québec, dont elle veut re­connaître la précieuse contribution au développement des ressources na­turelles du Canada.

Plusieurs travaux et conférences seront présentés par des Québécois au congrès. Les travaux présente­ront les grandes entreprises de construction de la route Québec-Lac St-Jean. par M Ernest Gohier, In-

( Suite à la page 7, Je col;)

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L* Presse Canadienne a le droit exclusif de reproduction de toutes le» nouvelles publiées dans ce Journal et pro­venant de la Presse Canadienne, de la Presse Associée au de l’Agence Reuters. Il en est de même de la repro­duction des nouvelles publiées dans le même journal. Tous droits de reproduction des dépêches spéciales sort aussi réservés. «Autorisé comme envol posta! de la

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Québec, mardi 10 mai 1949

Pie XII et le socialismeDevant les délégués des associations

patronales catholiques, S.S. le pape Pie XII s’est élevé contre "l'ingérence exces­sive” de l’Etat dans l’entreprise privée. L’Eglise, déclare le Souverain Pontife, ap­prouve "jusqu’à un certain point” que l’Etat exerce le droit de nationaliser cer­taines industries, “mais, faire de l’étati­sation l’ordre normal des choses en éco­nomie publique, c’est renverser l’ordre naturel”. Et il ajoute que ‘‘la mission de l’Etat moderne est de servir l’activité privée et non de l’absorber”. Cela, d’après la fiable agence Reuters. Et l’Agence France-Presse, représentée eh permanen­ce au Vatican, attribue au Saint-Père de semblables propos.

Parlant de la participation des ou­vriers aux entreprises, Sa Sainteté, d’a­près l’A.F.P., a signalé qu’il est légitime que les instruments de la production res­tent aux mains de leurs maîtres et que ceux-ci aient une part plus élevée des bénéfices que leurs collaborateurs. On comprendra que le Soleil soit heureux de citer ces paroles puisqu’il a plusieurs fois tenu le même langage. Il est évi­dent que l’Etat a le droit strict de natio­naliser certaines Industries qui. de leur nature même, peuvent devenir des ins­truments d’exploitation de la masse et desservir le bien commun. Mais ces in­dustries sont rares.

A propos de la participation des ou­vriers aux profits de leurs patrons, on peut faire observer que tout salarié par­ticipe à des profits car le salaire consti­tue la première hypothèque sur les reve­nus d’une entreprise. C’est tellement vrai que souvent des employeurs font languir pendant plusieurs mois leurs fournisseurs de matières premières avant de les payer, pour diverses raisons dont l’une est qu’ils vendent à crédit mais qu’ils ne peuvent faire attendre leurs employés qui comp­tent sur leur salaire pour leur subsistance et celle de leur famille.

Que des patrons ne paient pas tou­jours de justes salaires, c’est indéniable. Mais, entre nous, le salarié qui réclame avec le plus de véhémence une augmenta­tion de gages en proportion de la hausse du coût de la vie, de la multiplication de ses obligations et de l’accroissement des profits de son patron, ce salarié sera-t-il toujours disposé à accepter de bon coeur une diminution en proportion de la baisse du coût de la vie, de l’amoindrissement de ses obligations et de la diminution des profits du patron? . . .

Le discours d’un gentilhommeLe ton du discours prononcé hier par

le premier ministre du Canada est d’une parfaite dignité. Dans l’exposé des mo­tifs qui justifient la tenue des élections générales, M. St-LaiWent a insisté sur le fait qu’il est devenu chef de gouverne­ment, au cours d’une convention libérale pour remplacer M. Mackenzie King, dé­missionnaire. En pareil cas, la tradition parlementaire recommande qu’un tel choix soit ratifié par l’électorat, avec au­tant de célérité que possible. Cette con­firmation populaire aurait été recherchée plus tôt, si des affaires importantes et pressantes n’avaient nécessité, au préa­lable, la tenue d’une session fédérale.Il s'agissait de mener à bonne fin les con­férences commencées pour recevoir dans l’unité nationale la colonie britannique de Terre-Neuve, oeuvre d’envergure qui a été couronnée depuis par les sanctions de trois Parlements intéressés. Ainsi fut réalisé le voeu des Pères de la Confédé­ration, qui instaure dans son hégémonie naturelle un vaste pays géographiquement canadien. Il fallait aussi obtenir l'ad­hésion de la Chambre des Communes et du Sénat au pacte de l’Atlantique, me­sure de sécurité internationale dont la raison d’ètre est déjà démontrée par des événements heureux. Enfin, pour pré­venir des inconvénients sérieux à des milliers et des centaines de milliers de locataires, le gouvernement désirait obte­nir la prolongement du contrôle sur les loyers. Il a obtenu en plus, après l’ex­posé budgétaire, les subsides qui couvri­ront les frais de l’administration jusqu’à la convocation du prochain Parlement, quelques semaines après les formalités du scrutin et la proclamation des élus du suffrage. Ceci fait, rien ne faisait obs­tacle à l'appel au peuple, qui semble don­ner satisfaction à tous les éléments con­cernés. En demandant le renouvellement de son mandat officiel, M. St-Laurent assume sans crainte la responsabilité de ;ous les actes du gouvernement libéral iepuis les dernières élections. Il a rempli les engagements pris à cette occasion,;n réduisant la dette, en abaissant le t^iux des impôts de guerre, en augmentant les compensations instituées en faveur des chômeurs, des familles nombreuses et des aveugles, en aidant les provinces à pour­voir mieux aux besoins des malades né­cessiteux. Toutes ces mesures sont la garantie que le programme des assuran­ces sociales continuera d’être appliqué généreusement par le successeur de M. King. Quant aux conditions économi­ques du pays, elles paraissent enviables et sont citées comme telles même à l’étran­ger. Dans tout ce discours électoral. M. St-Laurent n’a pas proféré une seule pa­role dont ses adversaires puissent prendre ombrage. C’est dire qu’il a donné l’ex­emple d'une courtoisie sur laouelle ses partisans les plus enthousiastes seront bien avisés de régler le ton de leurs dis­cours, articles, ou propagande publicitai­

re. Cette tenue convient a un nomme d’Etat canadien, digne de ses illustres devanciers.

L’orientation professionnelleLe dernier bulletin mensuel de la

Banque royale du Canada contient des re­marques très pertinentes sur un sujet d’une extrême importance : “Le choix d’une carrière ”. Au moment des examens et de la sortie prochaine des étudiants, le sujet est en outre de grande actualité.

Y réfléchir, c’est soulever tout le problème de l'orientation professionnelle, art relativement nouveau, du moins chez nous. Parmi les hommes qui dépassent aujourd’hui la cinquantaine, combien, il y a vingt-f’nq ou trente ans, avant de s’en­gager dans la carrière qui est aujourd’hui la leur, ont réfléchi suffisamment, ont pris toutes les informations et précautions re­quises afin de ne pas faire fausse route ? La proportion est certes minime. Aussi faut-il entendre les doléances de certains de ces hommes qui, même s’ils ont obtenu quelque succès matériel, n’ont pas trouvé dans leur travail ce qu’ils y cherchaient, c'est-à-dire le bonheur, la satisfaction in­time irremplaçable que procure le senti­ment de l’accomplissement personnel réa­lisé chaque jour, petit à petit, dans l’effort du travail.

C’est vraiment l’une des grandes, sinon la Grande Joie de la vie que de re­prendre chaque matin, au point où on l’a laissée la veille, une tâche que l’on aime. Et, sans le vouloir, on pense au grand nombre de ceux qui se rendent au bureau, à l.’usine ou aux champs avec répugnance, presque à reculons. Comme ils doivent être malheureux !

Cette souffrance quotidienne, ils au­raient pu l’éviter s’ils avaient su recher­cher, à l’aube de leur carrière, non pas tant l'emploi lucratif ou brillant que le travail satisfaisant pour le coeur et pour l’esprit. La récompense matérielle de leurs efforts leur serait aussi sans doute venue par surcroît, comme un fruit mûr. Ils au­raient vraiment été à leur place dans le rouage social; et au lieu de le faire grincer, ils l’auraient fait chanter.

Ennuyeuse diversitéA ce qu’on dit, l’ennui naquit un jour

de 1’unlfonnité. C'est vrai, sans doute, pour les arts et les lettres, mais 11 est une absence d’uniformité qui cause des ennuis à plus d'un contribuable canadien: celle des “comptes publics” des gouvernements fédéral et provinciaux.

Il est bien difficile de se fier à ces documents qui déconcertent même des comptables d’expérience.

Pourquoi les gouvernements du Ca­nada. et les administrations municipales, n'auraient-ils pas une comptabilité uni­forme ?

Le récent rapport de la Commission royale d’enquête sur les prix recommande fortement "que les comptes publics soient présentés de telle sorte que les transac­tions des gouvernements soient claires non seulement pour les spécialistes, mais aussi pour le citoyen ordinaire (“the man In the street”).

Cette recommandation devrait rece­voir l’appui de tous.

Si l'homme moyen ne comprend pas comment on utilise le produit de ses taxes, comment peut-11 se rendre compte du progrès ou de la régression de son pays ou de sa province, comment peut-11 com­parer les diverses administrations ?

A l’heure présente, les “comptes pu­blics” fédéraux semblent plus complets que ceux de la province de Québec, par exemple, mais, comme ces derniers, ils sont Insuffisamment détaillés. Suffira- t-il de signaler ce fait pour alerter l'opi­nion publique ?

C’a

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Au|oura nui cr oemain•fife

Les lois ouvrièrespar Walter LIPPMANN

Après le vote à la Chambre il est j chose d imprévu, et considéré com | clair pour le moment qu’on peut ; me improbable en 1935 — un mar- amender la loi Taft-Hartley et lui j ché du travail si favorable aux ou- donner un autre nom, mais qu’on j triers qu’il était virtuellement im- ne peut l’abroger. A cette session, le possible, spécialement pendant une

: Congrès ne reviendra pas au J guerre, de négocier avec le travail “Wagner Act’’. Car ce que la Cham- organisé. En certains cas particu- bre a laissé voir qu elle ne veut pas ’ lièrement frappants, qui furent dra

1 faire, le Sénat sera encore moins | matisés par John L. Lewis, le pou \ disposé à le faire. voir excessif des unions fut, de l’avi

Cela signifie qu’en dépit de l'élec- de la grande majorité de la popu ! tion de M. Truman et de la défa- lation, outrepassé.! veur populaire à l'endroit des dé- C'est alors que la réaction contr ; cisions du 80ème Congrès sur les le “Wagner Act’’ entra en jeu. Elit j problèmes domestiques, il y a au ! fut exploitée et envenimée par de, Congrès et probablement chez les j éléments très réactionnaires. Mal

j électeurs, une majorité convaincue M Truman et les chefs des grande: .] que le pouvoir de marchandage des ; unions se méprennent s’ils croient

grandes unions est trop fort. Ce que le "Wagner Act” avec 10 mil- | sentiment reflète-t-il une situation ij&ns de chômeurs et le “Wagner i réelle, ou est-il le résultat de la | Act" avec le plein emploi sont deux i pression et de la propagande exer- ; choses semblables. L'embauchagecées par les ennemis invétérés du

1 travail organisé ?intégral, qui est aussi maintenant un objectif déclaré de politique na-

Le "Wagner Act" fut adopté en j tionale, a changé la position de 1935, et son but était d’accroître | marchandage des unions et a pro-

; le pouvoir des unions de s’organi- | ser et de négocier collectivement, j En 1935, il y avait environ 10,600,000 j chômeurs. L'année d’avant, il y en

La fumée mène le bal à Québec.

j avait environ 11,300,000. En 1933, j lors de la première année du "New i Deal”, on én comptait près de 13 I millions. Lorsque le "Wagner Act" fut adopté, une amélioration consi­dérable s'était fait sentir. Mais l'ob­jectif de l'embauchage intégral était encore très loin de sa réalisation.

I L'offre de travail était plus grande ! que la demande de travail. La ca­pacité de négociations des unions et, en vérité, de presque tous les employés, était très faible. Il y avait plus d’hommes et de femmes dési­reux d'obtenir des emplois qu’il n’y avait d’emplois disponibles, et, par conséquent, ceux qui faisaient les engagements se trouvaient dans une position de marchandage beaucoup plus favorable.

Le "Wagner Act”, jeté délibéré­ment dans la balance contre les employeurs, était, dans les condi­tions de 1935. une forme de justice

Villes ei villagesdu Canada L'indépendance politique

Forest-HillPar Eugène L’HEUREUXVaste centre domiciliaire situé en

marge de la ville de Toronto. Tout] a été prévu pour en faire une zone; D'abord, il ne faut pas s’en faire, celle qui résulte d'un ensemble de d’habitation parfaitement adaptée | L'inKépendance absolue n'est possi-! circonstances extérieures condition-aux conditions de vie moderne. Des j ble nune part. pas plus en politi- I nant la liberté du journal et durèglements sévères de construction | qUe el en journalisme qu'ailleurs.1 journaliste.y assurent la tranquillité, le bon çeh,; qUi, en ce monde, atteint un L'indépence d'esprit est celle que air, un éclairage excellent et la haut degré d’indépendance relative le journaliste doit à la force de sonsécurité pour les enfants. L ag- peld se [enjr pour satisfait, glomération s’est développée rapi-J vivons le cas de la presse, dement. Elle comptait 5,027 âmes

propre caractère.L'indépendance de situation est

voqué la demande de réduction de leur puissance.

Ainsi, M. Truman ne cherche pas à redonner aux unions la position que Roosevelt avait gagnée pour eux. Tant que l’emploi se maintien­dra à un haut niveau, il cherchera à donner aux unions plus de puis­sance quelles n’en ont jamais eu en fait sous le New Deal. Ce qu'il demande au Congrès de sanctionner et de confirmer, c'est la position extraordinaire que le travail syndi­qué avait, non pas sous le New Deal, mais pendant la guerre . . .

Ici. tout comme dans le fiasco des droits civils; M. Truman a exhibé ce que Arthur K rock a si bien appelé une “incapacité à saisir les limitations du succès”. Après avoir eu raison contre la plupart d'entre nous quant au résultat de l'élection, 11 laisse voir maintenant qu’il s'abuse lui-même sur le sens de cette électeion . . .

Un compromis acceptable serait très désirable en ce moment. Car.

grossière pour équilibrer la puis- d'une part, le pays fait face à une sance. Et comme les communautés j autre période de conflits industriels rurales et les petites villes se trou- amenée par des réclamations d'aug- vaient aussi en mauvaise situation. ; mentations de salaires et de réduc- Roosevelt, au contraire de M. Tru- j tion d’heures de travail : d'autre man aujourd'hui, fut capable d'ob- I part, le chômage s'accroît. Le véri- tènir l'appui des fermiers en fa- j table Intérêt du travail, comme celuivtur d’une législation ouvrière et l’appui urbain en faveur d’une lé­gislation agraire.; La grande masse des sans-tra-

de la nation, c’est de prendre les j mesures nécessaires en vue de ré- : glementer la régression économique ! et de restaurer le plein emploi

vail ne fut absorbée que lorsque la .quand les “rajustements” nécessai-

en 1934 et les statistiques provincia­les de 1948 lui en donnent 14,574.

En feuilletant "Le Soleil"

Il y a vingt-cinq ans

Idéalisme et réalitéOn vient de fêter â Princeton, ou il occupe

une chaire d'enseignement, les 70 ans du grand savant Einstein, ancien prix Nobel. Einstein, qui fut à, l'origine des recherches atomiques, conserve toujours une fol ardente dans l'avenir de l'huma­nité, mais il exprime ces sentiments avec une nuance de désenchantement. — "Il vaut mieux", déclare l’illustre physicien, “voir les hommes à travers leurs espoirs qu’à travers leurs réalisa­tions.”

'Ville rouge"Par "Neuf Jours de Haine", Jean-Jules Ri­

chard, né à St-Raphaèl de Bellcchasse, a conquis la faveur des Canadiens français qui lisent. Ville Rouge est un volume de treize nouvelles, toutes différentes, aussi différentes que la gamme des sentiments et des réflexes. L'auteur semble chan­ger le climat psychologique de son art dans chaque nouvelle: mais s'il le change clans la forme, 11 le laisse toujours tellement humain que le livre de­meure une entité puissante qui du début à la fin fascine étrangemerft. Que vous soyez citadins ou campagnards, vous vous retrouverez dans ce livre puisque la Ville Rouge c'est la terre entière con­sidérée comme une cité. Etant des citadins de la Terre, chacun de vous se dira : "Pourtant cat écrivain-là, il ne me connaît pas. Comment se fait-il qu'il puisse décrire mes pensées et mes désirs? Je me retrouve partout et non seulement je me reconnais, mais les événements qu'il décrit auraient pu m'arriver." L'explication est fort sim­ple: la littérature est un art et Jean-Jules Richard, écrivain très humain, possède à fond cet art. Publié par les Editions Tranquille, Montréal.

Le bâillon à Ottawa ?

D ingénieux chroniqueurs parlementaires, Ge­rald Waring et Robert McKeown, ont voulu sa­voir s'il est bien vrai que l’Opposition aux Commu­nes ne peut s'exprimer librement. Et ils ont fait un calcul très révélateur. Jusqu'aux vacances parlementaires de Pâques, les discours des pro­gressistes-conservateurs avaient rempli 1,488 co­lonnes du "Hansard", ceux des libéraux. 1.204 co­lonnes et ceux des socialistes 637. Et c'est M. George A. Drew qui avait le plus longtemps parlé: pendant plus de 14 heures, soit l’équivalent de 235 colonnes du compte rendu officiel des débats. Un autre calcul de MM. Waring et McKeown nous apprend que les conservateurs ont rempli chacun en moyenne 21.6 colonnes; la C.C.F., 21.2: et les libéraux, seulement 9.7, A la Chambre des Communes du Royaume-Uni on a disposé du débat sur l'Adresse en sept Jours; à Ottawa, en 22 jours.

Avant de décerner un certificat ' évidemment précieuse. Ceux qui la j d'indépendance à un journal ou à ] possèdent à un degré plus ou .nolns ] un journaliste, il faut savoir de ; élevé peuvent s’en féliciter.—Mais ! qui et de quoi il est indépendant. : nndependance d'esprit importe en- I Est-ce d'un parti politique? Est- j core davantage. Souvent même, ] ce des gouvernements? Est-ce de : l'incipendance d'esprit supplée dans j l'Eglise et du clergé? Est-ce de ses i une large mesure au défaut d’indé- j propriétaires? Est-ce de ses annon- : pencance accordée par la situation.

Rome. — L’arrivée à Rome ce ceurs et de ses clients dimpres- Cm-l’indépendance est beaucoup matin de Mgr Cieplak. premier di- sions? Est-ce de ses lecteurs? Est-ce ; moiris une formule technique ou gnitaire de l'Eglise catholique en ] de relie ou telle Ecole? Est-ce de : une étiquette qu’un état d'esprit. Russie récemment libéré de la prl-] telle ou telle coterie? Est-ce d’un j Est indépendant, au sens humain son où l'avaient enfermé les Soviets,: quidam visible ou invisible dans les ] et possible du mot, quiconque peut a été signalée par l'une des manifes- 1 bureaux du journal? Est-ce des Mé- ] et veut penser personnellement, puis tâtions les plus éclatantes qu’on ait ] cènes qui comblent les déficits? etc. ;parier et agir en conséquence, vues dans les annales de l'Eglise, j Et si l on pénètre dans l'ordre II existe des, journaux et des Pour la première fois de l’histoire, ] moraJ n y a également lieu de se I journalistes Indépendants, nous raf­le Secrétaire d'Étate pontifical est j demander jusqu'à quel point les firmons, qui ne valent pas les jour- ailé à la gaie lecevoir lui-même un j éditeurs, les rédacteurs et les col- tnaux et les journalistes de partis archevêque, comme représentant de ! laborateurs attitrés des journaux ! convenablement corrects.Sa Sainteté Pie XI. i indépendants dominent leurs nerfs, I Un indépendant peut fort bien

Montréal. — Le rapport hebdo- lcur ambitjon. ieux orgueil, ieur es- défendre une mauvaise cause. II madaire di. chemin de fer National ] prit de vengeance, etc. I n’est pas nécessaire d’aller auxsur l'état des travaux agricoles dans! une sért’eus8 enquéte de ! antipodes pour en trouver des ex-le.s provinces des Prairies, annonce! ^ ^ et emples.que les semences sont commencées ]eg couijsses de tout j0urnal a«i- I On n’a pas besoin non plus de a peu près partout eu Alberta et, chant b!en haiut son indépendancei j se rendre très loin pour assister en Saskatchewan. Dans certains en- ; ^ consta!e que nndépendance ab- | au spectacle de journaux et de droits, l'on rapporte que 75 p. 100 ^ ^ ^ un mythe._ ; journalistes Indépendants tout aus-du ble est déjà en terre. Ce quj ^ vral_ c,egt tou|. simpl(!. | si sophistiques, tout aussi canailles,Il y a cinquante ans ment qu'il existe des journaux moins j tout aussi injustes et tout aussi

production de guerre fut en train. Mais lorsqu'elle fut absorbée, lors­que l'embauchage intégral prévalut, le pouvoir de négociation des unions, qui avait été trop faible en 1935, devint trop fort.

res de prix et de coûts auront eu lieu.

Cette tâche sera plus difficile a accomplir si, par manque de bonne volonté autour- d'une loi ouvrière équitable, le pays devra affronter

Les chefs ouvriers avaient alors | ]a régression au milieu de difficul- r.on seulement les privilèges légaux ] tés o.uvrières graves et envenimées, du "Wagner Act", mais quelque j (coprrirht, n.v. Tribun-, me., mis)

Une industrie sidérurgique

A Sept-lles?par Mgr N.-A. LABRIE

évêque du Golfe Saint-Laurent (Suite)

Ce marché canadien existe-il? prouvé. Un projet se précise cepen- ! Est-il' opportun de créer de nou- j dant qui deviendra la principale veaux centres de production? Ne se- cause du retard de notre progrès rait-ce que pour permettre à la] régional: la canalisation du Saint- province (qui n’a pas d'industrie j Laurent. Grâce â ce travail gigan- du fer) de tirer tout le parti possi- ] tesque, non seulement le trajet du ble de ses ressources, nous répon- fleuve, mais de puissantes réserves drions oui à la dernière question. | électriques seront mises à la dlspo- Pourquoi un pays comme le nôtre ] sition de l’industrie à Montréal mé- devrait-û constamment racheter des me Comme l'énergie disponible s autres les marchandises tirées de I attiré à Sorel une industrie qui ses ressources? Mais même pour le , nous aurions voulu garder à Havre

Londres.—On a ouvert avec grand ] dépendants que les autres. j peu charitables que les journauxéclat hier soir la saison d’opéra du 1 g. naturellement, les journalis- }et lcb journalistes de parti. La na- printemps, au Covent Garden Ope- ; tes participent dans une large me- j tufe hl*raaine est passablement la ra House. C’est la même troupe qui sure, a Cette dépendance des jour- ] chez Ies indépendants eta joué tout l'hiver au Métropolitain : nalix vi-à-vis de mille et un fac- ]l hez les autres- de New-York, sous la direction de teurs qui contraignent plus ou moins j H arrive même souvent que, sous M. Maurice Grau. jCes derniers à publier ceci, puis à I l’immoral prétexte que la fin jus-

Québec. — Parmi les importations éliminer cela. tille les moyens, un sectarisme quel­les plus récentes de la maison Pa-} De tous les journalistes, le plus ] con(«lle l'indépendant à seque:, .on.. remarque une soutache L^pendallti c.est lncontestable- «nontrer moins humain, moins vé-blanche. qui a tout l’air de la soie, ment celui qui. en vertu d'un con-!ridlaue et Plus cruel <lue 1,homme sans en être. C'est topt simplement trj(ti se charge de rempllr une co_ de parti. C’est alors l'étemelle his-un produit de la pulpe de bois que le lonne. en y mettant les articles ] du Pharisien et du Pllb;icain Canada envoie en Europe, et qui dom n cholsit lui.m*me les sujets I <lul 56 réPète- nous revient sous cette forme mer- ^ e. auxqueis u donne librement sa veilleuse. Cette soie de bois est fa- pr(>pre orientation.briquée en Allemagne.

Poivre et seVoila comment /aire.

Au feu l'incendie mporte peu

C'est ce que les Américains appel­lent “free-lance” ou “columnist” et ce que l’on traduit généralement en français par “joumaiste libre” ou “journaliste franc-ilreur”. parce qu'il n'appartient à aucun groupe,

Fns rie pompes funèbres sans feu., cp quj jU| permet de choisir en po-Pour une fois la confiance sera j litlque ses attitudes.

mutuelle, __ _ _ ] C’est là une situation profession- jLe mouvement ccmiomtque entre-!nelle privilégiée, dont il se rend i

tient la vie, ] digne, dans la pratique- selon la 1Les loups ravissants croquent les somme de caractère, de tact et de i indépendance

tendres brebis. compétence qu'il y déploie.John Bull songe-t-il ù étatiser les ] Elle comporte tous les avantages

jouets électriques? et tous les inconvénients de la 11-Jusqua certaîn~~pôint, au besoin. '*™ relfttlve P°rtéa maximum,

mais pas plus loin. |— la liberté absolue n’étant pas de] ce monde. (Dans un prochain arti­cle nous parlerons de T'Opinion

I Libre'.)A la mère d’empêcher la femme i

de ruiner son bel ouvrage.

Nous voulons être bien compris. Ces considérations ne nous empê­chent pas de préférer en soi l’in­dépendance à toute autre attitude. C'est l'expérience des hommes qui nous amène davantage, chaque jour, à examiner attentivement toute marchandise portant une étiquette, fût-ce l'étiquette de l'indépendance.

Non, 11 ne suffit pas d'être indé- | pendant pour mériter la confiance : des esprits honnêtes et constructifs, j

Cela, nous l'affirmons sans nous ] départir nous-même de notre pro- j

Canada entier un accroissement de production s'impose dans le domai­ne de l'acier.

Tout le monde sait que nous de­vons acheter des Etats-Unis une bonne moitié de notre acier. Ce que tout le monde ne sait peut-être pas, c’est que nos voisins ne tiennent

Saint-Pierre, ces Nouvelles sourcel d’électricité attireront à Montréal le minerai de Sept-Hes. A première vue il semble naturel qu’on veuille utiliser cette force considérable plu­tôt que d'en créer une autre à grands frais, cinq cents milles plus loin. Qu’il nous soit permis cependant

pas tant à nous en vendre. Us pré- ! d'exprimer une humble opinion que féreraient augmenter leurs réser- nous avons déjà écrite. La sagesseves. Dernièrement, le contrôleur de l'acier à Washington engageait no­tre gouvernement à organiser le plus tôt possible une Industrie du fer capable de répondre à nos be­soins: “Advenant une guerre, ou toute autre conjoncture défavorable,

doit consister à entrevoir plus que des avantages momentanés, à con­sidérer leurs conséquences ultimes,

(à suivre)

L'accession du grand nombre dej citoyens à la propriété est un élé-! ment nécessaire à la sécurité et nous pouvons dùn mot vous couper . , . ., . ,1 . . ! même â l existence dùn peuple cl-! vilisé.—Buret.

Gazette rimie

ConcoursDe par le discours prononcé hier par le premier ministre, le pays n’est pas menacé de surprise ni de sinistre.

moins de.

(Les articles de la présente rubrl- ' que sont publiés sous la responsa- ] bilité morale de l’Opinion Libre, i service de rédaction dirige par ] Eugène L'Heureux. Adresse posta- ] le : 2 de Callières, Québec).Moins de "bières’’ et

‘ porteurs" à Québec.i T i i.

Comme le miel qui est fait des ; L indépendance, en politique,, fieurs du thym, herbe petite et amè-

Sur les QuatrTÜJen a un qui vit p6Ut s envisager de d^x *«««»= 11 ! re, est le meilleur de tous, la vertu ]va ce que nous appellerons 1 Inde- nui se forme dans l'amertunde l’intérêt de ses dettes.

A une cérémonie de purification i convient que la fumée soit embau­mée.

qui se forme dans l'amertume des pendance de fait ou de situation, humiliations et des peines est la pui" l'indépendance d esprit. plus excellente de toutes. — Saint

L'indépendance de situation est François de Sales.

tout approvisionnement de ce mé­tal.” On voit la situation qui nous serait faite, quand on sait que nous n'avons aucune réserve, que malgré nos achats, la pénurie d'acier a re­tardé la construction et que, même pour édifier une maison, le clou manque. Dans le but de subvenir à ce besoin pressant, Thon. M. Howe offrait de contribuer dollar pour dollar à la création ou à l'agran- : Dans cette pièce de bon goût dlssement de toute industrie s de- ; ijgn( son rô!g à iaUfre qout rurgique. L'absence de marché est ; à certaine fin nécessaire. une objection qui ne tient pas de-]bout pour refuser à la province et sans une véritable lutte, à la Côte-Nord une Industrie de un même sans variation pacjer. : doux et net comme un son de flûte

Si cette industrie est nécessaire : Ainsi le veut l'antique loi au Canada, est-elle possible à Sept- d un beau pays démocratique.

, „ _ . , . 1 au plus digne écherra l’emploiIles? Les empêchements ne lui vien- j d a(iministrateur politique.dront pas d’impossibilités topogra-phiques ou climatériques, comme Dans la paix et la liberté

, , ... i se continuera notre vie,on Ta prétendu. Il est prouvé que av(c ((m( del’endroit est idéal. Nous maintenons qu'au monde nous ferons envie.encore une fois que la main-d oeu- ! ,. , , .■ Et le Ciel bénira le coursvre vient a 1 industrie plus vite dune „of(on prédestinéequ'on ne voudrait le lui permettre. ; après l'harmonieux concours et notre climat, calomnié, ne serait d’une élection bien ordonnée? pas un obstacle. L'expérience l'a | Le rimailleur.

1

*

—Ouverture de la Campagne

«Suite de la 1ère page) périocte électorale et jusqu'à la con-1 vocation du nouveau Parlement". Je! suis heureux de pouvoir dire que : les crédits nécessaires ont été votés : le dernier jour d'avril.LFS PENSIONS

Le gouvernement s'était égale-1

ment proposé que les pensions de| vieillesse et celles des aveugles, qui ! avaient été établies par le gouver- ; nement libéral et augmentées deux ! fois déjà sous des administrations libérales, soient augmentées de nou-. veau.

Nous croyions que les Canadiens .étaient désireux de voir ce projet réalisé et nous avons réussi à taire autoriser par le Parlement une aug­mentation de S10 par mois dans le taux de ces pensions. Comme vous le savez ces pensions pour les vieil­lards et les aveugles sont adminis­trées par les gouvernements' provin­ciaux, mais le gouvernement fédé­ral en paie 75 pour cent.

Une des plus grandes mesures so­ciales adoptées par le gouverne­ment libéral est la loi des alloca­tions familiales. Après nous être rendu compte des grands bienfaits de cette loi qui a amélioré la santé et le bien-être de nos enfants, aug­menté la fréquentation scolaire et rendu plus heureuse la vie de fa­mille, nous du gouvernement en

«

LES RUSSES : Allyn Baum. photographe-correspondant d’Internatio-sommes venus à la conclusion que j JOURNALISTE DETENU PAR LEles allocations'devaient etre payees; J,a] jgews photos à Berlin, apparait ei-dessus, au centre, alors qu’il '‘fraternisait'’ avec des soldats russes sans diminution du taux à tous les jors j'une réot.nte visite dans le secteur soviétique de Berlin. Aujourd’hui, les autorités américaines cher- enfants de la famille, quel qu’en c|lfnt a faire libérer Baum et deux autres journalistes que les Russes ont arrêtes. Les trois, Baum, Ri- soit le nombre. Nous étions égale- chard, S. Well, chef du bureau de Berlin du International News Service et Bill Hansher, du “Daily Express" ment d’avis que les enfants des fa- de Londres, furent arrêtés alors qu’ils cherchaient à obtenir des informations de première main sur la levée milles nouvellement établies au du blocus de Berlin le long de l’autostrade Berlin-llelmstedt. (Photo Internationa! News)Canada devraient avoir droit auxi --------—....... ............ ...... .... - ■ -...........allocations après un an de résiden-CeTeUsu?/Shpnrenv dp nnm-oir dire ^ rance-chômage établie par le gou-i ne crois pas que beaucoup de Cana-i suite de la connaissance que l’on

e ' " ‘ V ' - vernement libéral en 1941. ; diens désirent le socialisme, même i a de ses réalisations et, toutes les

! familles en amendant la loi d’assu-1 L’une d'elles est le socialisme. Jet Or, la confiance en quelqu’un ré-

que ces deux amendements à la loides allocations familiales ont LES RF AI ISAXIONS adoptés au cours de la dernière se- jmaine de la session.

(ceux que j’ai décrits comme des “Il Ibéraux à la hâte”.

aine ue ut scaoiuii. i j'ai déjà fait mention des récents ,,,?,U61• or!piptut'p p dée-uiséAu cours de cette même session, amendements à la loi des alloca-ï yls®e ^“V??® d

les représentants du Canada ont lions familiales et à la loi des pen- signé à Washington l’accord Inter-jsions de vieillesse, autres jalons de ®‘“snational sur le blé. A notre avis, U notre programme de sécurité so- : I f ,était important de faire approuver ciaie. L’an dernier, nous avons «ta* ”‘acjtlont™il'e' <luel 1 n

bli un progr amme d’octrois aux QU U porte pour le moment.provinciaux

par le Parlement cet accord qui est de la plus haute importance pour nos cultivateurs et pour toute no' tre économie. L'accord fut approu­vé par le Parlement vers la fin de la session.

Enfin, nous avons obtenu l’ap­probation unanime par le Parle ment du pacte de sécurité de l’Atlantique-nord, que le Canada a ratifié à Washington mardi dernier. Je crois que les Canadiens seront heureux que notre pays ait été le premier à ratifier le traité, démon­trant ainsi que nous, Canadiens, sommes prêts à faire notre part pour parer à la menace du commu­nisme totalitaire et pour assurer la paix.le commonwealth

Il y a également eu une récon­fortante évolution d importance his­torique dans les relations entre les naflons du Commonwealth qui a permis à l’Inde de demeurer au sein de notre libre association de nations. Cette évolution a débuté à la réu­nion des premiers ministres tenue à Londres en octobre dernier et à la­quelle j'étais présent. Elle fut com­plétée à une deuxième réunion te­nue le mois dernier à laquelle le Canda était dignement représenté par Monsieur Pearson, secrétaire d’Etat aux Affaires extérieures.

Voilà un compte rendu do la ma­nière dont nous avons administré vos affaires depuis six mois. Mais nous ne vous demandons pas de ju­ger le gouvernement seulement sur les réalisations des six derniers mois. Bien que le présent gouvor- nement soit un nouveau gouverne­ment, il est aussi un gouvernement libéral ; nos réalisations couvrent les quatre années écoulées depuis l’élection de 1945 et. à la vérité, de­puis bien avant 1945. Je suis sûr que vous vous attendez tous et tou­tes à ce que je vous en rende comp­te également.

Lors des élections de 1945, nous avons promis de réduire les impôts et nous avons aussi promis de faire ce que nous pourrions pour réduire la. dette nationale.

les avons

gouvernements provinciaux pour, Je «mois que attitude et es prin- améliorer les services de santé et clPes parti libérai correspondent d’hospitalisation sur une base na- *!“ désf de 1* Plupart des Cana- tlonale et pour préparer les voies à d>ens-et meme d'un grand nombre de nouveaux progrès dans ce do-: QU‘ne se disent pas libéraiH. Et e maine si important de la santé pu- “a^esse ici spécialement à ce mil- blj_ue Uion de jeunes Canadiens et Cana-

Le présent gouvernement a établi | dimnfs ^ auront droit de voter des prix minima pour assurer plus P“>tr la premiere fois le 27 juin pro.de sécurité aux cultivateurs et aux pêcheurs. Nous sommes d’avis que cultivateurs et pêcheurs ont droit à leur juste part de revenu natio­nal, et jamais ils n’ont été plus prospères que ces dernières années.Le gouvernement a aidé au main­tien et à la restauration du com­merce international et de nos mar­chés étrangers, disloqués par la guerre.

Nous avons conclu des accords régimenter une fiscaux avec la plupart des gouver­nements provinciaux. Ces accords ont consolidé leur situation finan­cière et leur autonomie réelle.

Au cours des quatre dernières an­nées, l’industrie canadienne a fait des pas de géant et notre prospé­rité n'a jamais flanché. En fait, aucun pays au monde ne peut se louer de meilleures réalisations. Et le peuple canadien est fipr que sa citoyenneté ait été définie dans la loi de 1946 sur la citoyenneté cana­dienne.

La plus grande de nos réalisations n'a même pas été prévue en 1945,Je crois que ce fut une source de •satisfaction pour vous tous, comme ç’en fut une pour les membres du gouvernement, que nous ayons pu réaliser cette union avec Terre- Neuve que les Canadiens espéraient depuis plus de quatre-vingts ans, et compléter ainsi le rêve des Pères de la Confédération,

En cette époque où tant de pays s’inquiètent au sujet de l’intégrité de leur territoire et même de leur survie, il est merveilleux que, par le libre et paisible choix des deux peuples nous ayons pu accroître notre territoire de plusieurs cen­taines de milliers de milles carrés, et notre population de trois cent

fois que cela est possible, de l’hom­me lui-même. C'est pourquoi, de­puis que je suis devenu premier ministre, je n'ai pas manqué une occasion de visiter différentes ré­gions du Canada et de rencontrer autant de mes concitoyens que pos­sible. En moins de six mois, J’ai visité maints endroits de Halifax à Victoria.

DANS L’OUESTAu cours de la quinzaine que j'ai

passée dans l'ouest du Canada, au temps de Pâques, j'ai rencontré plusieurs milliers de Canadiens, j'ai causé avec eux et je voudrais re-

affiliation, parce que, dit-il, “nous voulons les voir gagner leur grève".

(M. Conroy a ajouté qu'il n’a pas pris connaissance de rapports vou- j lint que la Fédération songerait à considérer la question de laisser les, rangs de la Confédération des tra­vailleurs catholiques du Canada! pour s'affilier au C.I.O.

(M. Conroy a aussi exprimé l’avis que ce serait une pure folie pour l'union en grève que d’abandonner la C.T.C.C., parce que toute fissure dans leurs rangs à l’heure actuelle pourrait préjudicier au succès de la; grève. H dit aussi que c’est tout

|à fait contraire à l’usage pour un syndicat canadien de chercher à appartenir au C.I.O.. sauf par l’en­tremise d'une affiliation à une union internationale déjà alliée au C.I.O. et au Congrès Canadien du Travail. Il souligna !e fait que le C.I.O. est la contrepartie américaine du Con­grès canadien du Travail et que les deux sont des organismes centraux formés d'unions comprises dans leur pays respectif.

M. Hamel a aussi annoncé que les grévistes ont suffisamment de quoi manger et même un peu d'ar­gent de poche, mais que les vête­ments et ces choses qui rendent la vie agréable manquent passable­ment.

L'argent pour l'achat de vivres provient en grande partie de quêtes: spéciales faites dans plusieurs églises catholiques de la province; d'autres

; contributions ont aussi été reçues de diverses unions sympathiques aux grévistes.

Allocation des grévistesM. Hamel a spécifié que chaque:

couple marié reçoit une somme d'ar- i gent de $5 par semaine, avec en! plus $1 pour chaque enfant, sans compter les allocations de vivres] nécessaires. La diète des grévistes1 comprend du lait et du pain en quantité suffisante, ainsi que de la] viande, des fruits frais et des lé­gumes. Il a ajouté que de petites! contributions se chiffrant en tout à $200 environ ont été reçues du C.I.O. Il dit que l’idée d’affiliation avec le C.I.O. a reçu l'appui chaleu­reux de la C.T.C.C.

API’UI DE TORONTOToronto, 10 iPCi Le Conseil du

Travail de Toronto, affilié au C.I.O., a donné son concours hier soir aux grévistes d’Asbestos. Le Conseil du travail dans une déclaration affirme que les tactiques de la police pour ramener l'ordre dans la ville affec­tée par la grève marquaient "la pre­mière manifestation d'un Etat con­trôlé par la police.”

LE SOLEIL, Québec, mardi 10 mai 1949 . S

chain. Permettez-moi de vous rap- mercier tous ceux que j’ai rencon-peler que pour être réellement pro­gressiste il ne suffit pas d'ajouter le mot 'progressiste” au nom d'un parti politique.

Aucun parti n’a plus de zèle pour les réformes sociales que le parti li­beral. Mais ce qui distingue nette­ment les libéraux des. CCF, c'est que nous ne désirons pas enlever aux aux gens ce qu’ils possèdent ni en-

grande proportiondes voleurs dans des entreprises rencontrés, qu’ils soient d’origine d'état. } française ou britannique ou qu’ils

Aucun parti ne croit plus forte- ] soient de nouveaux Canadiens d’au­tre origine, tous sont attachés à notre commune patrie et tous sont fiers de se dire Canadiens.

très, hommes, femmes et enfants, de la cordialité de la réception qu’ils nous ont accordée à ma fem­me et à ma fille comme à moi- même. Partout où nous sommes allés, nous nous sommes toujours sentis chez nous et nous avons constaté qu’être citoyen canadien comporte des avantages qu’aucune loi du Parlement ne peut expri­mer. Tous ceux que nous avons

-Levée officielle

ment que les libéraux que l’initiati­ve individuelle et l’entreprise pri­vée sont essentielles à une nation saine, prospère et progressive. Le parti libéral ne veut pas convertir l’état en un instrument d’exploita­tion ; mais les libéraux sont prêts à user des pouvoirs de l'état pour ai­der à donner à tous des chances égales et pour empêcher l'exploita­tion de la population par des inté­rêts égoïstes.

C’est là, je crois, l’attitude que la majorité des Canadiens approuvent et c’est pourquoi le libéralisme les attire si fortement.

En 1945, notre pays était encore organisé en vue d’un effort de guer­re total. A l’élection tenue cette an­née-là, le gouvernement libéral de­manda au peuple canadien un man­dat en vue d'organiser la transition de la guerre à la paix. Notre con­version de l’économie de guerre en économie de paix a été accomplie et elle a été accomplie avec succès.

A l’intérieur des frontières cana­dienne, la Providence nous a évité un grand nombre des dangers et des difficultés qui menacent tant de na­tions. 3i certaisn individus et cer­taines familles ont encore des pro

UNE BONNE FonPF blêmes et des difficultés, presqueLNfc BO.Nist, LttuiPb tous les Canadiens vivent libres etUne des raisons pour lesquelles PrfPèr^. ^ns un pays où tous,

il nous a été possible de réajiser °"1 des dr°te ®«auxou ”ous ™us autant est que notre gouvernement i®ffor,çolf dassurer à tous des chan- n’est pas l’affaire d’un homme mais jces è^ales-d’une équipe d’hommes exception­nellement qualifiés.

Aucun gouvernement ne peut es­pérer faire face aux problèmes très difficiles du jour si le cabinet ne comprend pas plusieurs hommes de première force, dont un certain

PEUPLE HEUREUX Trop peu de pays sont aussi for­

tunés que le nôtre ; et je crois que nous avons appris que notre sécurité et notre prospérité dépendent au moins autant de ce qui se produit

nombre au moins ayant acquis cette aU cield de Pos fronti%es ,'iue de °® sagesse que seule l’expérience P™t °du go'uv'erneSentdonner. D’autre part, nul gouver- !nement ne peut rester alerte et vi- lest .le maintien de la paix et de lagoureux s’il ne conun^e r aUireri^^^ ®«a- de jeunes hommes bien doués. E ! ® Jte"suis^ûr quTy a mu de Ca-

tlfw Pt graJfriP?Tfn>P7 VT dépend du maintien de notre com- no TiT TnTT Te d® merce avec d’autres pays. Et c’est

nlo L TTTT ! ' , r , pourquoi le commerce a une telleiMnW(o^Hor0Chain d sC0U.rs' jai importance dans notre programme, lintention de vous en dire plus long: En m5i le goUverne^enJ 115éraJsur mes collègues du cabinet. Vous. ____ . , „ . , . . ivous a demandé un mandat poures connaissez au moms de réputa-malntenlr remploi k un haT ni_ tion. Demandez-vous un moment |Veftu ct augmenter Ia sécurlté R0_ combien d hommes aussi doues les ciale_ Sur le plftn domestlque ceia aujres partis réunis peuvent four- |demeure je premier objectif du gou-nuj , vernement actuel.Je crois que vous admettrez que., T _ ^ ,quel que soit le programme d’un! Vf Caila,<Va àujourd hul une parti politique, ce dernier ne peut fatl0" adulte. Nous voulons que ce- servlr le peuple canadien comme il j!a so t r®f,°VnU P*ei]]ement dans no- a le droit de l’être, s’il n’a pas par- dre ('onst'tut101} dans nos lois. Et mi ses dirigeants des hommes et des dou's VT°™ éga ement encourager femmes qui possèdent les capacités 1 ®^presslon dj notr® esl,rit national et l’expérience voulues pour appli- : ^ous vous demandons maintenant quer son programme et administrer]™ nouveau mandat — un mandat les affaires courantes du pays, ]en vue de continuer à travailler à la

Nous avons démontré que nous P® x ®l ^ !a sécirrité, à laugmenta- sommes un gouvernement capable tlon d.e,Potre comfn®,rce de notre de régler de grands problèmes corn- Prospérité, au maintien de 'emploime l’union avec Terre-Neuve et le ®!.?® 8 S®CUIT soc a e, ■ à Ia pacte de l'Atlantique-Nord ; et nous T® u reconnaissance du caractère avons démontré que nous sommes d® nation canadienne et à

d un également capables de nous intéres- ™ragcr davantage le développe- u 1111 ... .................... ment de nos ressources Intellectuel-

mille rouveaux Canadiens.PROMESSES TENUES

Ces promesses, nous tenues.

Les impôts ont été diminués tous les ans depuis 1945 et il en est ainsi de la dette nationale. Les Cana­diens, j’en suis sûr, estiment qu’il est sage de payer ses dettes et ils sont d’accord aussi qu’il est bon de réduire la dette nationale quand la chose est possible. Vous savez bue plus nous réduisons la dette natio­nale, plus il nous est facile snsuite de réduire les impôts. A la suite du dernier budget, sept cent cinquante mille Canadiens n'ont plus un sou d'impôt sur le revenu à payer. Et l’impôt des autres a été considéra­blement diminué. Les exemptions à l’impôt sur le revenu sont mainte­nant pratiquement au niveau d’avant-guerre et, dans presque tous les cas, le taux de l’impôt est in­férieur à ceux de la Grande-Bre­tagne et des Etats-Unis.

Depuis 1945 nous nous sommes dé­barrassés entièrement de plusieurs taxes établies durant la guerre ; et plusieurs autres ont été sensible­ment réduites. Et tout en réduisant les impôts et la dette, nous avons réussi à augmenter la sécurité so­ciale à un degré sans précédent dans l'histoire du Canada.

Devant ces réalisations, je suis sûr que la majorité d’entre vous admet­trez que le présent gouvernement a administré les finances publiques — qui sont vos finances — avec or­dre et avec sagesse.

Je voudrais aussi vous rappeler certaines autres réalisations des quatre dernières années qui ont opé­ré de grands changements au Ca­nada.

Notre pays a vu au rétablissement des anciens combattants et au soin des victimes de la guerre d’une ma­nière sans égale au monde.

Depuis 1945, le Canada a joui —et jouit encore aujourd’hui d’un .. . . . unr..., uC ..us , iiiwuem,hau^fveau d’emplolet d_e_prosp_éri- ^ commeles ^ mS“?Ues et artistiques, en

allocations familiales, les pensions un mot' notre conscl®nc® nationale' de vieillesse et la régie des loyers, j Maintenant, un mot de mes pro-

Lorsque vous aurez à décider à jets de campagne électorale, quel parti vous voudrez confier la | Le devoir du gouvernement dans responsabilité de gouverner notre (un pays démocratique est d’adminis- pays, vous voudrez savoir quelles trér les affaires du peuple dans l’in- sont les réalisations de chaque par-,térêt de tous. Comme tous ne peu- ti et quels hommes ie composent, j vent décider eux-mêmes de toutes Vous voudrez savoir aussi quelle estjies questions, ils élisent des repré- sa politique et si cette politique est tentants pour agir en leur nom. SI la meilleure pour le Canada tout j notre système de gouvernement doit entier. 'fonctionner, le peuple doit élire des«nriAi ygMT rnrvigMF représentants en qui U ait confian-V.OCIALISME TORYISME ce. C’est pourquoi la confiance dans

Aux prochaines élections on aura les hommes publics est une condi

té. L'industrie a rapidement passé de la production de guerre à la pro­duction de paix. Patrons et ou­vriers ont collaboré à cette recon­version.

Et je suis heureux de due com­bien les travailleurs en général ont agi avec modération et jugement en ces années d'après-guerre. Je doute qu’il y ait eu d'autres périodes de changements si subits où les rela­tions patronales-ouvrières aient été aussi satisfaisantes.

Notre politique a été conçue de manière è maintenir l'emploi à un niveau très élevé. Mais nous avonsaussi augmenté la sécurité d'un plus1 à choisir entre trois politiques dansjtion essentielle de tout gouverne- grand nombre de travailleurs et de la plupart des comtés. Iment démocratique.

Au cours de la présente campa­gne, Je vais continuer ces visites de bon voisinage et ceux que j’ai déjà rencontrés comprendront, je n’en doute pas, que je veuille d’a­bord visiter les endroits où je ne me suis pas encore rendu.. Le Canada est encore plus grand aujourd’hui que lorsque je suis devenu pre­mier ministre et je me ferai une fête de visiter mes concitoyens de Terre-Neuve.

Et partout où j’irai, que Je parle en anglais ou en français, je parle­rai de la même manière et expose­rai le même programme.

Le parti libéral ne préconise pas des idées différentes selon qu'il s’a­dresse à une région ou à une au­tre, à une classe ou à une autre. .Notre politique est conçue en vue du bien de tous les Canadiens dans toutes les parties du aCnada.

Notre objectif est un Canada pa­cifique dans un monde pacifique, et je suis sûr que c'est ausi le vô­tre.

Notre objectif est un pays de plus en plus prospère et je sais que c’est ausi le vôtre.

Notre objectif est du travail pour tous ceux qui sont capables de tra­vailler et la sécurité pour la fa-1 mille et le loyer, et je suis sûr que c'est également le vôtre.

Notre objectif est un Canada fort et uni où un peuple libre et vigoureux pourra faire fructifier de plus en plus ses talents et ses éner­gies, et je suis sûr que c'est aussi le vôtre.

Donnons-nous tous la main pour faire de notre grand et heureux pays un pays encore plus grand et encore plus heureux.

(Suite de la 1ère page) leurs de guerre” tenteront mainte­nant. rie nouveaux efforts pour di­viser l'Allemagne et donnait com­me exemple la ratification de la constitution démocratique de l'Alle­magne ‘occidentale.

L’activité est grande dans la ré­gion frontière alors qu’on procède aux Installation de téléphones et |dappareils radiophoniques ; que les jpoteaux indicateurs sont repaints et qu’dn nettoie les routes des mou- verses herbes qui les ont envahies. La zone britannique espère recevoir le premier train qui entrera dans la ville. Le maire Ernst Reuter a or- doné que le drapeau noir, rouge et

jor de la nouvelle république occiden- jtale flotte sur les tramways et les] jautobus, dont ceux qui se rendront jà Hanovre, Hambourg et Francfort, des villes de la zone ouest. Dès le premier jour, 10 convois apporteront du charbon et six autres des pata­tes et autres produits de consomma-1 tion courante ; 12,000 tonnes de] marchandises, un chiffre égal au’ transport par le pont aérien. arri-! veront chaque iour. COLLABORATION POSSIBLE

Londres, 10 (PA) — Radin-Mos­cou a souligné hier soir que la col­laboration entre les systèmes éco­nomiques américain ct russes est possible et désirable. Cette émision a attiré une grande attention parce qu'elle précède de deux semaines en­viron la conférence des Quatre Grands, à Paris le 23 mai. Le pro­blème allemand sera alors étudié à fond.

Le commentateur moscovite Vavi­lov a parlé en anglais. T) a noté que la collaboration de l’Union soviéti­que, des Etats-Unis et de la Gran­de-Bretagne, par conséquent de deux systèmes économiques, a vaincu Hitler ; et. “11 est tout naturel que, si deux systèmes différends peuvent ©llaborer en temps de guerre, 11 leur

est d'atuant plus possible de le faire en temps de paix : une telle collabo­ration n’est pas seulement possible, mais désirable, dans l’intérêt d'u­ne paix durable”, a continué M. Va­vilov,

—Les grévistes(Suite de la 1ère page)

ressemble en tous points & ce qui sel passait "dans les camps de concen­tration en Allemagne.”

M. MARCHANDM. Jean Marchand, secrétaire gé­

néral de la C.T.C.C., a affirmé au cours d’une assemblée hier soir, la détermination des 1,500 mineurs en grève à Asbestos de continuer leur arrêt de travail "en dépit de la Sû­reté provinciale et de la compagnie Canadian Johns-Manvüle.”

Deux agents de police en habits civils ont été empêchés, dit-on, d'as­sister à cette réunion, au sous-sol dej l’église St-Aimé, où le sang a coulé] récemment lors d'arrestations de] grévistes par la Sûreté.

Le secrétaire général de la C.T.C. C. a annoncé qu’il rédigeait un rap­port complet des agissements de la] Sûreté provinciale à Asbestos où des] renforts ont été dépêchés dans iei but d'enlever les barricades qui blo-j qualent les routes par où les briseurs de grève pouvaient pénétrer dans la ville. Les troubles qui sont alors sur­venus entre les grévistes et la police ont entraîné des blessures à plus de 25 personnes et l’acte d'émeute a été lu et a empêché les réunions pu­bliques de plus de deux personnes jusqu'à dimanche midi.PRECISIONS DU C.C.T.

(A Ottawa. M. Pat Conroy, secrétaire du Congrès Canadien du Travail, a déclaré hier soir que !e| Congrès n’encourage pas la Férié-1

ration des mineurs d’amiante ac-l tueliement en grève de changer son

—Espions exécutés(Suite de la 1ère page)

"comité révolutionnaire du Ku- omintang”. Ces exécutions en­traîneront certainement la dé­nonciation des communistes ct soulèveront la menace de repré­sailles. Le commissaire de poli­ce Mao Sen a disposé scs effec­tifs sur un pied de guerre. Il a menacé de mort les policiers qui ne pourront tenir contre les communistes et leur famille sera également exécutée. Jusqu’ici l’activité d’une cinquième colon­ne ne s’est pas fait remarquer i Shanghai. Cette ville de plus de 5,000,000 d’habitanls doit ce­pendant abriter plusieurs agents rouges.

Une organisation de résistan­ce pour la paix se dessine à Hangtchéou où les communistes campent aux portes de la ville depuis quelques semaines. Les étrangers et non-combattants ont reçu l’ordre d’aller ailleurs. C'est ce que rapportent les jour­naux pendant qu'un quotidien souligne des attaques intensifiées des communistes sur Tsing-tao, ou les Etats-Unis ont une base navale. Les navires américains y sont sous vapeur et prêts à prendre le large dés l'entrée des communistes.

Les communistes, selon un communiqué du gouvernement, attaquent Taichang, à quelques milles au nord de Kunshan; une colonne de 1,000 hommes tente de pénétrer dans ce village. Prés de Hashing, dont Ira commu­nistes se sont emparé dimanche, sur la route de Shanghai, les co­lonnes rouges poursuivent len­tement leur avance. Aucune nou­velle n’est parvenue des fronts du centre et du sud de la Chi­ne où les communistes s’avan­cent de l’ouest et du sud dans la province de Kiangsi et de l'est dans relies de Chékiang et de Foukfcn. La situation sem­ble en désarroi et confuse par­tout.

Hier soir le très honorable

LOUIS ST-LAURENTvous a expose

à la radio les problèmes de la nation et il vous a

donné leurs solutions

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ST-LAURENT■ i .

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(Annonce publiée et payée par l'Organisation Libérale)

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LE SOLEIL, Québec, mardi 10 mai 1949

Echos mondainsAnniversaires

M. A.-C. Picard, directeur de la Banque du Canada; Le bri­gadier A. Theriault, surinten­dant des Arsenaux du Canada.

RECEPTIONS Le mariage de Verna, fille ainee de M. et madame Walter Rloux.

Labelle interprétèrent un program me de chant. M. G. Tanguay tou

Me et madame Jean Gagné on’ cirai' 1 orgue. La mariée, au bras ^ Walter Robert Tweddell, fils de reçu, ces jours derniers, en l’hon-id.e s®p P*re- Portait 11116 robe de sa- et madame A. E, Tweddell. dé- neur de M. Donat Quimper, avo- ltln blanc avec incrustations de ro- ;ccdés, de Matanc. P.Q, sera célébré cat, à l'occasion de sa nomination s,es et perles, un voile de tulle !e 4 jUjn en j'égiise St-Patrick.au poste de sous-ministre du Tra- illusion maintenu -sous un halo de Grancje-Allée vaü. muguet; elle tenait un livre dheu-

_____ res recouvert de gardénias blancs et; Lundi, le 16 mai. à 9 heures, enMademoiselle Renee Gagnon a re-;?e mu8uet- Le cl(,f.teur ^’nrgei était l église Voire-Dame des Victoires,

çu à un cocktail en fin daprès-mi- ‘*ftî?rofï?(Sde f']>s,IMi,dan,e ®fr' sera célébré le mariage de made- rii samedi, en l'honneur de made- na ?oeur de la mauee, da-. moiselle Yvette Nadeau, de Québec,moiselle Hélène Carneau et de son j"?®, d h°”?fi}r' une mbe de fj]je de M. et madame Georges Na-liancé, Me Jules Prémont, à l'occa- ’ty e *n chiffon oleu ag.ui avec cha- deau. décédés, à M. Alphonse Bre-; Mon de leur prochain mariage^ ^ td»6 de même ton et une:,on, de Québec, fils de M. et ma-

_____ .5e!be P,* r^®f et de muguet. Les,dame Gédéon Breton, décédés, deMademoiselle Mabel Flynn rece- M^ique Forget"sMur du marie,6et St€’Henédlne- Pas de ,alI'e Pa!t-

via a un shower de, verres, de 5 à jmademoiselle Monique Dubuc por-! Le 21 mai, en i'église du Sacré- ' Il faj??ed’; ,ef, 1 bonI1Çur de made-;laient des robes de chiffon rose Coeur d'Ottawa, sera béni le maria- moiselle Colette Paradis dont le ma-;avcc bandeaux de fleurs françaises ge de Luclle, fille de M. Eugène nage sera célébré prochainement. jet bouquets de mufliers rose cendré. |Hamel, décédé, et de madame "Ha- ** m ni a s* pi Bernard Côté était le garçon :mel. à François des Rivières, filsMAKI AU t. d'honneur. MM Marcel Hamel et C|U recorder Eugène des Rivières.

Le mariage de Claire, fille de M. Jeah-Jacque.s Dubuc plaçaient les'décédé, et de madame des Rivières, et de madame Ernest Hamei, de mvités. Madame Hamel, mere de la fi'JAfüf'Ajj r c'Ç Montréal, autrefois de Magog. avec.roari«- Portait une robe de crêpe ,M. Hector Forget, fils du docteur martne, un chapeau de bakou rie 61 madame Paul Cauchon ;ci de madame Z-R Forget de méme ton rehaussé de fleurs blan- Louisette Couture annoncent la Montréal, a‘été'célébré, samedi ma- c'hp • d6s accessoires bleus, une Ja- naissance de leur fille née le 7 mai tin, à neuf heures, en la chapelle guette rie loutre grise et des oeil- a 1 hopita, St-François d'Assise, du Sacré-Cœur rie l'église de LIm-:lets blancs à l'épaule. Madame For- et baptisée le 8 sous le prénom de macutée-ConcepUon, à Montréalmère du marié, portait une Josée Parrain et marraine, les La bénédiction nuptiale leur fut robe a légère traîne de crêpe de grands-parents de l’enfant, M. et donnée par M. l'abbé Hectôr Bonin. iIajé)* . vert Paie avfic P«tite cape madame J.-Roméo Couture. Portcu- Dcs fleurs printanières ornaient ide rlJf’tnc ton, un chapeau de paille se. madame Valéda-D. Cauchon, l'autel et pendant la messe, mada- jnaturelle garni de fleurs roses et dejgrand’mère de l’enfant. “ me Côme Dubuc-Des;arries et M. jtulle vert fuchsia, des accessoi-, (Suite à la page 7, 1ère col.)-------------------------------------- ------- res fuchsia, une cape de martre:

d'Alaska et des oeillets blancs a l é- i !pau!e. Après une réception au Ma- I «r nnroc A'r\r moir des Oliviers, M. et madame LCj IIULCj U Ul ! Forget partirent pour Québec. Pour i p, . p,. i. voyager, la mariée portait un en- QU Uf J. bllu6w semble de gabardine beige, un cha- !peau de paille bois de rose rehaus­sé de fleurs et de tulle et ries ac­cessoires tan.

Tragédie aérienne au nord-ouest de Vancouver

Vancouver, 10 (PC» Un homme a été tué et un autre souffre d'une fracture (Lune jambe et d'un choc nerveux à la suite de la chute d'un avion léger survenu hier A 160 milles au nord-ouest de Vancouver Les victimes sont Lome McLean, âgé de 34 ans. de Vancouver, un passager qui avait pris place à bord de l'a­vion appartenant à une compagnie de taxi ; et Walter Lutz, âgé de 28 ans. pilote de l'appareil. Le corps de McLean et le blessé furent trans­portés à Vancouver par un avion amphibie de la R. c A. F. Aucun autre détail de l'accident n'a été donné.

M. Ludger Ferland, maire de Québec-Ouest

M. Ludger Ferland, demeu­rant au No 93 de l’Avenue Bé­langer, a été élu hier après-mi­di. par acclamation, maire de Québec-Ouest. M. Ludger Fer­land remplacera M. le maire Ludger Bélanger, décédé ino­pinément le 15 avril dernier.

CONFERENCE A SILLERY: l'hnto prise à l'issue d'une conférence donnée à Sillery par le R. P. An­dré Bouchard, sous les auspices de la Brigade cadette de l'Ambulance .St-.lean de l’endroit, à l'occasion de la fête des Mères. Dans le groupe, on remarque le R. P. BOUCHARD, dominicain; Mmes GER­MAINE I.EGARE, officier de district, ( BOLDUC, fondatrice du mouvement et MARGUERITE DUGAS, officier en charge des cadettes; Mmes GUAV, mairesse de Sillery. et RINERET, surintendante de la di­vision senior; Miles H1 GUETTE GOURDEAU. surintendante des cadettes de Belvédère, G IS EUE' LA- BONTE, directrice ambulancière des cadettes de Sillery et COLETTE VAILLANCOURT, directrice ambu­lancière des cadettes HELENE BOULE.

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à souffrir d'inconvénients qui ne les découragèrent pas. L'aqueduc n'était pas encore posé. On était en plein champ. La ville installaune pompe qui puisait l'eau dans! Ottawa, 10 (PC Les personnes de la rivière Lairet, afin de délayer le descendance chinoise, japonaise oui

A la suite de Giffard, le conseil .ciment des fondations. Les camion-!b’Ild®U6 aw-oht le droit de voter aux; de ville de Sillery s'est prononcé à news qui venaient livrer les ma-lbroc“ab,es elections fédérales du 27 j l'unanimité contre toute augmenta-itériaux n’étaient pas soucieux d'evn- ijui”:.a d*1 *,*er Jules Castonguay, i lion du tarif de transport par au- bourber leurs voitures. On dut trans-1 6 directeur généra! des élections, tobus dans les limites de la cité, i porter le bois dans des voiturettes îUependant, d après la loi des élec-

La protestation des échevins con- ou sur le dos. Quand le service d é- !rions' pour 88 Qualifier comme vo­ire le projet de la Quebec Power ' lectricité fut installé, les lumières668 Pe™nlleR doivent etre de d'augmenter ses tarifs d'autobus veil'aient tard, et les coups de mar- :Gtoyennele canadienne ou bntan-

La Société Médicale de St-Jean- dans Sillerv a été formulée hier soiritea,!i se faisaient entendre jus- mQue' La législation fédérale a spé- Baptiste fêtera ce soir les noc* au cours drune séance du conseil deiV? des heures avancées dans 1»dor du Dr Joseph Gilbert, de la vilie, sou.s la présidence de Son nui • °n avait hale de posséder son 1 ,iagp _elect(>ral aux Canadiens ja

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M. et madame Lucien Biron an­noncent le mariage de leur fille Lu- ;

rU6I®t"'-,<‘an' Un dîner aura lieu Honneur le maire Gérard Guav a i Habitant Inn. à 8 heures, sou? la présidence du Dr Joachim Jobin

—Un pFessant appel, (Suite de la page 3,1

d’accorder leur sympathie aux tra vailleùrs et à leurs familles dans

nui;, chez-soi. Sur trente membres, ;R Pon»;s. Jusqu’en 1947. la Colombie

, ^ x roonérative en comme 21 de tons- l'anadienne maintenait un ban élec-I rs echevms, à cette seance, ont Cest un^belle ré^isat^n t'oral «>™e '** Canadiens de des-i o.e\eur\Cfmr,'<!SanCe’ d I"1® 'et‘re ' eooocrauve. malgré le peu de ca-cendance chinoise ou hindoue. Lors- ! que leur a fan parvenir la Quebec;! Power et dans laquelle elle met la cité de Siilery au courant de son intention d'augmenter les taux de;

! transport, par autobusPlusieurs autres questions adm

coopérative, malgré le peu de ca , ,,, ,! pital-argent. L'actif des membres <l«e èf wn a été levé, ces personnes con,estai; surtout dans la capacité 001 été automatiquement admises de leurs bras, et dans le ferme au vote dans-les électmns fédérales, vouloir de construire un toit pour ————————————————jabrter leur famille. Ce groupement i filer ceux qui désirent se bâtir des; entend adapter l'organisme aux be-1 avantages et de l’expérience d'une

l'épreuve, et de leur donner, s'ils le djrt.ratives ont été étudiées à cette gojn? ^es propriétaires, et faire pro-1 coopérative déjà vieille de cinq ans.peuvent, les secours matériels dont >Pance'La question d'augmenter le traite-

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(‘res et demie. .des familles éprouvées. Ouellet au congrès de l'Union de.fous les catholiques doivent pri-,municipalités qui aura lieu à Chi-;

!er D,pu instamment afin que ceux icoutiml du 24 septembre au 1er oc- * ;qui sont divisés actuellement parjtobre prochain, un pénible conflit, jouissent bien-! M. F.-M. Hackett a été engagé aui

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Pour sa part, le Conseil Central l’aqueduc et pour la localisation des|des Syndicats Nationaux de ]â(fuites d'eau dans le système. Ce sa- , Mauricie (organisme ouvrier repre- ‘-aire comprend aussi la location ; sentant les .syndicats locaux de d’une automobile et d’un instru- Shawinigan Falls, Grand'Mere, st-! ment spécial pour localiser les fui-]

; Tite, Ste-Thècle et La Tuque) dé- tes.sire profiter rie l'occasion pour re- J,a question d'achat de terrains mercier messieurs les curés de tou- l?nur futurs terrains de jçu a tes les paroisses qui ont facilité la, é*6 abordée mais aucun choix n'acollecte qui fut faite à la sortie des 616 arrêté,messes, par des ouvriers syndiqués, .. . Z~eux-mêmes. —Un lOFUm 3U 5e

Nous transmettons également no- i _ .. , ,tre plus vive reconnaissance a tou! ; f dR 'a P**6 3*, . . , . . frais dèntreuen. T! fut aussi oues-le public en général qui a répondu tion de ralde provinciale. 0qn !asi généreusement a ce appel de:^,^ lnsl|f(ls dlte qUenei Evêque. Ce geste de la part du|;alïffl a„x SOCiétés de prét t40Ut ,e public démontré bien que les prin- j.jsque du prét hypothécaire. Pour cipes de JUSTICE et rie CHA-,qU-ej]e rende de véritables services RITE', principes fondamentaux déjà la. classe des petits salariés, il la doctrine sociale de i Eglise, doi - f 'i uora; 1 que le gouvernement es- vent guider le, hommes dans leurs compte les hypothèques et les pren- domaines respectifs ; doctrine qui [ne à sa charge. Il n'y await plus doit sans cesse faire penser à nds |d’hésitation dans le consentement dirigeants, qu'il est urgent d'appli-jdes prêts, et des salariés auraient quer les principes de justice sociale‘tous accès à la propriété, s’ils veulent la paix industrielle, i Le Forum était dirigé par M.

Consciente de sa responsabilité,la‘Oscar Bcaulé. qui sut entretenir et classe ouvrière organisée sous la j intéresser tous les assistants avec bannière des Syndicats Nationaux ; beaucoup de. doigté. Les conclusions Catholiques, entend bien continuer j furent tirées par M. Théo Levasseur, la lutte entreprise envers les élé- L encouragea ses auditeurs à prô- ments puissants qui cherchent à ; ner l’habitation familiale et â ban- •

I faire disparaître nos syndicats. Pour j un' les taudis, Là où le Soleil en- j toute personne qui connaît la situa-jtre, le médecin n'entre pas.Ition, il est évident que depuis le dé- j M. le curé Marchand, dans son j but du conflit que les grévistes des ; mo' de la fin, se déclara heureux Cantons de l’Est ne peuvent re-idc ' intérêt que ses paroissiens por-

| prendre l'ouvrage actuellement aux ; talent à la question de l’habitation conditions qui leur sont faites. Ce \ fannMale. Il fit remarquer que la! serait accepter un esclavage intolé- paroisse St-A!bert-le-Gra.nd comp-1 rable. |te dans sa population, une proper-!

Le combat, que ces braves mineurs ‘‘°'1 de 60 p. 100 de propriétaires, Il syndiqués livrent actuellement, c’est o.inota que dans sa paroisse, toutes celui de toute la cause syndicale ca- !‘es habitations sont abondamment j tholique de la province de Québec. ; pourvues de fenêtres, et que la sait- ;

jet J’oserais dire de tout le Cana-/® de ses paroissiens semble très; dn Ce combat, nous devons tous .benne.

I l'envisager en y prenant une part; début de la réunion, le prési- ! active puisque la classe ouvrière est deo: a présenté un bref historique, i présentement victime d'une ronspi- de la Coopérative. Celte société fut ration qui a pour but. son écrase-/011d® eu 1944 dans le but d obte-;

; ment. La classe ouvrière se laisse-!nb pour ses membres des lots ap- : rait-elle écrasée par les tyrans de la jPartenant à la Cité de Québec. Les ; politique et qui ne semblent recher- i °f'uent cedes moyennant la cnn- j cher que la protection de leurs pi-| d ition de bâtir dans 1 année. Les térêts personnels sans aucun souci ProP' lfltaires s° hâtèrent donc de du bien commun. construire. L été de 1945 fut très

Tout homme bien pensant admet-: act‘‘' L®s Piemters arrives eurent tra que la classe ouvrière a le droit comre k,: puissancf; aVeugles

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incontestable de s'oppnoser rie toutes ,vl.anniolleÿ rip rAr„ent ! ses forces à la tyrannie. Le combat jqui se déroule présentement dans l’industrie de l'amiante, est un com-

; bat à finir contre les ennemis de Il'émancipation ouvrière; il restera {gravé dans l’esprit de la classe nu- ! vrlère et dans l'histoire du syndi- ! calisme moderne. Du succès de la ; grève de l'amiante, dépend l'avenir j du syndicalisme catholique à travers la province et le Canada. L'échec du syndicalisme national, signlfie-

i rail l'avènement de l'anarchie et le ! triomphe des idées communistes.

Depuis le début de la grève, nous j constatons que le public bien pen- j sant, mieux instruit des principes j sains de la doctrine Sociale de l'E- ; glise, prend de plus en plus ses res- ! ponsabilités envers les groupes ou- ;viiers opprimés et sait très bien | distinguer de quel côté est la "Justi- ] ce’’. Par contre, cet élan spontané de j solidarité et d'entr'aide sociales qui Isp répand dans toulp la province de ; Québec pour secourir les mineurs de ] l'amiante, devrait-il faire réfléchir ; sérieusement ceux qui sont la cause de cette misère imméritée de près

j de 5.000 ouvriers de notre province,La cause des mineurs est juste ;

('est. pourquoi J'Êglise est intervenue , en faveur des grévistes de l'amiante.Aux ouvriers syndiqués de la Mati-

; ride ci à ceux qui liront ce comtnu- j niqué officiel, vos frères syndiqués mineurs d’Asbestos et. de Thetford- !

j Mines, ont besoin de votre appui et |Idc nourriture. Nous faisons appel àj 'votre esprit de chai'ité'chrétienneet ; j vous prions de leur venir en aide, i Recevez à bras ouverts ceux qui sont jautorolsés à vous solliciter pour re- j cueillir des secours afin de soulager : la misère ries familles ouvrières de I la région de l'amiante, et pour as­surer la victoire du syndicalisme

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Echos mondainsDEPLACEMENTS

T*, hriirariw or ____ 1 Un bre{ séjour à Ottawa où elle

pe où ils séjourneront pendant plu­sieurs semaines.

, M. Claude Gagnon est de retour i 'd Europe où il poursuivait des etu-; [des musicales et passera l'été chez scs parents. M. et madame Adhé-

Madame L.-Anhur Cannon fait'|mar Gagnon, à Château d Eau.DelisieMademoiselle Antoinette

s'est embarquée, dimanche, à bord ; (- du “Samaria” pour un séjour de | gLèg/

iPagnée' de sès“deux*'enfairts “est^e itroU mois en EuroPc au cours du- ! retour d un v^e de ^o’is mois k^1 visitera l'Angleterre, la $France et 1 Italie. 4'

Madame Paul-Emile Côté, accom-

dans notre ville.

M. et madame Raoul Jobin sont à Boston, où elle a été l'invitée de _____retournés à New-York, aujourd'hui son frere et de sa belle-soeur, le Mademoiselle'jeannette Thériault apres avoir^ passe quelques jours docteur et madame Roland Lavoie. ide Montréal, est revenue à bord de

Madam? Gérard Drapeau, et son ;I]"'En?res of Canada” d'un séjour jt'ils, Marc, font actuellement un de plusieurs mois en Europe.

*: voyage de deux semaines aux Etats-; . , , . ■unis —Les finissants de LavalM. et madame Paul Courtois sont, «Suite de la page 3»

retournés à Montréal après avoir jque vos maîtres vous ont toujours jpassé quelques jours à Québec, ins- jporté. Les peccadilles du passé sont jerits au Château Frontenac. [toutes oubliées. Gardez toute votre!

[vie le souvenir des années passées àj Madame John Brady est de retour [Laval, et sachez pardonner à l'u- i

de la métropole où elle a été l[in-[niversité les torts que parfois vous [ vitée de son gendre et de sa fille, j avez cru devoir lui attribuer.”M. et madame Louis Barron. Parlant aussi du “confort rela-

tif” que l'université a donné à ses [ Madame A.-E. Scott et sa fille [étudiants jusqu'à ces dernières an- i

Pauline sont rendues à Kamouras- [nées, le recteur déclara que Puni- | 1 ka où elles passeront la saison versité de demain pourra donner à

des Eaux purgatives canadiennes livale- ses étudiants plus de confort, de sé-------- jeurité et de meilleures conditions!

Enheremtnl aux sels de fruits Mademoiselle Liette Joücocur, de de travail. La cité universitaire n'est: y, Beauceville-Est, est de passage à [pas un rêve, ditiil, elle commence;Voir, rneaeen la présent Québec, et loge au Château Nor-;déjà à sortir •de terre. Nous

IN vtNTI CHIZ TOUS us PHARMACIENS ^ jmandic. avons pour le bonheur des étudiants—” de grands projets et nous mettrons ;

M. et madame Michel Dufresne i tout, notre coeur à l’élever, et leurs enfants ont fait un court! Mgr Vandry se plut à louer l'As-i voyage aux Trois-Rivières et Mont- !sociation fondée par les anciens et jféal, en fin de semaine. jdéclara que le but principal en s

------- [est d'entretenir la sympathie des [M. et madame Rosaire Le:entire, anciens élèves envers i’universtté qui

de Sherbrooke, font actuellement un : en a besoin maintenant qu'üs sont: séjour à Québec, inscrits au Châ- ipartis, comme les élèves eux-mé- ! teau Normandie. imes, durant les études, ont besoin j

------- !de la sympathie de l'université. |M. et madame Gilles Bertrand et! Me Jean-Marie Bureau, C.R., de!

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'Fin d'année de la Sl-Jean-Bapfisle

Courville, 10. (DNC). La derniè­re assemblée de l'année des mem­bres de la société St-Jean-Baptis- te locale a eu lieu à la salle pa­roissiale de Courville après la grand'messe.

j LE SOLEIL, Québec, mardi 10 mai 1949

Lutte à la mairie 'à Saint-Nicolas

Saint-Nicolas, 10. (Spéciale) forte délégation a rencontré di­manche soir M Léon Allard. cul-| tlvaleur, pour l'inviter à porter sa: candidature à la mairie, en vue de^

i l'élection qui va avoir lieu dans A cette réunion que présidait M. [cette municipalité le 16 mai. M.

P.-Emile Gaumond, président, des [Allard, ancien conseiller municipal, remerciements furent adressés à était cette année membre de la com- l'assistance qui se rendit nombreu-! mission scolaire. Le nom de M

; L'hôpital de Ste-RUa, qui a été j acheté en 1920 par les soeurs de ! Ste-Marthe, contient 42 lits d’a- idultes et une salle de maternité

j. de 22 lits. L'hôpital desset ac- u e!tuellement plus de 4,00 familles ca-

j tholiques romaines de la région.

se à chacune des assemblées tenues au cours des derniers mois. Le pré­sident donna un résumé des sujets traités au cours de l'année lesquels furent :

Le 10 octobre, “Notre drapeau na-

Oscar Demers a été proposé pour remplacer M. Allard à son poste actuel.

Le maire de St-Nicolas, M. Leo­nidas Lamontagne, ne sera pas candidat cette année. R a décidé

tional" par M. P.-E. Gaumond: 14 ! de se retirer en faveur de M. Gérard novembre, "Le congrès diocésain" Gingras^qui posera sa candidature par M. Robert Beaumont ; 12 dé­cembre, “Votre fils, notre élève” par M. Michel Glroux ; 16 janvier, “Le paternalisme d'Etat” par M. C.-N.Dorion ; 13 février, “Sa majesté la Langue française” par Mlle M.- Marthe Caron : 20 mars, "Le com­munisme", abbé Henri Gingras ; 24 avril, "La centrale électrique de Montmorency'' par M. Philippe La- 000 pour remplacer l'hôpital actuel perrière. de Ste-Rita, annonçait-on hier.

Il y eut aussi lecture du procès- I verbal de la réunion d'avril par le secrétaire. Le président offrit en- sute, au nom de la société, des voeux à toutes les mamans à l’oc­casion de la fête des mères. Des | voeux de prompt rétablissement fu- j

contre M. Allard, à la mairie.

Un nouvel hôpital construit à Sydney

Sydney, N E.. 10. (PC) On projette la construction d'un nouvel hô- T L pital de 150 lits au coût de $1.500.- j I

O peu de frais :leZ sont retournés jTrrts-Rivlérw; déciara ' que loin de |le Dr Louls CIoutjteri M. GeorgesV. MontrÔîi.1 finrès fîVOir DASRf* miel” ll’uniunrci + A lo r»**<"»T4aec-n«rt©l co cont :.« > _ . . —, , „

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et qu'il sent le besoin de secours. Nadeau. M. Jean-Marie Martin, qui' ."Dans la tragédie des temps que sont aussi tous professeurs à l'uni- h o ' fnous traversons, dit-il, nous avons ; M E Thériault ancien Volife du Quebec, celle de laplus que jamais besoin de secours, "r fesseur ' a la faculte d’AeS- i con5tructiM> d'<m pont entièrement il faut que les jeunes viennent fai- tureà^te-Annedela Potière, etn re la relève. , •[maintenant chef du secrétariat des

M. J.-E. Thériault a explique ‘e Anciens, et parmi les représentants but de 1 association, et les a mvi- de l'Université, Mgr Alphonse-Marie tés a visiter la maison des Anciens, purent. secrétaire général de l'U- sur la rue Ste-Ursule. [niversité, M. l’abbé Jacques Lesage,

On remarquait, dans 1 assistance, modérateur des étudiants, M. l’ab-

Mademoiselle Mariette Coulon- val s'est embarquée “dimanche” à bord du ' Samaria''' pour un séjour de quelques mois en Europe.

Madame Henri de St-Victor pas- [se quelque temps à Ottawa.

Le docteur Armand Frappier, de Montréal, était de passage à Qué­bec, en fin de semaine.

M. et madame J.-G. Trudeau, deplusieurs membres du conseil géné­ral des Anciens de Laval, ou des

Montréal, sembarqueront le 11 mai.[membres de différents comités: M, à bord du “De Grasse” pour reve- [le Dr Rosaire Gingras. secrétaire nir au Canada, après un voyage de [adjoint de la faculté de médecine quelques mois en Europe. Leur fille, où il est professeur et chef du dé­madame lan Turner, de Londres, est [parlement de biochimie, secrétaire actuellement leur i.evitée à Paris, général de l’association des Anciens,

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Le prix de et patron est de ;i0c. Seuls les bons de poste ou les clièques PAYABLES AU PAIR à Quebec seront acceptas. Ne pas envoyer de monnaie ni de timbres-poste.

Les patrons offerts par notre Journal ne sont pas échangeables et ne sont pas en j «bt aussi ^ faits au capt. J.-H.-C.vente a nos bureaux. Ils sont habituellement livrés dans un Intervalle de 15 A ; Cabana qui, retenu par la maladie, jan jours. • | n'avait pu donner la conférence qui |

N.-B.—Les instructions servies avec ces patrons fabriqués par une muison anglaise ! mirait mis fin à la série dene sont fournies qu en anglais. | causeries prononcées depuis octobre, j

Un débat, dirigé par M. P.-E. '[ Gaumond, permit à plusieurs de faire part de quelle manière il con- | viendrait de célébrer notre fête na- : tionale, le 24 juin. La question ne j fut pas nettement tranchée quoi- j qu il ressortit des conclusions de i l'assistant-aumônier que la fête se célébrerait probablement de la mê­me façon que l'an dernier ; à sa­voir : messe le matin, sermon de circonstance, jeux organisés pour les enfants au cours de l'après-mi- di avec prix offerts ; soir : feu de la St-Jean et feu d’artifices.

Ont participé au débat : MM. Wellie Bouchard, Marc Blais, Sa­muel Giroux, Marcel Latouche, Raymond Villeneuve, Raymond Gi­roux, Michel Giroux, Philippe Vé- zina, Richard Boucher, Olivier La- rue, Mlle Georgette Durand.

On entendit au programme mu­sical. M. Paul-Eugène Bureau qui interpréta “Mon âme à Dieu, mon coeur à toi" el M. Raymond Vil­leneuve qui rendit “Le vieux sa­pin”. Au piano, Mlle Gertrude Drouin,

Le prix de présence de $4., après un triple tirage, fut attribué à M. André Drouin.

bé Rosario Benoit et M. l’abbé Er­nest Lemieux, doyen de la faculté de théologie

J. Pimenoff, ingénieur de la Do­minion Bridge Co,: la révolution ap­portée par la mécanique dans les opérations forestières, par M. J. 0'Halloran> ingénieur en chef de l'Anglo Canadian Pulp and Paper Mills Limited; les problèmes de la forêt, par M, Fernand Boutin, as­sistant-directeur de la D'Auteull Lumber Co.: la question des res

„ , , , . , ] sources hydrauliques, par M. A,-B.les„anno!îc“_^s_sé« du Normandin. vice-président de la

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Le directeur de l'Institut d'Histoire et de Géographie de l'Université La­val. M. l'abbé Arthur Maheux. OBE. sera le conférencier d'honneur au déjeuner de la première Journée du congrès et il brossera un tableau de l'histoire rie la ville de Québec. Samedi après-midi, le président de l'Anglo Pulp, M. Elllott-M. Little, dirigera la discussion qui aura lieu sur les problèmes de gestion pour une période de transition succédant à une ère de prospérité. Au nombre des conférenciers invités, il faut aussi noter la présence du Dr Li­lian Gllbreth, présidente de Gilbreth Inc., à Montclair, N.J., et auteur d'un roman très en vogue aux Etats- Unis, qui parlera de la "Gestion, une sauvegarde”.

—En cour à Sherbrookei Suite de la page 3)

des accusations d'assemblée Illégale.Libération de détenus

A Montréal, 10 des grévistes trans­portés dans cette ville, ont été li­bérés dimanche et ramenés à Asbes­tos. La police a déclaré que ces hommes n'étalent pas directement impliqués dans les désordres de jeudi et que la preuve contre eux était insuffisante.

Accusations de M. DrapeauLe directeur adjoint Hilaire Beau-

regard de la Sûreté provinciale, a répliqué hier aux accusations lan­cées par Me Jean Drapeau, avocat de Montréal, à l'effet que la police lui a refusé le droit de voir des grévistes emprisonnés à Montréal qui avaient retenu ses services. Il dit qu'il s'est rendu personnelle­ment dans les cellules pour deman­der aux détenus qui étaient les clients de M. Drapeau. “La seule réponse qu'il reçut, dit-il, c'est la suivante : “Nos avocats sont Carrier Fortin et L'Espérance de Sherbroo­ke."

Le président Rodolphe Hamel, de la Fédération des mineurs d'amian­te, a déclaré pour sa part qu'il ne peut comprendre cela. Il dit que les prisonniers ne pou­vaient savoir qui était leur avo­cat. parce qu'aucun n'a pu commu-

i niquer avec eux. Il a ajouté qu’un [de ses fils demeurant à Montréal a tenté sans succès de voir un autre

ide ses fils, Jean-Noël Hamel, dé- [ tenu lui aussi à Montréal après [avoir été arrêté à Asbestos.

ïreize morts dans une avalanche de neige

Lima, Pérou. 10 iPA) Une ava­lanche de neige provenant des An­des a tué, mercredi dernier, 13 mi­neurs, qui se trouvaient dans leur camp. L'on croit qu'il y a quelques autres mineurs pris sous la neige. Des policés et des troupes furent envoyées à leur secours. Cette ava­lanche eut lieu dans les vallées de la Cordillera Blancha dans le départe­ment d’Ancans, au nord de Lima.

Canadien payé $15,000 pour 75,000 mots

Toronto, 10. 'PCi M. Arthur May- se, âgé de 36 ans, de Toronto, ancien journaliste de Vancouver a vendu au "Saturday Evening Post", pour le prix de $15,000, une nouvelle d’a­venture et d’amour de 75,000 mots, Ce prix est le plus fort jamais payé à un écrivain canadien par ce ma­gazine.

Intitulée “Passage périlleux", cet­te nouvelle tourne autour de la con­trebande de l'opium chinois sur les côtes de la Colombie-Britannique.

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Il va falloir que nous nous séparions, Daoust.. (pouf., pouf:» AU ca* ou II ne pourrait cap­turer qu'un de nous deux .. (pouf-pouf!)

.... .y*•'»- ■' ' ‘'rÿd ' ,; y -v» ' •

LE SOLEIL, Québec, mardi 10 mai 1949

—Une nouvelle(Suite de la 1ère page)

sont les principaux rentres. La Syrie et Israël tentent de con- elnre un armistice: si le conflit armé reprenait entre ces deux pays. l'Irak a de nouveau affir­me hier soir qu'il boycottera les envois d'huile à Haifa et accor­dera son appui militaire aux for­ces syriennes.

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LA CANDIDATURE DISK\EL

Lake Success, N.V., 10. (PC) Après avoir surmonte sa premiè­re épreuve au vote, le* nouvel Etat juif d'Israël semblait au­jourd'hui être presque sûr de son admission comme membre des Nations Vnies.

Israël a reçu hier un vote ma­joritaire de S à 1 quand le co­mité politique spécial de 58 mem­bres de l'Assemblée générale ap­prouvera par 33 votes rentre 11 la demande d'entrée du nouvel Etat. Treize pays s'abstinrent et un était absent.

Si rassemblée plénière suit l'exemple de son comité. l'Etat vieux d'un an deviendra alors le 59ème membre de l’organisation mondiale.

On s'attend nue la décision fi­nale de l'assemblée, requérant une majorité des deux tiers, soit prise demain ou jeudi.

Le vote décisif fut pris sur une résolution approuvée conjointe­ment par les Etats-Vnis, le f a- nada. l’Australie le Gur.lémala. H -iti, Panama et l’Uniguay. Par­mi ceux qui ont voté pour la pro­position, on remarque : les six pays du bloc soviétique, de mê­me que l'Argentine, la Chine, Cuba, la Norvège, la Nouvelle- Zélande, le Mexique et les Pays- îtas.

L'Afghanistan, la Birmanie.I Inde el le Pakistan se joigni­rent aux Arabes dans leur op­position à l'admission d'Israël. Parmi ceux nui s'abstinrent de voter on remarqua la Grande- Bretagne. la Eranee. la Belgi­que la Suède, la Grèce, la Tur­quie et le Danemark.

Seul un renversement soudain de plusieurs votes peut empêcher Israël d'entrer dans l'ONII. Le vote final d'hier du comité a eu un effet de surprise puisque 19 pars avaient voté quelques mi­nutes aunaravant en faveur d un plan du Liban visant à ret** rder jusqu'à l'automne l'étude de la demande d’Israël. La proposition du Liban fut ensuite rejetée quand 35 pays, y compris le Ca­nada se prononcèrent contre elle.

'Mort à Montréal de Me Jules Desmarais

Me Jules Desmarrals, c.r., ancien gérant général de la Commission des Liqueurs de Quebec et ancien juge de la Cour des Sessions de la Paix, est décédé lundi, à i'âge de 66 ans. à sa résidence de l'avenue Pine ouest, à Montréal. Né à St-

; Hyacinthe, Me Desmarais fut reçu au Barreau de Montréal a l'àge de 20 ans, après avoir fait son cours de droit à l'université Laval. II s oc­cupa activement de politique, pour le parti libéral, pendant toute sa carrière. Après avoir été pendant neuf ans avocat en chef de la Com­mission des Liqueurs, il fut nommé jà la Cour de Magistrat en 1934, puis :a la Cour des Sessions de la Paix en 1936. En mai 1942, il abandonnait son titre de juge et ses fonctions de régisseur des logements à Montréal pour devenir gérant général de la Commission des Liqueurs,

A sa retraite de la Commission des Liqueurs en 1944, Me Dssmarais re­prit la pratique du droit. Il avait

été récemment nommé assistant or­ganisateur en chef du parti libéral pour le district de Montréal. D laisse son épouse, née Gabrielle Le- 'faivre; deux filles, un fils et une .soeur. Ses obsèques ont lieu de­main.

Pour faire obstacle aux ambilions d'Israël

Cité du Vatican, 10. (Reuters). Un article affirmant que "le Sionisme est un nouveau nazisme” a paru hier dans "Fides”, le bulletin hebdoma­daire de la Congrégation pour ia propagation de la Foi, l'organisa­tion missionnaire catholique. L'ar­ticle est rédigé par le correspondant de cette organisation à Jérusalem. "Qu’il soit teinté de spiritualité, dont une lutte de 2.000 ans contre la chrétienté l'a imprégné, ou qu'l) soit athée et matérialiste, le Sionis­me, ce précurseur du communisme dans le Moyen-Orient, ne permet­tra pas que sous une forme quelcon­que ia doctrine du Christ existe sur son territioire", disait le correspon­

dant. "Seule une large compagne,les'. L'incident «’est produit de bon-Luke retourna s'asseoir parmi Mi ; d'information dans les milieux chre-'ne heure vendredi. L'un des soidatsjinvités. Ce qui lui valut cette cl- . tiens et une diffusion considerable ; ut grièvement blessé tandis qu'un Ration de son chef: ''Wright, voila ides recommandations du Pape ex-{autre l'était plus légèrement. En- 'un pompier accompli.'’■primées dans les Encycliques, pourra j.lommagé. le bateau s’était immo- ----- :----------- -—-fournir aux Nations-Unies l'appui bilisé.d'une opinion publique avertie, pour ---- ——------- — MâQdfTlP R00S6VGlffaire obstacle aux excessives ambi- , üons d'Israël”,

Des Albanais firent sur un navire è moteur

Pompier, même le jour de son mariage

réélue présidente: Lake Success, N. Y., 10, (PC i Madame Franklin D. Roosevelt a

B envi ck - on - Tv,* e e cl. Nortnumoer-j été rééîue, hier, présidente de la iand, 10. (PC). Le pompier Luke j Commission des Droits de I Hom-

Belgrade, 10. (R:uter). L’agence S Wright quitterait même la tete qei mc dE 1 ° N' U'_______de nouvelles yougoslave rapportait,|son propre mariage s’il laliait êtein-jjhier soir, que des troupes aibànai-jdre un feu. Et il l'a prouvé. 0ll'rfti|rxaK|o Ho monrfro («es ont ouvert le feu sur un navire était à l’audition des émouvants dis- v.UUpdUIC UC llieUillC ;à moteur transportant des soldatsjcours chantant l'union qu’il venait Boulder, Colo., 10. (PA) Joe Wal- jyougoslaves. Le navire se dirigeait ;de contracter avec la douce Mai'-iker, 32 ans, fut trouvé coupable hier [vers Belgrade, pour les cérémonies gare? Robson, quand il entendit:de meurtre de second degré au sujet à l’occasion de l’anniversaire de |soudain retentir la sirène des m-jde la iqprt de Thérèse Poster, 18 ans. 'naissance du maréchal Tito. L'agen-Mendies. Luke ne lit ni une ni deux étudiante de l'Université de Colora- |ce ajoutait que'es Albanais ont tait [pour sauter de sa chaise, bondir |do. Par ce verdict. Walker, pourrait feu alors que le navire voguait sui'jhors de la salle et, tout essouttie.[obtenir ime sentence de 10 ans d’em- !e lac Scutari, qui sert de frontière il téléphona au département desiprisonnement.entre les deux pays, et que la fu-|pompiers: “Avez-vous besoin de'---------------------sillade a duré deux heures et demie.[moi?” On lui répondit qu'un leu consultez les annonces classées du

[L’un dss soldats aurait nage jus- avait pris dans un moulin a grahv "Soleil”. Vous obtiendrez les qu'au rivage "sous une pluie de bal- mais qu’i! était déjà maîtrisé. Et, meilleurs résultats.

A QUEBEC LES 14 ET 15 MAI: David et Goliath n'auraient sumieux poser! tes deux offieiers de l'escadrille de chasse auxiliaire 438 participeront au "Siege de la ville de Québec", les 14 et 15 mai. mais d'une façon bien différente. Le plus petit des deux, " l’ tit Doe Fayet­te", comme l'appellent ses confrères de l'escadrille, est le médecin en chef de l'escadrille ranadienne-franeaise*. e'esl à ce titre qu'il repré­sentera l'escadrille 433 à Québec, lors des manoeuvres de l'Armée et de l'Aviation. L'autre, le grand “Dick" Sl-.tohn, fera partie des pilotes qui prendront part à l'attaque et au bombardement simulés rie la Vieille capitale. Disons en passant que le Chef d’escadrille Fayette mesure exactement 5 pieds et que le sous-lieutenant d'aviation St-John s'al­longe à une hauteur de (i pieds et 4', pouces. Tant il est vrai, comme dit souvent ce dernier, qu'on a souvent besoin d'un plus petit que soi!

(Photo du C.A.R.C.'

-Désastre évité(Suite de la 1ère page'

les; chevaux mourants et ia brique épanduc.

L'ingénieur de ce train, dont on n'a pu obtenir le nom, voyant venir le train sur la voie principale où son train était stationné, eut juste le temps de sauter, pour avoir la vie sauve. Le train qui montait était lourdement chargé de pierres con­cassée, et ne subit pas le moindre dommage. Son ingénieur et son chauffeur ne changèrent même pas de position, dit-on. Le train station-

! né, chargé beaucoup moins pesam­ment, absorba entièrement le choc

jet encaissa tou-- le» dommages. Ou [craint que l'ingénieur du train mon- Itant oublia qu i! devait rencontrer a cet endroit, et conséquemment prendre la vole d'évitement. Il ten-

j ta d’appliquer Iss freins, mais en [vain, quand il aperçut devant lui [la locomotive tout près de la" gare.j La nuit, à Ste-Hélène. personne j n'est en devoir à ia gare.j Le surintendant régional est des­cendu le lendemain faire enquête

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(Suite de la 1ère page) [joignit les rangs de la police munl- dpa!e de Québec, Quelques années plus tard, en 1928. il passait d? cons-

ji.ible au rang de détective. En 1936. île détective Guillemette était promu îsergrnt-dctrctlve.LE SERGENT TANGUAY

I Le détective Oscar Tanguay sera [promu au grade de sergent-détecti- I ve. Il compte trente et un ans de service à la police municipale de Québec. Le sergent-détective Tan- zuay possède une grande expêrien-

|ce et il jouit de l'estime de "ses i hefs et de ses compagnons de tra­vail,

La réorganisation de la ponce municipale de Québec se pdursuit graduel! sment. Plusieurs autres changements, promotions ou per­mutations, sont aussi prévus d'ici quelques semaines. Le chef-détec- tlve Laçasse, qui compte une quaran­taine d’années de service, prendra sa retraite de même que l'inspecteur Richard Canty. Tous les deux ont maintenant dépassé l'Age de retrai­te de 65 ans. Les membres du co­mité de discipline ont adopté ie principe que tout policier ayant at­teint 65 ans devra prendre ea re- : raite.

Démissions de deux juges en Nouvele-Ecosse

Halifax, 10. (PC). Un juge de ia [cour suprême de la Nouvelle-Ecosse, [le juge Carroll, a annoncé sa demis­sion hier soir et un autre de la

[même cour, le juge R.-H. Graham, [■i laissé entendre qu’il agirait prv- bablement de la même façon, quand pn leur demanda de commenter les [rumeurs voulant qu’ils descendent ; iu banc pour monter sur la scène [ de la politique active. Le juge Car- roll a dit, an cours d’une entrevue

| téléphonique avec la Presse Cana- , dienne, qu'il donnera sa démission

amedi mais qu’il ne sait pas ce qu'il ‘fera par la suite. A Halifax, le Juge Graham a déclaré que rien n'avait encore été arrangé. Le juge Carroll

j i refusé de dire s'il abandonnait la magistrature pour entrer dans la politique. Dame rumeur veut qu'il accepte une candidature liberale dans le comté de Richmond-Inver- ness, dans nie du Cap-Breton,

Etiquette jaune sur les colis d’aliments

Une nouvelle étiquette jaune, prendra> la place de celle qui sert' actuellement pour l'expédition en1 douane des colis-cadeaux véritables | contenant des aliments, etc., à j l’adresse du Royaume-Uni, Ce! changement est du à la réduction récente des tarifs. Seront considérés comme colis-cadeaux : les colis ne contenant que des aliments non périssables, des vêtements mis de côté ou du savon, les colis-cadeaux véritables, non sollicités et non ex­portés comme marchandise ou pour ia vente. En plus de l'étiquette Jau­ne. le colis-cadeau véritable doit porter une formule B, que l'on peut se procurer dans les bureaux de poste. Cette étiquette ne doit en aucun cas être apposée sur des pa­quets affranchis au tarif des let­tres ou sur des colis contenant au­tre chose que les objets mentionnés.

La Société Linneennej La Société Linnéenne de Québec aura une réunion vendredi soir, le 13 mai, à 8 heures 30. à l'amphithé­âtre de la Faculté de Médecine. Le conférencier invité est le docteur Edouard Page, professeur à la fa­culté de Médecine. Le Dr Pagé parlera des “variations du poids cor­porel" et il exposera les résultats de ses travaux de recherche dans ce domaine.

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68e ANNEE — No 112

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QUEBEC, MARDI 10 MAI 1949 PAGE NEUF

Les Saintsl.'Efflise célébrera demain la

fête de saint Mamert, arche­vêque de Vienne.

La maréeAujourd'hui, marée haute

à 5 h. 41 p.m.Demain, marée haute

à S h. 01 a.m. et fi h. 29 p.m.

En marge des faits

l’ar Dewitt Mackenzie, rie la Presse Associée Exclusif au ''Soleil"

La nouvelle, constitution répu­blicaine de l'Allemagne occiden­tale modelée sur les systèmes de gouvernement de la Grande- Bretagne et des Etats-Unis—est l'un des plus remarquables do­cuments du genre. C’est vrai­ment le produit de notre nou­velle ère.

Cette constitution assure Isur le papier, du moins) la plus grande mesure de democratic qu'un pays ait jamais connue. En vérité, on peut dire qu'elle assure virtuellement la seule dé­mocratie que l'Allemagne ait expérimentée parce que la courte république de Weimer 11919- 1933) mourut de mort acciden­telle avant d'avoir pu remplir ses promesses.

Ce qui est encore plus frap­pant c’est le fait que l’Allema­gne — qui. dans l'espace d'une génération fut l'instigatrice de deux guerres — non seulement met au ban la guerre d'agres­sion mais encore prévoit le trans­fert de la fiére souv erainete du Reich aux Etats unis d'Europe.

Et les Allemands qui, il n’y a pas si longtemps, courbaient l‘é- • hine devant la dictature hitlé­rienne jouissent maintenant d’une déclaration des Droits de l’Homme qui dit que “la dignité de l’homme sera inviolable”.

Quelle transformation ! Il ex­iste encore des gens qui, comme nous, se souviennent des jours du Kaiser Guillaume II, le "tout puissant'' qui fit la première grande guerre, poursuivant sa politique d'expansion impériale. Le kaiser était un autocrate qui croyait au gouvernement de droit divin, un fait qui poussa un Amé­ricain à écrire un poème sati­rique intitulé : “Me Und Gott”, qui eut le don de mettre l'em­pereur en fureur.

Le vieux kaiser était l'expres­sion achevée du prussianisme. Bous son régime d'autorité, vi­sant à l'expansion, il y eut une hausse rapide des impôts par suite du eoût des armements, et une bonne partie de la popula­tion éprouva du mécontentement devant l’organisation militariste du pays. C'est pendant cette période que se produisit la gran­de. expansion des usines d'ar­mement Krupp dans la Rurh.

C’est alors que survint la pre­mière guerre mondiale qui se termina par l’abdication du Kaiser. La république de IVei- mar tenta d’instaurer la démo­cratie. mais elle fut vite sub­mergée par le régime hitléiien, qui représentait l'une des plus terribles dictatures de tous les temps.

Maintenant, nous avons un violent retour à tout cela dans la nouvelle constitution. Le»

(Suite à la page 18. 2e col.)

L'AgricultureLe soin de la pelouse du jardin

Cest par l'excès de soin, tout pa­radoxal que cela puisse paraître, que certains propriétaires ruinent leurs pelouses, dit le Ministère fédéral de l'Agriculture.

Bien des gens se dorment beau­coup de peine au printemps pour engraisser et rouler leur pelouse, et gâter ensuite leur beau travail eu tondant l'herbe ras pendant tout l’été. Plus les feuilles sont petites, plus exposée sera l'herbe il la brû­lure du soleil d'été ; plus on appli­que d'engrais, plus il faut d’eau ; et il s’ensuit que les mauvaises herbes auront plus, de faeüité à empiéter sur la pelouse.

Les couteaux de la tondeuse ne devraient pas venir à plus d'un pouce et demi à deux pouces de la terre sauf dans le cas des agrostl- des rampantes qu’on emploie rare­ment du re^te sur les pelouses de jardins. On doit tondre fréquem­ment et laisser l’herbe tondue sur la pelouse ou elle constituera une bonne source d’éléments nutritifs. Si on laisse trop grandir l'herbe il faut cependant enlever l'herbe cou­pée, car. si on la laissait étalée sur la pelouse, elle pourrait étouffer les racines et laisser des plaques dénu­dées.

L arrosage est utile au cours des chaleurs de l’été. Un bon détrem­page une fois la semaine est plus utile qu’un arrosage léger effectué tous les deux soirs. L'arrosage de- trait se continuer jusqu’à ce que le sol soit complètement humide à une profondeur de quatre pouces.

Il ne faut pas trop se fier à la mémoire

La lignée exacte ne peut s'établir que par la tenue d'un registre, si l'on veut être bien sûr de l'identité des bestiaux, n est clair, dit un communiqué d'Ottawa, que si l'i­dentité d'un animal n’est pas éta­blie avec précision, tous les ren­seignements de ce genre sont sujets à caution. Les anciens éleveurs gar­daient sans doute dans leur mé­moire un registre complet de leurs petits troupeaux. Plus tard un grand nombre commencèrent à te­nir un véritable registre du trou­peau, puis ce registre a été confié à une personne du livre généalogi­que de toute la race dans un pays On a vite compris que la mémoire du propriétaire ne suffisait pas, de sorte que la couleur de l'animal est devenue nécessaire, ainsi que son nom.

Nos surplus de vivres pour l'Europe affamée

La Fédération canadienne de l’Agriculture veut que nos surplus de vivres soient vendus à bon marché aux pays dans le besoin et que les per­tes encourues soient comblées par un fonds in­ternational établi par les membres des Nations- Unies.

Ottawa, 9. (PCp La Fédération voyé à la FAO à sa réunion annuelle canadienne de l'Agriculture veut ! l'automne prochain, utiliser les surplus de vivres des En bref le plan est celui_cl; lev grands pays producteurs, y compris pays possédant des stocks de vlvre„ le Canada pour aider a nournr les en surplus les vendent à un fonds; nations qui ont besoin de nourritu- international à un prix payé au re' ^producteur. Le fonds les vend aux

; Elle veut que les surplus de vivres | pays nécessiteux à un prix réduit et: I soient vendus à bon marché aux;ia perte est partagée par le pays [pays dans le besoin et que les pertes[producteur et le fonds international, encourues soient comblées par un ■ De cette façon, les surplus de vivres ' fonds international établi par les : seraient écoulés et les “pays ayant

[membres des Nations Unies. Elle [besoin de vivres pourraient les four- ! js-. propose de soumettre son planinir à leurs citoyens affamés à des:[ à une conférence de 10 jours à la J prix à la portée de leur bourse”. [Fédération internationale des pro- La Fédération suggère que les vi- (ducteurs agricoles qui s’ouvrira à[vres pourraient être vendus à des: iGuelph, Ontario, le 31 mai. [pays dans le besoin à raison de la! La Fédération a dit dans une: moitié du prix d’achat ou de quelque |[ déclaration hier soir que le plan ! autre réduction convenue, est “une solution partielle au vieux La conférence de la Fédération problème des surplus de vivres dans : internationale des producteurs agri-l une hémisphère et de la famine dans ! coles, où le plan sera présenté, l'autre. De plus, il pourrait aider [comptera des délégués de quelque1 le Canada à disposer “d'embarras- j vingt pays. Avant* la conférence, • sants surplus de vivres”. quelques-uns d’entre eux accompli-

Les surplus énumérés par la Fé- ront une tournée des provinces Ma- dération sont le lait en poudre et ritimes et du Québec, commençant le lait évaporé, le miel, les fèvesjle 23 mai à Halifax.déshydratées, et les vivres en con- ---------------— —serve, tels que le jus de tomate et .. ,'Vf p.,„ ». w.uvt pa. J1"1 arrestationsfédération Internationale. 11 sera en- Seulement huit arrestations ont :

s été opérées en fin de semaine parj les agents de la police municipale, i Un individu a été appréhendé pourj

[ avovir conduit son automobile en état d’ivresse. Un autre®a été arrê­té pour s'être emparé d'une auto- mobiie sans permission et avoir

[conduit sans plaques provinciales, [Le premier a piaiefé “non coupable” jet a été libéré moyennant un eau- Itionnement de $125, Le second a [plaidé coupable et il recevra sa sen­tence d’ici quelques jours.

Achats de la Grande-BretagneOttawa. 9 (PC) Le t. h. C.-D. Howe, ministre ranadien du

Commerce, a annoncé aujourd'hui que les Britanniques se propo­sent d'acheter au Canada pour $25,000,000 de bois de charpente, de saumon en boîte, de farine, de pommes et de pulpe de fruits. Le ministre vient d'arriver d'un voyage au Royaume-Uni. II a précisé à une conférence de presse que le Royaume-Uni se propose de

faire ces achats supplémentaires si l'on peut s'entendre sur les prix. H. Howe ajoutait: "J'ai dit an Royaume-Uni qu’il n’y avait pas lieu de douter que les producteurs canadiens puissent ne pas se montrer à la hauteur de la compétition, d'ou quelle vienne". Ces achats comprennent de 300 à 400.000 caisses de saumon en boite ($7 à $8 millions) : 400,000 tonnes de farine de blé de plus; une certaine quantité de pommes de la Nouvelle-Ecosse; une petite quantité de pulpe de fruits: la valeur totale de ces derniers pro­duits représente entre $7 et $8 millions; le bois de la Colombie ab­sorbera $10.000.000. Les achats seront faits directement par le gouvernement anglais.

Délégué en Angleterre

M Pierre Labrecque. agronome, ichef du service de l'Industrie ani­male, a été nommé par l'honorable Laurent Barré, ministre de l'Agri- [cultere, pour représenter la provin-1

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UN SERMON A L’ELECTRICiTE : George E. Speakc. de l'Institul scientifique Moody, lance des éclairs par le bout de ses doigts, au cours d’un sermon qu’il prononçait devant les délégués à une con­vention de la société Christian Endeavor, à Long Beach, Californie. Pour réussir cel exploit. Speake a fait passer un million de volts à haute fréquence au travers son corps. (International News)

[Deuil au Révérend Père Magella O.F.M.

Taschereau, Abitibi. (DNC) Le Révérend Père Magella o.f.m., de

[l’Ordre des Capucins de Montréal.! vient d’être plongé dans le deuil par la mort de son oncle, M. Alindor

sBeaudet, décédé à l’hôpital des Vé­térans de Montréal, à l’âge de 52

juns, après me longue maladie souf- jferte avec résignation.

Le défunt laisse pour pleurer sa [perte, outre son épouse, née Yvette [ Bélanger, et son distingué neveu ; [ses fils, Jean-Guy et André, de ÎRouyn; son père: M. Lévis Beaudet, de Taschereau (Abitibi): ses frères:

[Camille et Orner, de Taschereau,| Georges, de Victoriaville; sa soeur. [Mlle Beaudet, de Taschereau: ses j belles-soeurs, Mmes Camille et Geor- [ges Beaudet: ses beaux-frères: M.[ Azade Poirier, de Lac-Edouard. M.

Ü | et Mme Lionel Bélanger, M. Gaston [Bélanger, M. et Mme O. Lemire, de [Rouyn; M. et Mme G, Langeller, de [Montréal: Mmes Norman Hill, de [ Toronto; ses oncles et tantes: M. [

[Hector Bergeron, d’Amos; Mmesj i Amédée et Donat Bergeron, de Tas- ] chereau. H laisse en outre un j grand nombre de cousins et de ne-

[ veux, parmi lesquels nous remar- [ quons lr Soeur Ste-Aimée des Anges j

j des SS, Je la Ste-Famille de Mont­réal.

M. le Chanoine E. Couture, curéj de Taschereau, a fait la levée du

[corps et chanté la messe de requiem.; [assisté de M. l’abbé Labrecque. de [Montréal, comme diacre et du Frère [Piaillas, des Frères du Sacré-Coeur! [comme sous-diacre.! Le. paroissiens de Taschereau [prient la famille en deuil d’agréer! l’expression de leurs plus vives con­doléances.

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Jeune Commerce de Shawinigan

Shawinigan (DNC La Chambre de Commerce des Jeunes de Shawini- nigan tiendra ses élections annuel­les le 30 mai prochain, conformé­ment à la décision prise mardi soir le 26 avr^ par l’assemblée générale de la Chambre au cours du ban­quet de la Chambre tenu à l’hôtel Royal sous la présidence de M. Emillen Verrette, président de la ligue de quilles et de Paul-Emile Bélanger, président de la chambre. M. Bélanger a présidé à l’assemblée générale.

L’assemblée générale a aussi pro­cédé au choix des trois membres du comité de nomination qui seront MM. Laurent Doyon, Roger Laper- rière et Jean Clément. Us se réu­niront avec les anciens présidents encore actifs de la Chambre pour choisir le président du comité qui sera chargé de choisir les 22, meil­leurs condidats proposés au poste de directeurs de la Chambre. Ces 22 candidats seront, passés au scru­tin secret à l’assemblée du 30 mai.

ce de Quebec dans une délégation [canadienne qui doit quitter bientôt Ottawa pour Londres. Les délégués [représentant les diverses provin­ces, sont sous la direction du

[Dr W.-K. Neatby, directeur du [service scientifique au ministère de i l’Agriculture fédéral, et Ils vont en [Angleterre pour répondre â une in- ! citation de Thon. Tom Williams, [ministre de l’Agriculture dans le [ gouvernement Attlec.[ Le but du voyage est de faire con- I naître aux spécialistes canadiens les techniques nouvelles et les réaltsa-

j lions anglaises non seulement en [Ecosse mais auusl en Irlande du [nord. Il y a quelques jours, M. La- jbrecque a été l’objet d’une démons- !tration de la part de ses confrères [du ministère de l’Agriculture. On lui a présenté une malle de voyage.

CREDIT FONCIER FRANCO CANADIEN

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loi ru nouvel»;

tloover

POUR AIDER LES JUIFS : Le président dr l’Etat d’Israël, Chaim Weizman, r! son épouse, trancherl un gâteau de fête oesant 450 livres

! et haut de sept pieds, au cours d'une eéréinonie pour marquer l'anni­versaire de Weizman. La fête s'est déroulée à New-York en présence de 160 chefs juifs venus de toutes les parties des Etats-Unis et qui ont présenté au président d’Israël un chèque au montant de $15,526,920. qui n’est qu'une petite partie de la somme de $250 millions que les Juifs veulent obtenir pour aider à l'établissement des leurs en Pales­tine. (International News)

Un témoignage le, du Richelieu Trois-Rivières et Louis Filteau, agent de Stansfield Limité. Le conférencier a été pré-

Le 125e auniversaire de l'entrée sente par M. Harry Désaulniers et de Mère Mallet au noviciat de l'Hô- remercié par M. le commandeur pital Général de Québec a été cé-jo.-E. Ladouceur.lébié samedi par les enfants des ........ . ........... .maisons des RR. Soeurs de la Cha- [rité de Québec. On sait que

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c’est cette novice de 1824 qui devait présider en 1849 â l'établissement des Soeurs de la Charité â Quebec.

La célébration a débute par une messe en la chapelle de la maison- mère. M. l'abbé Joseph Boutin, cure de Notre-Dame des Victoires, a cé­lébré la messe en l’absence de Mgr Eugène-C. Laflamme, P.A., V.F., cu­ré de Notre-Dame, actuellement re­tenu â l’hôpital. Après la messe. M. l’abbé Boutin a présidé un rallie­ment d'élèves en la grande salle de) ila communauté. M. l’abbé Paul-E'-: mile Laliberté, aumônier de la mal-; son, et M. i'abbé Ernest Martel, cu-

jré de St-Jean-Baptiste, assistaient! aussi à cette démonstration.

Trois chapelets tires au sort fu­rent attribués a Mlles Colette Le- Bel, du couvent Mallet, Thérèse! Masson, du couvent St-Jean-Bap-j liste, et Denise Olivier, de Notre-!

iDame des Victoires. La T. R. Mère! supérieure générale remit ensuite a chacune des élèves une enveloppe-! souvenir de cette journée de tète, !

Une autre cérémonie d'enlants eut, lieu dans l'a près-midi. Le R. Père

[Emile Fournier, supérieur du Pa­tronage de la Côte d’Abranam. ce-j

|!ébra le salut du Saint Sacrement [ [La cérémonie fut suivi d’un goûter, Lr R. Mère Générale fit distribuer à chacun des enfants à l’issue de ta réunion un chapelet que les petits1 conserveront en souvenir de la lete.

Club Richelieu de Shawinigan

Shawinigan. (DNC) ‘'L'assurance; des crédits a l’exportation est d'un [ grand secours pour ce qui a trait au financcmnu des exportations! par l'intermédiaire des banques" a dit récemment M. Benoit. Duchesne, ! gérant de la division de Montréal j de la Société des crédite à l’expor­tation, membre du Richelieu Mont- réal, au cours d'une causerie qu’il1 a prononcée au déjeuner-causerie i hebdomadaire du Club Richelieu ! Shawinigan.

Ce déjeuner était tenu à î'hôtei • Royal sous la présidence de M. [ Germain Carbonneau. Le Club avait [ comme invités MM Raymond Boy-1

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LE SOLEIL, Québec, mardi 10 mai 1949

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JIMMYDORSEY

LA CANNE A POMMEAU D’OR: Rérant <lu port àt Québfr, M. LOUIS BEAITORV, a remishier midi la traditionnelle canne à pommeau d’or au capitaine BETTY LYON, du "Fort llighfirld’’. à qui revient l’honneur d’avoir, cette saison, pour y prendre une cargaison, conduit en notre port le premier navire venant de l’autre côté de l’Atlantique. On volt ici M. ROGER VEZINA. de la Chambre, M. PAUL-H. PLAMONDON, président de la Chambre de Commerce, le Capt. J.-E. FORTIN, M. YVES POIS­SON, du Jeune Commerce; M. LOUIS BEAUDRY, qui présente le canne au capitaine BERTYF LYON; M. F. BARROW, agent de la compagnie Cunard, M. H.-G. DE-GUISE de la Canadian Import Co. Ltd.; M. ALBERT-T. BAKER, chef des arrimeurs; M. W.-S. RUSSELL, gardien du port. Mr LEO-K. LAFLAM- MFE, secrétaire de la Commission du Port. 'Photo du "Soleil ”)

2 déclarations sur la grève

Le président de la C.T.C.C.. M. Gé­rard Picard. a déclaré hier que la grève va se continuer jus­qu’au bout en dépit de la pression exercée par la compagnie et ies agissement de la Sûreté provinciale. De son côté, M. George Foster, vice- président et gérant de la mine Johns-Manville a précisé que plus de 700 ouvriers sont au travail et que l'on reçoit chaque jour 50 demandes d’emplois. La production a repris vendredi dernier après une inter­ruption d une journée.

“Les actes de violence des grévis­tes, jeudi dernier, étaient inutiles et Injustifiés; ils étaient de mauvais alet-'fet ont mis la vie humaine en danger; cela n’a rien donné aux gré­vistes. Pourquoi des gens raisonna­bles ne peuvent-ils pas s’assoir à une table et régler ce différend? C’est là le moyen d’éviter des diffi­cultés, des souffrances et des récri­minations futiles. Il est navrant de réaliser que les employés et notre municipalité ont perdu plus de $1,~ 300.000 à cause de cet arrêt de Ira- ; vail qui n’a rien à voir au bien-j être de nos employés", a commence j M. Faster.

M. PICARD

La grève de l’industrie de l’amian­te prend une tournure tragique, et pendant que la matraque tourne au- dessus des tètes des mineurs, il est de mon devoir d’élever la voix pour avertir sérieusement la compagnie Johns-Manvllle. le procureur général de la province et la police provincia­le qu’ils doivent cesser d’appliquer onjointement des méthodes de pro­

vocation qui répugnent à la cons­cience populaire. La C. T. C. C. ne négligera rien pour mettre à jour, en temps et lieu, ce qui se passe.

La bousculade des événements, toutefois, semble avoir distrait l’o­pinion publique, et les demandes des mineurs syndiqués de l’industrie de Tamiante ont été, par la force des choses, relégués au second rang.

Précisons de nouveau de quoi il s'agit. L’industrie de l'amiante pose un problème grave d’hygiène indus­trielle et de santé publique dans les régions intéressées. La poussière d'a­miante respirée par la population expose celle-ci à l'amiantose et à ses suites généralement mortelles. Des statistiques officielles sont ré­vélatrices à ce sujet. Et les mineurs connaissent à peu près tous des vic­times de cette poussière. Les mi­neurs désirent améliorer cette si­tuation et demandent aux compa­gnies d'accepter au moins le principe de l’élimination des poussières meurtrières. Cette demande des mi­neurs syndiqués n’est pourtant pas exagérée. Lors des négociations,! avant la grève, la compagnie John-j Manville a donné le ton en refu-' sant catégoriquement d'accepter une) disposition relative à l’èllminatioh des poussières et le gouvernement provincial, au cours de la session, a fait savoir que le trust de l’amian­te avait beaucoup de mérite et qu’il se préoccupait de l'hygiène Indus­trielle d'une façon satisfaisante. Et la poussière d'amiante a continué ses ravages. La grève a posé le pro­blème de la santé des mineurs et de leur familles devant l'opinion publi­que.

Les autres demandes importantes de la Fédération et des Syndicats de l'amiante sont les suivantes :

a) Augmentation générale de ,151 sous l’heure ;

N.B. —- La compagnie Johns- Manville a accordé récemment une augmentation de ,10 sous l’heure aux briseurs de grève (scabs'.

b) Rétroactivité des augmenta­tions à compter du 1er janvier 1949.

c) Sécurité syndicale ; les sydi- ques demandent que la formule Rand qui a été acceptée par les au­tres compagnies s'appliquent aussi à la Johns-Manvllle, compagnie qui l'a refusée.

rt> Plan de sécurité sociale con-1 tributoire en cas d'accident, maladie, ! hospitalisation

e) Les syndiquas réclament éga- i lement des jours de fêtes chômés et payés, une amélioration du système de vacances payées, etc. . .

La compagnie Johns-Manvllle, au nom du trust de l'amiante, veut maintenant convaincre le peuple que les syndicats s’attaquent, avec leurs demandes, à la propriété privée et à la srtucture sociale actuelle. La compagnie Johns-Manvllle, par la voix de son président américain, M. Lewis Brown, ou par son écho cana­dien. M. Foster, ne dit pas la vérité.

Il est d'ailleurs asse; scandaleux de constater qu'une ressource na­turelle de la province de Québec, l'amiante, est exploitée surtout par des capitalistes américains, et que ces capitalistes, de façon générale traitent beaucoup mieux leur ou­vriers américains que leurs ouvriers québécois. C'est Inconcevable. Des capitalistes étrangers s’enrichissent à nos dépens, maltraitent notre po­pulation ouvrière, et, dans leur pays participent à l’amélioration des con­ditions de travail et de vie des ou­vriers. Cela n’est pas de nature à

Sur le filWetaskiwin, Alberta, 9 (PC) —

Un mécanicien, un chauffeur de locomotive et un autre homme ont perdu la vie et trois autres employés ainsi que deux passagers ont été bles­sés dans le déraillement de bon­ne heure aujourd'hui du train du Pacifique Canadien qui va d'Edmonton à Winnipeg. Les deux victimes n'ont eu la moin­dre chance d’échapper à la mort quand la locomotive a quitté la voie dans une courbe accentuée à six milles à l'est de Wetaski­win ; le rail a été brisé sur plu­sieurs centaines de pieds.

Lake Success, 9 (AFP) — Le monde arabe et musulman ac­cepte l’internationalisation de Jérusalem, a déclaré aujourd'hui M. Charles Malik, delegué du Li­ban, devant la commission poli­tique spéciale de l'assemblée gé­nérale qui examine la question de l'admission d’Israël à l’ONU,

Deventer, Hollande, 9 (Reuters) La police a dispersé aujour­d'hui plusieurs attroupements communistes qui protestaient contre l’arrivée d'équipes de la d. r. a. britannique qui vien­nent participer à l’entrainement ries unités de défense contre avions de l'Armée hollandaise. On a procédé à neuf arresta­tions. “Nous ne voulons pas des Anglais", volt-on sur des pan­cartes collées aux murs.

Londres. 9 — (P.A.) — Un porte-parole du Foreign Office a dit aujourd'hui que la Gran­de-Bretagne, la France et les Etats-Unis s’entretiendront à Paris à la fin de la semaine sur leur plan d’organisation fu­ture de l'Allemagne. Ces entre­tiens seront les préliminaires de ceux qui s’ouvriront le 23 mai entre les ministres des Affaires étrangères des quatre grande» puissances. Les puissances oc­cidentales veulent offrir un front uni avant de ommeneer à négocier avec la Russie sovié­tique.

Monaco, 9 (P.A. — Le prince Louis II de Monaco est décédé aujourd'hui. Il était âge de 78 ans ; il y a deux jours à peine, Il confiait les rênes du pouvoir à son petit-fils, le prince Ranicr. Le prince Louis II a ré­gné sur cette petite principauté depuis I92Î, alors qu’il avait suc­cédé à son père le prince Albert 1er.

Madame Ange aurait liquidé

son épouxSarnia, Ontario, 9. (PC).

Mme Jean Mary Ange, 37 ans et mère de trois enfants, a été accusée aujourd'hui du meurtre de son époux. M. Thomas Ange, L'homme est mort le corps troué de trois balles de revol­ver. Mme Ange repose à l'hô­pital sous la garde de la poli­ce ; elle souffre d’un violent choc nerveux. M. Thomas Ange était le propriétaire de l’Hô­tel Ohio, à I.ambton. Ontario. Il est mort chez lui à la suite d'une vive controverse avec son épousé. Il était âgé de 39 ans. Mme Ange et Mme Marian Grant ont emprunté l'automo­bile de M. Jack Reddick, un pensionnaire, pour se rendre à une représentation de cinéma à Marine City. Michigan. A leur retour, M. Thomas Ange a frappé son épouse au visage devant plusieurs personnes, avant de rentrer chez lui avec elle. Des cris se firent enten­dre et Mme Ange sortit du chalet où elle habitait et rentra en cou­rant dans l'hôtel. M. Reddick se précipita dans le rhaiet et découvrit le cadavre sur le plancher.

Mme Ange était revêtue d'un pyjama quand elle entra dans l’hôtel et dit à M. Victor Dou­glas, un employé : "J'ai tiré sur lui".

"J'étais assis dans la salle d’entrée de l'hôtel, vers 10 heu­res 30 hier soir quand je vis revenir les deux femmes. Je vis que Mme Grant était boule­versée et lui conseillai de mon­ter se reposer. Elle me racon­ta que M. Ange avait frappé son épouse devant nombre de per­sonnes au débarcadère Robert’s.

grandir le prestige des Etats-Unis au Canada.

On n’insistera jamais assez sur .a conduite Inqualifiable du trust de l’amiante dans la province de Qué­bec. En dépit de tout, la grève con­tinue et se poursuivra jusqu'à ce que les mineurs aient obtenu justice.

un point de traversée de la ri­vière. Je me précipitai vers le chalet qu’and j’entendis des cris”, a relaté M. Reddick. Quand il arriva dans le salon de la demeure de M. Ange, le

cadavre gisait sur le parquet et le fils de la victime. Tommy. 13 ans, était penché sur lui ; l'enfant criait.

Au Capitol

Glenn Ford et Terry Moore tilft sont vedettes ensemble dans le film en Technicolor “The Return of Octo­ber” qui est présentement à l'affi­che jusqu’à jeudi au soir avec une autre attraction.

Aujour-d’haiFRANÇAIS

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TE ROMAN DE MILDRED PIERCE”ABBOTT A COSTELLO

"THE NOOSE HANOS HI6H”Aussi 'The SUPERMAN”, épis. 7

populaire chef d’orchestre améri­cain, qui sera présenté, «i Québec pour la première fois, ce soir à La Tour.

Au Cambrai

Tom Conway, est à couteaux lires javec Steve Brodie dans “I Cheated | Ithe Law", le second film à l’affiche! Idu Capitol à partir d'aujourd'hui.

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• Jungle Patrol" t70 mln.i a 2.20, 4.50.7.20, 9.50 hrs.

CINEMA DE PARIS : — Actualité; 12.30 hrs. Je suis avec toi: 12.40, 3.43, 6 46. ; 9.49hrs. Les enfants nous regardent : 2.01. 5.04, 8.20hra. Continuel tous les

j Jours.! CARTIER : — Nouvelles : 1.10, 4.30, 7.50.

hr». Symphony in Swing: 1.20. 4.45,8 05hrr,. Angel on the Amazone : 1 35.15.00. ê,20hrs. Larceny. 3 00, 8.25, 9.45 hrs. Fin: ll.lShrs. Continuel tous les1 Jours.

CAMBRAI : — La blonde incendiaire :2.30. 4.50. 6.55. 9.25. ainsi que sujets, courts. Continuel tous les Jours.

: CLASSIC : — Le cygne noir : 1.30, 3.25:5.20. 7.30. 8,2Chrs. Ainsi que sujets ;

! courts. Continuel tous les Jours.EMPIRE : — Nouvelles: 1.00, 3.45. .35, 9.25

i hrs. The Return of October: 1.10, 4.00, ; 6.50. 9.40hrs. Spring Festival: 2.40, 5.30, : 8.20hrs. Lone Wolf and his Lady: 2.50, J 5 35. 8.25hr'. Continuel tous les Jours de 1.00 a 11.15.

FRANÇAIS : — The Superman «7e épls.):iI. 10. 4.37, 8.00hrs. The Noose Hangs ; High. 1 27. 6.45. 10.12hrs. Le roman de Mildred Pierce • 2.52. 8.25 hrs.

IMPERIAL : — Du sang sur le soleil :12.30, 3.42. 6.30. 9.42hrs. Sujets courts: I2.00. 8.00hrs. Coeur captif 2.04. 8.04 hrs.

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PKIALLE : — Jacques et Jacotte: 12 30. j3.13, 5.56, 8.39hrs. La grande Maguet:1.35. 4.18. 7.01. 9.44hrs. Actualitésfrançaises. 3.03. 5.46, 8.23hrt Conti­nuel tous les Jours.

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LE SOLEIL, Quebec, mardi 10 mai 1949 11 5UAZARE

Les ateliers de Germain Lépine incendiésLe feu, éclatant à l’heure du midi, ra­vage une vaste cons­truction de trois éta­ges comprenant la manufacture de cer­cueils de la firme, rue St-Vallier — For­te quantité de ma­tériel sauvée par les employés et des ci­toyens.

Les ateliers de la maison Ger­main Lépine Ltee, vaste entreprise de pompes funèbres située rue St- Vallier et comptant plus d'un siècle d existence, ont été ravagés par les flammes, hier. Le feu a fait rage dans une construction de trois étages en forme de "L”, consumant ainsi la manufacture de cercueils.1 d articles funéraires et de boites et causant ries dommages que l'on esti­mait hier midi à près de $200.000. Fort heureusement les employés de la maison Lépine et nombre de ci­toyens ont réussi à sauver les che-: vaux, les corbillards, les véhicules automobiles, tout l'équipement de la! salle d'embaumement, les attelages et une forte quantité de matériel qui * se trouvait, au premier étage. deuxième et troisième étages de la bâtisse ont été entièrement consu­més à l'intérieur avec tout ce qu'üs renfermaient. _

Les bureaux principaux et les lo- ! fl prroents de M. Jules-H. Lépine. pré­sident de la compagnie et de ses fils ont été épargnés bien qu'ils ! aient subi des dégâts par la fumée.Les bureaux et les logements sont | aitués dans un immeuble complète­ment séparé de la manufacture in- ! cendiée.

Cet incendie affecte plus parti-1 cuiièrement le président de la fir­me. M. Jules-H. Lépine. qui avait ce: matin même, la douleur d’inhumer j un de ses frères, M. Alphonse Lépi­ne. décédé à l'âge de 76 ans.

La cause de cet incendie n'est pas encore définitivement établie, j bien que i on soit porté à croire : que le feu a éclaté dans la sec- ! lion où se trouve la chaufferie.M. Léopold Lépine. secrétaire-tré­sorier de la compagnie, nous dé­clarait. ce midi, que les flammes i sç sont propagées avec une rapi­dité extraordinaire. Tout le per- ! sonnel de la maison Lépine était : alors au diner. MM. Lépine fu­rent les premiers à donner l'alerte et â s'élancer vers les établissîb- ments en feu afin de sauver les chevaux et tout le matériel pos­sible. M. Léopold Lépine en a profité pour rendre hommage au travail des employés et de nom­breux citoyens qui ont bien voulu donner leur aide pour sauver les chevaux, les corbillards et le^ au­tomobiles.

Au début de l'incendie les flam­mes ont pris des proportions telles que l'on a craint fortement pour les établissements Claire Fontaine Ltee. situés sur la falaise, juste au-dessus de la manufacture Ger­main Lépine Liée.

Trois appels ont, été donnés à la brigade pour cet incendie qui a tenu

4m wm

Parties de cartesUne partie de cartes avait lieu

récemment, à la salle paroissiale de St-Lazare. organisée par les Da­mes de Ste-Anne, au profit des fê­tes du Centenaire de la paroisse. A la demande de Mme A. Labonté, présidente des Dames de Stc-An- ne,' Mlle Madeleine Labrecque était maître de cérémonie à cette soi­rée qui remporta un véritable suc­cès.Na issanoe

Marie - Gervaise - Louise - Pau­line. fille de M et Mme Roland Roy «L Bilodeau i. Pai rain et mar­raine. M. et Mme Gérard Laro- cbelle. Porteuse, Mlle Lucienne Bi­lodeau.Services

Le 23 avril, avail lieu le servi­ce anniversaire rie feu M. Odiion Paioine.

—Le 26, le service anniversaire de feu Mme Honoré Ruel.

—Le 27. le service anniversaire de feu M. Joseph Fradette.Va-ct-vfent

—Le R. F. Hermel. MM. et Mmes . Jos. Laverdière, Clément Laverdiè­re. de Ste-Claire et Armand Lan- gevin. de Québec. MM. Fernand Laverdière, de St-Malachie. et Gé-

! rard Laverdière ainsi que Mlle

Changemenls è la Price Brothers

Rimouski. tDNC' Dimportanifl changements viennent d'être effec­tués â des postes de commande des deux moulins de la Compagnie Price. Les opérations forestière» de ces deux moulins passent souî la même direction, celle de M. E.- H. Gunter qui aura son bureau â Rimouski. M Alex Murray, de Ri- mouski. prendra la direction des deux moulins avec bureau à Ri­mouski. Il aura comme surinten­dant â Price, M. Walter Burgess, de Rimouski, tandis que M. Er­nest Paradis, de Price, remplira les mêmes fonctions au moulin de Rimouski. M. C.-H. Christensen demeure gérant général des trois moulins de Rimouski. Price et Ma­ta ne.

Jeannine Goulet, de Ste-Claire, étaient tous de passage â St-Laza­re à l'occasion de Pâques.

—M. l'abbé G. Bilodeau, curé de St-Raymnnd. était récemment de passage à St-Lazare.

—Mme Odüon Patoine. de passa­ge â Québec, dernièrement.

—M. et Mme B Vallée, mar­chand et Mlle Julienne Vallée, de retour de Montréal.

ss. cH

m

tChronique de la radio

Ecoulez, aujourdhui Ecoulez, demainMAR 1»I, 10 MAI

l'MMi CKCY—Arrr un urain dr lï.OO TURC—La voix dans !«• rrnt LM.% CBV-CBF—R«r Primi|ialp irf.nO ru RC—Mélodies populaires l'MO CBV-CBF—Le Réveil rural 1M5 CH fit—Rendez-vous romantique

1.00 CBY-CBK—Quelle** nouvelles ? M5 CfIRC—Siesle musicale l.:«« CBV-CBF—Tante Lucie l.:iO CKCY—VnvHRf en miiftiqtie l.:tO CHRC—Causerie 1.15 CBV-CBF—le quart-d'heure de

tent eTOO CBV-CBF—tirande-Soeur '.’.OU CKCY—Musique semi-rlassique

I.’» CBV-CBF—.Maman Jeanne

MFRCRFOI, Il MAI

*.00 ( pi—Opéra de quat'smis K l.* (TlRC—prière du matin h 15 CBV-l fil—Elévations m» tut inales F..'’It CBV—-Musique sur demande K :u> CHRC—Club du coucou fur» CBV-CBF—Déjeuner en musique O.ttO C'KCV—Si vous rhanle0.041 CBV-CBI—Le p'tit train du matin

Ifl.OO CBV-CBF—Sur nos ondes 10.15 CHV-CBF—Le litre .s’il vous plait H» 15 CHRC—Pour les dames 10.MO CBV-CBF—Les drames de notre 10.45 CBV-CBF—Qu’est-ce .qui ne cas pas

tem p.s11.00 ( KCV—Ay pays du sourire ^11.00 CBV-C BF—Francine Lousam

?.MO CBV-CBF—Courrier de Radio-Parents it.no CHRC—Courrier de l’ante Monique

péché

SUR LE THEATRE D'UN SINISTRE INCENDIE: > -es scènes ci-dessus furent prises hier, au moment ou un violent Incendie transformait la fabrique de cercueils de la maison Germain Lépine. Limitée, en un ardent brasier. La photo de gauche en haut fait assister au début de l’incendie, alors que la fumée et des jets de flammes jaillissaient par le toit. Le feu a pris naissance aux étages supé­rieurs de l'édifier, situe en arrière de l’immeuble qui abrite les bureaux, rue .St-Vallier, et la remise des corbillards. La photo de droite montre les vastes établissements qui disparaissent à demi dans un épais nuage de fumée. Enfin, en bas. des employés de la maison et des citoyens sortent un corbillard pour le conduire en lieu sûr. Les fabriques de cercueils, d'objets funéraires et de boites sont pratiquement dé- truites. La maison perd également uçe quantité appréciable de matériaux et d’outillage. Tout l’effectif de la brigade dt‘s incendies fut appelée sur les lieux par trois alarmes successives. 'Photos du '‘Soleil”)

A COURVILLEFiançailles

Au dîner de Pâques, ont eu heu l,es fiftnçailles de Mlle Claire Vé- zina, fille de M. et Mme Georges-

les pompiers au travail pendant phi- 1865. Le feu se propagea ensuite sieurs heures. Une vingtaine de aux parties érigées en 1885 et en jets d'eau ont été installés et plu- 1914. Tout le premier étage de cet- sieurs pompes â haute pression ont te bâtisse servait à l’entreprise fu- été mises en fonction. Des torrents nérairè elle-même et il logeait la d'eau n'ont pas tardé à être déver- salle d'embaumement, les garages,sés sur le brasier. La Limée très les salles de services et les écu- Edoùar Vézina. de Courville, â M.dense qui se dégageait du braser ries. Les deux étages supérieurs: Léopold Marquis, fils de M. et Mme;Puis Quelque temps déjà, verront rendait par contre le travail des;étalent ceux de la manufacture. Une; oiiikm Marquis de Montmagny. 'bientôt leur réalisation. Ainsi, on hommes de la brigade assez diffici-; vingtaine de personnes y trouvaient; félicitations * ' ‘continuera, sur la rue Vachon. lele. Un moment donné, la fumée,du travail. A ces étages se trou-’ " ' ' ’chemin qui conduit, au cimetière,était tellement âcre que les pom- vaient environ 150 cercueils prêts - “ *n* dt.m#r,pî* - ... soit des travaux à être effectuéspiers ont dû se retirer momentané- à livrer et quelque 150 autres en .f?- e1,’ Mme PmhPPe Laper: mre ,ur qUeiqUes Cer/aVies de pieds.

viendront au cours de la belle sai­son .

On est prié de placer les déchets à la portée du camion de la ville qui ramassera le tout.Travaux

Des travaux, qu'on projetait de-

3.00 CHRC—Au carrefour de la bonne humeur

5.IH» CHV-CBF—I.Câ chefs-d'o uTre de musique

4.041 < KCN—Radio Sarre-( «eur1.00 ( liRC—Moment fantaisiste4.MO CBV-CBF—Notre pensée aut malade: •1.15 CKCV—On dit ci. on dit ç»4.510 4 BV-CBF — Récital de CJit1e«i Baillar-

néon, violoniste4.30 CKCV—Les Maestros populaires4.15 CBV -CBF—I.’heure du the5.00 CKCV—La voix d'HnlIwtnnd5.00 CHRC—Valses et tangos5.15 CHRC—-Colette et Roland 5.15 CKCV—V« vous chante5.15 CBV-CBI—Chansonnettes 5.45 CFIRC—Vincent Lopez0.00 4 BV -CBF—Y van l’intrépide 0.05 C HRC—Musique a la carte 0.30 4 BV-CBF—L’actualité 0.45 CHRC—Dites-mui

| 6.45 CBV-CBF—En dînant ; *i.l>0 CKCV—Recital conjoint

;.4H» CBV -CBF—I.'n homme «".00 CHRC—4 uquetel1.15 CfiV-f BK —Métropole“.30 CBV-CBF—Rolande et Robert '..30 CKCV—Zingo

: *..30 CHRC—Americana *..45 CBV-CBI—Propos de Fred Barry

! T.45 CHRC—Le diable s’en mêle K.(NI CBV-CBF—La ronde du bonheur.

\edrtte Lucille Dumont x.oo 4 1IR4—.1 ulieite Béliveau 0.30 4 KCV—Cavalcade canadiene R.30 CBV-CBF—’La vie qui va . non

veau roman radiophonique de mada me Louise Loranjter-Simard

R.30 CHRC—l a mine d nr9.00 CHV-CBF—I n vedette : Colette Vie

rola, mezz.o-.soprano et Gaston Ga gnon, basse

9.(Nt (Tint—Tentez votre chance9.30 CKCV—Musique de danse

! 9.30 CHRC—Ralliement du rire 9.30 ( BV-CBF—Causerie politique * *

(parti prog.-conservateur) i I0.4NI CHRC—"V’a du soleil"10.15 CBV-CBF—L’I'rbanisme. Conférén

cier • Jean Cimon 10.30 4 BV-CBF—Marco Polo. d’Alain

Grandbois. L’interprèle : Jacques Au Cf

10.30 CKCV—Blue SUies 10.45 CBV-CBI—Félix Leclerc 10.45 CHRC—Club Rendez vous 11.00 CBF—Adagio11.3(1 CBV-CBI—Drehestre dr danse

En

Salle paroissiale à Rimouski

ment pour ne pas être asphyxiés. préparation. Les ouvriers qui tra-: célébreront samedi, ,e 14 mai, Jeur i L-ancien chemin sera condamné.K 3oe anniversaire de mariage. Une :

11.15 CBV-CBI—La métairie Rancourt11.15 CKCV—Au petit bonheur

la U.30 CHRC—Radio Almnnarht .’.iMi CBV-CBF'—JeuiiPNse dorée

113.00 CKC V—Avec un train de selIMO CHRC—Votre quart-d’heurr musical I .*.30 CBV-CBF—Le réveil rural IM5 CHRC—Keudez-voUH romaniiqur>

l.<M» CBV’-CBF—Quelles nouvelle* ?1.15 CHRC—Sieste musicale 1.30 CBV-CBF—Tante Lucie 1.30 CKCV—Voyage en musique1.30 ('IlRC—Chant du mondeI 45 CBV-CBI—Le théâtre de la chan­

sonnette vTOO CBV-CBI'—Grande Soeur TOO CKCV—Musique semi-classique T4.V CBV-CBF—.Maman Jeanne T JO ( BV-CBF'—Lettre a une Canadienne 3.041 CHRC—Carrefour de la bonne hu­

meur3.00 CBV-CEF—Les chefs-d'oeuvre de

la musique •1.00 CBV-CBF—Notre pensée ans mala­

desI tu» CKC Y—Radio-Sat ré-Coeur 1.15 ( BV-CBF—Causerie politique (Cré­

dit social).4.IM) CHR4—Moment fantaisiste 1.15 CKCV—On dil ci. on dit r:<4.30 t BV-l’Bl —Récital de Jeanne Paré t 30 CKCV—Le* mnrslros populairesi 15 < mit—Chanta dei llei1.15 CBV-CBF—L’heure du thé

'5,(Mt CKCV—La voix d'Flolly h ood5.00 CHRC—Tante Colette5.15 dlfît—.Miroir à trois faces5.15 CHRC—Vinrent J,ope-/0.00 CBV-CDF—Y van l’intrépide 0 05 CHRC—Musique a la carte6.30 CBV-CBF—La revue de l'actualité 0.30 CHRC—Dites-moi6.43 CRV-CBF—En dînant7.00 CBV-CBF—l'n homme et von péché 7.00 CKCV—Récital conjoint*.00 CHRC—('uquetel7.15 CBV-CBF—Métropole7.30 CBV-CBF—Rolande et Robert 7.30 CHRC—Rythme et variété7.30 CKCV—Concert7.15 CBV-CBF'—Les peintres dr la chan­

son7.45 CHRC—Le diable s’en mêle X 00 CHRC—Images de Québec K.tMî CBV-CBF'—Ceux qu'on aime J*.On CKCV—Le fantôme au clavier6.30 CHRC — Voix des maîtres X.3»* CKCV—Vive la gaietéX.l'.O ('BV-CBF'—I.Vs plus belles melodies 9.4m 4 H RC—F'esCval de la valse .9.4MÎ CBV-CBF—-Rftdin-Carahln». Invité

Félix Leclerc.0.00 CKCV—Fut revue dans la rue.9.30 4 II RC—Cavalcade

10.00 CHRC—Micro-Mystère10.15 C BV -CBF'—Causerie du Comm.i nda nt

BillardHM5 CHRC—Dans l'ambiance

Radio-activités libérales

DEMAIN4li.l5à4li.3Dp.ni. !____ r . ]

Mme Tancrède Jodoinsur le réseau français de Radio-Canada

i Annonce publiée f»( payer par l’Organisation Liberale)

r

d’Albert Pratz,Les flammes ont originé dans une vaillaient dans ces ateliers ont per- ÔDe aumver&aire ue uianage. une: courville sera aussi pourvue d'un

section de la bâtisse construire en; du leurs outils personnels. La mai- ,me'ss® a action de graces sera celé-1 charnier et l'en verra à l’entretienI DI"

'tillage moderne qui a été détruit '!es'son Lépine y possédait aussi un ou-.^'f* I général

5fe“Har$”dôMit-etle

Ne s'intéressant pins à rien— perdant ses amies—-elle ne sortait i plus—toujours tropi fatiguée. Elle rroyaitl

r’était ses “nerfs” *—mais c'était ses rems—les filtres de son sang—qui en étaient la cause. Elle prit immédiatement des Pilules Dodd's pour les Reins. L'amélioration du fonction­nement de ses reins aida à faire disparaî­tre le* impuretés du sang et ( excès d'aci­dité. Fatigue, maux de reins, maux dr tête, manque d'énergie dixparurent. Les Pilule* Dodds contiennent des huiles easentielies et de* ingrédient* médicinaux qui agissent directement sur le* rein*— et aident à le* remettre en étal. Achetez des Pilules Dodd s aujourd'hui. 144.?

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Une fête de parents et d'a­mis des jubilaires a

Les quatre murs de la bâtisse; à cette occasion, jsont encore debout mais tout l’in- Itérieur a. été consumé. C'est M

du cimetière. Il n’y aura pas cette année d'entretien des lots

etc dfganisee prjv£s D'autres améliorations du i cimetière sont actuellement proje- ! tées.

Mme Lucien Bélanger, 36 ans rie Pour les grévistes Maurice Vézina, employé civil, qui Beauport est décédée récemment.] Les paroissiens se montrèrent di-

ja sonné la première alarme. En re-iEije ^jait la soeur qg m. Raymond ’ manche dernier fort symphatiques j venant de son travail et en descen-. Bélanger. ; aux grévistes de l’amiante en ver­dant 1 escalier de fer de ia cote; clinique isant à ces derniers plus de $500 à

jSt-Augustin, M. Vezma aperçut, un La clinique pour les bébés aura une collecte faite dans les limites let de flammes par une ienet.re jjeu mercredi, le il, au lieu et à de la municipalité,dont les vitres venaient de se cas- rheure ordinaires. Règlementser. Il courut avertir. Il rencontra communion generale On visitera désormais les mala-alors M. Gabriel Lépine qui courait i communiou générale des de- ! des dans les hôpitaux aux heures lui-même vers 1 avertisseur pendant mojsRj]Bs aura jjeu dimanche pro-i suivantes : salles 2 à 3 hres p. m.que ses frères s'empressaient au- (.hain. et 7 à 8 hres p. m. Chambres : 2près des établissements en feu. Visite des malades à 4 p. m. et 7 à 9 hres p. m.

L'incendie des établissements Mercredi, il y aura visite à do- i ------ -—....-—■—Germain Lépine a attiré sur les; micile des malades, lieux une fouie considérable que des Semaine du nettoyage renforts policiers ont eu de la ditti-: Un avis donné par le conseil de culte à maintenir. La circulation tut. ville mande que pendant cettefortement ralentie et devint diffi-] grande semaine du nettoyage, on j hautement disputées au cours d'une elle dans St-Roch. Pendant, une ; nettoie les alentours des propriétés .vente pour la construction d'un bas-

! partie de l'après-midi, la circulation | afin que se dégage partout'un air ;sin de natation à Clarmont, que le |des autobus fut même interrompue] de propreté, tant pour le confort ]chapeau du commissaire-priseur fut 'dans la côte d’Abraham. 'personnel que pour les touristes qui vendu avec le reste par erreur.

j Rimouski. iDNC' Au cours dune 1()!)0 cbv-cbf— j entrevue avec M. l’abbé Camille j violoniste jMichaud, M. le curé de la cathé-Lo,, ckcv—Bine skie»Idrale nous a confirme le fait quel 10.44) ( H RC—Club Rpndfg-rnm

le projet de construction d'une sallejn.oo (Br—Adagio ] paroissiale, qui est, à l'étude depuis j i i.w t-Bv-rnr—<i Ufciqu* de danse

déjà assez longtemps, verrait le hour d'ici environ un an II a pré­cisé que le retard apporte à la réalisation d'un tel projet est dû au

Tail, des grandes dépenses que la

Radio-activités liberales

CE SOIR à 7li.25

Maurice Bourget, uCandidat libéral officiel dans Lévis

CKCV(Annonce publiée, et paire par l’Org. Libérale)

que sa belle-fille et son gendre, M. et Mme Adrien Demers quittaient récemment St-Nieolas pour aller

(Fabrique a dû rencontrer ainsi qu'à i demeurer dans Manchester, . aux la rareté des matériaux de cons- ] Etats-Unis,

jtruction et au coût très élevé de ; la main-d oeuvre. M. le Curé fera exécuter bientôt les plans de ce centre récréatif qui exigera un dé­boursé de plus de $150,000.

L'édifice s'élèvera à l’arrière du presbytère, rue Ste-Marie. Cet | edifice de deux étages, en plus du]

À LA RADIO

Les hommes qui se lèvent la nuit perdent souvent leur allant

Enchères animéesClaremont, N. H., 10. <PA> Les

enchères étaient si animées et si

Fusée folle Par Wayne Boring^- - - - - - 'mr- - - - - - - - - - - - v- - - - - -s'il ' • Elle fera S* ( F^lle part -- »a - / ~* *

SURHOMMEF'r ... blrn, nous sommes rendu*. Louise. Il ne semble pas que Mlle Laurin «oit arriéré Alor« je vais rester avec voua jusqu’à ce qu'elle se

montre

Mon rireste a nies rôles, comment aurait je la uhanrr rie

meta morpho- ser en Liliane'.’

Red at riez ils sont le point de

la nrer la *ée !

qui ne va tournerond

ASociété des^ •avants a ma teurs-

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MARISE DUCLAU famille Pourquoi pas Par McEvoy et Striebelle liens a vous re mercier pour votre «ul m .i x n I f i u u e eont

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M. le curé Michaud, au cours de, cet entretien, nous a apprif que la Fabrique de la calhedrâle ferait ! installer en mai prochain, dans la cathédrale de Rimouski. un systè-, me de prévention d'incendie au ; coût de $25,000.

5T-NICOLA5Mariage

Récemment avait; lieu le mariage de Mlle Stéphanette Demers, fille de M. et Mme Alcide Demers de St-Nicolas, à M. Adrien Arguin rie St-Lambert.

Nos voeux de bonheur,f ianeaiiles

M. et Mme Philippe Noël de St- Antoine font, part à leurs parents

î et amis des fiançailles de leur fille. Cécile, à M Fernand Fréchette, fils

! de M. et Mme Alfred Fréchette de Sl-Nicolas.

; TransactionsM Lucien Allard de St-Nicolas a

vendu sa ferme à M. Eugène Bolduc !de St-EUenne.

M Noël Fléchette de St-Nicolas a vendu sa ferme à M Alph. Bolduc.

M. Alph. Dubuc de St-Nicolas a acheté au village l'emplacement et la maison de M, Achilas Marti-

j neau.M. Ovila Martineau a vendu sa

ferme à M. Lucien Bolduc de St- Nicolas.

M. Edmond Laçasse a vendu sa maison à M. Louis-Nazaire Gingras de St-Nicolas.

Mme Vve Arsène Fréchette a vendu son magasin à M. Jules Mé- thot, de St-Nicolas.

M. Adrien Demers a vendu sa mai- j son à son frère, M. Lucien Demers de St-Nicolas.

M. William Beaurivage de St- Nicolas a vendu une terre à bois à ; M F.-irii Allard, également de Sl- NlrolasVa-et-vient

Mme Vve Arsenr. Frechette ainsi j

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CHLN — Trois - Rivières —7 h. 55 p.m.

CJBR — Rimouski— 5 h. 55 p.m.

C I B P — R ivièrc-dti-lLmip' 7 h. 45 p.m.

CESOIR9Hres

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Mire FRÉDÉRIC

DORIONdépute de Charlevoix-Sagucnay aux

Communes et organisateur pour la région de Québec du

PARTI

PROGRESSISTE - CONSERVATEURRéseau français RADIO-CANADA

CBV - QuébecC. H. C. B.

C. I. B. R. • C. J. F. P.C. B. J. C. H. N. C.

1 Vnnonrc pnhlirr t»t pqvrr par lr Parti ProgTry«i»t»*-( nnsfrvatcur)

12 LE SOLEIL, Québec, mardi 10 mai 1949

Commandes placées obligations

par l'impérial Oil EI lEUI! "

Slalisliques des produits laitiers

Le Bureau provincial ûes statls- D’après les cours au 30 avril 1949,'tiques publie aujourd'hui son bul­

le rendement moyen de 40 oblige lions compilé par McLeod. Young, Weir <fc Co. s'établissait à 3.43 pour cent, soit un taux inchange par rapport au rendement noté à la fin de mars. On enregistre de lé­gères augmentations dans les ren- dements moyens pour dix obliga­tions municipales et dix obliga­tions industrielles et de légères

Toronto. (PC). L'Impérial Oil,Ltd a annoncé hier qu'elle avait placé des commandes pour plus de $9,000,000 de fournitures j pour la construction d’un oléoduc entre Edmonton et Regina. Les commandes, données aux lirmes ca­nadiennes, comprennent des pla­ques d’acier devant être converties en tuyaux et autre outillage.

Environ 67,000 tonnes de plaques spéciales d'acier ont été comman­dées à la Steel Company of Cana­da. Ltd, à Hamilton. C’est la plus grosse commande du genre jamais ■ _ i 'reçue par "Stelco". Page-Hersey LGS mOrCnGS Tubes, Ltd fabriquera 457 milles de ,conduits avec les plaques fournies QUX DGSlIÛUX par la Steel Co. Ces conduits qui Montréal.- (PO- Les premieres

ietin préliminaire sur la produc­tion et l’entreposage du beurre de beurrerie et du fromage cheddar dans ia province de Québec. On constate que la production du beur­re de beurrerie, en avril cette an­née, a augmenté de 18.8 pour cent sur l'an dernier; le rendement est évalué & 6,318,087 livres au lieu de 5,318,855 livres en avril 1948. La

baisses pour les rendements des iproduction de mars cette année a-

91 Shaw Fewer 24% 24% 24131 Do 4 pc p 46 46 462ft flherwin-w 7 pc p 140 140 14075 Southam C 19% 19% 191

123 Standard Chem 6% 0% 6!25 Do 7 pc P 83 8, 8325 United Steel Corp 6% 6% 6Vi25 Wabasso C 14% 14% 14*.

115 Walker Oooderh 26% 20% 26 V,25 Wiûn Klectric 33% 33% 33V

Banques720 Mtl 25% 25% 25*i60 Canad de Comm 23% 23% 23-*.

«O Royale du Cnd 20% 35% 25V,

services publics et des titres pro­vinciaux.

mesureront 16 pouces de diamètre seront fabriqués à l'usine de Wel­land, Ont.

Les pompes pour les stations de pompage seront fabriquées à Trois- Rivières par The Railway and Po­wer Engineering Corporation, Ltd. Les engins et les machines pour re­fouler l'huile ont été commandés à la Dominion Engineering Co„ Ltd, de Lachine.

Diminution des ventes d'oeufs

Ottawa.- Pendant la semaine ter­minée le 30 avril, les ventes d oeuis ont diminué d'environ deux mule caisse annonce le ministre fédérai de l'agriculture. C’est là une dimi­nution peu appréciable, mais on peut en déduire que ia production globale du Canada est à peu prés à son maximum. En ces deux der­nières années, c'est dans la premiè­re semaine de mai que les ventes ont atteint leur plus haut point. La qualité commence à diminuer et la proportion d'oeufs de la ca­tégorie B augmente. Il va sans dire

ventes s'effectuaient lentement a- lors que les prix étalent stables ou légèrement en baisse hier sur les deux marchés aux bestiaux de la métropole. Au milieu de l'avant- midi, Iss offres comprenaient 706 bétes à cornes, 1,108 veaux, 589 porcs et 97 moutons et agneaux.

Aucune vente de bovins n’a été enregistrée à l'ouverture. Les ache­teurs offraient des prix moins éle­vés pour toutes les categories de bétes à cornes.

Les veaux étaient stables par rap­port aux palier? de ia semaine dei-

vait été de 1,765,390 livres.La production totale de beurre

durant les quatre premiers mois

Le dollar canadienNew-York. -(PO- Le dollar ca­

nadien a baissé de 1-8 de cent pour fermer à un escompte de 4 7-8 pour cent, par rapport à la devise a- mérlcaine, hier, sur le marché des chs—s étrangers de New-York. La i sterling était stationnaire au ; de $4.03 1-4.

..a. -(PO- La Commission

Bourse de Toronto.Court fournis par la PRESSE CANADIENNESéance du 9 mal 1849

t de , c“lf * d“ chanf Étra»*er

maintient les taux suivants pouren regard de 8,064,224 livres du rant la période correspondante de l'an dernier et de 10,092,076 livres durant la même espace de temps il y a deux ans.

La production du fromage Ched­dar en avril cette année a atteint 351,806 livres contre 178,713 livreslan dernier, soit donc une Jg NeW-York

le dollar américain: le pair à l'achat et une prime de 1-2 pour cent à la vente. La livre sterling cotait en monnaie canadienne $4.02 à l’achat et $4.04 à la vente.

tation de 96.9 pour cent.

PHYSIONOMIE DE LA BOURSE DE LONDRES j Ventes

'Allied Chem loti i American Can

Londres, (Reuters) T! y avait peu [Amer Locomotive de fluctuations marquéesd’hui à la Bourse de Londres, Les Armour, minois affaires étaient calmes dans tous |®£thîeheT 6teel

Coun for il* par BARKY A McMANAM? membres de la Bourse de Montréal,

79-81, rue Saint-Pierre, Québec. Séance du 9 mai 1949

TermPréc Haut Bas Term 178% 178% 178% 178%

qualité cotaient $22,00-23.00 et lesjactuels ne furent, en aucun temps,scons, jwuon sujets de choix, $27.00. Les veauxjmis à l'épreuve véritablement. H a wjight de qualité moyenne se vendaient;suffi de quelques liquidations pour K‘ pn,A.(.r Lt S20.00-21.00 et les communs s’echan- faire baisser un peu les valeurs rten Eiectnc geaient indifféremment avec les gouvernementales, veaux abreuvés à des prix aussi bas] que $15.00. Le gros des offres était formé de veaux de qualité commu­ne â passable lesquels payaient $18.00-20.00.

L’on notait des tendances de bais­se sur le parquet des porcs. Les acheteurs offraient $29.50 pour les porcs de la catégorie "A” et $20 50 pour les truies habillées (abattues).

Quelques agneaux du printemps

PLUS DE PETROLE EXTRAIT EN FEVRIER

Ottawa. -(PCI- La productionjfj0rth Araêr"co canadienne de pétrole brut et de i Packard Motors gaz naturel a grimpé à un nou- ^dio-’cwp

Cten Motors GUiette Safety Graham Paige Inter Nickel Inter paper Int T & T Kennecott Montgomery Ward

[Nash Keivinotar N.Y. Centra]

veau sommet mensuel à cause surtout d'un

ont rapporté $15.00. Les moutons beaucoup Plus élevéque c'est nownal à cette époque de!ont donné $6.00-12.00 suivant la

qualité.l'année, mais dans nombre de re­gions, la chaleur anormale accen­tue cette diminution. En générai les prix sont fermes, et Montréal et Toronto accusent certaines aug­mentations.

XXXPRIX OEUFS LE 6 MAIDE CETiV ANNEE ET DES

ANNEES PRECEDENTES Ces prix sont ceux des oeufs A|[gurs

gros. * Montréal et Toronto prix de vent# aux grossistes des oeufs classés; ailleurs, prix payés aux ex­péditeurs qui envoient leurs oeufs non classés.

1949 1948 1947

en février, rendement dans les

champs pétrolifères Leduc et Red- water, en Alberta, annonce l'Offi­ce national de la statistique.

La production totale, au Cana­da, durant le mois sous revue a été de 1,443,000 barils, soit une aug-

Winnipeg. -(PCi- L'Office cana-J mentation de 7 p.c. sur le ■sommet dien du blé a annoncé hier un prix précédant de 1,356.500 barils en

PRIX MOINDRES

d’exportation de $3.80 le boisseau |pour le lin, No 1, C.W. aux Grands- iLacs, soit. 20 cents de moms que leprix payé par lOfflce aux produc- VoleUTS étrOligèreS

Janvier et un gain d? 85 p.c. sur le total de février l'an dernier.

Reo Motors Socony Vacuum South Pacific South Railways pr Stan G A: E 4 pe P Stand OU of N J. United Aircraft.United Corp Pr US. Rubber US. Steel Virginia Chemical

Volume des ventes

92 91 91 9114% 14% 14% 14%

142% 141% 141% 141%28% 30% 28 28%

5% 5% 5% 5%29% 287 b 28% 2 8 Va32% 32% 32% 32%5IV* 51% 51% 51%

23% 23 23%8% 8% 8% 8%

191 191 191 19124 7* 24% 24% 24%37% 37% 37% 37%58% 59% 59 Va 59%27% 27% 20% 26%

2% 2 2 228 28 28 2846% 40% 46% 40%10% 10% 10% 10%43% 43% 43% 43 Va54 53% 53% 53%10 12 Va 12 1211 Va 11% 11% 1.1%19% 19% 19% 19%37a 4 3% 4

11 Vs 11 11 lil12 12% 12 1221% 21% 21% 21 Va15% 16 16 1640% 40 40 4032 32% 32 3227% 26% 26% 20%88% 69 08 68

24 24 243% 3% 3% 3%

37% 37% 37% 37%71% 71% 71% 71%

7 7 7

Vente* Titres Haut Bas Ferm.100 Abitibi prlv145 Acadla ‘ A'*

118 V* 18V* 18%$241* 24 24 V*

1.000 A P Con .23 .23 .23395 Aluminium $51% 51% 51%

2.000 Anacon .27 .26 .262,400 Rngio Cdn 4.10 4.05 4.052,500 Aquarius .07 .07 .07

18.500 Arlon1,000 Ashley

.25 .24 24

.05% .05% .05%1,500 Athona .14 .14 .14

230 Atlas Steel $11% 11% 11%1.500 Atlas Ynife .12 .11% .11%5,000 Aumaque 15% .14% .15%

100 Aunor 3.30 3.30 3.3035 &anq N.-Ecosse $35 35 35

5,000 Base Metals .24% .24 .24%170 Beatty994 Bell Telephone

$14 14 14*41% 41 Vs 41%

2.000 Bevcourt .24 .24 .246,000 Bldgod .05% .05% .03%

87.800 Bobjo .22% .18% 18%2.000 Bordulac * .09 .00 .093,333 Boy ma r .41 .40 40

895 Bralorne 9.25 9.20 9.10500 Brand k Milieu .70 .60 .60150 Brazil Tract $10 18% 18%

* 270 Brlt Amer OU «24% 24% 24%100 B C Packers ‘ B” $6 6 fi

2,300 Brlt Dominion .30 .30 .301,000 Broulan .32 .32 • .32

500 Buffadlson .13 .13 .13100 Buff Ankerlte 2.20 2.20 2.20

1.500 Buffalo Cdn .13 • 12% .12%7,000 Buff R L .06 .06 .06

4.300 Northland 05% 96 .052.200 O'Brien 1.85 1.63 1.632,800 Okalta 2.45 2.40 2.451.000 Omega .OSVi .03% .03%3.200 Osiîko .61 .60 .602,000 Osulake .12 11% .11%5.275 Pac. Pete 2.75 2.63 2.70

145 Page Hersey *43 44% 452.220 Pamour 1.22 1.16 1.177.500 Pan Western .16% .15 .107.000 pen Rey .09 .08% •08 %1.000 Perron 68 .68 ,082,000 Piccadilly .08% .08% .os v;

450 Pickle Crow 2.02 2.00 2.02200 Pioneer 3.25 3.25 3.25

140 Bldg Prod 700 Cal & Edmon

1,000 Calllnan 3,100 Campbell

*27% 27 Va5.55 5.55

MVa .06% 3.30 3 25

27 Vi 5.60 .00%

3-3020 Can Malting «48 V* 47% 48%

10 Bsnq Commerce $23% 23% 23%455 Cdn Breweries $20% 20% 20 Va100 Can&d Car 4‘A” $15 15 •15665 Cdn Food $6% 6% 6%216 Can Pacific Ry $13% 13 % 13%

2.300 Cent Leduc 500 conlaurum

û.800 Cent Pat1.001.00

.76

1.001.00

.721.001.00.75

100 Power Corp 1,700 Preston 5,500 Purdy2.000 Que Labrador

500 Que Manitou8.000 Queenston

225 Queraont1,225 Quesabe

100 Rtv Silk “A** 58.400 Roche

1.000 Rochette 2,900 Roxana

40 Banque Royale 1.800 Royallte

14,900 Roÿbar

*15% 1.53

.10

.35

.00

.50 $13%

.93 *29 .18 .11 .39 *25%

7.10 24%

15% 15 V1.50 1.50.09% .10 .35 .35.60 .60 .44 -46

13% .9329-17%.11.38

13V.9329.18.11.38

OBLIGATIONS CANADIENNESCours fournis par l’Association des courtiers en obligations du Canada

et transmis à Québec par fils privés de la Presse Canadienne.SEANCE DU S MAI 194S

Obliralion, du Dominion (Quebec 3 62 13. l nov 1951 SB’s ItMHi Quebec 3 63 3 1 juin 50-53 101 101 Quebec 3 653 PC Perps 9S]t 100 Vil Que H 2-. 63 3 1 juin 63-58 102 1024, Que- H 2(. 663V. 1 jum 53-66 1027. 1031. Que H 3 Hi 1 nov 49-59 tOU. . IQMC oa

99V4 101 i Mil Tram 3 53 »1:a !0O99V. 100'* N or Q.P. 3*4 67 0» 11)1987. 99V-, Nc„. Qp 47, 67 9874 100',95 . . O tan Tel 37'. 68 88 100933. 95'.2 Ottawa Pr 4 57 100».

Emprunta de guerre et de la Victoire3 V, 52 (le O)3-52 t2ème Vl 3 51 Hat V)3 54 12e V )

205 St Law Cor 2e p 611».

10O Chatco $9% 9% 8 %600 Chem Research 00 .60 .00 1100 Chestervllle 2.55 2.65 2.65 !

2,800 Cochenour 2.00 2.51 2.55105 Cockshutt $13 13 13

û.400 Con Astoria .18 .10% .182,200 Con Beattie .51 .50 .501.000 Con Duqueine .55 .55 .55

290 Cons Smelters $96% 96 98

; 610,000 actions.

Mines hors-listeCours fournis par BARRY A McMANAMYi

membres de la Bourse de Montreal, 79-81. rue Saint-Pierre, Québec.

9 mal 1949

47-40% 43%-44% 3744-45 43 37-38

38 38 3442 30% 32%37 37 33

30-37 38-38 3338-38 37%-3 8 32%-33

Montréal Toronto Winnipeg Vancouver Bimonten RégiraCttarlottetown ------ - - -Oeufs reçu» aux poste* enregistrées

Semaine Unissant le19-19 1948

30 a»rll 23 avril 1 malcaisses caisses caisses

I. P-E. 3,317 3,562 4,121N.-E. 2,000 2,200 3,844N.-B. 476 045 1,034Qué 9,275 9.302 14,441Ont. 58,146 59,732 77,430Man 14,268 13,920 10,350Sask 3U23 21.100 17,444Alb, 20,123 20,534 18,752C.-B. 10,300 10,320 15,714Total 139.028 141,321 169,130

Les chiffres pour 1949 ne sontqu’approximatifs. Pour chiffres sont exacts.

1948 les

etPoids des volailles vivantes habillées aux portes

enregistrésSemaine finissant le 9 avril 2 avril 26 mars

Le marché des oeufs à Québec

Lci arrivages d'oeufs dans notre ville au début de la semaine sont tranquille*. La demande devient plus ferme de même que les prix. Nue quantité de 700 caisses ont été traitées pour l'entreposage au cours de la semaine écoulée.

Les grossistes cotaient les prix suivants aux détaillants : Catégorie A-gros, 47-49 cents la douzaine ; A-moyens, 40-47 ; A- poulettes, 45-45 1-2 ; catégoHe B., 43-44 ; catégorie C., 35-38.

Le marché aux volailles est instable. La demande ralentit pour le poulet, à griller. Les acheteurs se montrent pau Intéressés pour cette catégorie d'oiseaux. Les prix sont Incertains et enclins à une baisse. Le marché de la poule demeure bon.

Les prix nets aux producteurs sont les suivants :— Poulets : catégorie A Lait, 38-40 cents ft vatégorle B. 38-38 ; caté­gorie C.. 25-20. Poules : Catégorie A„ 40- 41 ; catégorie B., 37-39 ; catégorie C.. 30- 32.

Province Iv. IV. lv.C -B. 91,369 86.250 85,909Alb 22,329 J 5 659 22.467Saek. 1,313 1,794 563Main 7,600 5,138 3.649!Ont 218,067 480,471 161,177Qué 186,642 134.860 100,102N.-B. 1,975 1.175 7.549N.-E. 10,483 0.862 8,277I. P.-E. 1.107 807 147

Montreal. (PC). -- Le beurre était in­changé à la Bourse Canadienne des den­rées. hier et les offres sont restées à 68 cents la livre tant sur le marché cou­rant que sur le marché a terme. Les of­fres étalent plus élevées poift les oeufs.

Sur les marchés de gros ‘'ouverts", le» oeufs étalent plus fermes et en bonne de­mande. Les arrivages étahmt passables.

Les pommes de terre étalent Inchangées. Les arrivages par vole ferrée se sont éle­vés A 30 wagons. Quatre chargements ont été consignés sur I extérieur et l’on comp­tait 82 wagons sur rails.

UNE COUPURE DANS LE PRIX DU PLOMB

Montréal, (PC) Consolidated Mi­ning and Smelting Company of Ca­nada, Ltd., a annoncé une réduc­tion d’un sou dans ses prix domes­tiques du plomb. Ce métal vaut maintenant 13 3-4 cents la livre (en lots sur rails). Cette coupure suit une réduction identique par les pro­ducteurs américains en fin de se­maine.

NOMME GERANTMontréal. -(PO- La retraite de

M, Roger-P. Roberts comme chef du bureau des ventes de Domi­nion Textile Co. Ltd à Vancouver et la nomination de M. George P'. Dlmock, de Toronto, comme son successeur ont été annoncées ici hier.

Montréal, (PC). A la fermeture de la Bourîc Canadienne des denrées, hier, on demandait 58 cents la livre pour le beurre, 92 point.?-, du Québec au comptant.

On offrait les prix suivants pour les oeufs B-l de l'Est : A-gros, 47 1-2 cents la douzaine ; A-moyens, 45 ; A-poulettcs. 43; catégorie E-B . 42 1-2; catégorie E-C . 36 1-2. Sur le marché à terme, on offrait 4fl 1-2 cents In douzaine pour les oeufs de mai. On demandait 58 cents la livre pour le beurre de mal.

Montréal. fPCi. Voici les prix des pro­duits de la ferme tels que cotés ici hier et rapportés par le ministère fédé­ral de l'agriculture.

OEUFS tn caisses gratuite» : A-gros, 47 1-2-48 cents la douzaine ; A-moyens. 45 1-2-46 ; A-poulcftes, 43-43 1-2 ; caté­gorie B. 43-43 1-2: catégorie B.. 43-43 1-2; catégorie C., 37-38. Arrivages 084 cais­ses.

BEURRE Arrivage courant • Québec, No 1 pasteurisé, 57 1-4 cents la livre. Prix de gro* : Québec. No 1 pasteurisé et frais 58-58 1-4 Première qualité de beurrerie, Prix aux commercants 88 1-2—09 1-4: en tinettes, 58 1-4 - 58 1-2. Arrivages : 19 boites.

FROMAGE Arrivage courant : blanc du Québec. 30 cents la livre : blanc de l'Ontario, 30-30 1-16 ; coloré de l'Ontario. .10-30 1-2 (FOB). Prix de gros : blanc du Québec. 31 î-4 cents: blanc de l'On­tario, 31 1-4 ; coloris de l'Ontario. 31 1-4 Aucun autre disponible. Arrivages : 52boites.

POMMES DE TERRE Québec. No l, en sac de 75 Ibs, nouvelles. *1.10-1.20 ; en sac de 10 Ibs, $0.20. Nouveau-Brunswick, No 1. en sac de 75 Ibs, $1.35-1.40 :cn aacs de 10 Ibs, $0.21-1.23. Ile du Prince-Ed­ouard, No 1, en sac de 75 Ibs, *1.50-1,80 ; en sac de 10 Ibs, $0.24-0.25. Californie, en sac de 100 Ibs, nouvelles. $5.60.

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lisation.

DE 9.00 A.M. A 5.00 P.M.

F.-G. CHAMBERLAND, gérant

Cours fournis par A. M, KidderSéance du 9 mal 1949

Off.Australie 3Va 66 Brésil 3% (série» l-5>

Do 3% (séries 0-3Ov Bolivie 7 PC Chili 0 61 Colombie 3 70 Italie 1-3 77Italie 7 51 Medellin fi Va 54 Milan 6% 52Norvège 4% 65 Pérou 6 80 Pérou 1-2Va 87 Rio de Janeiro 0’/3 53 Rome 6Va 52

9264SI % 12% 27 y»4234%

39 45 90 Va 20% 18% 30 45

_ ïAmal. Klrk t0* Annamaquo

oBaurice Barber L. N.Dern.

95 88 % 03 13% 27%43 30 5844

982118%

Curb de Montréall.-O, BEAUBIEN A CIE*'Cours fournis

LIMITEE70. rue St-Pierre, Québec. Tél.s 2-1521 Correspondants de L.-G. Beaubien 4L Cie

membres de la Bourse et du Curb de Montréal.

Séance 9 mai 1949100 Atlas steels Ltd il1/* 11% 11%300 Bathurst p B 4 4 4100 Brewers k Dlst 15 15 1500 B.C. Packers “B” € 8 «

600 Brown Company 3 3 325 Butterfly H 11% 11% 11%

100 Can k D Sugar 20% 20% 20%75 Cnd industries 30 20 20

500 Cnd Western L 3% 3% 3%120 Cnd Westinghouse 52 52 52028 Cons Lithograph . 10% 10% 10%

25 Eastern S Prod 0% 0% 6%170 Ford Motors C 21V* 21 V* 21%100 Halifax Inss 8 Va 8% 8%100 Lowney C L 14% 14% 14%100 Maxwell 0 8 8 850 Meut Royal R M 9 9 950 Russell ind 10% 10% 10%

1981 flouthm Tnv .46 .45 4575 Unite<£i Dlst of Can 32 22 22

Titres Miniers (eni cents)11000 Bobs Lake Gold M 9% 7% 7%

1000 Cartler-M O M 2 2 26000 Cons Central Cad 7 7 72000 Cortez Explorations 5 5 5

185 Dome Mines Ltd IlS’/i 10% 18%400 East Sullivan M L 245 240 240

1000 El don a O M L 00 00 60500 OoMora M L 5 5 5

4500 Hudson-Hand G M: 15 15 15.7000 Lingslde G M L 4 4 4

13000 Louviçourt G L 11 10 11600 Macdonald M L 32% 33 % 32 %

1000 New Gold vue 24 23 231000 New Marion G M A 8 81200 Normetal M C 250 250 250500 O’Brien G M L 105 160 105400 Pato Cons o D I. 350 350 350

2300 Sherrltt-G M L 100 150 150800 Bladen-Mal m L 36 30 36100 Sullivan C M L 151 101 153

12700 Torbritt 134 .170 13031500 Trebor 34% 32" ' •'3227000 United AsbestOg Co 64 59 603000 Vlnray Malartle m 3 3 3

100 Waite Am M L 900 900 9001500 Westvllle M L 3% 3% 3%

Huilea1200 Anglo-C OU 405 400 400

500 Gaspe OU Ventu 180 170 1701903 Home O» Co Ltd $11% 11%7000 New PacA’ltâ Oils 9 9 91000 Pacific Pete 270 270 2701300 Pan West 15% 15% 10%1000 South Brazeau 15% 15 15

Bright Red L. Burley P. Carrlcona Columbière Cons. Chib. Cralbbe Croydon DerlakDominion MalFreshnoreHabitantHalden R. L.Harper MalHayes CadIn scoKendaKen bayLake ExpanseLavalieLouvoreMajor OUMarbenorMartin BirdMate YellowknifeMurbellNorrnarNational MalartleNew' AugerltaNew MalartloNorbeauNorfordObalskl-45ObalskiObaska LakeOpem. CopperOrtonaPascal is Pinnacle Poona Gold Prcsdor Quest Y. K.Rand MalartlcRebairRichgroupSalmitaBephaScott ChibSun BearThornhillWesley GoldWest Red LakeYoung David

Volume : 175.200 actions. Compre­nant 29.700 industrielles et 145 500 minières.

Off

221%%

118

521%

110222%lia

106

4%7234

Va373%2%

%4%

1415

363

1%8 3 8 94%

12

a2%2

73 Va 13%4%112

17

Dem,7%4

1043 212

21742%1%

12333%

1185 Va 93 Va1%4944 15%

1018

568

210

510 11

5 Va 15

21%3%3

11 128524 y* 0223

19

5 Cons Gas $151% 151 % 151%2.650 Conwest 1.09 1.06 1.061,700 Croioor .60 .55 .603.500 Daragon .07 .07 .071.000 Davies Pete .25 .23 .23

300 Delnlte 1.55 1.55 1.552,000 Denison .06 .06 .00

23.900 Dickenson .24 .20 .20100 Dist Seagrams $15% 15% 15%175 Dome $18% 18% 18%

10 Banq Dominion *25% 25% 25%105 Dorn Tar priv $20% 20% 20%

9.700 Donalda .47 .45 .466.600 Duvay .09 .08% .091,000 East Ampht 3.025 E Malartlc

.10 .09% .09%2.45 2.40 2.40

3.000 E Sullivan 2.45 2.40 2.44105 Eddy $15% 15% 15Va

1,500 Elder .35 .35 .3.513.700 Eldona .62 .60 .00

6S0 Falconbrldge 4.00 3.95 4.0030 Feriman priv $90 88 90

1,200 Frobisher 2.38 2 35 2.3B20 Ocn fltcl W pr $100 100 100

035 Giant 6.00 0.00 0.002,200 Globe .58 .57 .581.000 Goldcrest .13 .13 .13

200 Ban Antonio18.000 Sannorm2.000 Senator

10,414 Sherrltt4.300 Silanco1.000 Silver Miller

75 Simpsons "A"100 Do “B”110 Do prir

1.600 Sladen 600 Springer

1,270 Stadacona 115 Stand Radio

1,500 fltarratt 100 Steep Rock 350 Sullivan

3.150 Sylvanîte 500 Teck Hughes

10.000 Thom Lund1.150 Toburn •

28.600 Torbrit 3,112 Towagomac 4,100 Trans Resources

18.600 Tower Pete4.600 Trans Telev

806 Union Gas1.000 United Oil

43,950 Upper Canada100 United Keno 100 Viceroy

1,895 Waite 465 Walter

2.000 Wekusko3.000 Wlltsey 1,500 Wlch Lard3.000 Wlngalt

150 Wright Harg5.000 Yellorex

CURB110 C k D Sugar 100 Cdn Marconi 460 Cdn Vickers 200 C W Lumber 225 Con Paper 125 Dlsher 200 Foothills 85 Int Paper

235 M k O Paper 1.200 Pend Oreille

4.00 .17 .37

1.00 .42 .37 126 *23 $96% .35

1.10.50$4%

.751.38 1.55 1.69 320

.19

.001.15.09.76.42.65$10%.11

1.431.95*10%

9.05$26%.09.11%.07%06%

2.38 .41

25% 25%7.05 7.05

.24 .24%11% 11%

4.00 4.00.15% .1037

1.5! .39 .37 26 23 &«%

.35 1.10 .50

4 Vi .74

1.38 1.53 1.65 3.15

.17 60

1.27 .09 .74 .40 .45 10%

.11 1.10 1.95

10 Vi 8.75

26 .08 .11 .00% .06

2.38 .40

.37 1.53

.42

.37 26 23 Sfi3 .35

1.10 .50

4 V .74

1.38 1.53 1 68 3.15

.17

.60 1.33 .09 .74 .42 .60 10 v;

.11 1.29 1.95

10 V 8.75

28 .09 .11

3 56 (3e V)3 57 (4e V>3-59 (fième V)3 60 t«e V)3 02 (7th V,3 63 <8e V)1% 49 (Be Vl 3 66 ifie Vi 1% 50 <9e V)

Garantie* par ie para CNR 3 54-59 101 Va 102%

102% 103 V 100% 100% 101% 102 Vi 103% 3 04 Va 103% 104 102% 103 102% 103 101% 102% 101% ior 100% 101% 100 100%100% 101 v 100 100%

CNR 3 61-1 CNR 2% 67 CNR 4% 51 CNR 4% 55 CNR 4Va 57 CNR 5 54 CNR 5 49-69 CNR 4Va 56 CN Wlss 5 55 G TP LS 4 55 OTP 3 62 M Har

10097

105 V* 118% 119 Vi 111 105 117% 118% 1Î0 1051

101 li98

Alta 3% 63 Aha 3Va «5 xAlta 3% 80

j Alta 3% 80 , x-payable au

N.-Y.CB 41 a 53 CB 3% 55

I CB 3 60 CB ?% 67

! Man 5% 58 ' Man 4% 58 Man 3% 63

: Man 5 59 ! NB 3% 50

NB 3 59 NB 3 84

i NB 4% 63 ! NB 4% 61; NB 2% 67 ; NB 3 68

•Xiî.2 NE 3 58 .OflvcljNS 41^ go

3.1H ■ —.41

5 49-69 105% Provinciale

101 Va 103 101 103101% 103 101 103

Canada et

113% ..102% 104 99% 100%94

116%117%100%12399%95939fi%

115%

II8V4

101%9795

9101 Vi

•20% 20% 20% 1.30 1.30 1.30S85 81 84%$3% 3% 3%

S16% 16% 16%$11 11 11

2.80 2.80 2.80$49% 49 Va 49*%$17% 17 17

4.10 3.95 3.95Colume des ventes: 785,000 actions

.00%1.000 Golden Arrow 4.200 Golden Manitou 1.802.000 «Goodflsh .02

.06%1.75.01%

.06%1.75

.01%

A LA BORDEN CO.M. W. Prank Jones vient d'être

élu président de la Borden Compa­ny, Limited. Il succède à M.-D. Warner qui restera président du comité d'administration.

125 ot Lakes Paper $13% 13% 13 V*175 G W Coal $17 17 17

4.000 Halliwell .02 .02 .02100 Ham Bridge $10% 10% 10%

1.000 Ha saga .50 .50 ,506,000 Hlghrldge .09% .00% .09%1,000 High wood

460 BollingerM'/j .08% .08%

9.75 9 75 9.753,000 Hosco .23 .22 .23

540 Hudson Bay 1,000 Hugh Mal

10 lmp Bank 1 411 Imp Oil

250 lmp Tobacco 1,180 Inter Nickel

75 Inter Pete 1,000 Kelore

255 Kerr Addison

$43%.03$29%$18%$13%$31

*8%.14$15%

43% .03 20 V* 18% 13 Va 30% 8%

.14 15%

43%.0329%18%13%318%

.141.930 Kirk Lake 1.32 1.31 1.322,250 Labrador 3.65 3.50 3.503,300 Lake Dufault 1.20 1.12 1.121,400 L Linkman .37 .37 .37

660 Lake Shore $14 14% 14;3.500 L Wasa .40 .38 .40

400 Lamaque 6 05 0.05 0.051,500 Lapaska .09 .09 .091.000 Larder Ü .03% .03% .03;1,100 Leduc .05 .05 .651,150 Leiteh 1.10 1.09 1.092,000 Lextndin .08% .08% .08:1,700 Little L Lac .72 .70 .70

110 Loblaw 'B'’3.000 Louviçourt18.00 Macas&a5.000 MacFie 2,600 MacLeod

$28% 287 .11 ,10 V

2 37 2.35.03% .071

1.01 LOO

28%.10%

2.35.07%

1.00

Le grain stable à Winnipeg

Winnipeg, lions sur le

AVOINE :

(PC) Voici les prix des op* marché à terme :

92%99% 101%

120% .. 101 102

QMC 2 V QMC 3 QMC -3

QMC 3 V*

69-73 97 99 Power Co 3% 67 96 9857 98 99% Que Pwr 3 62 97% 99%67 93 95 Que Pow 3 72 93 96

62 98% Shaw' gan 3 61 98% 100%72 97 98% Shawlnlgan 3 71 94 96

58 101% 102% Shftwln 3 % 70 99% 101%06 100 V* 101% Shaw 3% 73 99% 100%77 99 100Va St. M Pow 3Vi 70 97ÎJ 99%

55 108 Unit Sec 3 62 99 101Sask 5 59 111% ..6ask 4 60 99 101Sask 3% 62 92 95Sask 3 63 90% 92%Sask 3% 63 96 98

MunlelpalcsMontreal J 60 96 98Montreal! 3 64 03% 95Montreal 3 66 93 95%Montreal 3 67 92% 94V*Montreal 3 68 92% 94V*Montreal 3 69 91% 93%Montreal 3 70 95 93Montreal 3 71 90% 92V*Montreal 3 72 90 92Montreal 3 74 8<P* 91%MU Metro 5 51 103Mtl Met 4% ÔJ Uo Mtl Met. 4Va 65 120Mtl Met 4% 65 liy»/* ..MU Metro 5 66 126 Quebec 4% 50 101% ..Quebec 5 53 104% ..Regina 5 60 108% ..St. John 4% 71 121 T Riv 4 Va 50 101% ..Toronto 3% 51 101V* ..Winnipeg 4% 60 124% ..Vancouver 3% 60 97% 100%

Transport*Algoma 5 60 67 69Can Atl 4 55 110CPR 3 Va 51 101% ..CPR 4 49 100CPR 4 PC Perps 108 Can SS 4 66 09% 101V*Can SS 3% 57 99 101

.Services publics Assoc Tel 5% 53 107 109Avalon 3% 00 94% 97%Avalon Tel 4% 66 97% 100*,aBell Tel 5 60 107Bell Tel 3 77 96 98Bell Tel 3% 73 100% 102%. ... .................... ..............DC Elec 3% 67 92% 94%’Price B 3% 60 100 102

Win Elec 3% 71 101% 103%Industrielles

Abitibi 3% 67 99 101B C Pulp 3% 07 95 98Br Hena 4 61 90% 99Brand H 5 63 97 100B C Forest 4 60 89Va 92 Bownf 3% 68 96 88%Brompton 3% 06 93 96Brown 5 59 98% 100%Burns 4 62 97% 99-Can Brew 3% 07 91 94C Ce lan 3 62 96%Can Oils 3% 62 97% 99%C W Lumber 4 82 100 CPP Inv 5 58 114Cock Plow 4% 65 99% 101% Col Coll 4% 65 101% 103% Columbia C 5 68 99% 101% Cons P 3 Va 07 101 103D Coal 4% 52 101 103Dom Dairies 4 66 91% 95 Dom Foils 5 60 97 99%Dom Malt 3% 65 100 103Dom Tex 3% 59 101 Va Dom Wrool 5 84 100% 103% Drvden P 4 61 100% 102% E B Eddy 3% 60 99 101EB Eddy 4 66 102 104Fed Grain 4 64 98 l')0%G L Paper 3% 07 99% 102 Gurney 4 67 97% 100%lmp Tob 2% 68 90Va 98% Ind Acc 3% 05 94 97Ind Acp 4 66 99% 102Lake St J 5 61 101 Va 103 Lake 9t J 3% 61 99 102McCabe O 4% 64 97% 100 Maple L 3% 63 95 98%Massey H 3 66 94 97Massey 4% 63 101 Vi 103% McColl 3 71 91 97NS Steel 3Vii «3 99 10!Penmans 3V* 66 100 102

BC Eîec 3% 66 BC Elec 3%

983* 1003*NE 3% 57 101 103 BC Tel 4 62 101 103NE 2% 66 93% Calgary P 3% 72 96 96 VaOnt H 2% 64-07 94% 96 Can Elec 3% 67 93% 96%ont H 3 00-64 98% 99% Can El 4 08 97 Va 99 VaOnt 3 59 100% 101% C L «ft P 5 49 99 % 100%Ont 2Ba 57-60 93% C L Pow 3% l? 97 99Ont 4 Va 80 121 E Koot 3% 67 08 92Ont 3 62*85 09% 1WVU For P Sec 0 49 55Ont 3 04-66 99% 100 V* Gat PC 31* 70 100 102IPE 2% 02 95 97. G. Lakes 31* 07 96% 98%IPE 3 65 99% 101 Int Hy-el 6 44 69 71IPE 3 56 99% 101 L St L Pr 3% 65 94 99Que 3% 51-53 102 Mar. Tel 4% 56 100%Quebec 3% 55 103% Mar Tel 5% 56 100%Quebec 3 55 101 Mex Light 5 60 77 82Que 3% 57 103 104% Mtl is P 5% 57 93Que 3 59 100 101% Mtl Tram 3 53 97 Va 99%Que 3% 60 ICI 104% Nat LkP 4% 61 100Quebec 4 56 105 107 Nfld LkP 3% 60 95 97%Quebec 3 60 89% lül Nfld L & P 5 56 100

Reg Knit 4 52 101 Rolland P 4 65 100 Simpsons 3% 60 101% 10>V»Stand Clay 6 52 99 Steel Co 2% 67 94% Wabasso 4% 51 101 Va -- West Grain 5 63 84

ImmeublesAlex Bldg 6 47 76% ..Acadia Ap 4 59 97% ,.Balfour 4 63 85Dom Square 4 59 101% 104 Glen Inv 5 59 111%Hot LaSalle 5 65 68 Linton Apt 5 59 98%Ld Nelson 4 47 80 Mtl Ap 1er 4Vi 64 S7

Do 2ème 4Vi 54 92 Ogllvy Ja 4 67 99 Queens H 5 53 99 Ry Ex Bldg 3 59 74 Sherb 4 52 98%

96%

73

8499%

101%

Haut Bas

Mal Juillet Octobre

ORGE : Mai Juillet Octbore

SEIGLE Mal Juillet Octobre

LIN ; Mai Juillet

79%75%70

117%109%101%

77%a73%69%

116% 108% 100 Va

78%74%-%69%-%

118%108%b100%a

122 %b 120%a 120%b 121% 121% a 122 %b125% 123 %a 124%b

................... 399%n.................... 3P9n

GRAINS COMPTANTNo 2 c.w.. 0.78%: ex.

1 four.

1,000 Madsen 2.95 2.95 2.951,650 Mal G F 2.52 2.45 2.45

14,100 Man k East .04 .03 Vu .03%2.500 Martin .04% .04% .04%

160 Massey Harris $20% 20% 20%360 McCoil $13% 13% 13%

70 McIntyre $61% en.* 61%500 McKenzie .40 .40 .40

4,500 McLellan .10 .09 Va .09%1.000 Mid Continent 05% .05% .05%

265 Mining Corp «10 10 103,500 Moder .42 .40 .42

100 Mod Cont “A" $16% 16% 16%2,500 Moneta .45 .44% .44 Va1,000 Mosher .10 .10 .102,000 Mylamaque .09 .09 .09

150 Nat Drug prlv $11 11 111.500 Nat Pete .35 .34 .351.000 Negus 3.25 2.35 3 352.000 New' Alger ,09% .09 .097.000 New Bldlamaque .06’/a .06 .06';3,700 New' Cnn met 1.43 1.40 1.402,000 Newnorth ,03% .03% .03%7,500 New Norzone .05l'a .05 .052.600 New Pacalta .09 .09 .091,000 New Rouyn .08% .08% .08%

10.600 Nicholson .75 .71 .71335 Noranda $54% 54% 54%

2.125 New ThurbolS .18 .17 Mi .17%400 Normetal 2.50 2.48 2.50

12.500 North Tnca .34% .30 ji’i100 North Star $7% 7% 7%

Ferm. préc. 79% 75 %b 70a

117% 109% 100%

122%b 123% 125%b

399 % n 399n

3 c.w.. 0.74%;

2 four., 0.72%; 3 four., 0.89V*; sur rails, 0.73%.

ORGE : Nos 1 et 2 c.w. 6-rangs, 1.26%; 1 et 2 c.w. 2-rangs, 1.16%; 3 c.w. 0-rangs, 1.20%; 1 four., 1.16%; 2 four., 1.18%; 3 four.. 1.10%: 2 et 3 c.w. Jaune, 1.16%; sur rails, 1.20%.

SEIGLE : Nos 1 et 2 c.w., 1.20%; 3 c.w.. 1.16%; rej. 2 c.w'.. 1.07%; 4 c.w., 1.10%: su rrails, !20%. •

LIN : No 1 c.w., 4.00; 2 c.w., 3.95; 3 c.w., 3:84; 4 c.w.. 3.75: sur rails, 4.00

Curb de New-YorkSéance du 9 mal 1949

Haut Bas.

AVOINE ;ai3 c.w. et ex. 1 four., 0.76

Alum Ltd 45% 45% 45 V*Alum Of Am 50% 49% 50Am Gas 45 %• 44 % 44 %Brazilian 17 16% 17Brlt Celanese 1% 1% 1%Cdn Marconi 1V» IV# 1%Cdn Ind Ale A 8 V* 8% 8%Cities Service 40% 45% 45%El Bond k Sh 14% 14 V* 14 «4Ford Ltd 5 5 5Hollinger 8% 8% 8%Humble Oil <xd) 75 V* 74% 75Imp Oil 16% 16% 16%Int Petrol 7% 7% 7%Nlag Hud 11 10% 10%Technicolor 14% 14% 14 V*

NOUVELLE MINIEREMontréal. - La plus grande par­

tie de l'augmentation du capital- actions de 1,500,000 actions, effec­tuée l'an dernier, est disponible pour de nouveaux financements, lorsque la chose sera possible, a déclaré M. H.-W. Darling, prési­dent de Heva Gold Mines, Ltd, dans son rapport annuel.

Le* efforts tentes pour l’usina­ge du minerai se sont avérés in­fructueux, a-t-il ajouté.

PROFITS DOUBLESNew-Westminster.- (PCi- Pacific

Coast Terminais Co. a déclaré un profit net de $69,681 pour l'année 1948, en regard de $32,246 pour l’an­née précédente. Le revenu net par action s'établit à $1.16 au lieu de $0.55 en 1947.

LF SERVICE PUBLIC DU CANADA

demandeUN PREPOSE AUX DENREES (INDUS­

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Le Courrier de Pascale France

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| R. — Il s'agit tout simplement de ne boire que du lait pendant line à deux semaines et dans la quanti-

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jeune menagere. ‘ - vp«. r.r^ïî.Tffïsssile Chailevoix-Esljaune également très pâle. L'une trop durem trop doUce. de c3mniErce tenait lundi le aô avrilou l'autre de ces couleurs iront'1 faut cePendant etre patiente et]a la salie de reception de 1 Ecole] également bien avec votre prélart i co,nsl(ante pour obtleniir de bons re' Supérieure de la Malbaie, une séan- ver(. jsultats, car souvent trois ou quatre,ce régulière pour la poursuite des;

__ ___ (mois sont nécessaires pour que l'on;affaires commencées et pour la te-1PRINTEMPS. — Lorsque vous Puisse s apercevoir d'un change- nue des élections annuelles,

êtes invitée à diner au restaurant,: ment. M pau] Lat,crge. je., a informéc’est à votre compagnon à voir à] __ . , ;!a Chambre au sujet du comité qu'il ;ce que vous ne manquiez de rien, à! ECOURTIGNEL. — A propos de ;dirige sur la coopérative d'Habita- vous laisser le choix du menu, à|votre demande au sujet des che-itjons que ,es demandes ^ ce sujet vous aider à enlever et à remettre ive“x- v°y«* ci-dessus ma réponse à;n.éta,ent pas nombreuses vu l’in-i votre manteau, bref à pratiquer la dui 8,*®e Alma^ et tirez Pvo-; certitude des fenipS et les prix ex-1 galanterie et la politesse dans tous flt des conseils que je lui donne. horbitants des matériaux. Cepen-j. rs détails. ____ jj — .l'ignore totalement ce qui dant, .vï. J.-B. Giroux, gérant de la

,, v , , se passe à une cérémonie de bapté- Caisse Populaire de Clermont a dé-I). — -Voulez-vous me donner des me voulez-vous me dire si les fre- claré avoir en mains 30 demandes

V reh*'euJ? re* ct les sneurs du père et de u et il considère que 15 sont sérieuses. nr/nt-rTv Terr*-N*uve ' PA’ mère doivent y assister, si les hou- M- p Laberge a également informé

" " quels de eorsage sont nécessaires, duc M. le notaire J.-J. Girard, ex-R. — Il y a les Soeurs de la Pré- etc. ? FUTUR ONCLE. Pcrt en la mstière, viendra â La

sentation qui dirigent à St-Jean r _ Généralement à'la cérémn-!Malbaie dès le début de mai afin de ! pas moins de dix couvents, et les, nif-mème du baS ! d»nner des explications élaborées ISoours de la Merci qui ” 4 1 *Soeurs de la Merci qui y dirigent ; "nèrë“‘'l7'nankin” et8]»'1*68 Plans federal et provincial sur]rorphelinat St-Michel. et l'hôpital |marrain etP u ’ va ,a ^ ; les coopératives d'habitations. ,Ste-Clalrc ainsi que le college No-teuse. si ,es pa].ents du nouveau-„ M' le secretalr* de-la Oiambretre-pame de la Merci. né donnent une réception, comme fm'le 1un rapport prée,,s des. activ|-

„ — •„»i_ .. tes de 1 organisme pour 1 annee ecou-v. n -----• chevcux tomb,î"t(hantémef Lf neoue^f invUPer n!,rIéc’dont voici Ies grandes lignes :heaucoup. De quoi cela dépend-il et peuvent inviter quique faire ? MARIE-ANNA bon lcur semble, parents, oncles,

r, ,. , , tantes, amis intimes. Et les bou-n Vous souffrez sans doute

(LU BFEMININ

Ms. K-n* ff Ouict Syndicate. I» . v'i iifth

Le bridgepar : Arsène Desrochers

La donne suivante fut l'objet d'in­téressantes déclarations.

Donneur : Nord Nord et Sud vulnérables

A A D 10 fi V 9♦ D V 7 3* R 9 « 3

LE SOLEIL, Québec, mardi 10 mai 1949 13

La question des relations entre le Vatican et le Mexique posée

« 8 7 3 2 » R S 2 0 fi 2 4 D 10 8 5

! N.O. E.

1 s:_ i î* 4V A V 107 3

fl 8 5V 7 4 2

4 R V 9 5 VD 8 5 4 4 A R 10 44 A

Les déclarations :Nord Est Sud Ouestpasse passe 1 A passe3 4 passe * ♦ passe3 A passe fi A passepasse passe

Bien que son partenaire avaitpassé au premier tour des enchères,

j.. . ,, - quels de corsage ne s'imposent pas.d anomie, ou dun excès de pellicu-; ____les. ou rie séborrhée. Dans le pre-, D. — Voulez-vous répéter pour mier cas, il est inutile de traiter moi le régime au lait pour faire vos cheveux tant que votre état gé- maigrir 7 Mme M. C. P.

lo—Il s'est tenu 17 assemblées gé­nérales et 16 assemblée* de bu­reau de direction.

2o—La Chambre à patronné un Congrès provincial de la Fédé­ration des Chambres de Com-

ELOQUENCE ! — "Vous croyez peut-être qu'elles se querellent, chère, mais nous appelons cela . . . des débats oratoires !"

du Sacré-Coeur, adonné lieu à une belle soirée dimanche, le 24 avril, à la salle paroissiale. Les élèves des 2e année de l'école primaire se livrèrent une chaude lutte. On comptait 26 concurrents. M. le Dr Victor Cloutier était maître de cé

merce de la Province, tenu au|rémonie. Une lutte acharnée fut

STE-MARTHE, GaspéNaissances

A M, et Mme Yvon Vallée, deux fils jumeaux: le premier baptisé sous les prénoms de Joseph-Gcr- vais. Parrajn et marraine, M. et

Sud espéra un chelem après lo dou­ble surenchère à pique. Alors, il fit une Invitation au chelem en disant 4-carreaux. Nord avait passé avec un très beau jeu : alors, il fit un saut à 5 pique, contrat que Sud por­ta au petit chelem.

Ouest attaqua d'un pique, que Sud prit de sa main pour jouer son as de trèfle, puis un petit atout vers la table. Il coupa ensuite de sa main un trèfle du mort, puis repas­sa au mort par un petit carreau vers le valet afin de couper le dernier petit trèfle du mort de son dernier atout. ‘ Maintenant, il joua un deu­xième carreau vers le mort afin de faire tomber les atouts adverses. Heureusement, Ouest tenait deux

Cité du VaUcan, 10 iAFP> —Le voyage à Rome de Mgr Martinez,

j archevêque de Mexico, venu faire sa visite "ad llmina", a attiré l'at- ' en! ion des observateurs politiques sur la question des rapports entre

jle Mexique et le Samt-Siège. Cer­tains ont cru voir dans cette visite !c prélude d'un rétablissement de

ices rapports et ont parlé même de l'éventualité de la conclusion d'un concordat.

Or. si la situation de l'Eglise s'est [sensiblement améliorée de fait, com­me l'a fait relever Mgr Martinez en arr.iant à Rome, la situation de

iriroit ne permet, pas d'augurer une ! solution à brève échéance de tout le problème des relations avec les

[autorités civiies. Des progrès ont [été enregistrés. Ainsi, par exemple, [la délégation apostolique crée en [l90i et qui était confiée depuis [douze ans à Mgr Martinez faute de [pouvoir envoyer à Mexico un re- [présentant au siège apostolique, a jde nouveau à sa tête un prélat ve­nu de Rome, Mgr Guglielmo Piani. qui a été transféré de la délégation apostolique aux Philippines a ce

]poste comme "visiteur apostolique”.D autre part, l'Eglise ne souffre

d’aucune limitation substantielle dans l'exercice de son apostolat au

;Mex’que, notamment dans l'impor­

tant secteur de l'enseignement qui ailleurs cause de douloureux con­flits.

Mais les lois qui pourraient limi- I ter l’action de LEglise subsisteni même si elles ne sont pas appliquées .Pour les rapporter, il faudrait mo- [dlfier la constitution. Personne ne [songe à soulever une telle question [qui risquerait de remetre en cause jun équilibre qui, pour être insta­ble, n'en offre pas moins des avan­

tages appréciables à l’Eglise. Néan­moins, le siège apostolique ne sau­rait envisager la conclusion d’ur [modus vivendi avec le Mexique tanl que subsistent des lois dirigées con­tre l'Eglise.

Aussi tout porte à croire que . pour le moment au moins, aucun fait nouveau ne viendra mocüfiei [la situation actuelle.

Le drapeau canadienA la suite du conseil municipal

[et de l'Union Catholique des Culti­vateurs de St-Etienne-des-Grès. la

[municipalité scolaire de cet endroit a adopté, à sa session régulière du

[U avril 1949. une résolution priant [instamment le Parlement du Cana- !da de bien vouloir adopter comme [drapeau national : le diagonal Blanc, Rouge k Feuille d'Erable verte.

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près au saumon. j avaientles écoles de la paroisse envoyé des représentants.

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5o—La Chambre a puissamment n„ „,.frD .. . . î Mme Ernest Vallée était de passa-Un autre questionnaire de la jeu- gp a Paques chez ses parents dcnesse aura heu le mois prochain. Cap-Chat.Les parents sont priés de noter que jleur présence à ces émissions est! MARSOUINtrès appréciée tant par les enfants [ Mariage que par les organisateurs.Chambre de commerce

Une cinquantaine de membres de la Chambre de Commerce des Jeu­nes s'étalent donné rendez-vous le

contribué à l'aide à Laval.6o—La Chambre a également beau­

coup contribué à la propagan­de et à la diffusion des Servi­ces de santé de Québec et compte en ses rangs 116 socié­taires.

7co-La Chambre a sondé l'opinion publique par une enquête gen­re "Gallup”.

8o—La Chambre étudie les avan-[ ^? avril dernier, à 1 occasion de la tages ou les inconvénients pour i ,e de St-Georges, à une soirée la. Malbaie de devenir ville. [mixte qui eut lieu à 1 Hôtel Nor-

9o—La Chambre patronne un pro- ; manriin. jet rie Coopérative d'Habita- [ Rfquète

Le 20 avril, M. Charles-Eugène L'Italien, fils de M. et Mme Jean- Charles L'Italien, à Mlle Rolande Fournier de Ste-Anne des Monts. M. Jean-Marc L’Italien aussi fils dc M, et Mme J.-C. L'Italien, à Mlle Estelle Brisebois de St-Joa- chim de Tourelle.

Nos voeux de bonheur.

Les Torontois devront respecter les signaux

Toronto. 10. (PCi Un nouvel arrêté municipal, visant à faire res­pecter par les piétons le code de la rue, est entré hier en vigueur. Et les agents de police ont distribué des avis de contravention à une cin­quantaine de personnes. Les victi­mes s'étaient rendues coupables de n'avoir pas respecté les ordres don­nés par le système de signalisation lumineuse. Les coupables devront se présenter devant le juge et payer une amende, amende de $1 pour la première contravention. L’inspec­teur Vernon Page est “étonné” dc la façon dont les citoyens de To­ronto observent le nouvel arreté.

lions.i lOo—Elle s'intéresse également au

problème de l'Hôtellerie et in­forme qu'une grande compa­gnie de navigation est soucieu­se d'y coopérer, puisque des représentants de cette Compa­gnie sont attendus incessam­ment.

llo—La Chambre de Commerce est heureuse de dire que son ini­tiative pour l'obtention d'un char parloir a été couronnée de succès, puisque tel char circule actuellement de façon régulière avec le convoi Québec-La-Mal

Une requête est faite présente-! ment à St-Georges qui veut faire! pression auprès de la National Breweries Ltd, et de la Molson j Brewery afin que ces compagnies [ établissent des dépôts dans notre5 ville et nomment des gérants par­mi nos concitoyens.Citoyens appréhendés

La Commission des Liqueurs ap- i préhendaient récemment deux ci-1 toyens de St-Georges qui compa­raissaient devant le magistrat des ! Sessions de la Paix, M. Alphonse1 Garon. Un des prévenus reçut la ,

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même condamnation que celui baie, pour le plus grand bien j d'Armstrong tandis que le second des voyageurs dc ce réseau. ; se vit condamner à un mois de

12o—M. le secrétaire informe que j prison et aux frais. A défaut de 196 membres font paitie de la j paiement, le prévenu passera un Chambre de commerce dc | mois additionnel en prison Charlevoix-Est. j Gagnants

Les élections tenues à la même, M. Candide Sévigny offrait ré­assemblée ont donné le résultat sui- ; cemment un prix au gagnant et A vaut : president, M L.-A. Potvin. ]a gagnante de la ligue de quIlB's B S„ réélu pour son 7e terme; M Philippe Gauthier remporta le. lbj:. vice-president, m. Ferdinand | prlx chcz les hommes avecP,e Rco.

2^ vIcc-DKésidènt ’’e Dr Paul-Emi-; Z. -de 195 polnts tandis que Mllp i I/nrôm»> qui enchante tousle PamrinP m nt’ 6 ° ? E , Therese Parent (Pozer) remport ‘ ’ ’-----^Directeurs : MM. Paul Laberge. T j dames avec 148 points.C., J.-B. Giroux, comptable, Lucien

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1 élu aviseur légal et M. J.-Phil. I Tremblay s’est vu confier pour un 7c j terme, la charge dc secrétaire. M. j L.-P. Couturier, président honorai- [re et fondateur de. ia Chambre dé 1 Commerce de Charlevoix-Est, dc- I meure seul au Sénat.

Nos félioitations aux anciens et nouveaux élus.

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Voici le texte du câblogramme re­çu récemment de Sa. Sainteté Fie XII : Cité Vaticane 13 avril 1949 Rolland Veilleux, maire. Ville St- Georges. Agréant paternellement fervent hommage ville St-Geor-

[ ses, Souverain Pontife accorde tout ' roeur en gage protection céleste ! insigne faveur bénédiction apostqli- [ que. Montini substitut, j Chez les Chevaliers

L'assemblée mensuelle du conseil j 12283 des Chevaliers de Colomb de j Beaucc avait, lieu le 25 Savril au local habituel. Une cinquantaine de membres se réunissaient alors sous la présidence de M. Colomb Cliche, grand chevalier du con­seil.

Le conseil décide d'accorder en­core deux trophées au meilleur quilleur et à la meilleure quilleu- se â la fin du détail des ligues. On decide ausji de fixer l'initiation aux trois degrés de l’Ordre à diman­che ie 5 juin prochain. Tous les membres qui ont des candidats à soumettre peuvent le faire immé­diatement et d’ici la fin de mal, au bureau de M. Clovis Thibodeau, secrétaire-financier du conseil. Questionnaire de la jeunesse

Le questionnaire dc la jeunesse, j tenu sous les auspices de la ligue

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LE SOLEIL, Québec, mardi 10 mai 1949 Les quilleurs el skieurs du club Quebec Power reçoivent leurs prix

ht traditionnel dîner dansant qui donné et qui sera attribué au joueur marque la clôture des activités de la ayant conservé la meilleure moyen-

'salson d'hiver du Club Social et ne. puis termina en émettant le Sportil des employés de la compagnie voeu que l'an prochain la ligue pour- Quebec Power, a eu lieu vendredi ra compter une équipe par dépar- solr au Kent House, et a remporté tement.un succès particuliérement brillant. De courtes allocutions furent en- Les quelque 250 personnes qui pri-' suite prononcées par M. Loyola Dion, rent part à cet événement annuel président du Club Rendez-Vous et

; passèrent une soirée fort agréable. M. Louis Renaud, président du ClubLe directeur-général du Quebec'de Ski, M. Fernand Gagnon, pré-

Power, monsieur J.-N. Sicard, ainsi ! sident de la ligue de Balle-Molle, an- que la plupart des officiers supè- nonça que les premières parties de

; rieurs de la compagnie furent de la la saison seront Jouées le 20 ou le 21 fête, mai au St. Patrick.

Après un coqu|tel, le diner fut servi dans la salle de bal de l'hôtel,

in fut préside par M. Benoit Bou­chard, président du Club Social et

i Sportif. Les discours, peu nombreux, furent marqués au coin d’une exem-

: plaire sobriété. On procéda ensuite

Voici la liste des gagnants des prix:LES QI ILLESCLASSE "A"

1— AJbwrt Rstté, du Service dts Lignes, Equipe Une No 1, qui a roulé le meilleure moyenne de la saison avec 17249 quilles en M parties aver, une moyenne 134.13

2— Alex. Hanley, de l’Equipe de la Comp- tablllfé qui s'est «lassé 2e dans sa classe

CHEZ LES ANCIENS COMBATTANTS : I-éqpe dont voici le» joueurs a remporté, cette année, le championnat de la ligue de quilles des Anciens Combattants. Les champions sont, de gauche à droite, MM. G. Gosselin, B. Hunter, Dr A. D. Beaudoin, surintendant de l’hôpital militaire de Québec; J. Alex­ander et C. Simard.

LES QUILLES CHEZ VANDRY: < ne autre ligue de quilles a terminé ses activités cette année en fê­lant ses champions et ceux qui furent les principales vedettes, aux bureaux de la maison Vandry, Inc. On remarour dans le nombreux groupe dont voici la photo, première rangée de gauche à droite, M.L. MARCEAC, vice-président de la ligue; Mlle GISELE TANGUAY, puhlielste; M. A. BROUSSEAU, pré­sident; Mme et M. ERNEST VANDRY, gérant de la maison Vandry, Inc., Mlle GABY ZICAT, secrétai­re de la ligue; Mlles TONY DROLET et CLAIRE ST-ANTOINE; MM. JEAN GOULET et ALFRED BLOUIN. directeurs. (Photo du • Soleil”)

Distribution des prix à la Zone de ski de la Vallée du Sl-Laurent

par Mike le SPATULISTELes nombreux Invités et amateurs

iJalbert et Conrad Delisle tous trois j ex-champions du Canada.

Les six combinés ont été attri-de ski qui mercredi dernier rempli-;^, aux ,kleurs 6(!nlor #t Junl0I. saient à craquer les Salons du Club gulvants . Senlr)ri combine nord|. Sportif de la Voirie à 1 occasion delque _ course et sautg trophée la soirée de fermeture, restent agre- □ei|Sie sp0rts, gagné définitivement ablement surpris devant le nombre pRr Maurice Marcotte, combiné et la qualité des magnifiques tro- Ajpin — slalom et descente, trophée phées brillant d'un vif éclat sous les ville de Québec gagné par Jacque- reflets d’une étincelante lumière, et (jjn saucier, combiné quadruple admirèrent aussi sans réserve les Bcrtall round i trophée Sportsman, •uperbes cadeaux offerts si Béné- gag,né pai. Maurice Marcotte. Chez reusement par nos amis et admira-;ies juniors, André Bertrand fait un teur*. j (clean up) sur toute la ligne car

Mentionnons rapidement les tro-ill rafle les 3 pots. Le trophée Andal phées challenges et coupes, et aussi l pour le combiné Nordique, le trophée les noms des joyeux et méritants ré- Dr Henri Lapointe pour le combiné clplendaires. car sans coureurs Alpin et le trophée Dr Gustave qu'aurions nous besoin de récom-j Beaudet pour !e combiné quadruple, penses et même de soirée de fer- | Finalement, le trophée Samson

décerné annuellement au club ayant accumuler le plus grand nombre de points, est gagné de nouveau par runiversité Laval.

Le trophée Laurentlae Ski Tows n'a pas été débattu faute de neige et le trophée Auberge des Monts fut remis è Ernie Dion le jour du concours.

Parmi les nombreux prix qui furent généreusement distribués re­marquons particulièrement le prix spécial du Dr W. Brunet décerné au skieur ayant fait le plus de pro­grès et gagné par Raymond Dorion qui débuta dans la classe C et

meture ?Le trophée commémoratif Ray­

mond BJouin fut gagné par Henri Picard pour le concours rie sauts d'ouverture et chez les Juniors Yves Carbonneau obtint la coupe Ander- eon. Le trophée Laurier Drouin res­te avec Georges Dubuc qui gagne pour ia deuxième année consécutive le championnat de la zone pour les sauts. Chez les juniors Viateur Guay décroche la coupe Duberger Simard. Le fameux trophée Watson emblème du championnat de la course de fond est gagné cette an­née et pour la quatrième fois par lechampion du Canada Thomas Den-j termina la saison dans la classenie. Chez les Juniors, la coupe Bou- ,A-cher va définitivement à Jim Den- ---------- -----------

Dans la descente du Mont 8te- On signerait bientôtAnne pour le championnat rie lazone, le meilleur temps fut réalisé pQJjr Çgtf0 ^00^^rV'New-York, 9. .AFP. Le cham- le trophée Jean _ fenlflt, pionnat du monde Cerdan-Beiloise être attribue qu au p _ ' n'est pas encore signé, mais on pensee’est Jacques Brun qu P • aU9 ce „*M(; p]US qu'une question ee superbe challenge d’heures. On apprend de source au-

Le trophée Adrien Thibault ^"itorlsée que Lew Burston a accepté, blême du championnat de Slalom p0Ur cerdan ie!! conditions finan- pour les Seniors est gagne par , i^res proposées par le “Tournoi des Jacquelin Saucier, Le Junior An-iChflmpionsMdré Bertrand qui fit le meilleur lr réponse d’Eddie Walker, gé- temps du concours mais n'a pas rant de uelloise, se faisant, désirer, droit au trophée reçut cependant c;eo,.ge Kleitz, président du "Tour- un magnifique présent de Monsieur !10i des Champions", a télégraphié Adrien Thibault. ‘aujourd'hui à Walker, qui se trouve

Le ruban bleu de la descente. KU milieu de l'océan Atlantique, à piste du Mont Ste-Anne, pour lejbord d'un paquebot. Kleitz a posé trophée Sidney Dawes fut gagné un véritable ultimatum, réclamant cette année par Jacquelin Saucier,|de Walker une réponse affirmative troisième titulaire. Les deux vain- ou négative dans les plus brefs dé- queurs précédents étalent ' Fierreilais.

La première étoile à Vernon Shetler

Par une poussée formidable au bâton et une tenue brillante au pre-

! mier sac, Vernon Shetler, le pre- | mier-but des Braves de Québec, a mérité la première étoile hebdo­madaire de la saison 1949, pour la

| période se terminant le samedi, 30 j avril. Il a cependant devancé Joe Bernard, des Blue Jays, de Jus-

| tesse. Shetler a mérité ses deux étoiles du Jour sur la route, le 27 avril à Oloversvllle et le 30 à Ams­terdam; Bernard a obtenu les deux

I siennes chez lui.Shetler et Bernard ont brillé

| à l’offensive et Us ont tous deux I joué parfaitement au champ. She­tler a obtenu une moyenne de ,875

j au bâton obtenant 7 coups sûrs en | hutt voyages au marbre — quatre simples, un tripla et deux circuits— pour un total de 15 buts; U a produit six points. Au champ, il a accepté 19 chance* — 12 PO et 7 A —- sans commettre une seule er­reur; il a pris part à deux doubles- jeux. Quant â Bernard, 1! a obtenu cinq coups sûrs sur neuf appari­tions pour une moyenne de .556 et un total de huit buts — quatre simples et un circuit. Il a pro­duit dix points pour son club. Sur la défensive, il n'a aucune er­reur en six chances — 5 PO et 1 A— . Shetler a compté trois fois et Bernard a croisé le marbre qua­tre fols.

Le* joueurs suivants ont méri­té des mentions quotidiennes; ce sont; Spence, de Oloversville, Stirn et Moody, du Oneonta, Hoskins et Leonhard, de Pittsfield, Snyder, Faircloth, Nichols et Robinson, de Robinson, de Rome, et Marshall, de Schenectady.

Les lanceurs ont déjà pris les devants en obter- quatre étoiles quotidiennes, mais les voltigeurs de centre et les premiers-buts suivent de près avec trois. Chez les clubs, c’est Rome qui mène avec quatre mentions, suivi de Schenectady qui en a trois.

\ i* taoi.. e qui -vest «lasse dans sa «lass:a la présentation des prix au fur et,în roulant 7S7S quilles en SI parties ave à mesure que les noms des vain-j une moyenne de nz.si.

;queurs étaient proclamés par E*’r1*ét. 9e l'Equipe comp-J.clutaült4 9ul S est clast* 3e en roulent 7M0 Alexandre Trembla}, secrétaire des uui!>e en sa parties avec une moyenne!; organisations sociales et sportives de 132 4,'des employés. i 4—Marcel Forgues, de l'Equipe de lai

Au dîner, le president Bouchard IsoSniM^ve^liM moyenn”**, no’n " avait à ses côtés, a la table d'hon-i S—CMrard Roy, de l'Equipe Lne No. 1

incur : M. J.-N. Sicard, directeur-!'.11* ‘ roul* *a!5 d'tlllss en so parties avec) général de la compagnie; Mlle An- icxASgE^B* 1355

|drée Côté, secrétaire-adjointe du! luger Moisan de l’Equipe Addressa- : Club; M. Loyola Dion, président du vrarc qui a roui* sis* quilles en s« par*!Club Rendez-Vous M. Paul Clavet, ; .»«' >'&&. aersor- !président de la. Ligue de Quilles, jnel qui a roulé 6768 quilles en 54 parties Mlle Margaret Hackett; Mlle Loretta ii*v‘c ,l"* moyenne de 135.is.Crane- M Txinia Renanri nrêsfdent 3—Oorard Authier de l'Equipe du O»* «1J arf’ P/AS-dent -oulant 7478 quille» en 60 parties avec unedu Club de Ski; Mlle Marthe God- moyenne de 134 3* bout, vice-présidente du Club de Ski; 4—Hector Hawey de l'Equipe de la Di-!M. Ralph Bourgault capitaine ^nLine Office, club champion de la de 130.15 lin • ' 'lClasse "C; M. Roland Fournier, vl- s John Kennedy de J'Equipe personnel i I _ KArniAr rAAlll ce-prèsident du Club Social; M. Fer-1^‘ *rn ^ Wtle* »rec •••wl I vCIMnand Gagnon, président de la Ligue li.asse ••c”

jde Balle-Molle; M René Michaud, l—Roqer Julien de l’Equipe des Comp- icapitaine de l'équipe Line No 1, „a. Mu,< 7131 fumes ;n «o par-, « ,, fies une moyenne de 118 81nhomnlAnne ri» I» -A"- itsm»! 3-Antnlne Bern er de l'F.quipe de, Comp-

Le trophée Hart àSid Abel

Montréal, 10. (PU) Sid Abel, capitaine de» Red Wings de Détroit, qui ont remporté cette année le championnat dans la N. H. L„ a été désigné comme le joueur le plus valeureux de son équipe et a mérité la cou­pe Hart.

Ce vétéran de onze saisons dans la N. H. L. a obtenu 43 vo­tes contre les 37 de Bill Dur- nan, le brillant gardien de buts des Canadiens de Montréal. En plusjdr la coupe Hart, Abri a obtenu un boni de S1,000.

Johnny Grolh des Tigers de Détroit a frappé pour une moyenne de .381

cours qui » roulé 8757 quilia® en 57 parties avec une moyenne de 118.*:.

3—Lavil God bout de l’Equipe Engln**- ring qui » roulé 7312 quilles en 63 portle* avec une moyenne de 116 5

4 -Paul-Emile Dutil de l'Equipe Comp­teur* qut » roulé 8569 quille* en 57 par­ties avec une moyenne de 115.34

5e Robert Dovon de l'Equipe Store* qui a roulé 7466 ouille* en 6 partie* avec une moyenne de 113. 8.PRIX SPRCMIX

Le.» joueurs suivants n’ent pas manqué une seule partie de quilles durant la sai&on :

1— Bill Graham avec 69 partie*. Equipe Garage «tores.

2— Albert Robi baille avec 6fl parties

au FronlenacLors des élections du 1er mai New-York, a ur

chez les raquetteurs Frontenac, M. : en 47 voyages.

en-chef de la compagnie; M.-T. Bancroft, le contrôleur; Henri-F.

^championne de la classe "A"; Mlle!'Monique Babin, M. P.-G. Paquet, second vice-président du Club SociaJ; jMüle Noêlla Vezina; M. Maurice En­right, second vice-président du Club de Ski; M. Roger Moisan, champion quilleur de la compagnie, et M. Alex­andre Tremblay, secrétaire-général des organisations sociales et sporti­ves des employés.

Le président Bouchard remercia ia compafnie de la généreuse contribu­tion qu'elle fournit et qui permit aux employés de monter cette belle fête annuelle. Il remercia tous ceux pre­sents, et signala la présence de mes- iEq,uip' ,aari'*' slor,!- sieurs E. D. Gray-Donald, ingénieur- D°ïon ,ï,e “ p*rtl,s'

4—'Edvard Feeney »ver w parties, de Equipe du Oa*

i» ___ . ,. 5—Austin Doddridge avec 66 partie*, deBéiQue, 16 surintendant - général. !'E<iuipe opérateurs.Paul Towner et Philippe Vallière, ! ci»,,» a : ei'i, h»ut simpt* d» »» eus»», les deux assistants-contrôleurs. !3,i, ffvr'ef-, 523 quiII*s Andr* rwqiet de

Ijc directeur-général du Quebec plus haut triple de »a cu»s« ishe-iso- Power remercia le président Bou-;i33. 533 quille, le 34 février. Roland Ber- chard de l’avoir invité à adresser la 'rî!!d' E|)u|p,‘ ^ comptabilité, parole. II dit tout le plaisir qu il triple le 33 décembre en roulantressentait de voir des représentants,200.104.210, rotai su quilles, r. Moisan. de tous les départements de la com- ^mp:u3r]);e m,ille'lr i'n,l!ur <le !oult if pagnie. et de participer au même ! cias^ c : plus haut simple de la classe titre qu'eux à Cette belle fête de fa- 'as quilles le 27 Janvier, J-Maurice Ber-

rouard ries Opérateurs.M «..m plu* haut triple rie fift le S mars. Sicarn termina en disant QU il i 447 qUin*Si octave Kuot,

est essentiel Que les employés se ren- j Division du Pouvoir, Montmorency, contrent en dehors des heures de lidi e mixte après avoir agi comme secrétairetravail, car ce sont tous des êtres du club pendant sept ans. Le 2e vi-humains qui aiment â s'amuser à speciAir"1* re ° leurs heures et a rencontrer leurs Trophée offert par Jos. Rousseau, rhpfs rin.n* l’intimUé M«i!l«ur# moyenne Roger Moisan 66cneis dans l intimité. .parties, 9194 quliu*. Moyenne 138.36.

M. J.-Paul Clavet, ae la division sk,Montmorency, président de la ligue siaKm Dames.

1—Mlle Monique Babin 2—Mil» Marthe Faltrdaau 3—Mhe Yolande Gosselin Slalom — Messieurs 1—Raymond Aubin 2—Lionel Cîouet 3—P.-A. Duchasteî.

Chicago, 10. (PAi Johnny Groth,jchi, lanceur des Yankees, avait un jeune recrue des Tigers de Détroit,: record de 4-0. Le gaucher Hal est présentement en première posi-' Newhouser. de Détroit, a retiré 29 tion des frappeurs de la ligue Amé-1 hommes au bâton, et est premier ricaine, avec une moyenne de .381. dans ce département.

Groth, qui a frappé 24 coups Isûrs en 63 apparitions au bâton, aj june avance de 16 points, sur sonj 1 plus proche adversaire, Dom Di-1 i maggio, des Red Sox de Boston, qui j j a présentement une moyenne de !i 365' ! Voici l'énumération des dix meil-

II est vrai que deux autres joueurs ; leurs tireurs du Quebec Garrison j ont des moyennes supérieures a Revolver Club lors du concours te- Groth, mais ils ont tous deux moins nlj vendredi soir dernier: de 50 apparitions au bâton. Dale;Mitchell, des Indiens de Cleveland, a une moyenne de .467 en 45 voya­ges tandis que Dick Kryhoskl. de

Dix francs-tireurs de ia Garnison

Gus Zernial, du

consécutif. A la 1ère vice-présiden-1.354.ce, fut élu M. Raymond Gaboury j jacfe Graham, des Browns de

St-Louis et Vem Stephens, du Bos- ! ton,mènent dans le département jdes coups de circuits, avec chacun jsept à leur crédit. Mitchell a cinq

Tôt. Moy. Hd Frc.! I—Bouhours, V. 146 73 25 98 n- 2—Gingras. L.-P. 181 90.5 5 95.5

1 3—Rivest. N 141 70.5 25 95 54 -Turcotte. L 168 84 10 94.0

; ^—La vigueur. M. 154 77 10 87.0; 6—M.nckey. E. 123 61.5 25 86.5

7—Fré<1érlek. a. 114 57 35 82 f)1 8~-Gagnor., P. - ni 55 5 35 80.5i 9—Bérubé, R 68 49 30 79 0; 10—Bavard, P 97 48 5 30 785

POSITION DES l:«VIPES1 Gingra* 3 4 16 70

Marier 2 5 1593MacKay 2 5 1596

j Lavigueur 0 7 1459

à leur crédit. Mitchell a cinq DL;_nr «Jôrrnrhei coups de trois-buts, tandis que Zer- rMiPPj QSClUUlÇ niai a le plus de douoles, soit huit, i ... ■ -

Zernial, Majeski et Chapman |8 tlfrC âflÇjlâlS ont chacun frappé un total de 28 Londres, 10 'PC) Ogden Phipps simples. Eddie Joost, de Phuadel- ^ Roslyn. N.Y.. a remporté, hier, phie, est celui qui a compté le;ie cilalnpjonnat anlateur anglais de

iplus de points, avec un total de 19; : tennis, par une écrasante victoire ÎTed Williams a fait compter le jjg g.j g.j gj g.g sur son adversai- pius de points, 23; et Birdie Teb- re yj jj Macpherson d'Angleterre, belts, aussi des Red Sox, mène dans phipps, champion américain, est

ile département des buts volés, avec:]e premier à remporter le titre an- ! trois. glais, depuis Jay Gould, qui le ga-

Avant sa défaite d'hier, Vie Ras- 'gna en 1908.

de Quilles, mentionna que cette li- ! gue existe depuis 26 ans. Il félicita les gagnants, remercia M. Jos. Rous­seau, surintendant i ITle d’Orléans | pour le magnifique trophée qu’il a !

LA BOXE(lilr&fo — Jimmy 8hfcrr«r, 181. Milwau­

kee, <)6H»lon contre Joe Green, 188, A*he-vllle, N. C. (10).

Lrwistnn.. Me. — Tommy Cireb. 137. Bn»ton, 66rl*l«n contre Hermle Freeman, 186, Bath. Mc. (10).

Providence, R. I. — Don William*, 144 1-4, Worcester, décision contre Lucky Jor­dan. 148, Providence GA).

Toronto — F.arl Walla. 190. Toronto, knockout* Bill McCarthy, lê3, New Bed­ford, Ma**. (1).

New Orleans — Jackie Weber, 188 1-J, Pawtucket, R.I.. et Tim Dalton, 186 1-4. Chloafo annulent (10).

Hatch Gagnon vs Walkins lors de la prochaine séance pugilistique

Le promoteur Aurélien Lamothe a réussi à obtenir la signature du capitaine Léo Bouchard, le gérant du champion canadien Fernando Gagnon, quand ce dernier a accepté hier de se mesurer à Jimmy Wat-

on s'est plu à dire partout que Ja­mais on n'a assisté à de pareilles rencontres.

Fernando Gagnon est l'un des ra­res pugilistes locaux qui puissent af­fronter les boxeurs poids-coq et

kins, déjà sous contrat. L'on sait poids-plume de calibre de New-York que Gagnon tenait à avoir un match;qui nous visitent depuis Janvier. On revanche avec Llanos, mais comme ! se rappelle que Gagnon n’a pas hè­re dernier ne pouvait remplir ses ! site à accepter de bons hommes et obligations en date du 16 mai, La-!U en aura encore un autre, lundi mothe s'assure les services de Wat- soir. Jim Watkins est le noir qui kins. i perdit une décision serrée contre

Cette finale promet encore aUx i ^anos dernièrement, avant la venue amateurs de boxe une soirée des fle ce f1ernler ^ Québec. Gagnon a

ce-présldcnt est M. Rodolphe Hou­le, et M. Eugène Thibodeau a été réélu capitaine pour un quatrième terme.

Voici le nouveau bureau de di­rection pour la prochaine saison : Président, M. J.-Amédée Bernier, réélu; 1er vice-président, M, Ray­mond Gaboury, élu; 2e vice-prési­dent, M. Rodolphe Houle, élu; se­crétaire, M. Jacques Pinsonnault, élu; trésorier, M Paul Chartier, ré­élu; publiciste, M. Jos, Michaud, élu; pourvoyeur, M. Lauréat La- chance, réélu; capitaine, M. Eugè­ne Thibodeau, réélu; lieutenant, M. Louis-Philippe Juneau, élu; sous- lieutenant, M. Orner Drouin, réélu; chef du corps de musique, M. Gas­ton Masselotte. réélu; porte-dra­peau, M. L.-G. Blouin, élu. Les di­recteurs sont : MM. Louis Langlois, Albert Lapointe, J.-E. Sanschagrin, Wilfrid Champlain et A.-C. Beaulé.

plus intéressantes. Tout le monde parle de la boxe à Québec et l'In­térêt va toujours en augmentant depuis que Lamothe a mis la main sur un groupe de noirs qui n’ont pas déçu le public. Au contraire,

Tournoi de quilles de Giffard

QUILLEURS DE MONTMACNY A QUEBEC: M. roger Raymond, sportif très actif'de Mont-magny, a conduit récemment un groupe Imposant de quilleurs i St-Malo pour participer aux 9ème* Tournois Provinciaux de Petites Quilles, Enr., el de l'Est du Canada. On reconnaîtra M. ROGER RAY­MOND, au centre du groupe dont voici la photo. (Photo Pierre-H. Warren)

éüHüIm* 1— Charles Verrat2— Marcel Jacques3— Léo Leclerc4— Gérard Labrie5— Benolt Thérlen6— Gilles Larochella

Raymond TsnRuaïu* de »trlkf* . Charles

184.6 169.2169.2167.7166.3165.7 165 7

39Lessard. G. Dion

Verre»Le pluLn plus d* spare* : R

et o. Cloutier. 34.•‘BIG-SIX’* FEMININ

1— Mlle Rita Brown2— Mme K. Malenfant3— Mlle Judith Blondeau4— Mme Schofield5— Mlle Yvette Philipps fl—MH* Françoise Olpuére

Le plug de strikes : Rua Brown,Le plu* de spares : Rolland* Mercier

Judith Blondeau et madame Schofield, 16

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Ouiappartenait

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Il semble bien que r soit un ras

parfait dp till cldc..messlenr»

arme r«*t encore dan» sa main ! /

Veut devriez nareir combien il me sera de

•taeréahle de revoir mon peuvr* frère défunt ! Ma place est

côtés de ma mère Voua devet avoir une l l'ne bonne raison pour / bnnn m en détacher î / raison.

Denis

rapporteEurope tectlre ! /

t

subi lui aussi une décision très ser­rée aux mains du même Llanos, C'est dire que la bataille entre Ga­gnon et Watkins sera de qualité supérieure et fournira beaucoup d'action, Lamothe a promis à Ga­gnon qu'il ferait l’impossible pour ramener Llanos à Québec contre notre champion, bien entendu si Gagnon défait Watkins. Les ama­teurs peuvent être assurés que le | champion poids-coq canadien, tou-1 jours en condition, livrera une dure j

Les quilleurs indépendants étalent bataille contre Watkins qui devra en lice en fin de semaine au tour-!se surveiller, car notre populaire! noi mixte de Giffard et Gérard La-]boxeur entend remporter la vlctol brie s'est emparé de la quatrième i r(, _position, dans le "big-six” masculin, ! _!__________ _______ ___________javec une moyenne de 167.7, Deux ! joueurs se partagent la sixième po­sition, avec une moyenne de 165.7 ; ce sont Gilles Larochelle et Ray­mond Tanguay.

Plus de 1,000 quilleurs ont parti- cipé à cet important tournoi, qui entre présentement dans sa dernière semaine.

Ce soir, un groupe féminin de St-Sacrement sera en lice, sous la direction de madame Barbin.

Les quilleurs indépendants qui se­raient intéressés à prendre part à ce tournoi, sont priés de prendre note que la soirée de jeudi et l'après-midi de samedi prochain leur sont réservés spécialement. Que ) tous se hâtent de faire parvenir leur inscription.

BIG-SIX MASCUI.IN

LE SOLEIL, Québec, mardi 10 mai 1949 16

Les Braves battent les Colonels trois fois de suite en gagnant 17-3Edmond

LE ROYAL TRIOMPHERA-T-IL DES CE SOIR ?

Les joueurs des équipes Royal de Montréal et Wheat Kings les finalistes de la série Memorial se réunissaient hier soir à Toc- casion d’un magnifique banquet donné par la ville de Brandon et une atmosphère gaie a régné durant toute la soirée. Mais ce soir les deux équipes se lance­ront dans la mêlée plus déter­minées que jamais à décrocher les honneurs de la victoire. Si Royal gagnent ils remporteront la Coupe Memorial dès ce soir tandis qu'une victoire des cham­pion de l'Ouest prolongerait la série de façon inquiétante pour les hommes de Tag Millar. On favorise l’équipe de Montréal pour terminer la série ce soir. Chez ces derniers cependant on s’inquiète fort de la blessure à une épaule du solide Skippy Burchell. Les Wheat Kings ont tenu une autre dure pratique et l'on s'est appliqué surtout à donner aux avants de dures mi­ses en échec probablement pour les mettre plus en état de rece­voir les coups d’épaule des so­lides défenses de Tag Miliar. Les coaches Millar et Bill MacKen- zie sont également confiants dans les résultats de ce soir.EN DEUX TEMPS TROIS MOUVEMENTS

Ne nous inquiétons plus au sujet de la tenue au bâton des joueurs de Frank McCormick. Vingt coups sûrs dont cinq dou­bles contre trois lanceurs des Colonels de Rome, voilà leur brillant exploit d'hier soir au stade municipal ... Si l'excel­lent joueur de premier but Ver- non Shelter s'est avéré très so­lide en cognant cinq “hits" en six essais, ce dont nous le félici­tons chaleureusement, nous te­nons à souligner la remarquable performance du lanceur québé­cois Alex Danelishen. En plus de tenir ses adversaires i cinq maigres coups sûrs, ce droitier a su cogner la pilule trois fois en lieu sûr, y compris deux doubles ... Et dire qu’hier nous repro­chions aux Braves de manquer de vitamine au bâton ! Pour peu qu'ils continuent à frapper les balles avec autant de déter­mination nous serons très fiers d'annoncer qu’ils sont valeureux dans tous les départements. Us le prouveront sans doute quand Us affronteront ce soir les Blue Jays de Schenectady qu'ils projettent de supplanter à la troisième position . . . Cinq gains d'affilée des Braves de Québec avant d'entreprendre leur seconde tournée outre-fron­tière cette saison, réjouiront leurs milliers de supporteurs. Comme eux, nous croyons fer­mement que nos représentants actuels dans la ligue Canado- Américaine continueront à s'af­firmer et que nous les verrons se nicher nulle part, ailleurs que dans la première division.

Nos porte-couleurs se sont avérés très puissants à l’offensive hier soir lorsqu’ils ont réussi 20 coups sûrs — Cinq doubles à leur crédit — Ver- non Shetler, qui figurait au premier but, enre­gistre cinq "hits” — Le lanceur gagnant Dane­lishen brille au monticule et au bâton.

par Roland SABOURINLes lanceurs des Colonels de Rome en ont vu de toutes les

couleurs hier soir, au stade municipal, lorsque la lourde artille­rie des Braves de Québec, qui n'ayait pas fait grand tapage depuis le début de la saison, s'est réellement mise à l’oeuvre pour cogner un total de 20 coups sûrs et remporter une victoire très facile de 11-3. C’était la troisième victoire consécutive des joueurs de Frank McCormick contre les champions de l'an dernier et leur a permis de remonter en première division, quelques points de pourcentage en

| avant du Rome. Un total de 2,151 personnes furent témoins de ce bombardement qui ne manqua pas de susciter un vif enthousias-

j me dans la foule.Vemon Shetler, qui avait une moyenne de .368 avant la ren­

contre, a dirigé l'offensive de l'équipe locale avec un total de cinq j coups sûrs en six voyages officiels, dont un coup de deux-buts | à la cinquième manche. Trois autres joueurs, dont le lanceur droi­

tier Alex Danelishen, y allèrent avec trois coups en lieu sûr. Les i deux autres furent le troisième-but Gene "Vic'' Nance et le champ

centre James Heximer Tous les joueurs, à l'exception de Mike Fan- dozzi et Eddie Hamel qui furent complètement tenus en respect,

j méritèrent chacun deux hits dans ce massacre. Chez les perdants,I le voltigeur Roderick Clifford fut le meilleur avec deux simples,

tandis que Keith Little eut un double.Danelishen est solide sur un balk. Tout comme dans la

î Alex Danelishen, qui n’avait pas quatrième, chaque joueur vint au jeté chanceux dans ses deux premié- i;,“W)n au n10'115 une fois, ires parties, a lancé une partie de Schenectady ce soirItoute beauté tout en se permettant; Les Blue Jays de Schenectady, qui d'étre une inspiration au bâton avecjfjrem, subir trois déuarts aux Bra­

ises deux doubles et un simple. L'an-iyes quand ceux-ci leur rendirent vi- jcien artilleur du club Muskegon, de;Sjtg dernièrement, seront les visi- jla ligue Western, un circuit de clas- [eurs ce solr au stade. Il y aura une se “A”, distança cinq coups sûrs, partie simple et le gaucher Johnnydonna deux buts sur balles et retira deux hommes au bâton pour une performance digne d éloges.

Sept manches parfaites Après avoir accordé deux points

dans la première manche sur deux passes gratuites, un Simple et un double, Alex lança du baseball par­fait durant sept manches complètes. En effet, il retira les 21 hommes en ordre avant que le deuxième-but Ed­ward Bland réussisse à ouvrir la

Nansteel, qui perdu la partie de 1-0 aux Trbls-Rivièr“s la semaine der­nière, sera le lanceur du Québec. La rencontre commencera à 8 heures précises.

Little est expulséLe premier-but Keith LitUe, des

Colonels, fut expulsé du terrain par l'arbitre Guzetta, à la cinquième manche. Little protesta trop éner­giquement quand cet officiel appela

S

Les "Cards"l'emportent sur les Dodgers 14 à 5

Un coup de deux buta et un circuit ont produit cinq pointa à la huitième manche — Lea Bra­ve* de Boaton grimpent au deuxième rang en diapoaant dea Piratea 4 à 1 — Chicago perd 7-2 à New-York.

LES SENATEURS TRIOMPHENT: FiMS 'l'une victoire décisive qu'ils viennent de remporter au compte de S i 3 contre le* Capital* de Kcgina dans la joute qui leur assurait la ronquétr de la Coupe Allan, les nouveaux champions amateurs du Canada célèbrent avec une Joie indescriptible tout en entourant avec fierté cette coupe mise en compétition depuis 41 ans. En plus des joueurs des Sénateurs nou* aperce­vons à l'extrême droite et tout souriant le coach GEORGE iBucki BOUCHER. (Photo Canadian Press)

BASEBALLV,]T A, Vho, M,ke fando™ sauf au premier sac.huitième sur un simple plutôt chan f5#,rniPr araîr retiré mais Little

HIERCsnado-Américaine

ceux A la troisième “Dannv" avait ^ retiré, mais Little: schcnetta'tly j. Trois-RiviereV, /-liffcrà moi. i» pr, a* s«mWa échapper la balle après 1'»- amaiardam i. eutafitld s marché Clifford, mais le plis en dé- v , du lanceur Homoknv U Onconta s. Gloversviiie u

faut SUr les buts par après. on. lo htn. ^ 1 Uf». Nationale, , . „ prétendit que la balle tomba- au sol Pitui>ur|h i. Boaton tras lents a égaliser quand il fit son mouvement pour la! St-Louis u Brooklyn s

Les visiteurs prirent une avance ! retourner à ses coéquipiers, mais! Ni’î!t?râr2ïJLde 2-0 a leur premiere apparition au Guzetta n était pas d accord, bâton, mais les Braves égalisèrent!dès le tour suivant Fandozzi eutljWd"’ ».c -i un but sur balles et Heximer cogna BnokVr, e c.' immédiatement un simple, mais fut unie. ’ i n retiré au deuxieme en tentant de weuçn, roc. faire un double. Avec Fandozzi au ! Hotund,' c. d. troisième, Nance plaça la balle entre ! Biano. j b ' l'arrêt-court et le troisième pour un MMtroinni, un premier point. Nance iui-mème Hora',lta>'' an compta par après sur une balle pas­sée et une erreur de Bland sur le roulant de Lawing.

Mastroianni chassé Décidés à démontrer leur puis-

ReerCann, Un

ROM K b 7

34 2 434 3 1 1 2 1

Liftic AméricniiifNew-York 1, Détroit 4

3 : Lifae Internatinnulf

pluiei

30 3QUEBEC

b 24

Fkindozei, 2 bHeximer, c. c.

sance, les locaux ajoutèrent un point ! shfUe’r, \ dans chacune des deuxième et qua-! Lawing’. c. c. trième manche, commençant leur j Bronchich.j. d. travail avec deux hommes de retirés : H'1|n,;!0,,’g.et personne sur les sacs à chaque Dar.eifshm. un. s 3 3 e. 3fois. A la quatrième. Ils chassèrent j — ... ..Mastroianni du monticule avec un n„mf 30e 000 01 n 3 s 3total de cinq sur trois doubles par Québec îu mo aox n «1 1namUishfin Manrp et Rhptler pi Erreur» : BUnd '3p Little. Hume!, pointsuaneusnen. Mante et. anewer ei UUfi citftard Lime c-. He.ti­tras simples par Heximer, Chrtler eî Nlnct shelter (3. Lantn* (3i, Hroncich. En quatre manches et Hronchick 1, au Top 131 Danalithen

tiers. Mastroianni donna 12: h«uii buts : Little. Hronchich, Dansli-* '.2'. Nance, Lawing

:'Ât Vf mm h!<»h

PICHENETTES Les links se durcissent.On a dégradé les Colonels.

uncoups sûrs.

Julius lut succèdeLe vétéran Julius Homokay, bien

:îh«nButs volé* Hronchich.Doubles-Jeux : Smith n a LitUe;

Reese A Bland i Smith; Hamel a Fandaatl. Laissés sur les buts Rome 4. Qué*

connu des amateurs québécois, vint bl>J1„ d, Maatrni,nnl ,refroidir l'ardeur des cogneurs lo- mûkay o. cann e. Daualiahen 4 eaux, mais pas pour très longtemps. Retirés au bâton par : Mastroianni 0, H lança seulement la cinquième s1(jrsc%nonnt0r; 12.manche par après et il fut touché pour 9 polnih^n 3 1-3 manche*. Homokay pour deux doubles et autant de 5 pour 4 pointa en l 2-3 manches; Cann 3 simples pour quatre autres points. B0MaUV°‘"àn "r : m!uroUr.nl u,.Le gaucher Bill Cann blanchit les Lanceur perdant Mastroianni Feinte locaux à la sixième et à la huitième (Balki : Cann. mn-ée de la partie 2 heU'

Baltimore 2. Rochester 4 Syracuse 8. Toronto 7

Ligue NationaleAUJOURD'HUI

Canada-AmériraineSchenectady a Québec R^wne. à Trois-Rivlère» ■ double i Ambierdarn a Pittsfield One nia à Gloversville

Ligue NationaleSi-Louis a Brooklyn Chicago à New-York Cincinnati à Philadelphie

Ligue AméricainePhiladelphie à Chicago i.soir) Boston a St-Louis New-York k Détroit Washington à Cleveland

Ligue Internationale Newark à Montréal Syracuse à Toronto («oin jersey City à Buffalo (loin Baltimore à Rochester «soin

Ligue AméricaineCAN ADO-AMERICAINE

Nos lutteurs juniors intéressent à neuveau à leur deuxième séance

Pour une deuxième semaine con­sécutive ies lutteurs juniors ont su présenter à la Tour un très intéres­sant programme qui a su capter l'intérêt soutenu de tous les ama­teurs présents tant, par la variété des prises savantes qu'on y vit que par les nombreux échanges de coups qui se succédèrent à intervalles ra­pides et multipliées.

Dans une deuxième finale à l'em­porte-pièce les deux lutteurs aux prises soit Bob Kaiser et Paul Kelly surent tenir l’assistance continuelle­ment sur le qui-vive grâce à une

suite de coups répétés au corps de son adversaire il s'est vu concéder la première chute au bout de 14.59. Dès le début de l'engagement sui­vant. Kelly, un solide athlète qui fe­ra sûrement son chemin dans le sport de la lutte car il est très fort et sait se servir de sa tête dans les moments les plus difficiles pour sor­tir d’impasses paraissant sans issue, ne prit guère de temps à deviner les Intentions de Kaiser et c’est avec une double clé de jambes qu'il réus­sit à s'emparer de cet engagement au bout de 1.55 . . . Le troisième

suite de coups et à succession de engagement fut une affaire de 10.56 prises qui ne le cède en rien aux et une décision nulle car l’officiel

mais fut victime pour quatre points rc^0ltrf,sdans la septième, dont le premier buo

au m&rbrel Ouaetta.

Daigle. Sur Iw

Ils les imitent à la perfection.H est solide “Groth" comme gâ­te "tube’’ était demeuré à Laval.

On favorise maintenant le Royal chez les journalistes de

G P Moy DlffAmsterdam n 4 M6Oneonia g b 61ftSchmectady 7 5 fi83 '2

Québec 6 b §45 ;Rome 7 a 337 1PittîfieJd f 7 4A1 2Trois-Rivières 4 a 400 2 ViGlovtrsvllle .1 10 230 5

LIGUE NATIONALEG ? Moy Difi

New-York 13 7 850Boston 12 » 571 l»*jBrooklyn U a MO 3PhilAdelphl' 10 t! ♦78 31?CitMinniti 2 10 474 3 VjSt-Loula a 10 «4 4Pittsburfh 0 12 ♦2fi 4’ aChicago 7 n 3M b

MG U F A MURK AIN»;G p Moy DlfT

New-Ycrk 13 b 750Détroit 11 7 811 3Cleveland 4 6 800 3 VaChicago 10 10 500 5Philadelphie 10 U 478 5 VaWashington 10 11 478 5 VaBoston 0 9 471 5 VaSt-Louis 3 17 150 12

10 mai

SPORTIL Y A . . .

49 ans — New-York bat BostonWinnipeg, 10. (PC) Les rédacteurs j ils ont l’habitude de tous se lancer j'Américaine «u compte de 4

Aurélien bal le fer quand il est j sportifs du Manitoba ne se gênent | après la rondelle, sans prendre le à 3 en douze manches. chaud. I pas pour dire que la cause des [soin de laisser un homme devant

plus beaux spectacles présentés par des artistes du matelas reconnus depuis belle lurette comme des lut­teurs professionnels. Dès le début des hostilités, Kelly {se servit d'une prise qui est la réplique exacte et fidèle de la fameuse clé japonaise dont se sert de façon si effective Yvon Robert. Quant à Kaiser il nous a fourni hier soir une des plus habiles exécutions de sa jeune car­rière et nous n’hésitons pas à dire qu'il est devenu en très peu de temps un des favoris de ceux qui aiment la lutte dure et brutale.

Comme I! fallait s'y attendre Kai­ser hier soir n'a pas fait mentir la réputation qu'on lui connaît et à la

Au tournoi reprise de Sl-J.-Baplisfe

Mlle J. Di Gaetano et Roméo Di

tion dans le tournoi “Double Mixte Reprise" à la Salle de Quilles St- Jean-Baptiste en roulant une moyenne de 1402.

André Villeneuve, J.S.S.M. a roulé 221 sur chacune des allées 5 et 6 et totaliser 1325 points pour une moyenne de 165.5 et ainsi prendre !a Sème position dans le "Big-Six".

Dans d'autres groupes qui partl-

Bravement la tête.

ils s'acheminent vers

Deux directeurs ont manqué de direction.

“Tommy” fait rien.

ou '‘Jimmy” cela ne lut

A chaque paroisse son parc d'a­musements.

j pasWheat Kings de Brandon est tout simplement perdue, dans cette sé­rie contre le Royal de Montreal.

Voici ce qu'écrit Vince Leah du Winnipeg Tribune, dans sa co­lonne de lundi, après la victoire remportée au compte de 7-4 par le Royal. "Excusez-nous si nous sem- blons pessimistes ce matin, surtout

A quoi sert-il de te chamailler pour si peu.

Le 22 mai poissons et chevaux se­ront réchauffés.

Barrage de coups sûrs tanche de points.

ora­

les filets ennemis.Al Hooper i Winnipeg Free Press)

dit que le Royal n’a jamais été réellement en danger au cours dé la partie de samedi, et il croit que le gros avantage du Royal résiste dans son merveilleux jeu défensif. En plus, le Royal est des plus ha-

20 ans — Les Chappies de Nap. Côté de Québec triomphent du Huil par 5 à 3 lors de l'ouverture offi­cielle de la Ligue Provinciale.

10 ans — Fernand Ouertin rem­porte le championnat du Canada chez les damistes en triomphant de Marcel Deslauriers l’ex-monarque.

Autres joutes de la vCanam’Onecnt*G'ioversville

Moueypcnny.

000 001 001 bol

Yodîln '41

Vn arbitre bénévole s’en est tire avec, des ecchymoses.

Ces jeunes lutteurs connaissent leur rôle à la perfection.

Tout dèiiend de la manière dont on tombe sur le. plancher.

Réunion au tennisIl y aura une assemblée du club

de tennis Victoria mercredi à 8 heure p.m. au chalet central de L’Oeuvre des Terrains de Jeux, parc Victoria, annonce M. E.-Femand Guay, administrateur.

Meilleurs quilleurs à Saint-Sacrement

Voici I?1 vedette au tournoi de quilles mixte paroissial de 6t-Sacrament.

RpfDrd»- rTallfea: ■—AlléeNo 1—M. iLonel Moore.

Mme P.-E. Labrerque No 2—m. Gaston Anaer*

Mlle Wella Trigg* jîo 3—M. Maurice Reauûet .

Mme U. Barbtn No 4—M. Roger Couture

Mlle J.-D'Arc Cioutier No h—M. Armand Fleury

Mlle Noëlla Labcrge No 6 —M. Raymond Beaulieu

Mlle Jeannine Normand

biles à profiter des “breaks”, car après avoir louangé les Wheat [la majorité des buts comptés par Kings durant toute la saison, mais | le Royal, l'ont été de façon rapide, il semble bien que la coupe Me-1 à tel point que l'adversaire n’y morial sera gagné par Montréal, [ voyait rien.cette année, pour la première fols”. ; Ce qui semble le plus surprendre

Se basant sur la rencontre de sa- les amateurs de l’ouest, c'est qu’on medi dernier, Leah dit franchement i ait réussi à bâtir une équipe aussi et Dccender; smith et sackaque les hommes de Tag Millar sont | forte, tout en travaillant dans le Amsterdam too oooplus rusés, plus rapides et, ont plus [ silence presque complet. On a de fini que les champions de I commencé à parler des chances du l'ouest. ! Royal, une semaine seulement

avant le début de la série contre D a baaucoup de bonnes choses j Brandon,

à écrire sur le compte de Bob Frampton et sur celui de Gordie Knuston, mais il s'en prend quel­que peu au manque d’enthousias­me des Wheat Kings et plus spé­cialement sur la tenue de Frank King, capitaine du Brandon.

Il semble que les Wheat Kings ont commis pmlusieurs erreurs au cours de la série. Par exemple,

iw « 1S 3 Jlx 15 14 d

Blackmore 0

Suspension de trois tennismen américains

Montréal. 10. (DNC) L’Association

ooo 1 23Pittsfield ooo ooi &2x a 10 2

Br»fita, Bergstrom '0) et O'Lari; M*augaet Hoskins.Schenectady J00 000 100 2Trois-Rivlère* 202 200 20* * 13 0

Zivlck, Thompson et Keen. Beaue-hesne et Hall.

Adams fut forcé de compter les deux lutteurs en bas de l’arène où les avait entraînée une mutuelle pri­se de corps . . .

En première finale, Pat Lawrence a donné à nouveau une exhibition de tout ce qu’il peut faire endurer à un adversaire qui lui déplaît et il a réussi à prendre les deux chutes de son combat 2 de 3 contre Phi! de la Rosbille en 7.58 et 12.20. Dans ce match officié par l'arbitre La- combc, Lawrence a donné un aper­çu du vaste répertoire de prises dé­fendues qu’il possède et devant ce barrage continue de la Rosbille ne put faire mieux que de concéder, bien K regret, un match contre un adversaire qui se servait de toutes les occasions pour triompher.

En préliminaire Maurice Darvenu l'emporta contre Laurent Taillon dans un match qui ne manque pas d'intérêt. Darveau utilisa maintes fois la fameuse prise de l'ours ou du maquis qui rmdit célèbre T'Ange" Tillet et Taillon lui appliqua sa clé Japonaise, Finalement les deux lut­teurs allèrent choir en bas de l'arène et Darveau étant remonté avant la fin du comptage officiel fut dé­claré vainqueur au bout de 8.06.

Killer Wagner et J.-P, Joncas sous la surveillance de Jack Adams four­nirent un combat sensationnel. Wa­gner nous rappelle le style de l'ex fameux "Rough House" Bob Wagner qui était la terreur des arènes il y

Brooklyn, 10 (PA) Les Cardinal» de St-Louis, qui avaient perdu une partie contestée à Brooklyn, diman­che, n'ont pas voulu prendre de

! chances hier, alors qu'ils ont frap- ipé six lanceurs des Dodgers pour [un total de 15 coups sûrs et rem- i porté une victoire de 14-5 sur les i Dodgers.i Les gros canons des Cardinals fu- ! rent la recrue Eddie Kazak et Tom- [ my Glaviano. Kazak fit compter [cinq points avec un coup de deux- [buts et un circuit alors que les [buts étaient remplis. Tout cela à ! la huitième manche. Eddie frappa ce [circuit contre le lanceur de relève Joe Hatten.

Glaviano fit scorer quatre points, lavée un circuit, un double et un slm- [ple. Tommy frappa son circuit, bon Ipour trois points, à la troisième [ manche, contre le lanceur recrue [Clarence Podbielan, qui débutait [dans une partie pour la première [fois.

A! Brazie, qui débuta pour St- Louis, fut envoyé aux douches, à la septième manche, après avoir ac­cordé sept coups sûrs et tous les points du Brooklyn. H fut, remplacé par Howie Follet, qui réussit à con­server la victoire à Brazie. Ce der­nier n'a subi qu'une défaite depuis le début de la saison.

Jackie Robinson fut la principale vedette des Dodgers, avec un circuit bon pour deux points, en plus d’un couple de simples. Mike McCormick a également frappé un circuit pour les Dodgers.St-Louis 304 100 250 14 15 2Brooklyn 010 120 100 5 10 3Brazie, Follet (7i et Garagiol*: Pod- biielan. Martin (3> McGlothln (5) Van Cuyk (7) Hatten (8> Mlnner (8) et Campanella.

VICTOIRE DE BICKFORDBoston, 10 1PA) Le lanceur droi­

tier Vern Bickford, qui avait été Incapable de lancer une manche complète, dimanche, a espacé trois coups sûrs aux Pirate* de Pittsburgh hier, pour aider les Braves de Bos­ton à monter en deuxième position de ia ligue Nationale, avec une vic­toire de 4-1.

Une foule de 13,706 amateurs a vu Murry Dickson, lanceur des Pirates, lancer pendant sept manches, avant d'ètre remplacé par un frappeur de relève.

Bickford a retiré six hommes au bâton, accordé deux buts sur balles et retira dans l'ordre les 16 derniers frappeurs à lui faire face.

Les trois coups sûrs qu'il accorda furent tous des doubles, dont deux à

la quatrième manche, sur les dou­bles de Ralph Kiner et Ed Fitzge­rald, pour le seul but des Pirates. Pittsburgh 000 100 000 1 3 0Boston 010 001 llx 4 10 0

Dickson; Casey (8) et Fitzgerald; Bickford et Salkeld.

AUTRE GAIN DES GIANTS New-York, 10 (PA) Les Giants de

New-York ont remporté leur sep­tième victoire consécutive dans la (ligue Nationale, hier, quand Us ont [battu les Cubs de Chicago au comp­te de 7-2, derrière le beau travail

[du lanceur Sheldon Jones. Sfd Gor- [don et Willard Marshall ont frappé i chacun un circuit pour les Giants.

Par suite de cette victoire, les Giants sont demeurés en tête de la ligue. 11-2 partie en avant des Bra­ves de Boston, les champions de l’an dernier. Jones accorda un total de neuf coups sûrs, mais il les a es­pacés, exception faite de la deu­xième et cinquième manche, alors que les Cubs comptèrent leurs buts.

Grimm envoya cinq lanceurs dans l'espoir d'arrêter les hommes de Léo Durocher, mais ces derniers y allè­rent quand même de leurs coups sûrs, aidés de 16 buts sur balles.

Gordon frappa son circuit à latroisième manche, alors que Lock- man était sur les buts, tandis que Marshall frappa le sien, i la septiè­me manche, avec personne sur les sentiers.Chicago 010 010 000 2 9 0New-Yorll 012 020 20x 7 7 1

Hammer, Adkins (4> Dobernic (Si Kush (6) Sloat (8) et A. Walker; Jones et Cooper.

Tournoi mixte

cipèrrnt à ce populaire tournoi aucours de la dernière semaine. E ja quelques années. Il y a de tout enDionne Joua pour une moyenne de 147.5 pour être le meilleur des re­présentants de l'Action Catholique. Jean-L. Bavard, de la Pâtissière Enr.. Gilles Ratté, des Accidents du Travail], R. Martei, du Château Frontenac: et J.-M. Langlois, du Comptoir Ste-Claire ont pris la pre­mière position de leur groupe res­pectif. Chez les dames. Gemma La- brecque, Québec Piano Moving, a roulé une moyenne de 108.1 pour prendre la quatrième position dans le "Big-Six” Féminin.

Ce soir, à St-Jean-Baptiste, les allées seront occupées par un grou­pe des Filles d’Isabelle tandis que chez les hommes on verra les repré­sentants de la Société St-Vlncent

, 0 de Paul de St-Jean-Baptlste.

Quilleurs (,N.R.Les activités des 9es Tournois

Provinciaux de Petites Quilles. Enr'g, et de l'Est du Canada, vont sc continuer ce soir à la salie pa­roissiale de St-Malo alors que les quilleurs du C.N.R. de Québec se­ront au programme sous la direc­tion de M. Gravel.

Egalement ce soir, dans la sec­tion féminine, les quüleuses de l’Union Commerciale de Québec oc­cuperont les allées sous la prési­dence de Mlle Irma Gagnon. Plu­sieurs excellentes quilleuses compo­sent ce groupement.

Hier soir, à St-Malo, dans la sec- matinée intéressante de courses sous 1 tion féminine, Mlle Marguerite

la phis par le promo- Blouin a remporté ies honneurs dumauvaise conduite. Les trois joueurs ! Roi^nd Ste-Wie a été heureux

Savoldi s'alliera à Christie lors de la finale de lutte par équipes

Killer Christie, l'un des plus rudes.che. Bob Nelson, un lutteur qui lutteurs qui soient passés à la Tour,[promet fera face à Al Tucker tan- sera de retour à Québec vendredi [dis que le noir Tiger Flowers a été soir après une absence assez pro- j opposé à Jacques Trudeau. (—)longée. Ce solide athlète fera équi-j---------------------pe avec le non moins fameux An-; . _ rv L !•gelo Savoldi qui est en train de se /\(J PgfQ KICn6il6U

iwuiiiara., .v. tailler une réputation de vilain. Ilde tennis sur table des Etats-Unis ; n’y a pas à dire que cette «qulpe|

! a. annonce, hier, la suspension de j est des mieux balancée* et sera

ont été suspendus pour un an. d'obtenir l'engagement de deux so­lides athlètes pour faire face au

yïo 3—M. Adrien Licrotx ...................ISO

1»3 . 4Elmer5' Cinnat*r. 6 Prés'?«nt ,d«!premier duo mentionné. Ce n'était m Association a décla e que facile de trouver des adversairesn* Joueurs étalent: R chard Miles. 23 ^ui ne cralndraienl pRS d af{rontar us ans. champion national, Martin^ m. Ste-Marie a misj ?! j Reisman, 19 ans, champion anglais iKi [et canadien; et Douglas Cartland,U-* 133 ans, classé comme quatrlère meil^ iss j leur joueur aux Etats-Unis.

Mme G. Lurochelle Ho 8—M. Armand Fleury ....

Mlle Gisèle Rocfcetle . Meilleure p*rtle simple du tournoi:

Mv Raymond Beaulieu ... Mile Nofcll* Laberge

Meilleur triple i dare du tournoi: M. Armand Fleury . . . .Mmr G. Laroeheüe

tour d'une brillante tournée aux Etats-Unis. Moquin sera le com­pagnon de Georges Cagney. Tous deux sont habitués aux combatsiss Cinnater a ajouté que Miles et

îl? Reisman ont souvent manqué de [d’équipes et uniront leurs forces remplir des engagements et qu’ils : pour remporter la victoire.

?12 avaient manqué plusieurs matches [ Une semi-finale qui captivera lors des séries pour les champion-[l’assistance se livrera entre Salva-

533 nats mondiaux en Suède récemment, i dor Cortez et un nouveau venu dontMèllUur^tetiî'd* point* tôt*, p.r éjm Cinnater a. ajouté que Cartland on dit beaucoup de bien. H s'agit

chique soir : avait été suspendu pour avoir discuté de Ali Pacha, un barbu qui est un> mal— Mm* F -E- Ltbrecque It ...................................... ' • ' ----------- -

M. Lionel Moore3 mal— Mlle Noèlla Laberge et

M. Marc Garneau4 mai—Mme Armand Fleury et

M. Armand Fleury5 mai— Mme G Larochelie »t

M. Camille Dearoche* . .

lui. Il y g du Savoldi. du Legrand et ia ruse d'un Schacht. I! avait affaire à rude gaillard hier soir en Joncas et ce dernier appliqua moult savates mais il en manqua seule­ment une et Wagner, toujours aux aguets en profita pour lui river les épaules au bout de 11.05,

Tony Raski et Jack Dubois se li­vrèrent un autre combat dont les amateurs se souviendront long­temps. Pour une des rares fois i la Tour un lutteur au cours de l’en­gagement passa directement entre les cables de l'arène sans toucher à ceux-ci et ce fut quand Raski s’em­porta dans une rie ses colères qui lui sont coutumières. Dubois rea monta sain et sauf cependant et s'empara de la deuxième chute au bout de 16.31 après avoir gagné la première en 4.28.

Les quilleurs du lac Sf-Auguslin

La ligue de quilles du Lac St-Au- gustin, en date du 3 mal dernier, a présenté sa finale 4 de 7, qui met­tait aux prises les équipes Godbout et Commodore. En présence de .sup­porteurs qui ne ménageaient pas leurs applaudissements et encoura­gements, l’équipe Godbout avec l'a­vance des trois premières parties d'affilée ne redouta pas les efforts de l’équipe Commodore qui revint de l’arrière avec deux parties consé­cutives pour mettre l’enjeu 3 à 2, mais i bout de forces le Commodore céda devant Godbout qui remporta la sixième et dernière partie par la marge confortable de 76 points pour gagner ainsi son premier champion­nat des quilleurs du Lac St-Augus- tin et. le trophée emblématique

Chez les vainqueurs, Mlle Gaby Noèl et M. Roger Brlndamour furent en vedette. Du côté des vaincus, Mlle Rachelle Bédard et Mme Gem­ma Béland firent de beaux efforts.

La’direction de la ligue remercie tous les quilleurs et quilleuses de leur concours durant la saison et les in­vite ainsi que leurs parent* et amis à assister à la distribution de prix qui aura lieu à la Salle des Cheva­liers de Colomb, Chemin Ste-Foy mardi, le 10 mai, à 9 heures p.m. U y aura danse et buffet.

Résultat détaillé de ta finale ;oonaour

Au '. -nique des Techniciens

Lors du pique-nique de l'Ecole Technique à Notre-Dame des Bols, les professeurs ont rencontré les élèves dans une Joute de balle mol­le. Les élèves ont remporté la vic­toire au score de 22 à 13. Dutil, Tremblay et Plaisance se sont si­gnalés pour les gagnants en frap­pant les plus longs coups de la Joute. Chez les professeurs. MM. L,- P. Culet, M. Marchand et R. Gi­roux ont obtenu les meilleures moyennes.

Le seul double-jeu de la rencon­tre fut exécuté par les élèves par l'entremise de Plaisance et Poitras.

II y eut ensuite des courses d'un

113 93 131 105 89 115 648Reland Bolvln

91 na 91 n 80 92 529Yvette LKllberté

§1 82 104 77 74 n 517Roger Brlndamour

98 Iftt 136 m 141 1st 746Roberf, Godbout

118 118 139 143 78 m 705

497 480 601 533 462 569 3142COMMODORE

Owmma Béland71 67 78 104 79 13 482

Gemma Beaumont 77 09 97 138 78 76 535

Rachelle Bédard104 137 15 111 83 ir 712

Rémi Godbout66 92 89 82 94 96 521

Paul B-éland120 S3 1)1 A 138 158 118 732

440 448 538 373 490 ♦93 3002

à Si-SacrementLe tournoi mixte de petites quilles

de la paroisse St-Sacrement *e con­tinuera ce soir. A 8 heures sera Jouée la quatrième ronde à laquelle

! participeront les Joueurs qui n’ont pas été éliminés à date. En voici les noms:

Dames — Mme Armand Fleury, Mlle Jeannot Normand. Mme Renée Daigle, Mlle Kitty Thompson, Mlle Marlelle Drapeau, Mme L. Desro­che;,, Mme O. Larochelie et Mlle Jacqueline Bédard.

Messieurs — Georges Bussières, Jean-Charles Bégin, Gérard Beau- lieu, Roger Couture, Adrien La­croix, Jacquelm Delislc, Camille Desroches et Armand Fleury.

Dans le concours "consolation", a 8 heures, Joueront les concurrents suivants:

Dames — Mlle Jeannine Nor­mand, Mme N. Lévesque, Mme C. Huot, Mlle Louise Thompson, Mlle Lucienne Bégin, Mie A.-M. Noël, Mme L.-H. Faguy et Mlle Wella Trtggs.

Messieurs — Florian Ouellet, Maurice Audet. Marcel Bellavance, Louis Gauvln, Adrien Fleury. Rol­land Bastien, S. Larsom et Roger Bastien.

A 9 heures, dans le concours “consolation", joueront;

Dames — Mlle Cécile Gagnon, Mme Paul Gauvin, Mlle Fernande Bastien, Mlle Annette Trahan, Mlle Noëlla Laberge et Mlle OLsèle Ro­chette,

Messieurs — Yves Demers, Alfred Bussières, Antonio Bussières. Yvon Vézina, André Fleury et Edgar Gau­vln. ____________

Avis aux promoteurs de sports et d'amusements

I.e Heleil rappelle aqx pro­moteur* d'érénrmrnts «portlfs, d'amusrments et de spectacles ainsi qu'à leurs agents de pu­blicité qu’ils n'ont rien à payer à qui que ce soit pour obtenir la publication rie nouvelles dans ce Journal.

Les pages sportives sont ou­vertes gratuitement à tous lors­qu’il s'agit de nouvelles et le personnel du Journal n a pas le droit d’exiger ou d'accepter de l'argent ou quoi que ce soit pour la publication de ees nouvelles, pas plus que les promoteurs ou Int sportifs n’ont le droit ou l’obligation de nayer dans ce cas. S'il s’agit d'annonces ou d* réclames, le Service de Publicité est à ta disposition de tous.

Ce règlement s'applique d’ail­leurs à tous les autres domaines du journal. S'il y a infraction les coupables chei nous s'expo­sent à être éconduits ; les res­ponsables de l’extérieur se ver­ront refuser toute publicité dans ce journal, pour eux ou pour leurs entreprises.

LA DIKECTIOi*

cla-sses sont au programme. 103.1.Afin de se rendre à ia demande chez les quilleurs des Sénateurs, i

des éleveurs de chevaux de la pro- dirigés par Jacques Ptnsonncault, <*« c*nt verges. Frang Fer*vince de Québec, Armand Plouffe a [Gérard Saillant a remporté Ja pre- guson gagna la course d'un mille annoncé que le stake de $1,000 pour mière moyenne avec une marque de en 8 minutes. U fut suivi de Ray-les poulains de trois ans sera dis- 130.7 et pour les quilleurs de Gar- numd Couture et d'André Garceau.puté le 14 août prochain. Seuls les neau Liée, J.-L. Fortin mènalt à Dan* la course de cent verges,poulains nés en 1946 et élevés et en- 11,00 heures, hier soir, avec une Jacques Lafontaine termina pre-trainés dans notre province pourront ! moyenne de 138.6. mier en 11 secondes. Raymond Cou-partlciper à ce stake de $1,000 qui: Nous donnons cgi-desfsous les i"’lre ®t Frank Ferguson le suivirent

classements à 11.00 heures hier soir de près.ainsi que l'état des big-slx présen- ; Dans le lancement du poids, Ray- >ement [mond Couture et Etienne Martel

1 _______________ [eurent un premier lancer de 40pieds. Dans l’élimination, Couture eut une marque de 41 pieds et Mar­tel 37 pieds. M. L.-P. Culet termina

mmmwonujom m 'muREtmursoms

Sans yif08nj voilant*/

suscite un immense intérêt.

Gain aux quillesLes quilleurs de l'équipe “Librai­

rie Gameau" l’ont emporté par une marge de 84 "pins” lors de

Défi aux quillesL'équipe de quilles Gaiant-Bo',- en troisième place avec 39 pieds

it« trop cavalièrement avec les officiels;vilain de la pire espèce. Cortez a leur récent match contre les qui!- duc lance un défi à l'équipe Decrol- Jacques Lafontaine fit le meilleurlors du tournoi à Stockholm et pourjivré des combats sensationnels a leurs de "Simard & Voyer" de selles-Blondeau pour un match avec lancer du disque avec une marque

,04 avoir manqué de participer au tour-'Québec et il a été choisi haut la Beauport. Ces derniers roulèrent enjeu que i on disputera à la salie de 89 pieds. Etienne Martel et Jean-*i« noj national à New-York cette an- main pouf affronter l’étranger 1781 contre 1845 pour les vain- paroissiale de Limoilou. Prière de Noël Poitras eurent des lancers de

Deux autres combats sont à l’affl- queur», répondre par la voie du "Soleil”. 84 et 78 pieds.

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Quant à ses parents, en ce moment, elle les trou­ve tous insupportablement agaçants. Sa mère est de la meilleure humeur du monde et au goûter ce jour- la elle a ennuyé Line en lui annonçant quelle allait essayer de trouver un second jardinier. "Le vieux Torn ne peut réellement plus suffire 8 l’ouvrage que nous avons.”

— Mais, ma chère maman. lions ne pouvons nous permettre cela, s’est exclamé Line.

— Non-sens, Je pense réellement, Line, que Gor­don serait terriblement déconcerté de voir comment je jardin a été négligé. Il était toujours si particulier au sujet de la plate-bande, et de l'herbe qu'il fallait te­nir rasée, et des allées à entretenir en bon état —• et regarde-moi cela maintenant. J'ai l'impression que Gordon voudrait tout faire remettre en ordre.

— Même si pour cela nous devions emprunter de ! argent de sa veuve,

— Je te l'ai dit. Line, Rosaline n'aurait pu être plus gentille è ce sujet. Je crois réellement qu’elle a vu mon point de vue. Apres avoir payé tous les comp­tes, j’ai à la banque une belle balance à mon crédit. Et je pense réellement qu’un second jardinier constitue­rait une véritable économie. Songe au surplus de lé­gumes que nous pourrions cultiver.

— Nous pourrions acheter tout un lot de légume^ en surplus à bien meilleur marché qu’un autre trois- Uvres par semaine.

— Je crois que nous pourrions avoir quelqu’un à meilleur marché que cela, chérie. Il y a présentement rise hommes licenciés du service militaire qui ont be­soin de situations. C’est du moins ce que dit le Journal.

Roman-tfeiiftlelon du ''Soeil” 93

D’un air impassible, presque boeuf, il écoute le résumé succinct que Béatrice fait de la conversation qu’elle' a surprise. Une fois qu’elle 1 a terminé, elle attend dans l’expectative.

Il se passe une couple de minutes avant que Re­né revienne â lui. Puis il se lève.

Merci, Béatrice, dit-il. Merci beaucoup.Sur quoi, tl sort immédiatement de la chambré.

Béatrice se sent quelque peu dégonîlée de son impor­tance. Bile a réellement pensé en elle-même que mon­sieur René aurait pu dire quelque chose.

Lorsque René quitte le Stag, U tourne automa­tiquement ses pas dans la direction de chez lui mais, après avoir marché quelques centaines de verges, U s'arrête brusquement et revient sur ses pas.

Son esprit prend les choses lentement et le premier étonnement que lui ont causé les révélations de Béa­trice ne fait que commencer à donner place a une véritable appréciation de leur signification. SI la ver­sion qu’elle a donnée de ce qu elle, a surpris ast cor­rect, et U n’a pas de doute qu'en substance elle l'est, alors il s'élève une situation qui concerne de près tous les membres de la famille Cloade. La personne tout indiquée pour s'occuper de cela est clairement 1 oncle de René, Jérémie Cloade. A titre d’avoué. Jérémie Cloade saura quel usage faire de ces renseignements surprenante, et exactement quelles démarches entre­prendre.

Bien qu’il eût aimé agir lui-même, René, plu­tôt de mauvaise grâce, se rend compte du fait qu'il sera bien préférable de confier l'affaire à un avocat avisé et expérimenté. Le plus tôt Jéremie sera en possession de ces renseignements le mieux ce sera et. en conséquence, René se dirige immédiatement vers la demeure de son oncle dans High Street.

La petite bonne qui lui ouvre la porte l'informe que monsieur -et madame Cloade sont encore à la

n LE SOLEIL, Québec, mardi(Suite de la page 17

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de maladie soufferte avec une très cel Lafrance. cousin du défunt, grande résignation, décédait pieu- Nous pouvions voir aussi le Dr J - sèment, a l'Hôtel-Lieu de Levis, le I. Pageau, président, et les officier.' 26 avril dernier, à l'âge de 25 ans de la Ligue du Sacré-Coeur.

• Le deuil était conduit par son pè-

Tremblay et. Gilbert Lizottp, tous real, et le camion rouge dans le' cousin- du défuni. 'hamp. renversé sur !e ct6e, le pneu

Les porteurs d'honneur MM. gauche d'avant crevé, du même côté Çhark- Kidd, Léonard Laplante. de la route, a1 quelque 60 pieds de Bertrand Forest, P.-Emile Hudon. l'automobile. Un autre camion était tous directeurs de la Chambre de arrêté sur la route, sous la charge Commerce. qe m. Laliberté. avec qui parlait,

La Croix était portée par M. Mar- Maurice Fortier. Fortier avait l'airnerveux, dît-il; et il sentait la bois­son

v*-v Vf ] nbbé Fortier M i abb*Mtrte-Louls B*lîeau M ’• abbé Juif Eir.ond M. i abuè Eugene Nflchaud et lé Pw P. Télesphore Roy.* m s.c.

Dans le défilé, à la suite du corbillard que précédait un landau charge de fleurs, : le deuil était conduit par le» fil» de la défunt MM Edward B»i' et Eric Biais, »ea gejhdrea. Me Edgar Gossehq» e.r.. et ! le docteur Jule» Hallé: aes beaux-fils, le I P. P. Alphonse, M. L.-T. Biais et M. ; Henri Ditcloa; se» neveux, le docteur! Edt'u«rd Morin. George» Dagneau et John ; lerer^; se» cousins, MM. Edmond Léo­

nard Peter Lymh Luke Lynch, le colonel L. Van Borren, William Kaptain se» beaux-frère» le R F Odilon, le séna­teur Aristide Blais et E.-W levers.

A «a suite de» memore? de la famille, on voyait encore M. le commandeur Henri Gagnon, president et directeur gé­néral du Soleil", le docteur Rosaire GingraK F. Drouin, c.r.. Jacques Drouin, c.r.. Antonio Langlai». c.r.. le major A Langlaiv. c Travis. P-E. Levesque. Ro-■ berf Blais. G. Pelletier. G Falardeau F’. Fortier. L. Lynch. Raymond Fortier. ! Lotis-A. McNeil, Roger McNeil. Ernr.-t

RlaK le docteur F. Caron, la docteur Bergeron » -B Gilbert. G. Michaud. MéthoL W.-E. Bégin. Lucien Hallé, le rior- lenr J.-L. Petitclerr. J.-C.-L. Drolet. la­me» Terreau. E ParadK W Mackey. M. lessard, le docteur G. Nadeau. T.-J. Ju-

i lien, J.-S. Lindsay. C. Lindsay, le notaire Lavery Sirois. Pierre Blais, Ferhand Blais.

: John Davis B. Picard, J. Gaudet, le doc­teur R Gâudry.

M. Germain Léplnc, de la maison Adé­lard A: Gustave Lépine Engr, dirigeait les funérailles.

Nos condoléance» à la famille en deuil.

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' léohoné 272 W.

-En marge des faits'Suite de la page 9>

chefs politiques allemands af­firment que c’est la constitution la plus progressive qui soit.Fh bien ; ils vont avoir la

chance rie prouver leur affir­mation. Ils demeureront sous la surveillance alliée tant qu’ils n'auront pas démontré leur ca­pacité de se gouverner par eux- mêmes. mais l'objectif des Allies est d'y arriver le plus tôt possi­ble.

Les rédacteurs de la nouvelle constitution ont assuré la rea­lisation de leur déclaration des droits de l'homme eu prescri­vant des peines pour les uieta • tours éventuels qui “par la force ou la mena ce de force'’ pour­raient changer la constitution ou priver le chef du gouverne­ment de ses pouvoirs. Tout c- traiiffc que cela puisse paraître, la peine la plus sévère est l'em­prisonnement a vie.La nouvelle Allemaffne a abo­

li la peine capitale.

Le'médecin mandé sur les lieux ordonna le transport des blessés à l'hôpital. L'ambulance quitta Cap- Santé vers 8 h. 45.

A l'endroit où survint l'accident, il y a 20 pieds d’asphalte dit le constable, et 6 pieds d'épaulement

et .sa grand-mère : Mme WU- <»* ^ de,.la rout*: ^ soirmeme, ü lui fut impossible de re-

oncles et tantes : M. et Mme Gérard ; lever les traces d applications de Mercier, de Lauzon : Mlle Marie- freins.Amie Mercier, de Rivière Ouelie : Mais le lendemain, il put remar- M. et Mme Léon Lafrance. de Ste- quer sur le pavé un tracé qu'il croit Anne: M. et Mme Jos. Bélanger : avoir été fait par la roue gauche M. et Mme Jos. L:sotte : M. et d'avant du camion, depuis un pied Mme Edouard Gagnon, de Rivière à droite de la ligne blanche (à Ouelie ; M. et Mme F. Lévesque, de droite, en direction de Québec), St-Pacôme : ses cousins et cousi- jusqu’au camion qui se trouvait dans nés : M et Mme L.-P. Chamber- \e champ. , Il s'agit, selon le *té- land. de Rivière Ouelie, M. et Mme mojn, d'une “trace probablementL. -P. Courcy, de Ste-Anne. M. et, causée par le. dégonflement du Mme Théo. Fortin, de St-Pacôme : pneu". Ce serait la marque de laM. Paul Lafrance. de Ste-Anne . roUg après la crevaison. Le tracé Mme René Lévesque, de St-Pacô- ;esj marqué sur une distance de 4.1 me : MM. Paul-E. Lizotte, Robert ,ec]KBélanger, Gilbert. Pelletier. Robert q' £ y, ( > j f, \ a f ; j.' s D'EXPERTS Richard. M et Mme Wilfrid Mer- Au d^ut ^ la seance d'hier mer, M e Mme Edmond Mercter. aprgS.midj le procureur de la Cotl.n e R„-aP' ” w' u nViior t'0011® avait ouvert le procès en ex- et 6 mois, un jeune homme très es- Rtvirre Ouelie . MM. W. Bouche!..

timé de tous le , paroissiens de Ste-: A. Boucher. L.-V. Boucher. Z. Mc- . * • ......... 2. ‘ .Anne M. Réal Mercier, fils de mon- nard, de LTslet : Mlles Thérèse La- ^ établir . ^voir que I accident “est sieur J.-E. Mercier, (officier de ma- france, de Ste-Anne : Marthe. Ger- du * ! inculte et à la négligence rinei. et de dame Laura Bélanger.'maine Bélanger, de Rivière Quelle ; criminelle et. coupable de 1 accuse de Sainte-Anne-de-la-Pocatière. Gertrude, Rita, Thérèse. Jeanne Maurice Fortier : que 1 accuse était

M Réal Mercier au service du d'Arc, Léliane Mercier, de Riviere alors fatigué, pour avoir commence' Magasin Paul-E. Lebel de Ste-Anne Ouelie. * travailler a 2 h. 30 ou 3 hs“™s-depuis sa fondation, s'était acquis Suivaient aussi le corps : M. ei :cc matin-lâ. et pour avoir a usât con-,

(jp Mme Paul-E. Lebel et leurs enfants; sommp une certaine quantité de M. Julien Marquis ' et Mlle A. R°s' p0jMonsighol ; Mlle Lucienne Maurois : : i e premier témoin entendu fut M.j M. et Mme J.-Gérard Dubé : M- Maurice Hébert, photographe-dessi-j Louis-Marie Bérubé. Les élevés de:‘ teur de |a sûreté provinciale, quij la classe de Philosophie Jr. du col- . j jt , Cour un plan des rou- lège de Ste-Anne : les élevés du » , . ré-Ion en question, et;couvent des RR. SS. de la Chante ^ photogranhies tant, des’de Ste-Anne : les élevés de lecole ",des garçons de Ste-Anne : fin i routes que d^ :les Le procureur de la defense ftt aussiEpicTers Alliés de Rimouski, Saint- identifier par le témoin quelques Pascal, St-Jean Port-Joli et de photographies,Saint-Pacôme. Deux autres experts, le lieutenant

Une foule considérable de parents ! Maurice Deschesnes. de la Suit e et d'amis de Ste-Anne et des envi- provinciale, de Québec, et M. F. e- rons assistaient aux funérailles. pin. chimiste au laboratoire de la

La levée du corps fut faite par M. Sûreté provinciale, à Montréal, ex- le chanoine J.-T. Lemieux, de Lé- posèrent devant le tribunal des

Salut les Fumeurs!Cest qui vous parle!

Bien servir fait amis Offrir du La Salle fait de bons ami»

Ouelie.Suivaient aussi lei****' ; , 4

une très haute estime de la part la direction de cette entreprise et de ses compagnons de travail. Tou­jours gai, sympathique, il ne per-

'dait pas l'occasion d’aider aux or­ganisations locales ; et tous les pa­roissiens lui montrèrent leur recon­naissance en assistant nombreux à sps funérailles, voulant ainsi lui rendre la très grande part de consi-.délation qui lui revenait. Quel bel imposant représentantexemple de dévouement pendant sa vie et de résignation à l'heure de la mort ne donne-t-il pas aux jeunes de sa paroisse.

I! laisse dans le deuil, outre son père et sa mère, ses frères : Roger,Roland, Jean-Paul, Lionel, Jean-Marie et Emilien ; ses soeurs: Lau-

irianne, Jeannine et Desneiges : ses S belles-soeurs : Mme Roland Mei - i ier. 'Marie-Paule Pelletier>, de Ste- Anne, et Mme Roger Mercier, (Ma­deleine Desrochers t, de Lévis.

vis Le service fut-chanté par M. constatations faites sur les échan- l'abbé Aurèle Hudon. curé, assisté ! tuions de peinture prélevés sur les; de MM. les abbés Donat-Jean Bon- deux véhicules en cause, cher, diacre, et Orner Richard, sous- Le lieutenant Deschesnes déclara diacre, professeurs du Collège de entre autres avoir trouvé de la Ste-Anne. peinture rouge, provenant du ca-

La messe de Requiem fut, inter- imjon. à l'intérieur du cadre de la; Le transport de la dépouille mor­celle de Leu.- a Ste-Anne fut con- prêtée parla chorale de la paroisse, p0r|P (iP gauche de l'automobile, fié à la Maison Thibault de Levis. : assistée d’uh groupe d'élèves de Phi- M pPnjn conclut que la peinture

|Un groupe imposant de parents cl jlosophie Jr. du Collège, sous la di- 'rouge trouvée sur l'automobile noi­re-bleue de M. le curé Valois pro-

; vient du camion de M. Maurice For­tier et que la peinture noire-bleue;

pro-

(d'amis sont allés à la rencontre du jrection de M. l'abbé Alphonse For- j cortège funèbre. 'tin. M .l'abbé Léon Destroimaisons

Le service eut lieu le 29 avril dor- était à la console des orgues.; nier à 9.30 heures, à la chapelle du i college

Au départ de h» maison, un lan- deau de fleurs conduit par M. Ray-

;montl GrandMaison précédait la dé­pouille mortelle.

Assistaient au choeur: M. le cha- poine J.-T. Lemieux ; MM. les ab­bés Camille Mercier, Antoine Lé-

ivesque, Robert Côté. Jean-Luc Nico- le, Maurice Proulx, et le Rév, Père

Des couronnes de Dubeau. o.m.t.L'inhumation a été fane dans le

MM A Lafrance J Mar-’101 de famille, au cimetière parois­siale. Les dernières prières, au ci­metière, furent récitées par M. l'ab­bé Roland Michaud, vicaire à Ste- Anne.

Les funérailles étaient sous la di­rection de la Maison Eug. Déry, de Ste-Anne.

Nos condoléances à la famille.

fleurs étaient portées par des en- ! fantsicoux, A Michaud. A. Gaudctte, G jOaudette, G.-M. Asselin.

A la suite, on remarquait le Dr! Gérard Dallaire. président de. la ;

'Chambre rie Commerce des Jeunes,I .plusieurs directeurs et membres de ce. même groupement.

Les porteurs étaient MM. Gérard ; Bélanger, Lucien Bélanger, Yvon

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-Une survivante relate(Suite de la dernière page'

trouvée sûr le camion rouge vient de l'automobile du curé Va-]lois.

Le procès se poursuit aujourd'hui ; sous la présidence de l'hon. juge; George-F. Gibsone.

—Le Canada n'a pas(Suite de la dernière page*

comme question de fait, si l'on; prend la chose sur une base de po­pulation.

“Ne faites aucune erreur à ce su- : jet: Au Canada, nous nous tenons] sûr nos propres jambes",

i Roebuck a ensuite donné les gran­des lignes de l'histoire de l’Associa­tion parlementaire et a exprimé l'es­poir qu'elle comprendra un jour.les]

! représentants du Congrès américain.] cureur de la ' défense lui demanda Ug niéme espoir a été exprimé par si elle avait remarqué un étang.||es autrPS orateurs des pays du quelques instants avant l accidcn!, commonweal!il. et l'Auberge de l'Etang. m. H. E. Combs, de la Nouvelle-

—“Je ne connais pas du tout In Zélande, secrétaire parlementaire du I place"', dit Mlle Renaud. ministère de la Finance, a présenté

Tout le long du voyage, tant à ûne offre directe au sujet d'un pac-j l'aller qu'au retour. Mlle Renaud;1® d11 Pacifique.déclare qu'elle étail assise sur le Nous, en Nouvelle-Zélande, na-,

j siège arrière de l'automobile, à vons <luunE co1® — la ®^1® rl" Pa-1 droite, avec Mlle Guilbault. qui était.

{assise à gauche, en arrière de M.; le curé Valois,

|L'AGENT MERCIER

Cest dans ces positions que l'a-' jgent* Nn aaire Mercier, de la police ide la route, trouva M. le curé Va- : lois et Mlle Renaud, à son arrivée {sur les lieux de l'accident,, vers 7 h. 15, en réponse à un appel télé­phonique reçu vers 7 h. 05. Quant rom ensuite les développements rie à Mlle Guilbault. elle gisait sur la pouvoirs électriques dans le Tennes-

: route enroulée dans une couverture : see.et. "baignant dans son sang". .............. ..........—

L'agent Mercier trouva l’automo- ICC f CTHI IM A IKKbile sur le côté droit de la route. ‘-L.J LJLv/UI IHII’ljles roues d'arrière dans le fossé et ] Fernand - Gabriel - Joseph, en-les roues d'avant sur l’épaulement ] faut de M. et Mme Charles Savard.de la route, en direction de Mont- (Simone Lessard>. Parrain et mar-

—.... —--------------------------------------- raine, M et Mme Henri Bou­chard. Porteuse. Mme Albert Sa-

cifique", a-t-il dit aux représentants. "Vous en avez deux.

"Alors, tandis que vous établissez votre pacte de l'Atlantique, veuillez ne pas nous oublier. “Nous allons vous rencontrer à plus que la moitié du chemin, si vous nous faites des propositions dans ce sens”.

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H Il y a un® mare®

Uble à diner. Elle le ronriuira bien vers eux, mais René refuse, en disant qu'il attendra dans l'étude de Jérémie jusqu’à ce qu'ils aient fini de manger. Il n’a pas l'intention particulière que Françoise prenne part a. la conversation. Au fait, moins i! y aura rie per­sonnes à connaître ces faits mieux ce -sera, du moin tant qu'ils n'auront pas décidé définitivement de la marche à suivre.

Il arpente nerveusement de long en large l'étude de Jerémie. Sur le bureau à dessus plat se trouve une valise diplomatique en fer-blanc étiquetée "Sir William Jcsrnmy Décédé". Le tablettes contiennent une collection de volumes de loi. Il y a une an­tienne photographie de Françoise en robe du soir et une rie son père, lord Edouard Trenton, en habit de cheval. Sur le bureau se trouve egalement le poi­trail d’un jeune homme en uniforme — le fils de Jerémie, Antoine, tue a la guerre.

René • cligne des yeux et se retourne. Il s'as­seoit sur une chaise et de ses grands yeux regarde lord Edouard Trenton de préférence.

Dans la salle a manger. Françoise dit à son mari :— Je me demande ce que peut bien vouloir René ?Jévemir dit d'un air ennuyé :— Tl se neuve probablement en faute ave quel­

que règlement du gouvernement. Pu un eultiv.ucui' ne comprend plus d'un quart de ce., formules qu'ils ont à remplit. René est un garçon consciencieux. Il s.f fait des alarmes.

— Cest un chic type, dit Françoise, mais terri­blement lent. J'ai l'impression, tu sais, que les cho­ses ne vont fias très bien entre lui et Line.

Jérémie murmure d'un air distrait :— Line — oh oui. naturellement. Pardonne-moi,

je — il me semble que je ne puis me concentrer, LTffort —

Françoise raprond vivement :

Roman-feuilleton du "SoeU” 95

- - N'y pense pas. Tout fifiiva par s'arranger, je te le dis.

— Tu m'effrayes parfois. Françoise. Tu es si ter­riblement. audacieuse. Tu ne te rends pas compte —

— Je me rends compte de tout. Moi, je n'ai pas peur. Réellement, tu sais, Jerémie. je prends plutôt du plaisir —

— Voilà précisément, ma chère, dit Jerémie, ce qui me cause tant d'alarme.

Elle sourit..... Viens, dit-elle. Tu ne dois pas faire attendre

trop longtemps re jeune homme bucolique. Va lui ai­der à remplir cette formule onze cent quatre-vingl-dix- neuf, ou autre, quelle quelle soit.

Mais comme ils sortent de la salle à manger, ils entendent claquer la porte d'en avant. Edna vient leur dire que monsieur René a dit qu'il ne pouvait attendre et que ce n'était rien de grande importance.

------- X — X — X -------

Par ce mardi après midi particulier, Line Marche- mont est allée faire une longue promenade. Cons­ciente dune inquiétude croissante et mal satisfaite d clle-mêmc, elle sent le besoin de méditer sur les cho­ses qui se passent actuellement.

Voilà quelques jours qu'elle n a pas vu René. Apres leur séparation quelque peu orageuse le matin quelle lui a demandé de lui prêter cinq cents livres sterling, Ils se sont rencontrés comme d'habitude. Li­ne en est venue à la conclusion que sa demande n'é­tait pas raisonnable et que René avait bien le droit de la lui refuseï» Or ce qui pt raisonnable na ja­mais été une qualité chez les amoureux. Extérieure­ment c'est. la même chose entre elle et René : inté- rieusement elle n'rn est pas aussi sûre. Ces quel­ques derniers jours, elle les a trouves inendurabiement monotones ; pourtant elle n aime guère à s avouer que

J |

] Obsèques de Mme J.-L. Blais

> Les obsèques dp madam® J.-L Blai*< r.pp Mary Myler. décédée Ip 25 avril, a [< I Arp de 72 ans. ont eu lieu Jeudi, le 28! 1 avril, à Si -Dominique. Plusieurs person-î ; n alite s religieuses ei civiles, des profes-

Isionnels. des hommes d affaires et de* délégués de différents groupements ont a.visté à la cérémonie leligteuse.

\ Madame Blais était l’épouse en pr«- > mlêres noce,-, de Thomas Blais et en »e- Jicondri noces dp feu le capitaine J-L s Riais Sa disparition a Jelp dans le deuil i une famille distinguée de notre ville é : Madame Blais était la belîe-mère du R- } P. Alphonse, tiappive, rie docteur L-P.\ Blais.)

A l'église Sf-Patrire, la cérémonie r»-

Iligieti.se fut solennelle. Lp R. P. Alphnnsp o.c i . beau-fils de la défunte, a rhan- tr le service. Il était assisté du R. P. Coffey, c.ss.r. et du R. P- Gaughlin, c.ss.r.

Dans les "daîlps du sanctuaire, on re­marquait Monseigneur G.-E. Grandbots P.A Y.G , M le chanoine Oscar Berge- ion. Mgr A -M. Parent, secrétaire général de 1 Université Laval le R. P. Arsène Roy OP . M. l'abbé Arthur Maheux. M l abbe Joseph Lachance le R P. Four- j niei o.f.m M l abhe Janvier Lachance. 1

‘ M. l'abbé Fia -. r, M. I abbé EdSTtr Sa-

hommes et des femmes qui composent le personnel des banques canadiennes.

Avoir affaire à un bureau du gouvernement, au lieu de traiter

avec votre banque, ce ferait bien différent, — mais le monopole

d’Btat vaut y contraindrait. a

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LES AVENTURES DE PAULINEOla vaut bien CINQ DOLLARS Le» femme» doivent

p*.««er la moitié de la nuit éveillée* à *onier a de* triir« comme jrehii-la ! c^—

K h bien, je val*' le faire à ta place, mnvenant

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Horace, ie rroi* qu'nn mari de- vrait rider AU lavage de la val»»elle apré» le de- Jeûner, tntit rom- .le la

laverai* bien. t Pauline, mal» ^ je vai* arrlfér

en retard na hnreaii !

f PO I R N F P AS PLU DRF T A SL Tl \TION.

n n’est-ce p*«?

( INQje ernl* que\ DOLLARS

ea ne vaut pa»apte» le «nuper tant que rela

pour laver laralsaette

frf 1*

^ yO.

S-îO tj

'--'y,

Solution en vue au sujet des colonies italiennes

Désignation d’un sous-comité de 16 membres chargé d’étudier les diverses propositions et de présenter un projet unique jeudi — Accord an­glo-italien sur la Tripolitaine.

Lake Success, 10. (AFP) Alors que le nouvel accord anglo-italien sur la question des anciennes colonies italiennes rouvrait des perspectives de solution à quelques jours de l'a­journement de la session de l’As­semblée générale, la première phase des débats à la Commission politi­que s'est terminée hier après-midi par la désignation d'un sous-comi­té du 16 membres chargé, selon la motion américaine adoptée, d'étu­dier les diverses propositions déjà présentées ou qui pourraient être présentées et soumettre jeudi ma­tin au plus tard un projet de réso­lution unique.

C’est certainement devant ce sous-comité que sera étudié l'ac­cord anglo-italien sur les colonies d’Afrique.MANDAT DE L'ONU

Londres, 10 (Reuters) na Gran­de-Bretagne et l'Italie ont conclu un accord à l'effet d’accorder à l'Italie un mandat des Nations- Unies sur la Tripolitaine d’ici deux ans, apprenaient les cercles gé­néralement bien informés de Lon­dres.

J L'accord fut conclu entre Er- âlest Bevin et le comte Carlo Stor- "a. respectivement ministres desAffaires étrangères d’Angleterre | ---------------et d'Italie, durant les entretiens r\ ' ' lprivés qu’ils eurent à Londres ven- U6UX miDISirGS dredi dernier. C’est alors, croit-on,

rent sur Ja formule qui réglerait le; sort futur de l'ancien empire afri­cain de ITtalie.

LTtaüe, croit-on, en retour de! l'importante concession faite par l'Angleterre à son point de vue,acquiescera à la proposition an­glo-américaine concernant Je sta­tut de l'Erythrée.

Suivant cette proposition i'E- rythrée orientale sera gouvernée par l'Ethiopie sous mandat des Na-j tions-Unies, et l’Erythrée occiden-taie- sera administrée par le Soudan anglo-égyptien.

Cette proposition avait également j l'appui de l'Egypte et des pays de J la ligue arabe.

La Grande-Bretagne et ITtalie | ont déjà convenu entre elles quej la première exercerait un mandat des Nations-Unies sur la Cyrénaï­que, tandis que l'ancienne Somalie] italienne retournerait sous protec-] torat italien. L'accord à ce sujet a- valt déjà été établi à Londres l'hi­ver dernier.

Les entretiens privée Bevin-Sfor- ] za se sont déroulés à Londres ven-; dredi passé, après la clôture dsj la réunion du Conseil de l'Europe, i formé de 10 nations. Le ministre; italien est retourné dans son pays; en fin de semaine.

que les deux ministres s'entend!-

Méfaits du vent à Trois-Rivières

à Ïerre-NeuveSt-Jean, Terre-Neuve, 10. (PC)

Deux ministres fédéraux, les hono­rables Martin et Winters, respecti­vement ministres de la Santé et de la Reconstruction, se rendront a Terre-Neuve durant leur campagne

| électorale, a annoncé hier le pre-

Mots croisés du "SoleilLa solution de ce problème paraîtra dans notre prochaine édition

IL 3*5 St* <*

•iff LE SOLEIL, Québec, mardi 10 mai 1949 19

Services spécialisés

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BELANfàER — A Québec le 8 mai 194» A l-àae de 68 ans 11 mois, est décédé M Jo.rph Onésime Bélanger, autrefois d* Senncterre. Abl’ibi, époux de Dame Adelf Paquet.

Les funérailles auront lieu mercredi à I heures

Départ deb salons mortuaires de la mai- json Wilfrid Laberge Enrg. No 185. avenue ■ Des Oblats a 7 hres 49 pour l'église St- i Joseph eJ de \k au cimetière St-Charlec

9 mal-2fs—C7989JCASTONGUAY — A Québec, le 9 ma-

1949. à l ège de 88 ans 1 mol», est dé DIRECTEUR DE FUNERAILLES, salons . cédée clame Eugénie Lemieux, épouse d* mortuaires gratia à la disposition des fa- j fcü J.-N. Castonguay. arpenteur géomètre milles. Embaumeur gradué. J. H BUREAU. Les funérailles auront lieu Jeudi à * prés.-gérant, tél. 4-6946. 2. RUE DURO- heures.CHER. Rés.: 7-5781. I Départ des salons funéraires Adélard A

Solution de notre édition précédente

SOLUTIONP"

nu FKOBLKME EDENT

1— Habitant d'une partie de la Belgique.

2— Grande famille anima­/ êt 3 dsi

/ S c V c\£\£\le — Préfixe sign, dans,

S—En les ' — Inscription sur la croix.

A a % L/ SmJ £ A ff

i—Amas — Lieux où l'on d £ G £ ëlait le feu.

5—Note de a gamme — Période de temps.

S(.r7*

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r / ÿ /o //

Armes saisies au Caire

Le Caire, 10 (Renters). — Des raids de porte en porte au Cai­re, à la recherche des membres de la Fraternité musulmane, un groupement hors la loi. ont per­mis à 400 policiers éT'ptiens et à des citoyens de saisir une gran­de quantité d'armes et d’explo­sifs. Des membres de la Frater­nité sont soupçonnés de la tenta­tive d'assassinat en fin de se- main<- contre le président de ia Chambre des dénotés. M. Hamed fluda Bey. Parmi les suspects on a appréhendé Mustcfa Abudiil Meguid, eue l'on recherchait de­puis l'assassinat du premier mi­nistre Nokrashy Pasha, en dé­cembre dernier..

UNE CHUTE DE 12 PIEDS : lJne camionnette a fait un .saut rie douze pieds ees jours derniers à Stc-.\nne des Monts pour tomber

mier ministre Joseph Smallwood, sur ^ fleuve. L'incident s’est produit devant la résidence deTrois-Rivières. 10. (DNCàLe vent le leader du parti libéral provin- ^ Adrien Pelletier. La camionnette, propriété de M. Elle Michaud,

violent qui a soufflé sur notre villejcial. (jp capucin, a sauté le remblai pour se trouver dans la position pé-en fin de semaine a donné bien rilleuse dans laquelle elle apparaît. Il n'y eut heureusement pas dedes soucis à nos pompiers, entre au- T/snrr larminDC blesse. Une remorqueuse travaille ci-haut à remetlrc la camionnettetrès à ceux du noste No 2 oui ont '-,,lJ'J IGlIIIIIICj j en place. (D.N.C.—Ste-Anne des Monts)

de l'importance de l’économie chez,age à Montréal, ces jours derniers.

très à ceux du poste No 2 qui ont jtravaillé pendant cinq heures et] Shawinigan. (DNC1 Une série de demie à éteindre un immense feu cours sur la sécurité, à l'Ecolede broussailles sur les bords du St- Technioue, a pris fin le 4 mai . . . , i . „„Maurice, à qulque distance du club1 quand M. Harold Friendly, des usO1!* ■<eunES « d“ ,rôle bienfaisant; M. Raymond Dho à Montreal, cesde ski. nés locales de Canadian Industries ^ Calss;s PoPulaires' . , !jo^,d«nl®rs' n . ,

Les hommes du poste No 2 ont Limited, a présenté une causerie he conférencier a ete présente; MM. Paul-Emile Belanger, Andié travaillé à la relève sous la direc- en présence des élèves, du person-claude Mondor, finissant de : Lefebvre et Gerard Dufresne en tion du capitaine Roméo Ross de nel enseignant, et des directeurs cies|!a année et remercie par le R. ; voyage à Quebec, ces jouis derniei .5 heures à 10 heures 30 p.m. Ils principales usines de Shawinigan. ]F- Léon-François, directeur du col-; M. Rosario Lafrance, de Shawinl-nnt mmhfltiu l«s flammes en ' se Le tout terminé par un forum, lège. gan. de passage à Halifax. °u 'Uservant rie nelles et" de terre animé par MM. H. Friendly et' Cette conférence était la troisiè-]assistera à la graduation de son fils,

a cause du vent on a craint nen- Georges Lortie. ime organisée sous les auspices de ! Paul-Emile en génie civil à l’univer-dant un certain temps que lePfeu Cette série de cours a été accom-; l'Amicale des Anciens Elèves. Cesjsité de Halifax.

, rh-iot .i,, i pagnée de plusieurs films sur la sé-; conférences se continueront à Tau-: M. le Dr Louis-Philippe Lacour- "e An,h dU:cuiité. Elle a duré prés de deux tomne. Isière en voyage d'affaires à TringC ’ ° , .! , mois. Parmi deux qui ont aussi pré-; - Jonction, comté de Beauce, ces joursLes flammes se sont étendues sur jsenté dcs cours_ citons M. Robert. , ; derniers.

un mille de longueur dans le ter- L Auger, d’Aluminum Company °f Ya.pf.yjpnf : M. Paul Villeneuve à Montréal,ram boise le long du St-Maiudce,]CanadB> j.-g, Eordeieau, de Ga- cl V1CI,, ices jours derniers.Passé la Savane ou se trouve érige nacjian R^sins & Chemicals. M. Gé- Shawiniran «DUC) — M et Mme! ^ A Lacoursière en voyage d’af- le chalet du club de ski. ^ irard Carie. d'Aluminum Company G. Hardy et leur famille en prome- faire„ ^ Montréal, ces jours deriers.

A peu près dans le même temps; 0f Canada Limited, M. Georges ]nade au Cap~de-!a-Madeleine, ré- “ A Rirnn. du Cao-de-la-Ma- un feu de broussailles faisait rage'Lortie, de Canadian Industries Li-Icemment.sur la rive du St-Maurice, dans St- mhed. i M. Ernest Trudei, étudiant à l'u-Odiion, aux alentours du rang St- ----- versité de Montréal, a passé la fin^cet Conference a Grand Merej^.M"16

Mme J.-A. Rousseau, des Trois-travaillé pendant six heures à cettendroit, sous les ordres du sergent! GraiTd’Mère, (DNC) Monsieur]Belisle. ! Jacques Lafontaine, gérant de .la],

Les pompiers trifluviens des brigades ont été appelés à prises au cours de ia journée pour] magnifique conférence devant les; M. J.-F. Gagné en voyage à Ste combattre des feux de cheminée et; élèves du Collège du Sacré-Coeur jEmre, comté de Beauce, dernière- de tuyaux surchauffés à peu près; de cette ville. M. Lafontainç qui cstjmcnt.tou. attribuables au vent violent, un ancien élève du Collège, a parléI M. et Mme Arthur Dugré en voy-

Mme A. Biron, du Cap-de-la-Ma deleine, en visite chez M. et Mme Anicet Gagnon, ces jours derniers.

M. Roméo Wlllians à St-Hyacin- the, en fin de semaine.

M. Roland Dufresne de passage a Montréal, ces jours derniers.

;s deux Caisse Populaire de Grand-Mère, i Rivières, et son fils Jean’ de Bassa8e ------------Fix re- Prononçait mercredi le 4 mai, uns•a Shawinigan, dernièrement. ,- - . . . . Signaux lumineux

à Theiford-MinesThetford-Mines, 10 (DNC) La cl-

Un moyen facile de jouir d’une MEILLEURE DIGESTION

—buvez du Tosram• Pour bien digérer — buvez du Postum ! Meilleur pour l’estomac et pour les nerfs — le Postuni ne contient pas de caféine comme le thé et le café. Beaucoup de personnes éprouvent un soulage­ment immédiat quand elles adoptent la savoureux Postum — qui coûte moins de un cent la tasse! Cornmnmlez du Postum aujourd’hui.

. Bocal pratique de 4 onces fait 50 tasses!P-StF

|té de Thetford, vient de faire l'ac­quisition de trois signaux lumineux, il s'agit de sénaphores aux lumières cites, jaunes et rouges automati- ue et suspendu au centre de la jc Notre-Dame; l'un est installé à intersection des rues Notre-Dame

î; St-AIphonse, un autre à l'inter- ection des rues Notre-Dame et St-

Jcseph et le dernier à l'intersection de Cyr et Notre-Dame.

A l'intersection des rues Mooney- Johnson, on installera un poteau autorupteur trois directions avec al­

ignai lumineux-éclair.On installera également aux deux

entrées de la ville sur la route No; jl, deux lanternes suspendues.

C'est une belle amélioration sur- umt aux heures où la circulation est, intense à ces diverses intersec­tions.SYSTEME D’ECLAIRAGE

! La compagnie Shawinigan Water ] & Power Co., est actuellement à fai­re l'essai de nouveaux réflecteurs ;

jsur la rue principale, près du bu-i reau de poste; il s'agit de réflecteurs, puissants dont la lumière converge vers la terre, de même qu'à l'exté-

I rieur des rues.14 de ces appareils sont installés

!et plusieurs Thetfordols ont cons­taté que l'éclairage était beaucoup plus satisfaisant; nul doute que cet

;ossai convaincra la compagnie d'en installer un peu partout dans la

! ville.

Journée de la livre

6— Venus au monde — Ré­citer.

7— Râper, user — Note de la gamme.

8— Les siens — Solitaires.9— Adjectifs possessifs —

Sainte, abrv.

Mort de monsieur Eugène Nadeau

M. Eugène Nadeau, employé du C.N.R. à sa retraite, est décédé subitement, dimanche soir dernier, à sa résidence du boulevard Hamel, à rège de 75 ans 6 mois. M. Nadeau fut pendant 22 ans à l'emploi du C.N.R. Il était à sa pension de­puis 8 ans.

M. Nadeau è- tait l'époux en premières noces de feu dame Flora Proulx et en secondes no­ces de dame Re­becca Bê’anger qui lui survit.Outre son é pouse, il laisse un fils, Alfred Na­deau ; 3 filles, Mme Cyrice Michaud, (Evai. Mme Oscar Penzol (Marie- Blanche) et Mme Ernest Auclair (Lucienne) ; sa belle-fille, Mme Al­fred Nadeau (Antoinette Méthot); ses gendres, MM. Cyriee Michaud, Oscar Penzol et Ernest Auclair.

Le défunt était le frère de M. Arsène Nadéau, de Mme Alfred Drolet (Alice.i et de Mme veuve Wilfrid Lapointe (Anna) ainsi que le beau-frère de M. Alfred Drolet et de Mme Arsène Nadeau.

Il laisse aussi cinq petits-enfants.Les funérailles de M. Nadeau au­

ront lieu mercredi à Notre-Dame de Recouvrance.

Nos condoléances à la famille en deuil.

Un avion s’écrase en Allemagne

Berlin, 10. (AFP). Un avion bri­tannique du pont aérien servant an ravitaillement en carburanls, s'est écrasé au sol ce matin à 20 milles au sud de Schwerin, en zone sovié­tique. Les quatre aviateurs sont grièvement blessés.

VM/»IVsmmvàfimam

ehü anaIBHHnBQBEtudiante battue à mort à Roano’-e

Dirigeantecommunisteassassinée

New-Yprk, 10 {PO Un meur­tre remontant à dix ans expli­querait la disparition, depuis une dizaine d'années, de Mme Juliet Stuart Poyntx, ancienne dirigeante communiste

La nouvelle a été publiée dans le New York World-Telegram sous la rubrique de Washing­ton. Selon un ancien commu­niste, Mme Poyntz a été assas­sinée et son corps a été jeté dans les eaux de l'East River,

La révélation aurait été faite par Paul Crouch, «Je Miami, au cours d'une déposition devant le comité chargé par la Cham­bre des Représentants d'enquê­ter sur les activités antiaméri­caines.

Le chef socialiste Norman Thomas, qui s'est activement occupé de l'affaire, a écouté avec, intérêt la declaration.

“Il est moralement certain qu'elle a été assassinée par les communistes", a-t-il dit.

Mais Thomas a admis que la “certitude morale n'est pas une preuve légale.”

La police n'avait recueilli au­cun indice pouvant éclaircir le mystère de la disparition de Mme Poyntz le 5 juin 1937.

L'attorney Frank 8. Mogan annonce que l’affaire Poyntz ne rebondira pas tant que la poli­ce n'aura pas de preuves de l'assassinat.

Carlo Trcsca. rédacteur en chef d'un journal italien publié à New-York, avait affirmé en 1938 que Mme Poyntz avait été •‘enlevée” en Russie soviétique parce qu'elle en “savait trop”. Trcsca a été assassiné le il Jan­vier 1943 et son meurtrier est encore au large.

Un journaliste du journal communiste “Dally Worker” a déclaré, Il y a quelques années, que la disparition de Mme Poyntz ne pouvait pas mettre en Jeu le parti. Et le journa­liste C. A. Hathaway disait que Mme Poyntz avait quitté le par­ti en 1934.

soui«9e PUDS

; Gustave Lépine Inr.. No 42 Chemin Ste For. * 8 heures 55. pour l’église Notre-Da-

| me du Chemin, et de là au cimetière 8t- ; Charles 10mM-2fs—-C80108

DUMA IS — A Québec. le 9 mal 1949 j a l ape de 73 an« est décédée dame Mari»; H'lot. épouse de leu sieur Raoul Dumais ; Les fun"railles auront lieu mercredi, i

3 heures 30.' Départ des salons mortua'res de la Corn , p&gnie Hubert Moi^an. No 299 rue .St : Joseph, a 8 heure* 25. pour l'église Notre i Dame de Jacqucr-Cartier, et de là au cl- i mettère St-Charl-s. —C80105' GAGNE — A l’hôpital de PlesRisville

le 8 mai 1949. à 1 âge de 54 ans et 7 J mois, est décédée dame Diana Grenier i épouse de M. Charles Ga;né.; Les funérailles auront lieu mercredi ma- '♦in le 11 mat, à 8 heures.

Départ des salons funéraires de la mal ; son J.-P. Thibault F.nrg.. 9, rue Commer­ciale à Lévis, à 7 heures 45 pour l'église

j rie Lauson et de là au cimetière de Ste- Marte de Beauce. —C80098

GIGt'ERE — l’Hopltal Générale, le S mal 3949 a ràgc de 82 ans 8 mois est décédée darne Léda Papillon, épouse de leu Napoléon Glguère.

! Les funérailles auront Heu Jeudi à # heures 30.

Départ dp la chambre mortuaire de ■ 1 Hôpital Générale, a 8 heures 20. pour U : chapelle de l'HOpltal Général et de là au (cimetière de l'hôpital. Elle était de.* Dames de Ste-Anne et de l'Union de?

! prières. 9mal-3fs—-C79907.IOMPHE — A GU fard, le 8 mai. 1949.

à rftRr de 88 ans. est décédée dame Jus- tlne Arsenault, épouse de M. Zoél Jomphe.

i Les funérailles auront Heu mercredi a 9 heures.

iPAi To Départ de la maison mortuaire. No 23 r/\ avenue de T Assomption, à 8 h. 40. pour

l’église de Gtffard, et de là au clmetlere paroissial.

9mai2fs—C79908JONCA8 — A Québec le 7 mal. 1949,

u l'âge de 65 ans. 6 mois, est décédé M. Emile Joncas. ancien employe au Bell Telephone, époux en 1ère? noces de feu Marie-Louise Hawey. et en 2e noces, de dame Alphéda Glguère, demeurant à 75 Boule vard-L'angelier.

Les funérailles auront Heu mercredi k 9 heures.

Départ, des salons mortuaires de la mai­son Sylvio Marceau. Enrg.. No 80(1 rue 8t- ValUrr. à 8 h. 45. pour l’égllae Notre- Dame de Grèce, et de là au cimetièr* St-Charles.

9mai-2fs—C799O0LAMONTAGNE — A Québec. le 7 mai.

1949, a l'âge de 75 ans. est décédé subi­tement M ie chanoine François-Philibert Lamontagne, curé de la paroisse St-Malo. La translation ries restes aura Heu mer­credi après-midi à 4 heures, du presbytère à l'église.

Les funéralUes auront lieu Jeudi à 9h. 30.

L'inhumation au cimetière St-Charles.9m ai-3 fs—C79901

NADEAU — A Québec, le R mai. 1949. a l'àge de 75 ans. 6 mois, est décédé su­bitement M. Eugène Narieau, époux en premières noce» rie feu Dame Rébecca Bé­langer et en deuxièmes noces de Dame Flora Proulx.

Les funérailles auront Heu mercredi k8 heure*;.

Départ de la maison mortuaire. No 244. Blvd Hamel. Québec-Ouest, à 7 h. 45. pour l'église N.-D. de la Recouvrance, et de là au cimetière St-Charles. “

9mai-2fs—C79902POIRE — A Québec, le 8 mai 1949. à

1 âge de 45 ans. est décédé M. Polydore Poiré, époux de damo Marie-Jeanne Tur-

, . geon de Lauaon.rant, la guerre et démobilise en mal! Les funérailles auront Heu mercredi ma- 1946. Il se réengagea dans la réserve N” ^ J1 .mR,1, * 0 heurefi .» ; Depart rie la maison mortuaire. No 19.Cn 1947. ; nie Jollftlf, à 8 hpurps 48. pour IVzlise

! rlô Lauzon, et de là au dmetWre S', Jo­seph. y —C80097

1 IUlEAtIME — A Quebec, le 8 màt. 194». il l'àRe de 82 ans, 1 mois, es' décédé M.

Québec - Maniant 8.&y am. Rape Bre- bouts Rheaumr. bourher-neRoclant. epo.ia .en 35 .51, dû 1.30 pm. de feu dame Rose-Détlma Chevalier, de la

Rt. Jean, 14 —- Nuageux, est. Montant |De La Durantaye.5 10 am. Cap aux Rets, 8.10 am. Dinxley ; funérailles auront lieu mercredi, à9,45 am. Malbote Transport Qcscendantjs h. 30.5.35 am, Bt. Stanislas il, flTjO am. Mont Départ ries salons rie la maison Sylvio

Rop.iioko. Virginie, 10 Icorps brutalement battu d'une jeune fille de 16 ans a été découvert, hier,

jsur le parquet de la cuisine de l'é- jglise éplscopalicnne. La macabre dé- ; couverte a été faite par ie concier- Ige de l'église. La victime, selon la i police, est Dana-Marie Weaver, étu- ]diante d’un high school. Le Dr jCharles-M. Irvin, coroner de la vil- jle. a .flit que la Jeune fille avait été j frappée à la tête, avec une bouteille et qu'elle portait des marques autour du cou comme si elle avait été étouf­fée. Le corps de la victime était cou­vert d'égratignures et de coups.

Permutation du It Murray

^ Le lieutenant O'Connor James Murray. 26 ans, de notre ville, a été permuté de la réserve de la Marine royale canadienne à la force perma­nente, annonce le quartier général de la Marine.

Né à Chandler, le lieutenant Mur- jray a fait ses études au St-Patrick High School et à l'Université St- François-Xavler à Antigonlsh. N. E„

(où 11 a obtenu son baccalauréat en Sciences. Il s'engagea dans la ré- Iserve en 1943 et devint officier l'an- Inée suivante. Il fit du service du-

Service des signaux

Laurentien.Ile aux Grues. 31 — Clair, sud est.Cap Saumon, 82 — Nuageux, ouest. Mon­

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9mal*affi—C798r9pm. Guy Bartholomew, 8.40 pm. Bayfield, i ^ 1 Jîo,ÏIDlc»*.idf ,c.8

pointe Noire. 103 Nuagc-jx, nord our.r j'"a1 ,94!J- est décédée Mil* Antoinette Pointe au Père. 1G8 - Nuageux, oueil. 'ilie de în J Adc ard Royer et de

Montant 3;Î2 nm. Kent County 90 est, 4.30 f lLRbr,«- Autrefois deam. Prim. Alexander. 8.20 nm Dcntonla de Bcllechfssr.Park 14 m. 8.25 nm. Rutenffjell 30 est. Len funérailles auront lieu mercredi ma- hier 7.20 pm. Aida Lauro. Descendant hier

Procès pour manslaughter

L’hon. Juge Gcorge-F. Gibsone * présidé hier matin à l'ouverture, aux Assises criminelles, du procès de Maurice Fortier, de Quebec, accuse "d'avoir, le 19 octobre 1948, par son incurie et négligence volontaire, a Cap-Santé, alors qu'il était en char­ge d'un camion, donnant audit ca­mion un train désordonné, causé des lésions corporelles à l'abbé Placide Valois de Montréal, lesquelles lésions ont entraîné la mort de l'abbé Va- sunnSM.3"’DsRs«n“int lois, commettant par là le crime - d'homicide involontaire coupable,“manslaughter".

9.50 pm. Castor, 6.10 pm. Wellington Kent 1.35 pm. Erable, 3.30 pm. Karterla.

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Pointe de l'Fs , 414 Clair, nord est.Cap Ray, 553 Clair nord nord est.

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Descendant hier 4 pm. Btctl Admirai, }North Sydney, 575 — Montant hier 4.35 i

pm. Ingwi 130 est pour Horel. 4.40 pm 3alvo il nord ouest.

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tant 3.15 am. Prlna Willern Van Oranje, 3.10 am. Beavergecn. 3.25 am. Mormac- penn 7.10 am. Imperial Ottawa.

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Trois Rivières, 68 Nuageux, fort nord Arrivé montant 8.35 am. Lethbridge 8 50 am. Northlelgh, 1 «m. Ste-Brrihe. Passé o am. ChetJcamp. 8.::5 am. Oris. 8 25 am. Inlshowen Head, 8.50 am. Alpha Zambeil- Descendant 8 35 am. Trlcape.

Batlacan. 51 Nuageux, nord est. Mon­tant 7.10 am. F.-V. Masaey, 7 15 am. Im­perial Hamilton. 7.45 am. Merchant Prin­ce. 8.50 am. Amanda Transport 9 am. Rivière Portneuf, 8.15 am. Mont Royal,8 am. Inverness County.

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l'objet d’un autre procèsA 11 h. 53, les douze jurés pour

le procès avaient été choisis parmi un groupe de 40 Ce sont: MM. Lu­cien Trépanier, Hector Savard, Cy­rille Robitaille, Emile Laurence, J.-J.-André Beaudet. Victor Robert, Luc Savard, Orner Lalranre, Edgar Gagnon. Léon Marcoux, Paul Bou­cher qt Roland Gagné.

Tous les autres jurés sont convo­qués pour le 17 mai, mardi pro­chain.

MUTT et JEf-'b De toute façon, Jeff n'allait nulle part.

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Par Bud FisherTu n* prends

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Trouvé pendu à Trois-Rivières

Trois-Rivières, 10 (DNC) Un! homme de trente-trois ans, Ubald ; Bourassa, de notre ville, disparu de- ; puis dimanche, a été trouvé, un peu avant huit heures ce matin, pendu à un arbre à 150 pieds du bord du Saint-Maurice, sur la rue des Che­naux, non loin de ia cour a bols Alex McCrea.

L'enquête de la police municipale a été faite par le sergent Lucien Adam et le détective Elmo Beau- bien. corps a été transporté à la morgue Rousseau et frère où le coroner, le Dr Jean-Louis Roche- fort, tiendra son enquête au cours

I de la Journée.La dernière lois que M. Bourassa

a été vu, il était parti de chez lui ; pour se rendre chez un médecin,

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20 LE SOLEIL, Québec, mardi 10 mai 1949

Travaux |Une survivante relate l'accidentsur fa rue

St-LouisLes autorités municipales, dé­

sireuses de terminer les travaux projetés sur la rue St-Louis avant que l'affluence touristique devienne trop grande, se propo­sent de demander a la Com­mission municipale de la pro­vince d'approuver les dépenses prévues pour l’aménagement de eette rue et cela sans attendre que la liste complète de- tra­vaux à effectuer soit soumise.

On rapporte à ce sujet que M, C.-R. Fontaine, trésorier de la cité, doit rendre visite aujour­d'hui à M. Emile Morin, sous- «unistre des affaires municipa- "ïes. M. Fontaine demandera que les travaux d'enlèvement des rails ainsi que d’asphatage sur la rue St-Louis soient approu­vés le plus tôt possible afin que »ette artère stratégique soit libre k la circulation dans le plus court laps de temps.

Suivant le processus ordinaire, la ville devrait normalement at­tendre, avant d'entreprendre quoi que ce soit, que la liste complète des travaux pour l'an­née 1949-1950 soit approuvée par la Com mission municipale. On déroge toutefois à cette coutume advenant un cas pressant.

Les travaux à effectuer, rue St-Louis, coûteront $25.000. < est du moins la somme prévue dans

liste des travaux d'enlève-

qui a coûté la vie à l'abbé Valois

M. Drew affirme qu'il réaliserale programme établi par son parti

Unique survivante des trois voya- sance lusquà sa mort, le lendemain' igeurs de l'auto de M. l’abbé Fia- matin’’, dit-elle. Les prîtes de eide Va Ibis, dans l'accident survenu l'auto étaient parties. Mlle Guil-:

•le 19 octobre--.!948 qui a entraîné battit gisait sur la route, à côté de ila mort de M. l’abbé Valois et de l'automobile Elle-même avait été |ia ménagère, Mlle Gilberte Guil-1 légèrement blessée. Selon Mlle Re-| jbault. Mlle Marie-Anne Renaud, naud. l'accident a dû se produire, âgée de 41 ans. a relaté hier, au vers 7 h. 30. "parce qu’on n'a pas;

[procès de Maurice Fortier pour arrêté", dit-elle.^manslaughter, les circonstances qui —"Aviez-vous changé de route.' jont entouré l’accident. un moment donné?” lui demande le[

, procureur de la Couronne.

/Mlle Renaud, qui habite 1151. rue

» lir cLwiL UCrjJUJd Mi 1 «ni nu ,. . «i v . , , « . ,du presbytère de la parois- h^te blf c lf‘' ^ lon*. de îa

‘ — route, ajoute-t-elle, au milieu du

Maisonneuve, à Montréal, a dé claré qu’elle était depuis un an au service

[se Ste-Brigitte, de Montréal. Elle ' avait demandé à M. le curé Valois la permission de prendre 15 jours

I de vacances, mais ne pouvant se ! dispenser aussi longtemps de ses

"Non; nous suivions toujours lai route, nationale”. Il y avait une /chemin.

Q—Avez-vous fait des arrêts ?R.—On n’est allé nulle part; on!

;'en allait “direct" à Montréal..dispenser auS5 mngses Commp u affirmait n'avoir Ja- serv.ces, M. le curé Valois avait con-. Mai d blanche '

, pmmpnpr nftSSPr unp O Jr’1 au milieu de la route. - "On était!à notre poste”, dit-elle — le pro-'

fSuite à la page 18,4e col ) 1

tenu de l’emmener passer une jour inée chez ses parents, à Québec.[ Le 19 octobre, M. ie cure avait ; dit sa messe à 6 heures et. t nus ! trois étalent partis dé % untréal j vers 8 heures, en route pour Québec. Us avalent fait un arrêt au Cap-de-

j la-Madelelne où. après une visite au .sanctuaire, ils avaient pris un café

jet du chocolat. Us étaient arrivés jà Québec vers 2 heures moins quart, chez Mlle Cécile Renaud,

j soeur du témoin, 10 rue Bonaventu- re. à St-Malo. "La table était ml-

Suggestion de l'Urbanisme

> r

lament de rails. Celte liste a dé­jà reçu l'approbation du comité administratif et du conseil mu­nicipal.

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L'Association canadienne d'urba-' nisme s'émeut du projet, de la cité! de vendre aux enchères le dépôt

jsr". dit Mlle Renaud' “ma soeur, municipal de la voirie, rue d’You-l j "ou* attendait . i ville, en vue de la construction d’un :j j hôtel. Lors d'une réunion de son:il, ACCIDENT ; comité exécutif hier soir, l'Associa- iI „ , .... - ! tion a attiré l'attention des autori-i: J ï CUrP,V^01s' 'a menffere et tés sur un point : I[Mlle Renaud étaient repartis pour, . , .! Montréal vers 6 heures du soir. Un L opiûlôh publique, comme le j ! moment donné, raconte Mlle Re- p,'ouvp uriP •‘■eyie de démarches en-: [naud, sur la route nationale, très:‘dernièrement auprès des;droite à cet endroit, elle a vu deux “f ”ritéyomp*ten e?' exlf\la/or:

mation dim organisme destiné a

LES QUADRUPLES COLLINS ET LEUR MAMAN : Madame Ethel Collins. 28 ans, épouse d’un statisticien de Wall Street à New-York, embrasse ici un des quadruplés qu’elle a mis au monde mercredi dernier, cependant que des infirmières préparent les trois autres membres du quatuor pour leur premier bai­ser de leur maman. Dans cette photo exclusive, deux infirmières tiennent les garçons, cependant qu'une autre infirmière se prépare à sortir les fillettes de leur Incubateur. Pendant ce temps, un comité de ci­toyens éminents du Bronx songe aux moyens d’aider financièrement la famille Collins, mise un peu à la gène par le quadruple évènement heureux. 'Photo International News)

Charlottetown, 10. (PC) Dans le premier discours de sa campagne électorale ici hier soir, M. George Drew, chef des progressistes-conser­vateurs, a promis de mettre en oeu­vre le programme élaboré par la convention générale de son parti, l'an dernier.

C'est ainsi ïjue le parti s’est pro- ; noncé en faveur des exemptions; d'impôts de $1,250 pour les céliba-; taires et de $2,500 pour les gens! mariés. Il devrait aussi y avoir des exemptions plus fortes pour les en­fants et les dépendants.

M. Drew dit qu’on a laissé en­tendre que sous un gouvernement [ progressiste-conservateur les alîoca-; tions familiales seraient abolies, i Mais le programme du parti stipule; non seulement la continuation des allocations familiales mais encore: l’élimination de toutes distinctions injustes, dit M. Drew.

Le chef du parti progressiste-con­servateur n’a pas touché à de nou- [ veaux points, hier soir, se réservant, une série de nouveaux faits qu'il;, entend mettre à jour, ce soir, lors; de l’ouverture officielle de sa cam­pagne, sur le réseau de Sydney, N.-E. M. Drew a profité de son passage dans l'Ile du Prince-Edouard pour promettre aux insulaires une nou­velle route nationale pour laquelle Us n'auront rien à payer.

M. Drew a répété notamment que le parti progressiste-conservateur n'a qu'un seul programme pour les dix[ provinces; qu'il entend augmenter la; pension de vieillesse pour les gens âgés de 65 ans et. plus, sans en­

quête; que le parti fédéral actuel dirigé par le parti libéral n'auràH pas augmenté ces pensions de X3* à $40 si les dirigeants du parti Drew n'avaient pas tant insisté.

Contrai chezles débardeurs

L'hon. McKinnon nommé au Sénat; Fauteux membre du Conseil Privé

L'Union internationale des dé­bardeurs, local 1739, vient de signer un contrat de travail avec plusieura compagnies maritimes pour Tanné# 1949. La signature de ce contrat a été officiellement annoncée à la dernière assemblée de l’union. D accorde aux débardeurs une aug­mentation rie salaire de 25 cents 1* jour et de 65 cents le soir. Pour temps régulier, les débardeurs tou­cheront un salaire de $1.30 et le soir de $1.95 l'heure. Us bénéficieront du temps double pour le dimanche, ce qui portera leur salaire à $2.68 l'heure. Une augmentation de 15 cents l'heure est aussi accordée, pour les travaux pénibles tels que la manipulation du charbon, du ci­ment. du soufre, de la bauxite. L*» taux supplémentaires sont accordé*' pour tout travail accompli entre cinq heures du soir à 7 heures du matin. Il y a aussi une différence majoritaire de salaire de 35 cents l’heure pour le déchargement du nitrat (areopils ou nitrapills)).

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camions qui s’en venaient. Elle a V .......... °7T'''Vr T------- 7a vu le deuxième qui tentait de'PLa^^n“" (1p^t1J>fJénagementi doubler le premier: "Il s'en «enait de rapltalecomme un fou sur la route, dit-elle * nf? Pas flue ^e,s initiatives; et il nous a frappés” .trop hâtives créent des problèmes;

Après la collision, quand elle re. [additionnels aux experts chargés de prit connaissance, Mlle Renaud diti a col“ep on c(: ce P<an- que M. l'abbé Valois était encore à L’association se demande s'il neson volant, qu'il saignait, et se plal-|SPrait pas opportun d’ajourner lai gnait. "I! n’a pas perdu connais-!rpalisation tiu P™jet d’hôtei en ques-l

tion, quitte à hâter le tracé du plain [d'ensemble. La logique parait exiger; it’U'on n'entreprenne rien d’impor-j Tant dans Québec tant qu’on ne con-j [naîtra pas ce plan et qu'on ne pour-: ira faire entrer une entreprise d’en-j ivergure dans <fc plan,

Autrement, la solution de problè­mes tels que ceux de la circulation,

[de l'esthétique, pourrait être gran-j [dement compromise.

i1ïOttawa, 10. (PC) Le t, h. Louis pant comme suit à la Chambre

St-Laurent, premier ministre du i haute : Libéraux, 68; Progresxistes- ; Canada, a annoncé hier soir la no-1conservateurs, 15; vacants, 13. Il mination de l’hon. J.-A. McKinnon, y a aussi six nouveaux sieges de

: ministre sans portefeuille, au Sénat sénateurs à compler pour la nou-

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PRESIDENT ; M. J.-Oscar Gen- dron, courtier en assurances, vient d'être élu président de la Chambre de Commerce de Rivière-du-Loup.

(DNC — Riv.-du-Loup)

Raoul Jobin

canadien, et celle de Thon. Gaspard ; velie province de Terre-Neuve. Fauteux, Orateur de la Chambre; Durant ses dix années dans le ca-

:des Communes, au Conseil privé duibinet fédéral, M. MacKinnon a a- ; Canada. |gi comme ministre de l’Industrie! M. MacKinnon, qui est âgé deiet du commerce de 1940 à 1948; 67 ans, est membre du cabinet comme ministre des Pêcheries du-

! depuis 1939. Il y a plusieurs se-[rant six mois en 1948. et comme maine, il abandonnait son porte- ministre des Mines et des Ressour-

[feuille du ministère des Mines etjees depuis 1948 jusqu'à la fin de ides Ressources sur les conseils deiia récente session fédérale. Il est ison médecin. A cette époque, M. entrée dans le cabinet en 1939 com- ! St-Laurent avait laissé entendre [me ministre sans-portefeuille â (qu'il serait, nommé au sénat. |la demande de Tex-premier minis-; Le Dr Fauteux, qui est âgé deitre Mackenzie King. Il fut élu pour 50 ans, est député de Montréal Ste-j la première fois aux Communes

j Marie depuis 1942, alors qu'il lutjlors de l'élection générale de 1935 [élu au cours d’une élection compié-tcomme député d'Edmonton, mentaire. Sa, nomination de mem-[ Le Dr Fauteux a été Orateur de

!bre du Conseil privé lui donne droit-la Chambre des Communes durant au titre “d’honorable”. lia dernière session. Il a été mtm-

Avec l'entrée de M, MacKinnon bre de la Législature du Quebec ,u sénat, l'alignement est mainte-!de 1931 jusqu'à sa défaite en 1935.

Le comité québécois de l'Associa- ; tion canadienne des Consommatçurs tiendra une réunion mercredi, le 11 ; mai, à 2.30 p.m. ' à 77 rue St-Louis La réunion sera sous la présidence de Mme Charles Frémont. Tous lesj membres .sont invités,

et les officiers de l’union ont été", félicités pour le beau travail qu’ilxî’ ont accompli. Le contrat a été sl-| gné par les représentants de Tuntonj et des compagnies suivantes : Ship-? ping Federation of Canada, Do­naldson Line, Alco Steamships? Company. Steamships Company,! Anglo Canadian Steamships Line,, Fumess-Whity Lines, A.-G. Bakers Ltd.. William McCauley. Canadian Import, et Canadian Pacific Steam­ships.

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[il s’installera définitivement avec : isa famille. Il chantera à TOpéra de Paris, aux festivals de Strasbourg.;

[U reviendra plus tard à New-York et à Montréal, où il doit chanter aux Concerts symphoniques.

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Washington. 10. <PC> Une pré­tention voulant que le Canada ait été supporté par des amas de dol­lars du plan Marshall a été réfutée par un sénateur canadien, Thon. Arthur Roebuck, hier.

"Ne faites aucune erreur à ce su­jet”. a-t-il dit au sénateur Tom Connolly, démocrate du Texas. "Au Canada, nous nous tenons sur nos jambes”.

Roebuck, qui est président du Conseil général de l'Association par­lementaire du commonwealth bri­tannique, s'est levé pour prendre la défense du Canada au cours d'un déjeuner donné par le Comité des relations étrangères du Sénat, dont Connolly est le président.

Parlant également en faveur des délégués d'Australie, de l’Afrique- du-Sud. de la Nouvelle-Zélande, du Pakistan, de Malte et de Grande- Bretagne, Roebuck a dit en plaisan­tant: ‘Tl vous fera peut-être plaisir de savoir que nous ne sommes pas venus ici pour attraper quoi que ce soit d'après le plan Marshall ".

Connolly lui répondit en riant:"Vous en recevez déjà la plus gros­se part".

Cette remarque a semblé prendre le sénateur canadien par surprise.

Il parla brièvement du Canada : • comme le meilleur client des Etats-1 :Unis ainsi que de la coopération j amicale des deux pays. "Mais, mon-1

[sieur le sénateur," dit-il, “nous, les: [Canadiens, nous nous en sommes [tenus à nos deux jambes en ce qui: ^concerne le plan Marshall — ainsi: ■que tous les autres plans.” j “Nous avons fait notre part — etj [la faisons encore — dans toutes les 'organisations internationales. Peut- .ètre un peu plus que notre part,

(Suite à la page 18,5e col.)

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Le corps de M. le chanoine Fran­çois-Philibert Lamontagne passera à travers les rues de la paroisse St- Malo demain après-midi à l'occa­sion de la cérémonie de Transla­tion à l'église paroissiale. Mgr Geor­ges-Etienne Grandbois, P.A., V.G... présidera la levée du corps au pres­bytère où les restes du regretté pasteur sont l'objet de la vénéra­tion des paroissiens depuis samedi dernier.

Le cortège quittera le presbytère, rue Marie de l’Incarnation, a 4 hemes, pour se rendre à l'avenue des Oblats et revenir par les rues; Montmagny et St-Beruard jusqu'à l'église. Un grand nombre de mem­bres du clergé prendront rang dans; le défilé. A cause de l'affluence at­tendue. les prêtres sont priés d'ap­porter leur surplis. Tous les grou- ; pements paroissiaux participeront à cet hommage à la mémoire de M. le chanoine Lamontagne. On sait que S. Exc. Mgr Maurice Roy, ac­tuellement en visite pastorale, re­viendra à Québec pour officier pon- tificalement jeudi matin, à 9 heu­res 30, aux funérailles du regretté défunt.

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Comltr d'Ftudp. — C*t aprês-mldl. ji 3 heures, dernier cours du Comité d Etude du Statut légal de la Fem­me mariée, à Grande-Allée.

Soirée Lacordalre. — Ce soir, a 8 h. 30, à la ialle paroissiale de N.-D. d? Grâces, célébration de la tête des mères par les Lacordalres et les Jean­ne d’Arc de i& ville et de la banlieue.

Anciens de l'Assomption. — Ce soir, à 7 heures» au Cercle Universitaire, 75, rue d’Auteuil, souper, assemblée annuelle et soirée de l'Association qué­bécoise des Anciens élèves du Collège de l’Assomption.

Beauport. — Ce soir, à 8 heures, a la salle des «pectac’.df, assemblée de tous les citoTer.s de Beauport.

Cercle TVante AligHIérl. — Cours ce soir, à 8 heures, â l’Université Laval, faculté de t>ro»t. ^hambro â.

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