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Livre blanc sur le leadership en matière d’innovation IBM software Décembre 2011 La mobilité évolue rapidement. Pour rester maître de votre destin, vous devez vous préparer au changement Etes-vous prêt pour le BYOD ? Voici sept questions auxquelles vous devez répondre lors du déploiement de nouvelles capacités mobiles

La mobilité évolue rapidement. Pour rester maître de votre destin, vous devez vous préparer au changement

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Êtes-vous prêt pour le BYOD ? Voici sept questions auxquelles vous devez répondre lors du déploiement de nouvelles capacités mobiles. Ce livre blanc note qu’il ne suffit pas d’autoriser les utilisateurs à se servir de leurs propres appareils à des fins professionnelles. Pour que la stratégie du BYOD fonctionne, les entreprises doivent aborder des questions qu’elles n’ont peut-être pas encore envisagées, mais qui peuvent avoir des conséquences importantes sur les opérations commerciales et informatiques.

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Livre blanc sur le leadership en matière d’innovation

IBM software Décembre 2011

La mobilité évolue rapidement. Pour rester maître de votre destin, vous devez vous préparer au changementEtes-vous prêt pour le BYOD ? Voici sept questions auxquelles vous devez répondre lors du déploiement de nouvelles capacités mobiles

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2 La mobilité évolue rapidement. Pour rester maître de votre destin, vous devez vous préparer au changement

Sommaire

2 Introduction

2 Le BYOD soulève des questions que vous n’avez peut- être pas envisagées

3 1. Votre réseau est-il prêt pour une plus grande complexité ?

4 2. Votre assistance technique peut-elle gérer le flux à venir ?

4 3. Vos appareils mobiles BYOD sont-ils sécurisés ?

5 4. Votre boutique d’applications est-elle prête ?

5 5. Les nouveaux services sont-ils prêts à être déployés ?

6 6. Les règles et procédures de gestion sont-elles définies  ?

6 7. Tous les employés sont-ils informés ?

7 Conclusion

7 Pour en savoir plus

7 A propos des logiciels IBM Tivoli

IntroductionLorsqu’il est question de smartphones, de tablettes et d’autres appareils mobiles professionnels appartenant aux employés, les chiffres parlent d’eux-mêmes. Une récente enquête menée par Aberdeen Group a révélé que 72 % des entreprises interrogées ont autorisé la pratique connue sous le nom de BYOD - Bring your own device, apportez votre propre appareil.1Information Week, dans sa propre étude, a révélé que 65 % des entreprises s’attendent à un accroissement de l’adoption du BYOD.2

L’utilisation professionnelle d’appareils personnels a augmenté de façon spectaculaire. Entre 2008 et 2010, le nombre d’entreprises ayant autorisé les téléphones basés sur la plate-forme Google Android est passé de 0 à 43 %. L’utilisation des iPhone d’Apple s’est elle aussi accélérée, passant de 28 à 66 %.1

La raison ? Si les fournisseurs de smartphones ont commencé à s’intéresser davantage au marché des entreprises et à concevoir leurs produits en pensant aux besoins des entreprises3, c’est le nouveau phénomène de consumérisation de l’informatique qui en est à l’origine, c’est-à- dire le désir des utilisateurs de disposer des mêmes fonctionnalités sur leurs appareils professionnels que sur leurs propres appareils. Pour 61 % des personnes interrogées par Aberdeen Group, la raison principale de l’autorisation des smartphones et tablettes BYOD réside dans le besoin des employés de disposer de fonctionnalités mobiles plus évoluées que la messagerie électronique et la gestion d’agenda.1

Fait intéressant, les employés portent un réel intérêt au BYOD, même lorsque leur employeur ne propose pas d’assistance pour leurs appareils. Alors que 43 % des entreprises ont à la fois autorisé les iPhone et proposé une assistance officielle pour ces smartphones, 34 % d’entre elles ont seulement autorisé leur utilisation, sans proposer d’assistance. Pour les téléphones Android, 30 % ont offert une assistance, mais 31 % ont seulement autorisé l’utilisation, sans fournir d’assistance spécifique.1

Il est clair que les smartphones, les tablettes et les autres appareils mobiles sont désormais implantés durablement dans les entreprises. Dans l’enquête menée par Information Week en 2011, 82 % des personnes interrogées ont déclaré qu’ils s’attendaient à ce que les smartphones jouent un « rôle important » dans la productivité des entreprises dans les 2 ans à venir. Il en allait de même pour les tablettes, avec 79 % de personnes estimant qu’elles étaient importantes pour la productivité. Il s’agit d’une augmentation significative par rapport aux 36 % de l’année précédente. En revanche, seuls 36 % ont considéré les ordinateurs portables comme essentiels à la productivité, en baisse par rapport aux 53 % de l’année précédente. 2

Ces chiffres sont très révélateurs, mais pour répondre aussi efficacement que possible à ces demandes, l’entreprise doit faire plus qu’écouter. Il est temps d’agir.

Ce livre blanc note qu’il ne suffit pas d’autoriser les utilisateurs à se servir de leurs propres appareils à des fins professionnelles. Pour que la stratégie du BYOD fonctionne, les entreprises doivent aborder des questions qu’elles n’ont peut-être pas encore envisagées, mais qui peuvent avoir des conséquences importantes sur les opérations commerciales et informatiques.

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Le BYOD soulève des questions que vous n’avez peut-être pas envisagéesIl est courant que les discussions sur le BYOD commencent par des questions liées à la sécurité ou se concentrent sur la gestion des vastes quantités de données générées par ces appareils supplémentaires. Mais les discussions vont au-delà de la sécurité pour englober un large éventail de problèmes de gestion des machines gérées. Elles vont également au-delà des charges de données pour englober l’impact général de ces appareils sur l’infrastructure et les opérations. Les discussions sur le BYOD sont encore relativement récentes, mais elles ouvrent la voie au changement et soulèvent des questions clés auxquelles les entreprises doivent être prêtes à répondre.

D’un point de vue organisationnel, l’adoption rapide des smartphones et tablettes est déjà en train d’affaiblir les cultures dans lesquelles l’informatique gérait la technologie et contrôlait l’accès aux ressources en sélectionnant, achetant, déployant et prenant en charge les appareils mobiles des employés. Ces pratiques et ces appareils, le plus souvent la plate-forme BlackBerry, avec un accent (focus) sur la voix, la messagerie électronique et la gestion d’agenda, sont encore là. Mais les scénarios de BYOD et les smartphones et tablettes, plus efficaces et qui s’appuient sur des applications, les remplacent peu à peu.

D’après Information Week, entre 2010 et 2011, le nombre d’entreprises imposant une plate-forme mobile est passé de 73 à 58 %. 2 Entre 2008 et 2010, Aberdeen Group a vu l’utilisation de la plate-forme BlackBerry passer de 81 % à 73 % des entreprises1. Ces chiffres témoignent d’une utilisation encore importante, mais annoncent l’arrivée d’environnements hétérogènes plus complexes pour les services ‘informatiques et de fonctionnalités plus productives pour les utilisateurs professionnels.

Qu’ils soient en train de recueillir des données GPS, de prendre en charge des transactions d’entreprises ou d’interagir avec le réseau pour assurer une performance optimale des fonctions technologiques, les appareils mobiles sont au cœur des services et des opérations d’aujourd’hui. Le monde est aujourd’hui plus intelligent, et la collecte de données, le partage de l’information et la prise de décisions doivent se poursuivre indépendamment de l’emplacement de l’utilisateur afin d’assister les entreprises qui se livrent une concurrence féroce.

Votre réseau est-il prêt pour une plus grande complexité ?

Par conséquent, l’explosion du nombre et des types d’appareils mobiles engendre des questions que les entreprises doivent aborder si elles veulent tirer au mieux parti de leurs employés, de leurs appareils et du réseau professionnel.

Il est vrai qu’une augmentation du nombre d’appareils ne se traduit pas par une croissance linéaire de la quantité de données. En effet, chaque employé utilise un seul appareil à la fois. Toutefois, plus d’appareils signifie plus d’opportunités de collecte de données et de connexion au réseau. Le réseau, doit donc croître et évoluer pour répondre à ces exigences accrues.

Dans un scénario de BYOD, l’entreprise peut réaliser d’importantes économies, car elle n’achète pas d’appareils. Toutefois, la nécessité de gérer plusieurs systèmes d’exploitation et plateformes matérielles qui en découle peut entraîner des dépenses et des problèmes informatiques extrêmement complexes. En effet, si les applications sur les smartphones et les tablettes propulsent la connectivité des entreprises mobiles au-delà de la voix et de la messagerie électronique, elles augmentent par ailleurs les besoins en bande passante et imposent des infrastructures plus importantes. De plus en plus, l’entreprise doit apprendre à optimiser sa gestion du réseau.

La virtualisation est une solution possible. L’utilisation accrue des ressources et la gestion rationalisée qu’elle entraîne permet de gérer davantage d’utilisateurs, d’appareils et de transferts de données. Cependant, tout environnement a besoin de fonctionnalités telles que la gestion des événements et l’analyse des causes profondes pour assurer la performance des appareils, ainsi que la découverte et la gestion centralisée pour garder un œil sur les actifs mobiles plus distants.

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Votre assistance technique peut- elle gérer le flux à venir  ?

Lorsque les utilisateurs apportent leurs propres appareils, ils apportent un large éventail de capacités personnelles - ou de manques de capacités - liées à l’utilisation de ces appareils. Même les employés qui savent bien se servir de leurs appareils ou qui dépendent de leur fournisseur pour résoudre les problèmes auront besoin d’aide avec les procédures internes telles que la configuration des appareils ou les connexions réseau. Par ailleurs, la demande augmente brutalement. En règle générale, lorsqu’une entreprise lance une politique de BYOD, un grand nombre d’employés souhaitent rejoindre immédiatement le programme. Le besoin soudain en bande passante et infrastructure supplémentaires peut provoquer des problèmes de performance, et l’assistance technique peut être débordée par les demandes d’aide.

Il peut être nécessaire de renforcer le personnel de l’assistance technique, au moins dans les premiers temps. L’entreprise peut également prendre d’autres mesures. Tout comme les entreprises gèrent l’expérience client, la gestion de l’expérience utilisateur des employés peut permettre d’améliorer leur productivité et leur moral, mais également de réduire le coût de l’assistance technique. Le processus consiste à surveiller des données telles que les heures ou la fréquence des connexions, et à assurer qu’une bande passante appropriée est disponible pour répondre au besoin.

Vos appareils mobiles BYOD sont-ils sécurisés ?

Les smartphones sont petits et peuvent facilement être perdus ou volés. Il n’est dès lors pas étonnant que 93 % des entreprises classent la sécurité des appareils mobiles à un niveau au moins équivalent à celui des autres problèmes de sécurité. Près de 60 % la classent comme « prioritaire » ou « très prioritaire », cette dernière catégorie connaissant la plus forte croissance. 2

Le scénario de BYOD soulève cependant un risque de sécurité plus élevé encore. Etant donné que les employés utilisent également leurs smartphones et tablettes à des fins personnelles, ils portent généralement ces appareils constamment sur eux, les smartphones sont toujours connectés au réseau et les utilisateurs se connectent fréquemment à l’entreprise à partir d’environnements non professionnels et moins sécurisés tels que les cafés. Ce matériel étant personnel, les employés sont par ailleurs souvent réticents face aux mesures de sécurité. Le service informatique doit trouver les moyens pour sécuriser à la fois les appareils mobiles et l’environnement de l’entreprise.

Le défi est donc de limiter efficacement l’accès réseau aux utilisateurs autorisés et authentifiés sans toucher à la productivité des employés. Le chiffrement doit permettre de sécuriser les données pendant la transmission. Les changements, en particulier pour la configuration des appareils, doivent être gérés de sorte à assurer la conformité aux exigences réglementaires. Si un appareil est compromis, le service informatique doit être en mesure de l’effacer à distance avant que des données sensibles de l’entreprise ne tombent entre de mauvaises mains.

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Votre boutique d’applications est-elle prête ?

Permettre aux employés de disposer d’appareils qui offrent des fonctions allant au-delà des fonctions de messagerie, de gestion d’agenda et de voix de base peut être une étape importante vers une plus grande efficacité des entreprises. Mais il ne s’agit que d’une première étape. Comme dans le domaine de l’électronique grand public, où vous pouvez télécharger des applications à partir de sites internet connus sous le nom de « boutiques d’applications » les entreprises prennent de plus en plus en charge les fonctions de BYOD en développant et diffusant des applications qui leur sont propres.

Les entreprises développent désormais des applications légères qui mettent l’accent sur des tâches spécifiques. Une entreprise qui développe ses propres applications et les distribue par le biais d’une boutique d’applications interne peut obtenir des résultats exceptionnels. Les entreprises qui se sont lancées rapportent une augmentation de la productivité de leurs employés pouvant atteindre 45 % et une amélioration de l’efficacité opérationnelle de 44 %.1

Les étapes suivantes comprennent l’extension des applications métier existantes aux appareils mobiles et le déploiement des versions mobiles de logiciels tiers (fonctions de gestion de la relation client par exemple), pour des fonctionnalités plus accessibles et simples que jamais.

Les nouveaux services sont-ils prêts à être déployés ?

Par définition, les clients, les partenaires commerciaux et les autres parties prenantes externes apportent leurs propres appareils lorsqu’ils interagissent avec l’entreprise et son infrastructure. L’extension des services métier existants et la création de nouveaux services destinés à l’extérieur de l’entreprise peuvent par conséquent s’intégrer harmonieusement avec une initiative interne de BYOD.

Les prestataires de services sont déjà confrontés aux problèmes et opportunités associés à une base importante et hétérogène d’appareils utilisateur. Ils doivent fournir plus qu’un tuyau de données. Ils doivent mettre en place une infrastructure qui augmente la bande passante, puis la gérer avec des outils qui améliorent l’expérience client. Les prestataires de services doivent soigneusement contrôler et équilibrer les investissements en capitaux et les coûts d’exploitation pour maintenir des revenus durables.

Les entreprises ont de plus en plus besoin de faire de même. Le monde fait de plus en plus appels à des instruments et s’étend sur de nouveaux marchés. Les entreprises doivent donc proposer des services offrant une valeur ajoutée toujours supérieure à la fois en interne et en externe, quel que soit l’appareil choisi par l’utilisateur final.

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Des règles et procédures de gestion sont-elles définies ?

L’autorisation des smartphones et des tablettes de BYOD ne signifie pas uniquement dire « oui » aux préférences des employés. Elle doit également se traduire par la mise en place de règles qui régissent la manière dont les appareils seront utilisés et gérés. Nombre de ces règles régulent des questions spécifiques aux appareils mobiles : quel opérateur de télécommunications utiliser, qui paie le service, comment supprimer les données des appareils en cas de perte ou de vol, etc.

La plupart des entreprises reconnaissent l’importance de ces règles. Les paramètres de conformité et de règles, avec l’application des règles, sont les caractéristiques de contrôle les plus fréquemment citées comme importantes. Mais malgré l’importance de ces politiques, seule la moitié des entreprises dispose de règles et procédures écrites qui répondent directement aux questions entourant l’utilisation des appareils mobiles.2

Les procédures de gestion des appareils sont également importantes, se classant presque aussi haut que les règles parmi les priorités des entreprises.2 Dans un environnement hétérogène de BYOD, la sélection d’outils de gestion peut être déterminante. Un grand nombre de solutions ponctuelles peut entraîner une gestion chaotique. L’entreprise peut, cependant, réduire la complexité avec des solutions de gestion d’appareils mobiles qui s’intègrent à la gestion de l’infrastructure existante, de la même façon que les smartphones et les tablettes BYOD s’intègrent aux processus métier.

Tous les employés sont-ils informés ?

L’utilisation d’un smartphone ou d’une tablette sur le lieu de travail n’est pas identique à son utilisation au domicile, même si l’appareil appartient à l’utilisateur. Les employés peuvent avoir choisi leurs propres plates- formes et fournisseurs. Ils peuvent, dans une certaine mesure, avoir choisi leurs propres applications. Il est toutefois nécessaire de mettre en place un programme de formation des employés pour s’assurer de la compréhension des règles qui régissent l’utilisation des appareils, pour leur permettre de profiter des ressources qui sont à leur disposition et rationaliser la gestion des périphériques afin que les utilisateurs et les responsables informatiques puissent demeurer aussi productifs que possible.

Considérons, par exemple, le ralentissement du réseau Wi-Fi de l’entreprise par un flux soudain et important d’appareils mobiles BYOD. Si les employés sont informés des alternatives, comme la possibilité de se connecter à un femtocell - appareil qui transfère des signaux cellulaires sur de courtes distances vers le réseau haut débit - ils peuvent non seulement améliorer leur propre connectivité, mais également soulager l’infrastructure sans fil de l’entreprise.

Il est donc dans l’intérêt de l’entreprise de former sa main- d’œuvre aux nouvelles technologies et de ne pas partir du principe que l’utilisation des appareils personnels incombe entièrement aux employés. Les paramètres par défaut, les configurations et la conformité à toutes les règles doivent être communiqués. La sensibilisation des employés devient un élément clé qui renforce les chances de succès du scénario de BYOD.

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ConclusionPeu importe que vous veniez de mettre en œuvre une politique de BYOD ou qu’une telle politique soit déjà en place, IBM peut vous aider à faire face aux défis informatiques liés aux appareils mobiles multiplateformes, multifournisseurs et appartenant aux employés.

Lorsque vous développez votre réseau pour accueillir de nouvelles activités et répondre à des exigences technologiques, IBM peut vous fournir l’infrastructure et la bande passante nécessaires et vous aider à mettre en place des fonctions qui permettent de réduire les coûts, générer de nouvelles recettes et de l’emporter sur la concurrence.

Lorsque vous êtes confronté à la gestion des défis inhérents à l’utilisation de smartphones, tablettes et autres appareils mobiles de l’entreprise, IBM peut fournir les outils dont vous avez besoin pour aller au-delà du paradigme de gestion traditionnelle des machines gérées. Le livre blanc IBM sur la Gestion des problèmes grandissants liés à l’expansion des réseaux d’aujourd’hui décrit des technologies de gestion efficaces pour étendre les environnements et présente des produits de gestion susceptibles de répondre à vos besoins.

IBM propose tout ce dont vous avez besoin pour optimiser des réseaux, sécuriser et gérer des appareils mobiles, développer de façon efficace et sûre des applications mobiles, contrôler en toute sécurité la gestion des accès aux ressources et prendre en charge les services gérés et l’externalisation. Le livre blanc IBM sur une Meilleure maîtrise des appareils mobiles décrit la manière dont vous pouvez gérer la charge de travail informatique supplémentaire liée à la gestion des appareils mobiles.

Pour plus d’informationsPour en savoir plus sur les solutions IBM de prise en charge des implémentations mobiles dans les entreprises, contactez votre représentant IBM ou un partenaire commercial IBM, ou visitez le site : http://www-01.ibm.com/software/fr/tivoli/solutions/endpoint/

A propos des logiciels IBM TivoliLes logiciels IBM Tivoli aident les entreprises à gérer efficacement les ressources, tâches et processus informatiques afin de répondre aux besoins toujours fluctuants des entreprises et de fournir une gestion de service informatique souple et réactive, tout en réduisant les coûts. Le portefeuille Tivoli comprend des logiciels de sécurité, de conformité, de stockage, d’exécution, de disponibilité, de configuration, d’exploitation, de gestion du cycle de vie informatique, et est soutenu par les meilleurs services, équipes d’assistance technique et recherche IBM. Pour en savoir plus sur les logiciels Tivoli d’IBM, consultez le site Web suivant : http://www-01.ibm.com/software/fr/tivoli/

En outre, IBM Global Financing peut vous aider à vous procurer les solutions informatiques dont votre entreprise a besoin de manière aussi rentable et stratégique que possible. Nous collaborons avec les clients éligibles pour mettre en place une solution de financement en fonction de vos objectifs d’entreprise, permettre une gestion efficace de la trésorerie, et améliorer votre coût total de possession. IBM Global Financing est votre meilleur choix pour financer vos investissements informatiques les plus importants et faire avancer votre entreprise. Pour plus d’informations, consultez le site Web suivant : http://www-03.ibm.com/financing/fr/lifecycle/acquire/itsoftware.html

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1 Borg, Andrew, « Mobility Becomes Core IT », The Aberdeen Group, SAP Mobility Insights Webcast Series, Part I, 29 mars 2011 http://event.on24.com/event/29/75/81/rt/1/ documents/slidepdf/ mobile_latest_march_28.pdf

2 Moerschel, Grant, « Mobile Device Management, » InformationWeek Reports, Novembre 2011 http://reports. informationweek.com/abstract/ 18/8484/Mobility-Wireless/research- mobile-device-management.htm

3 Wingfield, Nick, « Once Wary, Apple Warms Up to Business Market, » The New York Times, 15 novembre 2011 http://www.nytimes.com/ 2011/11/16/technology/businesses-too-

have-eyes-for-ipads-and-iphones.html?_r=1&hpw

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