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© 2015 USERVALUE | WE OPTIMIZE YOUR CUSTOMER EXPERIENCE I 1 Julien Roland, Consultant Associé @ Uservalue
CONCEVOIR POUR LES UTILISATEURS DANS LES HUMANITÉS DIGITALES ? (@EPFL, 3 Novembre 2015)
© 2015 USERVALUE | WE OPTIMIZE YOUR CUSTOMER EXPERIENCE I 2
> Le Problème Qu’est-ce que la Conception Centrée Utilisateur ? La Conception Centrée Utilisateur pour les DH ? Des questions que doivent se poser les DH
SOMMAIRE
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Comment faire en sorte que les outils soient plus adoptés par les utilisateurs dans les DH ?
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+ Les logiciels jouent un rôle crucial dans les humanités, mais leur adoption par les chercheurs n'a pas atteint le potentiel escompté (Kemman 2014)
+ Seulement 6% des chercheurs en sciences humaines utilisent des outils autres que des logiciels généralistes (Gibbs et al 2012)
Constat : Pas d’adoption des outils dans les DH
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+ Environ 50% des développeurs de logiciels dans les humanités
digitales considèrent que le nombre d'utilisateurs qui adoptent le logiciel constitue un facteur de succès (Gibbs et al 2012)
+ Les chercheurs dans les humanités digitales doivent « juger leurs outils à travers une métrique au dessus de toutes les autres : l'usage. Des outils qui sont réussis sont des outils qui sont utilisés. » (Scheinfeldt 2010)
Or succès d’un outil = Maximum d’utilisateurs
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+ Augmentation des financements dans le domaine des humanités digitales exige des résultats, un impact (alternative : gaspillage de ressources)
+ Dans le cas où la recherche elle-même est encapsulée (non séparée) dans l'outil, ni l'outil, ni le travail de recherche ne sont complètement exploité (Kemman 2014)
Et le manque d’adoption créé des difficultés
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+ Les outils dans les DH sont difficiles à utiliser, pour les nouveaux
utilisateurs et pour les utilisateurs actuels (Edwards 2012)
+ Les logiciels et les ressources digitales développés ne correspondent pas aux besoins des chercheurs (Warwick 2012)
+ Les logiciels n'ont pas besoin d'être plus sophistiqués, mais ils doivent être plus faciles à utiliser et mieux documentés pour être plus largement adoptés (Gibbs et al 2012)
Les outils dans les DH sont difficiles à utiliser et pas adaptés
© 2015 USERVALUE | WE OPTIMIZE YOUR CUSTOMER EXPERIENCE I 8 The Suda On Line (SOL) is a translation of the Byzantine Greek Suda, written and edited by a large international group of scholars and students. http://www.stoa.org/sol/
MAUVAISE UTILISABILITÉ ?
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+ On a longtemps considéré que les utilisateurs des DH étaient des luddites, qui ne savaient pas ce qu’ils voulaient, or c’est faux (Warwick 2012, Kemman 2014)
+ On a considéré que les experts techniques étaient ceux qui savaient à quoi devaient ressembler les outils (Warwick 2012)
+ Seuls 1/3 des développeurs de logiciels dans les DH réalisent des études d'utilisabilité (Gibbs et al 2012)
+ Les humanités étaient peu financées par rapport aux sciences "dures", provoquant la méfiance des utilisateurs par rapport à des outils non maintenus et obsolètes (Warwick 2012)
Les DH se sont peu préoccupées des utilisateurs jusqu’à présent
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« Les chercheurs en DH devraient arrêter de se plaindre de la faible acceptation de leurs méthodologies, lorsque les logiciels destinés à les promouvoir restent si peu accessibles à une audience plus large dans les humanités » - Gibbs et al 2012
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IL FAUT ÉTABLIR UN SOCIAL CONTRACT ENTRE UTILISATEURS ET DÉVELOPPEURS D’OUTILS
Gibbs et al. 2012
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+ Les tests utilisateurs sont la seule manière de produire des logiciels et ressources digitales simples et efficaces (Warwick 2012)
+ Les utilisateurs sont plus enclins à supporter des logiciels pour lesquels ils ont été impliqués (Warwick 2012)
+ La recherche utilisateur, en particulier basée sur les observations in situ, à beaucoup à apporter à la conception des outils dans les DH (Kemman 2014)
La Conception Centrée Utilisateur, une solution ?
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Le Problème > Qu’est-ce que la Conception Centrée Utilisateur ? La Conception Centrée Utilisateur pour les DH ? Des questions que doivent se poser les DH
SOMMAIRE
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Site Web
Apps
TV Interactive
Logiciels
Credit Photo: AP
ü compréhension explicite du contexte
ü utilisateurs impliqués ü conception pilotée par
l’évaluation ü processus itératif ü toute l’expérience
utilisateur ü équipe pluridisciplinaire
Conception Centrée Utilisateur
Rendre les logiciels plus faciles et agréables à utiliser
ISO 9241
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AMÉLIORER l’UTILISABILITÉ ET l’UX
http://www.w3c.fr/offrir-de-nouveaux-types-dexperience-utilisateur/
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LES PRINCIPES DE DIALOGUE H-M
http://www.slideshare.net/rasheed22/hci-presentation-36295403
ü adaptation à la tâche ü caractère
autodescriptif ü contrôlabilité
ü conformité avec les attentes des utilisateur
ü tolérance aux erreurs ü aptitude à
l’individualisation ü facilité
d’apprentissage
ISO 9241
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Le Problème Qu’est-ce que la Conception Centrée Utilisateur ? > La Conception Centrée Utilisateur pour les DH ? Des questions que doivent se poser les DH
SOMMAIRE
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des méthodes éprouvées
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COMPRENDRE LE CONTEXTE D’UTILISATION
Source : americanhistory.si.edu
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LE PROTOTYPAGE : RAFFINER ITÉRATIVEMENT L’INTERFACE
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LE TEST UTILISATEUR : OBSERVER LES DIFFICULTÉS
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mais
© 2015 USERVALUE | WE OPTIMIZE YOUR CUSTOMER EXPERIENCE I 23 Ivan Sutherland, Sketchpad, 1963. http://en.wikipedia.org/wiki/Sketchpad
UNE VISION D’INGÉNIEUR : OPTIMISER LE DIALOGUE H-M
© 2015 USERVALUE | WE OPTIMIZE YOUR CUSTOMER EXPERIENCE I 24 Ergonomie www.ssi-schaefer.ch
UNE VISION D’ERGONOME : ADAPTER LE TRAVAIL À l’H.
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+ Des applications grand public, d’entreprises ou industrielles
+ Avec des processus et des méthodes de développement
La CCU est utilisée dans le développement d‘applications
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+ Il est possible de bien identifier qui sont les utilisateurs (ou clients) du
futur système
+ L'utilisateur est vu plutôt comme un consommateur qu’un producteur et qu’il doit réaliser des tâches (avec un objectif bien déterminé)
+ Il existe un modèle de la tâche (logique invariante) pour les activités que le logiciel doit supporter
+ La conception des logiciels est industrialisée, à travers des processus et des méthodes
La CCU présuppose que …
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OR LES OUTILS DES DH = RESEARCH SOFTWARE
PRODUIRE DES CONNAISSANCES SUPPORTER DES TÂCHES ≠
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Le Problème Qu’est-ce que la Conception Centrée Utilisateur ? La Conception Centrée Utilisateur pour les DH ? > Des questions que doivent se poser les DH
SOMMAIRE
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+ Le chercheur qui développe un outil lui même (Self Design)
+ Le chercheur qui collabore avec un développeur
+ D’autres chercheurs dans les DH
+ D’autres chercheurs dans les humanités « traditionnelles »
+ Le grand public
Q1 : Qui sont les utilisateurs dans les DH ?
© 2015 USERVALUE | WE OPTIMIZE YOUR CUSTOMER EXPERIENCE I 30 The Suda On Line (SOL) is a translation of the Byzantine Greek Suda, written and edited by a large international group of scholars and students. http://www.stoa.org/sol/
MAUVAISE UTILISABILITÉ ?
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+ Les logiciels dans les humanités digitales ont souvent été conçus par
des chercheurs, pour des chercheurs, même si l'objectif était d'atteindre un public plus large (Edwards 2012)
+ La manière dont les chercheurs en DH utilisent les ressources digitales
est plus proche de celle des utilisateurs moyens, non-académiques (Warwick 2012)
Q1 : Qui sont les utilisateurs dans les DH ?
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Q2 : Peut-on identifier des besoins communs dans les DH ?
OUI dit Unsworth « La recherche implique des tâches génériques, les scholarly primitives, qui sont communes à toutes les disciplines »
NON dit Van Zundert « Les pratiques de recherche sont très spécifiques et une approche générique constituerait une sous-estimation désastreuse »
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discovering – knowledge either through archives or research annotating – adding layers of interpretation comparing – for example, texts across languages, data sets referring – referencing and acknowledging sampling – selecting appropriate samples illustrating – clarifying, elucidating, explaining representing – publishing or communicating
Les scholarly primitives
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+ Les travaux de Kemman 2014 semblent suggérer que les pratiques
dans les humanités sont trop spécifiques, et que de nombreux besoins et exigences utilisateurs sont uniques
+ Proposition : utiliser des méthodes participatives où utilisateurs et développeurs négocient au cours de la conception, à la place des méthodes plus traditionnelles
+ Proposition : développer des outils simples qui ne permettent de réaliser que des tâches élémentaires dans le processus de recherche (One Thing Well)
Q2 : Peut-on identifier des besoins communs dans les DH ?
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Q3 : Quelle vision de l’utilisateur pour les DH ?
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L’UTILISABILITÉ ET L’UX : POUR DES UTILISATEURS-COMSOMMATEURS PASSIFS ET NON RÉFLEXIFS ?
Edwards 2012
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+ Tous les utilisateurs n’ont pas un objectif spécifique en tête lorsqu’ils réalisent une activité : 29% recherchent vs. 21% naviguent sur les sites Web des musées (Whitelaw 2015)
+ L’existence même d’une « tâche » et d’un « utilisateur » génériques que l’on pourrait connaître est donc questionnable (Whitelaw 2015)
+ La CCU « pragmatique, mais très mécaniste » s’appuie sur des modèles de « tâche » et d’ « objectif » qui ne sont pas appropriés pour les humanités (distractions, engagement, flux, plaisir) (Drucker 2013)
La CCU « classique » repose sur des hypothèses questionnables
© 2015 USERVALUE | WE OPTIMIZE YOUR CUSTOMER EXPERIENCE I 38 http://www.printsandprintmaking.gov.au/
UN UTILISATEUR POUR LES DH : l’INFORMATION FLÂNEUR
Dörk et al 2011
© 2015 USERVALUE | WE OPTIMIZE YOUR CUSTOMER EXPERIENCE I 39
WALKING THE EDIT : L’UTILISATEUR-PRODUCTEUR (1)
http://walking-the-edit.net/fr/
© 2015 USERVALUE | WE OPTIMIZE YOUR CUSTOMER EXPERIENCE I 40
WALKING THE EDIT : L’UTILISATEUR-PRODUCTEUR (2)
http://walking-the-edit.net/fr/
© 2015 USERVALUE | WE OPTIMIZE YOUR CUSTOMER EXPERIENCE I 41
LE VOYAGE DANS LE TEMPS, UNE FONCTION « UTILE » ?
http://map.geo.admin.ch
© 2015 USERVALUE | WE OPTIMIZE YOUR CUSTOMER EXPERIENCE I 42
+ L'orientation qui permet au flâneur d'avoir une vue d'ensemble et un
sens de la direction : indicateurs de position, navigation à facette, visualisations de l'information
+ Des niveaux élevés de momentum visuel qui permet de passer de l'exploration horizontale à l'immersion verticale : transitions animées, interfaces zoomables, détails à la demande
+ Des opportunités de sérendipité en associant des données qui ont des aspects inhabituels ou qui sont liées à des interactions précédentes : prédominance visuelle, nouveauté
DES PRINCIPES ALTERNATIFS : L’EXPLORABILITÉ (Dörk et al 2011)
© 2015 USERVALUE | WE OPTIMIZE YOUR CUSTOMER EXPERIENCE I 43 Whitelaw 2015. http://mtchl.net/manlyimages/
UN MODÈLE D’INTERACTION : les GENEROUS INTERFACES
MANLY IMAGES
© 2015 USERVALUE | WE OPTIMIZE YOUR CUSTOMER EXPERIENCE I 44 Whitelaw 2015. http://mtchl.net/manlyimages/
MANLY IMAGES
UN MODÈLE D’INTERACTION : les GENEROUS INTERFACES
© 2015 USERVALUE | WE OPTIMIZE YOUR CUSTOMER EXPERIENCE I 45 Whitelaw 2015. http://www.printsandprintmaking.gov.au/
UN MODÈLE D’INTERACTION : les GENEROUS INTERFACES
AUSTRALIAN PRINTS
© 2015 USERVALUE | WE OPTIMIZE YOUR CUSTOMER EXPERIENCE I 46 Whitelaw 2015. http://www.printsandprintmaking.gov.au/
UN MODÈLE D’INTERACTION : les GENEROUS INTERFACES
AUSTRALIAN PRINTS
© 2015 USERVALUE | WE OPTIMIZE YOUR CUSTOMER EXPERIENCE I 47 Whitelaw 2015. http://www.printsandprintmaking.gov.au/
UN MODÈLE D’INTERACTION : les GENEROUS INTERFACES
AUSTRALIAN PRINTS
© 2015 USERVALUE | WE OPTIMIZE YOUR CUSTOMER EXPERIENCE I 48 Morozov 2012.
SUR LE WEB : L’INFORMATION FLÂNEUR, DÉJÀ MORT ?
> RATIONALISATION DU WEB > INTERFACE UNIQUE (GOOGLE) > TOUT SOCIAL (FACEBOOK)
© 2015 USERVALUE | WE OPTIMIZE YOUR CUSTOMER EXPERIENCE I 49 Pariser 2011.
SUR LE WEB : LA FILTER BUBBLE, L’ANTI SÉRENDIPITÉ ?
RATIONALISATION DU WEB / INTERFACE UNIQUE (GOOGLE) / TOUT SOCIAL (FACEBOOK)
© 2015 USERVALUE | WE OPTIMIZE YOUR CUSTOMER EXPERIENCE I 50
Q4 : Quel modèle pour prendre en compte les utilisateurs dans
le Research Software ?
© 2015 USERVALUE | WE OPTIMIZE YOUR CUSTOMER EXPERIENCE I 51
+ 56% des chercheurs développent leur propre logiciel (Hong 2015)
+ 71% des chercheurs n'ont pas de formation en développement de logiciel (Hong 2015)
+ Le research software engineer, à la frontière entre le chercheur et le software engineer, est en cours de reconnaissance (Beavan 2015)
Le développement de Research Software est encore artisanal
© 2015 USERVALUE | WE OPTIMIZE YOUR CUSTOMER EXPERIENCE I 52
LA CRAFTSPERSON ET LE SCHOLAR
Software Sustainability Institute. http://www.software.ac.uk/blog/2012-11-09-craftsperson-and-scholar
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SOFTWARE CARPENTRY : PRODUIRE DU BON CODE
https://software-carpentry.org/
© 2015 USERVALUE | WE OPTIMIZE YOUR CUSTOMER EXPERIENCE I 54
mais le research software cherche un modèle pour inclure les utilisateurs
© 2015 USERVALUE | WE OPTIMIZE YOUR CUSTOMER EXPERIENCE I 55
LA STARTUP : UN MODÈLE DE CCU AGILE POUR LES DH ?
Hong 2015
© 2015 USERVALUE | WE OPTIMIZE YOUR CUSTOMER EXPERIENCE I 56
L’OPEN SOURCE : UN MODÈLE DE DIFFUSION ET D’ADOPTION POUR LES DH ?
Scheinfeldt 2010
© 2015 USERVALUE | WE OPTIMIZE YOUR CUSTOMER EXPERIENCE I 58
+ Beavan, D. (2015). The Craftsperson and the Scholar: the Role of Software Engineers in Humanities Research. CODAH Talk.
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© 2015 USERVALUE | WE OPTIMIZE YOUR CUSTOMER EXPERIENCE I 59
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