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Bien que ces nouveaux supports intègrent une dimension technologique évidente, il faut replacer l’intérêt de ces objets connectés pour le patient (bien-être, accompagnement thérapeutique, observance du traitement, rééducation ) et son environnement : famille, professionnels de santé, aidants …
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AGENDA Les objets connectés, au centre de l’écosystème
santé ?
Thema – L’Atelier
Jeudi 5 décembre 2013
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INTERACTION HEALTHCARE / AGENCE DIGITALE SANTÉ
/ INTERACTION HEALTHCARE / AGENCE DIGITALE SANTÉ
CONSEIL STRATEGIQUE SOLUTIONS MOBILES COMMUNICATION
DIGITALE SERIOUS GAME &
SIMULATION VIRTUELLE
/ INTERACTION HEALTHCARE / SOCIÉTÉ SPÉCIALISEE DANS LA E-‐SANTE ET LE SERIOUS GAME SANTE
BPI France Excellence Interac<on Healthcare est iden<fiée comme l’une des 2000 entreprises françaises les plus innovantes par le réseau BPI France Excellence
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Membre du Pôle de compéIIvité Cap Digital
Filière des contenus et services numériques
Projets innovants avec les laboratoires de recherche CNRS et INRIA sur la simula<on médicale numérique
/ INTERACTION HEALTHCARE ILS NOUS FONT CONFIANCE /
Les objets connectés dans le domaine de la santé
Les objets connectés, quan<fied self … centrés, avant tout, sur le paIent
Bien que ces nouveaux supports intègrent
une dimension technologique évidente, il
faut replacer l’intérêt de ces objets connectés
pour le paIent (bien-‐être, accompagnement
thérapeu<que, observance du traitement,
rééduca<on ) et son environnement : famille,
professionnels de santé, aidants …
Une explosion des maladies chroniques et un vieillissement de la popula<on
v Un mode de vie induisant des maladies cardiovasculaires, l’obésité ou encore le diabète.
v Un enjeu sociétal pour les entreprises : plus de 15 millions de personnes en France souffrant d'une maladie chronique, travaillent ou veulent travailler.
v Un vieillissement de la popula<on avec une nécessité d’accompagnement sur le manque d’autonomie
v Un problème important d’observance des traitements (Par exemple, 50% des diabé<ques oublient de prendre leur médicament une fois par semaine)
A la fron<ère entre “bien-‐être” et “santé” ?
Des bracelets, des bijoux, des balances ou des montres connectées capables de renseigner sur l'état de santé de leur propriétaire
Un coach virtuel de votre santé … le service “connecté” à la préven<on
Faites entrer la cuisine et la nutri<on dans l’ère du numérique : OPEN FOOD SYSTEM,
porté par le Groupe SEB vise au développement de solu<ons avancées de cuisine numérique pour le grand public.
Des applica<ons pour des pa<ents
diabé<ques sont également intégrées à ce projet de recherche collabora<f
A la fron<ère entre “bien-‐être” et “santé” ?
Les objets connectés pour la collecte de données médicales
Un capteur flexible capable de réaliser un
bilan médical
Des appareils spécialisés peuvent surveiller toutes sortes de données, telles que la température
corporelle, la glycémie, la pression artérielle ainsi que les mouvements des muscles ou les bahements du
coeur.
L’accompagnement thérapeu<que Les objets connectés peuvent également
accompagner les pa<ents dans leur parcours
de soins (Exemple, post-‐interven<on
chirguricale pour un pa<ent obèse opéré
bariatrique …) et influencer éventuellement
leur comportement. On peut parler ainsi de
« modified self »
La « fourchehe connectée »
de Slow Control
Les piluliers intelligents au service de l’observance
Le pilulier SIVAN de MedSecure
iMedipac de MEDissimo Cet ou<l des<né en par<culier aux personnes
âgées et/ou malades chroniques a pour
objec<f de favoriser une bonne observance
aux traitements, véritable enjeu médical et
économique. L’implica<on des pharmaciens
est essen<elle pour la diffusion de ces objets.
La réalité augmentée pour les pathologies cogni<ves
Les objets connectés s’invitent dans la salle d’opéra<on … et dans la télémédecine
Médecin espagnol, Pedro Guillén est devenu le premier chirurgien au monde à réaliser une opéra<on en u<lisant les
lunehes de réalité augmentée de Google. Photo: Europa Press
La ques<on de la ges<on des données de santé La bio-‐impédance (ou l’impédancemétrie) permet de collecter jusqu’à 80 paramètres physiologiques. La mul<plica<on des collectes de données pose une ques<on réelle de la ges<on sécurisée de ses propres données de santé dans sa vie privée et professionnelle. Le phénomène du « big data » doit mehre en évidente l’analyse macro que certains acteurs de santé peuvent obtenir.
Système Tac<o RPM
Le partage des données entre pa<ents et professionnels de santé
La probléma<que du modèle économique De plus en plus adopté par les pa<ents, les
objets connectés doivent cependant
s’intégrer au mieux dans le financement des
dépenses de santé. Si l’intérêt médical et
scien<fique est prouvé, qu’en est-‐il des
financeurs : Sécurité sociale, mutuelles,
assurances, entreprises ?
Le débat reste ouvert … et en<er
La dépense annuelle moyenne d’une personne souffrant d’au moins une
maladie chronique est de 5 076€ contre 859€ pour une personne «normale».
LIVRE BLANC RENAISSANCE NUMERIQUE
AGENDA 0
CONTACTS Lucie Tesquier : 06 74 49 72 18 lucie.tesquier@interac<on-‐healthcare.com Jérôme Leleu: Jerome.leleu@interac<on-‐healthcare.com
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@digitalsante