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bulletin d’information de la commune de PLEUVEN magazine “Opération essaimage” Pleuven mars 2007 e eu u

14607 Bulletin Pleuven

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Bulletin municipal de Pleuven - Mars 2007

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b u l l e t i n d ’ i n f o r m a t i o n d e l a c o m m u n e d e P L E U V E N

magazine

“Opération essaimage”

Pleuvenmars 2007

PleuvenPleuvenPleuven

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PLEUVEN magazine Mars 2007

EDITONous vous présentons le discours du Maire

à la cérémonie des Vœux 2007.

Des remerciements :

A chaque invité de cette assemblée pour sa participation, dans son domaine, au service des Pleuvennois ; qu’ils soient élu dans une collectivité, agent de la commune ou de collectivités partenaires, agent d’administration, responsable d’association, instituteur, pompier, gendarme, partenaire privé… Ce rassemblement convivial permet de rappeler l’importance et la qualité du travail accompli. On oublie trop souvent de reconnaître la place de chacun dans la bonne marche de la commune et, en général, seule une absence non programmée nous le prouve. Je vous demande, comme cela a été le cas en 2006, que chacun soit fidèle au poste et je n’oublierai pas de rappeler l’importance du travail de tous.

Des satisfactions :

- La Maison des Enfants et des Loisirs, chantier majeur du mandat qui a mobilisé beaucoup de temps et d’énergie sous la responsabilité des adjoints Valentin BOUGUENNEC et Monique MAGOT : cet outil va vivre maintenant et ouvre donc un nouveau chantier. Je ne doute pas qu’il améliorera très nettement la qualité des prestations pour les bénéficiaires, les enfants, ainsi que les conditions de travail pour le personnel. - La rénovation de l’école. Une réelle dynamique s’organise, chacun à sa place, au service des enfants du groupe scolaire, au service de l’égalité des chances. Ces actions me semblent essentielles car là où il n’y a pas égalité des chances, l’inégalité de réussite est insupportable. Beaucoup d’exclus de notre société ont le sentiment de ne pas avoir eu leur chance.- Les procédures d’urbanisme pour la ZAC de Pen Hoat Salaün : nous avons pratiquement terminé l’aspect administratif, reste à valider le traité de concession, et à passer le relais à un aménageur qui rendra la ZAC opérationnelle en 2007. Cette action génère beaucoup d’espoir sur des sujets très sensibles comme la sécurité routière, la gestion des eaux, un habitat pour les jeunes et familles à revenus modestes …- Un personnel bien en place : l’année 2006 n’a pas connu de recrutement, sinon le remplacement pour congé de maternité de Morgane FURIC et de paternité de Frédéric GOARIN (je salue l’arrivée de Jules et Emy).

- Des logements locatifs adaptés livrés : 5 logements, 1 à Ti Skol et 4 à Ti Ar C’hoat. Un permis groupé d’accession sociale signé : 13 logements du T2 au T5 à la Clairière. Le développement urbanistique toujours actif avec 3 lotissements en cours et de nombreux permis de construire. Une découverte de la commune pour les nouveaux arrivants sera organisée au 1er semestre.- De nouvelles installations d’entreprises, donc des emplois.- Une activité associative riche et enviée, des animations diverses très suivies.Commune de Pleuven

“Opération essaimage” :

voir texte en page 3.

Les logements “Espacil”.

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PLEUVEN magazine Mars 2007

Le 2 février 2005, l’association A.R.B.R.E.S (Arbres Remarquables Bilan Recherches Etudes et Sauvegarde) attribuait à notre commune le label « Arbre remarquable de

France » pour notre chêne dont l’âge est estimé entre 600 et 800 ans.

Le 11 juillet 2006, une convention pour le projet de multiplication des arbres remarquables était signée avec les pépinières DESMARTIS de Bergerac en Dordogne, pour multiplier et commercialiser des jeunes plants génétiquement identiques à l’arbre mère.

Pour chaque jeune arbre vendu, les pépinières DESMARTIS s’engagent à verser une participation financière de 4 euros à la commune.

Cette somme sera consacrée à l’entretien et à la promotion de l’arbre remarquable.

Chaque « petit arbre remarquable » vendu sera porteur d’une fiche de présentation pré-cisant l’arbre mère, le nom de la commune, le département et l’historique de l’arbre.

Le 20 février 2007, les employés communaux ont prélevé une trentaine de greffons, qui ont été expédiés en Dordogne aux pépinières en question.

Ainsi notre vieil arbre renaîtra aux quatre coins de la France et avec lui un peu de l’his-toire de Pleuven

- Des inscriptions de nouveaux électeurs en grand nombre ; ce phénomène n’est pas spécifique à Pleuven mais il est toujours rassurant de sentir que les citoyens se sentent concernés. 2007 leur donnera l’occasion de choisir ; une participation maximum est indispensable. Pleuven a la bonne habitude d’avoir un taux de participation très élevé, continuons ! Des craintes :

- L’état de la dette nationale me fait craindre une dotation de l’état qui ne devrait pas se maintenir au niveau actuel et surtout au niveau indispensable pour assurer les missions demandées aux communes, soit par l’Etat (logement,

qualité de l’eau, déchets, assainissement, mises aux normes…) soit par les habitants (services, voirie, éclairage publique, loisirs…) D’un côté des demandes nouvelles ou plus exigeantes et de l’autre des financements moindres sinon nuls.

- Le niveau élevé de « l’immobilier » avec toutes les conséquences évidentes.- La situation de l’assainissement collectif : trouvons rapidement, ensemble, les bonnes solutions !- Les nouvelles règles de gestion de l’urbanisme, plus d’exigence pour les délais, plus de responsabilités, moins de moyens.- De nouveaux outils existent pour donner à la collectivité des moyens financiers mais aussi de régulation du marché de

l’immobilier, analysons-les et décidons !

Des réflexions :

- Le développement durable n’existera que si les projets sont des projets partagés, ce qui impose une remise en cause de la « Gouvernance » de nos collectivités. Il faut impliquer, mobiliser les habitants, le personnel et proposer une concertation dans les quartiers. Cette démarche est compliquée et non naturelle mais les enjeux sont tellement importants que chacun doit se sentir concerné et donc actif, participez ! et si vous avez le sentiment de ne pas être entendu, réagissez !

Pour conclure, j’émets le souhait que pour chacun, le verbe Être prenne le pas sur le verbe Avoir, condition indispensable pour que la vie soit plus agréable pour tous.

Jean LOAEC, Maire de Pleuven

LE VIEUX CHÊNE DU PARC DE LA MAIRIE

Les logements locatifs adaptés

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PLEUVEN magazine Mars 2007

Dans le dispositif national de lutte contre les conséquences sanitaires d’une canicule, chaque

commune a l’obligation d’ouvrir un registre permettant de recenser les personnes âgées et les personnes isolées à domicile qui le souhaitent afi n d’être en mesure de leur apporter conseil et assistance en cas de crise.L’inscription est facultative. Elle concerne les personnes résidant à domicile dans la commune, âgées de 65 ans ou plus ou bénéfi ciaires de l’allocation adulte handicapé ou de l’allocation compensatrice, ou titulaire d’une carte d’invalidité

ou d’une pension d’invalidité de la sécurité sociale ou du code des pensions militaires d’invalidité et des victimes de guerre.Le maire est tenu d’informer, « par tous les moyens appropriés, les habitants de la commune de la fi nalité de ce registre.Les tiers peuvent inscrire des personnes, en les signalant par écrit à la mairie. Dans ce cas le maire interroge la personne concernée. Il l’inscrit, sauf en cas de refus signalé. Ce registre mis à jour est conservé par le maire qui en assure la confi dentialité.Dans chaque département, il appartient au préfet de déclencher les niveaux d’alerte du plan canicule et de mettre en œuvre sous son autorité les mesures adaptées.

Le code civil (art. 528) considère les animaux comme des « corps qui se meuvent par eux-mêmes » et les range au nombre des « meubles par nature ». Tout propriétaire a donc sur eux tous les droits attachés au droit de propriété, à savoir

l’usage, le droit aux fruits et la possibilité d’en disposer librement par vente, donation, échange etc.Les droits du propriétaire doivent être combinés avec ceux de l’animal, et beaucoup plus encore avec ceux des tiers si cet animal est dangereux.

Or des faits divers liés à l’évolution de la société, culturelle ou économique, ont donné une actualité particulière à ce

problème : en témoignent en particulier les accidents causés par des chiens dangereux.L’intervention du maire est très étendue, car elle

concerne aussi bien les animaux sources de danger que ceux qui sont sources de simples nuisances. Le maire doit non seulement prendre les mesures nécessaires, mais aussi veiller à leur effi cacité. Selon l’article L 2212-2 du CGCT : »La police municipale a pour objet d’assurer le bon ordre, la sûreté, la sécurité et la salubrité publiques. Elle comprend notamment :…7° le soin d’obvier ou de remédier aux évènements fâcheux qui pourraient être occasionnés par la divagation des animaux malfaisants ou féroces… ».Ce texte, dont le style fl eure bon la date où il a été écrit, fi gure dans sa rédaction à l’article 97,8° de la Loi du 5 avril 1884. Tous les animaux, dès lors qu’ils divaguent sont susceptibles d’être malfaisants, y compris les chiens.

INFOS COMMUNALESREGISTRE CANICULE

LES ANIMAUX DANGEREUX

Il est interdit de traiter chimiquement les caniveaux et fossés.

Les traitements à proximité de l’eau peuvent porter at-teinte à la qualité de l’eau destinée à la consommation humaine, et peuvent menacer ou détruire la faune ou la fl ore aquatique, ce qui est interdit par le code de l’envi-

ronnement (Art l216-6) et par arrêté préfectoral. Des condamna-tions ont déjà été prononcées en Bretagne.Tout traitement à proximité de l’eau, même s’il s’agit d’un fossé non cadastré, porte atteinte à la qualité de l’eau. En effet, un fos-sé qui est à sec une partie de l’année peut participer, notamment pendant l’hiver, à l’alimentation du cours d’eau principal.Agriculteurs, collectivités, entrepreneurs, particuliers, tous les utilisateurs de produits phytosanitaires sont concernés.Aucune application de produit phytosanitaire ne doit être réali-sée dans et à proximité des fossés, canaux, cours d’eau et point d’eau. Respectez une distance d’au moins 1 mètre à compter de la berge.

Le traitement des bouches d’égout, des avaloirs et des caniveaux est interdit. Ceci est valable pour les traitements en zone urbaine effectués par les collectivités, mais également près de votre maison, vos bâtiments, dans votre cour… Soyez très at-tentifs si vous traitez les haies qui sont souvent bordées d’un fossé.Ces interdictions s’appliquent même s’il n’y a pas d’eau au moment du traitement. Les chemins potentiels de circula-tion de l’eau, donc en période où rien n’y coule, doivent être considérés avec la même at-tention que les fossés toujours en eau.

Préconisations de l’annexe 1 à l’arrêté préfectoral n°2005_385 réglementant l’usage des produits phytosanitaires à proximité de l’eau.

TRAITEMENT DE L'EAU

concerne aussi bien les animaux sources de danger

Le maire doit non seulement prendre les mesures

ou probl

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PLEUVEN magazine Mars 2007

PERMANENCES DES ÉLUS :

HORAIRES DES PERMANENCESLundi : 8h00-12h00 / 13h30-17h30Mardi : 8h00-12h00 / 13h30-17h30Mercredi : 8h00-12h00 / 13h30-17h30Jeudi : 8h00-12h00 / 13h30-17h30Vendredi : 8h00-12h00 / 13h30-16h30Samedi : 9h00-12h00

e-mail : [email protected]

Jean LOAEC, Maire : Jeudi et vendredi sur rendez-vous,samedi matin de 10 h à 12 h.

J-C. KERNEVEZ, 1er adjoint : Jeudi matin sur rendez-vousde 9 h à 12 h.

Monique MAGOT, 2e adjoint : Mardi et jeudi sur rendez-vousde 9 h à 12 h.

Lionel CAPP, 3e adjoint : Vendredi sur rendez-vousde 14h à 16h30.

Valentin BOUGUENNEC, 4e-Adjoint :Lundi, Mardi, Jeudi,vendredi de 11h à 12h.

Christian RIVIERE 5e-Adjoint :sur rendez-vous.

Oscar MARCOU, architecte-conseil :1er et 3e Jeudi de chaque mois de 9h30 à 10h30.

M. HAMIDA, assistant social : sur rendez-vous au 02 98 76 25 13.

Gwen RIPOCHE, RMI Jeunes : Vendredi sur rendez-vousde 9h45 à 10h45.

Mme Gaëlle LE CORRE et Mme BODAN, animatrice relais : 1er et 3e Mardi de chaque mois de 13h30 à-15h30 sur rendez-vousau 02 98 96 49 04.

2007 Calendrier des animations

MARS 2007Samedi 3 FNACA Repas Salle JL Lannurien Soirée

Samedi 10 ABI 29 Braderie (Vêtements, linge de maison, chaussures) Salle JL Lannurien 09h00 – 16h00

Samedi 10 Ariba cubba Bal Salle JL Lannurien 21h00

Dimanche 11 Armor Tango Répétition Salle JL Lannurien 15h00 – 19h00

Samedi 17 Pleuven Animations Fêtes Soirée Salle JL Lannurien Soirée

Lundi 19 Mairie Cérémonie du 19 mars

Samedi 24 APE Bal costumé Ecole René Tressard Soirée

Samedi 24 Fun Country West Soirée Salle JL Lannurien 19h00 – 24h00

Dimanche 25 L’Echo des Vagues Répétition Salle JL Lannurien 09h00 – 13h00

Vendredi 30 Les Amis de la Chapelle Saint Thomas Assemblée Générale Salle JL Lannurien

Samedi 31 Armor Tango Bal Salle JL Lannurien 20h00 – 01h00

AVRIL 2007Vendredi 6 APE Ecole Saint Joseph Loto Salle JL Lannurien Soirée

Dimanche 8 FCP Repas (Tournoi de Pâques) Salle JL Lannurien Soirée

Dimanche 15 Armor Tango Répétition Salle JL Lannurien 15h00 – 19h00

Dimanche 22 Elections présidentielles (1er tour) Salle JL Lannurien

Samedi 28 Zingueur’s Band Soirée Salle JL Lannurien

Dimanche 29 L’Echo des Vagues Répétition Salle JL Lannurien 09h00 – 13h00

MAI 2007

Dimanche 6 Elections présidentielles (2ème tour) Salle JL Lannurien

Jeudi 10 Pleuven Loisirs Repas Salle JL Lannurien Journée + Soirée

Dimanche 13 Paroisse Pardon de Saint Tudy Chapelle Saint Tudy Journée

Dimanche 13 Armor Tango Répétition Salle JL Lannurien 14h30 – 19h00

Vendredi 18 Club Accueil Art Détente Repas Salle JL Lannurien à partir de 17h30

Samedi 19 Armor Tango Bal Salle JL Lannurien 20h00 – 01h00

Dimanche 20 L’Echo des Vagues Répétition Salle JL Lannurien 09h00 – 13h00

Vendredi 25 ADMR Assemblée Générale Salle JL Lannurien 20h30

Samedi 26 FCP Assemblée Générale Chaumière 20h30JUIN 2007Vendredi 1er Pleuven Basket Club Assemblée Générale Salle annexe de Bellevue 19h00

Samedi 2 ABI 29 Braderie (Vêtements, linge de maison, chaussures) Salle JL Lannurien 09h00 – 16h00

Samedi 2 Mairie Portes ouvertes à la Maison des Enfants Maison des Enfants

Dimanche 10 Paroisse Pardon de Saint Thomas Chapelle Saint Thomas Journée

Dimanche 10 et 17 Elections législatives Salle JL Lannurien

Samedi 16 APE Kermesse Ecole René Tressard

Samedi 23 Ass. Les Chansonniers Spectacle musical Salle JL Lannurien Soirée

Dimanche 24 Armor Tango Répétition Salle JL Lannurien 15h00 – 19h00

Jeudi 28 Pleuven Loisirs Repas Salle JL Lannurien Journée + SoiréeJUILLET 2007Du 4 au 8 Armor Tango Stage de tango Salle JL Lannurien Toute la journée

Tous les jeudis Mairie Jeudis du Parc Parc de la Mairie Soirée

Samedi 21 FCP Moules frites Salle de Bellevue SoiréeAOUT 2007Tous les jeudis Mairie Jeudis du Parc Parc de la Mairie Soirée

Dimanche 5 Club des Cyclorandonneurs Randonnée de l’Odet Départ salle JL Lannurien 06h30 – 13h00SEPTEMBRE 2007Samedi 15 Armor Tango Portes ouvertes et initiation Salle JL Lannurien 14h30 – 19h00OCTOBRE 2007

Samedi 13 Ass. des Pêcheurs Plaisanciers de Fouesnant La Foret Fouesnant Soirée dansante

Dimanche 14 Armor Tango Répétition Salle JL Lannurien 15h00 – 19h00

Samedi 20 Fun Country West Soirée Salle JL Lannurien 19h00 – 24h00

Samedi 27 Armor Tango Bal Salle JL Lannurien 20h00 – 01h00NOVEMBRE 2007Dimanche 11 Pleuven Animations Fêtes Troc et Puces Salle de Bellevue

Samedi 17 ABI 29 Braderie (Vêtements, linge de maison, chaussures) Salle JL Lannurien 09h00 – 16h00

Dimanche 18 Armor Tango Répétition Salle JL Lannurien 15h00 – 19h00DECEMBRE 2007Samedi 1er Pleuven Animations Fêtes Assemblée Générale Chaumière 20h00

Samedi 1er Armor Tango Bal Salle JL Lannurien 20h00 – 01h00

Vendredi 7 Cyclorandonneurs Assemblée Générale Chaumière

Samedi 8 FNACA Repas Salle JL Lannurien Soirée

Samedi 15 Fun Country West Soirée Salle JL Lannurien 19h00 – 24h00

Dimanche 16 Armor Tango Répétition Salle JL Lannurien 15h00 – 19h00

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Deux crèches accueillent les enfants du Pays Fouesnantais depuis le mois de jan-vier 2007. Les deux structures fonction-

nent en partenariat, chacune ayant un fonctionnement diffé-rent ce qui permet de répondre mieux aux attentes diverses de

la population. La crèche « Le bateau bleu » située à Clohars Fouesnant, est gérée en régie par la Communauté de Communes du Pays Fouesnantais avec Madame Anne-Marie Vanhelle comme directrice. Sa capacité est de 20 places et elle a des horaires d’ouverture habituels. La crèche interentreprise « tôt ou tard » est située au nord de la zone de Troyalac’h à Saint Evarzec, elle accueillera les enfants sur des horaires élargis à savoir de 5h30 à 22h30. D’une capacité de trente places, cette structure est réservée aux enfants des salariés des entreprises adhérentes à l’association gestionnaire, « Allience Cornouaille » et d’autre part, aux enfants

du pays Fouesnantais. Neuf places sont exclusivement destinées aux enfants de notre territoire.

La Halte Garderie, située au centre ville de Fouesnant, accessible à tous les familles du Pays Fouesnantais, retrouve avec la présence des deux crèches sa fonction de Halte.

Bien vieillir en Pays Fouesnantais.

En appliquant la même méthode que pour l’enfance, la CCPF a engagé une étude sur les besoins et attentes des personnes âgées. Cette étude consiste à formuler, dans un délai précis, des fiches « action » pour améliorer la vie des bénéficiaires et de tous les acteurs concernés.

INFOS COMMUNAUTAIRES

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Économie

NETTOYAGE DE VOS :

LOCAUX - VITRES – SOLS – SHAMPOING MOQUETTE DECAPAGE DE SOLS – LOCATIONS TOURISMES

CONSTRUCTIONS NEUVES – SYNDICS – COLLECTIVITES

NOTRE VOLONTE QUOTIDIENNE :

Le respect de nos accords.La satisfaction de vos exigences.

Des réponses rapides à vos attentes.

N’hésitez pas à nous demander conseils, devis gratuit !

CONSTRUCTIONS NEUVES CONSTRUCTIONS NEUVES

Création de l'entretprise : 05/ 01/ 2004Responsable : Madame Ginna OLLIVIERZone clientèle : QUIMPER et sa region

Effectif : de 1 personne en 2004 à 9 salariés aujourd'hui Poursuite du developement de l'entreprise

avec de nouveaux contrats en prévision sur 2007/ 2008.

1986 ............................... Date de création de la SARL MCMR Bellevue Pleuven 2 salariés

1990 ............................... Nouveau bureau 9 Croix du Rest Pleuven 8 salariés

2003 ............................... Changement de gérant Carl Canévet 12 salariés

2006/2007 .................. Regroupement des Sociétés MCMR/CONSTRUCTIONS JEFFROY - Le Rest à Pleuven (anciennement entreprise Le Dren) 20 salariés

2006 ............................... Mr Canévet associe les Construction Jeffroy (Châteauneuf du Faou) rachetées en 2005, à MCMR. A ce jour, la société se compose de 43 salariés dont 36 personnes à la production, 1 chargé d’affaires, 1 ingénieur étude de prix, 2 conducteurs de travaux, 1 secrétaire, 2 comptables.

MCMR /JEFFROY CONSTRUCTIONSEntreprise Générale du Bâtiment - Neuf Rénovation Démolition - Extensions TCE

Constructeur depuis 1986. Certifié QualibatLe Rest - 29170 PLEUVEN- Tél 02 98 54 65 83 - Fax 02 98 54 71 97 - E-mail : [email protected]

Rayon d’action de l’entreprise

Le rayon d’activité de l’entreprise se situe essentiellement dans le Finistère Sud, de Crozon à Quimperlé, de Carhaix à Audierne.La base principale est située à Pleuven où il y a un bureau, un hangar pour le stockage de la marchandise et du matériel.Nous réalisons tous travaux de rénovation, de démolition, de gros œuvre, de constructions neuves avec le particulier et les collectivités dont voici quelques références :

- Mairie de Rosporden- Maison de retraite d’Arzano- Ecole Jules Ferry Pont l’Abbé- Collège St Blaise Douarnenez- Hôtel des Sables Blancs Concarneau- Mona Lisa immeuble de 25 logements Ile Tudy- Villas Urbaines 21 maisons Biobric Quimper- Mairie de Loctudy- SCCV de Kérogan immeuble collectif de 23 logements Quimper- Foyer de vie Kan Ar Mor Plomelin- Aiguillon Constructions 14 pavillons à Pemmarc’h- Mapa de Briec de l’Odet

Nous avons le label certifi é QUALIBAT

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PLEUVEN magazine Mars 2007

DOSSIER : LE CIMETIÈRE COMMUNAL

Le cimetière, sanctuaire des morts, joue un rôle central pour les cérémonies qui s’y tiennent et l’hommage qu’il représente

pour les morts. Pendant longtemps, il fut géré par l’Eglise mais aujourd’hui, il re-présente une large partie des préoccu-pations des communes. Le maire, en se voyant conférer depuis le décret du 23 prairial an XII d’importants pouvoirs de police, est peu à peu devenu le garant du bon fonctionnement d’un système où la protection des morts est essentielle.

L’objet de se dossier est de présenter de manière synthétique les différents textes qui concernent le cimetière, le « lieu où l’on dort » au sens éthymologique du terme, ainsi que les interprétations qui en ont été faites par le juge, en préci-sant à chaque fois quelle est l’étendue des pouvoirs du maire et de la respon-sabilité de la commune.

Les lieux de sépulture dans la commune et leur protection.

Dès la plus Haute Antiquité, les hom-mes ont montré le plus grand respect pour leurs morts. Pendant des siècles, dans l’Europe chrétienne, le culte des morts apparaît comme une composante essentielle d’une religion qui croit en la résurrection des corps. Espace sacra-lisé, le cimetière a profondément évolué au cours des temps. Lieu de passage et véritable place publique au milieu du XVIII siècle, il doit son évolution à des considérations d’hygiène et de salubrité publiques. Lieu d’inhumation des morts, il subit aussi les conséquences de la

laïcisation de la société française con-sécutive à la séparation de l’Eglise et de l’Etat. Hériter de toutes ces traditions, le régime juridique des cimetières est sou-mis à de nombreuses règles issues tant des textes que de la jurisprudence.

La création et l’agrandissement du cimetière.

Les communes sont obligées de créer des cimetières publics pour assurer l’in-humation, dans des conditions décen-tes, des personnes mortes. La sépulture dans un cimetière d’une commune est due : aux personnes décédées sur son territoire, aux personnes domiciliées sur son territoire et aux personnes non domiciliées mais qui ont droit à une sé-pulture de famille.Seules les communes ont la possibilité de créer des cimetières. L’initiative de la création ou de l’agrandissement du cimetière appartient donc au conseil municipal.

Les dérogations au monopolede la création.

L’inhumation a pour principale fonction « de laisser s’effectuer le processus biologique de disparition graduelle de la dépouille ». La législation funéraire doit alors concilier un double objectif : le maintien de la salubrité et de l’ordre public d’une part, « le respect dû aux morts » qui impose la prise en compte de la volonté du défunt quant à la dispo-sition de son corps. L’inhumation dans le cimetière communal constitue donc la règle générale. Toutefois, les cime-tières communaux ne sont pas les seuls lieux de sépulture. Des sépultures sur les propriétés privées, des cimetières confessionnels ainsi que des cimetières militaires existent aussi. L’inhumation sur une propriété particulière est possi-ble mais soumise à un certain nombre de conditions et elle doit être autorisé par le préfet.

L’intérêt public de l’extension d’un cimetière.

L’extension d’un cimetière est une opé-ration qui présente un caractère d’utilité publique. La commune choisit librement le terrain. La superficie du cimetière doit être cinq fois plus étendue que l’espace nécessaire pour y déposer le nombre présumé des morts qui peuvent y être enterrés chaque année. Le code général des collectivités territoriales établit une servitude non aedificandi : nul ne peut, sans autorisation, élever aucune habi-tation ni creuser aucun puits à moins de 100m des nouveaux cimetières transfé-rés.

Les aménagements.

Les cimetières doivent être enclos. La cloture doit être assez haute pour inter-dire l’accès du lieu à toute heure. Les espèces plantées ne doivent pas gêner la circulation de l’air et être à terme sources de dommages pour les tombes avoisinantes en raison de l’ombre portée, de l’humidité ou des destructions engen-drées par les racines par exemple.

Le caveau provisoire.

L’inhumation peut avoir lieu dans un ca-veau provisoire.C’est un ouvrage réalisé par la commune et destiné à recevoir temporairement les cercueils destinés à être inhumés dans des sépultures non encore construites ou qui doivent être transportés dans un autre lieu. La com-mune a la possibilité de fixer un droit de séjour pour tout corps déposé dans un caveau provisoire.

La crémation et le site cinéraire.

La mort est un événement complexe à identifier qui donne lieu à des rites dont chaque individu a sa propre perception. Les rites funéraires constituent, pour l’élu local, une question parfois difficile à appréhender. Confronté à l’évolution

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DOSSIER : LE CIMETIÈRE COMMUNAL

de l’attitude des citoyens face aux obsè-ques, le maire doit bien souvent prendre en compte le fait que le développement du mode de vie, l’éclatement de la cel-lule familiale, le déclin des croyances religieuses et l’apparition de préoccupa-tions écologiques et environnementales ont fait naître de nouvelles aspirations en matière de rites funéraires. La créma-tion s’inscrit dans ce contexte particu-lier. A l’origine, cet acte avait une forte connotation anti-religieuse. Il s’agissait, pour un laïc, de marquer son opposition à l’église catholique qui interdisait l’inci-nération. La liberté des obsèques a été levée en 1887 mais il a fallu attendre 1963 pour que la crémation soit admise par l’église catholique. Elle est interdite par l’islam et le judaïsme.Dans notre pays, cette pratique est en constante progression, pourtant les crématoriums, columbariums et autres espaces cinéraires sont encore relative-ment rares en France.

Le columbarium.

L’urne cinéraire contenant les cendres est remise à la famille. Se pose alors la question de sa destination. Si plusieurs destinations sont possible, différents équipements peuvent être aménagés à cet effet dans le cimetière communal pour recevoir les cendres : columba-rium, parfois sépultures d’urnes et jar-din du souvenir, le tout formant ainsi le site cinéraire.L’urne et les cendres qu’elle contient sont classées dans la catégorie des biens immobiliers hors commerce. Ceci rend impossible la création de columba-riums privés et le columbarium, quand il est créé par la commune, doit être situé dans l’enceinte du cimetière communal. Aucune réglementation n’existe actuel-lement en ce qui concerne la dimension des cases du columbarium et des urnes funéraires.

Le jardin cinéraire.

La commune peut décider de la création, dans l’enceinte du cimetière, d’un jardin du souvenir où les cendres peuvent être répandues à la demande de la famille

Le règlement intérieur.Le règlement intérieur rappelle les dis-positions législatives et réglementaires en vigueur, en les adaptant précisément au cimetière de la commune. Il édicte les mesures propres à assurer le bon ordre, la sécurité, la décence et la salubrité dans le cimetière. Ce règlement intérieur intervient sous forme d’arrêté du maire.

Ouvrage de référence : le cimetière communal

par Françoise Dupont-Marilla

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PORTRAIT D'ARTISTES PLEUVENNOIS

Ces 2 dernières années, les Pleuvennois ont eu l’occasion d’entendre la voix de Klervi Rivière lors des Jeudis du parc. La jeune femme, qui pratique également

la bombarde au sein du réputé Bagad Kemper, n’est pas une nouvelle venue dans l’univers de la chanson bretonne : elle avait 12 ans lorsqu’elle participa à son premier enregistrement, une cassette de chants traditionnels du pays bigouden, avec sa mère Marie-Aline Lagadic et sa grand tante Lisette Maréchal, et à peine plus lorsqu’elle monta sur la scène des Fêtes de Cornouaille, en 1994, pour les 80 ans de Per Jakez Hélias.Après des apparitions lors des concerts “Voix de Femmes de Bretagne”, dont celui de Brest 96 devant 15 000 spectateurs, aventure conclue par un CD, Klervi s’est beaucoup impliquée pour la sortie d’un nouvel album sorti l’an dernier, “Le chant des sardinières”. Ce projet, initié par Marie-Aline Lagadic, a suivi le tournage en 2003 du film “Penn sardines” qui portait un coup de projecteur sur les

mouvements de grèves des années 1920, à Douarnenez puis dans le pays bigouden. Klervi y chante au côté de sa mère, accompagnées par Alain Trévarin à l’accordéon et François

Gouzien au piano.Cette année, une nouvelle aventure va commencer pour la jeune Pleuvennoise. Elle vient en effet d’être retenue pour intégrer la 2e promotion de la “Kreiz Breizh Akadémi”. Ce collectif, dont le nom est bien sûr un clin d’oeil à d’autres productions plus commerciales, est dirigé par Erick Marchand, grande figure de la chanson bretonne. L’idée est de réunir des jeunes chanteurs et musiciens bretons pour les faire travailler avec des artistes et formateurs de divers horizons, français

ou étrangers, avec l’objectif de monter un ensemble amené à jouer sur scène. L’an dernier, la 1re promotion a ainsi arpenté des scènes aussi prestigieuses que celle du festival du Bout du monde. Une affaire à suivre...

À 25 ans, Aurélie Gayrin s’est déjà fait remarquer dans le monde des fleuristes, grâce aux différents concours départementaux, régionaux et même nationaux aux-

quels elle a participé, toujours avec brio. Au départ, pourtant, suivre le chemin de ses parents Gilles et Katell, qui tiennent les magasins Katelflora à Pleuven, Fouesnant et Bénodet, n’était pas dans ses intentions.

Après le bac, elle avait préféré opter pour une fac d’arts plas-tiques, à Rennes. Un choix qui ne s’avéra pas concluant. Re-tour au bercail, donc, et direction Cuzon pour un CAP puis un Brevet professionnel de fleuriste, avant de poursuivre par un Brevet de maîtrise. En mettant sa fibre artistique au service des fleurs, Aurélie a ainsi trouvé sa voie. Elle envisage main-tenant de terminer ses études par un brevet de maîtrise supé-rieure, dans l’idée de devenir formatrice lors de stages desti-nés aux fleuristes. “C’est grâce à la notoriété acquise lors des concours que j’ai cette possibilité, précise-t-elle. Cette année, j’accompagne des formateurs pour voir comment ça se passe. Connaître le métier, c’est une chose mais la pédagogie, savoir faire passer les messages, c’en est une autre.”

Actuellement, Aurélie partage donc son temps entre les sta-ges auxquels elle assiste pour se familiariser avec le métier de formateur et son activité de fleuriste chez ses parents. “Je souhaite redonner une nouvelle image aux 3 magasins, en revoyant la décoration intérieure.” Elle travaille également à la mise en place d’un stage sur le thème des bijoux, sans oublier de préparer son mariage prévu cet été. La jeune Pleu-vennoise peut voir la vie en roses...

AURÉLIE MET SA FIBRE ARTISTIQUE AU SERVICE DES FLEURS

KLERVI RIVIÈRE SORT SON NOUVEL ALBUM : "LE CHANT DES SARDINIÈRES"

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PLEUVEN magazine Mars 2007

PORTRAIT D'ARTISTES PLEUVENNOIS

Originaire du Morbihan, Kristel Deimat, fleuriste de profession, est arrivée dans le pays fouesnantais il y a une petite dizaine d’années. A Pleuven, elle s’est

installée du côté du Dourguel où elle profite du calme ambiant pour assouvir sa passion pour la peinture. A l’acrylique, elle associe différentes matières, toujours à la recherche de nouveautés. “J’utilise de la colle chaude et des matériaux de récupération tels que tissus, végétaux broyés et séchés, sable, écorces, ciment, platre...”, explique-t-elle. Les thèmes de ses tableaux portent souvent sur la nature. “J’ai toujours fait de l’abstrait mais cela tend de plus en plus vers le figuratif.“

En février, on a pu découvrir une trentaine de ses tableaux à la mairie de Pleuven. La jeune femme a également exposé en divers endroits dans le Sud Finistère, à Quimper, en pays bigouden ou encore au casino de Bénodet. Cette année, dans le pays fouesnantais, elle exposera son travail à la mairie de Clohars-Fouesnant en avril, à Gouesnach pendant l’été puis au centre culturel de La Forêt-Fouesnant en décembre. Kristel

envisage également d’ouvrir un site Internet et suit actuellement les cours d’informatique proposés par Pleuven loisirs. En attendant, son atelier est ouvert au public le vendredi après-midi ou sur rendez-vous (tél. 02 98 54 72 90).

Cette année, Florent a choisi de poursuivre ses études et sa formation d’arbitre. Il a ainsi intégré

le Pôle Espoirs arbitres de Basket-Ball de Saint-Brieuc installé dans les locaux du Sacré-Cœur où il peut mener les deux de front. Avec huit autres jeunes venus de toute la Bretagne, il alterne pratique du basket et formation d’arbitre, encadrés par Patrick Taffin, arbitre en ProB. « N’ayant pas le niveau pour intégrer une section sport études, je voulais rester dans le basket, raconte Florent.

Au centre de formation, j’apprends tous les jours soit en tant que joueur, soit en tant qu’arbitre. Et puis on nous incite à passer des niveaux d’entraîneurs. Cette année, je passe mon 1er niveau. L’an prochain, ce sera animateur et pourquoi pas entraîneur jeunes ensuite. » Cette année, Florent arbitre au niveau Régional cadets et cadettes, mais aussi la Ligue Régionale Féminine et Masculine 2. Son objectif à court terme est ler niveau Régional Masculin 1 et Prénationale

Féminine. Il vise ensuite la N3 et plus bien sûr.En attendant, Florent fait profiter le PBC de ses compétences. Le samedi après-midi lors des matchs jeunes et le samedi matin, en proposant cette formation à l’arbitrage. « J’aimerais, et je ne suis pas le seul, donner une image du PBC, avec des arbitres qui connaissent bien leur code de jeu. » Et arbitrent juste.

FLORENT PLOUZENNEC SE FORME AU PÔLE ESPOIR ARBITRE DE SAINT-BRIEUC

DANS SON ATELIER, KRISTEL DEIMAT CULTIVE L’ART DE LA RÉCUP’

Sport : Basket

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PLEUVEN magazine Mars 2007

GROUPE SCOLAIRE RENE TRESSARD

Les inscriptions à l’école maternelle et élémentaire René TRESSARD pour la

rentrée de septembre 2007 se feront la semaine du 21 au 25

mai 2007, sur rendez vous auprès de la directrice et du

directeur.

Tél. école maternelle : 02 98 54 74 95Tél. école élémentaire : 02 98 54 60 70

Pièces à fournir : - livret de famille - carnet de santé - certificat de radiation si l’enfant

vient d’une école extérieure à la commune.

Attention : les enfants qui rentrent au Cours Préparatoire doivent obligatoirement se réinscrire à l’école élémentaire.

Pendant les vacances de février 2007, nous avons choisi le thème « la vie du marin ». Celui-ci a

suscité un grand enthousiasme auprès des enfants.Accompagnée d’un guide, lors de la visite d’Haliotika au Guilvinec, les enfants ont réalisé ce qu’était vraiment la vie des marins.Tout d’abord par la présentation des maquettes de chalutiers, la passerelle (poste du patron) les petites vidéos sur les différentes pêches, les filets de pêche et toutes sortes de poissons.

Dans les locaux au Centre de Loisirs, les enfants ont pu visionner la vidéo d’un bateau de pêche qui passe 15 jours continus en mer, « Le LIORAN », un bateau de Concarneau.Nous avons poursuivi notre visite sur le port pour l’arrivée des bateaux, afin d’assister à la vente du poisson sur la criée.Des photos ont été prises durant les vacances au cours des différentes activités proposées ; celles-ci seront diffusées en boucle lors de l’inauguration de la Maison des Enfants le 2 juin 2007.

Nous avons constaté pendant ces vacances que l’effectif des 3/5 ans était en nette progression ainsi que les 6/8 ans.

CENTRE DE LOISIRS COMMUNAL

Loisirs

L’ensemble des activités et sé-jours aura été bien suivi puis-que en collaboration avec les animateurs Karim & Fred les

programmes sont élaborés en commun avec les jeunes.Les nombreux projets auxquels auront adhérés les jeunes se seront avérés très constructifs sur le plan social, environnemental, local et l’enrichisse-ment personnel de chacun tant sur le « chantier jeunes au Glénan » d’avril que sur les « chantiers jeunes » de cet été.Aussi de part leurs actions et partici-pations à la vente de sandwich et de gâteaux avec l’appui d’adultes (que nous remercions pour leur soutien) dans le cadre des « Jeudis du Parc » ;

les jeunes auront travailler dans un but commun pour autofinancer dans sa to-talité l’acquisition d’un billard.Certains projets seront reconduits (ex : chantier au Glénan…) et d’autres idées émergent.Les jeunes restent acteurs de leur structure et sont forces de proposi-tions. « Pourvu que ça dure ! » dixit Lafesse.

ECHO DE LA MAISON DES JEUNES ANNÉE 2006Une année riche en fréquentation où la mixité en forte

progression apporte un équilibre au groupe.

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PLEUVEN magazine Mars 2007

Lors de notre assemblée gé-nérale de fin

d’année, le journa-liste présent nous demanda si nous

avions prévu la créa-tion d’un cours ; réponse de la présidente sans être convaincue : « et pourquoi pas un cours informatique ? ».Le compte rendu paraissant dans la presse, dès la première heure un infor-maticien a pris contact avec nous et un accord a été conclu.Ayant trouvé le professeur, il fallait de-mander à Monsieur LOAEC, Maire de Pleuven l’autorisation d’utiliser les or-dinateurs de la Maison des Jeunes. Un rendez-vous a ensuite été fixé avec le

Maire, la Présidente, la secrétaire, le professeur et aussi les animateurs de la maison des jeunes, pour déterminer les jours et les horaires où l’association pouvait utiliser le matériel.Toutes les conditions étaient réunies, il ne manquait plus que les élèves. Une réunion d’information en vue de la mise en place d’un atelier informatique a été décidée.Au sein de l’association Accueil Art Dé-tente qui comprend les travaux manuels, la peinture, l’anglais et le yoga il y avait une trentaine de personnes inscrites, mais quelle fut la surprise de la prési-dente et des membres du bureau en voyant arriver plus d’une cinquantaine de personnes. Visiblement la demande était forte de la part d’une génération

pour laquelle l’informatique constitue un monde presque inconnu. Face à cette affluence le professeur qui a accepté de donner ces cours a précisé qu’il faudrait déterminer des niveaux (débutants, ini-tiés) sachant que dix postes étaient dis-ponibles. Pendant la première quinzaine de janvier les inscriptions ont continué à tel point que le principal souci du pro-fesseur a été de canaliser l’afflux massif de personnes de tous âges (de 30 à 83 ans) en créant d’autres cours.Le bureau de l’association est satisfait de ce succès imprévu qui compte 90 personnes fidèles, assidues et très con-tentes de cette initiative.

Pour le bureau, la Présidente : Monique EHRET.

ASSOCIATION CLUB ACCUEIL ART ET DETENTE UN SUCCES INATTENDU :« LA CREATION D’UN COURS INFORMATIQUE »

Associations

Une équipe de bénévoles se met à votre disposition pour venir garder à votre domicile la personne concernée. Il s’agit d’une aide ponctuelle et

de courte durée : quelques heures et plusieurs fois par mois. Notre but est de pouvoir vous soulager dans des circonstances où les professionnels ne pourraient intervenir (urgences), ou dans des cas comme aller au cinéma ou au restaurant, sachant que souvent vous préférez renoncer pour raisons financières ou autres.

Nous nous adressons à toute personne handicapée quel que soit son âge.Il s’agit bien de garde et non de soins ou autres tâches.Le secteur d’intervention couvre le canton et les communes avoisinantes.

Pour tous renseignements :02 98 94 45 65 / 06 79 78 94 51 : Patricia DUPONT02 98 51 13 50 : Annick PAPIN

TOP HANDICAP !

Une urgence ? Besoin de souffler ?

L’ASSOCIATION « UN P’TIT PLUS » peut vous

dépanner si vous êtes une famille ayant à

charge une personne à handicap.

L’équipe d’animation prend ses marques dans la nouvelle structure en compagnie de Mme M. MAGOT . (Adjointe). La MEL (Maison des Enfants et des Loisirs) accueillera

dès les vacances de Pâques le Centre de Loisirs Sans Héber-gement pour les 3 / 12 ANS . L’inauguration de ce nouvel espace d’accueil se fera le samedi 2 Juin 2007.Elle ouvrira tout l’été sur les 2 mois à compter du 9 juillet 2007. La MEL accueillera dès les vacances de Pâques le centre de loisirs ainsi que l’accueil périscolaire. Des portes ouver-tes pour ce nouvel espace d’accueil auront lieu le samedi 2 juin 2007 ; la MEL ouvrira tout l’été du 9 juillet au 29 août 2007. D’autre part, à compter de la rentrée de septembre, le CLSH sera ouvert le mercredi.

LA MAISON DES ENFANTS ET DES LOISIRS

De gauche à droite : Karim CHILAH, Morgane FURIC, Josiane BOUSSARD, Viviane WALLART, Yveline TANGUY, Frédéric GOARIN, Rozenn PENNEC, et Monique MAGOT (adjointe).

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PLEUVEN magazine Mars 2007

Lexique :SYMESCOTO, syndicat mixte pour l’élaboration du schéma de cohérence territoriale de l’Odet. Le Syndicat est constitué pour la mise en œuvre du SCOT. Il associe trois structures intercommunales : la communauté d’agglomération Quimper Communauté, les communautés de communes du pays Glazik et du Pays Fouesnantais soit au total 19 communes.

SCOT : schéma de cohérence territoriale. Un SCOT est un document d’urbanisme fixant à long terme (horizon 15/20 ans) les orientations fondamentales de l’organisation d’un territoire intercommunal. Dans une perspective de développement durable, un SCOT vise à préserver les équilibres entre zones urbaines, industrielles, touristiques, agricoles et naturelles et définit les objectifs des diverses politiques publiques en matière d’habitat, de développement économique, de loisirs ou encore de déplacements.

PADD : Projet d’aménagement et de développement durable. Le PADD figure dans le rapport de présentation du SCOT. Il revêt un caractère global et porte sur la présentation des grands choix stratégiques, des objectifs de développement d’ensemble du territoire intercommunal.

EIE : Etat initial de l’environnement. Ce document constitue un des éléments du rapport de présentation du SCOT. Il est établi préalablement au projet et fait émerger les enjeux environnementaux du territoire.

DOG : Document d’Orientation Général. Le DOG du SCOT donne la valeur prescriptive et réglementaire du projet. Il s’impose aux documents d’urbanisme des collectivités.

Le SCOT en ligne.Si vous voulez en savoir plus sur le SCOT de l’Odet, les documents sont consultables sur les sites internet de chaque communauté aux adresses suivantes :

- Communauté d’agglomération Quimper Communauté : www.quimper-communaute.fr

- Communauté de communes du pays fouesnantais :www.cc-paysfouesnantais.fr

- Communauté de communes du pays glazik :www.glazik.com

L'ENVIRONNEMENT DU SCOT

LA FNACASection Fouesnant Pleuven - BP 67 -29170 FOUESNANT

Le 27 octobre 2006, le comité syndical du SYMESCOTO a validé le diagnostic et l’état initial de

l’environnement du SCOT. La prochaine étape sera marquée par l’élaboration du Projet d’Aménagement

et de Développement Durable (PADD).

Nous sommes enchantés de prendre part à la vie associative de Pleuven, principalement en assurant notre devoir de mémoire pour les conflits de 1914-1918,

1939-1945 et en ce qui nous concerne, celui de « notre jeunesse » Algérie, Maroc, Tunisie de 1952 à mars 1962. Le 19 mars étant la date du « cessez-le-feu » et celui de notre journée du Souvenir envers tous ceux qui ont trouvé la mort, civils et militaires et en particulier nos « frères du Contingent ».

Nos activités de l’année 2006 :- Le 9 mars et le 9 décembre, deux repas dansants, avec pour la restauration : « Maison Ravalec » et pour l’animation « Electropic » de Jean Quillec : « une bonne ambiance ».

Deux voyages - En juin, 3 jours passés sur les sites d’Oléron- Ré - La Rochelle avec hébergement dans un camp VVF. Restauration au VVF et dans des restaurants des sites cités -très bien-.- En septembre du 15 au 25 : « l’Alsace , les Vosges ». Escale au camp VVF de Dourdan, aller comme retour. Escapade d’une journée à Paris. Découverte pour certains, souvenirs pour d’autres. Journée spectacle au Royal Palace de Riquewihr. Repas dansant, bonne ambiance. Ensuite, nous avons voulu visiter le camp de concentration de STRUTHOF, appelé le camp de KL-NATZWEILER, près de 50 000 personnes y ont été déportées !

Maintenant centre européen du résistant déporté.. la route du retour vers Verdun, ses « champs de croix » et le monument de Douaumont. La visite a été éprouvante pour certains qui découvraient et aussi pour ceux qui renouvelaient le devoir de mémoire ! Donc répétons une dernière fois. Plus jamais cela !

Maintenant passons à l’objectif de 2007.- Deux repas dansants : les 3 mars et 8 décembre

Deux voyages - Un de 3 jours en Vendée, du 9 au 11 juin. Le Puy du Fou, les canaux vendéens etc. - Un de 11 jours, du 3 au 14 septembre dans le Tarn avec de nouvelles excursions car c’est un voyage « Bis » demandé par plusieurs de nos participants. Trois jours sont prévus en Charente (au retour). Bien entendu nous aurons une escale dortoir à l’aller.

Bien entendu, toutes les personnes interessées sont les bienvenues, les non adhérents aussi. Pour tous renseignements : Guy DUPOUY (02 98 56 05 34), Jean BARRE (02 98 56 19 14), Jean LAGADEC (02 98 54 68 54).

Pour tous les lecteurs, bien amicalement. Pour le Comité Jean LAGADEC

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PLEUVEN magazine Mars 2007

Placée sous le Haut Parrainage du Ministère des Transports, de l'Equipement, du Tourisme et de la Mer, cette Campagne de

sensibilisation est organisée par l'AFPC, Association Française de Prévention des Comportements au volant et sur la route avec le Parrainage de l'AMF (Association des Maires de France) et de l'AMRF (As-sociation des Maires Ruraux de France). Cette manifestation est née d'une lo-gique et d'un constat évident : l'amé-lioration durable et profonde de la sé-curité routière passera forcément par un changement du comportement des Français. Analystes, experts, psycholo-gues nous rejoignent dans cette analyse. Après la mise en place des radars et de nombreuses campagnes chocs qui ont eu pour effet une baisse sensible du nom-bre de morts sur les routes, de récentes mesures annoncées par le Gouverne-ment, mettent l'accent sur le besoin de renforcer l'information, la pédagogie, et le civisme pour rendre plus sûrs nos

routes et nos espaces de circulation. L'action de l'AFPC va dans le même sens : mettre l'accent sur la prévention et l'éducation routière afin de favoriser une conduite citoyenne et responsable.

Principaux objectifsde la campagne.

> FAVORISER la cohabitation entre les différents usagers de l'espace public : pour que la route ne soit plus un lieu de compétition mais un lieu d'harmonie.

> EDUQUER au respect des règles de la conduite et de la Signalisation parce qu'une conduite citoyenne commen-ce par le respect des règles par chacun.

> LUTTER contre les comporte-ments irresponsables et dangereux souvent à l'origine d'infractions et pour une grande part à de graves accidents.

> INSTAURER un climat de sécurité sur nos routes, et une conduite apaisée pour que les comportements incivils et dangereux ne se banalisent plus.

Le programme des actions dans toutes les régions peut être consulté sur le site officiel : http://www.courtoisie.org

Renseignements et Contact :AFPC Association Française de Prévention des comportements au volant et sur la route Tél. 04 78 37 45 19 E-mail : [email protected]

Prévention

LA SÉCURITÉ ROUTIÈRE

5 avril 2007: Haro sur les enragés du volant (et du guidon) !Jeudi 5 avril 2007 :

8e Journée Nationale de la Courtoisie au Volant et sur la route

Par arrêté en date du 7 février 2007, le Maire de Pleuven a ordonné l’ouverture de l’enquête publique sur le projet de construction d’un bâtiment à usage de commerce par la SAS ARDAN à Pleuven.

A cet effet, Madame Dominique NOEL, consultante en formation et en accompagnement de projets, domiciliée 13 Fontaine de la Vierge à Châteaulin (29150), a été désignée par le tribunal administratif de Rennes en qualité de commissaire-enquêteur.

L’enquête se déroulera à la mairie du 15 mars au 16 avril 2007 inclus, aux jours et heures habituelles d’ouverture, où chacun pourra prendre connaissance du dossier et soit consigner ses observations sur le registre d’enquête, soit les adresser par écrit au commissaire-enquêteur.

Le commissaire-enquêteur recevra en mairie aux jours et heures suivants :

• Jeudi 15 mars 2007 de 9 h à 12 h• Mercredi 21 mars 2007 de 14 h à 17 h• Samedi 31 mars 2007 de 9 h à 12 h• Lundi 16 avril 2007 de 14 h à 17 h

Son rapport et ses conclusions transmis au Maire dans un délai d’un mois à l’expiration de l’enquête seront tenus à la disposition du public à la mairie. Les personnes intéressées pourront en obtenir communication.

Le Maire, Jean LOAEC.

AVIS AU PUBLICfaisant connaître l’ouverture de l’enquête publique sur le projet

de construction d’un bâtiment à usage de commerce par la SAS ARDAN à Pleuven

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Commune de Pleuven PLEUVEN magazine Mars 2007

Les Jardins de Pleuven…