Download pdf - Portfolio académique

Transcript
Page 1: Portfolio académique

M A U D E R O YMRBACCHELIÈRE EN ARCHITECTURE DU PAYSAGE

Page 2: Portfolio académique

maude roy

offrir aux montréalais un grand espace de détente sécuritaire et accessible dans lequel on peut pro-fiter de plusieurs ambiances paysagères différentes tout en jouissant de structures d’observation

protéger la biodiversité végétale et faunique du parc et l’enrichir pour obtenir des habitats grande qualité paysagère.

offrir à la communauté aviaire du parc angrignon une plus grande diversité d’abris, de nichoirs et de nourriture tout au long de l’année; notamment par l’implantation de conifères, d’arbustes et d’arbres fruitiers conservant leurs fruits alternativement à travers les saisons.

intégrer les infrastructures d’observation au paysage naturel

diversifier les infrastructures d’observation de manière à permettre des points de vue divers

fournir aux visiteurs un cadre naturel diversifié au niveau des ambiances paysagères, créant ainsi une promenade dynamique et diversifiée tout au long du parcours.

AVEM

HUMANA

SOCIUS

COURS/ APA 4301 Projet de fin d’études

PÉRIODE/ Hiver 2013

DESCRIPTIONDe nos jours, avec une urbanisation toujours grandissante, l’expansion des villes et des banlieues gruge sur tous les habitats possible. Le résultat, c’est la perturbation de milliers d’hectares de forêts et de milieu xde vie pour la faune. Heureusement, plusieurs se mobilisent et utilisent leurs voix pour défendre ceux qui n’en ont pas. Plus de consciences sont sensibilisées à tous les jours. Entre autres, une nouvelle approche connexe à l’architecture du paysage connait de plus en plus de popularité aujourd’hui: l’écologie du paysage. Cette méthodologie suggère une réhabilitation douce de l’écosystème paysager.

En tant qu’architecte de paysage, je compte intervenir sur ce paysage afin de comprendre dans quelle mesure il est possible de réhabiliter l’écosystème écologique riche qu’est le parc Angrignon. Cela passera principalement par une élaboration des manques qui se trouvent au niveau de l’accès aux ressources, principalement pour la faune locale mais également pour la flore, afin de fournir aux utilisateurs un cadre paysager intéressant, riche en diversité et en faune ailée.

projet terminal

Page 3: Portfolio académique

maude roy

PARTICIPER À DÉVELOPPER UN AMÉNAGEMENT SIGNATURE PAR DES INFRASTRUCTURES

NOVATRICES SUPPORTANT LES ACTIVITÉS EN IMPOR-

TANCE SOIT LA PROM-ENADE ET L’OBSERVATION

LE PARC ANGRIGNON EST MÉCONNU DES MONTRÉ-ALAIS ET NE POSSÈDE PAS DE SIGNATURE PARTICU-LIÈRE.

1. INTÉGRER LES INFRASTRUCTURES D’OBSERVATION AU

PAYSAGE NATUREL

2. DIVERSIFIER LES INFRASTRUCTURES D’OBSERVATION DE MANIÈRE

À PERMETTRE DES POINTS DE VUE DIVERS

PROTÉGER LA BIODIVERSI-TÉ VÉGÉTALE ET FAUNIQUE

DU PARC ET L’ENRICHIR POUR OBTENIR UN

HABITAT FAUNIQUE RICHE ET UNE GRANDE QUALITÉ

PAYSAGÈRE

LA BIODIVERSITÉ DU PARC AINSI QUE SON CARACTÈRE NATUREL SONT COMPROMIS. LE LAC CONSTITUE LA ZONE LA PLUS PROBLÉMATIQUE

1. RÉGLER LA PROBLÉMATIQUE DE PLANTE ENVAHISSANTE, EN AYANT COMME POINT DE DÉPART LE LAC CENTRAL QUI CONSTITUE À LA FOIS LE PLUS GRAND PROBLÈME ET L’ATTRAIT PRINCIPAL

2. PROTÉGER LES ESPÈCES VÉGÉTALES RARES DU PARC

3. ENRICHIR LA BIODIVERSITÉ VÉGÉTALE SUR L’ENSEMBLE DU PARC AFIN D’OFFRIR UN HABITAT DE QUALITÉ À LA FAUNE

LE PARC ANGRIGNON EST ISOLÉ DE SON CONTEXTE

RELIER LE PARC ANGRIGNON À SON

CONTEXTE

1. DÉSENCLAVER LE PARC DE SES ARRONDISSEMENTS LIMITROPHES EN

Y FACILITANT L’ACCÈS GRÂCE AU RÉAMÉNAGEMENT DE CERTAINES

STRUCTURES PROBLÉMATIQUES

PISTE

CYCL

ABLE

PISTE

CYCL

ABLE

Piste cyclable

Piste

cycla

ble

PISTE

CYCL

ABLE

PISTE

CYCL

ABLE

Piste cyclable

Piste

cycla

ble

PROCHAINES ÉTAPES

DÉCIDER QUELS SONT LES SECTEURS À METTRE EN VALEUR ET QUELS SONT CEUX À MODIFIER/AMÉNAGER EX: bOISÉS

VOIR SI LA SOLUTION DE CORVÉE DE NETTOYAGE EST LA MEILLEURE. SINON, VÉRIFIER QUELLES SERAIENT D’AUTRES FAÇONS DE SE DÉbARASSER DES PLANTES

POURSUIVRE CET INVENTAIRE POUR LE RESTE DE LA FAUNE DU PARC

TROUVER DES SOLUTIONS AFIN DE FACILITER L’ACCÈS À L’INTÉRIEUR DU PARC

PISTE

CYCL

ABLE

PISTE

CYCL

ABLE

Piste cyclable

Piste

cycla

ble

PISTE

CYCL

ABLE

PISTE

CYCL

ABLE

Piste cyclable

Piste

cycla

ble

PROCHAINES ÉTAPES

DÉCIDER QUELS SONT LES SECTEURS À METTRE EN VALEUR ET QUELS SONT CEUX À MODIFIER/AMÉNAGER EX: bOISÉS

VOIR SI LA SOLUTION DE CORVÉE DE NETTOYAGE EST LA MEILLEURE. SINON, VÉRIFIER QUELLES SERAIENT D’AUTRES FAÇONS DE SE DÉbARASSER DES PLANTES

POURSUIVRE CET INVENTAIRE POUR LE RESTE DE LA FAUNE DU PARC

TROUVER DES SOLUTIONS AFIN DE FACILITER L’ACCÈS À L’INTÉRIEUR DU PARC

COURS/ APA 4301 Projet de fin d’études

PÉRIODE/ Hiver 2013

MANDATPrésenter le contexte du site en fonction de la problématique et des enjeux du projet, des composantes sociales, économiques, politiques, physiques et spatiales qui l’entourent.

Hiérarchiser les interventions.

Présenter les potentiels et contraintes du secteur ainsi que les lignes de force structurantes du territoire à l’étude.

refuge, parc angrignon

Page 4: Portfolio académique

maude roy

COURS/ APA 4300 Processus et design

PÉRIODE/ Automne 2012

MANDATDémontrer graphiquement les enjeux d’aménagement du paysage de la pointe-du-moulin à l’aide de l’analyse des informations recueillies sur le site.

Amener les nuances nécessaires au développement d’un parti-pris riche pour l’aménagement à long terme.

Développer un macrodesign prospectif se basant sur les tendances actuelles de la société et les articuler dans un processus de transformation du territoire.

DESCRIPTION/ Le principe directeur de mon intervention s’inspire du principe “slowlife” qui prône un ralentissement dans tout.

Le but est de miser sur le ralentissement pour obtenir une qualité de vie, et je tente d’atteindre cet objectif en exploitant l’eau. Je propose un rapprochement avec la nature, principalement avec l’eau; un contrôle accru de la qualité de l’eau et des nuisances sonores; une diversité de transports afin de désengorger le traffic et une ambiance de quartier. Plutôt que d’avoir une programmation conventionnelle, je modifie le visage de Montréal en instaurant une nouvelle façon d’expérimenter la ville et d’y habiter. La stratégie macro consiste donc à exploiter l’eau pour ses vertus à procurer ce que j’ai intitulé le vide mental.

DEPUIS LES DERNIÈRES ANNÉES, DIVERS ÉVÉNEMENTS ONT FAIT EN SORTE DE CRÉER DES VIDES DANS LA TRAME URBAINE MONTRÉALAISE. PRÈS DU QUART DES CES ESPACES SE RETROUVENT DANS LE VIEUX-MONTRÉAL, À PROXIMITÉ DU FLEUVE SAINT-LAURENT.

LE DÉVELOPPEMENT DE MONTRÉAL, COMME DE NOMBREUSES AUTRES MÉTROPOLES, PREND ESSENCE DANS SA PROXIMITÉ AVEC UN COURS D’EAU. CELA A PERMIS LE DÉVEL-OPPEMENT D’UNE INDUSTRIE D’ABORD PORTUAIRE PUIS FERROVIAIRE. ON RETROUVE

TOUJOURS SUR SES RIVES LES VESTIGES D’ANCIENNES STRUCTURES, DATANT DE CETTE ÉPOQUE INDUSTRIELLE. TOUTEFOIS, L’UTILISATION DU FLEUVE EST MAINTENANT PRINCIPALEMENT TOURISTIQUE. LE SENTIMENT DE CALME QUE PROCURE L’INSULARITÉ MONTRÉALAISE N’EST PLUS À DÉMONTRER...

L’ADAPTATION DE LA VILLE ET DE SA TRAME NE SE FAIT PARFOIS PAS AUSSI RAPIDEMENT QU’UNE URBANISATION TOUJOURS GRANDISSANTE. CES ESPACES DEVIENNENT ALORS ES-SENTIELS MAIS NE DOIVENT SURTOUT PAS ÊTRE MAL EXPLOITÉS..

living well, using less

Page 5: Portfolio académique

maude roy

APA1130-A12 - Écologie et développement durable _2

Le jardin ou parc zoologique, généralement ex situ, présente des animaux en semi-liberté, dans lequel on commence à évoquer un territoire comme au Zoo de Toronto.

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/4/43/Chevreuil(brocard)-HAYE_sylvain.jpg/250px-Chevreuil(brocard)-HAYE_sylvain.jpg

La Renaissance développe ce gout du collectionneur et de la conquête, avec les grands navigateurs. C’est un nouvel esprit qui repense le monde notamment dans son rapport avec l’animal; il s’agit à présent de montrer la puissance de l’intelligence et du contrôle de l’homme sur l’animal. On cherche à comprendre la bête et les ménageries du XVIe siècle se dotent de responsables qui deviennent des spécialistes en zoologie. Ce sont les premiers centres de recherche souvent maladroits qui ouvrent la voie vers le Jardin zoologique moderne. Le Roi Soleil aménage une somptueuse ménagerie privée et lance la mode dans les cours d’Europe qui s’équipent de prestigieuses propriétés peuplées d’animaux exotiques.

À partir de la Révolution française (1789), les ménageries s’ouvrent au peuple et le zoo a enfin deux objectifs : se faire connaitre du grand public et créer un intérêt scientifique. Pourtant, les zoos restent de véritables prisons où les animaux sont confinés dans des enclos exigus, mal éclairés et mal chauffés. On y devine une mauvaise hygiène, une alimentation déficiente et une durée de vie écourtée, liés aux méconnaissances scientifiques et éthologiques.Au XIXe siècle, les jardins zoologiques et le cirque tels que nous les connaissons prennent leur essor. On voit naitre en 1824 la première société protectrice des animaux, fondée en Angleterre, qui se tourne vers la maltraitance. De grands noms s’établissent et il n’est pas rare de voir le prénom de certains animaux à l’affiche. Paris devient alors la «capitale du cirque» avec plusieurs cirques sédentaires3». On remplit les hippodromes de lions et on visite les écuries et ménageries populaires, telles que le Jardin d’Acclimatation ou le Jardin des Plantes à Paris. L’attraction animalière se poursuit ainsi partout en Europe jusqu’en Amérique, qu’il s’agisse du Cirque Barnum et de sa gigantesque ménagerie ou du Zoo de San Diego. Il faut attendre la naissance de la biologie avec Louis Pasteur à la fin du XIXe siècle pour obtenir des améliorations sanitaires et de meilleures conditions de détention. Au début du XXe siècle, le scientifique Carl Hagenbeck étudie le comportement des animaux et révèle que leurs conditions de détention, l’aménagement de leur espace et l’étendue de leur territoire ont une influence sur leur comportement. Il propose d’enlever les clôtures grillagées et les barreaux des cages que l’on remplace par des terrains accidentés entourés de fossés. C’est à ce moment que l’on entre enfin dans l’ère moderne, durant laquelle on considère les conditions carcérales des animaux. Au XXe siècle, le zoologiste se soucie de la durée de vie et de la reproduction des bêtes tant pour des raisons psychologiques qu’économiques.

Ces critères du bienêtre animal en captivité, des névroses causées par les changements de vie et autres traumatismes sont largement discutés mais une nouvelle tendance apparait durant les années 70, le parc zoologique. Une nouvelle notion territoriale évolue et propose que les animaux puissent se retirer pour se cacher, manger, dormir et se reproduire. On introduit également une mission éducative et des échanges scientifiques pour la sauvegarde des espèces et la conservation des milieux. On commence à reconstituer des biotopes qui regroupent différentes espèces dans les mêmes enclos ; par exemple les girafes, zèbres et gazelles dans un espace commun rappelant la savane africaine. En 1973, quatre-vingts pays signent la Convention de CITES, sur le commerce international des espèces menacées de la faune et de la flore sauvage. Petit à petit, les dimensions écologiques sont prises en compte, appuyées par un public patiemment éduqué tant par les visites au zoo, les approches circassiennes qui révisent les programmes en misant d’avantage sur l’acrobate que sur le lion (l’Autriche et le Danemark interdisent tout spectacle d’animaux sauvages) et les nombreuses émissions de télévision animalière qui bercent l’enfance occidentale.

LE ZOO ET LE PARC ZOOLOGIQUE: DÉFINITION ET NUANCES

LES NOUVELLES FORMES DE ZOOS DEPUIS LA PRISE DE CONSCIENCE ANIMALIÈRE

APA1130-A12 - Écologie et développement durable _1

La biodiversité est considérée comme «la variabilité des êtres vivants de toute origine y compris entre autres, les écosystèmes terrestres, marins et autres écosystèmes aquatiques et les complexes écologiques dont ils font partie27». Par contre, il ne faut jamais oublier qu’il s’agit avant tout d’un réseau complexe constitué de milliers d’espèces en interaction. Aucun individu ne subsisterait en dehors de ces relations

dans lesquelles il s’enracine. Depuis un certain temps, nous faisons face à une érosion de ce phénomène dont les causes sont aussi nombreuses et diversifiées que les conséquences. On va même jusqu’à parler d’une sixième extinction de masse, en référence à celle s’étant déroulée lors de la dernière glaciation. Ainsi, «la biodiversité est frappée par un taux d’extinction accéléré de l’ordre de mille fois par rapport au rythme normal28» (MEA, 2005). Cette situation est préoccupante puisque la perte est trop rapide par rapport au rythme d’apparition des nouvelles espèces. À la fin du pléistocène dernier, il y a 12 000 ans, la Terre a traversé une ère glaciaire durant laquelle le changement des paysages a influencé la viabilité des végétaux et de ce fait, les animaux qui peuplaient la terre à cette époque. C’est à ce moment que l’on assiste à la disparition de plus de 57 espèces de grands mammifères, dont les mammouths. Même à cette époque éloignée, plusieurs scientifiques identifient l’homme chasseur comme la source du problème. En guise d’exemple, en Australie «où le climat régional était resté stable et favorable aux différentes espèces, moins de dix mille ans après la colonisation de ce continent par les hommes, 23 des 24 genres endémiques de mammifères, d’oiseaux et de reptiles pesant plus de 45 kilos avaient entièrement disparu29».

«La biologie de la conservation est une discipline traitant des questions de perte, maintien ou restauration de biodiversité30». Il s’agit d’une tentative de gestion de crise, dans laquelle on cherche à identifier

rapidement les populations en déclin ou en danger, pour déterminer les causes de leur déclin et y trouver des solutions provisoires (ex situ) ou permanentes efficaces. Ce concept a «beaucoup

influencé les stratégies internationales de protection de la nature au sein de l’ONU et de l’Unesco31» et notamment lors de la Convention sur la diversité biologique (CDB) de Rio, durant laquelle le

terme y a été redéfini. Plus précisément, la biologie de la conservation évalue par rapport à son contexte la population minimale viable d’une espèce, dans laquelle sont considérés «le nombre

d’individus mais aussi la dispersion de ceux-ci et leur capacité à se rencontrer et à se reproduire, en conservant une diversité génétique suffisante32». On surveille alors de près les problèmes

de consanguinité et de dérive génétique. Suite à son étude, l’écologue «fait des propositions de gestion restauratrice ou conservatoire des habitats, voire de réintroduction d’espèces

ou de renforcement de population. Cette dimension inclut certains aspects de protection légale (réserve naturelle, parcs nationaux, réseau écologique, écoducs, etc.)33».

L’objectif final, c’est des conditions durables de survie en nature, donc in situ des espèces visées. Le cheminement débute par l’étape d’inventaire biologique. Cela

permet d’évaluer l’état d’une population, les menaces qui pèsent ou pourraient peser contre elles. Une loi générale a été établie, celle du seuil 50/500, dans

laquelle on énonce que «50 individus suffiraient à éviter la dépression consanguine mais que 500 suffiraient à conserver un potentiel évolutif34».

En dessous de 500, on considère que la population n’a plus de chances de survie en nature. Autour de 1960, l’Unesco lance un programme intitulé

MAB (man and biosphere) afin de permettre la conservation de la nature

EXTINCTION D’ESPÈCES

LA BIODIVERSITÉ

BIOLOGIE DE LA CONSERVATION

27, 28, 29__Futura environnement. «Causes et conséquences de l’extinction de masse», La biodiversité : un écosystème à préserver, En ligne, http://www.futura-sciences.com/fr (Consulté le 20 novembre 2012)

30, 31, 32, 33, 34__Wikipédia : l’encyclopie libre. «Biologie de la conservation», En ligne, http://fr.wikipedia.org/wiki/Biologie_de_la_conservation (Consulté le 19 novembre 2012)

La biodiversité est considérée comme «la variabilité des êtres vivants de toute origine y compris entre autres, les écosystèmes terrestres, marins et autres écosystèmes aquatiques et les complexes écologiques dont ils font partie.

http://leptitmondedalex.blogspot.ca/2010_04_01_archive.html

COURS/ APA 1130 - Écologie et développement durable

PÉRIODE/ Automne 2012

MANDATAppliquer au champ d’intérêt de l’étudiant certains concepts, connaissances ou méthodes vus en cours.

Profiter du travail pour approfondir un sujet.

Centrer le travail sur le développement durable en relation aux interventions d’aménagement.

DESCRIPTIONJe fais ici une rétrospective sur la relation entre l’homme et l’animal, d’hier à aujourd’hui, en passant par les anciennes civilisations, l’ère moderne et les nouveaux outils permettant la surexploitation et l’impact de l’urbanisation récente sur les milieux de vie faunique.

Je démontre ensuite en détails quelles sont les problématiques é c o l o g i q u e s , é c o n o m i q u e s , sociales et légales auxquelles les animaux sont confrontés.

J’énumère également les organismes concernés et leurs rôles respectifs.

Enfin, je propose des pistes de solutions potentielles dont, entre autres, les corridors fauniques et les institutions zoologiques.

solution à une perte des milieux de vie

Page 6: Portfolio académique

maude roy

Précédents Zoo sauvage ( St-Félicien)• Fondationen1960parseptamoureuxdelafaune• LeterrainestgracieusementprêtéparM.Laflamme• Le7février1961,lezoosauvagedeSt-Félicien achètel’Île-aux-Bernard• Lezooacquiertautantd’animaux indigènesqu’exotiques• Inaugurationduparcdelanature le10septembre1972• Lesvisiteurspeuventmaintenantobserverles animauxdelafaunequébécoiseàpartird’untrain grillagéquiparcourtuncircuitd’environ4km• Àcompterde1989,destravauxsontmisenchantier: l’objectifestdecréerdeshabitatsadaptésaumode deviedesanimauxafindelessortirdeleurscages

• Trèsforteimplicationdansl’éducation• Protectiondupaysage,delafloreetdelafaune• Réhabilitationetréintroductionfaunique• Contributionàlaprotection,conservationbiodiversité• Projetsdeconservationlocaux• Recherchesetétudes

Parc oméga (Montébello )• Environnementéminemmentnaturel• Clôturespeuprésentessaufpourlafauneprésentantdesrisquespourlasécurité• Lorsqueprésentes,lesclôturesparaissentpeu

LeparcOmégaaobtenulepremierprixdanslescatégo-riessuivantes

1992 Innovationtouristique

1997 Développementtouristique

1998 Tourismeresponsable

2004 Attractiontouristiquedeplusde50000visiteurs

2009 Attractiontouristiquedeplusde100000visiteurs

Images:Google

«Contribuer à la protection et à la conservation de la biodiversité boréale, voilà notre objectif»

la disparition des habitats fauniques

introduction au projet de fin d’études

piste de solution urbaine à la

disparition des habitats fauniques

MAUDE ROY

13 novembre 2012

ProblématiqueDepuis près d’un siècle, les pratiques de pêche et de chasse intensives ont mené à la disparition de populations animales que l’on croyait illimitées; plusieurs autres sont en voie d’extinction. De plus, avec une urbanisation toujours grandissante, on assiste à la décimation de milliers d’hectares de forêts et de milieux de vie pour la faune. Selon des données du planétoscope, «une espèce animale ou de plante disparaît toutes les 20 minutes». Cela correspond à près de 30 000 espèces chaque an-née. La situation est alarmante. Heureusement, de plus en plus d’initiatives et d’organismes se lèvent afin de préserver les milieux de vie si essentiels à la faune, notamment par l’instauration de zones pro-tégées. Malheureusement, le problème persiste, les villes ne cessent de s’étendre et grugent sur le peu de milieux naturels toujours intacts. Nous, les humains, sommes les principaux responsables de la disparition de nombreuses espèces fauniques ou en voie d’extinction puisque nous détruisons à tous les jours leurs milieux de vie. La popula-tion mondiale ne cesse d’augmenter, nous avons récemment atteint 7 milliards d’habitants. Nous devons penser à l’avenir. Le monde s’urbanise. Les ressources ne sont pas infinies. Nous devons ap-prendre à devenir autonomes en milieu urbain. Mais nous ne sommes pas les seuls habitants de cette planète et nous avons le devoir d’inclure les nombreuses populations fauniques dans ce phé-nomène d’urbanisation.

PropositionExploration d’une piste de solution en milieu urbain en réponse à la disparition continuelle des habitats fauniques. Ce type de projet est assez commun à travers le monde mais n’a jamais été expérimen-té à Montréal. Le champ d’intérêt est celui de la faune, un sujet qui m’a toujours interpellée. Il sem-ble qu’une conscience écologique soit en pleine évolution depuis les dernières années, mais celle-ci se concentre principalement sur la limitation de l’impact enivronnemental de nos pratiques. Toute-fois, ce mouvement semble négliger la disparation/décimation de la faune, qui constitue un problème d’envergure sur lequel nous devons également nous pencher. En tant qu’architecte paysagiste, j’ai acquis des connaissances variées en aménagement de l’espace urbain tant résidentie que public et de plus, la faune est depuis toujours ma plus grande Je crois donc être la personne idéale pour réaliser ce type de projets.

«D’ici le milieu du siècle, c’est près du quart des espèces animales et végétales qui pourrait disparaître»

Le parc angrignon Critères de sélection Parmi plusieurs sites montréalais, le parc devait se situer à proximité du Centre-ville, être accessible par divers modes de transport, être assez grand pour accueillir la faune urbaine et comprendre un nombre acceptable d’arbres matures. Le parc Angrignon répond à tous ces critères et nécessite un réaménagement, dont celui proposé par Les amis du parc Angrignon qui concorde relativement bien avec mes objectifs en termes d’aménagement et de pro-grammation.

caractéristiquesSuperficie totale: 97 hectares Contexte spatial: blvd des Trinitaires, blvd Newman, blvd de la Vérendrye et rue LapierreAccès : station de métro Angrignon Arrondissement : Le Sud-Ouest Contexte historique: Nommé en l’honneur de Jean-Baptiste Arthur Angrignon ayant contribué à l’essor de cet arrondissement dans les années 30. Dans les années 50, on y aménage un zoo qui ne sera réalisé qu’en partie et qui cessera ses activités en 1989

Secteur résidentiel et étudiant Nouveau développement résidentiel Limite entre les arr. Sud-Ouest et LasalleConsidération citoyenne forteForêt de 20 000 arbres et bassins

ProgrammationAfin de fournir un milieu de vie à plusieurs populations fauniques, il faut considérer la renaturalisation d’une grand partie du parc. Cela implique donc l’évolution du projet sur plusieurs années. Afin de permettre un résul-tat acceptable dès le départ, il faudra considérer investir beaucoup d’argent en début de projet, pour ensuite inve-stir quotidiennement. Il y a actuellement trois entités en charge du parc. Le ser-vice de la culture, du patrimoine, des sports et de la vie communautaire; la direction des grands parcs et du ver-dissement et l’arrondissement Sud-Ouest. Quant au cadre légal, selon le règlement 02-006, le parc Angrignon relève du conseil de la ville. Au printemps dernier est apparue l’association Les amis du parc Angrignon, dont les objectifs sont les suivants : «protection et conservation de la grande forêt Laurentienne et de sa biodiversité, aménagement du territoire dans une perspective de développement durable et mise en valeur des lieux de plein air, de loisir et de ré-création». Cette association s’est formée en réponse à de récents travaux de réaménagements d’un des stationne-ment se trouvant dans le parc. Ces travaux sont dirigés par Le réseau des Grands Parcs de la ville de Montréal, qui y investissent 1 724 600$. Le président de l’association Les Amis du parc Angrignon, a récemment envoyé une lettre au maire, dans laquelle il clarifiait l’opposition de l’association quant au réaménagement proposé dans le parc par la ville. Pour ce qui est du budget, il semble que la ville ait beaucoup à investir dans le parc mais on pourrait également considérer la formation d’une fondation. Ce type de financement est commun ailleurs au Québec et à travers le Monde et semble très bien fonctionner. Plusieurs des éléments essentiels à l’instauration de mi-lieux de vie pour la faune boréale se trouvent déjà sur place. Entre autres, on y retrouve une forêt de 20 000 arbres et des bassins, de nombreux sentiers pédestres et une piste cyclable. De plus, le développement d’un sect-eur résidentiel en bordure du parc a fait apparition récem-ment, justifiant ainsi la nécessité d’un espace de détente.

OBJECTIFSSensibiliser les montréalais à la problématique Favoriser une qualité de vie accrue pour la faune Agir sur le restauration d’espècesExploiter l’impact psychologique faunique Intégrer le projet au contexte urbain Favoriser l’avancée des connaissances Agir sur la réputation de montréalFavoriser des retombées économiques

COURS/ APA 4350 - Introduction au projet de fin d’études

PÉRIODE/ Automne 2012

MANDATPrésenter la problématique sur laquelle je veux travailler en projet terminal.

Présenter les enjeux principaux associés à mon thème, une description du site, quelques précédents et une brève programmation.

DESCRIPTIONRétablir un contact perdu entre les citadins et les animaux

Sensibiliser les montréalais à la problématique de la disparition des milieux de vie faunique

Améliorer le niveau de vie faunique à Montréal

Contribuer à une amélioration de la santé psychologique des montréalais, non seulement par la mise en place d’un grand espace vert de détente mais aussi par la proximité avec la faune

Réussir le projet tout en trouvant des solutions aux contraintes urbaines

Contribuer à faire avancer les connaissances en intégrant des projets de recherche

Permettre des retombées économiques significatives pouvant financer le parc

la disparition des habitats fauniques

Page 7: Portfolio académique

maude roy

COURS/ APA 2210 - Horticulture

PÉRIODE/ Automne 2012

MANDATEffectuer un travail de recherche sur une problématique horticole d’actualité

DESCRIPTIONMon thème est l’implantation d’arbres en milieu urbain. Pour ce faire, je compare les matériaux et techniques utilisés par les villes de Québec et Montréal. Je décris d’abord les normes prescrites par le bureau de normalisation du Québec (bnq).

Je démontre ensuite les techniques utilisées par Montréal et Québec. Globalement, les techniques utilisées par la ville de Montréal sont sensiblement les mêmes que celles utilisées par la ville de Québec soit la plantation sur surfaces gazonnées, la plantation sur trottoir et la plantation en sol structural.

Toutefois, la ville de Québec demeure à l’avant-garde quant à l’implantation d’arbres en milieu urbain. En général, les arbres ont de meilleures chances de réussite à Québec qu’à Montréal parce qu’ils disposent de plus grandes fosses de plantation. Tout de même, Montréal dispose de plusieurs politiques permettant le verdissement telles que la politique de protection et de mise en valeur des milieux naturels, le Plan stratégique de développement durable de la collectivité montréalaise ainsi que la Politique de l’Arbre de Montréal.

7

dans la fosse; remplir la fosse de terre jusqu’au niveau du collet;

jusqu’au gel profond tard. Pour ce type d’arbres, la fosse doit avoir

les bordures inclinées vers le haut. La largeur de la fosse au niveau

-

est implanté dans un sol compact ou ayant un mauvais drainage,

etc. et panier de broches), ajouter le terreau par couches de 150 mm

-

-

être implantés dans une fosse ayant la même dimension que le conte-

nant ou au moins 500 mm de diamètre et de profondeur (BNQ, 2001).

(Bruno Paquet, 2012)

9

directement relié, entre autres, au volume de sol disponible. La crois-

fosse idéale possède 4,5 m3 -

milieu urbain est d’au moins de 5 m3. Il y a une volonté de favoriser

de la est d’: «Accorder à l’arbre sa

juste place au cœur de l’urbanité montréalaise pour se donner une

ville verte, plus agréable et en meilleure santé» (

de Montréal, p. 10). Il y est dit notamment que chacun des arrondi-

sements devraient se doter d’un plan directeur pour 5 ans pour la

Côte-des-Neiges/Notre-Dame-de-Grâce qui s’est doté d’un plan de

l’arrondissement. Ils prennent comme norme la fosse agrandie M.V.

255. (Voir Annexe 2). Le système racinaire peut ainsi avoir plus de

place pour se déployer de part et d’autre du tronc. On peut citer en

exemple l’un des premiers projets de Monsieur Bruno Paquet dans

DÉTAILS DE PLANTATION EN BORDURE DE RUE - TROTTOIR À MONTRÉAL (BRUNO PAQUET, 2012) RUE SAINTE-CATHERINE, MONTRÉAL (LAPRESSE, 2009)

techniques d’implantation d’arbres en ville

Page 8: Portfolio académique

maude roy

ACTIVITÉS L’article d’Ethan Kent décrit le parc comme servant exclusivement aux habitants du quartier. L’auteur énonce qu’on ne trouve à peu près rien à y faire et que cela contribue à limiter sa fréquentation. Il croit que le parc n’est pas invitant puisque plusieurs endroits y sont ombragés et que cela nuit à la sécurité de ses uti-lisateurs. Certaines de ses critiques portent également sur les accès inadéquats. Il est d’avis que ce type de projet aurait connu un succès plus grand dans un autre contexte. Project for public space

«Une expérience à travers la nature incroyable! Le parc imite parfaitement la forêt nordique. Le choix des ma-tériaux et des plantations est rigoureux.» Project for public space

«L’idée à l’origine de Teardrop Park fait partie d’une vision de revalorisation du bas Manhattan qui prend en considération une communauté mixte. Le parc ajoute une valeur en termes d’espaces verts au centre-ville et constitue un excellent exemple de développement urbain respectant l’environnement. Il s’agira certaine-ment d’un des lieux publics les plus visités de New-York. Je souhaiterais féliciter James Gill, Tim Carey et Michael Van Valkenburgh et les remercier pour cet oasis.» Gouverneur George E. Pataki.

«L’idée du parc public naît grâce à un courant social émergeant à la fin du 19e siècle et elle a été introduite par Olmsted et Vaux, concepteurs de Central Park. C’est un honneur de pouvoir mettre en oeuvre un parc de cette envergure à New-York à une période de l’histoire qui laisse de plus en plus de place aux parcs démocratisés.» Michael Van Valkenburgh

Ci-dessus sont énoncés les avis de la communauté profes-sionnelle. Toutefois, avec les connaissances que vous avez acquises, je vous fais pleinement confiance pour forger votre propre opinion sur le projet.

Les citations sont issues d’une traduction libre de ma part

TEARDROP PARKGUIDE TOURISTIQUE MAUDE ROY

La première section du site est réservée en grande partie aux familles. Elle est constituée d’une glissoire imbriquée dans les roches, de jeux de sable, d’un amphithéâtre et de jeux d’eau. Afin d’isoler cet espace du site, on retrouve à son extrémité un impressionnant mur formé de roches sédimentaires provenant de la ville.

La deuxième moitié du site est-constituée de bancs de parc, d’une promenade ponctuée de points de vue en plongée qui sont créés grâce à la topographie et aux rochers. On y retrouve également l’Ice wall, installation d’Ann Hamilton, de même qu’un tunnel reliant les es-paces et rendant hommage aux travaux d’Olmsted.

Les fragments du mur ci-dessous ont été alignés afin d’imiter l’organisation naturelle des roches dans la nature. Une source d’eau s’y infiltre de manière stra-tégique afin de produire un intérêt esthétique.

CRITIQUES

Teardrop Park fait partie d’un projet de revitalisation initié dans les années 70 par Battery Park City. L’objectif de ce projet d’envergure est d’offrir à la rivière Hud-son un contexte paysager de qualité. Il a été réalisé en même temps que plusieurs tours à condominiums atteignant plus de 235 pieds de hauteur. L’enjeu prin-cipal auquel a dû faire face son concepteur est sa situ-ation géographique particulière, le site étant enclavé entre plusieurs grands bâtiments. De plus, on dénom-bre de nombreuses contraintes physiques tel qu’un ensoleillement restreint, une topographie variée et un manque d’espace généralisé. Afin de fournir à des enfants de tous âges la possibilité d’interagir avec un environnement procurant diverses expériences sen-sorielles, ont été intégrés une glissoire pour enfants, un carré de sable, des jeux d’eau et des espaces de détente à travers les rochers. Ces installations imitent fidèlement des éléments que l’on retrouve dans la na-ture. L’ensemble du parc a été réalisé en accord avec les normes vertes dictées par la ville et les directives LEED désormais reconnues à travers le monde. Tear-drop Park suit des principes écologiques importants tel que la réutilisation des eaux grises, l’utilisation de matériaux de proximité et de plantes non toxiques ain-si qu’une non-utilisation de pesticides, herbicides et fongicides. Les besoins en eau sont comblés par un sys-tème de récupération élaboré qui fournit à l’ensemble du site l’irrigation nécessaire. Enfin, la végétation est élaborée de manière à fournir un habitat de qualité à la faune indigène et aux oiseaux migratoires.

LES INCONTOURNABLES

Réalisation 17 millions $ US

Récipiendaire du prix d’honneur du

design ASLA 2009

1 2 3 4

5 6 7 8

1 900 tonnes de roches de la Vallée de l’Hudson

5

4

1

8

37

6

50% des matériaux proviennent d’une distance inférieure à 800 km par rapport au site

2

COURS/APA 5014 - Atelier d’été en architecture du paysage

PÉRIODE/ Été 2012

MANDATPerfectionner les connaissances de l’étudiant en architecture de paysage (analyse territoriale, art des jardins et design urbain) par la visite de sites dans la vallée de l’Hudson et dans la région métropolitaine de New York.

Accumuler plus de connaissances en matière de design urbain et de jardins au travers de réalisations issues de multiples époques, du XIXe siècle à aujourd’hui.

Développer un regard croisé et critique entre les pratiques historiques et contemporaines de Montréal et de New York

DESCRIPTIONLe pamphlet que j’ai réalisé résume les éléments que l’on retrouve dans le site soit le plan d’ensemble, les étapes de réalisation, les utilisateurs concernés et les matériaux utilisés. On y retrouve également des informations sur la firme Michael Van Valkenburgh que nous avons eu l’occasion de visiter dans le cadre du cours.

teardrop park, guide touristique

Page 9: Portfolio académique

maude roy

COURS/ APA 2201 Construction et génie du site

PÉRIODE/ Hiver 2012

MANDATProduire, à partir d’un fond de plan fourni, un plan de nivellement et les détails de construction requis pour un espace donné.

Comprendre également le processus de production de plans et de devis pour les appels d’offre.

Estimer les volumes de déblai et de remblai et proposer des interventions reliées au développement durable.

plan de nivellement et de construction

Page 10: Portfolio académique

maude roy

COURS/ APA 2400 - Approche de la réception des paysages

PÉRIODE/ Hiver 2012

MANDATAnalyser un espace public. Déterminer dans quelle mesure l’expression de différents comportements est favorisée, contrariée, ou largement indépendante des caractéristiques physiques et sociales qui définissent les différentes zones composant le site étudié.

DESCRIPTIONLa situation géographique du Palais des Congrès lui permet d’être accessible à tous au Centre-Ville. On y retrouve un achalandage considérable, surtout causé par sa position transitoire. De plus, sa connexion avec le réseau souterrain lui procure une importance considérable et une fonctionnalité accrue. on y retrouve des commerces répondant à la plupart des besoins de base. Cela incite de nombreux travailleurs à y arrêter pour s’acheter un café, un déjeuner ou autre. Il s’agit vraisemblablement d’un environnement secondaire. Contrairement à une maison, une école ou un lieu de travail, cet espace est transitoire. Peu d’usagers semblent s’y attarder excepté les gens qui y travaillent. Il semble que la volumétrie de l’espace ne permette pas que des usagers s’y attardent. Le mobilier n’est pas confortable et on s’y sent trop dévoilé.

Bref, Le Palais des congrès génère des retombées économiques importantes. De plus, il s’agit d’un espace qui reflète l’image de la ville de Montréal au niveau international. Par sa mise en valeur constante et son design au goût du jour, il s’agit d’un espace public qui évolue en même temps que la société qui le fréquente.

PALAIS DES CONGRÈS Mise en contexteLe Palais des congrès de Montréal est inauguré en 1983 et se situe en plein cœur de la métropole, à proximité du centre des affaires, du Quartier in-ternational, du Vieux-Montréal et du Quartier chinois.

Chaque jour, plus de 6000 passants y circulent et depuis sa construc-tion, il a reçu près de 13 millions de visiteurs. Un grand réseau souter-rain intérieur permet de visiter le sous-sol montréalais et un raccorde-ment au métro en facilite l’accès. En 1990, on voit le Palais faire face à des travaux d’agrandissement suite à un investissement du gouvernement du Québec, ce qui double sa superfi-cie totale et permet de le situer au-dessus de l’autoroute Ville-Marie. La présence du Palais permet de placer Montréal au premier rang en tant que «ville d’accueil des réunions interna-tionales » au Canada et deuxième en Amérique du Nord. Cela porte à croire que ce bâtiment contribue également à l’essor économique de la ville. Il fig-ure depuis 2007 au «palmarès des 1001 merveilles de l’architecture qu’il faut avoir vues dans sa vie » de Mark Irving et François Barré.

Au niveau du design, les façades de vitres colorées ont été réalisées par Mario Saia dans l’optique de «représenter le haut niveau de créa-tivité des Québécois en privilégiant la place des œuvres d’art dans la réalisa-tion du bâtiment ». La réalisation de Claude Cormier, Lipstick forest donne un caractère unique au Palais. Le bâ-timent est reconnu également pour sa conscience environnementale. Il participe entre autres au Comité vert de l’industrie touristique montréa-laise et occupe une place importante au niveau de la responsabilité sociale grâce à son implication importante à la communauté sous la forme de ser-vices communautaires .

Outil d’étude Notre technique d’étude des com-portements et celle de l’observation directe. Nous avons observé les com-portements dans le Palais des con-grès pour les traduire par la suite sous forme volumétrique et les avons expliquées à l’aide de photographies les démontrant. Globalement, nous nous sommes concentrées sur la provenance des utilisateurs et leur utilisation respective de l’espace. Nous avons également vérifié si ceux-ci avaient une interaction sociale, des lieux privilégiés et une appropriation à l’espace. Nous avons analysé leurs déplacement et si ceux-ci s’attardaient dans le Palais. Enfin, nous avons évalué dans l’espace de sources de stress potentielle pour les usagers, pou-vant expliquer leur fuyance des lieux. Nous finalement cherché des raisons, soit sous forme volumétrique ou pro-grammatique, pouvant expliquer les comportements observés plus tôt. Plus précisément, nous avons utilisé une approche expérimentale.

GoûtAu niveau du goût, on peu pens-er à tous les restaurants qui sont

présents.

ComportementsVoici la situation que nous avons rencon-trée en arrivant.

StressLes enseignes des magasins, bien qu’homogènes entre elles, peuvent être considérées comme des sources de stress visuels. À notre avis, elles, s’insèrent bien dans le design du bâtiment.

Le “ciel de néons’’ constitue un facteur de stress visuel pour certains.

InteractionsIci, à droite de l’image, on peut apercevoir une dame posant une question à l’agent de sécurité. Il s’agit des seules interactions sociales auxquelles nous avons assisté.

AppropriationNous avons aperçu des types d’appropriations particulières, que nous avons qualifiées de ponctuelles. Il s’agit de la présence des exposants qui s’installent en bordure de l’allée du Palais. Également, nous avons remarqué certains utilisateurs des bureaux s’appropriaient le lieu en salu-ant les gardiens de sécurité et en amenent leur lunch dans les restaurants Cela est plutôt inhabituel mais tout à faire accepté dans le cas présent.

SécuritéDes agents sont présents partout, ce qui contribue à renforcer le sentiment de sé-curité des utilisateurs. Toutefois, on ne sent pas de pression de quelque sorte de leur part. Ils sont souriants et respectueux avec les passants. Il leur arrive régulière-ment d’aider les montréalais égarés et les touristes.

ArrêtsLongtemps après le départ du premier utilisateur, une jeune femme provenant des bureaux du 2e étage vient s’asseoir pour marquer une pause et manger son dîner en vitesse. Cet endroit semble être apprécié des utilisateurs qui souhaitent être tranquilles.

ArrêtsIci, on peut voir un des rares utilisateurs ayant marqué un temps d’arrêt dans l’espace à l’étude. Il s’agit d’un jeune tra-vailleur cherchant à passer le temps, qui écoute de la musique.

Usagers Ici, on peut voir un travailleur du Centre-ville se dirigent vers la station de métro.

UsagersIci, on peut voir une passante solitaire se dirigeant vers Riopel.

Usagers On retrouve une majorité de passants, princi-palement des montréalais qui se dirigent vers la station de métro ou le Tim Hortons. Parfois, il traversent simplement vers la rue Viger et profi-tent de l’air climatisé ou du chauffage durant la saison hivernale. Sur cette photo, on peut voir un groupe d’individus de différentes nationalités se connaissant tous. Il s’agit du plus grand rassem-blement de personnes auquel nous avons pu as-

Bref historique

1975: L’idée naît Étude portant sur le potentiel touristique de Montréal Seule contrainte: augmentation structures d’acceuil

1976: Jeux olympiques Construction de 12 hôtels Contrainte comblée

1977: Autorisation de construction du gouvernement du Québec

1983: Inauguration Premiers événements

1990: Investissement de 240M$ Gouvernement du Québec

1999: Début des travaux d’aggrandissement Double superficie

2002: Fin des travaux d’aggrandissement Façades colorées Maria Saia

2007: Le Palais des congrès figure « 1001 merveilles de l’architecture qu’il faut avoir vues dans sa vie » de Mark Irving et François Barré.

Façade de l’édifice Rogers and King dont la construction remonte à 1885.Façade de la caserne de pomper no.20 de Louis-Roch Montbriand dont la construction remonte à 1908. Tramways Building dont la construction remonte à 1928.

AccessibilitéSemaine: Tous les magasins sont ouverts tôt et jusqu’à la fermeture des métros. Fin de semaine: Peu de magasins sont ouverts. Principalement, les grosse chaînes demeurent ou-vertes soit le Couche-Tard, le Tim Hortons, le Van Houtte et le centre de coiffure.

ÉclairageEn général, c’est plutôt ens-oleillé car la lumière traverse bien les façaces vitrées neutres et colorées. On retrouve plus de luminosité du côté du Palais qui borde la rue Viger

ProgrammationNulle, excepté lors de conférenc-es.

AchalandageMinime, même durant les périodes qui dans un con-texte différent génèrent plus d’achalandage.90 personnes/heure

InteractivitéPossible avec l’oeuvre de Claude Cormier mais autrement très minime.

Le Palais en images: une bulle vide

Selon Rachel et Stephen Kaplan, il semble que l’environnement soit perçu en général en fonction de l’action qui s’y déroule. L’espace fréquenté doit stimuler et fournir un élément de nou-veauté à ses usagers. Mal-heureusement, le Palais des congrès ne semble pas fournir cet élément en tout temps. Bien qu’il s’agit d’un lieu très animé lors des conférences, notre analyse confirme qu’il est peu stimulant le reste du temps.

Plusieurs facteurs auront une influence sur la percep-tion des utilisateurs. D’abord, le lieu de naissance et le lieu de vie peuvent modifier grandement la perception des individus. Celle-ci différera pour quelqu’un qui vit à Montréal depuis toujours versus une personne qui y est établie depuis quelques années. De plus, la mobilité et le mode de transport sont également d’importants fac-teurs de perception de l’espace. Selon que l’utilisateur se déplace à pied, à vélo, en transport en commun ou en voiture, il n’aura pas les mêmes sensations, ni les mêmes vitesses. La classe sociale est également un élé-ment non-négligeable. Enfin, le sexe, l’âge et la person-nalité constituent les facteurs qui influent le plus sur la perception des usagers de la ville.

Dans le contexte du Palais des congrès, nous retrouvons une grande majorité de fréquentation montréalaise. Les usagers qui occupent l’espace semblent connaître leur ville et savoir ou ils s’en vont. On aperçoit quelques touristes qui prennent des photos près de l’oeuvre de Claude Cormier mais ceux-ci constituent une popula-tion en minorité. La plupart des usagers sont à pied, en transport en commun, ou les deux cars plusieurs per-sonnes utilisent l’allée principale du Palais pour se ren-dre à la station de métro. Les usagers sont de tous les âges et de tous les sexes. Toutefois, on retrouve peu de familles et plus de travailleurs.

Ambiance généraleLuminosité constante

Température fraîchePeu d’éléments d’interactivité

Peu d’éléments stimulant les sens Déconnexion avec l’extérieur

Loi non écrite de respect du silenceAmbiance généralement froide

Ambiance comparable à celle d’un musée

VueSe référer aux photographies.

OdoratSurtout des odeurs provenant du Tim Hortons, principalement su-

crées et épicées à cause du Basha.

Toucher On retrouve de nombreuses plan-tes exotiques ainsi que des sofas

doux.

OuieCe sens est peu présent. Toute-fois, quand on approche des res-taurants, on entend le bruit de la vaisselle et des clients. En général, les utilisateurs sont peu bruyants.

La situation géographique du Palais des Congrès lui per-met d’être accessible à tous au Centre-Ville. On y re-trouve un achalandage considérable, surtout causé par sa position transitoire. De plus, sa connexion avec le ré-seau souterrain lui procure une importance considérable et une fonctionnalité accrue. Cela permet notamment aux utilisateurs de profiter de l’air climatisé l’été et du chauffage l’hiver. De plus, on y retrouve des commerces procurant la plupart des besoins de base. Cela peut in-citer de nombreux travailler à y arrêter pour s’acheter un café, un déjeuner ou autre. La plupart des passants empruntent l’allée principale à partir de la Place Riopelle pour aller rejoindre le Tim Hortons ou la station de métro Place d’Armes.

Les stationnements peuvent constituer une fréquenta-tion supplémentaire mais globalement, il semble que ce bâtiment soit utilisé par les piétons montréalais. Une sé-curité accrue à l’intérieur du Palais est assurée par les gardiens de sécurité qui y demeurent jusqu’aux heures de fermeture. Le Palais des congrès est positivement considéré au niveau international, surtout pour ses fa-çades vitrées. Toutefois, les touristes semblent plus im-pressionnés par l’œuvre de Claude Cormier. En général, l’espace a une ambiance froide. On remarque une dif-férence marquée dans l’ambiance lors d’événements. Le contraste de fréquentation est étonnant et a une influ-ence importante sur la perception de l’espace. Le design est contemporain et esthétique.

Point de repère Tim Hortons Forêt rose Voie Allée principaleLimite Rues

Il s’agit vraisemblablement d’un environne-ment secondaire. Contrairement à une maison, une école ou un lieu de travail, cet espace est plus transitoire. Peu d’usagers semblent s’y attarder excepté les gens qui y travaillent, évidemment. Il semble que la volumétrie de l’espace ne permette pas que des usagers s’y attardent. Le mobilier n’est pas nécessairement confortable et on s’y sent trop dévoilé. La luminosité importante ne feutre pas le paysage.

Valorisation économique: très importante. Le Palais des congrès amène des retombées économiques importantes. De plus, il s’agit d’un espace qui doit refléter l’image de la ville de Montréal au niveau international. Ce bâtiment doit donc être à la hauteur, afin d’impressionner le monde. Par sa mise en valeur constante, et son design au goût du jour, le Palais des congrès évolue en même temps que la société qui le fréquente.

PALAIS DES CONGRÈS Mise en contexteLe Palais des congrès de Montréal est inauguré en 1983 et se situe en plein cœur de la métropole, à proximité du centre des affaires, du Quartier in-ternational, du Vieux-Montréal et du Quartier chinois.

Chaque jour, plus de 6000 passants y circulent et depuis sa construc-tion, il a reçu près de 13 millions de visiteurs. Un grand réseau souter-rain intérieur permet de visiter le sous-sol montréalais et un raccorde-ment au métro en facilite l’accès. En 1990, on voit le Palais faire face à des travaux d’agrandissement suite à un investissement du gouvernement du Québec, ce qui double sa superfi-cie totale et permet de le situer au-dessus de l’autoroute Ville-Marie. La présence du Palais permet de placer Montréal au premier rang en tant que «ville d’accueil des réunions interna-tionales » au Canada et deuxième en Amérique du Nord. Cela porte à croire que ce bâtiment contribue également à l’essor économique de la ville. Il fig-ure depuis 2007 au «palmarès des 1001 merveilles de l’architecture qu’il faut avoir vues dans sa vie » de Mark Irving et François Barré.

Au niveau du design, les façades de vitres colorées ont été réalisées par Mario Saia dans l’optique de «représenter le haut niveau de créa-tivité des Québécois en privilégiant la place des œuvres d’art dans la réalisa-tion du bâtiment ». La réalisation de Claude Cormier, Lipstick forest donne un caractère unique au Palais. Le bâ-timent est reconnu également pour sa conscience environnementale. Il participe entre autres au Comité vert de l’industrie touristique montréa-laise et occupe une place importante au niveau de la responsabilité sociale grâce à son implication importante à la communauté sous la forme de ser-vices communautaires .

Outil d’étude Notre technique d’étude des com-portements et celle de l’observation directe. Nous avons observé les com-portements dans le Palais des con-grès pour les traduire par la suite sous forme volumétrique et les avons expliquées à l’aide de photographies les démontrant. Globalement, nous nous sommes concentrées sur la provenance des utilisateurs et leur utilisation respective de l’espace. Nous avons également vérifié si ceux-ci avaient une interaction sociale, des lieux privilégiés et une appropriation à l’espace. Nous avons analysé leurs déplacement et si ceux-ci s’attardaient dans le Palais. Enfin, nous avons évalué dans l’espace de sources de stress potentielle pour les usagers, pou-vant expliquer leur fuyance des lieux. Nous finalement cherché des raisons, soit sous forme volumétrique ou pro-grammatique, pouvant expliquer les comportements observés plus tôt. Plus précisément, nous avons utilisé une approche expérimentale.

GoûtAu niveau du goût, on peu pens-er à tous les restaurants qui sont

présents.

ComportementsVoici la situation que nous avons rencon-trée en arrivant.

StressLes enseignes des magasins, bien qu’homogènes entre elles, peuvent être considérées comme des sources de stress visuels. À notre avis, elles, s’insèrent bien dans le design du bâtiment.

Le “ciel de néons’’ constitue un facteur de stress visuel pour certains.

InteractionsIci, à droite de l’image, on peut apercevoir une dame posant une question à l’agent de sécurité. Il s’agit des seules interactions sociales auxquelles nous avons assisté.

AppropriationNous avons aperçu des types d’appropriations particulières, que nous avons qualifiées de ponctuelles. Il s’agit de la présence des exposants qui s’installent en bordure de l’allée du Palais. Également, nous avons remarqué certains utilisateurs des bureaux s’appropriaient le lieu en salu-ant les gardiens de sécurité et en amenent leur lunch dans les restaurants Cela est plutôt inhabituel mais tout à faire accepté dans le cas présent.

SécuritéDes agents sont présents partout, ce qui contribue à renforcer le sentiment de sé-curité des utilisateurs. Toutefois, on ne sent pas de pression de quelque sorte de leur part. Ils sont souriants et respectueux avec les passants. Il leur arrive régulière-ment d’aider les montréalais égarés et les touristes.

ArrêtsLongtemps après le départ du premier utilisateur, une jeune femme provenant des bureaux du 2e étage vient s’asseoir pour marquer une pause et manger son dîner en vitesse. Cet endroit semble être apprécié des utilisateurs qui souhaitent être tranquilles.

ArrêtsIci, on peut voir un des rares utilisateurs ayant marqué un temps d’arrêt dans l’espace à l’étude. Il s’agit d’un jeune tra-vailleur cherchant à passer le temps, qui écoute de la musique.

Usagers Ici, on peut voir un travailleur du Centre-ville se dirigent vers la station de métro.

UsagersIci, on peut voir une passante solitaire se dirigeant vers Riopel.

Usagers On retrouve une majorité de passants, princi-palement des montréalais qui se dirigent vers la station de métro ou le Tim Hortons. Parfois, il traversent simplement vers la rue Viger et profi-tent de l’air climatisé ou du chauffage durant la saison hivernale. Sur cette photo, on peut voir un groupe d’individus de différentes nationalités se connaissant tous. Il s’agit du plus grand rassem-blement de personnes auquel nous avons pu as-

Bref historique

1975: L’idée naît Étude portant sur le potentiel touristique de Montréal Seule contrainte: augmentation structures d’acceuil

1976: Jeux olympiques Construction de 12 hôtels Contrainte comblée

1977: Autorisation de construction du gouvernement du Québec

1983: Inauguration Premiers événements

1990: Investissement de 240M$ Gouvernement du Québec

1999: Début des travaux d’aggrandissement Double superficie

2002: Fin des travaux d’aggrandissement Façades colorées Maria Saia

2007: Le Palais des congrès figure « 1001 merveilles de l’architecture qu’il faut avoir vues dans sa vie » de Mark Irving et François Barré.

Façade de l’édifice Rogers and King dont la construction remonte à 1885.Façade de la caserne de pomper no.20 de Louis-Roch Montbriand dont la construction remonte à 1908. Tramways Building dont la construction remonte à 1928.

AccessibilitéSemaine: Tous les magasins sont ouverts tôt et jusqu’à la fermeture des métros. Fin de semaine: Peu de magasins sont ouverts. Principalement, les grosse chaînes demeurent ou-vertes soit le Couche-Tard, le Tim Hortons, le Van Houtte et le centre de coiffure.

ÉclairageEn général, c’est plutôt ens-oleillé car la lumière traverse bien les façaces vitrées neutres et colorées. On retrouve plus de luminosité du côté du Palais qui borde la rue Viger

ProgrammationNulle, excepté lors de conférenc-es.

AchalandageMinime, même durant les périodes qui dans un con-texte différent génèrent plus d’achalandage.90 personnes/heure

InteractivitéPossible avec l’oeuvre de Claude Cormier mais autrement très minime.

Le Palais en images: une bulle vide

Selon Rachel et Stephen Kaplan, il semble que l’environnement soit perçu en général en fonction de l’action qui s’y déroule. L’espace fréquenté doit stimuler et fournir un élément de nou-veauté à ses usagers. Mal-heureusement, le Palais des congrès ne semble pas fournir cet élément en tout temps. Bien qu’il s’agit d’un lieu très animé lors des conférences, notre analyse confirme qu’il est peu stimulant le reste du temps.

Plusieurs facteurs auront une influence sur la percep-tion des utilisateurs. D’abord, le lieu de naissance et le lieu de vie peuvent modifier grandement la perception des individus. Celle-ci différera pour quelqu’un qui vit à Montréal depuis toujours versus une personne qui y est établie depuis quelques années. De plus, la mobilité et le mode de transport sont également d’importants fac-teurs de perception de l’espace. Selon que l’utilisateur se déplace à pied, à vélo, en transport en commun ou en voiture, il n’aura pas les mêmes sensations, ni les mêmes vitesses. La classe sociale est également un élé-ment non-négligeable. Enfin, le sexe, l’âge et la person-nalité constituent les facteurs qui influent le plus sur la perception des usagers de la ville.

Dans le contexte du Palais des congrès, nous retrouvons une grande majorité de fréquentation montréalaise. Les usagers qui occupent l’espace semblent connaître leur ville et savoir ou ils s’en vont. On aperçoit quelques touristes qui prennent des photos près de l’oeuvre de Claude Cormier mais ceux-ci constituent une popula-tion en minorité. La plupart des usagers sont à pied, en transport en commun, ou les deux cars plusieurs per-sonnes utilisent l’allée principale du Palais pour se ren-dre à la station de métro. Les usagers sont de tous les âges et de tous les sexes. Toutefois, on retrouve peu de familles et plus de travailleurs.

Ambiance généraleLuminosité constante

Température fraîchePeu d’éléments d’interactivité

Peu d’éléments stimulant les sens Déconnexion avec l’extérieur

Loi non écrite de respect du silenceAmbiance généralement froide

Ambiance comparable à celle d’un musée

VueSe référer aux photographies.

OdoratSurtout des odeurs provenant du Tim Hortons, principalement su-

crées et épicées à cause du Basha.

Toucher On retrouve de nombreuses plan-tes exotiques ainsi que des sofas

doux.

OuieCe sens est peu présent. Toute-fois, quand on approche des res-taurants, on entend le bruit de la vaisselle et des clients. En général, les utilisateurs sont peu bruyants.

La situation géographique du Palais des Congrès lui per-met d’être accessible à tous au Centre-Ville. On y re-trouve un achalandage considérable, surtout causé par sa position transitoire. De plus, sa connexion avec le ré-seau souterrain lui procure une importance considérable et une fonctionnalité accrue. Cela permet notamment aux utilisateurs de profiter de l’air climatisé l’été et du chauffage l’hiver. De plus, on y retrouve des commerces procurant la plupart des besoins de base. Cela peut in-citer de nombreux travailler à y arrêter pour s’acheter un café, un déjeuner ou autre. La plupart des passants empruntent l’allée principale à partir de la Place Riopelle pour aller rejoindre le Tim Hortons ou la station de métro Place d’Armes.

Les stationnements peuvent constituer une fréquenta-tion supplémentaire mais globalement, il semble que ce bâtiment soit utilisé par les piétons montréalais. Une sé-curité accrue à l’intérieur du Palais est assurée par les gardiens de sécurité qui y demeurent jusqu’aux heures de fermeture. Le Palais des congrès est positivement considéré au niveau international, surtout pour ses fa-çades vitrées. Toutefois, les touristes semblent plus im-pressionnés par l’œuvre de Claude Cormier. En général, l’espace a une ambiance froide. On remarque une dif-férence marquée dans l’ambiance lors d’événements. Le contraste de fréquentation est étonnant et a une influ-ence importante sur la perception de l’espace. Le design est contemporain et esthétique.

Point de repère Tim Hortons Forêt rose Voie Allée principaleLimite Rues

Il s’agit vraisemblablement d’un environne-ment secondaire. Contrairement à une maison, une école ou un lieu de travail, cet espace est plus transitoire. Peu d’usagers semblent s’y attarder excepté les gens qui y travaillent, évidemment. Il semble que la volumétrie de l’espace ne permette pas que des usagers s’y attardent. Le mobilier n’est pas nécessairement confortable et on s’y sent trop dévoilé. La luminosité importante ne feutre pas le paysage.

Valorisation économique: très importante. Le Palais des congrès amène des retombées économiques importantes. De plus, il s’agit d’un espace qui doit refléter l’image de la ville de Montréal au niveau international. Ce bâtiment doit donc être à la hauteur, afin d’impressionner le monde. Par sa mise en valeur constante, et son design au goût du jour, le Palais des congrès évolue en même temps que la société qui le fréquente.

PALAIS DES CONGRÈS Mise en contexteLe Palais des congrès de Montréal est inauguré en 1983 et se situe en plein cœur de la métropole, à proximité du centre des affaires, du Quartier in-ternational, du Vieux-Montréal et du Quartier chinois.

Chaque jour, plus de 6000 passants y circulent et depuis sa construc-tion, il a reçu près de 13 millions de visiteurs. Un grand réseau souter-rain intérieur permet de visiter le sous-sol montréalais et un raccorde-ment au métro en facilite l’accès. En 1990, on voit le Palais faire face à des travaux d’agrandissement suite à un investissement du gouvernement du Québec, ce qui double sa superfi-cie totale et permet de le situer au-dessus de l’autoroute Ville-Marie. La présence du Palais permet de placer Montréal au premier rang en tant que «ville d’accueil des réunions interna-tionales » au Canada et deuxième en Amérique du Nord. Cela porte à croire que ce bâtiment contribue également à l’essor économique de la ville. Il fig-ure depuis 2007 au «palmarès des 1001 merveilles de l’architecture qu’il faut avoir vues dans sa vie » de Mark Irving et François Barré.

Au niveau du design, les façades de vitres colorées ont été réalisées par Mario Saia dans l’optique de «représenter le haut niveau de créa-tivité des Québécois en privilégiant la place des œuvres d’art dans la réalisa-tion du bâtiment ». La réalisation de Claude Cormier, Lipstick forest donne un caractère unique au Palais. Le bâ-timent est reconnu également pour sa conscience environnementale. Il participe entre autres au Comité vert de l’industrie touristique montréa-laise et occupe une place importante au niveau de la responsabilité sociale grâce à son implication importante à la communauté sous la forme de ser-vices communautaires .

Outil d’étude Notre technique d’étude des com-portements et celle de l’observation directe. Nous avons observé les com-portements dans le Palais des con-grès pour les traduire par la suite sous forme volumétrique et les avons expliquées à l’aide de photographies les démontrant. Globalement, nous nous sommes concentrées sur la provenance des utilisateurs et leur utilisation respective de l’espace. Nous avons également vérifié si ceux-ci avaient une interaction sociale, des lieux privilégiés et une appropriation à l’espace. Nous avons analysé leurs déplacement et si ceux-ci s’attardaient dans le Palais. Enfin, nous avons évalué dans l’espace de sources de stress potentielle pour les usagers, pou-vant expliquer leur fuyance des lieux. Nous finalement cherché des raisons, soit sous forme volumétrique ou pro-grammatique, pouvant expliquer les comportements observés plus tôt. Plus précisément, nous avons utilisé une approche expérimentale.

GoûtAu niveau du goût, on peu pens-er à tous les restaurants qui sont

présents.

ComportementsVoici la situation que nous avons rencon-trée en arrivant.

StressLes enseignes des magasins, bien qu’homogènes entre elles, peuvent être considérées comme des sources de stress visuels. À notre avis, elles, s’insèrent bien dans le design du bâtiment.

Le “ciel de néons’’ constitue un facteur de stress visuel pour certains.

InteractionsIci, à droite de l’image, on peut apercevoir une dame posant une question à l’agent de sécurité. Il s’agit des seules interactions sociales auxquelles nous avons assisté.

AppropriationNous avons aperçu des types d’appropriations particulières, que nous avons qualifiées de ponctuelles. Il s’agit de la présence des exposants qui s’installent en bordure de l’allée du Palais. Également, nous avons remarqué certains utilisateurs des bureaux s’appropriaient le lieu en salu-ant les gardiens de sécurité et en amenent leur lunch dans les restaurants Cela est plutôt inhabituel mais tout à faire accepté dans le cas présent.

SécuritéDes agents sont présents partout, ce qui contribue à renforcer le sentiment de sé-curité des utilisateurs. Toutefois, on ne sent pas de pression de quelque sorte de leur part. Ils sont souriants et respectueux avec les passants. Il leur arrive régulière-ment d’aider les montréalais égarés et les touristes.

ArrêtsLongtemps après le départ du premier utilisateur, une jeune femme provenant des bureaux du 2e étage vient s’asseoir pour marquer une pause et manger son dîner en vitesse. Cet endroit semble être apprécié des utilisateurs qui souhaitent être tranquilles.

ArrêtsIci, on peut voir un des rares utilisateurs ayant marqué un temps d’arrêt dans l’espace à l’étude. Il s’agit d’un jeune tra-vailleur cherchant à passer le temps, qui écoute de la musique.

Usagers Ici, on peut voir un travailleur du Centre-ville se dirigent vers la station de métro.

UsagersIci, on peut voir une passante solitaire se dirigeant vers Riopel.

Usagers On retrouve une majorité de passants, princi-palement des montréalais qui se dirigent vers la station de métro ou le Tim Hortons. Parfois, il traversent simplement vers la rue Viger et profi-tent de l’air climatisé ou du chauffage durant la saison hivernale. Sur cette photo, on peut voir un groupe d’individus de différentes nationalités se connaissant tous. Il s’agit du plus grand rassem-blement de personnes auquel nous avons pu as-

Bref historique

1975: L’idée naît Étude portant sur le potentiel touristique de Montréal Seule contrainte: augmentation structures d’acceuil

1976: Jeux olympiques Construction de 12 hôtels Contrainte comblée

1977: Autorisation de construction du gouvernement du Québec

1983: Inauguration Premiers événements

1990: Investissement de 240M$ Gouvernement du Québec

1999: Début des travaux d’aggrandissement Double superficie

2002: Fin des travaux d’aggrandissement Façades colorées Maria Saia

2007: Le Palais des congrès figure « 1001 merveilles de l’architecture qu’il faut avoir vues dans sa vie » de Mark Irving et François Barré.

Façade de l’édifice Rogers and King dont la construction remonte à 1885.Façade de la caserne de pomper no.20 de Louis-Roch Montbriand dont la construction remonte à 1908. Tramways Building dont la construction remonte à 1928.

AccessibilitéSemaine: Tous les magasins sont ouverts tôt et jusqu’à la fermeture des métros. Fin de semaine: Peu de magasins sont ouverts. Principalement, les grosse chaînes demeurent ou-vertes soit le Couche-Tard, le Tim Hortons, le Van Houtte et le centre de coiffure.

ÉclairageEn général, c’est plutôt ens-oleillé car la lumière traverse bien les façaces vitrées neutres et colorées. On retrouve plus de luminosité du côté du Palais qui borde la rue Viger

ProgrammationNulle, excepté lors de conférenc-es.

AchalandageMinime, même durant les périodes qui dans un con-texte différent génèrent plus d’achalandage.90 personnes/heure

InteractivitéPossible avec l’oeuvre de Claude Cormier mais autrement très minime.

Le Palais en images: une bulle vide

Selon Rachel et Stephen Kaplan, il semble que l’environnement soit perçu en général en fonction de l’action qui s’y déroule. L’espace fréquenté doit stimuler et fournir un élément de nou-veauté à ses usagers. Mal-heureusement, le Palais des congrès ne semble pas fournir cet élément en tout temps. Bien qu’il s’agit d’un lieu très animé lors des conférences, notre analyse confirme qu’il est peu stimulant le reste du temps.

Plusieurs facteurs auront une influence sur la percep-tion des utilisateurs. D’abord, le lieu de naissance et le lieu de vie peuvent modifier grandement la perception des individus. Celle-ci différera pour quelqu’un qui vit à Montréal depuis toujours versus une personne qui y est établie depuis quelques années. De plus, la mobilité et le mode de transport sont également d’importants fac-teurs de perception de l’espace. Selon que l’utilisateur se déplace à pied, à vélo, en transport en commun ou en voiture, il n’aura pas les mêmes sensations, ni les mêmes vitesses. La classe sociale est également un élé-ment non-négligeable. Enfin, le sexe, l’âge et la person-nalité constituent les facteurs qui influent le plus sur la perception des usagers de la ville.

Dans le contexte du Palais des congrès, nous retrouvons une grande majorité de fréquentation montréalaise. Les usagers qui occupent l’espace semblent connaître leur ville et savoir ou ils s’en vont. On aperçoit quelques touristes qui prennent des photos près de l’oeuvre de Claude Cormier mais ceux-ci constituent une popula-tion en minorité. La plupart des usagers sont à pied, en transport en commun, ou les deux cars plusieurs per-sonnes utilisent l’allée principale du Palais pour se ren-dre à la station de métro. Les usagers sont de tous les âges et de tous les sexes. Toutefois, on retrouve peu de familles et plus de travailleurs.

Ambiance généraleLuminosité constante

Température fraîchePeu d’éléments d’interactivité

Peu d’éléments stimulant les sens Déconnexion avec l’extérieur

Loi non écrite de respect du silenceAmbiance généralement froide

Ambiance comparable à celle d’un musée

VueSe référer aux photographies.

OdoratSurtout des odeurs provenant du Tim Hortons, principalement su-

crées et épicées à cause du Basha.

Toucher On retrouve de nombreuses plan-tes exotiques ainsi que des sofas

doux.

OuieCe sens est peu présent. Toute-fois, quand on approche des res-taurants, on entend le bruit de la vaisselle et des clients. En général, les utilisateurs sont peu bruyants.

La situation géographique du Palais des Congrès lui per-met d’être accessible à tous au Centre-Ville. On y re-trouve un achalandage considérable, surtout causé par sa position transitoire. De plus, sa connexion avec le ré-seau souterrain lui procure une importance considérable et une fonctionnalité accrue. Cela permet notamment aux utilisateurs de profiter de l’air climatisé l’été et du chauffage l’hiver. De plus, on y retrouve des commerces procurant la plupart des besoins de base. Cela peut in-citer de nombreux travailler à y arrêter pour s’acheter un café, un déjeuner ou autre. La plupart des passants empruntent l’allée principale à partir de la Place Riopelle pour aller rejoindre le Tim Hortons ou la station de métro Place d’Armes.

Les stationnements peuvent constituer une fréquenta-tion supplémentaire mais globalement, il semble que ce bâtiment soit utilisé par les piétons montréalais. Une sé-curité accrue à l’intérieur du Palais est assurée par les gardiens de sécurité qui y demeurent jusqu’aux heures de fermeture. Le Palais des congrès est positivement considéré au niveau international, surtout pour ses fa-çades vitrées. Toutefois, les touristes semblent plus im-pressionnés par l’œuvre de Claude Cormier. En général, l’espace a une ambiance froide. On remarque une dif-férence marquée dans l’ambiance lors d’événements. Le contraste de fréquentation est étonnant et a une influ-ence importante sur la perception de l’espace. Le design est contemporain et esthétique.

Point de repère Tim Hortons Forêt rose Voie Allée principaleLimite Rues

Il s’agit vraisemblablement d’un environne-ment secondaire. Contrairement à une maison, une école ou un lieu de travail, cet espace est plus transitoire. Peu d’usagers semblent s’y attarder excepté les gens qui y travaillent, évidemment. Il semble que la volumétrie de l’espace ne permette pas que des usagers s’y attardent. Le mobilier n’est pas nécessairement confortable et on s’y sent trop dévoilé. La luminosité importante ne feutre pas le paysage.

Valorisation économique: très importante. Le Palais des congrès amène des retombées économiques importantes. De plus, il s’agit d’un espace qui doit refléter l’image de la ville de Montréal au niveau international. Ce bâtiment doit donc être à la hauteur, afin d’impressionner le monde. Par sa mise en valeur constante, et son design au goût du jour, le Palais des congrès évolue en même temps que la société qui le fréquente.

PALAIS DES CONGRÈS Mise en contexteLe Palais des congrès de Montréal est inauguré en 1983 et se situe en plein cœur de la métropole, à proximité du centre des affaires, du Quartier in-ternational, du Vieux-Montréal et du Quartier chinois.

Chaque jour, plus de 6000 passants y circulent et depuis sa construc-tion, il a reçu près de 13 millions de visiteurs. Un grand réseau souter-rain intérieur permet de visiter le sous-sol montréalais et un raccorde-ment au métro en facilite l’accès. En 1990, on voit le Palais faire face à des travaux d’agrandissement suite à un investissement du gouvernement du Québec, ce qui double sa superfi-cie totale et permet de le situer au-dessus de l’autoroute Ville-Marie. La présence du Palais permet de placer Montréal au premier rang en tant que «ville d’accueil des réunions interna-tionales » au Canada et deuxième en Amérique du Nord. Cela porte à croire que ce bâtiment contribue également à l’essor économique de la ville. Il fig-ure depuis 2007 au «palmarès des 1001 merveilles de l’architecture qu’il faut avoir vues dans sa vie » de Mark Irving et François Barré.

Au niveau du design, les façades de vitres colorées ont été réalisées par Mario Saia dans l’optique de «représenter le haut niveau de créa-tivité des Québécois en privilégiant la place des œuvres d’art dans la réalisa-tion du bâtiment ». La réalisation de Claude Cormier, Lipstick forest donne un caractère unique au Palais. Le bâ-timent est reconnu également pour sa conscience environnementale. Il participe entre autres au Comité vert de l’industrie touristique montréa-laise et occupe une place importante au niveau de la responsabilité sociale grâce à son implication importante à la communauté sous la forme de ser-vices communautaires .

Outil d’étude Notre technique d’étude des com-portements et celle de l’observation directe. Nous avons observé les com-portements dans le Palais des con-grès pour les traduire par la suite sous forme volumétrique et les avons expliquées à l’aide de photographies les démontrant. Globalement, nous nous sommes concentrées sur la provenance des utilisateurs et leur utilisation respective de l’espace. Nous avons également vérifié si ceux-ci avaient une interaction sociale, des lieux privilégiés et une appropriation à l’espace. Nous avons analysé leurs déplacement et si ceux-ci s’attardaient dans le Palais. Enfin, nous avons évalué dans l’espace de sources de stress potentielle pour les usagers, pou-vant expliquer leur fuyance des lieux. Nous finalement cherché des raisons, soit sous forme volumétrique ou pro-grammatique, pouvant expliquer les comportements observés plus tôt. Plus précisément, nous avons utilisé une approche expérimentale.

GoûtAu niveau du goût, on peu pens-er à tous les restaurants qui sont

présents.

ComportementsVoici la situation que nous avons rencon-trée en arrivant.

StressLes enseignes des magasins, bien qu’homogènes entre elles, peuvent être considérées comme des sources de stress visuels. À notre avis, elles, s’insèrent bien dans le design du bâtiment.

Le “ciel de néons’’ constitue un facteur de stress visuel pour certains.

InteractionsIci, à droite de l’image, on peut apercevoir une dame posant une question à l’agent de sécurité. Il s’agit des seules interactions sociales auxquelles nous avons assisté.

AppropriationNous avons aperçu des types d’appropriations particulières, que nous avons qualifiées de ponctuelles. Il s’agit de la présence des exposants qui s’installent en bordure de l’allée du Palais. Également, nous avons remarqué certains utilisateurs des bureaux s’appropriaient le lieu en salu-ant les gardiens de sécurité et en amenent leur lunch dans les restaurants Cela est plutôt inhabituel mais tout à faire accepté dans le cas présent.

SécuritéDes agents sont présents partout, ce qui contribue à renforcer le sentiment de sé-curité des utilisateurs. Toutefois, on ne sent pas de pression de quelque sorte de leur part. Ils sont souriants et respectueux avec les passants. Il leur arrive régulière-ment d’aider les montréalais égarés et les touristes.

ArrêtsLongtemps après le départ du premier utilisateur, une jeune femme provenant des bureaux du 2e étage vient s’asseoir pour marquer une pause et manger son dîner en vitesse. Cet endroit semble être apprécié des utilisateurs qui souhaitent être tranquilles.

ArrêtsIci, on peut voir un des rares utilisateurs ayant marqué un temps d’arrêt dans l’espace à l’étude. Il s’agit d’un jeune tra-vailleur cherchant à passer le temps, qui écoute de la musique.

Usagers Ici, on peut voir un travailleur du Centre-ville se dirigent vers la station de métro.

UsagersIci, on peut voir une passante solitaire se dirigeant vers Riopel.

Usagers On retrouve une majorité de passants, princi-palement des montréalais qui se dirigent vers la station de métro ou le Tim Hortons. Parfois, il traversent simplement vers la rue Viger et profi-tent de l’air climatisé ou du chauffage durant la saison hivernale. Sur cette photo, on peut voir un groupe d’individus de différentes nationalités se connaissant tous. Il s’agit du plus grand rassem-blement de personnes auquel nous avons pu as-

Bref historique

1975: L’idée naît Étude portant sur le potentiel touristique de Montréal Seule contrainte: augmentation structures d’acceuil

1976: Jeux olympiques Construction de 12 hôtels Contrainte comblée

1977: Autorisation de construction du gouvernement du Québec

1983: Inauguration Premiers événements

1990: Investissement de 240M$ Gouvernement du Québec

1999: Début des travaux d’aggrandissement Double superficie

2002: Fin des travaux d’aggrandissement Façades colorées Maria Saia

2007: Le Palais des congrès figure « 1001 merveilles de l’architecture qu’il faut avoir vues dans sa vie » de Mark Irving et François Barré.

Façade de l’édifice Rogers and King dont la construction remonte à 1885.Façade de la caserne de pomper no.20 de Louis-Roch Montbriand dont la construction remonte à 1908. Tramways Building dont la construction remonte à 1928.

AccessibilitéSemaine: Tous les magasins sont ouverts tôt et jusqu’à la fermeture des métros. Fin de semaine: Peu de magasins sont ouverts. Principalement, les grosse chaînes demeurent ou-vertes soit le Couche-Tard, le Tim Hortons, le Van Houtte et le centre de coiffure.

ÉclairageEn général, c’est plutôt ens-oleillé car la lumière traverse bien les façaces vitrées neutres et colorées. On retrouve plus de luminosité du côté du Palais qui borde la rue Viger

ProgrammationNulle, excepté lors de conférenc-es.

AchalandageMinime, même durant les périodes qui dans un con-texte différent génèrent plus d’achalandage.90 personnes/heure

InteractivitéPossible avec l’oeuvre de Claude Cormier mais autrement très minime.

Le Palais en images: une bulle vide

Selon Rachel et Stephen Kaplan, il semble que l’environnement soit perçu en général en fonction de l’action qui s’y déroule. L’espace fréquenté doit stimuler et fournir un élément de nou-veauté à ses usagers. Mal-heureusement, le Palais des congrès ne semble pas fournir cet élément en tout temps. Bien qu’il s’agit d’un lieu très animé lors des conférences, notre analyse confirme qu’il est peu stimulant le reste du temps.

Plusieurs facteurs auront une influence sur la percep-tion des utilisateurs. D’abord, le lieu de naissance et le lieu de vie peuvent modifier grandement la perception des individus. Celle-ci différera pour quelqu’un qui vit à Montréal depuis toujours versus une personne qui y est établie depuis quelques années. De plus, la mobilité et le mode de transport sont également d’importants fac-teurs de perception de l’espace. Selon que l’utilisateur se déplace à pied, à vélo, en transport en commun ou en voiture, il n’aura pas les mêmes sensations, ni les mêmes vitesses. La classe sociale est également un élé-ment non-négligeable. Enfin, le sexe, l’âge et la person-nalité constituent les facteurs qui influent le plus sur la perception des usagers de la ville.

Dans le contexte du Palais des congrès, nous retrouvons une grande majorité de fréquentation montréalaise. Les usagers qui occupent l’espace semblent connaître leur ville et savoir ou ils s’en vont. On aperçoit quelques touristes qui prennent des photos près de l’oeuvre de Claude Cormier mais ceux-ci constituent une popula-tion en minorité. La plupart des usagers sont à pied, en transport en commun, ou les deux cars plusieurs per-sonnes utilisent l’allée principale du Palais pour se ren-dre à la station de métro. Les usagers sont de tous les âges et de tous les sexes. Toutefois, on retrouve peu de familles et plus de travailleurs.

Ambiance généraleLuminosité constante

Température fraîchePeu d’éléments d’interactivité

Peu d’éléments stimulant les sens Déconnexion avec l’extérieur

Loi non écrite de respect du silenceAmbiance généralement froide

Ambiance comparable à celle d’un musée

VueSe référer aux photographies.

OdoratSurtout des odeurs provenant du Tim Hortons, principalement su-

crées et épicées à cause du Basha.

Toucher On retrouve de nombreuses plan-tes exotiques ainsi que des sofas

doux.

OuieCe sens est peu présent. Toute-fois, quand on approche des res-taurants, on entend le bruit de la vaisselle et des clients. En général, les utilisateurs sont peu bruyants.

La situation géographique du Palais des Congrès lui per-met d’être accessible à tous au Centre-Ville. On y re-trouve un achalandage considérable, surtout causé par sa position transitoire. De plus, sa connexion avec le ré-seau souterrain lui procure une importance considérable et une fonctionnalité accrue. Cela permet notamment aux utilisateurs de profiter de l’air climatisé l’été et du chauffage l’hiver. De plus, on y retrouve des commerces procurant la plupart des besoins de base. Cela peut in-citer de nombreux travailler à y arrêter pour s’acheter un café, un déjeuner ou autre. La plupart des passants empruntent l’allée principale à partir de la Place Riopelle pour aller rejoindre le Tim Hortons ou la station de métro Place d’Armes.

Les stationnements peuvent constituer une fréquenta-tion supplémentaire mais globalement, il semble que ce bâtiment soit utilisé par les piétons montréalais. Une sé-curité accrue à l’intérieur du Palais est assurée par les gardiens de sécurité qui y demeurent jusqu’aux heures de fermeture. Le Palais des congrès est positivement considéré au niveau international, surtout pour ses fa-çades vitrées. Toutefois, les touristes semblent plus im-pressionnés par l’œuvre de Claude Cormier. En général, l’espace a une ambiance froide. On remarque une dif-férence marquée dans l’ambiance lors d’événements. Le contraste de fréquentation est étonnant et a une influ-ence importante sur la perception de l’espace. Le design est contemporain et esthétique.

Point de repère Tim Hortons Forêt rose Voie Allée principaleLimite Rues

Il s’agit vraisemblablement d’un environne-ment secondaire. Contrairement à une maison, une école ou un lieu de travail, cet espace est plus transitoire. Peu d’usagers semblent s’y attarder excepté les gens qui y travaillent, évidemment. Il semble que la volumétrie de l’espace ne permette pas que des usagers s’y attardent. Le mobilier n’est pas nécessairement confortable et on s’y sent trop dévoilé. La luminosité importante ne feutre pas le paysage.

Valorisation économique: très importante. Le Palais des congrès amène des retombées économiques importantes. De plus, il s’agit d’un espace qui doit refléter l’image de la ville de Montréal au niveau international. Ce bâtiment doit donc être à la hauteur, afin d’impressionner le monde. Par sa mise en valeur constante, et son design au goût du jour, le Palais des congrès évolue en même temps que la société qui le fréquente.

PALAIS DES CONGRÈS Mise en contexteLe Palais des congrès de Montréal est inauguré en 1983 et se situe en plein cœur de la métropole, à proximité du centre des affaires, du Quartier in-ternational, du Vieux-Montréal et du Quartier chinois.

Chaque jour, plus de 6000 passants y circulent et depuis sa construc-tion, il a reçu près de 13 millions de visiteurs. Un grand réseau souter-rain intérieur permet de visiter le sous-sol montréalais et un raccorde-ment au métro en facilite l’accès. En 1990, on voit le Palais faire face à des travaux d’agrandissement suite à un investissement du gouvernement du Québec, ce qui double sa superfi-cie totale et permet de le situer au-dessus de l’autoroute Ville-Marie. La présence du Palais permet de placer Montréal au premier rang en tant que «ville d’accueil des réunions interna-tionales » au Canada et deuxième en Amérique du Nord. Cela porte à croire que ce bâtiment contribue également à l’essor économique de la ville. Il fig-ure depuis 2007 au «palmarès des 1001 merveilles de l’architecture qu’il faut avoir vues dans sa vie » de Mark Irving et François Barré.

Au niveau du design, les façades de vitres colorées ont été réalisées par Mario Saia dans l’optique de «représenter le haut niveau de créa-tivité des Québécois en privilégiant la place des œuvres d’art dans la réalisa-tion du bâtiment ». La réalisation de Claude Cormier, Lipstick forest donne un caractère unique au Palais. Le bâ-timent est reconnu également pour sa conscience environnementale. Il participe entre autres au Comité vert de l’industrie touristique montréa-laise et occupe une place importante au niveau de la responsabilité sociale grâce à son implication importante à la communauté sous la forme de ser-vices communautaires .

Outil d’étude Notre technique d’étude des com-portements et celle de l’observation directe. Nous avons observé les com-portements dans le Palais des con-grès pour les traduire par la suite sous forme volumétrique et les avons expliquées à l’aide de photographies les démontrant. Globalement, nous nous sommes concentrées sur la provenance des utilisateurs et leur utilisation respective de l’espace. Nous avons également vérifié si ceux-ci avaient une interaction sociale, des lieux privilégiés et une appropriation à l’espace. Nous avons analysé leurs déplacement et si ceux-ci s’attardaient dans le Palais. Enfin, nous avons évalué dans l’espace de sources de stress potentielle pour les usagers, pou-vant expliquer leur fuyance des lieux. Nous finalement cherché des raisons, soit sous forme volumétrique ou pro-grammatique, pouvant expliquer les comportements observés plus tôt. Plus précisément, nous avons utilisé une approche expérimentale.

GoûtAu niveau du goût, on peu pens-er à tous les restaurants qui sont

présents.

ComportementsVoici la situation que nous avons rencon-trée en arrivant.

StressLes enseignes des magasins, bien qu’homogènes entre elles, peuvent être considérées comme des sources de stress visuels. À notre avis, elles, s’insèrent bien dans le design du bâtiment.

Le “ciel de néons’’ constitue un facteur de stress visuel pour certains.

InteractionsIci, à droite de l’image, on peut apercevoir une dame posant une question à l’agent de sécurité. Il s’agit des seules interactions sociales auxquelles nous avons assisté.

AppropriationNous avons aperçu des types d’appropriations particulières, que nous avons qualifiées de ponctuelles. Il s’agit de la présence des exposants qui s’installent en bordure de l’allée du Palais. Également, nous avons remarqué certains utilisateurs des bureaux s’appropriaient le lieu en salu-ant les gardiens de sécurité et en amenent leur lunch dans les restaurants Cela est plutôt inhabituel mais tout à faire accepté dans le cas présent.

SécuritéDes agents sont présents partout, ce qui contribue à renforcer le sentiment de sé-curité des utilisateurs. Toutefois, on ne sent pas de pression de quelque sorte de leur part. Ils sont souriants et respectueux avec les passants. Il leur arrive régulière-ment d’aider les montréalais égarés et les touristes.

ArrêtsLongtemps après le départ du premier utilisateur, une jeune femme provenant des bureaux du 2e étage vient s’asseoir pour marquer une pause et manger son dîner en vitesse. Cet endroit semble être apprécié des utilisateurs qui souhaitent être tranquilles.

ArrêtsIci, on peut voir un des rares utilisateurs ayant marqué un temps d’arrêt dans l’espace à l’étude. Il s’agit d’un jeune tra-vailleur cherchant à passer le temps, qui écoute de la musique.

Usagers Ici, on peut voir un travailleur du Centre-ville se dirigent vers la station de métro.

UsagersIci, on peut voir une passante solitaire se dirigeant vers Riopel.

Usagers On retrouve une majorité de passants, princi-palement des montréalais qui se dirigent vers la station de métro ou le Tim Hortons. Parfois, il traversent simplement vers la rue Viger et profi-tent de l’air climatisé ou du chauffage durant la saison hivernale. Sur cette photo, on peut voir un groupe d’individus de différentes nationalités se connaissant tous. Il s’agit du plus grand rassem-blement de personnes auquel nous avons pu as-

Bref historique

1975: L’idée naît Étude portant sur le potentiel touristique de Montréal Seule contrainte: augmentation structures d’acceuil

1976: Jeux olympiques Construction de 12 hôtels Contrainte comblée

1977: Autorisation de construction du gouvernement du Québec

1983: Inauguration Premiers événements

1990: Investissement de 240M$ Gouvernement du Québec

1999: Début des travaux d’aggrandissement Double superficie

2002: Fin des travaux d’aggrandissement Façades colorées Maria Saia

2007: Le Palais des congrès figure « 1001 merveilles de l’architecture qu’il faut avoir vues dans sa vie » de Mark Irving et François Barré.

Façade de l’édifice Rogers and King dont la construction remonte à 1885.Façade de la caserne de pomper no.20 de Louis-Roch Montbriand dont la construction remonte à 1908. Tramways Building dont la construction remonte à 1928.

AccessibilitéSemaine: Tous les magasins sont ouverts tôt et jusqu’à la fermeture des métros. Fin de semaine: Peu de magasins sont ouverts. Principalement, les grosse chaînes demeurent ou-vertes soit le Couche-Tard, le Tim Hortons, le Van Houtte et le centre de coiffure.

ÉclairageEn général, c’est plutôt ens-oleillé car la lumière traverse bien les façaces vitrées neutres et colorées. On retrouve plus de luminosité du côté du Palais qui borde la rue Viger

ProgrammationNulle, excepté lors de conférenc-es.

AchalandageMinime, même durant les périodes qui dans un con-texte différent génèrent plus d’achalandage.90 personnes/heure

InteractivitéPossible avec l’oeuvre de Claude Cormier mais autrement très minime.

Le Palais en images: une bulle vide

Selon Rachel et Stephen Kaplan, il semble que l’environnement soit perçu en général en fonction de l’action qui s’y déroule. L’espace fréquenté doit stimuler et fournir un élément de nou-veauté à ses usagers. Mal-heureusement, le Palais des congrès ne semble pas fournir cet élément en tout temps. Bien qu’il s’agit d’un lieu très animé lors des conférences, notre analyse confirme qu’il est peu stimulant le reste du temps.

Plusieurs facteurs auront une influence sur la percep-tion des utilisateurs. D’abord, le lieu de naissance et le lieu de vie peuvent modifier grandement la perception des individus. Celle-ci différera pour quelqu’un qui vit à Montréal depuis toujours versus une personne qui y est établie depuis quelques années. De plus, la mobilité et le mode de transport sont également d’importants fac-teurs de perception de l’espace. Selon que l’utilisateur se déplace à pied, à vélo, en transport en commun ou en voiture, il n’aura pas les mêmes sensations, ni les mêmes vitesses. La classe sociale est également un élé-ment non-négligeable. Enfin, le sexe, l’âge et la person-nalité constituent les facteurs qui influent le plus sur la perception des usagers de la ville.

Dans le contexte du Palais des congrès, nous retrouvons une grande majorité de fréquentation montréalaise. Les usagers qui occupent l’espace semblent connaître leur ville et savoir ou ils s’en vont. On aperçoit quelques touristes qui prennent des photos près de l’oeuvre de Claude Cormier mais ceux-ci constituent une popula-tion en minorité. La plupart des usagers sont à pied, en transport en commun, ou les deux cars plusieurs per-sonnes utilisent l’allée principale du Palais pour se ren-dre à la station de métro. Les usagers sont de tous les âges et de tous les sexes. Toutefois, on retrouve peu de familles et plus de travailleurs.

Ambiance généraleLuminosité constante

Température fraîchePeu d’éléments d’interactivité

Peu d’éléments stimulant les sens Déconnexion avec l’extérieur

Loi non écrite de respect du silenceAmbiance généralement froide

Ambiance comparable à celle d’un musée

VueSe référer aux photographies.

OdoratSurtout des odeurs provenant du Tim Hortons, principalement su-

crées et épicées à cause du Basha.

Toucher On retrouve de nombreuses plan-tes exotiques ainsi que des sofas

doux.

OuieCe sens est peu présent. Toute-fois, quand on approche des res-taurants, on entend le bruit de la vaisselle et des clients. En général, les utilisateurs sont peu bruyants.

La situation géographique du Palais des Congrès lui per-met d’être accessible à tous au Centre-Ville. On y re-trouve un achalandage considérable, surtout causé par sa position transitoire. De plus, sa connexion avec le ré-seau souterrain lui procure une importance considérable et une fonctionnalité accrue. Cela permet notamment aux utilisateurs de profiter de l’air climatisé l’été et du chauffage l’hiver. De plus, on y retrouve des commerces procurant la plupart des besoins de base. Cela peut in-citer de nombreux travailler à y arrêter pour s’acheter un café, un déjeuner ou autre. La plupart des passants empruntent l’allée principale à partir de la Place Riopelle pour aller rejoindre le Tim Hortons ou la station de métro Place d’Armes.

Les stationnements peuvent constituer une fréquenta-tion supplémentaire mais globalement, il semble que ce bâtiment soit utilisé par les piétons montréalais. Une sé-curité accrue à l’intérieur du Palais est assurée par les gardiens de sécurité qui y demeurent jusqu’aux heures de fermeture. Le Palais des congrès est positivement considéré au niveau international, surtout pour ses fa-çades vitrées. Toutefois, les touristes semblent plus im-pressionnés par l’œuvre de Claude Cormier. En général, l’espace a une ambiance froide. On remarque une dif-férence marquée dans l’ambiance lors d’événements. Le contraste de fréquentation est étonnant et a une influ-ence importante sur la perception de l’espace. Le design est contemporain et esthétique.

Point de repère Tim Hortons Forêt rose Voie Allée principaleLimite Rues

Il s’agit vraisemblablement d’un environne-ment secondaire. Contrairement à une maison, une école ou un lieu de travail, cet espace est plus transitoire. Peu d’usagers semblent s’y attarder excepté les gens qui y travaillent, évidemment. Il semble que la volumétrie de l’espace ne permette pas que des usagers s’y attardent. Le mobilier n’est pas nécessairement confortable et on s’y sent trop dévoilé. La luminosité importante ne feutre pas le paysage.

Valorisation économique: très importante. Le Palais des congrès amène des retombées économiques importantes. De plus, il s’agit d’un espace qui doit refléter l’image de la ville de Montréal au niveau international. Ce bâtiment doit donc être à la hauteur, afin d’impressionner le monde. Par sa mise en valeur constante, et son design au goût du jour, le Palais des congrès évolue en même temps que la société qui le fréquente.

palais des congrès

Page 11: Portfolio académique

maude roy

I D E E SVERTES

Notre perspective représente l’ambiance que nous voulons recréer dans le Quartier des Grands Jardins. Une ambiance dynamique et jeune qui sera adéquate pour ce secteur dans un futur proche!

Square CabotÀ ouvrir vers l’extérieur pour ré-gler les problèmes de sécurité, d’itinérance et d’activités illicites

Vues vers le Mont-Royal À privilégier pour relier le Quarti-er aux secteurs adjacents, même si c’est juste de manière visuelle

Université Concordia Modèle à équilibrer avec le pôle opposé, donc le square cabot

Rue Sainte-CatherineAxe principal reliant les deux pôles d’activité principaux VerdissementMobilier urbainTerrasses Rue + trottoir au même niveauActivités de rue

A

A

B

B

C

C

D

D

E

E

F

F

Ce projet réalisé en Hol-lande est inspirant par l’utilisation de l’eau et par la linéarité du de-sign qui est simple et efficace.

La topologie du terrain pourrait être exploitée au moyen de baissières ou autres techniques reliées à la ré-cupération de l’eau en milieu urbain.

Nous cherchons à avoir un élé-ment liant dans l’ensemble du quartier. Ce dernier donnera une touche d’éclat et de vivacité afin de caractériser et de redorer l’image du lieu en question.

Un pavé uniforme pourrait relier l’espace piéton, cyclable et automo-bile afin que l’espace partagé devi-enne plus attrayant et simple à uti-liser. De plus, celui-ci pourrait sortir de l’ordinaire afin de personnaliser davantage le Quartier des Grands Jar-dins. Plusieurs villes possèdent un pavé qui leur est propre et c’est cela qui les rend unique. Montréal devrait avoir sa propre signature minérale.

Ce projet réalisé en Angleterre démontre bien l’ambiance vivante et colorée que nous voulons donner au lieu. Le jeu des lumières intégré au mobilier urbain procure une certaine sécurité et est hors du commun pour le quartier. Une réalisation comme celle-ci pourrait caractériser l’endroit.

Ce précédent provenant de To-ronto montre l’image d’un quartier revitalisé au grand complet. Ce derni-er a été revu de A à Z afin d’avoir une meilleure intégration entre les bien et moins bien nantis. La stratégie de verd-issement du quartier de East Bayfront à Toronto est forte et représente le futur.

Ouverture

Ouverture

Ouverture

Convivialite

Verdissement

Verdissement

Mixite

MixiteSecurite

Securite

SecuriteSocialisation

Activites

Pietonisation

Pietonisation

Partage

Partage

Partage

APA 3352 - Aménagement du paysage urbain - Peter Jacobs & Nicole Valois, Jonathan Cha et Georges-Étienne Parent - Stratégie de verdissement - Nancy Bond, émilie Guénette et Maude Roy

Maude Roy

Source: Émilie Guénette

Source: Émilie Guénette

Source: Émilie Guénette

l

Notre stratégie globale préliminaire consiste à la consolidation de l’identité du quartier. Elle s’appuie principalement sur deux des pôles les plus significatifs du quartier. L’artère prédominante, la rue Sainte-Catherine, relie ces deux pôles d’Est en Ouest. Des liens s’étendront éventuellement dans toutes les directions afin de relier le quartier aux secteurs adjacents.

Des aménagements verts ponctuels permettront de consolider et d’intégrer le quartier à l’axe principal, ou l’on retoruve l’ensemble des activités importantes. le quartier à l’axe prin-cipal, ou l’on retrouve l’ensemble des activités importantes.

http://www.landezine.com/index.php/2011/02/choorstraat-papenhulst-by-buro-lubbers/

http://www.marthaschwartz.com/projects/javits.html

http://www.waterfrontoronto.ca/explore_projects2/east_bayfront

http://stockley.co.uk/our-work/west-bromwich-town-squarehttp://www.bustler.net/index.php/article/ahbe_landscape_architect

COURS/ APA 3352 - Aménagement du paysage urbain

PÉRIODE/ Hiver 2012

MANDATProposer des idées inspirantes de réaménagement pour le Quartier des grands jardins

DESCRITPTIONMa stratégie globale consiste à consolider l’identité du quartier.

Elle s’appuie principalement sur deux des pôles les plus significatifs du quartier: l’artère prédominante, la rue Sainte-Catherine, qui relie ces deux pôles d’Est en Ouest.

Des liens s’étendent dans toutes les directions afin de relier le quartier aux secteurs adjacents.

Des aménagements verts ponctuels permettent de consolider et d’intégrer le quartier à l’axe principal, ou l’on retrouve l’ensemble des activités importantes.

I D E E SVERTES

Notre perspective représente l’ambiance que nous voulons recréer dans le Quartier des Grands Jardins. Une ambiance dynamique et jeune qui sera adéquate pour ce secteur dans un futur proche!

Square CabotÀ ouvrir vers l’extérieur pour ré-gler les problèmes de sécurité, d’itinérance et d’activités illicites

Vues vers le Mont-Royal À privilégier pour relier le Quarti-er aux secteurs adjacents, même si c’est juste de manière visuelle

Université Concordia Modèle à équilibrer avec le pôle opposé, donc le square cabot

Rue Sainte-CatherineAxe principal reliant les deux pôles d’activité principaux VerdissementMobilier urbainTerrasses Rue + trottoir au même niveauActivités de rue

A

A

B

B

C

C

D

D

E

E

F

F

Ce projet réalisé en Hol-lande est inspirant par l’utilisation de l’eau et par la linéarité du de-sign qui est simple et efficace.

La topologie du terrain pourrait être exploitée au moyen de baissières ou autres techniques reliées à la ré-cupération de l’eau en milieu urbain.

Nous cherchons à avoir un élé-ment liant dans l’ensemble du quartier. Ce dernier donnera une touche d’éclat et de vivacité afin de caractériser et de redorer l’image du lieu en question.

Un pavé uniforme pourrait relier l’espace piéton, cyclable et automo-bile afin que l’espace partagé devi-enne plus attrayant et simple à uti-liser. De plus, celui-ci pourrait sortir de l’ordinaire afin de personnaliser davantage le Quartier des Grands Jar-dins. Plusieurs villes possèdent un pavé qui leur est propre et c’est cela qui les rend unique. Montréal devrait avoir sa propre signature minérale.

Ce projet réalisé en Angleterre démontre bien l’ambiance vivante et colorée que nous voulons donner au lieu. Le jeu des lumières intégré au mobilier urbain procure une certaine sécurité et est hors du commun pour le quartier. Une réalisation comme celle-ci pourrait caractériser l’endroit.

Ce précédent provenant de To-ronto montre l’image d’un quartier revitalisé au grand complet. Ce derni-er a été revu de A à Z afin d’avoir une meilleure intégration entre les bien et moins bien nantis. La stratégie de verd-issement du quartier de East Bayfront à Toronto est forte et représente le futur.

Ouverture

Ouverture

Ouverture

Convivialite

Verdissement

Verdissement

Mixite

MixiteSecurite

Securite

SecuriteSocialisation

Activites

Pietonisation

Pietonisation

Partage

Partage

Partage

APA 3352 - Aménagement du paysage urbain - Peter Jacobs & Nicole Valois, Jonathan Cha et Georges-Étienne Parent - Stratégie de verdissement - Nancy Bond, émilie Guénette et Maude Roy

Maude Roy

Source: Émilie Guénette

Source: Émilie Guénette

Source: Émilie Guénette

l

Notre stratégie globale préliminaire consiste à la consolidation de l’identité du quartier. Elle s’appuie principalement sur deux des pôles les plus significatifs du quartier. L’artère prédominante, la rue Sainte-Catherine, relie ces deux pôles d’Est en Ouest. Des liens s’étendront éventuellement dans toutes les directions afin de relier le quartier aux secteurs adjacents.

Des aménagements verts ponctuels permettront de consolider et d’intégrer le quartier à l’axe principal, ou l’on retoruve l’ensemble des activités importantes. le quartier à l’axe prin-cipal, ou l’on retrouve l’ensemble des activités importantes.

http://www.landezine.com/index.php/2011/02/choorstraat-papenhulst-by-buro-lubbers/

http://www.marthaschwartz.com/projects/javits.html

http://www.waterfrontoronto.ca/explore_projects2/east_bayfront

http://stockley.co.uk/our-work/west-bromwich-town-squarehttp://www.bustler.net/index.php/article/ahbe_landscape_architect

I D E E SVERTES

Notre perspective représente l’ambiance que nous voulons recréer dans le Quartier des Grands Jardins. Une ambiance dynamique et jeune qui sera adéquate pour ce secteur dans un futur proche!

Square CabotÀ ouvrir vers l’extérieur pour ré-gler les problèmes de sécurité, d’itinérance et d’activités illicites

Vues vers le Mont-Royal À privilégier pour relier le Quarti-er aux secteurs adjacents, même si c’est juste de manière visuelle

Université Concordia Modèle à équilibrer avec le pôle opposé, donc le square cabot

Rue Sainte-CatherineAxe principal reliant les deux pôles d’activité principaux VerdissementMobilier urbainTerrasses Rue + trottoir au même niveauActivités de rue

A

A

B

B

C

C

D

D

E

E

F

F

Ce projet réalisé en Hol-lande est inspirant par l’utilisation de l’eau et par la linéarité du de-sign qui est simple et efficace.

La topologie du terrain pourrait être exploitée au moyen de baissières ou autres techniques reliées à la ré-cupération de l’eau en milieu urbain.

Nous cherchons à avoir un élé-ment liant dans l’ensemble du quartier. Ce dernier donnera une touche d’éclat et de vivacité afin de caractériser et de redorer l’image du lieu en question.

Un pavé uniforme pourrait relier l’espace piéton, cyclable et automo-bile afin que l’espace partagé devi-enne plus attrayant et simple à uti-liser. De plus, celui-ci pourrait sortir de l’ordinaire afin de personnaliser davantage le Quartier des Grands Jar-dins. Plusieurs villes possèdent un pavé qui leur est propre et c’est cela qui les rend unique. Montréal devrait avoir sa propre signature minérale.

Ce projet réalisé en Angleterre démontre bien l’ambiance vivante et colorée que nous voulons donner au lieu. Le jeu des lumières intégré au mobilier urbain procure une certaine sécurité et est hors du commun pour le quartier. Une réalisation comme celle-ci pourrait caractériser l’endroit.

Ce précédent provenant de To-ronto montre l’image d’un quartier revitalisé au grand complet. Ce derni-er a été revu de A à Z afin d’avoir une meilleure intégration entre les bien et moins bien nantis. La stratégie de verd-issement du quartier de East Bayfront à Toronto est forte et représente le futur.

Ouverture

Ouverture

Ouverture

Convivialite

Verdissement

Verdissement

Mixite

MixiteSecurite

Securite

SecuriteSocialisation

Activites

Pietonisation

Pietonisation

Partage

Partage

Partage

APA 3352 - Aménagement du paysage urbain - Peter Jacobs & Nicole Valois, Jonathan Cha et Georges-Étienne Parent - Stratégie de verdissement - Nancy Bond, émilie Guénette et Maude Roy

Maude Roy

Source: Émilie Guénette

Source: Émilie Guénette

Source: Émilie Guénette

l

Notre stratégie globale préliminaire consiste à la consolidation de l’identité du quartier. Elle s’appuie principalement sur deux des pôles les plus significatifs du quartier. L’artère prédominante, la rue Sainte-Catherine, relie ces deux pôles d’Est en Ouest. Des liens s’étendront éventuellement dans toutes les directions afin de relier le quartier aux secteurs adjacents.

Des aménagements verts ponctuels permettront de consolider et d’intégrer le quartier à l’axe principal, ou l’on retoruve l’ensemble des activités importantes. le quartier à l’axe prin-cipal, ou l’on retrouve l’ensemble des activités importantes.

http://www.landezine.com/index.php/2011/02/choorstraat-papenhulst-by-buro-lubbers/

http://www.marthaschwartz.com/projects/javits.html

http://www.waterfrontoronto.ca/explore_projects2/east_bayfront

http://stockley.co.uk/our-work/west-bromwich-town-squarehttp://www.bustler.net/index.php/article/ahbe_landscape_architect

I D E E SVERTES

Notre perspective représente l’ambiance que nous voulons recréer dans le Quartier des Grands Jardins. Une ambiance dynamique et jeune qui sera adéquate pour ce secteur dans un futur proche!

Square CabotÀ ouvrir vers l’extérieur pour ré-gler les problèmes de sécurité, d’itinérance et d’activités illicites

Vues vers le Mont-Royal À privilégier pour relier le Quarti-er aux secteurs adjacents, même si c’est juste de manière visuelle

Université Concordia Modèle à équilibrer avec le pôle opposé, donc le square cabot

Rue Sainte-CatherineAxe principal reliant les deux pôles d’activité principaux VerdissementMobilier urbainTerrasses Rue + trottoir au même niveauActivités de rue

A

A

B

B

C

C

D

D

E

E

F

F

Ce projet réalisé en Hol-lande est inspirant par l’utilisation de l’eau et par la linéarité du de-sign qui est simple et efficace.

La topologie du terrain pourrait être exploitée au moyen de baissières ou autres techniques reliées à la ré-cupération de l’eau en milieu urbain.

Nous cherchons à avoir un élé-ment liant dans l’ensemble du quartier. Ce dernier donnera une touche d’éclat et de vivacité afin de caractériser et de redorer l’image du lieu en question.

Un pavé uniforme pourrait relier l’espace piéton, cyclable et automo-bile afin que l’espace partagé devi-enne plus attrayant et simple à uti-liser. De plus, celui-ci pourrait sortir de l’ordinaire afin de personnaliser davantage le Quartier des Grands Jar-dins. Plusieurs villes possèdent un pavé qui leur est propre et c’est cela qui les rend unique. Montréal devrait avoir sa propre signature minérale.

Ce projet réalisé en Angleterre démontre bien l’ambiance vivante et colorée que nous voulons donner au lieu. Le jeu des lumières intégré au mobilier urbain procure une certaine sécurité et est hors du commun pour le quartier. Une réalisation comme celle-ci pourrait caractériser l’endroit.

Ce précédent provenant de To-ronto montre l’image d’un quartier revitalisé au grand complet. Ce derni-er a été revu de A à Z afin d’avoir une meilleure intégration entre les bien et moins bien nantis. La stratégie de verd-issement du quartier de East Bayfront à Toronto est forte et représente le futur.

Ouverture

Ouverture

Ouverture

Convivialite

Verdissement

Verdissement

Mixite

MixiteSecurite

Securite

SecuriteSocialisation

Activites

Pietonisation

Pietonisation

Partage

Partage

Partage

APA 3352 - Aménagement du paysage urbain - Peter Jacobs & Nicole Valois, Jonathan Cha et Georges-Étienne Parent - Stratégie de verdissement - Nancy Bond, émilie Guénette et Maude Roy

Maude Roy

Source: Émilie Guénette

Source: Émilie Guénette

Source: Émilie Guénette

l

Notre stratégie globale préliminaire consiste à la consolidation de l’identité du quartier. Elle s’appuie principalement sur deux des pôles les plus significatifs du quartier. L’artère prédominante, la rue Sainte-Catherine, relie ces deux pôles d’Est en Ouest. Des liens s’étendront éventuellement dans toutes les directions afin de relier le quartier aux secteurs adjacents.

Des aménagements verts ponctuels permettront de consolider et d’intégrer le quartier à l’axe principal, ou l’on retoruve l’ensemble des activités importantes. le quartier à l’axe prin-cipal, ou l’on retrouve l’ensemble des activités importantes.

http://www.landezine.com/index.php/2011/02/choorstraat-papenhulst-by-buro-lubbers/

http://www.marthaschwartz.com/projects/javits.html

http://www.waterfrontoronto.ca/explore_projects2/east_bayfront

http://stockley.co.uk/our-work/west-bromwich-town-squarehttp://www.bustler.net/index.php/article/ahbe_landscape_architect

I D E E SVERTES

Notre perspective représente l’ambiance que nous voulons recréer dans le Quartier des Grands Jardins. Une ambiance dynamique et jeune qui sera adéquate pour ce secteur dans un futur proche!

Square CabotÀ ouvrir vers l’extérieur pour ré-gler les problèmes de sécurité, d’itinérance et d’activités illicites

Vues vers le Mont-Royal À privilégier pour relier le Quarti-er aux secteurs adjacents, même si c’est juste de manière visuelle

Université Concordia Modèle à équilibrer avec le pôle opposé, donc le square cabot

Rue Sainte-CatherineAxe principal reliant les deux pôles d’activité principaux VerdissementMobilier urbainTerrasses Rue + trottoir au même niveauActivités de rue

A

A

B

B

C

C

D

D

E

E

F

F

Ce projet réalisé en Hol-lande est inspirant par l’utilisation de l’eau et par la linéarité du de-sign qui est simple et efficace.

La topologie du terrain pourrait être exploitée au moyen de baissières ou autres techniques reliées à la ré-cupération de l’eau en milieu urbain.

Nous cherchons à avoir un élé-ment liant dans l’ensemble du quartier. Ce dernier donnera une touche d’éclat et de vivacité afin de caractériser et de redorer l’image du lieu en question.

Un pavé uniforme pourrait relier l’espace piéton, cyclable et automo-bile afin que l’espace partagé devi-enne plus attrayant et simple à uti-liser. De plus, celui-ci pourrait sortir de l’ordinaire afin de personnaliser davantage le Quartier des Grands Jar-dins. Plusieurs villes possèdent un pavé qui leur est propre et c’est cela qui les rend unique. Montréal devrait avoir sa propre signature minérale.

Ce projet réalisé en Angleterre démontre bien l’ambiance vivante et colorée que nous voulons donner au lieu. Le jeu des lumières intégré au mobilier urbain procure une certaine sécurité et est hors du commun pour le quartier. Une réalisation comme celle-ci pourrait caractériser l’endroit.

Ce précédent provenant de To-ronto montre l’image d’un quartier revitalisé au grand complet. Ce derni-er a été revu de A à Z afin d’avoir une meilleure intégration entre les bien et moins bien nantis. La stratégie de verd-issement du quartier de East Bayfront à Toronto est forte et représente le futur.

Ouverture

Ouverture

Ouverture

Convivialite

Verdissement

Verdissement

Mixite

MixiteSecurite

Securite

SecuriteSocialisation

Activites

Pietonisation

Pietonisation

Partage

Partage

Partage

APA 3352 - Aménagement du paysage urbain - Peter Jacobs & Nicole Valois, Jonathan Cha et Georges-Étienne Parent - Stratégie de verdissement - Nancy Bond, émilie Guénette et Maude Roy

Maude Roy

Source: Émilie Guénette

Source: Émilie Guénette

Source: Émilie Guénette

l

Notre stratégie globale préliminaire consiste à la consolidation de l’identité du quartier. Elle s’appuie principalement sur deux des pôles les plus significatifs du quartier. L’artère prédominante, la rue Sainte-Catherine, relie ces deux pôles d’Est en Ouest. Des liens s’étendront éventuellement dans toutes les directions afin de relier le quartier aux secteurs adjacents.

Des aménagements verts ponctuels permettront de consolider et d’intégrer le quartier à l’axe principal, ou l’on retoruve l’ensemble des activités importantes. le quartier à l’axe prin-cipal, ou l’on retrouve l’ensemble des activités importantes.

http://www.landezine.com/index.php/2011/02/choorstraat-papenhulst-by-buro-lubbers/

http://www.marthaschwartz.com/projects/javits.html

http://www.waterfrontoronto.ca/explore_projects2/east_bayfront

http://stockley.co.uk/our-work/west-bromwich-town-squarehttp://www.bustler.net/index.php/article/ahbe_landscape_architect

I D E E SVERTES

Notre perspective représente l’ambiance que nous voulons recréer dans le Quartier des Grands Jardins. Une ambiance dynamique et jeune qui sera adéquate pour ce secteur dans un futur proche!

Square CabotÀ ouvrir vers l’extérieur pour ré-gler les problèmes de sécurité, d’itinérance et d’activités illicites

Vues vers le Mont-Royal À privilégier pour relier le Quarti-er aux secteurs adjacents, même si c’est juste de manière visuelle

Université Concordia Modèle à équilibrer avec le pôle opposé, donc le square cabot

Rue Sainte-CatherineAxe principal reliant les deux pôles d’activité principaux VerdissementMobilier urbainTerrasses Rue + trottoir au même niveauActivités de rue

A

A

B

B

C

C

D

D

E

E

F

F

Ce projet réalisé en Hol-lande est inspirant par l’utilisation de l’eau et par la linéarité du de-sign qui est simple et efficace.

La topologie du terrain pourrait être exploitée au moyen de baissières ou autres techniques reliées à la ré-cupération de l’eau en milieu urbain.

Nous cherchons à avoir un élé-ment liant dans l’ensemble du quartier. Ce dernier donnera une touche d’éclat et de vivacité afin de caractériser et de redorer l’image du lieu en question.

Un pavé uniforme pourrait relier l’espace piéton, cyclable et automo-bile afin que l’espace partagé devi-enne plus attrayant et simple à uti-liser. De plus, celui-ci pourrait sortir de l’ordinaire afin de personnaliser davantage le Quartier des Grands Jar-dins. Plusieurs villes possèdent un pavé qui leur est propre et c’est cela qui les rend unique. Montréal devrait avoir sa propre signature minérale.

Ce projet réalisé en Angleterre démontre bien l’ambiance vivante et colorée que nous voulons donner au lieu. Le jeu des lumières intégré au mobilier urbain procure une certaine sécurité et est hors du commun pour le quartier. Une réalisation comme celle-ci pourrait caractériser l’endroit.

Ce précédent provenant de To-ronto montre l’image d’un quartier revitalisé au grand complet. Ce derni-er a été revu de A à Z afin d’avoir une meilleure intégration entre les bien et moins bien nantis. La stratégie de verd-issement du quartier de East Bayfront à Toronto est forte et représente le futur.

Ouverture

Ouverture

Ouverture

Convivialite

Verdissement

Verdissement

Mixite

MixiteSecurite

Securite

SecuriteSocialisation

Activites

Pietonisation

Pietonisation

Partage

Partage

Partage

APA 3352 - Aménagement du paysage urbain - Peter Jacobs & Nicole Valois, Jonathan Cha et Georges-Étienne Parent - Stratégie de verdissement - Nancy Bond, émilie Guénette et Maude Roy

Maude Roy

Source: Émilie Guénette

Source: Émilie Guénette

Source: Émilie Guénette

l

Notre stratégie globale préliminaire consiste à la consolidation de l’identité du quartier. Elle s’appuie principalement sur deux des pôles les plus significatifs du quartier. L’artère prédominante, la rue Sainte-Catherine, relie ces deux pôles d’Est en Ouest. Des liens s’étendront éventuellement dans toutes les directions afin de relier le quartier aux secteurs adjacents.

Des aménagements verts ponctuels permettront de consolider et d’intégrer le quartier à l’axe principal, ou l’on retoruve l’ensemble des activités importantes. le quartier à l’axe prin-cipal, ou l’on retrouve l’ensemble des activités importantes.

http://www.landezine.com/index.php/2011/02/choorstraat-papenhulst-by-buro-lubbers/

http://www.marthaschwartz.com/projects/javits.html

http://www.waterfrontoronto.ca/explore_projects2/east_bayfront

http://stockley.co.uk/our-work/west-bromwich-town-squarehttp://www.bustler.net/index.php/article/ahbe_landscape_architect

stratégie de verdissement

Page 12: Portfolio académique

maude royBJARKE INGELS L’ARCHITECTEEEEEEE EE EEEEEEEEEEEEE EE EEEEEEEEEEEE EEE

BJARKE INGELS L’ARCHITECTEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE EEEEkE EEEEEE, EE EEchiEEcEE EEEEiE EEEE EE EEEEE EEEEEEiEE EEEEEEE EEEEiE EEEEEEEE EEEEEE EEE EEEEEEE iEEEvEEEEEE EEi EEEEEE EEEEiEEEEEEE EEE iEEEcEE EEEEEEE EE EivEEE iEEEEEEEEEEE EEE E’EEEEEEEEEEE fEEEE EE EEEEEEE. JE EE EEcEiEEi EEE EE EEEEiE EEE EEEvEEE EEEf EEEE iEEEEEEEE EEE EEEEEE. JE EEEEEEEi EEEEEfEiE EE EEEEEEEEE EE EEEi EEE EEEEEEE chEEEEEEEE, EEEEE EEi, EE fEçEE E’EEEEEEE E’EEchiEEcEEEE EE EE EEEEEEE EEEE EEE EEEEEE à vEEiE. EEEEkE EEEEEE EccEEEE EEE iEEEEEEEcE EEEEEEiEEEEE EEEE EEE EEEvEEE EE EEEEEEchEEEEE EEciEE EEEEE EEE iEEiviEEE EE à E’EEEEEiEEcE EEEEEEiEEEE EEE cEE EEEEEiEEEEiEEE vivEEE. EiEE EEE cEE EEEEEEEE EE EEiEEE EEE EEE iEEEvEEEE EE EEi, EE EEEièEE EEiEEE EEEE iE EEE EEvEEEEEE EE EEE EEE. E’EEEEE EEEEEE EE cœEE EEE EEEEccEEEEEEE EE E’EEchiEEcEE EEE E’EEEiEEEEE E’EEE EEEEEchE EE EEvEEEEEEEEEE EEEEEEE EEEE EEEichiE EEE EEEEEEEE EEciEEEE. EEEE EEE EEE EEEEièEEE fEiE EEEE EE EEEEiEE, iE EEEEE EE EEttEE EE EEvEEEEEEEEEE EEEEEEE EE EEEvicE EEE ciEEEEEE EE EEE EE cEEEEEiEE, EfiE E’EEEEiEEEE EE EEEEiEE EE viE EcEEEEEE EEE ciEEEiEE.

1) EfiE E’EEEEiEEEE EE EEEEiEE EE viE EEE EEEEiEE EE EE cEEEEEiEEE EEEE EEEiEiE, EEEEkE E cEEçE EEE EEEvEEEE EhiEEEEEhiE EEi iEEèEEE EE EEvEEEEEEEEEE EEEEEEE, EE hEEEEiEEc EEEEEEiEiEiEiEE. EE EEE E’EviE EEE EE EEvEEEEEEEEEEE EEEEEEE EccEEE EEE EEEcE EEEEEvE EEEE EE EEEEEE EEEEEEiEE EEEcE EEE EEE EEcEificEE EEE E’EE EEiE fEiEE EEEE E’EEEEiEEEE EEEE EEEE EEEEEE EE E’EE EEiE EEiEEEE EE EEEEiEE EE EEEEE EivEEE EE viE. EE EEEEEEEE EE EEvEEEEEEEEEE EEEEEEE EEvEEiE EE cEEEEEiEE êEEE vEE cEEEE EEE EEEEEEEEiEE EE EEEEEiEE EEEEôE EEE cEEEE EE fEEiE EE EEvEEEEEEEEEE. À EEEE E’EEEEEEE, EE EEEEEEvE EEE EEEiEEEEE iEEEEEEEEE EEEEEE vEEEE à CEEEEhEEEE, Eù 37% EEE EEEiEEEEE EEEiEEEE cE EEEE EE EEEEEEEEE EEEEEEEEf EfiE EE EE EEEEEE EE EEEvEiE à EEEE EEE EEEEE. CEEE EEEEiE cEEEiEEEEEEEEEEE EE EEEfic EEEEEEEiEE EE iE EEEEiE iEEEEEEEEEE E’iEEEiEEE à EEEi EEEEEEEEEEEiE EEEEEEEE EEEE EE EEE cEEEEEEE! EE E’EEiE E’EE EEEEEEE cEEcEEE EE cE EEE EEEE EvEiE EE EEvEEEEEEEEEE EEEEEEE EE EEEEE E’iEEEcEE EEE EE EEEEiEE EE viE EEE ciEEEiEE.

2) EEEEEE EEôEE EEEEEEEEE E’iEEE EEE E’EEEEEE EEEEE E’EEchiEEcEEEE EE E’EEchiEEcEEEE EE EEEEEEE EEEvEEE cEEEEiEEEE EEEEEEEE, à E’EiEE EE EE EEchEEEEEiE EE EEE, à EEEEEttEE EEE cEEEEEEiEEEEE EEE E’hEEEiE. NEEEEEEEE, EE E’EttEEEEEE à EE EEEEEèEE EEE EEE EEE EEEEEEEEEE, EE EEEEEEiE cEEEiEEEEE EEE EEEEEEEEEEEEE EEi fEvEEiEEEE E’iEEEEEcEEE EEciEEE, EEE EEE EEE EiEEEE EE EEEiE EE E’EEEEEEE, EEi EEEE EEEE EEcEiEEE à cEEEE EEE EcEviEEE EichEE EEciEEEEEEE, cEEEEEiEEEEEE à E’EEEiEEEEE EE EE vEiEEEE, EEEvEEE fEiEE EE EEEièEE iEEEEE. EE EEE EEEEEE EEEEEEE EE EEG (EEEEkE EEEEEE GEEEE), 8hEEEE, iEEèEEE EEEE EE EEificE EE EEEEEEE,EEEEEEE, EEEE cE cEE EEE EEEEEEEE, EEEEEttEEE EiEEi EEE EEEE EE EEEchEE EE EE EE EEEEEE EE EicEcEEttE EEEEE’EE 10E EEEEE EE EEEE EEEiEEEcE! CE EEEEEE EvEiE EEE EEEEiEE EEiEE EE cEEEEEE EE EEEEkE EEE EEE EEfEEEE vivEEE à EEE EEEEEE EEEEEEEEE EE 3E EEEEEEEiEEE iEEEEE cEE iEE EE EEvEEEEEEiEEE EEE E’hEEiEEEE EE EEEcEEEEE EE EE EEEEE EE EEzEEEEchEEEEEE EvEc EEE EEEEEE EE EEEE âEE. DEEE cE cEEEci, EEE EEEEEE EEEvEEE EiEEEEEEEE EEEEE EE chEz EEE EE EEEEE EvEc EEEE vEiEiEE EE EEEièEE EEEE à fEiE EEEEEEEEE. DE EEEE, cE EEEEEE EEEiE EE EEEEEEEiE EEE EEiEEEE EEEEiEEE EvEc EE EEEEE EEEEiEE, EEi EEEEEEEEEEEE EE EEEEcE EEEciEfiEEEfiEEE EEE EEEEEEE E’EEEEEE. EE EEEEEEE EEE iEEEEEcEEE EEvEEEEEEE EEE EEE EiècE EEivEE EEE EEEiEEEEE EEi EEviEEE EEEiEEEivEE, fEiEEEE EE EEEEE EEE EEE EEEE EEE EccèE EE EEEE EEEEE à EEE iEEEEEcEEEE EEciEEEE EEEEEEEEEE EvEc EEEEE EEiEE EEEE cEE EiècEE EE côEEEEEE. EE E EEEEEEvE EEEEEEEEE EE EEEEEEEEEE EEEEEEE EE EEE EEEEEE EEEEEEE. CEEE EEEEEE cEEEEEEEE EE EEEEEEE EE EEèE EEEEEE iEEEEEEEcE cEE EEEEEE cEEEiEèEE EEE E’EEEEEEE vEEEEEE EEEEEE EE EccEEiEEEEEEE EE EE vEEEEE E’EE EiEE EE EE EE EEEEiEiEiEE E’EEEEEEE EEE iEEEEEcEEEE EEciEEEE EEâcE EE EEEEEEEE EE EiEEEêEEE cEEE EEE E’iEEEiEE EE EiEE.

3) EE EEEEEE EEEEE, EEEEE à EEi, EEEEEEE «E cEEEEEEEE EEEEE EEEEE whEEE EEEEEE EEE EE EEEEEE cEEEEEEEEE EE EivE iE EhE EEEEkiEEE EEE cEEEEEEE iEEE EEwEEEwE CEEEEhEEEE EEE EEck EEE EEEiE». E’EEEEEEE EEiEciEEE, EE EEEE, cEEE EEE cEEEEcEEE EEEEE EEE iEEiviEEE EE EEEEiE à EE EEEEEèEE EEEEEE à CEEEEhEEEE, EE EEEEEEEEhiE fEiEEE. EE EEEEE EE EEEivEEE cEEEEEEiE iEEEEEEEEEE, EEE EEEiEEEEE EEEvEEE EvEiE EccèE à EEE vEE EE EEEEEEE, cE EEE E’EE EEEEEEvE EEEEEEEE EEE E’EEEEEEEE EE EE viEEE. DE EEEE, EE EE EEEEEEvEEE à E’iEEEEiEEE EEE EEEEE cEEEE EEEE EE EEEE, EE EEE EEEEEEE EEE iEEEEEEEiEE EE EEE EEEEEEEE EEEEiEEE E EEEE iEEEEEEiEEEEEE EfiE EE EEcEEEEEE EEE EEEEEiE iEEEEiEEEEE. CEEE EEEEEE EEEEEEEEE EEE EccEEEEEE E’EvEiE EEE iEEEEEcEEE EccEEE EvEc EEE EEEEEE iEEiviEEE EE’iEE côEEiEEE.

EEEECEE EEEEkE EEEEEE EEEEvE EEE EEE EEEEEEE, EE’iE EEE à E’EvEEEEEEEEE EEE EEchiEEcEEE EE EEE EEEEEE, EEEE cEEEE EEEEEEE iE E E EEEEEEEE EEEEEE, EEi E EE EEE iEflEEEcE cEEEiEEEEEEE à E’EEEEEE EE EE EEvEEEEEEE iEEEEEEiEEEE EEEEicEiEE EEE EE EEEEEEE EEâcE à EEE EccEEEiEiEiEE EccEEE EEEE EEE cEEEEEE EEciEEEE EEfEEvEEiEEEE à EEE vEEEEE EEEEcEE vEEEE fEvEEiEEEE EEE EchEEEEE EEciEEE. EEEE EE EccEEEEEE EEE iEEEEEEEcE cEEEiEEEEEEE EE EEEEEEE EEEE EEE EEEEiEEEEEE, E’EEchiEEcEE EEEEiE iEEèEEE EEEEEEEEE EE vEEEEE EEE EEEEEEEEE EEciEEEE. EE EEE E’EviE EEE EEE ciEEEEEE EEE EvEEEEEE à EEEfiEEE E’EE EiEiEE EEEE EEEEEE E’EEviEEEEEEEEEE’EEviEEEEEEEEE EEEEEEE EEE EEEEEEE. SE viEiEE EE E’EvEEiE EEE EEEEiEEE EE EEEiEEEEE : EE EEiE EEEEEEttEE EE EEEE EEciEE EichE EE EEvEEEEEE EEEE EEEE cE EEE E’EE cEEE EEE E’iEEEEEEEEE EE EEvEEEEEEEEEE EEEEEEE EfiE E’EEEEiEEEE EE EEEEiEE EE viE EEE ciEEEEEE. SEE EEEEEEE EE EEEEiEEEEEE EEE EEE EEcEEEEEE EE EEEEEciEEE EEEE EE EEEEEEEE EEEE iEcEEEEE EE DEEEEEEk, EE ScEEEiEEviE Eù EE EEEEEEEEE EEE EEEEcEEièEEEEEEE EEvEEEE E’EEEEiE EE EEiEE EE vEE EEchiEEcEEEEE. EE EEEEEEE à EE EEEEE EEiEEEEEEE, EEE EE EEvEiE Ei E’EEEEiEEE EE NEEE EEE EEêEE à EccEEiEEiE EE EEEEEE EEEEiEEEEEE. JE EEiE E’EviE EE’EEE viEEE cEEEE EEEEEEEEEEEEEE EEEEEEiE EEEEiEEEE EEE EEiEciEEE EE cEE EEchiEEcEE EfiE E’EccEEîEEE EE EEEEiEE EEchiEEcEEEEE EE EEEEEEEèEE E’EEE viEEE EEcEEEEE EEEEiEEEEEEE EE EEEE EEE EEEEEEEEE EE EEEiEE.

2001 EEE 2003 HEEEiEE EEEEEE EEizE

2002 NEkEEEiEE EEchiEEcEEEE EEizE

2003 ScEEEEEEE DEEiEE EwEEE

2004 EE+E EwEEE fEE EhE EEEiEEE YEEEh HEEEE

2004 GEEEEE EiEE, VEEicE EiEEEEEE

2006 FEEEE EED EwEEE, EEEE EEiEEiEE iE ScEEEiEEviE

2007 EiEE vEE EEE EEhE EwEEE EEEvEEiEE EEhiEiEEE 2007 EiEE vEE EEE EEhE EwEEE EEEvEEiEE EEhiEiEEE

2007 CEEEEEcE WEEEE EwEEE fEE EEEE EEEEEiEE

2008 FEEEE EED EwEEE fEE EEEE EEiEEiEE iE ScEEEiEEviE

2008 WEEEE EEchiEEcEEEE FEEEvEE fEE EEEE EEEiEEEEEE EEiEEiEE

2009 EEE EwEEE fEE EEcEEEEEcE

2009 EEEEE EwEEE fEE EEEE EEEiEEEEEE EEvEEEEEEEE

2011 DEEiEh CEEwE EEiEcE CEEEEE'E CEEEEEE EEizE

COURS/ APA 4150 Problématique et enjeux du paysage

PÉRIODE/ Automne 2011

MANDATProduire une affiche présentant un personnage ou une invention avant-gardiste et contribuant à enrichir le domaine du design.

bjarke ingels

Page 13: Portfolio académique

maude roy

COURS/ APA 3351 Espace régional

PÉRIODE/ Automne 2011

MANDATDéterminer une problématique dans le secteur des îles de Berthier en termes d’aménagement.

Proposer des idées pour revitaliser la municipalité en fonction de cette problématique.

DESCRIPTIONDans le cadre de ce travail, j’ai élaboré plusieurs haltes cyclistes en fonction des espaces inutilisés des îles à proximité de la piste cyclable déjà existante.

de plus, on y retrouve plusieurs expériences exceptionnelles et adaptées au lieu, soit des parcours à travers les champs et qui traversent le lac permettant ainsi de relier deux rives importantes.

réseau cyclable des îles de berthier

Page 14: Portfolio académique

maude roy

COURS/ APA 2200 Matériaux et assemblages

PÉRIODE/ Automne 2010

MANDATÉlaborer la conception d’un pavillon, choisir les matériaux nécessaires et décider de la méthode d’assemblage.

DESCRIPTIONLe pavillon est inspiré du style architectural de Frank Lloyd Wright. Ainsi, on peut clairement y voir des formes horizontales et un toit presque complètement plat, même s’il est légèrement incliné afin de permettre à la neige ou à la pluie de s’écouler du côté descendant de l’abri en période de précipitation ou d’accumulation de neige importante. j’ai utilisé deux types de matériaux distincts soit l’acier et la vitre. Les poteaux sont des profilés d’acier laminés à chaud soudés de type HSS rectangulaires de 127mm par 76,2mm par 5,33mm alors que les solives sont des profilés d’acier laminés à chaud soudés de type HSS rectangulaires de 101,6mm par 76,2mm par 3,05mm. Le toit de l’abri, également en acier préfabriqué mesure 6000 mm par 4013mm et a une épaisseur de 3mm. la pièce de vitre arrière est d’une dimension de 2885mm par 2177mm alors que la pièce latérale la plus haute mesure 2694mm par 1786mm et la plus basse 2236mm par 1786mm. Les poteaux et poutres sont préfabriqués en usine. Le toit de l’abri est aussi préfabriqué ainsi que les pièces de vitre. Les poutres de support sont soudées en usine sur la plaque d’acier. Tous les éléments sortant de l’usine sont réacheminés vers le chantier sur un camion plate-forme. Au chantier, les poutres sont assemblées à la plaque d’acier par boulonnage et les parois des vitres sont fixées au pavillon par des pinces FXR 1001A .

pavillon

Page 15: Portfolio académique

maude roy

COURS/ APA 2301 Espaces et équipements publics

PÉRIODE/ Hiver 2011

MANDATRéaménager un stationnement inutilisé en un lieu ludique.

Client: enfants du quartier. Échéancier: deux semaines.Budget : 20 000$

DESCRIPTIONImaginez-vous en plein moins d’août dans un endroit frais, entouré de couleurs d’été tel que le jaune, le vert l’orange... un lieu ou il fait bon s’asseoir, jouer et relaxer, ou le minéral brut fait place à un minéral qui ne l’est déjà plus grâce à la profusion de couleurs et à leur agencement en bandes parallèles rayonnant tel un prisme lumineux vers le ciel.

L’ombre portée de très hauts bâtiments environnants donne un caractère sombre au lieu.

D’ou l’idée de couleurs gaies qui vont “grimper” aux murs pour créer un volume, compenser la hauteur disproportionnée du mur mitoyen et inscrire le site à l’échelle urbaine. Les couleurs se prolongent par delà le mobilier et inscrire le site à l’échelle urbaine. Elles se prolongent également par delà le mobilier et les végétaux. L’intérieur du site est laissé libre pour la tenue d’activités diverses.

réfraction

1ER PRIXL’AGENCE APOLLO