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75 déc. jan. fév. 2012-2013 [ [ MAGAZINE TRIMESTRIEL GRATUIT D’INFORMATION Diffusé à 12 000 exemplaires depuis 1994 4500 CLUBS ET SALLES DE REMISE EN FORME 2000 ASSOCIATIONS SPORTIVES 1100 COLLECTIVITÉS LOCALES 2800 HÔTELS DE LUXE ET DE PRESTIGE 300 INSTITUTS DE BEAUTÉ ÉQUIPÉS DE SPAS 700 COMPLEXES ET CENTRES DE RÉÉDUCATION, DE THALASSOTHÉRAPIE, DE THERMALISME ET DE BIEN-ÊTRE 600 PREMIERS COMITÉS D’ENTREPRISES Nerio Alessandri Président Fondateur Technogym

VLF Magazine n°75

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Magazine trimestriel de la forme, du fitness et du bien-être

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Page 1: VLF Magazine n°75

75déc. jan. fév. 2012-2013

[ [MAGAZINE TRIMESTRIEL GRATUIT D’INFORMATION

Diffusé à 12 000 exemplaires depuis 1994

4500 CLUBS ET SALLES DE REMISE EN FORME 2000 ASSOCIATIONS SPORTIVES 1100 COLLECTIVITÉS LOCALES 2800 HÔTELS DE LUXE ET DE PRESTIGE 300 INSTITUTS DE BEAUTÉ ÉQUIPÉS DE SPAS 700 COMPLEXES ET CENTRES DE RÉÉDUCATION,

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Edit

o Sommaire prestige [6] grand Hôtel Loreamar thalasso spa

OUVertUre [10] Béziers l’atout proximité - Be Aware gym iNAUgUrAtiON [18] technogym Village - the Wellness Campus reNCONtre [20] Karaté traditionnel - Le Corre et l’esprit reNCONtre [24] Franck Hédin - le nouveau Dg de Club Med gym

COMpÉtitiON[28] Compétition Française de pole Dance [34] iNAUgUrAtiON HealthCity Champs Élysées

[36] DiÉtÉtiQUe Les oeufs des alliés vitalité pour tous

[40] prÉVeNtiON Faut-il s’entrainer lorsque l’on est malade ?

[42] iNDOOr Lyon au pied de la montagne

[44] ÉtUDe L’importance des appareils connectés

[46] eN DireCt Des CLUBs Aqualoft : la force traquille

[50] DisCipLiNe « Big Dance » 10 danses en une, c’est énorme

[52] sOiN La « Fish Bodycure » sous le signe du poisson

[54] BiLLet D’HUMeUr Lorsque l’emploi ploie

LE Sport rEmbourSé par La Sécu ?

Une expérience se déroule actuellement à strasbourg soutenue par le Ministère des sports. Des médecins vont pouvoir prescrire sur ordonnance des séances de sport. C’est une aubaine pour le milieu des salles de sports, mais comment faire la distinction entre l’adhésion d’un sportif et celle d’une personne qui présente de réels besoins de «bouger» pour sa santé et qui répondrait à ces critères ? Les structures municipales ou associa-tives en retireront un profit immédiat, le milieu des salles sans structure fédérale ou syndicale n’aura pas de représenta-tivité nationale pour dialoguer avec les pouvoirs publics. il est temps de lancer un appel : soyez unis. Le sport c’est fon-damental pour la vie, les Français sont les derniers européens à pratiquer. Les chiffres parlent d’eux-mêmes, d’après une étude de l’iMAps si on finançait au moins 150e à 10% des patients atteints de diabète, d’insuffisance respiratoire ou de cancer, la sécu pourrait économiser 56,2 Me€ par an. De nombreux comités d’entreprises remboursent déjà des ad-hésions à une fédération sportive.Alors le sport prescrit pour certains malades et donc remboursé par l’Assu-rance Maladie c’est pour demain ? peut-être, l’Académie de médecine a fait cette proposition « coup de tonnerre ».

Hier c’était hier, aujourd’hui unissez-vous pour être plus forts.

toute l’équipe de Vive La Forme vous souhaite une excellente année 2013.

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Magazine trimestriel destiné aux professionnels de la remise en forme et du bien-êtreDiffusé à 12 000 exemplaires en France et Belgique

4500 : Clubs et salles de remise en forme / 2000 : Associations sportives / 1100 : Collectivités locales 2800 : Hôtels de luxe et de prestige / 300 : Instituts de beauté équipés de spas / 700 : Complexes et centres de rééducation, de thalassothérapie, de thermalisme et de bien-être / 600 : premiers comités d’entreprises

75déc.jan.fév. 2012-2013

Revue éditée par Reed Expositions France. Tous droits de reproduction, textes et illustra-tions même partiels restent soumis à l’accord préalable de son directeur de publication… Les opinions ou les prises de position exprimées dans les rédactionnels n’engagent que la seule responsabilité des auteurs. Les manuscrits insérés ne sont pas rendus.

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Directeur de la publication : Louis ALGOUDDirecteur de la rédaction : Philippe GOETHALS

[email protected] - Tél. : 01 47 56 67 05Responsable marketing : Clarisse SABLÉ

[email protected] - Tél. : 01 47 56 67 03Couverture - Crédit photo : TechnogymCrédits Photos : Imagesource - Digitalvision - Photodisc Equipe Rédactionnelle : P. Goethals - F. Koutchinsky - H. Rivera C. Sablé - P. TurbilMaquette : Studio Reed - Frédéric ESCLAUSEPublicité : Florian HUMBERT

[email protected] - Tél. : 01 47 56 67 04Éditeur : REED EXPOSITIONS FRANCE - 52-54 quai de Dion-Bouton CS 80001 - 92806 Puteaux CedexImpression : Imprimé en France par CHIRAT

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LA PERLE DE LA CôTE ATLANTIqUE…Au pied de la Rhune, le Grand Hôtel de Saint-Jean-de-Luz construit en 1909 regarde le large depuis le début du siècle dernier. Hôtel mythique de la Belle Époque, il est devenu “le Palace confidentiel” de cette Côte privilégiée abritée des vents, là où l’océan est plus chaud. Couru pour ses envolées gastronomiques et son service exceptionnel, ce joyau rose et blanc magnifiquement rénové, offre aujourd’hui le luxe d’une Thalasso Spa hors du commun, celle d’un hôtel d’exception sous la direction d’Alain Mourgues.

THALASSO SPA LOREAMAR : 1 000 m2 DE LUxE ET DE BIEN-êTRE !“Fleur d’Océan” en Basque, Loreamar bouscule les codes de la thalasso tradi-tionnelle. Unique en son genre, le centre a choisi de marier aux techniques de bien-être les plus pointues, le luxe et la volupté des vrais spas. De rendez-vous insolites avec les astres en soins des quatre coins du monde, c’est une

philosophie nouvelle qui vous accom-pagne sur le chemin d’une remise en forme personnalisée. Au carrefour de toutes les cultures en matière de soins, ce temple de sérénité a bien sûr choisi de privilégier un élément de base, grâce à son emplacement exceptionnel “les pieds dans le sable” : l’eau de mer ! Le nec plus ultra, des cabines qui ont vue sur l’océan. Pivot de cet environ-nement zen, une piscine d’eau de mer chauffée à jets et massages sous-ma-rins (aquasculpt). Un atout forme, auquel vient s’ajouter un panel de soins iodés, comme les douches à jets d’eau de mer, les douches sous-marines, les bains multi jets et les massages “pluie de mer”. Parce que le bien-être se cultive sous tous les cieux et toutes les latitudes de-puis des millénaires, Loreamar enrichit sa bulle de sérénité par un éventail de rites et de bienfaits plus ou moins lointains, tels que le hammam, le gommage oriental, les massages exotiques, les massages du monde, etc… sous les voûtes, dans un esprit cosy où le bois et la lumière se répondent. Ce n’est pas un hasard si la

par Clarisse sablé

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Page 8: VLF Magazine n°75

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décoration a été soigneusement confiée à Patrick Ribes, signature raffinée des spas Givenchy, de la Villa Maillot à Paris et du Mas de Pierre à Saint-Paul-de-Vence. Loreamar, c’est enfin une équipe de professionnels rompue tant aux soins de la thalassothérapie qu’à l’esthétique, avec le soutien indispensable d’une dié-téticienne. L’excellence des produits de beauté du Docteur Payot, qui puisent leurs vertus dans les principes actifs des minéraux et des pierres semi-pré-cieuses s’associent merveilleusement au concept inédit de Loreamar pour des soins d’exception. Avec son ambiance romantique et sa vue sur l’océan, le res-taurant “Sunset” offre un décor raffiné au coeur de Loreamar et vous invite à découvrir sa “Cuisine Équilibre”.

qUAND LA LÉGENDE DU GRAND HôTEL RENAîT…“Les pieds dans le sable”Luxe rare, le Grand Hôtel de Saint-Jean-de-Luz est un palace “les pieds dans le sable” qui retrace à lui seul “La Fabuleuse histoire des bains de mer” ! Il suffit de passer le pas de la porte pour laisser glisser le sable entre ses doigts de pieds… l’on dit que l’eau y est ici la plus chaude de toute la Côte, plus à l’abri des vents que partout ailleurs. Une des raisons qui seraient à l’origine de l’engouement de nos voisins d’Outre-Manche, qui ont largement participé à l’essor de la baie et à la renommée de l’hôtel.

Une vue imprenableOutre sa façade “Modern Style”, typique de la Belle Époque, le Grand Hôtel peut s’enorgueillir de sa rotonde, précieusement conservée, qui jouit d’une vue imprenable sur la baie… Aujourd’hui,

27 chambres ont vue sur l’océan, alors que les 25 autres regardent la montagne de la Rhune. Un environnement privilégié… et toujours envié !

À mi-chemin…Comme tiraillé entre le coeur historique de Saint-Jean-de-Luz et le port de pêche, le Grand Hôtel est idéalement situé sur la baie. Un privilège rare - pour un Palace de surcroît - d’offrir à sa clientèle la possibilité d’accéder à pied au centre de la vieille ville et de revenir en quelques minutes fouler le sable, ainsi préservée des flonflons…

Un Palace “confidentiel”52 chambres, dont 2 suites “Edouard VII et Victoria” disposant d’une salle de bain avec vue sur l’océan et d’une terrasse privative en teck dominant la plage, et 2 chambres communicantes avec piscine privée face à l’océan. Des prestations exceptionnelles que sert un décor raffiné, imaginé par Patrick Ribes, déjà auteur de celui du Royal Club Evian. Comme une palette géante, chaque étage s’est habillé de couleurs différentes - outremer, framboise, jaune – et les étoffes les plus délicates de Lelievre, Frey et Canovas illuminent les lieux.

Le rendez-vous des gourmetsAprès avoir côtoyé les étoiles des plus prestigieuses cuisines et travaillé ses classiques à l’ombre de ses pères gastronomiques, le jeune chef Nicolas Masse puise son inspiration depuis 5 ans dans le patrimoine culinaire Basque. Ne reniant jamais la qualité au profit d’une créativité qui lui tient à coeur, ce surdoué a aujourd’hui hissé le restaurant gastronomique “Rosewood” au palmarès des meilleures tables de la région. On y célèbre une cuisine entre terre et mer et la fraîcheur de fabuleux produits que l’on savoure en regardant l’océan. Puis, alors que le bar “Le Clipper” surplombe la plage, l’on paresse les jours d’été en terrasse, face au soleil qui s’étire. Pour les jours frileux, les canapés moelleux du salon à l’anglaise, devant le feu qui crépite, vous invitent à la rêverie.

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ESCAPADES AU PAyS BASqUE…

• Outre un accueil privilégié réservé aux enfants, le Grand Hôtel offre un accès facile à toutes les “curiosités” sportives et culturelles environnantes ! qu’il s’agisse du port de pêche de Saint-Jean-de-Luz, emprunt des histoires de thoniers et des sardiniers locaux, du fort de Socoa, de la Maison de Louis xIV et de l’Infante, du retour sur les premiers pas de Maurice Ravel, de l’Eglise Saint-Jean-Baptiste ou de la splendide demeure d’Edmond Rostand et de ses jardins, tous les appétits culturels trouvent ici satiété.

• Les parcours de golf 18 trous de Chantaco ou de la Nivelle comme les 8 autres parcours de prestige environnants justifient les séjours golfiques, du plus convivial au plus pointu.

• Plus typiques, la Pelote Basque, le surf et autres disciplines mythiques de la région dévoilent, elles, leurs secrets à travers différentes séances d’initiation à Biarritz ou Guéthary… À moins que vous en appreniez davantage encore dans l’arrière-pays, en découvrant les maisons à colombages des villages de Sare, Aïnhoa , Ascain, Espelette offrant un avant- goût ibérique à deux pas de la frontière espagnole. Vous pourrez ainsi découvrir le port de Fontarrabie, les tapas dans la vieille ville de San Sebastian et surtout le magnifique musée Guggenheim à Bilbao.

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ce tout nouveau club est un ofni (objet fitness non identifié). alors que tout le monde recherche de la surface, des lignes de matériels, des bas coûts, voire du regroupement d’indépendants, be aware gym se réclame d’un univers que l’on pensait révolu : le club de quartier.

La carte du quartierAprès avoir été prof de fitness chez les autres, puis coach à domicile, Augustin Mouyémé (37 ans) décide de se lancer dans le grand bain. Accomplir son rêve : ouvrir sa propre salle. pour ce faire, il ne se tourne pas vers une franchise ou une grande enseigne. Augustin Mouyémé veut aller au bout de ses idées en travaillant au plus proche des gens. il ouvrira donc une salle de quartier avec pour seul mot d’ordre, l’écoute des adhérents sans aucun jugement. Un mot d’ordre en forme de philosophie, qui n’est pas sans rappeler un autre sportif penseur à ses heures.

Be Aware, l’esprit JCVDCar il y a du Jean-Claude Vandamme chez Au-gustin Mouyémé. Non seulement avec le nom de son club, mais également dans la manière qu’il a d’expliquer un point de vue, de le détail-ler, d’y revenir pour être bien certain que son

interlocuteur comprenne son propos… mais lorsqu’il s’agit de rapprocher les deux idées (JCVD et son club), Augustin Mouyémé rap-pelle simplement que « be aware » signifie : « être ouvert » et il ajoute : « etre ouvert à tout, pas seulement à l’exercice physique, mais être ouvert d’esprit. ». Une notion qu’il a même sou-haité faire passer dans son logo : « D’habitude les club de gym choisissent des dogs, des hal-tères ou des ours… toutes sortes de choses qui symbolisent la puissance, moi j’ai pris le contre-pied en misant sur la gentillesse. »

Nous avons raté l’ouverture en septembreC’est donc sur ces bases, d’ouverture d’esprit, de simplicité, de gentillesse et de proximité que s’appuie le couple Mouyémé (Augustin et Aurélie) pour imposer son style. Un style fait de bon sens, certains diraient de bons sentiments, mais qui correspond à la nature des gérants. Un style qui n’a pas été aidé lors de son ouverture au mois de septembre dernier. Car si l’équipe était bien en place et les locaux prêts à accueillir du public, le matériel, lui, faisait défaut… en effet, la dizaine de machines de cardio et la vingtaine de postes de musculation (charges guidées) n’ont été réceptionnées que deux

Be Aware Gym Béziers l’atout proximité

Be Aware Gym est typiquement le club de quartier. Un choix assumé par son couple de gérants, alors que la tendance est au regroupement ou au enseignes à bas prix, Augustin (plus connu sous son deuxième prénom, Vanile) et Aurélie Mouyémé prouvent qu’il peut exister d’autres choix et d’autres voies…

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mois après l’ouverture. Un raté qui a entamé la bonne marche de l’entreprise dès son départ : « il a fallu expliquer aux adhérents que notre fournisseur de matériel avait des problèmes de délais et bien-sûr, compenser avec les cours et le coaching… résultats, nous comptons aujourd’hui une cinquantaine d’adhérents alors que nous misions sur le double. »

Le moral au beau fixeMais le couple garde le moral. Augustin assure les cours techniques, la musculation et les conseils en diététique. Aurélie, diplômée de commerce et adepte de fitness et de danse, gère le club du côté administratif et une prof additionnelle vient deux fois par semaine assurer des cours de Zumba : « Nous atteindrons la centaine de membres un peu plus tard que prévu, mais maintenant que le matériel est en place, nous allons rattraper notre retard petit à petit. Nos cours sont bons et très suivis et le quartier est en devenir. » en effet, un parcours « santé » va prochainement ouvrir juste en face du club, il doit drainer des sportifs, de sorte que la centaine de membres nécessaire à l’équilibre budgétaire de Be Aware gym, devrait être rapidement atteinte. Des adhérents qui apprécient la philosophie du couple Mouyémé, où l’apparence ne prime pas sur le reste, où les fondamentaux sont sans cesse répétés.

Pas de cours pré-chorégraphiésC’est notamment pour cette raison que le patron du club ne souhaite pas développer de cours pré-chorégraphiés, ou encore qu’il limite les cours de Zumba à deux par semaine : « je ne veux pas être dépendant d’un phénomène de mode ou que les clients viennent chez moi pour un seul cours et qu’ils oublient l’essence du travail. » Du coup, c’est avec les basics qu’Augustin Mouyémé développe son activité : L.i.A, body-sculp, free style, step, étirements et renforcement musculaire. Des cours dispensés dans un ensemble de 300 m2 qui se divisent en un plateau cardio, un plateau musculation, une

salle de cours et les vestiaires. encore une fois, toutes les caractéristiques du club de quartier. Car ses concurrents comme Urban gym, Keep Cool ou Amazonia sont des « low cost » dont le plus proche est situé à 4 kilomètres, tandis que les clubs indépendants (5) sont davantage en centre ville de Béziers, alors que Be Aware gym se trouve dans un tout nouveau quartier en périphérie de la ville. sorte de zone d’activités, avec des habitations et des commerces nouvellement installés.

Je reçois les déçus du low cost son positionnement que l’on pourrait qualifié de « à l’ancienne », permet à Augustin Mouyémé, non seulement de développer une clientèle de proximité, soucieuse de l’oreille attentive des gérants, mais aussi de récupérer quelques égarés de la tendance « bas prix » : « Certains adhérents, arrivent des clubs low cost de la région. ils n’avaient pas mesuré que ces établissements n’offraient aucune écoute et ne délivraient pas de conseils. Ces déçus du low cost ont besoin de conseils et d’encadrement pour progresser. et certains, simplement pour l’utilisation des machines… » Augustin, tient à cette approche basée sur le conseil.

Tout pour le coachingC’est sa carte de visite, presque son argument de vente. Ancien coach international de tennis, il a également participé aux championnats de France de Body-building, ou encore encadré les programmes d’entraînement des rugbymen de la région (Clermont, Narbonne, toulouse, Béziers) au titre desquels on retrouve des grands noms de l’équipe de France comme Dimitri szarzewski et dont certains l’appellent encore aujourd’hui pour peaufiner leur préparation sportive : « Je sais que je peux apporter mon expérience pour tout type de programme, depuis le vrai débutant jusqu’au plus haut niveau. »

Et c’est là-dessus que s’appuie le club pour asseoir sa réputation.

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Ca passe ou ça casse !Un message à faire passer rapidement, car les fonds du club ne sont pas extensibles : « Be Aware gym a nécessité un investissement de 150.000 euros. J’y ai investi tout ce que je possédais et j’ai eu la chance de pouvoir convaincre des banques de me suivre pour la partie manquante. Cela n’a pas été simple. Le secteur du fitness n’a pas vraiment la cote et il a fallu convaincre du potentiel et de la réalité de ma façon de voir les choses face à ce marché qui a toujours été compliqué en France. » et pour conclure sur ce chapitre tendu de l’investissement, Augustin Mouyémé ajoute : « Ca passe ou ça casse ! » pour que cela passe, les patrons du club misent aussi sur leur politique de tarifs : « J’ai voulu des tarifs clairs, pas comme dans certains clubs où le client est perdu devant 50 propositions. Chez moi tout le monde paie la même chose et je n’ai que deux offres. L’abonnement individuel à l’année qui s’effectue sur 12 prélèvements de 44,90 euros ou le tarif « groupe » réservé aux Ce ou aux groupes constitués, à partir de 5 personnes, qui se monte à 480 euros pour l’année, payable en une ou deux fois. » Là encore une manière simple, voire « à l’ancienne » de fonctionner, car pour Augustin et Aurélie Mouyémé, c’est dans ce type de vieux pots qu’ils font leur meilleure soupe fitness.

Augustin Mouyémé en compétition

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Page 14: VLF Magazine n°75

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Page 15: VLF Magazine n°75

pour les utilisateurs, les bénéfices sont multiples :• pratique d’un vrai exercice physique sans

lassitude : cardio, renforcement musculaire, endurance

• amélioration des facultés cognitives : concen-tration, mémoire, réflexes, confiance en soi, coordination, adresse...

• le temps passé est perçu comme du plaisir et de la convivialité et non comme une obligation.

• les résultats sont rapidement perçus et valorisés.

pour les gérants de salle ou d’espace d’Exergaming, le retour sur investissement est rapide. en effet, ...• augmentation du nombre d’adhérents :

l’exergaming permet d’attirer et de conver-tir au sport une nouvelle population.

• pérennisation d’un esprit club : un centre où l’on vient s’entraîner, mais aussi s’amu-ser, échanger, retrouver le plaisir de faire du sport ensemble !

• fidélisation : l’apparition de nouvelles pres-tations, de nouveaux bénéfices pour les adhérents, des activités sans cesse renou-velées pour moins de lassitude,

• accroissement du panier moyen : certains équipements d’exergaming sont très adap-tés au personal training (pt) et peuvent per-mettre de rendre cette activité valorisante

par l’accès à des machines inutilisables sans coach. il y a alors une demande plus fréquente de pt.

• possibilité de proposer de nouveaux ser-vices annexes sur certains créneaux horaires pour augmenter la trésorerie et la visibilité du club: anniversaires, soirées à thèmes, sémi-naires d’intégration pour les entreprises,... Ces activités peuvent à elles seules rembour-ser rapidement l’investissement.

Hitech 2move apporte son expertise de 3 manières différentes à toute personne inté-ressée pour développer l’exergaming dans sa salle de sport ou de façon indépendante :1) une solution de salle ou d’espace clef en

main sous licence de marque,2) une solution personnalisée pour une

intégration optimum dans l’existant,3) le conseil et la formation à l’utilisation

et à la promotion de tous les produits d’exergaming.

L’Exergaming n’en est-il qu’à ses débuts en France ? D’une certaine manière oui, car seules quelques salles aujourd’hui présentent le concept dans son intégralité avec des espaces dédiés. Cependant, les équipements d’exergaming commencent à s’implanter un peu partout : ainsi, plus de 60 salles en France ont commencé à s’intéresser à au moins l’un d’entre eux. par exemple, le vélo expresso, distribué par Hitech Fitness est le produit le plus diffusé. en effet il est le plus proche des produits de cardio actuels en terme d’apparence. Les salles équipées n’utilisent encore que 50% des capacités du produit et cependant il est déjà constaté un gain en terme de nouvelles adhésions (jusqu’à +20%) et de rétention (jusqu’à moitié moins

de départs). Vous imaginez donc facilement le potentiel qui s’offre à vous au travers de l’exergaming. Quelle qu’en soit la forme : espace dédié, équipements intégrés dans vos espaces actuels, pt,... vous avez ici un potentiel inespéré de croissance et rentabilité. Un investissement de votre part est certes nécessaire mais le gain à en espérer grâce à nos propositions et notre expertise est certain. Vous serez alors devant vos concurrents et tirerez le marché avec des offres plus différenciées et plus attractives. Hitech 2Move est à votre écoute pour créer dès aujourd’hui avec vous votre différentiation et doper votre compétitivité.

publi-rédactionnel

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HITECH 2Moveprésente L’Exergaming

Hitech 2Move introduit en France un concept innovant : “l’Exergaming“. il s’agit de transformer l’exercice physique, fastidieux pour la majorité des Français, en plaisir grâce à des produits révolutionnaires aux performances éprouvées. il s’adresse à un public de tout âge et de tout niveau. Au travers de l’intérêt de tout un chacun pour le jeu, l’exergaming permet de convertir au sport des personnes qui n’arrivent pas à se motiver dans des activités traditionnelles. Le sport n’est plus synonyme de contrainte mais d’un instant de plaisir et de convivialité. il est important de comprendre également qu’en plus de réaliser un effort physique, l’exergaming permet de développer ses facultés cognitives. L’exergaming est donc la solution mieux-être de demain qui répond aux attentes de la société tout en satisfaisant à ses besoins.

Mais quelles différences avec les activités traditionnelles ?

Témoignage

Noëlle Charpentier (gérante du centre d’Exergaming Hitech

2Move de Villeneuve-Loubet (06)

J’ai commencé par ouvrir mon centre Hitech 2Move aux 6-15 ans en ouvrant les

mercredis, samedis et dimanches ainsi que pendant les vacances scolaires.

pour cette génération des ‘natifs numériques’ habitués aux nouvelles

technologies, et peu enclins à bouger, j’étais certaine de leur réceptivité.

L’accueil a été extraordinaire, le carnet de réservation pour les anniversaires et

les accueils de groupe est plein 3 mois à l’avance. et le plus intéressant, est que les parents eux aussi veulent participer, ce qui

ne m’étonne absolument pas. Je développe donc maintenant les

séances adultes, en activité de groupe, ou pour célébrer un évènement particulier :

de belles opportunités de croissance en perspective.

N’hésitez pas à contacter notre responsable du développementFrançois Malléus : T. 06 09 13 90 69 / [email protected]

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Technogym, leader mondial dans les secteurs du Wellness et du Fitness et fournis-seur officiel des récents Jeux Olympiques de Londres 2012, a inauguré le technogym Village situé à Cesena (italie). Le nouveau siège social de l’entreprise abrite un centre de recherche et innovation, des unités de production et un vaste centre wellness dédié à l’activité physique, au design d’in-térieur, à la culture du wellness et à l’ali-mentation. Le site, qui couvre une superfi-cie de 150 000 m2 dont 60 000 couverts, a été conçu par l’architecte italien de renom antonio citterio. C’est le premier « Wellness Campus » au monde : centre culturel, laboratoire dédié à l’innovation et centre de production où collaborateurs, fournisseurs et hôtes du monde entier peuvent découvrir et appré-cier pleinement l’expérience Wellness. Le technogym Village intègre les sites de pro-duction, le siège social de l’entreprise et un centre dédié au Wellness avec espace forme avant-gardiste, centre de confé-rence, bibliothèque et restaurant propo-sant principalement des produits locaux (n’ayant subi aucun transport). Ce projet s’inscrit pleinement dans le cadre de l’ini-tiative « romagne - Wellness Valley » sou-tenue par Nerio Alessandri et qui vise à créer la première région en europe dédiée au wellness, un laboratoire d’expériences pour améliorer la qualité de vie tout en fai-sant du wellness une opportunité de déve-loppement économique pour la région romagne.

Le design des infrastructures s’inspire des concepts liés à l’éco-durabilité et à la bio-architecture. Le bâtiment orienté nord exploite les échanges naturels de chaleur

afin de conserver la chaleur en hiver et la fraîcheur en été. Cela permet de réduire les émissions liées à la consommation de com-bustibles issue des systèmes de chauffage et climatisation. Les matériaux de construc-tion soigneusement choisis offrent une excellente isolation, les grandes fenêtres bénéficient d’un système d’ouverture pour optimiser la circulation naturelle de l’air et rafraîchir l’intérieur sans recourir aux systèmes de climatisation, gros consom-mateurs d’énergie. Le concept du wellness est le fil directeur de l’ensemble du projet : chaque membre du personnel peut pour-suivre son programme wellness, guidé par les experts du Centre de recherche technogym, en associant entraînement fitness en salle et utilisation des équi-pements conçus pour améliorer la pos-ture et initier au mouvement. Quelques exemples : les bureaux sont équipés de wellness balls, le ballon de gym exclusif

de technogym, et de sièges spécifiques dont la forme arrondie garantit un équi-libre maximum entre les muscles abdominaux et le dos (prévenant ainsi le mal de dos) ; certaines salles de réunion sont aménagées pour accueillir les partici-pants debout et faciliter les déplacements.

Lors du déménagement vers le nouveau siège de l’en-treprise, Nerio alessandri, président et fondateur de technogym, a déclaré :« Après deux ans d’efforts intenses et de gros inves-tissements, nous sommes

fiers d’avoir achevé technogym Village. C’est un projet d’envergure, une référence mondiale dans les secteurs du wellness et du fitness. pour nos clients, c’est une source d’innovation, d’équilibre et d’inspi-ration. technogym Village représente une immense opportunité de développement pour le secteur, l’entreprise, l’ensemble de nos collaborateurs et notre région. » il conclut : « Je tiens à féliciter toute l’équipe technogym qui grâce à ses efforts, son engagement et les résultats obtenus au cours de ces 28 dernières années a permis à l’entreprise de continuer à investir et se développer. Mes remerciements s’adressent parti-culièrement à mon frère pierluigi, à mes côtés depuis le début de l’aventure techno-gym, et qui a piloté et suivi les travaux du technogym Village dès la phase initiale de conception. »

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par philippe goethals

Technogym VillageThe Wellness Campus

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Il y a vingt ans, alors que le monde était dominé par la culture du fitness, le tout en muscle et en paraître, technogym, petite entreprise fondée dans un garage à Cesena, lança le concept du Wellness. Une vision révolutionnaire, un style de vie à l’italienne fondé sur la doctrine latine Mens sana in corpore sano, un esprit sain dans un corps sain, et créé deux mille ans plus tôt du temps de la rome ancienne. Le Wellness symbolise un équilibre entre corps et esprit, et prône la pratique régulière d’un exer-cice physique, un régime alimentaire équi-libré et une approche mentale positive. Le Wellness permet de se sentir bien dans sa peau et face au regard des autres, d’avoir plus d’énergie, d’être plus créatifs au travail et surtout de vivre mieux et plus longtemps.grâce au Wellness, nous avons recentré sur le social un marché autrefois axé sur l’hédonisme. D’une simple beauté appa-rente, nous sommes passés à un véritable bien-être. Autrefois restreinte à un cercle fermé de sportifs, une excellente forme physique est désormais à la portée de tous : hommes, femmes, jeunes, adultes, enfants, personnes âgées, biens portants, malades ou handicapés.

grâce à nos collaborateurs, nous avons prêché la phi-losophie Wellness dans le monde entier. De plus en plus de gens sont désormais convaincus que le déve-loppement durable dépend avant tout de la santé de chacun : population saine, planète saine. Comme les maîtres de la renaissance nous l’ont montré, l’humain doit revenir sur le devant de la scène. L’homme est né pour bouger. L’homme pri-mitif, notre ancêtre, marchait et courait 30 km chaque jour, soit la moitié d’un marathon, pour chasser et trouver de la nourriture pour la commu-nauté. Aujourd’hui, notre activité quoti-dienne est bien moindre, en moyenne 1 km. Ce style de vie sédentaire crée une urgence sociale, nous faisons face à une épidémie d’inactivité qui fait de nombreuses victimes et nous rend malades.

Les maladies chroniques, causées par un style de vie sédentaire et inapproprié, une mauvaise alimentation, l’abus d’alcool et le tabagisme, sont les principales causes de mortalité dans le monde, à l’origine de plus de 35 millions de morts prématurées par an. en 2006, pour la première fois dans l’his-toire, le nombre de personnes en surpoids a dépassé celui de ceux souffrant de mal-nutrition. L’épidémie d’obésité n’affecte plus seulement les pays soi-disant développés du monde, mais également les pays plus pauvres, et la crise économique ne fait qu’empirer la situation, avec une consom-mation croissante de malbouffe, surtout

parmi les jeunes. Ces données, couplées au vieillissement constant de la population et aux difficultés grandissantes que les gou-vernements ont à financer le secteur de la santé publique, sont une preuve évidente de la gravité de cette épidémie du 21e siècle. et le meilleur moyen de la combattre est d’enseigner aux populations les bienfaits de l’activité physique, qui permettrait de réduire jusqu’à 40 % le risque de contracter de nombreuses maladies. Des recherches internationales ont montré qu’une diminu-tion de 10 % dans la prévalence des mala-dies cardiovasculaires donnerait lieu à une augmentation de 1 % du piB.

Lors du 11e congrès Wellness organisé à Cesena en 2003, la Fondation Wellness lan-çait « Health is wealth » (la santé c’est la richesse), un message visant à développer la recherche et l’initiation à un mode de vie sain. La santé est la richesse de tous : gou-vernements, entreprises et particuliers. Dix ans plus tôt, ici en romagne, la Fondation a lancé avec l’aide de tous ses actionnaires le projet Wellness Valley, le premier quartier à œuvrer pour le bien-être, le laboratoire d’un écosystème où collaborent en réseau des en-treprises, des professionnels du fitness et de

la santé, des administrations pu-bliques, soutenus par le secteur du tourisme et de l’éducation.

sur le plan international, techno-gym travaille depuis quelques années en partenariat avec le programme de santé du Forum économique mondial de Davos. Nous avons d’ailleurs contribué à l’ébauche des directives en matière de style de vie, de san-té et de prévention que l’ONU a présentées lors de l’Assemblée générale à New York.Les derniers Jeux Olympiques de Londres 2012 – pour les-quels technogym a eu l’honneur

d’être pour la cinquième fois le fournisseur officiel – ont été baptisés « premiers Jeux Olympiques Wellness ». L’édition 2012 des JO à Londres a vu naître un nouvel objectif, celui d’inspirer toute la population à pratiquer une activité sportive ou physique régulière. Dans différents pays du monde, les gouvernements accordent plus d’atten-tion aux politiques axées sur l’initiation à la santé. Le système métrique et le système de cotation ne se contentent plus d’une simple mesure du piB, mais utilisent d’autres indices prenant également en compte le bien-être et le bonheur. L’exercice physique est un puissant médicament : « exercise is Medicine » (Bouger c’est la santé). Le Wellness, ce concept futuriste lancé 20 ans plus tôt par une petite entreprise installée dans une province italienne, reflète aujourd’hui une véritable tendance internationale.Nous avons abordé ce sujet lors du 20e congrès Wellness : « Let’s Move for a better world » (Bougeons-nous pour faire bouger le monde). Nous avions invité d’éminents

scientifiques ; des experts en nouvelles tech-nologies ; M. Corrado passera, ministre du Développement économique ; Mme ertharin Cousin, directrice du programme alimentaire mondial ; et Bill Clinton, qui a fait de la lutte contre l’obésité infantile le principal objectif de sa Fondation. telle est notre manière de contribuer : proposer et agir, et non pas res-ter assis et attendre !Le secteur du wellness est vertueux, il est utile à notre communauté ! en plus des revenus qu’il génère en développant et en déployant sa technologie et ses services, il produit une inestimable « richesse sociale ». Cette richesse peut être mesurée en termes de santé personnelle, de réduction des coûts des services de santé, et de produc-tivité accrue, mais surtout dans la perspec-tive d’une vie meilleure.

Ce secteur devrait être soutenu par de nou-veaux projets de recherche publics et privés. soutenu aussi par des politiques qui infor-ment et font la promotion de la santé dans les écoles, au sein de la communauté et sur le lieu de travail. soutenu encore par des politiques fiscales appropriées : le bien-être relève en réalité du domaine de la santé, il doit faire l’objet d’incitations et non pas être taxé comme un produit de luxe. il doit être mis en avant par des politiques de santé qui se concentrent davantage sur la prévention que sur le soin. La santé est assurément un droit du peuple, mais la prévention doit de-venir un devoir, une responsabilité sociale individuelle.

enfin, il doit être encouragé en vue de poli-tiques à double effet pour le développement économique : à l’intérieur, la santé et le bien-être pour une meilleure productivité, et à l’extérieur, le « produit du bien-être », avec des applications positives dans de nom-breux secteurs essentiels de l’économie. institutions, professionnels du bien-être, compagnies d’assurance, entreprises, secteur médical, citoyens, unissons nos forces pour bâtir un rêve, la « Wellness Économie », un monde meilleur qui com-mence avant tout par une meilleure santé.

Bougeons-nous pour faire bouger le monde

Nerio Alessandri

Nerio Alessandri lance la « Wellness Économie »La nouvelle économie centrée sur l’humain

Giorgio Napolitano : Président de la République italienneNerio Alessandri : Président de TechnogymCorrado Passera : ministre du Développement économique ©

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Bill Clinton et Nerio Alessandri

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par pascal turbil

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Karaté Traditionnel Le Corre et l’esprit

Sandrine Le Corre est une battante. présidente de la Fédération Française de Karaté traditionnel, coach international, biologiste, elle se bat pour que sa discipline soit enfin reconnue par le Comité international Olympique et elle ne manque pas d’arguments. rencontre avec une femme de tête et de poigne.

Sandrine Le Corre donne ses rendez-vous à son dojo, dans le Nord de la capitale, qui est également le siège de la Fédération de Karaté traditionnel. Une Fédération qu’elle préside depuis 1997. Cette femme de passion autant que de mission s’est fixée pour objectif de faire rayonner sa discipline et surtout les valeurs qu’elle représente. Des valeurs que l’on appréhende à peine entré dans le dojo. ici pas de hiérarchie établie,

mais une ambiance de partage, ce qui n’empêche pas un plus grand respect. Dans la pratique La présidente n’hésite pas à demander au prof d’aïkido de passer l’aspirateur dans la salle de musculation. il faut dire qu’au moment du rendez-vous, les locaux sont encore en pleine réfection pour accueillir les premiers adhérents dans quelques jours : « ici, tout le monde participe ! ». Des jeunes pratiquants passent dire bonjour, s’assoient, discutent, puis partagent une pizza : « La porte du dojo est toujours ouverte, c’est une règle. ils savent qu’ils sont ici chez eux, mais ils connaissent parfaitement les règles. » Des règles simples basées sur le respect des individus et des locaux.

Bizutée pendant un anA 44 ans sandrine Le Corre est une femme heureuse. elle se réalise pleine-ment dans son travail (biologiste) : « Je travaille au CNrs, avec des professeurs tournesol, c’est très motivant » et dans son sport, qui est autant une discipline physique que mentale. Un art martial qui conserve toute sa philosophie ini-tiale. Un sport particulier qu’elle a dé-couvert voilà 30 ans (1984) en banlieue parisienne (Le pré saint-gervais, 93) dans un club exclusivement masculin : « J’en ai bavé pendant une année complète… Comme j’avais insisté pour participer aux entraînements, ils ne m’ont pas raté… J’ai été bizutée durant près de 12 mois, et puis ils ont compris qu’ils ne me dégoûteraient pas et tout est entré dans l’ordre. D’autres filles ont même pu s’inscrire… ». Au fil des ans et de sa progression de karatéka, elle s’imprègne de l’esprit du Budo (quand le corps et l’esprit ne font qu’un) et s’oriente vers la transmission. Nombreuses fois championne (cf. « bio express »), sandrine Le Corre s’oriente vers le coaching. elle est aujourd’hui coach international itKF : « J’adore accompagner mes athlètes en compé-tition. Je suis un peu leur entraîneur, leur maman, leur infirmière, leur sou-tien physique et moral… »

Remettre les enfants dans le bon sensMais c’est surtout auprès des jeunes qu’elle se réalise. Un travail de l’ombre, sans honneur ni médaille. seulement Bio express

- Présidente de la FKTAMAF (Fédération de Karaté Traditionnel et Arts Martiaux Assimilés en France)

- Ceinture noire 5ème DAN ITKF- Coach International ITKF (Fédération Internationale de Karaté traditionnel) et Européen ETKF (Fédération Européenne de Karaté Traditionnel)

- Examinatrice de grade ceinture noire (DAN ITKF) qualifiée par l’ITKF- Juge ITKF- Instructeur International ITKF- Coach de l’équipe de France de karaté Traditionnel aux différents championnats d’Europe et aux championnats du monde

- Plusieurs fois vainqueur de la coupe Nationale FKTAMAF – en kata et EN BU mixte - 5ème en EN BU mixte au championnat d’Europe ETKF en Russie - 5ème en EN BU mixte au championnat du Monde ITKF en Yougoslavie- Création du magazine TODOME, magazine fédéral pour la promotion et le développement du karaté traditionnel en France - Médaille de bronze de la ville de Paris (2005)- Travail au centre national de la recherche scientifique (CNRS), dans le domaine des sciences de la vie.

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la satisfaction d’apporter aux familles un extrême soulagement : « J’enseigne aux enfants de 4 à 12 ans, y compris aux en-fants en grande difficulté. J’ai d’ailleurs mis en place un partenariat avec le rectorat de paris, qui nous adresse ses cas les plus compliqués. » C’est ainsi qu’elle permet à un tout jeune hyperactif, un enfant vio-lent ou psychologiquement perturbé de retrouver un équilibre. De se sociabiliser : « D’une manière générale, le Karaté tradi-tionnel permet aux enfants de se concen-trer, d’intégrer des valeurs qui n’ont plus forcément cours ailleurs… en leur ensei-gnant un certain esprit, des valeurs, voire une philosophie, nous favorisons leur développement et pour certains enfants nous les remettons dans le droit chemin. Avec nous, ils canalisent leur énergie, il apprennent à se situer dans l’espace, ils travaillent leur mémoire (nous récitons à chaque début d’entrainement les règles majeures de la discipline –cf Dojo kun-, nous apprenons le nom des techniques et à compter en japonais, etc.) » Autant d’élé-ments qui contribuent à la réduction des échecs scolaires et au bon développement des enfants. Ce programme est d’ailleurs mis en place au niveau national. il existe 38 clubs de Karaté traditionnel en France,

dispersés dans toutes les régions et il suffit de s’en rapprocher pour intégrer un pro-gramme destiné aux enfants : « C’est aussi pour tout cela que j’aime et que je choisis des quartiers populaires pour mes dojos. Je rappelle que le Karaté traditionnel est re-connu comme sport éducatif non violent. »

De plus en plus de femmesLes femmes apprécient également les ver-tus morales et les qualités physiques de la discipline. elles viennent pour la confiance, le bien-être ou l’amincissement : « Ce sont des femmes de tous les âges qui viennent régulièrement et de plus en plus grossir nos rangs. Les techniques étant basées sur la réplique d’attaques du quotidien, elles y voient, à juste raison, des cours de self-dé-fense. evidemment, le rythme des entraî-nements et, à fortiori, des compétitions (qui ne débutent qu’à l’âge de 13 ans) sont bons pour le métabolisme et l’amincissement qui reste une forte motivation féminine. et puis il y a celles qui mélangent un peu toutes ces motivations et qui se sentent bien. Qui prennent peu à peu confiance en elles, qui se redressent, qui osent marcher dans la rue, bien droites, les épaules en arrière… C’est caractéristique. »

Des cours et des entraînements qui re-prennent (à moins que ce ne soit l’inverse) les cours qui fonctionnent en salle de sport. Mais lorsque l’on demande à sandrine, quel parallèle elle voit avec les cours de Body Attack, Body Combat et autres, elle s’empresse de préciser : « C’est très bien parce que les gens font du sport, mais tous ces cours ne sont pas des arts martiaux. Chez nous, en plus de la posture, de la res-piration, du hara, des techniques, prises, etc. nous nous imprégnons de la philoso-phie et de l’esprit de la discipline. »

Site : www.fskam.fr

Le clubLe dojo est une structure associative, ouverte en 1994. L’enseignement principal dispensé dans les deux salles principales (le club comporte aussi les vestiaires et une salle de musculation) reste le Karaté traditionnel, dont le club est aussi le siège de la Fédération Française, mais les autres cours d’arts martiaux y sont aussi donnés (Kung-Fu wushu, tae Kwon Do, Aïkido). Les tarifs débutent à partir du forfait mensuel.

renseignements au : 01 47 97 20 20 ou par e-mail : [email protected]

Le K.T. une discipline à part… entièreLe Karaté traditionnel est un art martial d’autodéfense éducatif. ses premières règles sont le respect et la non violence. il utilise le corps de la manière la plus efficace et est basé sur le concept de todome-Waza (coup déterminant) définit comme «une technique suffisante pour neutraliser l’adversaire ». en matière d’autodéfense, le Karaté traditionnel considère que la taille de l’adversaire n’est pas importante, il n’existe que des catégories d’âges (et non de poids). pour les compétitions, le Karaté traditionnel utilise le sport comme un moyen de mettre

en valeur le développement humain et notamment en améliorant sa stabilité émotionnelle. Bien plus qu’une pratique sportive, l’enseignement du Karaté traditionnel est un accompagnement au développement de l’individu tant au niveau physique, que mental et spirituel. C’est une ligne de conduite qu’un maître et son élève suivent tout au long de leurs vies, c’est l’enseignement d’une philosophie de vie où le corps et l’esprit ne font qu’un (art du Budo). La Fédération Française de Karaté traditionnel compte 38 clubs et 2000 adhérents.

Une famille en orDans la famille Le Corre je demande la mère. sandrine est ceinture noire 5e dan, présidente de sa Fédération et coach et arbitre internationale. son époux, senseï ibrahim el Marhomy, est également le directeur technique de la Fédération, arbitre, instructeur et coach international. il était logique que les enfants suivent les traces des parents. ils ont tous débuté le Karaté traditionnel à l’âge de 5 ans et sont aujourd’hui de redoutables compétiteurs, qui participent aux championnats du monde. Qu’il s’agisse de thomas (23 ans), Cindy (21 ans) ou Jimy (15 ans), sandrine Le Corre précise avec un petit sourire : « ils étaient obligés d’y aller ».

Dojo KunUne des premières règles enseignées dans le Karaté traditionnel est le respect. Un cours commence et s’achève par l’énumération de cinq commandements, appelés le « Dojo kun ». Le Dojo Kun a pour but de mettre l’individu dans un état d’esprit de concentration et d’écoute.

• Cherchez la perfection du caractère • Soyez fidèle • Soyez constant dans l’effort • Respectez les autres • Retenez toutes conduites violentes

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« Nous reprenons la main sur le marché domestique »

Franck Hédinle nouveau DG de Club Med Gym

Franck Hédin, 44 ans, est diplômé de l’ES-SEC. Il débute sa car-rière en Suisse dans un grand cabinet d’audit

(Deloitte). Ironie du sort, l’immeuble où il travail est également le siège de la société Silhouette que Club Med Gym vient d’acquérir.Puis il est co-fondateur d’une start-up spécialisée dans le e-learning à l’explosion d’Internet. Il entre ensuite chez Fullsix (agence de marketing relationnel et de publi-cité) en tant que directeur financier-directeur groupe. En 2009, il entre comme directeur administratif et financier chez Club Med Gym. Il en devient directeur délégué en 2011, puis directeur général en août 2012. Il retrouve, avec le contact adhé-rents, les mêmes règles de proximité que celle utilisées chez Fullsix en marketing relationnel : « En relation client, le moteur essentiel c’est la performance ! »

Dans la maison depuis 2009, Franck Hédin accédait au poste de Directeur général l’été dernier (août 2012). Une suite logique, plus qu’une consécration pour cet homme de terrain qui n’aime rien de plus que les « combats », les challenges et la concurrence. Attention, le Club Med gym est de retour aux affaires…

« Avant toute chose, je rappelle que Franck geguen reste président de Club Med gym. pour ma part, je passe de Directeur général Délégué à Directeur général. » Une subtilité dans l’organigramme, plus qu’une révolution. il n’empêche, en passant en première ligne à l’opérationnel, Franck Hédin en particulier et Club Med gym, en général, envoient un signal fort : l’ogre que l’on croyait endormi se remet à table… et il a faim !

Comprendre les enjeux du fitness« il s’agit de correspondre et surtout de comprendre les enjeux du fitness » insiste Franck Hédin : « Notre univers a changé. Nous enregistrons en France, comme partout ailleurs, l’arrivée du low cost, mais aussi un redéploiement des enseignes. en tant que leader historique, Club Med gym, se doit de reprendre

la main. » L’idée est claire, il s’agit de repasser à l’offensive sur le secteur national. Car si le leader du fitness en France s’était fait discret sur son territoire, il ne l’était pas partout pour autant : « Nos équipes ont été très impliquées ces derniers temps, dans le rachat de notre équivalent suisse romande, l’enseigne « silhouette » (2011). Une marque forte qui compte 15 clubs de fitness sur l’arc lémanique dont 6 à genève. » Des activités extra territoire, dont ont profité d’autres marques pour jouer des coudes à paris et sa couronne, notamment Health City.

Retour en force « Dans le redéploiement des enseignes, Health City, continuité de Fitness First, est un réel acteur du marché. A l’instar de Club Med gym, il s’agit d’un acteur industriel et en cela il nous est comparable. Mais comme je le soutiens, il y a de la place pour tout le monde. J’aime particulièrement la concurrence. C’est sain et cela nous oblige à donner constamment le meilleur de nous même. C’est bien de se confronter. » tout le monde est donc prévenu, Club Med gym est de retour à paris : « L’acquisition de silhouette nous a pris un peu de temps et nous a éloigné de la capitale. Nous

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passons maintenant à la deuxième étape : la reprise en mains du marché domestique. » et Franck Hédin de préciser : « J’adore lorsqu’il faut montrer que l’on est sportif, surtout lorsque l’on possède autant d’atouts que Club Med gym. »

Lancement du GRIT Séries au « Pure »Dans la pratique cela s’est déjà traduit par la composition d’une équipe de développement capable d’ouvrir un club en 6 mois. Le dernier en date, à Bercy 2011 et surtout du « pure » à Bastille (juin 2012). Une sorte d’écrin haut de gamme, véritable show room « high » et « hype » de l’enseigne. Mais, pas question de s’en tenir là : « A courts termes, nous avons une douzaine de cibles à paris et petite couronne. » Côté animation, le Club Med gym n’est pas en reste non plus : « Dès qu’un événement fitness a lieu, il faut que cela soit au Club Med gym. Nous venons de faire sensation

avec la venue du pape du Body Combat, Dan Cohen. et cela va continuer sur la lancée. Nous avons des projets identiques pour issy-les-Moulineaux (92) au printemps. et, c’est à Bastille, au « pure » qu’aura lieu le lancement de la nouvelle activité Les Mills, le fameux grit series… si certains pensaient que nous nous étions un peu reposés sur nos acquis, il va falloir revoir le jugement. »

« Le low cost est très intéressant »Autre sujet majeur de réflexion rue Le Jour se lève à Boulogne (le siège), l’offensive déjà très marquée en France du low cost. Loin d’inquiéter le directeur général de Club Med gym, il est presque considéré comme un stimulant : « Ce sujet fait partie des gros dossiers du moment sur un plan général et il ne faut surtout pas ignorer son importance et son impact. Nous concernant, j’ai le sentiment que nous nous adressons à des clientèles totalement

différentes. La preuve avec le quartier république. Fitness parc revendique 10.000 adhérents dans son club low cost. pour notre part, nous en comptions 6.500 avant l’arrivée de l’enseigne à bas prix et nous en comptons le même nombre aujourd’hui. » La marque jaune et bleue n’aurait donc pas impacté l’historique Club Med gym… Mieux, les parisiens de république qui font désormais du sport en salle de gym, donc qui s’occupent de leur bien-être et de leur santé, sont au moins 16.500 : « Les deux peuvent parfaitement cohabiter. » Franck Hédin enfonce le clou : « si l’on regarde les autres pays d’europe, c’est exactement comme cela que ça se passe. il y a une offensive low cost, qui attire une nouvelle clientèle, à côté d’acteurs industriels. Des grandes marques qui proposent un autre service. tout cela est bon pour le sport et cela fait parler du fitness. »

Salles de fitness et salles de cinéma même combatDans ce cadre assez manichéen (grandes marques low cost), Franck Hédin se laisse même aller à une confidence : « Les autres acteurs font partie du paysage, alors que les enseignes « industrialisées » et le low cost font bouger les lignes. et dans cet environnement en mouvement, je préfère être chez Club Med gym que chez les « anciens » clubs parisiens. » pour expliquer cette prise de position, Franck Hédin fait une comparaison avec l’évolution des salles de cinéma en France : « il y a 30 ans, on allait au cinéma dans des salles de quartier, des cinémas indépendants. puis, dans les années 80, les complexes ont fait leur apparition. 25 ans plus tard, c’était l’arrivée des multiplexes et aujourd’hui nous en sommes aux « Mégarama ». Cette évolution a fait grincer bien des dents.

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On a dit que c’était la mort du cinéma. Ce n’était qu’une autre façon de consommer les films. et à en croire les chiffres, une meilleure façon, puisque le cinéma français ne s’est jamais aussi bien porté, malgré internet, le téléchargement et tous les écrans d’aujourd’hui. Nous devons nous en inspirer pour penser les salles de fitness et la façon de consommer le sport. Hier un patron de cinéma était un passionné de films qui se concentrait sur sa programmation. Aujourd’hui c’est un businessman dont le premier réflexe est de consulter ses chiffres et ses courbes. »

De la théorie à la pratiqueMais plus qu’un théoricien du fitness, Franck Hédin est acteur de son secteur. il mouille le maillot sur le parquet en tant que client de son enseigne depuis 1991 : « en tant qu’utilisateur depuis plus de 20 ans, je m’intéresse aux problématiques de l’adhérent comme du prof. Je me disais parfois qu’il faudrait changer ceci, revoir cela… Aujourd’hui je suis aux manettes et je peux le faire. en premier lieu, faire des clubs, des lieux d’animation. il faut fédérer et fidéliser avec la venue de grands noms du fitness. il faut aussi montrer à l’adhérent l’évolution permanente du club. Ce qui signifie, bien-sûr, d’être en pointe côté cours et activités, mais aussi, ne pas renouveler complètement son parc machines tous

les 10 ans, mais changer une partie de son matériel chaque année. par petites touches… il faut aussi savoir surprendre. Nous réintroduisons par exemple une machine en désuétude, qui avait pourtant fait ses preuves, comme le stairClimber… »

« J’adore avoir les mains dans le cambouis »pratiquant assidu, Franck Hédin fréquente volontiers le club de Levallois : « Je teste toutes activités. J’aime cela, avec une préférence pour le Body Combat. récemment je viens de tester notre fameux grit series, j’ai encore des courbatures… Lors de la venue de Dan Cohen, je me suis régalé, j’ai suivi les cours avec cet instructeur, mais aussi avec les nôtres. J’adore avoir les mains dans le cambouis ! D’ailleurs, lorsque je suis arrivé chez Club Med gym, mon premier reflexe à été de passer quelques jours derrière un comptoir à vendre des abonnements. J’aurais beaucoup aimer être coach sportif également… Je suis heureux sur le terrain. » C’est certainement de cet amour du terrain que lui vient son état d’esprit très « décentralisateur ». Franck Hédin considère ainsi les responsables de clubs comme des patrons de « business unit », ils sont maîtres à bord : « Le siège doit agir vis-à-vis des clubs à la manière d’un franchiseur et faire confiance aux gens sur le terrain. »

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par philippe goethals

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La pole dance est une discipline gymnique officiellement reconnue depuis peu en tant que sport en europe ( voir nos précédents articles dans VLF). C’est un mélange de danse et d’acrobatie sur et autour d’une barre métallique verticale, qui peut être fixe ou bien tourner librement autour de son axe, en fonction de la poussée exercée par le danseur ou la danseuse. C’est donc une activité extrêmement physique, qui exige une force et une souplesse réelles pour évoluer librement et avec grâce, mais qui peut également prendre une forme très artistique et créative. son caractère aérien la rende très spectaculaire, c’est pourquoi la pole dance est de plus en plus présente dans les spectacles de cabaret, mais aussi de danse contemporaine et dans les cirques. Contrairement aux idées reçues, elle peut être pratiquée par les hommes aussi bien que par les femmes. La différence réside alors davantage dans le style que dans les techniques elles-mêmes. Quelques organisations, comme la ipF (international pole Federation) et notamment la pFA (pole Fitness Association), ont largement contribué à combattre la mauvaise image longtemps rattachée à la pole dance, qui à cause de ses origines, la réduisait souvent à un simple spectacle érotisant. Ce cliché a trop longtemps dévalorisé le travail acharné de nombreuses danseuses de talent. Aujourd’hui, grâce aux efforts de ces organisations et de quelques autres qui ont vu le jour depuis, ainsi qu’à ceux de nombreuses danseuses et enseignantes (l’arrivée des hommes dans la pole dance est encore timide et très récente) des écoles et des compétitions voient le jour un peu partout dans le monde. D’où la nécessité de fédérations et d’associations qui puissent aider à en réguler la pratique et l’enseignement. D’abord l’apanage des pays anglo-saxons, la pole dance se démocratise et devient, selon la façon dont elle est enseignée, une forme ludique de fitness, ou un nouveau style de danse aérienne.

Compétition Française de Pole Dance3 ème édition

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L’école pole Dance paris, membre de la pFA, et sa créatrice Mariana Baum, ambassadrice de la pFA en France, se devaient d’organiser de nouveau ensemble la troisième édition de la Compétition Française de pole Dance, afin d’aller plus loin dans le travail accompli jusqu’ici pour faire connaître et accepter cette discipline dans notre pays comme une véritable forme d’art, aussi respectable que la gymnastique artistique ou le trapèze… et encore une fois, parce que nous avons toujours cherché a mettre en avant l’aspect artistique et athlétique de la pole dance, la compétition française est ouverte aux hommes comme aux femmes, ce qui demeure encore malheureusement trop rare ailleurs.

Le succès rencontré par la première Compétition Française de pole Dance les deux années précédentes nous encourage et nous motive dans la réalisation de nos objectifs, et nous espérons que cette troisième édition saura, une fois encore, emporter l’adhésion du public aussi bien que de la presse et des professionnels de la danse et de l’acrobatie. L’évènement s’est déroulé cette année le 31 octobre, dans la magnifique salle du théâtre Déjazet à pAris, hautement chargée d’histoire, où fût tourné l’inoubliable Les enfants du paradis…

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Page 34: VLF Magazine n°75

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par philippe goethals

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Nous étions présents, à l’inauguration de son nouveau club HealthCity Champs Élysées, l’enseigne a organisé une soirée exceptionnelle, pleine de surprises et d’animations pour découvrir ce nouveau temple de la forme. Quelques personnalités du sport étaient présentes pour l’occasion. L’icone de l’athlétisme français, marie-José pérec, l’ancien capitaine des « experts », olivier Giraud, la judokate Gévrise émane, la championne de taekwondo Gwladys épangue et l’un des meilleurs grimpeurs de l’histoire du tour de France richard Virenque étaient venus découvrir la salle d’entrainement et ses équipements et participer à l’ambiance festive qui a envahi le club. en plus de ces grands sportifs, nous avons rencontré benjamin castaldi, pratiquant assidu de fitness. par cet événement, HealthCity souhaitait inaugurer son nouveau club et le placer sous le signe de l’excellence et du sport plaisir… mission accomplie !

HealthCity Champs Élysées

HealthCity international est une chaîne de clubs de sport, de fitness et de détente de luxe. Nous proposons une ambiance très conviviale et un ser-vice de qualité supérieure. À l’heure actuelle, HealthCity compte plus de 270 clubs aux pays-Bas, en Belgique, en Allemagne, au Luxembourg, en France, en espagne et en italie.

NOUVeLLes OUVertUres

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Nous souhaitons un bon développement à ces nouveaux clubs

Les tout-débuts

Healthcity est née il y a 25 ans environ sur les courts de tennis Arnolduspark à Hoofddorp, aux pays-Basrené moos et Eric Wilborts, professionnels du tennis international dans leurs jeunes années, ont géré divers parcs de tennis après leur carrière sur les courts. par la suite ils y ajoutent des centres de fitness. Au même moment, rené Moos – avec son partenaire Dennis Aarts, formé en judo et au fitness - fait construire huit clubs multifonctionnels dans l’ouest des pays-Bas. eric Wilborts crée lui aussi trois clubs multifonctionnels dans le sud du pays. en 2004, les trois fondateurs décident de travailler ensemble : Les clubs sont réunis sous la même enseigne : HealthCity international. L’organisation connaît un succès immédiat. en construisant de nouveaux clubs mais aussi par le biais d’acquisitions, HealthCity international connaît une croissance énorme. L’arrivée d’un investisseur donne à cette croissance un élan supplémentaire.

Healthcity n’a pas pour seuls objectifs les quantités ou les chiffres. C’est bien avant tout la qualité des clubs HealthCity qui compte. C’est grâce à elle que la réussite est capable de perdurer. prenons comme exemple le tout premier club de l’Arnolduspark d’Hoofddorp. Celui-ci fait aujourd’hui encore partie de HealthCity . À l’heure actuelle, HealthCity compte 49 clubs aux pays-Bas, 62 clubs en Belgique, 22 en Allemagne, 4 au Luxembourg, 11 en France, 17 en italie et 16 en espagne.

Healthcity International est une entreprise de service total dont la mission est la suivante :« Chez HealthCity, nous faisons partie intégrante de la vie de nos adhérents. grâce à une attitude positive, notre expérience et le respect des leurs efforts, nous motivons nos adhérents pour qu’ils mènent un style de vie plus actif. en ce faisant, nous aspirons continuellement à une position de leader de marché en tant que partenaire fitness le plus valorisé. »

HealthCity propose différentes manières de s’entraîner. tout d’abord, vous pouvez tout simplement y pratiquer le fitness, seul ou avec des amis, en famille ou avec des membres du club. Mais vous pouvez aussi participer à nos leçons de groupe. HealthCity propose un vaste choix des cours collectifs de différentes intensités et à des horaires variés. Mais HealthCity, c’est bien plus que cela ! Vous voulez obtenir rapidement des résultats ? Vous aimeriez bénéficier de l’aide d’un coach ? alors adressez-vous à un de nos personal trainers.

De G à D : Gwladys épangue (championne de taekwondo), marie-José pérec, michel parada, Gévrise émane (judo-kate médaillée de bronze aux Jo de Londres 2012), olivier Girault, benjamin castaldi, richard Virenque.

richard Virenque pédale fort.

De G à D : benjamin castaldi, philippe Goethals et Fred mompo. ©

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L’oeuf a beaucoup de qualités : des protéines de grande valeur, des lipides surtout insaturés, des oligoéléments (fer, iode, sélénium), et de nombreuses vitamines (A, D, e, K et groupe B). Ajoutons à cela qu’il est le référent en ce qui concerne la valeur nutritionnelle de ses protéines (la formule de la protéine d’oeuf est reprise pour définir la protéine idéale selon les critères de l’OMs), notons une remarquable stabilité de ses valeurs nutritionnelles dans le temps (même 1 mois après sa ponte), de plus, c’est un des aliments les moins chers et les plus utilisés en cuisine.

par ailleurs, l’oeuf est également riche en minéraux et oligoéléments : la consommation de 2 oeufs couvre entre 20 et 30% du besoin quotidien en Fer, iode, sélénium et phosphore. L’oeuf a souvent pâti de sa richesse en cholestérol. C’est totalement injuste. en effet, l’oeuf contient surtout des lipides insaturés (oméga 9 et oméga 6) et est pauvre en graisses saturées. De plus, même si le jaune contient environ 200 mg de cholestérol (pour un apport quotidien de 1 à 2 g de cholestérol), on sait très bien que le cholestérol alimentaire a beaucoup moins d’impact sur le cholestérol sanguin que certaines graisses.

Chez le nourrisson Questions de parents :

Y a-t-il des contre-indications à donner de l’oeuf à un jeune enfant ? La seule contre-indication est l’allergie authentifiée aux protéines d’oeuf (le blanc, le plus souvent). elle concerne 0,5% des jeunes enfants (le plus souvent avant l’âge de 3 ans) - Dans 50% des cas, l’évolution est favorable – tant que l’enfant est allergique, il faut appliquer une suppression totale de tous les oeufs (de poule, de cane, de caille …) et des produits qui en contiennent. il est donc très important de bien regarder les étiquettes des produits industriels car par ses qualités émulsifiantes l’oeuf est présent dans beaucoup de recettes. Au moindre doute, appeler le service consommateur.

Et s’il y a un terrain allergique familial ? il n’y a pas de preuve que l’éviction du blanc d’oeuf soit efficace pour limiter le risque d’allergie par la suite. Néanmoins, dans un cas de terrain allergique familial, beaucoup de pédiatres préfèrent repousser la consommation de blanc d’oeuf après l’âge d’1 an. Le jaune est autorisé.

LES OEUFS des alliés vitalité pour tous

Les oeufs participent à l’équilibre alimentaire à tous les âges de la vie. ils apportent à l’organisme des éléments nutritionnels utiles à notre forme quotidienne, quel que soit notre âge. L’oeuf a tant de qualités nutritionnelles qu’il peut être légitimement présent dans l’alimentation du nourrisson de 7 à 8 mois, comme dans celle d’une personne âgée, et ce tout au long de notre vie.

L’oeuf réunit, en effet, de nombreuses qualités : oligoéléments (fer, iode,...), protéines, vitamines (A, D, e, K et groupe B : rappelons même que la formule de la protéine d’oeuf est reprise pour définir la protéine idéale selon les critères de l’OMs !

De plus, les valeurs nutritionnelles de cet aliment, figurant parmi le moins cher et le plus utilisé en cuisine, sont remarquablement stables dans le temps : jusqu’à un mois après la ponte !

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L’oeuf : 3 en 1En moyenne, un oeuf pèse en moyenne 60 g dont 6 g de coquille, 37 g de blanc (60 à 70% du poids) et 17 g de jaune (30 à 40%). Chaque par-tie a ses particularités :

• La coquille est une trame de protéines avec des cristaux de carbonate de calcium.

• Le jaune est composé à 70% de lipides, à 30% de protéines, et contient également du fer, des pig-ments caroténoïdes (d’où sa belle couleur oran-gée), des vitamines liposolubles (A, D, E et K).

• Le blanc est très riche en protéines mais aussi en vitamines hydrosolubles (groupe B).

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par philippe goethals

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“Quelques témoignages...”“En avril, j’ai installé 2 vélos Expresso dans mon club Amazonia de Pessac pour tester le concept sur mes adhérents. Pour leur permettre de découvrir ce produit, j’ai organisé un mini challenge dans le club. Les résultats ont été au-delà de mes espérances. Les vélos sont littéralement pris d’assaut, plus de 2000 km parcourus et plus de 50 000 calories sont brulées chaque mois. Nos adhérents partagent leur résultats, suivent leurs progrès sur internet, trouvent un réel plaisir et une réelle motivation dans la pratique du cardio. Leur satisfaction augmente et j’ai remarqué une nette augmentation de mon taux de réabonnement. Je pense également équiper mes autres clubs très rapidement.” Jacques MICHAUD, Amazonia, Bordeaux.

“J’avais décidé de mettre des vélos Expresso pour l’ouverture de mon club Fitness Park à Bordeaux car, pour attirer de nouveaux adhérents, je voulais montrer un produit nouveau et attractif. J’ai placé les vélos bien en évidence à l’entrée de notre espace cardio et lorsque je fais découvrir notre club à un nouveau prospect, je finis le tour par les vélos Expresso. Ils sont immédiatement enthousiasmés par le coté ludique de ce produit et l’intérêt de joindre l’utile à l’agréable. Il est clair que ce produit innovant m’aide à faire la différence pour concrétiser un nouvel abonnement. Il est également intéressant de noter que ce sont les "anciens" utilisateurs qui encouragent les "nouveaux" à venir les essayer tellement le produit leur plait.” Christophe LEMONTE, Fitness Park, Bordeaux.

“Les vélos Expresso donnent un vrai plus à notre espace cardio, nos clients nous répondent qu’ils sont plus motivés, que le temps passe plus vite grâce au côté ludique. Nous organisons des tournois qui donnent du dynamisme et de l’animation à notre espace cardio. Les prospects lorsqu’ils visitent le club sont très intrigués par ce produit et très étonnés de ce qu’il permet de faire. Il est clair que ces vélos sont un plus pour transformer la visite en adhésion et qu’en plus ils contribuent à la fidélisation de nos clients existants”. Sébastien GUILLIEN, Liberté Fitness, Morteau.

Plus de 2000 participants et 50 clubs ont part icipé au 1er challenge interclubs national organisé par Hitech Fitness.

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Après avoir débuté la diversification vers l’âge de 5 mois révolus et avoir commencé par les fruits et légumes en purée et compotes, ainsi que des féculents (purée de pommes de terre, petites pâtes…), nous recommandons d’introduire un peu de viande (1 cuillère à café, mixée), de poisson (1 cuillère à café) ou d’oeuf (1/4 d’oeuf dur émietté) vers l’âge de 7-8 mois.

il est important de respecter de très petites quantités à augmenter progres-sivement afin de ne pas provoquer de surcharge protéique. Le schéma tradition-nel d’augmentation progressive de cette famille d’aliment est le suivant : • à 1 an, ne pas dépasser 1/2 oeuf par jour

(ou 20g de viande ou de poisson) • vers 4 à 5 ans : 1 oeuf par jour (ou 40g

de viande ou de poisson) • à partir de 10 ans : 2 oeufs (ou 100g de

viande ou de poisson)

Les nourrissons, comme les très jeunes enfants, ont des organismes encore fra-giles en raison de l’installation progres-sive de leurs défenses immunitaires, c’est pourquoi il faut prendre des précautions sanitaires tant dans le cadre de l’alimen-tation que dans celui de la vie en géné-

ral. toutes les familles des aliments sont concernées (pas de viande ni de poisson cru, crudités bien lavées, éviter les fro-mages au lait cru …).

en ce qui concerne les oeufs, il est conseillé d’en donner sous une forme bien cuite (omelette, dur, oeuf sur le plat) et dans tous les cas préférer la période pendant laquelle ils sont extra frais (dans les 9 jours suivant la ponte). Une fois achetés, conserver les oeufs au réfrigérateur en respectant la DCr (date de consommation recommandée). Ne pas laver l’oeuf avant de le consommer. Ne pas conserver plus de 24 heures les préparations maison faites avec de l’oeuf cru (mayonnaise, mousse au chocolat …).

L’oeuf apporte également beaucoup de vitamines : la consommation de 2 oeufs couvre (AJR) :

• 100% du besoin en vitamine B12• 50% du besoin en vitamine K• 40% du besoin en vitamine D• 25 à 30% du besoin en vitamine A• 20 à 25% du besoin en vitamines B2, B5, B9• 10 à 20% du besoin en vitamines E, B8

A noter que ces teneurs en vitamines restent élevées même au bout de 30 jours après la ponte. Lors de la cuisson, les pertes en vitamines sont légères, le plus souvent de moins de 10%.

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Chez l’enfant et l’adolescent Les enfants et les adolescents, qu’ils soient filles ou garçons, aiment en géné-ral les oeufs. il est amusant de constater que l’oeuf n’est pas sexué, à la différence, par exemple, de la viande et du poisson : les garçons préfèrent la viande rouge ; les filles, la viande blanche et le poisson. De plus, l’oeuf s’accommode de recettes aussi bien salées que sucrées et c’est pourquoi il est si souvent apprécié des enfants et adolescents. ils ont le choix ! Les parents pensent trop souvent et à tort que la viande a, seule, la capacité de favoriser la croissance, le développe-ment et la force des enfants. rien n’est plus faux car les protéines d’oeuf sont de meilleure valeur nutritionnelle que celles de la viande. C’est donc un préjugé qu’il faut combattre, d’autant que dans l’oeuf, l’enfant trouvera beaucoup d’éléments nutritionnels qu’il trouve par ailleurs soit dans la viande (fer, vitamines du groupe B), soit dans le poisson (iode, sélénium, vitamines du groupe B, oméga 3), soit dans aucun des deux (vitamine A). Donc pas d’hésitation, un enfant ou un adolescent peut manger très souvent des oeufs s’il le souhaite, en alternance avec la viande, le poisson, les fruits de mer… sur la base du système d’équivalences en protéines : 2 oeufs apportent autant

de protéines qu’un petit steak de 50g de viande ou qu’un filet de poisson (envi-ron 100g). Au delà de 10 ans, un enfant mange les mêmes quantités qu’un adulte.

Chez l’adulte On estime qu’en moyenne un Français consomme 230 oeufs par an soit plus de 4 oeufs par semaine, à la fois dans les produits transformés et en consomma-tion directe. C’est bien, mais peut mieux

faire ! en effet, trop souvent les consom-mateurs ont encore ce préjugé que man-ger des oeufs peut augmenter le taux de mauvais cholestérol. pourtant les don-nées d’études sont claires : chez le sujet sain, manger un oeuf par jour n’augmente ni le taux de LDL cholestérol, ni le risque cardiovasculaire. De nombreuses études l’ont bien montré. Le cholestérol de l’oeuf n’augmente pas le risque cardio-vasculaire. (Kritchevski sB, 2000 - song Wo NHANes ii, 2000) - Manger un oeuf par jour n’augmente pas le taux de LDL cholestérol. (Hasler, 2000, Kritchevski sB, 2004). La consommation d’oeufs pourrait même faire baisser le taux de LDL cholestérol (song Wo, J Am Coll Nutr, 2000) - L’American Heart Asso-ciation ne recommande pas de limiter les oeufs en prévention cardio-vasculaire. Ce n’est d’ailleurs pas étonnant quand on sait que l’essentiel de notre production interne de cholestérol vient du foie : c’est lui qui fabrique notre cholestérol car il est utile (synthèse de vitamine D, de corticoïdes, de sels biliaires utiles à la digestion des lipides …). Le cholestérol alimentaire a en réalité peu d’impact sur le taux de choles-térol sanguin.

L’oeuf pourrait même être protecteur contre les maladies cardio-vasculaires, car non seulement ses lipides sont pauvres en graisses saturées, mais de plus il contient des antioxydants (sélé-nium, vitamine A et e).

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références• Kritchevsky SB an coll. A review of scientific research and recommandations regarding eggs. J

Am Coll Nutr 2004, 596-600 s. review• Kritchevsky SB and coll. Egg consumption and coronary heart disease : an epidemiologic review.

J Am Coll Nutr 2000 Oct 549-555 s. review• Moeller SM et coll. The potential role of dietary xantophylls in cataract and age-related macular

degeneration.J Am Coll Nutr, 2000, Oct, 522-527 s

• Sauveur B. Reproduction des volailles et production d’oeufs. Edition INRA, 1988• Shapira N and coll. Modified egg as a nutritional supplementation during peak brain development :

a new target for fortification. Nutr Health 2009 : 107-18• Song Wo and coll. Nutritionnal contributions of eggs to American diets. J Am Coll Nutr 2000, 556-562 S• Vishwanathan R and coll. Consumption of 2 and 4 egg yolks/d for 5 wekks increases macular

pigment concentrations in older adults. Am J Clin Nutr 2009 Nov, 1272-9• Répertoire général des aliments. Ciqual, 1995 »

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Faire Face a la grippeComme vous en avez peut-être déjà fait l’expérience, la grippe est beaucoup plus grave car elle est généralement accompagnée de courbatures et de fièvre. C’est pour cette raison que votre système immunitaire est beaucoup plus sollicité par la grippe que par un simple rhume. Dès lors, l’entraînement pourrait être mauvais, non seulement pour votre croissance musculaire, mais aussi pour votre santé. souvenez-vous que l’entraînement peut vous aider à augmenter votre masse musculaire, à perdre de la graisse et à vous sentir bien et énergique, mais que c’est aussi une activité catabolique. Le corps doit être en bonne santé pour pouvoir passer de l’état catabolique causé par l’exercice à un état anabolique permettant la récupération et la croissance musculaire. si vous avez la grippe, votre corps est déjà en train de combattre un état catabolique causé par l’influenza virus et dans ce cas, la musculation ne ferait qu’augmenter le niveau du catabolisme, ce qui aurait un effet négatif sur l’efficacité de votre système immunitaire et vous rendrait encore plus malade.

C’est pour cette raison que vous ne devez absolument pas vous entraîner si vous avez la grippe. Concentrez-vous à la place sur une bonne alimentation, et buvez de grandes quantités de liquides (eau et boissons de substitution électrolytes de type QNt isOCHArge, afin d’empêcher la déshydratation).

Une fois que vous êtes complètement guéri de la grippe, vous pouvez lentement reprendre votre programme de musculation, mais en utilisant des poids plus légers que d’habitude. Ne forcez pas trop pendant la première semaine. répétez ce programme allégé la semaine suivante en poussant un peu plus, et à la fin de la troisième semaine de votre programme, vous devriez avoir repris un rythme normal.

TraiTer un simple rhumesi vous souffrez d’un simple rhume et si le virus est bénin (on sait qu’il est bénin lorsque les symptômes ne sont que le nez qui coule et une faible toux), vous pouvez continuer à vous entraîner tant que vous arrêtez vos séries avant d’atteindre l’insuffisance musculaire, et à condition de diminuer vos poids de 25 pour cent (divisez par quatre la masse des poids que vous utilisez habituellement et vous saurez ce qu’il faut enlever) pour vous éviter de forcer. A nouveau, si vous vous sentez diminué, courbaturé, et souffrez d’un mal de gorge et de migraines, il serait mieux d’arrêter l’entraînement jusqu’à ce que les symptômes aient disparu. A ce moment, suivez les recommandations qui sont décrites ci-dessus pour la grippe pour recommencer l’exercice. rappelez-vous que votre système doit déjà combattre les virus. inutile de lui compliquer la tâche en augmentant les activités cataboliques, évitez donc les séances d’entraînement intense pendant ce temps-là.

si vous souffrez d’autre chose qu’un rhume ou la grippe, vous devriez consulter un médecin.

Après avoir vu comment un rhume ou la grippe peuvent ralentir votre progression, nous allons maintenant voir comment nous pouvons empêcher les virus de nous infecter pendant la saison de la grippe, et même pendant toute l’année.

prevenTionOn ne sait toujours pas pourquoi la saison des rhumes et de la grippe tombe généralement pendant l’hiver, mais ce que l’on sait, c’est que le virus doit pénétrer dans le système pour pouvoir nous infecter. il est donc logique de mettre en pratique une approche préventive en deux temps : 1. Empêcher le virus d’infiltrer votre système.

en gardant à l’esprit que les virus du rhume se transmettent par le contact humain, qu’ils entrent dans le système par la bouche, les yeux et le nez, et qu’ils peuvent rester actifs jusqu’à trois heures, voici ce que vous pouvez faire pour les empêcher d’entrer :

a. Evitez de toucher votre visage avec vos mains. b. Lavez fréquemment vos mains avec un

savon antibactérien pendant la journée (en particulier après votre séance à la salle de sport).

2. maintenir le système immunitaire opérationnel et efficace à tout moment. rappelez-vous que trop d’exercice, une mauvaise alimentation et trop peu de sommeil augmentent l’état catabolique, et faites ceci :

a. Evitez le surentraînement en ne dépassant pas 60 minutes par séance et en utilisant des tactiques de périodisation en variant vos répétitions, en vous reposant entre chaque exercice et en espaçant vos séances d’entrainement avec des journées complètes de repos.

b. Gardez une alimentation équilibrée comme décrite dans l’article et évitez les plats préparés qui contiennent un taux élevé de graisses saturées, de sucres et farines raffinés, car ce genre d’aliments diminuent l’efficacité du système immunitaire.

c. Dormez suffisamment (entre 7 et 9 heures, selon vos besoins individuels).

Alors, souvenez-vous, restez en forme en suivant les conseils donnés ci-dessus et si vous tombez malade, « Ne battez pas un cheval fatigué », comme le disait l’ancien Mister Olympia Lee Haney. reposez-vous donc jusqu’à ce que vous alliez mieux ! sinon, vous finirez par être encore plus malade et cela vous empêchera de vous rendre à la salle de sport pendant plus longtemps encore.

rien ne peut interrompre les progrès d’un passionné de fitness comme la maladie. on me demande souvent s’il faut continuer à s’entraîner lorsque l’on est malade. En fait, la réponse à cette question dépend de ce que l’on entend par malade. parle-t-on d’un rhume ? De la grippe ? D’allergies ?beaucoup de gens confondent un simple rhume et la grippe. Il s’agit pourtant de deux types de maladies différentes. La grippe est causée par des virus connus sous le nom de influenza virus a ou influenza virus b, tandis que le rhume est causé par des virus appelés coronavirus et rhinovirus. Il existe plus de 200 sortes différentes de coronavirus et de rhinovirus. Lorsque vous êtes infecté par l’un de ces virus, votre système immunitaire construit une immunité permanente contre lui, et c’est ainsi que le même virus ne vous infectera jamais deux fois. cependant, les autres virus, ceux qui ne vous ont pas encore infecté, sont toujours présents, et il y a de quoi être malade toute sa vie.

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par Hugo rivera

Faut-il s’entrainer lorsque l’on est malade ?

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par pascal turbil

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LyoN au pied dela montagne

La plus grande salle d’escalade de FranceAprès 4 mois d’importants travaux, le Mur de Lyon a inauguré le site en tête de l’es-calade indoor en France. Un équipement sportif exceptionnel, conçu et encadré par une équipe de champions de la discipline. sportive, ludique et équilibrée, accessible à tous les publics de 2 à 99 ans, portrait d’une discipline qui grimpe.

Avec près de 200 000 visites par an de prati-quants occasionnels et réguliers, de l’initiation à la compétition, le Mur de Lyon est l’une des installations sportives les plus fréquentées de l’agglomération.Un engouement qui a nécessité l’extension et la modernisation de ses installations pour assurer des conditions d’équipement, de sécu-rité, de confort et de dé-tente optimum. Le rem-placement intégral de la

toiture améliore l’apport en lumière naturelle et l’agrément de grimpe. La construction d’un nouvel espace en mezzanine, équipé de spectaculaires murs en plexiglass, ouvre 80 voies d’escalade supplémentaires.

Avec un espace fitnessLa sensibilisation et la formation à l’esca-lade des jeunes publics – 500 enfants sont accueillis chaque semaine sur le site notamment dans le cadre du sport sco-laire – reste l’une des priorités du Mur de Lyon : un espace entièrement dédié aux enfants propose de nouveaux murs de 4 à 8 mètres qui permettent une pratique et un encadrement spécifiques. Le bar et l’aire de repos, le sauna, les vestiaires et espace fitness nouvelles versions ouvrent égale-ment en cette rentrée. Le Mur de Lyon affirme sa vocation de centre sportif de premier plan grâce, no-tamment, au très haut niveau d’encadre-ment dispensé par les champions de la team, dont trois en compétition au Cham-pionnat du Monde 2012.

Emmené par un championDirigé, depuis 2006, par François petit, Champion du Monde d’escalade, actuel

entraîneur de l’équipe de France de Bloc, le Mur de Lyon, créé en 1997, confirme sa vocation de premier de cordée et devient la vitrine française et européenne de « Climb’Up », réseau de salles d’escalade en France en forte expansion. C’est donc un champion à la tête bien pleine, ingénieur diplômé de l’iNsA Lyon, qui dirige avec passion une équipe de 14 personnes, dont de nombreux grimpeurs de haut niveau en charge de la formation et de l’encadrement des publics.

Accessible à tous en toute sécuritéil en va de l’esclade comme de tous les sports présumés « dangereux », ils sont particulièrement encadrés et sécurisés. Accessibles en toute sécurité aux grim-peurs débutants ou confirmés dès l’âge de 2 ans, les 290 voies du Mur de Lyon qui revendique un positionnement sportif et non une aire de jeu et de loisirs proposée par d’autres sites.

en témoignent ces quelques chiffres : 2400m2 de surface grimpable du 3e au 8e degré, avec tous types de supports : Dalles, dièdres, devers, toits, etc. 750m2 de zone de pans et blocs 14m de hauteur sous

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plafond 110 lignes de corde, 400 voies de 6 à 21m de hauteur(soit 80 voies supplémentaires depuis les travaux), renouvelées tous les 6 mois. 20 000 prises de nouveaux murs inédits en plexiglass une nouvelle toiture vitrée. Un parcours aventure indoor, composé d’une tyrolienne, d’un pont de singe, d’un pont népalais... Un nouvel espace d’initia-tion et d’entraînement enfants cordes et dégaines à disposition, location de maté-riel (chaussons, baudriers...). L’escalade est un sport particulièrement complet, il allie des mouvements courts et intenses à un travail de résistance avec un enchaî-nement continu des mouvements. Les membres sont particulièrement sollicités, mais un entraînement régulier amène à une pratique sportive très complète faite de souplesse, d’équilibre et coordination. Des qualités qui priment, plus que la force musculaire. L’escalade sollicite également le mental : l’ascension verticale requiert contrôle et confiance en soi ; le franchis-sement de chaque voie nécessitant une prise de décision avec un niveau de diffi-culté croissant.

Des équipements complémentairesCet ensemble abrite une salle de fitness accessible à partir de 16 ans à tous les grimpeurs du Mur de Lyon, équipée d’une dizaine d’appareils. et, pour une fois, le mur d’escalade n’est pas inclus comme activité commplémentaire d’une salle de fitness, mais c’est bien le contraire. Le lieu propose également un espace détente avec des boissons et de la petite restaura-tion, possibilité de pique-nique sur place.

Les vestiaires ont été entièrement réamé-nagés, en axant sur le confort : sauna, douches, toilettes. et, bien-sûr la boutique d’équipements et de produits pour l’escalade.

Dans la pratiqueLe Mur de Lyon est ouvert à tous, de 2 à 99 ans. Un accueil et encadrement sont aussi adaptés aux personnes handicapées. Le Mur de Lyon est ouvert 7 jours sur 7 toute l’année. tous les jours de 9h à minuit, y compris week ends et jours fériés (sauf 25 décembre et 1er janvier).

Ouverture à 8h pour les groupes sur ré-servation. Côté équipement, il se limite à des chaussons d’escalade avec semelle en gomme résinée et baudrier, un harnais placé autour du bassin et des hanches pro-tégeant en cas de chute. Autant d’outils qui peuvent même être loués en salle.

www.lemurdelyon.com

L’avis du médecinAlain Hernandez, médecin généraliste et grimpeur passionné

Peut-on conseiller la pratique de l’escalade à tout le monde ?il n’y a pas de contre-indication à la pra-tique de l’escalade. A tout âge, sportif ou non, il est possible de démarrer l’escalade en toute sécurité si l’on est bien encadré. Les enfants, les seniors, les personnes handicapées trouvent par exemple dans l’escalade une pratique sportive équili-brée sur le plan sportif et psychologique. il n’y a pas de contre-indication à la pra-tique de l’escalade.

L’escalade est-elle un sport «complet» ? il est clair que c’est un sport qui implique le musculaire (force et souplesse) le cardio (effort court à fréquence élevée, effort long à fréquence basse), et la tête (détermination, lucidité et sang froid). pour avoir une pratique sportive vraiment complète, il est intéressant de pratiquer en parallèle une activité d’endurance, le vélo, la natation ou la marche.

Cette activité est largement proposée aux enfants et aux jeunes, notamment dans le sport scolaire.

D’un point de vue médical, quels sont les principaux apports de cette pratique ? Le renforcement musculaire, notamment le gainage abdominal, le dynamisme, la précision du geste, la coordination, la maîtrise de l’équilibre, la gestion du stress, le dépassement de soi, la concen-tration, l’apprentissage de la responsabi-lité... , sont des apports particulièrement importants, notamment pour les enfants et les jeunes.

Toujours d’un point de vue médical, à quelle fréquence l’entraînement ama-teur est-il recommandé ?Deux à trois séances par semaine. Mais l’escalade est un sport passion, et des en-traînements plus fréquents ne présentent pas de risque significatif.

Quelles sont les précautions à prendre pour une bonne pratique de l’escalade ?La sécurité bien sûr et physiquement :

l’échauffement, une gestuelle et une technique correctes pour prévenir les blessures tendineuses ou musculaires. pour toutes ces raisons, une formation et un suivi par des professionnels brevetés sont indispensables pour éviter des problèmes qui peuvent devenir chroniques et gêner l’activité et la progression (tendinopathies du membre supérieur, blocages vertébraux).

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Le nouveau rapport de Life Fitness met en évidence un lien direct entre technologie et réussite des entraînements. L’étude « Fitness and Technology» montre qu’un tiers des sportifs sont prêts à changer de salle de fitness pour accéder à une technologie plus performante. Résultat, choisissez plutôt du matériel connecté…

tous les opérateurs français, quelle que soit la taille et l’importance de leur enseigne, ne cessent de le répéter : Le fitness connaît un souffle nouveau et il existe une place pour tous les genres de clubs, du plus luxueux au moins cher. L’arrivée du low cost a ainsi mis un grand coup de pied dans les habitudes, amnenant de nouveaux adhérents dans un nouveau style de salles. Un constat à rapprocher des éléments de l’étude proposée par par « Life Fitness », leader mondial de la fabrication d’équipement de fitness professionnel. Le célèbre fabricant vient, en effet, de publier (octobre 2012) son étude « Fitness and technology ».

Sportif low cost et high tech, tous connectéselle montre notamment que près des trois-quarts des sportifs réguliers utilisent des appareils technologiques, quels qu’ils soient, pendant leur entraînement. parmi ces appareils, il peut être question de smartphone, comme d’un appareil de cardio training connecté. Les adhérents des salles low cost, qui viennent s’entraîner

seuls, casque sur les oreilles, font donc partie de ces statistiques… tout comme ceux des clubs très haut de gamme qui ne travaillent que sur des machines high tech. plus de la moitié des sondés considèrent qu’ils atteignent plus efficacement leurs objectifs de poids et de forme grâce à la technologie. La nouvelle étude a évalué les habitudes des sportifs de sept pays qui possèdent des smartphones ou des tablettes et qui s’entraînent au moins deux fois par semaine.

technologie omniprésente« La technologie est intégrée à tant d’aspects de nos vies aujourd’hui mais dans ce rapport, nous sommes parvenus pour la première fois à montrer à quel point les sportifs sont connectés aujourd’hui et quel accès ils aimeraient avoir demain, » a déclaré Chris Clawson, président de Life Fitness. « C’est une information cruciale pour les salles de fitness du monde entier, pour les aider à comprendre quels outils technologiques motivent leurs membres pour qu’ils continuent de faire du sport et renouvellent leur adhésion au club. »

un outil essentiel pour atteindre ses objectifs72 % des personnes qui font de l’exercice utilisent un type d’appareil technologique pendant leur programme d’entraînement et plus de la moitié se considèrent mieux

armés pour atteindre leurs objectifs de poids et de forme grâce à ces appareils. 62 % des consommateurs utilisent un contenu électronique, quel que soit son type, en dehors de la salle de gym pour soutenir leur programme d’entraînement comme des sites Web, des applications ou des médias sociaux qui proposent des conseils ou un suivi des progrès réalisés.

prêts à changer de clubs33 % des sondés ont déclaré qu’ils seraient prêts à changer de salle de sport pour obtenir un ou plusieurs outils technologiques si les prix et l’emplacement géographique étaient similaires. 96 % des sondés ont déclaré qu’ils trouvaient souhaitable d’avoir un accès au contenu en ligne sur l’équipement, 75 % déclarant qu’ils aimeraient accéder à de la musique et à des clips, qui sont leur contenu favori. il s’agit ainsi pour les clubs de garder le rythme avec les jeunes sportifs amateurs de technologie. Les trois-quarts des sondés de 30 ans ou moins ont déclaré qu’un accès à leur contenu personnel les encouragerait à venir s’entraîner plus souvent. enfin, 72 % des jeunes sportifs ont déclaré utiliser actuellement des sites Web, des applications et/ou des médias sociaux pour soutenir leurs entraînements.

Site : www.lifefitness.fr

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Fitness and Technologyl’importance des appareils connectés

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CommerCial Chez moVing« J’ai découvert l’univers en 1999 en tant que salarié. Commercial chez Moving. J’ai fait évoluer mon équipe et développer le club. Malheureusement le propriétaire a pourtant été contraint de déposer le bilan… » Un mal pour un bien puisqu’en 2003 Fabien Lafage fait une proposition de reprise, malgré un passif de 1 million d’euros : « Lorsque l’on va voir les banques avec ce type de dossier, elles ne se cachent même pas pour vous rire au nez. seul le LCL de rueil m’a permis d’ouvrir un compte avec 500 euros de découvert autorisé. Je n’ai rien lâché. Chaque mois je me demandais comment j’allais payer les traites, et deux ans sans crédit ça aiguise le sens de la gestion autant que le caractère. J’ai tout de même réussi à faire progresser le club. On est passé de 8 à 38 cours par semaine (introduction en 2003 de cours Les Mills). J’ai également plongé pour les cours de Zumba dès les débuts en France, grâce à un article de présentation de cette nouvelle discipline que j’avais lu dans… Vive la Forme. J’ai agrandi les espaces, installé une piscine, puis introduit l’aquabiking avec serge palisser… en 2010 je rachetais les murs, obtenais, enfin, un crédit à la banque (1,7 million d’euros) pour agrandir le club, de sorte

qu’en 2011 je ré-ouvrais Aqualoft (77) nouvelle formule. pour la petite histoire mon timide cours de Zumba du lundi soir s’est trans-formé en passage obligé du club avec plus de 100 personnes à chaque séance.

réserVations sur le webLe club de seine et Marne compte à ce jour 3000 membres. L’objectif est de l’aug-menter de 700 à l’hori-

zon 2014. Aqualoft (77) s’étend désormais sur 1900 m2 (piscine comprise) et les cours –secs et aqua- sont régulièrement pris d’assaut. pour éviter leur surcharge, Fabien Lafage fonctionne selon un système de réservation en ligne : « J’utilise résamania, notamment pour le rpM et Aquabike. tout se passe par internet et chaque inscription coûte 1 euro. Au début cela n’a pas été facile, mais il était impossible de gérer les réservations à l’accueil. et puis, il n’y a rien de plus frus-trant que de quitter son travail avec son sac de sport, d’arriver à la salle prêt pour son cours de rpM préféré et ne pas pouvoir y participer faute vélo disponible. Les clients ont très vite compris l’intérêt de ce type de réservation et aujourd’hui le système fonc-tionne parfaitement. »

« Je fonCtionne aux opportunités »Fabien Lafage aurait très pu bien continuer tranquillement à gérer son club proche de Marne-la-Vallée, mais une autre opportunité s’est présentée à lui en 2005, à Créteil (pendant qu’il s’escrimait à remonter le club de seine et Marne). Un ancien club Moving (encore) déposait son bilan. Cette fois la méthode était éprouvée. reprise du club avec « zéro crédit » et pourtant : « J’avais un accord verbal avec la Bred, mais au moment de payer les fournisseurs ils se sont rétractés. J’ai failli déposer le bilan à mon tour… ». Qu’à cela ne tienne, Fabien Lafage serre les dents autant que son budget et passe l’obstacle. Après avoir remonté le club en appliquant sa méthode de gestion, il revend « Créteil » en 2010 pour répondre à une autre opportunité, l’achat du fond de commerce du club de Aix-en-provence, Aqualoft Aix ouvert en septembre dernier. Là encore, le même esprit Aqualoft. Un club de 1100 m2 avec une immense terrasse et des espaces comme les mobiliers soignés : « Je suis particulièrement fier de mes tous nouveaux casiers métallisés à digicode. Je les dois à Alain eidel…

aqualoft

un premier club en 2003 à Saint-thibault des Vignes (77), puis un deuxième à rueil-malmaison (92) et un troisième cette année à aix-en-provence (13)… Le développement de l’enseigne aqualoft va doucement mais sûrement. un rythme qui correspond à son propriétaire, Fabien Lafage, jeune entrepreneur du fitness, qui malgré son âge, 35 ans, gère ses clubs en « bon père de famille », avec une vision toute personnelle. Et ça marche !

100% des actifs appartiennent à Fabien Lafage. Le « détail » a son importance. car la philosophie du patron est simple : faire au mieux avec ce que l’on a ! pas question de dépenser de l’argent que l’on ne possède pas. a 35 ans, Fabien Lafage est déjà propriétaire de trois clubs. pourtant, cet autodidacte n’appartient pas au sérail du fitness. un jeune homme à part, qui cumule pourtant une douzaine d’années d’expérience : « parisien d’origine, j’étais sportif de haut niveau (handball) et mon seul diplôme est un bEp de tourneur fraiseur. » pas franchement le portrait type du patron de salle. Et c’est peut-être son atout.

Avec gandalf en mai dernier lors d’une convention organisée par Aqualoft

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s’appuyer sur des expertstoujours dans l’intervalle, Fabien Lafage repère un dépôt de bilan en juin 2009 d’un club des Hauts de seine (rueil Malmaison). Là encore le challenge lui paraît relevable. il plonge. Met ses biens en caution à la banque et ouvre son nouveau club un an après (juin 2010). Le club qui compte 1900 membres (objectif 2500 à deux ans) pour 1300 m2 fonctionne selon le même principe. Un maximum de qualités et de services offert aux adhérents : « Je suis un commerçant au sens propre du terme. Je ne néglige pas le client. Au contraire. » Dans la pratique cela se matérialise par un matériel haut de gamme, de l’espace, des installations confortables, piscine ou jacuzzi, hammam, sauna et vestiaires agréables : « pour ces équipements spécifiques, j’ai souhaité faire appel à un expert. Un club de sport, ce n’est pas qu’une la salle. tout compte ! personnellement je me mets à la place de l’adhérent et je recherche le mieux pour lui. Dans ce contexte j’ai demandé conseil à Alain eidel (Actech. s.A.) pour l’aménagement du club en général et de la partie vestiaire en particulier. Je suis très satisfait des résultats. » Demander conseil aux experts et leur faire confiance fait partie intégrante de la méthode de fonctionnement du patron d’Aqualoft : « en un an j’ai subi quatre contrôles fiscaux et UrssAF… Les inspecteurs sont toujours repartis bredouilles. D’abord parce que je suis raisonnable, je n’ai pas besoin de Ferrari ou de porsche, mais aussi et surtout parce que je suis parfaitement épaulé côté juridique : expert comptable et avocat.

donner des perspeCtiVes aux salariésUne autre facette de la méthode, le management. Avec une quinzaine de salariés par club, Fabien Lafage se doit de soigner cet aspect : « Le principe majeur est de donner des perspectives aux salariés. Qu’ils sachent pourquoi ils travaillent et qu’ils perçoivent des possibilités d’évolution. sinon pourquoi rester dans un club plutôt qu’un autre ? » La formule semble fonctionner, si l’on en juge par le nombre de profs qui frappent à sa porte… Des profs et des commerciaux qui sont certainement au courant des pratiques

maison, notamment le classique séminaire qui réunit chaque année tous les salariés : « La dernière fois nous étions au Club Med à Opio, une ambiance formidable, nous avions loué un catamaran, c’est formidable pour la cohésion des équipes. » La motivation ne s’arrête pas au séminaire annuel. Les profs touchent par exemple une prime sur les objectifs du club. et côté ambiance, partage et cohésion, les commerciaux comme le patron participent aux cours des profs.

a l’éCoute des adhérents en tant qu’ancien commercial pour club de Fitness, le patron sait aussi qu’il faut prendre des nouvelles régulières des adhérents : « Les commerciaux suivent les clients, ne serait-ce que par les contacts qu’ils sont « obligés » de prendre les 14e, 42e et 84e jour. il faut prendre des nouvelles d’eux et prendre en compte leurs remarques. » C’est de cette manière que les trois clubs progressent : « Nous mettons des bracelets d’une couleur différente aux débutants pour les profs les repèrent et prennent soin d’eux. toutes les remontées concernant la lumière, le son ou les fontaines à eau ont été suivies d’effet ».

ne pas Comparer une lada et une auditout semble donc aller parfaitement pour Aqualoft qui vit pourtant dans un monde en pleine mutation, notamment celle du Low Cost. Un secteur qui n’effraie pas Fabien Lafage : « en seine et Marne, ils sont à 600 mètres de chez moi. Je passe sur les méthodes de tractage et de recrutement, mais franchement, on ne peut pas comparer une Audi à une Lada. Le low cost est parfait pour ceux qui recherchent un plateau de musculation et qui savent s’entraîner seul. C’est d’ailleurs vers cette solution que nous entraînons certains clients. Mais côté qualité, encadrement et suivi, c’est zéro. » Le low cost ou le bas de gamme ne font donc pas peur à Aqualoft qui s’est positionné « qualité », tout en essayant d’appliquer le juste prix. Des abonnements mensuels autour de 80 euros (84 euros à rueil, 77 euros à Marne), avec en plus : 99 euros de droit d’entrée, non négociable auxquels il faut ajouter un euro par cours pour les réservations de rpM et d’Aquabike. il existe également quelques subtilités comme cette formule « privilège » pour les tous premiers abonnés, qui donne accès à tout avec un tarif gelé à vie pour les renouvellements (69 euros). C’est ainsi qu’à Marne, certains clients paient encore 22,71 euros par mois pour un accès à tous les services. Autre possibilité avec la formule « Liberté » à 100 ou 120 euros/mois qui donne accès à tout sans engagement sur l’année. Le client peut partir quand il le souhaite… Des adhérents qui font plutôt le chemin inverse (qui s’inscrivent). ils semblent avoir raison puisqu’aujourd’hui Aqualoft c’est trois clubs (13, 77, 92) ouverts 7jours/7, qui fonctionnent selon le principe du réseau : un client peut fréquenter tous les clubs avec le même abonnement. et qui sait si d’autres opportunités de reprises de clubs ne séduiront pas Fabien Lafage ?

www.aqualoft.fr

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Comme pour le rpM, les cours d’Aquabikese réservent à l’avance sur le web (1 euro€)

en bonne place au tableau des cours, les programmes Les Mills

rpM façon boite de nuitAmbiance lof design à Aix-en-provence

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[ NeWs ] www.vivelaforme.com

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MATRIX met en place le plus grand plateau de tapis du monde à l’Aquaboulevard

partenaires depuis 3 ans, le club Forest Hill de l’Aquaboulevard et Matrix innovent et voient le fitness en grand !

Après le succès du studio Matrix Live, concept regroupant 160 machines, dont 90 vélos, 40 Krankcycles et 30 tapis Wellwalk, dans une mise en scène entre cocooning sous toiles tendues et disco aux éclairages multicolores pendant les cours collectifs, c’est au tour du plateau cardio d’établir un record d’échelle…

en effet, 116 tapis de course t5X Matrix ont été mis en place, élevant à 400 le nombre d’appareils cardio disponibles sur le pla-teau à l’entrée du club Forest Hill de l’Aqua-boulevard de paris... Un record mondial en nombre de tapis pour un même plateau de cardio training !

par ailleurs, le renouvellement de l’équi-pement musculation a commencé aussi à l’Aquaboulevard, avec la ligne g7 de Ma-trix et les poids libres en g3.

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LA GyM SUÉDoISE® MET LES hoMMES À L’honnEURPendant tout le mois de décembre, la Gym Suédoise® met les hommes à l’honneur. plébiscitée par les femmes, cette pratique sportive présente de nombreux atouts pour les hommes : en complément d’une autre activité (sports de raquette, jogging,…), pour récupérer après une blessure ou tout simplement pour se maintenir en bonne condition physique, la gym suédoise® séduit de plus en plus le sexe dit « fort »… elle complète idéalement les autres activités dites masculines (sport co : rugby, foot, handball, ou encore la boxe ou les arts martiaux). La gym suédoise® pour les hommes, c’est une activité que l’on peut aussi bien pratiquer avec sa moitié, ses amis ou ses enfants (pendant les cours famille), qui présente des mouvements simples permettant de travailler la coordination et d’assouplir le corps.

résultat : le bien-être assuré !

Eric, cadre de banque, témoigne : « La Gym Suédoise ® ?... Que du bon pour le corps et pour l’esprit ! Une heure de sport, intensive mais équilibrée, dans la bonne humeur et sur des musiques pour le moins stimulantes. On en sort avec la pêche, et en super forme. Je trouve les exercices très complets : pas mal de «muscu», mais aussi souplesse, rythme, étirements, et pour finir relaxation. Franchement, messieurs, ne croyez pas que ce soit réservé à ces demoiselles ! »

parmi les différents cours dispensés par la gym suédoise®, ceux qui sont le plus pratiqués par les hommes sont le Cardio stretch et l’intensif qui mettent plus particulièrement l’accent sur le cardio stetch et le renforcement musculaire. Ces cours nécessitent une très bonne condition physique. pour autant, la force de la gym suédoise® est d’allier santé et bien-être. elle s’adresse à tous les niveaux avec des cours adaptés et permet à tous les hommes de goûter aux bienfaits de l’exercice physique.

New York aux couleurs de reebok, sur la 5th avenue au 420 en plein centre de Manhattan la splendide boutique dédiée entre autres au Cross Fit, même les taxis sont dans le Fit. Au prochain salon du Fitness à paris leur présence sera phénoménale avec plus de 2000 m2 consacrés à l’activité du sport by reebok.

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Être tonique, avoir un corps harmonieux, recher-cher la performance… tous les adhérents Club Med gym se reconnaissent dans ces objectifs. encore faut-il pouvoir y consacrer le temps néces-saire et maintenir sa motivation constante.

En 2013, LA révoLutionArrivE Au CLuB MEd GYMCar la solution existe. De nouveaux entraîne-ments, avec des objectifs précis et des résultats immédiats. Le tout en petit groupe, avec un en-traîneur, donc pour un prix très réduit par rapport au coaching. Dès novembre, les adhérents Club Med gym vont pouvoir tester gratuitement l’un de ces entraînements, destinés aux plus aguerris, en quête de dépassement d’eux-mêmes.

LE CHALLEnGE ? Venir à bout des 30 minutes de cet entraînement à haute intensité. Ceux qui ont tenté l’expérience sont devenus accros dès la première séance. impossible de revenir à la monotonie des anciens entraînements. Une révolution est en marche.

En Quoi ConSiStE LE Grit™ ?

• 30 MINUTES, un format court pour permettre à tout urbain en manque de temps d’optimiser chaque minute,

• Un ENTRAÎNEMENT DE HAUTE INTENSITÉ pour solliciter tous les groupes musculaires par un travail associant musculation et cardio-trai-ning (combinaison de squats, pompes, déve-loppés couchés, step, abdos, …),

• Une MUSIQUE EXPLOSIVE pour maintenir l’énergie au sommet,

• Une EXPÉRIENCE À VIVRE À PLUSIEURS, 5 à 10 personnes au maximum, pour se stimuler dans l’effort et arriver au bout de l’entraînement,

• Un ENTRAÎNEUR qui participe activement pour soutenir, encourager, motiver individuelle-ment et collectivement,

• Et surtout des réSuLtAtS : gain en endurance et tonicité musculaire, perte de poids accélérée due aux calories perdues pendant et après l’en-traînement.

LA RÉVOLUTION GRITTM EN AVANT-PREMIÈRE AU PURE CLUB MED GYM200% SPORT - 200% INTENSITÉ - 200% RÉSULTATS

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[ DisCipLiNe ] www.vivelaforme.com

par pascal turbil

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Un petit quelque chose de « Danse avec les stars » Big Dance remet au goût du jour certaines danses de salon et tient son intérêt (et peut-être son futur succès) du subtile mélange que l’on retrouve dans un cours. Une manière élégante et sportive de « déringardiser » les danses de salon, trop longtemps confinées au rayon des thés dansants des grands-parents. C’est d’ailleurs autour de cette ingénieuse idée que tourne le succès populaire de l’émission de tF1 « Danse avec les stars ». Un programme d’ailleurs diffusé dans le monde entier. C’est sur cette vague que surfe « Big Dance » et cela explique certainement une part de son succès.

Le Big Dance dans la pratique Un cours de Big dance allie les bienfaits de la gym aux plaisirs de la danse ! il rassemble 10 danses. On bouge sur des airs de salsa, samba, chacha, jive, rumba, quick step, tango, valse, merengue et rock. et comme si ce n’était pas suffisant certains formateurs y ajoutent un poil de Bollywood ou un zeste de rumba catalane. Les pas se font à la synchronisation du bassin, des hanches, des bras et du buste. sur des rythmes latinos, on vibre autour d’un programme d’entraînement cardiovasculaire intense. Cela se pratique seul(e) ou à deux.

et surtout, c’est accessible à tout le monde. Autant de danses à la base d’une seule discipline permettent d’en varier les chorégraphies autant que les rythmes, une heure durant. Le corps des pratiquants est mis à rude épreuve pour tenir le cap de ces multiples danses aussi torrides que toniques.

Mi parquet fitness, mi dance-floor Des rythmes endiablés donc, qui assurent une perte de calories (environ 400 par séance) et qui va ajouter à l’intérêt du cours. Mais au-delà de la perte de calories, c’est dans le bien-être et le plaisir de progresser en élégance autant qu’en coordination

« Big Dance »10 danses en une, c’est énorme

il sont encore peu de clubs en France à avoir opté pour cette nouvelle discipline. et pourtant, les cours –essentiellement dans le sud de la France- font le plein. Le monde entier s’y est déjà mis. pourquoi pas nous ?

Le Japon et les etats-Unis sont déjà conquis. en europe, la suisse, l’italie, l’espagne et l’Angleterre connaissent parfaitement « Big Dance ». en France cela démarre, lentement (folie Zumba oblige), mais sûrement. « Big Dance », c’est dix danses en une seule. Le Big pourrait donc tenir son origine dans cette accumulation de disciplines. il n’en est rien. Big est l’acronyme de Ballroom in gym. Une discipline qui mêle les danses de salon au fitness. L’esthétique au cardiovasculaire.

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que ce « sport » va plaire. A la fin d’une saison un pratiquant peut vite arriver à maîtriser les 10 danses en question. et de toutes les manières, il sera devenu maître en synchronisation de mouvements, notamment entre les bras et les jambes. Autre atout : pratiquer cette activité fitness améliore l’endurance, en même temps que vous vous éclatez, vous prenez soin de votre cœur. Ces cours s’adressent à tous et à toutes. Débutants ou confirmés. puisqu’il y a des niveaux de cours.

Un cours structuréComme pour tout cours construit, une séance de « Big Dance » débute par un échauffement. il se fait sur un rythme de samba. Une fois emportée par la dynamique du cours, le rythme s’accélère, avec des airs dits « latinos » qui en enchaînent les pas. La musique poursuit sa progression. elle enchaîne sur des mouvements de valse, salsa, tango, rumba... Les différentes disciplines entrent dans la danse ! Une sorte de marathon de la danse d’où les pratiquants sortent épuisés mais heureux. Arrive alors le moment de redescendre en pression. Le cours se termine alors par une phase d’étirements, plus que nécessaires pour éviter les éventuelles courbatures du lendemain ! pratique toujours, le cours

se donne et se prend en tenue de fitness classique ou en survêtement. Nul n’est besoin de chausser des souliers de danse de salon ou d’enfiler sa plus belle robe à paillettes.

Alain Courte, Master Trainer Franceen France, c’est Alain Courte qui assure les formations. en tant que Master trainer, il délivre ses conseils pour débuter dans la discipline : « Quand j’accueille des nouveaux élèves, je leur demande de bien analyser les pas en comptant et de ne pas se focaliser sur un mouvement qu’ils ne parviennent pas à réaliser la première fois ! Le programme Big Dance est très bien fait, les pratiquants ont quatre chorégraphies pour mémoriser ! Dans la première les élèves analysent les pas, dans la seconde ils comptent en faisant les pas, dans la troisième ils mémorisent la chorégraphie...

et dans la quatrième ils se lâchent !» plusieurs clubs, notamment dans le sud ouest, ont déjà adopté ce cours. C’est notamment le cas Brio’ sport à Castres, où Virginie gasparotto est littéralement tombée sous le charme : « C’est un cours magique, qui plait à toutes nos adhérentes. Dans le tarn nous sommes le seul club à le proposer. » Virginie y croit tellement qu’elle assure des cours en tant qu’animatrice indépendante pour les régions Aude et Hérault.

De la qualité plus que de la quantitéD’autres passionnées comme elle, dispensent ces cours dans les clubs auxquels ils collaborent. Car comme le précise Alain Courte, ce sont les enseignants qui sont propriétaires du cours et non les clubs qui les embauchent. » C’est ainsi que des profs parisiens ou toulousains sont déjà formés. Des enseignants diplômés du fitness et seulement eux, précise Alain Courte, qui souhaite véhiculer de la qualité davantage que de la quantité : « Mes stages et formations ne s’adressent qu’à des pros du sport. il s’agit d’abord d’un enseignement technique, je préfère un développement tranquille mais sûr, à une vague de folie qui ferait certainement des dégâts. »

Renseignements et contacts www.bigdance.fr

Alain Courte www.alaincourte.fr [email protected]

www.briosport.com

Alain Courte

- BegDA - education physique- Vice -Champion du Monde d’Aérobic 95 et 97 - Champion de France Aérobic de 93 à 97 - Champion d’europe Aérobic 93 et 97- Master trainer France Big DANCer tM - Agent exclusif Big DANCe France Formation et Diffusion de Big DANCetM © 2010 Big DANCe tM.

C’est un cours magique, qui plait à toutes nos adhérentes

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L’an dernier Vive la Forme vous présentait la « Fish pédicure ». un soin aussi étrange qu’efficace où l’on place ses pieds dans un aquarium pour que de petits poissons se repaissent de nos peaux mortes… après la « Fish pédicure » et la « Fish manucure », « la Fish bodycure » fait désormais son arrivée en France. Suite et peut-être pas fin (il reste encore le cuir chevelu) de cette saga poissonneuse. avis aux spas, instituts de soins, balnéo ou thalasso…

L’affaire remonte à un peu plus de trois ans. Nous la devons à « rufafish » qui avait, à l’époque (nov. 2009), importé en exclusivité en France « la Fish pédicure » et la « Fish manucure ». Les médias s’étaient amusés du phénomène, participant ainsi à la notoriété d’un soin hors normes.

rutafish tire le filAujourd’hui, rutafish poursuit son exploration en généralisant le principe et en lançant la « Fish Bodycure ». Cette technique consiste, comme on s’en doute, à se faire exfolier les peaux mortes par des petits poissons. il suffit pour cela de plonger son corps dans un bassin individuel et d’attendre que ces poissons nommés « garra rufa » passent à table et mangent les peaux mortes. Outre l’aspect original du

soin, l’entreprise met en avant les côtés naturels, relaxants, voire écologiques de la prestation.

[ sOiN ] www.vivelaforme.com

par pascal turbil

La « Fish Bodycure »sous le signe du poisson

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En lieu et place d’un gommageLa « Fish Bodycure » remplace le « gom-mage traditionnel du corps » dispensé avec un produit de gommage en micro-granules par l’utilisation de poissons qui permettent d’exfolier les peaux mortes de façon naturelle et en douceur. par ailleurs, le gommage avec les poissons garra rufa a la particularité de laisser la peau plus douce du fait de l’enzyme secrétée natu-rellement par ce poisson et déposée sur la peau. Dans la pratique, après ce soin, l’es-théticienne prend le relais pour réaliser un enveloppement et un modelage du corps. soit un soin complet que les instituts et autres spa n’hésitent plus à mettre à leur carte.

une légende venue de turquie L’idée vient de turquie. C’est là-bas qu’est né le concept « fish spa », où les sources d’eau chaude de la région de Kangal, habitat naturel des garra rufa, sont reconnues pour le traitement des plaies et des maladies de la peau comme le psoriasis. La légende turque dit qu’un berger blessé au pied, l’aurait trempé dans l’eau des sources chaudes qui ruisselaient là : des petits poissons arrivèrent et entreprirent de nettoyer sa plaie. intrigué, il les laissa faire leur œuvre, car il n’en ressentait aucune douleur. Dans les jours qui suivirent, la blessure cicatrisa rapidement et ainsi commença la réputation des « poissons Docteurs ». C’est donc d’abord pour leurs vertus thérapeutiques que ces poissons ont été utilisés en turquie. puis cette activité s’est étendue aux domaines de l’esthétique et de la beauté. D’abord avec la « fish pédicure », puis la « fish manucure ». C’est l’Asie qui a ouvert la voie, rapidement imitée par les etats-Unis, puis l’europe, avec pour la France, la société rufafish.

un protocole d’hygiène et de sécurité draconienLe projet « Fish Bodycure » était une suite logique dans le domaine du soin. Les fans de pédicure et de manucure à base de poissons « réclamaient » ce soin complet. il n’empêche, avant de plonger le corps de ses clients dans la baignoire, il a fallu étudier les problématiques d’hygiène au plus près. Ce soin a donc été étudié pendant deux ans pour répondre rigoureusement aux problématiques et normes d’hygiène et de sécurité sanitaire. Une fois les autorisations obtenues la « Fish Bodycure » a pu nager de ses propres nageoires. et c’est un institut du 16e arrondissement de paris qui s’est

lancé le premier. Dans cet institut comme partout ailleurs, chaque installation « Fish Bodycure » est individuelle et dispose d’un équipement indépendant dans un local technique. Le procédé de désinfection de l’eau est similaire aux dispositifs d’une piscine et est réalisé par l’utilisation de lampes à UV-C et d’ozoneur réputés pour leur effet bactéricide et germicide à

99,99%. Les organismes pathogènes, tels que les germes, virus, et bactéries présents dans l’eau seront ainsi immédiatement détruits. Avant d’installer un client dans l’eau, un diagnostic rigoureux de la peau et des ongles est effectué afin de vérifier qu’il n’y a pas de champignon, verrue, mycose et plaie ouverte. L’accès au soin est refusé si l’une de ces conditions n’est pas respectée. Avant et après le soin « Fish Bodycure », le client est invité à se désinfecter le corps selon un protocole sanitaire avec une lotion antiseptique utilisée en milieu hospitalier (avant une intervention chirurgicale) ayant un effet bactéricide, virucide et germicide. tout le matériel pour la « Fish Bodycure » est fourni par l’établissement et notamment les maillots de bain afin d’assurer leur

hygiène en évitant l’apport de bactéries extérieures ou même un reste de chlore nocif pour les poissons. A titre indicatif, le soin proposé par l’institut de trocadéro (paris 16) est facturé 89 euros pour une heure. La pédicure simple (30 minutes) est facturée 40 euros et la manucure complète (1h15) : 65 euros.

« Fish Bodycure »et non « fish thérapie » Le succès de rufafish repose sur sa collaboration étroite avec des experts de l’aquariophilie, des spécialistes en conception et hygiène de spa. Ce partenariat a permis à rufafish de développer une réelle expertise dans le domaine des « Fish spa », tant sur les solutions techniques que sur les protocoles d’hygiène et de sécurité sanitaire requis pour accueillir d’une part des poissons vivants et d’autre part des personnes. Le garra rufa à, en effet, la particularité de secréter une enzyme très active appelée Dithranol Anthralin. Cette molécule est connue pour sa capacité à espacer les poussées de lésions squameuses telles que le psoriasis et l’eczéma. Mais, attention, si l’action de cette enzyme agit sur les effets indésirables de ces maladies de peau, elle n’a d’effet qu’à court terme. il n’est donc pas question d’aborder ce soin en termes médicaux et surtout pas d’en faire un quelconque remède. Que les choses soient claires, la « Fish Bodycure » est un soin de beauté et s’apparente uniquement à un gommage.

Site : www.rufafishspa.com

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[ BiLLet D’HUMeUr ] www.vivelaforme.com

par Franck Koutchinsky

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Alors que notre pays dépasse les trois millions de demandeurs d’emploi (locution pudique pour ne pas dire chômeur), jamais nos

métiers n’ont proposé autant de possibilités de travail. Les postes et fonctions peuvent y être très divers: enseignants ou coachs bien sûr, mais aussi commerciaux, responsables d’équipe, agents d’entretien chargés des clubs ou de la maintenance des équipements, formateurs, directeurs de centre, sans compter des emplois indirects chez les sous traitants : comptables, commerciaux en équipements, agents de maintenance sAV, communication, etc.

tous ces emplois, nous pouvons en être fiers, ne peuvent, en aucun cas, être délocalisés, et chacune de nos actions fait tourner à plein l’économie française.peu de secteurs peuvent en dire autant ! Aussi, est-il légitime de s’interroger sur les fondamentaux de cette dynamique.Mais, petite question préalable : comment nomme-t-on, en anglais, un emploi ? il n’existe qu’un seul terme : Job ! et en français ? Cherchons ensemble : emploi bien sûr, mais aussi métier, travail, CDi, CDD, fonction, profession, charge, place, poste, attribution, boulot, gagne-pain, activité, situation, turbin, occupation, rôle, contrat, cachet… Ah, les belles nuances de la langue française ! Mais, s’il faut en français plus de vingt mots pour définir le fait de travailler, ceci est aussi révélateur de notre lien au travail dans toutes ses variantes.Quoi de commun entre une personne motivée, qui s’engage dans son travail, et une personne passive à son poste, absente bien que présente ? elles ont juste un job, mais l’une l’exerce très différemment de l’autre. A l’inverse, le fait de disposer d’une pléthore de termes ou d’expressions peut laisser croire que l’on s’autorise à varier son engagement. Heureusement, nos métiers,

faits d’enthousiasme, de dynamisme et de motivation nous permettent vite de détecter les comportements non appropriés et de tenter d’y remédier. encore faut-il que la législation fiscale et sociale le permette.prenons exemple sur le métier de coach. Celui-ci a considérablement évolué depuis dix ans. Naguère cantonné à montrer des exercices à des débutants et à surveiller les plateaux au sein de nos clubs, cette fonction s’est muée en véritable conseiller-santé- forme. Le statut juridique a suivi la motivation professionnelle. si, il y a dix ans, le statut de salarié y était largement majoritaire, celui-ci est devenu, aujourd’hui impossible à réaliser par tous les intervenants de cette prestation de services : membre, coach et club.

prenons l’exemple d’une heure de coaching à 50u (tarif moyen maxi accepté par les membres). si le membre règle directement cette prestation au club, ce dernier, assujetti à la tVA à 19,6%, se voit amputé de 8u20 ; il reste donc 41u80 pour salarier le coach. Avec un taux horaire brut à 20u, le coût du salaire et des charges s’élèvera à plus de 30u et le club gardera moins de 10u pour assurer ses frais et la gestion du système. Quant au coach, après déduction de ses charges salariales il lui restera environ 15u et quelques centimes. CQFD ou comment, à partir de 50u payé par un client, le coach n’en perçoit légalement que 15u ! Quel club peut, ainsi, espérer motiver ses coachs ? Ou, pour poser la question autrement : comment, par la magie de la législation fiscale et sociale, décourager des personnes de travailler, en ne leur versant qu’à peine le tiers du fruit de leur travail?en écrivant ces lignes une image – certes, un peu forte – me vient à l’esprit : celle de la collectivisation des terres pendant la révolution russe qui entraina la famine de tout un peuple. Nous n’en sommes pas là, mais à toute proportion gardée, notons que la confiscation de plus de 2/3 d’une recette ne permet à personne d’être motivé et encouragé.Notons aussi que les enseignants de golf ou de tennis, par exemple, dont les prestations individuelles reviennent au même taux horaire, optent tous pour un statut de travailleur indépendant ou d’auto entrepreneur, en toute conformité avec la législation, et surtout, avec la nature même de cette activité. Ce qui convient ici pour

d’autres éducateurs sportifs doit aussi devenir la norme dans nos métiers.Le débat sur la compétitivité des entreprises françaises a fait progresser la prise de conscience du très fort taux de charges sociales qui pèsent sur les entreprises. Dans un secteur économique où l’emploi ne peut, en aucun cas, être délocalisé, le poids de ces charges devient un frein à l’embauche. L’exemple des allocations familiales financées par un prélèvement sur les seuls salaires depuis l’après guerre constitue un bel exemple de conservatisme social qui traverse notre pays. Or, il n’y a plus, à ce jour, la moindre justification à faire financer ce système (pourtant nécessaire à la politique familiale et constitutif d’un consensus national) par un prélèvement sur les salaires, comme c’était le cas après la seconde guerre mondiale, lorsqu’il y avait le plein emploi et un pays à reconstruire ! Ou quand le conservatisme se meut en archaïsme.

Depuis plusieurs mois, les fermetures d’usines et de sites industriels se succèdent à un rythme record et les plans sociaux anéantissent la vie de dizaine de milliers de familles. Mais, qu’est-il fait pour les créateurs d’emploi ? A part le « crédit impôt recherche » et « banque publique d’investissement » qui ne nous concernent pas (mais constituent de beaux exemples de langue de bois pour Ministres en mal de réponse !) les mesures restent invisibles. Alors préparons-nous à voir se développer davantage des clubs sans personnel : inscription par internet, ouvertures de portes automatiques, cours sur grands écrans vidéo, coaching par borne interactive… A quoi bon, alors, continuer à financer, sur fonds publics, des BpJeps, par exemple, si les contraintes à l’emploi demeurent si lourdes ? Nul ne peut, en ce début d’année, prédire l’avenir économique, mais un élément rassemble les économistes de toutes tendances : le chômage continuera de croître dans notre pays, ce qui ne sera pas forcément le cas dans d’autres pays industrialisés.

Les crises constituent parfois des moments privilégiés pour changer les habitudes, les dogmes, et les inepties : CHiCHe !

Bonne Année à TOUS.

Franck Koutchinskyprésident du groupe Club Montmartrois, Club M.

Lorsque l’emploi ploie sous les contraintes et les contradictions

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Véro trouVE tout100 adresses, astuces, exercices et bons plans incontournables d’une vraie parisienne !Textes : Véronique DE ViLLèLEPhotographies : Muriel ABADiE

Véronique de Villèle a partagé la scène avec son alter ego Davina, Véronique et Davina, un duo gym tonic pour des générations. Mais bien avant sa répu-tation télévisuelle, elle a été pendant

longtemps l’assistante de Mireille Darc, et d’Alain Delon qui l’a surnommée avec humour « Véro trouve tout » car, avec Véro-nique, tout est toujours possible ! À travers ce livre, elle revient à sa première passion : rendre service et répondre aux demandes les plus originales ! Le parfum sur mesure, la moto taxi idéale, le réparateur de stylos, le kiné formidable, le cours de self défense indispensable, la parapharmacie discount, le petit restaurant bio et bon, les meilleurs produits asiatiques, la poissonnerie la plus fraîche de paris, la meilleure cuisinière de blanquette, les frites les plus croustillantes, les tartes aux fruits de saison, la coutu-rière la plus rapide, où pratiquer la pétanque, le coach pro, les bons clubs de gym, se faire livrer du bois pas cher, le jardinier compétent et imaginatif, et tant d’autres... C’est un livre qui se déguste sous le manteau tant il est précieux. La bonne humeur de Véronique et sa générosité sont communicatives. suivez-là !

prix 16,90 u - 160 pageseditions du Chêne - www.editionsduchene.fr

42,195 mILLIoNSDE pEtItES FouLéES,émoI, émoI Et...moICHANTAKi

Autobiographie sportive, 42,195 Mil-lions de petites foulées, émoi, émoi et moi raconte comment la course à pied a su apporter à l’auteure un épanouis-sement personnel et la transformer en marathonienne. Comme courir est avant tout pour elle une histoire de par-

tage et de rencontres, elle intègre dans le récit de chacun de ses douze marathons, celui d’un autre coureur qui exprime son res-senti lors de sa course. Coureurs novices ou aguerris pourront ainsi parcourir les hauts-lieux de la course à pied comme paris, Le Médoc, Hawaï, et singapour, et découvrir les témoignages de trois sportifs de haut niveau, Lionel plumenail, Bruno Heubi et Dominique Chauvelier.

L’auteur :À 48 ans, Chantaki vit en Aquitaine. Cette passionnée de course à pied et de voyages a voulu vous faire partager les émotions qu’elle éprouve lorsqu’elle court ses marathons. 42,195 Millions de petites foulées, émoi, émoi et...moi est son premier ouvrage publié aux éditions edilivre.

prix 17 u - 144 pageseditions edilivre ApAris - www.edilivre.com

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ruNNING – Du JoGGING au maratHoN Michel DELORE

Après le succès de son premier «Courir», devenu une référence et un véritable best-seller, Michel Delore, avec le ton convivial et le style vivant qui caractérisent ses ouvrages, vous emmène plus loin dans la découverte et la pratique de la course à pied, sur bitume comme dans la nature.

Que vous soyez débutant ou pratiquant averti, vous trou-verez toutes les informations et les réponses aux questions que vous pouvez vous poser pour vous initier sereinement ou vous perfectionner efficacement. Vous apprendrez les fondamentaux à maîtriser pour avoir une bonne foulée, vous découvrirez les nouvelles techniques et technologies qui révolutionnent ce sport depuis quelques années, vous suivrez les nombreux plans d’entraînement «clés en main» mis à votre disposition, vous apprécierez les différents conseils et les anecdotes (parfois pittoresques !).

pour gérer au mieux votre préparation et vos courses en fonction de vos objectifs, vous disposerez des meilleures méthodes afin d’atteindre le haut niveau...

Bénéficiez de l’expertise d’un véritable spécialiste, coureur chevronné depuis plus de 50 ans et auteur devenu incon-tournable !

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GaINaGESaNté, FormE, préparatIoN pHySIquE : 300 ExErcIcESolivier PAULy

Le gainage est un des domaines du renforcement musculaire qui consiste à améliorer la rigidité et le maintien de l’architecture du corps humain. son utilité est unanime-ment reconnue, aussi bien pour l’optimisation de la performance

que pour la préservation de la santé ou la recherche du bien-être. Dans la pratique, son travail est généralement perçu comme le renforcement de la région pelvienne (abdominaux, lombaires, obliques, fessiers, abducteurs et adducteurs). Après avoir expli-qué en préambule comment placer son bassin pour bien faire travailler ses abdominaux, l’auteur propose 300 exercices et va-riantes appropriés aux différentes régions musculaires et à des objectifs spécifiques.Avec des consignes claires et plus de 600 photos explicatives, ces exercices sont facilement réalisables. Classés en trois niveaux de difficulté (débutant, confirmé, haut niveau), ils sont de plus par-faitement adaptés aux capacités de chacun. À la fois complet et très accessible, ce manuel apporte les explications et les exercices nécessaires à une pratique efficace et en toute sécurité.

• Cet ouvrage s’adresse à toute personne qui souhaite se ren-forcer musculairement, notamment au niveau de la ceinture abdominale, du dos et des muscles du bassin, aussi bien dans une perspective de bien-être que de performance sportive.

• Il sera également un support pédagogique pour les entraîneurs de tous sports, les préparateurs physiques et les kinésithérapeutes.

prix 24,90 u - 320 pages editions Amphora - www.ed-amphora.fr

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La GymNaStIquE aNtI-âGE pour LES SENIorSJean-Pierre CLéMENCEAU

L’espérance de vie augmente de façon spectaculaire et il est convenu de dire que l’on devient senior à l’âge de 60 ans... si les apparences sont trompeuses et que les hommes et les femmes d’au-jourd’hui ne «font pas leur âge», la devise «mieux vaut prévenir que guérir» est plus que jamais d’actualité. Cet ouvrage très complet propose aux seniors un

programme novateur et inédit de remise en forme, une nou-velle gymnastique composée d’exercices de musculation et d’étirements illustrés, conçue par le coach des stars. et pour conserver une bonne santé physique et mentale ainsi qu’une silhouette tonique et élancée, Jean-pierre Clémenceau s’est entouré des meilleurs spécialistes : nutritionniste, naturopathe, cardiologue, rhumatologue, ostéopathe, médecin esthétique... dont les conseils d’expert vont permettre aux seniors d’appré-hender sereinement les années à venir.

- Des conseils d’experts sur toutes les pathologies du senior et les meilleurs remèdes, naturels et allopathiques pour y remédier.

- Un programme de remise en forme spécifique appelé «nou-velle gymnastique» (musculation, étirements, renforcement musculaire), pour les hommes et pour les femmes, qui tient compte de toutes les caractéristiques du senior.

- Des exercices très simples à réaliser, illustrés par des photos en extérieur pour suivre les mouvements étape par étape.

prix 16,90 u - 152 pagesguy trédaniel éditeur - www.editions-tredaniel.com

LE coacHING SportIF Paul E. ROBiNSON

À tous les niveaux, les sportifs comptent sur leur coach pour obtenir conseils et soutien. Le coaching sportif est une introduction complète aux principes pra-tiques, pédagogiques et scientifiques à la base du processus du coaching spor-tif. il offre à tout futur coach les compé-tences, connaissances et notions scienti-fiques dont il aura besoin pour préparer

techniquement, tactiquement, physiquement et mentalement les sportifs dont il aura la charge. À l’aide d’études de cas et d’exemples tirés du sport de haut niveau, cet ouvrage couvre les éléments clés du coaching sportif tels que :- les styles et techniques d’entraînement- la planification et le management- les principes élémentaires d’anatomie, de physiologie, de

biomécanique et de psychologie- les principes de base de l’entraînement et de la préparation

physique- l’analyse des performances

pUBLiC : Étudiants en stAps - responsables sportifs associatifs - Coaches sportif et professionnels - entraîneurs - passionnés de sport

prix 29 u - 384 pagesDe Boeck - www.unitheque.com

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[ LiBrAirie ] www.vivelaforme.com

ouVrIr Et GErEr uNE SaLLE DE rEmISE EN FormE Preston-Lee RAVAiL

Dans un monde où l’image de soi occupe une place importante, où les pratiques évoluent au fil des tendances et des innovations, où la santé est une des principales préoccupations, l’avenir écono-mique du secteur de la remise en forme semble assuré. Consi-

déré aujourd’hui comme un marché prometteur, il attire les investisseurs de toutes tailles et particulièrement ceux orientés vers une offre « low cost ».

Que ce soit en fitness (aerobic, cardio, musculation, step…) ou en wellness (sophrologie, pilates, spa, mas-sages…), quelle démarche suivre, quelle offre propo-ser, quelles réglementations respecter... afin d’ouvrir sa propre salle ?

L’objectif de ce livre est de vous guider dans ce parcours difficile mais passionnant en vous proposant les outils qui vous permettront d’avoir une analyse aussi précise que possible du marché et les connaissances indispensables pour élaborer et mener à bien votre projet.

en refermant ce livre, vous ne verrez plus les salles de remise en forme, l’activité physique, sportive, la santé, le bien-être de vos clients de la même façon.

prix 24 u - 220 pageseditions du puits Fleuri - www.puitsfleuri.com

GuIDE pratIquE DE La rEmISE EN FormE à L’uSaGE DES SENIorS... Et autrES DébutaNtS Preston-Lee RAVAiLChris BOSTON

plus de 15 millions de Français pratiquent une activité phy-sique dans les salles de remise en forme ou associations, et de plus en plus sont ceux qui se lancent pour préserver leur

capital santé, et en particulier les seniors. pourtant 80% d’entre eux décideront de ne pas renouveler leur abon-nement.

pourquoi ? Le manque d’informations sur vos droits, des prestations inadaptées, un manque de transparence dans les contrats, de nombreuses carences dans la ges-tion des emplois du temps... autant de motifs de démo-tivation.

Que vous soyez inscrit dans une salle, que vous envisa-giez de le faire ou encore que vous décidiez de faire appel à un coach, vous trouverez dans cet ouvrage classés par ordre alphabétique des outils, des références, des textes de loi, des réglementations pour choisir en meilleure connaissance de cause la salle ou l’association la plus performante. Vous y trouverez aussi une grille de lecture pour reconnaître les éducateurs les plus compétents et pour décoder l’ensemble des pratiques enseignées dans les clubs.

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PILATES FUNDAMENTAL MATWORK (max 10 personnes) - 18, 19 et 20 Janvier à Lyon - 3, 4 et 5 Mai à Ramatuelle (83)PILATES PETIT EQUIPEMENT (Swissball, BOSU, Cercle, Foamrollers) (max 10personnes) - 12 et 13 Janvier à Ramatuelle (83) - 13 et 14 - 13 et 14 Avril à Ramatuelle (83)

PILATES ONE TO ONE (10 personnes max) - 24, 25, 26 et 27 Janvier à Paris - 18, 19, 20 et 21 Avril à Ramatuelle (83)PILATES ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE - 1 et 2 Décembre à LyonPILATES REPERTOIRE D’ORIGINEIntermédiaire,Intermédiaire, Avancée (max,10 personnes) - 7, 8, 9 et 10 Février à Ramatuelle (83)

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un nouveau Challenge motive les équipes FitnessBoutique : notre filiale dédiée au coaching et aux services s’installera début décembre dans le château du Domaine de La Brunerie au sein d’iNOLAB Voiron (isère). en se positionnant directement à côté des pratiquants, nous pourrons multiplier les tests produits sur les appareils de fitness, musculation et de nutrition sportive avant leur mise sur le marché. Nous envisageons de fournir aux athlètes, fédérations, associations et stagiaires qui évoluent toute l’année au sein du Living Lab du Domaine de La Brunerie de nouveaux appareils dernière génération dans la salle de remise en forme du site ainsi que des compléments alimentaires pour sportifs en avant-première.Associer les athlètes de haut niveau

et les entraîneurs à l’élaboration et la conception de nos innovations produits va nous permettre d’augmenter encore la qualité de nos appareils et de coller au plus près aux attentes des utilisateurs, c’est ce que nous visons avec cette installation au sein du Living Lab du pays Voironnais. en plus des tests produits nous envisageons le développement de séances de coaching, de boot camps fitness, de stages de remise en forme collectifs et individuels et même un parcours santé gratuit pour le grand public et nos clients dans les installations du site en partenariat avec l’association tsF.

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