4
ב״הRéalisé par Yaacov Berrebi 054.700.73.67 https://www.facebook.com/groups/LeHaim.VeLivraha / Les mères juives ! Mme Bendavid appelle Air France : - A quelle heure, il arrive l’avion de mon fils ? L’habitude est de rajouter de la joie des que le mois d’Adar arrive. Mais le Rabbi explique que cet ajout doit se prolonger tout au long du mois. La joie doit augmenter tout le mois. Ainsi, chaque jour doit être plus joyeux que la veille. Ne dites rien !!! La pauvreté de Rabbi DovBer, le Maguid de Mézeritch, était légendaire. Les repas, quand il y en avait, consistaient en une croûte de pain ; Le « mobilier » dans son taudis était un assortiment de planches et de souches d’arbres. Un jour ses disciples lui demandèrent : « Rabbi, pourquoi devez-vous endurer ces conditions abjectes, tandis que d'autres, beaucoup moins méritants que vous, jouissent des bénédictions du monde de D.ieu ? » Rabbi DovBer répondit avec une histoire : Il arriva qu’un homme riche marie sa fille. Le père de la mariée était un homme généreux et charitable et il voulut partager sa joie avec les malheureux. Il fit ainsi afficher des avis dans toutes les synagogues et les hospices du voisinage invitant tous les mendiants et autres vagabonds à prendre part au festin du mariage. Ce fut enfin le jour de la noce. Des centaines de mendiants prirent place autour des tables chargées de la nourriture la plus savoureuse que l’on puisse trouver. C’est alors qu’un drame survint. La mariée tomba soudainement malade. Les plus grands médecins furent amenés à son chevet, mais en vain. La mariée mourut, et la noce fut changée en deuil. Les mendiants étaient divisés en deux camps. Un groupe déclara : « La nourriture est sur la table. Qui sait quand, si jamais, une telle opportunité de remplir nos estomacs se représentera ? Notre hôte ne voudrait certainement pas que toute cette délicieuse nourriture soit jetée. Si nous demeurons affamés, cela soulagera-t-il sa douleur ? » Le deuxième groupe de mendiants, cependant, ne voulait pas toucher à la nourriture qui se trouvait devant eux. « Comment pourrions-nous manger et boire, s’écrièrent-ils, quand celui qui a procuré tout cela est en pleurs ? Comment pourrions-nous profiter d'une fête dont le but et la cause ont été transformés en malheur ? » « Le monde est une noce, conclut Rabbi DovBer, créé pour l'union de D.ieu avec son épouse, Israël. Mais le mariage fut perturbé, la maison-nuptiale le Saint-Temple fut détruite. Oui, le festin est là, mais son âme est dévastée. Celui qui l’a procuré est en deuil. « Il y a ceux qui n’ont pas de difficulté à profiter du festin comme ils le peuvent. Moi, cependant, j’appartiens au second groupe de mendiants. Je ne peux me résoudre à profiter des restes de ce mariage avorté... » Chabat Vayakel 23 Adar / 14 Mars 2015 Hodech Adar Entrée: Sortie: New-York: 6:42pm 7:42pm Paris: 18:34 19:41 Tel-Aviv: 17:17 18:25 1

Vayakel 5775 !

Embed Size (px)

DESCRIPTION

Chabath Chalom

Citation preview

Page 1: Vayakel 5775 !

ב״ה

Réalisé par Yaacov Berrebi 054.700.73.67 https://www.facebook.com/groups/LeHaim.VeLivraha/

Les mères juives ! Mme Bendavid appelle Air France :

- A quelle heure, il arrive l’avion de mon fils ?

L’habitude est de rajouter

de la joie des que le mois d’Adar arrive.

Mais le Rabbi explique que cet ajout doit se prolonger

tout au long du mois.

La joie doit augmenter tout le mois. Ainsi, chaque jour doit être plus

joyeux que la veille.

Ne dites rien !!! La pauvreté de Rabbi DovBer, le Maguid de Mézeritch, était légendaire. Les repas, quand il y en avait, consistaient en une croûte de pain ; Le « mobilier » dans son taudis était un assortiment de planches et de souches d’arbres. Un jour ses disciples lui demandèrent : « Rabbi, pourquoi devez-vous endurer ces conditions abjectes, tandis que d'autres, beaucoup moins méritants que vous, jouissent des bénédictions du monde de D.ieu ? » Rabbi DovBer répondit avec une histoire : Il arriva qu’un homme riche marie sa fille. Le père de la mariée était un homme généreux et charitable et il voulut partager sa joie avec les malheureux. Il fit ainsi afficher des avis dans toutes les synagogues et les hospices du voisinage invitant tous les mendiants et autres vagabonds à prendre part au festin du mariage. Ce fut enfin le jour de la noce. Des centaines de mendiants prirent place autour des tables chargées de la nourriture la plus savoureuse que l’on puisse trouver. C’est alors qu’un drame survint. La mariée tomba soudainement malade. Les plus grands médecins furent amenés à son chevet, mais en vain. La mariée mourut, et la noce fut changée en deuil. Les mendiants étaient divisés en deux camps. Un groupe déclara : « La nourriture est sur la table. Qui sait quand, si jamais, une telle opportunité de remplir nos estomacs se représentera ? Notre hôte ne voudrait certainement pas que toute cette délicieuse nourriture soit jetée. Si nous demeurons affamés, cela soulagera-t-il sa douleur ? » Le deuxième groupe de mendiants, cependant, ne voulait pas toucher à la nourriture qui se trouvait devant eux. « Comment pourrions-nous manger et boire, s’écrièrent-ils, quand celui qui a procuré tout cela est en pleurs ? Comment pourrions-nous profiter d'une fête dont le but et la cause ont été transformés en malheur ? » « Le monde est une noce, conclut Rabbi DovBer, créé pour l'union de D.ieu avec son épouse, Israël. Mais le mariage fut perturbé, la maison-nuptiale – le Saint-Temple – fut détruite. Oui, le festin est là, mais son âme est dévastée. Celui qui l’a procuré est en deuil. « Il y a ceux qui n’ont pas de difficulté à profiter du festin comme ils le peuvent. Moi, cependant, j’appartiens au second groupe de mendiants. Je ne peux me résoudre à profiter des restes de ce mariage avorté... »

Chabat Vayakel 23 Adar / 14 Mars 2015

Hodech Adar

Entrée: Sortie: New-York: 6:42pm 7:42pm Paris: 18:34 19:41 Tel-Aviv: 17:17 18:25

1

Page 2: Vayakel 5775 !

« Six jours tu travailleras » Lorsque le texte parle du Chabbath, il y a plusieurs choses d’etonnantes; La premiere, pourquoi parler des six jours de travail alors qu’il s’agit en realite de Chabbath ?? Ensuite, le texte ne dit pas « TAASE MELAHA » (tu feras un travail) mais « TEASSE MELAHA » (le travail sera fait). De plus, que signifie « CHABBATH CHABBATHONE » ??? En fait, tout est lie. Car une personne qui travaille toute la semaine dans un etat d’esprit que c’est lui qui fait tout, que tout lui incombe, cette personne se « tuera » au travail, et son travail durant les six jours sera un reel travail, epuisant, physiquement ou moralement (ou les deux). Mais s’il va a son travail avec a l’esprit que tout est entre les mains d’Hachem, que, peum importe ce que nous ferons, le resultat sera le meme, il n’a aucune raison de se « prendre la tete » au travail. De cette manière, son travail sera effectue par les autres comme l’enseigne nos sages. Et c’est uniquement dans ce cas qu’il lui sera possible de faire Chabbath. Car une personne qui pense que tout ne depend que de lui, et qui cherche sans arret comment optimiser son entrprise, comment pourra-t-il s’arreter d’y penser quand Chabbath rentre ??!!! Seul celui qui travail en sachant que c’est Hachem qui est la source de la reussite, son travail n’occupera pas son esprit a ce point la, et il pourra s’arreter d’y penser durant tout le Chabbath. Dans ce cas, toute sa semaine aura un niveau de Chabbath (puisqu’il travail sans y mettre toute sa tete) et si la semaine correspond au Chabbath, le Chabbath devient Chabbath Chabbathone !

Résumé de la Parachat Vayakel * Moché rassemble le peuple au lendemain de Yom-Kippour. * Il leur enseigne les lois du Chabbath * Moche transmet l’ordre de construire le Michkan. * Moche explique de quelle manière cela devait se faire. * Le peuple répond présent et ils apportent a Moche bien plus que ce qu’il n’a besoin. * Moche est contraint de demander au peuple de cesser d’apporter des offrandes car il y a tout ce qui est nécessaire. * Hachem nomme Betsalel de la tribu de Yehouda et Aoliav de la tribu de Dan afin de diriger les différents travaux. « Vayakel Moche»

Au debut de notre Paracha, Moche rassemble le peuple. Rachi nous dit qu’il s’agit du lendemain de Yom-Kippour. En effet, le jour de Yom-Kippour, le peuple est venu de lui-meme a la rencontre de Moche pour entendre qu’Hachem les avait pardonne de la faute du veau d’or. Ce n’etait donc pas la peine de les rassembler ! Si Moche a eut besoin de les réunir, c’est parce qu'ils n’étaient pas présents.

« Vayakel Moche » La preparation d’une Mitsva doit etre identique a l’objectif de cette meme Mitsva. Puisque l’objectif et le but du Michkan était de faire resider l’unite au sein du peuple, il est logique que la preparation a la construction du Michkan soit elle aussi l’union du peuple. C’est pourquoi avant de parler au peuple a propos du Michkan, Moche a ressenti la necessite de reunir le peupel. En quoi le Michkan est il lie a l’unite ??? Avant la construction du Michkan, chaque personne qui souhaitait offrir un sacrifice le faisait la ou il le souhaitait. Mais a partir du moment ou le Michkan a été construit, il devient interdit d’offrir un sacrifice en dehors du Michkan. Tous les sacrifices sont donc centralises dans le Michkan ! Mais cette unite est en quelque sorte le résultat de la faute du veau d’or; Car avant la faute, un sacrifice pouvait se faire avec une personne seule alors qu’apres la faute, il est indispensable d’avoir tous les Bne-Israel ensemble (Le Michkan) pour pouvoir apporter ce sacrifice. Moche rassemble les Bne-Israel et leur dit: « Voyez ce qu’Hachem nous ordonne de faire ». Car ce qu’Hachem desire a travers la Thora et les Mitsvot, c’est l’unite au sein du peuple. C’est pourquoi Moche s’exprime en disant: « Voici ce qu’Hachem nous ordonne de faire; car quand il s’agit de l’etude de la Thora, chaucun la comprend a son niveau, alors que pour es Mitsvot, nous sommes tous egaux ! Cette unite est donc propre aux Mitsvot mais pas pour l’etude de la Thora ou chacun comprend differemment selon son niveau de connaissances et ses capacites intellectuelles.

CHABAT ET GUERISON Un homme se rendit chez son Rav et lui demanda une bénédiction pour sa fille qui est gravement malade. Le Rav l’interroge sur son observance du Chabbath et la, il trouve plusieurs « domaine a améliorer ». Il propose a la personne de prendre des cours sur les lois du Chabbath en lui garantissant une guérison rapide a sa fille. L’homme obéit et effectivement, il apprend que plusieurs choses n’etaient pas conformes au lois du Chabbath. Pas longtemps après, sa fille guérit et il vient remercier le Tsadik. « Je n’ai rien fait du tout, il est marque clairement: « Chabbath hi milizok ourefoua kerova lavo! » que l’on peut traduire par (lorsque Chabbath arrête de crier (a cause de sa profanation) la guérison arrivera rapidement) » !! 2

Page 3: Vayakel 5775 !

L’homme et la femme m’écoutaient attentivement, comme s’ils

étaient instantanément nourris par mes paroles. Je leur dis qu’à Pessah, nous nous libérons de notre Égypte personnelle, de nos limites car D… ne pose pas sur nos épaules plus que ce que nous pouvons supporter. Une fois que vous savez cela et que vous y croyez, vous êtes déjà libéré. Nous avons chanté avec les enfants.

A une heure du matin, la femme mit les fillettes au lit et il était

temps pour moi de partir. Mais je demandais encore à l’homme d’où il connaissait le Rabbi. Le fait est qu’il était tanneur et avait connu un rabbin à l’abattoir où il travaillait. Comme depuis quelques mois sa femme était enceinte, il avait demandé au rabbin comment agir: ils étaient porteurs de gènes qui avaient fait que leurs deux premiers enfants étaient nés aveugles et le médecin suggérait de ne pas mettre au monde ce troisième enfant. L’homme était très triste et ne savait que faire. Le rabbin lui avait conseillé d’écrire au Rabbi de Loubavitch. Le Rabbi lui avait répondu par lettre qu’ils devaient avoir confiance en D…. et laisser l’enfant naître normalement. Alors que je m’apprêtais à partir, l’homme me dit : « Vous savez, ma femme et moi-même n’étions pas très convaincus. Comment peut-on avoir confiance en D…. ? Comment pouvons-nous oublier ce qui nous est arrivé et espérer ? Nous ne pensions pas que c’était possible mais ce soir, en vous entendant parler de foi en D…. et comment D…. donne la force de surmonter les épreuves pour sortir de notre Égypte personnelle, nous comprenons mieux. » Leur fils naquit : il voyait parfaitement bien.

Par la suite, je perdis le contact avec cette famille.

Mais des années plus tard, j’appris que les filles s’étaient mariées et avaient chacune plusieurs enfants qui voyaient parfaitement. Décrire combien le Rabbi aimait des centaines de milliers de Juifs et de non-Juifs dans le monde entier serait impossible. Le mieux que je pouvais faire était de décrire cette pauvre famille du Bronx. Et comment le Rabbi leur avait fait livrer à la maison la confiance en D.ieu personnifiée par ces Matsot. En 1966, le Rabbi de Loubavitch nomma Rav Cunin émissaire principal pour la Californie où fleurissent maintenant des centaines d’institutions Loubavitch.

Le récit de la semaine

La Matsa du Rabbi !

Le Rav Baroukh Chlomo Cunin raconte :

Alors que le soleil se couchait, le métro dans lequel je me trouvais s’arrêta en plein centre du Bronx et je n’avais plus qu’à marcher. Tout en me dirigeant vers Pelham Parkway, je demandais aux passants mon chemin. Quelqu’un eut pitié de moi: « Cher ami, vous en êtes encore loin ! » Plus tôt cet après-midi, veille de Pessah, un groupe d’étudiants de la Yéchiva Loubavitch de Brooklyn avait terminé de cuire les dernières Matsot Chmourot pour la fête. On était en 1958 et le Rabbi distribuait personnellement ces Matsot cuites à la main comme cadeau spirituel. Il se tenait debout durant des heures, saluant chacun tout en lui tendant une Matsa. D’abord il en offrait à ceux qui habitaient loin car ils ne pouvaient prendre ni voiture ni métro une fois que la fête aurait commencé. J’avais seize ans et j’habitais entre la 167ème Rue et Jérôme Avenue dans le Bronx, donc relativement loin. Quand je m’approchai du Rabbi, il me demanda si je pouvais apporter une Matsa à une certaine famille. L’idéal aurait été que je prenne un taxi en sortant du métro, que le chauffeur m’attende quelques minutes pendant que j’apportais ces Matsot et qu’il m’amène à la maison à l’heure pour le Sédère. Mais la vie est rarement conforme à l’idéal. Bref, je trouvais l’adresse : c’était un quartier défavorisé. Je toquai à la porte et un homme m’ouvrit.

Il était tatoué, ne portait pas de chemise et semblait décontracté.

« C’est à quel sujet ? » demanda-t-il. « Excusez-moi, êtes-vous bien M. Untel ? » « Ouais ! » me répondit-il avec l’accent du Bronx. Je remarquai le pain de campagne posé sur la table, ce qui n’est vraiment pas l’aliment conseillé pour le Sédère de Pessah. « C’est le Rabbi qui m’a envoyé, » dis-je. « Le Rabbi ? Oh, je vous en prie ! Entrez ! » Dans la petite cuisine, il n’y avait qu’une table minuscule, quelques chaises et un réchaud. Je ne comprenais pas ce que je faisais ici, à distribuer de la Matsa à une famille qui, visiblement, ne s’apprêtait pas à célébrer le Sédère. Puis je me dis que c’était justement ce pourquoi le Rabbi m’avait envoyé ici.

Je demandais à l’homme s’il voulait qu’on passe le Sédère ensemble.

Il accepta et appela sa femme. Elle était visiblement enceinte; ses deux filles la suivaient. Elles étaient très mignonnes et avaient peut-être cinq et six ans. Toutes deux étaient aveugles. Nous avons débarrassé la table. Je mis un chapeau sur la tête de mon hôte et commençai le Sédère. J’essayais de me souvenir de l’ordre des bénédictions, mais c’était difficile car je n’avais pas de Haggada, le livre traditionnel. L’essentiel, c’est que nous avons mangé la Matsa. En guise de vin, nous avons bu quatre coupes d’eau dans des verres en papier. J’essayai de penser à ce qu’aurait fait le Rabbi s’il s’était trouvé dans ma situation. Je regardai les fillettes et leur maman qui allait mettre au monde un autre enfant, et je répétai certains enseignements que j’avais entendus du Rabbi : en cette nuit, D.ieu avait libéré nos ancêtres de l’esclavage d’Égypte et Il nous libère nous aussi.

3

Page 4: Vayakel 5775 !

* Cette benediction concerne la venue du liberateur, le Machiah. * Nous avons souvent l’impression que Machiah est un reve, une legende que l’on raconte aux enfants pour les inciter a respecter les Mitsvot. C’est en etudiant les sujets lies a Machiah et a la Gueoula que l’on ressent mieux la realite du Machiah, le besoin de sa venue et les enjeux de sa venue. * Celui qui comprend un tant soit peu ce que represente le Machiah et ce qu’il va changer dans le monde ne doit pas se contenter de demander a Hachem d’envoyer Machiah, il doit l’exiger ! Tout comme une personne exige la guerison de son enfant cheri, ou comme une personne implore qu’on le sauve d’une mort certaine. * Lorsqu’une personne cesse de desirer la venue du Machiah, c’est qu’il se trouve dans une obscurite double; non seulement il est dans une situation qui n’est pas naturelle, mais en plus, il s’imagine que cela est normal et que cela ne peut en etre autrement. * La foi en la venue imminente du Machiah ne contredit pas le fait de faire des plans pour les prochaines annees. * Le Rabbi demande de ressentir le Machiah au point de ne pas accepter qu’il puisse venir dans 1 jour; il faut absolument qu’il vienne immediatement sans plus attendre. * C’est avant le lever du jour que la nuit se fait la plus obscure, C’est avant la venue du MACHIAH que l’exil est le plus dur. * Penser que le Machiah ne soit pas indispensable est la meilleure preuve qu’il nous faut le Machiah !!!

Iguérot Kodesh 60 4 Adar II 5703 A l'occasion de ta Bar Mitsva, je t'adresse mes bénédictions pour qu'à partir de ce jour où tu deviens adulte, tu grandisses, sans cesse, dans tes études et ton comportement, afin que tes parents et tes grands-parents conçoivent de toi beaucoup de satisfaction et de plaisir. A l'époque de Morde'haï, les Juifs se trouvaient en exil et Haman décida de les tuer. Que fit Morde'haï? Il réunit les jeunes Juifs et leur enseigna la Torah. C'est ainsi que le décret fut annulé. Lorsque les Juifs se trouvaient dans leur pays, chacun dans ses possessions, Efraïm et Yehouda formaient un peuple unique sur la terre et le roi Chlomo, fils de David, était à leur tête. Il bâtit une demeure pour D…. , mais nos Sages ordonnèrent que l'étude des élèves ne soit pas interrompue pour qu'ils participent à la construction du Temple! La Torah est un arbre de vie pour celui qui s'accroche à elle. Sur le mont Sinaï, Moché transmit à tout Israël des Lois et des Préceptes. En respectant ses Mitsvot, nous résisterons à tous nos ennemis, en exil et, très prochainement, nous mériterons le dévoilement du grand jour de D…., lorsque le coeur des pères reviendra par les enfants et celui des enfants, vers leurs pères. Alors, Il nous libérera par Son Machia'h, qui s'appelle Mena'hem et consolera nos âmes. Sois vigoureux et fort dans l'étude de la Torah et la pratique des Mitsvot!

Ce feuillet est dédié à l’élévation de l’âme de

HAFSEYA GUILA BAT MAZAL TOV

Selon le livre « Nos prières » de Reb Nissan Mindel

4