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Tout dabord, je veux remercier ma correspondante, Maïthé Parragne, qui ma très gentiment fourni les renseignements qui me manquaient sur notre dolmen

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Tout d’abord, je veux remercier ma correspondante, Maïthé Parragne, qui m’a très gentiment fourni les renseignements qui me manquaient sur notre dolmen pyrénéen ! Je suis très heureuse de vous les commu-niquer ci-dessous. Ces renseignents remplacent ceux que je vous don-nais dans un précédent diaporama « en zigzagant dans mon Béarn »

Ce dolmen n’est ni le seul du nord des Pyrénées, ni tellement mysté-rieux. On en trouve un autre sur la colline d’Escout, et un autre encore sur le chemin Henri IV, à la sortie de la forêt de Mourle, en Bigorre. Ils semblent dater de la fin de l’âge de Bronze, ce qui est très tardif pour des mégalithes. Dans cette Aquitaine où ne sont pas parvenus les celtes, sauf à Toulouse, Basas et en pays de Buch, les mégalithes nous ont été apportés par les Celtibères d’Espagne. Ils sont effectivement beaucoup plus nombreux en Haut Aragon.

Quant à ce dolmen « de Buzy », il est à rapprocher d’un menhir tron-qué, mais gravé de coupelles resté en bordure de la route dans une propriété, et de la « Pierre de Théberne », sculptée de cercles concen-triques qui été à côté et qui a été transportée depuis dans le jardin du Musée d Ossau à Arudy.

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SAINTE-MERE-EGLISE (Manche)

Dans la nuit du 5 au 6 juin 1944, lors du parachutage des troupes sur la zone de Sainte-Mère-Eglise, un parachutiste américain, John Steele fut atteint à la jambe par un éclat d'obus. Il ne pouvait plus contrôler son parachute et atterrit finalement sur le clocher de l'église aux alentours de 4h00 du matin. John se balançait et tentait de se libérer de son parachute tandis que sur la place, tout autour de l'église, la bataille faisait rage. Il essaya de se décrocher à l'aide de son couteau mais malheureusement il fit tomber son arme. Il prit alors la décision de faire le mort afin d'éviter de servir de cible à l'ennemi. Après plus de deux heures, un soldat allemand du nom de Rudolf May vint le décrocher. John fut soigné et fait prisonnier. Il s'évada trois jours après, rejoignit les lignes alliées et fut transféré vers un hôpital en Angleterre En son honneur, un parachute est toujours accroché au toit de ce clocher… Mais rassurez-vous ! Pendu après le parachute, ce n’est qu’un mannequin !!!

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Si j’en crois Wikipédia, qui est en général assez bien renseigné, les lutins existent bel et bien.

Vous pouvez les voir, en chair et en os, dans le ravissant petit village de Luc-Sur-mer, puisque tel est le nom de ses habitants !Luc-sur-Mer est une commune française, située dans le département du Calvados et la région Basse-Normandie, peuplée de 3 172 habitants (les Lutins).

Ce charmant village vous réserve en outre de somptueux couchers de soleil, comme celui photographié ici. Mais, n’est-ce pas, au pays des Lutins, plus rien ne nous étonne !

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La Dombes, une région proche de Lyon qui reste à découvrir avec ses 1 000 étangs, ses châteaux et toute une luxuriance de faune et de flore.

Nous revenions du Parc des Oiseaux, à Villars Les Dom-bes, et, dans le matin encore hivernal, un magnifique spectacle nous a fait stopper :

Une flottille d’une trentaine de cygnes évolue paisiblement sur l’un de ces nombreux étangs…

Un émerveillement… Personnellement, je n’avais jamais vu de cygnes sauvages avant de venir ici ; je croyais que ces splendides oiseaux étaient un ornement de nos parcs et jardins… Je n’avais jamais vraiment réalisé qu’il y avait des cygnes libres et sauvages…

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Nous rendant en Camargue cet hiver-là (et la Camargue en hiver est passionnante…) nous nous arrêtons au Grau du Roi, et avons déjeuné sur le port, face à ce phare, en admirant la danse des bateaux.

Le Grau du Roi, situé sur la Méditerranée, petit port de pêche dès son origine, connaît le tourisme depuis le début du XXème siècle.

Station balnéaire incontournable des « baigneurs » venus de Nîmes, des Cévennes et du proche Vaucluse, cette charmante cité maritime a acquis au fil des ans, au fur et à mesure qu’évoluaient les modes de loisirs ses lettres de noblesse et sa notoriété.

Nous avons passé là un excellent moment !

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Je ne puis, par diaporama, vous faire partager le bouquet, le goût, la magnifique robe du Montbazillac… Et c’est bien dommage… Mais je vous recommande d’en boire un verre (enfin, au moins un demi-verre !) à ma santé…

Alors, Yvonne vous a photographié ces vignes prestigieuses et le château les dominant.

Le Monbazillac est un vin liquoreux qui bénéficie d'une appellation d'origine contrôlée française produit au sud du vignoble de Ber- gerac, sur des coteaux pentus exposés au nord, en rive gauche de la Dordogne, dans les environs du village de Monbazillac.

En tout cas, nous, nous en avons acheté plusiuers bouteilles (vous êtes si nombreuses et nombreux !!!) pour trinquer à votre santé…

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La destinée d’une personne tient à peu de chose… Celle d’une dynastie aussi !L'histoire de la fonderie de cloches Paccard date du printemps de l'année 1796 lorsque Antoine Paccard alors syndic (maire) du petit village de Quintal, dans l'agglomération d'Annecy, et forgeron agricole de son état, doit réaliser une nouvelle cloche pour l'église du village afin de remplacer celle qui avait été détruite lors de la Terreur. Son métier étant de forger des fers à chevaux et des bandes de roulement pour les roues des chars, pas de fondre des cloches, il fait appel à un fondeur professionnel itinérant, Jean Baptiste Pitton, originaire de Carouge, petite ville située aux portes de Genève, pour réaliser la nouvelle cloche.Avec la réalisation de la nouvelle cloche, Antoine Paccard décide de rentabiliser son apprentissage et de se lancer dans cette industrie. Il fabriquera son premier four à Quintal et l'exploitera avec ses enfants, puis ses descendants prendront la relèveCette fonderie, installée aujourd’hui à Sévrier, aux portes d’Annecy, a une renommée mondiale…

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Partout en France, sur le bord des routes, sur le mur des maisons, en plein champ ou en pleine ville, on rencontre ces témoignages de foi.C’est dans la région d’Annecy que nous avons photographié cette Vierge, à une croisée de route, en bordure d’un champ.

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Dans le sur de la France, vers la Provence, dans des paysages écrasés de soleil ou secoués par le vent d’autan, les bâtisses comme celle-ci se tassent sur la terre ocre, essayant de se garantir du vent derrière leurs cyprès.

Ailleurs se sont des mas, petites maisons que l’on pourrait croire simplement vouées aux vacances d’été, ce qui est parfois le cas…

Leurs teintes blanches égaient le paysage parfois brûlé sous le soleil, animé par le chant des cigales, fleurant bon le thym et la lavande…

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Le Pays basque ou Euskal Herria (parfois eskual herria) en basque est un territoire qui s'étend de part et d'autre des Pyrénées occidentales sur plusieurs régions administratives dont le statut politique et juridique de chacune des provinces historiques varie en France et en Espagne, et couvre un peu plus de 20 500 km² où habitent environ 3 millions de personnes.

Le Pays Basque français comprend 4 provinces. Il jouxte mon Béarn. Ses paysages sont très doux, s’étendant en moutonnements de collines et de prés à perte de vue. C’est une terre très propre, très bien cultivée, soignée avec amour.

Je ne connais pas le Pays Basque espagnol, ni ses habitants. Mais les Basques français sont des hommes de courage et de volonté.

Et voilà, c’est fini pour aujourd’hui !!!

A bientôt !

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Photos : Yvonne

Texte : Jacky

Musique : chant traditionnel basque

Diaporama de Jacky Questel, ambassadrice de la [email protected]://jackydubearn.over-blog.com/