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SCIENCES DE LA VIE ET DE LA TERRE
Trois thèmes sur les trois années du lycée
ENSEIGNEMENT
COMMUN
Programme 2010Alain SALVADORI IA-IPR SvT
DOCUMENTS SUR LE SITE ACADEMIQUE
REFORME DU LYCEE GENERAL ET TECHNOLOGIQUE
EE MPSSVT TRONC COMMUN AP
PROGRAMME
THEME 1
THEME 2
THEME 3
LIENS ET ACT.
PRESENTATION
ET
RESSOURCES
SCIENCE ET …
SCIENCE ET …
SCIENCE ET …
SCIENCE ET …
PLACE DES
SVT
FICHES
EDUSCOL
MOULINAGE DE LA CONSULTATION
MOULINAGE DU PROGRAMME
EFFECTIFSSOURCE: Ministère de l’Éducation nationale
Direction générale de l’enseignement scolaire
Bureau de la formation continue des enseignants
Février 2010
Certaines disciplines, certains temps d’enseignement ou contenus d’enseignement peuvent mener à mettre en place, à certains moments de l’année, des groupes à effectif réduit :
- l’accompagnement personnalisé, parce qu’il s’agit précisément de rompre le face à face classique entre la classe et l’enseignant ;
- les sciences expérimentales ou certains enseignements d’exploration, du fait des capacités d’accueil limitées des laboratoires (notamment les enseignements d’exploration, technologiques : à titre d’exemples, sciences de l’ingénieur, sciences de laboratoire, biotechnologies, création et innovations technologiques…)
- les langues vivantes, pour assurer un enseignement par groupes de compétences.
LA LOURDEUR DU PROGRAMME ?- Ne pas sous-estimer les réductions par rapport aux programmes précédents,
même quand les têtes de rubriques pourraient laisser penser qu’on reste proche:
. Exemple: il n’est pas question d’étudier de façon complète les mouvements desenveloppes fluides. On veut seulement introduire l’idée que l’échauffement inégaldes fluides par le soleil est à l’origine de mouvements dont l’énergie cinétique (sansemployer l’expression) est récupérable comme source d’énergie. Un seul exemplesuffit donc.
. Disparition des thèmes libres choix des items à développer, à argumenter
enseignements d’exploration
- Ne pas sur-estimer les ambitions cognitives, il s’agit:
. surtout de stabiliser les acquis du collège, en poussant ici ou là le curseur ententant de donner un sens à ces acquis.
. d’apporter un nombre limité d’éléments nouveaux
. de préparer la suite de la scolarité en lycée: prise en compte des programmes dePremière et de Terminale (voir plus loin)
- Objectif fort de formation méthodologique
D’une manière générale, poursuite du travail par compétences en continuité dusocle commun en collège.
LES ACTIVITES
- Liberté d’organisation pour traiter les 18 items du programme
Une semaine et demi par item, 27 semaines pour les 18 items, sur 36 à 37semaines.
Appréciation laissée aux équipes disciplinaires de déplacer le curseur vers certainsitems (9 à 10 semaines pour cela).
Environ 1/3 de l’année pour chaque thème. Le thème 3 ne devrait pas occupermoins de 1/4 de l’horaire annuel.
- Projet pédagogique au niveau de l’établissement (conseil pédagogique, conseild’administration): proposition de travaux de terrain facilitant les situationscomplexes réelles (sortie géologique, exploration d’un écosystème, visite de muséescientifique, d’entreprise, de laboratoire …)
- Réflexion à mener sur une programmation annuelle :
- quels items développer davantage
- que traiter sur le terrain
- quels travaux pratiques vrais réaliser (démarche d’investigation, expérimentation)
choix entre manipuler, expérimenter, modéliser, extraire et exploiter des infos.
LA COHERENCE D’ENSEMBLE
- Ancrage des programmes de Première et de Terminale dans celui de Seconde
Cohérence verticale:
- Seconde Première S (ES, L)
- Seconde Première S Terminale Spécialité
- Seconde Terminale Spécialité
- Seconde Terminale
- Thèmes communs aux programmes de Première S, ES et L
pour permettre les changements de filière (+ stages passerelles)
- Fragmentation de la Spécialité
pour y aborder des items variés
- Ancrage de la Spécialité dans l’enseignement obligatoire de terminale.
prolongement, spécialisation
Projets de programmes de Première et Terminale:
Seconde: LA TERRE, PLANETE HABITABLE
Première S:
la variation génétique la tectonique des plaques des faits au modèle
Terminale:
brassage génétique tectonique des plaques et
et évolution reliefs terrestres
Spécialité:
L’évolution par datation absolue
transfert horizontal
Enzymologie
Le risque viral Histoire de l’atmosphère
La variabilité virale … et risque climatique
Seconde: ENERGIE, SOL
Première S: Premières S, ES et L:
La tectonique des plaques: Nourrir l’humanité
un outil au service des
besoins de l’Homme
Terminale:
Chaleur du globe, La plante et l’Homme
radioactivité,
Terre interne
Projets de programmes de Première et Terminale:
Seconde: L’EXERCICE PHYSIQUE
Première S: Premières S,ES et L:
Variation génétique et santé Masculin, féminin
Voir et apprendre
Terminale:
La distinction soi/non soi
Régulation des paramètres
sanguins et santé
(pression artérielle) Le muscle en mouvement
Spécialité:
Coopération cellulaire
Les dérèglements de la reconnaissance du soi
Régulation de la glycémie
Projets de programmes de Première et Terminale:
RESULTATS DE LA CONSULTATION SUR LES PRATIQUES
- Renforcement de la notion d’enseignement par compétences, appuisur le socle commun du collège
- Affirmation des capacités et attitudes à exercer dans des activités demanipulation, expérimentation et modélisation
- Affirmation d’une pratique par tâches complexes (questionsglobales) dans les activités de terrain et /ou de laboratoire
- Renforcement de la notion d’évaluation par compétences
Contrôles de durées variées, ciblés sur quelques compétencesdifférentes d’un contrôle à l’autre
- Affirmation de l’évaluation de l’acquisition des capacitésexpérimentales (ECE) que les élèves pourront rencontrer aubaccalauréat et dans leurs études supérieures
- Renforcement de l’évaluation de la capacité à communiquer à l’oral
RESULTATS DE LA CONSULTATION SUR LES CONTENUSPROJET PROGRAMME THEME 1
Les conditions de la vie: une particularité de la Terre ?
Sa température moyenne permet l’existence d’eau liquide. L’atmosphère est épaisse et sa composition favorable à la vie.
Les conditions physico-chimiques qui y règnent permettent l’existence d’eau liquide et d’une atmosphère compatible avec la vie.
La nature du vivant
Leurs proportions sont très différentes dans le monde minéral et dans le monde vivant. La matière des êtres vivants est une matièrecarbonée riche en eau.Les éléments chimiques des êtres vivants constituent des molécules. Les lipides et les glucides sont formés de carbone, hydrogène et oxygène ; les protides contiennent en plus de l’azote et du soufre.La cellule est un espace limité par une membrane, partiellement autonome, qui échange de la matière et de l’énergie avec son environnement.
Leurs proportions sont différentes dans le monde inerte et dans le monde vivant. Ces éléments chimiques se répartissent dans les diverses molécules constitutives des êtres vivants.Les êtres vivants se caractérisent par leur matière carbonée et leur richesse en eau.
La cellule est un espace limité par une membrane qui échange de la matière et de l’énergie avec son environnement.
RESULTATS DE LA CONSULTATION SUR LES CONTENUSPROJET PROGRAMME THEME 1
La biodiversité, résultat et étape de l’évolution
La biodiversité actuelle est un moment particulier de l’histoire du monde vivant : …Au sein de la biodiversité, des ressemblances importantes existent qui fondent les groupes zoologiques.Dans une population de grande dimension, les fréquences des allèles sont généralement stables.La dérive génétique est une modification aléatoire de la diversité des allèles. Elle se produit de façon plus marquée lorsque l’effectif de la population est faible.La sélection naturelle et la dérive génétique peuvent conduire à l’apparition de nouvelles espèces.Une crise biologique est souvent liée à une modification des conditions du milieu (favorable à la sélection naturelle) et à la baisse des effectifs des populations( favorable à la dérive génétique).
L’état actuel de la biodiversité correspond à une étape de l’histoire du monde vivant : …Au sein de la biodiversité, des parentésexistent qui fondent les groupes d’êtres vivants.
La diversité des allèles est l’un des aspects de la biodiversité.La dérive génétique est une modification aléatoire de la diversité des allèles. Elle se produit de façon plus marquée lorsque l’effectif de la population est faible. La sélection naturelle et la dérive génétique peuvent conduire à l’apparition de nouvelles espèces.
RESULTATS DE LA CONSULTATION SUR LES CONTENUSPROJET PROGRAMME THEME 2
Enjeux planétaires contemporains: énergie, sol
Le soleil: une source d’énergie essentielle
L'énergie lumineuse permet, dans les partieschlorophylliennes des végétaux, la synthèse de matière organique à partir d'eau, de sels minéraux et de dioxyde de carbone.La transformation de la biomasse se déroule en deux étapes :- dans des environnements de haute productivité, une faible proportion de la matière organique peut échapper à l’action des décomposeurs dans des conditions anoxiques et devient le kérogène ;-le kérogène se transforme en combustible fossile sous l’effet d’une augmentation, lente et progressive, de la température liée à l’enfouissement.La photosynthèse en utilise moins de 1%. Le reste chauffe l’air et l’eau (ce qui est à l’origine des vents et courants) et évapore l’eau (ce qui permet le cycle de l’eau).
La lumière solaire permet, dans les parties chlorophylliennes des végétaux, la synthèse de matière organique à partir d'eau, de sels minéraux et de dioxyde de carbone. Dans des environnements de haute productivité, une faible proportion de la matière organique échappe à l’action des décomposeurs puis se transforme en combustible fossile au cours de son enfouissement.
La photosynthèse en utilise moins de 1%. Le reste chauffe l’air (par l’intermédiaire du sol) et l’eau (ce qui est à l’origine des vents et courants) et évapore l’eau (ce qui permet le cycle de l’eau).
RESULTATS DE LA CONSULTATION SUR LES CONTENUS
PROJET PROGRAMME THEME 2
Enjeux planétaires contemporains: énergie, sol
Le sol: un patrimoine durable ?
Localement, l’eau douce est disponible en quantité limitée. Elle est puisée dans des réservoirs superficiels ou profonds, renouvelés ou non. Ressource vulnérable et indispensable aux activités humaines, elle doit être gérée de manière raisonnée.À l’échelle globale, l’eau douce est inégalement répartie en raison du fonctionnement du cycle de l’eau, contrôlé par la topographie et le climat.Les activités humaines peuvent perturber le cycle de l’eau aussi bien à l’échelle globale que localement.
RESULTATS DE LA CONSULTATION SUR LES CONTENUS
PROJET PROGRAMME THEME 3
Quantifier l’effort et ses effets Des modifications physiologiques à l’effort
Un exercice physique représente un travail musculaire mesurable qui nécessite l’utilisation d’un apport d’énergie.
il y a une limite à la consommation de dioxygène : notion de VO2max.
Objectifs et mots clés. VO2, VO2max, puissancemaximale aérobie (PMA), vitesse maximale aérobie (VMA).
- il y a une limite à la consommation de dioxygène
Objectifs et mots clés. VO2, VO2max.
[Limites. L’étude anatomique se limite à celle du cœur et de l’organisation générale de la circulation. Aucune étude histologique n’est attendue.]
RESULTATS DE LA CONSULTATION SUR LES CONTENUS
PROJET PROGRAMME THEME 3
Un paramètre au cours de l’effort Une boucle de régulation nerveuse
Pratiquer une activité physique en préservant sa santé
L’articulation est un système emboîté et lubrifié qui permet le mouvement relatif des os.Les muscles striés squelettiques sont constitués de fibres allongées.Au cours de la contraction, chaque fibre se raccourcit, et donc le muscle tout entier également.La force exercée tire sur les tendons et fait jouer une articulation, ce qui conduit à un mouvement.
Au cours de la contraction musculaire, la force exercée tire sur les tendons et fait jouer une articulation, ce qui conduit à un mouvement.
THEME 1
LA TERRE DANS L’UNIVERS,
LA VIE ET L’EVOLUTION DU VIVANT
Métiers de la science fondamentale
En classe de SECONDE:
UNE PLANETE HABITEE
SOLEIL LA VIE TERRE
LA BIODIVERSITE
POURQUOI LA ?
Conditions de la vie ?
Particularités ?
AILLEURS ?
QU’EST CE QUE C’EST ?
La nature du vivant
ORIGINE DE LA BIODIVERSITE?
Résultat et étape de l’évolution
POURQUOI LA VIE SUR LA TERRE ? ET AILLEURS ?
LES CONDITIONS DE LA VIE:UNE PARTICULARITE DE LA TERRE ?
PRESENCE DE VIE AILLEURS ?
MARS ? … ?
DOCUMENTS RELATIFS
A MARS …
RECHERCHE SUR LES DIFFERENTS OBJETS DU SYSTÈME SOLAIRE
DES PARAMETRES FAVORABLES A LA VIE:
TEMPERATURE MOYENNE, EAU LIQUIDE, PRESENCE
et COMPOSITION D’UNE ATMOSPHERE
SINGULARITES DE LA TERRE
RECHERCHE DES CAUSES DES SINGULARITES DE LA TERRE:
MASSE, TAILLE, POSITION DANS LE SYSTÈME SOLAIRE
ZONE D’HABITABILITE AUTOUR DU SOLEIL
QU’EST-CE QUE LE VIVANT ?:
LA NATURE DU VIVANT
« Le "monde vivant" n'est pas un monde fondamentalement différent du monde
inanimé; il est fait de la même matière, ... C'est la dynamique même de la matière
inanimée qui a provoqué l'apparition, non pas brutale, non pas éclatante, comme
un miracle, mais progressive, laborieuse, hésitante, de ce que nous appelons la
« vie » …
… Lorsqu'on quitte les apparences externes pour les structures profondes, tant
sont semblables les processus par lesquels ces organismes assurent leur
développement et leur survie, individuels ou collectifs: toutes leurs cellules
réalisent des transferts d'énergie au moyen des mêmes composés chimiques,
(notamment l'adénosine triphosphate), les membranes des cellules ont toutes la
même structure, le stockage de l'énergie est assuré par les mêmes produits,
(lipides ou glucides), les réactions nécessaires sont catalysées par des protéines
de structures très semblables, et surtout la fabrication des diverses protéines à
partir des informations contenues dans le patrimoine génétique est assurée par
un mécanisme reposant sur un "code" universel, valable pour tous. Il paraît
hautement improbable que ces traits aient pu se retrouver dans tous les
organismes vivants, si ceux-ci n'avaient une origine commune. Avec une certitude
à peu près absolue, nous pouvons affirmer l'unité du monde vivant. »
Extrait de Éloge de la différence, pp (109 - 113) Éditions du Seuil, 1981
Albert Jacquard
LA NATURE DU VIVANT
UNITE
CHIMIQUE
Parenté chimique
vivant/non vivant
Molécules
du vivant
Métabolisme
cellulaire
Influence du milieu
et du génome
UNITE STRUCTURALE
ET FONCTIONNELLE
Universalité de
l’ADN
Variabilité de l’ADN
Mutation
UNIVERSALITE DU
RÔLE DE L’ADN
PARENTE
DES ÊTRES VIVANTS
LA BIODIVERSITE, RESULTAT ET ETAPE DE L’EVOLUTION:LES BIODIVERSITES ET LEURS MODIFICATIONS
DIVERS ASPECTS DE LA BIODIVERSITE:
ECOSYSTEMES
ESPECES
INDIVIDUS D’UNE ESPECE
ESPECES ACTUELLES =
INFIME PARTIE DES ESPECES
DEPUIS LES DEBUTS DE LA VIE
INFLUENCES SUR LA
BIODIVERSITE:
HOMME, …
MODIFICATION DE LA BIODIVERSITE AU COURS
DU TEMPS SOUS L’EFFET DE NOMBREUX
FACTEURS (ACTIVITE HUMAINE …)
ETAT ACTUEL DE LA BIODIVERSITE = ETAPE DE
L’HISTOIRE DU MONDE VIVANT
LA BIODIVERSITE, RESULTAT ET ETAPE DE L’EVOLUTION:DES GROUPES HOMOGENES DANS LA BIODIVERSITE
GROUPE DES VERTEBRES
ORGANISATION COMMUNE:
Axes de polarité
Plan de symétrie bilatérale
Squelette osseux
Vertèbres
PARENTE D’ORGANISATION
DES ESPECES D’UN GROUPE
ANCÊTRE COMMUN
LA BIODIVERSITE, RESULTAT ET ETAPE DE L’EVOLUTION:CRISES BIOLOGIQUES, DERIVE GENETIQUE ET EVOLUTION
MODIFICATION DES CONDITIONS
DU MILIEU
CRISE BIOLOGIQUE
BIODIVERSITE DIVERSITE
DES ALLELES
SELECTION NATURELLE *DERIVE GENETIQUE
MARQUEE DANS POPULATION
FAIBLE
* Modification aléatoire de la diversité des allèles
APPARITION DE NOUVELLES
ESPECES
ACQUIS DU
COLLEGE
DERIVE GENETIQUE
Fréquence de l’allèle
(avec 10 individus)
Fréquence de l’allèle
(avec 100 individus)
THEME 2
ENJEUX PLANETAIRES CONTEMPORAINS:
Métiers de la gestion publique et de l’environnement
En classe de SECONDE:
ENERGIE
SOL
9 MILLIARDS D’INDIVIDUS SUR
LA TERRE EN 2050
UN ENJEU MAJEUR
TROUVER ET EXPLOITER DES RESSOURCES
Énergie
Le soleil: une source d’énergie essentielle
Sol
Le sol: un patrimoine durable ?
TOUT EN GERANT LE PATRIMOINE NATUREL
LE SOLEIL: UNE SOURCE D’ENERGIE ESSENTIELLE
COMBUSTIBLES FOSSILES:
PETROLES, CHARBONS
ORIGINE ?
Ex: le charbon de BOIS
VEGETAUX
EN
ER
GIE
LU
MIN
EU
SE
MATIERE
MINERALE
MATIERE ORGANIQUETRANFERT-RESEAU
ALIMENTAIRE
PHOTOSYNTHESE
< 1 %
ZONE DE HAUTE PRODUCTIVITE – FAIBLE PROPORTION
ENFOUISSEMENT
PAS D’ACTION DES DECOMPOSEURS
LE CYCLE NATUREL DU CARBONE ET INTERFERENCE HUMAINE
Principaux compartiments et flux (données : IPCC, 2007a).
En noir sont représentés les éléments naturels et en rouge les perturbations anthropiques.
Les tailles des compartiments sont exprimées en GtC, celles des flux en GtC/an.
L’ENERGIE SOLAIRE EST INEGALEMENT RECUE E
NE
RG
IE L
UM
INE
US
E
> 99 %
TERRE
CIRCULATION
ATMOSPHERIQUE/
HYDROSPHERIQUE
ENERGIE
DES VENTS
DES COURANTS MARINS
DES BARRAGES
HYDROELECTRIQUES
RAPIDEMENT
RENOUVELABLE
L’ENERGIE SOLAIRE E
NE
RG
IE L
UM
INE
US
E
> 99 %
TERRE
< 1 %
COMBUSTIBLES FOSSILES
ENERGIE
RAPIDEMENT
RENOUVELABLE
DIOXYDE DE CARBONE RESTITUE RAPIDEMENT
A L’ ATMOSPHERE, QUI INTERFERE AVEC LE
CYCLE NATUREL DU CARBONE
DIOXYDE DE CARBONE PRELEVE
LENTEMENT ET PIEGE DEPUIS
LONGTEMPS
LE SOL: UN PATRIMOINE DURABLE ?
PHOTOSYNTHESE
AGRICULTUREBIODIVERSITE
NATURELLE
SOLS EAU
Inégalement répartis, fragiles, quantités limitées
CONCURRENCE
PRODUCTION DE BIOMASSE VEGETALE
NOURRITURE
COMBUSTIBLES
AGROCARBURANTS
CONCURRENCE
FORMATION LENTE
DESTRUCTION RAPIDE
Projet européen CORINE Land Cover (occupation des sols)
THEME 3
LE CORPS HUMAIN ET LA SANTE
Métiers de la santé
En classe de SECONDE:
L’EXERCICE PHYSIQUE
CONNAISSANCE DU CORPS
DE SON FONCTIONNEMENT:
COMPREHENSION DES
- EFFETS PHYSIOLOGIQUES
DE L’EFFORT
- MECANISMES DE L’EFFORT
PRATIQUE D’UN EXERCICE
PHYSIQUE DANS DES
CONDITIONS COMPATIBLES
AVEC LA SANTE
DES MODIFICATIONS PHYSIOLOGIQUES A
L’EFFORT:
Nécessité d’énergie
Modification de paramètres:
UNE BOUCLE DE REGULATION NERVEUSE
LE SYSTÈME MUSCULO-ARTICULAIRE
Tissu musculaire
Tendon
Articulation
SYSTEME CARDIOVASCULAIRE ET VENTILATOIRE
LAMECANIQUEDE L’EFFORT
LAPHYSIOLOGIEDE L’EFFORT
PHYSIOLOGIE
DE L’EFFORT
Exercice physique travail musculaire
• Un newton est la force capable de communiquer à une masse de 1 kilogramme une augmentation de vitesse de 1 mètre par seconde chaque seconde
• Une force produit du travail quand elle déplace son point d'application.
Un travail de 1 Joule est produit par une force de un newton qui déplace son point d'application de un mètre.
• La puissance est le rapport du travail produit par le temps.
Une puissance de un watt correspond au travail produit pendant 1 seconde
Travail musculaire utilisation d’énergie
Le muscle est le seul organe capable de transformer l’énergie biochimique en travail mécanique
UNITES
FORCEf = m . γ
NewtonN
1 N = 1 kg.m/s2
TRAVAILENERGIET = f . l
JouleJ
1 J = 1 N . m
PUISSANCEP = T / t
WattW
1 W = 1 J / s
Rappels de collège:
Nutriments et dioxygène libèrent de l’énergie utilisable pour le fonctionnement des organes
QUANTIFIER L’EFFORT ET SES EFFETS
EXERCICES LONGS ET/OU PEU INTENSES: ENDURANCE
consommation = f (effort physique)
(dioxygène, nutriments)
RESPIRATION ENERGIE
LIMITE A LA CONSOMMATION DE O2 VO2 max (ml/mn/kg):
quantité de dioxygène qui peut être utilisée lors d'un effort maximal, qui amène à
l'épuisement en 4 à 8 minutes.
Les valeurs les plus élevées mesurées chez des athlètes masculins de haut
niveau sont de l'ordre de 87 ml/mn/kg
Les meilleures féminines atteignant 78 ml/mn/kg.
La VO2 max d'un sédentaire peut être améliorée de 15 à 20% par l'entraînement.
EXTRAIT DU PROGRAMME D’EPS 2010
• … « Les connaissances renvoient aux informations que doit s’approprier l’élève sur les activités physiques (règlements, évolution, formes sociales de pratiques, etc.), sur son fonctionnement corporel (éléments de physiologie de l’effort, de psychologie, etc.), sur l’activité d’autrui, sur l’environnement.
• Elles s’énoncent principalement sous forme de principes, de règles, de repères et nécessitent l’utilisation d’un vocabulaire spécifique. » …
• Sur les 5 compétences propres:
• C P1: réaliser une performance motrice maximale mesurable à une échéance donnée
• C P5: réaliser et orienter son activité physique en vue du développement et de l’entretien de soi.
TEST DE LUC LEGER• Principe : entre 2 lignes espacées de 20 m , courir le plus longtemps possible en
respectant un rythme de course qui s'accélère de 0.5km/h toutes les minutes .
• Matériel : une piste de 400m, des plots tous les 20 m, un magnétophone avec unecassette de test.
• Principe : il s'agit d'accélérer progressivement le rythme de course de façon àatteindre l'objectif avant que le bip sonore ne retentisse. L'intervalle de tempsentre les signaux sonores s'amenuise à mesure que l'on avance dans le test.
• Déroulement : Les participants sont répartis, par deux en général, en face dechaque plot. La cassette se met alors en route et les participants doivent seretrouver en face du plot suivant au moment où retenti le bip sur la cassette et celaà chaque bip. Un cycliste peut donner le rythme en suivant les bips grâce aumagnétophone. Chaque palier dure environ 2' et l'allure est augmentée de 1 km/hà chaque palier. Le premier palier correspond en général à une vitesse de 7 à 8km/h. Il n'est donc pas nécessaire d'effectuer un échauffement. Celui-ci étantincorporé dans les premiers paliers.
• Lorsque le sujet n'est plus en concordance avec le bip et le plot il a alors atteint saVO2 max. Il doit alors s'arrêter et repérer le palier auquel il est arrivé ainsi que lenombre de plots franchis après le dernier tour.
TEST DE LUC LEGER: PALIERS ET CORRESPONDANCES
CONSOMMATION DE O2 ET FREQUENCE CARDIAQUE
VO2 max et FCM
FCM
Paramètres physiologiques cardiaques et respiratoires, en fonction de l’intensité de l’effort
FC et T° rectale/Puissance du travail
APPROVISIONNEMENT DES MUSCLES/AUTRES ORGANES/INTENSITE DE L’EXERCICE
2000
UNE BOUCLE DE REGULATION NERVEUSEPremière méthode historique de mesure
de la pression artérielle (1732, Stephen Hales).
Enregistrement manométrique de la
pression artérielle
* : pression systolique
** : pression diastolique
S : accident dû à la fermeture des
valvules sigmoïdes.
MECANIQUE
DE L’EFFORT
DECHIRURE MUSCULAIRE (échographie)
CELLULE MUSCULAIRE (Microscopie électronique)avec déchirure saine
MUSCLE DILACERE
x 100 x 600
coloré au bleu de méthylène
CHEVILLELUXATION SAINE
ligament
UNE PROPOSITION DE DEMARCHE THEME 3Activité physique et santé
PRATIQUES INADAPTEES OU DANGEREUSES
Dopage Des modifications physiologiques à l’effort Exercice trop intense
Bêtabloquants (tests EPS)
FQ, VES (DC), FR, VC (DV), PA
Bêta-stimulants (+)
Boucle de régulation nerveuse
Accidents musculo-articulaires
Développe la masse musculaire
Oxygénation des muscles Déchirure, claquage musculaire
(interdits: athlétisme …) Rupture tendineuse
(Mais traitement de l’asthme …) Entorse, luxation
Réduit la consommation de O2
Contre les tremblements Energie
Contre le stress
(interdits: tir au pistolet …) Tissu musculaire Articulation
(Mais traitement de l’hypertension …)
Mouvement
PRATIQUES INADAPTEES OU DANGEREUSES
FIN
