lundi 21 janvier 2013 à Marseille 9h à 17h 30

LES CLASSES II ADULTES :QUELS CHOIX

THÉRAPEUTIQUES ?

INTERVENANTS

VANESSA BELLOT SAMSON FRANÇOIS CHEYNET

LAURENT GUYOT ARMELLE MANIÈRE

JEAN DANIEL ORTHLIEB

Renseignements :

Jean LacoutSecrétariat Régional

Société Bioprogressive Ricketts76 Rue Henri Tomasi

La Trigance 13009 MarseilleTél 04 91 41 22 70

Mail : jean.lacout@orange.fr

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PULLMAN MARSEILLE PALM BEACH200, Corniche Kennedy - 13007 Marseille

Tél : 04 91 16 19 22 - Fax : 04 91 16 19 23

Mail réservation chambres : H3485-SB2@accord.com

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LES CLASSES II ADULTES : QUELS CHOIX THÉRAPEUTIQUES ? DE 9H À 17H 30

VANESSA BELLOT SAMSON - FRANÇOIS CHEYNET - LAURENT GUYOT ARMELLE MANIÈRE - JEAN DANIEL ORTHLIEB

(sauf repas)

CNFCO N° 06753011-25/151 1 JOURNÉE = 60 CRÉDITS

9H 10H 30 Laurent Guyot. Professeur, Chirurgien Maxillo facial, chef de service de chirurgie maxillo faciale et chirurgie plastique, Hopital Nord Marseille.“Quelles chirurgies pour les classes II ?”

La chirurgie des classes II telle qu’elle est réalisée actuellement se base sur l’ostéotomie mandibulaire par clivage décrite il y a plus de 50 ans. Cette technique a prouvéson efficacité avec l’avènement des procédés modernes d’ostéosynthèse par mini-plaques vissées et la plupart des dysmorphoses de classe II peuvent bénéficier decette intervention. Au-delà du côté universel de cette procédure, nous décrirons les autres thérapeutiques comme la distraction ou l’avancée par cale rétro-condyliennequi font « grandir » ou « pousser » la mandibule autrement. Nous verrons également les possibilités des techniques innovantes que cela soit par l’ingénierie tissulaire oupar l’utilisation de la piézochirurgie. Enfin nous n’oublierons pas l’intérêt d’une chirurgie maxillaire, rarement de recul ou en complément d’une avancée mandibulaire

PAUSE

11H15-12H30 Armelle MANIERE. Orthodontiste, Professeur des Universités, Université de Nice. “Faut-il traiter toutes les classes II chez l’adulte ?”Les classes II squelettiques représentent environ 50 % des cas en Europe et les classes II dentaires 40%. Ces pourcentages évoluant depuis plusieurs siècles, il estnécessaire d’en étudier la cause.Ensuite, il convient d’analyser les fonctions occlusales de centrage, calage, guidage, en différenciant les classes II totales ou partielles. Le traitement de la classe II partielle a un coût thérapeutique moindre que celui de la classe II totale, celle-ci nécessitant souvent extractions ou chirurgie, alors que les fonctions occlusales ne sontpas éminemment perturbées. Les choix thérapeutiques vont de l’abstention au compromis occlusal, tout en garantissant des fonctions occlusales satisfaisantes. D’où les questions que nous devonsnous poser : Peut-on “vivre” en classe II ? Doit-on traiter toutes les classes II chez l’adulte et le grand adolescent ? Quant aux relations entre malocclusions de classe IIet DAM, elles ne sont pas prouvées scientifiquement. En ce qui concerne les enfants en classe II, il est nécessaire de réfléchir longuement sur l’importance des traite-ments, compte tenu des éclairages nouveaux sur les relations entre classe II et SAOS, et sur les moyens utilisés qui devront toujours privilégier l’avancée mandibulaire.

REPAS

14H-14H45 Vanessa Bellot Samson. Chirurgien Maxillo Facial, Attachée Hopital Timone Marseille. ”Apport de l'ostéotomie mandibulaire de KATERdans les traitements chirurgicaux des classes II”. L’ostéotomie mandibulaire de Kater est séduisante par rapport aux autres techniques, du fait de l'absencede risque de lésion du nerf mandibulaire. Elle nécessite cependant des précautions et des indications bien particulières. Plusieurs cas illustrent cette innovante et intéressante technique.

15H-16H François Cheynet. Chirurgien Maxillo Hacial, Chef de clinique, PH Timone Marseille. “Influence de l’orientation du plan d’occlusion et del’agencement des courbes occlusales dans les chirurgies de classe II”. Il est indispensable, dans le cadre des chirurgies orthognathiques de classe II,de prendre en considération, lors du diagnostic, l’orientation du plan d’occlusion et des courbes occlusales du patient.Il s’agit de montrer, à partir de plusieurs cas orthodondiques et chirurgicaux de classes II, que le type de chirurgie (mandibulaire ou bimaxillaire, mentoplastie complémen-taire) est dépendant non seulement du déficit mandibulaire sagittal, mais doit également prendre en compte la dimension verticale du patient pour garantir une restau-ration esthétique et fonctionnelle, ainsi qu’une stabilité à long terme.

PAUSE

16H30-17H30 Jean Daniel Orthlieb. Chirurgien dentiste, Professeur des Universités, Faculté d’Odontologie Marseille. “Calage et guidage en classe 2 :fonctionnalité ou pathogénicité”.

Une organisation occlusale en classe 2 dentaire présente des “inconvénients” (3) du point de vue de la stabilité des dents dans le temps, mais s’il s’agit d’une classe totale,

ces inconvénients sont faibles et concernent souvent des malpositions ou deségressions du secteur antérieur, car le calage postérieur peut être efficace. En classe 2 dentaire, le guidage peut être assuré par les canines mandibulaires glissant sur le pan distal des canines maxillaires, la désocclusion peut être minimale (fonctionnelle) sans interférence, mais il existe un risque de rétrofonction, voire de surguidage. “Inconvénients”signifie qu’il faut être attentif, mais qu’il peut y avoir viabilité fonctionnelle etparfois optimisation. Le tout, à condition, de ne pas confondre une classe 2 dentaire totale et une classe 2 partielle, qui elle, installe une insuffisance majeur de calage.

Des espaces-temps sont prévus entre chaque conférence pour d’éventuelles questions.

Repas et p

auses compris 180€

260€

A adresser avec le règlement à : SBR - Jean Lacout

76 Rue Henri Tomasi - La Trigance - 13009 Marseille

ATTENTION

changement d’adresse

LES CLASSES II ADULTES : QUELS CHOIX THÉRAPEUTIQUES ?

VANESSA BELLOT SAMSON - FRANÇOIS CHEYNET LAURENT GUYOT - ARMELLE MANIÈRE - JEAN DANIEL ORTHLIEB

lundi 21 janvier 2013 à Marseille de 9 heures à 17H 30

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