Samedi 12 Juillet, 15h00 - Interencheres.comcdn.interencheres.com/medias/g/1/e/2/f/8/9/1e2f89c5d801d...quelques éclats et accidents à la couronne). Hauteur : 30.5cm. 150/180€ 18

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VENDEE ENCHERES – FRANK THELOT Commissaire-Priseur habilité SVV.2002-260

Hôtel des Ventes, 17 bd du chail 85200 Fontenay le comte

Tel (33)02.51.69.04.10 Fax(33)02.51.69.84.44

[email protected]

Samedi 12 Juillet, 15h00

PASSION

BRETAGNE

Partie de la collection de Laurent et Martine Cahn

Vierge et Saints, statuettes en faïence de Quimper

Tableaux (Ecole de Pont Aven, Nabis…)

L'intitulé de cette vente nous a semblé évident car nous présentons uniquement des tableaux et surtout des faïences de Quimper provenant de la Collection de Laurent et Martine Cahn. Par passion Laurent Cahn, amoureux de la faïence de Quimper, a réalisé un travail minutieux et parfaitement documenté qui nous révèle les liens naturels qui se sont créés de puis plus de trois siècles entre la tradition relig ieuse de la Bretagne et un art d'expression populaire. Au travers des pièces de sa collection privée de statuettes,tableaux, dessins liés à sa chère Bretag ne, nous lui rendons hommage.

Expositions publiques : Samedi 12 Juillet 2014 de 1 0h30 à 12h00 et de 14h00 à 15h00

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VIERGES ET SAINTS : Statuettes en FAÏENCE DE QUIMPER

1 : "Ste Vierge" : Important sujet en faïence estampée de Quimper,

polychrome, représentant une Vierge à l'enfant, intitulée au-devant du socle

circulaire à pans incurvés "Ste Vierge", couronne creuse, marque "X" en creux.

sans marque, estampée, tressaillure (modèle repris par Henriot puis exploité

par les faïenceries de Quimper après 1968).Manufacture ELOURY PORQUIER,

période fabrication seconde moitié XIXeme siècle, début XXème.

Ref page 113 ouvrage Laurent Cahn "VIERGES ET SAINTS LES STATUETTES EN

FAIENCE DE QUIMPER", Exposition temporaire Musée de la faïence de Quimper

1992.

Hauteur : 37.5cm 200/250€

2 : "Ste Anne P.P.N" (priez pour nous): sujet en faïence de Quimper, Polychrome,

socle octogonal à pans droits " Ste Anne P.P.N", sainte patronne de la Bretagne,

représentée avec un voile bleu recouvrant un foulard croisé sous le menton,

accompagné de l'enfant et son livre, taille 5. Manufacture indéterminée, XVIIIème.

120/150€

3 : "Ste Vierge" : statuette en faïence polychrome de Quimper, sujet Vierge

d'accouchée, portant une couronne jaune évidée, l'enfant Jésus à son bras

gauche nu, sans marque, estampée, taille n°3 en relief dans la pâte et en noir.

Socle circulaire à arrêtes saillantes et pans incurvés avec inscription "Ste

Vierge". (A noter assemblage de couleurs intéressant pour l'époque). Orifice à

l'avant à hauteur du cœur, et au dos. Manufacture indéterminée, période de

fabrication début du XIX ème siècle.


FAIENCE DE QUIMPER"

Hauteur : 26cm 120/150€

4 : "Ste Barbe PPN" (priez pour nous) : grande statuette en faïence polychrome de

Quimper, représentant Sainte Barbe, sainte patronne de sapeurs-pompiers, des

artificiers, des mineurs, protectrice du foyer, portant la tour aux trois fenêtres

représentant la trinité dans sa main gauche, couronnée et tenant sur un socle

circulaire à arrêtes saillantes et à pans incurvés portant la marque "Ste Barbe P.P.N".

Sans marque. Estampée. Taille n°4 en relief et inversée dans la pâte. Manufacture

indéterminée du début du XIXème.

Période de fabrication début 19ème jusqu'au début des années 1960. Par estampage

puis par coulage, plâtre détruit. Moule détruit. ref page 84 ouvrage Laurent Cahn

"VIERGES ET SAINTS LES STATUETTES EN FAIENCE DE QUIMPER"

100/120€

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5 : "Ste Barbe PPN" (priez pour nous) : grande statuette en faïence polychrome de

Quimper, représentant Sainte Barbe, sainte patronne de sapeurs-pompiers, des

artificiers, des mineurs, protectrice du foyer, portant la tour aux trois fenêtres

représentant la trinité dans sa main gauche, orifice à l’avant à hauteur de la main

droite, elle est couronnée et se tient sur un socle circulaire à arrêtes saillantes et à

pans incurvés portant la marque "Ste Barbe P.P.N" en noir. (A noter couleur et

décors peu fréquents à l’époque). Sans marque. Estampée. Taille n°4 en noir.

Manufacture indéterminée fin du XVIIIème.

Modèle fabriqué de la fin du 18ème

siècle jusqu’à la fin du 19ème

; modèle repris par

Henriot. Plâtre et moule détruits. Ref page 112 ouvrage Laurent Cahn "VIERGES ET

SAINTS LES STATUETTES EN FAIENCE DE QUIMPER"

150/200€

6 : « Ste Vierge » : grande statuette en faïence polychrome de Quimper,

représentant la Sainte Vierge, portant l’enfant sur son bras gauche, elle est

couronnée, porte un boléro vert une croix en collier, et se tient sur un socle

circulaire à pans incurvés portant la marque "Ste Vierge " en noir. Sans marque.

Estampée. Taille n°4. Manufacture indéterminée seconde moitié du XIXème siècle.


FAIENCE DE QUIMPER". Etiquette de l’exposition d’ouverture musée de la faïence de

Quimper 1991.

Hauteur : 32.5cm. 200/250€

(Accident de cuisson sur l’émail)

7 : « St Pierre» : importante statuette en faïence polychrome de Quimper,

représentant St Pierre, portant les attributs la clé du paradis à sa main droite

et les écritures à son bras gauche. Il se tient sur un socle octogonal à pans

droits portant la marque "St Pierre " en noir. Marque HR Quimper en noir

(Henriot 1904-1922). Estampée. Début XXème siècle.

Période de fabrication fin du 19ème

jusqu’aux années 1950. Plâtre détruit, moule

détruit.


FAIENCE DE QUIMPER". Etiquette de l’exposition d’ouverture musée de la

faïence de Quimper 1991.

Hauteur : 34cm 150/200€

8 :"Notre dame de Pitié" : statuette figurant une vierge dite « de pitié », la vierge

tient le corps du Christ ensanglanté dans ses bras. Elle se tient sur un socle carré à

pans droits portant la marque "Ne D

e de Pitié" en noir (A noter très belle qualité de

l’émail). Faïence de Quimper polychrome. Portant une marque AP Porquier (1875-

1904), Estampée. Fin XIXème début XXèmesiècle.

Hauteur : 21cm. 100/200€

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9 : « Notre Dame du Rosaire PPN» : statuette en faïence polychrome de Quimper,

représentant la Sainte Vierge, portant l’enfant à son bras gauche, se tenant sur un

socle circulaire à pans droits portant la marque "Ne D

e du Rosaire P.P.N" en noir.

Estampée. Manufacture indéterminée XVIIIème siècle.

Hauteur : 23cm. 150/200€

10 : "Ste Vierge » : statuette en faïence polychrome de Quimper, représentant

la Sainte Vierge, portant à son bras gauche l’enfant à la chevelure blonde, elle

est couronnée et porte une croix en collier. Se tenant sur un socle semi

circulaire à pans incurvés portant la marque "Ste Vierge" en noir. Marque H.R

Quimper en noir (Henriot 1904-1922). Estampée. Début XXème siècle.

Modèle fabriqué sur la première moitié du XXème

siècle. Plâtre et moule détruits.


FAIENCE DE QUIMPER". Etiquette de l’exposition d’ouverture musée de la


Hauteur : 22cm. 80/100€

11 : "Notre Dame des Carmes PPN" : statuette en faïence polychrome de Quimper,

représentant la Sainte Vierge, portant à son bras gauche l’enfant Jésus à la chevelure

blonde. Elle se tient sur un socle circulaire à pans droits portant la marque "Ne D

e des

Carmes" en noir. Sans marque. Estampée. Orifice au niveau de la main droite.

Manufacture indéterminée XVIIIème siècle.

Hauteur : 21cm. 150/200€

12 : "ND DE LA IOYE" : importante statuette en faïence polychrome de

Quimper, représentant la Sainte Vierge, portant une couronne dentelée et

à son bras gauche l’enfant Jésus, chevelures blondes. Elle se tient sur un

socle circulaire à pans incurvés portant la marque "Ne D

e de la IOYE " en

bleu. (A noter : elle porte un manteau à fleur et une robe bleue). Sans

marque. Estampée. Manufacture indéterminée XVIIIème siècle.

Hauteur : 36cm. 180/220€

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13 : "Saint Yves" : importante statuette en faïence polychrome de Quimper,

représentant Saint Yves, Saint patron de la Bretagne, défenseur des opprimés. Il

tient un parchemin dans sa main gauche et une croix dans sa main droite. Il se

tient sur un socle octogonal à pans droits portant la marque "ST YVES " en noir. (A

noter : il porte une robe couleur manganèse). Porte la marque « 1 ». Estampée.

Manufacture indéterminée fin XIXème siècle.

Hauteur : 25cm. 120/150€

14 : « ND de Grace PPN » : Importante statuette de Vierge à l’enfant estampée,

faïence de Quimper polychrome, sans marque, intitulée au-devant du socle semi

circulaire à pans droits. Manufacture indéterminée fin XVIIIème siècle.

Hauteur : 37.5cm. 300/400€

Quelques égrenures et sauts d’émail.

Numéro 15 :

"Ste Marie PPN" Grande statuette d’une vierge d'accouchée à l'enfant, à la robe

tricolore bleu blanc rouge, faïence de Quimper Polychrome, intitulée au-devant du

socle semi circulaire à pans droits, Manufacture indéterminée début XIXeme siècle,

taille 4.

Etiquette de l’exposition d’ouverture musée de la faïence de Quimper 1991.

Hauteur : 32cm 100/120€

16 : "Ste Vierge PPN" Grande statuette d’une vierge d'accouchée, portant une

couronne et une robe fleurie, au décor complexe, en faïence de Quimper

Polychrome, orifice à l’avant au niveau du cœur intitulée au-devant du socle

circulaire à pans droits « Ste Vierge P.P.N » en noir. Sans marque, Manufacture

indéterminée début XIXeme siècle, taille 4 en relief et inversé dans la pâte.

Période de fabrication début du XIXème jusqu’à la fin du XIXème. Plâtre et moule

détruits. Ref page 82 ouvrage Laurent Cahn "VIERGES ET SAINTS LES STATUETTES EN

FAIENCE DE QUIMPER". Etiquette de l’exposition d’ouverture musée de la faïence de

Quimper 1991.

Hauteur : 32 cm 120/150€

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17 : Grande statuette d’une vierge à l’enfant couronnée, à la robe bleu, et au

décor au bâton. Faïence de Quimper Polychrome, sujet sans socle piédestal.

Sans marque, estampée, Manufacture indéterminée XVIIIeme siècle. (A noter

quelques éclats et accidents à la couronne).

Hauteur : 30.5cm. 150/180€

18 : " N du Murt " Statuette d’une vierge d'accouchée couronnée et une robe bleue,

portant l’enfant à son bras gauche à la chevelure blonde, en faïence de Quimper

Polychrome. Intitulée au-devant du socle semi circulaire à pans incurvés « N du

Murt» en noir, orifice au dos, sans marque, estampée. Manufacture indéterminée fin

XVIIIeme première moitié du XIXème siècle.

Plâtre et moule détruits. Ref page 107 ouvrage Laurent Cahn "VIERGES ET SAINTS LES

STATUETTES EN FAIENCE DE QUIMPER".


Hauteur : 24cm 150/200€

19 : " Ste Barbe P.P.N" Grande Statuette d’une vierge d'accouchée couronnée

à la robe bleue, portant la tour aux trois fenêtres représentant la trinité dans sa

main gauche, en faïence de Quimper Polychrome. Intitulée au-devant d’un

socle circulaire à pans incurvés et arrêtes saillantes « Ste Barbe P.P.N» en noir,

sans marque, estampée. Manufacture indéterminée fin XVIIIeme jusqu’à la fin

du XIXème siècle.

Plâtre et moule détruits. A noter : Modèle d’un poids très lourd qui existe non

couronné. Voisin de celui produit par la Grande Maison à la même époque.

Modèle repris par Henriot. Ref page 112 ouvrage

Laurent Cahn "VIERGES ET SAINTS LES STATUETTES EN

FAIENCE DE QUIMPER".

Etiquette de l’exposition d’ouverture musée de la


Hauteur 31cm 150/200€

20 : "Ste Marie, Anne, PPN" : Statuette d’une vierge à l'enfant d'accouchée

couronnée, en faïence en Quimper, polychrome, taille 1. Intitulée au-devant d’un

socle rectangulaire à pans droit « Ste Marie, Anne P.P.N » en noir, sans marque.

Estampée , Manufacture indéterminée XVIIIème siècle.

Hauteur : 24.5cm 150/200€

A noter : éclat.

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21 : "Ste Marie PPN" : Statuette d’une vierge à l'enfant, à la robe fleurie portant

l’enfant à son bras gauche à la chevelure blonde, en faïence de Quimper Polychrome.

Intitulée au-devant d’un socle rectangulaire aux pans droits « Ste Marie P.P.N » en

noir, sans marque, estampée, taille 1. Manufacture indéterminée XVIIIème siècle.

Hauteur : 23cm. 80/120€

A noter la présence de gros éclats.

22 : "ND DES PORTES PPN" : Grande statuette d’une vierge à l'enfant d'accouchée,

couronnée, portant l’enfant à la chevelure blonde. Habillée d’une robe à motif

fleurie et un manteau décoré. En faïence de Quimper, polychrome. Intitulée au-

devant d’un socle circulaire à pans incurvés « ND DES PORTES P.P.N » en noir, sans

marque, estampée, Manufacture indéterminée XVIIIème siècle.

Hauteur : 31cm. 150/200€

A noter la présence d’une belle coiffure et de chaussures sur la vierge, et quelques

éclats.

23 : "ST Yves" Grande statuette de Saint Yves en robe verte et manteau noir,

manganèse. En faïence de Quimper, polychrome. Intitulée au-devant d’un

socle circulaire à pans incurvés « St Yves ». Portant la marque : HR Quimper

n°8 (Henriot 1904-1922), XIXème siècle. Etiquette de l’exposition d’ouverture musée de la faïence de Quimper 1991.

Hauteur : 33cm. 100/120€

24 : "N.D : des Carmes : p : p nous" Importante statuette d’une Vierge à

l'enfant d'accouchée, portant l’enfant à la chevelure blonde à son bras

gauche. En faïence de Quimper, polychrome. Intitulée au-devant d’un socle

circulaire à pans incurvés « N.D : Des Carmes : P : P Nous » en noir. Sans

marque, estampée. Manufacture indéterminée, XVIIIème siècle.

Hauteur : 47cm. 300/400€

A noter fêle sur la tête de l’enfant.

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25 : "Sainte Vierge" : Statuette d’une vierge aux mains croisées à la robe fleurie bleu,

et au beau drapé. En faïence de Quimper Polychrome. Vierge dite Robic. Intitulée au-

devant d’un petit socle octogonal à pans droits « Sainte Vierge» en bleu. Marque HenRiot, estampée. Début XXème siècle.

Plâtre et moule détruits. Période de fabrication début XXème siècle jusqu’aux années

1950. Ref page 125 ouvrage Laurent Cahn "VIERGES ET SAINTS LES STATUETTES EN



Hauteur : 29cm. 80/120€

A noter bel émail.

26 : " Notre dame du Roncier " : Statuette d’une vierge stylisée, couronnée, à décor

jaune et bleu. En faïence de Quimper Polychrome. Intitulée au-devant d’un socle

semi circulaire à pans incurvés « Notre dame du Roncier» en noir. Marque Henriot Quimper, N° 132. Décorée par Mme Le Phuez vers 1930. Début XXème siècle.

Plâtre et moule détruits. Période de fabrication début XIXème siècle jusqu’aux

années 1960. Ref page 129 ouvrage Laurent Cahn "VIERGES ET SAINTS LES



Hauteur : 25cm 80/120€

A noter belle qualité de l’émail.

27 : " Ste Marie " : Statuette d’une vierge à l’enfant d’accouchée, couronnée, à décor

rouge avec défaut d’impression. En faïence de Quimper Polychrome. Orifice à l’avant

à hauteur de la main droite, et au dos. Trésaillure et travail de transition sur les

couleurs. Intitulée au-devant d’un socle circulaire à pans droits « Ste Marie» en noir.

Sans marque, estampée. Taille n°2 en noir. Manufacture indéterminée Début XIXème siècle.

Plâtre détruit et moule disparu. Période de fabrication fin XVIIIème jusqu’aux années

1960 par estampage puis par coulage. Ref page 82 ouvrage Laurent Cahn "VIERGES ET

SAINTS LES STATUETTES EN FAIENCE DE QUIMPER".


Hauteur : 22.5cm. 80/120€

A noter défaut d’impression.

28 :" Ste Marie " : Statuette d’une vierge d’accouchée, sans enfant, couronnée.

Modèle non décoré, émaillé blanc. En faïence de Quimper. Orifice au dos. Intitulée

au-devant d’un socle circulaire à pans droits « Ste Marie» en noir. Sans marque,

estampée. Taille n°2 Manufacture indéterminée Début XIXème siècle.

Plâtre détruit et moule disparus. Période de fabrication fin XVIIIème jusqu’aux

années 1960 par estampage puis par coulage. Ref page 82 ouvrage Laurent Cahn

"VIERGES ET SAINTS LES STATUETTES EN FAIENCE DE QUIMPER". Etiquette de

l’exposition d’ouverture musée de la faïence de Quimper 1991.

Hauteur : 22.5cm 40/80€

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29 : " Ste Anne " : Statuette d’une vierge à l’enfant, avec une coiffe moyen-oriental

sur la Vierge et l’enfant. En faïence de Quimper, polychrome. Intitulée au-devant

d’un socle octogonal à pans droits « Ste Anne» en noir. Lettre C.Y. N° F325. Décor

sous émail. Marque HB Quimper, coulée. Après 1945.

Plâtre détruit et moule disparus. Période de fabrication de 1945 jusqu’aux années

1980. Modèle qui existe avec la couronne plate. Modèle voisin de celui produit par

Henriot. Ref page 82 ouvrage Laurent Cahn "VIERGES ET SAINTS LES STATUETTES EN




30 : " N-D de BON SECOURS " : Statuette d’une vierge à l’enfant, couronnée, goût

orient. Vierge portant un collier au sacré cœur, et un voile bleu ciel. L’enfant à la

chevelure blonde porte une robe rose. Faïence de Quimper, polychrome. Intitulée

au-devant d’un socle octogonal à pans incurvés « N-D de BON SECOURS» en noir.

Marque HB Quimper 184 PC, coulée. Début XXème siècle, années 1930.

Plâtre détruit et moule détruits. Période de fabrication de 1930 jusqu’aux années




31 : " Sainte Marie PPN, Sainte Anne PPN " : Grande Statuette de Sainte Anne tenant

la Vierge Marie à la main droite. Vierge Marie portant le livre. Faïence de Quimper,

polychrome. Intitulée au-devant d’un socle de forme spéciale (haricot) à pans droits

« Sainte Marie PPN, Sainte Anne PPN» en noir. Marque Henriot Quimper en noir et

n°82 France en noir, estampée. Début XXème siècle, dans le goût du XVIIIème siècle.

Plâtre et moule disparus. Période de fabrication début XXème siècle jusqu’aux années





32 : " Sainte Marie PPN, " : Statuette d’une vierge à l’enfant d’accouchée,

couronnée et portant un boléro vert, chaussée. Faïence de Quimper, polychrome.

Intitulée au-devant d’un socle circulaire à pans incurvés « Sainte Marie PPN» en

noir. Sans marque, estampée. Taille 3 en noir. Attribuée aux productions de la Grande Maison. Seconde moitié du XIXème siècle. Plâtre et moule détruits. Période de fabrication milieu XIXème siècle jusqu’aux

débuts XXème siècle. Ref page 86 ouvrage Laurent Cahn "VIERGES ET SAINTS LES


Etiquette de l’exposition d’ouverture musée de la faïence de Quimper

1991.Hauteur : 22.5cm 80/120€

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33 : " ND BON SECOURS PNN " : Statuette d’une vierge à l’enfant d’accouchée,

couronnée et portant un manteau bleu à large bande ornementé de deux blasons :

Bretagne et au bateau. Portant un enfant au bonnet mauve et au manteau blanc.

Faïence de Quimper, polychrome. Intitulée au-devant d’un socle rectangulaire à

pans droits « ND BON SECOURS PNN» marqué en creux. Marque HB Quimper

Porson (NB : Henriette Porson 1874-1963), coulée. Attribuée aux productions de la Grande Maison. Seconde moitié du XXème siècle.

Hauteur : 27cm 300/400€

34 : " Notre Dame des PORTES " : Importante Statuette d’une vierge à l’enfant

couronnée et portant l’enfant couronné à son bras gauche tenant le livre. Vierge

habillée d’un voile bleu claire, et d’un manteau fleuri. Faïence de Quimper,

polychrome. Intitulée au-devant d’un socle octogonal à pans droits « Notre Dame

des PORTES» en noir. Marque HB Henriot Quimper par Lalys Quimper (Philippe

Lalys), coulée. XXème siècle. Hauteur : 43.5cm 200/300€

A noter : fêle de cuisson.

35 : " Ste Anne " : Grande Statuette de Sainte Anne accompagnée de la Vierge Marie

tenant un parchemin. A Noter la robe sur fond bleu de l’enfant. Faïence de Quimper,

polychrome. Intitulée au-devant d’un socle octogonal à pans droits « Ste Anne» en

noir. Marque Henriot Quimper (HB Quimper PY) en noir, coulée. Années 1960. Plâtre et moule conservés. Période de fabrication avant 1920 jusqu’à nos jours. Ref

page 130 ouvrage Laurent Cahn "VIERGES ET SAINTS LES STATUETTES EN FAIENCE DE

QUIMPER".


Hauteur : 31cm 120/180€

36 : " Sainte Vierge " : Statuette d’une Vierge à l’enfant d’accouchée. Vierge

couronnée, habillée d’un boléro vert, d’une croix en collier et chaussée, tenant à

son bras gauche l’enfant. Faïence de Quimper, polychrome. Intitulée au-devant

d’un socle circulaire à pans incurvés « Ste VIERGE» en noir. Taille 3 en noir. Sans

marque, estampée. Attribuée aux productions de la Grande Maison, seconde moitié du XIXème siècle. Plâtre et moule détruits. Modèle très proche de celui

produit par Porquier. Vente du moule possible d’une manufacture à l’autre. Période

de fabrication milieu XIXème siècle jusqu’au début XXème. Ref page 86 ouvrage

Laurent Cahn "VIERGES ET SAINTS LES STATUETTES EN FAIENCE DE

QUIMPER".Etiquette de l’exposition d’ouverture musée de la faïence de Quimper

1991.Hauteur : 26.5cm 80/120€

A noter : éclat de cuisson.

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37 : " Sainte Vierge " : Petite statuette d’une Vierge à l’enfant. Vierge, portant à son

bras gauche l’enfant à la chevelure blonde. Faïence de Quimper, polychrome. Intitulée

au-devant d’un socle de carré à pans droits « Ste VIERGE» en noir. Marque HB Quimper F167, coulée. Première moitié du XXème siècle. Hauteur : 16.5cm 40/60€

38 : " St Joseph " : Importante Statuette de Saint Joseph à la robe fleurie bleu

portant à sa main droite le lys et à sa gauche le livre. Faïence de Quimper,

polychrome. Intitulée au-devant d’un socle carré à pans droits « St Joseph» en

noir. Coulée. Attribuée Lalys Quimper (atelier de), seconde moitié du XXème siècle. Hauteur : 39cm 300/400€

39 : " Sainte Vierge PPN " : Statuette d’une Vierge à l’enfant d’accouchée. Vierge

couronnée, habillée d’un manteau bleu sur robe à fleurs, tenant à son bras gauche

l’enfant au collier de croix. Faïence de Quimper, polychrome. Intitulée au-devant d’un

socle semi circulaire à pans incurvés « Sainte Vierge P.P.N» en noir. Marque HR Quimper (Henriot 1904-1922), coulée. Début XXème siècle. Plâtre et moule détruits. Période de fabrication première moitié du XXème siècle. Ref


QUIMPER".


Hauteur : 25.5cm 60/80€

40 : " Mater Dolorosa " : Petite Statuette d’une Vierge dite « de pitié ». A noter :

présentation exceptionnelle du Christ barbu à la droite de sa mère. Même

inspiration que la Vierge de Bénodet. Email bleuté. Faïence de Quimper,

polychrome. Intitulée au-devant d’un socle semi rectangulaire à pans droits

« Mater Dolorosa» en noir. Marqué HB Quimper en noir et signe : triangle marqué

en creux dans la pâte sous le socle, estampée. Années 1910-1920. Plâtre et moule détruits. Période de fabrication fin XIXème début XXème siècle. Ref


QUIMPER".


Hauteur : 15.5cm 120/150€

41 : " Notre dame de Penhors" (quartier haut de Quimper) : Statuette d’une Vierge

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couronnée et habillée d’une robe mauve, et portant l’enfant à la chevelure blonde à son bras gauche. Faïence

de Quimper, polychrome. Intitulée au-devant d’un socle octogonal à pans droits « N.D de PENHORS» en

manganèse. Signe : en peinture et en creux S.GODEC et SG, coulée. XXème siècle.

Stanislas GODEC : artiste indépendant d’une extrême sensibilité. D’abord collaborateur de la grande maison en

1949-1950, travailla ensuite chez Henriot puis aux Faïenceries de Quimper jusqu’en 1983.

Hauteur : 24.5cm 80/120€

A noter un éclat sous la couronne.

42 : " St Méen " : Statuette de St Méen portant à sa main gauche le livre et à sa

gauche son bâton d’abbé. Faïence de Quimper, polychrome. Intitulée au-devant

d’un socle rectangulaire à pans droits « St Méen» en bleu. Marque HB Quimper, coulée. XIXème siècle.


Hauteur : 23cm

80/120€

43 : " Ste Marie " : Petite Statuette d’une Vierge aux bras croisés. Sainte portant un

manteau bleu sur une robe à décor et portant un collier en croix. Faïence de Quimper,

polychrome. Intitulée à l’avant sur un socle semi circulaire à pans droits

mouvementés « Ste Marie» en noir. Sans marque, estampée. Taille n°1 en relief dans

la pâte. Attribuée aux productions de la Grande Maison fin XIXème siècle.

Plâtre et moule détruits. Période de fabrication milieu XIXème jusqu’aux années




Hauteur : 15.cm 40/60€

44 : « Vierge à l’enfant »: Statuette d’une Vierge à l’enfant en grès au sel. A noter :

rare modèle conservé. Grès irisé de Quimper. Socle semi circulaire à pans incurvés.

Sans inscription, estampée. Manufacture indéterminée, milieu XIXème siècle. Plâtre et moule détruits. Période de fabrication fin XVIIème – 1

ère moitié du XIXème

siècle. Ref page 85 ouvrage Laurent Cahn "VIERGES ET SAINTS LES STATUETTES EN



Hauteur : 21.5cm 40/60€

Petits éclats et défauts de cuisson.

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45 : « ST CORENTIN»: importante Statuette d’un sujet habillé d’un

manteau rouge sur une robe bleue claire, et portant sa mitre, à sa

main gauche sa crosse d’évêque. Faïence de Quimper, polychrome.

Intitulée à l’avant sur un socle carré à pans droits « St CORENTIN» en

creux et en ocre. A noter : la présence du poisson légendaire au-

dessus de d’intitulé sur le socle même. Signée HB Henriot Quimper Philippe Lalys, moulée. XXème siècle.

Hauteur : 55.5cm 400/500€

46 : Sainte Anne : Statuette représentant Saint Anne et la Vierge. Faïence de

Quimper, polychrome. Sans socle, sans inscription. Marque Henriot Quimper en noir

signée J. KERVELLA en noir, coulée. Décor sous émail. Milieu XXème siècle.

Plâtre détruit et moule conservé. Période de fabrication des années 1930 jusqu’aux




JOS KERVELLA : collabora régulièrement avec les faïenceries Henriot au cours des

années 1930 jusqu’à la seconde guerre mondiale.

Hauteur : 21.5cm 120/150€

47 : " ST CORENTIN " : Statuette de Saint Corentin, habillé d’un manteau blanc à

bande décoré sur une chasuble bleu, portant sa mitre d’évêque. Faïence de

Quimper, polychrome. Sans inscription mais au-devant du socle carré à pans

droits le poisson légendaire. Marque Lalys HB Henriot Quimper (société

nouvelle des faïenceries de Quimper depuis 1984), coulé. Fin XXème siècle.

Hauteur : 25cm 150/200€

48 : " ST Pol de Leon " : grande statuette représentant Saint Pol de Leon avec sa

crosse et sa mitre, habillé d’un manteau bleu aux bandes décorées sur une chasuble.

Faïence de Quimper, polychrome. Intitulée au-devant d’un socle octogonal à pans

droits « ST Pol de Leon» en noir. Marque Henriot Quimper (Henriot 1922-1983),

coulé. Milieu XXème siècle.

Hauteur : 33.5cm 120/150€

14

49 : " Ste Marie " : Statuette de Sainte Marie à l’enfant. Portant en collier la

croix, et un manteau bleu. Intitulée au-devant d’un socle circulaire à pans

incurvés « Ste Marie» en noir. Sans marque, estampée sans fond. A noter :

apparition de la couleur « PINK ». Manufacture indéterminée, seconde moitié du XIXème siècle. Plâtre et moule conservés. Période de fabrication milieu XIXème jusqu’aux




Hauteur : 25.5cm 80/120€

Fêle de cuisson intérieure.

50 : " ST CORENTIN " : Importante Statuette de Saint Corentin, habillé d’un

manteau bleu à bandes décorées sur une chasuble bleu. A noter la présence

du poisson légendaire aux pieds du Saint. Faïence de Quimper, polychrome.

Intitulée au-devant d’un socle circulaire à arrêtes saillantes « St Corentin » en

noir. Chiffre 84 en noir, Marque 8 Henriot Quimper France, estampée. Milieu XXème siècle.

Plâtre et moule détruits. Période de fabrication des années 1930 jusqu’aux



Hauteur : 40.5cm 300/400€

51 : " Rouanez an Arvon " : grande Statuette d’une Sainte priant et

couronnée, habillée d’un manteau bleu sur une robe décorée. Faïence de

Quimper, polychrome. Intitulée au-devant d’un socle de forme spéciale à pans

droits « Rouanez an Arvon» en bleu. Marque Quimper en noir, signé R.

Micheau – Vernez en noir, décor sous émail, coulée. Milieu XXème siècle.

Plâtre et moule disparus. Période de fabrication après 1940 jusqu’aux années

1950. Ref page 137 ouvrage Laurent Cahn "VIERGES ET SAINTS LES


MICHEAU-VERNEZ : célèbre pour ses personnages bretons. Collabora à la

création dans les faïenceries Henriot depuis la fin des années 1930 jusqu’au

début des années 1950.

Hauteur : 32cm 150/200€

52 : " ND de Callot " : plaque de bateau Vierge à l’enfant couronnée, habillée

d’une robe bleue, et portant l’enfant à la chevelure blonde à son bras gauche.

Céramique vernissée, polychrome. Intitulée au-devant d’un socle de forme

spéciale à pans droits « ND de Callot» en noir. Marque R Lostivint, estampée.

Milieu XXème siècle.

Hauteur : 19cm. 40/60€

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53 : " Saint Valentin " : Statuette de Saint Valentin, habillée d’un manteau

jaune sur une chasuble blanche, portant une mitre et une crosse. Faïence

de Quimper, polychrome. Intitulée au-devant d’un socle de forme carré à

pans droits « St Valentin» en noir. Marque HB Quimper, lettre A sur le

socle, coulée (1904-1983). Attribué à la manufacture de la Grande Maison,

XXème siècle.


Hauteur : 22.5cm 120/150€

54 : " St Jean " : grande Statuette de Sainte jean Baptiste, habillé d’un

manteau bleu et portant à son bras gauche un agneau (représentant le

Christ). Faïence de Quimper, polychrome. Intitulée au-devant d’un socle

de forme spéciale à pans droits « St JEAN» en noir. Marque HB Quimper

en noir, décor sous émail, coulée. Milieu XXème siècle.

N°309 au catalogue des faïenceries. Plâtre conservé et moule disparu.

Période de fabrication des années 1930 jusqu’aux années 1960. Ref page

96 ouvrage Laurent Cahn "VIERGES ET SAINTS LES STATUETTES EN


Hauteur : 32 cm 120/150€

55 : " Saint Antoine " : grande Statuette de Saint Antoine habillé d’un manteau

et portant à sa main gauche le livre et à ses pieds un pourceau. Faïence de

Quimper, polychrome. Sans intitulé et sans socle. Sans marque. Manufacture

indéterminée XIXème siècle.

Hauteur : 30 cm 150/200€

56 : " St Yves " : Importante Statuette de Saint Yves, Saint Patron de la

Bretagne, habillé en juge, tenant à la main droite un parchemin et à la gauche

l’étui contenant les écrits et documents juridiques. Faïence de Quimper,

polychrome. Intitulée au-devant d’un socle de forme octogonal à pans

incurvés « St Yves» en noir. Marque HB Quimper en noir, coulée. Milieu XXème siècle. N°587-360 aux catalogues des faïenceries. Plâtre et moule détruits. Période de

fabrication fin des années 1930 jusqu’au milieu des années 1950. Ref page 92

ouvrage Laurent Cahn "VIERGES ET SAINTS LES STATUETTES EN FAIENCE DE

QUIMPER".

Hauteur : 39cm 150/180€

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57 : " St CORENTIN PPN " : grande Statuette de Saint Corentin, premier

évêque de Quimper, habillé de ses attributs (crosse, mitre) et à ses pieds le

poisson légendaire. Faïence de Quimper, polychrome. A Travail exécuté par

un peinteur issu de chez Porquier Beau, par Moreau ? Intitulée au-devant

d’un socle de forme octogonal à pans droits « St CORENTIN P.P.N» en noir.

Marque HR Quimper en bleu, trait en bleu soulignant la marque « HR »,

estampée ; Début XXe

Plâtre conservé et moule détruit. Période de fabrication fin XIXème jusqu’au

milieu XXème. Ref page 121 ouvrage Laurent Cahn "VIERGES ET SAINTS LES



Hauteur : 39cm 200/300€

NOTER : Qualité de l’émail, des couleurs et du décor très exceptionnel.

58 : " Les saints guérisseurs " : grandes Statuettes de Saint Mamers et de Saint

Livertin deux des sept saints guérisseurs. Saint Mamers pour les maux de ventre

et Saint Livertin pour les maux de tête. Faïence de Quimper, polychrome. Les

deux statuettes représentent les saints sur un socle octogonal à pans droits avec

leur nom inscrit en noir. Portent une marque Henriot Quimper en noir, et le

chiffre 82, coulées. Milieu XXème siècle.

Plâtre et moule détruits. Période de fabrication années 1930 jusqu’aux années

1950. Ref page 126 ouvrage Laurent Cahn "VIERGES ET SAINTS LES STATUETTES

EN FAIENCE DE QUIMPER".

Hauteur : 32cm 150/200€

59 : " St TUGDAL " : Statuette de Saint

TUGDAL, évêque de Tréguier , considéré comme l'un des sept saints

fondateurs de la Bretagne, est habillé de ses attributs (crosse, mitre). Faïence de

Quimper, polychrome. Intitulée au-devant d’un socle de forme carré à pans

droits « St TUGDAL» en noir. Marque HB Quimper, coulée. XXème siècle.

Hauteur : 21.5cm 80/120€

60 : " Vierge immaculée " : Statuette de la Sainte

Vierge dite « immaculée » aux bras ouverts, habillé d’un manteau bleu sur une

robe fleurie, chaussée. A noter : traitement du décor du socle remarquable

Faïence de Quimper, polychrome. Intitulée au-devant d’un socle circulaire à pans

droits « Ste Marie» en noir. Sans marque, estampée. Manufacture indéterminée, début XXème siècle. Plâtre d’origine et moule détruits. Plâtre remodelé existant. Période de

fabrication des années 1930 jusqu’aux années 1960. Ref page 87 ouvrage

Laurent Cahn "VIERGES ET SAINTS LES STATUETTES EN FAIENCE DE QUIMPER".


Défaut de cuisson sur peinture au niveau des mains

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61 : " Sainte Marie" : importante Statuette d’une Vierge d’accouchée,

couronnée, habillée d’un manteau bleu sur une robe fleuri, et portant

l’enfant à la chevelure blonde à son bras gauche. Céramique de Quimper,

polychrome. Intitulée au-devant d’un socle de forme carré à pans droits

« Ste MARIE» en noir. Marque « VB » sur piédestal, Verlingue, coulée.

Début XXème siècle.

Hauteur : 61cm 300/400€

Petit accident de cuisson

62 : " Vierge à l’enfant " : Grande Statuette d’une Vierge à l’enfant, portant à son

bras gauche l’enfant. Faïence de Quimper, monochromée de noir. Sans intitulée,

mais sur un socle circulaire à pans incurvés. Sans marque. Manufacture

indéterminée, fin XIXème début XXème siècle.


63 : " ND de LOCMARIA P P N " : Importante Statuette d’une Vierge à

l’enfant couronnée, habillée d’une robe bleue décorée et chaussée.

Portant l’enfant lisant à son bras gauche. A noter : couleurs pastels

remarquable pour l’époque, bel émail. Faïence de Quimper, polychrome.

Intitulée au-devant d’un socle octogonal à pans droits « ND de

LOCMARIA P P N» en noir. Marque HR en bleu souligné d’un trait en

bleu, estampée. Fin XIXème siècle. Plâtre d’origine et moulage d’estampage détruit. Plâtre remodelé et

moule de coulage conservés. Vierge inspirée de la statue de l’Eglise de

Locmaria. Un modèle en biscuit peint a longtemps trôné au-dessus de

l’entrée de la manufacture Henriot. Vierge symbole pour les faïenciers.

Période de fabrication fin XIXème. Ref page 119 ouvrage Laurent Cahn

"VIERGES ET SAINTS LES STATUETTES EN FAIENCE DE QUIMPER".

Etiquette de l’exposition d’ouverture musée de la faïence de Quimper

1991.

Hauteur : 24cm 200/300€

64 : " St Cornely " : Statuette d’un sujet représentant Saint Cornely, saint

protecteur du bétail, habillé d’une mitre, d’un manteau vert et portant à sa

main gauche une crosse. Faïence de Quimper, polychrome. Intitulée au-

devant d’un socle carré à pans droits «St Cornely » en manganèse. Sans

marque. Manufacture indéterminée, XIXème siècle.


Repeint possible sur pied

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65 : " N Dme du Rosaire P P Nous " : Importante Statuette d’une Vierge à

l’enfant, chaussée et habillée d’une robe à fleurs sous un manteau noir et

jaune, portant à son bras gauche l’enfant tenant une boule représentant le

monde. Faïence de Quimper, polychrome. Intitulée au-devant d’un socle

circulaire à pans droits «N Dme du Rosaire P P Nous» en noir. Sans marque,

estampée. Manufacture indéterminée, XVIIIème siècle.

Hauteur : 39cm 150/200€

66 : "Sainte Anne apprenant à lire à la vierge " : Grande Statuette de

sainte Anne, habillée d’un manteau bleu sur une robe rose. La jeune

Vierge Marie habillée d’une robe bleue et portant un livre. Style art

déco. Faïence de Quimper, polychrome. Intitulée en relief dans la pâte

« Sainte Anne apprenant à lire à la vierge ». Marque Henriot Quimper

en noir, signée d’un monogramme Bachelet (EJB) en noir, décor sous

émail, coulée. Vers 1935. Plâtre et moule détruits. Période de fabrication de 1920 à 1935. Ref

page 135 ouvrage Laurent Cahn "VIERGES ET SAINTS LES STATUETTES

EN FAIENCE DE QUIMPER".

Hauteur : 36cm 200/250€

67 : " Ne De de Bourgeonnais " : Statuette de sainte Anne, habillée d’un

manteau bleu sur une robe rose en forme stylisée de triangle. La jeune Vierge

Marie habillée d’une robe bleue et portant un livre. A noter : modèle classique

de Notre Dame du Roncier rebaptisée. Brillance exceptionnelle de l’émail

résultat d’une céruse. Faïence de Quimper, polychrome. Intitulée au-devant

d’un socle circulaire à pans incurvés « Ne De de Bourgeonnais» en noir. Taille

n°4 en creux dans la pâte. Sans marque, estampée. Manufacture indéterminée, seconde moitié du XIème siècle.

Plâtre et moule détruits. Modèle repris par Henriot. Période de fabrication

seconde moitié du XIXème jusqu’à la fin du XIXème siècle. Ref page 114 ouvrage

Laurent Cahn "VIERGES ET SAINTS LES STATUETTES EN FAIENCE DE QUIMPER".


Hauteur : 26.5cm 120/150€

68 : " Sainte Anne " : Importante Statuette de sainte Anne, apprenant à lire à

la Vierge, habillée d’un manteau bleu sur une robe et portant un masque. La

jeune Vierge Marie habillée d’une robe fleurie et portant un livre. Faïence de

Quimper, polychrome. Intitulée au-devant d’un socle carré à pans incurvés

« Ste Anne» en noir. Marque HB Quimper en bleu, signe O en bleu, estampée.

Vers 1910-1920.

Plâtre détruit et moule disparus. Modèle acheté à la fabrique Dérivas à Nantes

vers 1869. Période de fabrication vers 1870 jusqu’aux années 1950. Ref page 91

ouvrage Laurent Cahn "VIERGES ET SAINTS LES STATUETTES EN FAIENCE DE

QUIMPER".

Hauteur : 52cm Trésaillures et écaillages sur le socle. 300/400€

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69 : " Sainte Marie " : Petite Statuette de sainte Marie, portant l’enfant à son

bras gauche. A noter : exemple curieux de socle décoré et de corps de la

statuette traité en émail blanc sans décor, grès de Quimper monochrome.

Intitulée au-devant d’un socle circulaire à pans incurvés « Ste Marie» en noir.

Orifice au dos. Sans marque, estampée sans fond. Manufacture indéterminée,

fin XVIIIeme, début Xxeme. Plâtre et moule détruits. Période de fabrication seconde moitié du XIXème

jusqu’à la fin du XIXème siècle. Ref page 84 ouvrage Laurent Cahn "VIERGES ET

SAINTS LES STATUETTES EN FAIENCE DE QUIMPER".


Hauteur : 19.5cm 40/60€

70 : " M " : Grande statuette de sainte Marie, portant l’enfant à son bras

gauche, habillé d’un manteau bleu sur une robe à pois rouge et bleu. L’enfant

habillé de vert. Céramique de Quimper, polychrome. Intitulée au-devant d’un

socle circulaire à pans incurvés « M» en noir. Sans marque, estampée.

Manufacture indéterminée, XIXe

Hauteur : 41cm 120/150€ Quelques mal cuits de rouge caractéristiques de l'époques et egrénures

71 : " Sainte Marie " : Statuette de sainte Marie, portant l’enfant à son bras gauche. Faïence de Quimper,

monochrome. Email blanc, sans décor. Intitulée au-devant d’un socle circulaire à pans incurvés « Ste Marie» en

noir. Sans marque, estampée sans fond. Manufacture indéterminée, XIXeme. Plâtre et moule détruits. Période de fabrication seconde moitié du XIXème jusqu’à la fin du XIXème siècle. Ref

page 84 ouvrage Laurent Cahn "VIERGES ET SAINTS LES STATUETTES EN FAIENCE DE QUIMPER".

Hauteur : 28.5cm

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TABLEAUX : ECOLE DE PONT AVEN, NABIS …

72. Emile SIMON (1890-1976)

« Procession des veuves » Huile sur toile. Signé en bas à gauche, accompagné d’un « M ». 46.5 x 33 cm 1500/2000 € « Elève aux beaux-arts de Rennes puis élève dans l’atelier de Fernand Cormon à l’école des beaux-arts de Paris. Il obtient le prix de Rome en 1912. Dessinateur pour des joailliers parisiens, professeur à l’école des beaux-arts de Nantes, il puise son inspiration dans les paysages bretons, et ses habitants dans leurs activités traditionnelles et quotidiennes. Maitre et compagnon de Madeleine Fié Fieux (peintre), il s’établit à Squividan où sa compagne à son décès lèguera son manoir et sa collection composée de plus de 1500 œuvres au Conseil Général du Finistère. »

73. Adolphe Marie BEAUFRERE (1876-1960) « Bigouden au bord de la falaise » Huile sur panneau. Signé dans le rocher « BG » et certifié par le fils de l’artiste au dos (J.N BEAUFRERE). 25 x 85 cm 3200/4000 € « Peintre et graveur français, élève de Gustave Moreau puis de Fernand Cormon. Il aura comme compagnon Matisse et Marquet. Ce peintre a essayé de traduire aux travers de ses œuvres une profonde émotion humaine. Il connaitra vers 1920 une grande renommée en sa qualité de graveur et obtiendra même en 1924 le 1er prix de l’exposition internationale de Los Angeles. Peignant essentiellement des paysages de la Bretagne, l’Algérie et du midi, on retrouvera dans ces œuvres le synthétisme propre au style de Pont Aven. Tombé dans l’oubli, ce peintre est redécouvert avec le retour à la mode des peintres de Pont Aven (analogie avec les maitres de la célèbre école). »

74. Pierre DE BELAY (1890-1947) « Lesconil, départ pour la fête des filets bleus» Huile sur carton marouflé. Signature en bas à gauche, Lesconil 1946, Finistère. 56 x 40 cm Taille 12P 4000/5000 € « Peintre breton, de son vrai nom SAVIGNY, il a côtoyé Max Jacob, Apollinaire, Juan Gris, André Salmon, Pissaro … il connaitra le succès en 1923 lorsqu’il décorera la salle de l’hôtel Ker Moor à Bénodet. Il peindra en 1937 pour l’exposition universelle. Il restera attaché à peindre des scènes de ports, comme celui d’Audierne, Concarneau, ou même Douarnenez. Il lancera le treillisme pour se « moquer » des autres genres picturaux (technique proche de la gravure). Il ne sera réellement reconnu que dans les années 1970. »

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75. E75. Edmond CERIA (1884-1955) « Port de Concarneau » Huile sur panneau. Signé en bas à droite. 35 x 28 cm 800/1000€ « Peintre indépendant et proche de l’impressionnisme. Il fera des études de décorateur à l’école des beaux-arts de Genève, puis à l’académie Julian. Il exposera fréquemment au salon des Tuileries dès son ouverture en 1923, ainsi qu’à d’autres expositions internationales. Il gagnera en 1938 aux Etats Unis le prix Carnegie, et sera nommé en 1945 peintre de la Marine. Il sera de plus décoré chevalier de la légion d’honneur en 1935, puis officier en 1953. Cet artiste attache une grande importance dans ses peintures à la lumière. Lui-même définira sa peinture par trois mots : « une palette, un œil, un cœur ». Ses œuvres seront rattachés plus tard comme des hymnes à la création. En 1936, il exécute deux panneaux pour le palais du Trocadéro en vue de l’exposition universelle de 1937. Quelques-unes de ses œuvres sont actuellement exposées au musée d’art moderne de Paris. »

76. Charles Léon GODEBY (1870-1952) « Port de l’Esconil » Huile sur panneau. Signé en bas à droite. 40 x 32 cm 600/800 €

Élève de Jean-Léon Gérôme et Luc-Olivier Merson, il expose au Salon des beaux-arts de Paris à partir de 1890. Il fut aussi conservateur du Musée des beaux-arts de Quimper à partir de 1922. Il décorera l'escalier d'honneur de la Mairie de Quimper avec des peintures.

77. Attribué à Paul SIGNAC (1863-1935) « La Rochelle » Aquarelle et crayon sur papier. Monogrammé « PS » en bas à droite. 36 x 27 cm 1500/ 2000€ « Artiste peintre paysagiste français, proche du mouvement libertaire, il donna naissance au pointillisme avec le peintre Seurat. Il a aussi mis au point la technique du divisionnisme. Il commence à peindre en 1882 à Montmartre (atelier d'Émile Bin) et se perfectionne seul sous l'influence des impressionnistes. Il devient ami de Seurat en 1883-1884. Signac travaille avec Seurat et avec Pissarro, avec qui il va former le groupe des « impressionnistes dits scientifiques ». Par comparaison avec Seurat, Signac construit le tableau de façon plus spontanée, intuitive, et sa couleur est plus lumineuse. Il a été l’ami de Van Gogh peu avant le suicide de ce dernier. Il sympathise avec le symbolisme littéraire, surtout en Belgique. Il en retient plusieurs éléments, notamment l’idée d’une harmonie, à mi-chemin du paradis perdu de l’âge d’or et de l’utopie sociale, et l’ambition d’un art total. Il devient président de la Société des artistes indépendants en 1908. La plupart des peintres importants font une sorte de pèlerinage chez Signac à Saint-Tropez (villa La Hune), avec des personnalités aussi différentes que Matisse et Denis. Après avoir eu une perspective plus ou moins socialisante au cours des années 1890, il engage son talent sur des paysages sans personnage, avec une palette de plus en plus libre et une grande passion des couleurs (recréer la nature). Il fut nommé peintre officiel de la Marine en 1915. »

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78. Louis SUIRE (1899-1987) « Port de la Rochelle » Peinture sur papier. Signée en bas à droite Louis Suire (La Rochelle). Avec légendes visibles des couleurs choisis par l’artiste. A noter : quelques tâches de moisissures. 35 x 28 cm 400/500 € « Élève de l'école nationale des Beaux-Arts, il s'installera à Paris où il fréquentera l'Académie Julian. Son jeune talent d'artiste-peintre subit l'influence de Marquet et de Signac. En 1919, il fait sa première exposition de peintures. Il regagne La Rochelle

quelques années plus tard et commence à peindre les divers aspects de l'île de Ré. S'il peint surtout des paysages du pays d'Ouest, on lui doit aussi des portraits et des natures mortes, ainsi que d'autres paysages de Provence, d'Espagne et du Portugal. Sociétaire du Salon d'automne depuis 1931, il expose régulièrement tant à Paris qu'en province (Nantes, Bordeaux, La Rochelle, Maubeuge, Cognac, etc.). En 1937, il décore avec Olivier Flomoy le stand du cognac à l'Exposition universelle. Éditeur d'art, il fonde à La Rochelle les éditions « À la Rose des Vents a, d'où sortent de nombreux livres qu'il illustre d'aquarelles à la main ou reproduites au pochoir. Pour le compte d'autres éditeurs, il illustre notamment d’autres œuvres. Membre de l'Académie de La Rochelle depuis 1925, dont il fut vice-président de 1955 à 1983, membre de l'Académie de Saintonge depuis 1961, il était aussi président d'honneur de l'Institut d'histoire et d'archéologie de Cognac et du Cognaçais depuis 1984. Plusieurs de ses œuvres sont accrochées aux cimaises des musées de La Rochelle, de Cognac, de Limoges, de Nantes, de Vannes, etc »

79. Joel DABIN (1933-2006) « Regat Sept.1996 » Huile sur toile. Signée en bas à droite. Mention au dos Joel Dabin 96. 50 x 50 cm 100/120 € « Il passera son enfance à la Roche sur Yon. Et sera Élève aux beaux-arts de Nantes.A ses débuts, la peinture de Joël Dabin est plutôt rigide et austère. Dans les années 50, Dabin porte un intérêt à l’expressionnisme abstrait et à l’action painting de l’Ecole de New-York. Il aurait pu se tourner résolument vers l’abstraction mais ce ne sera que passager. Il reviendra à la figure tout en gardant cette fougue qui caractérise son œuvre. Il devient au fil des ans, le peintre du mouvement. Ses compositions servent toujours cette idée de mouvement : diagonales conventionnelles ou lignes verticales légèrement obliques, lignes courbes rayonnant autour d’un axe central. L’œuvre devient explosive avec des couleurs prenant définitivement le pas sur le dessin. Dabin sait travailler vite, d’un seul jet. Son geste est nerveux et intuitif. Ses peintures ont été influencées par les voyages. Il se révèle être plus attiré par les hommes que par les paysages. Mais il puise aussi ses envies parmi les sujets traditionnels tels que les régates, les costumes, la danse, les marchés, les carnavals, la tauromachie... Il exprime une réalité que les mots seuls ne peuvent décrire en plongeant au cœur de la matière pour nous offrir son langage pictural. Après des préparations méthodiques, le pinceau est souvent remplacé par la brosse, le couteau ou sa main. Ce travail de la matière devient plus fort lorsqu’il mêle à la peinture du sable de Loire au grain plus ou moins fin, donnant ainsi des surfaces granuleuses sur lesquelles s’accroche la lumière. Sa technique est fidèle à la peinture à l’huile. L’acrylique n’est utilisé qu’accessoirement pour les fonds. »

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80. Jean de TRIGON « Pont l’abbé 1900 » Aquarelle. Signée en bas à gauche. 17 x 26 cm 100/120 € « Jean de Trigon appartient à la vieille aristocratie bretonne. Chroniqueur prolixe de la région morlaisienne mais également peintre et dessinateur, il s'intéresse à la littérature de jeunesse. »

81. Pierre DE BELAY (1890-1947) « Audierne 1932 » Fusain sur papier. Signé en haut à droite. 20 x 27 cm 200/300 € « Peintre breton, de son vrai nom SAVIGNY, il a côtoyé Max Jacob, Apollinaire, Juan Gris, André Salmon, Pissaro … il connaitra le succès en 1923 lorsqu’il décorera la salle de l’hôtel Ker Moor à Bénodet. Il peindra en 1937 pour l’exposition universelle. Il restera attaché à peindre des scènes de ports, comme celui d’Audierne, Concarneau, ou même Douarnenez. Il lancera le treillisme pour se moquer » des autres genres picturaux (technique proche de la gravure). Il ne sera réellement reconnu que dans les années 1970. »

82. Georges GEO FOURRIER (1898-1966) « Pochoir Bretonne » Pochoir sur papier. Signé en haut à droite « FG », marque GOUEZEC à gauche. 23 x 15 cm 100/120 € « Cet artiste sera influencé par les maîtres nippons dans son œuvre, au travers de la

rigueur, et simplification du trait. Il lancera avec l’éditeur J.R. Cornet, des séries de cartes

postales sur toutes les provinces françaises : cartes postales qui lui valurent une médaille

d’or à l’exposition de 1937. En 1928, il s’installe vit en Bretagne où il lancera en 1950 sa propre Maison d’Edition « Les

Editions d’Art Georges Géo-Fourrier ». Il a également créé pour les Maisons H.B et Henriot,

ainsi que des publicités pour les cartonnages AUTROU de Quimper. Tombé peu à peu dans l’oubli après l’abandon des salons parisiens et privé de ses mentors Auguste Matisse, Claude Farrère et Charles Le Goffic, il se retire définitivement en Bretagne, où il va s’attacher à décrire avec force et passion son pays d’adoption, dont il sent la disparition prochaine par le biais de multiples supports, dessins, aquarelles, photos,

céramiques. C’est la passion d’un amateur et ami M. Le Bihan, qui va le remettre à l’honneur par le biais de ces cartes postales, avant la reconnaissance des Musées Pont Aven en 2002 et Pont l’Abbé en 2003 ».

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83. Meheut MATHURIN (1882-1958) « Essais Coiffe Ile de Sein » Crayon sur papier. Signé MM en bas à gauche. 32 x 23 cm 800/1000 € Artiste qui travaillé à la revue Art & Décoration , il publié des illustrations sur les poissons et les coraux. Parallèlement, il fût inscrit à l'École nationale supérieure des arts décoratifs à Paris. Témoin d'une époque, et passionné par les hommes et les paysages de sa province natale, il sillonnera la Bretagne, laissant une abondante production et un témoignage précis et multiforme de la vie bretonne à son époque. Enseignant de 1940 à 1944 à l'École des beaux-arts de Rennes et comptera parmi ses élèves des artistes comme le peintre verrier Joseph Archepel, l'aquarelliste Jeanne Baglin, le peintre muraliste et cinéaste d'animation Frédéric Back, le peintre Geoffroy Dauvergne, le sculpteur Roland Guillaumel, le peintre Roger Marage, et d'autres. Mathurin Méheut sera élu à l'Académie de marine en 1956. Un musée Mathurin-Méheut est créé à Lamballe, dans la ville qui l'a vu naître, où sont conservés environ cinq mille de ses œuvres.

84. René Yves CRESTON (1898-1964) « Jeune fille » Crayon sur papier. Signé en bas à droite, inscription « A Monsieur Périchard en souvenir d’un voyage à Sein 10,11 oct. 53 ». 21 x 30 cm 300/400 € « René Yves Creston fondateur avec Jeanne Malivel du mouvement des Seiz Breur, veut faire redécouvrir l’identité bretonne en ouvrant notre région à la modernité ; et cela à travers les arts. Il s’attache aux traditions mais dans ce qu’elles ont de vrai, rejetant tout ce qui est folklorique Dès 1923, son art devient une parole, un combat au sein des Seiz Breur : défendre le côté vrai, vécu, authentique et profond de la Bretagne. Les activités de Creston sont multiples puisqu’il est à la fois peintre, illustrateur, ensemblier, céramiste, décorateur de théâtre, journaliste, directeur de revues, homme de radio, ethnologue,muséographe... Les études de costumes font partie intégrante de sa démarche. Elles sont croquées lors des pardons dès les années 1921/1923. Elles nous dévoilent cette exactitude vestimentaire à laquelle Creston tenait tant, mais elles sont empreintes de modernité dans la géométrisation du dessin. Ces habits ne sont plus portés par des indigènes folkloriques, ils sont l’identité même, la fierté et la dignité de celui qui les porte. Fin 1941 début 1942 conscient que nous sommes à la veille de la disparition de ce patrimoine, Creston entreprend la rédaction d’un ouvrage qui comportera pas moins de trois cents planches sur les costumes. Cette fois-ci, sa démarche est ethnologique. En fin de carrière, il est chargé de réorganiser les musées d'ethnologie de Rennes (Musée de Bretagne) et de Quimper (Musée breton) et finit sa carrière à la direction du Musée de Saint-Brieuc (Musée d'Histoire, actuel Musée d'Art et d'Histoire).Il fût membre influent de l'Institut celtique de Bretagne qui regroupe l'élite culturelle de Bretagne. »

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85. Attribué à Lucien SIMON (1861-1945) « Vieille bretonne » Gravure en noir et blanc. Avec une dédicace. Tâchée. 17 x 19 cm 200/300 € Lucien Simon fait partie de ces artistes fin XIXe, début XXe siècle, reconnus en leur temps comme participant de la créativité de l’époque, puis oubliés dans l’effervescence des successions de mouvements avant-gardistes que l’Histoire de l’Art retient généralement de cette période. Cependant, avec une maîtrise rigoureuse de peintre et de grand dessinateur, une palette de plus en plus lumineuse et colorée, l’œuvre de Lucien Simon intéresse aujourd’hui de nouveau un public ouvert et amateur comme elle séduit depuis longtemps des connaisseurs avertis.

86. Jean Bertrand Pegot Ogier (1877-1915) « Bretonne » Crayon sur papier. Marque en bas à gauche JP. Au dos, une étiquette Philippe JAMAULT, expert à Brest. 24 x 31 cm 800/1000 € « Formé à l’esthétique académique des peintres de Concarneau, l’artiste s’en dégage vers 1905, après avoir traversé une période de doute et de remise en cause durant les trois années précédentes. Il abandonne alors les clichés stéréotypés de la Bretagne pour créer une image harmonieuse où personnages et paysages sont en symbiose intime. Utilisant simultanément l’impressionnisme pour exprimer le fugitif de l’instant et le synthétisme pour rendre la pérennité des scènes, il sait traduire l’équilibre qui règne entre les hommes et leur environnement aux confins du Morbihan et du Finistère. Il deviendra collaborateur artistique du journal Le Breton de Paris, secrétaire de l'Association des Morbihannais de Paris, puis secrétaire de la Fédération des Bretons de Paris. »

87. Georges LACOMBE (1868-1916) « Etude Breton bretonne » Crayon sur papier. Monogrammé « LG » en bas à droite. Au dos, « Bretonnes au marché (vers 1890) ». 18 x 12 cm 600/700€ « Sa rencontre avec Sérusier fut pour lui déterminante : Georges Lacombe, avec son esprit ouvert et curieux, s’est rapidement intégré et épanoui dans le groupe des Nabis. Basé à Camaret dans la presqu’île de Crozon, Lacombe fait de nombreuses excursions dans le Finistère-Sud, explorant toute la Cornouaille, de Douarnenez à Quimper et de Pont-L’Abbé à Fouesnant comme en témoignent ses carnets de dessins. Ses peintures mettent en scène tour à tour des Bigoudènes, des Fouesnantaises et des Pontavenistes. Lacombe sculpte avec bonheur ce qui lui vaut son surnom de "Nabi sculpteur". Par des simplifications d’une surprenante audace, il nous plonge dans le mystère de l’état d’âme où la suggestion tente de dire l’inexplicable des choses, le caché, l’essence. »

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88. Henry MORET (1856-1913) « Etude de 3 bretonnes » Dessin au crayon sur papier. Timbre en bas à droite Atelier H. MORET 31 x 24 cm 500/600 €

« Pendant son service militaire à Lorient, Moret découvre la côte sud de la Bretagne ; il devient un élève du peintre lorientais Ernest Coroller ; il suit ensuite en 1876 à l'École des beaux-arts de Paris les cours de Jean-Léon Gérôme et Jean-Paul Laurens et fréquente l'atelier d'Henri Lehmann, puis l'Académie Julian. Il commence à exposer au Salon des artistes français de 1881, et au Salon des indépendants et s'installe ensuite au Pouldu. « D'un caractère indépendant, installé chez le maître du port Kerluen et non à la pension Gloanec,

il se lie vite néanmoins à tout le groupe des impressionnistes » et fait la connaissance, en 1888, de Paul Gauguin et de ses amis à Pont-Aven (Finistère). Il s'intègre à son groupe et devient l'un des plus intéressants représentants de l'École de Pont-Aven. En 1890, il rejoint Paul Gauguin et ses amis à l'Auberge de Marie Henry au Pouldu et s'installe ensuite à Doëlan et revient à une technique de peinture plus impressionniste et travaille sous contrat pour la galerie Durand-Ruel. Ce marchand de tableaux lui consacre une exposition à Paris en 1898. Environ 800 œuvres de lui sont répertoriées. »

89. Paul SERUSIER (1864-1927) « Profil d’une jeune bretonne » Dessin au crayon noir sur papier. Monogrammé en rouge « PS » en bas au centre. Référence au dos sur carton « 4652 CA.C » 25 x 19 cm 600/800 € « Paul Sérusier est destiné à une carrière commerciale par son père, mais après avoir vaincu les résistances familiales, il entre à l’Académie Julian en 1888 et devient massier des petits ateliers que fréquentaient alors Denis, Ranson et Bonnard. En 1888, il est à Pont-Aven lorsqu’il fait la connaissance de Gauguin qui l’initie à sa nouvelle esthétique ; il en rapporte une vue du bois d’Amour, Le Talisman, qu’il montre à ses camarades de l’Académie et qui résume les leçons de Gauguin. Sérusier fonde alors la confrérie des Nabis qui prône un retour aux sources. L’été 1889, il est pensionnaire à l’auberge du Pouldu chez Marie Henry avec Filiger, Gauguin et de Haan. En 1891, après un séjour à Pont-Aven où il rencontre Verkade et Ballin, il s’installe au Huelgoat, jusqu’en 1893. En 1894, il exécute des cartons de vitraux pour Siegfried Bing à Paris. Il peint des décors de théâtre pour Lugné-Poé et Alfred Jarry. En 1906, il s’installe à Châteauneuf-du-Faou dans la maison qu’il a fait construire et qu’il décore, ainsi que l’église, de fresques. Marié, en 1912, avec une de ses élèves de l’Académie Ranson, Margueritte-Gabrielle Claude, il s’établit définitivement en Bretagne. Sérusier fut le trait d’union entre Pont-Aven et les Nabis. Son symbolisme est issu de la Bretagne, ma vraie patrie puisque j’y suis né de l’esprit. Passionné par les recherches picturales et philosophiques, il a condensé ses théories esthétiques et ses recherches sur le nombre d’or, dans son ABC de la peinture. »

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90. Henri DELAVALLEE (1862-1943) « Portrait de bretonne de Pont Aven», buste en ¾. Pastel sur papier. Signé en bas à droite, inscription « 88 ». 17 x 23 cm 600/800 €

« Né à Reims en 1862, Henri Delavallée est un élève brillant qui obtient le premier prix au concours général de philosophie. A 17 ans, il s’inscrit simultanément à la Sorbonne et à l’Ecole Nationale des Beaux-Arts où il devient l’élève de Carolus Duran et de Luc-Olivier Merson. Il y affirme son sens rigoureux du dessin et rencontre ici sa future femme, Gabrielle Moreau, elle-même artiste peintre. En 1881, son ami le peintre Hersart du Buron lui fait découvrir Pont-Aven. Séduit, Delavallée y séjourne régulièrement, seul d’abord puis avec son épouse. En 1886, il y fait connaissance de Paul Gauguin et d’Emile Bernard. Bracquemond lui fait connaître Pissarro et Seurat près de qui il travaille à Marlotte en 1887. De cette époque (1886-1890), datent ses toiles divisionnistes et ses pastels pointillistes. En 1889, il se rend à Landemer, lieu de naissance de Millet, pour qui il a la plus grande admiration. Il y retrouve les graveurs Vidal et Monzies et exécute des eaux fortes dans leur atelier. En 1891 à 1893, Delavallée expose avec les peintres graveurs français chez Durant-Ruel ainsi qu’à la société des Amis des Arts de Nantes et, de 1892 à 1896, au salon de la Société Nationale des Beaux-Arts. En 1894, il est à Pont-Aven où il retrouve Gauguin et occupe des ateliers de l’hôtel Julia. Il participe à l’exposition d’art appliqué de Liège, en mai 1895, avec trois gravures. En 1896, attiré par l’exotisme, les Delavallée quittent Paris pour Constantinople où ils vont s’installer plusieurs années et connaître le succès auprès de la haute société -Turque. De retour à Paris en 1901, ils partagent leur temps entre l’atelier de la rue d’Alésia, la propriété familiale d’Apremont et Pont-Aven où ils se lient d’amitié avec Théodore Botrel. Vers 1910, ils s’installent définitivement à Pont-Aven où Delavallée continue de peindre et de graver avec assiduité des estampes de grande qualité .En 1841, la galerie Saluden à Quimper organise une rétrospective de son œuvre. »

91. Paul GAUGUIN (1848-1903) « Femme aux figues » Lithographie, gravure eau forte. Monogrammée « PG » dans la marge en bas à droite. Date de création 1894. Avec une mention en bas à gauche « Paul Gauguin. Le marchand aux figues ». 27 x 43 cm 1000/1200 € « Gauguin passe une partie de son enfance au Pérou avant de s’engager dans la marine puis de travailler chez un agent de change. Sa carrière artistique commence en 1874 à l’atelier Colarossi et en 1876 il expose au Salon. Ruiné par une crise boursière, il devient peintre à plein temps et jusqu’en 1886 participe à des expositions impressionnistes. Puis il vit principalement en Bretagne et occupe une place centrale dans le groupe connu sous le nom d’école de Pont-Aven. Il y invente le synthétisme et fait la connaissance de Bernard et de Sérusier. Il puise son inspiration dans l’art indigène, les vitraux médiévaux et les estampes japonaises. En 1891, échappant à la civilisation européenne, il part pour la Polynésie et vit d’abord à Tahiti puis aux îles Marquises. Son œuvre autobiographique Noa Noa est publiée en 1897 ».

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92. Roderic O’Conor (1860-1940) « Tête de BRETONNE », peut être le portrait de Marie Jeanne Gloanec (tenancière de l’auberge Gloanec à Pont Aven Fusain doublé sur papier. Timbre de l’atelier O’CONOR en bas à droite. Précédemment vendu au numéro 110 d’une vente. 31.4 x 20.2 cm 600/800 € « Ce membre du groupe de Pont-Aven, ami de Gauguin et de Séguin (avec qui il échangera une correspondance précieuse), étudie en Angleterre avant de suivre les cours de l'école des Beaux-Arts de Dublin (1879-1883). Il s'inscrit ensuite aux cours de l'Académie des beaux-arts d'Anvers. Son installation en France sera définitive et, dès 1887, il se trouve à Pont-Aven. O'Conor habite alors Paris et il se rend souvent à Grez-sur-Loing, où il retrouve des artistes étrangers, scandinaves, anglais et américains pour s'initier à l'impressionnisme. Son art, très personnel, est parfois proche de celui de Gauguin : il simplifie les formes ; cependant, l'utilisation des couleurs pures témoigne de son admiration pour Van Gogh. En 1893, au Pouldu, il fait des eaux-fortes sans doute sous l'impulsion de Séguin. Expressionnistes, elles représentent un point capital de son œuvre mais évoluent ensuite vers un style plus conventionnel. Fortuné, il aide souvent ses amis, en particulier Séguin et Filiger. À Paris, O'Conor appartient au groupe d'intellectuels anglo-saxons qui se retrouvent au Chat-Blanc : Alexander Harrison, Clive Bell, Paul Bartlett, le peintre et critique Roger Fry, etc. Fortement influencé par l’exemple de Gauguin durant l’existence du groupe de ses fidèles, il retombe alors dans un style académique après sa désintégration. »

93. Attribué à Armand SEGUIN (1869-1904) « Portrait jeune fille » Gravure, dite épreuve d’essai. Monogrammée « AS » en bas à droite. Avec au dos « A. SEGUIN Jeune bretonne. Zincographie 1895 » et une dédicace d’un anonyme datée d’avril 1961. 10 x 20 cm 700/800€ « Armand Seguin est, avec Roderic O’Conor, le graveur le plus original et le plus intéressant du cercle de Paul Gauguin et son œuvre graphique dépasse largement sa production picturale. Pourtant, le but de sa vie était de peindre et il écrit à Roderic O’Conor : "chaque jour, chaque nuit, je rêve de toiles que je ne puis exécuter et tous mes désirs et toutes mes forces tendent à le pouvoir". Il y a des contradictions chez Armand Seguin, il hésite sur la manière tout en se défendant farouchement contre la théorie car il se méfie de toute doctrine. A la recherche d’un style sans le trouver, il pratique l’amalgame, oscillant entre vision réaliste et un symbolisme intellectuel. »

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94. Attribué à Henri DELAVALLEE (1862-1943) « Jeunes bretonne » Crayon sur papier. Non signé 41 x 33 cm 700/ 800 €

« Né à Reims en 1862, Henri Delavallée est un élève brillant qui obtient le premier prix au concours général de philosophie. A 17 ans, il s’inscrit simultanément à la Sorbonne et à l’Ecole Nationale des Beaux Arts où il devient l’élève de Carolus Duran et de Luc-Olivier Merson. Il y affirme son sens rigoureux du dessin et rencontre ici sa future femme, Gabrielle Moreau, elle-même artiste peintre. En 1881, son ami le peintre Hersart du Buron lui fait découvrir Pont-Aven. Séduit, Delavallée y séjourne régulièrement, seul d’abord puis avec son épouse. En 1886, il y fait connaissance de Paul Gauguin et d’ Emile Bernard. Bracquemond lui fait connaître Pissarro et Seurat près de qui il travaille à Marlotte en 1887. De cette époque (1886-1890), datent ses toiles divisionnistes et ses pastels pointillistes. En 1889, il se rend à Landemer, lieu de naissance de Millet, pour qui il a la plus grande admiration. Il y retrouve les graveurs Vidal et Monzies et exécute des

eaux fortes dans leur atelier. En 1891 à 1893, Delavallée expose avec les peintres-graveurs français chez Durant-Ruel ainsi qu’à la société des Amis des Arts de Nantes et, de 1892 à 1896, au salon de la Société Nationale des Beaux-Arts. En 1894, il est à Pont-Aven où il retrouve Gauguin et occupe des ateliers de l’hôtel Julia. Il participe à l’exposition d’art appliqué de Liège, en mai 1895, avec trois gravures. En 1896, attiré par l’exotisme, les Delavallée quittent Paris pour Constantinople où ils vont s’installer plusieurs années et connaître le succès auprès de la haute société -Turque. De retour à Paris en 1901, ils partagent leur temps entre l’atelier de la rue d’Alésia, la propriété familiale d’Apremont et Pont-Aven où ils se lient d’amitié avec Théodore Botrel. Vers 1910, ils s’installent définitivement à Pont-Aven où Delavallée continue de peindre et de graver avec assiduité des estampes de grande qualité .En 1841, la galerie Saluden à Quimper organise une rétrospective de son œuvre. »

95. Attribué à Henri DELAVALLEE (1862-1943) « Bouquet de fleurs » Peinture sur papier. Non signé 25 x 20 cm 300/ 400 €

« Né à Reims en 1862, Henri Delavallée est un élève brillant qui obtient le premier prix au concours général de philosophie. A 17 ans, il s’inscrit simultanément à la Sorbonne et à l’Ecole Nationale des Beaux Arts où il devient l’élève de Carolus Duran et de Luc-Olivier Merson. Il y affirme son sens rigoureux du dessin et rencontre ici sa future femme, Gabrielle Moreau, elle-même artiste peintre. En 1881, son ami le peintre Hersart du Buron lui fait découvrir Pont-Aven. Séduit, Delavallée y séjourne régulièrement, seul d’abord puis avec son épouse. En 1886, il y fait connaissance de Paul Gauguin et d’ Emile Bernard. Bracquemond lui fait connaître Pissarro et Seurat près de qui il travaille à Marlotte en 1887. De cette époque (1886-1890), datent ses toiles divisionnistes et ses pastels pointillistes. En 1889, il se rend à Landemer, lieu de naissance de Millet, pour qui il a la plus grande admiration. Il y retrouve les graveurs Vidal et Monzies et exécute des eaux fortes dans leur atelier. En 1891 à 1893, Delavallée expose avec les peintres-graveurs français chez Durant-Ruel ainsi qu’à la société des Amis des Arts de Nantes et, de 1892 à 1896, au salon de la Société Nationale des Beaux-Arts. En 1894, il est à Pont-Aven où il retrouve Gauguin et occupe des ateliers de l’hôtel Julia. Il participe à l’exposition d’art appliqué de Liège, en mai 1895, avec trois gravures. En 1896, attiré par l’exotisme, les Delavallée quittent Paris pour Constantinople où ils vont s’installer plusieurs années et connaître le succès auprès de la haute société -Turque. De retour à Paris en 1901, ils partagent leur temps entre l’atelier de la rue d’Alésia, la propriété familiale d’Apremont et Pont-Aven où ils se lient d’amitié avec Théodore Botrel. Vers 1910, ils s’installent définitivement à Pont-Aven où Delavallée continue de peindre et de graver avec assiduité des estampes de grande qualité .En 1841, la galerie Saluden à Quimper organise une rétrospective de son œuvre. »

96. Marcel JACQUIER (1877-1957) (photo en dernière de couverture) « Jeune Douarneniste et son bébé sur les hauteurs de Douarnenez » Lithographie couleur. Signée en bas à droite et portant le numéro 1 sur 200. 50 x 85 cm 300/400€

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97. lot 96 Marcel JACQUIER (1877-1957) (photo en dernière de couverture) « Jeune Douarneniste et son bébé sur les hauteurs de Douarnenez »

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Samedi 12 Juillet, 15h00 - Interencheres.comcdn.interencheres.com/medias/g/1/e/2/f/8/9/1e2f89c5d801d...quelques éclats et accidents à la couronne). Hauteur : 30.5cm. 150/180€ 18