PROTECTION CIVILE REGION LAUSANNE-DISCTRICT · 2017. 10. 23. · RAPPORT activités 2012.docx 5/16 1.6 Quelques réflexions En 1962, la protection voit le jour ! ’était il y a

direction des sports,

de l’intégration et de la

protection de la population

service de protection et sauvetage

protection civile

PROTECTION CIVILE REGION LAUSANNE-DISCTRICT

RAPPORT D’ACTIVITES 2012

RAPPORT activités 2012.docx 2/16

RAPPORT D’ACTIVITES 2012

Thèmes

1 Organisation de la division protection civile et du centre de formation

2 Instruction

3 Travaux état-major

4 Collaboration avec les partenaires

5 Engagement en situation d’urgence

6 Prestations au profit de la collectivité

7 Intégration de Lausanne-District

8 Logistique

9 Jours de service

10 Mutations / promotions / libérations

11 Objectifs 2013


1 Organisation de la division protection civile

1.1 Missions principales

Gérer et garantir les effectifs de l’organisation régionale de protection civile (ORPC)

Mettre sur pied les cours de compétence communale

Participer, d’entente avec le service de la sécurité civile et militaire (SSCM), à la formation des astreints et des cadres

Garantir l’état opérationnel et les engagements de l’ORPC avec les partenaires

1.2 Effectifs protection civile

1er janvier 2012 31 décembre 2012

Nbre EPT Nbre EPT

20 19.5 20 19.75

1.3 Effectifs centre de formation

1er janvier 2012 31 décembre 2012

Nbre EPT Nbre EPT

10 9.2 9 8.2

L’organisation générale de la division a subi quelques transformations en cours d’année. Celles-ci ont été voulues afin de répondre à une meilleure efficacité dans le fonctionnement administratif et opérationnel. Au surplus, la volonté d’adapter notre organigramme selon les standards préconisés par la réforme de la protection civile, tous ces éléments mis ensemble nous aurons amenés à la solution nous semblant la plus adéquate.

La cellule «Office» de la protection civile n’ayant plus de chef depuis 2 ans, situation bancale qui avait fonctionné par l’investissement de chacune et chacun, le poste a été repourvu à l’interne par une collaboratrice occupant initialement un poste à 0.75 ept. La vacance du poste à 0.75 ept sera réévaluée dans le courant de 2013. Le nom d’office prend la dénomination de cellule «Support», laquelle est pilotée par une cheffe de bureau cumulant aussi la fonction d’adjudant.

Un collaborateur de l’instruction a quitté ses fonctions durant le premier semestre 2012. Le poste mis au concours est actuellement occupé par un instructeur en formation.

Le centre de formation (CFR) est rattaché depuis plus d’une année en matière de conduite et de coordination à la division protection civile. Afin d’en assurer le pilotage, il s’agissait de trouver un répondant propre à la gestion du centre. Cette fonction a été repourvue officiellement en novembre 2012.


59%8%

21%

9%3% Locataires ext.

Prot Pop

DPCi

Services ville

DSI + ECA

1.4 Organigramme de la DPCi

1.5 Centre de formation (CFR)

Dans ce gros projet de rénovation, le bâtiment principal s’est vu doté d’une nouvelle toiture.

La rénovation des façades, l’échange des stores, la modernisation des salles donnent à ce bâtiment une allure de fraîcheur et de renouveau. Les loges destinées au matériel sont accessibles par de spacieuses portes automatiques, la piste d’exercice, réduite malheureusement, permettra en revanche d’entraîner les missions principales des unités de protection civile dans un cadre revu et adapté.

En matière de fréquentation, nous pouvions prévoir des difficultés suite à l’important chantier qui avait débuté en avril. Certes, des situations parfois tendues lors de certaines locations ont dû être dénouées, mais dans l’ensemble, l’année s’est terminée avec 16'800 repas délivrés ainsi qu’une utilisation par des locataires qui finalement s’élève à 219 jours de location contre 257 l’année précédente.

Fréquentation du centre de formation de la Rama

Chef de division PCi / Cdt ORPC Lt col Marc-André MARCHAND

Rempl C div / Chef Opérations Major Jean-Marc RUDAZ

Gérant Jean-Marie MAURER

CFR

Administration

Restauration

Entretien

Frédéric GEORGE

Assistant Frédéric GEORGE

Frédéric GEORGE

Secrétaire Diane TONTINI

Frédéric GEORGE

Cuisinier Olivier JAQUIERY

Frédéric GEORGE

Cuisinier Grégory SCHALLER

Frédéric GEORGE

Employée de restauration Bénédicte PILLOIS

Support Instruction Log / infrastructures

Frédéric GEORGE

Préposé au matériel Pierre-André CORBAZ

Frédéric GEORGE

Concierge Patrick JACCOTTET

Frédéric GEORGE

Aide de maison Toula ANDRES

Adj Adj sof Laurie CHEVALLEY

Coordinateur de l’instruction Cap Eric Krenger

Chef de section Gérald MUEHLETHALER

Secrétaire Nelly GENTON

Secrétaire Roland BAERISWYL

Employée de bureau Patricia WEBER

Employée de bureau Vacant

Instructeur diplômé Cap Bernard ZIGHETTI

Instructeur diplômé Cap Olivier ENZ

Instructeur diplômé Plt Vincent THOENI

Instructeur en formation Lt Fabrice MARGUERAT

Chef chantier Gilbert CHABLOZ

Adjoint technique Roger SANDOZ

Assistant Gérald BAVAUD

Chef de groupe Jean-François DUCREST

Mécanicien Roger FLEUTI

Mécanicien Laurent CHERPILLOD

Mécanicien Stéphane INGOLD

Mécanicien Laurent KRENGER


1.6 Quelques réflexions

En 1962, la protection voit le jour ! C’était il y a 50 ans, anniversaire qui sera par ailleurs commémoré cette année dans différents endroits du pays.

Il y a 50 ans, c’était la période où toute l’articulation était pensée autour du conflit armé avec ou sans risque chimique ou atomique. De gros effectifs constituaient les organisations locales, structurées par communes. On prévoyait de vivre en sous-sol des jours durant, alors qu’en surface, les incendies étaient combattus par les sapeurs-pompiers de guerre (les SPG), devenus des détachements de pionniers et lutte contre le feu par la suite.

Aujourd’hui, le visage de la protection civile se veut celui d’effectifs plus faibles (12'000 à l’époque pour Lausanne, et 1000 maintenant), alarmables, engageables rapidement, capables de travailler avec les partenaires, voilà l’image version 2013.

La solution consistant à raboter les effectifs atteint maintenant ses limites, et c’est vers la qualité que l’on doit se tourner.

Ce critère se divisant en quatre axes stratégiques :

Une professionnalisation là où il faut. Une instruction ciblée et liée en partie avec les partenaires. Un matériel adapté et performant. Un équipement personnel adéquat.

La protection civile étant arrivée à se hisser sur le même étage que les autres partenaires, il faut lui donner les moyens de s’y maintenir et afin de pouvoir servir…. et de sauver.

C’est à cette condition que le label de qualité qu’est la protection de la population, label typiquement suisse, pourra être encore garanti des années durant.


2 Instruction

Les services portent sur les cours de cadres, les cours de répétition, les prestations au profit de tiers ainsi que les engagements en situation d’urgence.

Près de 5200 jours de service ont été consacrés à l’accomplissement des activités de toutes natures, lesquels se décomposent en :

4000 jours de cours de cadres, cours de répétitions à l’article 36, donc les cours dédiés au maintien du niveau de formation.

1100 jours ont été effectués au profit d’appui aux tiers, cours à l’art 27 a

Un peu plus de 100 jours ont été fait à l’occasion des situations d’urgence.

Nous avions fixé à quatre jours la durée des cours de répétition. Certes, la difficulté d’un programme allongé demande aussi de le construire avec des thèmes d’instruction et d’exercice conçus afin de remplir l’entier du temps. En revanche, les unités étant à grande satisfaction conduites par des cadres de milice, nous constatons depuis quelques années l’utilité d’un cours de répétition allant au-delà de trois jours, afin de laisser aux cadres et aux astreints la faculté de prendre leurs marques et de véritablement exercer leur métier.

Le déménagement de pensionnaires d’un EMS d’Oron-la-Ville vers un établissement flambant neuf situé à Epalinges aura permis d’organiser le transport de pensionnaires et de leurs effets personnels, sans oublier la planification d’un programme d’occupation. Si au final peu de gens ont été transportés par nos soins, la mission générale a permis de trouver un sens aux tâches assignées aux formations d’assistance.

En mars, c’est un vaste exercice incluant les éléments de protection des biens culturels des ORPC de l’Ouest-Lausannois, de Lausanne-District et le Consortium de sauvetage du patrimoine documentaire (COSADOCA) qui s’est déroulé sur le site du Palais de Rumine.

2500 volumes soumis aux dégâts du feu, du vandalisme et de l’eau ont été évacués par les soins de la protection civile, puis triés et régénérés avec la collaboration des instances spécialisées.


3 Travaux états-majors

Exercer la mobilité des of EM dans les phases de la conduite, être capable de conseiller le chef de la conduite en développant des variantes, voilà quelques pistes pour l’exercice vécu en juin 2012.

Pas de phase préparatoire ! Dès l’entrée en service, il faut se tremper directement dans une situation de crise, impliquant aussitôt l’état-major dans le rythme de la conduite. Une première partie incluant un scénario sur 10 heures d’engagement avec changement de poste de commandement en cours d’action fut marquée par une interruption bienvenue avant de poursuivre le lendemain par une seconde partie d’une durée de 6 heures.

Concepts d’engagements

Le dossier d’engagement, regroupant les principaux concepts d’intervention en cas de situation d’urgence a été adapté en conséquence et l’instruction nécessaire se base sur la doctrine d’engagement ainsi que les enseignements tirés de l’année précédente.


4 Collaboration avec nos partenaires

Avec la confédération,

Les contacts se sont poursuivis dans le domaine de la formation du personnel enseignant avec la collaboration de l’école fédérale des instructeurs de Schwarzenburg.

Dans leur dernière partie de stage, un exercice d’engagement a été conçu avec le concours de la cp EM dans le cadre plus spécifique de l’installation et l’exploitation des installations de conduite ainsi que du réseau télématique.

Dans le domaine de l’appui,

L’introduction du matériel pour lutter contre les éléments naturels, matériel acquis par l’ECA, composé essentiellement de pompes performantes et de boudins gonflables (900 mètres de barrage possible) constitue une avancée technologique en matière de sinistres dus à l’eau. Comme tous événements de ce type, il faut pouvoir tenir dans la durée.

C’est dans ce sens que la relève des DPS est assurée par la protection civile. Une instruction commune a donc été réalisée, par le SSCM dans un premier temps, et à l’interne des régions de protection civile dans une seconde étape. C’est donc ici avec la collaboration de la division secours & incendie que l’instruction a pu être menée à bien.

Quelque chose de plus spécifique encore :

L’instruction concernant les tentes NRBC est devenue une collaboration indispensable entre la division secours & incendie, le détachement du PMA, la division protection civile de Lausanne avec l’appui de l’ORPC de Lausanne-Ouest. Cette année écoulée a permis d’élargir encore la collaboration avec l’EPFL puisque l’instruction ainsi qu’un scénario d’engagement se sont en partie déroulés dans leurs murs.

Exercice de collaboration avec la cellule psychologique du plan DIAM

Il fallait avoir le courage de mettre en place les acteurs voués à la prise en charge des impliqués suite à un gros incendie. Des personnes blessées et d’autres visiblement touchées psychologiquement par l’événement ont passé par les différents stades de la prise en charge. Le dispositif est complexe… peut-être même trop, ceci mettant en évidence la difficulté à clarifier les missions de chacun, et surtout de coordonner l’ensemble d’une telle opération.


5 Engagements

Quatre engagements d’urgence ont touché notre organisation. Il s’agit de :

Inondation de certains bâtiments à l’école de Grand Vennes

Soutien logistique d’un EMS au Mont-sur-Lausanne et préparation d’un accueil de sans-abri suite à la période de grand froid du mois de février

Inondation d’un bâtiment communal à Montheron

Inondation du siège du CIO à Vidy

Soulignons encore que la DPCi s’est impliquée de façon très large envers le plan DIAM, particulièrement dans le cadre du plan «Canicule» (lequel n’a pas été déclenché).

Inondation du siège du CIO

Ce dimanche 11 novembre, une conduite de 500 mm de diamètre saute. L’échangeur de la Manadière est rendu impraticable, le camping de Vidy est menacé, la buvette sise non loin est également touchée, mais le plus spectaculaire reste le siège du CIO, magnifique bâtiment au demeurant, mais qui s’est bien vite transformé en «Titanic». Plus de deux mètres d’eau recouvrent les sous-sols et les locaux techniques.

68 personnes engagées, dont l’essentiel de l’effectif était sur site dans un peu plus d’une heure après le déclenchement de la mise sur pied, constitue un atout envers un principe qui nous tient à cœur, celui de la collaboration entre partenaires. Un poste de commandement est installé et exploité, les longues tâches de pompage en collaboration avec la division secours & incendie se réalisent, la mise en place d’un ravitaillement pour l’ensemble des intervenants est établi.

Piquet de la division protection civile (DPCi)

Le piquet «conduite» a été alarmé à quatre reprises, alors que le piquet «logistique» est intervenu lors de six événements techniques.


6 Prestations au profit des collectivités

Championnat du monde de course d’orientation «WOC 2012»

Plus d’une centaine d’astreints engagés pendant la période de juillet sont venus en soutien à l’organisateur. Ainsi, les domaines concernant le montage d’infrastructures temporaires, de sécurisation des sites, de gestion des parkings auront constitué le plat principal, sans omettre l’installation et l’exploitation d’un poste de commandement. Notre collaboration avec l’organisateur ainsi qu’avec la police municipale aura constitué un des moments forts de l’année en nous faisant découvrir une activité sportive peut connue des milieux suisses romands.


7 INTEGRATION DE LAUSANNE-DISTRICT

Pour rappel, l’intégration de cinq communes rattachées au district de Lausanne (Cheseaux-sur-Lausanne, Jouxtens-Mézery, Epalinges, Le Mont-sur-Lausanne et Romanel-sur-Lausanne) a modifié le secteur opérationnel de la protection civile de Lausanne. Celle-ci fonctionne depuis le 1er janvier 2012 tant au niveau des cours de répétition qu’au niveau des engagements en situation d’urgence. Les aspects budgétaires ont bien entendu aussi été intégrés dès 2012.Toutefois, reste la problématique de la convention liant les aspects juridiques, politiques et financiers. Celle-ci n’a pas encore été signée par la Ville de Lausanne. Pour terminer, et afin d’être en concordance avec les dénominations, l’appellation «Division sécurité civile» est transformée en «Division protection civile» (DPCi).

A ce jour :

Un dispositif opérationnel est défini ; il fonctionne. Des cadres et des astreints motivés sont parfaitement intégrés dans la nouvelle organisation. Les contacts avec les représentants politiques permettent d’avoir les échanges nécessaires.

Bases logistiques

Bases d’accueil pour sans abri

Bases des EM ORPC et DIAM

Stationnement cp EM et cp FIR 12

Stationnements des cp assistance

Stationnements des cp appui


D’un effectif réglementaire de 917 hommes, le bataillon est structuré selon la vision cantonale, avec un effectif réel de 1030 astreints au 31 décembre 2012 et comprenant une formation d’intervention (FIR) de 105 personnes (130 réglementairement).

La structure territoriale a été définie en incluant les installations de protection civile de l’entier du nouveau découpage. Le dossier d’engagement, regroupant les principaux concepts d’intervention en cas de situation d’urgence a été adapté en conséquence et l’instruction nécessaire se base sur la doctrine d’engagement ainsi que les enseignements tirés de l’année précédente.

8 Logistique

8.1 Matériel, constructions et abri

Sur la base des directives fédérales et avec l’aide du SSCM une liste du matériel désuet avait été établie en 2010. Une partie du matériel a été détruite et une autre partie à été remise à l’OIPCi (Organisation internationale PCi). Cette opération de remise étant importante, elle sera poursuivie en 2013.

Durant l'année, le personnel de la section a remis les constructions PCi à des sociétés lors de treize occasions pour des séjours de plus ou moins courte durée.

Répartition des locations:

EM ORPC

Cp

FIR : échelon d’intervention 1

heure

Cp FIR

12


8 Logistique

8.1 Matériel, constructions et abris

Sur la base des directives fédérales et avec l’aide du SSCM une liste du matériel désuet avait été établie en 2010. Une partie du matériel a été détruite et une autre partie a été remise à l’OIPCi (Organisation internationale PCi). Cette opération de remise étant importante, elle sera poursuivie en 2013.

Durant l'année, le personnel de la section a remis les constructions PCi à des sociétés lors de treize occasions pour des séjours de plus ou moins courte durée.

Répartition des locations:

Grand-Vennes 3 occupations 112 nuitées

Prélaz 4 occupations 644 nuitées

Vallée de la Jeunesse 6 occupations 398 nuitées

Totaux 13 occupations 1154 nuitées

Depuis le 1er novembre 2012, la Vallée de la Jeunesse est occupée par le SSE pour l'opération "Accueil des sans-abri". La reddition est prévue pour début avril 2013.

Au surplus, notons que la construction du Mont-sur-Lausanne (Crétalaison) est également occupée par l'EVAM, alors que la construction de Coteau-Fleuri l’est toujours pour l’accueil de réfugiés (EVAM également).

Il faut relever que le personnel de la section a été fortement sollicité par d’importants travaux de transfert de matériel suite à la reprise des infrastructures des communes de Lausanne-Nord.

8.2 Contrôle périodique des abris

Le nombre d’abris contrôlés s’élève 227 sur 234 planifiés. Les résultats de ces contrôles se décomposent de la façon suivante:

56 abris jugés en ordre (25%)

83 abris comportant des défauts mineurs (37%)

53 abris comportant des défauts importants (23%)

35 abris comportant des défauts graves (15%)


9 Quelques chiffres

5125 jours de service ont été effectués dans le cadre de l’ORPC avec le détail fourni par le graphique ci-dessous.

Le taux de fréquentation des miliciens avoisine le 75% de l’effectif convoqué. Il s’agit ici d’une nette amélioration par rapport aux années précédentes. En effet, l’attractivité de l’instruction, l’augmentation de la motivation, de l’implication, la reconnaissance de l’entité ainsi qu’un contrôle plus pointu des demandes de dispenses font que les miliciens se sentent plus concernés par la protection civile. De plus, la diversité des événements démontre le savoir-faire de nos formations dans des situations très différentes (planification en vue de vague de grand froid, canicule, exploitation de PC, soutien aux sapeurs-pompiers, soutien dans le cadre de manifestations sportives de grande ampleur tels que les championnats du Monde de course d’orientation, 20 km, triathlon militaire, marathon, permettant ainsi le développement de l’expérience des unités à l’engagement

Cours de formation au SSCM

1309 jours de service

Cours de formation à l’OFPP

67 jours de service

Total


Cours dans le cadre de l’ORPC



10 Mutations / promotions/ libérations

10.1 Mutations

Les nouveaux venus

Lt Tobias BRUDERER Of suivi EM Onex

Lt Beat WIDLIN C sct AIC Cp EM 10 Ennetmoos

Lt Frédéric JOYE C sct assist Cp assist 31 Hong Kong

Mutations

Cap Eric BETTENS Cdt cp assist 62 EM Of prot et assist

Cap Eric KRENGER Of appui EM Chef eng

Cap Bernard ZIGHETTI Of prot assist EM Of appui

10.2 Promotions

Au grade de capitaine

Plt Yves MEIER Cdt cp FIR 12

Plt Gilles NAGLOO Cdt cp assist 11

Plt Gilles BERCHIER Cdt cp appui 13

Plt Philippe LOCHER Cdt cp appui 15

Lt Philippe NIHAN EM ORPC, chef cell com

Au grade de premier-lieutenant

Lt Grégory EISENHUT Rempl cdt cp FIR 12

Lt Cédric NOE Rempl cdt cp appui 15

Lt Nicolas GILLER Rempl cdt cp assist 31

Lt Rémy-Pierre DE BLONAY Rempl cdt cp assist 34

Au grade de lieutenant

Cpl Michael UELTSCHI C sct assist, cp 34

Cpl Christopher GASCHEN C sct AIC, cp EM 10

Cpl Samuel-François HAURY C sct AIC, cp EM 10

Cpl Gaddiel SCHWEIZER C sct appui, cp FIR 12

Cpl Charles-Henri BOUSSON C sct, cp appui 13

Au grade d’adjudant sous-officier

Four Laurie CHEVALLEY Adj, EM bat ORPC

Au grade de sergent-major

Sgt Nicolas MATTHIEU Cp FIR 12


Libérations au 31.12.2012

Cap Yves-André CAVIN

Cap Vladimir KANDIC

Cap Rudolf RENGIER

Lt Olivier DURUSSEL

Plt Laurent LEIBZIG

Plt Jean-Claude MONOD

11 Objectifs 2013

Dans les généralités

Nous allons poursuivre la connaissance du nouveau dispositif et consolider la collaboration avec nos partenaires. Indépendamment des partenaires de la protection de la population, les domaines de la formation avec le SSCM et l’OFPP doivent être poursuivis. Le recrutement de nouveaux cadres à tous niveaux doit rester une tache permanente afin de garantir le bon fonctionnement de cette institution de milice.

A niveau état-major et unités

Il s’agit de poursuivre le travail de développement de variantes favorisant l’aide à la décision.

D’entraîner la conduite à l’engagement lors de situations d’urgence et, enfin, de pouvoir engager des éléments d’intervention à l’échelon d’une unité.

Par ce fait, nous allons mettre sur pied un cours de répétition combiné avec l’état-major ORPC et la cp FIR 12. Le scénario durera 2 jours, le troisième étant en partie consacré aux enseignements ainsi qu’à la discussion finale.

Chef division PCi et cdt ORPC

Marc-André Marchand

Montheron, le 10 avril 2013

Documents

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