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“Mondo et trois autres histoires”de J.M.G. Le Clézio
Le paratexte: titre, sous-titre, auteur, sources, date de publication, illustrations, typographie, éditeur, collection, couverture, quatrième de couverture, notes…
Le narrateur Les personnages Les thèmes La langue et le style
L’auteur
Le Clézio
écrivain engagé et voyageur Prix Nobel de littérature (2008) thèmes privilégiés: le voyage, la nature,
l’enfance, l’opposition lieux urbanisés-lieuxnon urbanisés
Le genre
Récits/Nouvelles
d’imagination
les histoiresracontées sont le
fruit de l’imagination de
l’auteur
d’apprentissage
un personnage jeune est soumis à des épreuves et
rencontre des obstacles qui vont transformer sa
personnalité, le faisantcheminer de l’adolescence
vers l’âge adulte
poétiques
l’imagination créatrice de l’enfant lui permet
de voir le monde autrement que la
plupart des adultes et de retrouver un lien
privilégié avec la nature
Structure de chaque nouvelle
Situation initiale Élément perturbateur Péripéties Élèment équilibrant Situation finale
La langue et le style
Utilisation du registre courant et soigné portraits et descriptions de paysages, surtout maritimes ton poétique → la réalité décrite n’est pas objective,
neutre, plate; la réalité est vue par les yeux des enfants, elle est transfigurée, transformée
comparaisons introduites par comme, avoir l’air de, ressembler à
personnifications
Exemples de comparaisons et personnifications dans “Mondo”
Comparaisonsp.19: les blocs de ciment… avaient l’air de gros animaux endormisp.37: les gens… devenaient hauts comme des arbres, avec des
visages lointains comme les balcons des immeubles, desfemmes hautes comme des tours d’église, des hommes largescomme des falaises…
p.57-58: A comme une grande mouche… C et D sont comme la lune… E et F ressemblent à un râteau et à une pelle…
Personnificationsp.40: les villas n’étaient pas tristes mais elles avaient l’air de
somnolerp.52: le bateau Oxyton avait l’air de s’ennuyer
Exemples de comparaisons et personnifications dans “Lullaby”
Comparaisonsp.88: la mer ressemblait à un grand animalp.90: les rochers blanc ressemblaient à des pupitresp.101: Lullaby était pareille à un nuagep.107: la mer c’était comme un toit sans fin, un dôme géant fait
de métal sombre…p.113: la foule tourbillonnait comme les feuilles mortes… comme
la limaille de fer dans un champ magnétique …Personnificationsp.93: personnification de la mer