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69, Anoé+. N' i93 A R G d â 8 g B N 'f 5 : IEUBES Dus UEPAttTS ET DRS ARRIVES DRS TRAINS DRS CHEMINS Or FEIt DU MIDI ET D'OIILF.ANS (1 octobre 1875). . tee $0 7 uposa e !?dpara - Arrivno. , es ea rmx. TUULOOaR : A Le mmclOTA 0ANÉBAAt aea ANXe C12S TOULOUSE lie ] d0 f 6 amis, 71 f 8 cl., if 1 l ce ae ace se, vas des a DEI'ARTEMENTS 50 te - fi Oao o. amvtei selle, fe . soir, t e6 Oepan. t Arrives t à LAn13: Oh.. Meus YAVAA LAI i an .1, a m, imae de tm tTRANIIER Les frais e pplém ntairua de posa en s Matin, (dsrecq, !8h16 Matin direct 3 00 f 01 (Rapt); 9h t S ..o Sou, 0 4 âl M 80 /0 ues pn, a Ma 9 C }} M t a n, d Al Mann (460018 4a Sav, Carev. 6 la Soir direct âi 85 Soi,, a 5u de, Soir , 8 50 Na. ",Il les &BONNEMENT% r M tin, (Expr), 11 Soir (Rapt) 1 46 Sir, 6 20 soir, 9 f0 R TIM1F DES MONCIES 35 1 Soir 8a so t) 40 f4 tilla os uv r' basa Annonces, la ligne, 0 (r. SO 0. VOULOUSE r Aux Bureaux du Journal, rue Saial-h omit, u SSoir; Asvs. 6 Chas Si. Bvvas, ras J. J. Rousseau, 51 ; et .ans .s airs M tn, 5 /s M t M otr 9 8b M tin, 6 t0 Matis, 9 68 Réclames, la ligne, 0 ru0 A TAE18: obau 8M. Raves Laffit. et C., laite da la 1 Mann, 9 III Soir. Pan. I s Y tin, te à0 sou, 47 Faits divers, la ligne, 1 00 p MOI (ébats), e sa 8[mta;l0aro) 6 Es S Pao, 9 l0 Se v, 9a7on a 98 So 85 Bon, B gl Tomow. - 'typographie Yen aaàn. 18ouras, 8, serfs Correspondantes ' Yano, 6 ++ licite R:p /0 80 gal Manuel B 45 liais, 9 80 fff Bou, S 1a sur, a1 u Toulouse, 253 Octobre, anras 0001005. Serpils .péeial du touseet na eOmouas E OURSE DE PARIS da 22 Octobre. a0 fourrant. Vatsus dis. 9e... du loir (;,w pros S 0)0 57 70 57 70 1/y 0/0 89 25 82 25 S O/0 95 55 95 35 S 0/0 ll1(ér4, l'2 70 92 75 T9auaa S 0)0 ta!-uri" 5775 S 010 couva e7 go S 0/0 I.'noues 95 60 tôt ci- coor. 93 65 S 0/0 Ital. 59 45 Moqua 4285 ,. Foncier 8112 50 Hein le, Yob. Rs9 55 atome es Fan, Orldaa. 810 Nord liquide 1002 50 L7da 887 50 Yidt X v Moteiebiea.71710 Lombards ... .. 610 e 1002 50 892 b0 721 25 SOUR,,75 DE T(tULO[1SE Du 22 Octobre in COSelaer. S 0/0 libéré 92 75 50 midi 593 75 La Caxe!te annonce que lia frégates Imsw'gtro suai toujours à l'ancre devant 1. port di Valence, Il w présence tous les jour. à l'auto. rite de u 0-,0000 uallait. ollicitant e Duos la pdvince de La a Pawaiaoo. r . bacille Manuel LBdU. .,.ai prÉaeulé Fier. L'escadre espagnole, renforcie de la 4150015 doit quitter Gibeillxr ujourd'hui. La couv. lie que la frégate Tataan P. s.r. 11 prés nt a à Alicante ri est pas onirmée. Le parti progressiste démocratique a adopté, dols aa réunion d'hier, se nou- veau programme. T£LEGRAPIIE PVIVEE Paris, 22 oclobre, 12 h. 5 m Le Soleil lit : Voici la vérité sur l'ent t",.. de u nie _.la pluiue aausf:mliou sur les buses d.jà commas. Ensuite le ciumle de Chat.- b p'd I nt té g a pli fi te le I p t l'mis à l'As,, bll- J d f lot c J e o e mé.ne qui [a appellera bases a l l e t 9 nnaé. Ih-nOVement au drapeau, le court. de Ch:mbnrd a dit: Oui, je saluerai le drageon que les soldats français me prArenireaot à mua retour en France, car ce drapeau, teint de leur sang, est di- ve de mon respect 00005 0@1`toile Paria, 22 octobre, f h. 42, soir. Le maréchal de Mec-Mahon a déclaré que es., qui se ."veut acluellen'enl Oe son mm pour diviser les couserva- ,!IVrenthde coupables manmu- f r s Le o fficred publie des dé;rels gonvogaaut le.a Clecleorl de l'Aube et de la Seine-IUPl virole pour le 1G tavem- bra. Ciroop, 22 octobre. Barcelone, 20 octobre. On craint que l'escadre Lobe se soit retirée par suite d'un combat malbeu- reua centre les frégates insurgées. Le gouvernement fait envoyer des lits de Barcelone à l'hôpital militaire de Malaga, sans doute pou. les blessés de l'escadre: Os vient de reprendre les travaux de défense en prévision d'une attaque des navires imurgéa. Une nouvelle bande carliste s'est orga- aisée dans la province de Lerida. Les carlistes oet de nouveau établi le blo s de Maaresa et de Vich (province de Barcelone eurne ofracxa. Pari., 22 oclobre, 4 b. 55, soir. Versailles, 22 octobre. Dernière heure. - Le centre droit vient de décider de se rendre eo corps, à l'issue de la séance, comme signe pu- blicd'uoion des frictions monarchistes, de l'hôtel Vaud à l'hôtel des Réservoirs, pour se joindre à la réunion des Réser- La La q om bru de cvocation disco. de la Ghanrbre u é pus meure ét discu tée BUREAUX Rue Saint-tome, 44. auras atultma Paria, 22 octobre, 5 soir. Dama I. réoe,a. de centre droit, M. ! a I I7 : P;ugwer e constaté l'arrivée s I ores d N salua. Il a cÔd Dette de le ré- , ,,,,, > a s nm se h l' Detlmannae uI ,.Assemblés. 1 271 Voici le résumé de ça tonte Midi La monaretlie uatiooale, héréditaire, Nard limpagoe prioritd 171 constiiolie belle, est déclarée gouver- uaen,anon au 31 or.7oené. nement +,e la France. Eh conséquence, 5 0/0 libéré 92 90 le comte de Chamberd est appelé au 1,0 ``forent donnés sans consulter l'état ma - midi 593 75 } ee, après lui, les princes Bourbuna ses dot, d'où des eontradietims et de la mobilier ll>pagnol 560 +' hé itiers. coIl'uaion dos plusieure instructions. Toutes les garaoüea constituant le Uue longue discussion se produit sur droit public Lançais sont mai utenuex le tait retrospoctif de la prisa du rom- .,P 11 F,S .moulinent l'ég.0ité de tons les citoyens mandement eu chef par M. Oaz-aine. DBPE(:111:3 7'ELECItA 1 QU en réponse h un dire nlé- devant la loi l':,dmis.ibilité 8 tous les hl. Bazai e, mal c r,ls et mdilairos la liberté rieur du général Jarror prétendant que i y ' 0 20 robre. LelOprluur I vans, ,'s lusrph a donné 'I g 1 égale ps rtcet+on de tous Ics le maréchal n'aurait pas donné d ordre avant hier, an oclubra , aunivenairn da cultes, la hhcu m de la presse, tous les le 13, fait lire qua ordre de marche don- lé L,rail10 le Lelprig; à fats pavane Gul- g+'raotirx nécessaires rte l'ordre public, ont le 15 août. Il fait observer incidem- le vote annuel de l'impôt par lea rcôté- ment qu'il donna des iudicatiuns gêné- lau si, le ré g, meut 11 hues>10 u 10, ! cales de marche i il o t ait ana pi lpnnera . tout jamais le nom séetanls du pays Pas choisir les meilleures F(rédér,c hnluawni [fi, ronde Prose. 110 Le gouvernement chutes présrnlernài..chefx de corps de Merlin, 20 octobre, 1 h. soir. I l'Assemblée, saur la garantie et lu 1- tante.. Le assit' ofaciel de I. banque Ilois- pnnsabillté miniatérialtes, les lois 0000' I La séance est levée h 2 heures 45 mi. w aPéléve à 98 millions. Les villes de I tutulionvelles ayant pour objet l'argent- butes et ajournée à vendredi Po[dam et Merlin y saut cumpeine. pour ff sution des pouvoirs pubilce. Le drapeau `i .Ainsi qua cela a été primit ivement fixé 45 williona. tricolore est maintenu ; Il ne pourra y à mains de cvcooatavicex exc epliovvelles, âtre apporté do modification que par i il ne doit pas y avoir de séance le jeudi. Madrid, 2l octobre. l'accord du roi et de la repréeantatio¢ 1ITI. milices nationale. cris oet olire 51.30 malle. Le duc d'AUdiffret termine sal dis- P , 23 a , en disant : l'hésiteilu n'est plus Le journal la République Franpaisa le t dit indi0'érenk à la courouaGOn anticipée pousible, l'eapérievice de la République conservatrice a échoué. Les parus cm- de l'Assemblée. Il croit que le parti ré- srrvateors oltrtas au pays ia umnarcbie publicaip, dans l'Assemblée, est prêt, cnustitutiannelleayant à su tête la mai- 1 dés à présent, pour soutenir la lutte. son royale de France réconciliée. ll Le mémo journal publia une lettre termine en disant qu'il ne doute pas de de 18 députés de la Seine exprimant la victoire (vifs applaudissemrols). leur indignation des efforts tentés pour La riuslon approuve la conduite des la ers[auretion monuechlque bureaux et lui vote des remereiemenu. L'Assemblée adopte ensuite à 1'una01' { Dans une lettre, M. l'amiral Saissct, mité la résolution qui doit être soumise rappelant qu'il vota le renversement du $' I'Asaembléo nationale. genvernemeot de M. Thiers, dit qu'il n Le président fait ebserore qua beaa- le devoir de voter la forme déGoitive du coup de membres de centre gauche sont gouvernement de la France. p®artisans, au moins thioeiquemms] de la mooarchie constitutionnelle. 11 pros pose dope, .6n de dissiper le molestes. e marché de de, d'amener eue entente avec eux, des Spiritueux leur communiquer la résolution qui donne satisfaction i tous leurs peinci- pea er répond à lors leurs scrupules. La prupnsitiOu est adoptée. M. Chesaelong donne de longs détails t evues .,ce le comte de sur su, CI b i Il c0nstue, valet v m 1 ua g r i .onxbtuuunnellx q Ioc- cord élmt complet sotte les Idées du le ointe de Chamberd et les idées du la RRR I rance ludut qua. Quant au drapeau, le prince n dit qu'il n'avait pas l'intention d'offnser la France ai le drapeau de son payse qu'Il 0,etaitétrancqniana gloires que la Frnce avait nit oït sous ce draptao, ni aux douleurs s qua avent a.. bies eut., puisque le drapeau tricolore était le drapeau légal, si Ira troupes de- .int lu saluer nec entrée, il salue- rait lui-m6me avec bonheur le drapeau teint du sang de ans sel Iat,. Le prince n sjouté qu'il e réservait de proposer ait pays par l'enrremiae de ses représentants, ana lraesacliov aqm, paliflle avec son honneur, et qu'il croyait de salure à aatist'aire en mâme temps l'Assemblée et le pays. Le centra droit a décidé de charger ceux de sua membres qui fout partie de la commission de permanence, de de. mis dosa le château d'Ampouillac, peu- gxém[t d --de' la convocation anticipée de l'As' i dent la nuit du 15 an 17 octobre. pp es Deqqu 'extr semblés, sans fixer de date avant d'avoir Ce château, situé sur les bords de l'A- m, de h Grande-Alln.lée. Station on à de : l 16rémité Sud pria l'avis du gouvernement. riége,appartenudn. le canton de Cintegabelle, Après la séance, pour cnstat., solen- voit à Madame Gueyraud. A : Du 21 Octobre. nullement l'accord de tontes les Prailée h la mort da cette dame; décédée ipl y a atx ,pharm. cent. mazim. d'hier : {. 13.o sbô arc q R , la réunion est allée à mois environ, il était devenu la roprié. id. min, da la nuit : -I- 7.2 l'h01e1 des éseevoire pour délibérer e0 té de M. le buron Fouan de la Tom- commua avec la droite. belle, petits de Mme filai M. da mi aanou. avar n0 ciao. vents. la Tombell 5gé d habi e, e 54 ans,tait ana 0eelcna m Paria pendent roule l'année. 11 était fve- Paris, S heures 30, soir. au seul, vers la fin de septembre, au D'arés las derniers renaeigoemenU, château d'Ampouillac. pour' régler les la dette et le centre droit réunis ont dé. affaires de ton domaine. cidé de laisser tout. berté à la Commis- La garda dn château avait été coafiéer lion de Ipermagence pour s'entendre depuis la ksort de.Yms Gueyraud, au Aven le gouveremen[ eelntiremaat à le domestique de cette dame, Logée. Mi. convocaliou mticipée de l'Assemblée. trou agé de 28 ans et originaire eurne nlracnx d'Auch. Ce domestique, qui était le seul habitant du logis, était lié avec un cbar- Tri.non, 22 octobre, 5 h . soir. l'entier du voisinage, nommé Lasserre. PROCÈS DU Si4SOCHAL BAZAINE. Ce son[ ces deux hommes qui ont com- Le général Soleille, mande ne com. mis ensemble l'épouvantable fortuit dont parait pas; son clef d'état-maJne dit ils vont bientôt rendra complu à lajus- que l'impresslan de â[. Soleille émit que lice. 1. 00sommalio¢ des connues, jusq'OU Comment le crime est-il été conçu et 16 août au suie, avait été du tiers a préparé, c'est que l'instruction fera quart des a ppr.,isiuuuemeals. 11 en lea connahre. Il eésullereil des aveuz de tri le maréchal IIaiaine. Mitron que, jeudi allie, l,aaseree fut la. Le commissaire du geu nrnoment fait [rodait par loi dites le château. Lea deus observer que les chilfesw sur l'iml des complices, après avoir quitté leur chaus- approvisioua.ments m munitions, fuse' sors et air 'r laissé la lampe dans le aies par le général Soloitle, sont de corridor, pénétrèrent chie leur victime. x du n beaucoup ioférieurs à ceuliap- Mitron entra le premier et iadressmt à port. sou msitre comme pour lui Jem:md,e A une question ultirienre, le colonel ses noires, il a Effaça pour faire place h chef d'Gtal-majoe de l'artillerie répond Lasserre; celui.ei fit dent pas, leva u .. que l'opiniob du général Soleille émit hocherou dont il était armé et ea porta que la eoosuwmatioo des mveitiosa un coup terrible sur la nuque de M. de jusqu'au 16 cet avait ét d f à La ru h Il L malheureuse victime, 1. moitié : de là le apprélte s o du s, q t Ii m t f al'l'ée, su luira et tosserre mba maréchal Bazunesur la pw ie des suint ployée sur ses poignets, La munirionx. a'lélait pue'4m peartmtque M. de La Le général Lebrnn titi que, rela- {ÿy mort eJ 111'aohev i de dans- livement eus rontas`de ,narrtle et à l'é- loups de marteau du haeherort sur la tnblissement de pouls, pimiaurs ordres tempe. Pour faire croire que M. de la Tom- Lolle avait été victime d'on accident, les assassine aceumnlèrent autour de n corps 000 goaatité de papiers do reginleu5 et de livrea auxquels ils mi- re t le ton. Mitron monfv 00.0110 dons l'appartement du second étage , et prit dse, la 'ni 1 rue omme de 3,00$ fr. L des o Fable q res4 eusnte la m.,000 et uau,.4o sot quo l'lvicendie eût fuit son maure. Vers 2 heures du matin, eropant gn'il oe ceciait plu. tru- ee de leur crime, ils poussèrent des cris : au leu ! Les gens de la forme oo monta au premier le é enlu' gec,len éteignit feu. qui brîslait - e , et l'an vit les restes calcinés de lit, de la Tombelle, dont la tète avait été respemén par tes Bammed. Un médecin de Cmtegubelle, appe- lé tout de suite , ne tarda pas à eeenu- naitre les marques du crime aur celte tête. La] sxli0e bientôt p tomeue accoei- ut, et Eugène Mitron fut arrété. 11 a fait des aveux complets. Son complice a été arrété samedi made, Ou assure que la mort de Mn. Guey- mou serait attribuée à un crime eo - mis par Milrou et que les restes de cette dame auraient été inhumés peur écru soumis à l'étude et è Cexamen des hommes de l'art. Paria du 12 uotbre. 75 50 à e. Marseille, 24 octobre. Marché bien tenu. Arrivages 12,241 hectolitre . Ventes 10,940 hectolitres. Borgas 128 1`3 à fr. 29 2 5l. d'Azeff 130/1 28à fr lehn . 11. DU de e Col alatz 128/124 à fr, . 43. Dapubel2G/121 à fr. 37. M. Chenet, élève de l'école spéciale militaire, est nommé au 59' rgim éent d'ivfauterie de ligne, pour être mis à la suite. M. Couturier, élève de l'école spé- lisle militaire, est nommé sous-lieute- na t au 8' bataillon de hasseoeu à pied , n remplaeament de M. Béline admis b la retraite. é' t e mmé .. , soldat au 23 r gr. et d'aoillerie, condamné à 5 i¢a de réo dIGI v. d gradtion, pour ê m d a J heures de ma. 1 t n aur les allées Somt Mlchol, en prés 1 sntre de détacbemeoIs des corps de la 1 gnrmson. Les Abonnés dont l'abonne men U. individu a été arrêté pour ivres[e. finit au 81 Octobre sont priés de 1, renouveler en temps utile, par t'en- i 8. eeramaaa 0e ceassauae e emo. vol d'un mandat de poste ou tout Programme des mmoeauu qui serom endentas autre mode à lCRI convenance. a ioueo'hu;, 23 octobre, de3 heures 118 à 4 f 2 aux ondes Lafayette. 77 _ 1 , d 1. Le Capitole, allegro militaire (De. 2. sur Norme (Bellini). ( ALE Gabrielle, polka (Clergne). 4. Faonisie aur Si j'étais lloi (Adam), Nous avons reçu les détails qui sui. 1 5. Le Tapageur, quadrilla (ROrnsel). vent surin crime qui vient d'eIre cent. 9 h. m. Oa,754 8 -couv. - 0 as fort midi, 0m,754 6 - beau. - id Le baromètre oreille prés de beau- temps; le temps est beau, l'air pur. La templratoré s'est encore abaissé t te midi, le thermomètre n'a marqué que Du 22 août. Th.rm. cent. mari.. d'hier : + 12>2 id. min. de la nuit : + 5.9 saau.. ara, on M. vases. 9 h. m, Oa,750 5 - beau. - SE faible. Midi, 0.,749 7 - euag. - SE faible. Le baromètre baisse, il est prés de va- riable; le tempe est beau, la température a..ez douce. A midi, le thermomètre marque Ls conseils municipaux des '..ma du département de Tarn-e! Garonne mus se réuniront te lmanche, II novembre prochain, pour loue quatrième session légale. Calte session pourra durer nia jours. Par arrété de :le préfet du Gers, la session des Conseils municfp na e ou- vrira dons tout le département, le 9 50- vembrepeochain, et cira close le lé du mâme mois. Un arrété de M. le maire d'Auch foit coneaitre au public, à r.' ison de (o leuuité de lu Tunasnia] loro qni devait se tenir A Aucb, le s midi 1 nouens11, prceluin, aura lieu le vendredi 54 octobre aonrans. Agio, 21 oclub". Une élection pour 1, oooaeil général deLoart Garonne viral d'avoir lien dans le canton de Villenauve-aur Loi Lo- fargnr., candidat républicain, a sels élu Par 2,354 vais contre 11050 à N. Camille Boscq, notaire. Une aotre tartane le Jaan-Antoine venant de Marseille et allant à Ralenti a dû être également abandonnée par ceux qui la montaient au cap Canaille située entre Cassis et la Ciotat , près le bec de l'Aigle. On ignore quel a été le sort du bateau. Ces navires étaient chargés de mar- chandises direraee telles quo blé, alcool, farines , douves 0 ale. Ou évalue lia par. terrible nuit d'orage. - Du 10 eu 16 octobre 1875, il est entré dune notre part 262,400 Muet. de blé dont voie; le détail par provenances Nicolaief, 45,920 h. Marianopoli et Bredianslra , 45,600 Eust ; Taganrok, 4,800 ; Ibrnilae Salies, endjé, 93,760; Burgas et Pyrao , 55,680, Constantiaa- plu , 4,320 ; Alexandrie s 1,760; Salo- nique , 5,600 ; Vol. , Rodos[o et Jaffa 11,840 ; Darielta, Manfredonia et To' rente , 20,520; Espagne , 8,160 ; Afri« que française , 16,640. (Petit Ofueseillaia). . Marseille, 21 octobre. La nouvelle d'un terrible aceideet qui s'était produit dan. 1. matinée de dimanche dernier pendant la battue aux macreuses sur l'étang de Bolmon, entre les étangs de Châteauneut' et de hlari- gnaue, a circulé hier eo ville. O. a.- conçait que M. Thourel, ea-procureur général à Alx, avait tué par accident nn de ses meilleurs amis. Le fait n était malhmreuaement que trop vrai, et voici les renseignements très-précis sde que avons recueillis sur les lieux mé- m s ce cruel événement M. Thourel avait été invité, à assister à la battue aux macreuses par trois do ses amie de la commune de Marigna- MM1. lavaret Laurent, maire de san: da cette commues - rétemmeet sasp u- du de sua fonctions par u. ."été préfec- toral- Ilérard (Joseph), propriétaire et conseiller municipal, et Soubeyeao (Jo- seph), boulaagor. M. Thourel accpta cette mvitatien et arriva dans la mait. née de dvs..clin à Marignane. A 10 heures on monts dons l'embar- mims pparlanml à M. Ilérard (canot de 6 enétrea de long au, 2 de large), M. Thourel i était p1008 avec sua fusil à l'arrière, et M. Soubeyesu s'était placé à l'avant. M. Bérard chargé de conduire l'emb rcatioo et d'appeler l'atlen0on des chasseurs sur le gibier ramait à la scie. Devant mur trouvait M. Jauaret que ramait aussi. Il était 11 h. 1/2 loeugn'ilu arrivèrent n milieu de l'étang de Bolmon, mau et déjà une dizaine de macreuses étaient tombées sous leurs coups. é d Tout à coup id. Brar signala à M. Thourel Inc macreuse et ae baissa pour lui permettre de tirer. Malheureusement presque aussitôt cas dilonalion parue d;' ve embarcation voisine se fit entendre eM. Bérard, croyant que M. Thourc-t avait tiré, se releva. Mais au mômm ins- taet le coup de l'arme 0e h1. Thourel partit et il reçut mute la charge dan,n1 te. L'infoemné M. Bérard s'affaissa r M. Jouant qui ae trouvait devant lui. -Qu'as-tu, lui demanda ce deouler La victime no répondit pas. De a. tôle jaillit ua flot de sang. -Mon Dieu ! s 'écrin alors M. sauffret épouvanté, Bérard est mort. -Comment, je l'ai tué, fit avec déses- pair M. Thourel !... décrire 1a acène dé. Nous nui se ps à 10 chenues qui ae passa 5 clo m re. . AAua cris des témoins et de ue ciar involmtaire du fatal accident, une m- barcation qui ae trouvait non loin de Il, misolée par l'adjoint an maire; de Mari- gnane, et n autre canot, sac lequel au teouvaieut des gendarmes, cco0rurent. Le cures de la victime fut assi!ôt transporté b son domicile, tandis que M. Thourel et lus deux outras chasseurs Marseille, 20 octobre. Sinistres maritimes : Le mauvais temps qui a sévi aur s ôtes, dada le nuit de vendredi à samedi, a causé la perte de pluaieuea es partis du port de Marseille. Trois de ces navires ont sombré ua peu en dehors de la jetée de la Ciotat. Ce sont le brick l'Albert, allant à Part. Piolo(Co se), la tartane française T.oé Aimable, allant à Toulon, et la tartane italienne La Tèh, allant à Livourne. Ces bâtisse étaient prés de eandol lorsque la tempête les obligea à r air ao arrière. Il mouillèrent à 2 heu- ras de malin eu vue de I.Ciotàt où ualpi. lote étant allé avec nasique peine sua, les invita a eairer dans le part,) feront conduits dans une maison voisine, mole ils refusèrent, espérant que la doà l'on essaya do calmer la légume mer se calmerait. ouleur qua avant tau nchr. en eux un. lis ne tardèrent pas à se repentir, car catastrophe aussi terrible qua imper. le temps devint de plus en plue mauvais. vue. Les vagua a précipitaient contre lea ru' pp Le aoir même, Ihl. Thourel rentra à chers de la jetée le brick et les tartane., , Aix en proie à une vive agitants et o peut pms pewblement affecté da la et les brisaient. C'est clora que ceux-ci I hissèrent le pavillon de détresse. mort de son ami, dont il ava+t été 1 ait- AA ce Signa] les autorités civiles et tour tout a fait involontaire. militaires, eviéias d'une partie de la po- I Le juge de paix des Martigues en aP- pulatioo, se rendirent sur les lieux les 1 prenmit la triste nouvelle se hauspuelU é lent - organiser) t o, lou en paur, pfuret c plus vmains du déaarire pour sur ms lieua le amvetage. de' aux costannons légales. G Sue à ces e0orte cils cens de pins Le lendemain malin, u e heure, cest- ai, eo patrons pécheurs secondés par ' hier Imldi, à1hi. Guirol, subelotut des personnes dévouée', fion équipages i-du procureur de la république ôAia, net pu être arrachés à 1. mort, mai. les, Reynaud, juged'inetraction,iacoumpagné trois bateaux sot coulé à fend. de sou greffier , et Rimbaud, docteur n médeciset se bout également armons à Marignane. M. la docteur Rinibend a fais l'antop aie du cadavre, et bue enquélea étéou- verte sur ce déplorable événement. Il eo cet résulté que les causes ont été pure- menlaeciJenteiies. C'est hier soir, h A heures, qu'ont eu lieu les obsèques de l'iuforbmé et re- grelté id.oiérard, La popnlaliou tout en- [es à plue d.100,000 fr. tires de Marignane, en 1610 de IaqueRe On parle d'un cinquième bateau quia marchait le conseil municipal, a suivi le sombré entre Cassis et Marseille et de convoi dans le plus profond recueille. quelques bateaux de pèche chavirés dans ment. L'émotion était générale. notre golfe, Tel geroik la bilan de celte (petit A7areeiltals). Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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TOULOUSE lie ] d0 f 6 amis, 71 f 8 cl., if 1 lce ae ace se, vas des a

DEI'ARTEMENTS 50 te - fi Oao o. amvtei selle, fe . soir, t e6 Oepan. t Arrives t à LAn13: Oh.. Meus YAVAA LAI i an .1, am, imae de tm

tTRANIIER Les frais e pplém ntairua de posa en s Matin, (dsrecq, !8h16 Matin direct 3 00f 01 (Rapt); 9h

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}}M tan, d Al Mann (460018 4a Sav, Carev. 6 la Soir direct âi 85 Soi,, a 5u

de,Soir , 8 50

Na. ",Il les &BONNEMENT% r M tin, (Expr), 11 Soir (Rapt) 1 46 Sir, 6 20 soir, 9 f0 R TIM1F DES MONCIES351 Soir8a so t) 40 f4

tilla os uv r' basa Annonces, la ligne, 0 (r. SO 0.VOULOUSE r Aux Bureaux du Journal, rue Saial-h omit, u SSoir; Asvs. 6

Chas Si. Bvvas, ras J. J. Rousseau, 51 ; et .ans .s airs M tn, 5 /s M t M otr 9 8b M tin, 6 t0 Matis, 9 68 Réclames, la ligne, 0 ru0

A TAE18: obau 8M. Raves Laffit. et C., laite da la 1 Mann, 9 IIISoir. Pan.

I s Y tin, te à0 sou, 47 Faits divers, la ligne, 1 00p MOI (ébats), e sa 8[mta;l0aro) 6 Es S Pao, 9 l0 Se v, 9a7on a 98 So 85 Bon, B gl

Tomow. - 'typographie Yen aaàn.18ouras, 8, serfs Correspondantes ' Yano, 6 ++ licite R:p /0 80 gal Manuel B 45 liais, 9 80 fff Bou, S 1a sur, a1 u

Toulouse, 253 Octobre, anras 0001005.

Serpils .péeial du touseet na eOmouas

E OURSE DE PARISda 22 Octobre.

a0 fourrant.Vatsus dis. 9e... du loir (;,w prosS 0)0 57 70 57 70

1/y 0/0 89 25 82 25

S O/0 95 55 95 35S 0/0 ll1(ér4, l'2 70 92 75

T9auaa

S 0)0 ta!-uri" 5775S 010 couva

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S 0/0 I.'noues 95 60tôt ci- coor. 93 65

S 0/0 Ital. 59 45Moqua 4285 ,.

Foncier 8112 50

Hein le,Yob. Rs9 55

atome es Fan,

Orldaa. 810

Nord liquide 1002 50

L7da 887 50

YidtX vMoteiebiea.71710

Lombards ... ..

610 e1002 50

892 b0

721 25

SOUR,,75 DE T(tULO[1SEDu 22 Octobre

in COSelaer.

S 0/0 libéré 92 75 50midi 593 75

La Caxe!te annonce que lia frégatesImsw'gtro suai toujours à l'ancre devant1. port di Valence,

Il w présence tous les jour. à l'auto.rite de u 0-,0000 uallait. ollicitant

eDuos la pdvince de La aPawaiaoo. r .bacille Manuel

LBdU..,.ai prÉaeulé

Fier.

L'escadre espagnole, renforcie de la4150015 doit quitter Gibeillxr

ujourd'hui. La couv. lie que la frégateTataanP. s.r. 11 prés nt a à Alicante ri estpas onirmée.

Le parti progressiste démocratique aadopté, dols aa réunion d'hier, se nou-veau programme.

T£LEGRAPIIE PVIVEE

Paris, 22 oclobre, 12 h. 5 mLe Soleil lit : Voici la vérité sur l'entt",.. de

u nie _.la pluiue aausf:mliousur les buses

d.jà commas. Ensuite le ciumle de Chat.-b p'd I nt té g a plifi te le I p t l'mis àl'As,, bll- J d f lot c

J e o e mé.ne qui [a appellerabases a l l e t 9nnaé.Ih-nOVement au drapeau, le court. de

Ch:mbnrd a dit: Oui, je saluerai ledrageon que les soldats français meprArenireaot à mua retour en France,car ce drapeau, teint de leur sang, est di-

ve de mon respect00005 0@1`toile

Paria, 22 octobre, f h. 42, soir.Le maréchal de Mec-Mahon a déclaré

quees.,

qui se ."veut acluellen'enl

Oe son mm pour diviser les couserva-,!IVrenthde coupables manmu-f r s

Le o fficred publie des dé;relsgonvogaaut le.a Clecleorl de l'Aube et dela Seine-IUPl virole pour le 1G tavem-bra.

Ciroop, 22 octobre.

Barcelone, 20 octobre.

On craint que l'escadre Lobe se soitretirée par suite d'un combat malbeu-reua centre les frégates insurgées.

Le gouvernement fait envoyer des litsde Barcelone à l'hôpital militaire deMalaga, sans doute pou. les blessés del'escadre:

Os vient de reprendre les travaux dedéfense en prévision d'une attaque desnavires imurgéa.

Une nouvelle bande carliste s'est orga-aisée dans la province de Lerida. Lescarlistes oet de nouveau établi le blo

s de Maaresa et de Vich (province deBarcelone

eurne ofracxa.

Pari., 22 oclobre, 4 b. 55, soir.

Versailles, 22 octobre.

Dernière heure. - Le centre droitvient de décider de se rendre eo corps,à l'issue de la séance, comme signe pu-blicd'uoion des frictions monarchistes,de l'hôtel Vaud à l'hôtel des Réservoirs,pour se joindre à la réunion des Réser-

LaLa q om bru de cvocation té disco.

de la Ghanrbre u é pus meure ét discu

tée

BUREAUX Rue Saint-tome, 44.

auras atultma

Paria, 22 octobre, 5 soir.Dama I. réoe,a. de centre droit, M.

! a I I7 : P;ugwer e constaté l'arrivées I ores d N salua. Il a

cÔd Dette de le ré-, ,,,,, > a s nm se h l'

DetlmannaeuI ,.Assemblés.

1

271

75, Voici le résumé de ça tonteMidi La monaretlie uatiooale, héréditaire,Nard limpagoe prioritd 171 constiiolie belle, est déclarée gouver-

uaen,anon au31

or.7oené. nement +,e la France. Eh conséquence,5 0/0 libéré 92 90 le comte de Chamberd est appelé au 1,0 ``forent donnés sans consulter l'état ma -midi 593 75 } ee, après lui, les princes Bourbuna ses dot, d'où des eontradietims et de lamobilier ll>pagnol 560 +' hé itiers. coIl'uaion dos plusieure instructions.

Toutes les garaoüea constituant le Uue longue discussion se produit surdroit public Lançais sont mai utenuex le tait retrospoctif de la prisa du rom-.,P

11 F,S.moulinent

l'ég.0ité de tons les citoyens mandement eu chef par M. Oaz-aine.DBPE(:111:3 7'ELECItA 1 QU en réponse h un dire nlé-devant la loi l':,dmis.ibilité 8 tous les hl. Bazai e,

mal cr,ls

et mdilairos la liberté rieur du général Jarror prétendant queiy ' 0 20 robre.LelOprluur I vans, ,'s lusrph a donné 'I g 1 égale ps rtcet+on de tous Ics le maréchal n'aurait pas donné d ordre

avant hier, an oclubra , aunivenairn da cultes, la hhcu m de la presse,tous

les le 13, fait lire qua ordre de marche don-

lé L,rail10 le Lelprig; à fats pavane Gul-g+'raotirx nécessaires rte l'ordre public, ont le 15 août. Il fait observer incidem-le vote annuel de l'impôt par lea rcôté- ment qu'il donna des iudicatiuns

gêné-lau si, le ré g, meut 11 hues>10 u 10, ! cales de marche i il o t ait anapi lpnnera . tout jamais le nom séetanls du pays Pas

choisir les meilleuresF(rédér,c hnluawni [fi, ronde Prose. 110

Le gouvernement chutes présrnlernài..chefx de corps de

Merlin, 20 octobre, 1 h. soir. I l'Assemblée, saur la garantie et lu 1- tante..Le assit' ofaciel de I. banque Ilois- pnnsabillté miniatérialtes, les lois 0000' I La séance est levée h 2 heures 45 mi.

w aPéléve à 98 millions. Les villes de I tutulionvelles ayant pour objet l'argent- butes et ajournée à vendredi

Po[dam et Merlin y saut cumpeine. pour ffsution des pouvoirs pubilce. Le drapeau `i .Ainsi qua cela a été primit ivement fixé

45 williona.tricolore est maintenu ; Il ne pourra y à mains de cvcooatavicex exc epliovvelles,âtre apporté do modification que par i il ne doit pas y avoir de séance le jeudi.

Madrid, 2l octobre. l'accord du roi et de la repréeantatio¢1ITI. milicesnationale.

cris oet olire 51.30 malle.Le duc d'AUdiffret termine sal dis- P , 23 a ,

en disant : l'hésiteilu n'est plus Le journal la RépubliqueFranpaisa let dit indi0'érenk à la courouaGOn anticipéepousible, l'eapérievice de la République

conservatrice a échoué. Les parus cm- de l'Assemblée. Il croit que le parti ré-srrvateors oltrtas au pays ia umnarcbie publicaip, dans l'Assemblée, est prêt,cnustitutiannelleayant à su tête la mai- 1 dés à présent, pour soutenir la lutte.son royale de France réconciliée. ll Le mémo journal publia une lettretermine en disant qu'il ne doute pas de de 18 députés de la Seine exprimantla victoire (vifs applaudissemrols). leur indignation des efforts tentés pour

La riuslon approuve la conduite des la ers[auretion monuechlque

bureaux et lui vote des remereiemenu.L'Assemblée adopte ensuite à 1'una01' { Dans une lettre, M. l'amiral Saissct,

mité la résolution qui doit être soumise rappelant qu'il vota le renversement du$' I'Asaembléo nationale. genvernemeot de M. Thiers, dit qu'il n

Le président fait ebserore qua beaa- le devoir de voter la forme déGoitive du

coup de membres de centre gauche sont gouvernement de la France.p®artisans, au moins thioeiquemms] dela mooarchie constitutionnelle. 11 prospose dope, .6n de dissiper le molestes. e marché de

de, d'amener eue entente avec eux, des Spiritueuxleur communiquer la résolution quidonne satisfaction i tous leurs peinci-pea er répond à lors leurs scrupules.La prupnsitiOu est adoptée.M.

Chesaelong donne de longs détailst evues .,ce le comte desur su,

CI b i Il c0nstue, valet v m 1 uag r i .onxbtuuunnellx q Ioc-cord élmt complet sotte les Idées du

leointe de Chamberd et les idées du laRRR I rance ludut qua. Quant au drapeau, le

prince n dit qu'il n'avait pas l'intentiond'offnser la France ai le drapeau de sonpayse qu'Il 0,etaitétrancqniana gloiresque la Frnce avait

nitoït sous ce

draptao, ni aux douleurs s qua avent a..bies eut., puisque le drapeau tricoloreétait le drapeau légal, si

Iratroupes de-

.int lu saluer nec entrée, il salue-rait lui-m6me avec bonheur le drapeauteint du sang de ans sel Iat,.

Le prince n sjouté qu'il e réservaitde proposer ait pays par l'enrremiae deses représentants, ana lraesacliov aqm,paliflle avec son honneur, et qu'ilcroyait de salure à aatist'aire en mâmetemps l'Assemblée et le pays.

Le centra droit a décidé de chargerceux de sua membres qui fout partie de

la commission de permanence, de de. mis dosa le château d'Ampouillac, peu- gxém[t d--de' la convocation anticipée de l'As' i dent la nuit du 15 an 17 octobre.pp es Deqqu 'extrsemblés, sans fixer de date avant d'avoir Ce château, situé sur les bords de l'A- m,

de hGrande-Alln.lée. Station

onà

de :l 16rémité Sud

pria l'avis du gouvernement. riége,appartenudn. le canton de Cintegabelle,Après la séance, pour cnstat., solen- voit à Madame Gueyraud. A : Du 21 Octobre.

nullement l'accord de tontes les Prailée h la mort da cette dame; décédée ipl y a atx ,pharm. cent. mazim. d'hier : {. 13.osbô arc q R , la réunion est allée à mois environ, il était devenula

roprié. id. min, da la nuit : -I- 7.2l'h01e1 des éseevoire pour délibérer e0 té de M. le buron Fouan de la Tom-commua avec la droite. belle, petits de Mme filai M. da mi aanou. avar n0 ciao. vents.

la Tombell 5gé d habie, e 54 ans,taitana 0eelcnam Paria pendent roule l'année. 11 était fve-

Paris, S heures 30, soir. au seul, vers la fin de septembre, auD'arés las derniers renaeigoemenU, château d'Ampouillac. pour' régler les

la dette et le centre droit réunis ont dé. affaires de ton domaine.cidé de laisser tout. berté à la Commis- La garda dn château avait été coafiéerlion de Ipermagence pour s'entendre depuis la ksort de.Yms Gueyraud, auAven le gouveremen[ eelntiremaat à le domestique de cette dame, Logée. Mi.convocaliou mticipée de l'Assemblée. trou agé de 28 ans et originaire

eurne nlracnx d'Auch. Ce domestique, qui était le seulhabitant du logis, était lié avec un cbar-

Tri.non, 22 octobre, 5 h . soir. l'entier du voisinage, nommé Lasserre.PROCÈS DU Si4SOCHAL BAZAINE. Ce son[ ces deux hommes qui ont com-Le général Soleille, mande ne com. mis ensemble l'épouvantable fortuit dont

parait pas; son clef d'état-maJne dit ils vont bientôt rendra complu à lajus-que l'impresslan de â[. Soleille émit que lice.1. 00sommalio¢ des connues, jusq'OU Comment le crime est-il été conçu et16 août au suie, avait été du tiers a préparé, c'est que l'instruction feraquart des a ppr.,isiuuuemeals. 11 en lea connahre. Il eésullereil des aveuz detri le maréchal IIaiaine. Mitron que, jeudi allie, l,aaseree fut la.

Le commissaire du geu nrnoment fait [rodait par loi dites le château. Lea deusobserver que les chilfesw sur l'iml des complices, après avoir quitté leur chaus-approvisioua.ments m munitions, fuse' sors et air 'r laissé la lampe dans leaies par le général Soloitle, sont de corridor, pénétrèrent chie leur victime.x du nbeaucoup ioférieurs à ceuliap- Mitron entra le premier et iadressmt àport. sou msitre comme pour lui Jem:md,e

A une question ultirienre, le colonel ses noires, il a Effaça pour faire place hchef d'Gtal-majoe de l'artillerie répond Lasserre; celui.ei fit dent pas, leva u ..que l'opiniob du général Soleille émit hocherou dont il était armé et ea portaque la eoosuwmatioo des mveitiosaun coup terrible sur la nuque de M. dejusqu'au 16 cet avait ét d f à La ru h Il L malheureuse victime,1. moitié : de là le apprélte s o du s, q t Ii m t f al'l'ée, su luira et tosserrembamaréchal Bazunesur la pw ie des suint ployée sur ses poignets, Lamunirionx. a'lélait pue'4m peartmtque M. de La

Le général Lebrnn titi que, rela- {ÿy mort eJ 111'aohev i de dans-livement eus rontas`de ,narrtle et à l'é- loups de marteau du haeherort sur latnblissement de pouls, pimiaurs ordres tempe.

Pour faire croire que M. de la Tom-Lolle avait été victime d'on accident,les assassine aceumnlèrent autour de

n corps 000 goaatité de papiers doreginleu5 et de livrea auxquels ils mi-re t le ton. Mitron monfv 00.0110 donsl'appartement du second étage , et pritdse, la 'ni1 rue omme de 3,00$ fr.L des o Fable q res4 eusntela m.,000 et uau,.4o sot quo l'lvicendieeût fuit son maure. Vers 2 heures dumatin, eropant gn'il oe ceciait plu. tru-ee de leur crime, ils poussèrent descris : au leu ! Les gens de la forme

oo monta au premierle

é enlu'

gec,len éteignit feu. qui brîslait -e , et l'an vit les restes calcinés de

lit, de la Tombelle, dont la tète avaitété respemén par tes Bammed.

Un médecin de Cmtegubelle, appe-lé tout de suite , ne tarda pas à eeenu-

naitre les marques du crime aur celte

tête.

La] sxli0e bientôt p tomeue accoei-ut, et Eugène Mitron fut arrété. 11 a

fait des aveux complets. Son complicea été arrété samedi made,

Ou assure que la mort de Mn. Guey-mou serait attribuée à un crime eo -mis par Milrou et que les restes decette dame auraient été inhumés peurécru soumis à

l'étude etè Cexamen des

hommes de l'art.

Paria du 12 uotbre.75 50 à e.

Marseille, 24 octobre.

Marché bien tenu.Arrivages 12,241 hectolitre .Ventes 10,940 hectolitres.

Borgas 128 1`3 à fr. 292 5l.d'Azeff 130/1 28à frlehn . 11.

DUde

eCol

alatz 128/124 àfr,

. 43.Dapubel2G/121 à fr. 37.

M. Chenet, élève de l'école spécialemilitaire, est nommé au59' rgiméent d'ivfauterie de ligne, pourêtre mis à la suite.

M. Couturier, élève de l'école spé-lisle militaire, est nommé sous-lieute-na t au 8' bataillon de hasseoeu àpied , n remplaeament de M. Bélineadmis b la retraite.

é't e mmé .. , soldat au 23 r gr.et d'aoillerie, condamné à 5 i¢a

de réo dIGI v. d gradtion, pourê m d a J heures de ma.

1 t n aur les allées Somt Mlchol, en prés1 sntre de détacbemeoIs des corps de la1 gnrmson.

Les Abonnés dont l'abonne men U. individu a été arrêté pour ivres[e.finit au 81 Octobre sont priés de 1,renouveler en temps utile, par t'en- i 8. eeramaaa 0e ceassauae e emo.

vol d'un mandat de poste ou tout Programme des mmoeauu qui serom endentas

autre mode à lCRI convenance. a ioueo'hu;, 23 octobre, de3 heures 118 à 4f 2 aux ondes Lafayette.

77

_ 1 ,

d 1. Le Capitole, allegro militaire (De.

2. sur Norme (Bellini).( ALE Gabrielle, polka (Clergne).4. Faonisie aur Si j'étais lloi (Adam),

Nous avons reçu les détails qui sui. 1 5. Le Tapageur, quadrilla (ROrnsel).vent surin crime

quivient d'eIre cent.

9 h. m. Oa,754 8 -couv. - 0 asfortmidi, 0m,754 6 - beau. - id

Le baromètre oreille prés de beau-temps; le temps est beau, l'air pur.

La templratoré s'est encore abaissé tte midi, le thermomètre n'a marqué que

Du 22 août.

Th.rm. cent. mari.. d'hier : + 12>2id. min. de la nuit : + 5.9

saau.. ara, on M. vases.9 h. m, Oa,750 5 - beau. - SE faible.

Midi, 0.,749 7 - euag. - SE faible.Le baromètre baisse, il est prés de va-

riable; le tempe est beau, la températurea..ez douce.

A midi, le thermomètre marque

Ls conseils municipaux des'..madu département de Tarn-e! Garonnemus

se réuniront te lmanche, II novembreprochain, pour loue quatrième sessionlégale. Calte session pourra durer niajours.

Par arrété de :le préfet du Gers,la session des Conseils municfp na e ou-vrira dons tout le département, le 9 50-vembrepeochain, et cira close le lé dumâme mois.

Un arrété de M. le maire d'Auch foitconeaitre au public, à r.' ison de (oleuuité de lu Tunasnia] loro qni

devait se tenir A Aucb, le s midi 1nouens11, prceluin, aura lieu le vendredi

54 octobre aonrans.

Agio, 21 oclub".Une élection pour 1, oooaeil général

deLoart Garonne viral d'avoir lien dansle canton de Villenauve-aur Loi Lo-fargnr., candidat républicain, a sels éluPar 2,354 vais contre 11050 à N. CamilleBoscq, notaire.

Une aotre tartane le Jaan-Antoinevenant de Marseille et allant à Ralentia dû être également abandonnée parceux qui la montaient au cap Canaillesituée entre Cassis et la Ciotat , près lebec de l'Aigle. On ignore quel a été lesort du bateau.

Ces navires étaient chargés de mar-chandises direraee telles quo blé, alcool,farines , douves 0 ale. Ou évalue lia par.

terrible nuit d'orage.- Du 10 eu 16 octobre 1875, il est

entré dune notre part 262,400 Muet. deblé dont voie; le détail par provenancesNicolaief, 45,920 h. Marianopoli etBredianslra , 45,600

Eust; Taganrok, 4,800 ;

Ibrnilae Salies, endjé, 93,760;Burgas et Pyrao , 55,680, Constantiaa-plu , 4,320 ; Alexandrie s 1,760; Salo-nique , 5,600 ;

Vol.

, Rodos[o et Jaffa11,840 ; Darielta, Manfredonia et To'rente , 20,520; Espagne , 8,160 ; Afri«que française , 16,640.

(Petit Ofueseillaia). .

Marseille, 21 octobre.La nouvelle d'un terrible aceideet

qui s'était produit dan. 1. matinée dedimanche dernier pendant la battue auxmacreuses sur l'étang de Bolmon, entreles étangs de Châteauneut' et de hlari-gnaue, a circulé hier eo ville. O. a.-conçait que M. Thourel, ea-procureurgénéral à Alx, avait tué par accident nnde ses meilleurs amis. Le fait n étaitmalhmreuaement que trop vrai, etvoici les renseignements très-précis

sde

queavons recueillis sur les lieux mé-

m s ce cruel événementM. Thourel avait été invité, à assister

à la battue aux macreuses par trois doses amie de la commune de Marigna-

MM1. lavaret Laurent, maire desan:

da cette commues - rétemmeet sasp u-du de sua fonctions par u. ."été préfec-toral- Ilérard (Joseph), propriétaire etconseiller municipal, et Soubeyeao (Jo-

seph), boulaagor. M. Thourel accptacette mvitatien et arriva dans la mait.

née de dvs..clin à Marignane.A 10 heures on monts dons l'embar-

mims pparlanml à M. Ilérard (canotde 6 enétrea de long au, 2 de large), M.Thourel i était p1008 avec sua fusil àl'arrière, et M. Soubeyesu s'était placé àl'avant. M. Bérard chargé de conduirel'emb rcatioo et d'appeler l'atlen0ondes chasseurs sur le gibier ramait à lascie. Devant

murtrouvait M. Jauaret

que ramait aussi.Il était 11 h. 1/2 loeugn'ilu arrivèrent

n milieu de l'étang de Bolmon,mauet déjà une dizaine de macreuses étaient

tombées sous leurs coups.é dTout à coup id. Brar signala à M.

Thourel Inc macreuse et ae baissa pourlui permettre de tirer. Malheureusementpresque aussitôt cas dilonalion parued;' ve embarcation voisine se fit entendreeM. Bérard, croyant que M. Thourc-tavait tiré, se releva. Mais au mômm ins-taet le coup de l'arme 0e h1. Thourelpartit et il reçut mute la charge dan,n1

te. L'infoemné M. Bérard s'affaissa rM. Jouant qui ae trouvait devant lui.

-Qu'as-tu, lui demanda ce deoulerLa victime no répondit pas. De a. tôle

jaillit ua flot de sang.-Mon Dieu ! s 'écrin alors M. sauffret

épouvanté, Bérard est mort.-Comment, je l'ai tué, fit avec déses-

pair M. Thourel !...décrire 1a acène dé.Nous nui se ps à 10

chenues qui ae passa5clo

m re.

.AAua cris des témoins et de ue ciar

involmtaire du fatal accident, une m-barcation qui ae trouvait non loin de Il,misolée par l'adjoint an maire; de Mari-gnane, et n autre canot, sac lequel auteouvaieut des gendarmes, cco0rurent.

Le cures de la victime fut assi!ôttransporté b son domicile, tandis queM. Thourel et lus deux outras chasseurs

Marseille, 20 octobre.Sinistres maritimes :Le mauvais temps qui a sévi aurs ôtes, dada le nuit de vendredi à

samedi, a causé la perte de pluaieueaes partis du port de Marseille.

Trois de ces navires ont sombré uapeu en dehors de la jetée de la Ciotat.Ce sont le brick l'Albert, allant à Part.Piolo(Co se), la tartane française T.oéAimable, allant à Toulon, et la tartaneitalienne La Tèh, allant à Livourne.

Ces bâtisse étaient prés de eandollorsque la tempête les obligea à rair ao arrière. Il mouillèrent à 2 heu-ras de malin eu vue de I.Ciotàt où ualpi.lote étant allé avec nasique peinesua, les invita a eairer dans le part,) feront conduits dans une maison voisine,mole ils refusèrent, espérant que la doà l'on essaya do calmer la légumemer se calmerait. ouleur qua avant tau nchr. en eux un.

lis ne tardèrent pas à se repentir, car catastrophe aussi terrible qua imper.le temps devint de plus en plue mauvais. vue.Les vagua a précipitaient contre lea ru' pp Le aoir même, Ihl. Thourel rentra àchers de la jetée le brick et les tartane., , Aix en proie à une vive agitants et o

peut pms pewblement affecté da laet les brisaient. C'est clora que ceux-ci Ihissèrent le pavillon de détresse. mort de son ami, dont il ava+t été 1 ait-

AA ce Signa] les autorités civiles et tour tout a fait involontaire.militaires, eviéias d'une partie de la po- I Le juge de paix des Martigues en aP-pulatioo, se rendirent sur les lieux les 1 prenmit la triste nouvelle se hauspuelU

élent -organiser) t o, lou en paur, pfuretcplus vmains du déaarire pour sur ms lieuale amvetage.

de'aux costannons légales.

G Sue à ces e0orte cils cens de pins Le lendemain malin, u e heure, cest-ai, eo patrons pécheurs secondés par ' hier Imldi, à1hi. Guirol, subelotut

des personnes dévouée', fion équipages i-du procureur de la république ôAia,

net pu être arrachés à 1. mort, mai. les, Reynaud, juged'inetraction,iacoumpagnétrois bateaux sot coulé à fend. de sou greffier , et Rimbaud, docteur

n médeciset se bout également armonsà Marignane.

M. la docteur Rinibend a fais l'antopaie du cadavre, et bue enquélea étéou-verte sur ce déplorable événement. Il eocet résulté que les causes ont été pure-menlaeciJenteiies.

C'est hier soir, h A heures, qu'ont eulieu les obsèques de l'iuforbmé et re-grelté

id.oiérard,La popnlaliou tout en-

[es à plue d.100,000 fr. tires de Marignane, en 1610 de IaqueReOn parle d'un cinquième bateau quia marchait le conseil municipal, a suivi le

sombré entre Cassis et Marseille et de convoi dans le plus profond recueille.quelques bateaux de pèche chavirés dans ment. L'émotion était générale.notre golfe, Tel geroik la bilan de celte (petit A7areeiltals).

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Page 2: Pimages.jdt.bibliotheque.toulouse.fr/1873/B315556101_JOUTOU_1873_10_23.pdf · Meus YAVAA LAI i an .1, a m, imae de tm tTRANIIER Les frais e pplém ntairua de posa en s Matin, (dsrecq,

u&

Le Bulletin de San-Francisco ions ap- de la monarchie sera présentés parleporte la nouvelle suivante de la muai tra- général Changaroil, avec la signaturegigue de M. COrtrz, consul [ri opale a Mn. d un certain nombre de députés.radon (Amérique du Nord) : D'après le Tempo, des commandants

La semaine passée, dit st, a été mar. de b taillons et d'antres officiers enquée pur non moins de sis asaaesiuata ; congé viennent d'être invités a rejoin.le revolver et le couteau.poignard out dre immédiatement leurs corps; il eujoué Ieue râle comma pendant les pro' est qui Partent aujoned'hut même demièrss années de la An r Fousailles.i, m-bec des viltim,s se trouve dondo Curiez, consul de France et associé de1. aille P AFFAIRE BAZAINEaffaire quelques points mytiérieux queje -.oa-me sais pas encore autorisé à dieulg se.

l.e sert ce était l'associé de M. Cur-iez. L'opinion générale est qti une querelle au sujet des comptes de la mai.o.a été la cause de la tragédie. Le meur-trier a été arrêté, puis relâché sous cau-tio. de 10,000 livres. M. Cortez était re-veeu d'Europe' il y a quelques jours seulament, par le dernier steamer.

VERS NILL S-P*RIS

Premier eau cil de gitane siégeait .u grand Triaseu

rntieivn00n ce s. A. Na, L. cru D ADa1ALx

Général de division

(l'in de l'aedieeuee du 20 octobre).

Le gén6ral Jarras constate que lui-même était, le 12 août, aide-major gé-.érel de l'armée. Ce fut ce même jourqu'il fut nommé chef de l'état-major gé-néral de l'armée du Rhi.. Le généralavait décliné celte nomination, non pas_

Corne .doctequ'il eist des sentiments d'hostilité à

( W° Particulière). l'égard du maréchal, mais il craignait

Yersailles 21 octobre 1875.que le maréchal ne considérât le géné-

n fait .ouveaa n' est venu, depuismodearr comma un critique incem-

Aucuhier,

modifier la situation ai l'éclaircir. J'avais , ajoute le général Jarras, une,Jusréunion de, députés conservateurs autre raison de répugnance. le ne sas

a eu lieu hier cher. M. de Castellan°, vais P. tout ce qui se passait. Il ymais elle n gardé

ma

caractère esst.liei- avait beaucoup de choses que j'auraialament privé et il n'y a été pris aucune dû savoir au moment où j'entrais erésolution importante. Oo y a xamiué fusctiose et je les ignorais. J'iguerail U.let gannDca qui dussent être données qui s'était passé duos le eabiet de l'Ex-pour toutes les libertés nécessaires : pereur entre l'Empereur et le mari,hilmess ira formules adaptées gardeur té- Bazaine , entre l'Empereur et les dilfé-cesesirement un certain vague que les vents chefa de sertira. Je pouvais ainsidébats publics à l'Assemblée et la con. être au-dessous de ma tâche. Mais jefaction dus lois qui en seront la cross é comptais sur la bienveillance du marégueuse, pourront seuls lear. enlever, chat Bazeise. Dés le commencement j'ai

Eu .tendant, chacun, dans l'anxiété été te.u à l'écart. Jeas

cmmaissais leset le doute, suppute les voix qua aont hases que pour transmettre les ordres.

equises 3 sa causa :car celle question J'aurais dis avoir la confiance de monde majorité reste toujours le peint d'in- chef pour prendre dus mesures dansterrogatioa du moment. l'ordre d'idées , dans les intentions de

Je nia livrais hier un calcul sur la mon chef. Sans cette cenfiance, l'en-

emmê emodont qle. -ix

uan d aéraven

olaiviser flots nexistast plus entre le ehrf d'élat-

posée gros- major et son état-major. Sans cette an-se question de lüpublsque ou de Mo. terre, le chef d'état-major est en quel-uarchie. que sorte annihilé

Ea voici un autre qui, m'affirme t-su, l'as cepeadant fait ab.tr.eti.. de ma

esttrés.pigneuaement fait, mais dont personnalité. J'ai été cet. les mains do

pour ma part, je tai pas vérifié l'in ua' maréchal Bassiste m homme complète-Étude, ayant tout lieu de le croire exact. ment passif.Toutes les fractions de la gauche (ren M. le président. - Avez.vous destre ga..fe, gauche et xtréme gauche) faits particuliers à citer?formeraient un total de 313 vai.. Les R. -- J'ai des faits particuliers à rep.fraciioaa de droite (droite et centre peler. Ainsi , dès le t3 , des ordresdroit) donneraient 293 scia. Reste cas pour

I.mouvement du 14 étaient do.-

fracuo. intermédiaire de 116 députés nés diraerement par le maréchal anaqui ne sont inscrits à aucune des rau- commandants des 2 , 3' et 4 corpsnions duel le dénombrement osent d'être et à la garde ; il a transmis égalementtait et qui comprend: t' Le groupe ces Ordres au 6 corps et su comnsaa-Pradié ; 2- le groupe de l'appel au peu. dual du génie. Le 16 avait, jour de lapie; 3^ enfla

uncertain sombre de bataille de Rezonville , le maréchal m'a

députés qui, pour conserver leur iodé. f itconoaître ses ordres seulement q...dpeedeuce n'ont voulu .allier ni s'suféo ils étaient déjà douais ... différentsde à aucune rérmitu. villa. Pour la prise d'armes du 26,

0r, en étudiant les voles précédents les ordres ont été également donné.de ces 116, leurs te,dances et leurs à mon chef d'état-major saa- que j'euopinions , an rrive à considérer 58 sosie rien.d'entre eue.

coammeacquis à la mn Le 51 , je .'ai été non plus informé

narchie et 28 comme douteux ou des ordres qu'après les chefs de service.acquis à la République, ce qui do.- llaos tout le courant de 1. campagne ,ne, d'après le calcul en question, u. il e a été de mémo. Ainsi le chef detotal général de 371 voix pour I. droite l'artillerie , général Soleille , le ce"et 551 pour fa gauche soit u.e majorité mandant du génie et de la place dede vingt voix assurées à la monarchie. Metz, général Coffintéree, étaient sppe-

Mass que de calculs de cage n fora lés en conférence avec le maréchal Ba-oet été déçus ! Il est évident que, dans zalne. Jamais je .'ai assisté à l'une dela i tanim. ù noua sommes, tout dé- ces caaféeraves ou à l'un de ces rep-pend de la discussion publique qui aura porta; je .'ai au sa qui s'était passélieu ; si l'on formule et précise ces ga- qu'en conséquence des ordres damésmaties libérales que l'on a annmcées au chef de s vice pour connatire leurd'une Paçou générale, ai I. tendance xécution. Voilà comment j'explique queroyale se manifeale plutôt du côté des le maréchal m'a trou complètement àidées parlementaires que du côté des L'écart,théories soutenues Par lea anciens jour- 1). - A quelle heure et de quelle fa-naux légitimistes, il est probable que çan a eu lieu la tmnsmiuaim duser-final.urs indécis se rallieront à la mo- vice Ynarchie. R. - Il n'y a pas ou de transmission

Si, d'autre part, M. Thiers, da.s un régulière du service. Le 12, vers deuxgrand discours à smautien comme il en eu trois heu.. de j'ai étéa fait à d'autres époques, sait se dégo- a,leé de la décision de l'Empereur.ger de teute préoccupation personnelle, D. - Par l'Empereur Pde toute rancune do passé, s'il est ma- H. - Non, par le maréchal Leboeuf.déré et conaereatene, il eut possible lai écrit immédiatement au maréchalaussi qu'il maintieane le centre gauche Bazaine, qui était à Borny, pour lui de.Parfaitement mi. mander si je devais le rejoindre.

Rien n'est donc certain. La majorité D. -Ainsi, vous voue con¢idérsez déjàpeut titre à la merci d'un Incident par- comme en faction.?lementaire, d'une parole maladroite ou D. - Oui, à partir de ce momentmal comprise. je .ai plus reçu d'ordre du major.géné

Jusqu ici les partis se serre.t et mou. rat.trzeu de la cohésion. Des députés Le maréchal Bazaine m'a fait répon-comme 6151. S6bert, A. André, Demie- tire verbalement que je devais l'atten-mandie, Marc Richard, Lucarnes, Sal- tire le lendemain (13) à Metz, où il sesvandy, Louis Lacets, Bleu, Bergondi, rait vers midi. Plus tard j'ai reçu com-Nrcon, qui semblaient devoir accepter menicatiun des ordres de mouvement.une monarchie libéral", se sont pro- Voilà comment

"estfaite la transmission

.cucéa pour le maintien de la Défie- du aeceier.bique. D. - Ainsi vous avez été informé, le

D'autres, comme bibi. Amy, Ginoux, de 12, de la décision de l'Empereur quiFermera, Peut Cottin, qui avaient voté voue ce.cerPoil et de celle qui concer-

e?te 24 mai pour l'amendement de M. Hait le maréchal Baloi.Eraonl, se déclarent actuellement par- Il. - Oui.tssa.s du maintien de la République. D. - En présence de 1, réponse tar-

Le parti de l'appel au peuple votera dive du maréchal, acezaouaP.

lui fairea.s doute eu grande majorité contre parvenir, lui avez-vous fait parvenir desla reatauntioo d'fleuri V. ouations?

Voua le voyez, par ce. quelque. R. - Ne..nome; les doutes oint permit actuelle- D. - Vous deviez être au musant desment; chacun travaille à former la majo- r....igaemeaü reçus par l'état-majorrité et ce travail est loi. d'être Lot- général. Avez-vous eu o.c.ssi dans laminé. soirée du t2, de lui faire parvenir les

Tous les bruit. de modificalios mi- ordres les plus importants de cette jour.matérielles sont formellement démens née et notamment celui coacernantlis, l'necupatsou de Pont.h-Mousse. ?

Les avis des départements ne signa. R. - Aucune des indications relalent aucune agitation nulle part. L'ors rives à Po.t-à-Mouao., aux rapports dedre est partait sur toute l'étendue de la recoenaissances faite. par la généralpence. Margueritte, sue. propoeitiom cmcer-

Dans une lettre adressée à un de ses sans Nancy, ne m'a été fournie, Il y s e.électeurs, 6I Oscar de Lnfayette, député des renseignement. qu'on peut trouverde Sei.e et Marne, déclare qu'al volera dans le livre de correspondance.pour le maintien des institutions répit. D. - biais croyez.voua que le maré-blicainea, lesquelles, selon sa convic- chat

pouvaitavoir ces

rcaseigsements Y

tien; se concilient parfaitement avec les R.-- Les rapports des agents secretsprincipes cmaervateurs et peuvent aas.- elles autres rapporte ve..faut auprèsver l'ordre et la liberté. de l'Empereur et ils litaient transmis aux

Dans une lettre à Ni. Déleoyat, dires. clefs de corps. Le maréchal Bazaineleur de la f éter11, M. Sebert, député de avait dd Jes `recevoir.la Seine, président de la chambre des D. - e ne parle pas des rapporta..(aires, réitère so. adhéssm à la for- des agents secrets, mais des rapportame républicaine. plus élevés,

D'après le François, on pente que la R. - De ceux-là, je n'en ai jamaisproposition tendant au rétablissement . rleu au,

D. - Je voulais vous demander si; R.- Je n'avais aucune prévention. étranger à la démarche de madame lacomme aide-major vous aviez des 510e. contre le général Jarras. Je lui avais dit maréchale, rosis je maintiens mesasser-marions sur les reconnaissances du gé- de ee ter à Melz et de se mettre au con- lions.aérai 5fargueri«e, sur les ,avens eu. rani. Ce n'était pas u. témoignage de J'ai été étonné de la virils de Mme laremis qui avaient paru à Pmit-a.Mons- défiance. Quant au colonel LewaI, il maréchale et elle m'a déclaré que la pré.son. sur le détachement que le major- était sous-chef d'état-major et je ne l'a- seuce de l'Empereur compromeüail lesgénéral avait envoyé d'abord, puis avait vais appelé ..prés de moi que pour des opération- militaires ; que le maréchalfait se replier. Vous pauvre., comme noua questions topographiques. Je n avais, je Bazaine a rs ncceprait pas la respoua.-a dit M. le maréchal nous ern le répète, aucune défiance 00autre le gé. hélio et qu'il désirait se retirer. Pour..ligne' m x que persou I. néral Jarras. Qua t à l'indic tien des quoi la maréchale m'aurait elle fait use

B. - Sans doute; mais je as pouvais routes dont il a été question, le mari- Ivisite Y Je n'si pas parlé de la visite de

communiquer que les informations qui chat lit un document par lequel le géné- la maréchale au ministre de la guer-m'étaient conques, et je o ai rien connu val Jarras était informé. Les détails d'eaé. re.des informations dont parle M. le prés. cation étaient laissés à l'état.major. M. Lachaud ; sur l'autorisation du

été député ; il eet gentilhomme. Celtedouble qualité aurait dû lu, faire cem-prendre gn'un honnéle homme, un misatre, ne manque pas a ses eeroients.

Une lettre du comte de Palikao à M.. lamaréchale, eu date du 30 mars 1872,confirme cette déposition,

L'audieaca rat levée à cinq base,, ouquart

Demain, à midi et demi, toit. de Foc-diGm des témoin..

Audience du 21 octobre 1873.

dent. U. - Vous ne trouvez pas qu'il y avait Président, donne hectare d'un cavait de L'affluence cet la éme aujourd'huiD. - Vous n'aviez pas reçu des rami- dans les rapports avec votre chef d'etat la déposition faite, le 15 juillet, par M. qu'hier, Taules les places réservées et

. cop ts sur les positions des l«et

t major une situation délicate Y de Kértry. publique. sont occupées.5 corps P If. - Je .avais aune.. défisnee, M.le . de Kératry déclare qu'il y a ici uu a midi et demi précis, le conseil cotrep

é- en éance.

R.r

- Non, je n'en ai pas aouvenance; répète; je c lje

dia la capacité du géné abus d'inlerpréuliom. Le témoin sea rmais ai ma mémoire me fait défaut je est Jarras

eet e croyais que cela irait fève à ça dépaei[io. faite devant la com M. le président. - La séance est ras

m'en réfère à mon registre. comme sur des roulettes. Je .e pensais mission il ..quête de 4 septembre. Les Pertes. Nous allant entendre les témoinsD. - Il saisie des dépêches adressées p as aux.useeptibilltés pour de. détail. de trois point. qu'il a établi et il. d mai.- saignés par la d

lionet qui apDartinn-

le 14 au maréchal Rasai te par ie maré- aerric t que je pre.nis pour aller plus tient sont ceux-ci : .est à la 1 seco. des neuf d,vuion¢chat . Ces iléon et par le général ae vite et Ileme parcs que je avais 1-L'empereur gênait le maréchal ep- suivies pour l'interrogatoire et les té-ailly Ces dépêches n'ont pas pesté nous aucune e once

ddu général Jarraa. zains ; R le maréchal Bazaine 'accep- moigv nages.

vos yeux Y Le général Jarras ecti0e le dire du tait pas lia respoosabilitr des Op6ratious; M' Schneider âgé daR. - Si ne m'en souviens pas. maréchal Bassine ce ce sens que le cote. 3- le maréchal voulut as retirer. 68 ans, est introduitD. - vous les aviez reçam, le. net Lewal n'était pas ida..aj., général, M. le maréchal.-SI jasais au cette dé. La questions crue g sont posées àSi

auriez.vous communiquées se maréchal mais qu'il avril des fonctions spéciales. marche de la maréchale, je or la lui au- M. Schneider. 11 du« dépote en quisurBaladai, P Le témoin demande aussi a se justifier du rais pas permi,e; je n'ai pas a contester con rne la prise de possession du ceia-

R. - Oui, immédiatement. Tous les r proche d'irascibilité qui lus a été ndres- la déposition. mademt.t ea chef de l'armés par leordres que j'ai là expédier ont été trans- sé par le maréchal. M. le Président.- J'ai nos déclaralie maréchal Bassins,.mis avec tonte la promptitude désirable. Le. président invite le témoin à se ren- écrite de la part de la maréchale qui en M. Schneider. - le .e tais rit. dot

D. -Ainsi, l'ordre de maréchal fil. fermer dans l'exposé des fait. snlé...lent pourrait être emlail q,i à titre de'su-

circamu.cea qui nul déterminé la priasn date du 13, na pas été rédigé lac selgoement. je vais donner Inchrre de de Possession de ce cemmasdemt.t. S'llmisse,

par vous Le géa Ld Jarras déclare quayant passé cens lettre. agissait de dira que le maréchal Ba-R. - Ne. 'est précisément à par.

Jeus de sa vie dans l'état.major, fi n'a M. le greffier lit une lettre ainsi lots- x.ms a désiré ce commandemesy t

tir de ce je., là que j'ai été tenu h l'As ie. fait qd pût jurtifier le reproche qui talée : Déclaration de la maréchale Ba quaucu0e intrigue ait été fais p., lus àz président du conseil

de

e cet égard, je croirais plutôt à irae pré.cart. lus a été adressé. aismaD. - Avaz vdne e ooonai.... ce d'un Le président i .,Il. le témoin à se rets, gazr tant me.t à l'incident Kéra- eompluu entrait,. Jas eu Ils...ear de

ordre donné au général Coffiniéres rois- ver. laya La maréchale dit, deus cette lettre, v 'r, aumomem de la gerre, 1,,r1 oe

tir à la emstruetion de ponte sue t. La généralCOffmsères rat introduit et quai M. da Kérary lui exprima la pen dommes aomidénbles je déclare queMoselle et sur ü Seille prête serment.

ses

que le maréchal Dizaine devrait as je u'li pas eu ue homme qui ait parléR. - Je ne m én souviens pas exacte. pas capter la reaponaabilsté d'exercer avec plus de modestie et plu. de sagesse

Apréal'es

stions d'uéposage,ser le

su

peint-ment. Je ne poil que répéter que le t invden i ls àd u. commandemem quand l'Empereur des périls et des difficultés de l't.trntémoin r l ripémmaudane ce chef du génie avait avec circoastanreses-

restait àl'armée. P'.

I _,sa,.. et le mou as staffs des con qui ont acc.mp gué la pri- Je ss tain readnià as .alors neas de pos ssln du commandement do C'est M. deKératry qui fillette 'oai- P D 9 9fért.cea ...quelles je "assister pas: ®aréchel Raphia. -tic. et non Pas elle, la maréchale, la situation était compromian, le même

D. - Maisvol'

avezécrit uee lettre Le général Coffiniêres expose qu'au qui a dit ce que M. de Kératry lai fait homme eut sollicité celle farce). Il està ce sujet P moment oh le maréchal a pris passe.- dire. Elle lut avait parlé également de vrai que pluslema membre. da Corp.

R. - Oui, ana lettre eeçne z ter. sien du commandement, 1. place de ratatinas avec l'Impératrice. législatif out exprimé devant mai lemea fort vagace, va que je pouvais Melz n'était .

completétat M. de Kératry demande à répondes désir devoir le commandement changer

récs.er et le nombre des Peau à con,- par mss. equ j° de main, main 'il. an laissait rhumert

rmre, ni les points où ils devaient être de défense M. doua more. Il me e mana la mué. P

D. - asa quels ordres aviez.vous re- chape lus ait fait une ouverture quelcou- dama velte démarche l'initiative du ma-conalruits. çns 4 que de la part du gouecesemeot smpé- réchat que se. glorieux antécédent. dé.

D. -Ainsi, ayant une charge spéciale R. -Je n'avais reçu que l'ordre de rial. Il nie aussi avoir jamais tait à la aignaLent uffisamsneut au cummsede

à

l'j'r,

ordistrvousma

sou, a 'faire comtruiee, tant eu aval qe e u maréchale uee suggeelsan semblable à ment ce chef. Voilà ce que je sas.. JaI'venes

ezp..a

pasd'avoir

dicton des ordreses-

amoai, le plus grand .ombre possible de celle dont elle parle dans sa lettre. Il tendrai malai.... t les Lissasses. du pré.la à u construction des ponts Y Petit.. ajoute qu'ayant vu le maréchal Bazaine aident.

R. - Je os m'en so an pai D, - A quelle date reçu cet à Nancy ll rompit foules relations avec Le président déchue qu'il n'a point O.D. - Vous n aviez pas reçu des or- ordre. collui, e. ruile de paroles mena ça tee questions à adresser au témoin.n

et,il,. à propos du

uuvemreenl

du 14, den - C'était, je crois; deus la jour. Doutées par le maréchal castre ses

Le ministère public alla défense ayant

sae sr ta et selle t les points de pos- née du 8. L'empereur tenait essentiel. lègues de l'oppositnn. fait une semblable, le peéassage

usur la Muselle 4 lament à ce que Fermée passât sur la Le Président invite le témoin à se es dent invite le témoin à se retirer.

ie,K. - Pal eu l' s'assln d'de .. cesrive gauche. tirer. Si. Jules Favre est ait' oJnit .pré.

àL Itunher est appelé ,...ire à défi..

choses quand il agissaitd raucher U - C'est docile virée du 13 que que M. de Kératry afait

en dépecé. nzr. Le. questions ordinaires lui pot faisr Vendu. par les dru: grandes routes voua avez appris la crue de la Seille P Itos. tee. M. Eugène

Il..lier a 5S ans en de-

de Rez...ille ou de Cueilles. R . - oui, M. le président. Je ee pen- M. le Président. - Je vous interroge- ms ; c e test cette de membre

D. - Vous aviez donc reçu l'ordre sais pas que le mouvememenl pût être rai sur In démarche faite au ministre de de. l'Assemblée nationale. M. le pré.-

de préparer les reconnaissances, let élu- commencé avant leU.

la guerre par les membres de l'oppo- dent l'interroge sur la première seclsaa

de.. 1). - Vous Haviez pas reçu de. ordres sitson. des neuf dévoiles.

R, - Je .'avais Pas reçu d'ordres, pour la destruction des ponts eu M. lu et Favre.-Nous avions pensé, M. Rouher. -Je .'ai absolument au-

mail nous avons cru utile d'étudier la nta

mes amis et moi, que le commaodemenl eu. r...signement persan et or la p iunature et la qualité de chaq e r ale. Il

aR. - Il n'entrait nullement doua ma devait Das rester entre les malus de de puas sa ou dn carnet mat en chef

art idu maréchal Buasoe.nous a paru inutile de taira faire des ce- pensée de faire sauter les ponts. D'ail- l'Empereur. de la

part......

connaissances de ces r.utea par des .1A: leur. le général eu chef prenait les, me- M. Juies Farte fit part de cette oplaine M. le président. - M. le commi,ssies

tiers. Les routes étaient connues et su cs nécessaires à cet égara et quand à M. Scheider. M. Schneider as fut pat du gouvernement, vcas n'avez aucune

étaient celles du département. il acru que Ibis devait faire sauter d'avis que la dynastie fut uu obstacle que lien à adresser au titrai. tD. De quelle année était le plats des le pont de Longeville, ü I'a fait sauter. pour le mccés de nos armes. L'oppesi M. le général Puurcet. - Non, M. le

tontes 7 D. - Quelle était la composition de la tins savait aucune relation avec le président.

B. - Ce plan était tenu toujours au garnison de Metz. maréchal Bazalas, mais nous cherchions M Lachaud, défenseur. - M. Rouher

courant. R. - Avant le 7, il n'y avait pas, à le meilleur géléral et nous ePme, que sait-il quaucune démaruhe ait été laite

e,U. - Vous souvenez. vous de commu proprement parler, de gar.iso., mais des ce général était le général Bazaine. Le parle muéctral pour obtenir le commas

nicatas envoyées aux 2e, 3 et 4 détachemeole appartenant à différents maréchal devait être investi du coin. dementench.(?

cos. corps. Quant au mouvement du f 4, la mandement, mais l'Empereur dorait être M. Ruche, - Je sais qua le maréchal

R-Je crois, en effet, que des rouleau- pensée de l'Empereur .avait pat varié. écarté.u'n [ait qui obéir à un a re. Voilà ü

Oicatioos ont été fastes à L'a Deep., et au Il fallait passer sue la rive gauche de Je D. - Avez.voua parlé il... ce seea au conviction qui ma étéafd

quine par In

6e corps, au maréchal Canrobert qui Moselle. ministre de la guerre? reeseignnme.ü que j'as eue à cette épo-

étail à Matéguy. Le commissaire du gouvernement de- R.- Oui, M. le prisideuplonus suons que.connusssme nu evoenvrvsaervr mande à quelle heure la remise en état demandé que le commadement effectif M. le président. - Voua pouvez roua

adresse diverses questions au témoin, des ponts construits le 13 et détruits fat remis entre les mains du maréchal retarer-

aotammeutair des cemmunicaliom d'or. Par ma inondation a été terminée le 14. Bazaine. Le maréchal était °ompléte- Le maréchal Canrobert est introduit

tire de marche pour la journée do 14, Le témoin déclare qu'il lui cet difficile de mcet étranger à Is démarche de l'oppo- al prête senneat. Après les quensoa.

qui aura sent été faites par le maréchal répondre d'une façon absolue. Mai. il aille.. Quant u commmdemeut il de. d'usage, 1. président invite le limais àDomine dans la soirée ou dam l'après. croit 1"""' a atinée. sait être tiérement erre le, main. déposer sur les, opérations militaires de-

mids du 13 août. La ayant pas d'observation à du maréchal, des ménagements très puas le jour où le maréchal Bezasne s

Le général Jarraa en se rappelle pas présenter, le giaéral Coffiniére est auto. honorables envers l'Empereur poaeaseat pris du commandement j ua

précisément l'heure juale, mas il croit visé à se retirer. avoir les plus graves inconvénient.. qu'au 19 août.

bien que des ardres ont été donnés; mais M. deKératry, âgé de 41 ans, domici M. Lachaud demande ai le témoin se f< maréchal Canrobert axpese qu'il

ce n'est pas lui qui aura il été chargé lié à Paris, est le 5 témoin. Le. que. sourient que M. de Kéniry oaurait dit arriva à Melz au m a°t ou le maré-

npécialemeut de transmettre le. ordres. tiens adressées aux autree témoins lui que le maréchal Bazaine De vulaitplus chat....m.

vents[ d'ôtre nommé m-

Le misistére publie demande si le té- sent faites. Ni. de Kératry est interrogé servir l'Empereur et a ïl avait été que.- mandent ea chef de l'année du tibia.

main a songé à dmuee au maréchal tous sur ce qui touche aux faits antérieurs au lion del ce tait devant le ministre de la Le maréchal Carcberl na pris aucune

les renseignements par lui reçus sur la commaademml en chef du maréchal guerre. part à cette sominatiou, qua daillems

situation. Bavasse. M. Jules Favre répond négative. "Pondait au rreu de l'opsu,un publique,

R. - J'ai déjà riposdu à celte qua. M. de Kératry parle de 1, démarche ment. Le tnmoiu rappelle ensuite les incidents

lieu q.e m'a adressée M. le président.que

fit auprès de lui la maeérhde Balai M Lachaud dama.de W il a été tait une tnlégiquex et antres qui ont précédé la

Je ne pouvais d'ailleurs transmettre que ne 20 jour' avaet le h septembre. Elle démarche aaprès de M. Jupes Favre pour bataille du 16, à ltor.y, à I quelle le

les rentelgmemenis que j'seaie à ma dis. déclarait que la présence de l'Empereur lui demander des explications sur la témoin lui-.éme a a pria aucune partposstse.. à Metz causait de grandes difficultés. Le dépolit! de M. de Kératry. et dent il ve put qu enlendee la canos-

Le président demande au témoin s ii maréchal désirait ne l'Empereur s'éloi- M. Jules Puer,.- Je ne s'en souviens ode. Le 15, le [émoin sa trouvait irecoonait me pièce

cedate du 12 au gelât de l'armée. M. de Kératry commuai- pas. Rezonvnlle, où il était couvert m avant

air, qu'il lui fait passer cous les yeux 1 qua cette situation à la minorité de la M. Lachaud invoque le témoigoage du télé de par une dsrssios

R. - Oui, cet avis a dû être Iran,- Chambre et R fut convenu par cette mi. d'une lettre que M. Joli. Faste a mail de cavalerie. Vars le so""il reçut l'or-

mis comme j'ai transmis tous les au- nordé que l'on demssderait au mil sien adressée au maréchal Bazaine eu réponse tire de partir I. lendeeaais 16, à 4 h,

tus, de la guerre de faire des démarche. Pour à sa demarche.1j2 du malin. Le témoin fit toutes let

Le greffier donne lecture de ce doc.- que le maréchal B...issu fut sommé com- M Lachaud prend texte de cetle let. diligences nécessaires pour exécuter cet

ment qui concerne us avis à transmet. mandant en chef. Trois délégués se ras. te'pi ur constater que dés le premier ordre. A 4 h. 1i2 tout était prêt, mais

ire au maréchal. dirent mupré. du ministre de la guerre jo. maréchale était fort préoccupée aucun -lis os fut reçu do quartier-gi-M Lachaud. - Le général Jarras parle à qui ils

exposère

nt la qum[ion. Le géné de Fassertios de M. de Kératry. cérat; celte incertitude dura jusque ver.

de manque de eosfiuuee de la part du val Palikao répondit que sua isteatim Le présidant invite le fêtant. à se rets. 7 boule. du mati.. Alors le réifiai.,

maréchal. Le général a-t-il témoigné au était déjà de confier le commandement ver. que ce retard préoccupait, reçut l'ordre

maréchal qu'il oulrroit de as manque de au maréchal Bazaine. Le 12 février, ses. M. le général de Mantauban, comte de reprendre ses premier. campemeela.

confiance. vont la murécbate Bazaine vint trouver de Palikao, est appelé :cent le 7s lé- Bientôt après, il aperçut un corps frais.

M. le président répète la question de une seconde foi. M. de Kératry pour le motu. Il a connu le maréchal Basasse çass qui se repliait, et lus.mém se vil

la défense. prier de rectifier sa dépmltso. faite de- s Afrique ; leur marnées a été presque stuquer par des lieasilnur. d'artillerie.

R.-Dans deux circonstances, j'ai vent la cemmspson 'engaéte. Mass 151.de fa éme. Il a toujours eau le -ê- Il riposta, et ainsi seagagea sa duel

témoigné que j'en soeffrass. J'ai dit tout Kératry répondit qud'il lui était imposai. chat comme ne homme ....u Le un d'artillerie dans lequel le maréchal Cou.

IL l'heure que le mouvement do 20 août bis de déférer à ce désir en supprimant homme loyal et un homme Iré iaelll- robent perdit 5,000 hommes ; mai& ilavait été préparé en dehors de moi. Il la 2 partie de la déposition. gent. garda pointions, hier qu'il n'eûtavait été préparé avec un omcier. Cet D. - Le défenseur na rira à dire

vM. le président. - Je von. interroge que 54 pièces. La nuit aivaale, sen

officier était le colonel Lewal ; je l'as au M. Larbaud. -'Je lis dans la déposi. surtoutau'

l'incident relatif à M. de Ké- 3 heures du mata, il reçut l'ordre deplus lard. C. jour-là, j'ai prié M. le mas lie. imprimée de M. de K6ntry et dans ratr et h uan démarche de membres de prendre positions à Vernévslle.

récital de vouloir bien agir autrement. le rapport que la confidence a été fastel'oppyomhon

auprès de lui. Le maréchal Canrobert crut devoir

AI. le maréchal meréprimât

qu'il em. à M. Jales Faner et au ministre de la ' M. le général de Palikao--Dsnt sa dés objecter qua celte position neut pas

ployait les officiera qu'il lui convenait guerre. position, M. de Kératry mavast posé la irés-favorable. Le maréchal Bazaine eé-

d'employer r. Je lui ai fait remarquer que R. - C'est une erreur. Je nea ai pas question de la séparation du maréchal B.- pu dnit

Lu

II accédant à celleobservation

le calomel Lewal était pus mea entres parlé au mnistre de la guerre. en!.. de l'Empereur. C'eût réé use aorte et autorisa le maréchal Canrobert à ssa

et qu'il as pouvait rie. faire avec loi : M. Lachaud, - L'erreur a-t-elle été de mise en demeure pounavoir quel parti retirer du côté de Saint Privat ; comme

sans men rendre compte. Je dis même commise auprès du rapporteur Y je prendrais ; plusieurs députés éuieol il Prenait cette direction , il se tenait,

au colonel Lewal que si la maréchal l'sp- M. de Ilératry. - Nous étions trois présents à l'entrevue. M. Ernest Pimrd durrét6 as ez longtemps le pavagecorps qui restait de

parDeseonet e1

pelait à ir or avec lui, il aurait à devant ae irme a e guerre. 11 neM.

derle pas du Propos Drote4

m'en rendre ecommptei

'

peut

utyy achat

qeLu'uneerreur de art..

Mde Kératry.

J'ai

écritàque me

a la mari, allait prendre sel pesma. Parmïutervail pa, l

yy a f é mqu; ru le de ci incident , le

maréchéchal

Ce..Usa autre fois fia demandé au maré- et Lachaud. -Madame la maréchale

chchair qui

i

chat d'avoir en ai plus de cdnsnce. le contre elle a fart un voyage à Maneil queco

propos e avent pas été tenu ;qua robent me pût arriver que le pli à . La

Le maréchal me répondit que,dans

Inc le croire con mserliens. c'est un mensonge, Prsval où il s'msla er de o mies:. Le

circansdo es actuetles sl m ,à M. de Kératry. - Il y sa des procès Ces mots sont déjà.. présomption con- lendemain matin s en 11 heures , nonc

de personne. Voi là ce que ai à verbaux de la réunionde

e la gauche et ire le seea de l'inlerrogaton que m âusait sel engagement avec l'oserai qui acette

répondre à ce qui ma été demandé. c'est dosa le procès rbal que figure la fane M. de Kératry. M. de Kératry sait tuaarmé

mouvement sur la droite de nos

D. - M. le maréchal, avez vous quel délégation de MM.Pivec.rd,

table Fat. et , que j'avais prêté serment ; ce aermenl, ire ormie. Cette fois mente , l'inféria

que chose à dire 4 de moi-même. Le maréchal peut être un honnête homme ne le trahit pas.IL

a cité de l'artillerie dont le maréchal Cas.

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Page 3: Pimages.jdt.bibliotheque.toulouse.fr/1873/B315556101_JOUTOU_1873_10_23.pdf · Meus YAVAA LAI i an .1, a m, imae de tm tTRANIIER Les frais e pplém ntairua de posa en s Matin, (dsrecq,

0ea....a.ef

robent portrait dispos-r, est ai r pas dit qu'il fût rédigé pendant la bu-et. t à Chlloes , lui i, t pua Ae, pertes taille, mais que je l'ai reçu pendant las'anisai ,dos s n.ibles que , si notre bataille. Mais je wi. bien convaincu queartillerie avait eeté plus puissante et ai le maréchal avait su noire sf tao lion,autrui

art, rosisimené, , l'armée peus- il agirait v 1u à notre secours.

sienne , de l'aveu même an roi ce 0.-Ai°ai l'ordre que vous aviez reçuPrusse , aurait trouvé, ann tombeau de. indiquait que le maréchal voulait se ire.

ui.o-Psivat. plier sous Metz , prendre sine positionsalut

E. effet, la garde prussienne avait été plus en uretère Ptellement engagée que , dans In rectii- g,-Uens L. peusiedu maréchal il .,yealimu de frumiéers, S. M. le roi de suait pas de bataille de S,-Privat mPrusse

ain sisté pour que les uiamps de seulement défense des ligues d'Arma..il.

bataille dulfi et surwu, de Id fûsseat liera.compris dans celte r.ebecasiws. Et M. U- Poeuiva.vous que la réserve étaitle président Thiers compris qu'il fallait à la disposition des corp. darméccéder à cet ég+r 1 parce qun le roi de R,- Je lie le crois pas. AutrementPrusse se "a rrrat ou lui cédait n° corps d'armée appellerait la réservesur ce point ;'plus coulant m qui et que ferait l'autre corps d'armée I Ai.-cuseer.au Raifort. Le ""échal IlCiel.- ai, si j'avais pu le faire, j'aurais appelébers continue à donner les détails de Ituu rbaki. Et à ne propos j'ai eu anala bataille de Suuua Privat ce quiduoeuu'lun avec mou ami In géoérul bour-, euse eaucerue pariicnliéremenl. Il constate b,le. Noot suiviuat deux roules sur Itri-yue le général Boneb, ki et général ye, la roule d'Armenivdlieet, etSoleille doreur lui envoyer

lule

s cours moi la route dit bois de Saulny. Bour-de la garde et de l'artillerie. Maiaeenlio baki croyait Pire derrière le 4 corps ,l'anillnne pr.eueene pro le dessus. Il était derrière le corps du général Lad.Tous les efforts de l'artillerie ne purent misels.triompher. Cependant ces efforts furent final revenir à la question de M. leconsidérables et dans le corps du ma ré- président, je dois ajouter que lu réservechat Canrobert eu doit noter p ,rticulté- t à la disposition du général en chef.ment le 19 chaaaenrs , le 4 et le 12 Oiierraes questions sont faites ensuitede ligne. Lenuemi n'avançait pas e° par M. le maréchal Boraine au maréchalpersonne, mai. il enrayait des masses Cenrobret à l'égard d'un ordre envoyéde fer; il non.,

ajouteque par ses bus. parle Premier au aeeo°d, le 18 août.

Quant à non., aouta le maréchal Con- L. maréchal Canrobert maintient querobent, sous Wons relirdmra au pas ue- cet ne ire e lui est parvenu qu` prèsdiaaire, par Irais échelons, et nous t'û midi eu pleine bataille. Le maréchalmea

éssurtout par la brigade du Bazaiue déclare que l'ordre a été donné

g6 éesl du' Banil, et, comme nous dés la matin. Le président dit que c'estio gardé ... paire pour la soif, une cou [aiatiu. que l'on p ores avoir ter par qui cet ordre lui été essayé

e est quelques coups dans nos e eatendael de nouveau le général J- et i il a envoyé un officier supérieur'actionbatteries, ..°s pûmes, sous l

puissantes de ce. batteries, faire unecariai.. émis.... ma sur l'ennemi, upoint

qu'ilma pot pas venir .o.. confié.

chorde, rester sur les hauteurs de Salut-Priesi jusquau lendemain

Le président remercie le témoin de sadépesllion lucide et émouvante; il luiadresse eesune quelque. questions.

U. - Pensez vues que si les Pont.ver le Moselle avaient été coupés, l'aune.mi aurait été rrtsedé Y

R, - Le maréchal, ..la. toute appa-Naee, as Pouvait encore rien savoir dece qui as Passait de or. côté.

U. - Vous a.... exécuté sous difficultéle passage de la Moeelle Y

R. - Oui.U. - Mais les roule. étaient encom-

brées YR. - Oui, très-e.combréee entre Metz

et Loegrei lie.D. Pensez.rous qu'il y eût lieu de

détruire 1 pont de chemine de fer YR. - Non, euc sui voisinage des for

tiûoalio.a le pr.négcait, mais les batte-ries aune mica ai étaient paa tutu.

U. -C'esl le 15 ne sofr,que sacs avendéployé voler corps perpendiculairementà la voie rumaiae.

IL --Oui, car nuits noue stlendiansà roi, l'ennemi apparailee d'un momentà l'autre.

D. - Avez-vous connu les intentionspersonnelles de l'Empereur sur la marche

songeaitde L'annuel Y avez vous su qu'ilà ramener l'année sur Chàloa, Y

R. - Non, je ne anis rie. de positif àcet égard.

1). - Peoeex-vonsqu'il

eût été possi-ble de reprendra In. Positions de Mars-1. 'four et Vionvibe le 17 Y

Il. - Nous croyionsqu'il

était pluspossible de on pas Ire quitter. J'ai e r.tendu que l'un avait critiqué beaucouples positions prises par le maréchal. Mais1 critique est facile. Mo.s arias antan.du que peur noua ravitailler °ous avionsbeaui. de noua rapprocher de la ville.Quand nu maréchal perle ainsi, ou oqu'à i incliner.

aD. - Ne croyezuvras pas que si l'onavait :,taqué le lendemain 17, o. aitpn vdr .las chances d'un succès II

unayu::.Iio° n.a de MM. lesjugesmes noie

demande douons [aire. En attaquantYe 17, aurait Lin pu avine un succès P

Il. -- Je le cr is je .an suieP,aile. La gardesusaist beaucoup don

0E, Ira culpa du maréchal Lehmat éga-lemç+nl, te 4 corp. de iadmirault avaitu rprelque sucré.. le dais dire toute-

fuia que auparavant dans u.e re ue jevis dual. la figure il'u. certain nombrede solda4, ce quo l'a. u I voit pas ordi-eeivsmeat. Je leur demandai ce qu'ilsvoisin. lis me eép.odirebt : Nous .vons

faim. Cela me parutet'..".

Je m'a-s ssai aux officiers. Les officiers gar-dèrent le silence. Le soldat avait roisjours de vivres. Mais ils .raie t toutma"g6. Cela

asconçoit Les soldais ae

se 'eut battus sous avoir ri n dons leventre. 11s n'avaient pas même d'eau.Cependant ul est fort possible qu'une ac-tion uourelle ..rail pu être engagéeavec quelque chance.

1). -Ne pensez.vous pas qu'on mvemeat offensif aurais rendu le nriail-Iemeot Plu. facile.

R. - Je os le p°useoU. - Si, da.. le ù l'an aurait

pu refouler l'armée ennemie le 17, plu;que celle année aurait pu vous

rpreudre le 18 pendant une marche de!aile P

R. - C'est là une question difficile àrésoudre. Cela dépend de la façon dontou eût opéré. Il aurait fallu pousserl'ennemi dan. la Muselle.

D.- Luirait us !.ne sans !tes replié,Je maréchal liasaiuesucs ad -il indiquelis position de Blémont T

R. - Je l'ignore.Le président demande au maréchal

Bazaine i il ti anit pus indiqué Million,munie point de retraite. Le msréch sl

lteaafate ré puni que la localité de Blé'serai était com Prie. dans la reco..au-sance du colonel Lewal.

I.e nmrchnl Cunrobert. -Je répileque je agi me souviens pas d'avoir nçud'autre ordre que celui de code à SaisPrivat.

U. -Cet ordre serait été rédigé uva°tque le sert de la jeuruée de Saint Privatans fut décidée

D.- oui.D.- Cl cet ordre rédigé le 18 , peu.

la bataille.... R. - Pardon, je n 'sii'

ras. en etou.Le maréchal Canrobert fait une der. R. - J'ai déjà dit que j'assis reçu par

nièce oblervalon, a l'égard de cet ordre. lia officier supérieur ordre de se replier11 était daté de a ville, 18 août. 11 sur les plateaux. Je lui fie observer eaurait dû être

daté

téu

Plappeville. 18, 3 rallier par un officier que mes troupesheures, 5 bailles, f heures do mat[.. seraient placée. eu a uphithéàtrc ..asL'heure est hd'u'unn ellemesl p r to le feu ie l'ennemi et qu'il valait mieuxquand IL i

sa't de bataille ,

suurto utut tee retirer eu arriére, à Ibo ou 200 "ê.

quand cette bataille a un champ aurai tees lent en plaçant les grand'gardes ...large que celai de la bataille de ualorivat. les plateaux.

Le maréchal C'rocher, est autorisé à M. le c mmisaaire du gouverne vousretirer doua

uuene usl

salle vo : e d'où il l -Je roulais vaua demander ' voussera rappelé, ai la suite dea [témoignages aviez envoyé In 18, ptalent la bataille,le demande. phormurs rs officiers, entrautres le com.

Le m, irp 1 Lebieuf est appelé à dépe- oaut u igj'aieon,r

teeles opératimis militaires Jiaqu'au R. - Seso envoyé le commandant

1!I soin. mefat

officiers. D,na ta soirée, ilLe Prkvldent mande maréchal Le. t rapporté que evpli lament je

bocal et l'mree àdépose

ser mrlesopéra me l'uéra

recevrais l'ordre de me replier. Je mOnu mihtaüea du 12 su 19 cois[

Le

e répéta, j'ai envoyé beaucoup d'officierstémoin fait observer qu'il lui servit diffi su d.anie'.génirol pendant la bataille.Bile de déposer r les dits militaires du M. Lachaud d scende s'il ne se sou-f- au 13, auemdu que durant ces trois v mi[ pas a,air écot le 17

umaréchal

jours il cal re,lé érenger à toutes le, Bazaiue Pour lu, signaler le manque deupreations. Ce u est que le 15 au matin eivres.lu 'il remplaça le général Decaen, blessé, Le maréchal Lebmuf répond qu'il n'a

aedant du 3- corps. Le pas dit qti il manquait absolument detémoin rappelle tee mouvements opérés v rai, aisils, il a simplement deuil..par le 3 corps depuis le 15 au matie, dé au maréchal de laver l'ialerdit euepou cadre à Vrravilie par le col son convoi, attendu qu'il allait en man-de l'eeoy , mouvement dont il readit quel duos cinq jours.empre au maréchal,B..aioeen indiquant

l'opportunité d'in téter, vu l'apeoche del'ennemi, la marche eu avant de l'armée.D'ailleurs, le 4 corps n'avait pu opérerzoo muuvxmeu[: Le maréchal Bezaiserépondit au témoin qu sur s deman-de, il l'autorisait à ar,ètve ... mouve-ment et à prendre position.

Le lendemain 16, le maréchal Le-boeuf, ayant entendu le os

nom,prit les

dispositions que cette cieeonslanceleuu'saillait.

I: .Raire s'engage, vers midi. La divi-'eo du général Aymard venait au mo.

ment méme. appas, dit ce témoin, queh, maréchal

CJ:mrobcrtavait arrêté la di-

'on élontaudo° pour faire face il'..autre rdué à t'eucelui. Je déployai mouartillerie eu face vers Viooville. Bien-tôt je vis déboucher le général Ladmi-rau. Je sus qu'il devait faire u. mou-

eutIncluant sur Mare-la-Tour. J

n

e luisuintai agi la J'allais faire u

tant obensif quand je reçus l'or.arcdunmaréchal de lui envoyer quel-ques troupe,. Je fis des abservatioosije gardai d'autres troupe, qui m'étaientdemandées, et je gagnai quelque. mil-lion de pas 1 J'adressai u rapport aumaréchal Bazaine à la B. de la journée,n émettant la pensé. que l'affalez le'ommeseerai[ le lendemain. Je reçus

l'ordre de me replier; je me repliai. Leleedemaiot vers de.x heures due mafie,je reçus u° ordre du maréchal Balai.se qui me disait que eu la pénurie suvivII. et .re s , ..a. .anaèr.replierioue

eu

n arrière.Le matin, je reçus un avis qui raille.

ossignait que l'entde nemi noua menaçait, parmen outre gauche, à notre

sensuul avala envoyé au maréchalBu-zains l'avis que le 3 corps munquail de

vivres. La sait, noua nous ravitailm-mes.

Le maréchal passe e...ife à la jour-née du 18 et cuire dans les détailstechniques de cette journée à l'égard de

.o. corps d'armés et des divers mouve-enie exécutée. Dans I, pensée que

l'ennemi taquerait stout la droite,le maréchal avait placé principalement

s réaerves de ce côté. Il apprit que d, svoltigeais de I. garde occupaient oubois voisin. Il demanda au maréchal

M Lachaud. - C'est le point que jevoulais constater.sa Le président invite le témoin à an en'tirer.

Il est 3 heures. La séance est suspens

due pour 20 minutes.A 3 heures 25 le conseil art'. eh

séance.L'audition des témoins sur les opé-

ratious militaires du 13 au 19 août estreprise.

M. le président - Faites entrer M. legénéral Ladmirault.

(Pierre-Anato-Le général Lotionnaitle), né à Paris, est âge de 65 ans. Il fait

sa dépoeition.

lut. le général Ladmirault. - Jusqu'au13, le maréchal Bazaine avait eu lestrois premiers corps sons son co niaa-dement. A partir du 13, 11 était généralen chef.

Le général Ladmirault rend comptedes bacilles successives du 14, do 16 etdo 18 août. Le 14, il :avait déjà quej' ennemi avait à Sainte Barbe une ar-més presque entière. Le 14, de la partde l'armée française, le mouvementc mmenpa à midi. Dés le matin, le gé-ciral Ladmirault avait rencontré les pas-De ennemis. Ne.. avions eu oppositionle général Strinmatz et devant moi legénéral Menteulfel. A 4 heures me troi-sième division était fort engagée; letroisième corps ég lament. Mon erlil-terie de réserve prit

fià l'anime. Jus.

qu'à f heures nou. fûmes fortement ea-gagis.

L'ennemi fut .p....é jusqu'à 10heures du soir. J'avait le dessein decontinuer notre avantage. Mais j'avaissep. l'ordre de passer aur la r' e glu.clin. J'employai toute la nuit à

passve

ersur celle rive. Je voulus poursuivre 1.route, mais l'emeumbremeet des baga-ges et dee troupes m'en empêcha. J'en.royal au maréchal demander eu que j'arais à l'aire. Je me conformai à ses or-dres.

Le général Ladmirault indique cequ'il f i le 15 et comment il prit plattin. du côté de Cmsy eu se dirigeantsur [Innocent.

Le général Loreacey lie put pas avan-

t. La général Ladmirault demanda

d'en dispesm. Il mi disposa. Plusieurs pain! où il devait arriver. Il lui fut ré-corps d'armés de l'ennemi ont se pondu affirmativement, Il dut prendrebriser contre la 4- division du 5 corpset la ire division du Je corps.

Ver. 7 lieures,7 heures 1/2, la f corpset le 4 corps avaient faibli. Le maréchat l.eb,nul vint au secenn de l'ailedroite. Jwquaprés minuit et 2 heutresdu matin les troues ennemies ûrun lesplus grands efforts contre le 3 corp. etles araires corps commandés p.r le maré-chal Lebmuf. Le maréchal Balai.. loiordonen de se replier après 'e voir reçu

D.- Vous avez, le 15, engagé la tête série de questions concernant certains suite de l'encombrement il lui fut im f). _- Avez-vous veillé à ann. xéeu-de votre corps d'armée sana attendre le détails stratégiques sur les opérations possible d'achever le mouvement outil lion P4 corps. militaires du 16. Le témoin répond onze heure. du soir. Le lendemain (15), B. Oui, j'ai envoyé dru officiera

B. - Oui. qe' l avait acquit la conviction que l'en le général are voit vers onze heure du pour quo tant se rit selon la volout! ditD. - A ce moment il y avait déjà uemi voulait tourner nos troupes. matin a Rezonvilie, d'où il pouvait ee maréchal.

de l'encombrement sur les ronces. Un juge dam a. le si après la bataille rendre facilement a Man la T lac, vers Le président invite le témoin à se er-B. - Ovi, pur suite des équipages du de Burny l'armée pouvait prendre, le 15, midi, il enleo tif du esuo. du côté dn tirer,

4 corps, qui se leooeèee°t placés entre la route de Verdun. Mars la Tore. Déja il savait que l'en- L. séance cet levée à 5 heures 35.4oità comment R,-Jr le crois. uami était signalé dans les environs. A demain, midi titillai, la prochainema 2 et 3 diviinss o ,

aions furent cenS- D. - Après les renforts que vous Le 16, la bataille s'engagea. Peuda.t séance.deux de mes di vi

rées. ' veniez de recevoir, pouviez-vons eepeeo- 4 heures, le 2 corps, cummaodi par le I

Une salez division fut également ev. dre Mars-la-Tourlardée par les équipages de pont de l'i- Ii:- Je se dis pas que j'aurais réussi,rat.major général. , mai, je n'aurais pas hésité à le faire.

D. - P u r nus que le 1G et le 17, D.-L'armée p av ait.elle continuer sail eût été f,ciie nu tout au moine posai. marcha a e Verdun sons craindre une

Yble de reprendre Mars-la Tanin et Vice-' attaque sur son fanevü R.- Si autre mouvement avait réussil,R - Je ne puis ici donner ma. ici- le résultat aurait été immense; peut.Sire

pression que sous toute réserve. Pour même .aurions.nous pas eu besoin de.ai 1

j'étais d'avis de recummemeur marcher sur Verdun. Mais ou ne peut'n cals né-m . . jrJ rien préjuger.1. ].il. dés Ie tandem

tais pas commandent eu chef. Eu ré- U. - Quand avez-vous appelé la gar-sumé, il n'y avait pas iospus.ibllité, de Ymais il eut l'alla beaucoup d'audace. R. - J'avais un avantage lrés-marqué.

'est que vers 6 jheure1 que je de-D. - Vous avez dit que de.. la leur- Cunée du 18 vous vous attI.diue à être mandai d'être appuyé parla fessu. Elle

attaqué sur la droite. .mira, mais un peu lard.R. -Oui, M. le président. D. - Le mouvement de retraite du11. - Vous avez parlé il'.. ordre reçu 6" corps avait eu déjà lie.,

le matin du 19 pour ecouper certaines Il, - Oui, depuis loagiemps déjà.positions. Pouvez vous vous rappeler D. - pouvait-u., le 19, recommen-l'heure de l'ordre 4 ces uon attaque et reprendre lestotal-e

crois que l'ordre de me Il. Bous de Suint.Privat '?plier ma été donné entre minuit et uoe R. -tend puis le préciser.heure du malin de.. la nuit du 18 au Le général Ladmirault est ensuite lu.19

août. ramagé sur les divers ordresqu'il

a ru'M. le commissaire du gouvernement. çne. Le général a été informé des di-

- M. le maréchal Lebmuf peut-il préci- verses positions qu'il devait prendre.

plusieurs fuis si Duncourt était bien le

le ruai. par Wappi et il indique com-ment il soutient brillamment plusieursattaques de l'ennemi pendant la jour-née du 1f. Les divisions Ciasey et Le-grand furent follement engagées; celledu général Grenier ne cessa pu. de l'é-tee. La division

Lacsacey lie joignit les

troupes du général ad.ia.it que il...ta ..il du 16 au 17.

Le 18, nouvelle bataille. De onze lieu.

reaàsieheures ai étébeaucoup p plussl'avis que les oupes aoariient .u- , s rôié do

11,

aanin1. , le

G corpsIlu Il t mai

tilement sain der positions difficilga. e. vif dfaud du eu ouen LI, le 6e corpsmaréchal Lebmuf laissa des g,and'garde se

défenditavec un courage admirable

aur les plateaux et il se relira eu arrière jasqua la dernière extrémité. Le géré-des e,èlca, pour m6oager les oldats et tel Lait Il lui envoya spontanémentles garder pour nue nouvelle affaire. nu escadron de renfort. En .aime, les

Le président aprés avoir remercié le perles forent ompeuaéea de part ettémoin de ss déposions, lui demande si d'autre. D'ailleurs l'ennemi .'occupal'empereur lui a fait part des ordres . p.. immédiatement la position de Stdonnés par lui au maréchal Bazaine, Priver.

N.- Non, j 4 président adresse au témoin une

D. - Pensez. vous qui un de ces or-dres était l'abandon de la route deBriey P

IlR.- n'yavail pas à s'y tromper,La dépe ilion actuelle do géséral Lad-

mirault est terminée.M. le président. - Appelez le général

Bourbaki,Le général Bourbaki, âgé de 57 ans,

domicilié à Lyon,ginéeol de disisioo,faitsa dépoeition sur l'a mêmes faite di 13au 19 août. Le 14 août au matin, il te-ç

r laMordre

otelleeIlpasser

mo°tardo côté do fortdes Boites et du côté du fort de Qneulun.A 4 ou 5 heures du malin, le généraiétat sur la rien gauche : voilà pour labataille de Bal, y, Le général Bourbakirend compte ensuite de es qui Inooucer-

e dans la bataille soins te, celle du16.plaLe combat s'engagea ; la garde pritle ce qui lui avait été assignée.

A 2 boules do malin le général reçutun billet qui lui ordonnent de revenirsous Mets. Le général dit que l'.. nepouvait voir une figure plus calme quecelle du maréchal Bazaiue pendant lesjournées do 14 et de 16. 11 était tou-jours en première ligne; c'était mimeun peu gênant pareil que on ne savait oùle trouver. Le général Bourbaki passeensuite à la journée du 17. La maréchalétait presque toujours oas premièresligues. Ou s'adressait beaucoup à lagarde, qui .,était lpas nombreuse puis'quelle n'avait que 13,OW hommes. Lagarde soutint plusieurs corps ilclés.

.,.et que e six heures fl4 qu'ilfit vin meuvemnul pour ee placer etreSaulny et Suint Privai. Là il vit qti il yavait pas de saucée, Oa aurait mieuxfait de loi dire la vérité, car c'était ris-quer les grenadiers qui n'était pas alorsappuyé. par l'artillerie,

àhait heures 40

Si Privait n'était pas occupé. Un peu plustard; il reçut l'ordre de prendre se. can-tonnement.

D. - Avez v.a. reÇa l'ordre de ...te-nir le maréchal Cunrobert Y

B. - Je n'ai reçu v invitation dumaréchal Casrobert si ordre do com-mandant en chef. J'ai reçu une invita-tion du général Ladmiraultetje m'y ren-dis.

D. - Par le fais, vous e dispoaieque d'une division de grenadiers. Et

ce

'étau quo pour cette divisai. que vauaétlis libre P

B.- Je n'étais pas absolument libre,dés

for,que le maréchal était à côté de

moi. Je se savais pas les c dres gêné.taus. Cependant j'étais libre de me gui-der suivant les circonstances.

D.- Un de MM. Iesjuges me demsn-de ai, après la bataille de Burny, on pou-vait prendre la route deVerdua dans lajournée du 15.

B.-Le partie de l'armée placée sur1.

'iragauche pouvait peut. être le

faire; mais je ne puis rien préciser.M. le commissaire du fouvernemenL

- N'avez-vons pas volé le général

Dauvergne au général lumens pour avoir

des nouvelles du moréchul Bazaine.R.- Oui 1 De Plappeville j'ai envoyé

le général Daseergue a cet ellet ; mais

le général Jure us n'.,ait aucunes nou-

velles précises à me donner.M. le président. - Mans la nuit du i6

unir e'avez.vou. pas reçu une indice-lion que vous deviez voua replier surMetz P

B.- 0°i, j'ai eu celte indication.D.- Vonsavee eu aussi dans la soirée

du 18 au 19, l'invitatiou durcir à ire.prendre les campements que voue aviezoccupés le 18.

Il,- Les 17, 18 et 19 .ous sommesrestés sir .os campements, et ce .'cet,je crois, que le 20 que j'ai reçu l'ordrepositif de nous replier sous Metz. Jepuis me tromper d'une data et prendrele 20 pour le 19. Mais, à us jour prés,mes souvenirs sont précis.

Aucune autre goeation sur les opéralions militaires do I3 au

49,

mit 1870n'est faite au général Bourbaki, quie retire, e restant du reste a Iv

La conférence internationale pour laréforme du droit des gens a été ouvertevendredi, à Brucelles, et close lundi der-nier. Trois jours ont été consacrés aux

délibérations.

L'Angleterre irait dignement représen.rée par sir Travers Twiss, ancien avocatde la reiee; par M. Montagne Bernard,Professeur à Oxford, l'un des négocie-leurs du usité de Washington, bien, con-nu à Genève pour as parlicipatien au tri.banal arbitral de l'Aloénma ; pur AI, ,,en-kins, l'un des avoeals les plus considérésde I.ondrea; par M. Sheldon Amos, po-f' sseur à l'llnreenité de Londres ci

aurx

lune o(couru; enfin par M. Berry Ri-chard, membre du Parlement, présidentde I, Sooiété. dé la paix.

M. Dudley Pied, auteur d'un projet deCode foie ...tim al, était venu des Emts-Unis; M. Blunlechli, d'Allemagne; MM.Canchy, Massé, Frédéric Passy, de Fran-co; MM. Mancini et Fiers nlo°i, d'Italie;M. Préhius, membre de la seconde Cham-bre des Etaa-Généraux de Hollande.

Les Belges étaient eelmiermenl peu.ombreux; nous culerons M. eh. Rogier,M. de Laveleye et M. Bounon, directeurdu Moniteur,

Le résultat des discussions fort iaté.eesmntes qui

IL

sont engagées autourdes deux principales questions du pro-gramme, savoir celle de la codificolioudu droit des gens et celle de l'arbitrageinternational, a été l'affirmation, ce prin-cipe, de l'opportunité de ces deux ré-formes : lu rédaction d'uu Code de droitinternational a été déclarée désirable,ni, qua.t à l'arbileagr, la résolutionsursaute a été prise à l'unanimité

s La conférence déclare qu'elle re-garde l'arbitrage comme un moyeneesentielleme.t juste, raisonnable etmôme obligatoire de terminer les diffé-re.ds eotre les nations, lorsque lesnégociations n'lurent pas abouti,

« Elle s'abstient d'affirmer que, danstuas les cas, sous excepl[uo, le moyenest praticable mais elle croit que maexceptions sont peu nombreuses, et elleest fermement convai...c quaucun dif-férend ne doit être considéré commeinsoluble, à moins qu'on .,ait définid'une façon précise le litige, qu'on n'aitusé d'un délai Convenable, et qu'onHait épuisé loua les moyens pacifiquesd'arrangement. a

Cette résolution, d'eue joueur sage-ment élastique, est l'reuvre de M. Ber-nard. Le. mois « et même obligatoire, ene sont cependant paa_ de lui, mais de

disposition du conseil pour ses dis. - Alors les ordres du 18 au 19 août a `"""c'"'positions ultérieures. ont été indépendants du rapport qu'a dû Relativement aux relations cilla' cou.

Le général Frossard est introduit et mira la colonel Jarras. férence avec L'Institut internationalqui s'est fondé à flood ,1 y a un mou , ettéta serment. Le général Jarras e ordres ont du

é éden et M.Ip t M. Mancini est r s t;

donAprès les émoins d'usage; le préso- être indépendantsde

e0e

rapport et don. Blunlschli l'un des vice -président. , ladeus invite

lee

ttémoin a Déposer aur les nés indépendamment

ddu réaullat de I.

conférence a déclaré :opérations miliaires lie 12 août au 19. habille eh 18. s Qu i est ew1Snne a. bat stil lïnfé-Letémoin es pose quelee 12 il a reçu M. Lachaud demande ai le géséral

rét des deux associations tant e.!'ordre de pousser le plue rapidement louas Lia pas reçu le 13 un ordre avers que, n

possible sur la rive gauche de ,a Motel long et relatif aux .arabes des divers gardas réciproquement leur indépen-

le. Le 14, il reçut l'avis que les ponts corps. douce, elles se prêtent assisamu, mut.,i.

étaient. prêts et il ce mil en mesure le. - Je me rappelle avoir reçu un I le que, par non but et as composition

d'exécuter son mouvement, mais par ordre,l'institut

parait réunir les conditions né-

général Frossard, soutint vigoureuse-

ment le choc de l'ennemi, bien qui il eût M. Targel, député du Calvados, vient

eq uiété assez aérieuaemant éprouvé dans lai é r ' ' t alemeun ber inut imd 0 ,-muett

leou é d 6 t- é i al demanda aumaréchal si une charge de cavalerie ne se 1 pérativrmecl eu demeure de si, proiton.

rait pas opp toue. La maréchal fut de !car pour ou cus'eo la Répcbligne

.Lavis millet décidé. qui un régiment Messieurs,de lasciers appuyé par les cuirassiers,

Je v iens de recevoir votre lettre cfinnserait lancé sur l'ennemi. Mais à la suite fiJ 1:i octobre -d un premier aaceés, ..a troupes ce d'hado1

et e

; quq.t

noiqduue

ntje

exu.i ,d..gI,. d'être envelappéea par le..1hum,J au été il, , un instant de n us ré-se virent obl' é s de rite, rader et le

maréchal donna l'ordre de gramener enarriére les deux divisions du 2- corps.

Le général 'cossard termine eu dépo-'llun, eu ce qui concerne la bataille de

Bel...ille, par le détail des mesures qui

poudre que par le silence. Vous parases. vons arroger le droit de me dictermes actes et m votes future; à tortou à rafsou, je ne reconnais ce droit à

personne.

l à l' d'Q t èma que ,apr sforent prises ; puis il passe à la bataille jengagemendu 18. Le 2 corps avait subi des pertes vous, j'sursis pris eu septembre 1870 et

idérables. Le 18, il devait aller du meure lo Répabtiq deue, toujours et quand

côté de Roeeeeuiles et de Moulins. La méme, an-dssus lie qu. .parait en-pueilion ,. o adent cette journée jourd'hou, à plus duo honnête homme,

était des u i.nomme le seul moyen de sauver la

Le 2 corps faisait ia gauche; il était France et de loi rendre des alliés enplacé à la gauche du maréchal Leboeuf. Europe, je le nie de la manière la plusC'étaieul les 7 et 8s corps allemands formelle. Je n'acceptera! jamais de av-

qui combattaient le R corps; c'étaient dot impératif, et si j'evaiaeu la faiblesse

les mémos ennemis que le général Feus- den accepter un en 1870, je me délie-mrd vair trouvés devant lui dans la rais des obligations qu'il m'imposerait,journée du 6 août. La connaissance qti on en douant, mon retard, mn déclin.arait de ce tait, donnait beaucoup d'eni- ai je ti hisile cependant pas à vous diremotion aux coupes du général. i à la I r les élerlenrU. - Cal ordre a-m il été rédigé avant de Ce suris

m'anplace

permin les ét perla cen.aissueoa de la fin de la journée ai'du 18 août. m ment où : engagreu le grand et sole,,

R. -Oui 1 Cet ordrela dû être donné et débat qui décidera de l'avenir de la

avant la outil la journée du 19 août. F once. Vous9Ira serez bon que je neD. - Vous avez reçu dans la Liait do épande pas certaines autres parties

14 au 15, l'ordre de ne pas avaacee aur de votre lettre et vous voudrez Lion,Mars la Tour et de or pas dépasser J'ose l'espérer, attendre mes actes et mes

llet...ille, votes, pour les apprécier et les juger.

R. - J'ai attribué cet ordre au retard J'entends donc, messieurs, conserver

apporté danois marche de certaiua corps a libertés baolue de man vote, dussé-

pur la batailla de Doruy. je perdre diûoitivemeot votreAprès quelques mots relalifsà l'eanom N'êtes vous'pae après tout; au nombre de

brament cause par les bagages et les de ceux qui sa sont ingénies, depuis quel

autre. impidimeula destroupes, lelgéné quel mois, à me Fréter dea pensées etval Frossard se retira. Il sera appelé u!' des projets que n ont motivés, ni montéeieuremeot. langage, ni mus stil mode y

Le général Jarras, fait ensuite sa dé- Ceux qui me connaissent savent que;posit a sur les opérations militaires do ai je Buis résolûment dévoué aux inté-13 au 19 soûl. Le général Jarras 'udi- têts eusuervateurs, à trop juste titreque ce qui s'est passé dans la bataille du ,armés, je o abandonnerai jamais le14; les mouvements ordonnée le limait- drape qui est le symbole de tontes lesmai. de cette bataille, les ordres qui conquêtes modernes. Pour tout le lest.ont été doués pour la bataille d. 16. Je g,rderai le silence, et vans m'apIl parle des divers r tarda qui cet été réservereà'ade en e pus ma départir d'un.

mis dans l'exécmion de ces ordres à la que je suis tenu et que jesuite de la bataille de liés ouvfile arrivent n u, peut.être pas conservée assez enru-les préparatifs pour la journée du 18. puleuseme°t aajourd'hum,Le général Jarras entre dues les détails Je vous prie à mon tour, messieurs,de ces direnea jouroies au por dn vue d'agréer mes biens aivcérea salua-de l'état major général cet

derlaineleuc.tuons.

fions données pur le maréchal Bazaine, PAUL TA5OBT.

D.- A quelle heure a été donné l'or- Wa,dre pour les mouvements du 18 au 19août P

R.- Je ee pots préciser l'heure.D, Arez-vaua votre carnet d'ordresPIl. Oui, monsieur le président.D Je usengage à rues référer à

çacoarn

rnet, do consentement toutefois dela défense et du commissaire du gourer.Liement.

R.- Les nous, ..et un peu ,coofases,maisje puiale. consuner.

Le général Jarras, s'en référant auxordres vc,bIiix'écrits sur son carnetrappelle ces différents ordres depuis le1'i août.

D. - Je reviens à l'ordre du 18, quirègle les emplacements que devaient nu-caper les corps le mati. du 19 août. Cetordre a-t-il été rédigé aprés la recon-etusesoce du colonel ILewaltB. - Cet ordre a été donné eprèsle

retour de la mix.iou du colonel Lewal.Il a du être rédigé dans 1. soirée du 18.Le colonel Lewal était rentré vers 5heures.

Le général Frossard iodique commentü a miaeuu aes positions le 18.

D. - Vous avez reçu dans la nuit do18 au 19, l'ordre de vous replier.

R.-J'ai reçu cet ordre. J'occupaisslors du côté de Longeville la montagnede Chdtel au pied des défilés, et j'étaieappuyé par les forte de Saint-Quentin.J'étais un peu en avant de la ligne desfurts, environ à 7 on 800 mètres. J'ai onupé cette poaitioa presque dans la nuit

do 25 au 26 août. C'est la position que-j'ai co°senée depuis le 19.

Diverses qumlioes sont adressées en

cors au général Jarras sur les ordres ren-fermant les i dicatines des routes que

devaient prendre et des emplacementsque devaient occuper les différents

corps,

Le général jarres n'a eu à s'occuperao commencement que de la rive gauche.Quant aux corps do la rire droite legénéral Jarras .'.,ait paa à son préoc-cuper; la maréchal devait donner ces in-dication par lui-même ou par le généraiManége

M. Ie col ire du gouvernement.- U. colonelLuLewol rat rentré le 18

vers 5 h. de sa reco...instant. Il a dûdonner de. nouvelles de la bataille.

Le général Jarras. - De ce qu'il arapporté ,jan ai conclu qu il n'y avaitrien de grave. Le colonel Lewal voilàfaire une noeasuaiessnce11 pouvait igen ver ce qui se passait macertains points

M. le commissaire du gouvernement.

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 4: Pimages.jdt.bibliotheque.toulouse.fr/1873/B315556101_JOUTOU_1873_10_23.pdf · Meus YAVAA LAI i an .1, a m, imae de tm tTRANIIER Les frais e pplém ntairua de posa en s Matin, (dsrecq,

sectaires pour constituer un sénat de Jean Baptiste Marie Troy, comptable, leerière Bu Rarry, qui combat aune suc-juristes spécialement apte à faire les et lenny Juliette Adèle Sais a, à Acte. réa sans médecine, ni purgea, ni frais, lestravaux préparatoires, indispensables rive. dyspepsies, gastrites, gastralgies, glai-pour amener la réception et la promut. Guillaume Décany, rue du Pari-La- les, vents, aigreurs, acidités, pitui-gation d'un

Codede

droitinternational; rand, et Marie Bosalie Regeabeau, grande tes, nausées, renvois, vomïsaemevls,

que de son côté, la conférence se résr,,e ,rue $tMichel, 97. constipations, diarrhée, dissenterie, eu-tl'examiner à tous les palais de vue, et Ms'il Antonin Piquemal, place Ae. tiques, toux, asthme, étouffements,spécialement au point de vue politique muai-Bernard, 10 et Marie Gsuzjas, plu- oppression, congestion, névrose, insom-et social, les résultats de ces travaux ce Arnaud-Bernard, aies, ainaturelle, diabète, faiblesse,comme aussi de délibérer et d'agir, suit Louis Tuléry, quartier St-Roch, et platlsisie, tons désordres de la poitri-ea attendant quelle puisse se livrer à Ilenriette Pourlaoinel allée ne, gorge, haleine, voix, des bronches,cet examen, soif à toute autre époque, marie Auguste de Fumet, rue Nage, naisse, foie reins, i festins, muqueuse,mais eu évitant las doubles emplois, de 16, et deamne Marie Ursule de Poyferrl, cerveau et sang. 175,000 cures, y com-la manière qui lui paraîtra la plus cou, à Mont-de-Marsan. ' "pris celles de S. S. le Pape, le duc deforme au développement de l'humanité

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(827)

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SPECTACLES DU 23 OCTOBRE 4675

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Le 23 octobre 1875 à 7 h 314,

La dsme aux cam far, de. eu E oct.Une tasse de lIe, comédie en f orle.

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Tous les qu,uv j p 1su p I et par iarresponda..o P t:. d, la France. Lae Ies paquebots de. In lipax Cnusrd atlrs chemine du fer,eprualanuo s'elan[Umpaife Je

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Le lic e.,t ér IBORDENEUVE i d V0T1 Oa94 A Vendre,pub p quo Guérison et S i é dan

l'adjudication du bailàfermo, i H ER NI ES. soulagement d 1 vr i d Ot S U C rUIlE DE NOTAIREdes droits établis sui ce pont,aura lieu le 25 octobre 1875,à

e heure de l'apré+m,di eul'élude de àlc LACIIOIX, notaire à Muret, (1324)

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