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1 Marion A. 3 ème E

Marion A. 3 E - clg-mauldre-maule.ac-versailles.fr · En salle, appelée également SAE (Structure Artificielle d’Escalade). L’escalade se fait sur un mur profilé ou constitué

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1

Marion A.

3ème E

2

SOMMAIRE

I - Remerciements………………………………………………………………… Page 3

II - Lieu du stage…………………………………………………………………… Page 4

III - Objectifs du stage……………………………………………………… Page 5

IV - Déroulement de mes journées de stage

et mes moments forts…………………………………………………. Pages 6 à 8

V – Le canoë …………………………………………………………………………… Page 9

a) - Lieu, matériel et équipement……………………………… Page 10

b) - But de ce sport…………………………………………………….. Page 11

c) - Règles de sécurité ……………………………………………… Page 12

d) - Origine de ce sport, son implantation

et les pratiquants…………………………………………………. Pages 13 à 15

e) - Mes raisons d’aimer ce sport……………………………. Page 16

VI – L’escalade………………………………………………………………………. Page 17

a) - Lieu, matériel et équipement……………………………. Pages 18 à 24

b) - But de ce sport……………………………………………………. Page 24

c) - Règles de sécurité………………………………………………. Pages 24 à 26

d) - Origine de ce sport, son implantation et les

pratiquants………………………………………………………………….. Pages 27 à 29

e) Mes raisons d’aimer ce sport……………………………… Page 30

VII – Mes impressions personnelles……………………………….. Page 30

VIII – Photographies…………………………………………………………. Pages 31 à 34

3

I - REMERCIEMENTS

Je tiens à remercier Monsieur DIMON, mon professeur de

sport pour l’organisation de ce stage à Clécy, ainsi que

Madame Bidet et Baptiste Champion pour leur

accompagnement et leur investigation envers le groupe.

J’adresse un grand merci à Romain, Tristan et Mickaël, nos

moniteurs pour leur pédagogie, leur patience et pour avoir su

nous transmettre leur passion.

4

II - LIEU DU STAGE

CLECY est une commune située dans la région Basse-Normandie, et

plus précisément dans le département du Calvados.

CLECY est la capitale de la Suisse Normande, au cœur du Calvados,

dans la Vallée de l’Orne. Elle est comparée à la Suisse parce qu’elle

possède des paysages verdoyants et escarpés, inhabituels dans cette

région.

5

III – LES OBJECTIFS DU STAGE

Les objectifs du stage étaient de nous permettre de découvrir deux

sports : le canoë kayak et l’escalade.

Nous avons découvert une région escarpée avec des reliefs

particuliers permettant l’escalade.

L’Orne qui traverse ce village en eau calme permet la pratique du

canoë.

Ce stage nous a fait découvrir des sports particuliers en équipe et de

respecter les normes de sécurité.

Il nous a fait comprendre l’intérêt d’un sport en collectivité et du

plaisir à le pratiquer ensemble et dans une bonne ambiance.

Attentifs aux consignes pour l’escalade

6

IV – MES MOMENTS FORTS ET MES JOURNEES DE STAGE

▪Mes moments forts ont été la descente en rappel du viaduc et le

V.T.T.

La descente en rappel car j’ai très peur du vide et je ne me sentais

pas capable mais j’ai réussi à descendre en rappel.

N’ayant jamais fait de VTT, je redoutais ce moment en raison des

chemins humides, encombrés de racines et de gros cailloux et

escarpés puis pouvaient me faire déraper. Mais mes efforts ont été

récompensés par le spectacle merveilleux du paysage.

▪Mon emploi du temps :

Mercredi 9 Octobre Jeudi 10

Octobre

Vendredi

11 Octobre

6 h 15 R.V Collège

8 h 30

9 h 30

Arrivée à CLECY Pt Déjeuner

Toilette

Pt Déjeuner

Toilette

9 h 30 – 10 h Répartition des

groupes

Musculation

10 h – 11 h Canoë Canoë V.T.T

11 H – 12 h

Canoë Canoë Descente en

rappel

12 h – 13 h Tir à l’arc

13 h – 14 h Pique-Nique DEJEUNER DEJEUNER

14 h – 15 h

15 h – 17 h Escalade Escalade Départ de

CLECY

17 h – 19 h Pause Pause Arrivée à

MAULE

19 h – 20 h REPAS REPAS

20 h – 21 h

21 h – 22 h

Préparation cross

Danse

Rapport de la

journée

Danse

7

▪Déroulement de mes journées :

Mercredi 9 Octobre :

6h45 :

Départ du collège pour CLECY dans la joie et la bonne humeur. Nous sommes arrivés à CLECY à 10 h et nous avons admiré ces

magnifiques paysages.

Après s’être installés dans les vestiaires et s’être changés, nous

avons fait la répartition des groupes (1, 2 et 3) et j’étais dans le

groupe 2, mais le groupe 3 nous rejoignait pour chaque activité. Nous avons commencé les activités par le canoë.

Nous avons appris à reculer, à tenir en équilibre debout sur le canoë

et à tourner en rond et pour la fin de cette épreuve, nous avons tous

fait une descente.

Descente en canoë

Nous avons pique-niqué sur place et pendant notre période de

détente, nous avons appris les pas de danse pour préparer la

chorégraphie du cross à Maule.

8

A quinze heures, nous avons écouté les consignes pour pouvoir

escalader des rochers abrupts après nous être équipés en

conséquence.

Après le dîner, nous avons préparé le cross de Maule en répartissant

les tâches à chacun.

Jeudi 10 octobre :

Baptise, notre surveillant du collège, nous a réveillés en douceur avec

de la musique. Après le petit déjeuner, nous avons fait de la

musculation pour être échauffés pour faire du canoë pendant 2

heures.

Après le déjeuner, nous nous sommes à nouveau équipés pour faire de

l’escalade sur les rochers.

Le dîner terminé, nous avons eu le temps de rapporter par écrit notre

journée, puis nous avons terminé par la danse.

Vendredi 11 octobre :

Comme la veille, nous avons été réveillés dans les mêmes conditions

par Baptiste.

Notre groupe a fait du VTT après le petit déjeuner. Puis nous avons

tourné avec les autres groupes pour faire de la descente en rappel

sur le viaduc. Nous avons terminé notre matinée par le tir à l’arc.

Après le déjeuner, nous avons présenté notre chorégraphie aux

moniteurs.

Puis c’était du départ en bus pour rejoindre Maule à 18h30.

V – LE CANOË

9

Canoë sur la Dordogne

Canoë sous le Viaduc de MILLAU

Canoë sur l’Orne à CLECY

10

a) Lieu, matériel et équipement :

- Le canoë se pratique en loisir (tourisme nautique, pratique

individuelle ou associative) ou en compétition, dans les milieux

d’eau calme (étang), d’eau vive (rivières) et maritime (mer).

- Le matériel nécessaire est d’avoir une pagaie simple pour le

canoë et une pagaie double pour le kayak.

- Pour pratiquer dans de bonnes conditions le canoë, l’équipement

personnel est constitué :

d’une pagaie

d’un gilet de sauvetage

de chaussures de sports fermées

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b) – Le but de ce sport est de nous montrer l’utilisation de la pagaie,

se propulser en corrigeant sa trajectoire dans l’eau, de garder le cap,

monter et descendre du canoë et de rester en équilibre.

C’est un sport collectif ou à deux. Il nécessite une bonne entente.

En canoë-kayak, il existe deux épreuves :

- la course en ligne « eau calme » : -

C’est tout d’abord dans sa version « eaux calmes », en ligne, dans des

couloirs, sur des distances de 500 et 1 000 mètres.

Les courses en eaux calmes qui se disputent aujourd’hui dans les

mêmes bassins que l’aviron, mettent aux prises les hommes sur des

embarcations monoplaces, biplaces et quadruples en kayak,

monoplaces et biplaces en canoë.

Les femmes ne disputent que le kayak en monoplace, biplace et

quadruple.

- la course en eaux vives :

Le canoë-kayak en eaux vives est aussi appelé « slalom » : les

concurrents parcourent 300 mètres en négociant de 20 à 25 portes

dans des eaux turbulentes.

12

Toucher, rater une porte ou ne pas respecter l’ordre de

franchissement entraîne une pénalité en temps.

Emportés par le courant de l’eau, tout le talent des « céistes » et

« kayakistes » réside dans leur capacité à ralentir, s’arrêter,

contourner obstacles et portes, à faire corps avec leur embarcation.

La discipline est devenue olympique aux Jeux de MUNICH en 1972.

C) - Les règles de sécurité en canoë-kayak

Pour assurer une pratique en toute sérénité, il ne faut pas négliger

l’équipement.

Le plus important est le gilet de sauvetage.

Voici les quelques principes de base à suivre pour la pratique du canoë

dans le respect des valeurs fédérales.

Il souligne les comportements à adopter lors de chaque sortie en

canoë-kayak.

La préparation :

- Etre en bonne forme physique

- Consultation de la météo avant de partir

- Information du niveau de difficulté, des éventuels dangers et

des délais prévus pour réaliser un parcours

- Information et respect de la signalisation en eau vive, en eau

calme et en mer

Equipement :

- Choisir un bateau adapté à la taille, à la technique et au

parcours souhaité

- Utiliser un gilet et un casque aux normes, ajustés à la taille

- Adapter sa tenue vestimentaire aux conditions climatiques et à

la durée de la sortie

13

- Avant de partir, prévenir une personne du lieu et des horaires

prévus de navigation

Navigation :

- Ne naviguer jamais seul,

- Choisir un parcours adapté à ses capacités, à celles du groupe

et aux conditions de navigation

- Connaître les codes de communication sur l’eau

- Etre très vigilant à l’approche des obstacles artificiels

- Porter assistance à toute personne pouvant se trouver en

difficulté

Respect de l’environnement naturel :

- Ne pas laisser de trace de mon passage sur terre et dans l’eau

- Respect des zones sensibles terrestres et aquatiques (haltes

migratoires, lieux de nidification etc…)

Respect de la santé :

- Connaître ses limites

- Etre attentif à la qualité de l’eau sur laquelle a lieu la navigation

- Savoir nager

d) – Origine de ce sport, son implantation et des pratiquants :

▪ Les origines du canoë (pagaie simple) et du kayak (pagaie double)

remontent à la nuit des temps.

Les habitants d’Amérique baptisés « indiens » par Christophe

COLOMB lorsqu’il aborda ce continent en 1492, pensant toucher les

rives de l’Inde, utilisaient depuis des milliers d’années des canoës

pour chasser, pêcher et voyager.

14

Mais on trouve aussi des traces anciennes de ces embarcations dans

les Iles du Pacifique.

Un canoë vieux de 6000 ans fut également découvert dans la tombe

d’un roi Sumérien au bord de l’Euphrate.

Le kayak était pour sa part le moyen de locomotion des peuples du

Grand Nord, Inuits et Esquimaux vivant dans le Cercle Arctique :

Nord du continent américain, Sibérie, Groenland…

C’est une fois de plus en Angleterre au XIXème siècle que le canoë-

kayak devint un sport.

▪ Les pratiquants du canoë :

Les sports de pagaie attirent un pourcentage non négligeable de

femmes que l’on pourrait encore améliorer :

- pourcentage des licenciées à la FFCK : 28 % en 2005 (6659)

- pourcentage de sportives de haut niveau en canoë kayak dans les

listes ministérielles : 24 % en 2005 (49)

La Fédération Française de Canoë-Kayak est créée en 1932.

Elle compte plus de 32 600 licenciés, dont les 2/3 ont plus de 16 ans.

15

Quelques champions :

Tony ESTANGUET, 35 ans, est un spécialiste du canoë-kayak.

Il a tout gagné : champion de France, champion du monde et surtout

champion Olympique :

- en 2000 aux jeux olympiques de Sydney

- en 2004 aux jeux olympiques d’Athènes

- en 2012 aux jeux olympiques de Londres

Une femme : Emilie FER, 30 ans, sportive française pratiquant

le kayak slalom. Elle est sacrée championne olympique le 2 août

2012 à LONDRES et championne du monde à PRAGUE, le 15

septembre 2013.

16

e) – Mes raisons d’aimer ce sport

Ses qualités : beauté du paysage, découverte de la faune et de

la flore, le calme

Accessible à tout le monde, la pratique du canoë-kayak est parfaite

pour contempler les paysages sous un autre angle : découvrir la flore

et la faune paisiblement ou tout simplement pagayer à son rythme au

milieu des poissons.

17

VI – L’ESCALADE

Viaduc de CLECY

Escalade à CLECY

18

a) – Lieu, matériel et équipement :

L’escalade est un sport d’une grande beauté.

Il allie la finesse et la force, dans des cadres souvent grandioses.

C’est un sport de caractère.

Il s’agit d’évoluer sur une surface verticale en utilisant ses pieds et

ses mains pour progresser et atteindre le haut d’un mur artificiel,

d’une falaise ou d’une paroi.

La varappe est l’ancien nom donné à cette pratique.

Où pratiquer l’escalade ?

En salle, appelée également SAE (Structure Artificielle

d’Escalade).

L’escalade se fait sur un mur profilé ou constitué de plaques de bois

où des prises en résine y ont été visées.

L’escalade en SAE est un très bon outil d’entraînement pour

pratiquer ensuite en site naturel. On y apprend les différentes

techniques de grimpe, d’assurage.

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En site naturel

Les sites naturels offrent une escalade extrêmement variée.

Depuis de simples blocs de quelques mètres de haut, aux falaises de

plusieurs centaines de mètres, on peut grimper sur différentes

roches : granit, calcaire, grès… Chacune d’elle présente un intérêt

particulier et permet de développer des techniques propres.

L’escalade en falaise, plus technique mais souvent moins physique

qu’en Structure Artificielle d’Escalade, reste la pratique phare.

Le matériel nécessaire à l’escalade

L’équipement du grimpeur :

Un baudrier

Le baudrier (ou harnais) est sans aucun doute une pièce essentielle

de l’équipement du grimpeur. Il sert à distribuer les forces sur tout

le corps en cas de chute.

20

Le baudrier doit donc avoir une bonne position sur le corps et être

bien fermé.

C’est le lien entre le grimpeur et la corde.

Une paire de chaussons

Les chaussons d’escalade sont les accessoires indispensables dès que

l’on veut pratiquer l’escalade régulièrement. Ils vont permettre au

grimpeur d’avoir une bonne adhérence pour les prises de pieds qui

sont primordiales.

21

Il y a plusieurs types de chaussons adaptés aux diverses pratiques de

l’escalade :

Les ballerines : légères et très souples, conviennent pour

l’escalade en salle.

Les chaussons à tiges basses : entre la ballerine et le chausson,

convient bien pour l’escalade en salle et l’escalade en falaise

Les chaussons à tiges hautes : convient pour l’escalade en

falaise et la montagne

Une corde

La corde est sans aucun doute l’équipement le plus important en

escalade. En effet, elle va servir à relier le grimpeur et l’assureur

pour protéger le premier de cordée, c’est la « ligne de vie » en cas de

chute.

Les cordes utilisées pour l’escalade sont dynamiques, c'est-à-dire

qu’elles sont élastiques et vont donc pouvoir absorber une partie de

l’énergie mise en jeux lors des chocs ou des chutes en s’allongeant.

22

Aujourd’hui, les cordes sont à âme tressée et elles peuvent être de

types différents :

Les cordes à simple sont constituées d’un seul brin et sont

utilisées sur les voies courtes. Ce sont les plus utilisées en

escalade.

Les cordes à double sont constituées de deux brins et sont

utilisées sur les voies longues.

Elles sont utilisées pour les ascensions de grandes voies d’escalade,

descentes en rappel et alpinisme.

Une douzaine de dégaines et les mousquetons (2 mousquetons

reliés par une sangle) permettent au grimpeur de s’assurer

pendant la progression.

Elles sont employées dès que l’on ne grimpe plus en moulinette,

c'est-à-dire que le premier de cordée installe son assurage au

fur et à mesure de son ascension.

23

Lorsque l’on installe une dégaine, le mousqueton droit doit

toujours être le plus près de la roche ou du mur alors que le

mousqueton coudé reçoit la corde.

Il existe deux types de mousquetons, ceux à vis qu’il faut donc

fermer manuellement et les mousquetons de sécurité qui se

ferment automatiquement.

Un système de frein (descendeur, tubers, plaquette à ressort)

permettant au grimpeur d’être assuré par un autre grimpeur. A

l’époque, l’assurage se faisait à l’épaule, c’est-à-dire que le

l’assureur passait la corde autour de son torse pour arrêter la

chute de son collègue. Aujourd’hui, des systèmes de freins ont

été inventés.

L’assureur passe la corde dans le système puis l’attache, par le

biais d’un mousqueton à vis, à son baudrier, ce qui permettra de

freiner puis d’arrêter la chute du grimpeur.

Un casque

24

Une longe, appelée également « vache » : elle sert à s’auto-

assurer, c’est-à-dire s’attacher à un point scellé ou vissé sur le

rocher.

Un sac à pof : petit sac dans lequel le grimpeur met du pof

(poudre de résine) ou de la magnésie (hydrocarbonate de

magnésium) afin d’absorber la transpiration des mains et

d’éviter que celle-ci le fasse glisser.

b) - Le but de l’escalade

L’escalade est une pratique de pleine nature qui consiste à effectuer

l’ascension de parois rocheuses. C’est un déplacement finalisé,

nécessitant en général trois appuis, dans un milieu plus ou moins

vertical, incliné et haut, tout en gérant sa sécurité et celle d’autrui.

c) - Règles de sécurité

La sécurité doit être le maître-mot.

L’escalade est une activité pleine de sensations, de découverte mais

elle est d’abord une activité dangereuse.

C’est pourquoi l’attention des assureurs doit être maximale pour

assurer au mieux les grimpeurs.

25

Principales qualités requises de l’escalade

La force

Un minimum de force dans les membres supérieurs est requis bien

qu’en site naturel, sur des falaises peu inclinées, l’escalade ne

nécessite quasiment pas de force dans les bras.

L’équilibre

L’équilibre est essentiel à la pratique de l’activité.

Les grimpeurs, au travers de la richesse du geste qu’ils mettent en

œuvre, sont de véritables danseurs et acrobates aériens.

Confiance en soi et en l’autre

En faisant face au danger, le grimpeur doit avoir une totale confiance

en ce qu’il fait et en son compagnon de cordée.

La maîtrise de soi

L’escalade permet de mieux gérer ses émotions et son corps.

L’excellence tend à rendre le grimpeur parfaitement maître de son

corps et de son esprit.

Développement harmonieux du corps

L’escalade va permettre un développement harmonieux du corps :

muscles des bras, du dos, du torse et de l’abdomen, principalement.

Les muscles développés restent longs et fins, et gagnent en

puissance.

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La vérification mutuelle des grimpeurs :

C’est une étape très importante. Elle consiste à ce que les deux

grimpeurs vérifient mutuellement leur matériel et surtout le système

d’assurage qui les relie.

Le premier de cordée va donc vérifier le système d’assurage

(descendeur en huit, grigri…) du second, alors que le second va

vérifier l’encordement (nœud en huit) et le matériel de protection

(dégaines, sangles, coinceurs…) du grimpeur.

En escalade, la compréhension mutuelle du grimpeur et de son

assureur est primordiale.

C’est pourquoi, il faut utiliser un vocabulaire simple mais spécifique à

chaque manœuvres ou étapes de l’ascension.

Quelques exemples :

Départ : le grimpeur commence à escalader

Du mou : le grimpeur veut plus de corde pour descendre,

poser ou enlever un assurage

Corde : signaler une chute de corde

Sec : le grimpeur veut que la corde soit bien tendue car il

est dans un passage difficile ou encore pour se reposer

27

d) - Origine de ce sport, son implantation et les pratiquants :

Histoire de l’escalade et son implantation :

Les débuts de l’escalade

De tout temps, les hommes escaladèrent les montagnes, que ce soit

les marchands qui devaient traverser des chaînes montagneuses ou

alors des explorateurs pour remplir les cartes.

Mais ce n’est que relativement récemment que l’escalade (et

l’alpinisme dont elle faisait partie) est considérée comme un sport à

part entière sans autre but que de gravir une falaise ou une

montagne.

Les Anglais et les Allemands furent les premiers à escalader les

falaises à la fin XIXème siècle et ce sont particulièrement les

Anglais qui mirent à la mode l’alpinisme à la fin de ce siècle et l’on

considère généralement que le départ de l’engouement pour cette

discipline est l’ascension du Wetterhorn par Sir Alfred Wills en

1854.

Les origines de l’escalade en tant que telle remontent environ à un

peu plus d’un siècle.

C’est en 1987 que les rochers présents à FONTAINEBLEAU

servirent à faire de l’escalade, ensemble de rochers qui sont

mondialement réputés pour cela.

Le nom escalade vient du fait que les Savoyards ont tenté d’escalader

les murailles de la vieille ville au moyen d’échelles afin de tenter d’y

entrer.

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Public concerné par l’escalade

Les jeunes

Les jeunes peuvent pratiquer au sein des écoles, lycées ou universités

où de très nombreux murs d’escalade y ont été construits. L’activité

ressemble plus alors à une activité ludique et/ou sportive.

Les adultes

Ce public est aussi bien constitué de pratiquants occasionnels, que de

pratiquants réguliers ou de véritables sportifs de haut niveau.

Les premiers viennent y trouver sensations fortes, plaisirs ou encore

une activité de pleine nature et de découverte.

Les pratiquants réguliers arborent les différentes régions de France

ou même du monde pour y découvrir des coins toujours plus

exceptionnels.

Quelques grands grimpeurs célèbres :

Catherine DESTIVELLE, 53 ans, est une grimpeuse et alpiniste

française. A l’âge de 20 ans, elle a déjà parcouru les voies d’escalade

les plus difficiles des Alpes françaises.

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A la fin des années 1980, elle devient une des meilleures grimpeuses

mondiales.

Patrick EDLINGER, était né le 15 juin 1960 à Dax et décédé le

16 novembre 2012 à La Palud-sur-Verdon.

C’était un grimpeur français, réputé pour ses ascensions en solo

intégral, il était l’un des pionniers de l'escalade libre de haut niveau

et a été dans les années 1980 l'une des premières figures

médiatiques de la discipline.

30

e) – Mes raisons d’aimer ce sport

L’escalade procure une sensation de liberté, de grand espace et de

bien être.

Il y a un dépassement de soi-même, de la détermination à accomplir

la montée.

C’est la fierté de réussir à gravir un élément naturel.

VII – MES IMPRESSIONS PERSONNELLES

J’ai été ravie d’effectuer ce stage passé dans une très bonne

ambiance, entourée de bons moniteurs.

En escalade, j’ai eu quelques moments de découragement car je

n’arrivais pas à grimper assez haut, mais avec de la volonté et les

encouragements de Léa, mon amie, j’y suis arrivée.

Pour moi, tout a été parfait : l’organisation, le séjour, l’ambiance, le

travail en équipe, la patience des moniteurs, le plaisir de se retrouver

dans un autre cadre pour pratiquer des sports que je n’aurais pas eu

l’occasion de faire à Maule, d’apprendre à travailler en équipe.

D’ailleurs, j’ai la ferme intention d’y retourner y passer une semaine

au mois d’Avril 2014.

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VIII - QUELQUES PHOTOGRAPHIES

Contente de partir faire une ballade en V.T.T.

Mon cousin Baptiste, prêt à descendre en rappel. Concentré !

32

Le Centre Lionel TERRAY où nous avons été accueillis et hébergés

très chaleureusement

Les trois copines !

33

Photo de mon groupe

34

Vendredi 11 Octobre 2013

Le stage est terminé et nous sommes prêts pour le retour à MAULE,

avec des souvenirs plein la tête !!!