AL-ZAHRAWI Magazine en Médecine&Santé Conseils sur la medecine et sante, les medicaments, la nutrition les maladies inféctieux ,les premiers soins médecine alternative Personnage éminent dans le monde médicale Des outils médicaux Dans le corps humain Que ton aliment soit ta seule médecine ! Un jour viendra où le principal avantage d’apprendre la médecine sera de se protéger contre les médecins

Magazine al zahrawi 1

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Page 1: Magazine al zahrawi 1

AL-ZAHRAWIMagazine en Médecine&Santé

Conseils sur la medecine et sante, les medicaments, la nutrition

les maladies inféctieux ,les premiers soins médecine alternative

Personnage éminent dans le monde médicaleDes outils médicauxDans le corps humain

Que ton aliment

soit ta seule

médecine !

Un jour viendra où le principal avantage d’apprendre la médecine sera de se protéger contre les médecins

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AL-ZAHRAWI Le Numéro 01

16-avril-2016

Personnage éminent dans le monde médicale

Dans le corps humain

Autour d’une maladie

Des outils médicaux

Médecine Alternative

1

2

3

4

5

Al-zahrawi

StéthoscopeLes aiguilles de suture

Anatomie etphysiologique du sein

Le cancer du seinL’autismeL’ asthme

Huile de grain de nigell

L’entrée dans le monde de la médecine

Page 3: Magazine al zahrawi 1

www.medecine08.blogspot.com Page 316 avrile 2016

Amoureux de la médecine et passionnés

par ses actualités, nous avons imaginé

AL-ZAHRAWI avec l’envie de partager

nos astuces et nos conseils.

Cette modeste parution contient des actualités médicales, articles

médicaux et de santé quotidienne, et fonds encyclopédiques.

AL-ZAHRAWI s’adresse au grand public non seulement les profes-

sionnels de santé ,Nous avons développé un contenu et des coins

permettant à chaque lecteur de mieux

prendre en charge sa santé

et celle de son entourage, mieux comprendre les

maladies et les questions de santé en général.

L’EQUIPE : Le concept et la réalisation de ce magazine

viennent des étudiants de la faculté de médecine

de l’université Tahri Mohammed (Béchar).

Chacun de nos étudiants met sa touche dans un

article de son choix, toutes les informations publiées

sont extraites par eux de diverses sources ouvertes.

PUBLICATION : AL-ZAHRAWI est publié tous les 3 mois en ligne dans

notre site Web et diverses pages de réseaux sociaux , il sera

disponible pour le téléchargement et la lecture en ligne.

A PROPOSNOUS-CONTACTER Site web: medecine08.blogspot.com

Page Facebook : www.facebook.com/medecine08

Pour toute demande, écrire un mail à

[email protected]

Cette première édition est connue

sous le nom :

L’entrée dans le monde de la médecine

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Abu Al-Qasim, ou Abu al-Qasim Khalaf ibn Abbas al-Zahrawi ,de son nom complet (en arabe الزهــراوي العبــاس بــن خلــف بــن القاســم ,(أبــو connu en Occident sous le nom (Madinat al-Zahra (Al-Andalus)

Il nait vers 940 à El Zahra, petit village situé à

quelques kilomètres au nord-ouest de Cordoue,

en Andalousie où il passera toute sa vie, sous le

règne des califes omeyyades Abderrahmane

III et Al Hakam II.

On ne sait que peu de choses de sa

vie en dehors de ce qu’on apprend par

ses ouvrages : le palais de Madinat

al-Zahra fut pillé et détruit lors de la

guerre civile au sein du califat. Son nom

apparaît pour la première fois dans les

écrits de Abu Muhammad ibn Hazm

(993 - 1064), qui le plaçait parmi

les plus grands médecins de

l’Espagne mauresque. Sa première biographie

détaillée fut écrite soixante ans après sa mort par

Al-Humaydi, dans son ouvrage Jadhwat al-Muqta-

bis (Des savants andalous).

Il passa presque toute sa vie à El Zahra : c’est là

qu’il étudia, enseigna et pratiqua la médecine et la

chirurgie jusqu›en 1011, date à laquelle El Zahra

fut pillée.

BiographieAbu Al-Qasim était un médecin à la cour du

calife Al-Hakam II. Il dévoua sa vie

entière à l’avancement de la méde-

cine, en particulierla chirurgie.

Sa grande œuvre, le Al-Tasrif

(La pratique) est une encyclopé

die médicale de trente volumes

qui fait le bilan des connaissances

médicales de son époque et les confronte

à son expérience personnelle.

L’influence Abu Al-Qasim s’étend en

Occident sur plus de cinq siècles :

Al-Tasrif est traduite en latin au XIIe

siècle et devient la réfrence médicale.

Au XIVe siècle, le chirurgien français Guy

de Chauliac fit référence à l’Al-Tasrif plus

de deux cent fois. Pietro Argallata dépeint

Al-Qasim comme étant « sans l’ombre d’un

doute le roi des chirurgiens ». Lors de la

Renaissance, son œuvre est toujours citée,

notamment par le chirurgien français Jacques

Daléchamps.

Œuvre

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Le Kitab al-Tasrif (كتاب الترصيف ملن عجز عن التأليف

; Le Livre de la méthode [médicale] pour celui qui

paresse d’écrire), ouvrage majeur d’Abu Al-Qasim

en trente volumes couvre de nombreux domaines,

dont les soins dentaires et l’accouchement, y ajou-

tant de nombreuses données personnelles issues de

près de cinquante ans de carrière. Il souligna dans

son ouvrage l’importance d’une relation médecin/

patient positive et écrivait avec affection au sujet de

ses étudiants, qu’il appelait « mes enfants ». Il insis-

tait également sur l’apport des soins sans se soucier

des différences de statut social. Il était partisan de

l’observation approfondie de chaque cas afin de

pouvoir établir le diagnostic le plus précis possible,

et donc préconiser le traitement le plus adapté.L ’Al-Tasrif est divisé en trois parties :

la 1re sur la théorie et les généralités de la méde-

cine ;

la 2e sur la pratique, discipline des maladies : Le

régime chez l’enfant et les vieillards, la goutte, les

rhumatismes, les abcès, les plaies, les poisons et les

venins, les affections externes de la peau et la fièvre

;

Al-Tasrif

la 3e sur la chirurgie : La cautérisation, les petites interventions, la saignée, l’opération des calculs de la

vessie et de la gangrène, les luxations, les fractures, l’hémiplégie d’origine traumatique et l’accouchement.

L’Al-Tasrif fut traduite en latin et illustrée au XIIe siècle par Gérard de Crémone. Elle fut la principale

source médicale en Europe et servit comme référence aux médecins et chirurgiens pendant plusieurs

siècles.Abu Al-Qasim n’a pas toujours obtenu le mérite de ses avancées médicales : il avait déjà décrit dans son

Al-Tasrif la méthode que l’on appelle aujourd’hui « Kocher » pour le traitement d’une épaule disloquée,

ainsi que la position « Walcher3 » en obstétrique. Il avait déjà décrit comment ligaturer des vaisseaux san-

guins des siècles avant qu’Ambroise Paré ne popularise la méthode. Il fut également le premier à écrire des

livres sur les appareils dentaires et à avoir décrit la nature héréditaire de l’hémophilie. Il est également le

premier, en 963, à avoir décrit la grossesse extra-utérine, alors mortelle.

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Avancées médicalesAbu Al-Qasim a réalisé, décrit et complété de nombreux gestes chirurgicaux comme :

la trépanation ;

les amputations ;

le traitement des fistules, des hernies, de l’imperforation anale ;

la cure d’anévrisme ;

l’opération du goître ;

la lithotomie ;

l’excision des varices ;

le traitement chirurgical des ostéo-arthrites tuberculeuses notamment vertébrales

(Mal de Pott) Sept siècles avant Pott ;

l’utilisation de cautères pour faire l’hémostase

l’anesthésie générale.En outre :

il est le premier à pratiquer des ligatures artérielles ;

il est le premier à parler de la position Trendelenburg, notamment dans les opérations du

petit bassin. Cette position classique est attribuée au chirurgien allemand Friedrich

Trendelenburg ;la méthode de réduction des luxations de l›épaule (actuelle manœuvre de Kocher

(en)) ; les patellectomies, presque mille ans avant Ralph Brooke ;

l’utilisation des boyaux des chats en chirurgie abdominale, les sutures avec un fil et

2 aiguilles, les sutures sous-dermiques qui ne laissent aucune cicatrice ;

en obstétrique, il conseille différentes techniques selon les différentes présentations

dystociques. Il parle aussi de la position actuellement connue comme la position de Walcher et

des instruments utiles pour extraire les fœtus morts in utero ;

il passe pour être l’inventeur de l’alambic, utilisé pour la distillation de l’alcool. Mais il précise

lui-même que l’étymologie vient du grec alexandrin ambix (=vase).Il rédigea de nombreux livres, qui, traduits en latin, influenceront la chirurgie occidentale. Il

réalisa des planches avec les premières représentations d’instruments chirurgicaux, souvent inventés

par lui. Ces planches constituent un précieux catalogue des outils chirurgicaux alors utilisés.

Il inventa entre autres des dispositifs qui permettent de :

faire l’inspection de l’intérieur de l’urètre ;

retirer des objets étrangers de la gorge ;

inspecter les oreilles.

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Un savant a dit : « choisis un travail que tu aimes, et tu n’auras jamais à

travailler un seul jour de ta vie. ». Concernant le choix de La médecine,

la médecine avant qu’elle soit un métier, elle est un message, un art et un

monde elle-même. L’entrer dans ce monde ressemble au forage d’un

puits, l’eau est trouble d’abord, puis elle se clarifie. La médecine est

difficile, mais difficile ne veut pas dire impossible, cela veut dire

seulement qu’il faut travailler d’avantage car Quand il est dur

d’avancer, se sont les durs qui avancent. La médecine prend

beaucoup d’énergie, exige beaucoup de travail, engage un grand

intérêt et qui est un défi pour les étudiants, mais on aura

toujours hâte de réveiller pour voir ce que le nouveau jour

apportera. Devenir un médecin est un succès qui a une formule

simple : fais de ton mieux. c’ est la somme des petits efforts,

répéter jour après jour.

Alexander Yersin a dit : « Tu me demandes si je prends goût à la

pratique médicale. Oui et non. J’ai beaucoup de plaisir à soigner ceux

qui viennent me demander conseil, mais je ne voudrais pas faire de la

médecine un métier, c’est-à-dire que je ne pourrais jamais demander à un

malade de me payer pour des soins que j’aurais pu lui donner. Je considère la

médecine comme un sacerdoce, ainsi que le pastorat. Demander de l’argent pour

soigner un malade, c’est un peu lui dire la bourse ou la vie. »Donc, il faut étudier

et travailler pour devenir non pas pour acquérir c’est ça la médecine….c’est un

métier noble ,c’est une manière de vivre, c’est un nouvel monde.

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les aiguilles de suture La suture est une opération chirurgicale, qui consiste à maintenir ensemble les bordures d’une plaie, en vue d’accélérer sa

cicatrisation. Les sutures sont une forme de traitement historiquement très ancienne. Le papyrus de Smith, découvert

en Égypte en 1862, et datant de 4000 ans avant Jésus-Christ, témoigne déjà de l’usage d’aiguilles et de fils de lin pour réunir les

lèvres des plaies. Aujourd’hui, les fils et les aiguilles de suture sont employés couramment dans presque toutes les interventions

chirurgicales et ils sont les biomatériaux les plus implantés. Dans le seul cas des chirurgies vasculaires, plus de un million de re-

constructions artérielles, nécessitant un minimum de deux fils, sont effectuées chaque année dans le monde. Cette intervention

fait appel à un certain nombre de matériels au nombre desquels, on retrouve des fils, des aiguilles, des agrafes et des colles.

Les aiguilles de sutures étaient enfermées dans une

bouteille contenant un liquide antiseptique. Ces aiguilles

étaient réutilisées autant de fois que possible.Les aiguilles d’aujourdhui sont des aiguilles jetables,

qui ne s’utilisent qu’une seule fois. Une distinction doit

être cependant faite entre les aiguilles traumatiques et les aiguilles atraumatiques.

Les premières sont des aiguilles à chas conditionnées à part, elles sont des aiguilles à chas qui sont conditionnées séparément

de leur fil; tandis que les secondes sont des aiguilles sans chas soudées directement avec le fil de suture. L’utilisation de ce type

d’aiguilles évite à l’équipe médicale d’avoir à enfiler le fil sur l’aiguille, ce qui n’est pas toujours facile à réaliser. D’autre part, dans

le cas d’une utilisation d’aiguille traumatique classique, le fil ressort de chaque côté du chas, ce qui peut causer un déchirement

de la peau à proximité du trou, dû au passage du fil en double.

La taille des aiguilles de suture et leurs formes sont également très variables. Selon la forme

il existe l’aiguille: (Droite, Semi-incurvées ou ski, 1/4 de cercle, 3/8e de cercle, 1/2 cercle,

5/8e de cercle, Courbe composée ou compound)

Les aiguilles droites n’ont que de très rares indications en chirurgie plastique, où ce sont

les aiguilles courbes qui sont en règle utilisées, avec un choix entre les formes 3/8e

de cercle et 4/8e de cercle.

Les seules aiguilles utilisables pour suturer la peau sont les aiguilles à section triangulaire.

Les aiguilles existent également en différentes tailles.

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docteur R

ené Laennec

Le stéthoscope

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Les Stéthoscopes sont souvent considérés comme un symbole de professionnels de la santé, comme les divers fournisseurs de soins de santé sont souvent perçus ou représentés avec des stéthoscopes suspendus autour du cou. Un document de recherche 2012 a affirmé que le stéthoscope, par rapport à d›autres équipements médicaux, a eu l›effet positif le plus élevé sur la fiabilité perçue du praticien vu avec elle.

Qu’est-ce qu’un stéthoscope :Un stéthoscope (du grec stêthos, «poitrine», et scope du

grec ancien «skopein» , « observer ») est un instrument

acoustique, servant principalement dans le domaine médical

ou vétérinaire (du moins pour les animaux d’une certaine

taille), pour l’auscultation, c’est-à-dire l’écoute des sons

internes du corps. Mais il peut être aussi employé dans

d’autres domaines, notamment pour l’identification et la

localisation d’un bruit dans un objet, un appareil ou une

installation.

Historique :Le stéthoscope a été inventé, selon la tradition,

le 17 février 1816 en France, par le docteur René

Laennec. Il ne s’agissait alors que d’une simple liasse

de papiers roulés, permettant d’éloigner l’oreille du

médecin de son patient pour des raisons de pudeur,

mais aussi d’efficacité. Il créa ainsi l’auscultation

médiate par opposition à l’auscultation immédiate où il avait

la tête collée à la poitrine du patient. Sa première descrip-

tion écrite de son système remonte au 8 mars 1817. Laennec

en construisit secondairement plusieurs modèles en bois.

Le modèle en a été amélioré vers 1830 par Pierre Piorry

qui construisit un adaptateur en ivoire du côté auriculaire.

Vers la même époque, un tube flexible relie le pavillon à

l’écouteur mais le modèle rigide va encore persister quelques

décennies.

Le stéthoscope bi-auriculaire (pour les deux oreilles) a été

imaginé dès 1829 mais construit seulement

en 1851. Le tube était en caoutchouc mais

cette solution s’avéra fragile et dut être

abandonnée. Un second modèle, plus rigide

, vit le jour en 1852 à base de tubes

métalliques.Vers 1870, des stéthoscopes

différentiels apparaissent : deux pavillons, montés chacun

sur un tube et connectés à une oreille, devaient permettre

de comparer l›auscultation à deux endroits différents.

En 1961, le Dr David Littmann créa le stéthoscope contem-

porain avec son double pavillon réversible, pièces métal-

liques pourvues d›une membrane que l’on applique sur la

peau du patient. Cette membrane, mise en vibration par

les sons corporels, est reliée par un ou deux tubes souples

en caoutchouc aux embouts que l’opérateur place dans ses

oreilles. La rigidité du système au niveau auriculaire, se fait

grâce à une armature métallique : la lyre. Par sa construc-

tion, il constitue un amplificateur acoustique (large pavillon,

petits écouteurs). Les capteurs peuvent filtrer certaines fré-

quences, pour recueillir les sons plus spécifiquement aigus

ou graves, selon les diagnostics à effectuer. Des modèles

à amplification électronique ont été construits, sans réel

succès commercial. Ce stéthoscope reste toujours utilisé de

nos jours.

Intérêts médicaux

Le stéthoscope peut être utile pour « ausculter » non pas un être vivant, mais un objet,

un appareil ou une installation. Par exemple :

• Pour le déminage d›un engin explosif, apposé sur celui-ci, afin, préalablement

à louverture et la neutralisation de cet engin, de repérer et d’analyser les bruits produits

par un éventuel système de mise à feu.

• En plomberie, apposé sur une tuyauterie ou un mur, afin d’infirmer ou confir-

mer l’existence d’une fuite, dans ce dernier cas de la localiser, et ceci plus particulièrement

quand il s’agit d’une installation complexe ou d’accès difficile, où l’examen visuel est donc

malaisé.

• En mécanique, apposé sur une pièce afin de détecter les bruits suspects qui

peuvent être la cause d’un mauvais fonctionnement ou d’une panne.

En novembre 1942, deux membres d’une équipe

de déminage auscultent une bombe ou une torpille

ennemie larguée par parachute près d’Alger. L’un

d’entre eux utilise un stéthoscope

Utilisations non médicales

Un stéthoscope 3D-imprimé est un dispositif médical open-source destiné à

l’auscultation et fabriqué par des moyens d’impression 3D. ce stéthoscope a été

développé par le Dr Tarek Loubani et une équipe de médecins spécialistes et de la

technologie. Le 3D-stéthoscope a été développé dans le cadre du projet Glia, et sa conception est

open source dès le départ. Le stéthoscope a gagné une large couverture médiatique en été 2015.La nécessité d’un 3D-stéthoscope a été confirmée d’un manque de stéthoscopes et d’autres

équipements médicaux vitaux en raison du blocus de la bande de Gaza, où Loubani, un Palesti-

nien-canadien, a travaillé comme médecin d›urgence pendant le conflit 2012 à Gaza. Les années

1960 Littmann Cardiology 3 stéthoscope est devenu la base pour le stéthoscope imprimé en 3D

développé par Loubani.

Stéthoscope de l’ère moderne

C’est un appareil non intrusif, qui n’a pas d’effet secondaire. Il donne de nombreuses

informations sur l’état du patient. Il est très utilisé pour ausculter le cœur ou les poumons.

Le stéthoscope est utilisé par les professionnels de santé afin d’écouter les battements

cardiaques, le murmure respiratoire, les bruits abdominaux ou fœtaux, ou encore utilisé lors

de la prise de la tension artérielle

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EIN du

Anatomie

SPhys

iolo

gie

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www.medecine08.blogspot.com Page 1216 avrile 2016

Situation du sein Les seins occupent la partie antéro-supérieure du thorax, de part et d’autre du sternum en avant

des muscles pectoraux, en regard de l’espace compris entre la 3ème et la 7ème côte, le mamelon

se situant au niveau de la 9ème vertèbre dorsale. En position debout, sous l’influence de son

propre poids, le sein tombe légèrement, ce qui créé le sillon infra mammaire entre la moitié

inférieure du sein et le thorax.

La formeElle est semi-sphérique chez les femmes européennes et asiatiques, plutôt conique chez les

femmes africaines. La taille est d’environ 12 cm en hauteur et largeur. Les 2 mamelons sont dis-

tants d’environ 20 cm.Les seins sont fréquemment asymétriques.

Le poids Le poids du sein varie selon la morphologie de la femme et la grossesse et lactation : de 200 g

chez la jeune fille, il peut atteindre 500 g chez la femme allaitante et 900 g dans certains cas.

La consistance La consistance est irrégulière, en particulier lors de la grossesse et de l’allaitement. En compri-

mant le sein contre la paroi thoracique, la consistance est plus homogène.

Structure du sein la peau et la plaque aréolo-mamelonnaire

Le revêtement cutané est épais en périphérie et s’amincit au voisinage de l’aérole.Le mamelon est cylindrique, pigmenté, séparé de l’aréole par un sillon. L’aréole est un disque cutané, de 15 à 30 mm de diamètre plus ou moins pigmentée. La peau adhère intimement à la glande par les ligaments de Cooper. Le mamelon et l’aréole forment une unité, la plaque aréolo mamelonnaire.

La glande mammaireDans chaque sein, la glande mammaire est une masse de densité variable, discoïde aplatie

d’avant en arrière, de contour irrégulier. Elle est organisée en une vingtaine de lobes. Chaque

lobe est composé de 20 à 40 lobules ,Et chaque lobule contient 10 à 100 alvéoles.

Les seins (du latin sinus, « courbure, sinuosité,

pli ») sont les mamelles de la femme, organe pair

contenant une glande mammaire qui sécrète du

lait et permet l’allaitement des nouveau-nés et

nourrissons. La poitrine désigne les deux seins. Le

sein existe également sous forme rudimentaire chez

l’homme.

Un réseau de canaux galactophores est présent

à l’état rudimentaire chez les individus des deux

sexes, de l’âge embryonnaire à l’âge adulte, mais

seules les femmes, sous l’influence hormonale à

partir de la puberté, le long des cycles et pendant

la grossesse et l’allaitement, développent la partie

glandulaire.Les seins contiennent les glandes lactogènes (ou

glandes mammaires) qui deviennent actives en

période d’allaitement et produisent lelait maternel

dont se nourrit le bébé pendant les premiers mois

de sa vie. Durant la période de lactation, le lait est

sécrété par ces glandes mammaires et est déversé

par des canaux séparés au niveau du mamelon.

L’essentiel du corps du sein est constitué de tissu

adipeux. Les seins voient leur volume varier en

fonction de différents paramètres tels que le cycle

d›ovulation, la température ou l’excitation[réf.

nécessaire] ainsi que durant la grossesse. La limite

de l’aréole, sa pigmentation et son réseau glandu-

laire varient avec la grossesse et l’allaitement. Le

mamelon est érectile.Autre sa fonction biologique de lactation, le sein

féminin est un caractère sexuel secondaire1, comme

le montrent les stades de Tanner. Les seins peuvent

jouer, en fonction du contexte culturel, un rôle im-

portant dans la séduction, l’érotisme et la sexualité

ANATOMIE

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Vascularisation artérielle et veineuse du sein 1. La vascularisation artérielle provient de trois troncs artériels :

# L’artère thoracique interne

# L’artère axillaire vascularise la glande par l’artère thoracique latérale et ses

propres collatérales.

# Les artères intercostales se ramifient le long du grand pectoral et abordent

la glande par sa face postérieure.

Les réseaux lymphatiques :

Réseau lymphatique cutané : Il existe un double réseau :

# le plexus superficiel ou dermique

# le plexus profond ou sous dermique. Ce réseau communique avec celui des

territoires voisins.

Il y a deux types de collecteurs :

1/- Les collecteurs principaux se dirigent vers les ganglions axillaires

2/- Les collecteurs accessoires se dirigent vers les voie sus claviculaire, la

voie mammaire interne et vers le sein

Réseau lymphatique glandulaire :Il existe un réseau superficiel et un réseau profond anastomosés. Ils se

drainent vers deux types de collecteurs : certains suivent

les galactophores se jettent dans le plexus sous

aréolaire et d’autres quittent la glande par sa périphérie.

Les collecteurs se drainent vers les noeuds

axillaires et noeuds mammaires internes.

Ganglions axillairesIl existe 5 groupes : inférieur, mammaire externe,

scapulaire, central, sous claviculaire, 10 à

40 ganglions. Ils forment une masse

continue.

InnervationDeux groupes de nerfs :

# nerfs superficiels, cutanés issus des plexus cervical, brachial et des nerfs

intercostaux

# nerfs profonds qui suivent le trajet des vaisseaux dans la glande

Tous ces nerfs envoient de nombreuses ramifications vers l’aréole et le

mamelon, zone extrêmement sensibles.

L’excitation de ces nerfs entraîne

l’érection du mamelon et la

contraction des canaux

galactophores à leur

extrémité..

ANATOMIE

Page 14: Magazine al zahrawi 1

www.medecine08.blogspot.com Page 1416 avrile 2016

EAprès la naissance et avec les tétées du bébé, sous l’impulsion de

l’hormone de la lactation, la prolactine, le débit sanguin est augmenté

en priorité dans la zone du sein. L’augmentation de pression dans ces

capillaires permet le passage, de la paroi des capillaires

vers les cellules de l’acinus, de tous les éléments

nécessaires à la fabrication du lait. Chaque

cellule traite cette matière première. Une

partie des composants du lait résulte

directement de la filtration du sang, l’autre

est synthétisée par les cellules de l’acinus.

Le lait est ainsi sécrété goutte à goutte dans la

lumière de l’acinus. Sous l’effet de la succion du

sein par le bébé et sous l’effet de l’ocytocine l

es cellules myoépithéliales, qui sont des fibres

musculaires microscopiques enveloppant

l’acinus, sont mises en action et se contractent

, pressant l’acinus pour le vider. Les

gouttes de lait sécrétées sont

maintenant

expulsées vers le canal

galactophore.

L’ocytocine provoque

la contraction des

fibres musculaires

tout au long des

canaux

galactophores

qui pulsent le lait

vers la sortie par un

mouvement péristaltique. Cest

le réflexe d’éjection.

Le sein est sensible à de nombreuses

hormones : œstrogène, progestérone,

androgène, prolactine, hormone de

croissance, hormone lactogène placentaire,

cortisol.

Allaitement

ndocrinologie

PHYSIOLOGIE

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www.medecine08.blogspot.com Page 1516 avrile 2016

CANCERDU SEIN

Page 16: Magazine al zahrawi 1

www.medecine08.blogspot.com Page 1616 avrile 2016

Une cellule cancéreuse est une cellule qui s’est modifiée et perd ses

capacités de réparation. Elle se met alors à se multiplier anarchique-

ment et finit par former une masse qu’on appelle tumeur maligne. Alors, le cancer du sein est une tumeur maligne qui se dé-

veloppe au niveau du sein. C’est le cancer le plus fréquent chez la

femme dans les pays occidentaux. Il atteint des femmes à des âges

différents, mais près de la moitié des patientes cancéreuses sont

entre 50 et 69 ans. Ce cancer peut aussi apparaître chez l’homme,

mais c’est extrêmement rare (moins de 1 % ).

Qu’est ce qu’un cancer du sein?

Page 17: Magazine al zahrawi 1

www.medecine08.blogspot.com Page 1716 avrile 2016

Il existe différents types de cancer du sein mais 95 % d’entre eux

se développent à partir des cellules des canaux (cancer canalaire) et des

lobules (cancer lobulaire). On les appelle des adénocarcinomes*.

On distingue plusieurs situations :

•Lorsquelescellulescancéreusesontinfiltréletissuquientoureles

canaux et les lobules, on parle de cancer infiltrant.

Les cancers infiltrants peuvent se propager vers les ganglions ou vers

d’autres parties du corps. Les ganglions le plus souvent atteints par les

cellules du cancer du sein se trouvent

sous les bras, au niveau des aisselles; on les appelle les ganglions axil-

laires.

•Lorsquelescellulescancéreusessetrouventuniquementàl’intérieur

des canaux ou des lobules, sans que la tumeur ait infiltré le tissu qui les

entoure, on parle de cancer in situ.

*Les mastopathies* bénignes :

C’est une maladie du sein non cancéreuse telle que mastose kystique, galactorrhée,

hypertrophie mammaire, mastodynie.

Certaines mastopathies bénignes sont apte à se transformer en cancer.

* La vie reproductive (fécondité) :

Les femmes qui n’ont pas eu d’enfant, ou qui ont eu leur première grossesse tardivement

(après 30 ans), ont un risque sensiblement doublé de développer un cancer du sein.

*L’alimentation, l’obésité : plus la quantité de calories absorbée est élevée, plus le risque

augmente.

*Les risques familiaux Ils sont de deux ordres :

1-simple susceptibilité familiale :

on retrouve plusieurs cas dans la famille, sans transmission systématique mais de

certains facteurs de risque ( hypofécondité, tendance à avoir une mastopathie bénigne,

obésité)

2- prédisposition génétique forte :

un gène anormal, dit «muté» est susceptible d’être transmis d’une génération à l’autre.

Quelles sont les causes ducancer du sein ?

Quels sont les symptômes d’un cancer du sein :1- modification de la dimension ou de la forme d›un sein .

2-grosseur/boule dans un sein .

3-ganglion dur au niveau de l’aisselle .

4-écoulement par le mamelon, surtout si sanglant.

5- modification de la pigmentation ou de la texture de la peau du sein ou de l’aréole

6- rétraction irréversible du mamelon d’apparition récente.

7-douleurs localisés

Quels sont les différents types de cancer du sein ?

Page 18: Magazine al zahrawi 1

www.medecine08.blogspot.com Page 1816 avrile 2016

Comment diagnostiquer le cancer du sein? le diagnostique de realise en deux etapes :

*une phase derepérage de la maladie

(c’est le bilan diagnostique)

*une phase d’évaluation de son évolution

(c’est le bilan d’éxtension)

1- le bilan diagnostique :

ce bilan s’articule autour d’un examen des seins qui permet de preciser la

nature d’une eventuelle

grosseur:taille mobilité …. Et d’une mammographie

qui apporte es information complémen-

taire des tumeurs trop petites a la palpation .

la confirmation de ce diagnostique se fait par le biais de prélèvement (une

biopsis) qui sert non seulement à confirmer la présence de cancer mais aussi

à obtenir des indications sur son origine.

2- bilan d’extension du cancer du sein :

il est réaliser en cas de cancer infiltrant, il permet d’évaluer l’extension du

cancer aux organes proches ou lointaines afin de déterminer les possibilités

chirurgicaux et les traitements médicaux.

Les principaux examens sont :

*scanner thoracique, scanner hépatique, scanner osseux.

Chaque cancer est particulier et necessite un traitement spécifique ,il depend

de la patiente et des caracteristiques de sa maladie . les traitements s’organisent

autour de 4 approches complemantaires :la chirurgie, radiothérapie, l’hormono-

thérapie, et la chimiothérapie .

1-la chirurgie :

la chirurgie est le traitement de base contre le cancer . la technique chirurgicale

utilisé dépend de plusieurs paramètre ,mais essentiellement de la taille et de la

localisation de la tumeur :

*tumorectomie : ablation de la tumeur.

*mastectomie partielle : ablation de la tumeure ainsi qu’une partie des tissus

avoisinants.

*mastectomie radicale : ablation total du sein .

2-La radiothérapie :

traitement local,elle vise à completer la chirurgie en réduisant la taille de

la tumeur avant l’opération ou en détruisant les cellules cancéreuses .deux

techniques sont utilisée et parfois en association : le rayonnement externe et

l’implantation de matériaux radioactifs directement dans le sein.

3-L’hormonothérapie :

elle peut etre mise en place si l’examen montre que la tumeur pos-

sède des récepteurs hormonaux et que son développement est sti-

mulé par des hormones sexuelles féminines. Beaucoup de mé-

dicaments peuvent bloquer l’action de ses hormones : tel que :

les anti-œstrogènes : qui se fixent sur les récepteurs normalement occupés par

les œstrogènes.

4- La chimiothérapie :

cette technique consiste à administrer des médicaments qui vont se diffuser

dans l’organisme et cibler toutes les tumeurs .les produits généralement em-

ployés sont :

(doxorubicine, cyclophosphamine, fluoro-uracile,les taxanes)

Quels sont les types de traitement ?

Page 19: Magazine al zahrawi 1

www.medecine08.blogspot.com Page 1916 avrile 2016

Les données s’accumulent concernant la prévention du cancer du sein.

Dans le domaine de la nutrition et de l’hygiène de vie, quels sont les meilleurs conseils pour

réduire son risque de cancer du sein ?

•Lesélémentsfavorisantlecancerdusein

•Lesélémentsquiprotègentducancerdusein

•Enpratique,quepouvez-vousfairepourréduirevotrerisquedecancerdusein?

Les éléments favorisant le cancer du sein

L’alcool

L’alcool est un facteur de risque à tous les âges. Il est réel dès le premier verre, puis aug-

mente avec la dose pour atteindre par exemple 30 % avec trois verres d’alcool par jour. On

peut retenir également qu’à partir de 10 g d’alcool par jour (quantité d’alcool contenue dans

un verre standard), le risque de cancer du sein augmente de 10 % par verre supplémentaire.

Le tabac

Le tabac est un cancérigène notoire à éviter absolument ! À tout âge, à tout moment arrêter

de fumer sera bénéfique.

Protégez-vous également des substances polluantes environnementales et notamment des

perturbateurs endocriniens qui sont présents à l’extérieur (gaz d’échappement, pesticides…),

à l’intérieur (COV, phtalates, bisphénol A…) et que l’on retrouve aussi dans les aliments

(métaux lourds…).

L’excès de poids

L’excès de poids constitue un facteur de risque de cancer chez les femmes ménopausées.La

masse grasse notamment affecte certaines substances et hormones impliquées dans le risque

de cancer du sein. Les cellules graisseuses tendent aussi à favoriser les réactions inflamma-

toires qui peuvent intervenir dans l’initiation et la progression des cancers. Au final, comme

tous les kilos pris sont difficiles à perdre, il est recommandé de veiller à ne pas en prendre

tout au long de sa vie, afin notamment d’aborder la ménopause dans les meilleures condi-

tions.

L’alimentation

Les acides gras «trans» (trans hydrogénés), utilisés par l’industrie agroalimentaire, sont asso-

ciés à une augmentation du risque de cancer du sein. En conséquence, il est recommandé de

revenir à une cuisine «maison», conçue à partir d’aliments de base, et de limiter les produits

industriels.

Les éléments qui protègent du cancer du sein

L’activité physique

À tout âge, l’activité physique protège du cancer du sein.Par

exemple, on sait qu’après la ménopause, la réduction du risque

peut être très importante, pouvant aller jusqu’à 30 à 40 %.À noter

que l’activité physique régulière est aussi recommandée pendant

un traitement contre le cancer et après, en prévention d’une

rechute…

L’alimentation

Il n’existe pas d’étude affirmant que tel ou tel aliment permet de

prévenir le cancer du sein.Il est conseillé d’éviter de recourir aux

compléments alimentaires (sauf prescription de son médecin).

En revanche, on recommande de couvrir ses besoins nutrition-

nels avec une alimentation équilibrée et diversifiée. Une telle

alimentation a aussi l’avantage de contribuer à maintenir un poids

stable.Au sein de l’alimentation anticancer, le thé vert occupe

une place d’excellence car c’est l’aliment qui contient le plus de

molécules anticancéreuses. Enfin, les oméga-3, ces fameux acides

gras polyinsaturés bons pour le système cardiovasculaire, exercent

aussi un effet préventif sur les cancers en général : mangez du

poisson deux fois par semaine.

Le plein de vitamine D

La vitamine D jouerait un rôle préventif vis-à-vis du cancer du

sein. En effet, la carence en vitamine D a été associée à un risque

accru de cancer du sein.

L’allaitement

L’allaitement est un facteur protecteur du cancer du sein

Dans la vie d’une personne, la maladie est un moment difficile. Elle engendre des émotions particulièrement intenses chez le malade et ses proches. Un accompagnement social doit être proposé systématiquement pour aider la patiente et ses proches. un suivi efficace de l’assistante sociale permet à la patiente d’éviter ou de résoudre certaines difficultés pendant les hospitalisations et après les traitements.

Comment réduire le risque du cancer du sein?

Page 20: Magazine al zahrawi 1

www.medecine08.blogspot.com Page 2016 avrile 2016

-L ’hypochondrie fait partie des troubles psychiatrique somatoforms.

-L’hypocondrie est en effet un trouble «imaginaire» sous-tendu

par des interprétations fausses de certains signes physiques, que le patient juge anormaux et

révélateurs d›une maladie.

-Peur d’en être au début d’une maladie grave, avant même qu›il ne soit possible de la dé-

tecter, peur que le médecin soit incompétent et ne la diagnostique pas, peur qu’on s’aperçoive

trop tard que oui, c’était grave, peur que chaque petit signe soit le témoin que la maladie grave

est là.

-L’hypocondrie consiste à se croire malade, à partir d’une invention ou d’une exagération de

symptômes bénins

EtymologieDu latin hypochondria, du grec hypo (sous), et khondros (carti-

lage des côtes). Le terme « mélancolie hypocondriaque » est attesté

depuis le XVIe siècle5 et concernait à l’origine des individus ayant

des douleurs dans la zone située sous le cartilage des côtes droites

(partie du corps appelée les hypocondres), qui ne pouvait être

palpée par les médecins.

Quels sont les symptômes courants de l’hypocondrie!!!!!!-Une écoute obsessionnelle de son corps amène l’hypocondriaque

à interpréter la moindre observation comme le signe d’une maladie

grave: cancer démence sida cardio-vasculaire….etc.

un attaque panique, une dépression, une anxiété, une mélancolie.

la persistance de cette préoccupation relative à la santé ou la

prévalence d’une angoisse, malgré les avis et examens médicaux

rassurants

Qu’est ce qui déclenche et les caractères de hypocondrie!!!!!L’hypocondrie frappe les hommes autant que les femmes. Elle

peut avoir pour facteur déclenchant la maladie ou à la suite d’un

évènement important de la vie, d’une maladie, de la mort d’un

proche ou chez les personnes manifestant un manque d’estime de

soi, un sentiment d’impuissance, un tempérament anxieux.

Elle peut être alimentée par l’internet, les médias, la télévision,

les revues médicales qui véhiculent des informations angoissantes

relatives à certaines pathologies; surtout dans l’enfance mais le pic

d’incidence se situe plutôt entre 20 et 30 ans. Son évolution est très

variable : certains patients font une crise limitée sur quelques mois

et quelques années puis retrouvent l’équilibre

D’autres restent durablement prisonniers de leurs maladies imagi-

naires.

Comment traiter l’hypocodrie et ses symptomes!!!!!Le traitement de l’hypocondrie requiert l’expertise d’un psy-

chologue ou d’un psychiatre afin de canaliser l’anxiété de l’hy-

pocondriaque.

Le traitement symptomatique vise à calmer une dépression ou une

attaque panique, en prescrivant des antidépresseurs, des inhibiteurs

sélectifs de la recapture de la sérotonine ou les médicaments anxio-

lytiques, notamment les benzodiazépines.

Qu’est-que l’hypocondrie ou peur des maladies !!!!!!!!

Page 21: Magazine al zahrawi 1

Qu’est-ce que l’autisme ?

www.medecine08.blogspot.com Page 2116 avrile 2016

L’autisme est une maladie commune (1% de lapopulation),elle n’est plus considéré comme une affection

psychologique ni comme une maladie psychiatrique. Selon la classification internationale des maladies

de l’OMS, il s’agit d’ un trouble d’origine neurobiologique envahissant du développement qui affecte lesfonctions

cérébrales.

Le trouble autistique (spectre autistique) apparaisse avant l’âge de 3 ans.

Il est caractérisé par un isolement,une perturbation des interactions sociales, des troubles du langage,de la

communication non verbale et des activités stéréotypées avec restriction des intérêts.

Page 22: Magazine al zahrawi 1

Actuellement les TSA (Troubles du Spectre

Autistique) ne se guérissent pas. on n’a pas trouvé

un traitement unique pour l’Autisme mais des

thérapies qui traiteront certains symptômes,

les réduiront et les feront disparaître tel que

TEACCH, ABA et Le PECS.

Plusieurs études récentes identifient des mutations

génétiques en cause dans l’autisme. Les gènes impliqués

jouent un rôle dans le fonctionnement des synapses. En accor-

dant sa part à l’inné, cette découverte lève un pan du voile qui

entoure ce syndrome très complexe.

En 2003.il a été identifié pour la première fois des muta-

tions altérant deux gènes du chromosome X chez des frères

dont l’un atteint d’autisme et l’autre du syndrome d’Asperger.

Ces gènes codent chacun respectivement une protéine, la

neuroligine 3 et la neuroligine 4, qui sont impliquées dans le

fonctionnement des synapses. Les neuroligines sont des proté-

ines exprimées à la surface d’un neurone post synaptique qui

se lient à des protéines exprimées à la surface d’un neurone

pré synaptique, les neurexines. Cet assemblage joue un rôle clé

dans la formation et le fonctionnement des synapses. Or les

neuroligines jouent un rôle déterminant pour établir l’équilibre

entre les synapses excitatrices et inhibitrices. Ainsi, en 2007, il

a été identifié Shank3,un gêne localisé sur le chromosome 22

code une protéine dite d’ « échafaudage » nécessaire au bon

assemblage des protéines qui interviennent dans le contact

synaptique entre les neurones. Il a été prouvé aussi la partici-

pation d’autres gênes qui codent pour la neurexine.

Les altérations des gênes synaptiques identifiés

jusqu’à présent – neuroligines, neurexines et Shank3- n’expliquent

qu’un petit nombre de cas d’autisme, 3% environ. Mais dans cer-

tains cas, l’altération d’un seul de ces gènes a suffi pour engendrer

le syndrome. Cela confirme l’intérêt de la voie synaptique, tout en

indiquant que de nombreux autres gènes restent à découvrir.

Autres études ont découvert des taux bas de mélatonine chez

des patients atteints d’autisme. Et en 2008, il a été identifié des

mutations du gène ASMT qui code une enzyme de synthèse de

la mélatonine. L’identification de ce déficit en mélatonine est un

nouveau pas en avant. Il pourrait expliquer en partie l’origine des

troubles du sommeil dont souffrent près de 60 % des personnes

atteintes d’autisme

Mais, la situation s’est compliquée à mesure qu’on en a découvert

de plus en plus - on en est déjà à plus de 100 mutations différentes

et le comptage n’est pas fini, on s’attend à en trouver un bon mil-

lier.

www.medecine08.blogspot.com Page 2216 avrile 2016

Page 23: Magazine al zahrawi 1

Récemment, le début de l’année 2016, des scientifiques ont établi un lien entre le comportement autistique et le

neurotransmetteur (GABA). Il y a un problème général chez les autistes avec l’assimilation et la gestion de ce

neurotransmetteur inhibiteur.

« Ce n’est pas qu’il n’y a pas de GABA dans le cerveau » d’une personne autiste, explique Caroline Robertson, « c’est qu’il y a

quelque chose de cassé sur son chemin ». L’espoir est grand, car le GABA inhibe toutes les sortes de simulations

sensorielles, Donc en théorie, un médicament qui « sécuriserait » le trajet du GABA dans le cerveau pourrait réduire tous les

symptômes sensoriels dûs à l’autisme.

L’autisme ne tue peut-être pas mais fait mourir à petit feu la personne qui en est atteinte. L’autisme est un véritable fléau qui

détruit l’état de santé de la personne, détruit son cercle familial, isole et génère des souffrances. Loin de réduire l’autisme à un

seul gène, ni même à la seule cause génétique, tous ces résultats indiquent au contraire que le syndrome présente des origines

multiples. La collaboration entre généticiens, neurobiologistes et psychiatres est donc plus que jamais nécessaire pour

continuer à percer le mystère de ses origines.

www.medecine08.blogspot.com Page 2316 avrile 2016

Mary Temple Grandin, dite Temple Grandin,

née le 29 août 1947, professeur en sciences

animales à l’université d’État du Colorado,

est docteur

en sciences animales et spécialiste de

renommée internationale en zootechnie.

Elle a été diagnostiquée autiste à l’âge

de 4 ans et n’a parlé qu’à l’âge de 5. Elle est

propriétaire d’une entreprise de conseils sur

les conditions d’élevage des animaux qui a

fait d’elle une experte en conception

d’équipements pour le bétail.

Ses ouvrages ont été traduits dans

vingt langues.

Dr. Mary T e m p l e Grandin

il a été créer un film qui narrer l’histoire de sa vie

avec l’autisme.

personne souffre d’autisme

Page 24: Magazine al zahrawi 1

www.medecine08.blogspot.com Page 2416 avrile 2016

le diagnostic de l asthme

les signes de l asthme

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ASTHME L

Page 25: Magazine al zahrawi 1

www.medecine08.blogspot.com Page 2516 avrile 2016

Définition :L’asthme est une pathologie inflammatoire chronique

des bronches associant plusieurs processus dont une

hyperréactivité des bronches, une inflammation locale

et un épaississement des parois bronchiques accom-

pagnés d’une formation de mucus et une broncho

constriction, c’est-à-dire une diminution du diamètre

des bronches. A l’occasion d’une crise d›asthme, les

bronches se contractent, puis développent un œdème

diminuant leur diamètre. Les bronches s’obstruent et

empêchent l’air de circuler.

Facteurs étiologiques :•Allergènes:

Pneumallergènes :

– poussière de maison ,acariens, blattes, phanères et

déjections d’animaux (épithélium de chat ++), pollens,

moisissures…

Allergènes digestifs :

– crustacés, fraises, tartrazine ,fréquence des sulfites

dans les conservateurs d’aliments (poissons, conserves,

moutardes,

Vins, jus de fruits…).

Allergènes infectieux :

– Aspergillus (ABPA).

•Médicaments :

– AINS, bêtabloquants (attention aux collyres pour

le glaucome +++), sulfites, IEC responsable de toux

(classique chez les femmes et les non-fumeurs par

accumulation Intra bronchique de bradykinines), mais

peuvent aussi majorer une HRB ,aspirine (triade de

Widal), Entraîne un blocage de la cycle-oxygénase,

dérivant les Métabolites de l’acide arachidonique vers

les leucotriènes (intérêt desantileucotriènes

Les signes de l’asthmeLa crise d’essoufflement aiguë est le symptôme de

l’asthme le plus fréquent, mais l’asthme peut égale-

ment se traduire par une sensation d’oppression au

niveau du cage thoracique, une difficulté à respirer

profondément, une respiration sifflante, un essouf-

flement à l’effort ou une toux qui ne passe pas.

Les manifestations de l’asthme peuvent survenir à

n’importe quel moment de la journée, mais elles

surviennent surtout en pleine nuit ou au petit

matin (la personne asthmatique se réveille parce

qu’elle a du mal à respirer ou à cause de la toux).

L’intensité des symptômes de l’asthme peut être très

variable, allant d’une simple gêne à une véritable

sensation d’étouffement.

Parfois même, il se peut que la personne asthma-

tique ne perçoive rien et seuls les tests respiratoires

montrent une difficulté de circulation de l’air dans

les bronches. Certains asthmatiques, au contraire,

éprouvent une gêne permanente pour respirer.

Lorsqu’une personne asthmatique souffre d’autres

manifestations allergiques (rhume des foins, eczé-

ma, etc.), il y a de fortes chances que son asthme

soit également d’origine allergique. Lorsqu’il a un

doute concernant la substance allergisante, le mé-

decin peut demander des tests cutanés (brick tests).

Grâce à ces tests cutanés, on peut dépister une

allergie aux acariens, à certains animaux, aux diffé-

rents pollens, aux moisissures ou à des allergènes

du milieu professionnel (farine, latex, etc.). Mais

la présence d’une allergie ne signifie pas forcément

que l’asthme soit dû à cette allergie.

Y a-t-il un lien entre l’asthme et les allergies ?

Le diagnostic de l’asthmeLe diagnostic de l’asthme repose donc sur l’exa-

men clinique du médecin et sur les explorations

fonctionnelles respiratoires (EFR) qui permet-

tront de confirmer la présence de la maladie.

«D’une durée d’environ 20 minutes, ces examens

non invasifs permettent d’évaluer l’importance

du déficit de la fonction respiratoire, de recher-

cher d’éventuelles anomalies fonctionnelles asso-

ciées, d’évaluer la réversibilité de l’obstruction et

de suivre l’évolution de la maladie».

Les EFR consistent en la réalisation de deux

examens : la spirométrie et la pléthysmographie.

Dans le cadre de ces mesures, le patient est assis

dans une chambre hermétique et respire via un

embout de façon exclusive.

La spirométrie est la mesure des débits ins-

piratoires et expiratoires. C’est l’examen qui

recherche l’obstruction bronchique (l’asthme est

un syndrome obstructif). Le suivi de la maladie

est fait par la seule spirométrie.

La pléthysmographie consiste en la mesure des

volumes et des débits inspiratoires et expira-

toires. Elle a un intérêt chez l’enfant qui présente

un équivalent asthmatique avec la présence

d’une toux comme seul symptôme par exemple.

D’autres examens sont-ils nécessaires ? «La

radiographie, effectuée de façon systématique,

et/ou le scanner thoracique peuvent révéler

les complications de l’asthme ou mettre en

évidence une autre pathologie. Par contre, les

tests cutanés d’allergie permettent d’identifier

de possibles facteurs allergiques à l’origine de la

maladie asthmatique». Une telle recherche est

particulièrement importante chez l’enfant, dont

l’asthme est d’origine allergique dans plus de 80

% des cas.

Actions préventive :Pour le moment, la seule mesure préventive de base reconnue consiste à éviter le tabagisme actif et passif. La fu-

mée de tabac irrite les voies respiratoires, ce qui crée un terrain propice aux maladies respiratoires. Actuellement,

on ne connaît pas de mesure qui permette de prévenir l’asthme; il n’existe pas de consensus médical à cet égard.

Manger des fibres contenus dans les fruits et légumes en bonne quantité pourrait contribuer à prévenir l’asthme

Le développement de l›asthme dépendrait de la quantité de fruits et de légumes consommés. Les bactéries intes-

tinales font fermenter les fibres alimentaires présent dans le tube digestif et provenant des fruits et légumes. Cela

contribue transporter dans le sang des acides gras

Page 26: Magazine al zahrawi 1

www.medecine08.blogspot.com Page 2616 avrile 2016

Notre prophète a dit que la paix et le salut soient sur lui. «L’huile des graines de Nigelle est un remède contre tous les maux, à l’exception de la mort ».

Page 27: Magazine al zahrawi 1

www.medecine08.blogspot.com Page 2716 avrile 2016

Histoire de l’utilisation de nigelle en phytothérapie : La nigelle était utilisée depuis l’aube des temps par tous les

peuples du Moyen Orient, en Afrique et en Asie où elle a tou-

jours été appréciée des qualités de guérisons de nombreuses

pathologies, bienfaits validés par la littérature médicale .plus

de 450 publiées y font référence, depuis 1964. Autant dire

que la science moderne a confirmé les effets bénéfiques de la

graine de nigelle. L’huile noire de Nigelle Sativa se caractérise

par une action efficace de prévention contre divers maux et en

favorise la résorption rapide lorsque ces maladies se déclarent

ses propriétés par ailleurs aident à la revitalisation des fonc-

tions des organes, améliorant très notablement le tonus et la

forme de l’organisme tout entier.

l’huile des Nigelle Sativa noire d’El Baraka comporte des

aminoacides( que ne produit pas l’organisme) qui aident et

assistent au métabolisme de certains aliments indispensables

à la vie .En particulier, elle renferme beaucoup plus que dans

les oléagineux classiques du HTP5(5-hyptophane) qui a la

propriété d’être métabolisé par le cortex en éro-tonine, la-

quelle permet une très nette amélioration du fonctionnement

du cerveau humain , en diminuant le stress, réduisant en cela

l’agressivité aidant très largement à faciliter l’endormissement

en augmentant très sensiblement l’attention .

L’huile de graines de nigelle

noir est une huile naturelle, pure

contient des huiles et des essences

essentielles, du soufre, du fer, de la

et ses nigellone dérivés enzymatiques

associés, du phosphore, du calcium,

des protéines, des hydrates de

carbone, de la vitamine A (rétinol).

Comme déffinition :

L’huile de nigelle ne contenant aucun additif

n’est pas un médicament en tant que tel,

Dieu lui a conféré de nombreuses et très

valorisantes propriétés que les traditions lui

reconnaissent et en particulier, elle est active

et aide à régler les problèmes suivants :

#maladies chronique de voie respiratoire

comme les bronchites, l’asthme, rhumes

allergiques.

#Elle éclaircit la voix, fluidifie les sécrétions et

le sang facilitant en cela la circulation, facilite

les expectorations, adoucit la gorge.

#Elle permet très notablement l’élimination

du cholestérol et soulage les maladies

cardiovasculaires et l’hypertension artérielle

#Elle renforce le système immunitaire et

lutte contre le ballonnement, les coliques, la

• Considérée en Egypte

comme une véritable panacée depuis

l’époque des Pharaons et révérée

jusqu’au cœur de l’Arabie ancienne - le

Prophète Mohammed assurait que «

cecumin noir guérit de tout hormis

de la mort » - l’Huile de Nigelle bio

est extraite des graines noires d’une

renonculacée aux fleurs blanches qui

croît à l’ombre des oasis. Réputée pour

tonifier le cuir chevelu et soulager

les tensions corporelles, elle est aussi

traditionnellement utilisée pour ses

propriétés purifiantes pour les peaux

grasses. L’Huile de Nigelle étant

fortement aromatique, il est conseillé de

la mélanger à de jojoba. Très efficace sur

les peaux mixtes ! Je l’applique la nuit et

ma peau est vraiment plus nette.

• J’avais pas mal d’acné avant,

mais les crèmes données en pharmacie

étaient trop agressives pour ma peau.

Cette huile est un miracle ! Plus de

boutons noirs ou blancs, sauf parfois de

tous petits, faciles à enlever. N’agresse

pas la peau et est facile à faire pénétrer

! Son odeur est forte mais très agréable

pour ma part.

constipation et l’acidité gastrique.

#Elle lutte contre l’asthénie physique,

intellectuelle et sexuelle.

#Elle facilite les sécrétions biliaires et

permet un meilleur fonctionnement

du foie, même qu’elle aide à réparer les

problèmes urinaires,

l’ulcère de l’estomac.

# Elle soulage les douleurs

rhumatismales,

les courbatures, l’arthrose, en massage

topique ou par voie orale

Propriétés

Page 28: Magazine al zahrawi 1

www.medecine08.blogspot.com Page 2816 avrile 2016

Le

ca

lciu

mLe calcium est un élément chimique présent dans la nature et dans

le corps humain, où il est indispensable à la solidité osseuse et au

fonctionnement des cellules musculaires et nerveuses.

Le calcium est le minéral le plus abondant au corps humain,

Composant environ 2% du grammage au corps entier.

L’absorption de calcium, parfois associée à la prise de vitamine D pour une meil-

leure assimilation, permet un traitement préventif de l’ostéoporose.

Le calcium serait également efficace pour

diminuer le risque de maladies cardio-

vasculaires. Enfin, il jouerait un rôle dans les

troubles alimentaires telles que l’anorexie ou

la boulimie, pour permettre de pallier

le manque de nutriments éventuels.

Action biologique

Utilisation thErapeutique

du calcium

Le calcium intervient dans les échanges cellulaires. Il est essentiel à la

coagulation du sang, le maintien de la pression sanguine et la contrac-

tion des muscles.

Le calcium sert à réguler le pH corporel, il est relargué des os lorsqu’il y

a une acidification du milieu interne provoquée par une consommation

de produit acidifiant (protéines, laits…) et une faible consommation de

végétaux qui ont un effet alcalinisant.

`

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