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LUTTE CONTRE LES INFECTIONS NOSOCOMIALES SYMPOSIUM beMedTech présente le premier symposium belge des solutions et des technologies médicales dans la lutte contre les infections nosocomiales. INNOVATION TECHNOLOGIE ACTIONS 10 OCTOBRE 2017 TOUR & TAXIS BRUXELLES This symposium is initiated by beMedTech with cooperation of following federations of care organizations: PROGRAMME

LUTTE CONTRE LES INFECTIONS NOSOCOMIALES · LUTTE CONTRE LES INFECTIONS NOSOCOMIALES SYMPOSIUM beMedTech présente le premier symposium belge des solutions et des technologies médicales

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LUTTE CONTRE LES INFECTIONS NOSOCOMIALES SYMPOSIUMbeMedTech présente le premier symposium belge

des solutions et des technologies médicales dans

la lutte contre les infections nosocomiales.

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10 OCTOBRE 2017

TOUR & TAXIS BRUXELLES

This symposium is initiated by beMedTech with cooperation of following federations of care organizations:

PROGRAMME

PROGRAMME – LUTTE CONTRE LES INFECTIONS NOSOCOMIALES SYMPOSIUM2

Table des matièresIntroduction ....................................................................................................................3

Vision ............................................................................................................................4

Pourquoi beMedTech organise-t-elle ce symposium ? ....................................................................5

Programme .....................................................................................................................7

Cas :

1 Expériences avec l’ensemble PAV: une approche globale .........................................................9

2 Contrôledurisqueinfectieuxàl’hôpitalAZJanPalfijndeGand,lerécitd’uneexpérience .............. 10

3 Infections des voies urinaires associées au port d’un cathéter. Une pathologie connue qui fait encore parler d’elle ...........................................................11

4 Amélioration de l’adhésion à la thérapie préopératoire du patient lors de l’utilisation d’un savon douche antiseptique ..................................................................................... 12

5 Préparation cutanée avant intervention médicale invasive pour réduire les bactériémies liées aux cathéters ..................................................................................................... 13

6 Estimation de l’impact de l’amélioration des méthodes de retraitement sur la sécurité microbiologique des endoscopes. ................................................. 15

7 Lesenjeuxdel’ajoutdelaThérapiePressionNégativedanslaprévention des complications du site opératoire en chirurgie cardiaque ................................................... 16

8 Utilisation de la thérapie à pression négative sur des incisions chirurgicales fermées ...................... 17

9 Des pansements postopératoires modernes contribuent à réduire le risque SSI et les coûts de la prise en charge .................................................................................... 18

10 La Prévention et traitement de l’hypothermie péri-opératoire ................................................ 19

11 Prenez le contrôle sur les facteurs de risque liés aux infections de site opératoire (ISO) avec les sutures imprégnées de triclosan .......................................................................... 21

12 Diagnostics First ........................................................................................................ 22

13 Antibiotic resistance: why we need to care ....................................................................... 23

information pratique : � Une traduction simultanée est prevue (FR/NL).

LIEU :Tour & Taxis

Hôtel de la Poste - Avenue du Port 86C, 1000 Bruxelles

DATE :10 octobre 2017, De 9h00 à 16h45, suivi d’un networking drink jusqu’à 18h00

PROGRAMME – LUTTE CONTRE LES INFECTIONS NOSOCOMIALES SYMPOSIUM 3

IntroductionDepuis quelques années il existe une concertation régulière et constructive entre le Ministère de la Santé Publique et la fédération belge de l’industrie des technologies médicales. Cette concertation a également été à l’origine du pacte, qui a été signé le 10 octobre 2016, et qui reprend 32 points sur lesquels nous travaillons ensemble. Ces points concernent, entre autres, la sécurité, la traçabilité, l’éthique et un accès plus rapide à l’innovation. En début d’année il nous a également été demandé comment l’industrie pouvait contribuer à une diminution des infections nosocomiales.

En effet, une utilisation correcte des technologies médicales peut contribuer à prévenir, détecter et traiter les infections et ceci dans chaque étape du processus des soins de santé.

Ce symposium traite une dizaine d’exemples pratiques permettant aux hôpitaux de diminuer le nombre d’infections, à l’aide de technologies médicales. Ci-après quelques illustrations avec une diminution significative des infections :

� L’ensemble PAV chez la Pneumonie sous Ventilation Assistée    

� L’utilisation d’un système de réchauffement pour empêcher un patient de souffrir d’hypothermie lors d’une intervention chirurgicale.

� Prévenir des infections sanguines liées au cathétérisme grâce à l’utilisation de cathéters avec revêtement spécial, de nouveaux produits de nettoyage, d’une douche préopératoire avec un savon antiseptique ou simplement par l’implémentation de nouvelles directives.

� Soins de plaies avancés, qui réduisent le nombre d’infections et en plus les pansements doivent être remplacés moins souvent, avec tous les avantages que cela comporte.

L’objectif de ce symposium est de favoriser un échange d’information et une collaboration entre les hôpitaux et l’industrie, qui se traduisent dans des projets concrets avec l’implémentation et le suivi d’une nouvelle approche. La collaboration avec les associations d’hôpitaux est en tout cas encourageante, positive et prometteuse.

Dans l’avant-midi nous étudions également le paysage actuel, avec une analyse des éventuels obstacles qui pourraient freiner le développement de la qualité. La détection et la suppression de ces obstacles est une responsabilité commune des autorités, des hôpitaux et de l’industrie.

Ce symposium n’est pas une initiative isolée. Les résultats de nos efforts communs vous seront présentés lors d’un deuxième symposium, le 19 mars 2019. Nous espérons qu’à ce moment nous pourrons vous monter les avancées qui ont été réalisées, aussi et surtout dans l’intérêt du patient.

Nous vous souhaitons une agréable journée riche en inspiration.

Marnix DenysDirecteur beMedTech

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Vision

1. CONTEXTELes infections nosocomiales ou infections contractées dans les hôpitaux sont des infections qu’un patient peut attraper lors d’un séjour dans un hôpital ou dans un autre centre de soins (ou endéans les 48 heures après sa sortie) et qui n’étaient pas présentes à l’admission.

LES INFECTIONS NOSOCOMIALES � ont un impact clinique significatif (p. ex. complications, décès du patient)

� augmentent les coûts des soins de santé (p. ex., durée du séjour à l’hôpital, besoin d’un traitement supplémentaire, incapacité de travail, etc.)

Dans l’Union Européenne, on estime à 4,1 millions par an le nombre de personnes atteintes d’infections liées aux soins de santé. Selon le Centre Européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC), les infections entrainent au moins 37 000 décès par an et un coût annuel pour la communauté de 7 milliards d’euros.

En Belgique, le KCE a estimé à 2.600 le nombre de décès après une infection nosocomiale (ce qui correspond à près de 5 fois le nombre annuel de décès dûs à des accidents de la circulation - rapport KCE 102A).

L’ECDC estime qu’avec la mise en place de programmes d’hygiène et de lutte contre les infections on peut éviter jusqu’à 20 ou 30% de ces infections.

À l’heure où les moyens disponibles pour les soins de santé se font de plus en plus rares, des solutions innovantes sont nécessaires pour assurer la durabilité et la qualité de notre système de soins de santé. Il s’agit d’une attente justifiée des patients.

2. APPELÀL’ACTIONLe risque zéro n’existe pas, mais la tolérance zéro devrait être le point de départ.

Une action forte et coordonnée est nécessaire afin de prévenir des incidents évitables tels que les infections nosocomiales. Les connaissances, l’expertise médicale et les technologies nécessaires sont disponibles.

Les associations d’hôpitaux et beMedTech demandent donc aux autorités belges – fédérales et régionales – d’élaborer ensemble, de manière structurelle et sur base des recommandations et des analyses de l’Institut scientifique de la santé publique, du Conseil de la santé de Belgique et du KCE un nouveau plan d’action. Le moment pour ce faire est arrivé.

Compte tenu de l’urgence, un certain nombre de projets ont déjà été lancés, plus d’information à ce sujet lors du symposium du 10 octobre 2017.

S’APPUYANT SUR LES EFFORTS DÉJÀ FOURNIS UNE COOPÉRATION EST POSSIBLE VIA :

� le développement de systèmes de surveillance et de rapportage clairs pour les infections nosocomiales

� la mise en place de directives ‘Evidence-based’ pour le contrôle des infections et le partage d’exemples de bonnes pratiques

� la fixation d’objectifs pour la diminution du nombre d’infections nosocomiales

� la mise en place d’un programme de lutte contre les infections dans les établissements de soins

� le développement de nouveaux modèles de financement pour un meilleur accès aux solutions innovatrices dans la lutte contre les infections nosocomiales

� la création de programmes éducatifs pour les professionnels de la santé ainsi que pour les patients

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Pourquoi beMedTech organise-t-elle ce symposium ?

L’industrie des technologies médicales a réalisé des avancées considérables dans la recherche et le développement de technologies permettant de prévenir, détecter et gérer les infections liées aux soins de santé, tout au long du trajet de soins du patient. beMedTech est la fédération de l’industrie des technologies médicales. Notre mission consiste à mettre des technologies précieuses et innovatrices à disposition de plus de personnes et à soutenir la réforme des soins de santé vers un système durable. Nous plaidons en faveur d’une politique équilibrée qui permet à l’industrie des technologies médicales de répondre à la croissance des besoins de soins et aux attentes des intéressés.

Les technologies médicales (dispositifs médicaux et diagnostics in vitro) peuvent contribuer à prévenir, diagnostiquer et maitriser les infections durant le trajet de soins du patient

Lors du symposium du 10.10.2017 et dans cette brochure, vous trouverez quelques solutions efficaces qui peuvent contribuer à des meilleurs résultats cliniques et apporter une plus-value pour le système des soins de santé :

1. AVANTDERENTRERÀL’HÔPITAL

Pour les patients dont l’admission à l’hôpital est programmée, et même en cas d’admission en urgence, on peut réaliser des tests qui diminuent le risque d’infections liées aux soins de santé et garantissent un meilleur résultat.

LE PROBLÈMEChacun est porteur de germes sur la peau et dans les voies respiratoires et digestives, qui sont, pour la plupart, bénignes. Lors d’une hospitalisation, certains de ces germes peuvent causer des infections. Ceci peut engendrer une prolongation du séjour hospitalier, des frais de traitement supplémentaires et malheureusement même un handicap ou un décès.

QUE PEUT-ON FAIRE ?Programmes de dépistage : avant d’être admis à l’hôpital, les patients sont contrôlés pour détecter s’ils sont colonisés par des bactéries, avant d’être admis dans un service.

EXEMPLES DE TECHNOLOGIES : � dépistage nasal pré-chirurgical,

� screening moléculaire

2. ARRIVÉDANSUNDÉPARTEMENT

Beaucoup d’interventions médicales nécessitent l’utilisation d’un cathéter (un tube fin, propre et creux souvent en plastique souple ou en caoutchouc). Ceux-ci sont glissés dans le corps pour injecter des liquides (p.ex. une solution saline ou un anesthésiant) ou pour drainer (p.ex. de l’urine ou des sécrétions de plaies).

LE PROBLÈMEBeaucoup de patients ont besoin d’un cathétérisme lors de leur admission. Le European Centre for Disease Prevention and Control (ECDC) a reconnu les infections sanguines liées au cathétérisme (CRBSI : Catheter Related Blood Stream Infection) comme une des 5 priorités cliniques nécessitant un accompagnement scientifique supplémentaire. On parle d’une CRBSI quand le patient développe une infection du système sanguin et que le point de départ de l’infection est un cathéter intravasculaire. Cela se produit lorsque des bactéries ou des champignons se fixent dans ou autour du cathéter et se répandent dans le système sanguin du patient. Ces infections peuvent avoir des conséquences graves : Parmi les patients hospitalisés dans une unité de soins intensifs qui développent une CRBSI, 30-35% décèdent.

QUE PEUT-ON FAIRE ?La meilleure manière de prévenir les CRBSI est d’appliquer de façon stricte »les bonnes pratiques »’, notamment en matière d’hygiène des mains et en utilisant des soins adaptés dans les contacts avec les patients. Les technologies médicales innovatrices peuvent également contribuer.

EXEMPLES DE TECHNOLOGIES: � Procédures de nettoyage et de désinfection.

� Des technologies médicales avancées accompagnées de ‘bonnes pratiques’,

� L’utilisation de pansements antimicrobiens

3. CHIRURGIEAUQUARTIEROPÉRATOIREETINTERVENTIONSCHIRURGICALESINVASIVES

Après l’opération, une infection peut apparaître à l’endroit où l’intervention chirurgicale ou diagnostique a eu lieu dans le

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corps. Dans le cas de la chirurgie on parle d’infections du site chirurgical (SSI : Surgical Site Infections): il s’agit de plus de la moitié de tous les effets indésirables pour ce groupe de patients.

LE PROBLÈME Une SSI peut entrainer une prolongation du séjour hospitalier post-opératoire, un besoin de soins intensifs et peut même nécessiter des interventions chirurgicales supplémentaires. On estime que 6% de tous les patients qui subissent une opération développent une SSI.

QUE PEUT-ON FAIRE?Environ 40 à 60% des SSIs peuvent être évitées grâce à l’implémentation de bonnes pratiques cliniques, à l’utilisation de technologies médicales innovatrices qui permettent des interventions invasives minimales et à l’instauration de mécanismes de surveillance efficaces. Pour la surveillance des SSIs il est important d’avoir une ventilation adaptée au quartier opératoire, d’appliquer les bonnes pratiques lors de la stérilisation du matériel, de respecter le protocole pour la désinfection de la peau et des instruments chirurgicaux, de faire respecter les directives aux prestataires de soins, telles que le port de vêtements et de gants de protection adaptés.

EXEMPLES DE TECHNOLOGIES: � Un réchauffement du patient actif,

� Prendre des mesures antibactériennes efficaces, comme par exemple l’utilisation de sutures à revêtement anti-bactérien

� Stérilisation correcte des instruments réutilisables,

� Utilisation de pansements de haute technologie sur les incisions fermées.

4. SÉJOURHOSPITALIER(UNITÉDESSOINSINTENSIFSOUUNITÉSMÉDICO-CHIRURGICALES)

Les patients séjournant à l’hôpital espèrent pouvoir guérir rapidement et recevoir les meilleurs soins possibles, sans être exposés à des risques inutiles. En attrapant une infection, le bien-être du patient diminue. Dans les cas les plus graves, de telles infections peuvent provoquer des maladies de longue durée, une invalidité ou même le décès.

LE PROBLÈMEDes patients qui attrapent une infection lors d’une intervention chirurgicale voient leur séjour à l’hôpital prolongé de +/- 6,5 jours en moyenne, ils ont cinq fois plus de chances d’être ré-hospitalisés et risquent deux fois plus de décéder.

QUE PEUT-ON FAIRE ?Les prestataires de soins qui respectent scrupuleusement les programmes antibiotic Stewardship, qui prennent les bonnes mesures pour la détection des infections bactériennes et de ce fait diminuent le risque de transmission, qui réduisent les interventions invasives au minimum lors d’une opération, peuvent réduire la période de convalescence du patient et le risque d’infection.

EXEMPLES DE TECHNOLOGIES: � Utilisation d’aiguilles et seringuesde sécurité,

� Câbles ECG à usage unique,

� Systèmes automatisés pour la désinfection de l’environnement,

� Suppression des exsudats subglottiques lors de l’utilisation de tubes endo-trachéaux

5. SORTIEDEL’HÔPITALETRETOURAUDOMICILE

Le paysage des soins de santé est en pleine évolution. Nous constatons une tendance au glissement des soins en hôpital vers les polycliniques et la chirurgie de jour. Les patients poursuivent donc leur traitement plus souvent dans d’autres institutions de soins ou à leur domicile. Les patients espèrent que leur sécurité reste garantie tout au long de leur trajet de soins. Le rôle des patients, des aides-soignantes et de la famille dans la lutte contre les infections liées aux soins de santé est crucial lors du rétablissement au domicile. Ils doivent être informés sur la manière dont ils peuvent contribuer à réduire les infections et de la sorte garantir un bon rétablissement.

LE PROBLÈMELes patients et prestataires de soins doivent rester vigilants lors de la convalescence au domicile. Il faut continuer à prendre les mesures d’hygiène nécessaires, parce que des infections peuvent se produire même après la sortie d’hôpital. Une utilisation correcte et le remplacement adéquat des dispositifs médicaux restent cruciaux jusqu’au rétablissement complet du patient. En effet, les infections peuvent engendrer une diminution de la qualité de vie, une plus longue absence du travail, une pression supplémentaire pour la famille et le système des soins de santé.

QUE PEUT-ON FAIRE ?Les soins de santé au domicile du patient sont plus difficiles à contrôler et restent donc un plus grand défi. Un rôle important est réservé aux patients et aux prestataires de soins : ils doivent respecter les bonnes pratiques pour la sécurité du patient.

EXEMPLES DE TECHNOLOGIES : � Gestion de soins de plaies,

� Détection précoce des bactéries.

Pour plus d’information, consultez www.bemedtech.be ou contactez : [email protected]

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Programme

Moderateur: Dennis van den Buijs

09:00-09:30 ACCUEIL

09:30-09:35 Mot de bienvenue Marnix Denys - Directeur beMedTech

09:35-09:45 Ouverture du symposium. Maggie De Block - Ministre des Affaires

Sociales et de la Santé Publique

09:45-10:05 Un aperçu des infections liées aux soins en Belgique.

Dr. Boudewijn Catry – Chef de service infections liées aux soins et antibiorésistance - Institut Scientific de santé Publique

10:05-10:25 Gestion d’une épidémie: plan de maîtrise d’un cas VRE.

Luc Rosseel - Directeur du Département infirmier et paramédical - AZ Delta Roeselare

10:25-10:45 Le contrôle des infections: un cas d’économie et de qualité.

Prof. Dr. Dominique Vandijck - Zorgnet-Icuro & UHasselt

10:45-11:15 BREAK

11:15-11:35 Des méthodes innovantes pour des problèmes bien connus.

Denis Herbaux - Directeur PAQS

11:35-12:20 Débat avec les orateurs et les invités suivants:

• Anne Ingenbleek – Coordinatrice BAPCOC, SPF Santé publique

• Dr. Louis Ide - Le contrôle des infections, Microbiologie, Politique antibiotique, Biologie clinique - AZ Jan Palfijn Gent

12:20-13:20 Buffet sandwichs gourmand

PRÉSENTATION DE DIFFÉRENTS CAS.

Cas #1 INTRODUCTION CASE - Best Practice Expériences avec l’ensemble PAV - une approche globale.

13:20-13:50 Prof. Dr. Stijn Blot - UGent & Dr. Walter Swinnen - AZ St-Blasius Dendermonde

Cas #2 Contrôle du risque infectieux à l’hôpital AZ Jan Palfijn de Gent, le récit d’une expérience

13:50-14:05 Dr. Louis Ide - Le contrôle des infections, Microbiologie, Politique antibiotique, Biologie clinique - AZ Jan Palfijn Gent

Cas #3 Infections des voies urinaires associées au port d’un cathéter. Une pathologie connue qui fait encore parler d’elle.

14:05-14:20 Dr. Radu Ciprian Tincu – Anesthésiste - The Clinical Emergency Hospital, Romania

Cas #4 Amélioration de l’adhésion à la thérapie préopératoire du patient lors de l’utilisation d’un savon douche antiseptique.

14:20-14:35 TBC

Cas #5 Préparation cutanée avant intervention médicale invasive pour réduire les bactériémies liées aux cathéters.

14:35-14:50 Dr. Marc Königs – Anesthésiste, chef soins intensifs, services des secours et soins intermédiaires - Maxima Medical Center, Les Pays-Bas

14:50-15:20 BREAK

Cas #6 Estimation de l’impact de l’amélioration des méthodes de retraitement sur la sécurité microbiologique des endoscopes.

15:20-15:35 Prof. Isabel Leroux-Roels – Biologiste clinique - UZ Gent

Cas #7 Les enjeux de l’ajout de la Thérapie Pression Négative dans la prévention des complications du site opératoire en chirurgie cardiaque.

15:35-15:50 Michael Paternoster - Infirmier en chef du service Cardiovasculaire - Hôpital de Jolimont La Louvière

Cas #8 Utilisation de la thérapie à pression négative sur des incisions chirurgicales fermées.

15:50-16:05 Prof. Dr. M.A. Boermeester – Professeur de chirurgie et d’épidémiologie clinique - Academic Medical Center Amsterdam, Les Pays-Bas

Cas #9 Des pansements postopératoires modernes contribuent à réduire le risque SSI et les coûts de la prise en charge.

16:05-16:20 Dr. Philippe Van Overschelde – Spécialiste en orthopédie & traumatologie - AZ Maria Middelares Gent

Cas #10 La Prévention et traitement de l’hypothermie péri-opératoire.

16:20-16:35 Dr. Koen Reyntjens- Anesthésiste - Universitair Medisch Centrum Groningen, Les Pays- Bas

16:35-16:45 Call for action: propositions de projets et conclusions.

Marnix Denys - Directeur beMedTech

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NOTES

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Cas #?

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Cas #1

Expériences avec l’ensemble PAV: une approche globale Une pneumonie associée à une ventilation mécanique (VAP) (qui se manifeste après plus de 48h) est l’une des complications les plus fréquentes en soins intensifs chez les patients souffrant d’une ventilation invasive. Cela se produit dans 9-27% des cas, chez les patients ventilés mécaniquement, devenant ainsi l’une des infections nosocomiales les plus fréquentes chez les patients ventilés mécaniquement.

Le VAP entraîne des dépenses supplémentaires importantes, estimées à 10 000 € par épisode VAP. VAP est également responsable d’une prolongation de la durée du séjour en soins intensifs et à l’hôpital et pour une augmentation de la mortalité.

En dépit d’une recherche scientifique intensive sur les stratégies préventives, il semble très difficile dans la pratique de réduire l’incidence du VAP. L’az Sint-Blasius à Dendermonde a réussi à réduire progressivement l’incidence de la VAP par une approche structurée. Plusieurs initiatives d’amélioration ont été introduites et envoyées via la méthodologie PDCA.

Il a également été démontré que cette amélioration pourrait entraîner une baisse significative des dépenses de sécurité sociale.

BIOGRAPHIE Stijn Blot Professeur titulaire, Faculté de médecine et sciences de la santé, Université de Gand Professeur honoraire, Burns Trauma and Critical Care Research Centre, The University of Queensland, Brisbane, Australia Chercheur, Nursing & Allied Healthcare Professionals, European Society of Intensive Care Medicine Membre agréé du Conseil d’administration, Vlaamse vereniging intensieve zorgen verpleegkundigen

Walter Swinnen (1966) Directeur Médical Adjoint, Anesthésiste-Réanimateur az Sint-Blasius, Dendermonde, Maitre de stage Anesthésie-Réanimation az Sint-Blasius, DendermondeConsultant académique KU Leuven – Membre Comité de pilotage Pentalfa UZ LeuvenConférencier invité, School of Expert Education UHasselt

PROPOSITIONMISEENPLACED’UNPROGRAMMEVAPOUTCOMEPLEDGELe diagnostic de la VAP est toujours un challenge. Les connaissances sur les recommandations basées sur les évidences cliniques sont pauvres. Les hôpitaux ont des difficultés à implémenter l’ensemble VAP, ainsi que les recommandations supplémentaires, ce qui produit une non compliance aux différentes préventions existantes afin de réduire le nombre de VAP en USI. Registration des VAP. Problème général en USI et donc pas spécifiquement pour la Belgique.

LASOLUTIONETL’OFFREMEDTRONIC:Proposer un Kit de solutions visant à diminuer les VAP basé sur une approche clinique prouvée ainsi que des actions non cliniques basées sur une stratégie et un processus de monitoring pour garantir une application optimale.

Nombre maximum de participants 5 hôpitauxDurée du projet +/- 12 moisQue va-t-on mesurer ? fréquence de VAP et la durée du séjour en Soins Intensifs Business model sur mesure +, modèle basé sur le partage de risques

INTERESSÉ?Verbist Fred, Product Manager De Win John, Sales ManagerMedtronic Minimally Invasive Therapies Group Burgemeester E. Demunterlaan, 5 - 1090 Jette +32 (0)478 84 84 [email protected] | [email protected]

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Cas #2

Contrôledurisqueinfectieuxàl’hôpitalAZJanPalfijndeGand,lerécitd’uneexpérience

1. POLITIQUEANTIBIOTIQUELes bactéries développent de plus en plus fréquemment une résistance aux antibiotiques. Ce phénomène est notamment dû à la surconsommation d’antibiotiques. Dans notre hôpital, nous exerçons une surveillance rigoureuse sur la consommation (inutile) d’antibiotiques. Et les résultats sont au rendez-vous !

2. HYGIÈNEDESMAINSRIGOUREUSEUne mauvaise hygiène des mains favorise la prolifération des bactéries. Les bactéries peuvent aussi élire domicile sous les bijoux que nous portons aux mains. Le port de tels bijoux est donc interdit pour tous les médecins et collaborateurs en contact avec les patients. Notre personnel se désinfecte les mains fréquemment. Nous atteignons un excellent score pour l’hygiène des mains.

3. POLITIQUED’ISOLEMENTLors de l’admission de patients à risque, nous procédons au prélèvement d’échantillons. Si ces échantillons sont testés positifs (par exemple pour MRSA), le patient sera soigné en chambre d’isolement. De cette manière, il ne pourra pas contaminer nos autres patients.

4. ELIMINATIONDESSOURCESPOTENTIELLESDETRANSFERTMême s’il n’est pas malade, un patient testé positif pour le MRSA est décontaminé de manière à éliminer le MRSA. Une application spécifique consiste à empêcher la propagation du virus de la grippe. Pour ce faire, nous organisons chaque année une campagne de vaccination. 80% de nos collaborateurs en contact avec les patients y prennent part.

BIOGRAPHIE Louis Ide Louis Ide (1973) est marié et a trois filles. Il a étudié la médecine au KUL. Il a étudié aussi la médecine tropicale et la mycologie à l’ITG à Anvers. Dr Ide s’est spécialisé en microbiologie, contrôle du risque infectieux, politique antibiotique. Il a effectué 2 missions Médecins Sans Frontières au Soudan et au Tchad. Depuis 2007 il travaille à l’hôpital de Jan Palfijn à Gand. Dans le laboratoire de l’ hôpital il est responsable microbiologie, contrôle du risque infectieux et politique antibiotique. Cette année lui et son équipe chargée du contrôle du risque infectieux ont reçu le « European Hand Hygiene Excellence Award ».

PROPOSITIONBBraun voudrait utiliser les 12 prochains mois pour faire des études de marché dans 1 ou 2 hôpitaux en utilisant le trajet du patient à l’hôpital. Ce trajet montre tous les domaines où il existe un risque potentiel d’infection: avant l’admission à l’hôpital - en arrivant au quartier opératoire - dans la salle d’opération ou l’unité de soins intensifs, ... - lorsqu’il rentre chez lui.

Cette recherche permettrait à BBraun de préparer des propositions de projets sur chaque domaine spécifique pour l’année prochaine avec des données comme preuve et un projet clair en termes de durée, de ressources, de départements, ... pour chacun.

Il n’y aura pas de tests de produits, mais l’organisation de plusieurs réunions pour discuter de la nature des projets dans une situation idéale auxquels ils souhaitent participer ainsi que de la manière dont ils doivent être gérés afin de leur fournir des données objectives et mesurables. Le projet devra être adéquat, mesurable et attrayant.

Pour voir une diminution de l’infection grâce à un tel projet, un accord est nécessaire concernant :

� Utilisation du type spécifique de produit

� Dans un département ciblé

� Avec un minimum de variables

Nombre maximum de participants : 2 HôpitauxDurée du projet : 12 moisCe qui sera mesuré : Aucune mesure INTERESSÉ? Virginie Hooker, Product Manager B. Braun Benelux Out Patient Market Lambroekstraat 5b 1831 DIEGEM +32 (0)2 712 86 50 +32 473 88 89 87 [email protected] www.bbraun.be

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Cas #3

Infections des voies urinaires associées au port d’un cathéter. Une pathologie connue qui fait encore parler d’elle

ETUDEEFFICACYOFNOBLEMETALALLOY-COATEDCATHETERINPREVENTIONOFBACTERIURIA(EFFICACITÉDESCATHÉTERAVECREVÊTEMENTENALLIAGEDEMÉTALNOBLEDANSLAPRÉVENTIONDELABACTÉRIURIE)R. Tincu, C. Cobilinschi, D. Tomescu, Z. Ghiorghiu, R. Al. Macovei (Critical Care 2016, Volume 20, Suppl 2, 2016, page 26)

Cette étude avait pour objectif d’évaluer les avantages d’un cathéter à revêtement en métal noble, par rapport à un cathéter de Foley en silicone, pour les patients admis dans notre service de soins intensifs de toxicologie pour intoxication médicamenteuse, avec cathétérisme sur une courte période. Cette étude a été réalisée sur 120 patients affectés de façon aléatoire à l’un des deux groupes suivants : le premier groupe a été traité avec un cathéter à revêtement en alliage de métal noble (Groupe 1) et le second groupe avec un cathéter de Foley en silicone (Groupe 2). L’incidence de bactériurie a été de 2 % avec les cathéters à revêtement en alliage de métal noble et de 6,6 % avec les cathéters en silicone (p < 0,05), après une période moyenne de trois jours de cathétérisme. Les patients âgés de plus de 65 ans (rapport de cotes 6,08) présentaient un facteur de risque de bactériurie important.

BIOGRAPHYDr. Radu Ciprian Ṭincu(1982) MD, PhD, conseiller principal près le Service d’anesthésiologie et soins intensifs du Clinical Emergency Hospital de Bucarest, en Roumanie; tous les types d’anesthésie, travail quotidien au service de soins intensifs

Formation professionnelle : 01.01.2008 – 31.12.2012 : interne au Clinical Emergency Hospital de Bucarest1.10.2009 – 1.01.2012 : professeur agrégé à l’école de sciences infirmières Giurgiu Nursing School : cours d’anesthésiologie pour les élèves infirmiers/ières01.09.2010 – 01.03.2015 : intervenant/formateur au « 9 months Center » : accompagnement des femmes enceintes sur les techniques anesthésiques de l’accouchement Juillet 2013 – Juillet 2014 : rédacteur pour la revue médicale GalenusMars 2017 : Doctorat de médecine (PhD), Université de médecine et de pharmacie « Carol Davila »

Dernières publications :Favourable results for L-carnitine use in valproic acid acute poisoningRadu Ciprian Ţincu, Cristian Cobilinschi, Dana Tomescu, Laurenţiu Coman, Iulia Ţincu, Camelia Diaconu, Radu Alexandru Macovei. Farmacia, 2017, Vol. 65, 3, pag. 396-400

The compartment syndrome associated with deep vein thrombosis due to rattlesnake bite: a case reportRadu Ciprian Ţincu, Zoie Ghiorghiu, Dana Tomescu, Radu Alexandru Macovei. Balkan Medical Journal, 2017, 34(4), 367-370

Selenium an glutathione peroxidase levels in patients with acute respiratory distress syndrome Tincu R, Cobilinschi C, Tincu I, Ghiorghiu Z, Macovei RA. European Journal of Anaesthesiology, vol 34, e-Supplement 55, juin 2017

Perioperative ventricular arrhythmias in a patient treated with Christmas rose (Hellerobus spp) powder - case presentation Cobilinschi C., Țincu R., Opriță B., Tomescu D., Macovei R.A. European Journal of Anaesthesiology, vol 33, e-Supplement 54, juin 2016

Ventilator associated pneumonia: do silver-coated endotracheal tubes really work? Radu Ciprian Tincu, Cristian Cobilinschi, Radu Alexandru Macovei. European Journal of Anaesthesiology, vol 32, e-Supplement 53, pag 369, juin 2015

PROPOSITIONBactiguard est un fabricant suédois d’instruments médicaux, qui se consacre à sauver des vies. Nous nous efforçons de diminuer le coût financier très élevé des infections nosocomiales, et de réduire l’utilisation d’antibiotiques et par là-même la propagation de bactéries multirésistantes. Pour accomplir cette mission, nous proposons des solutions de protection contre les infections qui réduisent l’incidence des infections nosocomiales associées aux instruments médicaux. La technologie Bactiguard est éprouvée, efficace et biocompatible. Elle est basée sur une couche extrêmement fine de métaux nobles, qui est appliquée sur les instruments médicaux et empêche les bactéries d’en coloniser la surface.

Le portefeuille de produits proposé par Bactiguard en matière de sondes urinaires à demeure, de sondes d’intubation endotrachéales et de cathéters veineux centraux prévient les infections nosocomiales au niveau des voies urinaires, les voies aériennes et la circulation du sang.

Ensemble, nous pouvons aller plus loin. Laissez-nous examiner la façon dont nous pouvons aider et améliorer votre manière actuelle de travailler. Nous recherchons entre deux et cinq hôpitaux avec qui on peut démarrer un projet. L’objectif global doit être de réduire l’incidence des infections des voies urinaires associées à l’usage de cathéter urinaire (CAUTI), des bactériémies associées à l’usage de cathéter veineux central (CLABSI) et des pneumonies acquises sous ventilation (PAV).

Nombre maximum de participants 2 à 5 HôpitauxDurée du projet plus ou moins un an Ce qui sera mesuré réduction l’incidence infection

INTERESSÉ?Kris Pauwels, Product Specialist Vital CareHOSPITHERA SA/NV Division Interventional Care Rue de la Petite Île 3 1070 Bruxelles E : [email protected] T: +32 (0) 2 535 03 80M : +32 (0) 491 12 62 http://www.hospithera.com

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Cas #4

LUTTE CONTRE LES INFECTIONS NOSOCOMIALES PROCHAINE ÉDITION

19 mars 2019BRUXELLES

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Amélioration de l’adhésion à la thérapie préopératoire du patient lors de l’utilisation d’un savon douche antiseptique

SERAPRÉSENTÉLORSDUPROCHAINSYMPOSIUM

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PROGRAMME – LUTTE CONTRE LES INFECTIONS NOSOCOMIALES SYMPOSIUM

Cas #5

Préparation cutanée avant intervention médicale invasive pour réduire les bactériémies liées aux cathéters

SOINSDESANTÉFONDÉSSURLAVALEURDANSLAPRÉVENTIONDESINFECTIONSHOSPITALIÈRESQuelle est la différence entre planter un couteau dans votre thorax et insérer une aiguille pour une perfusion ?

La question peut sembler étrange. Mais si vous demandez quelle est la différence entre un patient qui arrive aux urgences avec une blessure à l’arme blanche et qui contracte une septicémie après une infection liée au cathéter central, la question semble moins ridicule. Au contraire même. Avec une infection sur cathéter veineux central (I.C.V.C), le patient contracte une maladie causée par le système de soins de santé auquel il fait confiance.

Un patient s’attend à être traité dans les règles de l’art, y compris en ce qui concerne la prévention des infections.

Les soins de santé fondés sur la valeur pourraient-ils faire la différence pour les hôpitaux et les patients ? Même sur des sujets tels que le contrôle et la prévention des infections nosocomiales ?

Je vais vous montrer que cela fait la différence. Une différence en termes de qualité et de résultat. Dépenser de l’argent dans ce domaine, c’est contribuer à la santé de nos patients. Protéger le patient signifie économiser de l’argent pour le système national des soins de santé. Une infection liée au cathéter central n’arrive pas par hasard au patient, elle est essentiellement apportée au patient.

Mesurer ce que vous faites et faire preuve de transparence dans vos résultats améliorera la sécurité des patients et compensera au moins les coûts raisonnables de départ.

La politique de tolérance zéro à l’égard des I.C.V.C. menée par le Centre Médical Maxima permet d’économiser des coûts et de sauver des vies. Mais nous devons rester attentifs aux prochaines étapes qui améliorent la sécurité de tous les patients hospitalisés et ambulatoires.

BIOGRAPHYDr Dr. Marc Königs(1965) anesthésiste, chef du service ICU-EC-Medicum Care au Centre Médical Maxima à Eindhoven /Veldhoven, Pays-Bas

Education :2004: Spécialisation INTENSIVISTE (médecin en soins intensifs), consultant à la Vrije Universiteit

Amsterdam , Amsterdam , Pays-Bas

1997: Médecin traitant en anesthésiologie, Kreiskrankenhaus Marienhöhe , Würselen , Allemagne

Anesthésiste - Médecin urgentiste hélicoptères de sauvetage, ADAC

Rapatriement par avion-ambulance dans le monde entier

Carrière et réalisations :2013: Chef du service de médecine intensive (soins intensifs, soins coronaires et médecine d’urgence), au Centre Médical Maxima, Veldhoven, Pays-Bas

2016 : Harvard Business School : Value Based Healthcare (Soins de santé fondés sur la valeur)

2015 : Lean Green Belt Trainee

2004 : Intensiviste (Médecin en soins intensifs), Máxima Medisch Centrum Eindhoven /Veldhoven , Pays-Bas

2014 : chef du service de médecine intensive 2014

2013- 2014 : chef du service des soins intensifs / soins semi-intensifs

Membre de la Commission pour l’hygiène hospitalière et la prévention de maladies infectieuses

Formateur simulation médicale & formation de compétences

07 - 2011 Bonnes pratiques cliniques

Centres d’intérêt :Prévention des infections nosocomiales, transplantation rénale, VBHC – Stratégies de Lean Management dans les hôpitaux

Publications :

A Management Strategy to decrease Ventilator Associated Pneumonia ICU Management , I-2004 , Königs, M ; Polderman K.H. ; Girbes, A.R.J.

Treatment of skin defects using suspensions of in vitro cultured keratinocytesBurns Volume 20, Issue2, april 1994, p 168-172 ; Hafemann B. , Hettich R. , Königs M. et al

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Cas #5

PROPOSITIONBD s’engage à cibler les infections nosocomiales évitables dans le monde entier. Grâce à une approche systématique en matière de contrôle des infections, vous pouvez contribuer à augmenter la sécurité du patient et la confiance du public tout en réduisant les coûts du traitement. En combinant formation et produits testés cliniquement, nous pouvons aider les médecins à réduire le risque d’infection.

Une antisepsie cutanée efficace est indispensable pour prévenir la propagation d’agents pathogènes. C’est la raison pour laquelle nous avons conçu ChloraPrep™, une préparation antiseptique cutanée basée sur 2 % de chlorhexidine dans 70 % d’alcool isopropylique, qui offre une efficacité améliorée et des économies de coûts globales.

FORMULATIONÉPROUVÉEChloraPrep™ est un antiseptique persistant à action rapide et à large spectre destiné à une série d’actes médicaux mineurs et majeurs. La formulation de 2 % de gluconate de chlorhexidine/70% d’alcool isopropylique agit rapidement sur un large spectre de bactéries, dont le Staphylococcus aureus résistant à la méthicilline (SARM), et présente une rémanence d’au moins 48 heures. La formulation et l’applicateur constituent ensemble un système éprouvé qui soutient les directives en matière de contrôle des infections pour aider à réduire l’incidence des infections du système sanguin et des infections du site opératoire (ISO).

DISPOSITIFÉPROUVÉL’éponge douce de l’applicateur, pressée délicatement sur la peau dans un mouvement de va-et-vient, permet à la solution de pénétrer les cinq premières couches cellulaires de l’épiderme, ce qui contribue à réduire les micro-organismes qui se logent dans la peau et peuvent provoquer des infections du système sanguin et des infections du site opératoire (ISO). La forme de l’applicateur empêche tout contact direct entre la main et le patient, ce qui aide à prévenir tout risque de contamination croisée.

SYSTÈMEÉPROUVÉLa formulation et l’applicateur constituent ensemble un système éprouvé qui soutient les directives en matière de contrôle des infections pour aider à réduire l’incidence des infections du système sanguin et des infections du site opératoire (ISO).

Ensemble, nous pouvons encore faire mieux. Laissez-nous examiner la façon dont nous pouvons aider et améliorer votre manière actuelle de travailler. Nous recherchons entre deux et cinq hôpitaux avec qui on peut démarrer un projet. L’objectif global doit être de réduire les infections du système sanguin.

Nombre maximum de participants 2 à 5 HôpitauxDurée du projet plus ou moins un an Ce qui sera mesuré bactériémies liées aux cathéters INTERESSÉ?Kris Pauwels, Product Specialist Vital CareHOSPITHERA SA/NV Division Interventional Care Rue de la Petite Île 3 1070 Bruxelles E : [email protected] T: +32 (0) 2 535 03 80M : +32 (0) 491 12 62http://www.hospithera.com|

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Cas #6

Estimation de l’impact de l’amélioration des méthodes de retraitement sur la sécurité microbiologique des endoscopes.UZ Gent et OneLife ont travaillé ensemble depuis 2016 sur le sujet de la surveillance microbiologique des endoscopes. Ils ont comparé les rendements de plusieurs méthodes de prélèvement des endoscopes flexibles et évalué leur impact sur la classification des appareils comme acceptable ou non selon les critères européens. Les résultats, publiés en 2017 dans Infection Control and Hospital Epidemiology par Dr. Lien Cattoir, Dr. Thomas Vanzieleghem et le Pr. Isabel Leroux-Roels, montrent que l’utilisation d’une brosse de type Pull-ThruTM en plus d’un seringuage à la solution physiologique permet d’augmenter le rendement de prélèvement et d’améliorer la détection des microorganismes. Corrolairement, le taux de prélèvements « faux-négatifs » s’en trouve diminué.

Cette procédure optimisée fournit une opportunité d’évaluer, de manière harmonisée, la qualité microbiologique des endoscopes dans les hôpitaux et centres de soins. Il est également possible de documenter l’impact de changements et améliorations qui seraient apportés aux protocoles de retraitement des endoscopes et au système de management de la qualité.

BIOGRAPHIEIsabel Leroux-RoelsIsabel Leroux-Roels travaille comme biologiste clinicien au laboratoire de microbiologie de l’UZ Gand. Elle coordonne également le département d’hygiène hospitalière du même hôpital. Isabel est un professeur associé à l’université de Gand, chargée de cours sur les sujets de la microbiologie, de l’hygiène hospitalière et la vaccinologie aux étudiants de médecine, de sciences biomédicales et de pharmacie. Isabel est également membre de la plateforme fédérale d’hygiène hospitalière et est active, depuis 2017, dans un projet transfrontalier avec les Pays-Bas « i-4-1 health » étudiant la répartition des bactéries multi-résistantes dans les hôpitaux, la communauté et le bétail. Elle porte un intérêt particulier à l’occurrence des biofilms dans le milieu hospitalier, de laquelle découle la problématique des endoscopes contaminés.

PROPOSITIONLes endoscopes flexibles sont des dispositifs médicaux complexes qui ne peuvent être stérilisés à la vapeur. Ces appareils représentent un risque important de transmission nosocomiale de pathogènes provenant de l’environnement ou des patients. Cela peut se produire lorsque les endoscopes ne sont pas retraités et stockés de manière optimale. Dans ce cas, des biofilms peuvent se former dans les endoscopes. Les biofilms sont responsables de la persistance accrue des germes dans les endoscopes et ne pas éliminés par des méthodes classiques de nettoyage et de désinfection. En effet, l’éradication des biofilms nécessite l’utilisation de procédures et de produits détergents spécifiques qui ne sont pas systématiquement employés en pratique.

Le but de ce projet est de fournir les outils et d’apporter du support aux hopitaux pour diminuer le niveau de contamination des endoscopes et améliorer la sécurité liée à l’utilisation de ces appareils à travers un package de mesures :

� implementation de nouveaux protocoles de retraitement des endoscopes basés sur une revue des études scientifiques et des recommendations les plus récentes (assemblés par l’UZ Gent, OneLife et les hopitaux participants).

� l’utilisation de détergents enzymatiques qui dissolvent spécifiquement le biofilm microbien (enziMed® Prevent pour le nettoyage en routine et l’enziQure® pour le traitement curatif).

� implementation d’une méthode optimisée de prélèvement d’endoscopes qui améliore les rendements et réduit la probabilité d’obtenir des résultats faux-négatifs (Cattoir et al., Infection Control and Hospital Epidemiology 2017)

� des audits pour assurer l’adhérence aux nouveaux protocoles proposés

In fine, l’amélioration de la qualité microbiologique des endoscopes résultera en une protection accrue des patients contre les infections nosocomiales et un risque réduit d’épidémie liée à l’utilisation des endoscopes.

UNE VERSION COMPLÈTE DU PROTOCOLE EST DISPONIBLE SUR DEMANDE.

Nombre d’hopitaux 4 Durée 12 moisCe qui sera mesuré La qualité microbiologique des endoscopes flexibles

INTERESSÉ?Dr. Thomas VanzieleghemOneLife S.A. 15, Avenue Albert Einstein, 1348 Louvain-la-Neuve, [email protected]; 010/48 34 27

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Cas #7

Lesenjeuxdel’ajoutdelaThérapiePressionNégativedans la prévention des complications du site opératoire en chirurgie cardiaqueLes plaies chirurgicales sont des plaies aiguës créées dans un environnement stérile, elles sont censées guérir sans complications dans des délais relativement brefs. Cependant, en raison d’une obésité en hausse, du vieillissement de la population, d’un nombre croissant de comorbidités associées et de l’évolution des traitements médicaux, le nombre de cas chirurgicaux plus complexes et à haut risque augmente progressivement. Chaque année, plus de 250 millions de procédures chirurgicales sont effectuées et une proportion importante d’entre elles développera une complication du site chirurgical (SSC), telle qu’une infection, une déhiscence, un sérome, etc.

Une étude a montré qu’une infection du site chirurgical en chirurgie cardiaque peut augmenter la durée de séjour d’un patient de 7 jours à 29 jours et doubler le coût global de la chirurgie (Jenks et al.) L’Hôpital de Jolimont est en train d’analyser l’ensemble du trajet de soins de ses patients afin d’optimaliser sa stratégie préventive à cet égard. Ils ont, notamment, observé l’impact de l’utilisation du PICO placé en fin d’intervention d’une chirurgie cardiaque. 39 patients ont été inclus. Le test initial comprenait tous les patients opérés. Actuellement une seconde phase d’évaluation n’incluant que les patients à haut risque est en cours. Selon les premières données, PICO semble un adjuvant efficace dans la prévention des complications du site chirurgical dans l’unité de chirurgie cardiaque de l’Hôpital de Jolimont.

BIOGRAPHYMichael Paternoster est actuellement Infirmier en chef du service de Chirurgie Thoracique à l’Hôpital de Jolimont à Haine-Saint- Paul. Après avoir accompli ses humanités à l’Athénée Provincial de la Louvière, il a entamé ses études d’Infirmier bachelier à Haine-Saint-Paul. Après avoir obtenu son diplôme, il a exercé le métier d’Infirmier dans différents services de l’Hôpital de Jolimont. Durant cette période, il a complété sa formation à l’Université Catholique de Louvain dans le cadre d’un Master en Sciences de la Santé Publique. Suite à cela, il a été successivement Infirmier en Chef de l’unité One Day, de la clinique de la douleur, de cardiologie et de la chirurgie plastique. Il a par la suite élargi ses connaissances grâce à l’obtention progressive d’un Certificat Universitaire : Expert Itinéraires Cliniques, d’un Certificat Interuniversitaire en Management de la Qualité dans les Établissements de Soins et d’un Certificat Interuniversitaire en Plaies et Cicatrisation à l’UCL. Il est également aujourd’hui référent « soins de plaies » pour son institution hospitalière, orateur dans divers symposiums et chargé de cours dans les écoles supérieures IESCA et HELHA.

PROPOSITIONQUEPICO™PEUT-ILFAIREPOURVOUS,VOSPATIENTSETVOTREHÔPITALDANSLAGESTIONDEL’INCISION?1,2Qualité améliorée : Réduit les complications, ce qui peut avoir un effet positif sur les indicateurs de performance de l’hôpital.

Stress réduit pour le patient : Amélioration de la qualité des cicatrices.3 Réduit les risques de retard du traitement d’appoint en l’absence de complications de plaie.4

Capacité améliorée : Réduit les complications post-opératoires qui peuvent conduire à une hospitalisation prolongée ou à une réadmission.

Rentabilité améliorée : réduit les complications post-opératoires qui peuvent contribuer à une hospitalisation prolongée/ augmentation des coûts de traitement.

Réadmissions moins nombreuses : Réduit les complications qui surviennent après la sortie de l’hôpital.Références: 1. Bullough L, Burns S and Wilkinson D. Reducing infection rates in Caesarean section patients with BMI of 35 or more: a 138 patient evaluation. Poster presented at EBCOG, Glasgow, May 2014. 2. Selvaggi F et al., New Advances in Negative Pressure Wound Therapy (NPWT) for Surgical Wounds of Patients Affected with Crohn’s Disease. Surgical Technology International XXIV; 83- 89. 3. Galiano R1, Djohan R2, Shin J3, Hudson D4, Van der Hulst5, Beugels J5, Duteille F6, Huddleston E7, Cockwill J7, Megginson S7. The effects of a single use canister-free Negative Pressure Wound Therapy (NPWT) System* on the prevention of postsurgical wound complications in patients undergoing bilateral breast reduction surgery. Presented at the 30th Annual Scientific Meeting of the British Association of Aesthetic Plastic Surgeons, London 25/26 September 2014). 4. Holt R and Murphy J (2015) PICO incision closure in oncoplastic breast surgery: a case series. British Journal of Hospital Medicine. 76(4): 217-223.

Nombre maximum de participants 8 hôpitauxDurée du projet +/- 3 moisQue va-t-on mesurer ? réduction des complications post-opératoires

chez des patients à haut risqueBusiness model à discuter

INTERESSÉ?Pour développer notre engagement avec vous pour une (nouvelle) indication et selon vos besoins, contactez notre Business Development Manager pour déterminer le contenu du kit de démarrage pour PICO dans la prise en charge des lignes d’ incision :

Philine Blomme +32 (0)468 15 09 [email protected] & Nephew N.V.-S.A. Hector Henneaulaan 366, 1930 Zaventem

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Cas #8

Utilisation de la thérapie à pression négative sur des incisions chirurgicales ferméesExamen systématique et méta-analyse, incluant l’expérience de GRADE en matière de risque d’infections du site opératoire (ISO) après thérapie par pression négative prophylactique par rapport aux pansements conventionnels dans le cadre de la chirurgie propre et contaminée.Fleur E.E. De Vries, MDa,Ṭ, Elon D. Wallert, BSca, Joseph S. Solomkin, MDb, Benedetta Allegranzi, MDc, Matthias Egger, PhDd, E. Patchen Dellinger, MDe, Marja A. Boermeester, MDa

Diminution du taux d’ISO de 140 à 83 (49–135) pour 1 000 patients et de 106 à 34 (25–47) pour 1 000 patients, respectivement. Les analyses stratifiées ont montré que ces résultats sont cohérents, tant pour les procédures propres que propres-contaminées ainsi que pour différents types d’opérations chirurgicales.

La TPN prophylactique, appliquée sur des plaies par incision refermées, est perçue par certains comme une nouvelle méthode permettant de prévenir les complications de ces plaies.

Cette analyse reprend 19 articles portant sur 21 études (6 essais randomisés et contrôlés et 15 études observationnelles).

L’estimation récapitulative a montré que la TPN prophylactique présentait un avantage considérable dans la réduction des ISO par rapport aux pansements de plaie traditionnels, tant dans les essais randomisés et contrôlés que dans les études observationnelles. Le rapport de cotes était de 0,56 (95 % d’intervalle de confiance, 0,32 – 0,96 ; P=0,04) et 0,30 (95 % d’intervalle de confiance, 0,22–0,42 ; P<0,00001) respectivement.

Sur la base des données de 52 hôpitaux de soins actifs (couverture >50 %), la prévalence de patients souffrant d’au moins une infection nosocomiale pour un jour donné en 2011 était estimée à 7,1 % (95 % IC 6,1–8,3 %). La part des infections du site opératoire est estimée à environ 18 %.

Étant donné que le coût lié aux infections du site opératoire n’est pas traité dans le rapport : « Nosocomiale Infecties in België, deel II : Impact op Mortaliteit en Kosten KCE reports 102A » – est-il indiqué de se référer au rapport d’Eucomed pour le coût de : 5 800 € par ISO ?

La TPN peut permettre de diminuer le taux d’ISO de 140 à 83 (49–-135) pour 1 000 patients et de 106 à 34 (25–47) pour 1 000 patients.

Cela implique une diminution des coûts liés aux complications de 417 600 € et 330 600 € pour 1 000 patients opérés.

BIOGRAPHYProf. Dr. M.A. BoermeesterProfesseur de chirurgie - Centre médical académique (AMC), Amsterdam, Pays-Bas

Spécialisation: infection Abdominale, reconstructieve chirurgie na abdominale catastrofes

Focus: Aspects cliniques et précliniques des infections abdominales et de l’insuffisance intestinale ; Recherche en cas d’échec intestinal et de reconstructions complexes de la paroi abdominale.

Président de la Society Europe des Infection Surgical et membre du comité des Infections postopératoires des plaies du WHO

PROPOSITIONL’utilisation sélective de PREVENA chez les patients à haut risque peut décroître considérablement la quantité d’ISO et les coûts dans le groupe des patients subissant une opération.

Études internationales à l’appui, nous pouvons garantir une réduction des ISO de 40 à 70 % en fonction de l’opération.

Nécessaire : procédure de préparation préopératoire, afin de mettre en œuvre la répartition en fonction des risques

Nombre maximum de participants 10 HôpitauxDurée du projet 6 moisCe qui sera mesuré réduction l’incidence infection

INTERESSÉ?Geert Vanwalleghem, Product Specialist WoundCareHOSPITHERA SA/NV Division Interventional Care Rue de la Petite Île 3 1070 Bruxelles E : [email protected] T: +32 (0) 2 535 03 85M : +32 (0)479/ 51 54 80http://www.hospithera.com|

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Cas #9

Des pansements postopératoires modernes contribuent à réduire le risque SSI et les coûts de la prise en chargePrévention des ISO : jusqu’à 41 % des patients en chirurgie orthopédique développent des phlyctènes postopératoires.1

Favoriser la mobilité du patient : jusqu’à 84 % des patients courent un risque de thrombose veineuse profonde après la pose d’une prothèse du genou.2

Coûts de la prise en charge : 6.532 € en moyenne pour un patient qui contracte une ISO.3

1. Johansson C. et al. Preventing post-operative blisters following hip and knee arthroplasty. Wounds International, 2012.

2. Dela Valle C. et al. Thromboembolism After Hip and Knee Arthroplasty: Diagnosis and Treatment. Journal of American Academy of Orthopedic Surgeons, 1998.

3. Jenks P. J. et al. Clinical and economic burden of surgical site infection (SSI) and predicted financial consequences of elimination of SSI from an English hospital. The Journal of Hospital Infections, 2014.

Des pansements postopératoires modernes contribuent à réduire le risque d’infection sur le site opératoire en diminuant la fréquence de changement du pansement et les lésions cutanées, en renforçant la protection contre une contamination de la plaie d’origine externe et en favorisant la mobilisation précoce du patient.

Une étude clinique randomisé a comparé deux pansements appliqués après une arthroplastie élective de la hanche et du genou sur 3 sites, l’UZ Gent (Medisch Centrum Latem), l’AZ Maria Middelares à Gand et l’hôpital South General à Stockholm, et mis en lumière une amélioration des résultats thérapeutiques tant pour le patient que pour le personnel médical. V Overschelde P. et al. Poster presentation at the 5th WUWHS conference, Florence, Italy, 2016 Mepilex Border Post-Op vs Aquacel ® Surgical, hip and knee arthroplasty

BIOGRAPHIE Dr. Philippe Van Overschelde Orthopedisch chirurg gespecialiseerd in heup en knieletselsAZ Maria Middelares GentMedisch Centrum Latem

PROPOSITIONSoutien d’analyse des résultats cliniques et économiques et assister à l’optimisation du soin des plaies opératoires au sein de l’hôpital (groupe) Issu de la technologie Safetac, Mepilex Border Post-Op est un pansement moderne autofixant qui autorise la douche. Il possède une structure unique en son genre constituée de couches d’absorption et couches de rétention qui a été conçue spécifiquement pour le traitement des plaies opératoires. Grâce aux caractéristiques très particulières de la couche Safetac, il adhère efficacement mais sans léser la peau, ce qui permet d’éviter les phlyctènes postopératoires. La technologie Flex assure une grande flexibilité et une adhérence efficace sur des articulations comme la hanche ou le genou, favorisant la mobilisation précoce du patient. Il est prouvé que Mepilex Border Post-Op peut rester plus longtemps en place grâce à sa capacité d’absorption et de rétention optimisée, ce qui contribue à une bonne cicatrisation et présente un avantage économique avéré par rapport aux pansements conventionnels. Zarghooni K., Is the use of modern versus conventional wound dressings warranted after primary knee and hip arthroplasty ? Results of a Prospective Comparative Study, Acta Orthop. Belg., 2015, 81, 768-775

Bredow J. et al. Poster presentation at the 5th WUWHS conference, Florence, Italy, 2016. Mepilex® Border Post-Op vs Cosmopor® E, hip and knee arthroplasty, spine surgery

V Overschelde P. et al. Poster presentation at the 5th WUWHS conference, Florence, Italy, 2016 Mepilex Border Post-Op vs Aquacel ® Surgical, hip and knee arthroplasty

Nombre maximum de participants 10 hôpitauxQue va-t-on mesurer ? L’hôpital peut mesurer les résultats cliniques suivants : diminution des

phlyctènes postopératoires, amélioration du vécu du patient et du personnel hospitalier dans le service et une mobilisation précoce du patient. Sontconcernés:chirurgien(s)orthopédique(s),infirmièrespécialiséedanslesoindesplaies,personnelinfirmierduBO,personnelinfirmierduserviceetlekinésithérapeute.

L’hôpital peut mesurer les résultats économiques suivants: allongement de la durée pendant laquelle le pansement reste en place et réduction du risque de prolongement de l’hospitalisation en raison de complications. Sont concernés : personnel du service des achats/pharmacie informé de la durée pendant laquelle les pansements actuels restent en place ainsi que des coûts supplémentaires du soin des plaies imputables aux complications subies avant l’implémentation des nouveaux pansements.

INTERESSÉ?Mölnlycke Health CareBerchemstadionstraat 72 2600 Antwerpen

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Cas #10

La Prévention et traitement de l’hypothermie péri-opératoire

ETUDE:EFFICACITÉD’UNNOUVEAUSYSTÈMEDEPRÉ-RÉCHAUFFEMENTDANSLAPRÉVENTIONDEL’HYPOTHERMIEPÉRI-OPÉRATOIRE.UNEÉTUDEPROSPECTIVE,MULTICENTRIQUEETRANDOMISÉET. PERL , L. H. PEICHL , K. REYNTJENS I. DEBLAERE , J. M. ZABALLOS , A. BRAUER (Minerva Anestesiol 2014;80:436-43)

Ce protocole d’étude compare le pré-réchauffement actif par rapport à l’isolation passive et par rapport à l’absence de protection supplémentaire contre l’hypothermie AVANT l’induction chirurgicale. Pendant la chirurgie, tous les patients ont été activement réchauffés au moyen de la technique du réchauffement à air pulsé (Mistral Air).

Notre étude montre que le pré-réchauffement actif conduit à une meilleure gestion de la température dans différents types de chirurgie. Nous reconnaissons toutefois que le pré-réchauffement n’est pas toujours possible pour des raisons logistiques. Nous préconisons toutefois une stratégie de réchauffement peropératoire précoce du patient. Par ailleurs, nous sommes convaincus que l’enregistrement de la température corporelle centrale à tous les stades de l’intervention chirurgicale est très important et devrait être la première étape d’une stratégie visant une meilleure gestion de la température péri-opératoire, ce qui se traduit par moins de complications, l’absence de retard dans la sortie du patient et une hospitalisation moins coûteuse. Dans cette optique, les directives NICE sur l’hypothermie péri-opératoire (R.-U.) prédisent une économie de 21.067.000 GBP sur une base annuelle et nationale, calculée sur une réduction de 25 % du nombre de patients développant une hypothermie. Les directives allemandes estiment le coût des infections des plaies dans des opérations de moyenne et grande envergure à environ 4.453 euros par patient

BIOGRAPHYDr Koen Reyntjens(1962) anesthésiste au Centre Médical Universitaire de Groningen, Pays-Bas

Diplôme de médecine : Doctor in Genees- Heel- en Verloskunde Juillet 1988, Université de Gand, BelgiqueAgrément en médecine familiale, médecin généraliste : Juillet 1990Qualification professionnelle en anesthésie : Juillet 2000, Université de Gand, Belgique

Expérience professionnelle :1989-1990 : Service militaire à la Force Navale belge, aujourd’hui commandant de réserve1990-1995 : Médecin généraliste1995-2000 : Stagiaire en anesthésie (Hôpital universitaire d’Anvers/ Hôpital Sint Lucas de Gand/ Hôpital universitaire de Gand)2000-2012 : Membre de l’équipe d’anesthésie, Hôpital universitaire de Gand, anesthésie cardiaque/ pédiatrique cardiaque 2000-2004 : Anesthésie pour transplantation hépatique adulte et pédiatrique 2004-2012.2012-2017 : Membre de l’équipe d’anesthésie, Centre médical universitaire de Groningen, Groningen, Pays-Bas, Anesthésie pour transplantation hépatique adulte et pédiatrique

Centres d’intérêt :Maladie hépatique, gestion de la coagulation, gestion des fluides péri-opératoires, gestion de la température péri-opératoire

Deux dernières publications :Dexmedetomidine pharmacodynamics in healthy volunteers: 2. Haemodynamic profileColin, P. J., Hannivoort, L. N., Eleveld, D. J., Reyntjens, K. M. E. M., Absalom, A. R., Vereecke, H. E. M. & Struys, M. M. R. F. Aug-2017 In : British Journal of Anaesthesia. 119, 2, p. 211-220 10 p.

Dexmedetomidine pharmacokineticpharmacodynamic modelling in healthy volunteers: 1. Influence of arousal on bispectral index and sedationColin, P. J., Hannivoort, L. N., Eleveld, D. J., Reyntjens, K. M. E. M., Absalom, A. R., Vereecke, H. E. M. & Struys, M. M. R. F. Aug-2017 In : British Journal of Anaesthesia. 119, 2, p. 200-210 11 p.

20 PROGRAMME – LUTTE CONTRE LES INFECTIONS NOSOCOMIALES SYMPOSIUM

Cas #10

PROPOSITIONThe 37Company a pour mission principale de maintenir les patients à une température corporelle saine constante (37°C). The 37Company garantit une amélioration des résultats chez les patients et une réduction des coûts des soins de santé. Pour y parvenir, elle propose des formations et des produits haut de gamme, économiquement justifiés. The 37Company offre une combinaison de traitements complémentaires nécessaires pour empêcher un patient de souffrir d’hypothermie péri-opératoire (visualisée en Virtual37).

THE37COMPANYPROPOSEDESSOLUTIONSPOURLERÉCHAUFFEMENTDESPATIENTS: � Réchauffement à air pulsé | Dispositif, couvertures et combinaisons Mistral-Air

� Réchauffement du sang et des fluides | Système Fluido Compact pour un bas débit et système Fluido AirGuard pour un haut débit

� Réchauffement des fluides d’irrigation | Fluido Irrigation pendant des procédures en urologie, orthopédie et gynécologie

� Technologie de réflexion de chaleur | Couvertures Thermoflect

� Virtual37, un outil de gestion de la température basé sur le web. Virtual37 a été conçu pour aider les professionnels de la santé à maintenir la normothermie chez les patients et à utiliser les solutions de The 37Company. L’outil vous permet de suivre le bilan thermique de votre patient qui se trouve sous anesthésie générale ou locale. Il vous permet de combiner différents traitements et d’utiliser les produits de The 37company.

Ensemble, nous pouvons encore faire mieux. Laissez-nous examiner la façon dont nous pouvons aider et améliorer votre manière actuelle de travailler. Nous recherchons entre deux et cinq hôpitaux avec qui on peut démarrer un projet. L’objectif global doit être de maintenir la température corporelle de vos patients à tous les stades de l’acte chirurgical.

Nombre maximum de participants 2 à 5 HôpitauxDurée du projet plus ou moins un an Ce qui sera mesuré PTM- protocol (Patient Temperature Management)

et les infections y liées INTERESSÉ?Kris Pauwels, Product Specialist Vital CareHOSPITHERA SA/NV Division Interventional Care Rue de la Petite Île 3 1070 Bruxelles E : [email protected] T: +32 (0) 2 535 03 80M : +32 (0) 491 12 62http://www.hospithera.com

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Cas #11

DECOUVREZEGALEMENTCETTEPROPOSITION

Prenez le contrôle sur les facteurs de risque liés aux infections de site opératoire (ISO) avec les sutures imprégnées de triclosan Les infections de site opératoire (ISO) sont largement répandues et représentent un coût élevé pour les patient et les hôpitaux. Le surplus de coût engendré par une ISO peut varier de € 2000 à € 4000.1

La sélection de la suture offre une occasion privilégiée de répondre à un facteur de risque majeur d’infection: la colonisation bactérienne de la suture.

Désormais préconisée par une ligne directrice de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS): Le groupe d’experts suggère l’utilisation de sutures imprégnées de triclosan en vue de réduire le risque d’infection au niveau du site opératoire (ISO), quel que soit le type d’intervention chirurgicale.2

Les sutures Ethicon Plus Antibactérien sont les seules sutures imprégnées de triclosan, disponible mondialement.

Le Triclosan utilisé dans les sutures Plus, L’IRGACARE® MP*, est la forme la plus pure disponible. Capable, selon des tests in-vitro, d’inhiber la colonisation bactérienne de la suture pendant 7 jours ou plus.3-6

La petite quantité de triclosan utilisée dans les sutures Plus ne s’accumule pas dans l’organisme, mais est métabolisée et éliminée sous forme neutralisée.3

Les sutures Ethicon Plus Antibactérien sont disponible en Monocryl, Vicryl, PDS and Stratafix. 1. Leaper DJ, van Goor H, Reilly J, et al. Surgical site infection – a European perspective of incidence and economic burden. Int Wound J. 2004;1(4): 247-273.

2. Global guidelines on the prevention of surgical site infection. World Health Organization; 2016. Available from http://www.who.int/gpsc/ssi-guidelines/en/. Accessed 08 Nov 2016.

3. Barbolt TA. Chemistry and safety of triclosan, and its use as an antimicrobial coating on Coated Vicryl Plus Antibacterial Suture (coated polyglactin 910 suture with triclosan). Surg Infect (Larchmt). 2002;3 (suppl):S45-S53.

4. Rothenburger S, Spangler D, Bhende S, Burkley D. In vitro antimicrobial evaluation of coated Vicryl Plus Antibacterial Suture (coated polyglactin 910 with triclosan) using zone of inhibition assays. Surg Infect (Larchmt). 2002;3 (suppl):S79-S87.

5. Ming X, Rothenburger S, Yang D. In vitro antibacterial effect of Monocryl Plus Antibacterial Suture (poligelcaprone 25 with triclosan). Surg Infect (Larchmt). 2007;8(2):201-207.

6. Ming X, Rothenburger S, Nichols MM. In vivo and in vitro antibacterial effect of PDS Plus (polidioxanone with triclosan) suture. Surg Infect (Larchmt). 2008;9(4):451-457. *Trademark of BASF SE. The third-party trademarks used herein are the trademarks of their respective owners. Please refer always to the Instructions for Use / Package Insert that come with the device for the most current and complete instructions. © Johnson & Johnson Medical NV (2016). ESC16-071. Please refer always to the Instructions for Use / Package Insert that come with the device for the most current and complete instructions.

PROPOSITIONEn partenariat avec Ethicon, prenez le contrôle sur les facteurs de risque liés aux infections de site opératoire (ISO) avec les sutures imprégnées de triclosan.

Nombre maximum de participants N/ADurée du projet Un an Ce qui sera mesuré Réduction l’incidence infection INTERESSÉ?Veuillez contacter Gert Vandebergh, Ethicon Product Manager+32 (0)498 76 54 79 [email protected] Da Vincilaan 15B-1831 DiegemJohnson & Johnson Medical

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Cas #12

DECOUVREZEGALEMENTCETTEPROPOSITION

Diagnostics First � Today: I treated my patient.

� Tomorrow: Will I have any antibiotics left to give?

Each time a microorganism becomes resistant to an antibiotic, we lose another weapon in the war against infection. New resistance mechanisms are emerging—and spreading globally—every day.

THERESULT?In the very near future, we may be left without any drugs at all to fight serious, resistant infections.1

Key actions to combat the spread of resistance include2

� Limiting the Spread

� Tracking Resistance

� Improving Stewardship

� Developing New Solutions

1 World Health Organization. “Antimicrobial resistance: global report on surveillance.” June, 2014.

2 Centers for Disease Control and Prevention. “About Antimicrobial Resistance.” Available at http://www.cdc.gov/drugresistance/about.html. Accessed December 21, 2015.

PROPOSITIONIn the face of diagnostic uncertainty, fast and accurate molecular diagnostics can help provide the information needed. Fight back against antibiotic resistance with diagnostics first.

Sign up today at www.diagnosticsfirst.com to receive customized, educational content and learn how on-demand molecular testing can help achieve your institution’s Infection Prevention and Antimicrobial Stewardship goals.

When you have a specific need in your hospital and you do have a specific project in mind which you would like to implement, do not hesitate to reach out to us.

INTERESSÉ?Cepheid BeneluxTel 014 713 [email protected]

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Antibiotic resistance: why we need to care During the twentieth century, improvements in hygienic conditions, the creation of vaccines and widespread vaccination programs and the development of antibiotics have had a huge impact on life expectancy and quality of life worldwide. Antibiotics are one of the major breakthroughs of modern medicine. The existence of antibiotics has made many of our current “medical miracles” possible: organ transplants, cancer treatments, therapies which beneficially modify our immune system (for diseases such as rheumatoid arthritis, psoriasis or Crohn’s disease, for instance) and complicated surgical procedures. Without antibiotics, the infection complications of these medical interventions would be too frequent, harmful and possibly lethal.

Our over-use and misuse of antibiotics in humans, animals and agriculture, has led to the widespread rise of antibiotic resistance: in livestock, food, hospitals, and the community at large. Growing human and animal populations — along with increasing international trade and travel — have accelerated the transfer and spread of resistant strains of bacteria, turning them into a global concern. When these resistant strains cause an infection, it is no longer a simple matter of prescribing the “usual” antibiotics. Common infections (such as pneumonia, as well as skin and urine infections), when caused by antibiotic-resistant bacteria, are increasingly difficult to treat and threaten rising numbers of people across the world.

While the optimal approach to effective antimicrobial stewardship remains elusive and may vary significantly between settings, a wide array of studies and reviews from diverse healthcare contexts have demonstrated the positive impact of stewardship programs on limiting antibiotic resistance²1 CDC website about antimicrobial resistance. http://www.cdc.gov/drugresistance

2 Huttner B et al. Success stories of implementation of antimicrobial stewardship: a narrative review. Clinical Microbiology and Infection 2014;20:954-962. DOI:10.1111/1469-0691.12803

PROPOSITIONPartner with bioMérieux to help you with your Antimicrobial prevention plan and Antimicrobial Stewardship

Visit today http://www.antimicrobial-resistance.biomerieux.com to help and educate you on what is happening today in Europe and the rest of the world.

INTERESSÉ?Please contact Jurgen Vandamme, Microbiology Product [email protected] 18 A1030 Brussels

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Koning Albert I-laan 64 - Avenue Roi Albert I 64 1780 WEMMEL - BelgiumTel +32 2 257 05 90 - Fax +32 2 252 43 [email protected]

Avec le soutien de :

SEE YOU ALL 19/03/2019